Mourir… dormir, dormir ! Rêver peut-être !
Nous aura-t-il fait rêver, justement, ce passage de Shakespeare… (Hamlet, III, 1). Il y a plusieurs années, Katharina Hagena en avait fait le fil rouge d’un beau roman L’Envol du héron ((Vom Schlafen und Verschwinden, traduit de l’allemand par Corinna Gepner, Editions Anne Carrière). Etait-ce le roman de la disparition ou celui du sommeil ? A moins que ce ne fut l’un dans l’autre, ce qui disparaît de nous lorsque nous nous abandonnons. L’un de ses trois personnages principaux était une somnologue, qui allait d’un congrès l’autre. Entre collègues, ils s’y projetaient des films de patients, généralement des maires ou des pasteurs, espionnés dans leur sommeil par des caméras infrarouges. Pline disait que, pour lutter contre l’impossibilité de fermer les yeux à la nuit tombée, il fallait coudre un bec de héron dans une peau d’âne et se l’attacher au front. Autres moyens : un doigt coupé et posé sur la table de chevet. On dit aussi qu’il suffit de poser une aigremoine sur la tête du dormeur à son insu et que cela suffit à l’empêcher de se réveiller. La bile d’anguille passe également pour être un bon remède. On fait, paraît-il, de beaux rêves avec du sang de la huppe recueilli dans un tissu et appliqué sur les tempes. Il s’avère même qu’une femme endormie dit tout si l’on place du lait de louve sur son cou, voire des testicules de renard sur son cœur. Ceux qui jugeaient ces procédés un peu complexes avaient le droit de le remplacer par un autre : la corne gauche d’une chèvre, ou le crâne d’un loup, glissés sous l’oreiller.
Incroyable le nombre de gens qui rusent avec eux-mêmes en se défilant devant le sommeil. On y rêve de dormir dans l’espoir insensé d’échapper aux souffrances du cœur. L’insomniaque, c’est celui qui attend. Le bout de la nuit, le début du jour, le sommeil, la tombée de la nuit… Il guette le moment où l’inaccessible l’emportera. Reste à savoir lequel est le gardien de l’autre, du sommeil et du rêve. Le titre, c’est la seule réserve qui demeure à l’issue de la lecture du nouveau roman de Tahar Ben Jelloun L’Insomnie (259 pages, 20 euros, Gallimard). Car si la chose est bien centrale, le narrateur est campé de manière si épatante que l’insomniaque l’emporte vite sur l’insomnie. L’(anti)héros est un scénariste casablancais, à l’imaginaire saturé de films, hanté, torturé, parasité par l’impossibilité de s’accorder plus qu’une misérable poignée d’heures de sommeil.
« Dans mon lit, je suis comme un poisson dans une friteuse. Je vais d’un angle à l’autre ».
Ses journées sont alors gâchées par une migraine tenace, l’esprit comme en travaux, du tapage plein le cerveau. La perspective de ses nuits est un cauchemar par anticipation. Jusqu’à ce qu’il trouve le moyen d’en sortir : la mort des autres. Du moins la fin accélérée de sales types qui ne méritaient pas mieux quand ce n’est celle de femmes encombrantes qui l’avaient bien cherché. A ses yeux, ce ne sont pas vraiment des meurtres, pas tout à fait des assassinats, plutôt une bonne action au service de la société : si elle savait, nul doute qu’elle lui saurait gré d’en avoir débarrassé le plancher. Juste un coup de pouce à la mort, à peine. Il ne se sent pas l’âme d’un diabolique à la Clouzot. Pas le moindre remords, nul cas de conscience. D’autant que souvent, la rumeur évoque « une belle mort », que demander de plus.
A chaque fois qu’il hâte l’issue d’une agonie, cela lui accorde des « points-sommeil » : plus la victime était importante, plus élevé est leur nombre, plus consistant son crédit dans sa bourse imaginaire. De quoi lui garantir de trois mois à un an de sommeil selon les cas. Il n’a guère à les chercher. Et quand les occasions ne se présentent pas d’elles-mêmes, de manière parfois un peu artificielle, comme cela finit par se savoir dans son premier cercle, on fait appel à son expertise pour en finir avec un contemporain qui ne sera guère regretté. Le remède est certes spécial mais son efficacité est éprouvée, bien plus profondément et durablement que les somnifères et les calmants, ou le kif dont il ne supporte pas la fumée. Même Hugo Mercier, ce start upper polytechnicien de 26 ans à qui Libération a récemment consacré une page pour avoir conçu un bandeau connecté qui assomme le mal en question sans le recours à la chimie, même lui ne peut rien pour le narrateur de L’Insomnie, double de l’auteur qui parle en connaissance de cause. Films et livres seraient également impuissants à le guérir, certains d’entre eux (Le Festin nu et La Disparition) ayant le pouvoir de lui chauffer les nerfs, et il ne peut passer sa vie à relire indéfiniment le seul roman qui ait sur lui un effet hautement soporifique (Les Gommes). Même quand il lui arrive de consulter, il est envahi d’images ; ainsi lorsqu’un docteur Knock lui parle de « vitiligo », il croit entendre « vertigo » et l’angoisse le saisit.
Ses victimes ? D’abord sa mère dont la fin légèrement encouragée lui a fourni au fond le remède contre l’insomnie, et sa demi-sœur percluse de maladies : celles-là, il a vraiment le sentiment de leur avoir rendu service. Puis sa propre ex-femme, une ensorcelée coupable d’avoir régulièrement disparu sans rendre de comptes, la moindre des choses dès lors que « l’insomnie a ruiné ma relation conjugale », mais cela resta à l’état de projet. Un Français très Vieille France qui passait comme tant d’autres sa retraite au Maroc et râlait sur un lit de l’hôpital Mohamed V. Un instituteur pédophile dit « le Pointeur » qui avait fait des ravages à Tanger et Tétouan mais demeurait intouchable car protégé par sa qualité d’indicateur de police. Deux frères âgés également frappés d’Alzheimer. Un certain Yazid qui fut tortionnaire sous Hassan II et se mourrait tout doucement, trop doucement, d’un cancer généralisé. Une sorcière qui produisait du mauvais œil en quantité industrielle. Le banquier le plus riche du pays…
Ses armes ? D’abord le coussin fortement appuyé sur le visage. Puis des tuyaux opportunément débranchés dans des lits d’hôpitaux. Un anesthésiant, du Tracrium dit communément « curare »….
Il est à la recherche du crime parfait mais ne peut déléguer comme le héros de Hitchkock. Lorsqu’il lui arrive de se perdre dans ses songes, il se voit tel Edward G. Robinson dans l’ultime séquence de Soylent Green (Soleil vert au lieu de Plancton vert), allongé au foyer face à des images (un paysage fleuri, des arbres, des animaux en liberté) de la nature du monde d’avant aux accents du premier mouvement de la « Pastorale », la sixième symphonie de Beethoven. C’est un conte des Mille et une nuits, mais inversé. Le sultan était insomniaque et Shéhérazade lui racontait des histoires pour ne pas se faire tuer. L’Insomnie est la preuve si besoin est que Ben Jelloun reste un conteur en toutes circonstances qu’il s’avance en romancier, nouvelliste ou poète. Mais il a manifestement éprouvé une telle jouissance à raconter cette histoire à ne pas dormir debout, avec un humour noir irrésistible, que son plaisir est contagieux. D’autant qu’il en profite en chemin pour régler quelques comptes avec le Maroc et les Marocains, leurs travers, leurs contradictions, leurs insuffisances, leurs encombrants hôtes de marque – mais sans aller jusqu’à les tuer tous… De tous les films noirs qui le constituent, il en est un de Howard Hawks qui domine, tiré d’un scénario de Faulkner, Chandler & co. Son titre ? The Big Sleep ou le Grand sommeil, mais qu’alliez-vous imaginer….
De tous les écrivains, les poètes sont probablement ceux qui dorment le moins, ceux dont le sommeil est non le plus léger mais le plus agité, peuplé d’ombres et de fantômes. En me laissant envelopper par la lecture de Marina Tsvétaïéva, mourir à Elabouga (195 pages, 15,50 euros, Mercure de France), je n’en doutais pas un instant eu égard à son tempérament, sa personnalité. Ce n’est pas qu’une question de biographie mais de flamme intérieure. La poétesse Vénus Khoury-Ghata rappelle avec ce texte qu’elle fut aussi et demeure encore une romancière des plus sensibles. Son évocation de la personne et de l’œuvre de son héroïne est des plus singulières en ce qu’elle ne se refuse rien. L’exactitude n’est pas son souci, aussi ne lui cherchera-t-on pas noise, par exemple, sur le lieu de Boris Pasternak (moins un « appartement » qu’une datcha) là où, près de Moscou, la nomenklatura logeait ses grands artistes et écrivains à Peredelkino (moins une « résidence » qu’un village). Seule la vérité importe à celle qui ne veut retenir que les traces à l’exclusion des preuves, puisque seules les traces font rêver – des vers de René Char le disent quelque part dans son œuvre et Vénus Khoury-Ghata me pardonnera de préférer pour les citations des poèmes de Marina Tsvétaïeva (1892-1941) la traduction de Véronique Lossky (éditions des Syrtes) à celles de René Char et Tina Jolas.
Tout son portrait de Tsvetaïéva est de cette encre mouvante. Là où d’autres se perdraient en longues et méticuleuses descriptions, il lui suffit de quelques mots pour ressusciter un salon parisien de 1925 où la Tsvétaïeva, ni russe blanche ni bolchevique, s’était égarée pour un thé « entre des femmes attifées de robes désuètes et de bijoux somptueux » et, avec une infinie délicatesse, tout est dit. Il y faut une certaine disposition d’âme. Encore que, si elle préférait tout de même les Blancs aux Rouges, et même si elle se disait dégagée de toute action politique, elle ne haïssait pas les communistes mais le communisme pour sa capacité à déshumaniser l’homme. Une femme qui, du fond de ses exils, de ses misères, de ses solitudes, trouvait tout de même dans chaque mensonge au moins un rayon à sauver, celui qui est tendu vers la vérité.
Le roman est construit sur la technique de l’interlocuteur distant (« Tu… »), familiarité que s’autorisent mieux deux poètes (l’auteure ne dit jamais « poétesse ») entre elles. Tant et si bien que pour nous qui les lisons, il n’y a plus que Vénus et Marina, tous patronymes congédiés. Tutoiement ou vouvoiement, le procédé n’est pas nouveau, très réussi dans La Modification (1957) de Michel Butor, Un Homme qui dort (1967) de Georges Perec ou Si par une nuit d’hiver (1979) d’Italo Calvino dans lesquels l’auteur interpelle le lecteur, mais plus lassant dans L’Autre qu’on adorait (2016) de Catherine Cusset où « l’autre » est interpellé. Vénus Khoury-Ghata a su trouver la bonne distance et le ton adéquats, ce qui n’allait pas de soi tant l’exercice est délicat avec une telle partition ; au-delà, plus long, l’effet s’userait et lasserait le lecteur ; en-deçà, une réelle et poignante empathie s’en dégage.
Il n’est pas de plus lumineuse illustration de ce qu’un roman peut apporter à notre intelligence de la-vie-et-l’œuvre d’un écrivain. Des choses et des sensations que jamais un biographe ne pourra donner. Un peu comme un Eric Vuillard par rapport aux historiens. En sus des principaux faits souvent connus, des sensations, des couleurs, des odeurs, des sentiments, des émotions et son lot de tristesse. Que nul ne s’avise d’y chercher des « infos », il n’y trouvera que des vibrations, ce qui est d’une toute autre richesse. Les extraits de ses lettres sont d’une intensité bouleversante, comme l’est la litanie des « Si… » égrenés dans l’inventaire de tout ce qui aurait pu faire obstacle à son suicide si seulement… Rien n’est oublié à commencer par ce qui relève de la névrose même de Marina : le poison de l’indécision si diffus et si puissant qu’il lui ôte toute son énergie. Vraiment pas faite pour le bonheur, ou du moins pas pour cette vie-là, tant elle est esseulée, amère, sauvage, arrogante, mal aimée par une kyrielle d’amants, détruite par les séparations, effrayante aux yeux de ses amis même, incarcérée dans son exigence d’absolu auquel chacun de ses mots aspirait, dévastée à en perdre le sommeil.
« Prête à tout pour être aimée, même à traduire le diable si on te le demandait » mais comment aimer quand on est à ce point inadaptée à la vie ? (…)« Tu préférais dialoguer avec ta table de travail, son bois usé et ton visage sillonnés des mêmes fissures, des mêmes rides ».
Ce livre dévoile comment Tsvetaeva savait trouver les mots, à la fois les plus denses et les plus coupants, pour dire le cercle solidaire de notre fidélité à nos morts ; elle nous fait ressentir comme nulle autre le cimetière qui est en nous, où nos morts sont ensevelis dans une seule et même tombe fraternelle. Les poèmes tombent de sa plume, elle qui souffre d’être reconnue pour sa prose mais non pour sa poésie ; elle se sépare de sa fille car il n’y a pas d’autre solution tant elle se sent nocive pour elle. On retrouve les ombres familières de Pasternak-son-frère-de-feu et de Rilke-la-poésie-personnifiée, de l’éditeur Vichniak et celle moins connue de la poète Sophia Parnok qui l’a foulée aux pieds en public, la rendait folle de jalousie et « qui te prend, te rejette, car incapable de désirer une femme qui a enfanté (… parce que) tu as accouché, allaité, devenue un mammifère au lieu d’être une déesse ».
Son cortège de misères ne lui fut supportable que parce qu’il était irradié, par une langue splendide fût-ce au plus profond du dénuement. Reste à savoir la part de la machine totalitaire et celle de son projet de vie dans un si sombre fatum. Imaginez une femme essentiellement frondeuse au tempérament exalté (« »hystérique » » jugera Gorki qui avait décrété sa poésie « »maniérée et impudique » »), persuadée que seule l’exaltation donne une vision correcte des choses. Qui décèle tout de suite en chaque chose son secret. Qui ne vit que pour l’écriture et ne calcule pas. Qui respire entre ses cahiers et ses dettes. Qui paie très cher son indépendance et son refus de la haine politique imposée par le léninisme et le stalinisme. Qui fut partout une étrangère. Qui n’a pas une vision du monde mais un sensation du monde. Qui est intimement convaincue que tout n’est rien, l’écriture exceptée.
Elle le reconnaît elle-même dans son effrayante lucidité, trop a toujours la mesure de son monde intérieur, ou plutôt de son absence de mesure. Sa devise : « »Ne daigne » ». Quoi ? S’abaisser. Tsvetan Todorov, à qui Vénus dédie son roman, qualifiait son état d’esprit d' »incandescent ». C’est exactement cela, jusqu’à ce que, aux prises avec la famine pendant la guerre, elle qui a déjà perdu sa fille de trois ans morte de faim, qui a connu l’hostilité et l’indifférence dans l’exil, qui a vu son autre fille être déportée dans un camp, elle ne voit d’autre issue que la mort volontaire. Elle se pend. Mais même l’accomplissement de son dernier voeu sera refusé à celle qui rêvait que, sur sa pierre tombale, vierge de tout signe, on grave : »Ci-gît la Sténographe de la Vie« . Comme elle l’annonçait dans un vers, son corps une fois enseveli, elle n’en cesserait pas moins de vivre à travers ses poèmes. « Et ma cendre sera plus chaude que leur vie… ». On ne sait même pas où repose son corps dans le cimetière d’Elabouga. De tous les personnages qui passent et repassent dans ce ruban de mélancolie, Boris Pasternak, l’homme et le poète avec lequel elle coïncidait plus qu’avec tout autre, est celui qui nous demeure le plus proche une fois la lecture achevée. Peut-être parce que, comme il est dit à la page 138, c’est son visage qui s’imposait à Marina Tsvetaïeva à la moindre insomnie…
(« Edward G. Robinson dans « Soylent Green » ; « Humphrey Bogart et Lauren Bacall dans The Big Sleep » ; « Marina Tsvetaïeva » photos D.R.)
904 Réponses pour Mourir… dormir, dormir ! Rêver peut-être !
« personne ne me mérite ici. »
Ce sera pareil ailleurs, D. !
Du point de vue des régimes, l’Allemagne a connu trois Reich :
Le Saint-Empire romain germanique (débutant en 962!) a été appelé a posteriori l’« Ancien Reich » (Altes Reich), et ensuite le « Premier Reich » (Erstes Reich).L’Empire allemand de 1871–1919 a été appelé le « Deuxième Reich » (Zweites Reich).Le régime nazi a été appelé le « Troisième Reich » (Drittes Reich).
et donc Merkel c’est le 4e, d’après votre prose ? Quittons, quittons, l’en restera toujours une trace… « Grossir le ciel » serait plus juste que de l’élargir (pardon pour F. Bouysse, mais le résultat est le même). Pas vu notre inernaute MB en chèfe dans la Rue, hier. Avait pas précisé laquelle, faut dire. Bon, cette fois, hein, j’m’en aille…
« Je quitte définitivement ce blog à présent, tout simplement parce que personne ne me mérite ici »
Personne n’a jamais mérité la peste, le choléra, le cancer ou toute autre maladie dégluasse, mais lorsque ça nous arrive on fait avec.
Salut à tous
Victor Hugo viens d’être nommé lider du Gouvernement à la Chambre des Députés du Brésil
taper victor hugo deputado federal
bonne journée
Ce n’est pas gentil ce que vous écrivez-là, renato.
Ce n’est pas possible, Claudio. Il est mort depuis bien longtemps déjà. Vous racontez des histoires pour vous rendre intéressant.
Plutôt que d’écrire de telles énormités, Claudio ferait mieux de s’inscrire dans une école de Samba.
Bon je m’en vais.
Victor Hugo, brésilien et basané, en images, sa vie, son oeuvre !
https://www.youtube.com/watch?v=0EhKX-2W86w
Emballages :
À chaque fois que j’ai raison les gens ne veulent pas l’admettre. Et c’est tout le temps pareil. Quelle mauvaise foi.
« Je quitte définitivement ce blog » comprendre: « J’y reste définitivement comme une moule sur mon rocher »
Cesse donc de revenir tout le temps, D., comment veux-tu que Lavande lance son chronomètre !
« François Bégaudeau a écrit un livre sur la bêtise. Manifestement, c’est autobiographique. »
En tout petit, à la fin de l’article, apprend-t-on pas que Mme Agathe Cagé est (…) ancienne directrice adjointe du cabinet de Najat Vallaud-Belkacem.
On voit l’imposante caution intellectuelle que cela suppose. A moins d’une mémoire -vraiment- défaillante.
Le fameux journaliste et écrivain fait feu de tout bois, de tout pois et même de tout petit pois. Malheureusement, de son côté de la barricade, il ne reste plus un intellectuel sérieux, juste les domestiques, et les chanteurs d’opérette comme BHL. (A ce propos, tous les deux, c’était bien la peine de vous gourmer pendant des années pour en arriver là).
Gageons que Bégaudeau se tamponne copieusement du mépris d’Assouline.
Beau programme de conférences de Carême à Notre-Dame, en mars, avec le Père Guillaume de Menthière. On peut déjà se préparer à jeûner et à élever notre âme vers Dieu, avec des questions théologiques qui sont universelles :
« Guillaume Sarrauste de Menthière, né en 1964 à Poitiers est un prêtre catholique français. Curé de paroisse et chargé de cours à l’école cathédrale de Paris, il est l’auteur d’ouvrages relatifs au catholicisme. »
Gageons qu’Assouline se tamponne copieusement du mépris de Chaloux ?
Victor Hugo, nouvelle œuvre :
« Le misérable ».
Marius a eut tord d’envoyer le Thénardier dans le Nouveau Monde…
Heureusement, il t’a encore toi, Jazzi,- même si un vieux pilier de backroom réformé, ça ne peut pas servir à grand-chose.
Hurkhurkhurk!
D’ailleurs, on peut considérer la chose autrement. C’est que le mépris de Mme Agathe Cagé, ancienne directrice adjointe du cabinet de Najat Vallaud-Belkacem, peut être un grand bienfait!
Ce serait d’ailleurs une œuvre pie que de vendre Le Nouveau Magazine Littéraire, avant sa disparition prochaine -six, huit mois?-, en rouleau.
D, le taux d’emprisonnement progresse également. Ce que je constate est qu’il est quasi impossible de sortir de l’Europe et d’entreprendre les modifications nécessaires à la construction pour faire face au marché chinois que nombreux sont ceux qui en deplorent les conséquences tant il devient envahissant voir dangereux et déloyal quand il profite des technologies par le rachat des brevets via le rachat des groupes en difficultés. A terme XJP et le parti rêvent non seulement d’exporter leur marchandise à tous et de s’imposer comme leader économique, industriel par leur capacité d’innovation et leur puissance commerciale et capitalistique également mais aussi d’imposer un mode sociétal dont on peut remarquer la place qu’il ménage à l’individu en renforçant surveillances , censures, sanctions. Pour les roches et leur teneur, je doute que leur taux de concentration en substances nocives soit égal à celui qui pourrait être rendu possible par infiltration sur le site poubelle. Sinon à quoi seraient utile ces mineurs de tous pays exploités pour certains minerais. Oui le granit est une roche plus radioactive que les autres. 42000tonnes de déchets cyanurés additionnés d’Arsenic, un detail.
Pour le moment l’exploitation des gaz de schiste n’a pas encorecreussi à trouver son accord. Sait on jamais ce que l’avenir nouscresrrvecavec le travail de sape des lobbys. Juste une question l’électorat quoi qu’à y regarder on se demande si l’électorat représente un motif d’inquiétude pour un gouvernement qui traite des questions d’environnement avec, c’est mon opinion, une certaine légèreté si ce n’est à exploiter la question environnementale pour y puiser des fonds dont une partie minoritaire serait affectée à un veritable projet écologique, pendant ce temps pas question de déranger levrette des industries les plus polluantes.
L’immigration chinoise au Canada : logiques spatiales et nouvelles territorialités
La Chine est désormais le premier pays émetteur de migrants vers le Canada. Depuis les années 1990, les personnes de nationalité chinoise représentent près .
Levrette-les règles.
Ce que l’avenir nous réserve. Etc.
Ciao. Je sors.
Essia Boulares sera-t-elle reconnue responsable des dix morts (axphyxiés, brûlés, défenestrés), dont un enfant, et de la trentaine de blessés de l’incendie de la rue Ehrlanger ?
Pourquoi réformé, Chaloux ?
La position en levrette n’est pas plus polluante que celle du missionnaire, Bérénice !
t: 6 février 2019 à 13 h 54 min
c’est le cours de Q?
Dédé radote autant que Delaporte didoudidons. C’est un autre style, mais la lourdeur reste.
Ed, rapidement : je suis le travail de quelques architectes, dont Herzog & de Meuron, depuis longtemps déjà, et je ne pouvais manquer cette œuvre.
La ville hanséatique n’a jamais été à l’avant-garde musicalement, mais maintenant, grâce au deux Bâlois et à Yasuhisa Toyota, elle est devenue une référence.
De Yasuhisa Toyota j’avais déjà entendu le son du Performing arts center Bard College Performing Arts Center (en collaboration avec Frank Gehry) et celui du Danish Radio Concert Hall (en collaboration avec Jean Nouvel). Le rendu sonore ne m’a donc pas déçu, surtout écriture polyphonique très dense de Ligeti.
Impression visuelle.
Vu l’édifice à divers moments de la journée. Le jour la façade en verre courbe crée l’illusion d’un grand cristal où se confondent les reflets de l’eau et du ciel en suscitant des images vaguement vermeeriennes — à un moment vertiges, accélération des battements du cœur, j’ai risqué de tomber. Le soir c’est autre chose, car les reflets — ciel, eau, ville et ses les lumières — formant comme un excavation kooningienne, mais tout ça c’est très subjectif.
Et sur la ville en général, renato, quelles sont vos impressions ?
Ed est la légèreté-même comme chacun aura pu pu le constater. Et elle ne radote JAMAIS, hein les chattounes ? Miaou.
Sleep est un film américain en noir et blanc réalisé par Andy Warhol de 1964 qui consiste en un montage de segments représentant le poète John Giorno dormant. Le film était initialement prévu pour durer huit heures1, soit la durée d’une nuit de sommeil normale, et donne l’illusion d’un plan séquence, alors qu’on peut voir à la projection que certains passages reviennent plusieurs fois. Le montage final dure cinq heures et 21 minutes (321 minutes) lorsque projeté à 16 images par seconde et 4 h 45 projeté à 18 images par seconde1.
images vaguement vermeeriennes — à un moment vertiges, accélération des battements du cœur, j’ai risqué de tomber.
–
pauvre chou…
Oui mais pourquoi heure1 et seconde1?
Tiens, voilà le grand frustré !
À propos de Vermeer, les couleurs de l’illustration de ce billet sont très vermeeriennes.
Jacky Jazzy, Bégaudeau, je vois qui c’est. Mais Chaloux, c’est qui ?
Chaloux, un huissier qui pianote.
with John Giorno, 65, poet, Aids activist, friend and confidant of Warhol and subject of his film, Sleep. Interviews by Catherine Morrison.
http://www.warholstars.org/warhol/warhol1/warhol1b/johngiorno.html
« Dédé radote autant que Delaporte didoudidons. »
Et si ça nous fait plaisir de « radoter » ? C’est notre droit.
Il y a une mauvaise critique, et même un éreintement, dans Libération à propos du film La Favorite. C’est dommage, j’aime bien les films qui se passent au XVIIIe. Bref, cette semaine il n’y a pas grand-chose à voir. Mais je suis sûr que Jacuzzi trouvera chaussure à son pied (son « gai pied » !).
L’article sur Bégaudeau n’est pas très convaincant. Il y a trop de parti pris dedans. Bégaudeau a certes beaucoup de défauts, mais c’est quelqu’un de fort intelligent. J’ai assisté une fois à une de ses conférences, où il nous expliquait qu’il était très proche de la religion, mais qu’il manquait d’humilité pour sauter le pas. Il a écrit tout un livre là-dessus, avec un comparse anglican, qui était également présent. Beaucoup de gens comme Bégaudeau estiment faussement qu’ils ne sont pas croyants, alors qu’en fait, au plus profond d’eux-mêmes, ils le sont déjà. Tel est le cas de Bégaudeau comme celui d’Emmanuel Carrère.
La phrase de Pascal concerne Bégaudeau et beaucoup d’entre nous :
« Console-toi, tu ne me chercherais pas, si tu ne m’avais trouvé »
Et, sinon, Ed, il y aura quoi au programme de votre concert, en septembre ?
NE DAIGNE
La mer blanchit, siècle d’exil, l’air en fureur,
en toi, je parle, le plus ardent, tout ce qui fut,
Marina, je t’appelle, mon frère aussi, ma sœur,
en moi, ta voix chanta, vois-tu, ce qui n’est plus.
Errante, abandonnée, petite sorcière, tu hantes.
Tout, ― tu sacrifiais tout, ― à la poésie,
tantôt glace fracassante et tantôt braise brûlante.
Je n’entends plus ta voix stridente de frénésie.
Reine Akhmatova, est-elle toujours la plus belle ?
Tu parles avec Ossip, Reinecke et Boris,
les anges du Paradis te frôlent de leurs douces ailes.
Sache-le ! Ta parole sur les cimes d’envol nous hisse.
― Tsvétaïéva ? Connais pas… Le pays maudit !
Une femme seulette face à la meute des loups sanglants.
« Inutile », « impossible », ― Marina la bannie !
Debout dans l’incendie. Comme un sorbier vivant.
Sœur d’Antigone, dans le grand désordre des choses,
vampire, pour les uns, hérétique, pour les autres,
âme si vaillante, aimante de la beauté déclose,
ton ultime parole fut peut-être jetée « Contre ! »
un mépris pour un autre qui prend le masque de l’ignorance, tout en tolérant le berger de la bergère. On ne voudrait pas compter les poings…, car tout cela est peut-être de bonne guerre. Pour ma part, je n’ai pas grande estime pour ce que croit incarner f. bégaudeau depuis qu’il a quitté ses classes de banlieue après en avoir fait l’apologie, pouruoi n’y êtr pas resté alors qu’il y faisait du si bon boulot ? C’st ce que ne lui a sans doute pas pardonné la mesquine chargée de mission de mme N V-B… La vraie bonne question de l’internaute inconnu de la rdl est en effet : quid de la survie de ce vénérable magazine littéraire tombé bien bas de son pivot/destal.
Chaloux me fait toujours penser à la Camargue.
« aura pu pu »
Trahi par le clavier, le radoteur hurkhurkhurk
@renato
J’adore votre commentaire. L’Elphi comme on la surnomme ici, est passé en une journée – celle du concert d’inauguration – de honte et source d’énervement au statut de symbole de la ville. Ses vagues sont dans mon dos au moment même où j’écris ces lignes. Elle adopte un apparence différente en fonction des humeurs du ciel (et vous l’avez vous-même remarqué) et nous l’admirons chaque jour depuis notre beau bureau du 7e étage en plein centre. Je vous assure que malgré son caractère innaccessible et élitiste qui ne manque pas d’agacer, nous sommes tous fous d’elle.
Sérotonine
Insomnie,
Rentrée Littéraire ou ordonnance?
et moi, à la Camarde …
Sérotonine + Insomnie…, un bon cocktail pour le mois de février, qui n’est pas vraiment une rentrée littéraire, même s’il faut se coltiner les partielles. Le vrai moment, c’est le joli mois de mai, celui où l’on dort franchement, débarrassé de l’antidépresseur. Les livres deviennent toujours plus beaux, à ce moment-là.
Je n’ai pas envie que Tahar Ben Jelloun, par ce nouveau roman L’Insomnie, cherche à distraire son lecteur. Je n’ai pas envie de lire ce livre. (J’ai écouté ce qu’il en dit sur « France 24 ». Pendant qu’il parlait, les pages de son livre défilaient sur fond d’écran. j’ai donc lu quelques bribes. J’ai lu l’avis des lecteurs sur l’excellent site « Babelio ». Le troisième s’est ennuyé…)
Donc, je garde l’écriture magique de deux de ses romans L’enfant des sables et La nuit sacrée.
Ahmed, né fille, que le père élève comme un garçon pour échapper à ce qu’il vit comme une malédiction : sa femme met au monde des filles, « que » des filles. La mère obéit à son mari.
Et l’enfant accepte de vivre dans un corps double de fille, puis de femme camouflé en celui d’un garçon puis d’un homme. Dans son village il est coutumier de penser que l’homme est supérieur à la femme.
« J’ai vécu dans l’illusion d’un autre corps, avec les habits et les émotions de quelqu’un d’autre. J’ai trompé tout le monde jusqu’au jour où je me suis aperçue que je me trompais moi-même. » (p. 169)
La mort de son père scinde ce premier roman en deux parties. Ahmed prend le prénom de Zahra. Comme c’est un narrateur qui raconte, le personnage Ahmed/Zahra est presque irréel, déchiré entre deux identités, ni un homme, ni une femme.
Dernières paroles du père mourant : «Tu viens de naître. Tu es une femme.» ( que l’on découvre dans La nuit sacrée p. 32).
La nuit sacrée, c’est Zahra qui prend la parole… Les deux romans forment un diptyque. Elle part à la recherche d’elle-même en faisant le chemin à l’envers. Une vieille femme raconte l’histoire… Un conte inoubliable qui critique violemment la conception archaïque de la masculinité et le système patriarcal inégalitaire dans la société arabo-musulmane.
Je rêve d’un entretien entre Tahar Ben Jelloun et Élisabeth Badinter !
christiane;vous me faites penser sans distance à ça
, morte à quelques semaines de vie et dont il est « Re-né(e) Maria », selon les vœux de sa mère, qui l’a nommé, habillé et éduqué en fille jusqu’à l’âge de 7 ans, avant qu’il ne soit précipité deux ans plus tard dans un pensionnat militaire. C’est à Lou Andreas-Salomé, s’efforçant de dénouer l’enchantement, qu’il doit de s’être ensuite appelé Rainer et non René. Il est resté « Maria », ce qui n’est certes pas exceptionnel dans une famille catholique, mais qui n’en est pas insignifiant pour autant.
recherché très vite:RILKE
https://www.cairn.info/revue-le-coq-heron-2011-1-page-33.htm
Non, JJJ, vous n’avez pas bien lu : Bégaudeau n’a jamais fait l’apologie des classes de banlieue. Au contraire : il a copieusement ch…é dessus. Certes, c’était facile, et « instructif », certainement, pour ceux qui croyaient que l’école était toujours ce qu’elle était quand eux-mêmes y étaient… Mais la démagogie d’un Bégaudeau éclatait à chaque page.
Le film (primé) qui en a été tiré a échappé au cynisme de l’auteur du livre, par la grâce du réalisateur et des interprètes, qui ont transcendé ce que le « témoignage » de Bégaudeau pouvait avoir de condescendant. N’empêche qu’ à mes yeux au moins, Bégaudeau n’est qu’un avatar de plus de la « société du spectacle », et son livre-dénonciation reposait surtout sur l’outrance de la bonne opinion qu’il avait de lui-même. (vous pouvez vous reporter aux discussions, ici même, qui ont accompagné la sortie de « entre les murs »).
Sur ce point, notre hôte et moi-même sommes assez d’accord, je crois !!!
Jazzi, 13h54 c’est dû aux fantaisies de l’automatisme, cela dit vous vous avez raison.
Paul Edel dit: 6 février 2019 à 16 h 50 min
Chaloux me fait toujours penser à la Camargue.
Outre que c’est injurieux pour la Camargue, la comparaison laisse perplexe. Est-ce du fait de la platitude, de l’aspect saumâtre, de la sauvagerie des taurillons ou des moustiques ?
Chaloux est un delta qui deverse sa culture dans la MER.
Bien @ 18.53. Je reconnais volontiers avoir été abusé par le film tiré du bouquin de FB que je n’avais pas lu. Merci d’avoir remis les pendules. Ergo, le portrait actuel du bonhomme a l’air conforme avec ce que dit cette critique complaisamment relayée dans le touite. J’avoue que j’irai point m’en faire une opinion par moi-même, j’ai plutôt tendance à vous croire sur ce point. Un sale gosse, péteux et gommeux, donc à baffer ou à démoustiquer, une fois.
Bon il a trop de bras mais avec toutes les nanas qui se baladent a-t-on jamais trop de membres supérieurs?
Alexia Neuhoff. Rends le portable de Clopin ! On t’as reconnue. Et t’as vraiment rien d’autre à faire que de poster sous plusieurs pseudos ?
dans la MER.. ?????
De Bégaudeau je n’ai lu que celui ci
https://books.google.fr/books?id=vYUpDwAAQBAJ&pg=PT4&source=kp_read_button&redir_esc=y
Vu aucun film, qu’est ce qu’il a fait?
Oui 3J comme le Rhône.
De la part de mon pote Andy, pour rester connecté au monde, encore un flic qui essaie de réfléchir par lui-même… De plus en plus, il y a. On a semé du bon boulot sur les boutons d’or, n’empêche. Évidemment, il faudrait qu’il s’éclose 1000 fleurs de cette trempe, mais ça viendra quand les œillères de la rdl tomberont une à une.
https://www.laurent-mucchielli.org/public/Les_Forces_de_securite_fatiguees.pdf
Chaloux est une divinité indienne.
@et alii dit: 6 février 2019 à 18 h 19 min
J’ignorais que la mère de Rilke, avait eu une fille qui n’avait vécu qu’une semaine avant la naissance de son fils. Le prénom et les habits de fille laissent peut-être imaginer que cette mère en deuil a voulu retrouver en lui la petite fille disparue. Lou Andreas Salomé a eu une bonne idée de lui suggérer de remplacer René (re-née) par Rainer.
Pour Tahar Ben Jelloun, dans ce roman: le désir du père d’avoir un fils. Pour La mère de Rilke : le désir de revoir sa fille…
Toutefois, longtemps (jusqu’à la première guerre mondiale), on habillait les jeunes garçons comme les filles, avec une robe ou une barboteuse (solution pratique pour les jeunes enfants ne maîtrisant pas la propreté !). La robe n’était pas un vêtement d’enfant féminin et ceci jusqu’à leur entrée dans la vie publique (scolaire), soit environ six ans. Robes, Godillots, cheveux longs… Pas facile de faire le tri à l’époque !
@haro sur la baudet
Crin blanc, Le cheval sauvage ; grand prix spécial du court métrage à Cannes 1953. Le rêve, quoi ; si Spanghero avait pu aimer l’équitation et le riz de Camargue en voie de disparition
On nous conseille de ne pas lire l’Insomnie. Dont acte. Pour une fois que le post n’a pas trouvé votre enthousiasme, chère ch., on lèverait une coupe. C’est qu’on ne vous reconnait quasi plus 🙂 Santé sans Soupirs !
Quant à « Grossir le ciel », (F. Bouysse) je viens de tomber sur un vrai morceau d’anthologie, quand le fiston ne fait rien pour sauver la garce de mère en train de se pendre à une poutre. Jubilatoire ! Vais en faire un motif de plaidoirie au cours d’éloquence, au cas où il aurait fallu défendre Gus poursuivi pour ‘non assistance à personne en danger’…, hein, sasseur ?
« Rose, ô pure contradiction, volupté de n’être le sommeil de personne sous tant de paupières ».
RILKE
Alexia, je pense à la Camargue car Chaloux est plat, clapote , et vous bouffe avec ses phrases moustiques.
« vous bouffe avec ses phrases moustiques »
C’est vraiment ça, PaulEdel, bravo. Digne de Saint-Simon !
Jean L, le riz camarguais est bon, c’est celui que je consomme mais j’ai un doute, le delta doit être sacrement pollué. Les produits peuvent être désormais bons et pas exempts de substance nocives.
Vu tout un escadron de cigognes. Une centaine.
Peut être plus
« François Bégaudeau a écrit un livre sur la bêtise. Manifestement, c’est autobiographique. »
Prions dieu et tous les saints que Bégaudeau ait droit à un autre traitement, qu’une biographie en une seule phrase, si jamais il en émettait le souhait.
Qu’a-t-il donc fait pour s’attirer les foudres des bourgeois de gôche, les malheureux 20% qui ont voté pour la Pravda en macronie?
C’est bien simple, il les a mis en colère, se sont vus cernés mieux qu’ils n’auraient pensé l’être.
« Qui es-tu ? Qui est « tu » ?
Tu es celui que tout ébranlement des classes populaires inquiète et crispe en tant qu’il menace ta place. Celui que tout ébranlement des classes populaires inquiète et crispe en tant qu’il menace sa place peut sans écart de langage être nommé bourgeois.
« Tu » est un bourgeois.
Tu es un bourgeois. Un bourgeois de gauche si tu y tiens »
Mais François Bégaudeau fait ce qu’il peut avec ce qu’il a: Un petit échantillonnage de son entourage.
Les néo-bourgeois de gôche que constituent l’électorat, le 20%, score de la macronie avaient pourtant fait l’objet d’un profil sociologique. Profil CSP+ et ++, startupers hyper co.n.nectés, profession libérale, jeunes cadres dynamiques, le boulot, l’appart, la bagnole SUV et la nounou. Dans le pire des cas: école de commerce.
Mais surtout et surtout: des carriéristes. Sans aucune responsabilité sociale, autre que leur profit personnel.
Alors je garde un bon souvenir de F. Begaudeau.
Du temps où il lisait « hors les murs », dans la douceur d’un début d’automne, sur une place du village.
Et puis si l’école change, un petit boudin, reste un petit boudin. Et en vieillissant devient un vieux boudin. Et cela fait du bien d’en rire.
Pour la bêtise, se souvenir d’un N° du mag litt’, qui devrait redonner le moral aux macroniens, perclus dans leur jusqu’au boutisme irresponsable.
« Chimie de ta bêtise : tu possèdes, donc tu veux conserver, pour conserver tu fliques ce qui te menace, et tant que tu fliques tu ne penses pas. »
F. Begaudeau
Eh oui.
Ed, je n’ai qu’un seul pseudo, et n’en change pas.
Moi, quand j’ai lu la remarque bégaudienne de notre hôte, j’ai pensé à Charlebois… Invité à une émission de radio en même temps que Claude François, et n’ayant pas remarqué que son micro était resté ouvert, Charlebois a murmuré (mais ce fut parfaitement audible) quand Cloclo a annoncé que son prochain concert allait se passer à Cambrai, pendant le festival de la bêtise : « dramatique coïncidence ! »
Quel humour!
Christiane quel est ce tableau où l’on voit un petit garçon (Paul ?) en robe de fille et avec des cheveux longs et bouclés ? Un Renoir ?
Clopine, dramatique fait toute la difference.
J’ai trouvé c’est bien Renoir :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Madame_Charpentier_et_ses_enfants
Georgette-Berthe (1872-1945) et Paul-Émile-Charles (1875-1895). tous les deux en petites filles
Digne de Saint-Simon lu par Delaporte. C’est à dire tout à fait indigne de Saint-Simon.
La pauvre Clopine est en verve, c’est tout dire.
Bravo, Marie Sasseur, je contresignerais volontiers votre excellent post. Vous êtes une des rares ici à avoir un cerveau.
Quant à Assouline, il a raison, je ne suis rien. Et j’y tiens.
Bonne soirée,
@je ne suis rien
assertion fort présomptueuse ; songez donc à vous recycler et ceux que vos filets charrient avec eux
@Lavande dit: 6 février 2019 à 20 h 42 min
Eh oui, Lavande, quelle mémoire !
« … le fiston ne fait rien pour sauver la garce de mère en train de se pendre à une poutre. »
Sans faire dans la littérature.
Fidel à soi-même. Un que je connaissais, antifasciste pur et dur, aux pieds du lit du père, ancien SS, mourant : « N’espère pas que parce que t’es en train de mourir, moi je te pardonne. »
Héroïque. Premier violon d’un quatuor plutôt connu souffrant de migraine chronique. La femme du violoncelliste doit accoucher d’urgence et lui il la conduit à l’hôpital en manquant la répétition. Le jour après, le premier violon lui dit : « Et tu manques une répétition seulement parce que ta femme accouche ? »
Mon brutal mais plutôt subtil. Biennale de Venise ; le fils de mon prof de composition, à l’époque âgé de 7 ans, fait son caprice car il ne veut pas assister au concert de son père ; naturellement le père l’oblige et le fils : « Lorsque tu seras vieux je t’amènerai à Venise. »
Excusez-moi, renato, mais je n’ai pas compris grand chose et j’imagine ne pas être le seul. Pourriez-vous reformuler en vous appliquant davantage svp ?
Tiens, nonobstant les bonnes intentions le grand frustré est encore ici.
L’expérience-pilote du Brésil. Et les peines s’accumulent. Au Brésil, un Sarkozy par exemple serait déjà sous les verrous – en attendant les autres :
« L’ex-président de gauche du Brésil Luiz Inacio Lula da Silva, incarcéré depuis avril, a été condamné ce mercredi à 12 ans et 11 mois de réclusion pour corruption et blanchiment dans le cadre d’une autre affaire, a annoncé un tribunal. Lula, qui a présidé la plus grande puissance d’Amérique Latine de 2003 à 2010, purge déjà une peine de 12 ans et un mois de prison à Curitiba (sud) pour corruption et blanchiment d’argent. »
L’amica geniale — L’amica seriale
http://www.leparoleelecose.it/?p=34835
Pour les italophones.
D, le premier ne pardonne pas, le second à perdu le sens de la mesure, le troisieme rappelle qu’il est des beautés qui ne nous émeuvent pas.
@Janssen J-J dit: 6 février 2019 à 19 h 40 min
Le billet ? Non. J’ai même relevé une phrase de Passou que j’ai citée, ici, pour son étrangeté. Tahar Ben Jelloun ? J’ai beaucoup aimé les deux romans que je cite mais pas vraiment les extraits que j’ai lu d’Insomnie. Marina Tsvetaieva ? Libre et rebelle. Immense poète. Correspondances de feu. Fin tragique.
On peut lire un extrait magnifique de la postface d’Hélène Henry dans le coin des traducteurs de ce blog pour ce livre : Grands poèmes de Marina Tsvetaeva (édition bilingue, traduit du russe, préfacé et annoté par Véronique Lossky – éditions des Syrtes) du 28/10/2018
http://larepubliquedeslivres.com/le-troisieme-monde-de-marina-tsvetaeva/
dont cette pensée : « Les « grands poèmes » de Tsvetaeva sont tous des « pérégrinations » dans un contre-monde, aussi réel que le monde ordinaire, mais qui le récuse absolument »
Voilà, JJJ, des réactions qui s’éloignent du thème du billet : les dits de l’insomnie.
Je ne suis pas toujours enthousiaste comme vous le supposez. Par exemple je n’ai pas le même avis que Passou sur les romans de M.Houellebecq. Il m’arrive aussi de venir ici pour évoquer des hors-sujets : un livre que je lis ou relis, une toile, des rencontres, une expo.
C’est long ou rien comme dirait D., c’est du bavardage dirait Anna, c’est trop de questions dirait Paul.
Que voulez-vous, JJJ, à 72 ans, on en fait qu’à sa tête !
lus
pierre assouline
mais qui est chaloux ?
Les réponses sont multiples
https://www.vanupied.com/turin/musees-turin/galerie-sabauda-a-turin.html
et
le petit
https://www.marmiton.org
et
1H de Petit Ours Brun – Compilation #3 – YouTube
ceci n’étant que faible aperçu parcellaire de qui est Chaloux.
bégaudeau bégaie à côté : qui c’est ce type ?
Chaloux 21h13, que me vaut cette subite commisération ?
Fillette développant son don :
https://blogfigures.blogspot.com/2019/02/werner-bischof.html
Great reunion ;
Quelques interrogations sur le mariage de Carlos Ghosn avec sa femme Carole. C’est « Si Versailles m’était conté… » Un beau cadeau fait à un Carlos Ghosn habité par la folie des grandeurs. Ou bien le grand amour qu’il portait à sa femme. Des questions sur lesquelles s’interroge Renault, alors que le magnat de l’automobile croupit toujours en prison au Japon, loin des fastes royaux, loin de sa femme bien-aimée… Une fin pas très romantique pour une histoire d’amour sublime, ou présumée telle :
« Renault a découvert que l’établissement public du château de Versailles avait enregistré la location du Grand Trianon – soit une prestation évaluée à 50 000 euros – comme une contrepartie du contrat de mécénat signé entre les deux partenaires le 8 juin 2016, poursuit le quotidien. Or, cette réception en grande pompe pour le mariage de Carlos Ghosn avec sa seconde épouse, Carole, est un événement privé sans aucun lien avec le mécénat de Renault, ajoute le quotidien. »
Y a-t-il encore des romantiques aujourd’hui (à part Carlos Ghosn) ? Pas beaucoup. Gonzague Saint-Bris a cassé sa pipe, dernièrement, mort brutalement et sinistrement dans un vulgaire accident de la route, comme M. Tout-le-monde. Il était sympa, lui, avec son zézaiement branché. Il aurait fini à l’Académie française, à parler de Balzac et d’Alfred de Vigny, récitant de manière tonitruant le poème « Le Lac » ou certaines pièces de Hugo. Avec Gonzague est morte la dernière tentation romantique de notre monde moderne. Cela a fini comme dans un roman de Camus, sec comme un coup de trique.
Carlos Ghosn demandait des livres à lire, dans sa prison. Il est mûre pour un régime de Gonzague Saint-Bris, le dernier romantique. Sa femme, ou ses avocats, vont lui apporter l’oeuvre complète de l’écrivain mort comme Camus. Carlos Ghosn va devenir un autre homme. Un autre homme, une autre chance, comme disait Lelouch, en un romantisme cinématographique déphasé à l’extrême.
C’est vrai qu’on subodore que, par exemple, Carlos Ghosn ne devait pas souvent aller voir des films des frères Dardenne. Il en était resté au cinéma des années stupre, celui des années 70, avec le Fellini de Casanova ou quelques navets hollywoodiens bien saignants. Toute une génération – qui a mal terminé.
Par exemple, l’Affaire Thomas Crown avec Steve McQueen, autre exemple dont on connaît les ressorts depuis que Michel Legrand est mort. Ils avaient filmé cinq heures de bobine, mais c’était tellement aberrant qu’ils n’arrivaient pas à le monter. C’était le chaos, bref c’était raté. Michel Legrand est arrivé et leur a dit : j’écris la musique, et vous montez au fur et à mesure. Le montage est né de la partition de Michel Legrand. C’est lui qui a sauvé ce non-film, – dont on se rend compte aujourd’hui que cela ressemble à du Godard nouvelle vague. Pas de scénario, des plans ineptes, etc. Le désastre. Sauf que c’est tout pour le cinéma, cela finit par tenir, par des moyens non-traditionnels. L’Affaire Thomas Crown est le film le plus avant-gardiste des années 70, un peu par erreur. Steve McQuenn avait accepté le rôle, on se demande pourquoi. Il est très peu crédible dans le rôle. Et le reste à l’avenant. Et pourtant, quand on regarde l’Affaire Thomas Crownj aujourd’hui, on est encore pris par le charme incommensurable qu’il dégage. Ce n’était pas voulu au départ, tel est le paradoxe.
Dans sa prison, je ne crois pas que Carlos Ghosn puisse visionner des films. Mais un film qui lui ferait du bien esq certainement cette Affaire Thomas Crown. Le héros c’est lui : son immoralité, son goût effréné et immoral de l’argent allant jusqu’à l’infraction pénale (le détournement de biens sociaux). Rien n’a changé, depuis les année 70, avec des énergumènes comme ça. L’Affaire Thomas Crown est le film qui va faire rêver Carlos Ghosn. Mais je suis sûr qu’il l’a déjà vu à la TV.
Gonzague Saint-Bris va bien nous manquer pour parler de Balzac, du Lys dans la vallée, par exemple. Heureusement, ici, nous avons l’admirable érudit, passionné de cette littérature, et notamment de la correspondance qu’il connaît à fond, PaulEdel. On ne l’encourage pas souvent à traiter ce sujet, on devrait. C’est là qu’il nous plaît le plus, en tout cas, moi.
Le romantisme des années 80 : Jackie (montre à) Quartz (l’amour dure trois minutes, douche comprise) :
Les Belles Endormies (眠れる美女, Nemureru Bijo?) est un roman de l’écrivain japonais Yasunari Kawabata, paru en 1961.
…
…au bonheur la chance, à ses pirouettes,!…
…
Rose, au jeu des assonances vous auriez ajouter Bégaudeau, c’est de la pipe. Une perche tendue que je m’empresse de saisir.
Renato, sur le même thème, vu il y a longtemps ce tableau . Je n’ai pas pu le voler comme dans l’affaire Thomas Crown aussi ai je conservé le petit format proposé à tous les visiteurs moyennant deux euros:
https://paloma511.skyrock.mobi/photo.html?id_article=2936264997
Christiane, vous devriez commettre un roman. A 72 ans vous êtes vraisemblablement pourvu du materiel nécessaire , de plus ,votre vie autour de votre âge vient caresser étoiles et toiles comme en un repos après , j’imagine, des agitations et des tourments bénéfiques et vous nous les contez. Au lieu de cela, et je sais que vous ne le voyez pas ainsi, vous vous repandez longuement sur ce blog, peut être d’autres ( je ne vous flique pas). Ceci dit , vous troquez votre orgueil ou votre fierté contre je ne sais quoi qui vaut sûrement bien mieux, rarement bouleversée sous le coup des insultes vous revenez oubliant les pendules, ce qui quand le vieillissement nous atteint est comprehensible. S’il nous reste la possibilité de se remémorer, la fuite en avant nous conduirait trop vite là d’où nul destin meme fameux ne pourra nous enlever.
Et alli, vous illustrez à point les désirs d’inoffensifs vieillards , TBJ ? Dieu, vous n’êtes pourtant pas si vieille pour que la veille vous retienne captive de ses rayons de lune. Y avait il une lune cette nuit?
Pour Rose
Les heures creuses, trouvailles. Un commentaire sur un blog. Je ne sais pas quoi dire, posté en 2007:
quoi dire, quoi dire, dire, dire, dire, dire, re, re, re, e, e, e, e, e, e euh….
A quoi sert un blog ? Probablement à se mettre encore plus minable en constatant sa suffisante médiocrité. La posture égocentrique, quand elle sort des tuyaux, c’est juste pathétique. Je ferais peut-être mieux de passer aux médocs, ça, j’ai encore jamais essayé.
Je ne sais pas quoi avaler, Je ne sais pas quoi avaler, je ne sais pas quoi avaler, avaler, avaler, avaler, avaler, avaler, valer, valer, valer, ler, ler, eh…
« Bégaudeau bégaie à côté : qui c’est ce type ? »
Qu’est-ce qu’il fait, qu’est-ce qu’il a, qui c’est celui-là ?
Une rock star de la Death Valley.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/François_Bégaudeau
Pour ceux qui seraient intéressés, au large des pays bas, 20 000 guillemots retrouvés morts. Hivernage et probable pollution chimique.
« Bégaudeau bégaie à côté : qui c’est ce type ? »
Un qui mettait de l’ambiance en salle des profs.
Un qui a chanté l’année 1986, comme l’autre a ecrit 1987.
Vasseur, la chanson n’évoque rien de mon côté, ne ressuscite aucune image, aucune emotion. 86/87, un extrait de la bande son
Béatrice 6h40
Consulter le docteur Azote. Il vous fera une ordonnance de Captorix (pas plus de 20mg par jour).
Sinon appeler Bianchon.
Eviter Cottard.
Celle ci, dans le mille de ces années , nous ne disposions pas de la video
https://www.yellowjackets.com/440/wildlife-video-from-four-corners.html
« Vous laissez grandir les garçons dans des conditions telles qu’ils soient fatalement destinés à une vie criminelle, puis vous les punissez. En d’autres termes, vous punissez les voleurs que vous-même avez créé. »
Thomas More
« Vous laissez grandir les garçons dans des conditions telles qu’ils soient fatalement destinés à une vie criminelle, puis vous les punissez. En d’autres termes, vous punissez les voleurs que vous-même avez créé. »
Une autre version de « l »homme est naturellement bon, c’est la société qui le corrompt »…
Une des idées les plus imbéciles et les plus nuisibles de ces trois ou quatre derniers siècles.
Se répandre ? Et vous, Bérénice ? Et d’autres, ici. Curieuse façon de qualifiez les commentaires. Mimétisme avec Anna ? Je laisse à JJJ, mon commentaire qui lui était destiné. Bonne journée.
7 février 2019 à 9 h 57 minvous avez raison je ne supporte plusces qualificatifs et conseils insultants avec chantage éventuellement :où on prie une personne un peu zélée à commenter le billet comme vous et moi parfois (avecdes liens:lesautres) de déguerpir en leur disant que ce n’est pas leur place et qu’on peut les remplacer(10 de retrouvées!)
Ambroise Thomas salue Tahar Ben Jelloun.
« il y a la bonne musique, la mauvaise, et celle d’Ambroise Thomas, disait Chabrier…On peut le dire aussi du très honorable écrivain cité.
https.//www.youtube.com/watch?v=hEdlQRxl1xw. Hamlet, Etre ou ne pas être… Il faut l’oser…
« Une des idées les plus imbéciles et les plus nuisibles de ces trois ou quatre derniers siècles. »
Il s’agit plutôt de la question de l’éducation, et le présent le démontre.
mandelstam s’est quand même laissé aller contre sa soeur en poésie
dans un article de 1922 intitulé « Le Moscou littéraire » dans lequel il fustige, méprisant, les poètes moscovites (encore et toujours la vieille rivalité entre Moscou et Pétersbourg !), il s’en prend particulièrement à la poésie féminine et dénigre nommément Tsvetaeva sans ménagement et sans nuances :
17« Pour Moscou, la manifestation la plus désolante, c’est la broderie de sainte vierge de Marina Tsvetaeva […]. Dans la littérature moscovite, ce qu’il y a de pire, c’est la poésie féminine. […]
18Adalis [4]
[4]
Adalis (pseudonyme littéraire d’Adelina Efimovna Efron)… et Marina Tsvetaeva sont des prophétesses […] La prophétie en tant qu’ouvrage domestique à l’aiguille. […] Le mauvais goût et la falsification historique des poèmes de Marina Tsvetaeva sur la Russie – poèmes pseudo-populaires et pseudo-moscovites – sont d’un niveau infiniment plus bas que les poèmes d’Adalis dont la voix atteint actuellement une force et une vérité toutes masculines. »
https://www.cairn.info/revue-poesie-2011-1-page-47.htm
Me Pierrat qui defend un écolo de l’ecologie, innove avec le TL, tweet-live.
Bérénice, 5H 44.
Cette charge verse dans l’amphigouri de bas-bleu au point d’en devenir ridicule. Pénible spectacle.
MC
Monsieur Court, puisque vous vous permettez les jugements à l’emporte-pièce et que vous adoptez, irrésistiblement pourrait-on dire, cette posture de supériorité assise sur (au fait, tenez, sur quoi ???), eh bien, à mon tour, je m’en vais vous dire votre fait : vos « rappels » à l’ordre, même « petits », ahahah, Petit Rappel, (et vous n’êtes pas capable de produire autre chose que cette petitesse), démontrent surtout votre soif d’exister.
Bérénice s’adresse aimablement à Christiane. C’en est trop pour vous, et toc, voici que le jugement tombe : « amphigouri de bas-bleu ». Ce qui serait drôle, si ce n’était aussi sinistre que vous, c’est que pour exprimer votre opinion malveillante, (ici que les mots de Bérénice sont à la fois trop « savants » et « trop embrouillés »), vous employez une expression qui pourrait s’appliquer à elle-même.
Car cet « amphigouri de bas-bleu » ressemble aux boucles d’oreilles de la Vache qui Rit, elles-mêmes semblables etc., en une sorte de fractale descendante.
Mais votre besoin de réparer votre inanité existentielle vous occulte vos ridicules.
Surtout celui de votre doigt tendu pour accuser autrui, alors même qu’il faudrait, en ce qui vous concerne, le vriller sur votre tempe, et filer dare-dare consulter un psy qui vous aiderait enfin à vous accepter tel que vous êtes : tout court, si courtaud et si petit d’entendement et de stature que, plutôt que de mordiller méchamment comme vous le faites sans cesse, vous devriez plutôt tenter de léchouiller nos mains, comme devait le faire le pathétique cocker aux longues oreilles que vous avez bien dû être dans une autre vie, tant votre comportement, avec cette manie de lever la patte, relève ici du canin.
Relu plusieurs fois le texte en défense et illustration bégaudesque pour me mettre en train. N’y ait pas trouvé une quelconque apologie du gars. Ou halors, un argument singulièrement chantourné de la seule qui trouverait grâce aux yeux de moins que rien… Ah bon… les grands esprits pianistiques-mous, quoi, hors 20% ?
renoato, excellents vos rebonds. Et Ch., merci pour la réponse pour moitousseul, vous avez bien raison de n’en faire qu’à votre tête, désormais,… et comme elle pleine d’intéressantes connexions culturelles, on arrive généralement à en capturer quelques unes. Reconnaissez néanmoins votre aptitude à rebondir toujours plutôt positivement sur les fils, et de n’accabler que rarement les auteurs/autrices soulevés par Passoul. Sauf si on vous emm…, et là vous savez être féroce, des fois, j’observe une tendance légèrement parano, un syndrome commun du reste à tous les erdéliens. Normal : ont une très haute conscience de leur valeur culturelle dans l’ensemble quoiqu’à le dénier, sasseur en tête, et dédé en queue de pelochon. Ca nous fait des gens variés, a-variés, ou de variétés, pas des toujours bien faciles dans l’ensemble.
Vous souvenez-vous de l’affaire Viguier ?
En février 2000, Suzanne Viguier, 38 ans, mère de trois enfants et épouse de Jacques Viguier, professeur de droit à l’université Toulouse 1 Capitole, disparaissait mystérieusement. Accusé par l’amant de celle-ci, seul le mari fut soupçonné par la police et incarcéré. Le corps de la supposée victime n’a jamais été retrouvé. Soutenu par ses enfants, Jacques Viguier, qui a toujours nié le crime, fut libéré le en février 2001. Un premier procès devant la Cour d’Assises à Toulouse, en avril 2009, aboutit à son acquittement, mais le Ministère public fit immédiatement appel. Le jugement fut confirmé par la Cour d’appel d’Albi en mars 2010.
Cette disparition, qui défraya en son temps la chronique et à ce jour non élucidée, est le sujet d’ « Une intime conviction » du réalisateur Antoine Raimbault. Le film s’attache essentiellement au dernier procès, avec l’entrée en scène de maître Dupond-Moretti, interprété magistralement par Olivier Gourmet. Tout est rigoureusement fidèle à l’histoire d’origine, à part le personnage de fiction joué par la non moins remarquable Marina Foïs. Ayant l’intime conviction de l’innocence du mari, celle-ci, cuisinière dans une brasserie et mère d’un petit garçon, va convaincre le célèbre avocat de prendre en charge la défense de Jacques Viguier et l’aider à éplucher son volumineux dossier. Laurent Lucas, incarnant un Jacques Viguier complètement anéanti par les évènements, n’a pas un rôle facile et s’en tire avec tous les honneurs.
Un bon film de procès, bien mené et plein de rebondissements, où l’enquête de police, trop partiale, en prend pour son grade et face auquel le spectateur se dit, passablement effrayé, qu’il a bien de la chance d’échapper à cette loterie qu’est la justice !
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19580646&cfilm=256045.html
Christiane, se répandre, pardonnez , surement est ce causé par votre prolixité, la longueur moyenne de vos nombreuses et intéressantes interventions associées aux problèmes environnementaux des ‘nappes phréatiques et pollutions diverses. Mais je vous avais déjà fait part de mon sentiment et vous aviez répondu. C’est une variation sur ce thème.
Petit rappel, je prends note de votre critique. Je tâcherai d’avoir des réveils d’une meilleure qualité bien que ceux ci soient hors de portée , je consulte ma carte. Je ne suis pas rendue. Mais merci.
Miaou.
D,choisissez votre question dans ma leçon de ce matin
avoir d’autres chats à fouetter
to have other fish to fry
avoir un chat dans la gorge
to have a frog in your throat
appeler un chat un chat – to call a spade a spade
avoir d’autres chats à fouetter
to have other fish to fry
https://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2019/02/hommage-aux-gardiens-du-temple-et-%C3%A0-tous-les-autres.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+typepad%2Fle-mot+%28Le+mot+juste+en+anglais%29
D, choisissez, bon sang! Ce n’est pas un ordre c’est une invitation.
Il Piero, Le rêve de Constantin :
https://www.artribune.com/wp-content/uploads/2012/07/Piero-della-Francesca-Sogno-di-Costantino.jpg
Deformation pro?
Et à lui, êtes vous médecin ou magistrat Étiez , car je vous imagine à la retraite. Ces deux corps de professions faisant usage de l’ordre de façon naturelle.
Et alii, correcteur. Vous lirai ce soir si daignez répondre, ceci n’est pas un interrogatoire mais une moquerie assumée. Ciao.
Et Alii, M.Court et JJJ,
Merci.
j’ai du plaisir à vous lire : culture, solide bon sens, impertinence. Vous me reposez, m’aidant à traverser certaines haines d’écoliers, grimaces, faussetés et jacassements, pour écrire aussi loin possible de moi. Quant au pourquoi de l’écriture, ici ou ailleurs, il y a tant de réponses… Et l’on en trouve (et retrouve) certaines dans l’immensité de la littérature et de l’art.
Vous souvenez-vous de l’affaire Viguier ?
Vaguement. Affaire à sensation.
Sait-on ce qu’est devenu « l’amant » ?
Merci du tuyau, je vais aller voir ce film; les acteurs, comme O. Gourmet y incitent.
Le témoignage de Cécile Duflot rend assez bien compte du malaise qui régnait au sein d’un parti politique putride jusqu’à l’affaire Weinstein. Les femmes étaient considérées comme bonnes à tout. Elles devaient accepter les agressions sexuelles dont elles étaient victimes de la part de mâles insolents en état de rut permanent. Désormais, cette prise de parole pour dénoncer ce machisme brutal, et n’en déplaise à Christine Angot, va épurer les relations hommes-femmes et faire progresser la civilisation, l’idéal étant peut-être qu’il n’y ait plus de relations sexuelles du tout dans la cité de Dieu. C’est ce que des esprits aussi fins que saint Augustin ou Tolstoï ont prôné avec raison.
Dormir est toujours une bonne idée ; et, selon Bukowski, parfois une bonne porte de sortie.
Miaouaou.
« Les femmes étaient considérées comme bonnes à tout. »
Ce qui semble habituel dans l’église aussi.
« Les femmes étaient considérées comme bonnes à tout. »
Ce qui semble habituel dans l’église aussi.
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Le pape vient de faire une déclaration très franche à ce sujet, en disant que des sanctions avaient été prises. Pour autant, était-ce « habituel » ? Votre jugement, renato, est toujours tendancieux et anti-Eglise, malgré vos relations avec de hauts prélats catholiques.
Ce n’était donc sans doute pas « habituel ». De rares brebis galeuses dans l’Eglise. Mais évidemment, c’était déjà trop, parce que justement c’est l’Eglise. Le pape a donc sévi. Il faut se réjouir de cette reprise en main.
Sainte Thérèse d’Avila à été tout juste foutue de réformer le caramel.
Attendez que le furoncle se purge vraiment, Delaporte.
Sainte Catherine de Sienne a eu son doctorat dans une pochette surprise.
Sainte Geneviève n’a pas été fichue de garder ses moutonsss. C’est le border-collie qui faisait tout l’ boulot. Pendant que mémère se la racontait devant les parigots.
Etc… etc… pour la suite voyez avec renato dont la postérité promet d’être immense.
Tiens, le grand frustré joue l’humoriste, le pauvre.
Cloporte.
Si vous aimez le style filandreux, alors Bérénice est à n’en pas douter un maitre à imiter. il est vrai que votre pensée, s’étirant en paragraphes patisseries que l’on a le droit de trouver indigestes, ratiocinant les memes obsessions, plaquant un féminisme livrable en kit estampillé Maison Beauvoir et Tricoteuses, frappe par son manichéisme incongru et son anachronisme total.
Petit Rappel: Ou avez-vous vu que je disais que les mots de votre muse étaient « à la fois « trop compliqués et trop savants »? Apprenez à lire, ou ne tordez pas, au risque de paraitre vous-meme tordante, ce qui arrive souvent, la prose des autres.
Le reste est jeux de mots de bas étage et de cour de récréation. Et, pour en avoir entendu d’autres, l’on a envie de dire avec Cyrano:
C’est tout?
Ah non, c’est un peu court, jeune homme On pourrait dire, o Dieu bien des choses en somme,
En variant le ton….
Mais d’esprit, o le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome. Et de Lettres,
Vous n’en avez que trois qui forment le mot sot ».
J’ai l’honneur , Benoit Cloporte, d’être votre très humble serviteur, et retourne de ce pas à mes petits rappels que vous n’avez ni à lire, ni à juger.
Qui s’y frotte s’y pique.
MC
@12.40, (affaire Viguier) pour une fois… une fiche wiki très bien ficelée qui rappelle la chrono des faits, les suites judiciaires et les positions respectives des membres de la famille et de leurs avocats
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Suzanne_Viguier
Pas de quoi théâtraliser…
Je n’ai jamais eu beaucoup d’appétence pour Eric Dupont-Moretti dans ce rôle (un autre Eric Cantonna reconverti), comme si son habituel cinéma au prétoire ne lui suffisait pas. Déjà qu’il avait une grosse tête. Il est vrai que j’ai toujours préféré les procureurs ternes requérant au nom de la société aux matamores et autres bouffons en généarl mal confrontés à leur éthique financière. Signalons à leur décharge quand même que 80% de l’avocature française est composée de crève-la-faim, ou presque.
Oui, mais dans l’affaire Viguier sait-on ce qu’est devenu « l’amant »?
Il ne m’a pas semblé voir ce personnage dans la distribution de ce film.
La France rappelle son ambassadeur en Italie.
Il est question d’attaques sans précédent depuis la guerre. Mais…on se garde bien de citer une par une les prétendues attaques.
Sans doute sont-ce des vérités bien difficile à admettre pour le gouvernement français naviguant à vue depuis presque 4 mois et dont les velléités réformatrices se sont vues repoussées aux calendes grecques faute d’avoir su consulter, débattre et négocier.
Oui JJJ, mais Olivier Gourmet ! Ah ! Olivier Gourmet !
Inoubliable dans Le Fils !
Trystero horn…
https://blogfigures.blogspot.com/2019/02/thomas-pynchon.html
La garde à vue d’Essia Boulares, incendiaire connue ayant causé la mort de 10 personnes dont 1 enfant et blessé des dizaines d’autres, va reprendre.
Oui, mais les poulets ont toujours un train de retard…
Qu’est-ce que vous mangez ce soir , D ?
renato fait allusion à Pynchon, un des meilleurs Pynchon et des plus déjantés : la Vente à la criée du lot 49.
Pourquoi Essia Boulares, qui avait mis le feu à une boutique il y a deux ans, se trouvait-elle en liberté ?
mais moi, RAB de ce film ! et d’OG… L’affaire est close, vous n’allez pas nous « robertbouliner » le droit à l’oubli, merd’alors. Je rappelle quand même une règle : res juridicata pro veritate habetur, que ça vous plaise ou non. Tout le reste n’est que fiction, propre à enflammer l’imagination romanesque des jeunes femmes en mal d’amants. brrr. On en est encore là, marguertie ! c’est pas dieu possib’. Cupab’, forcement coupab’ !… bonjour les dégâts.
@Lavande dit: 7 février 2019 à 16 h 07 min
« Olivier Gourmet ! Inoubliable dans Le Fils ! » mais aussi dans « l’exercice de l’Etat », « La petite Chartreuse », « Rosetta », « L’échange des Princesses »…
Oui, extraordinaire acteur. Le document que vous mettez en lien est très intéressant. On voit comment il s’imprègne peu à peu de la personnalité, des gestes, des expressions de cet avocat qu’il doit interpréter.
C’est une tres bonne idee ce film sur l’affaire Viguier. Affaire exemplaire sur le doute qui est le propre de la justice, comme le rappelait Me Dupond-Moretti à l’issue du verdict.
Reste un cold case…
Ce qui va bien marcher avec ce film, c’est que c’est une affaire non résolue. C’est exactement cela qui est intéressant.
et vous D., pourquoi êtes-vous encore en liberté ?… c’est intéressant comme affaire non résolue, hein.
ce soir, D. et DLP, moi je mange du poulet en retard, couic !
C’est un poulet bicyclette.
c’est formidable… la « théorie de la génération intermédiaire » que vient de sortir des fagots, Mme Duflot, 11 ans après halètement, pour mieux enfoncer le harceleur mité, denis baupin, une fois le taureau à terre que l’s’en r’mettra pas.
L’inventivité féminine et féministe en matière de victimisation quand même, j’te raconte pas. Chais pas ce qu’en penserait l’dupont-moretti? baupin serait pas son client, par hasard ?
Si vous allumez la télé maintenant, vous tomberez sur un présentateur télé fraîchement recruté, un bateleur en chemise blanche.
Il paraît qu’il est président d’une république.
Me Pierrat intervient exclusivement dans les affaires de Q. Là, il se trouve que son client est mal barré. Et c’est heureux.
On rappelle que Me Dupond-Moretti, et non sa doublure, est actuellement sur scène, pour qq temps.
https://www.theatreonline.com/Spectacle/Eric-Dupond-Moretti-a-la-barre/64650
Pas pu y aller. Repris le train avant que ça commence.
Mais j’ai vu « Novecento », (paris alors en pleine guerre entre la macronie et l’Italie) à la Porte St Martin, et je n’ai pas été déçue du voyage.
La pâleur spectrale de ce personnage dit de substance présidentielle, hybride de conseiller d’éducation débutant, d’assistant social stagiaire et de cadre burnouté de pôle-emploi, contraste de façon inquiétante avec le teint rose de son jeune auditoire dont de nombreux membres semblent par ailleurs passablement s’ennuyer.
Honte aux Gilets jaunes, traitres à la France, qui fricotent avec l’extrême droite italienne !
Monsieur Court, très sincèrement, je vous trouve pathétique. Ce qui est bon signe pour vous, car du pathétique à la pitié… Et quand j’ai pitié, eh bien, finalement, je renonce à vouloir exprimer mes agacements. Vous allez pouvoir en profiter, ô piqueur émoussé.
Le problème, Jazzi, c’est que c’est CERTAINS gilets jaunes. Pas tous… Et la règle de la non-représentativité de ce mouvement permet tant les amalgames, qu’on ne sait la proportion.
Ceci dit, je dois bien admettre que la « convergence » avec les mouvements sociaux organisés (extrême-gauche, syndicats, verts…) n’a pas eu lieu. Pas de grève générale en vue. Et pourtant, y’aurait de quoi. Au lieu de cela, on nous montre le Manu en bras de chemise (traduire : regardez comme il la mouille) à qui mieux mieux.
non Jazzi, pas honte aux gilets jaunes qui fricotent avec les extrêmes, honte à tous ceux qui nous ont amenés là, dans cette situation : honte aux politiques, honte aux économistes, honte aux intellectuels, honte aux écrivains et aux éditeurs etc…
Jazzi quand on te montre la lune il ne faut pas regarder le doigt !
cette situation je l’ai prédite ici même sur ce blog, il y a bien longtemps, la responsabilité de cette gauche humaniste qui pensait que balancer ses beaux discours suffiraient pour que les gens contniuent de fermer leur gueule éternellement !
qui sait de quoi sont capables ceux qui n’ont plus rien à perdre ?
la bonne nouvelle c’est qu’on en a fini avec les beaux discours ! enfin !
il n’y a que Fayard qui en bon opportuniste profite de l’occase pour demander à son imbécile de service de nous pondre un bouquin sur la bêtise, mais tout le monde connait l’historique de Fayard.
Je ne parle pas de tous les Gilets jaunes, Clopine, mais de ceux qui se prêtent à cette mascarade et à ceux qui, à l’intérieur du mouvement, ne les dénoncent pas, ne se désolidarisent pas…
Rêver peut-être
https://museeduluxembourg.fr/objet/le-reve
20h11, en petard: Honte aux Gilets jaunes, traitres à la France, qui fricotent avec l’extrême droite italienne !
Mais di maio est la créature du president français et de l’europe franco- allemande.
Pauvre immigré, vous faudrait sortir de paris et aller faire un tour au col de l’Echelle. Habillez- vous, ça caille.
Oui, hamlet, c’est ce que disaient les pétainistes en 40, faisant retomber la faute sur les communistes, les juifs, les francs maçons et accueillant à bras ouverts les nazis…
Omlette porte assez mal son pseudo.
le problème n’est même pas de les excuser en disant que cela ne concerne que CERTAINS !
cela pourrait les concerner tous qu’il y aurait une logique, comme il y avait une logique à entrainer l’Allemagne vers le nazisme !
aujourd’hui la logique est là ! l’évolution de toutes les sociétés occidentales ressemble à celle de l’Allemagne pré nazie, tout a été mis en place pour faire advenir l’extrêmisme et la violence !
pourquoi continuer de nier la rélalité ? pourquoi continuer de trouver des excuses ?
c’est fini ! les dés ont été jetés il y a bien longtemps, game over !
le grand sommeil paradoxal et les rêves réparateurs c’était valable avant, maintenant c’est l’heure de réveiller…
Hamlet n’etait pas un poulet.
Hamlet ? Shakespeare ? relisez vos classiques je crois que vous aussi vous êtes passé à côté de l’essentiel ?
Non, je frequente trop les confins, pour passer à côté de l’essentiel.
Jazzi bien sûr que quand on entraine les gens dans la misère et que ces gens n’ont plus rien à perdre ils se trouvent des boucs émissaires.
c’est comme ça depuis la nuit des temps, les francs maçons et les juifs en ont fait les frais.
et alors ? c’est ainsi que fonctionne l’humain et tout le monde le sait.
et c’est pour cette raison que la responsabilité des politiques est d’éviter d’en arriver à cette situation extrême.
le mot « responsabilité » c’est quoi ?
celui qui empêche un type de bouffer pendant des semaines va ensuite le mettre, sans un rond dans les poches, devant un restau avec une mitraillette, question : qu’est-ce que fait le type ?
autre question : qui est responsable ?
c’est du questionnement du niveau de bac philo.
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