de Pierre Assouline

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La République des livres
Michel Houellebecq piégé par lui-même

Michel Houellebecq piégé par lui-même

Le plus pathétique dans la déchéance d’un écrivain français mondialement célébré, c’est sa capacité d’autodestruction. Et comme son ascension relevait déjà du spectacle, sa chute se devait d’être publique. Michel Houellebecq nous y convie ces jours-ci en publiant Quelques mois dans ma vie. Octobre 2022-Mars 2023 (102 pages, 12,80 euros, Flammarion). Un texte  de circonstance lié à l’actualité qui ne relève d’aucun genre littéraire à supposer qu’il entretienne un quelconque rapport avec la littérature, dépourvu du moindre esprit d’analyse. Ou plutôt deux textes bien distincts qui manifestement ne concernent que lui. Que leur écriture obéisse à une nécessité intérieure, cela parait évident ; mais pourquoi a-t-il cru bon pour nous en faire part, cela demeure un mystère ; au moins n’a-t-il pas imposé à son éditeur de les mettre sur le marché, comme ce fut le cas pour le précédent Anéantir, dans une édition reliée façon Pléiade-du-pauvre.

Le premier est relatif à son vieux contentieux avec les musulmans. Ce qui nous vaut un rappel historique de son entretien dans Lire dans lequel il dénonçait dans l’islam « la religion la plus con au monde » (et au passage, il m’égratigne à nouveau à plusieurs reprises, cela en devient répétitif et lassant, on devrait lui fournir de nouveaux boucs-émissaires, ou tout au moins lui assurer que non, décidément, je ne le « hais » pas, ni lui ni personne). Il qualifie cela de « querelles » et de « chamailleries » qui ont partie liée avec la « bêtise », la sienne ainsi qu’il le reconnait. Car longtemps après l’entretien accordé à Lire, pour lequel il s’en veut de ne pas l’avoir relu, il y a eu celui beaucoup plus long et approfondi avec Michel Onfray pour le hors-série de la revue Front Populaire.

Une récidive appuyée. Le contenu déplut fortement, une action en justice fut lancée par les mosquées et une fois de plus, Houellebecq se dégonfla, ce dont Onfray fit les frais. Dans le livre, l’écrivain y revient, cite les passages incriminés, les reprend en les amendant afin de proposer une version remasterisée de sa pensée sur la question qui ne vexe personne. Il présente platement ses excuses et assure que lorsqu’il amalgamait l’ensemble des Français musulmans à des voleurs, des délinquants et des criminels étrangers, en fait il pensait exactement le contraire. Un entretien qu’il avait pourtant relu et validé avant publication. Ce qui ne l’a pas empêché une fois de plus de se défausser avant de se renier. Comment peut-on à ce point se payer la tête de ses lecteurs ?

Quant au second texte, il retrace les aventures de Michel et de madame chez les pornocrates bataves. Il avait accepté la proposition d’un cinéaste d’y aller troncher (c’est bien de cela qu’il s’agit pour reprendre ses figures de style ) et de s’y faire sucer (idem) par des groupies de son œuvre et de sa personne, avec la participation de son épouse. Au passage, Picasso est traité de « crétin ithyphallique », ce qui ne manque pas de sel sous la plume d’un écrivain qui ne cesse de nous entretenir, et une fois de plus dans ces pages, de l’état de sa bite face à un clitoris solliciteur, le tout avec la grâce d’un apprenti-boucher décrivant le moelleux de sa langue de bœuf. Il a même signé un contrat avec le réalisateur l’autorisant à exploiter l’amplitude de ses érections. Jusqu’à ce qu’il se rende compte du pétrin dans lequel il s’était fourré en acceptant le rôle principal de Kirac 27. Il tenta de le faire interdire par voie de justice, en vain.

Bien sûr, Sade est cité ainsi que Philippe Muray, Maurice Dantec, Valérie Solanas, David Pujadas, Agrippa d’Aubigné, Rimbaud, Lamartine, Raphaël Enthoven, Kafka, Thomas Mann, Theodor Fontane, Balzac, Lermontov (ne manque Bruno Le Maire), quelques mots chacun on se demande bien pourquoi. Les seuls intellectuels dont la présence se justifie dans cette rafle sont Gérard Depardieu et BHL. Normal : ce sont, si l’on comprend bien, les deux seuls amis qui lui restent. Il est inutile d’aller y chercher le souci de provoquer : il y est on ne peut plus sérieux, s’exprimant continûment au premier degré, l’ennui succédant à sa verve comique, toujours aussi ambigu et double jeu, païen et catholique à la fois.

« Pour la première fois dans ma vie je me sentis traité, absolument, comme l’objet d’un documentaire animalier ; il m’est difficile d’oublier ce moment » lit-on en tout et pour tout sur la quatrième de couverture.

Il animalise ses ennemis suivant les pires traditions de certains polémistes de l’entre-deux-guerres (en 1939, suite au décret-loi Marchandeau, Robert Brasillach remplaça « juifs » par « singes » dans ses articles etc) ; sous la plume de Houellebecq, l’équipe de cinéastes hollandais n’est plus que le Cafard, la Vachasse, la Truie, la Vipère, la Dinde. Et dire que, récemment dans une émission de France-Culture consacré à son livre, il s’est trouvé deux critiques et écrivains pour y déceler l’un une œuvre pétrie de transcendance et l’autre l’héritage satiriste d’Esope ! (sic) alors que son intention, au-delà du comique, est avant tout de dégrader et d’avilir les personnages visés. Cela dit, ce même tandem a réussi à dresser une analogie avec Dante au motif que Houellebecq, lui aussi, erra dans ses ténèbres intérieurs…

Il se croit cerné par des ennemis là où il n’y a que des critiques, trahi par ses amis et traqué par les biographes, ces hyènes dactylographes qui lui veulent tant de mal. La réalité est plus triste : les états d’âme de Michel Houellebecq et sa vision du monde, aujourd’hui, laissent indifférents. Son système a fait long feu. Le personnage qu’il s’est fabriqué ne trompe plus grand monde. A force de tirer sur le masque, il l’a fait tomber. Son livre, survendu comme de juste à sa sortie, galopera un peu en tête des listes mais ne fera pas scandale. Avec les musulmans comme avec les pornocrates, il s’est piégé sans l’aide de personne. Alors, tout ça pour ça ?

(Photos Philippe Matsas et Schutterstock )

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

1 180 Réponses pour Michel Houellebecq piégé par lui-même

Pablo75 dit: à

« ce que les blancs ont fait aux noirs »
Et ce que les Arabes ont fait aux noirs, Bloom…
Jazzi dit:

Et ce que les Cro-Magnons ont fait aux Néandertaliens.

Et ce que Ève a fait à Adam.

Et ce que le Big Bang a fait aux atomes.

Et ce que Dieu a fait à l’univers dans le Big Bang…

Bill Evola dit: à

Et ces franchouillards colonialistes de l’ Algérie ad vitam æternam!
Battre sa coulpe maintenant et tout le temps.

Bill Evola dit: à

Bloom, plénipotentiaire en Algérie, il se fera jeter comme une vieille chaussette néo colonialiste!
Culture colonisatrice, Bloom the first!

Bloom dit: à

Et ce que les Arabes ont fait aux Kabyles, ébola kafoiré

Bloom dit: à

Et ce que l’homo naledi à fait à l’homo erectus, qui pour en parler, qui pour s’en souvenir?

et alii dit: à

La commune d’Hébécourt, près d’Amiens, a été la cible d’une distribution de tracts antisémites, racistes et anti-LGBT. Les documents ont été retrouvés dans les boites aux lettres de la population lundi 12 juin. Les riverains restent choqués.

Bloom dit: à

Défaite sur le fil du rasoir, 3J. S’il fallait trouver une logique, à La Rochelle, ville portuaire ouverte sur le vaste monde, la suprématie européenne; à Toulouse, ville enclavée, le règne hexagonal.
Un de mes fils a eu le plaisir de discuter avec Jelonch, dans les tribunes de l’Aviva lors de la demi-finale ratée – un type bien. Pas surpris de le voir réconforter son pote Aldritt après le match.
« le mec à la clarinette, c’est pas un manchot / Cherche pas, c’est l’meilleur »
Next time lucky.

rose dit: à

Et ce que … a fait aux…?

Et les réducteurs de têtes ?

Rosanette dit: à

@JB Hghlander je n’ai vu dans Blaise ni un schizophrène, ni l’objet d’une pulsion érotique de l’écrivaine .
J’y ai vu un français ordinaire de la classe moyenne superieure ,produit de l’école de la republique, patron d’une pharmacie, où ce sont ses employés qui recoivent la clientele , tandis que dans son bureau ,à l’écart, il se consacre aux activités qui relèvent de ses responsabilités de patron
Neanmoins il sort parfois de ce bureau ,de maniere occasionnelle s’il s’agit de servir des gens qu’il est capable d’aider et de comprendre parce qu’il sait leur langue et aussi pace qu’il vient sans doute d’une famille qui a connu les mêmes affres de l’exil que ces femmes, et qu’il sait leur vie difficile vie difficile .
C’est de la compassion, de la générosité de la bienveillance, mais dans ce souci désintéressé d’aider ces femmes noires comme lui il n’y a pas l’indice d’une identité partagée entre deux cultures il n’y pas là plus de schizophrénie que je n’en ai vu, quand j’étais prof, chez une collègue et amie d’origine algérienne dont l’univers intellectuel et culturel ne différait en rien du mien ,mais qui, avec sollicitude dans les reunions de parents d’élevés pouvaient mettre certaines meres à l’aise en leur parlant en arabe maghrébin de la scolarité de leur enfant

Bill Evola dit: à

leur parlant en arabe maghrébin de la scolarité de leur enfant

Encore un avatar de la pseudo supériorité colonialiste paternaliste, basta!

Bill Evola dit: à

leur parlant en arabe maghrébin de la scolarité de leur enfant

Parce pas digne de s’élever à parler le français courant?

Jazzi dit: à

Il semble pourtant que Clopine soit très claire, rosanette : « « Blaise ne parle pas aux Blancs. »

Et comment interprétez-vous ce passage ? Moi je ne le comprends pas très bien.

« mais bien sûr qu’on sait ce que c’est, la chair des femmes. On le sait tous, mais il y en a que ça arrange, de ne pas le savoir. Parce que ça les arrange, en fait. C’est pour ça qu’ils le font. Parce que ça les arrange ! »

« C’est pour ça qu’ils le font. »

Qu’ils font quoi ?

Bill Evola dit: à

la chair des femmes

Mais ça se mange, buana! 🙂

Bill Evola dit: à

Mais ça se mange, buana!

Tintin au Congo avec la marmite bouillante! 🙂

Bloom dit: à

Parce pas digne de s’élever à parler le français courant?

Du vrounzais, ça? La mort de mes os!

Bill Evola dit: à

La mort de mes os!

Dans ma marmite Tintin, buana! 🙂

Bill Evola dit: à

la marmite,
pas dans la confiture néo colonialiste!

Bloom dit: à

Plus de 60% de gènes en commun avec les mouches, Ebola Kafoiré.

Jazzi dit: à

Je le trouve très intéressant ce court texte de Clopine.
Plein de sens et, mine de rien, éminemment politique.
Blaise, patron d’une pharmacie située dans un quartier populaire de Rouen, semble trouver que l’argent de la sécurité sociale et des diverses mutuelles n’a pas d’odeur.
Pour l’amasser, lui, qui refuse de parler aux blancs, a recourt à l’aide de deux employés.
Je me demande si, ici, Clopine peut entretenir le flou artistique en ne nous disant pas de quelle couleur ils sont ?

Highlander dit: à

@ Rosanette,
Dans un texte assez court, chaque mot compte. Sinon on ne pourra pas tenir un discours cohérent, les mots étant bien trop peu nombreux pour leur faire dire tout et son contraire.

Si Blaise n’aime pas parler aux Blancs, c’est qu’il a un souci. S’il n’aimait pas parler aux gens, bon, d’accord, c’est un taciturne, genre Clint Eastwood en pharmacien. Mais Blaise a choisi de ne parler qu’aux siens. S’il veut nous faire croire que c’est seulement les Africains et les Arabes qui peuvent parfois ne pas comprendre le dosage de leurs médocs, alors c’est mal engagé cette histoire. Des gens un peu « à côté de la plaque » il y en a même chez les Blancs, et ils sont assez nombreux. Je ne vois pas pourquoi ce pauvre Blaise ne descend pas à leur parler comme aux autres.
Mais Blaise rumine dans son coin, il est déjà ailleurs. Il n’a pas émigré dans le but de se réinventer une vie, mais juste à prolonger celle qui était la sienne. C’est bien dommage pour lui. Quand quelqu’un se sépare de son pays, c’est déchirant mais ce n’est pas pour qu’il trouve un « autre » pays identique au sien. Un émigrant ce n’est pas un Ulysses, mais bien un Moïse. Sinon on devient un schizophrène : on n’est pas chez soi, mais on vit tout comme. Je suis sûr qu’être Moïse est nettement plus enrichissant et somme toute plus facile qu’être un Ulysses.

Jazzi dit: à

« un Ulysses. »

Highlander serait-il un admirateur inconditionnel de Joyce, bien connu de la RDL ?

Jazzi dit: à

Blaise c’est tout à la fois l’anti et le grand remplaçant d’Homais !

Rosanette dit: à

Mais il est evident que Blaise n’est pas un immigré.
il est né en France de parents immigrés et a eu un destin de petit écolier français bon eleve qui a pu accéder aux etudes superieures
il n’a pas une double culture :il ressemble à ce que sont devenus certains de mes eleves de premiere du lycée d’Aulnay, nés en France de parents algeriens marocains ou africains ,qui n’ont qu’une identité,française,même s’ils parlent parlent, en tant que de besoin dans leur langue vernaculaire avec leurs parents encore mal à l’aise avec le français, et ils n’en sont pas pour autant déchirés entre deux cultures.
Schema classique de l’assimilation , comme ce fut le cas naguère du cheminement qui faisait du rejeton français d’un immigré arabophone ou yiddishophone un médecin, un pharmacien ou un polytechnicien

MC dit: à

´«une petite trop maigre, même pour notre époque «  ? MC

et alii dit: à

La tournure en tant que de (besoin, raison) est un archaïsme, mais elle est tout à fait correcte.
En tant que signifie « selon que », « autant que ». Par ailleurs, on disait autrefois qu’une chose était de besoin pour signifier qu’on en avait besoin : elliptiquement, la forme en tant que (cela est) de besoin signifie « dans la mesure où l’on en a besoin ». Par analogie, on dit aussi en tant que de raison, qui signifie « dans la mesure où cela est raisonnable ».
Autant que de (besoin, raison) est une forme déformée de en tant que de (besoin, raison), qui est incorrecte.
dico académie
formule affectionnée des juristes!

Jazzi dit: à

« Mais il est evident que Blaise n’est pas un immigré.
il est né en France de parents immigrés et a eu un destin de petit écolier français bon élève qui a pu accéder aux études superieures »

Je le pense aussi et son mépris pour la France et les Français est d’autant plus impardonnable…

JC ..... dit: à

POUR SALUER 1940

Dimanche 18 juin 2023, 16h20
Euh !…non !…rien.

Tout le reste est littérature.

Bloom dit: à

Baroz , célèbre blague de Highlander à propos de son kilt:

Queen Elizabeth II: Is anything worn beneath?
Highlander: No, Ma’am, all in good working order.

Damien dit: à

Interview de Marceau dans Le Monde. On évoque pour elle la différence d’âge avec Zulawski, aussi importante que dans le cas des Mahler, Alma et Gustav. Extrait :

« Andrzej Zulawski a alors vingt-six ans de plus que vous, est un cinéaste reconnu, il est votre compagnon. Diriez-vous qu’il a été votre pygmalion ?
En dehors de la différence d’âge et de l’ascendant qu’il avait sur moi, sans doute bien plus que je ne l’imagine encore, il ne pouvait pas me modeler entièrement. J’avais un caractère qui pouvait contrer le sien. Je ne me suis pas sentie avalée. » le Monde

Réponse assez confuse, me semble-t-il. Elle ne veut pas admettre qu’en fait elle a été avalée dans la vallée des avalés. Zulawski avait de l’ascendant sur elle, lui le cinéaste violent et dominateur, qui terrorisait ses acteurs et dont les films scandalisaient les spectateurs naïfs. Il tenait sous son contrôle toute une équipe de tournage, ainsi que ses acteurs qui n’en pouvaient mais. Mais tout était écrit, comme nous le dit Marceau. Pas d’improvisation, comme chez Godard ou Pialat. Allez, Marceau !… au taquet ! — Je viens de revivre la mort de Mahler. On savait ce qu’il avait, mais on ne pouvait rien faire. Il s’est vu partir, c’était cruel, à l’époque. Aujourd’hui, avec des antibiotiques, on l’aurait sauvé. Et ç’aurait été un autre destin pour Alma. Jusque là, elle était sous le boisseau, où elle s’asphyxiait. Désormais, son génie va s’épanouir. La mort de Mahler lui a rapporté une pension spéciale. C’est triste, cette mort de Mahler. Moi aussi, j’en porte le deuil…

Rosanette dit: à

@jazzi
Mais où voyez vous un mépris de la France dans le fait que parfois Blaise veuille sortir de son bureau pour délivrer lui-même des médicaments, ce qui n’est pas sa tâche habituelle, à des gens ,dont il connaît suffisamment le monde et les problèmes, pour chercher à leur manifester sa sympathie; en leur parlant ,peut-être dans leur langue d’origine, et en tout cas de manière amicale et bienveillante il les aide et leur apporte ainsi un peu de chaleur humaine et d’aimable complicité ?
il joue dans le cadre de sa pharmacie le rôle que jouent dans le cadre des cités des cités les femmes -relais

Bolibongo dit: à

Pour les crampes nocturnes*, des bas de contention.

Blaise en vend et ça vaut bonbon!

Highlander dit: à

Peut-être que je me répète :

Dans 1/3, y est dit : « Les autres ont droit aux guichets. Enfin, surtout les Blancs. Et les Blanches. Blaise ne parle pas aux Blancs ».

Dans 2/3, on trouve : « Eux [les jeunes du quartier] non plus ne parlent pas aux Blancs, enfin, sauf ceux qui viennent leur acheter quelque chose… »

Dans 3/3, le texte conclut : « sans s’adresser à quiconque, et surtout pas à moi, puisque Blaise ne parle pas aux Blancs, […] »
___

Maintenant, par trois fois il nous est dit que ce sacré Blaise NE PARLE PAS aux Blancs, pour n’importe quelle raison (c’est vague, je n’ai aucune autre info là-dessus). Pire : le texte enfonce le clou en disant « eux non plus ». Je comprends que Blaise ET les jeunes du quartier jouent le même jeu : ne pas parler aux Blancs.

Quant à l’idée que Blaise serait un homme né en France, je n’en ai pas d’info non plus, il se pourrait très bien qu’il soit né en Afrique, et venu en France à l’âge de 10, voire de 15 ans.
___

Je lis ce qu’il y a dans le texte, pas plus. S’il y a un fusil accroché quelque part sur le mur, c’est que, à un moment donné, il doit servir… disait l’autre.

MC dit: à

Et Alii , ce n’est pas la tournure, effectivement correcte, mais l’idée qu’elle sous-tend que je trouve bizarre. Il y aurait-il , aux yeux du Commusszire Politiqiue qui signe ses lignes, une norme de maigritude à ne pas dépasser en ce vingt-et-unième siècle, ou tout le monde entend vivre satisfait de ses appas -problématiques?- et de ses attraits? Bien à vous. MC

renato dit: à

« … et ça vaut bonbon! »

Avec ordonnance une partie est remboursée, et la complémentaire se charge du reste.

rose dit: à

Ses appâts.
Du verbe appâter.

Je t’appâte.
Tu m’appâtes.
Etc.

rose dit: à

Des bas de contention sur les cuissasses ?
Eh bé !!!

J’ai plus bu aujourd’hui 🥺 🍹

puck dit: à

Welbec s’est piégé tout seul ? incroyable !
ça m’étonne pas les journalistes des inrocks et de libé, et aussi les profs de fac de littérature et de sociologie et plein d’autres sommeliers en avaient fait le plus grand penseur de notre époque, dépassant d’une tête Onfray et de deux Enthoven.
je me souviens qu’ici même, autrefois, il y a longtemps, voilà presque un demi siècle maintenant, qq l’avait plagié en le piégeant, ou le contraire, mais de si fort belle manière, contant ici-même les aventures de Thérèse Zoune, fille d’un dentiste juif, vivant en couple une belle histoire d’amour avec son vibromasseur, plagié de si belle manière qu’on aurait cru l’original, mais en mieux… ô combien m’en souviens-je, ô le bon temps d’alors, venaient ici mes doux amis pedro et renato, quelle belle équipe nous formions, quelle valeureuse équipe ne s’eussent-ils pas… à l’époque Welbac était jeune, et moche, maintenant il est vieux et plutôt bel homme, combien de donzelles ne doit-il pas faire craquer quand il déambule dans la rue, exhibant sa carrure musclée et ses pectoraux hoho, jeune il était gringalet et chétif, au fil de temps, à force de lever des kilos dans la salle de sport « be sport be free » d’à côté de chez lui, suivant les conseils de son coach affectueux koikéxigeant, il s’est fabriqué un corps, une stature, à tel point qu’un sculpteur vivant dans le quartier et ayant l’intention de sculpter une reproduction du David de Goliath, et s’asseyant sur les préjugés moraux en faisant un être infréquentable par les temps qui courent, lui a demandé s’il voulait poser pour lui, alors que lui-même courait comme le temps sur son tapis roulant de course, réglant le curseur au plus haut, à tel point que son coach bienveillant, bien qu’en ayant vu d’autres, en fut effrayé.
on parle bien du même Welbec ?

rose dit: à

Ben oui, franchement, il est vraiment sympa Blaise. Pourquoi aller lui chercher des poux ?

Damien dit: à

Après la mort de Mahler, Alma sombre dans un tourbillons de passions et d’amours éphémères, mais avec un grande exigence. Sauf qu’elle devient méfiante sur les Juifs, comme si l’antisémitisme la tentait. Elle estime une chance d’être chrétienne. Donc, je suis assez déçu par Alma, sur ce coup-là. Mais sa biographe nous dit qu’elle va évoluer, par la suite. Je l’espère. Bonne nuit à tous.

rose dit: à

Mais Blaise rumine dans son coin, il est déjà ailleurs. Il n’a pas émigré dans le but de se réinventer une vie, mais juste à prolonger celle qui était la sienne. C’est bien dommage pour lui. Quand quelqu’un se sépare de son pays, c’est déchirant mais ce n’est pas pour qu’il trouve un « autre » pays identique au sien. Un émigrant ce n’est pas un Ulysses, mais bien un Moïse. Sinon on devient un schizophrène : on n’est pas chez soi, mais on vit tout comme. Je suis sûr qu’être Moïse est nettement plus enrichissant et somme toute plus facile qu’être un Ulysses.

Hyper passionnant.
Mais les gens ne savent pas se situer.
Je reviens parler de cela.
Nous, les immigrés d’avant, on se la bouclait et on s’acharnait et on faisait des efforts.
Ma grand-mère descendait les étages et apprenait le français sur le tas.
Le but était l’intégration.

Moi, je ne critique pas Blaise.

puck dit: à

je viens de relire l’article, c’est bizarre ça me rend Welbec plutôt sympatoche, moi qui l’aimais pas trop avant, sympatoche et talentueux, cette façon de faire entrer un critique littéraire dans sa propre fiction, ce critique répondant lui-même de sorte que sa réponse sincère à merveille dans cette fiction à la fois médiatique et sociétale, formant un tout homogène et une progression parfaite entre esthétique, éthique et politique… ma foi j’y vois là que du grand art !

et alii dit: à

j’ai quand même craint les zobituaires edéliens!
bonsoir

Pablo75 dit: à

Le Finale de la 5ème dans la très belle version de Christian Thielemann avec la Münchner Philharmoniker en 2004

Bruckner: Symphony No. 5 in B flat major – 4. Finale. Adagio – Allegro moderato

et alii dit: à

JE VOULAIS DIRE ERDELIENS

Jazzi dit: à

@Rosanette

Patron ou employé, la tâche première d’un pharmacien est de délivrer des médicaments.
Si vous ne voyez ni racisme ni mépris dans l’attitude de Blaise, qui ne consent qu’à servir des Noirs ou des Arabes, c’est un problème, pour vous et pour nous…
Iriez-vous acheter du pain chez un boulanger qui refuse de parler aux Blancs ?
Moi pas.

Jazzi dit: à

« Moi, je ne critique pas Blaise. »

Vous avez tort, rose.
Pourquoi alors critiquer les jeunes filles voilées ?

Bill Evola dit: à

« Moi, je ne critique pas Blaise. »

Il a fait quand même fortune avec ses ventes de bas de contention à de vieilles dames patronnesses qui n’aimaient pas trop les ar.bes et les n.oirs!

Bill Evola dit: à

Sig varices, c’est tout un programme!

cela ne vous tourneboule pas trop?

D. dit: à

Je crains que Monsieur Charoulet soit trop humide ce soir.

Bill Evola dit: à

que Monsieur Charoulet soit trop humide ce soir.

Eh oui. Et cela peut lui taper sur le haricot!

D. dit: à

Je vous répond très tard, Closer, désolé. Je vais regarder et écouter de quoi il s’agit.

closer dit: à

Non Rosanette, l’attitude de Blaise n’a rien à voir avec celle de votre collègue qui s’adressait aux mères d’élèves maghrébines dans leur langue pour les aider. Son attitude est hostile, raciste, envers des gens dont le seul défaut est d’appartenir au peuple qui a accueilli sa famille et lui a permis une ascension sociale exceptionnelle dont il n’aurait osé rêver dans son pays. Qu’est ce que « les blancs » qui entrent dans sa pharmacie lui ont fait qui justifie qu’il les prennent pour de la merde? L’attitude des immigrés « à l’ancienne » dont parle Rose était la bonne. Quand on arrive dans un pays étranger, on commence par s’écraser et bosser. C’est ce qu’ont fait toutes les génération d’immigrés jusque récemment dans tous les pays (USA notamment). Le fait de venir chez l’ex colonisateur ne change absolument rien à la question. Ce Blaise ou ses parents se sont installés dans un pays dont les habitants, ceux qu’ils rencontrent dans la vraie vie, ne leur ont rien fait, sinon financer par leurs impôts les allocs, SecSoc, école, etc. Ce Blaise est finalement un pauvre type sans intérêt.

D. dit: à

Je viende de revoir par hasard Michel Leeb. Cet imitateur était formidable. Bizarre qu’on en entende plus du tout parler. Mais bon. Place aux jeunes.

www.http://youtu.be/AsKt2DpDHRw

Jean Langoncet dit: à

@(Pour les andouilles qui considèrent Mahler l’Impuissant (élève de Bruckner) comme un grand compositeur, alors que sans Visconti personne le connaîtrait aujourd’hui)

C’est comme ceux qui considèrent que sans Pivot, le si sinistre amuseur télé d’antenne 2, Bukowski serait aujourd’hui oublié … Gimme a break

J J-J dit: à

CT vient de réussir un véritable exploit littéraire… Avoir réussi à fair cracher à ceux qui ont pris sa nouvelle au sérieux (ou ce qu’ils en ont imaginé), ce qu’ils avaient de croyances et de certitudes ancrées dans les tripes depuis longtemps/ Du grand art. Elle qui nous disait ne pas croire en elle… Des erdéliens se déchirent en se projetant sur ce qu’ils imaginent d’un personnage, d’après leurs expériences de cuissons. On n’est pas sortis des ronces!… J’espère que l’auteure ne viendra pas trancher sur qui a raison ou tort à l’égard de ce personnage fictionnel de Blaise…
Bàv, Cl. Trouillefou, vous sortez enfin du bon bout du tunnel. Bravo ! ——– Dormez bien… vous avez secoué une bonne part de l’erdélie ronrogneuse.

rose dit: à

D.
Montrez de sketch à Blaise et les blancs n’entrent plus sans la pharmacie.
Me demande si vous n’êtes pas un provocateur né.

Quarante ans après, personne ne pourrait plus faire ce sketch.
Ne serait-ce pas la désolation ?

rose dit: à

Ce sketch de Michel Leeb (ses mimiques)

rose dit: à

J’entends « on peut pas regarder ça parce que on cautionne ».
« On est des consommateurs »
Et « il est temps que tu t’achètes une conscience ».

À moi adressé !

rose dit: à

en elle… Des erdéliens se déchirent en se projetant sur ce qu’ils imaginent d’un personnage, d’après leurs expériences de cuissons. On n’est pas sortis des ronces!… J’espère que l’auteure ne viendra pas trancher sur qui a raison ou tort à l’égard de ce personnage fictionnel de Blaise…

Je pense aller le voir à Rouen pour juger sur place. Si ça se trouve, c’est un mec formidable.

rose dit: à

Ronchonneuse.

Jean Langoncet dit: à

@D. dit: à
Je crains que Monsieur Charoulet soit trop humide ce soir.

Je viens d’aller jeter un oeil sur un blog tenu par un magistrat « honoraire » (en retraite, quoi) qu’il fréquente, et quelques-uns ici avec lui ; au registre des commentaires dûment modérés et approuvés avant publication sur le sujet : « Les parasites de la gloire des autres : nos politiques… ». C’est confondant !

rose dit: à

On est des consommacteurs

Jazzi dit: à

« ceux qui ont pris sa nouvelle au sérieux »

Pas sérieux ce qu’écrit Clopine, JJJ ?
Vous êtes pas sympa !

Jean Langoncet dit: à

@Mary Curry dit: à
Au Japon, la littérature après de GEJE, a été plus que nécessaire.
Reading after the Disaster: Japan’s Reaction to the 3/11 Events through Literature

Ma remarque ne portait pas sur les traumatismes causés par un tel événement et ni sur les éventuelles vertus thérapeutiques d’une littérature « verbalisante »

rose dit: à

Vous avez tort, rose.
Pourquoi alors critiquer les jeunes filles voilées ?

Blaise, je lui parlerai volontiers, moi-même ; les jeunes filles voilées ont une argumentation au ras de pâquerettes et récemment ont monté un rang de fausses-monnayeuses. L’intelligence, celle avec qui j’ai débattu l’était, est tournée vers le progrès, l’avancée sociale, l’amélioration des conditions de vie, etc.
Se voiler alors que nous nous sommes battues pour porter le pantalon et se faire couper les cheveux à la garçonne paraît être un total recul sociétal : en espérant quelque chose qui n’aboutira pas comme ça.
Et puis moi, les sempiternels refrains « la France, la colonisation, piller nos ressources minières etc etc ». c’est plus que barbant. Si tu n’es pas content de où tu t’es installé,,retourne à tes sources : c’est ta liberté individuelle.

Ulysse, Moïse : si tu es incapable de faculté d’adaptation, reste chez toi et végète. Tu pourras toujours faire des stolons.

Jean Langoncet dit: à

Ma remarque ne portait pas sur les traumatismes causés par un tel événement [et] ni sur les éventuelles vertus thérapeutiques d’une littérature « verbalisante »

renato dit: à

J’ai étudié les Kindertotenlieder en 66 ; Mort à Venise est de 1971.

Il est vrai que Mahler a peu écrit, mais il me semble que parler d’impuissance c’est mal connaitre sa carrière : il était avant tout chef d’orchestre — Wiener Staatsoper ; Metropolitan Opera House —, il n’avait donc que peu de temps pour écrire.

Je suppose que Leonard Bernstein, Benjamin Britten et Dmitri Chostakovitch, qui admiraient sa musique, ne sont pas à compter parmi les andouilles.

Incidemment, diplômé du conservatoire de Vienne en trois ans, ce qui est un exploit.

Jean Langoncet dit: à

(Les seules filles voilées que je connais, sont toutes des vieilles filles)

rose dit: à

Rosanette

J’aime beaucoup votre analyse du récit de Clopine et beaucoup aussi ce que vous en dites par rapport au récit d’autres parents émigrés.
Pour avoir connu jeune fille des pieds noirs d’Algérie, j’étais élevé normalienne inférieure et une était mon prof. j’ai compris l’arrachement subi. De l’ordre, sans exagérer d’une amputation
Après, tu dois faire dans la douleur.
Blaise je le trouve à sa place dans son rôle de soignant. Ses médicaments soignent le corps, lui s’occupe des âmes souffrantes. En Afrique noire, il serait sous le baobab.
Moi, je l’imagine comme un petit qui est arrivé en France à dix ou douze ans, et puis, il a cassé la baraque à l’école. Il a obtenu tous les diplômes et aujourd’hui, il rend ce qu’il a reçu.

rose dit: à

À 24 ans, tu es loin d’être une vieille fille !

rose dit: à

élève

Jean Langoncet dit: à

(J’ajoute et précise que mon observation se fonde sur le fait que j’habite en France et que je suis régulièrement amené à traverser le pays en long, en large et même en travers ; n’est-ce pas votre cas ?)

Jean Langoncet dit: à

@Je viens d’aller jeter un oeil sur un blog tenu par un magistrat « honoraire » (en retraite, quoi) qu’il fréquente, et quelques-uns ici avec lui ; au registre des commentaires dûment modérés et approuvés avant publication sur le sujet : « Les parasites de la gloire des autres : nos politiques… ». C’est confondant !

Morceau choisi ; c’est aussi l’occasion d’une irrépressible envie de rire :

« Zemmour, notre héros national résistant à la charia islamiste importée par les envahisseurs arabo-africains protégés par Macron, a été lâchement agressé à Brest par des hordes et meutes de fachos antifanazis extrêmes gauchistes.

Zemmour, sans cesse harcelé, menacé, sanctionné par les juges inquisiteurs rouges, par sa ténacité à résister aux charias islamogauchistes macroniennes Nupes, peut être comparé à plusieurs figures historiques qui ont fait la gloire de la France : De Gaulle le vainqueur de la guerre, on l’a déjà dit, Jean Moulin, pour sa bravoure à résister aux Allemands.

J’y verrais bien un autre personnage, héros du week-end : Ntamack, le sauveur du Stade toulousain en fin de match, un acte héroïque miraculeux comparable à ceux de Zemmour qui a réveillé le peuple français endormi soumis couché, et a redoré le blason de notre nation avilie humiliée salie en permanence par les ligues anti-France de la repentance gauchiste macronienne Nupes fachos islamistes immigrationnistes criminelles.

Zemmour, le Ntamack du jour, est devenu une icône historique, il gêne beaucoup de pleutres soumis couchés lopettes collabos, dans le futur il sera panthéonisé sans aucun doute. »

Jean Langoncet dit: à

(Que la communauté française d’Israël ait élu Zemmour président de la République avec une majorité absolue dès le premier tour de l’élection présidentielle, à quoi bon le rappeler ? Personne ici ne l’ignore)

William Boquet dit: à

@Schema classique de l’assimilation , comme ce fut le cas naguère du cheminement qui faisait du rejeton français d’un immigré arabophone ou yiddishophone un médecin, un pharmacien ou un polytechnicien

L’assimilation de normaliens, c’est plus discutable ; vous avez raison, mille fois raison, Rosanette. Merci

Pablo75 dit: à

L’apothéose de l’impuissance (ou comment quand on veut faire colossal en étant nul on tombe dans la vulgarité la plus complète):

Mahler: Symphony No. 8 Finale
Heinz Walter Florin, conductor

(de la musique aussi pompeusement hystérique que le chef d’orchestre qui la dirige – attention à son dernier « saut »).

Pablo75 dit: à

À comparer avec la sublime Coda de la 8ème symphonie de Bruckner, d’une puissance inouïe, ici dirigée par Celibidache:

https://www.youtube.com/watch?v=maYun2aOSlw

La vulgarité impuissante de Mahler contre le génie pur de Bruckner.

Jean Langoncet dit: à

Une question à creuser ; “En France , l’esclavage disparaît légalement dès le XIe siècle. En 1315, Louis X le Hutin signe une ordonnance selon laquelle tout individu mettant pied dans le royaume est libre (…) En Angleterre, les esclaves représentent jusqu’à 10% de la population en 1066. Leur nombre décroît ensuite rapidement. En Allemagne et en Italie, l’esclavage domestique disparaît au XIVe siècle. Les pays scandinaves cessent, eux, cette pratique à la fin du Moyen Âge. (…) Si les chrétiens ne pratiquent plus l’esclavage, ils vont eux-mêmes en être victimes. (…) À la fin du Moyen Âge, les chrétiens sont cette fois à la merci des Barbaresques. (…) Plus d’un million d’entre eux ont été enlevés entre le XVe et le XVIIIe siècle. En Afrique du Nord, ces esclaves blancs sont exploités comme domestiques, ouvriers ou galériens. Ils sont cruellement traités, mal nourris et parqués dans d’infâmes cachots où seule près de la moitié d’entre eux survit aux cinq premières années. L’écrivain espagnol Miguel de Cervantès et Saint Vincent de Paul figurent parmi eux. (…)”

rose dit: à

Moi je, ne traverse pas seulement la France en long en large et en travers, mais aussi en diagonale et aussi le monde
Seulement en Méditerranée mon cœur saigne récemment encore : les passeurs sont des assassins.

rose dit: à

19 juin 2023 6h34

renato dit: à

Si l’on écoute les galimatias quotidiens de tous les incultes qui s’érigent à « grand critique » de quelque chose (musique, peinture, cuisine, littérature, etc.) et on court après à toutes les polémiques à 1 cent que les crétins lancent pour occuper leur temps on n’a pas fini de perdre le nôtre.

19.6 — 6.43

rose dit: à

Mon com.s’est envolé, tant pis.
Non aux regrets éternels à la lamentation imbécile et aux crachats sur la France.
Oui à l’adaptation intelligente. Pour Moïse et pour Ulysse, les deux très fatigués du voyage accompli.

rose dit: à

Macron reçoit successivement Mohammed truc chose le 16 juin, le journaliste coupé en rondelles est un caillou dans la sandale, et Elon Musk.
Dis-moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu es.
Ah, ses grands discours ! Je ne suis ni à gauche ni à droite.
Non, tu ne traites qu’avec les milliardaires, grand couillon.

Bloom dit: à

Aujourd’hui, voiture balai à la fac. Comment peut on être en L3 en anglais LLCE sans savoir ce que veut dire ‘denomination’ en contexte religieux?

Clopine dit: à

Eh bien, tout d’abord, un grand MERCI à Rose et Rosanette, pour leurs lectures, la mise en ligne ici même de ma nouvelle, et la si solide et juste critique de Rosanette. Je décèle aussi, derrière leur initiative, beaucoup de bienveillance et -sans doute-, un peu de cette « sororité » que les féministes, telles Anne Sylvestre dans sa chanson « frangines », revendiquent.

Il est vrai que, pour sortir de ma position victimaire (celle qui agace tant Jazzy, je devrais un jour en parler sérieusement avec lui, tant parfois je me demande si cet agacement ne provient pas d’une sorte de « concurrence mémorielle », bref ce n’est pas le terme mais il s’agit de quelque chose de cet ordre), un peu d’estime de moi n’est pas forcément inutile, et c’est pourtant ce qui me manque si souvent…

Mon fiston, parfois, hausse les épaules, me regarde et,en souriant, déclare : « bah, il est tellement évident que tu ne lèveras pas le plus petit doigt pour tes textes que c’en ‘est à se dire que tu le fais exprès « . Je n’ai pas le courage de lui demander de s’expliquer plus. Je suis déjà rongée par la culpabilité de l’avoir obligé, à 25 ans, à signer le bulletin d’internement de sa mère (ironiquement, il a commenté : « ben je crois que tu n’as pas du tout pensé à moi, parce que comme départ dans le vie, on fait mieux »), et aussi à avoir dû, tous ces insupportables mois de souffrance et de désarroi, prendre soin de moi…

Toujours est-il que la nouvelle Blaise fait partie d’un ensemble de portraits de mon quartier. Il paraît que je n’ai pas de « projet littéraire « . Pourtant, celui-ci me semble en être un : peaufiner mes textes cet été et les réunir dans un recueil : »Les Hauts de Hurle Rouen « .

Il va sans dire que l’initiative de nos deux Roses m’encourage… Merci mille fois à elle, et à notre hôte aussi, dont la bienveillance à mon égard ne se dément jamais.

Clopine Trouillefou.

Clopine dit: à

Et merci aussi, bien évidemment, aux participants de ce blog, enfin, à ceux qui ne me détestent pas cordialement ! Et une pensée pour J jj.

renato dit: à

Un peintre impressionniste, le nom me fuit, a dit qu’il faut décourager les jeunes artistes. Je sais que la tendance actuelle serait plutôt d’encourager, mais comment ne pas se souvenir de la réaction de rejet que Diane Arbus eut pour une école où tous les enseignants trouvaient « amazing » tout ce qu’elle faisait ?

renato dit: à

Cela dit, il faudrait qu’à un moment Clopine nous explique où elle est allée chercher l’histoire des alpinistes qui « veulent transformer les montagnes en plages de sable fin ». Alpiniste moi-même, j’en connais quelques-uns et jamais je n’ai entendu quelqu’un exprimer cette idée.

et alii dit: à

non, Clopine, je ne comprendrais pas qu’on puisse « vous détester », »cordialement » ou pas;
il faut un rude courage pour avoir contribué à ce blog comme vous, et nous tous qui vous lisons devrions vous en savoir gré: votre contribution n’a pas été sans risque pour vous; et c’est à nous, Clopine de vous en remercier, avec pour vous nos voeux pour que vos projets prospèrent

Clopine dit: à

Ah, Renato, j’ai dû la trouver dans la pinacothèque personnelle que chacun de nous trimballe, à son insu ou non. Bon, la bible a sans doute un peu à voir avec ça, avec les chas de ses aiguilles par où il faudrait passer (encore une drôle d’idée, pas vrai ?)

Bon, à part ça et pour répondre sérieusement à votre question, bibi, quand je suis sur une plage, j’ai comme une tendance, parfois, à m’em… pour de bon. Et pour tenter d’éviter la seule occupation réelle, quoique vaine et déplaisante, qui me semble exister dans cet endroit, à savoir reluquer le corps des autres humains peuplant l’endroit, aux fins de comparaison, convoitise, curiosité anatomique et autres, je fais couler du sable entre mes doigts, en rêvant à son passé de roche – et à imaginer la quantité de temps qu’il a fallu à la mer pour réduire la falaise en rochers, le rocher en cailloux, le caillou en sable… Comme si c’était une volonté océanique d’assurer la victoire finale du liquide sur le solide…

Or, nous autres, êtres humains, sommes faits à 65 % d’eau… De là à imaginer que les alpinistes sont délégués par la mer pour vaincre les montagnes… C’est stupide, allez-vous me dire.

Sans doute, mais c’est rigolo.

Jazzi dit: à

« Les Hauts de Hurle Rouen »

Pas sur que ce soit un bon titre, Clopine.
Trop parodique pour des textes, si on en juge par « Blaise », contemporains et originaux.
Tu le trouves sympathique, toi, ton pharmacien ?

MC dit: à

«  en Afrique il serait sous le baobab? ». Curieuse place pour un pharmacien mutique! Enfin …. MC

renato dit: à

Merci de votre réponse.
C’est donc l’eau qui transforme la roche en sable, non qui nonobstant le 65% d’eau et la partie variable d’eau-de-vie dont nous sommes faits, n’a que l’intention de s’attaquer à la montagne déjà seulement parce qu’elle est là, sans l’arrière-pensée de la transformer. Or, vous attribuez une volonté, ce qui peut induire le lecteur en erreur.

renato dit: à

non qui nonobstant > non L’ALPINISTE qui nonobstant

D. dit: à

65 % d' »eau » dont 30 % de Martini-dry, chez certains. Soyons exact.

closer dit: à

j’ai entendu que Dieppe avait été en partie inondée.

Les dictionnaires et les Pléiades de Monsieur Charoulet sont-ils indemnes?

rose dit: à

Je plussoie Clopine pour les Hauts de Hurle-Rouen.
Mieux, trouvé votre titre excellent !

Jazzi dit: à

Etrangers, selon que vous soyez puissant ou pas !

« Paris : renversé par un employé d’ambassade ivre, le livreur sans papiers risque d’être expulsé »

renato dit: à

Wuthering Heights ?

Marie Sasseur dit: à

@et nous tous qui vous lisons devrions vous en savoir gré.

Il faudra appliquer strictement à l’avenir ce qui jusqu’à présent n’a pas été si évident de votre part, et alien.

Ce « nous » est en outre un peu gênant, de qui n’a cessé de pourfendre ne serait ce qu’un début d’appartenance à un groupe.

Qui ni ne dit mot consent est ici, parfaitement inexact.
Qui ne dit mot s’en fout en l’occurence, de cette pitoyable histoire, une blaguounette bien raciste à Rouen.

Le remplacement à Marly Gaumont est en revanche un bijou d’humour… noir, évidemment.

https://africultures.com/films/?no=18400

Patrice Charoulet dit: à

« Une plainte déchaîne mille plaintes ; une peur déchaîne mille peurs. Tout le troupeau court dans chaque mouton. » (Alain, « Propos », 1910)

MC dit: à

A moins que Clopine ne hante le Quartier de la Gare, je ne vois pas non plus l’intérêt de cet Hurle-Rouen qui vise à la faire passer pour une nouvelle Charlotte Bronte, ce qu’elle n’est assurément pas, enfin . MC

Rosanette dit: à

Je pense que Monsieur Charoulet n’a pas ecouté sur France culture les emissions de samedi matin. .
Sinon nous aurions eu sans doute un billet horrifié sur l’inculture de nos elites; car il aurait entendu Christine Ockrent et l’un de ses interlocuteurs parler à propos de la grande reunion Nord / Sud initiée par Macron ,de la présence d’un AEROPAGE de chefs de gouvernement

Rosanette dit: à

@MC
Pas Charlotte , Emily

Bill Evola dit: à

Ce Blaise est finalement un pauvre type sans intérêt.

Comme si le néo colonialisme des pays européens ne pouvait considérer la possibilité intégratrice des pays d’où partent les « réfugiés » économico-politiques!
(Ce matin sur France Inter.)

Alexia Neuhoff dit: à

Rosanette dit: à

@MC
Pas Charlotte , Emily

Oui, déjà qu’elle n’en a produit qu’un, il n’est pas élégant de ne pas lui attribuer ce roman. But errare humanum est.

lmd dit: à

Closer dit «Quand on arrive dans un pays étranger, on commence par s’écraser et bosser. C’est ce qu’ont fait toutes les générations d’immigrés jusque récemment dans tous les pays ». Les français arrivant en Algérie, les Anglais en Rhodésie, les Hollandais en Indonésie, etc.

Je me souviens que j’avais le disque 33 tours Katleen Ferrier / Bruno Walter/ Malher avant 1967 et que je le faisais écouter (je l’ai racheté en CD et je l’écoute encore) et qu’à la même époque, Bruckner, je ne l’ai même pas calculé (c’était une fin de course).

et alii dit: à

je suppose qu’il y a le groupe des gens qui n’appartiennent ,de leur fait,à aucun groupe, même pas aux groupes qu’ils ont quittés d’eux-mêmes; j’ignore combien il y a de groupes et si une personne seule pourrait constituer un « groupe » possible
bonne journée

Marie Sasseur dit: à

En math, on appelle ça un singleton, de mémoire.

JC..... dit: à

APPEL DU 19 JUIN 2023

Mon caractère est celui d’un mortel malsain. Cela ne m’étonne pas d’une censure RdL, hier, sans raison, pour deux commentaires digne d’Alice au Pays des Merdouilles !

Je lance donc cet appel du 19 juin 2023.

AMIS ! LE CHARME ANTIQUE DES BLOGS EST MORT. TIREZ VOUS D’ICI, MOLLUSQUES, AVANT QUE D’ËTRE DEVENU UN OBJET VERBEUX, MANIPULE PAR l’IA DU BOSS AU SERVICE DU GRAND CAPITAL !

BON VENT ET BELLE MER !

closer dit: à

Susan Hall…à 18 ans elle savait démonter un moteur de voiture; un peu plus tard elle lance un salon de coiffure qui emploie 20 personnes avec son mari, « while she kept politics on the backburner, bringing up her two children ». Aujourd’hui elle est membre de la London Assembly et harcèle Sadik Khan, qui refuse de lui parler quand il se trouve par hasard avec elle dans un ascenseur. Son obsession « take London by the throat and sort this bloody mess out »… »I am not coming up with fancy ideas. But I do know how to get the basics right ».

La Maire idéale, mais il faut d’abord convaincre l’Establishment Tory…

Damien dit: à

La biographie de Monson est vraiment catastrophique. Elle fait dans le sentimental, au lieu d’essayer de comprendre la psychologie d’Alma. Elle en fait presque une nymphomane capricieuse, cherchez l’erreur. Mahler est une sorte de revenant qui obsède Alma et l’empêche d’être heureuse avec un autre homme. Elle se remarie plusieurs fois, mais c’est embrouillé. J’ai beaucoup de mal à suivre. On se demande pourquoi elle tombe amoureuse de Kokoschka, qui réagit comme un fou bon pour l’asile. Les autres prétendants ne sont pas mieux traités, comme ceux de Pénélope — mais Ulysse/Mahler ne reviendra pas, et c’est là le drame. Mahler n’aurait eu plus qu’à bander son arc, mais tout souffreteux en aurait-il eu la force ? Enfin, peu importe. Il est mort. Et puis, à ce propos, Monson insiste sur le fait qu’Alma n’aimait pas la musique de son mari décédé. C’est quand même gonflé, ça a le mérite de l’invention. Alma la grande romantique qui fait un blocage sur les symphonies de Gustav ! Je suis étonné. Monson se délecte aussi des choses quotidiennes, elle nous parle du mobilier, de l’immobilier, du jardinage d’Alma dans son jardin, tcetera. Tout ba bien cinq minutes, mais après on se demande où l’on va. Monson nous parle de son avortement, aussi. Il y a quelques citations, mais pas assez mises en valeur. Et pas assez nombreuses, à mon avis. Ceci étant, ma lecture est presque terminée. Je ne suis pas encore parvenu à l’exil en Amérique. J’ai encore du chemin à faire, mais ce chemin avec Alma est pourri par sa biographe qui n’a aucun talent. Et qui n’a rien compris à Alma. Par exemple, Annie Ernaux… J’imagine qu’elle ne doit aimer ni Mahler ni Alma. C’est trop classieux pour elle, elle croit que ça lui est interdit, toutes ces belles choses. Eh bien, moi je crois qu’il faudrait qu’Annie Ernaux écrive une biographie d’Alma, et que ça nous donnerait, à la fin, une nouvelle Annie Ernaux ! Mais si… Bonne journée à tous, et à Annie Ernaux surtout !

lmd dit: à

Samedi dernier au centre international de poésie Marseille (CIPM) à la Vieille Charité, jolie réunion pour célébrer la nouvelle naissance de DOC(K)S, revue de poésie contemporaine (plus de 135 n° depuis 1976. Belle performance de Joêl Hubaut

closer dit: à

Je suppose que lmd parle du « Chant de la Terre »:

L’inoubliable Kathleen Ferrier arrive à la 10ième minute et à l’extrême fin: « ewig…ewig… ». Même l’antisémite Rebatet cite cet « …ewig… ».

https://www.google.fr/search?q=kathleen+ferrier+le+chant+de+la+terre+youtube&source=hp&ei=qhaQZMyLIL-kkdUPjrC5sAs&iflsig=AOEireoAAAAAZJAkuuPMwqV8DJmA5bteWX63IqATgIY7&oq=kathleen+ferrier+chant+de+la+terre&gs_lcp=Cgdnd3Mtd2l6EAEYATIFCAAQgAQyBggAEBYQHjoLCAAQgAQQsQMQgwE6EQguEIAEELEDEIMBEMcBENEDOggILhCABBCxAzoLCAAQigUQsQMQgwE6DgguEIAEELEDEMcBENEDOgoILhCKBRDUAhBDOgcIABCKBRBDOgcILhCKBRBDOgsILhCKBRCxAxCDAToKCC4QigUQsQMQQzoLCC4QgAQQsQMQgwE6CwguEIAEELEDENQCOgUILhCABDoLCC4QgAQQxwEQrwFQAFikc2C_kgFoAHAAeACAAV-IAbsOkgECMzSYAQCgAQE&sclient=gws-wiz#fpstate=ive&vld=cid:606ffef5,vid:XU_vuKSP2Z0

closer dit: à

Oui lmd, les colons français ont bossé comme des fous en Algérie, que cela vous plaise ou non…

closer dit: à

Je me suis mal exprimé, il est évident que Ferrier chante beaucoup entre la 10 ième minute et le « ewig » final! Vous l’aviez compris.

Rosanette dit: à

@marie sasseur
un ensemble surement ,puisqu’il existe même des ensembles vides ,mais un groupe c’est peu probable ,car cela suppose une plusieurs lois de composition entre ses divers elements(‘associativité ,transitivité, element neutre etc. ) ce que savent aujourd’hui tous les collégiens

Rosanette dit: à

@Clopine
Les réactions qu’ suscitées ici ma lecture de votre nouvelle m’ont donné le sentiment (justifié ?,à vou s d’en juger) que je n’y avais rien compris .Abusée par des clichés ,insensible au racisme à rebours de Blaise ,j’ai vu dans ce personnage l’homme simple et généreux qu’il ne serait pas et qui exercerait sur vous une fascination d’ordre érotique , le tout vu à travers un filtre ,celui du paternalisme néocolonialiste .
Convaincue d’avoir eu tout faux j’ai regretté mon post .Mais quand je vois que vous avez apprecié la publication de cette nouvelle ,même complétée par ces notes de lecture maladroites, et que cela vous a fait plaisir , je ne regrette rien ,car j’ai le sentiment ,à vous lire, que cela a boosté chez vous une confiance en vos propres écrits dont vous avez grand besoin
Bien à vous DA

Marie Sasseur dit: à

J’ai répondu à Et Al, qui se posait la question de l’existence possible ou non, d’un groupe de une personne.
Nothing more, nothing less.

Maintenant sa question peut engager une autre réflexion, que celle de la théorie mathématique des ensembles.

Marie Sasseur dit: à

Ça part en couille cette histoire de B(l)aise.

lmd dit: à

Closer, la nuance à admettre c’est que les Français n’ont pas tellement « commencé par s’écraser» lorsqu’il arrivèrent en Algérie…

Rosanette dit: à

@marie sasseur
Tout en délicatesse votre point de vie sur « Blaise »

Clopine dit: à

Jazzy, peu importe qu’il soit sympathique ou non. Il fait partie d’un quartier mosaïqué, il en est un des morceaux colorés (et centraux). Et il existe : et pour résister à nos préjugés, misérabilistes, compassionnels ou racistes, cette existence se suffit à elle-même.

J J-J dit: à

@ SV étale- Pas les Hauts de Hurle-Rouen, Emily… Plutôt « La horde du contre-Rouen », c’est mieux, comme dirait le bon Damasio, notre gentil Alain au terrorisme vert menacé par la macronie !
A bas les Darmanian, Charoulet, Macron & autres Bilgère !

et alii dit: à

Pas du tout ! Ces créations sont en réalité la spécialité du street artiste breton Clet Abraham. Son idée est simple : détourner les panneaux de signalisation avec humour et sans – trop – perturber leur signification. Interdictions de stationner, passages pour piétons, voies sans issue… Tous les sujets sont bons pour mettre un peu de vie dans la ville.
sur artips! bonne journée

Pablo75 dit: à

Ce que j’écoute le plus de Bruckner :
Anton Bruckner 7ème symphonie : 2ème mvt adagio ,dir Karl Böhm
Soleil vert dit:

Tu as bon goût…

Tu connais la version Celibidache? Plus de 30 min chez lui, contre 24 min pour Bohm (d’autres, comme le grand Mariss Jansons, le font en 21 min !)..

Celibidache avec la Philharmonie de Berlin, toujours en direct:
https://www.youtube.com/watch?v=dSGOaTuAesY

Marie Sasseur dit: à

Oui, mon point de vue est beaucoup plus  » delicat  » et sans etat d’âme, sur le fond de cette blagounette raciste , que celui de la duegne qui se liquéfie dans la flagornerie et l’obsequiosité.

Pablo75 dit: à

Après avoir entendu cela, que les snobinards aux oreilles encombrées de connerie esthétique admirateurs de Mahler aillent écouter sa bouillie sonore hollywoodienne et comparent:

Mahler: Symphony No.8, Accende lumen sensibus,
Heinz Walter Florin, conductor
https://www.youtube.com/watch?v=2BwBdOKrC3E

Peut-on être plus vulgaire et montrer plus d’impuissance quand on veut faire de la musique « colossal »?

Il faut dire que ce pauvre Gustav écrivait ses symphonies « gigantesques » à toute vitesse pendant les vacances d’été avec le seul but d’épater la galerie, alors qu’un Bruckner mettait des années à écrire les siennes et il les écrivait pour Dieu.

et alii dit: à

CLET Abraham (breton)
C’est aussi l’avis des fabricants de mobiliers urbains, puisque le Syndicat des équipements de la route (SER) ont fait de Clet Abraham leur invité d’honneur, le mois dernier, au salon professionnel Interroute.

Il n’empêche, dans la rue l’artiste vérifie qu’aucun policier ne patrouille avant d’apposer son sticker et de redescendre illico. Pas question de traîner, il pourrait être arrêté pour vandalisme. « Je suis dans l’illégalité, reconnaît Clet. D’ailleurs, les services de voirie éliminent une grande partie de mes productions ! Mais des villes considèrent au contraire que mes oeuvres sensibilisent à la sécurité routière et me passent des commandes. C’est tout le paradoxe. » L’année dernière, la préfecture de police de Paris l’a ainsi embauché pour former des collégiens à la signalisation. Plus drôle, Brest vient de lui demander de repenser la signalétique dans et autour du musée des Beaux-Arts, alors qu’en 2015 la police municipale de la ville l’avait pincé la main dans son sac d’autocollants… et gardé quelques heures au poste. Il est vrai que la maréchaussée fait souvent les frais de ses facéties.
https://www.leparisien.fr/societe/tombe-dans-le-panneau-04-07-2016-5937051.php

D. dit: à

On pourrait finir en beauté sur une photo de Clément.

Pablo75 dit: à

Et puis, à ce propos, Monson insiste sur le fait qu’Alma n’aimait pas la musique de son mari décédé. […] Alma la grande romantique qui fait un blocage sur les symphonies de Gustav ! Je suis étonné.
Damien dit:

Pas moi… Elle avait de l’oreille, elle !!

J J-J dit: à

… faut bien dire que quand ma soeur n’a plus la primeur des internautes s’intéressant à quelqu’une d’autre qu’à elle-même, la nature de sa riposte pour réoccuper la ligne est toujours amusante, du moins sans grande surprise. Comment appelez-vous ce genre de syndrome undercover, déjà ?
(Moij, Blaise, je le vois comme un personnage fictionnel… Peu m’importe s’il existe vraiment – Je ne projette rien à son égard ni à l’égard de sa créatrice – Mais jzmn, si vous ne voyez pas un minimum de bienveillance gratuite dans mes propos à l’égard de CT et de sa nouvelle (recrue), je le déplore un brin… voilàge -> Quant aux biographies d’Alma Mahler, et autres considérations sur Bruckner de la part des deux abrutis mélodistes trolistes, si vous saviez comme je m’en tape sur le cul ! – mais grands biens leur fassent, hein, on n’ira point les déloger !).

D. dit: à

Je ne plaisante pas. Clément était un chien adorable, Michel Houellebecq reste pour l’éternité (qui a déjà commencé) lié à Clément. Et réciproquement. La rencontre et la vie partagée avec un animal n’est pas du fait du hasard mais du fait de la providence. C’est le fait de Dieu.

closer dit: à

Ne faite pas l’innocent, lmd…votre comparaison entre des colonisateurs et des migrants économiques n’avait aucun sens. Et ne réduisez pas les colonisateurs aux européens.

D. dit: à

Ce n’est même pas une question de vulgarité, Pablo. Dans l’exemple donné, c’est une musique vide. Elle ne peut intéresser que des fous ou des menteurs. Et pourtant le 1/1000 de Malher est génial. Il me fait terriblement penser à Dylan.

D. dit: à

Y’a les ptits aréopages de province et les gros, les internationaux.

Jazzi dit: à

« Jazzy, peu importe qu’il soit sympathique ou non. Il fait partie d’un quartier mosaïqué, il en est un des morceaux colorés (et centraux). »

Clopine, toi qui passe ton temps à dénoncer les causes : du capitalisme, de la condition des femmes, de la pollution de la planète, etc., sur l’immigration je te trouve bien frileuse !
A croire que Blaise flatte ton masochisme intrinsèque ?

Highlander dit: à

Rosanette,

Je sais, à peu près tout de même, que la plupart des intervenants ici sont des écrivains, certains même affirmés, les autres y aspirant.

Pour ma part, je n’ai rien écrit de ma vie, à part quelque lignes bizarres et maladroites sous l’effet d’un anesthésiant qui venait de me libérer. Le résultat, ma mère a eu peur de moi. A part ça, je porte en moi tous les rêves du monde, disait Personne (un Ulysse celui-là qui n’est jamais sorti de sa ville, même peut-être de son quartier, pour une bonne vingtaine d’années, l’aller-retour de l’autre).

Bien évidemment, j’ai lu le fameux Blaise comme un personnage de fiction, le contraire aurait laissé sous-entendre que je suis assez familier de Clopine, ce qui n’est pas vrai du tout, de tout point de vue. Même quand les gens me disent « regarde ce qui m’est arrivé », je me projette tout de suite dans une optique de fiction, car seulement ainsi nous pouvons engager une conversation avec l’autre.

Bon, je vais relire votre « mea-culpa », pas encore bien compris.

Jazzi dit: à

JJJ, Rosanette, rose, l’amitié ne consiste pas à flatter dans le sens du poil ceux que l’on prétend aimer… d’amitié.
J’ai dit à Clopine que je trouvais que son texte était dense et porteur de sens – les réactions qu’il a suscité ici le démontre parfaitement-, mais je lui ai fait part aussi de mes interrogations et réserves.
Comme à son habitude, celle-ci préfère botter en touche et les ignorer.

Clopine nous dit qu’elle regrette d’avoir fait subir à Clopinou, qui est désormais un homme, la signature de son internement.
Moi, à 16 ans, j’ai dû, non pas à la demande de ma mère mais contre son avis, la faire interner d’urgence et de force…

Jazzi dit: à

toi qui passes…

Pas contre son avis mais contre sa volonté.

Bill Evola dit: à

la nouvelle naissance de DOC(K)S, revue de poésie contemporaine (plus de 135 n° depuis 1976. Belle performance de Joêl Hubaut

Hubaut botte en touche depuis son adolescence!

Bill Evola dit: à

la nouvelle naissance de DOC(K)S,

Mais qui connait Bocks sur ce blog mis à part un ancien féru de poésie d’avant-garde marseillaise?

Rosanette dit: à

@Highander
Vous ecrivez
« Je sais, à peu près tout de même, que la plupart des intervenants ici sont des écrivains, certains même affirmés, les autres y aspirant.
Ce que vous dites m’étonne ; les écrivains ou les aspirants à le devenir sont l’exception dans cette communauté bloguesque qui rassemble des gens éloignés de l’écriture mais intéressés par les livres, donc par les billets du maitre ;des posteurs qui a l’occasion ont quelque chose à dire à partir des digressions auxquelles donnent lieu ces billets et qui dans l’ensemble, cherchent et trouvent ici leur « café du commerce » sous forme écrite avec même les eng …lades propres aux disputations qui caractérisent ces lieux
Personnellement comme écrivains ou aspirant à le devenir ,je n’en vois que trois dans les habitués du lieu

et alii dit: à

certitude:
les réactions qu’il a suscité ES

Patrice Charoulet dit: à

@Rosanette

Un webmagazine quotidien influent m’a fait l’honneur de me confier la rubrique « langue française ». La transformation fautive du mot « aréopage » en « aéropage » (!) est, vous avez raison de le dire, une des mille fautes…à ne pas faire.
J’avais écouté , assez distraitement, l’émission dont vous parlez. Et je n’avais pas entendu ce mot…maltraité.
P.-S. Je ne sais qui sur ce blog commence une phrase par « A bas… ». Suivent quatre noms, dont celui du président Macron et du mien, assortis de deux autres mal orthographiés. Quel mouche a piqué cet anonyme ? Qu’il aille prendre une douche froide.

Jazzi dit: à

et démontreNT, et alii !

Jazzi dit: à

« Un webmagazine quotidien influent m’a fait l’honneur de me confier la rubrique « langue française » »

Peut-on savoir lequel, monsieur Charoulet ?

et alii dit: à

JE N4AI PAS RETROUVE EN REMONTANT DANS LE FIL LA DEMONSTRATION / ANYWAY PIEGE OU RUSE? I smell a rat

Jazzi dit: à

« JE N4AI PAS »

JE N’AI PAS, et alii !

J J-J dit: à

@ flatter dans le sens du poil ceux que l’on prétend aimer… d’amitié

mais vous êtes tellement centré sur votre kantasoie, jazmn qu’on ne comprend généralement rien de ce que vous reprochez aux autres de racontez sur CT, à cause de leur mauvaise distance… Mais vous mélangez tout. Qu’ai-je à foutre, pmp, d’établir dans le même message des parallélismes personnels avec les histoires autobiographiques de Clopinou et sa mère, et par ailleurs son histoire de Blaise ?… Qu’est-ce que l’amitié aurait à voir là dedans…
TSPCSii vous ne jouiez pas vous-même le rôle de la concierge perpétuelle du cimetière de l’erdélie ! A t on déjà vu des concierges neutres, sachant effacer le moindre jugement de valeur des choses qu’elles ont vues et mal méditées, face à la prétendue inobjectivité des autres ?
(par moments, et de + en + souvent, vos remarques m’énervent franchement grave). Voilâmes, cédit !

Rosanette dit: à

@Et alii
merci de cette leçon d’orthographe …ou plutôt de cette injonction à me relire , car je me crois a l’aise sur l’accord du participe passé et je sais notamment pourquoi on doit écrire « je me suis lavéE » mais  » je me suis lavE la tête »

et alii dit: à

Mr Charoulet, je nai pas trouvé non plus que « grand bien » pouvait s’écrire au pluriel comme écrit ci-dessus avec « leur fasse »
merci si vous pouvez préciser

closer dit: à

Bien sûr Jacques. Si quelqu’un avait pu se poser en victime de la vie, c’est bien toi et non Clopine qui n’en a jamais bavé vraiment pour autant qu’on le sache. Être trompée, c’est le lot commun de « millions et de millions d’hommes et de femmes » comme disait l’autre. Tu as montré un courage et un esprit de responsabilité exemplaires, tu t’en es sorti et tu votes à droite (en tout cas pas à gauche)! Ni aigreur, ni ressentiment, voilà le type de parcours qui me plaît…

et alii dit: à

je n’ai rien dit à rosanette; (il doit y avoir un mic mac sur le blog) -je n’ai rien à dire à rosanette du tout,du tout-

et alii dit: à

personnellement, je me range à la mise en garde de Blaise Pascal:
“Peu d’amitiés subsisteraient, si chacun savait ce que son ami dit de lui lorsqu’il n’y est pas.”

Janssen J-J dit: à

Il persiste & signe, ce faisan… D. Car font tous partie de la même caillera, la bande des quatre, plus une… et Charoulez jeunesses… Il dit qu’il vaut toujours mieux écorcher le nom des blaireaux et autres putois, seule condition pour qu’ils sentent un peu moins mauvais !…

closer dit: à

Oui JB, si quelqu’un pouvait se plaindre que la vie l’a malmené, c’est bien toi! Mais tu t’en est sorti par ta résilience et ton courage optimiste. Aujourd’hui tu ne votes pas à gauche et n’en veux pas au monde entier…Un parcours très respectable.

J-J J dit: à

avez-vous vu sa gueule d’apéro-âge ?

J J-J dit: à

et moij’prétends : « ce n’est point parce que j’ai dit du mal de mon ami quand il eut dos tourné, qu’il n’est pas resté mon ami »… Or, j’estime cette sentence beaucoup plus puissante que celle de Blaise… Etonnamment, elle n’a jamais été dûment répertoriée dans les annales. Et pourtant, ayant été tirée de son contexte du 21e s., elle restera immarcescible, quant on aura oublié l’autre. Orgueil ? Où est ta victoire ? Ces espaces infinis m’effraient sans m’ébranler !
(sur mes médications pascaliennes, bien à vous, PB !).

et alii dit: à

Pourquoi dire : « Never complain, never explain » ?

Janssen J-J dit: à

@ si quelqu’un pouvait se plaindre que la vie l’a malmené, c’est bien toi!

Non, pour ma part, je ne vois là aucun modèle d’amicale flagornerie du genre, 🙂

Jazzi dit: à

Je n’ai pas le sentiment que la vie m’a malmené, closer.
Disons que j’ai été émancipé très tôt, et c’est une chance…

closer dit: à

Je parlais surtout de l’enfance/adol. dont tu as donné un échantillon à l’instant…

Rosanette dit: à

M .Charoulet
Une suggestion pour alimenter votre contribution a ce blog
Faites une recension de tous ces mots ou expressions venus de l’étymologie populaire, d’effets de contagion de leur sens ou leur de sonorité ,et même de maladresses repetées d’expression, qui ont fini par rentrer en toute respectabilité dans la langue avec un sens particulier souvent eloigné de son sens d’origine , comme « choucroute », qui à l’origine n’a rien à voir avec le chou, »se mettre sur son 31″ qui parle de fringue et pas de chiffres ,la vache espagnole qui pourtant dans la realité ne parle pas ,la fête foraine qui n’a pas de rapport avec la racine foire, « ne pas etre sans ignorer, qui finit par vouloir dire « savoir » donc le contraire de ce que cette phrase signifie à la lettre ;vous pourriez y expliquer le pourquoi du sens pris par la tautologie » mars en carême » ,ou du fait que  » au temps pour moi  » peut s’écrire autant pour moi »
Une telle recension avec l’analyse de l’émergence et de l’evolution de ces mots ,phrases et expressions et de leur sens serait intéressante offrir à vos lecteurs et je pense que la matiere à explorer serait vaste
c’est d’ailleurs un produit que vous pouvez livrer à l’unité dans une rubrique régulière dédiée

Phil dit: à

Grand déballage sur le prestigieux blog à passou, à l’aise Blaise. Les riches heures de dame clopine provinciale, qui l’eût cru, jour anniversaire de Blaise Pascal

vadeboncoeur dit: à

Bravo Patrice!

J J-J dit: à

Une suggestion pour alimenter votre contribution a ce blog

vous êtes une sainte, rznt, pour croire (ou imaginer) votre interlocuteur capable de comprendre quoi que ce soit à ce que vous lui suggérez. A la stupidité humaine, nul n’a jamais trouvé remède, comme aurait dit Jerphagnon Lucien, et cela dure depuis des siècles et des cyclamens !

J J-J dit: à

@ Les riches heures de dame clopine provinciale

mais comme aurait dit MC, ne valent point trop celles de la duchesse de Berry
(pardon dirMC/PR d’usurper une de vos possibles pensées. On joue un brin, quoi, avant de filer à l’atelier du lundi)

Clopine dit: à

Euh, Jazzy moi aussi c’était contre mon avis (je ne voulais pas retourner à l’hp). Bon là j’ai pas le temps mais je te répondrai et t’interroger ai, si tu me le permets, car je trouve que tu as bigrement changé..
Et cela me navré un peu.

Jazzi dit: à

« je te répondrai et t’interroger ai, si tu me le permets, car je trouve que tu as bigrement changé.. »

Aie, ça commence mal !

Alexia Neuhoff dit: à

« Quel mouche a piqué cet anonyme ? » (Charoulet)

En dépit de ses prédispositions pour l’académisme, M. Charoulet se lance audacieusement dans la masculinisation des noms dont l’espèce entière est désignée au féminin. « Quel souris a grignoté mon dictionnaire ? » « Quel fourmi a snobé le cigale ? »

Clopine dit: à

Ca commence ou ça finit, Jazzy ? Non, là je suis moi aussi une des mouches piquées, de manière si rigolote, par Alexia (parce que l’impavide Charoulet fait tellement penser à tous ces profs que nous avons subis !). Je voudrais te dire plein de trucs, et aussi savoir comment toi, l’affable, le courtois, l’impeccable parisien, tu deviens petit à petit un tantinet amer. Bon, j’ai des hypothèses, hein. Je voudrais juste les vérifier. C’est finalement ma manière à moi de concevoir l’amitié : interroger le parcours de quelqu’un avec qui on a partagé de bons moments… Comme notre première rencontre, tiens. Je me souviens parfaitement : nous, enfin peut-être surtout moi va savoir, étions tellement en train de bavacher que tu t’inquiétais, car le serveur du café où nous nous étions retrouvés montrait par tous les signes en son pouvoir (mettre les chaises cul debout sur les tables, sortir le balai…) qu’il nous fallait déguerpir. Je voyais ton agitation, ça me faisait sourire : peut-être étais-tu en train de te dire que la provinciale que j’étais (redevenue depuis citadine) n’avait pas les codes ? Oh que si ! Moi aussi, je comprenais qu’il était temps de clore notre conversation. Mais c’est vrai : c’était un tel plaisir de parler avec toi… De la Rdl… t’en souviens-tu ?

Rosanette dit: à

@ m.Charoulet
j’ai écrit blog par erreur ;je ne pensais pas à la RDL.
Ma suggestion concernait votre future contribution au webmagazine qui a sollicité votre concours

renato dit: à

Depuis que l’autoproclamé critique musical a qualifié d’andouilles ceux qui apprécient Mahler je n’arrête pas d’imaginer Bernstein en spécialité charcutière.

MC dit: à

« J’ai des hypothèses, je voudrais juste les vérifier «  Pas mordre, Clopine, pas mordre…

Clopine dit: à

MC, si vous pouviez, une heure, une heure seulement me ficher la paix… Mais qu’en dit votre psy ?

Samuel dit: à

Pourquoi Victor Hugo disait un jour de Sarah Bernhardt qu’elle était « pire que jolie » ?

et alii dit: à

j’avais cru, que l’un des propos du blog était d’amener des personnes qui avaient a priori des affinités par l’intérêt « littéraire et intellectuel »
(la ligne d’histoire littéraire à sciences humaines) à se parler à partir du billet proposé par P.Assouline;il semble que d’autres éléments entrent en jeu-comme l’origine,l’expériencefamiliale et/ou professionnelle parfois dite le « milieu », et qu’ils soient prépondérents;

et alii dit: à

prépondérants

et alii dit: à

je suis aussi « provinciale »!

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