Morand, Chardonne et le dégoût des autres
On écrit toujours trop. Surtout des lettres. Désormais des courriels. Déconseillé aux écrivains. Même pour le courrier, n’écrivez que ce qui vous brûle les doigts. Ne gaspillez pas vos cartouches, économisez vos traces ! Sinon ne vous étonnez pas que d’autres cherchent ensuite à mettre leurs pas dans les vôtres. Cocteau avait prévenu : « Un auteur se fait grand tort en écrivant ».
Ce qui n’a pas découragé Jacques Chardonne et Paul Morand de se livrer à leur irrépressible épistolat presque chaque jour à partir de 1953. S’ensuit une manière de conversation, l’un dans le Val d’Oise, l’autre dans le canton de Vaud. Conservées à la bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne, ces milliers de lettres ont été écrites sans la crainte d’une publication, puisqu’il était précisé que leur contenu ne devait pas être divulgué avant l’an 2000.
Le premier volume, paru il y a deux ans, couvrait les années 1949 à 1960. C’était déjà un ragoût puant traversé de fusées d’intelligence et d’éclairs de finesse. Le deuxième tome de cette Correspondance (éditée par Philippe Delpuech, 1153 pages, Gallimard), qui court de 1961 à 1963, est de la même encre, mais en plus dense et plus fourni. On y retrouve les mêmes vices et de semblables vertus.
L’arc-en-ciel de leur mépris couvre un large spectre puisqu’il englobe généreusement la Femme, les Juifs, la démocratie, les communistes, les pédés, les écrivains, les académiciens, les critiques, les Anglais, les nègres, les éditeurs, les bourgeois, les vivants, les morts, les gens… Une nouveauté cette fois : les Belges. On ne fait pas plus ridicules, et puis quoi, leur pays n’est-il pas « une fausse couche de l’Angleterre victorienne » ? Et une obsession, bien partagée, s’agissant de « la race élue » :
« Le parlement italien a protesté, aujourd’hui, contre « la conspiration du silence » qui entoura le massacre de 6 millions de juifs par les nazis ! Quand on pense que depuis 44, l’écran, les journaux, les prix littéraires, la radio, la TV, les défilés, les programmes politiques, les manuels scolaires etc. ne nous parlent pas d’autre chose, ne cessent de nous apitoyer sur le sort des juifs massacrés, on se demande si on rêve. Mon père disait: « Les juifs en mettent toujours trop; cela ne peut que finir mal ». (Morand à Chardonne, 21/4/1963)
Mais n’allez pas croire que son correspondant soit en reste sur le sujet:
« Hitler n’a point fait un beau travail. Il n’a pas exterminé les juifs. Ils les a rendus virulents. Il n’y avait pas de juifs avant lui. A présent, ils sont nombreux, bien conscient qu’ils sont juifs, et le feront sentir pendant des siècles. D’où ma phrase malheureuse, à Paris, mais que l’on a eu la bonté d’étouffer assez vite: »Depuis 40, je suis antisémite » (Chardonne à Morand, 20/9/1963)
Et encore, le même, trois semaines plus tard:
« Si je ne me trompe pas, votre bel hôtel de Paris est construit sur le terrain d’un juif. Comment pouvez-vous y dormir? »
De cette encre, il y en a beaucoup d’autres. De quoi fournir une anthologie sur les ravages de l’antisémitisme mondain, le pire en un certain sens, car distillé en levant le petit doigt, sans se soucier des conséquences alors qu’il a pénétré les esprits, et donc encouragé les actes, dans un certain monde inaccessible à la grossièreté d’un Céline, à la vulgarité d’un Darquier.
Au fond, les deux épistoliers ont le dégoût des autres, ce qui n’incline pas à la haine de soi. Pas le moindre soupçon de tendresse, de compassion, d’empathie. On n’imagine pas qu’ils aient jamais eu des amis. Ce dont ils se moquent bien. Roger Nimier ? Un fils plutôt. Les autres hussards ? Poivrots et compagnie ce qui est mal vu de la part de ces deux buveurs d’eau. .T.E Lawrence dit Lawrence d’Arabie ? Son histoire, Morand la résume ainsi :
« Un inverti qui, dans la journée représente l’Empire anglais encore au zénith, mais qui, la nuit (par une sorte de dédoublement du genre Dr Jekyll et Mr Hyde) devient la moukère de quelque arabe de grande tente.«
Manifestement, ça le travaille, d’autant qu’en ces années soixante, non seulement il est privé de bains de mer et d’alcools, mais aussi, selon son propre aveu, éloigné de toute vie sexuelle :
« Je lis Julien Green : les pédés ont le droit d’être plaints certes; mais j’ai aussi le droit d’être dégoûté ?«
Chardonne (il signe « JC », d’aucuns apprécieront…), qui se juge lui-même indifférent jusqu’à en être inhumain, tient l’amour pour « une maladie » et ignore jusqu’au prénom et à l’âge de ses petits-enfants :
« Je ne les ai jamais vus. Je suis rebelle à tout sentiment de famille ; ils me semblent tous faux, tous viciés par la parenté » .
Quant à Morand, que son cynisme protège de tout jugement moral, il se félicite de n’avoir d’autre postérité que sa chienne. Ils rivalisent d’esprit jusque dans l’abjection. Et pourtant, c’est passionnant dès lors que l’on prête un certain intérêt à la république bananière des Lettres.
Les amateurs d’histoire littéraire s’y régaleront de potins, d’anecdotes, de choses vues sur les coulisses de l’édition et du journalisme. A croire que la Frette-sur-Seine était souterainement reliée à Vevey par le boulevard à ragots. Ceux qui n’ont que mépris pour ce type de piapia dont la comédie littéraire a le secret seront dédommagés de leur lecture de ce pavé par de véritables critiques de livres parus à l’époque, analyses aiguës et d’autant plus libres qu’elles n’étaient pas destinées à une diffusion immédiate. De temps en temps, ils causent graines et jardins. Vilmorin mais sans Louise. Ou manières de table, avec ici ou là, quelques morceaux d’anthologie, telles les pages de Morand sur les différentes façons de saluer.
Morand, c’est le coupant des formules, le vif de l’ellipse, l’acidité des pointes, la cruauté des traits, la férocité des portraits ; et avec ça des jugements aussi expéditifs que définitifs, le tout rapide, sans effort.
« Si la République convenait à la France, il n’y en aurait pas eu cinq ».
Un style, quoi, toujours aussi étincelant. Louons le styliste en Morand et abandonnons les restes à ses admirateurs. Ce surplomb sur l’époque, Chardonne y parvient parfois. Il a compris que le naturel, cela s’apprend. Ce qui confère une certaine fluidité à la lecture de ces 855 lettres écrites en parfaite conscience qu’elles seraient un jour publiées. A croire c’était leur but premier.
« Tout ce que vous dites de la société littéraire française n’étant plus un univers littéraire est vrai et original. (…) Cela aurait continué, en France, si nous étions restés occupés par les Allemands. Nous les aurions dévorés, comme les Grecs, les Romains, en moins de dix ans, et ils nous auraient conservé notre empire colonial; on l’aurait gardé pour eux, ce qui valait mieux que de le donner aux nègres » (Morand à Chardonne, 17/1/1961)
Le cavalier en Morand a conservé le coup de cravache ferme et élégant. Chardonne paraît bien faible à côté, et si peu perspicace. Le premier publie alors sa biographie de Fouquet ou le Soleil offusqué, l’un de ses livres les plus étincelants, un charmant Bains de mer, bains de rêve, une anthologie du Prince de Ligne ; le second, Femmes et Détachements. On suit leurs carrières en librairie, ce qui ne va pas sans aigreur et désenchantements, comme il se doit entre réprouvés autoconsacrés. Surtout lorsque l’un reconnaît sa misanthropie :
« Vous avez bien de la chance de pouvoir réduire aux juifs votre dose de mépris. c’est un paratonnerre. pour moi, il s’étend à peu près à tous les gens que je connais ; je n’en suis pas fier, et je le montre le moins possible » (Chardonne à Morand, 25 juillet 1963)
Il est vrai que ces deux écrivains paraissent d’époque en un temps où triomphe le Nouveau Roman. C’était en 1960 av. A.G. (Amazon Google). Un temps où on entrait encore « aux Sciences Po » avec les lettres de Talleyrand à Louis XVIII comme bréviaire.
Un troisième volume de cette correspondance couvrant la période de 1964 à 1968, doit encore paraître. L’ensemble comptera 5000 pages. Tour à tour brillant et infect, c’est enlevé, aussi bien écrit que décrit ; mais on ressort de cette immersion dans leur monde défunt avec l’étrange sentiment d’avoir lu un pêle-mêle écrit non dans une langue étrangère, comme Proust le disait des beaux livres, mais dans une langue morte, comme on le dirait de recueils qui sentent la naphtaline quand on les ouvre, et puent la mort quand on les referme.
(« Mur des noms à Prague » photo Passou ; « Paul Morand en 1969 » photo Henri Cartier-Bresson ; « Jacques Chardonne chez lui » photo D.R.)
631 Réponses pour Morand, Chardonne et le dégoût des autres
La Suisse et l’Dahomey dit: 29 avril 2015 à 9 h 50 min
cf dans le titre du billet « le dégoût des autres »
Il fut un temps où le terme politique « réactionnaire » était infamant. On en est loin, aujourd’hui.
Désormais, ce terme prend tout son sens, un noble sens. Un intellectuel réactionnaire est un homme qui agit contre l’ordre pourri, ou plutôt contre le chaos établi, la doxa boboïde des gauchos, des vieux glands, des nuls, des gros porcs, des minables de l’humanisme à gauche, et au portefeuille à droite …
Bien entendu je ne suis pas Charlie – c’est trop c.on d’être Charlie cela ne veut rien dire – je suis réactionnaire, par choix, par nécessité urgente, et ….par bonheur !
« il est passé de la franci(s)que à la résistance active »
Et de l’action française au marxisme, ce que selon Passou on pourrait appeler un sacré grand pas de côté ?
Mais encore, que dites-vous de cette passion revendiquée de FM pour Chardonne, au grand désespoir des beaufs, un amour de jeunesse conservé jusque dans sa vieillesse ?
à JC : ce n’est pas la peine d’en rajouter, Benito, on avait compris, plus réac-facho tu meurs
le popaul à Popaul doit frétiller : il a 54 commentaires grâce à Benito et bouguereau !
Le problème, c’est l’offre politique en France, qui est nulle !
A droite, ces c.ouillons d’UMP, au centre, ces c.ouillons d’indécis du Modem/UDI, à gauche, ces c.ouillons de socialistes du PS augmentés de ces glands d’écolos EELV, avec comme colifichets à l’ancienne les résidus marxistes/communistes/trotskystes lyophilisés au siècle dernier !
Ce qui est dommage, c’est que le Front National soit un parti d’ultra-gauche…. sinon la sortie de l’Europe, la remise dans les clous républicains des communautés théocratiques islamiques, c’était éminemment séduisant et sympathique … uhuhu !
Que dire alors de la passion revendiquée de François Mitterrand pour Chardonne ?
rien que de la littérature, Baroz. Des belles phrases sur du beau papier, une passion troglodytique à l’heure du oueb à gogol qui téléthone unicef.
Ma pauvre Giulietta, vous n’avez toujours pas compris que la gauche, c’est le fascisme des copains et des coquins ?….
Dites, Giulietta, pendant que j’y pense je connais un handicapé mental, manchot, unijambiste, qui vous irait comme un gant : à deux vous pourriez, peut être, comprendre ce qui se passe dans ce monde si difficile …
Phil, please, vous ne m’avez pas répondu au sujet de Saint-John Perse métis passe-muraille ?
Il n’y a que Benito JC dit le Fourbe pour tout comprendre y compris le fascisme light et amusant
Qui l’eut cru, la RDL ça mène à tout !
Cette semaine sur les écrans, un biopic librement inspiré de la vie de notre chère Daaphnée, du temps où elle était encore fraîche…
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19552344&cfilm=232095.html
Vous vous méprenez, Phil.
La littérature à bon dos, sous l’écrivain Chardonne il y a l’homme.
Et René Bousquet, c’était aussi pour la littérature ?
Toujours pas très malin celui qu’on appelle Benito, cela ne s’arrange pas du côté des neurones qu’il a perdues par milliers
L’héroïne de votre film préféré, Attila, serait plutôt femme de ménage en Normandie…. non ?
bouguereau se fait tout petit chez Monsieur Edel, il a peur de se faire virer s’il couine de trop , comme Benito
Révision : la Mitte, infâme menteur florentin, était d’extrême droite comme le tyrannique séminariste Stalin !
le demeuré de pq admirateur du borgne et sa tribu, a sa carte au fhaine -il tient la perm tous les jours au bureau du coin
La gauche est péché, la droite le rassemblement des gens droits et intègres s’il en est
je note que le faux et honni « de nota », sans en faire des tonnes, détonne, mais n’étonne pas.
Attila baroz, laissez tomber Bousquet (jamais nommé chez Paxton) qui n’est pas un écrivain. Chardonne est un écrivain, il se sont pas si nombreux. Il était éditeur aussi. Mitterrand est mort avec une eo d' »Isabelle » sur sa table de chevet. Kiejmann n’en a pas profité pour s’instruire.
Une bonne opposition est, comme disait l’autre, une opposition morte.
On peut s’interroger sur la complaisance avec laquelle Assouline s’attarde (deux billets à ce jour) sur une correspondance où s’étalent les sympathies pro-nazies, les allégeances vichystes et les obsessions antisémites de deux vieillards réactionnaires qui n’ont jamais consenti à s’en débarbouiller. Parmi les raisons qu’on peut avancer, je vois, pour ma part les suivantes :
– une fascination pré-sénile pour une époque qui a précédé de peu sa naissance
– une trouble attirance pour des propos qu’il devrait condamner en tant qu’homme et, encore plus, ignorer en tant que critique
– un goût inavoué mais assez évident pour des formes d’écriture dont les familles bourgeoises faisaient leurs délices dans les années trente et encore dans la seconde moitié du XXe siècle
– le souci de plaire à un lectorat majoritairement composé de vieux schnocks, petits-bourges et bourges ayant largement dépassé la soixantaine, trouvant leur bonheur à déguster à l’heure du cognac leur ration de propos réacs formulés dans un style qui ne l’est pas moins.
M OU MME dit: 29 avril 2015 à 11 h 51 min
Mort de rire.
Charlie Haden, John Perse eut des expressions et positions aussi peu amènes que celles de Morand avec des conséquences différentes; il faut aller fouiller les bonnes archives et prendre un temps de lecture dans un fauteuil confortable. on ne peut pas tout ramasser en blog avec un coup de cliquette. ceux qui ne connaissent pas le frère de Bernard Faÿ auront des difficultés dans les conversations aimables.
Saint-John Perse métis passe-muraille ?
Le style Baroz des gens qui connaissent les gens qui connaissent des gens etc
Bon ben vous aimez ça, bonne journée…
Dans les faits, même les « requins » peuvent « élaborer » une « vision du monde » puisque si l’on veut parvenir à ses fins, il s’agit de « considérer, avec intérêt », etc. Par exemple, un commerçant qui voudrait ouvrir son exercice dans un environnement donné, il le considérera avec intérêt, etc.; il peut évidemment s’en passer, mais il risque fort de manquer la cible.
Après, si on veut se pavaner avec Kant, Heidegger et toute l’équipe des gars de philo, on peut toujours jouer à se croire intelligents et cultivés… entre temps les « requins » considèrent ce qui réellement advient avec intérêt et élaborent leurs stratégies, mais peu importe: le grand intellectuel nous aura informé que « là n’ est pas la question, mais de ce que retourne plus précisément en philosophie cette si fameuse expression »… tiens… tiens… qui l’aurait dit.
Enfin, MOUMME et cher ami* !
Tu sais bien qu’il n’y a pas plus réactionnaire que toi !? Laisse Passou tranquille, et remet ton humanisme dans ta gaine herniaire !
*Josette m’a tout dit sur l’oreillette ; au FSB, on sait y faire pour faire causer les jolies femmes…
On peut aussi s’intéresser à ces écrivains parce qu’ils représentaient une littérature bien française, chic et stylée. A l’époque, on faisait moins attention aux idées (surtout aux idées fausses) qu’aujourd’hui. Par exemple, comment expliquer l’admiration d’un Bernard Frank pour les Morand-Chardonne – et celle de ces derniers, d’ailleurs, pour le jeune auteur de « La Panoplie littéraire » ?
Renato m’a ouvert les yeux : je choisis d’être « requin », plutôt que philosophe, lesquels sont de la nourriture à requins !
Sitôt digérés, sitôt oubliés …
renato, dans certains cercles d’élites de la pensée on exprime des souhaits profonds comme on écrirait une lettre au père noël, je sais pas mais peut-être que ça marchera comme ça, hein, après tout…
Lorsque vous parlez de ces époques lointaines, si lointaines, si peu nécessaires à notre temps, ….. Morand/ Chardonne, antisémitisme/nazisme…. vous me faites penser, bande de petits choux tarés, à des généraux US tentant de comprendre la civilisation indienne !
Vous devriez avoir honte …
à l’extrême on pourrait même penser que la lame de fond de l’indifférenciation finira par tout mettre en place, ça simplifie tellement le paysage hein, et vive les gros lolots
Bonne question, jem.
Frank s’intéressait aux MorandChardonne comme Passoupline qui doit avoir une Sagan pour conduite intérieure.
Et pendant ce temps, sur un blog proche, on se balade rue Pierre Brossolette, rue Mouffetard. On traîne, heureux, entre le marchand de quatre saisons, la librairie de ralliement, et on respire ce printemps encore trop frileux pour que les épaules se découvrent. Là-bas, pour une fois, point de passé qui vient s’ouvrir sur un livre ou un film ; juste des amis qui échangent légèrement sur un certain goût du bonheur malgré ce qui enserre ou blesse. Le temps d’un billet et des commentaires, ils s’élancent vers le détachement, secrets bien serrés, cicatrices oubliées. Et ça fait un bien fou de les lire. Un chant d’alouette qui monte dans un ciel radieux. Banalité heureuse de l’existence qui met la caboche en stand-by. Collage un peu incestueux et oisif entre des temps menaçants. On n’y palpe ni le bien, ni le mal, ni la vertu ou son contraire, ni la boue ni la poussière du temps. Juste le pied léger dans un quartier aimé. Qu’est-ce que nous autres ? Il suffira de trébucher sur un pavé et tout reviendra, une longue jonque de souvenirs… Oui, j’aime ce billet impromptu de Paul Edel et sa mousseline bleue de commentaires qui apportent tant de paix.
Un vent frais ce matin. Le bruit de la ville monte, ralenti. Désapprendre l’écriture et regarder passer les nuages en prenant patience. Amer avril…
» et là devant un immense bureau courbe, j’aperçois un professeur en pull gris trop grand , lisant ses notes trop penché pres du papier, comme un myope, il parle en faisant de grands gestes des bras (il ressemble à un dindon en pleine électrocution) »
C’est vrai, Christiane, quelle douceur, cette promenade.
Un cargo spatial russe chute vers la terre (Lemonde) (au dernières nouvelles il se dirige vers por&roll )
Vous êtes si gentille, Christiane, si sensible ! N’avez vous jamais été tentée par le Couvent des Oiselles ?
Bon, et sinon pas d’autres reflets irisés d’emballages ?
Mais qu’est-ce qui vous prend, Christiane, vous vous êtes égarée ?
Pourquoi commenter ici le billet d’un autre blog ?
Et zou, une bonne nouvelle : le cinéma de Saint André des Arts a décidé de continuer de programmer le film « je suis Annemarie Schwarzenbach » (qui devait s’arrêter la semaine dernière). C’est désormais tous les soirs (je ne sais pas jusqu’à quand, au moins jusqu’à mi-mai je pense), avec débats à la clé, et c’est Véronique Aubouy à la réalisation.
Et Trouillonime qui tombe de la lune avec sa réclame ! C’est la fin, elles sont devenues folles .
Phil à 9h03, retour à Bucarest. Le noeud du problème.
Cette réception à l’ambassade dira peut-être quelque chose à des gaullistes, qui devaient être là-bas en même temps que Morand. Et qui devaient sans doute chercher, en vain, les récepteurs radio …
Cela dit votre digression à propos du père est bienvenue.
Comprendre Morand, c’est aussi accepter que ne pas aimer la terre entière, ce n’est pas nécessairement avoir le dégoût des autres.
» défiance quand tu ne connais pas, méfiance quand tu connais »
Etrange aussi son dernier essai romanesque : « tais-toi ».
« Un temps où on entrait encore « aux Sciences Po » avec les lettres de Talleyrand à Louis XVIII comme bréviaire. »
Pas tout à fait ce qu’en dit Morand qui dit avoir sommeillé deux ans sur le secret du Roi et regrettait les lacunes de l’enseignement reçu. Ref: la palais des anciens, in Venises.
@Daaphnée dit: 29 avril 2015 à 13 h 29 min
Impossibilité technique de le faire là-bas. Besoin de changer d’air…
D’ailleurs, je ne comprends pas pourquoi Arte ne programme pas ce film. Il est totalement « art et essai », et la vie de la Suisse Annemarie Schwarzenbach a été tellement influencée par la période nazie, son point de vue est si pertinent, son témoignage si précieux : franchement, s’il y a une chaîne télé qui devrait être intéressée, ce devrait être la chaîne culturelle franco-allemande. ca tombe sous le sens, encore plus quand on a vu le film.
Des fois, on ne comprend pas tout…
Tiens! Schwarzenbach, un doc sur un train et avec débat… nous aurons tout vu.
Voyons, Christiane, c’est ridicule d’en faire un commentaire ici .
Euh, Renato : « un doc sur un train »
???
Que voulez-vous dire ?
Chardonne, ce plumitif sans couilles ni honneur, est la honte des lettres françaises.
Des nouvelles de Barfelone, ça ne se refuse pas.
http://www.lepetitjournal.com/barcelone/accueil/actualite-espagne/214301-michel-houellebecq-le-modele-patriotique-francais-aujourd-hui-ne-va-pas-bien-du-tout
Discours du président de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich lors de l’inauguration du train pour Annemarie Schwarzenbach:
http://www.hebdo.ch/archives/chegravere_annemarie_25674_.php
Il y a aussi un train Szeemann, etc.
on a retrouvé une photo de JC enfant: http://www.lingenue.net/wp-content/uploads/2013/03/La-F%C3%AAte-des-m%C3%A8res-pour-tous-20133.jpg
Ah, merci pour le lien et l’info, Renato – mais non « je suis Annemarie Schwarzenbach » n’est pas un « doc sur le train », ni même un biopic, ni même un portrait d’Annemarie (sinon en creux). La réelle Annemarie hante le film comme un fantôme, et il s’agit plus d’éventuel(le)s interprètes, bien d’aujourd’hui, que des aventures persanes ou sentimentales de celle qui inspira un fol amour à Carson Mac Cullers (et on comprend cette dernière, ma foi.)
Collabos et admirateurs de l’Allemagne Nazie, Chardonne et Morand auraient dû être liquidés à la Libération. J’aurais aimé commander le peloton d’exécution et administrer le coup de grâce; malheureusement j’étais trop jeune pour cela. Cette opération de salubrité publique nous aurait évité cette correspondance scélérate.
@ daaphnée
« Ridicule » ?
N’ouvrez-vous jamais une fenêtre quand l’atmosphère est lourde ? Par ailleurs, ces deux blogs vont parfois à l’amble. Même si une jambe droite n’a rien d’une jambe gauche, avec les deux on marche ! Regardez certaine statuette de Giacometti.
Si nous étions ici sur votre blog, oui, il aurait été « ridicule » d’ouvrir cette fenêtre. Heureusement, nous sommes chez Mr. Assouline.
Bien à vous (comme dirait certain qui ne manque pas d’humour).
« … n’est pas un « doc sur le train »… »
Dommage, l’approche par ce biais aurait présenté quelque intérêt… comment elle est perçue par les intellectuels organiques d’aujourd’hui.
Pour ce qui est de Schwarzenbach, je préfère la lire… et puis, ce doc! déjà le titre (Je suis etc.) est répulsif, ça sent le pourri quand l’on connait l’œuvre et les opinions d’Annemarie Schwarzenbach.
Un bon film (Schwarzenbach) très art essai qui ne parle pas de nazisme mais de jeunes filles (et un jeune homme) lesbiennes séduites par la vie d’AM S. C’est un parti pris, les acteurs sont bons mais ça manque un peu de Mann.
l’humour de certain, écrit christiane réfugiée ici on ne sait pourquoi et qui se regarde écrire : un peu Court tout de même, son petit côté vachard sans avoir l’air d’y toucher est celui d’un pisse-froid
J’apprends, via le blog de PE, que quelqu’un veut empailler Mme Hidalgo et quelqu’un veut plutôt empailler JC.
JC….. dit: 29 avril 2015 à 10 h 56 min
« Ma pauvre Giulietta, vous n’avez toujours pas compris que la gauche, c’est le fascisme des copains et des coquins ?…. »
Affirmatif!
Barrozzi faisant l’éloge des Tibéri, ça vaut le détour.
« C’est un parti pris… »
Une approche presse gossip, Phil?
piqûre de rappel :
Il tient la route, not’Léo.
Encore à propos du doc Schwarzenbach, et… il y a aussi le séjour au Congo? Et le voyage dans l’Amérique profonde?
Comment déraci,e-t-on le mépris ,surtout quand ce mépris n’est dondé sur rien que des façons différentes de se tenir à table, des variations das la structure de la paupière?
Coetzee
renato, ce parti pris m’a semblé réducteur d’autant que les actrices parlent moins des livres de Schwarzenbach que d’une vie supposée très lesbienne.
Sa famille, sa fortune, ses voyages et les Mann sont pourtant les acteurs principaux de son oeuvre.
Dans un autre genre, Levallois-Perret est remarquablement géré, Chaloux…
Même les grands déconnent, parfois, car les façons différentes de se tenir à table relèvent de la responsabilité individuelle; tandis que les variations de la structure de la paupière, on la doit à une réalité sur laquelle nous n’avons aucun pouvoir.
Le Schwarzenbach, vous l’avez vu à Berlin ou à Paris, Phil ?
J’y ai vécu pendant deux ans, dans une autre vie.
Phil, je n’ai pas vu le doc et ce que j’ai lu (ajouté à quelques témoignage) m’a persuadé que ce serait de l’argent gâché.
Peut-être que Paul devra fuir la rue Brossolette pour échapper aux assiduités de Christiane .
Le crime de la rue Brossolette, à paraître ..
Les gens glissent, parfois, sur une peau de banane car les façons différentes de se tenir à table relèvent de la responsabilité individuelle; tandis que les variations de la structure de la paupière, on la doit à une réalité sur laquelle nous n’avons aucun pouvoir.
Maus, » the Pulitzer-prize winning graphic novel about a Jewish family during World War II, has been removed from many bookshelves in Moscow because it bears a swastika on its cover.
‘tain si christiane écrivait comme bouguereau on la retrouverait chez celui qu’on appelle Popaul le censeur
Sa famille, sa fortune, ses voyages et les Mann sont pourtant les acteurs principaux de son oeuvre.
C’était le sujet, Phil, d’un très bon documentaire de Carole Bonstein
« Annemarie Schwarzenbach – Une Suisse rebelle »,
réalisé à partir d’images d’archives et d’interviews diverses .
On le trouve en ligne sur le web.
Baroz, vu le Schwarzenbach à Berlin. Plastiquement plaisant à voir, mais comme dit, surpris par la faible évocation littéraire et rien sur la famille Mann, sauf une photographie fugitive de Klaus. Croisé ensuite dans Berlin les quatre Annemarie (dont le jeune homme) en goguette. la berlue à berlin.
@ATTILA 11h 14
merci pour le lien
sans doute resssemblant pour le son mais probablement pas pour l’image et bien adapté pour le titre
« Dans un autre genre, Levallois-Perret est remarquablement géré »
il le fait exprès!
Barrozzi faisant l’éloge des Tibéri, ça vaut le détour.
bientôt la parution d’un goût de la corruption
Le voyage quoi de mieux!
D’ailleurs Paul Morand écrit :
« Je voudrais qu’après ma mort on fît de ma peau une valise »
« Rester chez soi est une négligence dont, tôt ou tard, on se verra puni. »
« Hiver en Egypte, juin à Paris. Snobisme des hirondelles. »
« Celui qui part sera déchiré, mais celui qui reste tombera en morceaux. »
« A douze ans, j’eus ma première bicyclette; depuis, on ne m’a plus jamais revu. »
« Sen aller, seul moyen de parvenir. »
Paul Morand
Avez-vous lu le dernier de Jacky Barozzi : « Le dégout des autres » ?…
Cela dit, Morand, « L’homme pressé » c’est fichtrement bien écrit ..
En fait, on devrait pouvoir repérer à partir de quel moment abondent les romans écrit à l’ea
les romans écrits à l’eau de vaisselle ..
le dégoût, Benito connait bien, il vit avec
Il est clairement indiqué dans Wiki qu’Agnès Saal, madame 40.000 euros de taxi en 10 mois, est la fille d’un marchand de tapis juif tunisien du souk.
Je m’en doutais !
(Quoi antisémite ! Quoi ! Moi ?… Je suis le sioniste le plus déterminé de ce blog pourri de goys !)
vous désirez je suppose que l’histoire garde de vous le souvenir d’un martyr.Mais qui va inscrire votre nom dans les livres d’histoire? Coetzee
Encore à propos de Schwarzenbach. Si vraiment il faut composer un doc, il serait intéressant d’aller fouiller dans l’Archive suisse de littérature (Bibliothèque nationale suisse), et croiser le fond photos avec les manuscrits, la correspondance et les articles pour les journaux en essayant de combler les vides produits par la machine destructrice formé par la mère & la grand-mère. Tisser, en bref, une uchronie sur la trame du réel qui reste… il se peut que quelques détails soit échappé aux les deux censeures.
sale type en deux lettres = JC
M OU MME dit: 29 avril 2015 à 14 h 15 min
J’aurais aimé commander le peloton d’exécution
Et si on a un trou de mémoire ? Le temps d’aller chercher le manuel ça casse l’ambiance…
Si vraiment il faut composer un doc
(Tsss, Renato !
Il y en a un, excellent, que je citais et que vous pouvez voir en ligne !
Carole Bonstein, « Annemarie Schwarzenbach – Une Suisse rebelle »
https://www.youtube.com/watch?v=N6kbfB_e7BI
Suivez, un peu !)
“Annemarie Schwarzenbach – Une Suisse rebelle”
Déjà vu. Merci.
M OU MME dit: 29 avril 2015 à 14 h 15 min
« J’aurais aimé commander le peloton d’exécution »
Des détails de cet ordre révèlent, hélas, que notre cher MOUMME, celui que la Palestine arabe nous envie, retarde d’une ou deux guerres mondiales !!!
Aujourd’hui, on est mouderne, MOUMME… on DE-CA-PI-TE …..
Daaphnée dit: 29 avril 2015 à 16 h 41 min
En fait, on devrait pouvoir repérer à partir de quel moment abondent les romans écrit à l’eau de vaisselle.
On retombe sur la question de l’inégalité d’un même auteur devant sa page blanche, avec ce corollaire cher à Passou que les derniers sont pas forcément les premiers.
Pire, ne plus rien avoir à dire, le prévoir, et en avoir peur, ce qui rend muet ; au contraire, la pensée est allée trop vite, en tous cas plus vite que la machine (une Scabelli recommended)…
N’importe quoi, JC !
La Chine et tout récemment, l’Indonésie.
Je ne pensais pas à la production d’un même auteur, Sergio, nécessairement inégale. Je pensais à ce qui se produit aujourd’hui:
– Les Ouellebc .., le discours de Modiano qu’on ose comparer à Rilke …
– Une critique d’une médiocrité édifiante pour encenser de mauvaises copies.
Le fond Schwarzenbach de la Bibliothèque nationale suisse compte environs 7000 photos — tous les voyages (1933-1942) sont documentés:
Je suis certain que ma pensée va être ainsi que mes paroles, dénoncées une fois de plus par ces trouducs d’humanistes mous qui nous donnent des leçons en permanence, au nom de Lumières mortes qui n’éclairent plus rien.
Morand et Chardonne avaient raison. On a raté le coche !
A un détail de l’histoire près -la mauvaise organisation des camping réservés aux juifs- on aurait dû aider les Allemands contre les Anglais, des fourbes qui nous ont empoisonné le Corse, et contre ces saloperies d’Américains qui font tout pour nous démolir l’Europe, en oubliant La Fayette.
On aurait un Grand Reich, deutsche qualität, on s’emmerd.erait pas avec Juncker, la croissance et l’emploi seraient là …. et les islamo-fascistes africains ne viendraient pas se baigner le long des côtes siciliennes, alors qu’ils ne savent pas nager.
Bref, on a pris du retard grâce aux démocrates papoteurs. On serait mieux si on avait écouté les fascistes allemands, et les classes bilingues ne seraient pas l’inquiétude nocturne des germanistes…uhuhu !
Daaphnée dit: 29 avril 2015 à 17 h 06 min
N’importe quoi, JC !
So what ?
qu’on ose comparer à Rilke
ne reprochons pas aux auteurs les gestes des critiques et de leurs fans
JC est ce qu’il est mais c’est le seul qui me fasse rire.
Merci JC, (j’ai les mains dans le cambouis, petite diversion amusante)…
Un poète a écrit que tout ce qui est écrit est admirable; mais il ne faut pas prendre ça pour une vérité.
Chaloux,
Hélas, le tragique nous est toujours proche !
Ma statue de jardin d’Adolf Petite Moustache – une merveille en pain d’épices venue directement de Bavière – a été attaquée, et bouffée à moitié par mes tourterelles apprivoisées !
Un coup du Mossad qui aurait retourné mes tourterelles turques ? … j’angoisse … on n’est plus sûr de rien !
Chaloux est ce qu’il est mais c’est le seul qui ne me fait pas rire avec la Yourcenar
Je crois comprendre que n’importe qui vous fait rire Giulietta ? ….
Le Point
« Le président recule encore (- 2) tandis que Manuel Valls se redresse un peu (+ 3) ».
PAF!
La Russie perd le contact avec un cargo spatial
Il est impossible de dire quand exactement le cargo retombera sur Terre, cela dépend de beaucoup de facteurs. Mais la chute s’effectuera dans des conditions incontrôlables ».
http://www.lemonde.fr/sciences/article/2015/04/29/un-cargo-spatial-russe-chute-vers-la-terre_4625110_1650684.html
Parait que Chirac dîne invariablement d’une pizza, pendant que « Bourriquette » (82 ans) « sort tous les soirs. On espère qu’il a encore la présence d’esprit de ne pas bouffer le carton.
Chaloux dit: 29 avril 2015 à 17 h 45 min
(j’ai les mains dans le cambouis, petite diversion amusante)…
Houlà ! Cela ne souffre pas la moindre chute d’attention… Sinon on perd des chevaux comme qui rigole !
chute du cargo spatial : sur la cabane au PQ et qu’on n’en parle plus, boum !
Après, si on veut se pavaner avec
renato a la banane, c’est sûr!
J’ai commencé la lecture. Désopilant. Me vient à la mémoire le mot de Gore Vidal: il ne suffit pas de réussir, les autres doivent échouer.
Les tourterelles, c’est comme les lapins.
“Les tourterelles, c’est comme les lapins.”
Même dans le passage “four”?
Najat Vallaud-Belkacem médiocre à l’écrit
Le Point – Publié le 29/04/2015 à 06:37 – Modifié le 29/04/2015 à 11:30
C’est en retard et dans une langue administrative incompréhensible et criblée de fautes que la ministre répond aux hautes institutions de la République.
c’est le point qui met un commentaire sur les écrits de la ministre Najat Vallaud-Belkacem
«Dès qu’on veut matérialiser son rêve, c’est fini : méridionaux impossibles, feignants, voleurs, inexacts, la bonne viande remplacée par les bottes d’œillets, le vin qui se pique dans les caves trop tièdes, l’absence de rosée, un air jamais renouvelé, lourd d’essence brûlée, des trottoirs trop étroits où l’on est happé par les autocars si l’on veut marcher, de la pierraille si l’on veut galoper, des plages sales qu’aucune marée ne vient nettoyer, une désespérante tristesse, l’hiver, dès que le soleil est tombé, avec refuge dans les thés pleins d’Anglais clochards, le bruit des jetons que ramasse le râteau du croupier, bref, tout ce qui m’a fait prendre Villefranche en horreur, après 5 ou 6 ans de séjour, et à jamais.» -Paul Morand
Pauvre homme. Quel calvaire…
« renato a la banane, c’est sûr! »
Maintenant, dans l’assiette j’ai une poire au Barolo…
Je sais où va tomber la cargo spatial russe. Tout simplement parce que je l’ai calculé.
Et si vous me le demandez gentiment et avec respect je vais vous le dire.
Morand et Chardonne, collabos, pronazis, antisémites, étaient deux ordures. Des lavettes, des lâches. A la Libération, ils auraient mérité d’être fusillés. Quoique très jeune à l’époque, j’aurais aimé commandé le peloton d’exécution. J’aurais jubilé de leur administrer le coup de grâce. J’aurais joui de voir exploser leur crâne, et leur cervelle gicler sur mes bottes. Parce que j’aurais porté des bottes. Grandes comme ça. Avec des éperons pour leur larder la chair du derche pendant qu’on les aurait traînés au poteau.
Duc Bihoreau de Bellerente dit: 29 avril 2015 à 19 h 40 min
On aimerait que Monsieur le duc indique les références précises de ce morceau de bravoure.
A un détail de l’histoire près -la mauvaise organisation des camping réservés aux juifs- (JC)
C’est vrai mais c’était pas si pire que les campings réservés aux Népalais.
Gros moyens de sécurité pour la venue de Michel Houellebecq à Barcelone.
C’est vraiment notre rock star.
Parce que j’aurais porté des bottes. Grandes comme ça (moâ)
Hautes comme ça. Ah là là, j’ai la mémoire qui flanche.
Avec des éperons pour leur larder la chair du derche pendant qu’on les aurait traînés au poteau.
Techniquement, c’est plus facile à dire qu’à faire. Je prépare une vidéo explicative, à l’intention des exécuteurs de l’avenir. D’un avenir proche, d’ailleurs. Tiens, à la place de Houillebocq, après toutes les horreurs qu’il a dégoisées sur notre Saint Prophète, je garerais mes fesses. Houillebocq empalé sur la pointe d’une des tours de la Sagrada Familia, y a du buzz mondialisé pour au moins quinze jours, surtout si on le filme en train de se tortiller.
Avec du fil haut ?
Parce que j’aurais porté des bottes. Grandes comme ça (moâ)
Hautes comme ça. Ah là là, j’ai la mémoire qui flanche. (mmouais)
Hautes comme ça (geste).
La lutte contre l’alzimémère est de tous les instants.
…
…plus de trois milliards, pour l’espace militaire,!…
…et rien pour mes châteaux et domaines,!…
…
…de quoi prendre son temps,!…et parler d’oignons, des fleurs,…
…tout ces détails, de jardinages, qui enrichissent notre culture, secrète du pavé » soixante huitard « ,…
…allons mes poules et mes lapins, avec tout ces coqs au beurre, enfilez-vous secs,!…en r’êves et siestes-forcées,!…
…
…Non,…rien pour moi,!…d’abords les comptes en banques; les offshores – leacks,!…aux titres qu’il vous plait,…
…
…je conseille plus rien,…mon ministère au jardin m’attend,!…
…
…Sant’Angelo Giovanni, Impérial du jardin, du verger aux fruits,!…toutes ces pêches juteuses à merci,!…mêmes en boîtes,!….
…
…vous disiez, un conseils, enfilez-vous du matin au soir,!…
…l’humour en rappel, & diversions,!…
…titres sans fins et parcelles collatérales,!…le Rubicon,!…aussi,!…
…avoir rien,!…la liberté de se taire, ou l’ouvrir, pour son libre plaisir,!…
…ajoutons, ne participons a riens, sans au moins le niveau milliard débordé,!…
…voilà que voici,!…jouer aux billes avec vos lobbyistes,…
…excellents ces conquêtes d’à propos, à ne pas s’effeuiller aux puces, mêmes électroniques d’autres manufactures,!…
…
…à mon bon plaisir, le toucher rectal, si çà m’amuse,!…Non,!…pas assez rose,!…
…voyez plutôt, vos toy’s, de gardes,!…
…la ménagerie,!…etc,!…coupons le cordon,!…alors ce milliard, çà traine la marié,!…faut si faire,…
…vivons cocu,!… » éclairé « ,!…un must,!…
…
…
Giovanni, je viens de lire une prose de chochotte (ailleurs…), j’ai ma dose et vous lirai une autre fois…
En attendant, ni Chardonne ni Morand n’auraient jamais été capables de rédiger cet article d’une réforme du système éducatif pourtant conforme à leur vision de la pédagogie :
» Parce que je porterais des bottes. Hautes comme ça (geste). Avec des éperons pour leur larder la chair du derche. »
Voilà une conception du rapport pédagogique autrement exaltante que l’inculcation par le plaisir dont on nous rebat les oreilles. Si on ajoute que le même programme prévoit de leur faire bouffer l’éponge du tableau noir, on peut espérer des résultats proprement mirifiques.
le même programme prévoit de leur faire bouffer l’éponge du tableau noir (mmmouii)
et de leur enfoncer des compas dans les fesses après leur avoir fait lécher le parquet.
Mme Vallot Belkacem ferait bien de lire et de méditer ce classique de la littérature pédagogique.
…
…se guérir, tout seul,!…sans zèles ni connivences,!…
…et, même depuis, des mois, se préparer à maigrir,!…doucement,!…c’est fait,!…
…avec, ses propres aptitudes et connaissances,!…c’est fait,!…
…presque, un secret réel, pour milliardaires en devenir,!…
…maigrir, pour presque,!…rien,!…
…Ah,!Ah,!Ah,!…et vos kilos,!…en l’air,!…volatilisés,!…etc,!…génial,!…
…
Vous attisez, Assouline, ce n’est pas bien. On relève dans le dépotoir des commentaires des horreurs : « Morand et Chardonne, collabos, pronazis, antisémites, étaient deux ordures. Des lavettes, des lâches. A la Libération, ils auraient mérité d’être fusillés. Quoique très jeune à l’époque, j’aurais aimé commandé le peloton d’exécution. J’aurais jubilé de leur administrer le coup de grâce. J’aurais joui de voir exploser leur crâne, et leur cervelle gicler sur mes bottes. »
On parle de Morand et de Chardonne, pas des bougnats du coin. Et vous laissez passer cela ? Mon pauvre Assouline, vous avez perdu le contrôle de votre site, où n’importe quelle racaille vient déverser sa rancoeur. Cela n’est plus lisible.
…
…bien sûr, il y a eu, des échecs, pour maigrir,!…
…en tout cas,…maintenant, avec mes expériences en précautions das années précédentes, c’est enfin,!…réussis,!…
…
…je ne donne aucune indication,…je ne suis pas » médecin « ,!…Ah,!Ah,!Ah,!…etc,!…
…vivre seul, çà aide,!…en soixante huitard,!…etc,!…
…
Le fond Schwarzenbach de la Bibliothèque nationale suisse compte environs 7000 photos — tous les voyages (1933-1942) sont documentés:
http://ead.nb.admin.ch/web/as/as_voyages.html
signé : Renato
«Mon pauvre Assouline, vous avez perdu le contrôle de votre site, où n’importe quelle racaille vient déverser sa rancoeur. Cela n’est plus lisible.» 29 avril 22 h 35
Bienvenue ici. Vous devez être nouveau. Monsieur Assouline héberge de pauvres hères qui n’ont pas d’autres refuges pour venir crier leur souffrance. Un de mes jeunes amis prépare une thèse là-dessus, mi-psychologie, mi-sémiologie.
Ces pauvres gens savent à peine lire, alors Morand et Chardonne, vous pensez bien qu’ils ne savent absolument pas qui c’est. Mieux vaut avoir les fous ici qu’à lancer des bombes ou à tripoter les fillettes et les garçonnets…
M ou MME 21h20
« On voudrait donner à tous ces pauvres Arabes en haillons, phtisiques, maigres, qui vous trottent dans les jambes, mais c’est un océan de misère, un Niagara, un univers de faim et de détresse. Les nouveaux fonctionnaires arabes s’achètent de l’argenterie et de grosses voitures ; c’est l’éternel Orient sans classe moyenne qui reprend, éternel depuisLes Mille et Une Nuits,tout retombe dans le et sommeil, la ruine millénaire, le désastre chronique, les mouches et le Inch Allah !» -même source
Décidément, je n’en dors pas….
Voila où nous amène, aussi surement que le Titanic qui se jeta sur son iceberg, le Mariage des Fiottes qui fait exemple !
Nos armées, nos chers militaires suréquipés, ont donné de la banane à des petiots centrafricains d’une dizaine d’années qui avaient faim … ! Misère !
Je ne suis pas contre la pédophilie moyen-orientale prophétique avec les petites filles de 9 ans, autres temps autres mœurs, mais des petits nègres ! l’Armée Française ! L’armée de la nation ! celle qui remporta WWI et WWII et l’Indo et L’Algérie et qui va remporter WWIII et une augmentation de budget …!!!
Morbleu ! …Quelle horreur, la guerre, Barbara ! … Où on va là ? Où on va …..
Que nos grands artistes de l’écrit, que nos grands comédiens, que nos chers politiciens, élus, ministres, aillent s’enturluter le petit garçonnet local en saison dans des ryads proprets sous le regard complice d’une police locale aux ordres, cela ne me choque pas.
On pardonne tout aux gens de talent…
Par contre, l’Armée … garante de la Loi ! de l’Ordre ! de la Sécurité ! de l’Intégrité du territoire ! des Valeurs Universelles càd occidentales ! de la consommation de Kronemburg ! … je suis stupéfait. Niqquer des petits nègres !…. Jésus ! Marie ! Joseph ! François !…
Et j’ai, ce matin, comme diraient nos Morand et Chardonne, …… le dégoût des autres !
Les militaires du Maréchal Le Drian exagèrent à demander un effort budgétaire à la Nation en déficit chronique, si c’est pour offrir des colifichets, boucles d’oreilles, verroteries diverses, petits pains au lait d’ânesse, à des petits pervers centrafricains prêts à tout pour survivre !
Rendez nous notre argent !
SCOOP
Un témoignage émouvant, une chanson écrite par un petit nègre débrouillard faisant référence aux horreurs de la guerre, un document à verser au dossier, retrouvé dans ses poches de petit écolier bien nourri mais traumatisé (Document exclusif RdL)
AFRICA SONG
Le rire du sergent,
La folle du régiment,
La préférée du Capitaine des Dragons,
Le rire du sergent,
Un matin de printemps,
M’a fait comprendre comment gagner du pognon
En lui faisant la cour,
En turlutant simplement
Sa jolie tige d’amour.
Le rire du sergent,
La fleur du régiment,
Avait un cœur de troubadour.
Depuis ce temps-là ,
Je n’sais pas pourquoi,
Il y a toujours un sergent pour causer avec moi.
Ma foi, tout ceci sent la grosse manipulation pourrie, anti-française !… Qui est derrière ?
(…euh, non ! Réflexion faite, je retire cette dernière question …)
« A travers son objectif, Annemarie Schwarzenbach nous révèle le vrai lointain : elle-même. » (extrait du lien photos)
…. ça, c’est de la belle réflexion : du lourd !…dingue.
La laïcité bien comprise ? Raser toutes les églises, toutes les synagogues, toutes les mosquées et interdire tous les livres saints.
Marre du divin ! …
Marre du calcul différentiel sur la longueur des jupes, la taille des croix, la surface des kippas !
merci d’attendre votre tour au nombre de commentaires
Benito JC demain à Paris aux côtés de la Marine ou du patriarche friqué ?
La jupe, éternel problème
Madame Merle : « Je sais qu’une grande part de ma personnalité tient aux robes que je choisis de porter ».
Isabel : « Je ne suis pas d’accord avec vous, je pense exactement le contraire. Rien de ce qui m’appartient ne donne ma mesure ; au contraire, tout est limite et barrière parfaitement arbitraires. Les vêtements que je choisis de porter, comme vous dîtes, ne disent pas qui je suis et je bénis le Ciel qu’il en soit ainsi… Je n’ai pas envie que l’on me juge à cette aune. Mes robes peuvent exprimer le moi de la couturière, pas le mien. Pour commencer, je ne les porte pas en vertu d’un choix personnel, mais parce qu’elles me sont imposées par la société »
(The Portrait of a Lady)
Une vanité démesuré vs une vie minable passée en se rongeant le foie, on ne peut que compatir car il arrive à avoir tort même lorsqu’il a raison, le pauvre.
Je fais appel aux bonnes âmes compatissantes (y’en a-t-il ?) de ce blog.
Il s’agit des tweets offerts en obèles.
Deux d’entre eux font état d’un mouvement « contre Je suis Charlie » par des écrivains américains, à propos d’un certain PEN (? Rapport avec Le Pen ?)
Parmi les noms cités, celui de Joyce Carol Oates, que je tiens pour l’écrivaine-phénoménale-hallucinée la plus « Cervantésienne » de notre temps.
Je voudrais bien comprendre la polémique, d’autant que, sans doute cas fort unique par ici mais ça j’ai l’habitude, je suis « un tout petit peu plus Charlie » que les autres, en tout cas farouchement Charlie.
Oui mais voilà CE N’EST PAS TRADUIT et je n’y comprends que pouic.
Allez, un bon geste : quelqu’un, pour résumer l’affaire ?
J’ai beau avoir crucifié ce pauvre Alba, j’espérais tout de même qu’il ressusciterait au troisième jour.
Ponce-Chaloux.
chez Popaul, bouguereau plus cool mais toujours aussi abscons, Benito JC aboie toujours mais sans résultat
Ne pas être Charlie et surtout ne pas participer de cette forme de critique qui rappelle la vulgarité et la négligence intellectuelle d’un JC, est un droit.
Bon, « jamais personne ne répond », mais cependant, j’insiste : notre hôte semble estimer que les arguments des anti-Charlie américains sont « affligeants » : mais en quoi ?
On a parfaitement le droit de ne pas adhérer à un slogan, qui reste limité dans son message même. Mais ce slogan a été conçu sur le modèle d’autres, plus anciens (Cohn-Bendit, Kennedy…) et répondait au besoin d’affirmation immédiate de solidarité et d’appartenance. Les anti-Charlie visent quoi, exactement ? La forme, ou le fonds ? Le gobelet, ou le breuvage ?
Ann O’Neam dit: 30 avril 2015 à 9 h 51 min
Oui mais voilà CE N’EST PAS TRADUIT et je n’y comprends que pouic.
Clopine, vous vous foutez du monde.
Apprendre progressivement à lire l’anglais (je ne dis pas le parler) est aujourd’hui à la portée de n’importe qui, avec un peu d’effort.
A l’évidence, le manque d’intelligence, de perspicacité, de courtoisie, du message de 10:08 signé de notre cher renato témoigne d’une certitude éclatante : il s’agit d’un usurpateur stupide, vulgaire, et discourtois de notre cher ami renato…
Oates est ambigue: se décide à signer la fameuse lettre mais soutient le PEN même si pas d’accord toujours avec décisions d’accorder un prix.
“Important to support PEN even if one does not always agree with individual awards. »
Bab el Oueda, d’abord, je ne suis pas « tout le monde », et puis, tout de même, l’effort que je vous demande au nom de ma paresse n’est pas si grand, non ? Me résumer en quelques phrases l’affaire ?
(bien sûr que je peux, en ânnonnant péniblement, me tailler un chemin dans un texte en anglais. Mais il faut m’imaginer bûcheronne ahanante, dans ce cas, et surtout sujette à tous les contresens, chausses-trappes et autres pièges. Si mon anglais est suffisant pour rédiger un message, renseigner un touriste égaré, me balader en Cornouailles et comprendre les paroles du God save the queen, je crains bien n’être définitivement pas capable de traduire les articles « pointus » mis en ligne.)
Mes amis je les choisis!
bien sûr que je peux, en ânnonnant péniblement, me tailler un chemin dans un texte en anglais. Mais il faut m’imaginer bûcheronne ahanante, dans ce cas, et surtout sujette à tous les contresens, chausses-trappes et autres pièges.
N’écoutez que Jean-Paul II:
« N’ayez pas peur »
Alala !
Clopineles, estions et les réponses.
Avec des « à propos d’un certain PEN (? Rapport avec Le Pen ?) », non mais !
Une telle incompréhension de ce qu’elle lit .. laisse sans voix.
Le PEN club, tête de linotte !
Bon, j’abandonne. C’est dommage, car si vous aviez joué le jeu, j’aurais pu vous en remercier sincèrement : or, commencer une journée en disant « merci », c’est un peu comme ouvrir les volets d’une fenêtre donnant sur un jardin.
Tant pis : je m’en retourne cultiver le mien.
Usurpateur de 10:33 ! Basta !
On voit bien, par la pauvreté de votre langage, le manque d’humour, l’absence de la joyeuse sérénité culturelle de notre cher renato, que vous ne pouvez PAS être notre ami renato !
Mes amis je les choisis!
Nous aussi, grosse merde infatuée.
Benito JC n’a rien compris : renato ne veut pas être votre ami, personne ne veut être l’ami de Benito JC, personne
Hélas! pauvre JC!
au nom de ma paresse
Ce serait plutôt au nom de votre insondable sottise boursouflée, Clopine, que personne n’a envie de vous aider.
Malgré tout, vos bourdes sont à ce point énormes qu’on finit parfois, par souci .. disons esthétique, par faire quelques retouches ..
Mais c’est votre droit, Dario Moreno!
Morand, Chardonne, Le Corbusier , les bons fascistes français
Dario Moreno était drôle, très drôle, Benito JC pas du tout du tout
Renato est l’ami de tout le monde : cessez ce renato bashing !
Tout le monde aime renato.
N’écoutez que Jean-Paul II:
« N’ayez pas peur »
Il y a aussi le sapere aude mais il est vrai qu’on a envie de le réserver pour des têtes bien faites ..
En gros:
« Il y a une différence essentielle entre soutenir résolument une expression qui viole l’acceptable, et récompenser avec enthousiasme cette expression…
Aux yeux d’une partie de la population française qui est déjà marginalisée, sur la défensive et victimisée, une population qui est marquée par l’héritage des diverses entreprises coloniales françaises et qui contient un important pourcentage de musulmans pieux, les caricatures du prophète par Charlie doivent être ressenties comme visant à une plus grande humiliation et une plus grande souffrance »
Ces écrivains n’ont qu’une idée de la situation européenne, sur laquelle ils projettent des conceptions issues de l’histoire politique américaine.
Et la réponse de Rushdie est dit l’essentiel.
Le Corbusier
A propos de fasciste, intéressante émission de Frédéric Taddéi hier soir sur Europe 1.
( Après la longue grève à France inter, le sevrage s’ est opéré en ce qui me concerne.)
Fini les journalistes à la solde du pouvoir politique en place.
On supporte même les pubs, y’ a qu’ à voir.
« … cessez ce renato bashing! »
Pas besoin de ça, si le bashing peut aider quelqu’un à vivre…
C’est la mort dans l’âme que je vous quitte, définitivement !
Il y a trop de gens ici qui me sont si supérieur : j’en rougis et j’ai honte de ne pas aider Clopine de Mouche, qui souffre d’un manque manifeste de culture anglophone…
A demain, les petits copains !
À propos de la photo du Mur des noms à Prague: sur les murs de la synagogue Pinkas de Prague sont inscrits les noms de 77 297 Juifs de Bohème et de Moravie, victimes de la barbarie nazie.
http://www.jewishmuseum.cz/en/info/visit/
« En 1905, il y avait 10.000 musulmans. Aujourd’hui (…), il y en aurait autour de 5.000.000, on voit bien qu’il y a des difficultés, qu’on n’a pas trouvé la bonne relation entre la République et la religion musulmane. Pour que la religion musulmane puisse vivre en harmonie dans la République, il faut qu’elle se conforme aux lois, aux règles de la République. La religion musulmane ne doit pas imposer ses règles à la République comme n’importe quelle autre d’ailleurs » (Eric CIOTTI)
Entre Allah le Très Miséricordieux, et François le Très Ephémère, un bon musulman saura choisir à qui obeir.
quand le PQ de Benito JC écrit : je vous quitte définitivement, puisse-t-il le faire vraiment et ne plus revenir aboyer ici
« ressenties comme visant à une plus grande humiliation et une plus grande souffrance »
À un humilié qui geint, il faut foutre une claque et dire ce que de Gaulle disait à Bideau quand ses pieds devenaient froids:
Redressez-vous, Bideau!
Mais qui sont ces « j’ai gniards » ? On ne le saura pas…
Plutôt que de nous intéresser à ces échanges au badminton entre ces ploucs narcissiques, JC, Renato, bab oueda, M OU MME, et autre O’Neam décérébrée … posons nous la question du choix de certains, comme Morand et Chardonne, de se placer du côté fasciste. Pourquoi l’ont ils fait ? Et tentons d’apporter une réponse !
Parce que si vous êtes intelligent, vous êtes fasciste : c’est une évidence !
« … cessez ce renato bashing! »
Pas besoin de ça (renato)
……………
La banane vient de glisser sur sa peau.
« la banane… »
Lire tout, éventuellement… c’est vrai qu’un mufle flambé peut rencontrer des difficultés en ce sens.
« Joyce Carol Oates, Junot Diaz,Lorrie Moore et des dizaines d’autres ont rejoint les écrivains américains anti-Charlie »
ils sont jaloux
à l’évidence, le PQ de Benito JC ne connait pas la signification du mot « définitivement » dont je donne quelques synonymes : irrévocablement, pour toujours, à jamais, irrémédiablement… ce cuistre est anal-pha-bête, c’est tout
On devrait demander au ministre des transports s’il n’y aurait pas quelque part un poste de garde-barrière pour Vallaud-Belkacem.
oui Chaloux, celui laissé vacant par la Yourcenar
Chaloux dit: 30 avril 2015 à 14 h 28 min
On devrait demander au ministre des transports s’il n’y aurait pas quelque part un poste de garde-barrière pour Vallaud-Belkacem.
On a Canfranc, mais c’est en Espagne, il faudrait taper plus haut comme ministre…
« Je vous confirme qu’il y aura le même nombre d’heures qu’aujourd’hui, avec des heures pour l’étude de la culture et de la civilisation et des heures pour l’étude de la langue. Donc les élèves n’y perdent rien. »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/04/29/le-latin-et-le-grec-vont-ils-vraiment-disparaitre-du-college_4624442_4355770.html#mHXCQmu9dFRo6JTl.99
Emmanuel Todd s’exprime. Comme souvent, le meilleur observateur de notre société.
bab el-oueda dit: 30 avril 2015 à 10 h 25 min
Apprendre progressivement à lire l’anglais
Pour les logiciels c’est embêtant maintenant ils le mettent en français on comprend plus rien du tout !
Le mieux c’est le pilote de la souris… A Longchamp ! Toque verte casaque mauve… Mieux que la course de Вронски…
des gens qui n’avaient pas d’enfants, on ne disait pas seulement qu’ils étaient des égoistes:on les disait criminels , assassins
Ainsi donc nos braves soldats auraient forcé des garçonnets africains à les fellationner et/ou les auraient sodomisés, non pas avec quelque objet idoine mais avec leur membre viril. S’étaient-ils préalablement capotés? Je sais bien que l’amitié virile qui règne au sein de la soldatesque va souvent jusqu’à des jeux nettement génitaux sur lesquels il est d’usage de fermer les yeux, mais tripoter des enfançons… Il n’y a qu’une solution: tous les matins, circle jerk obligatoire, le soir aussi pour les plus affamés. Ces branlettes collectives nous éviteront bien des embarras.
Autant la remarque du refus de la poignee de main du pere a sa place dans le debat, autant le » comprendre Morand c est aussi accepter que ne pas aimer la terre entiere, ce n est pas necessairement avoir le degout des autres » illustre la tendance Garou Garou de Vie quand elle s essaie a la nuance. Elle reste coincee entre deux murs. Pas assez loin, assez fin ni vif pour doubler le cap.
Incompatibilite avec cette dinde docte : entre ne pas aimer la terre entiere et en essentialiser une partie de maniere aussi vile, abjecte, il y a un pan de l epaisseur d un contrefort dans lequel elle s empetre allegrement.
Elle voit de la moraline degoulinante chez les autres quant aux reserves sur Morand sans saisir qu on peut trouver, en depit du pamphlet nauseabond et autres joyeusetes, une autre envergure a un Celine qu a un Paul Morand, « styliste impeccable » a l occasion, oui, et alors?,mais dont la production entre remugle pourrissant, papotages mondains cruels et bons mots n a pas de quoi non plus revolutionner.
Sinon concernant vos bons voeux envers le Nepal, dont je suis rentre et ou j etais parti, non pas comme volontaire mais parce qu on m y a appele : peut-etre atteindra t on la barre des 6000 morts. Ma petite amie, qui est chirurgien, a ampute pas mal de jambes et de bras. Merci pour eux. Ces petits bouseux nepalais ne seront meme pas foutus de decouvrir Chardonne ni Morand! Une immense perte, mais sans mains, difficile de tourner des pages. Merdre, ils peuvent pas se payer des liseuses a commande vocale, comme tout le monde?
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