Mise à nu de Toussaint par son héroïne même
Marie, c’est moi. Pas d’inquiétude : je ne vais pas vous refaire le coup de la Bovary. Mais Marie, l’héroïne de Nue (176 pages, 14,50 euros, Minuit), c’est moi en ce qu’elle adore se balader à poil. Moi aussi, en fait. J’ignore ce que cela signifie, mais je sais le bien être, la douceur au monde et la volupté que cela procure. Aller et nager nu. Rien à voir avec le nudisme balnéaire. Rien d’exhibitionniste non plus car ce plaisir ne s’éprouve qu’en privé, dans la solitude ou l’intimité d’une compagnie. « Une innocente lubie », l’auteur le dit lui-même, me voilà rassuré. C’est d’autant plus drôle que pour nombre de lecteurs de Jean-Philippe Toussaint, (tous les liens de ce billet renvoient au site de Toussaint, assez remarquable dans son genre, comparé aux habituels sites d’écrivains, avec brouillons, archives etc), Marie, c’est l’autre. Celle qu’ils ont connue et aimée. C’est assez dire que Nue ne laisse pas indifférent. A la première lecture, j’ai craint de m’y emmieller. Il est vrai qu’elle est revêtue d’une robe de miel corse avec abeilles en cortège et qu’elle défile pendant plusieurs pages, ce qui ne va pas de soi. On craint l’enlisement. On reste sur cette impression première, même cela s’arrange. A la relecture, on est dans le ravissement de la fluidité.
Marie, nous la fréquentons depuis onze ans maintenant. Nous avons fait sa connaissance d’assez près dans Faire l’amour (2002), nous l’avons retrouvée dans Fuir (2005) qui nous avait rapprochés d’elle, avant de croire découvrir enfin La vérité sur Marie (2009). On aura compris que Nue est le dernier, mais vraiment dernier (le dénouement le dit bien), volume d’un cycle romanesque qui peut aussi s’apprécier à l’unité, comme on dit dans le commerce. On ne sait pas vraiment à quoi elle ressemble, car l’auteur n’est pas de ceux qui se perdent en descriptions physiques, mais on l’imagine bien fichue et, comme il pratique volontiers l’objectif, on superpose sur son visage celui de l’actrice Géraldine Chaplin. Cela dit, chacun fait ce qu’il veut, libre à vous si vous voulez voir l’incarnation de Marie en Nabila. On sait qu’elle est tuante, qu’elle ne lâche pas le morceau (mais qu’est-ce qu’elle embrasse bien…). C’est une perfectionniste de la haute couture, créatrice angoissée à la pensée de ce qui pourrait échapper à son contrôle tout en sachant que le supplément d’âme d’une œuvre se niche justement dans l’imprévu. Y adviennent la mort et le sexe. Marie a une « disposition océanique », version belge du vieux sentiment océanique freudien. Ou si vous préférez : une adéquation consubstantielle au monde. Sa cosmologie ne fonctionne qu’à poil. Elle n’est vraie que nue, en harmonie avec les éléments. Tout cela est finement tressé. Voilà pour le rôle-titre, mais l’histoire, de quoi s’agit-il ? D’elle et du narrateur, de leur vie à deux, de leur capacité à se séparer un certain nombre de fois pour la dernière fois, de la rencontre d’un intranquille et d’une insouciante et de ce qui cimente souterrainement leur relation, à part la pluie et l’art contemporain. D’un roman à l’autre, on retrouve les mêmes lieux : la rue des Filles Saint-Thomas et la rue de la Vrillière à Paris (vous voyez ? pas grave), la café de la Mairie sur la place Saint-Sulpice (ça, oui), l’île d’Elbe (très corse dans son genre, comme le miel) en sa méditerranée d’automne qui devrait élever un monument aux éditions de Minuit pour cette réclame insensée, Tokyo…
La touche Toussaint est faite d’ironie, de mélancolie, de légèreté. Elle crée un effet de réel saisissant, d’autant que l’écrivain est un constructeur maniaque qui n’a de cesse de serrer les boulons. Il tend un arc entre l’humour et la gravité, et se dévoile un peu plus car, même si sa Marie est bien évidemment composée d’éléments empruntés un peu partout, elle lui doit un certain nombre de ses réflexes, goûts, sentiments, répulsions. On sait maintenant ce que cela sent après l’incendie d’une chocolaterie. Prouesse d’écrivain, bonheur des sens. Evidemment, il y en aura pour trouver cela snob, précieux, vide, vain, inutile et creux. Il est probable que ceux-là n’aiment pas trop se déshabiller. Ils en sont restés à l’effet produit par La salle de bains (1985), grand succès à Saint-Germain-des-Près et dans tout l’archipel nippon. En quoi ils auraient tort car le minimalisme des débuts a pris de la bouteille, avec l’âge et le début de la sagesse. J’ignore si les éditions de Minuit prévoient de présenter les quatre romans du cycle en un coffret, mais il est permis de se demander quel titre Toussaint donnera à ces quatre saisons de la vie de Marie, si toutefois. En attendant, chapeau bas devant un projet littéraire qui place la barre si haut tout en étant consacré à une telle emmerdeuse.
(« Autoportrait au Louvre », 2012, photo de Jean-Philippe Toussaint ; « Marie-ée » oeuvre d’Anselm Kiefer, photo Passou)
1 005 Réponses pour Mise à nu de Toussaint par son héroïne même
Lu et relu le billet : le titre duchampien n’est absolument pas pertinent ; mais bon, on ne va pas en faire tout un plat.
Alors ça ! même Nabilla, crétine inculte, s’y met ?
Voyons donc, débraillé :
qui manque de soin dans sa tenue ;
sans soin, en parlant d’une tenue ;
qui manque d’encadrement.
…
…à part ces détails, d’hygiène,…
…
…il y a dans les estampes japonaises,…un plus,…souvent à deviner,…et, qui est très clair,…du double symbolisme,…entre la figuration soignée et l’alchimie-symbolique de cette lecture philosophique,…
…
…le ying et yang -social-politique du raffinement,…genre tauromachie,…Ollé,…
…
…autre chose,…une école d’art du geste administratif,…comme irrigation des esprits,…
…à deviner,…etc,…
John B., le journal de l’abbé Mugnier a bien pu être retouché pour convenances mais le son rendu des vanités littéraires par un curé à la mode Sévigné reste diablement séduisant. Celui de Green, homme de plaisir contraint, le complète bien. Gide est hors concours par son ambition réussie.
Repue d’athéisme, saint-germain-des-prés a perdu aujourd’hui le sens de la confession littéraire.
Sa tête, sa tête… mais qu’est-ce qu’elle a sa tête ? Est-ce qu’il a une tête de… ?(aurait dit Arletty) ! Faites donc comme J.Garcin dans le grand entretien de « l’Obs) du 29 août, parlez-lui de … l’intérieur de sa tête :
J.G. : – Etes-vous étonné si je vous dis que je vous imagine davantage dans la tête de Marie, capable d’«agir sur ce qui échappe», que dans celle du narrateur? C’est elle, d’ailleurs, la créatrice qui est dans la lumière, c’est elle qui a le pouvoir, qui est dominante dans le couple…
J-P.T. : – Marie, comme moi, est une artiste un peu secrète, qui n’aime pas trop les mondanités ni apparaître à la télévision. J’avais même envisagé un moment de lui prêter une phrase que j’avais imaginée pour moi: «Je suis très connu, mais personne ne le sait.» Ce qui est la pure vérité, d’ailleurs, c’est exactement mon cas. Mais, curieusement, cette formule, pourtant assez drôle et fondée, j’ai essayé plusieurs fois de la placer dans la bouche de Marie, mais je l’ai à chaque fois supprimée en me relisant.
En réalité, les influences sont toujours multiples quand on construit un personnage. Marie est très proche de moi par bien des aspects, mais elle est également très proche de ma femme, proche d’autres femmes aussi, proche de personnages de fiction, proche du rêve et de l’imagination… »
…
…c’est bizarre,…j’envoie, un post,…sur la figuration des » estampes japonaises » et son rôle administratif dévolu des encaissements bienveillants,…
…donc une philosophie d’existence des propriétés privés à pêcher du gros,…disparu,…etc,…l’espace et les volumes,…à deviner,…
…
« … pue le copié-collé »
Où ça ? une preuve, donner une preuve le facho merdeux.
C’est vrai qu’en connaissant la valeur des diplômes et donc des diplômés, le faf de pq fait plutôt bouffon que scientifique…
La rentrée est le moment périodique
de prendre quelques précautions :
afin de poursuivre, ou non,
les visites et l’accès public
au commentarium de la Rdl,
quelles sont les garanties
que présente l’établissement
dans les domaines de la médicalisation
de l’infrastructure et de l’assistance
en cas – hélas de plus en plus fréquents
et probables ! – de défaillance mentale
ou physique de participants, occasionnels
ou réguliers ?
Soucieureusement.
respire rénato
La RdL serait un endroit emblématique, Polémikoeur ?
Les pacus, qui sont très bons à manger
c’est les guaranis qui t’ont affranchi de la technique de pêche ?
Je ne suis pas asthmatique, le petit célinien.
Au Louvre où l’a menée son oncle Gabriel, Zazie tombe en arrêt devant le Gland Décalotté statufié en extase.
— A qui c’est, la tête de noeud ? s’enquiert-elle à la cantonade.
— La tête de noeud, mon enfant, répond obligeamment Gabriel, soucieux de l’instruction de sa nièce à l’approche de la rentrée, la tête de noeud c’est celle du gland Jean-Pilipe Poupin, le mètle incontesté du nu intéglal en littélatule, pellesonnages et style complis.
— Nu intéglal mon cul, s’exclame Zazie. Il m’intéresse pas du tout ce pelé, avec sa tonsure à la con.
C’est l’un des rares poissons que pour l’appâter il faut jeter un boeuf à l’eau… ce qui en fait un produit hors de prix…
in circulosse suossse
salaud de dédé
http://31.media.tumblr.com/6f620a26ef3ab42dce1f05ff68bc0d66/tumblr_mospyvtaLF1suchdko1_250.gif
Bof, on avait bien compris que pour mettre ses pattes sur une femelle il devait fantasmer un max.
nu intéglal en littélatule
libélé les beaux lobels
Interrogation pertinente pour ses habitués, non ?
Le recours ici à ce qu’il y a de momentanément –
parions que la marge est extensible à l’infini ! –
plus vulgaire extrait du puits de créativité
de la télé-réalité ne constitue-t-il pas un « drôle »
de marqueur au sein d’un portail qui se revendique
de la culture ?
Bah, l’ère de la réclame ne sonne-t-elle pas
comme la pelle qui racle un fond de cuve,
pour ne pas dire de fosse ?
Nauséabondamment.
M Court c’est Monsieur particule, et madame de par ci et monsieur de par là… et oh on est au 21° siècle mon gars, rien à cirer de vos lubies d’arrière-arrière-arrière garde, allez donc chez Popaul, il y a de la place pour vous
Entendons-nous : la responsabilité écrasante
est rarement chez l’être en jachère.
En revanche, qui en exploite le gisement
sans tendre la main à ses naufragés
pour les secourir est comme le pire
des busards, de la classe des virtuoses
de l’arme chimique !
Avipersonnellement.
keupu dit: 3 septembre 2013 à 12 h 26 min
Keupu, le XXIe siècle, c’est surtout celui où on permet à des types dans ton genre de l’ouvrir.
Me demande si c’est une bonne chose.
Beaucoup de bon sens dans les régimes aristocratiques.
D’ailleurs les régimes aristocratiques sont toujours en place. Il faut être une bille comme toi pour ne pas le savoir.
Quelle burne, mais quelle burne.
« Que veux-tu, la nature a horreur du vide. »
C’est d’ailleurs pour cette raison que les diplômes des nazes comme le faf de pq n’ont aucune valeur : leur seule fonction fut de produire des bonnes statistiques…
Un petit coup de « c’est-Mozart-qu-on-assassine »,
favorisé par le climat factice de la rentrée,
défilé des énergies rechargées à bloc
pour affronter et surmonter tous les obstacles
et concurrents inventés par le jeu de rôles
des rapports sociaux.
Rien que ne guérisse un « flash » d’actus
en sandwich entre deux tranches de publicité.
Spiralliement.
C’est assez amusant, c’est vrai qu’il faut se contenter de peu, mais reste que c’est assez amusant, n’importe quel crétin sait que tout est copié-collé, désormais. Enfin, n’importe quel crétin c’est beaucoup dire, n’importe quel crétin qui n’a pas réussi (pas d’expos, pas de livres publié, etc.) trouvera toujours que les autre copient et collent tandis que lui, génie incompris il est vraiment créatif, mais personne semble s’en apercevoir, de là les aigreurs, la haine et le positionnement à l’extrême droite . On ne peut donc que compatir…
« Donc, sur ce point aussi ferme-là. »
C’est quand même curieux qu’il y ait encore des arriérés qui n’ont pas entendu parler de la littérature comme vallée d’échos… Cela dit, l’acidité, le goût piquant, il y a des gens qui aiment ça… même si cela ne fait pas problème, n’est-ce pas…
« Le miroir, mon gros ! »
C’est donc vrai !
Bon, le goujat, je vous ai tutoyé, moi ?
renato dit: 3 septembre 2013 à 13 h 17 min
C’est quand même curieux qu’il y ait encore des arriérés qui n’ont pas entendu parler de la littérature comme vallée d’échos…
Auto-justification. Rassure-toi comme tu peux.
Rassurez-moi, nous sommes bien sur un blog littéraire ici ?
« Rassurez-moi, nous sommes bien sur un blog littéraire ici ? »
Hélas oui, renato, c’est pourquoi je me tiens à carreau, n’ayant jamais eu une ligne de Toussaint.
A l’époque de sa sortie, ma copine d’alors m’avait offert la Salle de bain, c’était pratiquement un cadeau obligé cette année-là.
J’ai renaclé.
Tous les « incontournables », ça me fait cet effet, allez savoir.
J’en suis resté con: pas lu Nothomb ni Modiano.
C’est un blog prestigieux, et je suis parfois saisi du complexe de la brute.
n’ayant jamais eu une ligne > n’ayant jamais lu une ligne
renato dit: 3 septembre 2013 à 13 h 46 min
« Rassurez-moi, nous sommes bien sur un blog littéraire ici ? »
Quand j’entend « littérature », je sors mon assouline
Vu la photo.
C’est la légende « Autoportrait » qui tue.
Le glandeur d’occasion apparaît comme un cabot.
C’est injuste, c’est probablement quelqu’un de très bien.
« u., tu n’as pas le sens de l’humour ».
Ben oui, je me la fais à moi-même cette objection.
J’ai raté le décalage, l’ironie, etc.
Après tout, les sens peuvent être multiples.
« L’Histoire, je m’en détourne »
« Protégeons nos yeux devant les Lumières, devant la Raison dans l’Histoire »
« Je laisse la France à la violence de des mythes nationaux, et vais méditer en Chine et au Japon ».
Pourquoi pas?
« … par son héroïne même ».
Sur le fond, ce que l’auteur tolère
ou suscite de la part de sa créature
le regarde, lui d’abord, qui le lit aussi, éventuellement.
Sur la forme, ce « même » du critique…
Comme s’il y avait exagération.
Etonnement, peut-être ?
Insistance ?
Réprobation, tout de même pas !
Solidarité alors, avec l’un
contre « l’emmerdeuse » ?
Bref, écrire : par son héroïne « elle-même »
aurait-il levé toute ambiguïté ?
Pas sûr, un brin d’équilibre textuel
en plus, rien d’autre, et encore…
Ramassemêmement.
Tout est possible.
« Non aux seins nus de la délocalisation.
Vive les petites mains de nos corsetières.
Gardarem le soutif.
Solidarité de lutte avec les Lejapy ».
Tout est possible.
Je ne me souviens pas d’avoir lu un livre de Toussaint, u. ; d’ailleurs j’étais persuadé qu’il était un golfeur. Pas lu non plus Nothomb ni Modiano. Maintenant, j’attends les inédits de Salinger et le nouveau Murakami, des valeurs sûres quoi. Entre-temps je relis, ça me fait de l’épargne.
renato dit: 3 septembre 2013 à 14 h 08 min
« Maintenant, j’attends (…) le nouveau Murakami, des valeurs sûres quoi. »
Qu’est-ce qu’un Toto? Un pingouin sans le savoir…
Et ta vessie pour une lanterne ?
Ah ah ah !
Et ce type croit qu’il sait tout…
Misère…
TKT dit: 3 septembre 2013 à 0 h 38 min
D. alias JC, votre pseudo « BRC »
Ah, quelle fine mouche, ce TKT. Malin comme un singe.
Je suis sûr que même u., qui pourtant est très fort, n’avait pas reconnu JC derrière D. et BRC.
Toto pour paraître intelligent sur le long terme, il faut l’être tout de même un peu.
Pas toi.
… « s’éditer en Chine et au Japon »,
oui, pourquoi pas ?
La tentation de l’Orient, extrême,
reste forte. Avec l’humilité de l’exilé
ou ses certitudes ? Avec survol spirituel
ou choc matérialiste ? Loin, en tout cas,
des pollutions atmosphériques et nucléaires,
s’il est permis de les évoquer !
Casse-têtement.
sans blague, u., vous êtes déjà allé en Chine ?
« Lejapy » : le retour de la machine à écrire ?
Des bataillons de dactylos, des claviers
aux touches entortillées, du cliquetis
inspirateur de Gainsbourg et Lewis,
entre autres, certainement ?
Rubancreurement.
« sans blague, u., vous êtes déjà allé en Chine ? »
Bah, je la laisse venir à moi.
Assis sous mon ombrelle trouée.
zouzou sait que sortir dans la rue en pijama a béjingue c’est maintenant la prison..en france il calçonne impunément
C’est quoi ce mythe stupide de l’intelligence ?
Aller en Chine : Marco Polo (admettons…),
Jules Verne (admettons encore)
ou Thomas Cook ?
Longuemarchement.
Bravo, Polemikoeur
Lejaby, of course.
(Ne vas pas mettre un lien, bouguereau, les soutifs n’appartiennent quand même pas au passé)
A l’époque de sa sortie, ma copine d’alors m’avait offert la Salle de bain
j’ai cru que t’y laissais trop trainer tes chaussettes et tes vieux slip..qu’elle allait au bain douche en face..comme quoi des majuscules sauvent la face quelquefois
Ta connerie, Toto, en tout cas c’est pas un mythe. T’aurais dû faire peintre en bâtiment, multicouche.
Tu bottes sans arrêt en touche, mais tu bottes rien du tout. Pitoyable.
Bon, assez joué avec le crétin, bon après-midi.
Polymoquestionneur, tu exagères !
Ottobiodégradablement.
les soutifs n’appartiennent quand même pas au passé
..toujours attaché a ta science fiction 70’s zouzou
T’as raison, sauve-toi, t’es pas armé pour aller plus loin…
Aller plus loin où ? et avec qui ? pour arriver à quoi ?
Quant au fait d’être armé n’oublions pas que ce n’est qu’un blog…
renato dit:
Quant au fait d’être armé n’oublions pas que ce n’est qu’un blog…
Le dindon de Colmar a parlé. Fermez le ban.
Pauvres gens ! ils doivent vraiment avoir une vie de minables s’ils se contentent de montrer leurs armes (pfff) sur un blog… et sous pseudo, ce qui pose l’homme… ha, ha, ha.
Polémikoeur. dit: 3 septembre 2013 à 14 h 24 min
Des bataillons de dactylos
Et Dactylo rock !
A la relecture, on est dans le ravissement
Si l’on s’est emmiellé et même enlisé dans le miel à la première lecture et qu’il a fallu une relecture pour parvenir au ravissement, c’est que quelque chose ne marche pas, ou du côté du lecteur ou du côté de l’auteur.
u. dit: 3 septembre 2013 à 14 h 06 min
Gardarem le soutif.
Oui mais enfin on est pas tous égal devant les affres de la manipulation…
oh, sergio, you remind me of Lou fumbling with my black bra.
t’as raison, toto, mieux vaut pour toi mettre l’accent sur la forme.
les affres de la manipulation
tu plotes mal sergio
vieux sentiment océanique freudien
faut rendre à romain lassouline, et son cloaque à fétide
tu plotes mal sergio
Tellement mal que sa gonzesse ne se balade plus qu’en Triumph (qu’elle enlève quand Passou l’invite à faire des longueurs dans sa piscine à débordement(s)).
« … mieux vaut pour toi mettre l’accent sur la forme. »
Mais c’est de substance que l’on parle, si vous ne l’avez pas compris c’est que vous êtes vraiment stupide.
en tout cas sur la photo le monsieur a l’air habillé
c’est moi en ce qu’elle adore se balader à poil
la nudité est un ensemble vide qui est l’intersection de tous les ensemble..le non être caché derrière une feuille de vigne..je crois que c’est allais désigant des femmes dans la rue et appelant un flic dit « elle sont toute nue sous leur robe et vous ne faites rien! »
..tu vas avoir besoin d’une tente a oxygène rénato..en général c’est transparent..tu pourras faire des effets de nudité à la hitchcok
Je me demande si passou n’a pas fait une erreur dans le choix de la photo.
A mon avis c’est celle de TKT sur la page d’accueil de son blog.
sa gonzesse ne se balade plus qu’en Triumph
n’empêche que traverser paris derrière une motarde en la plotant et en matant..ben mes amis..on se sent un honnéte homme..un genteulman..à nous deux paris
..il aurait été refusé comme recrue de la s.a. ..de la vafun ..de la louft..bref de tout!
c’est pas vontraube
« … tu pourras faire des effets de nudité à la hitchcok »
Ah ! les trouvailles du petit célinien !
en la plotant et en matant
et en matant paris évidemment..et bien c’est vachement mieux qu’un jeux vidéo..au feu rouge les vernis m’auraient donné leur porsche..leur ferrari..on est mystique ou on l’est pas épicétou
..mais casse toi rénato..t’es bon pour l’sana
C’es quoi « l’sana », le petit célinien (de rien) ?
l’1/4 d’heure est passé rénatal..
Ah le Toto… S’avouera jamais vaincu…Sans doute parce qu’il l’est depuis si longtemps…
Ah ah ah, rires en cascade (avec un peu de compassion).
Il agite trois mots et croit que…
Le 1/4 d’heure de quoi, le petit célinien ?
Tout ça c’est pas pour toi, toto, laisse tomber.
« Ah ah ah, rires en cascade (avec un peu de compassion). »
Vaincu par un anonyme sur un blog ? Non, mais il n’a aucun sens de la réalité ce crétin, en plus il répète comme un perroquet ce que je lui ai déjà dit…
N.b. que les délateurs aussi étaient anonymes.
renato dit: 3 septembre 2013 à 16 h 15 min
C’es quoi « l’sana », le petit célinien (de rien) ?
le sanatorium peut-être (boug dit toujours n’importe quoi histoire de pas pêter un câble avec des discussions sérieuses)
Quant au c de pq il est derrière son écran désespéré de la défection de ml son maître à radoter)
Alors, Toto, si ça n’a pas d’importance, pourquoi tu réponds?
Mais pour voir jusqu’où un crétin peut aller, mon couillon : c’est toujours instructif.
A la première lecture, j’ai craint de m’y emmieller. Il est vrai qu’elle est revêtue d’une robe de miel corse avec abeilles en cortège et qu’elle défile pendant plusieurs pages, ce qui ne va pas de soi. On craint l’enlisement. On reste sur cette impression première
Ah, flûte. On allait savourer une critique mordante, méchante, féroce, drôle, et au final on se retrouve avec des effusions extatico-esthético-christianiques à la mords-moi-le noeud à propos de fluidité, d’impondérable, d’ineffable. Mais quelle idée de relire ! A-t-on jamais vu ça ! La première impression est toujours la bonne, tout le monde sait ça. Et même pas une petite culotte à renifler comme je les aime. Frustration ! Sus aux nudistes, même d’occasion !
mais je sais le bien être, la douceur au monde et la volupté que cela procure.
ce q’il y a de bien, là,(et sans insérer pour une fois ) c’est que ça ne se discute pas, un tel savoir pour s’avoir
« même pas une petite culotte à renifler comme je les aime »
T’as essayé chez la bouchère de ton quartier, jean marron ? Bon, je garantis pas qu’elle te fasse renifler, ni même toucher de tes sticky fingers, sans quoi elle aurait l’Hygiène sur le dos, mais si elle t’a à la chouette, elle pourrait te refiler un joli morcif dans la culotte, assortie de conseils pour la braiser bien comme il faut.
« tandis qu’ aujourd’hui nous vivons à un moment de l’histoire où de multiples tons de gris ont remplacé l’opposition noir/blanc. »
il y a même quelqu’un qui en a compté 50 nuances , et encore , des tout habillés et rhabillés pour chaque saison.
n’ont jamais été consultés régulièrement par les télés ou les grands hebdomadaires pour se prononcer sur tout (et souvent sur rien). C’est quand même du nombrilisme que de juger la place des intellectuels seulement en fonction de Paris et de quelques extensions transalpines.
en passant devant un café que je connais, j’ai entendu un serveur indien (le patron du bistrot) répondre à sa cliente, qui lui disait « merci beaucoup » comme il posait la tasse de café « de rien beaucoup » !
est-ce qui s’appelle rhabiller une langue ou une cliente ?
Ce billet m’aura au moins fait relire « Il corpo della ragassa » de Gianni Brera.
Mauvaise réponse.
Je vous laisse mon jouet. Prenez-en soin !
Mais mon couillon, tu n’as pas ce qu’il faut pour établir si une réponse est bonne ou mauvaise ; cependant, si me laisser ton jouet est ta manière de fuir en faisant le beau, tu peux le garder pour toi car ce n’est vraiment pas un machin passionnant…
Le jouet c’est Toto. C’est aux autres que je te laisse. T’as encore rien compris. Une vieille habitude. J’avais bien raison. Tu es un dindon qui sait tout qui sait rien et se croit au sommet quand il est perché sur un caillou.
« Tu es un dindon qui sait tout qui sait rien et se croit au sommet quand il est perché sur un caillou. »
Là vous faites dans l’autoportrait n’est-ce pas ?
Très belle émission que je viens d’écouter sur F.C « »Nuits magnétiques, bonsoir… » (de 17 à 18h). Une si haute mémoire de la radio…
Oui enfin Cascade vaut mieux pas trop le regarder en rigolant…
Non, c’est bien toi,Toto, volaille cauchemardesque.
Même pas capable de se reconnaître dans son autoportrait, pauvre mec.
D’ailleurs, votre « Toto » ne me fait pas l’effet espéré, et en un sens je comprends car un mec qui n’est pas capable de conduire une séquence d’insultes sous son nom non seulement manque de courage, il est aussi un grand frustré — malheureusement pour vous le courage ne s’achète pas au marché et la frustration personne n’en achète.
Pour les hommes(essentiellement parisiens) de ce blog qui seraient tentés, en cet été finissant, de se baigner dans la Seine :
http://www.leparisien.fr/insolite/un-pacu-poisson-repute-mangeur-de-testicules-peche-dans-la-seine-03-09-2013-3104005.php
boudegras s’en fout, Christiane, il y a longtemps qu’in n’en a plus, perdues avec ses diatribes
Abandonner les animaux est stupide et cruel… ce poisson-là aurait sans doute trouvé sa place à l’Aquarium de Paris.
Un drôle de nutcracker, christiane…
D’après Suétone (mais ce grand historien était une pipelette), Tibère dans sa piscine transformait des enfants en pacu.
Mais il ne s’agissait pas d’arracher les noix, seulement de les mordiller.
Quelle fascinante chronique d’un pouvoir presqu’absolu.
C’est une dérive presqu’inévitable, une sorte de griserie qui ne fait que croître avec le temps.
On commence par déclarer la guerre à la Syrie, on finit par se faire grignoter les noisettes.
Oui mais le poisson si on le rebouffe ? Alors là on est servi…
Non, c’est bien toi Toto, je comprends ton chagrin, mais c’est bien toi, vieille volaille confite en néant.
Un anonymat peut-être répréhensible ne te donnera pas davantage de matière grise que tu n’en as.
Tu es une baudruche ridicule, tu dandines en faisant des copier-coller. Que je te donne mon N° de sécurité sociale n’y changera rien.
les moustiques tigres le blackbass les crapeaux buffles les tortues de floride le silure..les ecrevisses américaines ! la maximatose ! les termites ! jamais sans mon calbut en zinc épicétou christiane
In « Il était deux fois le Baron Lambert », Sergio, Gianni Rodari raconte d’un baron qui nourrissait ses poissons avec ses ennemis, puis il les mangeait…
Valérie mise à nue.
Mme Trierweiler est un cas.
À moins que le cas ne soit les citoyens français qui écoutent tout ça sans une plainte, with a goofy smile.
J’aime bien ça:
« Je n’ai pas d’avis personnel là-dessus, je suis comme sans doute toutes les mères, je trouve qu’on ne peut pas accepter l’inacceptable », a déclaré Mme Trierweiler, interrogée au journal télévisé de M6 sur la perspective d’une action militaire de la France en Syrie. »
C’est une phrase qui, comme disent les lycéens, est comme en attente d’une micro-lecture.
Une magnifique contradiction, bien sûr, mais quoi, elle n’a pas dit: je suis comme toutes les mamans.
Voici une autre phrase qui commence par moi-je:
« Moi quand j’ai vu ces corps d’enfants alignés par dizaines les uns contre les autres, oui j’ai exprimé mon émotion et je continuerai à le faire, et vraiment si vous voulez savoir (– le veut-on?) ça m’a empêchée de dormir ces images, j’y pense encore, je ne sais pas comment on peut supporter ça, comment on peut accepter ça ».
C’est naturellement une double faute.
N’étant rien dans ce domaine, elle n’a pas à s’exprimer publiquement sur des problèmes politiques.
Et si elle le fait, on n’a surtout pas besoin d’émotions (les chazals et delahousse en offrent par pleins baquets), mais d’analyses et de propositions.
— Eh oh, u., c’est quoi le lien, avec le billet du jour?
— La cantatrice chauve, ça te va?
Toto, je ne t’insulte pas. Je te définis.
Oui mais le poisson si on le rebouffe ?
ton papa a fait lalgérie ?
Oui, U. un drôle de « nutcracker ». Ainsi s’alignent les billets de la presse du soir sur l’écran… Il y a une telle disproportion entre certaines nouvelles sombres (évoquées ci-dessus) et d’autres clownesques mais accordées à certains badinages (ci-dessus) qu’il faut parfois s’éloigner des écrans, de la presse pour retrouver ce qui est important, vraiment.
Votre retour à Suétone… « quelle fascinante chronique d’un pouvoir presqu’absolu ». Oui.
Renato, c’est exactement le contenu de la même information traitée par Le Monde (Le journaliste ajoute que ce poisson malgré ses dents effrayantes est … végétarien !)
Allez vous faire cuire un œuf Toto, c’est la seule action définitive que vous pouvez faire.
Il est des racines retorses
@bouguereau dit: 3 septembre 2013 à 18 h 57 min
Rassurez-vous, il n’y en a pas dans le Canal de l’Ourcq !
Non merci, j’ai déjà fait rôtir un dindon de Colmar.
paris peut bien dvenir la niouorlinz avec des crocs..on fra des barbeculs et du vaudou comme philippe
Mais vous n’avez fait rôtir personne Toto… oui, peut-être dans vos rêves, mais il ne faut vraiment pas espérer plus…
Parfaitement, d’immenses plateaux
peuplés de dactylos à des postes
de travail alignés en colonnes
et rangées, vision sans doute
abolie par l’avènement
de la bureautique !
Papiécarboniquement.
Si, j’ai fait rôtir un gros dindon de Colmar qui se prend pour un dieu et pense comme un cierge.
Mais mon couillon, vous vous prenez peut-être pour un dieu, pour moi c’est conceptuellement impossible car je suis agnostique. Quant à penser comme un cierge… et bien ! là vous me dite quelque chose de nouveau : une chandelle qui pense c’est énorme…
N’étant rien dans ce domaine, elle n’a pas à s’exprimer publiquement sur des problèmes politiques.
c’est vrai
(au fait on ne vous a pas entendue quand la crûche botoxée faisait de même)
Renato on dirait que le dingue en liberté de pq ou un de ses semblables vous poursuit de ses assiduités sur ce blog
Je ne comprends pas non plus cette chasse que se prend Renato.
est-ce à cause de Duchamp ?
Je dois reconnaître que le titre de ce billet est tout sauf inintentionné.
Qui irait chercher le chiotte (s’cse, l’urinoir !) de Duchamp dans la salle de bains de J-P Toussaint ?
Ne me le dites pas. J’ai mon idée fixe.
Duchamp faisait du conceptuel avec des cuvettes de chiotte ( d’urinoir!).
J-P Toussaint fait de l’art contemporain.
Y’a une différence non, entre les platoniciens et les autres ?
…Il répondrait n’importe quoi pour se donner l’illusion de s’en tirer.
Non : il répond vraiment n’importe quoi.
Pauvre Toto qui n’a jamais illusionner que lui-même…
Quoi Toto, maintenant vous pleurez sur votre sort ?
Romain, que voulez vous, il faut être patients et charitables, même s’il s’agit d’un grossier personnage.
illusionneR ?
celui qui harcèle renato, qui n’est pas un si mauvais bougre que ça, bien qu’il soit athée, devrait commencer par apprendre l’orthographe.
D.
ça veut dire quoi « pas un mauvais bougre » ?
Vous le connaissez ?
Je le connais ici, et par ses blogs. C’est une sorte d’esthète pacifique qui ne fait de mal à personne.
Merci D., mais vous savez bien que je ne suis pas athée car ce serait être sûr de quelque chose ; évidemment je suis agnostique.
Mieux vaut 100 fois être renato que TKT, par exemple.
Pauvre Toto, c’est toi, renatoto, crétin patenté, sombre gribouille, c’est ton portrait, rien que ton portrait. Impossible de te reconnaître dans ce portrait si ressemblant. Mécanisme de défense, sans plus. Trop facile tes réponse. Tu es vraiment un gnou.
renato a un vrai sens du beau, par exemple. Ce qui n’est évidemment pas le cas de TKT.
L’intitulé dit : Pauvre Toto… dit, donc, si les choses ont encore un sens, mon couillon, puisque c’est toi qui dis, Toto c’est toi. …
Après, et pour ce qui est de ton vomi, ce serait stupide de ma part de me faire du mouron pour si peu.
ne vous déplaise,monsieur hue,je suis une femme comme toute les femmes,et une mère comme toutes les mères,avec un coeur de mère,et oui,monsieur hue,quand je vois les images de ces pauvres enfants,mon coeur de mère saigne!
-Franchou!je te l’ai mouché Robert!
-Quel Robert,mon gros chat?
-mais Robert Hue,s’il croit que je l’ai pas reconnu ce communiss,comme dirait bouguereau
-bouguereau?Robert Hue,Je comprends rien du tout.
-oui,je sais..allez!on va louper le 20 heures.
Un bougre, avant de l’inviter à sa table,
mieux vaut savoir de quoi il est capable.
Naturaidement.
… de chevet, sa table de chevet,
pour qui a manqué un sonnet.
Crustiquement.
D. vous êtes un personnage de réseaux.
Anti-sociaux.
La haute-couture, ça vous branche ?
C’est autre chose que de l’appareillage sanitaire.
http://www.youtube.com/watch?v=iSSrFt5fGAA
Renato, vous allez devoir vivre avec cela:
« une sorte d’esthète pacifique qui ne fait de mal à personne. »
J’espère ( « certo che lo so non ti preoccupare ») que vous avez des dents !
en signe cygne: quelques bouts de fil
http://www.isfa.org/web4a.gif
pour repriser les griffures
Si un réseau
est une construction
de nœuds et de liens,
qu’en est un personnage ?
Ethnologiquement.
Petit renatoto, petit niveau. Vraiment, quel couillon…
u. bravo pour votre belle analyse politique.
vous êtes journaliste?
vous avez fait l’école de Monsieur Assouline?
sérieux u. c’est des types comme vous qu’il nous faut !
pas des types qui regardent le plafond en prenant un air tartignole.
je rêve où Toussaint regarde plus le plafond qu’hier?
Monsieur Assouline vosu avez retouché la photo avec photoshop pour faire en sorte que Toussaint regarde plus le plafond qu’hier?
c’est pas bien de retoucher les photos, surtout pour un professeur de journalisme.
svp ne retouchez pas plus la photo parce que déjà de la regarder hier je me suis tapé un torticolis toute la journée.
Cela dit, chacun fait ce qu’il veut,
encore heureux !
sérieux, les gens que j’ai croisés aujourd’hui m’ont demandé : pourquoi tu regardes tout l’temps en l’air?
je peux vous envoyer mes factures d’ostéopathe?
Puisque c’est « le pauvre homme » qui le dit je n’ai pas m’en faire un souci. Certes qu’il vole bas ce garçon.
non kiasas, chacun ne fait certainement pas ce qu’il veut.
c’est déjà assez le bordel si en plus vous conseillez à chacun de faire comme il veut…
on n’est quand même pas dans la théorie des nu-e-s d’Audeguy à notre âge
Hé Renato ! C’est si bas, si bas ce que tu postes comme commentaires.
Laisse ta cervelle d’oie qui niche bas se reposer un peu… Elle te remerciera crois-moi !
Hé oui Anatole, je suppose que le niveau des vôtres peut laisser rêveurs, dommage que vous en faisiez jamais démonstration…
Ce de Chirico de 1916…
Toussaint,cet écrivain de la media noche ne regarde rien du tout,il est tout à son plaisir:une admiratrice lui prodigue une « monica ».
Kiasas, t’es presque plus con que renato.
Tu demeures sur ce blog le demeuré numéro 2.
Bravo, continue comme ça et tu arriveras peut-être à la cheville de renato !
si vous voulez faire sans le nu
http://belcikowski.org/la_dormeuse/nu.php
jullien
une question bien posée
le poète Liu Ling, qui,mettait nu dans sa chambre quand il avait bu,
Que venez-vous, messieurs, faire dans mon pantalon ?, même l’excentrique Liu Ling donc n’a jamais été représenté nu. On peut voir Liu Ling sur le bas-relief de la tombe de Xishanquiao, à Nankin, revêtu d’une longue tunique dont les plis abondants vont se répandant sur le sol. »
http://belcikowski.org/la_dormeuse/nu.php
étranges manières croisées de déclamer en avoir plus qu’assez et d’en réclamer encore
sysiphe c’était donc vraiment du rock and roll
« Ah le Toto… S’avouera jamais vaincu »
toto, le gars qui frappe continuellement de ses p’tits poings cruels mais qui a comme seul résultat de faire rire les copains.
Vous me direz, c’est déjà ça.
Ok, mais ça lasse.
(et si je m’ai trompé dans l’orthographe du nom, corrigez vous-même)
« mais ce grand historien était une pipelette »
Au contraire de notre baroz qui n’est que pipilet sans histoire.
« J’ai dix ans…. »
Vu le niveau, ça on l’avait compris.
Hé renato !
Ta cervelle est tellement plate qu’on pourrait la faxer !
Ton QI est tellement médiocre qu’on pourrait le fixer… à ton derrière !
Et ton QE (quotient émotionnel) est tellement riche en susceptibilités qu’on pourrait le taxer !
« renato…Ton QI…ton QE »
Et ton QIV ajouterait TKT !
Faible au départ, restreint avec l’âge, un embryon à l’heure qu’il est.
Pauvre renato.
J’ai dix ans, eh oui, j’ai dix ans.
C’est mon âge cérébral.
Mon âme d’enfant, en revanche, a des années et des années lumières.
C’est mon âge astral!
A 72 ans, le génial créateur des studios Ghibli, Hayao Myazaki, vient d’annoncer sa retraite. Après avoir marqué le cinéma mondial de son empreinte, comme peu de réalisateurs japonais ont su le faire avant lui, il quitte l’univers du grand écran, sur un dernier long-métrage, Le vent se lève. En moins de deux décennies, Hayao Myazaki est devenu un dieu vivant pour les cinéphiles occidentaux. Une véritable exception, dans notre paysage cinématographique, qui n’a jamais réellement ouvert ses portes à l’univers hors norme de l’animé japonais…
Un autre goujat !
C’est la journée ou c’est toujours le même crétin ?
De la part d’OZYMANDIAS je vous passe le bonsoir.
On est là pour s’amuser un brin, hein Renato ?
Non, apparemment ce n’est pas le même crétin.
OZYMANDIAS corrigeant Anatole :
Web erratum :
…Des années et des années-lumière… »
Comme nu réussi vous avez ça :
C’est la journée baffes continues pour Renatoto.
Toute la journée l’a été baffé, l’Toto, va bien dormir.
Toto si tu jouais un peu moins les génies et que tu eusses un peu de plus de gingin (et de singularité vraie), nul doute, on te bafferait moins.
Fais-en ton miel, au lieu de te draper dans ta supériorité en emballage de caramel mou.
OK amusez vous bien à vos jeux de dupes les James Dindes.
Anatole contre Renato !
OZYMANDIAS contre Anatole !
Renato pas contre OZYMANDIAS !
OZYMANDIAS contre personne !
Sur un blog où tous les cons de la planète – y compris moi – surfent, faut surtout pas s’énerver et faire des vagues… Hein Renato ?!!!
D. dit: 3 septembre 2013 à 19 h 41 min
illusionneR ?
C’est paceque j’avions oublié « pu ».
Fâcheux oubli.
Mais mon couillon, je ne joue rien, c’est vous qu’en respectable crétin interprétez, et ce n’est pas de ma faute si vos critères ce sont de la camelote.
Bon, en tout cas votre découverte de la pensée chez les chandelles est fort intéressante, à mon avis elle mérite un essai.
Anatole, va faire dodo et laisse OZYMANDIAS vaquer à ses occupations. Le boulot n’attend pas.
A demain si Anatole France, Anatole Litvak et tous les anatoliens le veulent bien.
« Comme nu réussi vous avez ça »
Mais qu’il est con ce renato.
Tout le monde voit qu’elle a un string et un tee-shirt mouillé.
que P.Assouline préfère la robe de mariée à la robe de chambre, on le conçoit aisément : la seconde fait quand même trop écrivain i.e robe de fonction comme bobonne ou avocat. la première est robe des promesses.
Si tous les « crétinternautes » de la planète Web se donnaient la main et surtout la voix et fédéraient leurs efforts pour élire leur roi ils n’hésiterait pas une seconde à voter pour Renato !
Je ne voudrais jamais prendre la place qui est la tienne Ozy.
Kiasas,
dans votre lien ( enregistré, merci pour les « chinois » du bog) de 21h13
« Même embrouillé par la décomposition de son mouvement, Le Nu descendant un escalier de Duchamp continue d’afficher dans sa découpe la superbe ordonnance du modèle idéal. »
« idéal »
http://www.toutfait.com/issues/volume2/issue_5/articles/dur/dur5.html
Web erratum :
(…ils n’hésiteraiENT pas…).
Pour le PA attention cette abréviation est doublement
utilisée dans un avion. Il peut s’agir du Pilote Automatique, qui est engagé en général au cours de la montée, disons dans les dix minutes suivant le
décollage, mais je ne suis pas certain que nous l’ayons évoqué. »
ça c’est presque tranquillisant: on avait craint que P.A soit Pierre Assouline !
http://jptoussaint.com/documents/0/0e/Correspondance_avec_Guilhem_Perricher%2C_commandant_de_bord_Air_France.pdf
http://cine-ma.eklablog.com/2012/12/p5
Bonsoir à tous
non
bonsoir à tous
http://vintagepics.centerblog.net/rub-z-audrey-hepburn–8.html
Hé Renato !
Moi je voudrais bien la prendre, ta place, histoire de voir -voire même finir par croire- l’étendue abyssale de ta bêtise !
Il suffi que tu regarde un miroir, Ozy, la tienne n’a pas de fond.
Rose, arrête de dire : « Bonsoir à tous » !
Ne m’excite pas s’il te plaît!
non mais la photo que je veux vous donner pour vous dire bonsoir c audrey qui, en robe noire, avec un chapeau **** porte une foultitude de ballons rouges et noirs, plus rouges que noirs. J’aurais aimé vous la mettre grand écran.
Bonsoir à tous.
des journées, Duchamp n’a jamais contesté une interprétation de son action : n’importe qui pouvait dire n’importe quoi et ça le laissait indifférent.
Cela dit pour « Nu descendant un escalier » nous avons la source :
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