de Pierre Assouline

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Mise à nu de Toussaint par son héroïne même

Mise à nu de Toussaint par son héroïne même

Marie, c’est moi. Pas d’inquiétude : je ne vais pas vous refaire le coup de la Bovary. Mais Marie, l’héroïne de Nue (176 pages, 14,50 euros, Minuit), c’est moi en ce qu’elle adore se balader à poil. Moi aussi, en fait. J’ignore ce que cela signifie, mais je sais le bien être, la douceur au monde et la volupté que cela procure. Aller et nager nu. Rien à voir avec le nudisme balnéaire. Rien d’exhibitionniste non plus car ce plaisir ne s’éprouve qu’en privé, dans la solitude ou l’intimité d’une compagnie. « Une innocente lubie », l’auteur le dit lui-même, me voilà rassuré. C’est d’autant plus drôle que pour nombre de lecteurs de Jean-Philippe Toussaint, (tous les liens de ce billet renvoient au site de Toussaint, assez remarquable dans son genre, comparé aux habituels sites d’écrivains, avec brouillons, archives etc), Marie, c’est l’autre. Celle qu’ils ont connue et aimée. C’est assez dire que Nue ne laisse pas indifférent. A la première lecture, j’ai craint de m’y emmieller. Il est vrai qu’elle est revêtue d’une robe de miel corse avec abeilles en cortège et qu’elle défile pendant plusieurs pages, ce qui ne va pas de soi. On craint l’enlisement. On reste sur cette impression première, même cela s’arrange. A la relecture, on est dans le ravissement de la fluidité.

Marie, nous la fréquentons depuis onze ans maintenant. Nous avons fait sa connaissance d’assez près dans Faire l’amour (2002), nous l’avons retrouvée dans Fuir (2005) qui nous avait rapprochés d’elle, avant de croire découvrir enfin La vérité sur Marie (2009). On aura compris que Nue est le dernier, mais vraiment dernier (le dénouement le dit bien), volume d’un cycle romanesque qui peut aussi s’apprécier à l’unité, comme on dit dans le commerce. On ne sait pas vraiment à quoi elle ressemble, car l’auteur n’est pas de ceux qui se perdent en descriptions physiques, mais on l’imagine bien fichue et, comme il pratique volontiers l’objectif, on superpose sur son visage celui de l’actrice Géraldine Chaplin. Cela dit, chacun fait ce qu’il veut, libre à vous si vous voulez voir l’incarnation de Marie en Nabila. On sait qu’elle est tuante, qu’elle ne lâche pas le morceau (mais qu’est-ce qu’elle embrasse bien…). C’est une perfectionniste de la haute couture, créatrice angoissée à la pensée de ce qui pourrait échapper à son contrôle tout en sachant que le supplément d’âme d’une œuvre se niche justement dans l’imprévu. Y adviennent la mort et le sexe. Marie a une « disposition océanique », version belge du vieux sentiment océanique freudien. Ou si vous préférez : une adéquation consubstantielle au monde. Sa cosmologie ne fonctionne qu’à poil. Elle n’est vraie que nue, en harmonie avec les éléments. Tout cela est finement tressé. Voilà pour le rôle-titre, mais l’histoire, de quoi s’agit-il ? D’elle et du narrateur, de leur vie à deux, de leur capacité à se séparer un certain nombre de fois pour la dernière fois, de la rencontre d’un intranquille et d’une insouciante et de ce qui cimente souterrainement leur relation, à part la pluie et l’art contemporain. D’un roman à l’autre, on retrouve les mêmes lieux : la rue des Filles Saint-Thomas et la rue de la Vrillière à Paris (vous voyez ? pas grave), la café de la Mairie sur la place Saint-Sulpice (ça, oui), l’île d’Elbe (très corse dans son genre, comme le miel) en sa méditerranée d’automne qui devrait élever un monument aux éditions de Minuit pour cette réclame insensée, Tokyo…

La touche Toussaint est faite d’ironie, de mélancolie, de légèreté. Elle crée un effet de réel saisissant, d’autant que l’écrivain est un constructeur maniaque qui n’a de cesse de serrer les boulons. Il tend un arc entre l’humour et la gravité, et se dévoile un peu plus car, même si sa Marie est bien évidemment composée d’éléments empruntés un peu partout, elle lui doit un certain nombre de ses réflexes, goûts, sentiments, répulsions. On sait maintenant ce que cela sent après l’incendie d’une chocolaterie. Prouesse d’écrivain, bonheur des sens. Evidemment, il y en aura pour trouver cela snob, précieux, vide, vain, inutile et creux. Il est probable que ceux-là n’aiment pas trop se déshabiller. Ils en sont restés à l’effet produit par La salle de bains (1985), grand succès à Saint-Germain-des-Près et dans tout l’archipel nippon. En quoi ils auraient tort car le minimalisme des débuts a pris de la bouteille, avec l’âge et le début de la sagesse. J’ignore si les éditions de Minuit prévoient de présenter les quatre romans du cycle en un coffret, mais il est permis de se demander quel titre Toussaint donnera à ces quatre saisons de la vie de Marie, si toutefois. En attendant, chapeau bas devant un projet littéraire qui place la barre si haut tout en étant consacré à une telle emmerdeuse.

(« Autoportrait au Louvre », 2012, photo de Jean-Philippe Toussaint ; « Marie-ée » oeuvre d’Anselm Kiefer, photo Passou)

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commentaires

1 005 Réponses pour Mise à nu de Toussaint par son héroïne même

Fantômas dit: à

 » Vie privée : elle est mentionnée dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 19481″

Pas concerné ! D’ailleurs la vie privée, ça sert à rien, en plus pour les Services…ehehe, on sait tout!

bouguereau dit: à

»on a tous quelque chose de nous de Tennessee ». Jonnhy revendiquant sa part d’homosexualité, voilà de quoi troubler son public, non ???

c’est idiot et sexiss clopine..

rose dit: à

Merci Clopine.

Je me suis laissée emporter, las,
Magnifique prénom que Marie anagramme d’aimer c’est vrai.

Je suis intéressée par ce que vous dite ssur le viol que je n’avais pas perçu ainsi.

Blanche est attirée par les jeunes hommes et se prostitue carrément parce qu’elle se venge d’une trahison, croyé-je.

C’est dommage que vous fermiez à tout le monde les commentaires de votre blog Clopine, parce qu’ici c’est parti en Why tout cela parce que je prends à cœur la dignité de la femme. Qui ici est particulièrement maltraitée par un féministe à tout crin, qui ne se connaît pas lui-même.

JC dit: à

« Et je m’en trouve bien mieux comme cela. »

Moi j’aimais bien ce contradicteur intelligent, JC : un type classieux.
(Clopine seule, c’est la branlette normande rococo, à l’ère du Formica)

Daaphnée dit: à

Je ne me moque pas de vous, U. …
et on voit bien, ici par exemple, comme « la dimension inter-humaine » peut être compliquée.
A voir cela, on ne peut qu’imaginer une relation « homme/esprit » comme rétrécie à une pseudo conversation avec soi-même.
Le pire exemple étant la loggorrée qui précède.

Au fait, qu’avez-vous lu pendant vos vacances ? Je doute que ce soit Toussaint ..

rose dit: à

C’est vachement intéressant ce que vous dites de l’épaisseur des personnages, qui, aucun d’entre eux ne correspond à un archétype. D’ailleurs, Clopine, je crois bien, s’ils nous émeuvent autant, si cette pièce est tant et tant jouée partout dans toutes les langues c’est parce que les failles de ces personnages nous parlent beaucoup.

Bien cordialement à vous (ah comme je suis contente de votre arrivée !).

bouguereau dit: à

le rapport qualité-prix pour le consommateur de base, en matière de vin, est supérieur aux équivalents français

preum le consommateur de vin moyen met pas plus de 5€ dans sa bouteille, deuz l’averti quand il en a 10 il va pas dans la grande distri..bref tu fais dla contrinformation comme assad

rose dit: à

>Clopine

c’est comme en temps de guerre alors que l’ennemi est toujours deux recevoir une colonne qui vient inopinément avec des renforts.

Tiens je vous embrasse.

bouguereau dit: à

c’est idiot et sexiss clopine..

outre que djoni revendique cqui veut..avoir un peu dans la peau cque peut faire une juive gouine allemande te mets malheureusement pas a l’abri de t’inscire au nsdap

JC dit: à

« tout cela parce que je prends à cœur la dignité de la femme. »

Vous faites une erreur de localisation ….hurk, hurk !

rose dit: à

C’est pas une raison le boug. Merde.
Je te le dis.

C’est pas une raison.
Tu nous fais peser à nous.
On arrête pas de te dire, de te répéter qu’on t’aime bien et tu nous fais peser à nous ton poids.

Je vais rendre mon tablier.

bouguereau dit: à

..je pencherais pour heureusement..’rien de ce qui est huuumain ne m’est estranger’

rose dit: à

Tant pis.
Tu sais pas établir un traité de paix.
Et si jamais on en colle un sur la table tu le respectes pas.

rose dit: à

Déjà que j’ai pas le moral je vais renoncer.

C’est comme si je suis aveugle, je te rentre dedans je te marche sur les pieds et je te dis c’est passque je suis aveugle.

Bordel merde.

T’as pas forcément envie d’être piétiné par moi que c’est pas de ma faute passque je suis aveugle.

Tu peux comprendre cela ?

bouguereau dit: à

ha que l’amur ça fait mal rose

rose dit: à

Si la femme c’est toi, t’as le droit ça me dérange pas, mais alors fais-toi respecter.

JC dit: à

Trois sortes de femmes :
-les bien, sans problèmes, on les aime
-les connes qui savent qu’elles le sont, connes
-les connes qui ne savent pas qu’elles le sont et qui geignent, vautrées dans un féminisme dévoyé.

Machin dit: à

Ta gueule, la rose.

renato dit: à

u.,

la question « pas d’alcool à la Migros » était avant tout une posture morale (lutte contre les méfaits de l’alcoolisme). C’était par ailleurs une position hypocrite car on sortait de la Migros et après avoir rangé les courses dans la voiture, on entrait à la Coop, qui n’était jamais loin, et on achetait son vin, kirsch, etc.

Maintenant, enfin la nouvelle est de 2012, il semble que le tabou soit sur le point de tomber. Nous verrions donc (peut-être) sous peu quelle qualité la Migros mettra en vente.

Dannazione! dit: à

-les connes qui ne savent pas qu’elles le sont et qui geignent, vautrées dans un féminisme dévoyé.

Ma qué cé tou lé portrait dé clopiné et rosse!

rose dit: à

Pas d’accord.
Quand ça fait mal c’est que c’est pas de l’amour.

Alors au lieu de la traiter de connasse sur le blog que moi cela me fait souffrir à chaque fois que je le lis -je répète : cela me fait souffrir à chaque fois que je le lis – relis-le que cela me fait souffrir, dis lui dans la vraie vie :

d’abord tu paies le loyer donc t’es chez toi. Et elle pas.
C’est un grand top cela que tu as un toit sur la tête.

Donc négocie : ça t’accepte, ça t’accepte pas.

T’es pas un objet sexuel t’es pas une bite ambulante.

T’es un mec incroyablement sensible un poète à l’âme écorchée vive. Tu es inimaginablement tolérant et incroyablement ouvert au monde terrestre (marin pas trop c’est vrai). De manière générale tu laisses chacun s’exprimer et jamais tu prends toute la place.

C’est bidon ton truc de punition : le mec c’est toi. Là tu dis oui, là tu dis non. Et tu tiens bon trommelfeuer.

Tu devrais prendre des cours de navigation sur la Seine. Apprendre à piloter un bateau.

bouguereau dit: à

C’était par ailleurs une position hypocrite

le biznèce est franc comme l’or

rose dit: à

Alors vous n’allez jamais en Suisse, las pour vous : Migros les caisses, en face des dites caisses à deux mètres la boutique dans laquelle on achète tout ce qu’on veut comme fendant et autres si affinités.
Peut-être deux mètres cinquante.

Ernst dit: à

@ U.d.bile alias JC, allez corriger les fautes des autres.

JC dit: à

« T’es pas un objet sexuel t’es pas une bite ambulante. »

Il se trouve que oui, je suis une bite en déambulateur rose … hurk, hurk ! Un objet rare !

Ernst dit: à

U. d.burné 4 septembre 2013 à 13 h 00 min

renato dit: à

Non, mais là il y a un moment où la qualité des fréquentations de rose me laisse perplexe. Bon, il y a des gens comme ça ? et il ne sont pas en cage ? dommage.

bouguereau dit: à

ouvert au monde terrestre

c’est trés gentil ça rose..
le reste me flatte et du coup jme rtrouve bichon les 4 fers en l’air à me pisser dessus..ha que ça ruine l’image de loup solitaire que je voudrais donner..fais gaffe

Le Choeur dit: à

« Néanmoins, Rose, nous pourrions communiquer directement par mail, si ça vous dit, pour ne pas trop interférer ici. » Clopine.

EXCELLENTE IDEE!

bouguereau dit: à

la qualité des fréquentations de rose me laisse perplexe.

tu vois..l’amur ha que ça fait mal épicétou

Clopine Trouillefou dit: à

Dites, Bouguereau, vous les connaissez bien les fans de Johnny vous ? Parce qu’il m’est arrivé de devoir en côtoyer quelques uns… Soyons clair : l’homophobie et le goût pour Hallyday n’ont pas de rapport de cause à effet, bien sûr. Néanmoins, je ne me souviens pas d’une chanson disons équivalente à « comme ils disent », d’une part, et d’autre part, les fans de Johnny ne m’ont jamais convaincue de leur tolérance, leur ouverture à autrui ou leur haute intelligence. Faut croire que je ne suis pas tombée sur les bons. Mais encore une fois : je ne fais pas dans le systématisme de la cause à effet. C’est juste le souvenir de quelques réflexions, de quelques refrains repris à la beuglante (que jeu t’aimeu, que jeu t’aimeu), d’une atmosphère illustrée de yeux de loups sur solitude de grand mâle, de virilité surpuissante, de strass et de blondasses en extase (ah ! Ce refrain de Sylvie Vartan : « pourtant, je ne suis QU’une filleuu… »), mis en parallèle avec un Tennesse Williams s’identifiant à Blanche Dubois, fragile pédophile, ou plutôt jeunhommophile, qui me fait sourire…

Rose, laissez tomber Daaphnée (la fâme des années 80, mais fâme jusqu’au bout des seins, copine avec DSK au nom de la galanterie française- mais où donc ai-je mis ma crème à bronzer, vite vite y’a un mâle qui passe qui pourrait me l’étaler-) et les autres. Ils n’essaieront jamais que de vous mordre les mollets, dans leur tentative désespérée de sauter plus haut.

renato dit: à

rose dit: 4 septembre 2013 à 14 h 01 min

C’est quoi ça ? le droit du négociant en vins est le même que celui du moraliste, de là le fait que le premier puisse avoir pignon sur rue à côté de deuxième. On appelle ça la liberté.

John Brown dit: à

Et, je n’accepte pas qu’une femme, quelle qu’elle soit se fasse traiter de connasse à longueur de blog, ni par son partenaire sexuel ni par un quelconque individu sur le blog.(Rose)

Rose,avec tout le respect que je ne vous dois pas, permettez-moi de vous dire vous êtes une foutue connasse. J’espère de tout coeur que vous allez me répondre dans le même registre, car il est clair que le tandem Daaphnée /u. s’est mis dans la tête de relever le niveau des échanges. Pas question de leur laisser le champ libre ! Sursum corda !

John Brown dit: à

les fans de Johnny ne m’ont jamais convaincue de leur tolérance, leur ouverture à autrui ou leur haute intelligence. (Clopine Trouillefou)

Dis donc Clopine, tu veux une gifle ?

églantine dit: à

« TKT n’est pas un connard »
rose

C’est à de tels propos qu’il est possible de juger de la parfaite imbécilité d’une commentatrice.

rose dit: à

>Clopine sur D bien d’accord.
Sur Johnny j’en ai connu une ou deux. Ouaip je dis rien. Johnny que vous le vouliez ou non c’est Johnny. Et puis il y a en sourdine fais moi mal de Boris Vian.
http://www.youtube.com/watch?v=6LQWo_mhGXQ

Sur Tennesse William (les deux premiers m’intéressent pas trop)je ne savais pas son homosexualité. Cela ne change rien.

Clopine ne pensez-vous pas que tous les personnages dans Un tramway nommé désir sont essentiellement fragiles ?

kiasas dit: à

on vient de me parler d’une thérapie pratiquée par quelq’un qui vient de sortir un livre (on l’a piqué à sa femme ce livre et me l’a montré , le livre, pas la femme sinon, j’aurais fait l’accord!)
le livre : »Corps-accord, désaccord » de H.P.Pace qui a un certain parcours dans les hopitaux (jai feuilleté vite!)
soupçonnons les confidences de P.Assouline ! et lisons encore Toussaint

fred dit: à

Comme du d ou du jc :
-« Lorsque l’on meurt, on ne ressent ni douleur ni bonheur. C’est le vide absolu, le néant, le rien. C’est la vie à l’état pure. »
-« La concurrence est un phénomène naturel entre les hommes. C’est pourquoi il existe des femmes plutôt jolies et des femmes plutôt moches. C’est pareil dans l’économie avec la concurrence entre les entreprises  »
– « Dans « état d’esprit » il y a le mot « état ».-Ce n’est pas un hasard, et cela montre bien que l’Etat est responsable de l’état » psychologique des citoyens.
( http://www.sujetdebac.fr/perles-du-bac.php?annee=2013#FrFwQAY3djdWZJwc.99 )

Ernst dit: à

JC alias U.D.bile, votre nouveau pseudo églantine, vous vas comme un gand.

kiasas dit: à

celui qui m’a montré le livre est ingénieur dans le bâtiment ! (ça ne casse pas des briques comme
commentaire !)
bonne journée

JC dit: à

Terrifiant de voir ces vieilles coques, qui furent jadis probablement de belles et fringantes goélettes, pourrir sur place avec leurs palans inutiles, leur quille trop lourde, leurs voiles sales, leur jérémiades bourrées de citations littéraires comme pommes de pommier emplies de vers libres …

Féminisme, quand tu nous tiens ! Ah ! les connasses…

bouguereau dit: à

« pourtant, je ne suis QU’une filleuu… »

mais aprés..’comme un garçon j’ai un gros saucisson’ elle était bien sylvie..trés trés jolie..la plus futée des deux..sur djoni, qu’est ce que tu veux que je te dise..sinon que faut savoir ne pas juger, une gaffe comme ça pouvait te faire rater un bon coup en province le samedi soir..c’est comme ça qu’on apprend ce qu’est la politique, la vraie

Observatoire de l'lelvète en délire dit: à

« D.bile alias JC alias Toto etc… »
TKT

Mais quelle burne.

rose dit: à

>Clopine y’en a qui croient aux canards sauvages. RElever le niveau des échanges non je rêve.

>Clopine

je schématise d’accord mais
Stanley ses potes, l’alcool les jeux de cartes, puis Stella au lit.

Stella : son mec Stanley, son bébé et être sortie du giron étouffant, d’où elle vient.

Blanche : ne jamais être sortie du giron étouffant, ne jamais avoir rencontré un mec comme Stanley, avoir été trahie : elle va bien bien avant ce que vous dites être le viol par son beau-frère. Elle est cassée de partout. Pas en harmonie du tout entre corps et esprit. Totalement déjantée. Que le viol ait aggravé son cas, je dis pas. Mais avant la couche était déjà épaisse chez Blanche. Le terreau y était.

Enfin je suis curieuse Clopine de savoir si vous êtes d’accord avec moi. Avec bienvenue à tout ce que vous apporterez d’inédit, de nuance, tout ça.

TKT dit: à

Clopine, je crois que vous confondez l’état du Tennessee, et Tennessee le prénom de Williams. Bon, à preuve du contraire (je n’ai pas toutes les paroles de la chanson en mémoire) et que Johnny Halliday veuille vraiment parler du dramaturge ? Et s’il parle du dramaturge, qu’il parle bien de son homosexualité. Voir en TW que l’homosexuel, me parait assez borné. Oui je sais, Clopine, vous vivez en milieu rurale et pour vous Charlus représente tous les gays du monde.
T.W., écrivez vous, était un gay anxieux ? Pourriez vous développer ? T.W. était ouvertement gay, il invita Candy Darling a jouer à ses cotés, en 1976 dans un petit théâtre du bas de Manhattan: « Small Craft Warnings », une pièce peu jouée.
Quant à la pièce, « Le Tramway Nommé Désir », je l’ai vu maintes fois au théâtre et bien sûr le film avec Marlon Brando. Brando enlevant sa chemise, c’est un peu comme cette scène où une rousse fameuse, Rita Hayworth, enlève ses gants. Pour ce qui est des personnages, nous avons deux vieilles sœurs, des nouvelles-pauvres du sud/Dixieland, un ouvrier chômeur devenu une sorte de gigolo marié à la sœur aînée. La plus jeune à bout de ressources économiques, sur la fin d’une vie de femme qui devait avoir vécu de belles aventures avec des nantis de son monde (familial). Elle vient chercher refuge dans une maison « in decay » où vit l’aînée. Quand Stanley couche avec la plus jeune/moins âgée, est-ce vraiment un viol ? Je n’en n’ai pas le souvenir. Elle voudrait être conquise, et lui la prend dans un moment alcoolisé avec rien d’autre « to lay »…
j’ai le souvenir d’une pièce sur une famille déchue, socialement, économiquement, et d’un homme jeune, qui est là par désœuvrement et manque d’argent. Il est alcoolisé, assez primitif. Chacun des trois en a pour ses moyens.

Daaphnée dit: à

Heu .. Clopine,
puisque, pour une fois, vous avez 1 idée:

« Néanmoins, Rose, nous pourrions communiquer directement par mail, si ça vous dit, pour ne pas trop interférer ici. »,

Tenez bon !
Hardi !
Ne la lâchez pas, on en serait désolé pour vous ..
Vos fadaises nombrilesques ou celles de Rose n’ont, en effet, aucun intérêt.

Notez bien que j’ai eu la bonté de cette réponse. Brève, mais quand même.

rose dit: à

>Clopine
Blanche : ne jamais être sortie du giron étouffant, ne jamais avoir rencontré un mec comme Stanley, avoir été trahie : elle va bien mal, bien avant ce que vous dites être le viol par son beau-frère.

Là je suis d’accord avec vous ce me semble.

Le laisse là tous les commentaires machos qui se déchainent.

A plus tard.

Merci Clopine du partage de lecture sur Elia Kazan.

De mal en pis dit: à

« Le résultat, on le peut le lire depuis 2005. »
TKT

Déjà 8 ans de délires mythomaniaques pour le zürichois.
La vie ne l’a vraiment pas gâté.

rose dit: à

TKT dit: 4 septembre 2013 à 14 h 26 min

Clopine, je crois que vous confondez l’état du Tennessee, et Tennessee le prénom de Williams.

>TKT oui Johnny c’est une ode au Tennessee l’état.

Mais on peut faire le lien ; Tennessee Williams est né au Mississipi. Qui touche au sud le Tennessee.

rose dit: à

Mississippi.

rose dit: à

>TKT
vous mélangez les rôles. Lui est ouvrier et alcoolisé nul ne pourra le nier.

Blanche est l’aînée. Stella la petite. Famille nantie, puis déchue, mais de l’éducation. Puisque vous l’avez vu maintes fois, lisez le texte. Vous entrerez différemment dans l’histoire.

Clouzau dit: à

TKT dit: 4 septembre 2013 à 10 h 48 min

L’âme de censeur de TKT reste toujours vaillante.
Le petit corbeau zürichois est toujours en éveil.

TKT dit: à

Clopine, avec vos origines populaires, vous devriez être une fan du rock francophone. Je n’ai jamais acheté un disque de J.H. (surtout pas au début), mais un homme qui perdure aussi longtemps, ne peut avoir qu’un énorme talent. Rocker présent depuis plus de 50 ans, acteur remarquable et remarqué par J.L. Godard, franchement Clopine, sans être fan, votre commentaire est mal venu. Johnny Hallyday est une machine de scène et il vaut mieux que l’image que les médias présentent de lui.

John Brown dit: à

Féminisme, quand tu nous tiens ! Ah ! les connasses… (JC)

Perso, je suis comme Toussaint, je ne les supporte qu’à poil

violette dit: à

Johnny c’est une ode au Tennessee l’état. (rose)

Meuh non. La preuve :

On a tous quelque chose en nous de Tennessee
Cette volonté de prolonger la nuit
Ce désir fou de vivre une autre vie
Ce rêve en nous avec ses mots à lui

Ainsi vivait Tennessee
Le coeœur en fièvre et le corps démoli
Avec cette formidable envie de vie
Ce rêve en nous c’était son cri à lui

Comme une étoile qui s’éteint dans la nuit
A l’heure où d’autres s’aiment à la folie
Sans un éclat de voix et sans un bruit
Sans un seul amour, sans un seul ami

Ainsi disparut Tennessee

rose dit: à

Certaines choses me sont incompréhensibles c’est vrai.

Je conçois l’aspect défoulatoire/jubilatrice/cathartique qui consiste à abreuver/agonir d’injures tel ou tel individu.

Je ne conçois pas un millième de secondes que l’on vive avec la personne que l’on a injurié précédemment.

Je ne conçois pas non plus que l’on soit contraint de vivre IRL avec quelqu’un avec qui il n’y a aucun atomes crochus. Et s’il y en a, je ne comprends pas alors pourquoi on se plaint. Bref, vous me semblez avoir des vies très compliquées.

John Brown dit: à

Le tandem Rose-Clopine me dégoûte profondément. Collusion de femelles suintantes, en proie au retour d’âge, pouah !

bouguereau dit: à

Elle voudrait être conquise, et lui la prend dans un moment alcoolisé avec rien d’autre « to lay »…

un pédé n’est pas exempt de l’expression des clichés de son temps vontraube..ça a l’air de t’affranchir pour dire aussi des grosses bétises

rose dit: à

le chœur
[Femme] :
« A vous autres, hommes faibles et merveilleux
Qui mettez tant de grâce à vous retirer du jeu
Il faut qu’une main posée sur votre épaule
Vous pousse vers la vie, cette main tendre et légère »

Julienne dit: à

TKT dit: 4 septembre 2013 à 14 h 26 min
Clopine, je crois que vous confondez l’état du Tennessee, et Tennessee le prénom de Williams.

Non, mais dites donc, TKT ! Traitez-la de conne, pendant que vous y êtes !

À quoi tient l’amour ? dit: à

Une antisémite rencontre une exaltée de gauche, elles causent féminisme de bas étage et elles tombent d’accord sur tout…

Madame Verdurien dit: à

la chatte sur un toit brûlant, tiens, je pense à M Court-bienàvous

TKT dit: à

Ben, Rose, TW est de New Orleans, dans l’état du Mississippi et au bord du fameux fleuve. Je ne suis pas sûr que Tennessee soit son nom de baptême.

bouguereau dit: à

..ça va bien jean marron..non mais tu te vois pas ma parole

rose dit: à

Bon ben je découvre. Je balaye de surcroît un vieux poncif je savais pas Johnny cultivé. Ni même lisant un livre.

Journée balayage de poncifs :
on peut aimer vivre avec une connasse
Johnny a lu Tennessee Williams (non vu sans doute, lu je doute)

bouguereau dit: à

À quoi tient l’amour ? dit:

et rénato qui fait son soumarin de poche pour dégazer ses petits ballasts de merde..joli l’ami

rose dit: à

>TKT

c’est un petit nom. Raccourci de Thomas Lanier.

rose dit: à

Cela la reprend alors qu’elle bouffe du juif au propre. Cela doit la gratter.

rose dit: à

Bouffer du juif.
La petite lamelle sur un rocher.

bouguereau dit: à

Johnny a lu Tennessee Williams

il a de bon paroliers qui en font leur porte drapeau..c’est un vache de produit le djoni..y’a du monde derrière..il a su se laisser porter et donner cqu’il avait, ça c’est une de ses qualités

rose dit: à

Ils s’entredévorent c’est cela : elle avec son couple maudit et lui tentant de protéger ses abattis.

Laissons leur leur territoire préféré.

Clopine Trouillefou dit: à

Et merde. Alors, lettre de Williams à Kazan, à propos du Tramway (je reproduis trois phrases seulement) ! « Je vous rappelle ce que vous m’avez demandé ce que le public devrait ressentir au sujet de Blanche. Certainement de la pitié. C’est une tragédie dont le but, très classiquement, est de produire une catharsis à base de pitié et de terreur, et pour obtenir ce résultat, Blanche doit finalement gagner la compréhension et la compassion du public. Mais tout cela sans présenter Stanley comme un scélérat. C’est une chose (l’incompréhension) et non une personne (Stanley) qui la détruit à lafin. A la fin, on devrait se dire : « Si seulement ils s’étaient connus les uns les autres ».

Commentaire de Kazan : « J’ai choisi Brando pour incarner Stanley. Je n’ai jamais, depuis tout ce temps, vu d’autre production de cette pièce, mais toutes les photographies que j’ai vues de Stanley et de Blanche montrent une brute arrogante malmentant une créature dont les défauts, quels qu’ils soient, disparaissent totalement derrière la spiritualité. Blanche est toujours une héroïne immaculée, et Stanley exactement ce que Williams avait peur qu’il ne devienne dans notre production, c’est-à-dire un « scélérat ».

Témoignage de Kazan sur Williams : « Quelle force il a dû falloir à Tennesse pour accepter son homosexualité dans uen société qui la trouvait honteuse ! Il avait dû très tôt souffir le martyre et se mettre à part de la société « normale » qui l’entourait ».

Encore : « je m’en rends compte en écrivant ces lignes, il se produit en moi le même phénomène que lorsque j’avais étudié cette pièce pour la première fois : quand j’écris « elle (il », j’associe Blanche et Tennesse. Un autre metteur en scène, Luchino Visconti, quand il dirigea la pièce en Italie, appelait l’auteur « Blanche ».

« La référence à la vie que menait Tennesse à l’époque était claire. Williams n’ignorait pas les dangers au-devant desquels il allait quand il draguait dans les rues. Tôt ou tard, il se ferait tabasser. Et ce fut le cas ».

Faire-part dit: à

Belle journée sur la rdl, rose et TKT se sont unis pour le pire.
Au moins une certitude, il n’y aura aucun problème pour savoir qui dans le couple sera le plus con.
Ils pourront tirer au sort chaque matin, le vainqueur sera acclamé par le bichon.

rose dit: à

J’ai eu du mal ; mais ça y est je commence à comprendre.

Elle le bouffe, au propre et au figuré.

Lui en la traitant de connasse il se taille – à elle les pipes- un espace de liberté assez grand pour évoluer.

Elle le récupère avec ses pipes. Il se retaille un espace de liberté.

Mon coco, t’es pas sorti de l’auberge : je sais pas s’il va te rester quelque chose à la fin. Je suis pas sûre que « connasse » soit le bon moyen.

Réfléchis, tu vas trouver.

TKT dit: à

JuCienne, je prends bien note des paroles de la chanson.
il doit bien là s’agir de Tennessee Williams, mais je ne pense pas que cela fasse référence aux préférences sexuelles du dramaturge.
@ Gourdereau: Vous ouvrez des portes ouvertes.

renato dit: à

Hé bouguereau ! ce que j’avais à dire à ce propos je l’ai dit, et je ne reviens jamais sur une vieille polémique. Mais si t’as besoin d’un coupable, je peux prendre sur moi. OK ?

rose dit: à

Clopine Trouillefou dit: 4 septembre 2013 à 14 h 49 min

Et merde. Alors, lettre de Williams à Kazan, à propos du Tramway (je reproduis trois phrases seulement) ! « Je vous rappelle ce que vous m’avez demandé ce que le public devrait ressentir au sujet de Blanche. Certainement de la pitié. C’est une tragédie dont le but, très classiquement, est de produire une catharsis à base de pitié et de terreur, et pour obtenir ce résultat, Blanche doit finalement gagner la compréhension et la compassion du public. Mais tout cela sans présenter Stanley comme un scélérat. C’est une chose (l’incompréhension) et non une personne (Stanley) qui la détruit à lafin. A la fin, on devrait se dire : « Si seulement ils s’étaient connus les uns les autres ».

Commentaire de Kazan : « J’ai choisi Brando pour incarner Stanley. Je n’ai jamais, depuis tout ce temps, vu d’autre production de cette pièce, mais toutes les photographies que j’ai vues de Stanley et de Blanche montrent une brute arrogante malmentant une créature dont les défauts, quels qu’ils soient, disparaissent totalement derrière la spiritualité. Blanche est toujours une héroïne immaculée, et Stanley exactement ce que Williams avait peur qu’il ne devienne dans notre production, c’est-à-dire un « scélérat ».

Témoignage de Kazan sur Williams : « Quelle force il a dû falloir à Tennesse pour accepter son homosexualité dans uen société qui la trouvait honteuse ! Il avait dû très tôt souffir le martyre et se mettre à part de la société « normale » qui l’entourait ».

Encore : « je m’en rends compte en écrivant ces lignes, il se produit en moi le même phénomène que lorsque j’avais étudié cette pièce pour la première fois : quand j’écris « elle (il », j’associe Blanche et Tennesse. Un autre metteur en scène, Luchino Visconti, quand il dirigea la pièce en Italie, appelait l’auteur « Blanche ».

« La référence à la vie que menait Tennesse à l’époque était claire. Williams n’ignorait pas les dangers au-devant desquels il allait quand il draguait dans les rues. Tôt ou tard, il se ferait tabasser. Et ce fut le cas ».

> Clopine je vais acheter ce bouquin merci.

Clopine Trouillefou dit: à

Dites, Bouguereau, j’aurais espéré de vous une lecture un peu plus attentive. Je n’ai pas parlé de Johnny mais de son public… D’une partie de son public. La chanson « Tennesse » est de Michel Berger, âme sensible qui n’ignorait certainement pas l’homosexualité de Williams. Mais chantée et illustrée façon Halliday, cela donne une sorte de soupe grand mâle (l’homme seul avec sa guitare, dragueur de serveuse et mâchonnant une marloboro) si éloignée du « vrai » Tennesse, (entrefrôlé seulement dans la chanson de Berger), qu’on est légitimement en droit de soupçonner qu’une partie du publid de JH n’y a vu que du feu. Qu’il faut allumer, depuis 50 ans c’est vrai, ce qui ne laisse pas de me courir sur le fayot, d’ailleurs.

rose dit: à

>Clopine merci c’est génial. Je veux savoir la suite et avant, merci encore.

Clopine Trouillefou dit: à

pardon, pardon, pardon, mon hôte. Disons que nous parlons d’un Tennesse descendant l’escalier. Et reprenons à l’ouverture : Toussaint.

(bon, d’accord, je sors.)

bouguereau dit: à

brando était notoirement bi clopine, il ne passait pas une journée dans les studios sans se faire prendre le pantalon sur les talons, il le faisait exprés disait il et beaucoup dans les années 60 le croyait surtout pédé

Julienne dit: à

TKT dit: 4 septembre 2013 à 14 h 51 min
JuCienne, je prends bien note des paroles de la chanson.

désolée de vous décevoir, TKT, mais je ne suis pas JC. Il ne peut pas être tout le monde à la fois. Par ailleurs, je m’adressais à rose.

rose dit: à

>ok BILAN /
Grand choc :

j’ai fait pareil. Il y a longtemps. Pour me préserver/protéger mon territoire/ parce que je ne savais pas répondre.

Montre d’une grande fragilité/ D’une grande incapacité à se défendre.

Je le retrouve à la fin de cette conversation.

Pardon : je te prie de bien vouloir m’excuser.
Il s’agit de quelqu’un de proche que je voulais éloigner que je vois toujours avec qui la relation a fondamentalement changé.

Je vais lui présenter mes excuses.

Pardon.
Je pense que tu as fait écho.
Et que c’était un nœud.

Merci.

Ne te laisse pas bouffer.
Fais du mieux que tu peux. Je crois que, quand tu sauves ta peau, j’ai l’impression que je sauve la mienne. Et quand non pour toi, pour moi non plus.

Prends le bon, prends pas le mauvais.

Personne t’oblige jamais à rien.

Keep cool.

rose dit: à

Ah je comprends tout : évidemment suis-je cruche cassée. C’est un autre le parolier. Tout s’explique.

arthur dit: à

@TKT
JH est un peu ridicule- le pauvre il imite Elvis, qui était cent fois mieux à tous points de vue!- Et puis les mecs liftés ça fait vieux beau, n’efface pas plus le retour d’âge que pour les gonzesses

rose dit: à

Je croyais que c’était violette qui avait donné les paroles de la chanson.
JC il est pas mal de monde il pourrait prendre des vacances.

Moi je veux bien faire renato et John Brown du vendredi soir à dimanche soir, tous frais payés. J’attends les ordres du capitaine.

bouguereau dit: à

une partie du publid de JH n’y a vu que du feu

..videmment clopine ! et y’a interet..l’image de djoni grand seulabre du sud est sauve..tenesse willams et le blouze c’est des trucs de pédé!..décidément tu n’imagines pas ce que le shobiz exactement comme les catho à la grande époque peut te faire avaler la vessie avec la lanterne..et prends berger pour un con aussi..t’es pas la cible, c’est tout..c’est tout clopine

JC D U églantine Julienne dit: à

John Brown dit: 4 septembre 2013 à 14 h 40 min
Le tandem Rose-Clopine me dégoûte profondément.

moi c’est le tandem TKT-TKT qui me court sur le fion.

rose dit: à

>Clopine

ça se tient vachement bien votre intuition : la sesibilité de l’écrivain Tennessee et du parolier Michel Berger, en opposition à l’espèce de virilité -comment dire- caricaturale -dirai-je pour ménager les susceptibilités de Brando et Johnny.

Ah Clopine vous faites de beaux raccords.

kiasas dit: à

tweet colloque
« César Chesneau Dumarsais (Des tropes, Paris, Flammarion, 1988) a-t-il raison lorsqu’il affirme que l’« hyperbole est ordinaire aux Orientaux » et que les « jeunes-gens en font plus souvent usage que les personnes avancées en âge » ? Autrement dit, peut-on repérer un lien immédiat entre les emplois de l’hyperbole et les identités socio-culturelles des locuteurs ? Enfin, quels sont les champs de prédilection de l’hyperbole ? La littérature, la politique, l’administration, la publicité, la politesse ou des domaines moins évidents ?
ces questions sont-elles….. géniales ?

John Brown dit: à

..ça va bien jean marron..non mais tu te vois pas ma parole (bouguereau)

Je me vois très bien, et je constate que Dieu m’a fait l’honneur de ne pas me faire naître femme. Je jouis à chaque instant de ma supériorité sur l’engeance femelle.

violette dit: à

rose dit: 4 septembre 2013 à 15 h 05 min
Je croyais que c’était violette qui avait donné les paroles de la chanson.

c’est vrai, mais je ne suis pas bêcheuse.

rose dit: à

>Ce que je découvre ce que je découvre aujourd’hui c’est le jour J je comprends tou
tenez vous bien Homme de Chichilianne . — Reste sous le hêtre de la scierie au plus fort d’un violent orage, pendant l’été 1844. Frédéric II l’entraîne à l’abri dans le hangar. Tout suggère que cet inconnu est M. V.

John Brown dit: à

Moi je veux bien faire renato et John Brown du vendredi soir à dimanche soir, tous frais payés. (Rose)

Je n’accorde qu’à la seule Josette le privilège de me tuter (un samedi soir sur deux)

rose dit: à

Vous êtes au top violette grand merci. Toute discrète ‘achement efficace.

Eh eho : c’est dans Un roi sans divertissment il y a un homme de Chichilianne où j’étais en vacances cet été.

Yeah héhé

Josette dit: à

John Brown dit: 4 septembre 2013 à 15 h 07 min
Je jouis à chaque instant

Et beaucoup trop vite.

rose dit: à

quel crétin des basses alpes celui-là ! De les faire sur le blog eh couillotis !

rose dit: à

Je les fais : ça veut dire, je fais les rôles de John Brown et de renato et eux bullent. Week end de congé pour eux deux. J’écris tous leurs coms.

rose dit: à

Comme cela Josette pourra le sucer du vendredi soir au dimanche minuit sans pause.

Ah la la je sens Josette me remercier déjà.

rose dit: à

Et l’autre couillotis me maudire.

Sergio dit: à

Il y a un repaire de crétins dans les Basses-Alpes ?

violette dit: à

rose, si vous écrivez tous leurs coms, il n’y aura plus que vous et JC alors parce que, d’après TKT, c’est JC à lui seul qui rédige tous les autres.

Alpinpin dit: à

Les crétins, ça sert à rien.

rose dit: à

>Onésiphore de Prébois
lorsque vous ne banderez plus mon brave, 3 mn en lieu et place de 2′ 35 peut mieux faire je vous l’assure, je ne vous parlerai pas de votre andropause.

En attendant, jouissez sans entraves -harnachement y compris et vivez votre vie telle que vous l’entendez (j’ai compris vous êtes un couple branquignole, elle a un truc avec les couples maudits, enfin moi je vous fais le rôle que vous jouez si vous voulez passer un week-end entier en tête à tête amoureux avec elle).

John Brown dit: à

Il y a un repaire de crétins dans les Basses-Alpes ?( Sergio)

Pourquoi les Basses-Alpes ? J’habite pas les Basses-Alpes.

rose dit: à

>violette

On va demander à quelqu’un de faire JC. Moi je ferai ceux que je pense être capable de faire. Je veux bien faire Court aussi s’il veut du congé. Je ne ferai pas cela tout le temps. Je me propose. Le capitaine, qui doit rentrer à terre ventre à terre dispose.

Mon dieu mon dieu, te voilà soulagé comme j’aimerai pas être à ta place !

Allez je vous laisse relever le niveau c’est pas l’heure des quarts encore.

renato dit: à

Enfin, hors des circuits art l’homosexualité était tabou aux USA — et encore : Johns et Rauschenberg regardaient d’un mauvais œil Warhol qui ne se cachait point.

En URSS ce n’était pas mieux Svjatoslav Richter et une collègue lesbienne, se sont mariés pour ne pas avoir de problèmes. Par ailleurs, aujourd’hui encore en Russie ce n’est pas une fête pour les homosexuels.

Je ne sais pas comment c’était en France mais lorsque Pasolini a clairement parlé de son homosexualité, le ciel est tombé sur la tête du PC — qui est tombé sur la tête de Pasolini.

Enfin. Je me souviens que pendant les années 50 les gens parlaient de « ça » de manière assez détournée, mais j’ai quand même su que TW était homo (enfin, ça se disait) avant de savoir qu’il était écrivain. Pourtant, il me semble que cela se savait déjà depuis les années 40.

rose dit: à

Ne te laisse pas bouffer et il se fait bouffer. Elle bouffe du juif.

Il aime ça : il aime être bouffé.

Là, bichette, il y a une complexité que tu peux pas la comprendre un truc du style maso. Cela leur convient, laisse-les.

John Brown dit: à

lorsque vous ne banderez plus mon brave (Rose)

En attendant, tu commences à m’émouvoir ferme, ma douce salope. Quels dommages que ces échanges ne soient que virtuels. Ah comme j’aimerais flairer ta peau. Tu dois embaumer Je sens en toi des dispositions exceptionnelles. Ah je craque complètement pour toi, je sens l’amour m’envahir, tel la marée sur le raz de ton sein.

GPS dit: à

John Brown dit: 4 septembre 2013 à 15 h 21 min
Il y a un repaire de crétins dans les Basses-Alpes ?( Sergio)
Pourquoi les Basses-Alpes ? J’habite pas les Basses-Alpes

Boh, les Alpes Maritimes, c’est juste en dessous. Et Porquerolles est dans le Var, à côté.

rose dit: à

Enfin le savoir ou pas le savoir on s’en fiche comme de l’an quarante.

renato dit: à

Si vous voulez faire mes post, rose, n’oubliez pas un brin de musique de temps à autre… pas du rock français ni italien S.V.P., mais une certaine variété, p. ex. Abbado ; ZZ TOP ; et ainsi de suite.

rose dit: à

>Onésiphore de Prébois
ce soir je vous demanderai de dormir au château.
Merci mon brave.
Vous pouvez disposer.

John Brown dit: à

lorsque vous ne banderez plus mon brave (Rose)

Comme tu dois être belle, ma Rose, ah je suis fou de toi, tiens, cochon qui s’en dédit

rose dit: à

>renato

ah souci.

Merci.
Je ferai des copié/collé.

loulou dit: à

Quels dommages que ces échanges ne soient que virtuels.

..ca peut sarranger..dmande à baroz..

kiasas dit: à

(vous voyez ? pas grave).Assouline : « souvenirs de la maison des mots » , il est remarqué que « le vieil autuer est à la mode » , et suit une liste , avec des parenthèses:
animateurs radio parenthèse « (Drucker, Bouvard)
acteurs parenthèse (..Piccoli Deneuve..)
réalisateurs parenthèse « Oliveira…)
b »hommes d’affaires » parenthèse « ( Buffet, Murdoch) »
musiciens parenthèse « Boulez , Dutilleux) »
peintres parenthèse : un seul nom ! : Freud
suivent les avocats , les humoristes, les écrivains .
ce freud est-il une hyperbole, un euphémisme ?
depuis que j’ai lu cet opuscule, je me demande s’il ne faut pas soupçonner dans un texte tout ce qui est écrit entre parenthèses

Observatoire de l'helvète dit: à

« des cantons tendentiellement cul-terreux »
TKT

Le petit-bourgeois franchouillard dans toute sa splendeur.
Un nouveau spécimen pour rose ?

renato dit: à

Pas besoin de faire du copié/collé rose. Sur un argument donné vous dites ce que n’importe quel européen moyennement cultivé doit savoir et ici vous trouverez quelqu’un qui vous suspectera d’avoir fait du copié/collé.

arthur dit: à

Marlon B a de longue date milité pour les droits civiques, c’était courageux à l’époque (jh, lui, il a voté pour miniroi)

kiasas dit: à

zut , coquilles encore
dans un opuscule recommandé par P.Assouline

JCDTOTOu. dit: à

« Vous me reconnaitrez facilement, j’aurai une blouse blanche »
baroz

La concierge vire snob.
Une blouse blanche pour balayer les escaliers.
Où va se nicher le goût de la serpillère.

Phil dit: à

renato, même pour l’époque, Pasolini n’a pas fait dans la facilité. Il était instituteur.

Sergio dit: à

Derrière ses lunettes noires je vois pas ses yeux et ça m’énerve, pom, pom…

John Brown dit: à

Quels dommages que ces échanges ne soient que virtuels.

..ca peut sarranger..dmande à baroz..(Loulou)

Barozzi drague sur la RdL ? Ce type m’aura toujours complètement bluffé.

Sergio dit: à

Au fait, entre les Yanks et les Muslims, ça va pas être interdit, ce genre de bouquin ?

rose dit: à

T’es trop gentil.
J’ai écrit que des conneries.
Chui pas fière de moi.
Mais j’ai pas menti (là j’aggrave mon cas).
T’es trop gentil : endurcis-toi un peu, je sais pas fais du tai chi chuan, du Tao kek choz.

Com’ j’t’M bcp avec toutes les conneries que tu fais. Là, le bât blesse.
J(te laisse avec tes potes.

John Brown dit: à

Derrière ses lunettes noires je vois pas ses yeux et ça m’énerve, pom, pom… (Sergio)

Il n’en a pas. Jean-Pilipe Poupin et né comme ça, sans yeux. C’est pour ça qu’il écrit ses bouquins uniquement à l’intuition. Quel génie.

rose dit: à

>renato
je voulais dire que les musiques je ferai du copié/collé (je ne peux absolument pas inventer vos musiques, chui pas cap.)Pas le reste.

Non mais ça va : en revenant lundi tout frais vous direz c’est rose qui atenu mon stand vous bilez pas c’est moi je reviens je suis là. Tout le monde sera très soulagée. On me remerciera avec componction, puis on me renverra gentiment, comme on fait aux grands malades, dans mes cuisines.

Pardon
Pas vous Ducasse.

John Brown dit: à

J’ai écrit que des conneries.
Chui pas fière de moi. (Rose)

Oui mais comme tu es belle. Ton âme est belle. Ton corps est beau. Je t’aime.

ch. dit: à

savez-vous que nous sommes entourés de pervers narcissiques ?
les entreprises ont appris à repérer, et à écarter, les pervers narcissiques, qu’elles courtisaient y’a encore 20 ou 30 ans (sans doute à leur corps défendant)
un pervers narcissique vous torpille une boite en moins de 2 (suicides, dépressions…), alors une galerie d’art…
je me souviens de La télévision de JP Toussaint, j’ai adoré. La scène des plantes vertes est un grand moment de burlesque littéraire. Je crois que c’est le dernier
livre que j’ai lu.

rose dit: à

Tout le monde sera très soulagé je l’ai mis au féminin je sais pas vraiment pourquoi. J’ai dû je sais pas non plus.

John Brown dit: à

Pendant ce temps, en haut à droite, Assouline trône, sphinx indéchiffrable.

rose dit: à

Enfin c’est parce que moi je voudrai que tu reviennes le lundi comme d’hab.

rose dit: à

Que tu sois fidèle à ton poste et à nous aussi. Je me le suis dit mais je te le dis alors : je me tairai quand tu reviendras pas.

John Brown dit: à

Tout le monde sera très soulagé je l’ai mis au féminin je sais pas vraiment pourquoi. J’ai dû je sais pas non plus. (Rose)

Personne n’est parfait.

rose dit: à

Toi tu prépares un coup fourré je m’y attends j’adore la guerre avec toi. Là je t’ai gagné c’est trop bon.

On aurait fait l’amour, nous aurions été repus.
Tu vas pas m’avoir parce que je garde la palme jusqu’à demain.

Et toc.

hamlet dit: à

je suis désolé de vous interrompre mais Toussaint regarde de plus en plus haut.
c’est tout sauf normal.

Jack D. dit: à

violette dit: 4 septembre 2013 à 14 h 39 min

TKT et rose restent unis dans la vie comme dans la connerie.
Un beau couple.

Malgré tout on ne peut balayer la possibilité que Berger ait laissé johny dans l’ignorance et que celui-ci ait toujours cru qu’il faisait une pub pour du bourbon.

kiasas dit: à

s’ils essayaient des moustaches en croc à la hercule P ?

rose dit: à

Je pleure et je ris.
Je pleure passque c pas avec moi que tu vis.
Je ris passque je t’M trop et que c trop bon.

rose dit: à

sans toi sur ce blog je viendrai plus jamais. C pas une promesse de gascon.

Sergio dit: à

John Brown dit: 4 septembre 2013 à 16 h 05 min
sans yeux. C’est pour ça qu’il écrit ses bouquins uniquement à l’intuition

Si on a le clavier bien en mains, ça va ; même pas besoin du braille !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…le sexe,…des forces vives à jeter,…

…qui va s’occuper de tout ces petits  » lester « ,…dans la mondialisation,…

…un sens de la famille, c’est déjà de ne pas faire confiance aux états,…encore moins aux femmes,…et en somme en personne,…

…l’homme c’est aussi, un sens des responsabilités patriarcales à définir  » longues durées ‘,…

…nous sommes loin du parcourt de  » sécurité absolu « ,…pour nos rejetons,…
…conclusion,…
…de l’eau va encore longtemps passée sous les ponds à poils de velours,…en toute situations plausibles,…
…reproduisez-vous,…sans moi,…
…l’éducation, le savoir, le profils des loisirs,…l’économie-sociale-domestique,…les inégalités sociales des communautés, les pensions insuffisantes,…la concurrence déloyale en toute chose,…même en amour,…
…Blanche-neige,…et Cendrillon en carrosse de con-combre en partage,…mordues de chevaliers et châteaux d’or,…
…Abba,…Money-Money,…
…t’as de beaux-yeux,…la bourse et le vit,…
…ou les rois fainéants,…et les fils de génie à toutes les taches,…etc,…Ah,…Ah,…Bip,…Bip,…etc,…
…et, pour mieux faire, mélanger en métis,…système de grande lignée à deux balles,…etc,…

…je disait toujours, même petit,…il est César,…même sans châteaux d’Ô,…etc,…

John Brown dit: à

je suis désolé de vous interrompre mais Toussaint regarde de plus en plus haut.
c’est tout sauf normal.(Hamlet)

En fait il a entrepris de regarder son cul mais faut le temps que les vertèbres s’assouplissent. Ce mec est fort, très fort.

rose dit: à

>renato je tiens pas plus du vendredi soir au dimanche soir. Mais si voulez vous escaper avec votre meuf en Harley, c’est bon à prendre. Non pas de café rien.

C comme porter la croix en chemin je tiens pas plus que quatre jours ; au bout je m’escape à fond les caissons.

John Brown dit: à

sans toi sur ce blog je viendrai plus jamais. C pas une promesse de gascon. (Rose)

Moi non plus. Promis, cher amour.

rose dit: à

la nuance est vachement difficile à comprendre mais à écrire cela c’est entre le propre et le figuré : elle te bouffe au propre je te bouffe au figuré. Je me fais baiser au figuré je ne me fais pas baiser au propre. Sac de linge sale. Tu progresses pas. Moi non plus. Reste que j’t’M trop.

Dr van Touse, proctologue dit: à

rose dit: 4 septembre 2013 à 16 h 18 min
>renato … si voulez vous escaper avec votre meuf en Harley

Ne lui retournez pas le couteau dans la plaie, rose, il ne peut pas s’asseoir à califourchon.

Mais que ferait renato sans gougueule dit: à

quelqu’un qui vous suspectera d’avoir fait du copié/collé.
renato

Aucune suspicion mon toto, des certitudes, à la pelle.

X... dit: à

Je suis u., je suis JC, je suis d.bile, je suis Julienne, églantine, etc., tout ce que vous voudrez, n’empêche que le plus déficient c’est TKT.

kiasas dit: à

j’avoue avoir copié que
« 3 – Les premiers drapeaux

C’est en Chine qu’apparaissent les premiers drapeaux (vers 1500 av. JC). Ils étaient constitués en grande partie de tissu. La première fonction de ces drapeaux était d’exprimer une certaine hiérarchie dans la société chinoise. A cette occasion, de nombreux symboles étaient utilisés comme le dragon, la tortue, le serpent, le faucon, etc.

Par ailleurs, les drapeaux se distinguaient par une multitude de formes : carré, rectangulaires ou flammule (un côté ayant une forme de flamme). Au début du IXème siècle, le gonfanon vit le jour.

Thierry la Tronche dit: à

La photo du type avec les lunettes de mafieux, devant le portrait de Nabilla, c’est JC/D./D.bile/Toto/Renatoto/Pathos/Naxos/Omphalos/Hamlet/Court/MàC ! J’en suis sûr, bon dieu … sûr comme je vous vois !

keupu ou quelque autre dit: à

d’accord avec vous Thierry la Tronche : surtout Court… il fait peur !

X... dit: à

JC/D./D.bile/Toto/Renatoto/Pathos/Naxos/Omphalos/Hamlet/Court/MàC

trop restrictif. N’oubliez pas que je suis miroir, mon beau miroir, c’est-à-dire Chaloux.

X... dit: à

et u., bien sûr, ne jamais oublier u., ma plus belle création.

Pépé Grandlieu dit: à

Finalement je crois que renato a raison : kiasas est bien une andouillette.

La Veuve JC..... dit: à

Par respect pour celui que j’ai sucé jusqu’au bout, mon cher disparu, votre Prince des Cons, je vous supplie, usurpateurs joyeux, de ne plus me le ressusciter à chaque instant !

Merci, et si vous passez par chez nous, venez essayer son scooter : je vous le laisse pour le prix du dernier Darrieussecq, 18 euros.

Vous y gagnez !

recensement dit: à

Après comptage, les commentateurs et commentatrices les plus souvent traité(e) de con(ne)s — ce qui ne prouve rien — sont :
– TKT
– HR
– D
– JC
– Clopine
– Daaphnée
– renato

Cela montre que les jugements sont diversifiés.

Renato dit: à

« Finalement je crois que renato a raison »

Renato a toujours raison.

C'est trop beau dit: à

« Thierry la Tronche »

Super, vous permettez que ce soit réutilisé ?

recensement dit: à

Pour le prochain comptage, il faudra prendre en considération le nouveau pseudo de JC, qui n’est pas encore connu.

Médaille dit: à

« Cela montre que les jugements sont diversifiés »

Non cela montre que TKT est hors concours.

rose dit: à

plus juste serait par respect pour celui que j’ai pompé jusqu’au bout.

>rose ta gueule

renato dit: à

rose, Harley (mais c’était Ducati) pour moi c’est une époque révolue, et la voiture aussi. Le train est ce qu’il y a de plus confortable : on lit, on regarde le paysage, certains wagons restaurant sont encore au top, et on arrive reposés.

En plus, lorsque vous êtes en vacances ou même pour le travail, vous n’avez pas le poids mort de la voiture : 20€ jour jetés par la fenêtre. Là Jacques va dire que je suis radin, enfin… peu importe, reste que 7 jours de vacances ça vous fait 140€ pour quelque chose que à l’usage n’est même pas confortable : on sait quand on part, on ne sait jamais quand on arrive ; et on arrive fatigués.

Bon, pour la moto, j’ai maintenant quelques doutes et il se peut que je revienne sur ma décision car je viens d’essayer ça :
http://www.ducati.fr/motos/superbike/1199_panigale/index.do

Thierry la Tronche dit: à

@C’est trop beau
Mais, bien entendu ! Avec joie …

Garçon ? Deux Kawa, sinon rien..... dit: à

Renato sur sa moto : deux Décati petite cylindrée

Et moi bien sûr dit: à

Comme D. n’est qu’une créature de TKT, nous pouvons sans risque en conclure que JC/D.bile/Toto/Renatoto/Pathos/Naxos/Omphalos/Hamlet/Court/MàC/Miroir/Chaloux…… sont aussi des avatars de vontraube.

En réalité sur ce blog il n’existe que 2 commentateurs.
TKT et HR et passou le sait bien.

Confidence pour confidence..... dit: à

Aussi sûr qu’une preuve en Syrie : HR est la sœur de TKT.

rose dit: à

mais il est prince tout court.

Vous ne le savez donc pas ?

rose dit: à

d’ac avec vous sur le train renato
d’ac aussi sur la voiture

trop dangereux votre engin. Faites gaffe

rose dit: à

vous pourriez pas nous le garder en vie plutôt ?

rose dit: à

Aujourd’hui le coût de la voiture implique qu’il devient impératif de ne plus prendre la voiture.
C’est juste.

rose dit: à

En voiture on sait aussi quand on part mais on sait jamais quand on arrive.

Zéro pour la question dit: à

« Boh, les Alpes Maritimes, c’est juste en dessous. Et Porquerolles est dans le Var, à côté. »

Si tu cales ton novembre hôtel comme tu cales ton GPS, tu vas te fraiser la gueule en beauté, sergio.
Le 06, c’est carrément à droite du beau pays de Magnan (RIP), en sortant de l’ascenseur(à gauche, t’as le Merdecluse comme dit Beckett).
Arrête de ploter ta passagère (tu plotes mal, on te l’a déjà dit, t’écoutes donc rien ?), pense à mettre 2 crans et la bille au milieu.
La biiiille sergio, nom de foutre !

kiasas dit: à

la page chinoise avec Rose et confucius
hier j’ai bavardé avec un groupe de chinois qui avait visité un temple de l’entertainment le plus jeune enfant avait 25 mois: ils parlaient italien entre eux , même le petit , et quand je lui ai dit et fait de la main arrivederci, le gosse s’est foutu de moi et a piaillé coquinement : la nudité pour moi
http://jptoussaint.com/documents/4/4a/2.Notes_manuscrites%2C_visite_temple.pdf

rose dit: à

Quand je ferai l’amour, mais rien n’est moins sûr, je ne le ferai pas devant toi, je ne te le dirai pas ; tu le sauras à mon ton de voix mais j’userai de grande délicatesse. Je ne te ferai pas ce que tu m’as fait, prince des nuées.

bouguereau dit: à

En voiture on sait aussi quand on part mais on sait jamais quand on arrive

y’a bien le van avec bidet..mais ça fait vulgaire

bouguereau dit: à

le mieux c’est de le cacher sous un pouf rose trés poilu..et de mettre des poster de zztop..ça fait jeune

rose dit: à

j’ai pas besoin de faire jeune

je n’écris jamais pouf pouf tu dois confondre boug.

Confidence pour confidence..... dit: à

Comme le disent volontiers les virago hors d’âge du marché du pays : « Emballez ! C’est baisé ! »

kiasas dit: à

il y a toujours des coquilles carabinées dans le monde
. Mais les lignes n’ont pas bougés, l’UMP réclamant toujours l’aval préalable de l’ONU.

renato dit: à

Ça faisait jeune dans les années septante, bouguereau, mais tu avouera qu’ils fonctionnent encore et bien.

bouguereau dit: à

bon..quand jles mettais ici tu disais que c’était du djoni..t’es un mec au gout pas trés arété rénato

rose dit: à

Pardon je ne connaissais pas les posters de zz top.

bouguereau dit: à

j’ai pas besoin de faire jeune

..c’est une image fluo rose..faut bien cracher ses derniers feux..comme la caisse, c’est fini..ça meurt, les ceusses qui ont connu la fin du cheval, ça a duré quelques années seulement en fait on eu comme un vertige, tout une culture ancestral..vlam sur le flanc !
https://www.youtube.com/watch?v=_Zko7pBeHkk

kiasas dit: à

serait-ce qu P.Assouline qu’il a un pacu comme animal de compagnie qu’il laisse dans sa baignoire remplie de (ici, pas de pub déplacée pour l’hydromel) quand il s’absente

renato dit: à

Je disais quoi ? tu devais savoir que djoni (JH je suppose) est assez loin de mes intérêts, même négatifs, pour que je le cite. Mais bon, si t’as un souvenir dans cet ordre-là…

bouguereau dit: à

t’es trés libéral avec tes oublis rénato..cherche, c’est ici

renato dit: à

Je crois que tu fais erreur car j’ai tous les albums jusqu’à « Antenna »…

kiasas dit: à

cette photo de « Marie-ée « , on ne saurait dire si Marie est de dos ou de face : ça me contrarie un peu , ça.

rose dit: à

ça me parle pas boug. ni le groupe ni le shaker.

Pour le cheval certes : pour la charrue y’a peu de chance qu’on y revienne aux chevaux de trait, mais c’est inouï comme les gens ont des chevaux (vois C.P.). Pour se déplacer je crois pas mais boug., le cheval ce n’est pas un animal en voie d’extinction, loin de là.
En tout cas, le jour où t’as un cheval tu le laisses pas tout seul – jamais- et tu le vois tous les jours, tu lui parles, épicétout.

rose dit: à

non, pas besoin de cracher ses derniers feux, ni de vieilles gloires. Mais j’écoute pas ta musique. Une minute 4 et je crie silence.

kiasas dit: à

ça y est , en le voyant écrit, j’ai retrouvé la chanson
« On voyait les chevaux d´la mer
Qui fonçaient la tête la première
Et qui fracassaient leur crinière
Devant le casino désert
La barmaid avait dix-huit ans
Et moi qui suis vieux comme l´hiver
Au lieu d´me noyer dans un verre
Je m´suis baladé dans l´printemps
De ses yeux taillés en amande

Ni gris ni verts, ni gris ni verts
Comme à Ostende et comme partout
Quand sur la ville tombe la pluie
Et qu´on s´demande si c´est utile
Et puis surtout si ça vaut l´coup
Si ça vaut l´coup d´vivre sa vie

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