de Pierre Assouline

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La République des livres
Maurice Blanchot l’insurgé

Maurice Blanchot l’insurgé

En m’emparant de ce gros livre-là, mû par un réflexe chronique, je me suis également saisi d’un crayon à mine. Impensable de lire sans souligner, bâtonner, annoter, voire barrer, et même m’indigner, sinon corriger – à l’exception des Pléiade, tout de même, encore que j’en ai vu y surligner sans état d’âme à grands coups de stabilo rose fluo (j’ai failli appeler la police). On nous a assez répété qu’une fois publié, le livre n’appartenait plus à son auteur et que le lecteur devait se l’approprier ; or quelle meilleure manière d’y parvenir qu’en y superposant sa propre graphie aux impressions de l’écrivain ?

Sauf que cette fois, mon naturel porté au palimpseste a subi un coup d’arrêt dès l’entame de Blanchot (397 pages, 39 euros, L’Herne) : dans le premier article consacré à l’atelier de l’écrivain, Eric Hoppenot, l’un des deux maîtres d’œuvre du recueil avec Dominique Rabaté, raconte que, durant toute sa longue vie de lecteur, Maurice Blanchot (1907-2003) s’est toujours refusé à ajouter quoi que ce soit de sa main dans le livre d’un autre. Puisque le commentaire est extérieur, il doit le rester. Tel est son statut. Aussi a-t-il abondamment commenté ses lectures dans le feu de leur découverte mais en prenant soin de toujours consigner ses notes sur des feuilles à part, ailleurs, à côté mais pas dedans. Sa prise de notes de relevait pas seulement d’une technique mais d’un état d’esprit révélateur d’une esthétique ; car au début des années soixante, l’écrivain adopta une écriture fragmentaire qui n’est pas sans lien avec sa longue pratique de la citation dans son activité quotidienne de lecteur : partant du principe que de toute façon, dès lors que l’on isolait une phrase de son contexte originel, on trahissait l’auteur, il recopiait moins qu’il ne paraphrasait.Blanchot_m

Ce qui ne m’a pas empêché de le crayonner. Mais le recueil est d’une telle qualité, d’une si puissante densité, d’une exigence intellectuelle si bien tenue du début à la fin, les articles originaux sur ce que lui doivent de jeunes écrivains (Tanguy Viel, Marie Darrieusecq, Leslie Kaplan) y font si naturellement écho aux souvenirs plus ou moins connus des grands anciens (Roger Laporte, Maurice Nadeau, Georges Bataille), les lettres déjà publiées complètent si opportunément d’autres totalement inédites. L’ensemble est d’une acuité et d’une intensité si fécondes !

Il y a des morceaux magnifiques sur le silence dans la Bible ( à propos du Livre de Job, bien sûr). En creux, c’est aussi la révélation, ou la confirmation, d’un portrait de Maurice Blanchot qui se dégage. Tous les Blanchot en un seul. Sans oublier l’homme, dont on savait si peu (seuls les cyniques voulurent y voir une stratégie : disparaître pour mieux apparaître), l’homme au visage inconnu dont ce Cahier de l’Herne publie pour la première fois des photos intimes ; l’homme qui avait la religion de l’amitié, pas nécessairement en face à face ou téléphonages mais disons l’amitié épistolaire (Edmond Jabès, Robert Antelme, Jean Paulhan). On découvre le cinéphile au calendrier bloqué il y a … un certains temps (Bergman, Ozu, Murnau, Ophuls, Welles) pour qui le cinéma français semblait se limiter à Casque d’or et aux Enfants du paradis. Le journaliste, le critique, le romancier, l’intellectuel, tous résumés par une même faculté inébranlable de refus, de rébellion, d’insurrection, d’insoumission. Dans les grandes lignes et dans le détail. A une enquête japonaise qui lui demandait s’il s’intéressait au roman policier, il explicita son « non » en une poignée de mots : « Il y a déjà trop de police dans notre société ». Sa manière d’être encore un homme contre, même dans ce qu’il appelait « le communisme de pensée » ou « le communisme d’écriture ». A cet égard, on ne perd pas son temps à visionner ce numéro d' »Un siècle d’écrivains » qui lui avait été consacré, film de Hugo Santiago écrit par son biographe Christophe Bident, un exploit s’agissant d’un écrivain qui aura mis tant d’énergie dans sa volonté d’effacement.

Cela va du maurrassien convaincu de l’entre-deux-guerres à l’homme qui demeurait hanté par le génocide juif au soir de sa vie (exactement comme Marguerite Duras) jusqu’à rompre dans les années 70 avec ses amis d’extrême-gauche par sa volonté de soutenir Israël jusqu’au bout (comme s’il voulait expier encore son pêché de jeunesse, celui qui jugeait à la fin que l’antisémitisme, serait-il délirant, restait « la faute capitale »), en passant par celui qui avait appelé les jeunes appelés à ne pas se soumettre pendant la guerre d’Algérie. L’un avait écrit des articles antisémites, antiparlementaires, antidémocrates, antirépublicains appelant de ses vœux une révolution violente, seule capable, avec les secousses sanglantes du terrorisme, de réveiller une nation aveulie (1937) ; l’autre avait été l’un des principaux rédacteurs du fameux « Manifeste des 121 » ; l’autre encore partout dans Paris en mai 68 puis à Flins. A ses yeux, ceux d’un homme tout entier animé par « la passion politique » et qui le demeura tout en enjoignant les écrivains à mettre l’actualité à distance, afin que leurs écrits n’en fussent pas corrompus, il était évident que la Révolution n’avait jamais lieu une fois pour toutes.

L’ensemble de ses écrits rassemblés ici en une mosaïque, conjointement à une série de témoignages confrontés à des documents, offre un tableau très complet de la pensée de Maurice Blanchot. Impossible ici d’entrer dans le détail de chacune des facettes explorées. On se contentera de saluer plus précisément le coup de projecteur donné à son activité de critique. L’un des plus pertinents et des plus aigus en langue française. Ses critiques (des chroniques littéraires, disait-il) ne nous renseigne pas que sur les livres qu’il traitait, sur ses exigences formelles, son côté partisan dans le choix de la subversion littéraire avec les refus qui lui BqQZnk5CQAA8cyX.jpg-largefont cortège (contre le positivisme et le réalisme littéraires, contre toute tentation mimétique vis à vis du réel, contre toute tentation biographique sauf pour Goethe dans Faux-Pas), son entredeux permanent entre le sens et le sensible et son goût, pourtant, des histoires ; ses critiques dévoilent en creux son art poétique, son absolu de la littérature, sa conception de l’écriture comme activité aussi vaine que nécessaire, seul moyen d’opérer la jonction entre le vide que l’écrivain a en lui et le silence vers lequel il tend quitte à ne le connaître jamais que par ouï-dire. Incroyable ce que ce grand critique a fécondé comme vocations de critiques et d’écrivains, pour ne rien dire des lecteurs qui lui doivent d’avoir ouvert les yeux sur un livre (Kafka ou Des Forêts, peu importe) dont le sens leur aurait échappé sans l’incitation de Blanchot, avec en sus la sensation inédite de comprendre pour la première fois Le Château ou Le Bavard après les avoir pourtant maintes fois lus. Peut-être parce qu’ils ne le virent jamais comme un théoricien mais comme un penseur de la littérature.

Ni journaliste, ni universitaire, entre les deux. La contribution de Gérard Macé ouvre des perspectives fascinantes malgré sa brièveté ; peut-être son absence de complaisance dans l’admiration y est-elle pour quelque chose ; il a mis la focale tant sur ses paradoxes (un auteur engagé qui ne fut jamais un personnage public) que sur ses contradictions (comment peut-on devenir le meilleur ami à vie d’Emmanuel Levinas l’année même où l’on adhère à l’Action française (dédicace : « A Emmanuel Levinas, avec qui, depuis quarante ans, je suis lié d’une amitié qui m’est plus proche que moi-même : un rapport d’invisibilité avec le judaïsme »); Macé fait d’ailleurs remarquer que ce sont surtout ses épigones qui ont tenté de nier son passé d’extrême-droite avant-guerre (violentes diatribes antisémites contre Léon Blum, entre autres) et sa collaboration aux feuilles de la Révolution nationale sous l’Occupation, fut-ce pour des chroniques strictement littéraires ; in fine Gérard Macé formule un regret, tout en rappelant que Blanchot, au contraire de Cioran, avait toujours été antihitlérien : 

« Qu’il n’ait pas cherché à comprendre davantage, du moins dans ses livres, ce qui lui était arrivé. Ne se soit pas demandé en quoi consiste une intelligence qui ne protège pas du pire, à quoi sert un esprit critique, si pertinent et si gin, s’il ne préserve pas des dérives les plus contestables ».

On dira : air connu, à l’extrême-gauche comme à l’extrême-droite. N’empêche… Rarement un écrivain aussi constamment et authentiquement en retrait de la scène littéraire aura été aussi présent dans le paysage littéraire. Surtout un écrivain dont l’empire en France et à l’étranger n’a pas été diminué par sa réputation d’hermétisme, d’obscurité, de difficulté d’accès, la faute aux philosophes qui l’ont accaparé aux dépens des littéraires, rendant son œuvre encore plus cérébrale et abstraite qu’elle ne l’est, remarque Jean-Benoît Puech. Dominique Rabaté le reconnaît, singulier aveu venant de l’un des maîtres d’œuvre du recueil, aveu qui réconfortera tous ceux qui, un jour ou l’autre, sont ressortis désemparés d’un paragraphe, d’une page, d’un chapitre, sinon d’un livre signé Maurice Blanchot. Il est vrai qu’il n’a cessé de (se) poser des questions (l’une surtout : « Comment la littérature est-elle possible après tout ce qui s’est passé ? ») quand tant de lecteurs sont avides de réponses. Qu’est-ce qui vaut la peine d’être transmis si ce n’est justement l’intransmissible ?  Lui écrivait pour « amener à la surface quelque chose comme du sens absent », révéler l’invisible, vocation de ces artistes qui nous amènent au bord vertigineux du monde, de Goya à Paul Celan.

Il s’est éteint chez lui au Mesnil-Saint-Denis, place des Pensées, en lisant un texte de Paul Valéry, Les escaliers de Chambord de Pascal Quignard et Rosemary’s baby d’Ira Levin. A sa mort il était difficile de ne pas penser, et de ne pas relire encore et encore, ce petit texte d’une beauté minéral L’instant de ma mort dans lequel il évoquait « le bonheur d’être presque fusillé » le 20 juillet 1944. Il fut finalement incinéré non sans avoir précisé au fil de ses différents testaments que l’on pouvait l’enterrer n’importe où dans le monde sauf à Devrouze (Saône-et-Loire). Là où il avait vu le jour quatre-vingt-dix années plus tôt.

(« Emmanuel Levinas et Maurice Blanchot, assis sur le capot, étudiants en philosophie à Strasbourg » ; idem ; « Maurice Blanchot » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 371 Réponses pour Maurice Blanchot l’insurgé

renato dit: à

Enfin Michel ! il y avait plus de juifs ultra-orthodoxes qui manifestaient à NY contre la politique sioniste qu’il n’y avait de pro-palestiniens dans la rue à Paris !

bouguereau dit: à

Ça fout la honte !

jle sais bien que pour toi dracul un pack de 24 c’est queud !..mais quelquefois on dirait que t’en cache sous la table..si si je t’assure

Cassiopée dit: à

Il n’y a aucune guerre d’extermination de la part d’Israël.

C’est une guerre d’extermination de part et d’autre. Aucun des protagonistes n’en a peut-être encore conscience, mais c’est ce qui est en train de se passer. Ils vont encore s’entre-tuer longtemps, avant d’en avoir une pleine conscience. Voyons, Widergänger, vous connaissez vos classiques aussi bien que moi, les Grecs en particulier. Ce n’est pas une affaire de propagande pro-palestinienne, ni pro-sioniste d’ailleurs. C’est une affaire aussi archaïque que possible. Simplement, le sang appelle le sang. Le sang se lave dans le sang. Le combat ne cessera que faute de combattants. Vous voyez une paix possible, vous, entre les Israéliens et les Palestiniens, entre les Israéliens et les Arabes ? Ils sont, les uns et les autres, englués dans une culture de la guerre et de la mort qui leur colle depuis des décennies à la peau. Depuis la fondation d’Israël, pour tout dire. La guerre israélo-palestinienne expose, depuis des décennies, ce que la nature humaine a de plus archaïque, de plus désespérant. Vous qui avez lu Michaux, vous connaissez sûrement ce texte qui commence ainsi :  » Je vis le combat de deux frères… »; c’est,bien entendu, le plus inexpiable.

Chaloux dit: à

Alba nous fait honte, mais c’est un con non dissimulé, une baudruche qui se donne pour ce qu’elle est.
bouguereau-Microbout nous fait honte, mais c’est un con dissimulé, qui se donne pour autre chose. Beaucoup plus dangereux. Et beaucoup plus con, en définitive.

renato dit: à

“c’est la justice immanente”

Chic, j’ai toute une collection de conneries à refiler.

bouguereau dit: à

tada..si t’as pas de décapsuleur dracul tu prends cheuloux..l’a des croquenots qui courrent aprés le biftècke..et tu lui fais avaler la capsule et ça lui fait fermer sa gueule

TKT dit: à

@ D. dit:26 juillet 2014 à 20 h 30: En vous lisant, D., je me demande si ma naissance prématurée, suite d’un incident sous le tunnel de la Porte Maillot, n’est pas le résultat de la présence d’extraterrestres ? Mon père croyait avoir conduit trop vite en passant au dessus d’un trou dans la chaussée, la vérité, il n’avait pas laissé la priorité à des visiteurs célestes ?
La prochaine fois que je serais à NY, le passage dans le Holland Tunel, ne me fera plus penser à « I love Lucy », mais à vous et vos extraterrestres.

Vous disiez ailleurs, faire des choses avec des chevaux et des ânes, vous ne seriez ainsi pas aussi vierge que vous l’annoncez ?

Widergänger dit: à

« Contre Valéry, Blanchot rappelle que ce rapport (le signifiant et le signifié) « n’est pas un rapport d’unification » (E.I., p. 586) (Blanchot rappelle ici en des termes abscons une donnée basique de la linguistique : l’arbitraire du signe, tout simplement). Mais il postule entre eux un « rapport infini », d’où l’ « improbable », ce « rapport d’étrangeté » qui signifierait la littérature — alors que dans la linguistique de l’arbitraire il définit la langue. »
(Meschonnic)

On voit bien là combien Blanchot se gargarise de belles formules creuses qui ne disent absolument rien de profond sur la littérature, mais sont au contraire d’une platitude accablante, cachée derrière des formulations qui visent à faire de l’effet, bien trompeuses en vérité, et auxquelles on peut se laisser tromper quand on est jeune.

En plus, Blanchot confond le signifié et le référent quant au signe. On voit à l’œuvre au fond une homme de la vieille école qui ne maîtrise absolument la linguistique, qui en parle sans l’avoir compris et l’utilise pour penser la littérature à l’envers même de ce qu’il voudrait en dire. C’est profondément médiocre !

bouguereau dit: à

tu l’sifflse le cleb et il raplique..tu l’lattes et y scasses

Maurice dit: à

Widergänger dit: 26 juillet 2014 à 21 h 13 min

Bien.

( Et que penser du paradoxe des amis socialistes exerçant le pouvoir durant la guerre d’ Algérie et sa part très active à rédiger le manifeste des 121?)
Voir le témoignage de maurice Nadeau mis en ligne sur un site Blanchot par Passou supra.

bouguereau dit: à

C’est profondément médiocre !

faut avoir l’esprit large dracul..les artiss c’est des êtres sensibe..comme certaines gonzesses a fortes poitrines..pas toutes les salopes!..mais blanchot dans son genre c’est un artiss..

Widergänger dit: à

En plus il s’approprie sous un langage à teneur linguistique qu’il ne maîtrise pas du tout, des idées bien connues qui viennent des autres !

Meschonnic poursuit :

« Quand, recouvrant Valéry, Blanchot met une « différence de potentiel » (E.I., p. 587) entre « le vide du signifiant » et « la ‘réalité’ du contenu », le souvenir des propositions de Reverdy et de Breton sur l’image semble modeler, toute distance prise, la métaphore électrique. »

En plus, je dirai que ce qu’il appelle « le vide du signifiant » joue précisément, surtout en poésie avec les procédés d’allitération et d’assonance, non pas avec « la « réalité » du contenu » mais avec le signifié pour donner de l’épaisseur au sens du poème et en faire un objet poétique.

Donc, il n’y comprend en réalité (!) strictement rien, à la littérature !

Inexorablement dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 21 h 38 min

Match des cons.
Vainqueur Chaloux.

chantal dit: à

politiquement je cherche pour le moment quel responsable laverait plus blanc que blanc .. ce serait une utopie de s’émerveiller au spectacle affligeant des enragés de tous bords ..

je lis qu’il y a des rats qui se restaurent des restes de pic-nique dans les pelouses du louvre .. on ne peut même plus prendre l’avion sans fausser compagnie aux vivants, reste la marche en forêt tant qu’il en reste et le yoga ..

Inexorablement dit: à

TKT dit: 26 juillet 2014 à 21 h 41 min
Vous disiez ailleurs, faire des choses avec des chevaux et des ânes, vous ne seriez ainsi pas aussi vierge que vous l’annoncez ?

Match des cons.
Remontée fantastique de TKT.

bouguereau dit: à

faut pas cracher sur ce qu’on a adoré dracul..

bouguereau dit: à

..regarde le populo dracul..est ce qu’il reproche a djhonny d’être un sale con de droite ? un probabe waffen ? une couverture de signal?..nan..il dit « djonny il a pas que des qualités »..et ben blanchot il a pas que des qualités..comme netanyaou tiendre..ou..ou.ou le mollah omar ! ha tu sais pas quoi réponde?..t’es sec? c’est normal..d’est du pilpoul..et du meilleur!

Ligne d'arrivée dit: à

TKT dit: 26 juillet 2014 à 21 h 41 min

Comme souvent dans ses histoires Thierry démmarre bien, léger, sympa.
Comme toujours il termine comme une grosse burne.
Indécrottable.

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 21 h 43 min

Microbout donne à ses « traces » une importance démesurée,- mascotte ou pas mascotte… C’est juste que c’est l’heure où je passe,-un peu plus tôt un peu plus tard. Je regarde un peu (très peu) ses prétentieuses et puantes déjections et je me dis que ce n’est certainement pas la première fois qu’un pauvre vieux cabot au bord de l’asphyxie comme lui se prend pour le maître.

(Pour le reste, je réagis à ce qu’écrit Ueda, pas aux débilités de Microbout, que je trouve un peu trop auto-centré : »j’ai parlé, il répond ». Mais non, grosse loche).

bouguereau dit: à

Inexorablement dit:

putain je sens que ça tire fort..des charolais !

bouguereau dit: à

sapré cheuloux..une bête de concours épicétou!

Chaloux dit: à

Inexorablement dit: 26 juillet 2014 à 21 h 51 min

Qu’Alba ne s’inquiète pas, je le trouve vraiment très con. Mais c’est une rosière de la connerie, qui ne sait rien cacher. Pour l’autre, c’est autre chose.

bouguereau dit: à

tire fort et parle pas trop cheuloux..tu sais pas faire 2 choses en même temps

bouguereau dit: à

haaa il t’en mets des coups dans la guiffe..alors comme ça c’est ton heure de dérouiller..un courageux!

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 21 h 58 min

sapré cheuloux..une bête de concours épicétou!

Sûrement, Microbout, mais t’es pas au niveau pour faire partie du jury…Deux ans que je te le dis.

Cassiopée dit: à

A l’intention de Widergänger, grand amateur de Pascal , ce rappel :

 » Ce chien est à moi, disaient ces pauvres enfants ; c’est là ma place au soleil. Voilà le commencement et l’image de l’usurpation de toute la terre ».

Peut-être une nouvelle ère de l’histoire de l’humanité s’ouvrira-t-elle quand tous les hommes auront compris que rien, absolument rien, ne leur appartient, et surtout pas la vérité. A voir le train du monde, ce n’est pas demain la veille.

Chaloux dit: à

Le niveau du pauvre Microbout ne s’arrange pas. Misère intellectuelle, et autres misères…Misère.

Auto-suggestion dit: à

Cheloux semble en forme, toute la journée il a bien réfléchi, il est sûr de lui, rien ne pourra l’arrêter, dans sa tête c’est fait.

Il les à mattés.

bouguereau dit: à

non mon cheuloux mais bien 6 mois que tu dis aurevoir adieu bonne soirée..comme une baltringue quoi..ton numéro et pas bon et ça a mal fini..de ta faute

Maurice dit: à

Le contexte WGG, le contexte!

l’entretien infini

l’absence de livre
pages 586 – 587

 »
– Écrire pour… ou ne pas écrire pour… ne saurait constituer
une détermination suffisante. Disons mieux que d’un côté la
littérature appartient à la culture (puisqu’elle peut être étudiée
comme un fait culturel), mais que d’un autre côté ce qui s’affirme
de par la littérature non seulement la conteste dans ses valeurs,
mais lui échappe et la trompe, si ce qu’elle lui communique
n’est, par rapport aux contenus substantiels de la culture, qu’un
devenir vide ou si ce que la culture réussit à en extraire pour
Pétudier se substantialise aussitôt et tombe alors en dehors de
la littérature.

– Essayons d’être plus précis. La littérature est un langage.
Tout langage (comme on le formule aujourd’hui) est constitué
par un signifiant, un signifié et le rapport de l’un à l’autre. Dans
le langage littéraire, il ne suffit pas de dire, comme l’a affirmé
longtemps Paul Valéry, que la forme a plus d’importance que
dans les langages habituels; il faut surtout dire que, dans ce
langage, le rapport entre signifiant et signifié ou bien entre ce
qu’on appelle forme et ce qu’on appelle à tort contenu devient
infini.

– Cela veut dire?

– Cela veut dire beaucoup de choses, trop pour que nous
puissions les délimiter. Cela veut dire essentiellement que ce
rapport n’est pas un rapport d’unification : forme et contenu
sont en rapport de telle sorte que toute compréhension, tout
effort pour les identifier, les rapporter l’un à l’autre ou à une
commune mesure selon un ordre régulièrement valable ou selon
une légalité naturelle les altère et échoue nécessairement. D’où
des conséquences si difficiles que nous ne saurions toutes les
découvrir. Celle-ci, que le signifié ne peut jamais se donner pour
la réponse du signifiant, sa fin, mais plutôt comme ce qui restitue
indéfiniment le signifiant dans son pouvoir de donner sens et
de faire question (la réalité du « contenu » n’est là que pour
recharger la forme, la rétablir comme forme, laquelle à son tour
se dépasse en un « sens » qui se dérobe et ne peut la remplir).
Celle-ci, que ce rapport infini — portant l’exigence d’une distor­sion infinie — s’accomplira d’autant plus que les termes entre lesquels il se produit, se donnent pour plus distants, compor­tant de l’un à l’autre l’élément de disjonction le plus fort, de telle manière que le rapport entre eux n’a pas pour effet de les unifier, mais au contraire d’interdire toute synthèse, n’affirmant, par l’étrangeté du rapport, que le devenir improbable de la signi­fication dans sa pluralité infinie, c’est-à-dire infiniment vide. D’où l’on peut concevoir pourquoi ce rapport d’étrangeté semble précéder et décevoir toute signification et, en même temps, semble signifier infiniment et se signifier comme infini et pour­quoi toute œuvre littéraire a toujours pour sens le plus intérieur la « littérature » qui se signifierait elle-même.

– Comme si, dans le langage littéraire, le vide du signifiant
devait fonctionner comme positif, la « réalité » du contenu
comme négatif, de telle sorte que plus la différence de potentiel
entre les deux conducteurs sera élevée, la résistance plus forte,
au point de tendre à l’infini, plus l’œuvre sera proche de se
signifier comme littéraire. Admettons-le, encore qu’il y ait beau­
coup à objecter. Mais il me semble, à nous en tenir là, que
nous avons oublié notre point de départ qui était d’établir pour­
quoi la culture peut revendiquer la littérature, alors que l’expé­
rience littéraire, à la limite, tombe hors du champ ou de la
juridiction culturels.

– Peut-être ne l’avons-nous pas oublié. Peut-être sommes-
nous maintenant plus capables de dire quelque chose sur ce diffi­
cile problème. C’est que la culture tend à concevoir et à établir
comme rapports d’unité les rapports qui, de par la littérature,
se donnent pour infinis, c’est-à-dire irréductibles à tout processus
unificateur. La culture travaille pour le tout. C’est là sa tâche
et c’est une bonne tâche. Elle a pour horizon l’ensemble et elle
retient tout ce qui aide au mouvement d’ensemble. Processus
cumulatif. Elle privilégie donc les résultats. Pour elle, la signi­
fication d’une œuvre, c’est son contenu, et ce qui est posé et
déposé dans les œuvres, leur côté positif, c’est la représentation
ou la reproduction d’une réalité extérieure ou intérieure. « 

Chaloux dit: à

Microbout, tu oublies les jours où tu appelles Alba au secours. Pauvre moule…

bouguereau dit: à

tes « nous » tes « on » c’est keupu et blatringue..le duo dla mort

jem dit: à

L’importance politique de Blanchot apparaît par exemple avec la Déclaration sur le droit à l’insoumission, mais pas seulement. Il y aura après, dans la foulée, le projet, malheureusement avorté, d’une « Revue internationale », preuve s’il en faut de l’intérêt extrême de Blanchot pour la politique, et de son poids intellectuel marquant dans « l’évolution de l’opinion publique », comme le souligne Christophe Bident, son biographe. La discrétion de Blanchot a effacé dans les mémoires cette position essentielle. C’est dommage.

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 22 h 06 min

Microbout, j’aime le baffer, c’est la seule raison pour la quelle je reste, j’y ai pris goût. Plus je le baffe et plus je suis en joie. S’il veut, je lui fais un copier-coller de ses départs miteux…

Et inversement dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 22 h 08 min
tes « nous » tes « on » c’est keupu et blatringue..le duo dla mor

Chaloux dit: à

Hurkhurkhurk!

Widergänger dit: à

Chaloux a mis au point toute une science subtiled e la connerie qui ne manque pas de piquant… Je crois qu’il est bon pour le cabanon…

Chaloux dit: à

Un cabanon où tu feras le Kapo, Blabla?

Indubitablement dit: à

« son poids intellectuel marquant dans « l’évolution de l’opinion publique » »
« La discrétion de Blanchot a effacé dans les mémoires cette position essentielle »

Le roi de l’oxymore étrange a encore frappé.

bouguereau dit: à

S’il veut, je lui fais un copier-coller de ses départs miteux…

rénato veut que jle paie et toi t’en fais des romans..vous pourriez vous arranger tous les deux

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 22 h 14 min

Microbout, ce que je préfère chez lui, c’est qu’il n’a plus aucune dignité. Il ne le sait pas mais il pose.

Ses fiches sont-elles aussi bien tenues ? dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 22 h 09 min
je lui fais un copier-coller de ses départs miteux…

Vantard et con, un ersatz de TKT.

chantal dit: à

la photo du haut fait un peu char agricole avec les deux filles à l’avant qui sourient et les trois gars qui se poussent du col à l’arrière.

c’est de l’insurgé intello soft ? nous n’avons droit qu’au nom de deux des cinq ce n’est pas justice ..

Chaloux dit: à

Microbout se casse un jour tout merdeux. Le lendemain, il ne s’est rien passé.
(C’est encore meilleur, Microbout… quznd c’est toi qui fignoles ton martyre…)

Hiacynthe dit: à

Chalouxrenatobouguereau, les pieds nickelés du blog, ça suffit, à la niche!

Widergänger dit: à

« la résistance plus forte, au point de tendre à l’infini, plus l’œuvre sera proche de se signifier comme littéraire. Admettons-le, encore qu’il y ait beau­ coup à objecter. »
(Blanchot, l’E.I.)

À noter qu’il se garde bien de préciser l’objection !

Ce qu’il définit là, c’est simplement la poésie moderne, disons plus largement la modernité en littérature, qui s’oppose comme le dit si justement Meschonnic, aux principes basiques de la linguistique saussurienne.

L’objection, mais c’est tout simplement la littérature de l’âge classique ! C’est en effet beaucoup, deux bons siècles de littérature ! Mais que dit Blanchot là d’original ? Rien. Ce sont des idées qui traînent partout. Une pensée très conventionnelle recouverte par des formules alambiquées, c’est tout, que dénonce Meschonnic à juste titre !

renato dit: à

Hé, bouguereau ! c’est toi qui a parlé argent en premier…

des journées entières dans les arbres dit: à

ML dans le texte:

Ça parle comme dirait l’autre ! Ça dit tout !

Qui contrôle l’usage fait par le Hamas du ciment qu’il prétend utiliser pour reconstruire les maisons détruites ? Aucune autorité occidentale ! Aucune ONG. On laisse faire, on compte ensuite les morts. Sinistre politique de merde.

Vous vouliez des précisions sur la vie dans les algécos ?
Alors je vais vous affranchir, comme on peut l’être après un coup de fil, comme celui auquel je viens d’assister.
Et la vie est simple comme…

2 euros par jour, sur le chantier. Sans avoir la certitude d’être payé.
ça se passe pas en Israel.

Bref, je soir, j’en ai un peu rien à faire de vos émois, eh moi, et moi, et moi, et moi.

Maurice dit: à

Widergänger dit: 26 juillet 2014 à 22 h 21 min

Nous sommes bien d’ accord avec vous WGG!

Miroir, mon beau miroir dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 22 h 20 min
Microbout se casse un jour tout merdeux.

bouguereau dit: à

tu sais cheuloux..keupu c’est comme les curé en 43..s’il change de camp c’est que c’est cuit..remonte dans ton panzer mon cheuloux..nar berline!

Chaloux dit: à

Microbout,pourquoi tu tousses?

Widergänger dit: à

Non, erreur de ma part.

Ce qu’il définit là c’est simplement la langue ! Et non pas du tout la littérature, qui est fondée précisément non sur l’arbitraire du signe (le fameux potentiel qui tend vers l’infini, car il est absolu, c’est le propre de l’arbitraire) mais sur la magie d’un langage qui réinvente des correspondances pour parler comme Baudelaire.

Donc Blanchot dit simplement dans un tel texte si on le traduit en langage simplifié : la littérature = la langue. C’est absurde et le contraire même de toute la modernité !

Ayez pitié dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 26 juillet 2014 à 22 h 23 min
Bref, je soir, j’en ai un peu rien à faire de vos émois

Prions.

renato dit: à

C’est qui ce merleau qui signe Hiacynthe ?

Chaloux dit: à

Microbout, tu bottes en touche. Tout ce que tu sais faire. En définitive, tu n’es pas à la hauteur de l’affrontement que tu as toi-même initié. Tout toi, encore…

bouguereau dit: à

c’est toi qui a parlé argent en premier…

n’empêche cheuloux a tout mes posts prés a dégainer..sur c’est moins classe qu’un bartabac et ça sert à rien..pas sur non plus que ça flatte ma vanité..mais je peux prende la pose..c’est mérité!

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 22 h 27 mi

n’empêche cheuloux a tout mes posts prés a dégainer

Non, gros con, tu t’abuses, c’est au post de Ueda que j’ai réagis pas à tes sacs poubelle.

bouguereau dit: à

l’affrontement que tu as toi-même initié

chtais vu gros dégueulasse comme jl’ai pas cru ! et j’ai juste crié au loup de minabe petit con que tu es..hors de ma vue cheuloux..t’es déréférencé

Miroir, mon beau miroir dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 22 h 27 min
tu n’es pas à la hauteur de l’affrontement que tu as toi-même initié.

Widergänger dit: à

« Donner un sens plus pur aux mots de la tribu » (Mallarmé, Tombeau d’Edgar Poe)

C’est ça la modernité ! C’est à dire le contraire même de l’arbitraire du signe saussurien.

Pour un poète, le signe n’a absolument rien d’arbitraire. Il est au contraire une « correspondance » nécessaire (Baudelaire).

Donc tout ce que dit Blanchot dans l’E.I. à cet égard est d’une très grande platitude et complètement à côté de la plaque. Ça n’a strictement rien d’une intelligence pertinente de la littérature moderne fondée vers 1850 ! Rien.

des journées entières dans les arbres dit: à

Ayez pitié dit: 26 juillet 2014 à 22 h 26 min
Non.
Mais vous pouvez toujours mettre un peu la main à la pâte; ça aide.

Un seul être vous manque dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 22 h 29 min
c’est au post de Ueda que j’ai réagis pas à tes sacs poubell

Tiens à propos, t’as remarqué Chaloux que zouzou ne te répond plus malgré tes appels du pied incessants.
Je crois que même lui, qui supporte beaucoup, n’en peut plus de ta bêtise.

Ayez pitié dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 26 juillet 2014 à 22 h 34 min

Et merdre, les dieux sont ingrats.

Widergänger dit: à

Et de l’équation aberrante que la littérature = la langue (tension infini, etc.) il en tire l’idée absurde que le « rapport entre forme et contenu devient infini ».

Non ! C’est exactement l’inverse qui se produit dans toute œuvre littéraire justement, une osmose savante entre la forme et le contenu. C’est d’ailleurs ça le Style !

Le langage plus ou mojns abscons de Blanchot cache en réalité une grande misère de la pensée littéraire !

Chaloux dit: à

Un seul être vous manque, et l’on survit comme autrefois…

bouguereau dit: à

t’as remarqué Chaloux que zouzou ne te répond plus malgré tes appels du pied incessants

clopine m’a baffé, zouz me méprise, dafnoz me conchie..heu rose me trouve matcho..et dracul c’est un pote qui vient a mon secours quand je crie grâââce mon cheuloux..

des journées entières dans les arbres dit: à

Ayez pitié dit: 26 juillet 2014 à 22 h 38 min
Faites comme les villageois d’ici.
Allez à la synagogue de Sarcelles. Ou à St Nicolas du Chardonnet.
Tu connais le chemin ?

Microbout à la ramasse dit: à

Un seul être se planque dit: 26 juillet 2014 à 22 h 35 min

Microbout, moi je ne prends personne à témoin, je ne fais peser le jugement de personne. Tu es incapable de réponde, vraiment aucune dignité, gros con.

Widergänger dit: à

Sa façon de travailler aussi est absurde chez Blanchot.

Il est dans son coin solitaire à prétendre penser la littérature. Une vision de vieil aristocrate décadent des lettres. On ne peut pas penser tout seul dans son coin, ce n’est pas vrai ! On pense ce faisant forcément mal ! On ne pense correctement que dans la confrontation avec la pensée des autres, comme le font tous les chercheurs, qui essuient la critique de leurs pairs à travers les compte-rendu de leurs travaux dans les revues savantes.

L’E.I. m’a toujours paru suspect. Mais j’en ai maintenant une claire confirmation.

ST dit: à

Expliquez-nous maintenant en quoi consiste la condition postmoderne… C’est ce que vous êtes en train de nous démontrer sans en avoir conscience à propos de Blanchot !?

bouguereau dit: à

moi je ne prends personne à témoin

mais si mon cheuloux mais si..c’est pitoyabe je sais mais c’est ainsi..tu comprends que j’ai mis du temps a me rende compte..bonnasse comme je suis..

des journées entières dans les arbres dit: à

ML, c’est quoi l’E.I. ?

Chaloux dit: à

Clopine t’a baffé sur son blog. Daaphnée t’a baffé l’autre jour (le post dans lequel tu lui disais que tu la tiendrais par les oreilles), rose, c’est une indiscrétion qui fait qu’on a tous compris. Alba tu l’appelles au secours.)
Je te retrouverai tout ça demain, grosse loche. Aucune dignité, vraiment.

bouguereau dit: à

..j’aurai pus t’éviter mais je te rends ce service c’est plus fort que moi..bonasse comme je suis..

bouguereau dit: à

tu prends ou tu prends pas a témoin ? ces gens ne sont pas des pantins..on va leur demander mon cheuloux..et surtout si tout ça te regarde de prés

bouguereau dit: à

donc..rdv ok..allez mon cheuloux on va voir tout ça ..comme tu veux : ton terrain ton arme ecaxtement..et on va voir..à suivre

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 22 h 45 min

Microbout, « pitoyable », ça ne compte pas, c’est ta petite rhétorique à la cantonade. Moi aussi, je te trouve pitoyable. Mais la cantonade, je ne lui parle pas. A toi seul. Ce dont tu es incapable. Aucune dignité, aucune envergure. « Bonnasse », faut voir, un gros con prétencelard qui s’imagine qu’il peut avoir le dessus systématiquement. Caché derrière un style controuvé (Céline te pisserait à la raie) qui cache quoi? Pas grand-chose, c’est tout le problème. mais ça se voit de plus en plus.

Widergänger dit: à

L’Entretien Infini (l’E.I.)

Olga dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 26 juillet 2014 à 22 h 42 min
Allez à la synagogue de Sarcelles. Ou à St Nicolas du Chardonnet.

Djedla a définitivement disjoncté.
Pauvre petite chose perdue.

Widergänger dit: à

ST dit: 26 juillet 2014 à 22 h 45 min
Expliquez-nous maintenant en quoi consiste la condition postmoderne… C’est ce que vous êtes en train de nous démontrer sans en avoir conscience à propos de Blanchot !?
________
Ah oui ?! Vous sortez ça d’où ?

Chaloux dit: à

demande toujours, mon gros, les traces de ce que j’affirme existent.

Blog de Clopine. »En tout cas, je me suis bien trompée sur Bouguereau. Je le croyais commentateur lucide et désabusé, façon Cavanna, utilisant un vocabulaire d’une crudité salvatrice. Ce n’était, en fait, qu’un sale petit trou du cul. »

Vas-y voir toi-même.

Miroir, mon beau miroir dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 22 h 50 min
Aucune dignité, aucune envergure

des journées entières dans les arbres dit: à

Olga dit: 26 juillet 2014 à 22 h 51 min

mais non olga.
Tu as un CV à me proposer ?

bouguereau dit: à

un gros con prétencelard qui s’imagine qu’il peut avoir le dessus systématiquement

l’avoir sur toi c’est pas la démonstration d’un système mon cheuloux..place mieux tes prétentions

Chaloux dit: à

Daaphnée remet Bouguereau à sa place… (Elle a pas besoin d’un gros con).

Daaphnée dit: 14 juillet 2014 à 18 h 04 min

dafnoz t’avait déjà préparé ta soupe..chte tiendrai les oreilles

Non, non, le Boug’, inutile. Avec U. nous savons jouer à deux ..

bouguereau dit: à

Blog de Clopine

mais tu penses que j’en ai été le premier informé et que t’en es été jaloux c’est drolatique mon cheuloux..sapré cheuloux

Chaloux dit: à

Moi

Chaloux dit: à

Je n’essaie pas d’avoir le dessus Microbout, je te révèle. On voit mieux maintenant quel vide te sert à jouer les mascottes (en fait les petits censeurs de merde), et ton courage, toujours appeler les autres à la rescousse, comme tu viens de le faire. Aucun courage, aucun répondant, un gros tas de mou qui se prend pour quelque chose.

bouguereau dit: à

ma parole mais c’est vrai qu’il a des pasts..mon dieu mais dfnoz me fume en effet.. »elle sait jouer avec zouz »..roo t’es un gros fino..
garde bien ça au chaud et le reste hin mon couillon? pour quand dafnoz reviendra..sinon gare ton cul hin mon cheuloux

ST dit: à

Cher Widergänger : vous vous sentez visé ?

Chaloux dit: à

Jaloux, Microbout. Tu crois que c’est la gloire… Mais je vais te dire une chose. Tu peux appeler la terre entière à la rescousse. Ton chantage à l’estime, je m’en fous éperdument. Je te lâcherai pas. C’est trop bon…

Edvige dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 22 h 53 min
demande toujours, mon gros, les traces de ce que j’affirme existent.
Blog de Clopine. »En tout cas, je me suis bien trompée sur Bouguereau. Je le croyais commentateur lucide et désabusé, façon Cavanna, utilisant un vocabulaire d’une crudité salvatrice. Ce n’était, en fait, qu’un sale petit trou du cul.

Thierry en tant que corbeau vous êtes écrasé.
Chaloux vous est incommensurablement supérieur.
Lui ne recule et ne reculera devant aucune indignité.
Je ne croyais pas cela possible.

Chaloux,
vous voulez l’adresse de la Kommandantur ?

Chaloux dit: à

Je ne révèle aucun secret, tout est public.

Edvige dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 23 h 02 min
Je ne révèle aucun secret, tout est public

Mais on s’en fout.
Tout est surtout enfoui dans ta tête et tes fiches de malade.
C’est au valium qu’il faut te traiter.

Widergänger dit: à

Blanchot prend pour la littérature ce que Mallarmé refuse pour la littérature : la transparence du signe, qui adhérerait à la chose, ce qu’il appelle le bavardage du journalisme, quand il écrit notamment dans La Part du Feu :

« Admettons que l’un des objets de la littérature soit de créer un langage et une œuvre où le mot mort soit vraiment mort, et le mot guerre vraiment la guerre. »

C’est une pensée de la littérature qui n’existe pas. La littérature a le projet rigoureusement inverse de celui-ci. Quand Voltaire dénonce la guerre dans Candide, le mot guerre ne se réduit pas à sa matérialité comme seul substitut du réel extra-linguistique ! Il est un signe qui dénonce une réalité.

bouguereau dit: à

Ce n’était, en fait, qu’un sale petit trou du cul

la gloire la gloire..mais ou tu vas mon cheuloux..c’est drôle..tu comprends ça? non toi tu fais rire a tes dépends..contre ton gré..sans génrosité aucune..un sale con avec ça..ha j’ai vu et je t’avoue que j’ai du y regarder à plusieurs fois..petit foireux

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 23 h 00 min

Du chantage, Microbout? Du chantage, je m’en fous. Tout ce que je peux te dire, c’est que je lis. Je te renvoie ce que je lis, ce qui n’est pas scandaleux. (avec Daaphnée qui te signifie qu’elle n’a pas besoin de toi, c’est clairement une ramasse, ou tu connais rien au filles). Je continuerai à te renvoyer tout ça dans la tronche.
Mais que tu en appelles aux autres prouve que ma méthode est la bonne. T’en mènes pas large. Tu peux affirmer le contraire. N’importe quel lecteur un peu fin le comprendrait.
En tout cas, ta bassesse, ta lourdeur, sont pour un excellent laboratoire.

Passons au sujet suivant dit: à

Bon, c’est réglé, Chaloux ne mattera personne ce soir.

Chaloux dit: à

Petit foireux, vaut mieux que vieux foireux qui appelle tout le monde à la rescousse… Tu m’offres encore une victoire symbolique. quand je te dis que tu n’es pas à la hauteur.

Miroir, mon beau miroir dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 23 h 07 min
En tout cas, ta bassesse, ta lourdeur, sont pour un excellent laboratoire

Yatil un médecin dans la salle dit: à

Il n’en peut plus le cheloux, pourvu qu’il ne nous fasse pas un AVC en pleine rdl.

bouguereau dit: à

Mais que tu en appelles aux autres prouve que ma méthode est la bonne

j’en appelle a eux dans la mesure ou ça te regarde..de ce droit que tu t’octroies sous prétexte du « public »..c’est pas une rescousse ça mon cheuloux..reste calme

Chaloux dit: à

Non, tout va bien. Nous sommes quatre derrière l’ordinateur, pliés en huit.
hahaha

Widergänger dit: à

Inversement, Blanchot a une conception du signe en littérature qui relève de la magie noire et plus seulement de la « sorcellerie évocatoire » d’un Théophile Gautier :

« Quand nous parlons, nous nous rendons maîtres des choses avec une facilité qui nous satisfait. Je dis : cette femme, et immédiatement je dispose d’elle.  » (P.F., p. 325)

C’est aberrant ! Il est satisfait à bon compte… Je ne dispose pas d’elle, justement, et c’est là tout le drame de Baudelaire avec « Une passante » !

Blanchot écrit n’importe quoi ! Qu’on voie encore là l’un des grands penseurs de la littérature a je ne sais quoi de profondément affligeant !

Chaloux dit: à

Mais Microbout, je cite ce qu’on dit de toi, je cite ce qu’on té répond… On l’a dit et on t’a répondu. A Daaphnée je pense que tu fais pitié, elle ne te fera pas de mal. Elle te n’en a pas moins remis à ta place.

Yatil un médecin dans la salle dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 23 h 14 min
Non, tout va bien. Nous sommes quatre derrière l’ordinateur, pliés en huit.

Ouf, je suis rassuré, son psychiatre est avec lui.

Chaloux dit: à

Microbout, je maintiens que tu appelles les autres à la rescousse. C’est toi qui a commencé et tu es incapable soit d’arrêter soit d’assumer. Tout ça c’est uniquement ton problème…
CQFD.

bouguereau dit: à

Tu m’offres encore une victoire symbolique. quand je te dis que tu n’es pas à la hauteur.

et puis j’ai l’impression que tu ne tiens pas que mes posts en past mais tout un tas de vannes de fin de veillée scout..quelle mécanique..on entends comme des rouages d’un autre temps

bouguereau dit: à

tu es incapable soit d’arrêter soit d’assumer. Tout ça c’est uniquement ton problème…
CQFD

t’as une clef dans le dos là dis..

Chaloux dit: à

Tes trucs, Microbout, c’est toujours à côté. Tu insultes et ensuite tu n’es pas capable de répondre. Avec toi aussi, ça sonne autre temps, RDA, Guepeou, vieille épave tu en as tout l’attirail.

Edvige dit: à

Avant Chaloux espèrait matter seul, face à ses échecs il en appelle aux mattages supposés d’autrui.
Encore un degré de descendu dans l’indignité.

Chaloux dit: à

Edvige dit: 26 juillet 2014 à 23 h 20 min
Très intéressant, cela signifie en gros que tout lecteur est indigne. Jusqu’où peut aller la rhétorique de cette pourriture, j’en suis curieux. (Là, on est au cœur de la littérature, mais qui ici serait suffisamment fin pour s’en apercevoir?)

Les commodes XVIIIème mènent à tout, même au pire dit: à

Et voilà, Michel qui s’obstinait à faire littérature a abandonné, ne reste plus que l’excité du bocal et ses vieux copier/coller.

bouguereau dit: à

(Là, on est au cœur de la littérature, mais qui ici serait suffisamment fin pour s’en apercevoir?)

(rooo sapré cheuloux)

bérénice dit: à

CONFLIT ISRAÉLO-ARABE
(repères chronologiques)

29 novembre 1947 Le plan de partage de l’O.N.U. prévoit la création de deux États, l’un juif, l’autre arabe, et d’une zone sous contrôle international (résolution 181).

Mai 1948-juillet 1949 Proclamation de l’État d’Israël par Ben Gourion (le 14 mai) à l’échéance du mandat britannique sur la Palestine. Première guerre israélo-arabe déclenchée (le 15 mai) par les pays arabes hostiles au plan de partage. Elle tourne à l’avantage d’Israël qui agrandit son territoire et expulse environ 700 000 Palestiniens.

Avril 1950 La Transjordanie prend le contrôle de la Cisjordanie.

Octobre-novembre 1956 L’opération israélo-anglo-française, en réaction à la nationalisation du canal de Suez par l’Égypte de Nasser, est arrêtée sous la pression de Washington et de Moscou.

Mai 1964 Création de l’Organisation de libération de la Palestine (O.L.P.) dont Yasser Arafat deviendra président en février 1969.

5-10 juin 1967 Guerre de Six Jours : Israël occupe la Cisjordanie, Gaza et Jérusalem-Est, le Sinaï égyptien et le Golan syrien. La colonisation israélienne débute aussitôt.

22 novembre 1967 L’O.N.U. exige la libération « des » ou « de » territoires occupés (« from territories occupied ») par Israël en échange de la reconnaissance de la souveraineté de tous les États de la région (résolution 242).

Septembre 1970 L’O.L.P. est expulsée de Jordanie à l’issue des événements du Septembre noir, et trouve refuge au Liban.

6-25 octobre 1973 Guerre du Kippour lancée par les pays arabes contre Israël, qui mène une contre-offensive victorieuse. À l’O.N.U., Washington et Moscou appellent les belligérants à des négociations « en vue d’établir une paix juste et durable » (résolution 338 du 22 octobre).

26-28 novembre 1973 Reconnaissance de l’O.L.P. comme « seul représentant du peuple palestinien » au sommet arabe d’Alger.

Novembre 1974 L’O.N.U. accorde à l’O.L.P. le statut d’observateur permanent et reconnaît le droit des Palestiniens à la souveraineté et à l’indépendance.

26 mars 1979 Signature d’un traité de paix entre Israël et l’Égypte, fruit des accords de Camp David (septembre 1978).

6 juin 1982 Offensive israélienne au Liban en riposte aux attaques de l’O.L.P., qui doit quitter Beyrouth pour Tunis en septembre.

16-17 septembre 1982 Massacre de la population palestinienne des camps de Sabra et Chatila, à Beyrouth, par les milices chrétiennes que l’armée israélienne laisse agir.

Décembre 1987 Début de la première intifada (« soulèvement ») dans les territoires occupés.

13 septembre 1993 Après la conférence de paix israélo-arabe de Madrid (octobre 1991) et la reconnaissance mutuelle d’Israël et de l’O.L.P. (9-10 septembre 1993), signature des accords de Washington, qui prévoient notamment l’instauration d’une autorité palestinienne intérimaire autonome. Son application traîne en longueur et n’aboutit pas à l’accord de paix global prévu.

Octobre 1994 Itzhak Rabin, Shimon Peres et Yasser Arafat reçoivent conjointement le prix Nobel de la paix (le 14). Signature du traité de paix entre Israël et la Jordanie (le 26).

28 septembre 2000 Début de la seconde intifada.

Décembre 2001-mai 2002 Après une forte recrudescence des violences israélo-palestiniennes, Yasser Arafat est confiné par l’armée israélienne dans les locaux de l’Autorité palestinienne à Ramallah.

16 juin 2002 Début de la construction, par Israël, d’une « barrière de séparation » entre la Cisjordanie et le reste du territoire.

17 mai 2003 Rencontre entre les Premiers ministres israélien et palestinien concernant la mise en œuvre de la « feuille de route », document élaboré par le « quartet » pour le Proche-Orient (États-Unis, U.E., O.N.U., Russie), qui doit conduire à la création d’un État palestinien d’ici à 2005.

Février 2004 Adoption, par le gouvernement israélien, du plan de retrait unilatéral de Gaza.

11 novembre 2004 Mort de Yasser Arafat. Mahmoud Abbas lui succède à la présidence de l’Autorité palestinienne le 9 janvier 2005.

12 septembre 2005 Fin de l’évacuation des colonies juives de Gaza.

25 janvier 2006 Victoire du mouvement islamiste Hamas aux élections législatives palestiniennes.

27 novembre 2007 Sommet d’Annapolis (Maryland) consacré à la relance du processus de paix interrompu depuis plusieurs années. À l’initiative de George W. Bush, il réunit le Premier ministre israélien Ehoud Olmert, le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas et les représentants de trente-huit pays.

27 décembre 2008-17 janvier 2009 Tsahal mène l’opération Plomb durci dans la bande de Gaza, en réponse aux tirs de roquettes palestiniennes sur Israël, dans le but d’affaiblir l’infrastructure militaire et politique du Hamas.

Septembre-octobre 2010 Après vingt mois d’interruption, reprise des négociations de paix directes entre Israéliens et Palestiniens, le 2 septembre ; elles échouent un mois plus tard, après le refus d’Israël de proroger son moratoire sur la colonisation en Cisjordanie qui est arrivé à échéance à la fin de septembre.

Christophe PÉRY

Chaloux dit: à

C’est trop tard, maintenant, Bouguereau, j’irai jusqu’au bout, dussé-je « perdre l’estime » de ceux que j’estime. Il y a là un enjeu qui n’est ni toi ni moi. C’est ce que tu ne vois pas, et que je vois…
Va dodo, mon vieux, tu vas nous faire un ictère biéro-charcutier.

rose dit: à

Cassiopée dit: 26 juillet 2014 à 21 h 37 min

je suis, las, trop d’accord avec vous : et cela se terminera comme entre le Tigre et l’Euphrate.
Des champs de ruines.
Plus loin, des pierres de réemploi pour d’autres bâtis.
Mais le sang des morts ne nourrit pas la terre.

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 23 h 25 min

Ben oui, Microbout, depuis le temps que je te dis que tu n’es pas au niveau…

Chaloux dit: à

Toujours à causer « littérature » mais vous n’en voyez pas grand-chose, bande de noeuds-noeuds…

bouguereau dit: à

C’est trop tard, maintenant, Bouguereau, j’irai jusqu’au bout

bien mon cheuloux on sent la détermination du franc connard qui va faire des trucs qu’il regrette déjà mais va va mon cheuloux

des journées entières dans les arbres dit: à

« C’est ce que tu ne vois pas, et que je vois… »
encore un concurrent déloyal de madame Irma, le chaloux.
C’est ésotérique ?

Isoplèthe dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 23 h 27 min
depuis le temps que je te dis que tu n’es pas au niveau

Le niveau de Chaloux étant l’indignité (si j’ai bien compris) il semble réjouissant pour bouguereau de ne pas l’atteindre.

Chaloux dit: à

Microbout, si tu veux, toutes les insultes que tu pourras. Je continuerai de te lire, de te citer, ce qui n’est pas scandaleux. Faudrait-il ne pas te lire. Ou existe-t-il à ton endroit (si tu en as un, ce dont je doute) un oukase qui interdise de te citer et d’essayer de comprendre ce que tu dis vraiment. Je ne regretterai rien. Tes posts sont publics.

rose dit: à

> Widergänger

j’admire votre ténacité dans la barcasse où nous sommes (pour ne pas dire galère). Vous avez bien du mérite.

> bouguereau et chaloux je ne sais pas à quoi vous jouez mais ce qui est net c’est que vous y jouez. Je vais vous mettre une gigue* irlandaise : férocement gaie, absolument nostalgique : vous comprendrez tout net le chaud et le froid, l’affreux et l’admirable, le brûlé et le pas cuit (pas la peine de vous casser la tête).

http://www.albumtrad.com/fr/in-between/00758-exile.xhtml

The fairest rose tu pleures le gigodon qui suit tu danses and so on and that’s all.

Bonnes vacances,

ah comme j’aime l’Irlande !

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 23 h 30 min

C’est trop tard, maintenant, Bouguereau, j’irai jusqu’au bout

« on sent la détermination du franc connard qui va faire des trucs qu’il regrette déjà »

Une autre forme de chantage. Microbout, tu fais preuve d’une véritable expertise en la matière.

Isohipse dit: à

Chaloux atteint des niveaux d’imbécillité crasse encore inconnus à ce jour.

bérénice dit: à

Je ne comprends pas trop cet acharnement entre Chaloux et Bouguereau, si vous avez des comptes à régler pourquoi ne pas tenter de le faire ailleurs ou bien Est-ce que l’exposition vous est curative?

Chaloux dit: à

Microbout est parti faire dodo.
(Comme on voit, je ne réponds plus aux gribouilles de service. nuls et non avenus. Surtout nuls).

rose dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 23 h 25 min

(Là, on est au cœur de la littérature, mais qui ici serait suffisamment fin pour s’en apercevoir?)

pour moi itou j’étais en plein dans le sujet l’autre soir (matin)sur le lecteur du numérique est il superficiel (je suis passé d’un sujet à l’autre en sautillant comme d’hab. : était-ce une lecture superficielle ou pas à vous de voir), & personne ne s’en est rendu compte et puis personne n’en est mort : on s’en fout.

bouguereau dit: à

Tes posts sont publics

tout a fait mon cheuloux compile compile et fais rire tes trois qui font quatre avec toi derrière ton écran dis leur que je m’escuse pour toi de te les faire chier ainsi les pauvres gens sans rescousse..dis leur que je suis là et que je les comprends..je les vois..si si je les vois..ha les pauvres
..compile

des journées entières dans les arbres dit: à

Widergänger dit: 26 juillet 2014 à 21 h 28 min
Politiquement, Blanchot n’aura jamais été qu’un pauvre homme.

C’est une bonne conclusion.
Philosophiquement, quand je relis ML et sa ferveur d’étudiant cagneux, quelques posts plus tôt, je me dis que ça fait un peu « crépuscule des idoles ».
Comme dit Nabila, si t’as pas de shampoing…

rdlien voulant garder un esprit clair dit: à

Chaloux + rose,
deux raisons pour passer à la lecture.

rose dit: à

moi non plus je ne comprends pas cet acharnement et je pose la question : est-ce bien nécessaire ?

Je sais parfaitement bien que j’ai été prise pour une parfaite imbécile et me le dire ne résoudra rien.

bouguereau dit: à

ha t’es une fine mouche rose..rien ne t’échappe je le vois aussi..je le vois

Chaloux dit: à

Bérénice, c’est un archarnement rhétorique, encore que bouguereau-Microbout s’y montre particulièrement médiocre. Presque toute la littérature consiste en cet acharnement rhétorique. Sans lui, pas d’écrivains. C’est une leçon de choses…

Chaloux dit: à

Rose, je vous trouve parfois un peu étrange mais je ne vous prends pas pour une imbécile.

bouguereau dit: à

et toi des journée arrête de prendre dracul a la rescousse..sans lui tu srais dans l’cac..je le vois

Tout le monde un jour ..... dit: à

Chaloux dit: 26 juillet 2014 à 23 h 45 min
Rose, je vous trouve parfois un peu étrange mais je ne vous prends pas pour une imbécile.

Profitez-en rose, ça ne va pas durer.

bouguereau dit: à

Presque toute la littérature consiste en cet acharnement rhétorique

« en somme je la résume » sapré cheuloux

Chaloux dit: à

Microbout, c’est tout simple. Tu portes un masque (ton style sous-célinien sans talent). Ce que tu dis est toujours crypté, quand ce n’est pas insignifiant ce qui est presque toujours le cas. Je commence à voir ce qu’il y a sous ton masque, et tes méthodes, chantage (là bravo, si tu ne regrettes rien de ton côté…) insultes, incapacité de voir ce que tu écris ou ce qu’on écrit de toi en face, tout cela révèle un personnage monstrueux. Les monstres rhétoriques m’intéressent et c’est pourquoi je ne te lâcherai pas.

Itinéraire d'Hölderlin dit: à

L’insurgé du jour parle de l’insulaire d’un temps … Comme c’est commode de ne parler pas de poésie ; vacations perpétuelles
[tendance: Gas, by Hopper]

bérénice dit: à

peut-être cependant votre rhétorique devient particulièrement lourde et désagréable. Difficile de vous départager.

rose dit: à

rdlien voulant garder un esprit clair dit: 26 juillet 2014 à 23 h 43 min

Chaloux + rose,
deux raisons pour passer à la lecture

J’en suis ravie : persévérez ; j’ai tout gagné !

Passer pour une imbécile, peu me chaut ; mais ne plus voir les boutons d’or cela me désespère.

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 23 h 50 min

Ben oui, Microbout, toute littérature est un affrontement rhétorique. Electre, c’est un affrontement, le Cid. Et Proust qui affronte la rhétorique d’un monde qu’il laisse moribond derrière lui. Et chez Céline, est-ce qu’il n’y a pas affrontement. A la fin de tout livre, il y a un mort : ce que l’écrivain a affronté avec le langage… Microbout, t’as vraiment pas inventé la poudre.

rose dit: à

Ah, seul importe ce qui dure !

oui : impossible à départager. Résultat : deux partout la balle au centre.

bouguereau dit: à

..sans talent..monstrueux..ce que tu vois est trés normal c’est ta manière de le dire qui est controuvée..sais tu que les bègues ne bégaient pas dans leur tête mon cheuloux

bouguereau dit: à

me comparer a tes théories mon cheuloux mais c’est comment dire..déplacé ? ou sinon elle te serve a faire les cuivres mon cheuloux..ça me gêne

Chaloux dit: à

Je ne te compare pas Microbout. je sais que tu ne pèses pas plus que ton gras, je n’arrête pas de te le dire. Mais tu connais, microcosme-macrocosme…

Le psychiatre de Chaloux dit: à

Chers erdéliens,
soyez assurés que moi et mes deux assistants mettons tout en oeuvre pour calmer Monsieur Chaloux.
Une troisième piqure de valium vient de lui être administrée et je pense que celle-ci lui permettra de sortir de cette crise particulièrement aiguë.
En espérant que cette dure épreuve ne se renouvellera pas chaque soir, nous vous souhaitons, chers erdéliens, une très bonne nuit.

Chaloux dit: à

« Controuvé », tu copies. Tu copies toujours une remarque qu’on t’a faite. C’est curieux.

rose dit: à

J’aime bien l’idée de l’affrontement de la rhétorique littéraire, de la joute verbale, du combat singulier. Donc vous faites une démonstration ?

Je ne crois pas du tout au personnage monstrueux mais alors pas du tout. Et vous bérénice ?

Si vous voulez me dire n’ayez pas de chagrin je n’en vaut pas la peine, j’en ai, épicémarre ; pck je pourrai plus jouer avec vous de longtemps, vous trouver là qu’il vente ou qu’il neige de longtemps.

rose dit: à

je n’en vaux

bouguereau dit: à

Les monstres rhétoriques m’intéressent

tes andouillettes sont controuvé mon cheuloux..

des journées entières dans les arbres dit: à

ML, comment en quelques heures êtes-vous passé de cette candeur:

« Maurice Blanchot, c’est toute ma jeunesse. Pour mes copains de khâgne et moi, dans le milieu des années 70, c’était notre dieu. Une posture un peu ridicule aujourd’hui évidemment, et qui me fait sourire. Nos professeurs y puisaient parfois aussi leurs sujets de dissertation. »

à

« Inversement, Blanchot a une conception du signe en littérature qui relève de la magie noire et plus seulement de la « sorcellerie évocatoire » d’un Théophile Gautier  »
ou encore:
« Sa façon de travailler aussi est absurde chez Blanchot.
Il est dans son coin solitaire à prétendre penser la littérature. »

Les 5ème de transition, comme bouguereau en régression, vont pas comprendre.

Mais si vous aviez dit, comme moi, dès le début: imposture intellectuelle, tout de suite c’aurait été plus clair, non ?

rose dit: à

bouguereau dit: 26 juillet 2014 à 23 h 57 min

mais qui est juge du talent si ce n’est le lecteur ?

rose dit: à

je ne comprends pas ce mot « controuvé » : qui le traduit ?

irma dit: à

Blog de Clopine. »En tout cas, je me suis bien trompée sur Bouguereau. Je le croyais commentateur lucide et désabusé, façon Cavanna, utilisant un vocabulaire d’une crudité salvatrice. Ce n’était, en fait, qu’un sale petit trou du cul. »
il ne faut jamais oublier que Clopine envoie sans cesse des message subliminaux particulièrement ….

Chaloux dit: à

Oui Rose, il n’y a pas de littérature sans l’expression d’un désaccord. C’est en grande partie la singularité du combat (et de l’enquête, car il faut doubler le combat d’une enquête) qui départage les écrivains.

rose dit: à

l’imposture intellectuelle c’est encore une posture : savante. Fallait y penser.

bouguereau dit: à

Donc vous faites une démonstration ?

il faut croire..et je n’en suis pas trés fier rose

rose dit: à

Que voulez-vous dire ? Que Clopine a raison dans le jugement porté ?

bouguereau dit: à

il n’y a pas de littérature sans l’expression d’un désaccord

ce n’est pas de la litterature rose..et si au moins c’était drôle

rose dit: à

ok : j’accepte vos excuses envers moi.

Vous avez encore beaucoup de linge sale à laver ?

ST dit: à

Oui, c’est un peu comme ces avocats qui plaident contre leurs clients, à force de ne pas très bien savoir. On appelle ça « confusionnisme ». Bouguereau va apprendre un mot nouveau !

rose dit: à

qu’est ce que c’est si ce n’est pas de la littérature ?

bouguereau dit: à

Que Clopine a raison dans le jugement porté ?

disons que c’est « un moment »..c’est ce qui fait son extraordianire vivacité..au trou du cul..sinon, rose, c’est une tuerie

Chaloux dit: à

bouguereau
ce n’est pas de la litterature rose..

Qu’en sait-il?

bouguereau dit: à

qu’est ce que c’est si ce n’est pas de la littérature ?

depuis le moment ou cheuloux prétend que ça peut en être..c’est une tuerie..un troudbal de veau mort comme lui

Chaloux dit: à

Microbout, tu « images » mais tu ne sais pas répondre.
Prends des forces pour demain!

bouguereau dit: à

« confusionnisme ». Bouguereau va apprendre un mot nouveau

confusionnisme, c’est répertorié en sicanalise, en droit j’ignorais

des journées entières dans les arbres dit: à

accessible.

bouguereau dit: à

Prends des forces pour demain!

hof argumenter sur tes folles prétentions mais c’est peine perdue..mais t’es moulu mon cheuloux

rose dit: à

ça veut dire quoi c’est une tuerie ?

rose dit: à

quelles sont tes folles prétentions ?

Chaloux dit: à

Microbout, j’aime bien la façon dont tu affectes de retomber sur tes pieds (si tu as des pieds). Un truc qui fait partie de tes mécanismes de défense. Mais ça se décrypte aussi assez facilement.
J’aime bien aussi ton côté calomnieux. Ton milieu, sans doute. Mais ça ne me fera pas lâcher… Peine perdue.

Chaloux dit: à

Sans compter que j’argumente surtout sur TES folles prétentions à juger de tout…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…toute la journée c’est du  » gros  » intestin,…en Fin,…de soirée,…
…encore un rien, d’intestin  » grêle « ,…

…oui, des visites  » inno-pinée « , Ya-sainte « ,…Chantal,!…enfin,…des gens qui en on de la culture-maraîchère,…

…j’ai tout perdu aussi,…le bonheur,!…des utopies,…sergent Garcia, avec Zorro,…
…chacun son niveau,…dans un monde  » Psy’s « ,…je vous comprend,…c’est bien, çà ira mieux,…( pourvu queue çà dure,…),…
…c’est autant,…( putains!),…revenez plus souvent,…encore vos délires subséquents à géométries variables à dresser aux mieux,…
…vous ramener à la vie !,..Oui, bien attachez les wagons,…pour suivre la locomotive dans les tunnels ,! des cheminées,…à la rencontre des Saintes-Nicole,…des Hauts-Bois,…
…bien vous adapter aux rythmes dans votre convalescence, répétez,…Escort-Girl,…encore une fois, Oui,! faite vibrer la clochette vite,! maintenant,!,…dring!,…dring,…

…vous voyez que vous pouvez y arriver!,…

…il vous essaie de force, déjà,…mais Non,…il sait déjà faire dring !, dring,!,…tout seul,!…avec la main,…

…de là, à amarrer le fourgon-postal,…c’est pas encore la pleine-lune!,…
…vous , nous laisser continuer sa médication,…un rien, peut nous mettre très en retard,…fermer bien à clés , j’ai un double!,…
…nous continuons,…avec les mains-propres,…Non pas çà,…pas toucher aux  » Grysbis « ,…

…enfin, laissez vous faire,…personne ne nous voient!,…y pas de caméra-cachés!,…rien, juste toi & moi!,…Oh!,…vous avez fait  » putains « ,…comme tout le monde à ses heures,…pour clôturer les dossiers,!…
…vous en avez encore pour longtemps,!…

…arrêtez,…ou je vous programme avec des  » professionnelles « ,…laissez-vous faire,…
…un petit moment difficile à passer!,…
…Non, ne dites plus rien vingt minutes!,…
…enfin la paix, soit avec vous,!…
…tant queue cela,…c’est du propre!,…
…notez bien, queue je m’en doutait un peu,…
…ne vous crispé pas, faite comme si de rien était,…c’est çà!,…une première leçon d’introduction à répétez illico plus d’Office Ciné-qua-nonne,…

…vous signez, ici,…bien reçu,!,…combien,!…vous laissez au porteur,…un billet d’échange comme une lettre à la poste!,…Oui!,…vous êtes choux!,…vous vous sentez plus léger,plus libre & morale-bio,!…

…si, c’est pas  » Psy’s « ,…Putains autant y allez voir de plus près,!…question de choix pour un champion,!…

…les études,…pour bien se gonfler les bourses sous pressurisation,…les avions aux porteurs,…l’emploie fictif bien réel,…donner aux pauvres-d’esprits sous la contrainte motus & bouches-cousues,!…

…suivante,…aux presse-bitter’s of course,!…de la caverne profonde, tout ce foin d’écrits aux feux des silex cogner à flammes!,…
…le tempérament,…déjà à revendre!,…etc!,…

…Soeur Ô’Live,…éteignez votre portable,…etc!,…les hommes – oiseaux,…par la mort alléchées,!…Ah,…
…encore,!…

Widergänger dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 27 juillet 2014 à 0 h 05 min

Il ne s’agit pas dénoncer une imposture intellectuelle !

Dans ma jeunesse, j’étais jeune… et innocent. Je n’avais pas les outils intellectuels de la maturité. On est enthousiaste facilement quand on a dix-huit ou vingt ans.

Par ailleurs, je ne porterai pas le même jugement sur L’Espace littéraire et Le Livre à venir que sur l’E.I., qui date de 69 et qui est faible.

Blanchot entre dans son purgatoire. Je trouve ça très bien. On le lit aujourd’hui avec beaucoup moins de révérence qu’autrefois. Il faut entendre ce qu’en dit dit Derrida, citant l’E.I. ! C’est assez affligeant d’entendre Derrida dire une telle somme de mensonges, d’idioties qui montrent qu’en réalité lui non plus, à cette époque-là du moins, ne l’avait pas lu avec une attention soutenu et profonde, c’est évident.

On va disséquer son œuvre. On va découvrir qu’elle est faite comme toutes les œuvres d’un bric à brac de beaucoup de choses très diverses, plus ou moins mal comprises ou réinterprétées par lui. Il en résultera inévitablement beaucoup de déchets, les rebuts de l’histoire, tous les mensonges, les idioties de l’œuvre. Mais il en résultera aussi un noyau dur, un soleil noir qui restera à tout jamais dans le ciel de la littérature.

Quand j’étais jeune en khâgne, je ne connaissais que les deux œuvres qui dureront, L’Espace littéraire, Le Livre à venir. Je n’avais pas tort de les aimer alors. Je les aimerais désormais mais avec plus de circonspection, en connaissance de cause, pour ce qu’elle peuvent encore aujourd’hui m’apporter, mais avec la distance critique de l’âge mûr.

bouguereau dit: à

J’aime bien aussi ton côté calomnieux. Ton milieu, sans doute

du lard du cochon de la menace et du monstrueux et rien que du banal..baltringue ça te va bien..pour ce qui est de lacher c’est samdi mon cheuloux l’heure des sorties..hurkurkurkurk

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 27 juillet 2014 à 0 h 11 min
c’est une tuerie

Microbout, est-ce que ça signifie que tu crains de mourir si tu te regardes en face?

bouguereau dit: à

ça veut dire quoi c’est une tuerie ?

qu’on me donne un rencart de merde..on devait me prende..et non rose..le volant c’est pas bon

Chaloux dit: à

Tu images, tu juges, et tu ne sais pas répondre. Tout ce que tu écris appelles le jugement d’un tiers mais ne se tient jamais dans le combat. Tu en es incapable. Vraiment une moule…

rose dit: à

j’ai mon point de vue là-dessus.

J’attends tes réponses : a priori pas facile : mais je l’ai vécu donc peux le comprendre.

bouguereau dit: à

tu crains de mourir si tu te regardes en face?

normal mon cheuloux tu te fais des idées..si si je t’assure..

renato dit: à

Finalement Blanchot c’est une gloire inventée de toutes pièces… il fait du bricolage sans l’intelligence du bricoleur…

Chaloux dit: à

Aucune idée, j’essaie de comprendre ce que tu veux dire.
Quant à ton milieu, ta rhétorique le désigne évidemment. On ne trouverait pas ça ailleurs.

bouguereau dit: à

mais ne se tient jamais dans le combat

ou tu vas mon cheuloux..de taille au niveau à la hauteur c’est tes singeries que tu copies..des nanars de jeux vidéo des 80’s..rooo

Chaloux dit: à

Microbout, on n’a vraiment pas les même références. Jeux video : les tiennes, sans doute…

Widergänger dit: à

Ce qui fait l’intérêt de Blanchot, comme être humain, c’est son parcours de vie, la grisaille qui le définit et qui définit avec lui, comme pour tant d’autres, l’ambiguïté profonde du XXè siècle français. C’est pour ma part la leçon de vie que je retire de la vie de Blanchot. Quelqu’un aussi qui vit dans les illusions, les leurres politiques sur lesquels on ne se penche pas assez pour comprendre le sens de tous ces revirements si bizarres, si délirants. Il y a un délire politique de Blanchot qui n’a pas encore reçu son interprétation. Le délire sans doute d’une époque qui a cru pouvoir changer l’homme. Il était habité par la même folie que tous les totalitarismes du XXè siècle, tout en étant contre le pouvoir totalitaire par principe.

Blanchot n’est pas un homme qui me touche mais c’est un homme qui me fait pitié. Il semble venir de l’enfer qu’a dû être le XXè siècle.

Chaloux dit: à

Tu tiens tout entier dans l’étroitesse et la pauvreté de tes réponses. En fait, tu n’as pas grand-chose dans le cigare.

bouguereau dit: à

Quant à ton milieu, ta rhétorique le désigne évidemment

roo on dirait un concierge..sapré cheuloux

bouguereau dit: à

renouvelle un peu merde..monstre et andouillette c’était mieux..t’ennuie grave cheuloux

Chaloux dit: à

Non Microbout, mais c’est évident en te lisant. Tes procédés sont ce qu’ils sont et c’est toi qui les emploies…Je n’y peux rien.

rose dit: à

une – compétente – m’a dit d’un traitement c’est une arme nucléaire. Oui mais il soigne. Donc tu vis.
Rien d’autre ne compte que cela.

Je ne t’en veux sur rien.
C’est clair et net.
Fais ce que tu penses bien pour toi.

Salut,

Chaloux dit: à

bouguereau, tu es vraiment un pauvre type. tes réponses sont tellement pauvres et prévisibles… que c’est vrai que ne n’est plus drôle.
A la niche!

bouguereau dit: à

Tes procédés sont ce qu’ils sont et c’est toi qui les emploies

ma mère de ma mère..un genre boysband mon cheuloux

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