Michel Houellebecq ravi par ses ravisseurs même
Cette fois, c’est sûr : Jean-Luc Godard a été dépassé par son meilleur élève. Michel Houellebecq l’a supplanté, du moins médiatiquement. Il est celui que l’on veut interviewer car on guette ses provocations, ses débordements. Avec eux, il y a une chance sur deux qu’ils laissent passer un trait de génie, avec un sens de l’humour et un comique de situation irrésistibles, au milieu d’un certain nombre de banalités solennellement énoncées. L’un et l’autre sont les plus attendus des inattendus. Ils avancent par explosions de pensée et plus encore quand un micro leur est tendu. Leurs personnages chétifs sont assez semblables, jusque dans le débraillé, l’élocution, le bafouillage et l’enfumage. Là s’arrêtent les analogies. Car les romans de l’écrivain sont lus par presque tous depuis ses débuts, alors que presque plus personne ne voit les films du cinéaste depuis des lustres. On n’ose rêver d’une interview de Godard par Houellebecq…
Ceux qui douteraient des capacités d’acteur de l’auteur des Particules élémentaires ne doivent à aucun prix rater L’enlèvement de Michel Houellebecq ce mercredi soir à 22h15 sur Arte. J’aurais peut-être hésité à vous le recommander s’il avait été diffusé en salles : certains ne m’auraient peut-être pas pardonné le déplacement, le prix de la place, la difficultés à se garer etc pour… « ça ». Alors qu’à la télévision, il serait impardonnable de le rater. Acteur, lui ? Ce n’est pas la première fois et probablement pas la dernière car il semble qu’il y ait pris goût. Attiré par l’expérience (qu’est-ce que cela fait non d’être acteur mais de faire l’acteur ?), il brûle de recommencer, encore que « brûler » soit trop passionnel pour quelqu’un d’aussi amorphe.
Il avait déjà incarné un patron des services secrets dans le précédent film de Guillaume Nicloux sur l’affaire Gordji. Ce qui a donné envie au réalisateur de lui demander d’aller plus loin en s’incarnant lui-même. Non pas le Michel Houellebecq épouvantail à médias mais le Michel Thomas de tous les jours, placé dans une situation extrême : des gugusses décident de l’enlever et de le séquestrer en espérant obtenir un bon prix. Des branquignols à la dégaine invraisemblable, aussi costauds, épais, lourds, impressionnants qu’il ne l’est pas. Un petit chose fragile et toujours prêt à tomber au milieu de pieds nickelés à la carrure de déménageurs. Mais il les manipule tellement avec son verbe, son rire, ses métaphores, ses litotes, ses références qu’il finit pas les kidnapper moralement. Le spectacle irrésistible de leur stupéfaction face à sa causticité et son flegme en toutes situations donne une idée de ce renversement qui baigne dans la fumée des cigarettes et les vapeurs alcoolisées. Les dialogues fleurent bon l’improvisation, ce qui est une prouesse. Tout y passe : la littérature et les écrivains bien sûr, le sexe beaucoup, le free-fight, l’architecture selon Le Corbusier, l’Union européenne, la Pologne (un couple de Polonais exilés est leur hôte) ; on y apprend que notre héros est « vierge du cul » (amis du club des poètes, bonsoir !), que le milieu littéraire est peuplé de pédophiles et autres considérations artistiques (son interview vidéo au point en donne une idée) ; c’est parfois brillant, souvent digne du café du commerce mais dans un quartier très défavorisé, convient-il de préciser depuis que les « Brèves de comptoir » ont anobli le genre. En pleine forme, si l’on peut dire, on le sent ravi par ses ravisseurs même. Ce rôle témoigne avec brio d’une extension du domaine du comique.
Il occupe l’image en permanence, ce qui laisse le temps d’examiner la qualité de ses implants capillaires, ou de son lifting ; mais malgré ces miracles de la chirurgie plastique, au lieu d’en être rajeuni, il en est sorti abîmé, délabré et recru d’années. A 58 ans à peine, il en paraît 70. Rien n’est pathétique (au sens propre du terme : « qui émeut ») comme de le voir, la lippe pendante, s’exprimer et manger tel un vieillard édenté.
Ca été fait avec un budget de 500 000 euros et deux caméras numériques. C’est une sympathique pochade tant qu’ils ne se prennent pas au sérieux. Le cas des acteurs mais pas sûr que ce soit celui du réalisateur. De son propre aveu, marchant sur les brisées du théoricien de la sémiologie du cinéma Christian Metz, celui-ci a voulu mélanger le documentaire et la fiction pour mieux dire la vérité même si le postulat de départ est faux. Par moments, on ne sait plus si c’est du lard ou du cochon, ce qui n’a d’ailleurs aucune importance tant le résultat est hilarant. On habillera ce méli-mélo avec les pirouettes et faux-nez habituels : mise à nu, mise en abyme etc
Nicloux est paraît-il prisé chez les producteurs et dans les chaînes. Son film n’en est pas moins foutraque au possible. Du filmage à la va comme je te pousse, le degré zéro du montage, et pourtant on rit, on s’émeut, on est sensible à la sensibilité du héros. A tout instant, on croit qu’il va tomber tant il vacille, plane de Bourbons en whiskies, la clope au bec, si naturel en Droopy dépressif et alcoolo-tabagique. Le chien Freddy joue très bien aussi. La pute est très vraie, comme le hasch qui circule parfois. La Bentley roule vraiment à 300km/h. Chacun dans son rôle. Des tas de gens passent par là, s’arrêtent sur le plateau pour bavarder et même l’agent littéraire François-Marie Samuelson, à peine échappé d’un chapitre du Royaume d’Emmanuel Carrère. Dommage que ce film d’une heure et trente minutes en ait vingt de trop ; resserré, en coupant notamment lorsqu’une discussion s’échauffe et tourne au conclave de beaufs avinés, il aurait conservé son rythme de bout en bout.
Il se trouvera toujours des sectateurs du grand Michel pour trouver du génie à cette queue de comète du cinéma-vérité. On aurait tort pour autant de bouder son plaisir. Au fond, ce qu’on n’ose imaginer, ce serait plutôt le prochain film de Godard avec Houellebecq dans le rôle principal.
(Photos Uly Martin et D.R.)
833 Réponses pour Michel Houellebecq ravi par ses ravisseurs même
@Ueda dit: 29 août 2014 à 10 h 30 min
Notre ami fait feu de tout bois sur son Sinaï portatif.
Il se réclame avec la même ferveur de pensées incompatible.
C’est égal, il n’est pas désagréable de relire quelques sentences du grand philosophe Wittgenstein-Riz.
je n’ai pas regardé jusqu’au bout, mais j’ai observé deux scénettes
mh qui sort de chez lui avec sa valise à roulettes, le taximen lui ouvre la porte, il fait une pirouette et décide de prendre le métro.
ce qui est aussi montré ce sont les marques d’affection de ses fans, je n’ai pas reconnu en effet françoise lebrun de la maman et la putain, mais le dialogue au piano, avec ces échanges du beetoven versus mozart en accéléré relève en effet de la brève de comptoir.
pour son look il endosse le costume du french marinière et fume non stop ..
dès que j’ai vu le gros j’ai arrêté parce que cela m’ennuyait fortement, à ce compte là le film Tip Top était bien plus déjanté, ce n’est pas un film à voir pour un belge qui fait depuis longtemps dans le genre que lui – même en est lassé.
« Houellebecq à le goût du mauvais goût »
Houellebecq a le goût de vendre sa salade (pas très fraîche à la consommation d’ailleurs) et les gogos achètent en essayant de trouver quelques bribes d’intérêt à un produit qui n’en a aucun.
Le même produit vendu par Lagaffe ferait gerber la rdl, Télérama et Saint-Germain-des-prés réunis.
C’est nul point, et la caution intellectuelle que vous y cherchez n’existe que dans votre volonté de la trouver à tous prix.
« Un modèle dans le genre de la conférence » (Daaphnée)
Tout à fait d’accord.
Metz: étudiant, j’étais tombé admiratif devant cette cathédrale aujourd’hui engloutie.
Très bon jugement de Vernet (que je ne connais pas), j’y reviendrai.
… Je trouve que le film de Nicloux s’apparente au cinéma de Delépine et Kerven. Assisterions-nous au développement d’un nouveau genre : un réalisme aussi « noir » que le néo-italien d’après la Libération, mais traité sur un ton « comico-trash » ?
« mh qui sort de chez lui avec sa valise à roulettes, le taximen lui ouvre la porte, il fait une pirouette et décide de prendre le métro. »
C’est une scène proprement stupéfiante dont le sens demeure flou. Elle a sans doute un caractère central, symboliquement très fort par rapport à la psychologie du personnage. Veut-elle exprimer sa désorientation, son indécision fondamentale, son désengagement vis-à-vis du quotidien, sa volonté d’aller à contre courant ?
il y a une autre scène où il confie ses devoirs de membre du jury de 30.000 d’amis, et précise qu’il fait sérieusement je job, que les réunions se passent à droguant pardon le resto des goncourt, il rend le monde littéraire d’une simplicité qui se fout du décorum des lettres au degré le plus élevé qui soit, c’est un acmé !
Clopine Trouillefou dit: 29 août 2014 à 11 h 04 min
Je trouve que le film de Nicloux s’apparente au cinéma de Delépine et Kerven
Mindieu, que Delépine et Kerven puissent lui pardonner.
Oui, très drôle l’histoire de Drouant. J’imagine la tête des jurés Goncourt à la pensée que MH a déjeuné dans le même salon : ils vont demander à ouvrir les fenêtres !
oui on peut dire çà, mh totalement désinhibé n’en fera qu’à sa tête.
pour ce qui est de son visage pathétique sans dents, cela rappelle les films de quartiers défavorisés où tout un chacun accepte d’être pris en vue et d’être montré au centre culturel le plus proche.
Clopine, le nouveau film de Delépine et Kerven, qui sort en salle ces jours-ci, est justement centré sur…Houellebecq.
http://www.fxzik.net/video_MoXj41qTfis_NEAR-DEATH-EXPERIENCE-de-Benoît-Delépine-et-Gustave-Kervern.html
C’est parce qu’il a vu que le chauffeur est arabe, qu’il ne veut pas monter dans le taxi, peut-être ? Pour la jeune Fatima, là, il en redemande !
Touite
Badiou, Bourdieu et Foucault vus d’Allemagne
Je ne connais pas ce site, mais la personne qui traduit obligeamment un texte allemand se livre probablement à un exercice scolaire.
So hat auch der französische Philosoph Alain Badiou, allerdings mit subtil-ironischer Note, beschrieben, wie sehr sich »die französischen Philosophen von der deutschen Sprache, dem deutschen Denken eingeschüchtert fühlen«
C’est aussi ainsi que le philosophe francais Alain Badiou, avec une note subtile et ironique cependant, démontre comment „les philosophes francais de la langue allemande, se sentent intimidés par la langue allemande“…
?
Sur la photo,
sa queue tire la langue,
boue rouge,
et Na !!!.
Pour la jeune Fatima, là, il en redemande !
allons baroz « l’integration en france passe par les femmes »..hurkurkurkurk..si t’as pas de thune il te reste le beau cul..sans ? t’es mal barré
ben, pour moi, la scène du taxi-métro est là justement pour accentuer le côté « réaliste » : volonté de l’écrivain de choisir plutôt un mode de transport populaire et éprouvant (parce que le métro, hein !)plutôt que le confort d’un taxi… Et puis le côté souterrain du métro est symbolique de la « descente » (dans tous les sens du terme !!) du héros…
l’avocat est bien quand même baroz..pour ça que soral ça aurait été great
l’incongru clopine, la mise en danger cocasse ça met en valeur l’insoutenabe légéreté..l’effet pas le sens
Houellebecq à le goût du mauvais goût
le lumpène en dentelle pluôt que le prolo..vieux reflesque pour faire l’anar de droite acceptabe..le classieux est invendabe..enfin pour le moment..dracul essaie avec millet et attila..mais ça vend pas sa barilla épicétou
l’anar acceptabe chosit le spirituel, le dégénéré le temporel..la pub..son discours qui hurle si gentiment..la missa est jamais finite
L’ad’voka,
je vote oui,
des deux mains !.
Jacques, il faudra à l’acteur Houellebecq, s’il veut un avenir dans la profession, franchir le pas et adopter un contre-emploi, sinon il risque de tourner encore et toujours le même film (déjà que, question littérature, c’est le cas). Faudrait lui proposer, au choix, un jeune premier séduisant ou un rôle façon Tootsie. Comment cela, ce n’est pas envisageable ? Mais si, au contraire : envoyez-moi le Houellebecq se retaper six mois à la campagne, avec un soupçon de chirurgie et un bon dentiste, un régime tout-au-beurre et des carottes nouvelles, de celles qui font les cuisses roses et qui vous rendent aimable, et il sera d’attaque !
(bon d’accord, je sors ; vous savez bien pourtant, qu’il ne faut pas m’encourager à divaguer)
Je vois que Microbout est reparti dans ses exégèses façon devinettes-Carambar-qu-a-tout-compris. Je vous laisse en bonne compagnie.
(A M. Court, pour Sainte Colombe, je ne faisais pas allusion au bâtiment, mais à la momie elle-même, vue par hasard au cours d’un promenade dans la ville avant l’embarquement vers la Grèce).
C’est nul point, et la caution intellectuelle que vous y cherchez n’existe que dans votre volonté de la trouver à tous prix
c’est vrai de la vie aussi..de ton temps de cerveau disponibe faut montrer que t’en fait quelquechose d’ote l’aminche..c’est pas une démonstration qu’il faut faire..le publicitaire se fout des démos..même il en fait facilement un personnage comique et con, c’est la définition dailleurs
toute une matinée de vacances..et n’oublie pas de noter mon scrétaire!
oui m’enfin le problème n’est pas là, mh habite visiblement dans un appartement au dernier étage d’une dalle assez confortable, il ne fait que bavasser sur un parquet acajou qui n’est pas montré et voudrait du mobilier orange, c’est hyper vintage tendance , ce n’est pas la noire misère, hein ? il ne semble perso ne pas avoir besoin de pèz. Son choix pour le métro n’est pas un truc rationnel comme ses airs un peu bof quand il reçoit un pull ou signe des autographes.
La semaine d’avant, c’était cet épouvantable téléfilm biographique sur Sagan. (Weel-beck ressemble d’ailleurs à une veille femme). La scène avec l’entrepreneur frappante de ce point de vue.
..cheuloux il suffit pas de tenir à être un personnage ridicule..tu l’es..mais passes tu le casting..non t’es sans imagination
Metz: étudiant, j’étais tombé admiratif devant cette cathédrale aujourd’hui engloutie.
non..enfin pas par les praticiens..il s’en servent
un régime tout-au-beurre
l’obésité en Normandie après tu comptes tes cheveux!
Il existe des métissages (d)étonnants. Le gros du film, si j’ai bien compris, est juif et romanichel !
Et dans le portrait d’Arnaud Montebourg, diffusé hier soir dans Envoyé spécial sur A2 (à voir en replay si vous l’avez manqué), j’ai appris qu’il était de père morvandiau et de mère arabe…
Vous n’aurez pas manqué de vous reconnaître dans le personnage du gros lard veule, fainéant, susceptible
dédé lui l’a dit en direc live..c’est ça l’imagination mes ptis chéris..et tiens c’est ça qui m’a donné envie d’aller voir..l’imagination c’est communicatif…communicatif vous comprenez ça les veaux morts?
Un peu de route, mon gros Microbout, mais pas beaucoup,- suis revenu hier pour diner avec un ami de passage en France.
(500 KM aller-retour pour voir un ami, ce n’est rien.)
J’espère que Mémère Bouguereau n’a pas oublié de t’approvisionner en packs. – On devrait te rebaptiser Boukro.
blablabla..
Microbout-bouguereau, crasseuse et avinée variation d’Alba. Tout l’été à dégoiser le cul sur une chaise, sans en bouger, et qui parle « ridicule » et « imagination ». Ferait mieux de fermer sa gueule…et de bouger son gros cul.
Hé bé!
ça fait du bien quand Chaloux torpille le vieux débris de mots, le sinistre boukro, bien vu
ma mère les vlà ratelé les 2 bourrins..ça sniffe la rentrée
vais rgarder ton lien metz dafnoz..connais pas ce gars qui cause non pus
c’est bien possible jacques barozzi, les origines détonnantes, mais quand on fait simplement de la figuration comme acteur c’est plutôt pour la trogne que le fond, non ? C’est bien ce que dit Lonsdale dans maestro.
si c’est pour faire monter en sauce on n’a qu’à voir sur wiki montebourg ses origines sa vie privée, chaque étape d’une vie est un choix, délibéré parfois imposé.
j’ai appris qu’il était de père morvandiau et de mère arabe…
et tout ça ça fait d’excellents français baroz..
COMMENT S’ECRIT UN FILM D’AUTEUR FRANCAIS ?
D’abord tu prends un générique chiant sur un village super-nul (ça va plaire à Clonounouille)
hé, pasque tu te crois malin avec tes commentaires à la con, le vieux bourrin c’est toi chargé comme une mule, tu es la honte de ce blog
mais quand on fait simplement de la figuration comme acteur c’est plutôt pour la trogne que le fond, non ?
toutafé..mais avant faut une idée..la morvandiau bérbère c’est est une
Microbout-bouguereau, ce zéro au regard saindoux…
tu es la honte de ce blog
morvandio oranais comme lassouline..faudrait juste lui mettre une dent nouarte..baroz lui rfile un vieux débardeur..moi un bonnet rouge..clopine tient absolument a cqu’y est une couille qui dépasse comme du temps de reiser et c’est bon..action!
le seigneur et maitre que t’as choisit cheuloux..500bornes pour lui c’est beaucoup
Monsieur Montebourg a, côté maternel, des origines berbères et non pas arabes.
bouguereau dit: 29 août 2014 à 11 h 57 min
ma mère les vlà ratelé les 2 bourrins
Mais c’est le même, ce grand couillon de Chaloux.
Un billet « Houellebecq » et hamlet ne donne aucun signe de vie !
c’est de qui encore ? honneur à celui par qui le scandale arrive ?
bon hop un shampoing pour de qui me rets de tifs, demain casting à tournai.
Dans le film, le gros « rom » en fait des tonnes (tirade de parler djeune), ses deux potes sont meilleurs.
Le lutteur a d’impressionnants yeux vides.
« A 58 ans à peine, il en paraît 70. »
C’est une chance, au moins il inspire la compassion et on l’aide : dans le train on lui offre une place ; on lui descend son bagage… Tandis que le contraire…
COMMENT S’ECRIT UN FILM D’AUTEUR FRANCAIS ?
Etiré sur un long plan-séquence de 3h16, et c’est la palme d’or assurée, Le pain du jour !
Mais ça ne marche pas à tous les coups, en France il vaut mieux que le réalisateur soit étranger. Besson a bien essayé d’appliquer le recette à la lettre et il s’est pris un gros bide.
https://www.youtube.com/watch?v=p772d7uqNhM
Stato d’emergenza decretato dopo l’eruzione del volcano Bardabungabunga.
Montebourg, franco-berbère
Valls, helvetico-catalan espagnol
François Hollande et MH. franco-français
Bref, physiquement y’pas photo !
Vous allez bientôt recevoir les livres que vous avez commandés du ciel : attention à ne pas les prendre sur la figure !
« Google a conçu des drones capables de livrer des colis :
« On savait Google intéressé par les capacités des drones atmosphériques. Il s’avère que le géant californien souhaite également faire voler ses appareils beaucoup plus près de la terre ferme. Ses équipes ont dévoilé, jeudi 28 août, l’existence d’un programme nommé « Project Wing », sur lequel travaillent des dizaines de personnes depuis 2012. »
@ renato dit: 29 août 2014 à 12 h 37 min
« A 58 ans à peine, il en paraît 70. »
C’est une chance, au moins il inspire la compassion et on l’aide : dans le train on lui offre une place ; on lui descend son bagage… Tandis que le contraire…
Si en plus il est moche depuis toujours, il y des souvenirs mal tricotés.
Joe Dallessandro dit: 29 août 2014 à 9 h 44 min
non pas gay du tout. C’est même tout le contraire. Bienvenu au club des poètes !
Vous avez, comme la hairdresser, aussi une ambivalence du derrière ?
Un autre parcours détonnant !
« Kim Jong-suk (김종숙) naît le 29 août 1973 à Séoul, en Corée du Sud. Abandonnée dans les rues de Séoul 3 ou 4 jours après sa naissance, puis envoyée dans un orphelinat, elle est ensuite adoptée à l’âge de six mois par une famille française, en février 1974, et devient « Fleur Pellerin ».
Elle grandit à Montreuil, en Seine-Saint-Denis, puis à Versailles, dans les Yvelines.
Élève au lycée franco-allemand de Buc (académie de Versailles), elle est titulaire du baccalauréat scientifique1 et de l’Abitur obtenus à l’âge de seize ans1. Elle intègre les classes préparatoires commerciales à l’Ipesup1.
Admise à l’ESSEC, elle en sort diplômée à vingt et un ans. Elle poursuit ses études à l’Institut d’études politiques de Paris, où elle choisit alors la section Service public. À vingt-quatre ans, elle réussit le concours externe d’entrée à l’ENA. Elle deviendra alors élève de la promotion Averroès (1998-2000).
Fleur Pellerin maîtrise l’anglais, l’allemand, et des éléments de japonais. »
A noter que l’altitude minimale autorisée est de 150 mètres par rapport au sol pour les vols civils.
Toute personne est en droit d’intercepter un aéronef civil non habité et non militaire survolant son domaine privé à moins de 150 mètres de hauteur, à la condition que cette interception ne mette personne en situation de danger.
Tant pis pour Google…
« Arnaud Montebourg est le fils de Michel Montebourg, fonctionnaire des impôts, et de Leïla Ould Cadi, universitaire, professeur d’espagnol et essayiste issue, par son père, Khermiche Ould Cadi, d’une famille de walis de l’Algérie française et d’une mère normande. »
Bref, ce qui compte ce sont les qualités des gens, leur sociabilité, pas du tout les origines géographiques.
une ambivalence du derrière ?
une fesse qui dit merde à l’autre
Barozzi, contentez-vous de nous donner le lien vers l’article sur Wikipédia, ça reviendra au même.
A propos du banquier:
« ils n’ont pas remarqué qu’il était également ex-assistant du philosophe Paul Ricoeur et ex-membre du comité de rédaction de la revue « Esprit ».
Ah bon, ça vaut caution ?
Il faudrait développer un peu.
Jacques Barozzi dit: 29 août 2014 à 13 h 02 min
Baroz à bout de conciergerie recopie des pans entiers de wiki.
Ce commentaire en dit plus sur lui que sur Fleur P.
C’est quand même incroyable que des gens qui touchent à Internet depuis plus de 15 ans en soient encore là à ce niveau. Ça me sidérera toujours.
« Montebourg, franco-berbère
Valls, helvetico-catalan espagnol
François Hollande et MH. franco-français
Bref, physiquement y’pas photo ! »
« Bref, ce qui compte ce sont les qualités des gens, leur sociabilité, pas du tout les origines géographiques. »
Bref de rebref, il y a comme une contradiction, Catwalk ?
Eh oui, il y a une différence majeure entre ces deux jeunes Ministres : l’une a fait l’ENA, l’autre aurait bien voulu mais a raté deux fois le concours d’entrée. Et pourtant la seconde a un bien plus gros ministère que la première.
Cherchez l’erreur.
« Il est vrai que ces détails biographiques n’auraient pas collé avec leur démonstration. »
jamais élu, substanciels profits personnels par opération financière habile, que voulez-vous qu’on vous démontre de plus?
Et à quel sujet ?
Va falloir que je consulte madame Irma qui est très branchée idéologues.
« Cherchez l’erreur. »
Quand JC fait ses adieux, D. est de retour !
Jacques Barozzi dit: 29 août 2014 à 13 h 16 min
Il ne sait pas lire.
Jacques Barozzi dit: 29 août 2014 à 13 h 18 min
Point moncul atteint.
substanciels ?
plus-value :
http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/substantiel_substantielle/75113
(il n’est pas dit dans cette « bio » express de Betty que le banquier était un ami d’un autre grand ministre; je ne me souviens plus de son nom. Cahuzac ?)
D. a posé son gros cul sur la commode.
« ils n’ont pas remarqué qu’il était également ex-assistant du philosophe Paul Ricoeur et ex-membre du comité de rédaction de la revue « Esprit ».
Mais que n’attendez-vous vous-même de développer plutôt que de remuer votre popotin sur la branche?
Jacques Barozzi dit: 29 août 2014 à 13 h 23 min
Quand JC fait ses adieux, D. est de retour !
TKT nous manque, dans ce registre il est infiniment plus imaginatif que Barozzi.
Tu fais p’tit troll baroz.
Quel gamin, ce Barozzi.
Jacques Barozzi dit: 29 août 2014 à 13 h 25 min
D. a posé son gros cul sur la commode.
Tout faux baroz,
une habitude pour toi.
« ils n’ont pas remarqué qu’il était également ex-assistant du philosophe Paul Ricoeur et ex-membre du comité de rédaction de la revue « Esprit ».
Qui ? Barozzi ? Je n’en crois pas mes yeux !
Janvier 2014, Macron est encore au comité de rédaction de la revue Esprit..
« Et pourtant la seconde a un bien plus gros ministère que la première.
Cherchez l’erreur. »
Montebourg est un transexuel, D. ?
Qui ? Barozzi ? Je n’en crois pas mes yeux !
C’ est bonjour le péplum sur la commode!
« Ex-assistant (goûteur) chez Paul Ricard », c’est tiré de la bio de Bouguereau.
Développer ?
Mais tant que vous voudrez (il me reste 4 minutes à vous consacrer)
« Le siècle dernier a été marqué par la misère sexuelle. Le prochain sera peut-être celui d’une posthumanité harmonieuse, débarrassée du besoin de forniquer. »
http://voir.ca/scene/2014/05/15/fta-julien-gosselin-les-particules-elementaires-en-route-vers-la-posthumanite/
ESPRIT, Janvier 2014,
» Les nouvelles technologies empêchent-elles de penser? » ( Entretien avec Bernard Stiegler)
Certaines et certains, ici, devraient lire ce fort passionnant article.
La Macronéconomie, c’ est pour plus tard!
j’ai pas le temps de le lire, vous m’en ferez un résumé ?
Paul Ricoeur, La mémoire, l’histoire, l’oubli
Paris, Seuil, 2000
http://temporalites.revues.org/679
vous m’en ferez un résumé ?
Et puis quoi encore!?
Pages 66 à 78 et Alice Béja est aux questions.
C’est assez rare de se pseudomiser Jhttp://www.larepubliqueducinema.com/oe Dallesandro. « La Marge », excellent film de série B inspiré de Mandiargues. Et pas des looks de clodos comme l’autre râteau de la photographie. Baroz doit connaître.
Jacques Barozzi dit: 29 août 2014 à 12 h 41 min
COMMENT S’ECRIT UN FILM D’AUTEUR FRANCAIS ?
pas de bol pour Ricoeur…
pourquoi tant de haine contre les philosophes?
Enthoven, Ferry, Comte Sponville et Onfray viennent de monter un boy’s band.
nom du groupe : le philoboy’s band.
c’est welbec qui a fait les paroles de leur premier tube : « l’éternel retour », le premier couplet est chanté par Ferry, le deuxième par Comte Sponville, le troisième par Enthoven, le quatrième par Onfray, et pour les deux derniers ils les chantent ensemble :
Au fond j’ai toujours su
Que j’atteindrais l’amour
Et que cela serait
Un peu avant ma mort.
J’ai toujours eu confiance,
Je n’ai pas renoncé
Bien avant ta présence,
Tu m’étais annoncée.
Voilà, ce sera toi,
Ma présence effective,
Je serai dans la joie
De ta peau non fictive
Si douce à la caresse,
Si légère et si fine
Entité non divine,
Animal de tendresse.
Voilà, ce sera toi,
Ma présence effective,
Je serai dans la joie
De ta peau non fictive
Si douce à la caresse,
Si légère et si fine
Entité non divine,
Animal de tendresse.
C’est pas en restant les bras croisés devant un vélo qu’il va passer le mur du son…
Michel Houellebecq est le plus grand écrivain français de ces 50 dernières années !
ces livres sont d’une rare intelligence, d’une rare intensité, d’une rare densité de pensée, d’une rare profondeur d’analyse, sur la société occidentale, analyse sociale, analyse économique, analyse psychologique, analyse politique.
mon préféré c’est la possibilité d’une île, c’est une livre qui suscite une rare réaction de surprise : une découverte à chaque page.
j’aime bien aussi les particules élémentaires, un livre d’une très rare rareté, surtout avec le type qui clone, introduire le clonage dans la littérature c’était une idée tout à fait originale, et tout à fait intéressante et rare.
Deneb dit: 29 août 2014 à 13 h 29 min
Quel gamin
C’est quand on est encore vivant qu’on est gamin…
En fait non, le talent de Houellebecq tient plus à son style, qu’à son contenu, plus à la forme qu’au fond.
c’est un écrivain au style rare.
D’aucuns diraient trop rare.
Mais le monde littéraire n’a d’intérêt à avoir cent welbec alors qu’il pourrait avoir 100 Darrieussecq sans problème.
welbec doit rester une denrée rare.
il est un peu le Jeff Koons de la littérature ou plutôt le Damien Hirst.
je ne me lasse pas de lire ses citations :
http://evene.lefigaro.fr/citations/michel-houellebecq
Toute grande passion débouche sur l’infini.
Plus on a du succès, plus on devient timide.
Il y a la sexualité des gens qui s’aiment et la sexualité des gens qui ne s’aiment pas.
Les femmes sont plus faciles à choquer.
ma préférée :
Apprendre à devenir poète, c’est désapprendre à vivre.
quand on sait que c’est le plus grand français des 50 dernières années ça donne une idée des autres.
sur sa fiche wiki ils ont sélectionné les meilleurs extraits de ses livres, comme celui-là tiré de la carte et le territoire :
Jeff Koons venait de se lever de son siège, les bras lancés en avant dans un élan d’enthousiasme. Assis en face de lui sur un canapé de cuir blanc partiellement recouvert de soieries, un peu tassé sur lui-même, Damien Hirst semblait sur le point d’émettre une objection ; son visage était rougeaud, morose. Tous deux étaient vêtus d’un costume noir — celui de Koons, à fines rayures — d’une chemise blanche et d’une cravate noire. Entre les deux hommes, sur la table basse, était posée une corbeille de fruits confits à laquelle ni l’un ni l’autre ne prêtait aucune attention ; Hirst buvait une Budweiser Light »
« Olga cependant, une fille de toute façon pas très protéines, préférait la confiture de fraises de bois […] »
« Ce n’est pas aussi compliqué qu’on le raconte, les relations humaines: c’est souvent insoluble, mais c’est rarement compliqué. »
welbec a inventé un truc : le « name droopy ».
ça consiste à citer des noms de marques.
welbec doit rester une denrée rare.
il est un peu le Jeff Koons de la littérature ou plutôt le Damien Hirst.
Explique, hé, patate!
si welbec ne dit pas grand chose du monde il en dit plus long sur l’état de la critique.
les critiques penchent vers deux directions extrêmes : l’immense génie ou l’immense nullité.
ils sont divisés 50/50, ce qui fait un critique sur deux.
ce qui fait que pour se faire une idée de son talent on ne peux même pas faire une faire une moyenne des avis des critiques.
à ce titre, si welbec dit très peu de notre monde, l’idée qu’on se fait de lui en dit très long de notre monde et de son sentiment de confusion qui la bite.
une telle divergence d’opinion est-elle une richesse pour un pays ou bien
le plus terrible pour un artiste c’est de connaitre la postérité de son vivant.
welbec le sait, il connait son époque, il est lucide sur son talent, il sait le niveau d’imbécillité de ceux qui le considèrent comme un immense génie.
Monsieur Assouline vous savez quoi ? il faudrait envoyer la photo de votre article à Boris Cerulnyk.
pour lui montrer que ses histoires de résilience ça marche pas vraiment à tous les coups.
le grand malheur de l’humanité c’est d’avoir produit autant de génies dans le monde des idées, de l’art, de la culture, de la philosophie et autant d’imbéciles dans le monde pratique.
que ne donnerait-on pour échanger la moitié de l’intelligence de nos écrivains contre la totalité de celle des nos ministres.
notre rentrée littéraire serait peut-être moins riche, mais au oins le chômage et le prix des loyers diminuerait.
l’écart n’a jamais aussi grand entre d’un côté le génie intellectuel, philosophique, artistique et culturel et de l’autre la médiocrité de pensée de nos secrétaires ministériels.
jusqu’à quel point peut-on faire confiance aux uns si les autres ne suivent pas ? s’ils restent en marge ?
béhenzique dit: 29 août 2014 à 14 h 37 min
hé, patate!
trois heures sans les miasmes de bouguereau, on respire enfin sur ce blog, pourvou qué ça dour !
radio keupu dit: 29 août 2014 à 15 h 19 min
Tiens, le grand couillon est de retour en province.
tiens le petit couillon est toujours de service
Que Houellebecq et Christine Angot ne soient pas publiés chez Gallimard en dit long sur le manque de flair des truffiers littéraires de cette vénérable maison qui s’est entièrement chosifiée !
Tout à fait, Jacques.
D’ailleurs quand je passe devant la porte en bois (qui mériterait d’être revernie -soit dit en passant) de chez ces gens-là, je lance un regard de dédain, et je suis convaincu qu’ils le ressentent, tous ces gens terrés dans leurs petits bureaux, divisés et redivisés en hauteur et en largeur, besogneux derrière leurs innombrables piles de livres et de papelards posés ça et là, leur petites plantes vertes et tout ce bazar poussiéreux. Vous vous rendez-compte tout de même que c’est là-dedans que ce décide une partie de la littérature universelle et intemporelle ?
Jacques Barozzi dit: 29 août 2014 à 15 h 38 min
[… de cette vénérable maison qui s’est entièrement chosifiée !]
Réifiée, M. Barozzi. Un mot qui aurait pu vous aider à franchir le seuil de Gallimard.
J’apparais dix sept fois dans le catalogue Gallimard, des mots pour le frire…
D’ailleurs c’est bien simple, je n’achète plus rien chez Gallimard. Je lis un peu, debout, comme ça, je parcours quelques pages de ci de là, et je repose en faisant un petit sourire entendu en direction des vendeuses. Et je m’en vais.
[c’est là-dedans que ce décide une partie de la littérature universelle]
Voilà un « ce » démonstrueux qui ne plairait pas chez Gallimard.
J’apparais dix sept fois dans le catalogue Gallimard, des mots pour le frire…
Pour des guides touristiques et anthologies du second rayon, dans une collection mineure, et sans rien de littéraire. Ne vous ridiculisez pas.
Je mets des fautes exprès pour tester les correcteurs. Là, par exemple, j’ai écris une phrase sans aucunes fautes et j’en suis parfaitement conscient. Vous me prenez pour qui ?
La littérature n’est plus où on l’imagine… C’est comme pour la poésie.
Vous me rappelez un ami qui prétendait vivre dans un château et qui, en réalité, occupait un logement dans les communs.
Les guides sont utiles et il faut bien des petites mains comme Jacques pour les écrire. Sinon qui s’y collerait ? A chacun son talent moi je dis.
[Là, par exemple, j’ai écris une phrase sans aucunes fautes et j’en suis parfaitement conscient.]
An éfait !
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« Que Houellebecq et Christine Angot ne soient pas publiés chez Gallimard en dit long sur le manque de flair des truffiers littéraires de cette vénérable maison qui s’est entièrement chosifiée ! »
Assez juste. Par exemple, on sait que pour Nothomb, c’est le prodigieux Sollers qui lui a refusé son premier roman. Il a cru, paraît-il, à une plaisanterie. Plaisanterie ou pas, ça a marché et ça marche encore. C’est la petite Amélie qui fait tourner à elle toute seule Albin Michel !
Jacques Barozzi dit: 29 août 2014 à 15 h 52 min
J’apparais dix sept fois dans le catalogue Gallimard,
Barozzi, n’est-ce pas une preuve de la décrépitude de la maison ?
Je ne prétends à rien et parle d’expérience et sans masque, faites en autant, les mots pour médire !
Jacques Barozzi dit: 29 août 2014 à 16 h 14 min
Je ne prétends à rien
Mais si, au ridicule.
Nous venons d’assister à un coup d’Etat néolibéral mené victorieusement par Manuel Carlos Valls, qui assume désormais le premier rôle à la place du pantin Hollande :
« Il y eut le « pronunciamiento » du 2 avril contre Jean-Marc Ayrault, fruit d’une alliance Valls-Montebourg-Hamon. Voici le 18 Brumaire de Valls, se libérant du «deal» passé et imposant au chef de l’État le départ des rivaux et un nouveau gouvernement. Le 25 août, Manuel Valls a ainsi mis fin au quinquennat de François Hollande et à toute contestation du néolibéralisme. » (Ch. Salmon, « Médiapart »)
Pour rappel cet excellent article sur Michel :
http://www.vanityfair.fr/le-fumoir/decryptage/articles/les-absences-de-michel-houellebecq/1947
des mots pour le f(rire) dit: 29 août 2014 à 16 h 00 min
un logement dans les communs.
Ouui mais les chevaux la paille comme dans Casse-pipe ça tient chaud, alors que les vieilles pierres pour les chauffer dis donc… L’idéal serait un château en Afrique…
« Le 25 août, Manuel Valls a ainsi mis fin au quinquennat de François Hollande et à toute contestation du néolibéralisme. » (Ch. Salmon, « Médiapart »)
C’est prendre ses rêves pour des réalités, il ne se passera rien.
(Ch. Salmon, « Médiapart »
Qu’un journaliste se fasse plaisir dans un article c’est presque la règle du métier.
Que des lecteurs le prennent argent comptant et le colportent m’étonnera toujours.
Zéro pointé pour toto.
Bon, revenons au film. Franchement, si j’avais été le dialoguiste, j’aurais enfoncé le clou. Dans le passage sur « la dalle de Lecorbusier ne sert à rien », j’aurais fait conclure Houellebecq par « bref, la dalle sert à que dalle ». J’aurais réussi à placer Claude François au détour de « l’alexandrin, ça aide », et franchement, dans le discours final sur l’aire de l’autoroute, j’aurais cité Onfray dans le texte : il a dit exactement la même chose, le référendum d’initiative populaire, la Suisse, l’échec de l’Europe et l’appel à l’insurrection, pas plus tard que vendredi dernier. Houellebecq-Onfray, même combat (pour la démagogie populiste). On aurait pu aussi, quand la conversation commence à déraper du côté d’Auschwitz, parler de « point-Godwin », et au moment de la grande engueulade, évoquer brièvement le blog de Pierre Assouline : ça collait parfaitement.
Une question me taraude : après sa nui chez Maud, je veux dire Fatima, Houellebecq lit un livre appelé « Fatima ». Quid ?
« Zéro pointé pour toto. »
Ah ! c’est bien ! Je vois que F. Hollande a encore des partisans…
évoquer brièvement le blog de Pierre Assouline : ça collait parfaitement
Houellebecq déteste Assouline, tu suis pas clopine, comme d’hab
oui mais avec une dent noir et une couille qui dépasse il pourrait redevenir copin c’est une question qui me taraude
Clopine dit: 29 août 2014 à 17 h 46 min
Bon, revenons au film.
Ben non, c’est nul, donc passons.
En attendant le prochain billet on peut parler du temps, des perspectives vinicoles pour 2014, de Houellebecq à la rigueur (il est bien le lien de Dédé) mais pas d’une daube.
il ne se passera rien
tu devrais faire un carton sur des bouteille et rouler à 300 tu te sentirais mieux..si tu peux pas tu peux mettre lassouline dans une caisse..on sait pas squi peut se passer aprés
des perspectives vinicoles
..si l’empereur ming envoie une pluie de météorite la récolte est niqué..pour le moment c’est dla science fiction..on sait pas cqui peut se passer
ouelbeque est trés grundge en fait..ça te dit des trucs l’époque grundge clopine ?
bouguereau dit: 29 août 2014 à 18 h 18 min
Ok si les Ming et les météorites se liguent ce sera dur.
Mais avec le superbe mois de septembre qui s’annonce (le temps) et des raisins pas trop bousillés (le vinicole) les perspectives s’annoncent bonnes.
Perso j’en dirais pas autant pour Houellebecq.
Houellebecq en Bentley à 300 sur l’Autobahn, la mère Pine en Twingo noire avec un sticker No Nukes au cul de la caisse, le compteur à zéro sur la vicinale, Rouen-Amfreville-la-mi-voie, je trouve que cela donne une image plutôt fidèle de la situation de la littérature en France, n’en déplaise au préposé des péages littéraires, l’auto-dénommé Paul Edel, seul dans sa guérite. La vision d’une littérature à deux, trois, mille vitesses, pile-poil le paysage. On n’aura jamais un film sur la mère Pine, c’est déjà ça, hein. Amitiés et soutien à monsieur Pin et au jeune page Pinou, au passage (à niveau) qui se coltinent la bête tous les jours ou presque.
l’époque grundge clopine
comme jeanne masse avec des Birkenstock en plastique vertes?
ted Lapidère, c’est juste parce que, pendant cette scène, ils se mettent à s’engueuler sur le même registre qu’ici : « t’es qu’un con », « un enfoiré », etc., etc. Je m’y suis crue un instant, mille pardons à notre hôte mais c’est la vérité.
Et puis, d’accord sur le jugement sur le film, mais « Michel » (tous les personnages passent leur temps à psalmodier ce prénom-là, on se croirait à la messe) est quand même irrésistible. Il « pense » tout ce qu’il dit. De « Sollers ? C’est rien. » à « Lecorbusier ? ses immeubles étaient conçus pour un camp de concentration », et je passe sur « la démocratie en Suède il y en pas c’est encore pire qu’ici », on est quand même bluffé. Même pas l’ombre d’un second degré, toujours le même escalier…
Joe Dallessandro, je serais vous, je me méfierais de mes prédictions : un film sur Clopine, bof, d’accord. Mais un film de Clopine ?
mille pardons à notre hôte mais c’est la vérité
la vérité les arpions sur le feu de Belzebuth épicétrouille
Mais Jeanne Mas c’était très bien : la preuve, tout le monde s’en souvient ; comme Hitler ? Euh…
« Si on m’avait conseillée
J’aurais commis moins d’erreurs… »
Je suis d’accord avec ueda, c’est de l’enfumage total, depuis le temps des promesses électorales.
Il n’est tout simplement pas possible de faire du socialisme dans notre époque. Il faudrait que les gens se mettent ça dans la tête une fois pour toutes.
Le socialisme ne fonctionne qu’après une période économique faste, quand les caisses ont été remplies et que le libéralisme s’est trop développé.
Le socialisme ne peut fonctionner sans vider les caisses s’il tolère simultanément le mode capitaliste. C’est assez élémentaire à comprendre.
Il n’est tout simplement pas possible de faire du socialisme dans notre époque.
lis max weber au lieu de débiter des conneries
Tant que le gouvernement s’affirmera socialiste, il ne peut exister que cette atmosphère chien et loup, des intentions et pas d’actions, des débuts de commencements de mesures sans jamais de milieu et encore moins de fin.
C’est ce qui me fait prédire que l’on ne reverra pas le socialisme avant plusieurs décennies au moins en France.
Hollande marque la fin d’une époque.
Le PS a intérêt à bien comprendre que s’il ne bascule pas ouvertement au centre, s’il ne change pas son nom, s’il ne renie pas certains de ses dogmes, il suivra le même sort qu’a suivi le PC à une époque.
Perso j’en dirais pas autant pour Houellebecq
des salauds de book pariait sur la fin de winehouse..et c’était quelquechose winehouse pour un vinicole comme toi..houlebecq peut ête y triche pour faire monter sa cote en sapin au guide parkère
il suivra le même sort
tu travailles trop du capuchon dédé
..avec fion on est sauvé dédé..con mais prope sur lui..et il aime rouler à 300 aussi !..c’est la martingal gagnante..un peu comme houelbèque..
un film sur Clopine
tu serais doublée par une russe mamelue..on mettrait une étiquette de calva sur sa teillebou..et roule ma poule
whitetrash pour whitetrash lassouline..
http://fr.xhamster.com/movies/188165/selskie_kanikuly_russian_country_porn_2_of_4.html
« en sapin au guide parkère »
bouguereau vous déconnez, parkère n’accepte que le chêne (et les chèques).
Quant à la liqueur de sapin il ne sait même pas que le Jura et le Château-Chalon existent, alors.
bon c’est pas l’tout..c’est l’weekend..j’ai la dalle comme dirait corbu..frait mieux dm’ieux manger huelbèque il est tout pale
« Le PS a intérêt à bien comprendre que s’il ne bascule pas ouvertement au centre, s’il ne change pas son nom, s’il ne renie pas certains de ses dogmes, il suivra le même sort qu’a suivi le PC à une époque. » D
Bien vu, à condition de mettre « ultralibéralisme » à la place de « centre ». Et c’est d’ailleurs exactement ce qui est en train de se passer. Condoléances à tous les cocus du « socialisme » !
Perso, ce qui me revient le plus des années 80, c’est Lavilliers. Ca emballait sec sur Lavilliers, c’est rien que de le dire. Souvenirs émus. Des biscottos et des regards d’acier, qu’un peu de féminisme parvenait à troubler étrangement. Jusqu’à rendre les colosses à genoux. Or, rien de plus mignon qu’un colosse à genoux. Sans compter que j’étais une des rares à savoir que Lavilliers pompait (oh, un tout petit peu) Victor Hugo, sans le dire … Ceci est bien entendu une opinion on ne peut plus personnelle ; mais après avoir visionné le film houellebecquien, comment faire autrement que d’avoir une opinion personnelle, je vous le demande ?
Condoléances à tous les cocus du « socialisme » !
« si tu es cocu c’est que ta femme est belle et que tu as beaucoup d’amis » les condoléances il les servait à des mecs comme toi rabelais
Ca emballait sec sur Lavilliers, c’est rien que de le dire. Souvenirs émus
oublie..rapidment un trouduc clopine..
grundge..mets a donf clopinedours
https://www.youtube.com/watch?v=ZLUj-jh_UyQ
Je n’ai pas regardé. Le héros faisant l’effet d’après la photo d’un Eugène Green tombé dans la débine.
Le seul apport que je connaise de François, Claude de son prénom, est une préface à un numéro de Poésie sur Lecomte de Lisle d’où j’extrais ceci:
« un poème comme les Elfes, j’ai envie de le danser ».
On n’a pas vu le résultat, un radiateur s’en étant melé, mais on signale à Clopine que le poème est en décasyllabe, pas en alexandrins.
Edouard (II) Louis a reçu sa Soupière. On a presque pitié de lui…
Je suggère la création de l’Ordre Clopinien de La Grande Soupière. ça en jette, ce n’est pas cher, et c’est utile si c’est porté pour éviter quelques facheux. Je vais réfléchrir aux statuts. (objets inanimés…)
Bien à vous.
MC
Lavilliers, ce n’est pas mal, effectivement.
J’ai aimé son duo avec Nicoletta, qui comme lui a une une jeunesse très spéciale.
https://www.youtube.com/watch?v=E8EOhsoVSiI
http://www.youtube.com/watch?v=2o2yqqRmCGM
ça c’est bien aussi.
Jacques Barozzi dit: 29 août 2014 à 13 h 16 min: Monsieur Barozzi, pour le physique évidemment les origines géographiques ont une importance, mais pas pour ce que les gens valent en tant que Personne.
…
…vous croyez ce que vous voulez,!…
…
…dans tout les pays du monde,…il y a maximum 20 % de classes – moyenne » riche « ,…non titré, comme roturiers nouveau-riches,!…
…et 80 % des gens insatisfait de tout,!…le modèle de voiture, de maison, les taxes, l’école qui avantage votre progéniture à se hiérarchiser,!…les compromis d’affaires qui vous réussissent,…( par connivences ),…
…
…en plus vous avez tout les heureux-victimes du paradis au lotto-millionaires-jamais,!…du tiercé, des bons bonus,…
…tout les gens qui mettent 2 demis, de leurs salaires à loger dans des habitations éxigues vétustes et insalubres,!…
…
…tout l’argent des communes sur la décoration de la mobilité, social en berne,…
…même les loyer de la communes hors de prix, à l’instar du privé,!…en plus des maisons des propriétaires arabes ou étrangers de souches,…
…l’européen étranger cher lui,…avec personne pour s’exprimer,…tous des collabos du capitalisme dans tous les partis,!…
…faire les putes pour survivre,!…
…prend la dosète pour t’envoyer les mrs. des directions en louvoyant son cul à l’oseille,!…
…vive la république, vive la France morale,!…des rats et des taupes endoctrinés à l’€uro d’héritiers,…sans convictions,…
…tous riches bien enculés alors,!…
…les amis des amis des chevaliers-brigands,…
…les aux ordres de chevaleries enculées,!…etc,!…dans les châteaux bordels aux moines,!…Ah,!Ah,!…
…la cour,!…aux communiantes poils aux culs,!…etc,!…
…
…socialisme et communismes » toujours de connivences » en partages collabo’s,!…
…hélas,!…les droites de mêmes,!…
…les élus du peuple aux mains du capitalisme et industriels,!…
…avec Airbus, à l’Optimum à Paretto, en ses bénéfices d’états,!…
…escroqueries de tout sur tout mentales et pub,!…
…rien, plus rien, aucun principe tous du cinéma-théâtre,!…Service,!…merci,!…
…
Lavilliers, c’est bien, mais ça, c’est pas mal aussi :
https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=S0gLnBL2axM
toto veut faire intello.
Peu de chance qu’il réussisse.
(Le putsch imaginé par Madiapart, qui aimerait bien que ce soit vrai pour avoir le plaisir d’exister)
Il ne passera peu de chose parce que notre société n’est pas encore suffisamment en crise.
Elle jouit encore de sa rente de situation, et elle ne le sait pas mais elle commence à le sentir.
Ce n’est qu’en touchant le fond qu’elle trouvera l’énergie de se mobiliser.
Il faut encore attendre.
Les slogans qui l’occupent depuis 30 ans sont à la fois pathétiques et vaguement poilants (« Luttons contre le chômage », comme si c’était la cause de nos maux).
Le problème n’est pas du tout de souffrir moins mais d’être meilleur (pas seulement eux, également vous et moi).
Quand le moment sera venu (s’il vient), les solutions qu’elle trouvera auront peu à voir avec nos faibles anticipations.
C’est bien embêtant car moi aussi j’aime mon confort, mais c’est comme ça.
La tête à Toto, je me sens d’un coup vieille en visionnant votre dernier lien… Ferré, c’est mon adolescence. Avez=vous connu ce qu’on appelle les « fêtes de fin d’année »,au lycée ? Entre deux potacheries, on osait se hisser sur scène, on vérifiait que, dans la salle, se trouvaient bien untel et untel, longs cheveux blonds et sourire narquois si vous voulez vous les représenter plus nettement, et puis, allez zou, dans un gilet, un tricot fait maison, de couleur je vous le jure entre l’abricot et le marron, j’ignore encore comment on pouvait proposer à la vente des pelotes pareilles, et puis l’unique projecteur braqué en pleine figure, les petits camarades qui vous considèrent, le coeur qui bat une chamade carrément accélérée, on se lançait, comme on se tire une balle dans le pied pour échapper à la conscription : pour ma part, c’était « il n’y a plus rien », une sorte d’exploit (non, non, je n’exagère pas ni ne me jette des fleurs, c’est un texte de vingt cinq bonnes minutes d »oralité, une horreur à mémoriser), ça devait être comique au fond ma voix suraigüe de gamine de quinze ans et demie, n’empêche que personne n’a rigolé et même ; standing ovation, tout ça pour célébrer une chienne à trois pattes et des poètes oubliés, ah là là, Ferré, mais un jour j’ai eu vingt-cinq ans et c’était fini, vous comprenez ? Fini, Ferret. Décidément, il n’y avait plus rien.
Private joke : Ferret, au lieu de Ferré. Freud serait là… (je lui casserai la gueule).
casseraiS, décidément.
ueda dit: 29 août 2014 à 20 h 57 min
Quand ueda veut, ueda peut.
Vous dites ?
Plus rarement.
Un peu.
« Private joke : Ferret »
Ceux de la Reine ?
Déconne pas Athos, cravache et tais-toi.
Une Normande, même pas une Picarde, alors Béthune t’imagines.
Vous êtes très pessimiste ce soir, U., non ?
» Le problème n’est pas du tout de souffrir moins mais d’être meilleur (pas seulement eux, également vous et moi).
Quand le moment sera venu (s’il vient), les solutions qu’elle trouvera auront peu à voir avec nos faibles anticipations. »
Vous pensez vraiment que la crise va empirer jusqu’à un instant T ?
Vous avez raison, ueda, et c’est pour cela qu’il faut stocker de l’or. Car l’or caché, personne ne pourra nous l’enlever.
ueda, plus le temps passe et plus nous nous rejoignons sur plein de choses. Ce qui nous a opposé, à une époque, c’est une femme, Daaphnée pour ne pas la nommer. Mais aujourd’hui nous avons réussi l’un et l’autre à dépasser ce problème.
( J’ ai l’impression, U., que D. est en train de vous faire des avances … )
Clopine, je voulais vous dire quelque chose. Ne le prenez pas mal.
Voilà, je ne supporte pas qu’on commence une phrase par « perso je ». D’une part c’est redondant donc incorrect. Je c’est forcément perso. D’autre part c’est vulgaire au possible.
Faites un petit effort pour moi s’il vous plait. Je veux bien en faire pour vous aussi. Dites-moi ce qui vous agace en moi et je le corrigerai.
Daaphnée dit: 29 août 2014 à 21 h 21 min
Vous pensez vraiment que la crise va empirer jusqu’à un instant T
Euh…………………Oui.
Même si on aimerait pas hein.
C’est bien embêtant car moi aussi j’aime mon confort, mais c’est comme ça.
honte..même les curés n’appellent plus la misère..propos de sale con uéda..et ça me fait pas plaisir de le dire
Car l’or caché, personne ne pourra nous l’enlever.
profond dans ton fion y’a aucun danger
D. dit: 29 août 2014 à 21 h 29 min
Promis, juré D. perso je ferai plus.
« Houellebecq-Onfray, même combat (pour la démagogie populiste). »
Bon, pas vu le film ni entendu Onfray, cela dit, l’enfantin appel à l’insurrection bien à part, j’aimerais savoir s’ils savent de quoi ils parlent lorsqu’ils appellent au « referendum d’initiative populaire » et de Suisse — par ailleurs, ici aussi c’est le plus souvent de l’ouï-dire plutôt qu’autre chose.
Lavilliers, c’est bien
..c’est un sale petit con
affranchis nous rénateau sur comment faire pour mulyiplier le budget défense par 10..qu’on fasse la pige a poutine
T’es idéalisse le boug’.
Ado déjà il parait.
C’est beau, mais ça n’empêche.
ah , les goûts de musique de supermarché de clopine !
renato dit: 29 août 2014 à 21 h 34 min
de Suisse
Fais comme TKT renato, explique.
“comment faire pour mulyiplier le budget défense par 10”
Enfin, bouguereau, ne joues pas le con, tu le sais très bien.
T’es idéalisse le boug’.
la caresssse du feu
https://www.youtube.com/watch?v=NTVvmCAEg3A
Daaphnée dit: 29 août 2014 à 21 h 38 min
ah , les goûts de musique de supermarché de clopine !
Une conne s’adresse à une conne.
La rdl au féminin.
“explique.”
Quoi, vous êtes inepte au point de ne pas savoir chercher ?
Oui, le Boug’, pas mal les clips de Niagara ..la musique aussi …. eux et les Rita, à cette époque-là .
renato dit: 29 août 2014 à 21 h 43 min
Quoi, vous êtes inepte au point de ne pas savoir chercher ?
Pas étonnant que tu sois le grand pote de djedla renato.
T’es aussi obtus.
Daaphnée dit: 29 août 2014 à 21 h 49 min
Oui, le Boug’, pas mal les clips de Niagara ..la musique aussi …. eux et les Rita
Elle n’est vraiment à la ramasse ce soir.
( mais j’étais en train d’écouter Chet Baker,
Almost blue
https://www.youtube.com/watch?v=z4PKzz81m5c )
T’es idéalisse le boug’
moins que zouz a croire aux vertus de la misère..c’est étrange dailleurs comme dans l’histoire il est trés difficile de distinguer entre ceux qui la voit venir et ceux qui la souhaite..enfin..on m’aura compris qu’une coupe se boit..jusqu’à la lie
Tiens,
« renato t’es con »,
je suis sûr que c’est écrit sur la toile.
Cherche renato, cherche.
« mais j’étais en train d’écouter Chet Baker »
Si c’est vrai on pardonne.
« le grand pote de djedla »
Et voilà une nouveauté.
Cela dit, pour ce qui est de cette mienne qualité, je suis ici en très bonne compagnie, déjà votre choix de pseudo en dit long : « Obus, obtus, zobtus (ben non ça marche pas) »…
bouguereau dit: 29 août 2014 à 21 h 52 min
C’est chouette quand tu fais des phrases le boug’,
ça me rappelle.
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