Mise à nu de Toussaint par son héroïne même
Marie, c’est moi. Pas d’inquiétude : je ne vais pas vous refaire le coup de la Bovary. Mais Marie, l’héroïne de Nue (176 pages, 14,50 euros, Minuit), c’est moi en ce qu’elle adore se balader à poil. Moi aussi, en fait. J’ignore ce que cela signifie, mais je sais le bien être, la douceur au monde et la volupté que cela procure. Aller et nager nu. Rien à voir avec le nudisme balnéaire. Rien d’exhibitionniste non plus car ce plaisir ne s’éprouve qu’en privé, dans la solitude ou l’intimité d’une compagnie. « Une innocente lubie », l’auteur le dit lui-même, me voilà rassuré. C’est d’autant plus drôle que pour nombre de lecteurs de Jean-Philippe Toussaint, (tous les liens de ce billet renvoient au site de Toussaint, assez remarquable dans son genre, comparé aux habituels sites d’écrivains, avec brouillons, archives etc), Marie, c’est l’autre. Celle qu’ils ont connue et aimée. C’est assez dire que Nue ne laisse pas indifférent. A la première lecture, j’ai craint de m’y emmieller. Il est vrai qu’elle est revêtue d’une robe de miel corse avec abeilles en cortège et qu’elle défile pendant plusieurs pages, ce qui ne va pas de soi. On craint l’enlisement. On reste sur cette impression première, même cela s’arrange. A la relecture, on est dans le ravissement de la fluidité.
Marie, nous la fréquentons depuis onze ans maintenant. Nous avons fait sa connaissance d’assez près dans Faire l’amour (2002), nous l’avons retrouvée dans Fuir (2005) qui nous avait rapprochés d’elle, avant de croire découvrir enfin La vérité sur Marie (2009). On aura compris que Nue est le dernier, mais vraiment dernier (le dénouement le dit bien), volume d’un cycle romanesque qui peut aussi s’apprécier à l’unité, comme on dit dans le commerce. On ne sait pas vraiment à quoi elle ressemble, car l’auteur n’est pas de ceux qui se perdent en descriptions physiques, mais on l’imagine bien fichue et, comme il pratique volontiers l’objectif, on superpose sur son visage celui de l’actrice Géraldine Chaplin. Cela dit, chacun fait ce qu’il veut, libre à vous si vous voulez voir l’incarnation de Marie en Nabila. 
On sait qu’elle est tuante, qu’elle ne lâche pas le morceau (mais qu’est-ce qu’elle embrasse bien…). C’est une perfectionniste de la haute couture, créatrice angoissée à la pensée de ce qui pourrait échapper à son contrôle tout en sachant que le supplément d’âme d’une œuvre se niche justement dans l’imprévu. Y adviennent la mort et le sexe. Marie a une « disposition océanique », version belge du vieux sentiment océanique freudien. Ou si vous préférez : une adéquation consubstantielle au monde. Sa cosmologie ne fonctionne qu’à poil. Elle n’est vraie que nue, en harmonie avec les éléments. Tout cela est finement tressé. Voilà pour le rôle-titre, mais l’histoire, de quoi s’agit-il ? D’elle et du narrateur, de leur vie à deux, de leur capacité à se séparer un certain nombre de fois pour la dernière fois, de la rencontre d’un intranquille et d’une insouciante et de ce qui cimente souterrainement leur relation, à part la pluie et l’art contemporain. D’un roman à l’autre, on retrouve les mêmes lieux : la rue des Filles Saint-Thomas et la rue de la Vrillière à Paris (vous voyez ? pas grave), la café de la Mairie sur la place Saint-Sulpice (ça, oui), l’île d’Elbe (très corse dans son genre, comme le miel) en sa méditerranée d’automne qui devrait élever un monument aux éditions de Minuit pour cette réclame insensée, Tokyo…
La touche Toussaint est faite d’ironie, de mélancolie, de légèreté. Elle crée un effet de réel saisissant, d’autant que l’écrivain est un constructeur maniaque qui n’a de cesse de serrer les boulons. Il tend un arc entre l’humour et la gravité, et se dévoile un peu plus car, même si sa Marie est bien évidemment composée d’éléments empruntés un peu partout, elle lui doit un certain nombre de ses réflexes, goûts, sentiments, répulsions. On sait maintenant ce que cela sent après l’incendie d’une chocolaterie. Prouesse d’écrivain, bonheur des sens. Evidemment, il y en aura pour trouver cela snob, précieux, vide, vain, inutile et creux. Il est probable que ceux-là n’aiment pas trop se déshabiller. Ils en sont restés à l’effet produit par La salle de bains (1985), grand succès à Saint-Germain-des-Près et dans tout l’archipel nippon. En quoi ils auraient tort car le minimalisme des débuts a pris de la bouteille, avec l’âge et le début de la sagesse. J’ignore si les éditions de Minuit prévoient de présenter les quatre romans du cycle en un coffret, mais il est permis de se demander quel titre Toussaint donnera à ces quatre saisons de la vie de Marie, si toutefois. En attendant, chapeau bas devant un projet littéraire qui place la barre si haut tout en étant consacré à une telle emmerdeuse.
(« Autoportrait au Louvre », 2012, photo de Jean-Philippe Toussaint ; « Marie-ée » oeuvre d’Anselm Kiefer, photo Passou)
1 005 Réponses pour Mise à nu de Toussaint par son héroïne même
rose dit:
à
J. P Toussaint regarde les ballons, hé hé
A toi ! Toto sans fond dit:
à
Je voudrais pas dire mais on le tient le Toto. Sait pu quoi dire, le Toto, l’est acculé.
Ah que c’est bon !!!!
Ozyanatole dit:
à
Web erratum :
» Il suffiT que tu regardeS… »
Tu vois renato, ta bêtise n’a pas de forme orthographique correcte.
Pas de forme, pas de fard, pas de fond, pas de fondement et sans aucun entendement.
Abyssale est ta bêtise, renato !
rose dit:
à
les ballons
http://vintagepics.centerblog.net/voir-photo?u=http://vintagepics.v.i.pic.centerblog.net/o/a09f1734.jpg
renato dit:
à
(Il me semble que Duchamp était arrivé à Muybridge via Marey.)
rose dit:
à
Trommelfeuer (tonnerre de dieu)
rose dit:
à
Source : vintagepics.centerblog.net
voyons voir ces ballons
bonsoir à tous
rose dit:
à
bon : corne d’abondance à Thanksgiving
tant pis pour le grand écran
épicétout
des journées entières dans les arbres dit:
à
J’ai trouvé le théorème Toussaint :
« Qui lit Crimes et châtiments se met à écrire un mois plus tard »
renato dit:
à
Et voilà Ozy que tu tombe dans l’erreur des moins que rien car tu devrais savoir que “la plus minable des actions que l’on peut commettre lors d’une controverse, c’est de s’accrocher aux erreurs de grammaire et de syntaxe de l’adversaire”.
De visu dit:
à
« Cela dit pour « Nu descendant un escalier » nous avons la source »
Tu vas nous la mettre combien de fois renato ?
Renouvelle toi un minimum, tu boucles.
Renato ton disque est rayé dit:
à
Bon Toto, ta citation, toujours la même, et puis « crétin » et puis « couillon ».
Tout cela manque singulièrement de variété. C’est même toujours pareil.
Du nouveau !
De visu dit:
à
« la plus minable des actions que l’on peut commettre lors d’une controverse, c’est de s’accrocher aux erreurs de grammaire et de syntaxe de l’adversaire »
Adversaire de toi-même tu n’arrêtes pas de te corriger renato.
Minable.
des journées entières dans les arbres dit:
à
renato dit: 3 septembre 2013 à 22 h 38 min
Renato, perso, l' »art » de Duchamp, j’y suis totalement hermétique. L’urinoir, et la roue de bicyclette sont des chefs d’oeuvre à ce qu’il parait.
La source de ce Nu ?
Reduce, reduce, reduce.
« My aim was a static representation of movement, a static composition of indications of various positions taken by a form in movement–with no attempt to give cinema effects through painting. The reduction of a head in movement to a bare line seemed to me defensible. A form passing through space would traverse a line; and as the form moved the line it traversed would be replaced by another line–and another and another. Therefore I felt justified in reducing a figure in movement to a line rather than to a skeleton. Reduce, reduce, reduce was my thought–but at the same time my aim was turning inward, rather than toward externals. And later, following this view, I came to feel that an artist might use anything–a dot, a line, the most conventional or unconventional symbol–to say what he wanted to say »
renato dit:
à
Quoi, et vous demandez du nouveau ? Commencez pour en faire vous mêmes.
renato dit:
à
« Reduce, reduce, reduce. »
Cela n’enlève rien au fait qu’il y a une référence à à Muybridge via Marey, des journées.
Renato, il est... dit:
à
tellement con, on n’a même plus envie de se moquer de lui…
renato dit:
à
Mais se corriger ne rentre pas dans ce cas de figure, mon couillon.
des journées entières dans les arbres dit:
à
Et avec tout ça on a oublié Marie !
« Marie, nous la fréquentons depuis onze ans maintenant. Nous avons fait sa connaissance d’assez près »
Ah oui, pour ça faut faire comme Marcel.
Prendre le taxi !
(Kiasas, si vous avez la correspondance de J-P. Toussaint avec le professionnel, sans doute chimiste, qui connait les effets du HCl, ça peut être aussi interessant)
renato dit:
à
Bon à ce que je voix le faf de pq peut compter sur nombreux alliés, et cela est tout à fait normal vu le niveau proposé par cette armée de pacotille.
Sinon, pourquoi ? dit:
à
renato dit: 3 septembre 2013 à 23 h 04 min
Mais se corriger ne rentre pas dans ce cas de figure, mon couillon
Ben si.
kiasas dit:
à
rappel d’information pour Pierre Assouline
« « Professeur à l’ICP depuis 1989, j’ignorais tout de l’existence de ce fonds photographique, poursuit le P. Bordeyne. Devenu recteur il y a deux ans, j’ai maintenant mauvaise conscience de savoir ces trésors endormis. Il est bien préférable que des institutions publiques ou des collectionneurs éclairés s’en saisissent, les conservent et les communiquent dans de bonnes conditions. En revanche, nous avons décidé de ne pas nous séparer des photographies qui concernent directement nos domaines d’excellence comme la Bible ou l’orientalisme, et nous nous attacherons à faire connaître ces documents, lors d’expositions notamment. »
Connexion helvète dit:
à
« le faf de pq »
Tu causes comme vontraube renato, tu es à peu près aussi crédible en arbitre des élégances.
renato dit:
à
Si vous le dites ça doit être vrai, enfin vrai c’est beaucoup dire, mais puisque vous semblez sûr de votre coup… et le fait d’avoir raison peut vous soulager des tristes traverses d’une vie de merde, va pour « si vous le dites ça doit être vrai ».
renato dit:
à
Le faf de pq n’est pas une trouvaille de Traube, mais si pour vous c’est un vérité…
Connexion helvète dit:
à
« Le faf de pq n’est pas une trouvaille de Traube »
Faux c’est une copie de vontraube.
Tu ne sauras jamais lire mon toto.
Et pourtant le copier/coller ça te connait.
renato dit:
à
Bon, enfin on aura passé une journée avec des goujats, cela fait une expérience. Bonne nuit.
D. dit:
à
Quand je disais que renato était un sage : toute cette merde lui est passée loin au dessus de la tête sans même l’éclabousser puis il va se coucher tranquillement. Je trouve ça admirable. C’est une sagesse toute asiatique.
JB dit:
à
« enfin on aura passé une journée avec des goujats, cela fait une expérience. »
Et un répertoire ?
kiasas dit:
à
s’il n’est pas trop tard
http://www.newyorker.com/online/blogs/books/2013/09/seamus-heaneys-beauty.html?mbid=nl_Daily%20(10)
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…Bon,…
…mes,…10 h 34 mn,…et,…11 h 44 mn,…sont ensembles et l’un réapparus,…
…
…c’est en quelque sorte » une mise à nu de Toussaint « ,…par une » estampe japonaise « ,…très sobre en sois sur papier de soie,…
…
…j’ai ouvert le cadre avec délicatesse,…
…et examiner la qualité de l’estampe et le montage du cadre,…très, très vieux,…
…mais qu’elle qualité,…original,…et vraiment rare,…
…
…avec une légère ouverture dans le blanc en marge des impressions successives sur le papier de soie,…? express ! ?,…par symbolisme,…
…faut , pas pousser,…etc,…
…
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…Combien ?,…par Toussaint,…
…vous blasphémer,…contre le saint esprit,…
…
…même une copie/coller,…
…rien à faire, je crois que c’est » rare « ,…
…nu à l’héroine,…qu’elle orgie,…pourvu que çà ne laisse aucune » trace « ,…
…des » aurum « ,…de » gay’s chatte « ,…peut-être,…
…jamais, sans châteaux et tutti quantti,…
…etc,…
Polémikoeur. dit:
à
P. A. : plus terrestrement pistolet automatique.
Armavirumquellement.
renato dit:
à
des journées,
il faudrait éventuellement faire une distinction entre l’événement qui produit l’idée et le moment de l’élaboration.
En tout cas, à propos du nu de 1912 M.D. parle de la convergence de ses intérêts, dont le cinéma, et il cite les chronophotographies de Marey, Eakins et Muybridge. Vous trouverez plus d’informations à ce propos in « Duchamp du signe ».
Polémikoeur. dit:
à
Ah, autre chose : « laisser un commentaire »…
Non, envoyer, partager, offrir… même,
un commentaire, une observation, une réflexion,
un texte mais pas laisser, abandonner, larguer,
mais les semer, peut-être… à tout vent.
Servicalement.
Hamilcar dit joie de la lutte dit:
à
Si vous avez voulu prouver qu’en se mettant à plusieurs qui ne s’interdisent rien on peut gagner alors en effet c’est gagné. La prochaine fois J’achèterai deux fois plus de saloperies grasses et sucrées à Monop. Heureux ?
Hamilcar dit joie de la lutte dit:
à
Sevicialement elle est très bonne.
MCourt dit:
à
Keupu ou quelque autre
Si vous pensez vraiment qu’on lit Barbey pour autre chose que son style, que ses lecteurs en sont encore à attendre le Comte de Chambord, les Orléans,la progéniture de Naundorff, ou quelque autre vieillerie de la sorte, qu’ils prennent le thé en papotant avec des duchessesn en attendant le rétablissement de lav Monarchie, vous n’avez rien compris à Barbey.C’était déjà perdu de son temps, et il le savait.
Je vous laisse libre de préférer le Jacob Delafon de Mr Toussaint. C’est plus solide, plus moderne, moins léché,moins baroque, garanti anti poétique, sérieux comme un volume de Minuit, dépourvu de tout humour . Je ne parlerai pas de la nymphette ci-dessus référencée, ne l’ayant pas lue. Ah, une chose, ce Paul Edel que vous n’aimez guère et jugez ringard, figurez-vous qu’il a aimé cette « Salle de Bain »….
MC
Collectif des Fascistes de Porquerolles..... dit:
à
Nous protestons vigoureusement contre les supputations éhontées émises en RdL par certains durant la journée d’hier.
Non ! Feu JC, hélas retiré trop tôt à notre légitime affection, ne se cache pas derrière les renatophobes nombreux qui, répétant à satiété des évidences, enlaidissent par leurs commentaires un blog prestigieux, lu jusqu’à Port Cros Village et même Hyères les Palmiers.
Non ! Mettre en doute le travail de critique objectif d’Assouline, c’est revenir au créationnisme, à la Terre plate, au religieux littéraire. Notre bon Pierre n’écoute que son cœur lorsqu’il pond ses billets laudateurs et sournois…
Enfin, l’accusation de « fascistes merdeux » proférée par des inconscients intolérants, humanistes de goulag, fientes de parti, est scandaleuse. Nous avons depuis longtemps l’eau courante à Porquerolles ! Et le souci de nos corps, comme de nos esprits. Ce qui n’est pas le cas de tout le monde, ici… Bien à vous et bonne journée.
Valeria Elena von Bank und Rottweiler dit:
à
Contrairement à une rumeur propagée par l’opposition, la volonté de mon François d’aller « punir » Bachar n’est pas guidée par une jalousie personnelle et amoureuse.
Je ne connais pas intimement ce monsieur Bachar, et n’ai en rien la compétence de l’ancienne P.D. dont l’étendue relationnelle était immense et connue de tous.
Vive la République ! Vive la France !
des journées entières dans les arbres dit:
à
Monsieur Court !
A vous lire, je comprends qu’il faut avoir les détestations choisies. Les choisir.
Je pense comme vous: J-P. Toussaint fait des romans » léchés ». Jusqu’à la maniaquerie.
Pour quelqu’un qui n’avait jamais lu un livre, ou presque, jusqu’à l’âge de 20 ans, on ne peut pas lui opposer une « imprégnation » de quelque écrivain.
Son humour, il n’en manque pas, est parfois bien noir. Faut aimer.
« La salle de bains » c’est un peu comme les rushes d’un scénario cinématographique.
N’est-ce pas « sérieux » absolument de devoir préférer absolument ?
préférer jacob delafon à idéal standard
préférer le miel aux madeleines
préférer le XIXème au XXIème
préférer Venise à Tokyo
préférer la science à la fiction
je préfère ne pas.
Renato, merci. Je sais maintenant définir mon manque goût absolu pour Duchamp.
« En 1913 j’eus l’heureuse idée de fixer une roue de bicyclette sur un tabouret de cuisine et de la regarder tourner. À New York en 1915 j’achetai dans une quincaillerie une pelle à neige sur laquelle j’écrivis: « En prévision du bras cassé » (In advance of the broken arm). Il est un point que je veux établir très clairement, c’est que le choix de ces ready-mades ne me fut jamais dicté par quelque délectation esthétique. Ce choix était fondé sur une réaction d’indifférence visuelle, assortie au même moment à une absence totale de bon ou mauvais goût… en fait une anesthésie complète. »
Marcel Duchamp.
Toto... dit:
à
… a fait « une expérience ».
Laissons-le récupérer aujourd’hui.
fred dit:
à
Faut comprendre ou excuser le gnome de pq, il a des intérêts dans le gazoduc http://energie.lexpansion.com/energies-fossiles/guerre-en-syrie-et-geopolitique-du-gaz_a-31-7721.html (« Guerre en Syrie et géopolitique du gaz »)et ne supporte pas qu’on ne parle pas de sa petite personne
des journées entières dans les arbres dit:
à
Toto… dit: 4 septembre 2013 à 8 h 02 min
Il se peut que vous trouviez l’adresse personnelle de Renato sur son blog.
Une expérience ?
Réglez directement ce conflit personnel entre vous.
Et revenez nous en faire un roman.
renato dit:
à
des journées,
il y a chez M.D. deux moments. Celui de la peinture et l’autre. Le premier peut se regarder avec les instruments critiques habituels. Le second ne demande pas une approche esthétique, mais quelque chose entre l’indifférence et une approche apoétique de la réalité — à ce propos assez intéressant « Rhapsody on a windy night », un poème de T. S. Eliot, publié en 1915.
rose dit:
à
Duchamp il me laisse de marbre.
rose dit:
à
[…]en fait une anesthésie complète. »
Marcel Duchamp.
Voilà son effet sur moi. Mais comme c’est l’effet qu’il aeu sur lui lorsqu’il a installé (il est à l’origine des installations en posant son chio… kekpart. Nul n’aurait osé – de son temps.
rose dit:
à
Remarque, un plombier aussi installe. En connectant ses tuyaux.
En Afrique noire, IRL, un plombier peut installer un lavabo dans un dispensaire alors qu’il n’y a pas d’eau courante : je ne suis pas plombier mais j’aurais refusé de le faire ; nanmého.
keupu ou quelque autre dit:
à
un peu court, mon gars ; piqué au vif ?
david dit:
à
chana tova
rose dit:
à
>Pardon Pierre Assouline, je parle à Clopine
>Clopine plonger va avec nager, je vous le dis.
Pas lu ce volume sur Kazan mais ai lu avec délectation Un tramway nommé désir. Ne l’ai pas sauf un extrait prégnant qui jour le fil conducteur dans un film d’Almodovar Tout sur ma mère.
Je trouve cela exagéré de dire que Brando viole Blanche Dubois. Il la baise.
renato dit:
à
L’Urinoir fut une vérification.
Au Salon des Indépendants (1912), ils avaient refusé son « Nu descendant un escalier » avec l’excuse stupide qu’un nu ne descend pas un escalier ! Il fut accepté à l’Armory Show (1913) où il fit scandale.
L’Urinoir (Fontaine) vient après (1917), et l’intention est évidente.
rose dit:
à
Mais il ne la viole pas : à mes yeux de lectrice hein.
Il a une sensualité bestiale oui, mais Blanche le cherche.
D’où la fausse innocence des hommes – salopard – qui se retranchent derrière cela. Elle m’a cherché, je l’ai baisée (pauvre de moi) et les voilà à geindre : ils sont responsables clopine ; j’insiste (pardonnez-moi) : Stanley Kowalsky n’a pas été obligé de baiser Blanche Dubois, il ne l’a pas violée. Il a -faiblement- cédé à ses pulsions sexuelles. Sa femme Stella l’aime tendrement et ils baisent bien ensemble : d’ailleurs pour moi, leur manière de baiser est le ciment de leur couple à Stella et Stanley. Mais lui, connement, baise la frangine de sa femme : le mec, dans toute sa splendeur, mené par sa bite.
Son cerveau -sert ailleurs, à autre chose, je sais pas trop à quoi – durant ce laps de temps est débranché, se recharge peut-être pendant qu’il décharge ; pour être sincère, j’ai jamais trop compris le mode de fonctionnement des hommes (je réponds à une de vos questions anciennes me concernant) surtout lorsque le couple aime – de même manière – faire l’amour ensemble.
Mais je connais des filles qui vivent comme cela -comme des mecs- et je vois la gabégie qui s’ensuit.
Une féministe dit:
à
Violer ou baiser : la même motivation ignoble des mâles ! Ok Brando, plutôt que Renato, mais l’acte est infâme en lui-même.
rose dit:
à
>clopine (suite)
pardon un mot a sauté : je n’ai pas vu la pièce jouée. J’espère que cela m’arrivera incidemment un jour.
Jacques Barozzi dit:
à
La photo du jour
https://twitter.com/CapVrai/status/374967650721337344/photo/1/large
rose dit:
à
>Clopine
j’apprécie votre questionnement sur la femme de Kazan et son attitude face à elle : vous avez raison. Néanmoins cela ne m’enlèvera rien à l’admiration sans bornes que je lui voue. Salopard avec sa femme, se retranchant derrière elle, banalités quotidiennes : j’ai du il y a longtemps faire un stage pour récupérer des points sur mon permis. Une amie que j’ai conduite à Nice a admiré ma façon de conduire, saine et sauve. En ville je conduis sec, sinon tu te fais baiser tout le temps. Sur route, je conduis bien. Dépassant de 1 à 13 km/h la vitesse autorisée, je plane j’écoute France culture parfois je chante à tue-tête, je pourrais vivre dans ma voiture, y loger comme Louise Wimmer.
Je suis distraite. Ailleurs.
Triste.
Immensément.
Avant je croyais que j’avais le corps plein de larmes.
Dorénavant, avec le miel, le tilleul et bien d’autres choses, le lait de coco le sable de Bora-Bora, and so on, je sais avec cruauté que, en marge de mes larmes, ces larmes dirai-je sont les miennes ou celles d’autrui ?il y a plus que des larmes, une douleur immense et ancrée féroce.
Ceci est un prolégomène (pardon c’est long, c’est ma manière à moi) : lorsque j’ai fait ce stage HORRIBLE, nous étions quatre femmes pour 16 hommes. Sur les quatre femmes nous étions deux distraites comme moi roulant à de petites vitesses guère au-dessus des normes autorisées. Une roulait comme Fangio. Quand elle avait un truc à régler prenait sa bagnole comme exutoire. Deux étaient là parce qu’elles donnaient les douze points de leur permis à leur mari et à leur fils.
Sur les mecs (j’ai pas inventorié tous les mecs) mon point de vue est moins détaillé (et moins juste aussi) : deux mecs distraits roulant peu vite, le reste je sais pas trop mais il y avait aussi des mecs qui roulaient comme des marlous violant délibérément la loi (à contre-sens, alcool, etc.) mais le pire fut celui qui roulait à 200 à l’heure et plus sur l’autoroute, qui perdait son permis et continuait à rouler, qui falsifiait des papiers etc. un mec dangereux un brigand. Que tu as peur de le rencontrer au coin de la route.
rose dit:
à
On -personne- n’est obligé de prendre ce que j’écris et d’en faire de la fange.
Baiser c’est bien : choisir de baiser avec un mec que tu aimes c’est mieux.
rose dit:
à
Baiser avec n’importe qui c’est choisir de dissocier son corps et son esprit qui sont faits pour vivre ensemble : c’est un choix qui n’engagent que ceux qui le font.
Baiser avec le/la même partenaire c’est l’idéal pour baiser bien et mieux parce qu’on se connaît mieux.
S’aimer et baiser c’est la ligne de force.
Ce n’est qu’un petit point de vue.
bouguereau dit:
à
le mec, dans toute sa splendeur, mené par sa bite
..c’est vrai qu’il est beau
rose dit:
à
Je sais plus ça colle pas : cela fait cinq. Alors j’étais la seule distraite, une Fangio woman et deux dévouées aux incivilités de leur mari et progéniture.
bouguereau dit:
à
La photo du jour
c’est vrai qu’il est beau..et lui c’est pas que la bite..c’est la fuelled rockette..jicé est cramoisi de jalousie épicétou
rose dit:
à
Non je crois que c’est sa bite qui est belle.
Lui, euh…
bouguereau dit:
à
le mec, dans toute sa splendeur, mené par sa bite
le nec plus ultra de la selection darwinienne, la pointe de l’évolution attation
Jacques Barozzi dit:
à
Quoi, u., pas le moindre livre de Toussaint l’ouverture !
Ni de Nothomb ou Modiano !!!
Quid de Christine Angot et de Houellebecq ?
Pour vous la littérature s’arrêterait-elle à Marcela Iacub ?
Votre critère de sélection est certes petit sous la ceinture
Mais il vous mène direct à la bonne ou mauvaise direction…
bouguereau dit:
à
Lui, euh…
tu te fies aux apparences..en fait c’est le male alfa..le silveur bac..le prédateur !
rose dit:
à
>Clopine je n’ai pas fini, pardon
la femmes est co-responsable des hommes qu’elle attire : elle n’est en rien innocente.
Je pense que – que ce soit la femme qui jette son dévolu sur l’homme – justement parce qu’il dit qu’il a une belle bite et que c’est une forte motivation – ou parce qu’il a besoin d’être sauvé du déluge et c’est aussi une forte motivation pour une femme de sauver Boudu des eaux (de vie), ou bien que ce soit l’homme qui jette son dévolu sur la femme, et ceci de manière très déterminée (là les raisons me sont fumeuses) les deux trouvent un arrangement : c’est à dire que chacun, in situ, y trouve son compte.
Quand le compte dure c’est que le deal fonctionne, quand le conte ne dure pas, c’est que le deal ne fonctionne pas.
Ce qui ne laisse de me surprendre, c’est comment, mais surtout pourquoi, quand le couple baise bien, ce ciment-là ne suffit pas à maintenir le couple en état de bel et bon fonctionnement : cela représente un mystère à mes yeux. Mais j’avance.
Très lentement mais sûrement.
John Brown dit:
à
Baiser avec n’importe qui c’est choisir de dissocier son corps et son esprit qui sont faits pour vivre ensemble (Rose)
D’abord on ne baise jamais avec n’importe qui, puisque n’importe qui n’existe pas ; ensuite on ne peut pas dissocier le corps de l’esprit. Philousophiquement parlant, le point de vue de Rose ne tient pas la route.
rose dit:
à
Jacques Barozzi dit: 4 septembre 2013 à 9 h 57 min
La photo du jour
C’est pas un cadeau Jacques B. !!! (la photo)
rose dit:
à
>John Brown tant que vous ne donnerez pas une vision positive de Josette je ne vous parlerai pas : tenez-vous le pour dit.
Ensuite, on verra.
bouguereau dit:
à
la femmes est co-responsable des hommes qu’elle attire
..que des salopes ! vdqs !..et dsk en dernière instance
Un con dit:
à
Quand on baise avec n’importe qui, c’est avec n’importe quoi.
L'amant de Josette dit:
à
Cougar, elle est ! Positif.
bouguereau dit:
à
le point de vue de Rose ne tient pas la route
une bonne partie des sorties de route sont du a des inflations..mais évidemment on maquille tout ça à posteriori sur le siège arrière et à l’arrét
John Brown dit:
à
quand le couple baise bien
Assertion naïvement essentialiste. « Le couple » est une entité introuvable. Personne ne baise jamais ni « bien » ni « mal », étant donné qu’un archétype platonicien de la baise reste à définir. Des gens baisent, c’est tout ce que le philousophe peut constater.
Dealer n'est pas jouer dit:
à
Eske l’héroïne de Toussaint, c’est de la bone ?
bouguereau dit:
à
Personne ne baise jamais ni « bien » ni « mal »
..y’a des bons et des mauvais coups..c’est pas pareil
Fragment d'un dialogue amoureux dit:
à
– Tu baises mal !
Il lui fout une beigne
– Tu baises mieux, du coup …
– J’en étais sûr.
rosa campanie dit:
à
John Brown, va dans le désert manger des sauterelles
John Brown dit:
à
quand le couple baise bien (Rose)
Jacques Lacan a dit : » quand on baise bien, c’est qu’on baise mal, et vice vers ça. Le verre plein de Josette est le verre vide de Ninette. » (« Ecrits »)
rose dit:
à
>Clopine j’arrive à l’essentiel (dieu que c’est long -et pas bon contrairement à l’amour- de mettre autant de temps pour arriver à l’essentiel) :
un homme dit de sa femme. Comme une femme dit de son homme.
Quand les femmes acceptent n’importent quoi de leur homme, c’est qu’ailleurs, dans un autre domaine (nous ne sommes pas sous la couette, ni dans la salle de bains) elles y gagnent. Sinon, elles se tirent ailleurs (sénégalais).
Maintenant si une femme existe à travers ce que l’homme dit d’elle, lorsqu’il meurt, l’image d’elle qu’il a inscrite est inscrite. Un homme a un grand rôle à jouer envers la femme avec qui il partage la vie ; s’il ne prend pas ce rôle à sa juste valeur, la femme sera réduite à ce qu’il a laissé d’elle comme image. Un homme – et tant d’autres- comme André Gorz qui meurt avec sa femme souligne l’importance d’elle dans sa vie à lui.
Ce que je voudrai souligner, Clopine, c’est l’importance jouée par la femme dans le « rôle » que joue l’homme envers elle.
Je n’ai jamais accepté d’être traitée de connasse par un homme, ni d’être reléguée au trente sixième dessous.
Maintenant, ce que j’ai compris, c’est que cela peut être une méthode calculée, choisie, jouissive, de/pour après moi, le déluge. C’est à dire plus d’homme. Gardant ainsi un sentiment de totale surpuissance et d’entière exclusivité. La cassant suffisamment pour l’empêcher de recommencer à aimer, & à baiser.
Mais là, la femme est responsable, à 150 % d’accepter de vivre cela (une des femmes de Picasso a vécu cela, Dora je crois, l’enfermement).
J’espère que vous m’avez comprise Clopine sur l’interaction que j’ai voulu souligner.
Au sein d’un couple.
Entre l’homme et la femme.
Un peu difficile mais important pour moi à écrire, merci Clopine de m’avoir donné cette chance.
rose dit:
à
Lacan me laisse de marbre.
rose dit:
à
Dans le désert, je ne vais pas remettre Dali, la femme dans le désert je l’ai fait c’est plus à faire.
calendrier dit:
à
Nous vivons en quel siècle déjà ?
renato dit:
à
« Jacques Lacan a dit… »
Et Nietzsche ne dit rien à ce propos ?
Observatoire de humour helvète dit:
à
« Sinon, elles se tirent ailleurs (sénégalais). »
Côté humour, Rose c’est Thierry en mieux
rose dit:
à
>Quant à Josette je ne me fais aucun souci : elle baisera trois jours après, avec n’importe qui. Le directeur de prod. ou autre.
C’est plutôt pour John Brown que je me fais quelque souci : parce que, à donner l’image de sa femme qu’il donne, il se salit vilainement lui aussi. L’homme c’est sa femme qui donne le la, si c’est une connasse, c’est que lui est un parfait connard : et là, ça craint grave de chez grave.
Madame Verdurien dit:
à
en quel siècle ? demandez à court, il en est encore au moyen-âge
rose dit:
à
>TKT je l’aime bien et il a nombre de qualités que d’autres ont beau chercher dans le désert, ils ne les trouveront jamais. Mais de la rocaille oui, et des cactus aussi.
rose dit:
à
>Parce que, et là vous prolongez mon sujet avec l’image donné par un homme concernant un autre homme : l’image que vous donnez de TKT ne correspond pas à sa réalité.
TKT n’est pas un connard et il n’est pas l’espèce d’imbécile que vous vous évertuez à faire croire de lui.
Voilà.
rose dit:
à
Baisez qui vous voulez, cela ne me regarde pas.
rose dit:
à
Parfois j’aime bien ; je vous lis : je retrouve Maupassant avec son goût des putes (et pas queue : la liste est longue).
Chacun est libre de ses choix.
rose dit:
à
Elle sautera sur le mec le déculottera le sucera. IL se laissera faire. Après il dira sur un blog au bordel ambiant son harassement parce qu’il n’est maître de rien, en rien.
Un con dit:
à
« si c’est une connasse, c’est que lui est un parfait connard »
Mes potes diplômés, intelligents, y sont tous avec des connasses. Les brillantes, elles me préfèrent. Va comprendre ?
rose dit:
à
Maintenant si Josette cela lui convient de se faire traiter de connasse à longueur de blog c’est aussi votre affaire, la sienne, pas la mienne.
C’est qu’elle y trouve son Comte.
Exangue peuchère son Comte mais cela le regarde lui.
rose dit:
à
Il se laissera faire.
rose dit:
à
S’il y avait quelque chose à comprendre cela se saurait. On apprendrait. On aurait les clés. Il n’y a rien à comprendre.
Les filles brillantes ont du mal à vivre avec un parfait connard.
TKT dit:
à
Rose, certainement, il faut de tout pour faire un Humain. D.bile alias JC alias Toto etc… n’a que sa pathologie de pervers narcissique et…….son passé de petit-enfant abusé. Le résultat, on le peut le lire depuis 2005.
D. pervers s’attaque à Renato, sous une multitude de pseudos et vient, en faux-cul défendre l’attaqué. Cela le fait jouir, il en a les mains moites
rose dit:
à
Mais c’est encore plus difficile de vivre avec un mec intelligent.
C’est vrai.
Je tente d’être honnête.
Je fais tout pour.
u. dit:
à
Ce blog de l’écrivain étalant ses brouillons avec une extravagante générosité, c’est pas conçu comme du miel à thésardes?
Un promeneur, déconcerté, harassé..... dit:
à
Je ne peut plus promener le chien tranquille, juqu’au parc.
Quand elle me voit, la fleur avec l’épine, elle me déculotte, elle me suce la tige de jade, je me laisse faire et le chien hurle à la mort un instant.
Je ne suis plus maître de rien. De RIEN !
TKT dit:
à
D. alias JC, représentez vous l’humour de Melun, ou de la région d’Annemasse où, vous étiez comptable junior (pas par l’âge) avant de vous faire diriger sur Paris et puis, renvoyé, mise-à-pieds pour raison de vol sur salaire: présence sans arrêt sur internet ?
La RdL ne semble pas avoir les moyens techniques de vous jeter, bizarre quand même…
Un sexologue averti en vaut deux dit:
à
« Cela le fait jouir, il en a les mains moites »
Où va se nicher la jouissance, mon bon monsieur !
rose dit:
à
J’ai vécu deux fois avec un parfait connard et un mec suprêmement intelligent : baiser bien ne dépend pas de l’intelligence mais de l’accord des corps.
John Brown dit:
à
C’est plutôt pour John Brown que je me fais quelque souci : parce que, à donner l’image de sa femme qu’il donne, il se salit vilainement lui aussi. (Rose)
Josette n’est pas ma femme, c’est ma poule relativement favorite. Rose est attardée au Moyen-Âge.
Polémikoeur. dit:
à
La Femme de la Radio parlait ce matin
et faisait parler de bouquins
qui, après la rentrée,
pourraient devenir
des livres.
Avec lectures d’extraits.
Quelques-uns, rencontrés ici,
n’ont pas, de ce coup, changé de saveur.
Certifficacement.
u. dit:
à
» Sa cosmologie ne fonctionne qu’à poil. Elle n’est vraie que nue. Tout cela est finement tressé. »
C’est une velue à couettes.
John Brown dit:
à
Les filles brillantes ont du mal à vivre avec un parfait connard. (Rose)
Les filles braillantes ont du mal à vivre avec un parfait couillard
D. dit:
à
Enfin, vous revoilà mon ami Thierry !
xlew.m dit:
à
@MCourt, si nous sommes nombreux à partager votre avis sur Barbey, pourquoi nos rangs devraient-ils fondre comme neige carbonique au soleil « dans le grand incendie de l’été » (c’est une figure de style de l’auteur de « Nue », il la convoque souvent pour s’en amuser) à propos de Toussaint ? Son écriture est absolument magnifique, un vrai petit prodige stylistique jusque dans son manque de tension apparente. Il est arrivé à trouver un « la » sans jamais brusquer les mécaniques de son instrument, sans jamais se désaccorder, j’ai tout de suite été sous le charme de cette musique, d’autant plus qu’averti par l’auteur du billet j’ai pu passer directement à une « troisième lecture » (P. Assouline dit que si la première fait ressentir la perception d’un vide ou le danger d’un enlisement, la deuxième redonne le sentiment qu’on s’est laissé ravir sans coups férir, d’une manière instantanée), celle qui paraît pouvoir vous mettre en contact avec le feu de l’écriture (merci au président-blogueur. Il n’y a qu’une chose que je contesterais avec vigueur : pour moi — c’est sans doute l’avis d’André Breton qui m’influence encore un peu –, l’homme ne gagne rien à se vautrer dans l’éthique naturiste, même lorsqu’elle reste une activité de la sphère privée, la nudité masculine doit toujours se présenter en « morning glory » devant une femme, et cela n’a rien à voir avec je ne sais quelle domination. Paul Delvaux n’était sûrement pas loin de penser pareil, fin de la parenthèse.) Je suis presque certain que Toussaint, sans tomber dans le pastiche des grands anciens de Minuit, ni dans le pastiche de lui-même, accepte volontiers de jouer un peu avec la défunte école du nouveau roman ; ses descriptions de l’inénarrable madame de Montalte, qu’il couvre parfois du maximum de couches d’adjectifs, comme pour lui tisser une sorte de cape d’invisibilité, pour peut-être essayer de faire disparaître aux yeux des autres l’éblouissante capacité qu’elle possède à se rendre « Vénus à l’absence de fourrure », où elle veut, et quand elle le désire. Ses peintures de Paris sous la pluie (la place des Invalides nue dans la grisaille, c’est une jolie notation), sont pleines de finesse (c’est finalement assez rare qu’un écrivain ose encore nous ‘montrer’ Paris tel qu’en lui-même), le contraste entre le grand midi des paysages de l’île d’Elbe et les rues trempées (on se croirait un peu dans « Seven » quelquefois) de la capitale nous permet de saisir une Marie aussi peu à l’aise à pied sec sur les terres de la Rivercina que dans les ruelles du Marais humide (y’a que dans la préparation des valises qu’elle est pleinement elle-même peut-être.) Non, je proteste sincèrement, on ne s’ennuie pas une seconde dans ce roman (pour moi c’est du gibier de Goncourt de premier choix, les « latitanti », et autres chasseurs du maquis de Portoferrario, qui parfois déjeunent chez Drouant doivent bien s’en être aperçu), prenez le récit de l’expo tenue à la « Contemporary Art Space » de Shinagawa, par exemple, si cela n’est pas de l’humour, qu’est-ce que c’est ? Le roman se termine par la beau récit du baiser foetal de la femme fatale, l’auteur nous ferait presqu’entrer en communion d’esprit et de sensation avec son narrateur. C’est-là qu’on se rend compte que Marie (en bon artiste multicarte qu’est Toussaint) était l’incarnation même du ‘punctum’, de ‘l’absorbement’ de l’auteur du livre. Tout cela dans l’expression d’une ‘antithéâtralité’ délicieuse. (J’ai choisi cest trois notions non pour me faire mousser pour reprendre des termes choyés par les mecs de l’art contemporain, faut lire le livre pour comprendre.)
nb : se rappeler peut-être aussi que l’emblème du Corse était plus l’abeille que l’aigle, et que Toussaint s’en souvient ; sa Marie est une sorte de reine, c’est plus une gelée royale de style qu’il a récolté chez elle que de la vulgaire cire dépilatoire.
rose dit:
à
Une femme peut s’accorder bien physiquement avec un parfait connard ou avec un mec suprêmement intelligent.
u. dit:
à
Ce matin, j’ai relu ce billet et j’ai répété trois fois « Voilà un écrivain sympathique et important ».
Pour l’instant, « l’effet de réel » de cette phrase est limité.
Ça va probablement venir.
Mariage pour tous, souffrance partagée dit:
à
Les filles braillantes ont du mal à vivre avec les filles brillantes
Les parfaits connards ont du mal à vivre avec de parfaits couillards
u. dit:
à
Je viens de lire lew.
Allons, ça commence à monter.
Il y a là forcément quelque chose plutôt que du rien.
Et puis Marie à poil, ça caresse mon imaginaire catholique.
John Brown dit:
à
Je puis révéler, sous le sceau du secret (comme on dit chez Facebook), que Rose n’a jamais baisé en vrai avec personne, vu que, dès l’âge de dix-huit ans, elle est entrée vierge chez les Carmélites. A l’heure d’internet, ça se défoule grave dans les couvents.
John Brown dit:
à
Son écriture est absolument magnifique, un vrai petit prodige stylistique (xlew à propos de Barbey)
C’est ce qu’on appelle redécouvrir l’eau chaude
rose dit:
à
>Bonjour TKT
Rose, certainement, il faut de tout pour faire un Humain.
Sur le reste, je nuance : il pourrait y avoir auto-attaque, de soi-même je précise. Ce serait alors pour dire « revenez, je vous aime bien » ; « revenez, on joue » ; « revenez, vous êtes mes potes ».
Moi je l’aime bien ce type TKT même s’il est pervers narcissique, on a chacun nos tares. Je n’apprécie pas lorsqu’il m’agresse (un jour, je le giflerai, cela lui fera de l’effet).
Maintenant, il dit que le blog ce n’est qu’un blog mais il y vit : c’est comme si je dis ma maison ce n’est que ma maison mais j’y vis c’est contradictoire.
John Brown dit:
à
(xlew à propos de Barbey) (mézigue)
euh… autant pour moi. Ne lisons pas trop vite, même les posts de la RdL. xlew me donne envie de lire Toussaint, ce qe n’avait pas réussi Assouline.
Joseph, indigné dit:
à
U.
Marie à poil j’y ai même pas droit, moi qui paie le loyer : on se calme !
u. dit:
à
« J’ai vécu deux fois avec un parfait connard et un mec suprêmement intelligent : baiser bien ne dépend pas de l’intelligence mais de l’accord des corps. »
J’ai vécu deux fois.
La première fois c’était avant le lit, la deuxième fois après.
L’accord des corps, c’est beau comme un sanglot long.
Mais la phrase est un peu brutale.
Pour la sucrer un peu, il faut la faire lire à haute voix par une dame de Passy, qui aime écouter « Meuzart » et possède un rai au « Mareuc ».
Ça devient sentimental:
« l’acceurd des coeurs ».
Le connard était queutard, et le malin malingre?
rose dit:
à
>TKT que vous, ou bien LML soyez agressés en permanence est inacceptable. Vous vous défendez tout le temps et j’admire votre pugnacité à vous. De plus, ni vous, ni LML je ne vous juge/pense comme de parfaits connards.
L’avantage : vous êtes/devenez une vedette de ce blog parce que il ne parle que de vous (D.) incapable qu’il est de vous lâcher les basketts. Sauriez-vous, vous faire la paix avec lui ?
L’inconvénient : vous êtes tellement bloqué par cette attitude de défense permanente, que presque jamais vous ne pouvez vous exprimer librement. Très récemment vous l’avez fait, vous avez pu parler normalement et bien c’était fort agréable de vous lire.
rose dit:
à
Payer le loyer c’est la moindre des choses : cela ne justifie pas de traiter sa meuf de connasse à longueur de post.
Elle fait la bouffe.
Elle te suce.
C’est rien de payer le loyer en regard de ce qu’elle te donne gracieusement.
rose dit:
à
Vivre avec un parfait connard c’est très difficile.
Vivre avec un mec suprêmement intelligent c’est très pénible.
En fait ce qui est difficile c’est de vivre avec un mec : il commence » je vais la cuisine » IRL il fait jamais la cuisine.
Il commence il veut que tu sois sa pute. IRL c’est lui qui fait ta pute.
rose dit:
à
Je fais la cuisine.
En vrai : il la peint au Ripolin mais jamais il ne fait la cuisine. Mais il t’annonce moi je fais la cuisine.
E>t tout le reste est à l’avenant.
Payer le loyer c’est avoir un toit.
Que tu payes le loyer je trouve ça sain.
u. dit:
à
xlew écrit comme tapait Thelonious et comme Mingus grattait.
Toto D., RdL killer dit:
à
C’est plutôt rassurant d’être attaqué en permanence, on peut en jouir quand on est un commentateur isolé, frêle, timide, et complexé.
Raison pour laquelle, je m’y emploie 24 heures sur 24, moi, petit troll pourri. J’apporte succès, renommée et jouissance morbide aux victimes de mes attaques sordides.
On devrait m’encenser !
rose dit:
à
Pas du tout.
Les suppositions sont blasphématoires et loin de la réalité.
Ce qui est important pour moi de souligner, c’est la raison pour laquelle je l’écris, c’est lié à la femme de Kazan et à ce qu’écrit Clopine, c’est que l’on peut bien baiser avec un parfait connard et bien baiser avec un mec suprêmement intelligent.
Donc je souligne que la qualité de la baise ne vient pas de l’intelligence. Donc j’insiste encore sur le fait que traiter de connasse la meuf avec qui on baise bien, je trouve cela lamentable. Maintenant si cela fait partie de votre scénario amoureux, là encore à chacun la liberté de ses choix : mais alors ma question est : doit-on le subir ?
u. dit:
à
Impressionné, rose.
Chez vous au moins, de la cuisine à la salle de bain, on s’explique.
Ça passe ou ça se casse.
C’est vrai que les mijaurées, ça vous pourrit la vie.
rose dit:
à
Raison pour laquelle, je m’y emploie 24 heures sur 24, moi, petit troll pourri. J’apporte succès, renommée et jouissance morbide aux victimes de mes attaques sordides.
Voilà TKT c’est ce que je vous ai écrit plus haut : il croit vous apporter la célébrité, dont, sans doute, vous n’avez rien à fiche, alors que vous préféreriez être tranquille. Peut-être pourriez-vous le lui dire.
u. dit:
à
« c’est que l’on peut bien baiser avec un parfait connard et bien baiser avec un mec suprêmement intelligent. »
Les mecs du blog se détendent un peu.
Certains étaient tendus.
Logique. Bio-logique. dit:
à
« c’est que l’on peut bien baiser avec un parfait connard et bien baiser avec un mec suprêmement intelligent.
Donc je souligne que la qualité de la baise ne vient pas de l’intelligence. Donc j’insiste encore sur le fait que traiter de connasse la meuf avec qui on baise bien, je trouve cela lamentable. »
Constat : puisqu’on peut baiser bien avec une connasse, qu’est ce qui nous interdit de lui faire part du constat post-saillie, en lui disant que c’est une connasse ???
rose dit:
à
Non mais je parle comme cela à cause de la femme d’Elia Kazan que j’aime beaucoup. Et je suis très impressionnée moi quand un homme admire sa femme.
Ce qui me scotche IRL, et me laisse sur le cul, c’est quand un homme, de par la femme qu’il a la chance d’avoir, ne regarde plus les autres femmes.
Mais un homme qui a une femme au milieu de tant d’autres ne m’intéresse pas.
IRL y’a pas grand chose qui passe et bcp qui cassent. Je suis bien désolée mais je suis une immigrée de l’intérieur (merci Elvira) une handicapée de l’amour. Je n’y pige que dalle.
rose dit:
à
Je ne cherche pas un homme qui soit ma pute (quoique ce soit vachement tentant, mais je résiste).
rose dit:
à
Je ne cherche pas un proxénète agricole.
rose dit:
à
Je ne cherche pas un homme qui passe la cuisine au Ripolin ni que me fasse ma/la cuisine ni un ouvrier qui refasse ma maison les peintures les sols les tapis le carrelage de la salle de bains.
bouguereau dit:
à
on peut baiser avec une conne mais on peut pas lui dire..mais si on baise pas avec elle on peut lui dire qu’elle est conne rose?
TKT dit:
à
Rose, il n’y a pas de paix avec un « pervers narcissique » qui se croit et pour Dieu et pour JC de Nazareth. Il est le Père (incestueux), le Fils (victime du père) et l’Esprit Malsain. Le pire restant quand même sa bêtise et son catholicisme à l’eau de Vichy.
Dans la vraie vie, une cloche asexuée qui se prend pour une cloche de messe et un encensoir qui déverse des odeurs de puanteur fasciste.
Le mieux est de ne pas trop participer aux commentaires et de ne jamais lui répondre.
D. est un lieu d’aisances sans eau et sans canalisation.
rose dit:
à
Les hommes se font avoir comme des bœufs et semblent aimer cela.
Je les regarde vivre, pas mal estomaquée.
Je me mets à penser qu’ils aiment être serviles et menés par la queue et dans le sillon à tirer la charrue.
Mathieu, de la ferme des Faucherêts dit:
à
« Je ne cherche pas un proxénète agricole. »
Dommage ! J’aurions bien vu un p’tit complément d’revenu.
rose dit:
à
bouguereau dit: 4 septembre 2013 à 11 h 26 min
Je trouve cela difficile boug. Si tu la baises pas, c’est que t’as pas d’intimité avec elle. Alors puisque tu n’as pas d’intimité pourquoi lui dire qu’elle est conne. Tu la blesseras sans en tirer aucun profit : c’est à dire que cela ne t’apportera rien en terme de grandir. Tu sais l’expression quand on dit « le petit il a bien profité » cela veut dire il a bien grandi (le soleil, la campagne, les légumes tout ça).
Non, je ne vois pas trop l’intérêt, sauf dans l’échange d’une intimité nourricière de dire à l’autre qu’il est con ou conne.
Pour ma part je ne baise pas avec un parfait connard et je n’aimerai pas avoir à le faire.
JC dit:
à
« D. est un lieu d’aisances sans eau et sans canalisation. »
Oui, mais la merde ? Hein ! La merde suisse ? Qui la fournit
renato dit:
à
« Je fais la cuisine.
En vrai : il la peint au Ripolin mais jamais il ne fait la cuisine. Mais il t’annonce moi je fais la cuisine. »
Je fais ma cuisine. Elle fait sa cuisine. Parfois je lui laisse une invitation dans la boîte aux lettres. Parfois elle me laisse une invitation dans la boîte aux lettres. C’est surtout pour le soir et c’est la porte à côté… Enfin, on peut désormais opter pour des styles de vie excentriques sans se taper le fait de dormir ensemble 7j sur 7, manger les mêmes plats, voir les mêmes gens… etc., etc.
Cela dit, je ne peins pas la cuisine au Ripolin : il y a des professionnel pour ça.
j'arrive du footing dit:
à
Je ne cherche pas un homme qui passe la cuisine au Ripolin ni que me fasse ma/la cuisine ni un ouvrier qui refasse ma maison les peintures les sols les tapis le carrelage de la salle de bains.rose.
Et pourtant, il doit avoir les mains travailleuses!
rose dit:
à
Logique. Bio-logique. dit: 4 septembre 2013 à 11 h 24 min
Constat : puisqu’on peut baiser bien avec une connasse, qu’est ce qui nous interdit de lui faire part du constat post-saillie, en lui disant que c’est une connasse ???
Je vous trouve lourds et lents à la comprenette (mais généralement cela arrive au cerveau je l’ai constaté) :
de deux choses l’une ou t’accepte de baiser avec une connasse ou t’accepte pas.
Si t’accepte pas, t’es un mec normal t’es débarrassé, tu peux chercher une meuf qui te ressemble. T’aura pas toujours cette différence entre elle et toi, t’as des chances d’accéder à une vie harmonieuse.
Si non : t’as tes motivations elles sont nombreuses.
Ou t’as pas le choix. C’est triste. Ou tu sais pas draguer. C’est pire. Ou t’as aucune chance avec la meuf que tu kiffes grave. Mais ça c’est toi qui te l’es mis dans le pif. Parce qu’elle tu l’émeus.
Si t’as le choix c’est encore plus grave :
là, tu te laisses choisir parce que t’es feignant. Ou bien t’es un faible et ça c’est grave alors en choisissant une connasse tu es sûr d’avoir tes chances et de pas être bouffé.
Tu te dis » je vais être tranquille » et tu le seras jamais parce que quand on est con, on est con. Donc fini ta tranquillité de célibataire t’avais qu’à réfléchir avant.
TKT dit:
à
JC, mon dernier revers comme au tennis, et bien, en Suisse, nous ne pouvons acheter pratiquement que des produits alimentaires frais venus de l’étranger. La France dans ce domaine doit être le premier pays exportant en Suisse. Quant aux capitaux non déclarés des citoyens des autres pays, le système bancaire helvétique fait le ménage. Ne resteront en Suisse, que les « assets » déclarés aux fiscs des pays lieux de résidence fiscale.
JC, prenez soin de votre double D.bile et je vous souhaite à vous tous, de pourrir au paradis des toqués.
Je vous laisse vous attaquer à un autre, vous ne sauriez disparaitre, hélas !
renato dit:
à
Hé merdre ! c’est donc vrai JC a raté son suicide !
rose dit:
à
D’abord on ne dit pas le constat post-saillie. (Putain de moi j’aurais jamais dit répondre à Clopine je suis pas sortie de l’auberge).
On dit la lassitude post-coïtale.
Nous sommes dans le cas deux :
t’as choisi une connasse ou plutôt elle t’a choisi (les connasses sautent facilement sur les mecs leur fourrent la main dans le pantalon à table, au boulot leur jettent le froc sur les chevilles et ainsi immobilisés les sucent. C’est leur mode opératoire).
T’en es là.
T’es mal barré.
Tu réfléchis pas avant, t’assume après.
Vous baisez : c’est un moteur fort de baiser avec un autre. Si tu baises pas bien tu cherches une autre sur ta liste longue de tes collègues de boulot dispo les jours à venir.
Si tu baises bien si t’aimes bien la baiser, si elle aime bien te baiser et te sucer, alors tu lui fous la paix.
Je répère : tu lui fous la paix.
J’insiste : tu lui fous la paix.
Et tu la traites pas de connasse à longueur de blog.
Et puis tu commences à la regarder différemment : elle est jolie comme un cœur, elle est gentille et elle t’es entièrement dévouée. Et tu aimes être sucé par elle.
Que tu disparaisse ensuite ; chaque fois que tu as joui c’est ton problème, c’est pas le notre.
D’ailleurs je vais te montrer l’exemple parce que tu comprendras ce que c’est de traiter quelqu’un avec dignité : à partir de ce jour je ne traite plus personne de poufiasse.
Et je te rappelle ces mots de Nizan (mes mots j’en suis sûre, Nizan c’est à vérifier trois fois plutôt qu’une) La femme est la loupe de l’homme
Polémikoeur. dit:
à
Le crois-tu, Passant ici d’aventure,
privé de style mais abreuvé d’injures
que la table où le Patron s’escrime
ne soit pas qu’un gratuit, abîme
de réclames et de petites annonces,
juste bon à envelopper des poissonss ?
Particommunentristétraquement.
rose dit:
à
bien évidememnt la contrepèterie c’est mais là que cela devient jouissif.
Bon j’ai dit ce que j’avais à dire, bonne journée.
Je ne crois pas du tout au plaisir de haïr. Même pas un quart de ligne.
Mais à la douceur de vivre ensemble, oui j’y crois.
Mais avec qui bordel ?
Hein ?
rose dit:
à
>TKT dit: 4 septembre 2013 à 11 h 26 min
Rose, il n’y a pas de paix avec un « pervers narcissique »
C’est vrai parce qu’il y a acharnement et harcèlement.
Bonne journée.
John Brown dit:
à
Donc je souligne que la qualité de la baise ne vient pas de l’intelligence.( Rose)
Rose serait-elle bornée ? Dans la mesure où il y a (ou non) une intelligence de la baise comme de toute chose pour nous au monde, la qualité de la baise vient forcément de l’intelligence.
renato dit:
à
Ce que vous dites à propos de l’alimentation en Suisse est vrai Traube, mais les producteurs doivent respecter des époustouflants cahiers des charges (le moindre écart et plus de marché). Cependant, les paysans suisses restent un segment important dans l’équilibre de la Confédération — déjà pour les soins demandés par le paysage…
rose dit:
à
>Clopine nom de zeus c’est comme trommelfeuer c’est du style tonnerre de dieu.
John Brown dit:
à
xlew écrit comme tapait Thelonious et comme Mingus grattait. (u.)
mmouais. pour maaprt, j’aura
John Brown dit:
à
xlew écrit comme tapait Thelonious et comme Mingus grattait. (u.)
Mmouais. Pour ma part, j’aurais plutôt songé à B.B. King
u. dit:
à
La femme est la loupe de l’homme
Arnolphe disait qu’elle est la soupe.
u. dit:
à
« Rose, il n’y a pas de paix avec un « pervers narcissique »
C’est vrai parce qu’il y a acharnement et harcèlement. »
Il y a parfois harnachement.
TKT dit:
à
Renato, en effet, en Suisse, les paysans sont fortement subventionnés et sont les jardiniers-paysagistes du pays. Fonction développée partout en Europe, et dans l’UE les mânes sont distribuées par Bruxelles. En Suisse, les paysans sont aussi une force politique, Christoph Blocher sans les électeurs des cantons tendentiellement cul-terreux, serait resté peut-être uniquement le propriétaire d’une multinationale, qu’il n’a pas crée mais qu’il a développer largement. Nous mangeons des produits importés mais, depuis la mode des produits biologique et de proximité, il existe des produits de boucherie (entre autres) qui peuvent concurrencer en qualité avec des produits Français, USA, Argentins.
John Brown dit:
à
Je hais les connes : elles ne savent que parler de ce qu’elles ne savent pas » (Jean-Jacques Rousseau)
John Brown dit:
à
» Connes, pourquoi non ? Tant il est vrai que chacun nomme conne ce qui n’est pas de son harem (et encore) » (Montaigne)
John Brown dit:
à
» Tout serait perdu sans les connes » (Abbé Mugnier)
rose dit:
à
Vivre avec une femme que l’on traite de connasse à longueur de temps c’est lamentable.
C’est se mettre soi-même dans le bain.
JCD dit:
à
Cher Thierry, tout ce que vous dites sur moi est exact, « pervers narcissique », etc. Mais je m’étonne qu’une réalité continue à échapper à votre sagacité, comme disent les lycéens (ils sont forts).
Vous qui êtes si doué pour reconnaître l’identité des commentateurs sous leurs autres pseudos, ne vous êtes-vous jamais demandé pour u. prenait systématiquement ma défense, hm ?
Allez, encore un effort et vous finirez par découvrir qui je suis vraiment.
John Brown dit:
à
» A trop aimer les connes, on les aime contre les cons » (Jean-Paul Sartre)
John Brown dit:
à
» Vivre avec un homme que l’on traite de connasse à longueur de journée, c’est spécieux » (Jean-Philippe Toussaint)
JCD dit:
à
correction : « pourquoi u. », Trommelfeuer.
John Brown dit:
à
» Se mettre dans le même bain qu’une conne, c’est toujours possible avec nos produits » (Jacob Delafon )
rosa campanie dit:
à
john Dan Brown lui découvre l’eau froide
renato dit:
à
Il y eut une époque Traube où le produit suisse était excellent. Je me souviens du beurre de la Migros (maintenant produit en Allemagne) et du mile de montagne. Toutes les semaines un boulanger engadinois nous envoyait une tarte aux noix. Bon, et ainsi de suite.
Maintenant je ne sais pas car lorsque nous rentrons, c’est hôtel & restaurant, mais il nous est arrivé de trouver à Montreux des huîtres mieux affinées que dans quelques restaurant français — huîtres pourtant produites et affinées en France. Et cela vaut pratiquement pour tous les produits alimentaires.
Enfin, le jour où ils changerons la taille des cornichons servis avec la raclette ce sera la fin de tout, mais évidemment, ce n’est pas pour demain.
John Brown dit:
à
» Vivre de connasses et d’eau fraîche » (sagesse populaire)
renato dit:
à
Ah ! mile > MIEL, pardon
le raisin dit:
à
Rose, allez sur meetic et lachez-nous la grappe.
John Brown dit:
à
La femme est la loupe de l’homme
Arnolphe disait qu’elle est la soupe. (u.)
le potage !
Jacques Barozzi dit:
à
D., nous devrions nous rencontrer ?
Pourquoi ne pas profiter des beaux jours pour boire un verre ensemble ?
La terrasse de la cafétéria de l’hôpital Sainte-Anne, au centre du jardin, ça vous irait ?
Vous me reconnaitrez facilement, j’aurai une blouse blanche, mais oui, avec un slip en dessous…
Océane, 5ème 2 dit:
à
Ouahhhhh le bouffon glauque qu’ils nous ont mis en français cette année !!
John Brown dit:
à
» Vous devez toujours, dis-je, avoir devant les yeux
Le peu que vous étiez sans ce noeud glorieux » (moi à Josette)
Jacques Barozzi dit:
à
Maintenant je me demande si John Brown est D. ?
rose dit:
à
sur meetic je vais m’emmerder beaucoup plus qu’ici. Ici il y a des gens que je kiffe. Je reste.
John Brown dit:
à
La femme est la loupe de l’homme
Arnolphe disait qu’elle est la soupe. (u.)
» la femme est en effet le potage de l’homme » ( « L’Ecole des femmes », II,4)
rose dit:
à
Ben vous me semblez bien parti Jacques B. dans vos supputations.
Vous n’aurez jamais de rendez-vous. J’ai essayé avant vous. Mais je suis protégée je n’en ai pas eu, héhé.
John Brown dit:
à
Maintenant je me demande si John Brown est D. ? (Jacques Barozzi)
eh eh… It’s a possibility, comme on dit chez Tex Avery
rose dit:
à
>TKT ne renoncez pas. Et continuez à vous méfier.
rose dit:
à
Langue de pute et une belle salope tout ça pour le même mec dit pervers narcissique. Cela fait beaucoup quand même : un cumulard.
Et fouille-merde chez Jacob Delafon.
Non, je ne vous aime pas bien c’est bidon. Je vous regarde vivre dans votre vivarium. Avec votre femelle.
u. dit:
à
« et dans l’UE les mânes sont distribuées par Bruxelles. »
Les mannes, TKT.
« Distribuer les mânes », l’expression fait rêver.
L’Union imagine peut-être cette fonction politico-religieuse.
A ceux qui s’agrègent, on distribuerait les esprits, on leur accorderait des ancêtres.
La dimension horizontale du traité est un peu pauvre.
Il est tentant d’y ajouter la dimension verticale de la filiation, de l’origine légendaire. Nos ancêtres les Européens (les chrétiens?).
u. dit:
à
TKT et renato, quand je fais mes courses chez Migros, je mesure le décalage avec la France.
Évidemment, on ne peut pas y acheter son pinard, pas d’alcool chez Migros (sauras-tu dire pourquoi?)
Quand on va chez le COOP d’à côté (il y a toujours un Coop à côté), le rapport qualité-prix pour le consommateur de base, en matière de vin, est supérieur aux équivalents français.
On trouve des vins appréciables pour une dizaine de francs suisses, d’Amérique ou d’Australie, alors que les vins français y sont plus chers et moins bons.
Mais les Chinois arrivent, les Français vont arrêter de roupiller.
Au finish!
rose dit:
à
Voilà comment -avec votre côté fouille-merde auquel vous ne renoncez jamais- comment se conclut toute tentative de communication avec vous : dans l’injure et la désolation : C’est ce que vous appelez à vous, l’injure et la désolation.
Les éclairs c’est chez Fauchon, à partir du 7.
u. dit:
à
Je sais, parler de Migros, ce n’est pas lettré.
Daaphnée dit:
à
Et le concept de « culture judéo-chrétienne » , U., vous le trouvez inopérant?
paleo dit:
à
« nos ancêtres les Européens (les chrétiens?). »
le ‘ brave néanderthal’ n’est pas qu’européen
John Brown dit:
à
Quand elle ne suce pas des bites, Rose suce des éclairs au café dans des salons de thé qui sentent le patchouli.
samar dit:
à
« parler de Migros, ce n’est pas lettré »
il faut de tout
u. dit:
à
« Et le concept de « culture judéo-chrétienne » , U., vous le trouvez inopérant? »
J’aime pas trop, chère Daaphnée.
Mais quand on parle des choses à la louche, depuis un endroit lointain, ça peut servir provisoirement.
rose dit:
à
>TKT et Jacques B.
je suis allée le voir à son boulot : quand il a su mon arrivée car j’avais prévenu téléphoniquement, il a dit à la secrétaire collective de son entreprise qu’il avait un rendez-vous extérieur et il s’est enfui, la bite entre les jambes.
Cette année, j’ai un emploi du temps en or et en alternance, avec une liberté subséquente aux projets en cours. Je vais être à Paris quasiment toutes les semaines, fin, début et milieu au prorata des rendez-vous.
Je vais y aller sans prévenir et le choper : si ça se trouve ce n’est qu’un gros con. Ou un petit minable. Je suis hyper curieuse/excitée à l’idée de le rencontrer.
Il me semble que l’associer à la teigne brune cela ne suffit pas : il faut élargir le champ encore plus.
rose dit:
à
Je mettrai les deux mains dans le dos pour ne pas le gifler.
Je crois même que je vais me faire accompagner.
Histoire d’avoir un témoin.
Avec les brebis galeuses il vaut mieux avoir un témoin.
Daaphnée dit:
à
Alors, ne parlons pas à la louche .. U.
Vous repreniez Traube, la « verticalité » etc … Bien, très clair.
Mais qd vous parlez de « dimension horizontale (du traité) », qu’entendez-vous par là ?
u. dit:
à
« Mais qd vous parlez de « dimension horizontale (du traité) », qu’entendez-vous par là ? »
Comme à votre habitude, vous vous moquez de moi, après ces histoires de lit.
Dans la mesure où j’entends quelque chose, je voulais dire la dimension inter-humaine, opposé à la relation homme/esprit, quelque chose comme ça.
C’est tiré par les cheveux, peut-être (n’allez par dire ça à M. Toussaint, il le prendrait mal).
rose dit:
à
La vie privée (du latin privatus – séparé de, dépourvu de) est la capacité, pour une personne ou pour un groupe, de s’isoler afin de se recentrer sur sa vie et de protéger ses intérêts. Les limites de la vie privée ainsi que ce qui est considéré comme privé diffèrent selon les groupes, les cultures et les individus, bien qu’il existe toujours un certain tronc commun.
La vie privée peut parfois s’apparenter à l’anonymat et à la volonté de rester hors de la vie publique. Quand quelque chose est dit « privé » pour une personne, cela signifie généralement qu’à cette chose est rattachée des sentiments spéciaux et personnels. Le degré de privatisation de l’information dépend donc de la façon dont le public pourrait la recevoir, ce qui diffère selon les endroits et à travers le temps. La vie privée peut être vue sous un aspect sécuritaire.
Dans beaucoup de pays, il existe des lois qui sanctionnent les invasions dans la vie privée par le gouvernement, les corporations ou les individus. Ces lois peuvent parfois même se trouver dans la Constitution. La plupart des pays ont des lois qui limitent la vie privée dans un certain sens : un exemple de ceci serait les lois sur les taxes, qui demandent normalement le partage des informations personnelles concernant les revenus, les biens et les gains. Dans certains pays, la vie privée individuelle peut entrer en conflit avec les lois sur la liberté d’expression et certaines lois peuvent demander la révélation d’informations qui peuvent être considérées comme privées dans d’autres pays. La vie privée peut être sacrifiée volontairement, normalement en échange de certains bénéfices (voir les émissions de téléréalité). Des économistes [Qui ?] et des études psychologiques [Lesquelles ?] ont décrit le fait de révéler sa vie privée comme étant un ‘sacrifice volontaire’ [réf. nécessaire] impliquant une quelconque compétition. Dans le monde des affaires, une personne peut donner des détails personnels (souvent dans un but publicitaire) en espérant gagner un prix. Néanmoins, l’information qui est volontairement partagée peut être volée ou utilisée à des fins criminelles, allant même jusqu’à mener à une usurpation d’identité.
La vie privée est également une notion impliquant celle de « respect de la vie privée » qui fait partie des notions plus générales de propriété privée et de bonnes mœurs.
La distinction est très ancienne puisque Aristote faisait la distinction entre la sphère publique polis et la sphère privée oikos. Elle apparaît dans le droit positif civil avec les questions de vues sur le fonds du voisin, de pudeur, de clôture, et aussi dans le droit pénal avec des notions comme le secret de la correspondance, le secret professionnel, la violation de domicile ou la diffamation.
Elle est mentionnée dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 19481, et, pour l’Europe, par la Convention européenne qui en reprend les grands principes[réf. nécessaire].
Chacun dit ce qu’il veut de sa vie privée dans la limite de ce qu’il choisit. Quand l’autre fouille dans ta vie privée et la publie en public il est sous le coup de la violation de la loi, car il porte atteinte à ta vie privée.
On ne peut pas -car c’est antinomique être tout à la fois un lettré, ou encore un érudit et une belle salope.
C’est navrant pour le lettré qui doit être érudit car la belle salope l’emporte sur tout ce qui précède.
rose dit:
à
Tout cela à partir de la femme d’Elia Kazan.
Quand le vine st tiré il faut le boire : allons-y.
Il y a ce problème de l’alcool.
Ce n’est pas un vice de boire c’est être malade.
L’alcoolisme est une maladie.
Posons les faits.
Quand on ne vit pas avec un alcoolique on n’a pas à subir les avanies de son alcoolisme car il est malade, certes.
Néanmoins, ici, tout le monde trinque, plus que de raison et plus que de coutume.
Clopine Trouillefou dit:
à
Rose, pardonnez mon absence : j’ai vécu ces deux derniers jours de manière un peu tourmentée. Ce matin, sur la table, le programme du festival d’automne de Rouen, consacré au thyème , je cite « masculin/féminin ». Encore ? Encore, et nous en sommes, vous et moi, visiblement « encore » là.
Pour la pièce du Tramway, longtemps j’ai cru,comme vous, que Stanley ne violait pas Blanche, et qu’en tout cas, ce n’était pas ce viol qui l’expédiait à l’asile. Mais en relisant la pièce, la mention du viol y est explicite. Et l’autobiographie de Kazan aussi, qui confirme ce point. C’est d’ailleurs dans ce genre de pages (quand Kazan expose longuement les ficelles de son travail avec Tennesse Williams, Miller, avec les acteurs et les actrices, avec le théâtre de Broadway et les producteurs hollywoodien), qu’il devient passionnant. Quand il affirme que le personnage de Stanley ne doit pas être perçu seulement comme la brute épaisse incapable de percevoir Blanche l’impure (attirée par de jeunes hommes), mais qu’il doit laisser apparaître, à travers l’amour pour « Stellâaaaa », une certaine forme de sensibilité. Il s’appuie -et reproduit les lettres, chic !- sur la correspondance avec Williams pour nous convaincre, et se moque légèrement de ceux qui, après lui, auront monté la pièce en se trompant sur le personnage de Stanley. Voir aussi le passage passionnant où ils (Williams et Kazan) remanient la pièce pour éviter des rires du public lors d’une scène avec Blanche, parce qu’ils veulent que cette dernière ne soit pas seulement un objet de pitié ou de dérision mais aussi qu’elle émeuve et puisse être objet d’identification…
Mais ce qui m’a fait le plus sourire à la lecture des souvenirs de Kazan et du Tramway, c’est la tranquille assimilation de Tennesse Williams, homosexuel anxieux, au personnage de Blanche (au point que, sur le tournage du film tiré de la pièce, on lui donnait carrément ce prénom…) Blanche Tennesse, ce qui me fait sourire c’est notre Johnny national, avouant sans rire qu' »on a tous quelque chose de nous de Tennessee ». Jonnhy revendiquant sa part d’homosexualité, voilà de quoi troubler son public, non ???
Je m’égare et moi aussi devrais demander pardon à notre hôte, car notre conversation, Rose, s’établit à propos de mon blogounet et non de cette République. Mais réfléchissez que si j’ai finalement stoppé la possibilité de commenter Clopineries, c’est à cause des JC et consorts… Et je m’en trouve bien mieux comme cela. Néanmoins, Rose, nous pourrions communiquer directement par mail, si ça vous dit, pour ne pas trop interférer ici.
J’ai fini Kazan il y a deux jours. En fermant le livre, j’avais envie de fermer aussi ce monde tel qu’il lui appartenait, à ce « dernier nabab ». Mais j’ai bien peur qu’il ne faille continuer à faire avec les grands mâles dominants, autre nom, je persiste, des grosses têtes de noeuds. Voir les nombreux exemples ici même…
Tous ne sont pas ainsi. Perso, c’est Clopin qui m’a appris le plaisir liquide, frissonnant et glissant d’un corps nageant nu dans l’eau. Reste à déterminer le plus plaisant : la portée de l’eau marine, ou le courant léger des rivières et torrents…
Marie est l’anagramme d’aimer.
rose dit:
à
Vous parlez non stop de votre cul, de vos partie de baise de vos fellations : cela vous regarde et cela est part de votre vie privée.
J’en suis à me demander que votre jouissance passe par le regard de spectateurs ce que m’a expliqué une le jour où, en cinq points successifs elle m’a parlé de la pornographie :
cela me dérange et ceci sur deux points : je ne participe pas à la pornographie.
Et, je n’accepte pas qu’une femme, quelle qu’elle soit se fasse traiter de connasse à longueur de blog, ni par son partenaire sexuel ni par un quelconque individu sur le blog.
Je l’ai dit et je tiendrai ferme sur ces deux positions là.
1005
commentaires