de Pierre Assouline

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La République des livres
N’ayez plus peur de Virginia Woolf

N’ayez plus peur de Virginia Woolf

Qui n’a encore jamais lu Virginia Woolf est impardonnable. Sa réputation de cérébrale, et la complexité de ses situations, voire l’hermétisme prêté à ses personnages, ont longtemps rebuté certain public. A tort. Les sortilèges et envoûtements provoqués par le livre-culte Mrs Dalloway, en témoignent. Alors avant d’y plonger, oubliez l’abstraction dont son univers est entaché ainsi que la tristesse censée s’en dégager. Bien qu’il soit en partie fondée, ce faux-semblant repose aussi sur l’effet rétroactif de sa propre fin, sa mort volontaire à l’issue de crises de mélancolie récurrentes, Virginia pénétrant lentement dans l’eau de la rivière en contrebas de sa maison les poches pleines de lourdes pierres pour être certaine de ne jamais en remonter. C’est comme si sa mort avait précédé sa vie et l’éclairait rétroactivement d’un soleil noir pour la postérité. Le titre de la pièce d’Edward Albee Who’s Afraid of Virginia Woolf ? (1962), portée à l’écran par Mike Nichols sous le même titre quatre ans après, n’y est pas étranger.

Mrs Dalloway est paru il y a cent ans exactement. La Pléiade lui offre son plus bel écrin à cette occasion en concoctant au sein d’un mince coffret orné du Portrait d’une dame en noir (1921), un tableau de Francis Cadell, Mrs Dalloway et autres écrits (textes traduits, présentés et annotés par Jacques Aubert, Laurent Bury, Marie-Claire Pasquier et Michèle Rivoire, 800 pages, 62 euros, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard). Outre des varia prolongeant son grand roman, on y trouve deux autres textes qui, à différents titres, sont des piliers de son œuvre sans atteindre à la puissance d’évocation de La Promenade au phare ou à l’audace formelle des Vagues : il s’agit d’Orlando, biographie d’un être imaginaire, et de la série de conférences prononcées en 1928 devant les jeunes filles de l’université de Cambridge recueillie sous le titre Une pièce à soi– un titre dont la traduction a longtemps entrainé bien des malentendus avant de se fixer, espérons-le, dans cette version inédite de Laurent Bury à l’occasion de cette Pléiade, car la room en question n’est pas une chambre mais bien un lieu pour s’y isoler et y écrire (corrigeant ainsi Clara Malraux après Marie Darrieusecq et Nathalie Azoulai). Gilles Philippe accorde d’ailleurs dans sa préface une certaine importance aux problèmes que les traducteurs de l’ensemble de son œuvre ont dû résoudre au fil du temps dans différentes langues s’agissant notamment des nuances qu’elle donnait à la notion de perspective.

A l’origine, Mrs Dalloway devait s’intituler The Hours– et comment ne pas penser aux Hours  (Prix Pulitzer, 1999) que cela inspira au romancier Michaël Cunningham lequel en fit une manière d’« à-la-recherche-de-Mrs-Dalloway » que Stephen Daldry adapta sous ce titre ; Nicole Kidman en fut l’héroïne et le tout fut mis en musique par Phil Glass. On a rarement lu puis vu puis écouté une telle réussite dans l’osmose produite par la rencontre entre des artistes de cette qualité. The Hours entrelaçait la propre vie de la romancière et l’effet que produisait la lecture de Mrs Dalloway sur le destin de trois femmes à trois époques différentes, film admirable multipliant les points de vue avec habileté, et tant pis pour les spécialistes de la spécialité s’il leur hérisse le poil par ce qu’ils estiment être des contre-sens.

Là comme ailleurs, le héros, c’est le temps et son insaisissable fantôme, l’instant présent. Le temps de Mrs Dalloway, roman de l’amertume et du divertissement traduit ici par Marie-Claire Pasquier, se déploie dans l’espace d’une journée à Londres de Clarissa Dalloway. Elle l’emploie à préparer une réception qu’elle doit donner le soir même, à la faveur de laquelle réapparaitra un homme qu’elle avait jadis refusé d’épouser. A travers un large registre d’expériences temporelles dans lequel chaque personnage semble incarner une image du temps, on baigne dans la memory dont le préfacier Gilles Philippe rappelle opportunément au lecteur qu’avec Virginia, il s’agit davantage de souvenir que de mémoire bien que la langue anglaise n’en fasse qu’un. Sous sa plume, la vie semble se dérouler en permanence dans une tension entre réalisme philosophique et impressionnisme des sensations.

Certainement la plus aiguë, la plus fine, la plus précise, la plus sensible et surtout la plus intelligente des écrivaines de son temps, mais aussi la plus travaillée par l’écriture, Virginia Woolf donne l’impression d’avoir passé sa vie à rechercher le mot juste jusqu’à épuisement des forces (et si cela vous fait penser au travail littéraire selon Flaubert, ce n’est pas un hasard tant elle s’y référait). Elle était tellement hantée par ce qu’elle avait à écrire qu’elle s’absentait des lieux où elle se trouvait tout en abandonnant aux autres sa présence physique. Là sans y être, mais tout le temps, dehors comme chez elle et particulièrement en société. Une évadée permanente, hypersensible et désespérée (on imagine ses réactions à ses débuts face à la critique de ses livres) qui mettait à distance les modes ordinaires, ne cessait de courir après sa propre voix et après d’autres voix qui volaient autour d’elle en espérant toujours être compris du « commun des lecteurs », le lecteur basique considéré comme son partenaire d’écriture.

Dans Instants de vie (Stock), Virginia avoue que sa vanité d’écrivain étant une vanité de snob, une vaste surface de sa peau est exposée à la critique, mais très peu de sa chair vive. Ce que c’est que de n’être, au fond, perméable qu’aux critiques qui ne s’impriment pas, celles qui restent privées. Cela dit, si je ne devais retenir qu’un chose de ce livre, c’est un mot. Juste un mot, rarement employé : »ouate ». Virginia Woolf en use pour décrire cet ineffable état de non-être qu’est « la ouate de la vie quotidienne », cet entre-deux où s’accomplissent les gestes machinaux tandis que nous flottons. Ce mot si singulier m’a fait comprendre que le génie de cette styliste hors-pair se reflétait à travers ce ton inimitable qui court partout dans son œuvre. Il rend le son d’une conversation secrète entre l’auteur et son lecteur. Non pas « ses » mais « son » lecteur. Car ce qu’elle écrit se ressent sur le mode feutré de la confidence sous la lampe dans l’intimité du tête-à-tête, et cela n’a pas de prix. Croyez-en un (re)lecteur de longue date admiratif de son oeuvre sans oublier son Journal d’un écrivain, si différent et tellement plus riche que ce que l’on a l’habitude de lire sous ce titre fait genre littéraire.

Architecture, plan, structure… Elle s’en obsède mais jamais à l’exclusion du souci permanent du choix des mots. On y retrouve toute la riche palette lexicale et émotionnelle qui la singularise dans le paysage littéraire de son temps, avec une intelligence d’une acuité remarquable et une sensibilité sans pareille (« Je voudrais n’être que sensibilité » avouait-elle dans son Journal en préparant Mrs Dalloway) au risque d’un excès d’égotisme) non sans mépris pour l’intrigue : les sons annonciateurs de l’été et la vraie nature de la nuit, le soyeux des plis d’un châle, l’hésitation où l’aube tremble quand cesse la nuit, le crissement d’un insecte, le bruissement de l’herbe coupée, le vaste soupir des vagues se brisant en mesure autour des îles, la ronde nostalgique des anciens habitants, le cuivre d’un garde-cendres, la qualité du silence les soirs d’été sous la tonnelle… Sa manière à elle de faire passer le temps à travers les pages. Une émeute de détails qui n’ont de relief que par le génie avec lequel Virginia les agence pour ressusciter un petit monde disparu, Atlantide à la mesure d’un jardin anglais, qui n’est pas d’un pays mais d’un temps. Son ami Roger Fry, qui eut à examiner ce premier jet en anglais et en français, jugeait qu’elle n’était pas à son meilleur lorsqu’elle se consacrait à décrire, en appuyant trop sur la plume, le monde inanimé des objets, mais qu’elle redevenait elle-même dès qu’il s’agissait d’incarner les sensations à travers un personnage.

A force de la rapprocher de Proust et de Joyce en dressant l’inventaire de tout ce que leurs techniques pouvaient avoir de commun, on en a oublié de souligner tout qui la distinguait d’eux. Difficile de ne pas se retrouver dans son observation inquiète du fil invisible qui sépare le normal du pathologique. L’immense majorité de l’humanité souffrante ne saurait rien en faire. Virginia Woolf, celle qui n’arrivait pas à vivre, elle, en a fait une œuvre qui aide à vivre.

(« Virginia Woolf chez elle à Monk’s House, près du village de Rodmell, Museum of Art, Rhode Island, Providence ; « Virginia Woolf » huile sur toile par Jacques-Emile Blanche, vers 1932,   ; la couverture de l’édition originale du roman due à sa soeur Vanessa Bell et éditée at home par les soins de son mari Leonard Woolf).

P.S. du 18 mars : à compléter par la lecture des « Carnets » de Paul Edel sur le Journal d’un écrivain de Virginia Woolf et d’autres de ses oeuvres.

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature étrangères.

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commentaires

1 528 Réponses pour N’ayez plus peur de Virginia Woolf

je cuide dit: 20 mars 2025 à 10h52

sur le PEN
« “Sometimes it seems like telling stories is not enough. … But then we remember that our stories are so powerful that some people are actually afraid of them.”
– Sarah and Ian Hoffman, authors of Jacob’s Time to Choose, one of the books at the heart of an upcoming Supreme Court case that could have far-reaching implications for book bans.

Chantal dit: 20 mars 2025 à 10h53

excusez les fautes de la copiste, j’attends une nouvelle paire de lunettes spéciales pc …

lire :
Comme ni son physique ni ses idées ne cardaient avec  » M « es valeurs on s’est un peu disputaillés.

J J-J dit: 20 mars 2025 à 10h55

Vos rêves qui s’adressent à tout un monde anonyme, Chantal, sont d’une richesse étonnante, et quand vous vous mettez à les narrer, ils nous changent un brin de la musique sérielle et répétitive de ce blog bien vite ennuyeux. Votre surprenant retour me ravit, personnellement. J’ajouterais pour enchaîner que cette rencontre aurait pu avoir lieu, elle aura lieu dans un prochain rêve, où les francs-macs de l’herdélie corse vous approcheront et sauront enfin vous faire leurs. Bàv,

J J-J dit: 20 mars 2025 à 11h00

Ignorant comment mettre des
♥️♥️♥️♥️♥️♥️?♥️?♥️♥️♥️♥️♥️♥️ dans les messages,
je me contente de les coopter chez les autres… et de les dédier à Chantal Akerman.
A qui je dis : « Préparez-vous à mettre de l’argent dans vos poches tous les jours… Le coucou va bientôt se mettre à chanter, et vous regretterez alors de ne pas l’avoir fait…

Jazzi dit: 20 mars 2025 à 11h01

« Vos rêves qui s’adressent à tout un monde anonyme, Chantal, sont d’une richesse étonnante »

Oui, mais je n’ai pas tout compris !
C’est quoi l’histoire de la jupe froissée, Chantal ?

Déjà de retour, et alii !
Ne jamais faire de promesses que l’on se saurait tenir…

Jazzi dit: 20 mars 2025 à 11h05

Chantal Akerman est au Père-Lachaise,où une autre Belge, Emilie Duquenne, va la rejoindre prochainement, JJJ…

J J-J dit: 20 mars 2025 à 11h10

Je ne comprends pas… Il y a de très bons cimetières en Belgique… A Waterloo, notamment… Et Mme de Crayon Court, où a-t-elle été mise au juste, jzmn ?

Patrice Charoulet dit: 20 mars 2025 à 11h13

à Jazzi

Je ne comprnds pas votr phrase. Vous m’obligeriez sensiblement en voulant bien être plus explicite.

J J-J dit: 20 mars 2025 à 11h21

@ Chat qui roule, et qui Pelote.
________
(sic) Au lieu d’écrire « une fake news », La Bruyère (XVVIe s. ) écrivait « un faux bnit ». Je préfère.
__________
Ce n’était qu’un faux bnit au XVVIe sur de la terre de gruyère… Nous on comprend tout, y compris les moins explicites du dictionnaire du Bilgère. Ouarf !

Jazzi dit: 20 mars 2025 à 11h26

Ah, ok, Chantal.
Et c’est qui cet auteur, le Jazzi bruxellois ?
Phil ou pas Phil…
Tu joues à Suzanne et les vieillards avec les deux avocats corse !

J J-J dit: 20 mars 2025 à 11h30

au fait, Claudio et Francine B., habitez-vous toujours à CAMAçARI, 23 rua do Ouro… ?
Je voulais vous écrire une lettre au Brésil.
Ne pas répondre si ce n’est plus le cas. Merci.

Chantal dit: 20 mars 2025 à 11h49

@ Jazzi, pour être honnête le deuxième était plus séduisant et fin lettré que le premier rencontré, mais j’ai compris que sa vie sentimentale était chaotique et en plus il était recherché par la maffia pour une affaire explosive sur Ajaccio. Lui était plutôt admirateur de Montherlant dont il m’a vanté un ouvrage selon lui majeur, » les garçons »avec Alban de Bricoule et l’Abbé de Prats.

Si Phil est bien qui je pense, il ne m’appartient pas de le dévoiler, but indeed ses anglicanismes sont toutafé naturels …

Chantal dit: 20 mars 2025 à 12h06

addendum : et pour que tu ne te fasses pas un film erroné, ils sont tous les deux ma tranche d’âge, mais font plus parisiens que corses.

Jazzi dit: 20 mars 2025 à 12h10

« Lui était plutôt admirateur de Montherlant dont il m’a vanté un ouvrage selon lui majeur, « les garçons » »

Il serait pas un peu homo, Chantal ?

FL dit: 20 mars 2025 à 12h23

Je ne sais pas si vous avez eu la curiosité de lire l’article de Louis Veuillot dans « L’Univers » ? mais on trouve ceci de tout à fait curieux :

« L’empereur Frédéric II, ingrat et rebelle contre l’Église, traître à la chrétienté, adonné aux moeurs musulmanes, patron de tous les incrédules et de tous les bandits, est une des deux faces et représente un des deux courants du moyen-âge. »

(fin de la première colonne.)

Toujours cet homophobie. Le « adonné aux moeurs musulamnes » répond au « Le roi n’aime pas les moeurs italiennes » de l’homphobe envieux du « Roi danse ».

C’est là où on perçoit combien homophobie et racisme sont très intimement liés.

Comme si en France on ne s’enc***** pas depuis la plus haute antiquité. Vercingétorix et César couchaient ensemble. Ne l’oublions jamais.

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6943072/f1.highres

je cuide dit: 20 mars 2025 à 12h24

il m’a semblé que Rose aimerait être le chef de l’EPHAD DE SA MERE avec ou à la place ,comme le calife, du directeur en titre:en quoi elle ne serait
sans doute ni la seule, ni la première;
ce directeur est mui même « contrôlé et a des obligations comme faire élire des représentants des résidents, et des FAMILLES de résidents :et rose est « famille », comme d’autres membres de sa famille, et elle sait tout ça!
ce n’est pas du tout ma question;
ni en tant que « cuid »ni

je cuide dit: 20 mars 2025 à 12h27

Pesticides sur les fruits et légumes : les 4 astuces de Michel Cymes pour s’en débarasser
Pommes, tomates, céleris en branches, clémentines… Plus de la moitié des fruits et légumes conventionnels que nous consommons contiennent des résidus de pesticides. Pour s’en débarrasser sans altérer leur goût, le médecin Michel Cymes nous dévoile ses astuces imparables !

FL dit: 20 mars 2025 à 12h28

« Vercingétorix et César couchaient ensemble. Ne l’oublions jamais. »

On devrait en être fiers.

FL dit: 20 mars 2025 à 12h30

* Le « adonné aux moeurs musulmanes » répond au « Le roi n’aime pas les moeurs italiennes » de l’homophobe envieux du « Roi danse ».

je cuide dit: 20 mars 2025 à 12h34

pesticides
cela me semble sérieux;
 » Et le risque ne dépend donc pas de la dose, mais de la période à laquelle on se retrouve imprégné », souligne le Dr Pierre-Michel Périnaud à France Info. D’après ce spécialiste, la grossesse et l’enfance (jusqu’à la fin de la puberté) sont les moments où il faut être particulièrement vigilant. »
quant aux EPHAD,je ne crois pas que cela soit simple

Jazzi dit: 20 mars 2025 à 12h37

Bonne chance pour la suite, FL !
Moi, j’ai longtemps été accusé de faire ici du prosélytisme homosexuel…

je cuide dit: 20 mars 2025 à 12h43

de l’âge
En France, 4 millions de personnes vivent avec un diabète. L’augmentation des cas observée ces dernières années devrait se poursuivre à la faveur du vieillissement de la population.

A lire aussi : 7 astuces pour conserver plus longtemps ses fruits et légumes
L’explosion de l’incidence du diabète attendue ces prochaines décennies est telle que les experts n’hésitent plus à parler d’ »épidémie ». Une épidémie de diabète relativement silencieuse (1 Français sur deux n’a jamais fait de dépistage du diabète, selon la Fédération française des diabétiques) que des mesures hygiéno-diététiques peuvent mettre au pas, comme l’expliquait le Dr Réginald Allouche, médecin spécialiste du diabète et du surpoids, dans les colonnes de Medisite.

Jazzi dit: 20 mars 2025 à 12h45

« et ce n’est qu’un hors d’oeuvre … »

Seras-tu le plat de résistance ou le dessert, Chantal ?
Le repos du guerrier, plus pacifiquement !

je cuide dit: 20 mars 2025 à 12h48

souffler le show et le froid:les glaciers après les volcans si poétiques soient ils
donc ouat water:
Avec la disparition annoncée de la plupart des glaciers d’ici à la fin de ce siècle, à cause du changement climatique, l’humanité perd des « châteaux d’eau » importants pour l’approvisionnement en eau douce de régions entières. Un enjeu qui a poussé l’ONU à déclarer 2025 « Année internationale de la préservation des glaciers » et à introduire la date du 21 mars comme journée mondiale des glaciers.

Lorsqu’un glacier disparaît, c’est en réalité bien plus que de l’eau qui disparaît. Les scientifiques de la mission pluridisciplinaire Vanishing Glaciers sont allés au chevet de dizaines de glaciers dans le monde. Ils se sont intéressés aux microorganismes qui parviennent à prospérer dans les eaux de fonte qui alimentent les cours d’eau de montagne. Ces derniers abritent une biodiversité jusqu’ici méconnue qui influence pourtant celle des rivières et des ruisseaux en aval.
sur the conversation, ici la terre

Chantal dit: 20 mars 2025 à 13h06

je ne pense pas c’était l’autre, le géant à brosse qui s’intéressait à moi, enfin j’ai pas eu trop envie, même s’il m’a invitée dans sa seconde résidence en Bretagne, il m’a fait flipper avec son GUD.
Je n’ai pas fait ce long chemin personnel pour me retrouver dans les pattes d’un nostalgique du nazisme …

je cuide dit: 20 mars 2025 à 13h09

C’est une découverte qui pourrait remettre en question bien des certitudes au sujet de l’histoire de la Mésopotamie, cette civilisation connue, entre autres, pour être à l’origine du développement de l’écriture et de l’agriculture.

Une équipe de l’université de Floride a en effet trouvé plusieurs tablettes en argile recouvertes d’écriture cunéiforme et datant du milieu de l’âge de bronze (1 800 av. J.-C.) dans le site de Kurd Qaburstan, situé près d’Erbil, dans le Kurdistan irakien, où elle fouille depuis plusieurs années.

je cuide dit: 20 mars 2025 à 13h14

ecriture!
obsession bureaucratique fondations du premier empite de l’histoire
« Il y a 4000 ans, les feuilles de calcul s’écrivaient sur des tablettes d’argile
Des centaines de tablettes administratives, datant de plus de 4000 ans, ont récemment été découvertes sur le site archéologique de Girsu, dans le sud de l’Irak. Cette mise au jour, fruit d’une collaboration entre les archéologues du British Museum et les autorités irakiennes, révèle l’ampleur d’une bureaucratie antique extrêmement sophistiquée, considérée comme précurseure des systèmes administratifs modernes.
https://actualitte.com/article/122643/archives/il-y-a-4000-ans-les-feuilles-de-calcul-s-ecrivaient-sur-des-tablettes-d-argile

Jean Langoncet dit: 20 mars 2025 à 13h24

Une peine de prison de 10 ans requise contre Boualem Sansal en Algérie

Sansal, apparemment en bonne santé, aurait révoqué tous ses avocats et décidé de se défendre seul

Source : Le Point

Jean Langoncet dit: 20 mars 2025 à 13h30

Un esprit libre dans une époque qui porte au pouvoir des nains sectaires et haineux

Chantal dit: 20 mars 2025 à 13h36

en bonne santé en bonne santé, ce n’est pas sûr, il est en chimiothérapie … de plus c’est Alger qui lui a demandé de se séparer de son avocat « juif »

c’est moche d’en arriver là

MC dit: 20 mars 2025 à 13h41

« L’ Homophobe envieux du Roi Danse » oublie peut-etre un peu vite le statut si particulier de Monsieur…

je cuide dit: 20 mars 2025 à 13h46

je lis sur :’express:
diplomate ne peut que constater que le président américain ne traite pas équitablement la Russie et l’Ukraine. « Il tord le bras de Zelensky, tout en serrant la main de Poutine »
ce « tord le bras » est bien vu;c’est l’impression que j’avais sir une photo que Trump tordait le bras de Macron

je cuide dit: 20 mars 2025 à 13h58

L’IMPRESSION QUE J’AVAIS EUE
je viens de survoler les photos de « mains serrées des « présidents »:celle que j’avais en mémoire n’y est plus:mais il semble qu’il y ait eu un jeu entre les présidents qui ont tous deux été « acteurs » autour de ces mains serrées pour l’histoire

Jean Langoncet dit: 20 mars 2025 à 14h01

Reste à savoir qui sont lesdits témoins au procès qui rapportent ces informations ; quant à eux qui n’y étaient pas …

Phil dit: 20 mars 2025 à 14h21

deux qui longent le parc

parc…Ten bosch. Idéal pour lecteurs de Montrelant. Chantal, du belge pur sucre.

Claudio Bahia dit: 20 mars 2025 à 15h45

J J-J dit: 20 mars 2025 à 11h30
au fait, Claudio et Francine B., habitez-vous toujours à CAMAçARI, 23 rua do Ouro… ?
Je voulais vous écrire une lettre au Brésil.
Ne pas répondre si ce n’est plus le cas. Merci.

Hélas non, je n’habite plus à Monte Gordo depuis quelques mois, j’ai vendu ma maison e suis venu m’installer au Portugal. J’ai encore beaucoup de saudade de Monte Gordo et de ma maison. C’est un luxembourgeois qui me l’a achetée.
Maintenant j’habite dans un appartement et je m’ennuie parfois.
Mais si vous voulez m’écrire une lettre, je peux vous donner mon adresse postale ici.
Et qui est Francine B ??
Salutations

Marie Sasseur dit: 20 mars 2025 à 16h20

Jazzi dit: 20 mars 2025 à 12h16

Inutile de me spamer, je ne vous reçois plus; entre un afterwork sur l’esplanade de la Défense, une visite rapide à ND, et une halte au musée du Luxembourg, je n’ai plus une minute à moi, alors pour vous…

Bye bye.

je cuide dit: 20 mars 2025 à 16h36

Il faudra attendre le 6 mars 2019 pour que les châtiments corporels soient interdits dans la famille. Il a fallu pas moins de quarante ans pour que la France rejoigne la Suède (1979), pionnière en la matière.

Et pourtant, nous savions déjà que les châtiments corporels étaient inefficaces pour supprimer les conduites socialement indésirables. Nous savions aussi qu’il existait un lien entre punitions corporelles subies et comportements antisociaux à venir (délinquance, agressions sexuelles, violences conjugales…).

Il est vrai que la famille a longtemps été une zone de non-droit. Il y a eu aussi la douce illusion que l’amour parental freinerait les excès et garantirait un droit de correction mesuré. Mais il faudra aussi se demander un jour si la difficulté que l’on a eue à se saisir de la question complexe de la sanction pour oser la penser comme une réponse qui doit faire sens, et non plus faire mal, n’est pas aussi responsable de ce terrible retard. Car on ne peut vraiment tourner la page de la violence éducative que si s’esquissent d’autres manières de faire.3

G-Sciences

Bernard dit: 20 mars 2025 à 17h28

Pour ceux et celles qui étaient jeunes dans les années 80 :
– Vous habitez chez vos parents ?
– Vous marinez chez vos harengs ?

Bernard dit: 20 mars 2025 à 17h42

« Ah ce Bon Dieu ! Cet impitoyable bon Dieu… Même dans sa miséricorde, il nous fait tant de mal… ».
Propos authentiques tenus par ma grand-mère.

Jazzi dit: 20 mars 2025 à 17h48

« Bye bye. »

Quelle trépidante vie parisienne, MS.
Bon séjour dans la capitale.

Ciao et à bientôt.

je cuide dit: 20 mars 2025 à 18h49

franceinfo a pu consulter la version modernisée du classique de la littérature française qui a été annulée par l’Éducation nationale. Le dessinateur Jul dénonce une « dérive délirante et très préoccupante ».
Ce ne sera finalement pas le « livre pour les vacances », que des élèves de CM2 auraient pu lire. La version de La Belle et la Bête, dont l’Education nationale a commandé puis annulé 800 000 exemplaires, n’est « pas adaptée » aux élèves de 10 ans « sans accompagnement pédagogique », a fait valoir jeudi 20 mars la ministre Elisabeth Borne. De son côté, le dessinateur Jul dénonce une « censure » et une « dérive délirante et très préoccupante ».

J J-J dit: 20 mars 2025 à 18h57

17.48, Elle est « montée » à Paris, enfin invitée par Passoul. Elle a pu le temps, jzmn. Hélas, elle aura pas non plus celui d’aller faire un tour à Chaville pour empêcher Machin de filer à l’anglaise avec jicé. On lui aurait bien confié cette mission.

@ Claudio B… (15.45) Mais pourquoi vous être rapproché de Paris et Berne, en allant vous échouer
près de Coimbra, hormis l’usage de la langue ?… Voilà qui m’interro-j… -> Francine Bahia ?…, n’était-ce pas votre (ancienne) épouse ?…
Pardon si j’ai fait une gaffe, je suis coutumier du fait, n’en prenez point ombrage. Pour votre nouvelle adresse, non… pas ici. Via vos amis suisses, if you want. Si non, un email public suffirait, comme celui de Clopine T. Avez-vous de ses nouvelles ?
Bàv.

je cuide dit: 20 mars 2025 à 20h36

DSI PEI QUE JE PENSE AUX GUERRES,la plupart d’entre nous me semblent dr perdre dans une grandiloquence de déni
‘cf « héroine » plus haut

closer dit: 20 mars 2025 à 20h44

« Ta » est peut-être anglais, je n’en sais rien, mais c’est surtout brésilien!
« Ta » est une version raccourcie du fameux » Ta bom », qui signifie, « d’accord », « voilà », etc, utilisé cent fois par jour par les brésiliens.

N’est-ce pas Claudio?

Comment, je ne sais plus qui ici, a pu douter de votre brasilianité ???

Les membres d’une tribu africaine dans le golfe de Guinée, composée d’anciens esclaves retournés en Afrique après l’abolition, était appelés les « Ta bom » par leurs voisins…

je cuide dit: 20 mars 2025 à 20h46

considèrent désormais comme un acte de foi les massacres de chrétiens en cours en Syrie. Le gouvernement islamiste syrien, qui a remplacé en décembre le régime de la famille Assad, au pouvoir depuis plus de cinq décennies, est généralement pointé du doigt. Mais surtout, les massacres sont imputés aux États-Unis et à Israël, ainsi qu’aux néoconservateurs qui contrôlent prétendument les deux gouvernements.

En réalité, il n’y a pas eu de massacre de chrétiens en Syrie. Il y a eu un soulèvement des milices alaouites, la secte musulmane – et non chrétienne – à laquelle appartenait la famille Assad.
https://www.tabletmag.com/feature/rights-sectarian-moment-syria-christians

J J-J dit: 20 mars 2025 à 20h46

@ la plupart d’entre nous me semblent se perdre dans une grandiloquence de déni (20.36)

J’ai mal à votre poitrine, ma chère.
Qu’en dit votre amie, la nouvelle domestique guatémaltèque de Neuilly ? Est-elle bien au point pour l’assistance quotidienne à vos soins ?
Je vous conseille une petite liqueur de poire sur votre tisane au millepertuis. On s’endort bcp mieux après, et l’ordi se repose. Bàv.

closer dit: 20 mars 2025 à 20h48

Bravo aux deux lecteurs de Seethaler!

J’avoue que je ne me souviens pas avoir jamais rencontré son nom, ni sur ce blog, ni dans les pages littéraires des nombreux journaux et magazines que je feuillette, jusqu’à ce que cette amie m’en parle.

closer dit: 20 mars 2025 à 20h59

« je cuide » semble insinuer que du moment que les Assad étaient alaouites, il est normal de massacrer des alaouites, femmes et enfants compris, plus quelques chrétiens au passage.

je cuide dit: 20 mars 2025 à 21h11

« bible »
à propod dui sionisme chrétien, les lectures évangéliques des Écritures, qui nourrissent leur position sur Israël et les Juifs, sous couvert de critique de la « Bible de référence Scofield » – une Bible d’étude du début du XXe siècle (version King James) annotée par le pasteur Cyrus I. Scofield, qui a contribué à populariser le dispensationalisme. Carlson et ses protégés attribuent (à tort) l’« hérésie » du sionisme chrétien à Scofield et à ses commentaires. « L’affaire Scofield », a noté Carlson, a eu « des répercussions considérables sur notre politique étrangère et intérieure ». L’invité de Carlson, le chanteur country John Rich, a aimablement informé son hôte que la Bible d’étude Scofield était « liée aux Rothschild ».voilà qui rappellera à christiane
que BLOOM avait justifié la RéfErence préCise de la KJV
meme lien de tablet
https://www.tabletmag.com/feature/rights-sectarian-moment-syria-christians

J J-J dit: 20 mars 2025 à 21h18

Elle est tellement confuse qu’accorder le moindre crédit à ses délires finirait par confiner à la grandiloquence alaouite.
@ Closterman -> vous ne lisez pas les bons journaux, voilà tout. M’enfin, nul n’est parfait, hein ? Les amies sont souvent plus utiles que l’rdl, du reste. il faut bien le reconnaître. Par ex. l’amie de Chantal, qui nous apprend qu’elle est une bonne écrivaine… Le savait-on icite ? Ben non, pas moij… Mes journaux ne m’avaient rien dit… Mais Chantal a su nous séduire : sachons l’entretenir.
notule en PS / Ouf, D-D reste parmi nous. Il nous a bien fait peur avec sa menace de nous cuider.

je cuide dit: 20 mars 2025 à 21h24

j’attire votre attention que l’articke de tablet quiu commence par protester quEn réalité, il n’y a pas eu de massacre de chrétiens en Syrie ,cher closer,esy signé tony BADRAN QUI VOUS ORIENTERA

je cuide dit: 20 mars 2025 à 21h27

à la fin de l’articlke:
Tony Badran est rédacteur en chef de Tablet et analyste du Levant.merci pour lui

je cuide dit: 20 mars 2025 à 21h30

remarque à méditer
« La tentative d’arracher le protestantisme américain à son héritage biblique est la dernière manifestation du processus de prosélytisme inversé, en cours depuis le milieu du XXe siècle, et qui a été amplifié par la réaction américaine au 11 septembre. Ironiquement, les fruits de la mission protestante au Moyen-Orient arabe, les protestants arabes, ont montré que la culture politique arabe dominante l’emporte finalement, rendant leur politique indissociable de celle des Églises catholiques ou orientales de la région. Le résultat du prosélytisme protestant américain au Moyen-Orient est que les Arabes ciblés pour la conversion sont devenus les moteurs de la conversion culturelle et politique inversée des Américains à la religion régionale dominante, qui n’est finalement pas l’islam, mais la haine sectaire. »

closer dit: 20 mars 2025 à 21h33

« La communauté alaouite de Baniyas, en Syrie, raconte l’enfer et compte ses morts : « Les survivants, ce sont ceux que les familles sunnites ont cachés »
Dans le quartier d’Al-Qoussour, les habitants tentent de revenir à la vie après avoir vu leurs proches et voisins exécutés lors des massacres menés par différentes factions entre le 6 et le 9 mars. »
Le Monde

je cuide dit: 20 mars 2025 à 21h48

eh bien, merci closer, vous citez vos sources!
espérons que des professionnels de l’info auront à coeur d’établir les faits

Bernard dit: 20 mars 2025 à 22h38

En Orient, tout le monde massacre tout le monde. C’est une tradition chez eux, depuis toujours.
Et ce pauvre closer n’a, comme d’habitude, rien compris.
Chez closer aussi, l’ignorance est une tradition.

rose dit: 21 mars 2025 à 4h05

Hypothèse

« éventuelle grâce présidentielle du président Tebboune, à la sortie du ramadan pour Boualem Sansal. »

JC..... dit: 21 mars 2025 à 5h23

TRISTE ILLUSTRATION

La première image du billet de notre Chef de Blog n’a pas sa place ici en RdL !!!

Pourquoi imposer cette image sublimée de Marine LaPin apprenant son inéligibilité à la Présidentielle, en faisant croire qu’il s’agit d’une nageuse encaillassée nommée WOOLF ???

Notre inconscient n’est pas joignable !

rose dit: 21 mars 2025 à 7h04

M.Trump n’a pas su que c’était le premier jour du printemps hier.

Savoir que c’est cette démolition là qui permet l’accès au pouvoir de types comme lui.
En France, nous en sommes au système de santé, dont les hôpitaux, et aux grands espaces naturels, bientôt plus préservés. Entouré d’enfants assis derrière des tables de classe, Donald Trump a voulu remplir une promesse de campagne, jeudi 20 mars, à la Maison Blanche. Il a signé un décret présidentiel organisant le sabordage – mais non la disparition – du ministère de l’éducation. Sa suppression complète réclamerait une super majorité (60 voix sur 100) au Sénat.

J J-J dit: 21 mars 2025 à 7h51

Comme Charles Enderlin, je suis total effondré par ce qui se passe là-bas… Et nous ne voyons aucun signe d’espoir à l’horizon.
Je me tâte pour donner un minimum de 500 euros à perte au fonds d’investissement proposé, qui ne « rapportera » évidemment jamais rien, mais soulagera le mal lancinant que nous éprouvons chaque jour pour les valeureux Ukrainiens.
Auparavant, j’aimerais si possible avoir l’avis ou l’opinion de celzéceux de l’herdélie qui, exécrant ou non Macron, sont depuis toujours favorables à une matérialisation de l’idée d’une communauté européenne de défense enfin devenue pérenne.
Bonne journée venteuse à tou.tes.
(Attention : « les jonquilles parlent aux pommiers du Japon… Je répète : les jonquilles parlent aux pommiers du Japon »).

rose dit: 21 mars 2025 à 8h10

Moi, je n’exècre pas Macron.
Si le fonds d’investissement est de l’extrême droite, non.
Sinon, pourquoi pas.
Quoique ne désirant pas être annexée par la Russie, je ne supporte pas l’idée de ces guerres envisagées, et lors d’une agression, la défense est requise.

(Chez moi, les jonquilles parlent aux pâquerettes. Le cerisier du Japon a clamsé. Et les pommiers -cognassiers du Japon on dit, nous, sont assez loin, avec les lilas, les précédant de beaucoup).
Fin du morse.

rose dit: 21 mars 2025 à 8h12

L’IA pourrait-il faire le portrait des commentateurs de la RDL, moi inclus ?

Jazzi
I would préfère not.
Lorsque je lis les bribes de portrait de non robot, ah non merci.

D. dit: 21 mars 2025 à 8h26

Je me tâte

si le tastage se veut exhaustif, ça ça vous occuper la journée…

Jazzi dit: 21 mars 2025 à 8h58

« j’aimerais si possible avoir l’avis ou l’opinion de celzéceux de l’herdélie qui, exécrant ou non Macron, sont depuis toujours favorables à une matérialisation de l’idée d’une communauté européenne de défense enfin devenue pérenne. »

Oui, compte tenu que les deux précédentes Guerres Mondiales sont le fait de l’Europe.

Jazzi dit: 21 mars 2025 à 9h00

« si le tastage se veut exhaustif, ça va vous occuper la journée… »

Tu te proposes de l’aider, D. ?

JC..... dit: 21 mars 2025 à 9h25

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

On découvre l’horreur : certaines intelligences, supposées brillantes, peuvent être encore plus connes que le plus con des pseudos commentateurs !

Seigneur ! Ne nous abandonne pas.

Notre valeur est incommensurable ! Bien meilleure qu’une éponge numérique bourrée de data, pantin ressemblant à Elon Musk, pantin sentimental à la Putin !

Jazzi dit: 21 mars 2025 à 9h32

Les rêves d’exil et d’Europe du poète de 17 ans !

Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d’azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l’Europe aux anciens parapets !
J’ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
– Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t’exiles,
Million d’oiseaux d’or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L’âcre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille à la mer !
Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.

(Derniers vers du poème « Le bateau ivre » ⛵

Jazzi dit: 21 mars 2025 à 9h48

Béhémoth ou B’hemot est une créature biblique mentionnée dans le Livre de Job. Métaphoriquement, le nom désigne toute bête de grande taille et/ou puissante.

La Flache est une étendue d’eau de taille et de profondeur très réduites, allant de la flaque à la petite mare, se formant après des intempéries pour une durée …

Jazzi dit: 21 mars 2025 à 9h51

« Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille à la mer ! »

La quille en argot c’est la jambe.
Ce qui fit dire à Jean Genet que Rimbaud avait des dons prémonitoires, lui qui est mort des suite de sa jambe amputée à Marseille !

renato dit: 21 mars 2025 à 10h08

Les exaltées devraient s’inquiéter de la façon dont la patrouille frontalière a appris que le chercheur français avait dénigré Trump (pour les plus petits : ils ont analysé son téléphone — au mépris des libertés individuelles, du respect de la vie privée et de la liberté d’expression).

D. dit: 21 mars 2025 à 10h20

A Chaville, j’ai beaucoup de primevères, que j’ai importées du Cantal. Pas encore installé de jonquilles, mais je vais procéder à l’automne prochain. J’ai installé un pied de pâquerettes il y a deux ans et il y en déjà plusieurs autres plus loin. Les rosiers sont bien repartis, très vigoureux. Les semis de légumes sous abri marchent bien mais il est trop tôt pour repiquer.

D. dit: 21 mars 2025 à 10h24

Plusieurs espèces d’oiseaux me rendent visite : mésanges, merles, pigeons ramiers, tourterelles, perruches à collier, pies. Tous très sonores quand ils le décident.

D. dit: 21 mars 2025 à 10h26

La perruche à collier, inexistante en région parisienne il y a 25 ans, est maintenant partout présente où il y a de grands arbres.

Jazzi dit: 21 mars 2025 à 10h39

Après les endives, D., tu vas manger des asperges ?

« L’asperge est un légume de printemps. Elle doit être mangée en avril, mai, juin. »

je cuide dit: 21 mars 2025 à 10h40

La quille : origine de l’expression
L’origine exacte de cette expression est indéterminée. Elle est née dans l’argot militaire au début du XXe siècle. Elle vient peut-être de l’analogie entre « quille » et « jambe » et de là, l’expression « jouer des quilles », employée pour « se sauver, fuir ». Autre hypothèse, l’expression vient peut-être de la quille d’un bateau (sa partie la plus basse), en référence aux bateaux rapatriant les soldats. Mais il est alors difficile de déterminer pourquoi le choix de la quille et pas du pont ou de la proue. Pendant la guerre d’Algérie, la quille était symbolisée par l’objet en lui-même, sculpté et décoré par les conscrits.
ciao c’est le week end

je cuide dit: 21 mars 2025 à 10h43

le lien:
https://www.laculturegenerale.com/la-quille-definition-origine-expression/
Jean-Charles Jauffret, Soldats en Algérie 1954-1962

L’historien ajoute d’ailleurs que « La Quille [était] le nom d’un bateau qui allait avant 1939 chercher les forçats à Cayenne après qu’ils avaient purgé leur peine.» Un « quillard » est un soldat qui va bientôt terminer son service. Avec la suspension du service national depuis 1997, cet argot a un peu perdu de sa vivacité.

FL dit: 21 mars 2025 à 11h13

Il n’est pas indifférent que Veuillot mentionne avec mépris (et mauvaise foi) les « moeurs musulmanes » dans son article de 1851 puisqu’il a participé à la guerre de colonisation de l’Algérie (voir la vidéo à 52:22) de février à septembre 1841. Il participe aux batailles de Médéa et Mascara sous les ordres de Bugeaud.

(En fait Médéa a été prise le 17 mai 1840. Il doit donc plutôt s’agir de l’occupation, de la pacification de Médéa.)

https://www.college-de-france.fr/fr/agenda/cours/de-la-litterature-comme-sport-de-combat-suite/ce-diable-de-veuillot

FL dit: 21 mars 2025 à 11h24

Deux articles aujourd’hui dans « Le Monde » sur les horreurs de la colonisation de l’Algérie. Le premier est par l’historienne Colette Zytnicki.

Mme Zytnicki nous rappelle que la colonisation de l’Algérie c’est 850.000 morts sur une population de 3 millions d’habitants. 100.000 au combat. Et 750.000 hors combat (donc suite aux famines et épidémies occasionnées dans la population civile par les déprédations concertées de Bugeaud.)

L’autre article est dû à l’écrivain Mathieu Belezi auteur de « Attaquer la Terre et le Soleil » – titre à la résonance sadienne, je ne sais pas si c’est voulu – et dont la récession a été récemment censurée par une radio qui avait peur pour les oreilles de ses chastes auditeurs.

L’auditeur français est bien délicat.

D. dit: 21 mars 2025 à 11h26

J’aime bien les asperges, Jazzi.
Leur qualité est très variable.
Il m’est arrivé d’acheter cher des asperges annoncées de qualité mais médiocres. A l’inverse, je suis déjà tombé sur d’excellentes en supermarché.
Pour la cuisson je préfère bien cuit, je ne déteste pas poêlés et croquantes mais ça ne développée pas toujours assez le goût.

FL dit: 21 mars 2025 à 11h27

* (En fait Médéa a été prise le 17 mai 1840. Il doit donc plutôt s’agir de l’occupation, de la « pacification » de Médéa.)

Christiane dit: 21 mars 2025 à 11h27

J’apprends aujourd’hui qu’Alain Jaubert est mort. Tristesse et memoire…

Christiane dit: 21 mars 2025 à 11h29

C’est à l’occasion d’une de ses conférences, signalée par Passou, que j’ai croisé Clopine au Petit Palais…
C’était à propos de la Villa des mystères à Pompéi…

FL dit: 21 mars 2025 à 11h39

« Ils (les journalistes catholiques modérés, Lacordaire et Montalembert) ignorent ce qui se passe dans la rue. Ils n’y ont jamais mis les pieds ; moi, j’en viens, j’y suis né, et pour tout dire, j’y demeure encore. » Louis Veuillot (58:50)

Christiane dit: 21 mars 2025 à 11h42

La fresque, torride, était projetée sur l’un des murs de l’amphithéâtre. Image extraite de cette nouvelle production de ja série « Palettes ». Alain Jaubert était brillant, drôle. L’amphithéâtre était occupé par une cinquantaine de personnes attentives, passionneesy par les recherches et créations d’Alain Jaubert. Peu de questions sauf celle mémorable de Clopine, fidèle à l’image que j’avais d’elle.
Il lui répondit avec humour.

Jazzi dit: 21 mars 2025 à 11h42

J’aime l’odeur de mon urine après avoir mangé des asperges, ça doit être bon pour les reins, D. !

Christiane dit: 21 mars 2025 à 11h50

Des personnages, élégamment vêtus ou nus, accompagnés de Silènes et de Satyres
composaient le cortège de Dionysos – Initiation aux mystères de Bacchus … Sur fond de Mariage et de nuit de noces….

J J-J dit: 21 mars 2025 à 11h52

11.26 Petites précisions sur le titre du magnifique roman de Belezi… –
« Attaquer la terre » renvoie au récit d’une mère de famille attirée par la promesse de terres à cultiver mais qui ne connaîtra que désillusions et malheurs, et regagnera le nord de la France, après avoir vu sa famille décimée. – « Attaquer le soleil », au récit de l’un de ses parents appartenant à un groupe de soldats sans foi ni loi massacrant le pays par la terreur.
Rien de « sadien » dans cette métaphore de l’atroce colonisation de l’Algérie au XIXe s…
LIRE PLUTÔT QUE DE SPECULER, non ?

Christiane dit: 21 mars 2025 à 11h54

Il faudrait lui demander. Je ne l’ai pas notée mais l’auditoire a ri de bon cœur ! C’était très espiègle liant l’histoire évoquée dans cette villa de Pompéi et le choix qu’avait fait Alain Joubert dans les images retenues et ses commentaires. Un dialogue d’initiés…

je cuide dit: 21 mars 2025 à 12h13

Fl acceptez vous :comme Flanelle?
CE N4EST PAS SIMPLEMENT COTON d’ailleurs il y a flanelle de coton;
je cherche une expression en français avec flanelle ou coton que je ne trouve pas:aie, ma mémoire!

je cuide dit: 21 mars 2025 à 12h16

en voilà une pour patienter:
Si faire flanelle ne fait pas dans la dentelle, elle y a cependant débuté sa carrière d’expression. Du temps où les maisons closes portaient très mal leur nom puisqu’elle étaient ouvertes, on traitait de flanelle – au One Two Two ou aux Belles Poules – celui qui venait y flâner sans flamber, y tripoter la gueuse sans lâcher un kopeck. De ce bonhomme se contentant de reluquer et éventuellement de toucher sans jamais consommer il était convenu de dire qu’il passait pour faire flanelle.

Pas fondamentalement déplaisant mais pas bon pour le commerce néanmoins (n’oublions pas que les demoiselles présentes derrière les volets y faisaient commerce de leurs charmes), d’où l’agacement des marchandes.

je cuide dit: 21 mars 2025 à 12h24

Expression française du milieu du XIXème créée par Stendhal dans la Charteuse de parme. C’est tout simplement le signe d’un malaise, un état de fatigue passagère entraînant une baisse d’énergie et des jambes en coton ne peuvent soutenir quelqu’un.
autrement dit, je suis flagada!

Jazzi dit: 21 mars 2025 à 12h30

« Attaquer la terre et le soleil »

Oui, rien de sadien dans ce titre, FL !

C’est coton, c’est pas coton, pour dire que c’est difficile, et alii, à moins que vous ne filiez un mauvais coton !

A quel indice as-tu reconnu Clopine, Christiane ?

je cuide dit: 21 mars 2025 à 12h32

le gout:
je connais une damepresque centenaire mais en pleine forme, et qui a toujours des souvenirs à raconter du temps boù elle était boulangerie parisserie(de famille) et traiteur:
rien n’a plus aucun gout pour elle;je lui ai dit une fois que c’était peut-être un reste d’un effet de covid;elle dit que non, mais elle critique tout tout, tout avec le leitmotiv: »c’est pas du vrai;
elle elle a le gout du vrai!

je cuide dit: 21 mars 2025 à 12h37

non, elle critique pour retrouver son gout du vrai!!
mon père critiquait aussi beaucoup;mais je ne sais pas pourquoi

je cuide dit: 21 mars 2025 à 12h39

cette histoire de vrai, ça m’a frappée, parce que, moi, je n’étais pas la « vraie fille » de mes parents?

je cuide dit: 21 mars 2025 à 12h41

PAS LA VRAIE FILLE/j’étais donc une « fake fille »entre d’autres fake-filles de leurs fake parents

je cuide dit: 21 mars 2025 à 12h44

la dame qui cherche le gout du vrai dit aussi en oarlant de sa deuxième belle fille :alors elle se reprend que ce n’est pas sa belle fille car elle n’est pas sa vraie fille mais la femme de son fils!

Jazzi dit: 21 mars 2025 à 12h46

« je n’étais pas la « vraie fille » de mes parents »

Mais à qui donc avez-vous été volée, et alii ?

je cuide dit: 21 mars 2025 à 12h51

réponse juste por faire avancer :
si j’ai été volée, ce qui reste à prouver (que ce fut un vol, ce que je ne crois pas:seu un « job » qui n’esr plus de ce monde aurait pe l’expliquer)
j’aurais été volée à mes vrais parents:
cela dit, il y a eu des enfants volés à leurs parents (dictatures!!)

Bernard dit: 21 mars 2025 à 12h53

La colonisation française de l’Algérie fut une oeuvre monumentale de construction civilisationnelle sur tous les plans.
L’émir Abdelkader l’avait bien compris, lui, qui après avoir mené une guerre de résistance aux français, a fini par rendre les armes et a signé un traité de paix avec la France, devenant ainsi un grand ami du pays de Voltaire.
Regardez aujourd’hui l’état calamiteux de l’Algérie du FLN et la situation catastrophique du peuple algérien qui vit, le pauvre, entre le marteau des militaires et l’enclume des islamistes.
Et c’est qui, aujourd’hui, qui veut quitter ce maudit pays pour aller vivre en France ? Les algériens, pardi !

je cuide dit: 21 mars 2025 à 12h53

enfants volés:
« Une des méthodes des Russes pour enlever les enfants ukrainiens a été documentée dans un rapport publié en mars 2023 par la Commission d’enquête de l’ONU. Elle consiste à enlever des mineurs qui “ont été séparés à un point de filtrage à la suite de la détention d’un parent ». Cette méthode, c’est celle qu’a subi un père ukrainien de 39 ans, Evgeny Mezhevoy, séparé de ses trois enfants dans un camp de filtration à Bezimenne, après avoir fui Marioupol en avril 2022 à la suite de l’invasion russe. »
https://www.arte.tv/fr/articles/ukraine-sur-la-piste-des-enfants-voles

Christiane dit: 21 mars 2025 à 13h05

Merci, Jazzi. Passionnant document.
Mais vraiment je ne me souviens pas. Cet échange a été très bref
Tout était étrange dans cet après-midi. J’ai reconnu Clopine sans l’avoir jamais vue à ce qu’elle disait. J’écrivais où je dessinais sur un petit carnet. Nous attendions dans je couloir qui trace un chemin circulaire au niveau moins un. Le temps de la reconnaître, nous étions invités à entrer dans ce petit amphithéâtre. Je l’ai oubliée, écoutant Alain Joubert. Cette conférence était passionnante.
A la fin il a passé la parole au public. Très peu d’interventions sauf la sienne. Puis les gens sont sortis et j’ai dessiné Paris…

J J-J dit: 21 mars 2025 à 13h07

12.53 /// Ben voyons, y’aura toujours des conn.ards pour nous raconter les extrêmes bienfaits de la « colonisation » française sous la 2e et la 3e Républiques et le Second Empire, à l’aune de l’état actuel du pays qui a voulu se décoloniser de l’emprise occidentale. Comme si nous étions des gogos pas au parfum des anachronismes rétrospectifs sous de semblables arguments, toujours les mêmes, nostalériques… Pas bin difficile de comprendre d’où ils « émanent » et sous quels autres pseudos ils se cachent honteusement, pas vrai les pieds noirs à la Bernard (genre…, Staffaronix) !

je cuide dit: 21 mars 2025 à 13h11

Antonio Vallejo-Nájera, l’un des principaux psychiatres du régime, formé dans l’Allemagne nazie, a promu l’idée d’un « gène rouge » marxiste porté par les enfants des opposants de gauche de Franco. Le gène, disait-il, pourrait être supprimé en séparant les enfants de leur mère et en les plaçant dans des familles conservatrices. Les hommes de Franco ont rapidement commencé les enlèvements à grande échelle. Ils ont ciblé les enfants orphelins des pelotons d’exécution de Franco et ont pris les nouveau-nés des femmes qui avaient accouché en prison en tant que prisonnières politiques. Tous ont été envoyés pour être élevés par des personnes loyales au régime. C’est le début de l’ère des « bébés volés ».
https://www.leshumanites-media.com/post/la-folle-histoire-des-b%C3%A9b%C3%A9s-vol%C3%A9s-du-franquisme

J J-J dit: 21 mars 2025 à 13h14

Ai-j bin compris qu’un autre Kornard avait cru devoir comparer supra le portrait de V W à celui de M LP ? N’importe quoi, décidément !

je cuide dit: 21 mars 2025 à 13h25

si ça se trouve, je reconnais les fantasmes des manipulateurs trop malhonnêtes pour arriver à créer un récit tout de fiction

je cuide dit: 21 mars 2025 à 13h39

oui, j’ai trouvé mon prochain pseudo, mais j’attends la date propice!

Claudio Bahia dit: 21 mars 2025 à 13h44

closer dit: 20 mars 2025 à 20h44
« Ta » est peut-être anglais, je n’en sais rien, mais c’est surtout brésilien!
« Ta » est une version raccourcie du fameux » Ta bom », qui signifie, « d’accord », « voilà », etc, utilisé cent fois par jour par les brésiliens.

c’est bien cela, et plus encore:
ta bom, avec le o bien prolongé, peut dire, bon d’accord, tu as raison,
et ta bom assim ?, pour cela va comme ça ?
arruma seu quarto, ta !! range ta chambre, OK !!??
mais aussi Ta certo, tu as raison

em fait, ta est le diminutif de ta bom, mais ta est lui-meme le diminutif de Esta; on devrait donc dire Esta bom, mais c’est trop long, trop fatiguant, même en littérature

je cuide dit: 21 mars 2025 à 13h49

« Même l’esprit de la personne la plus intelligente peut être prisonnier d’hypothèses erronées et de peurs irrationnelles. »Visscher

Jazzi dit: 21 mars 2025 à 13h52

Mon hypothèse d’enfant volée vous fait couler beaucoup d’encre, et alii (en attendant le nouveau faux pseudo) !

je cuide dit: 21 mars 2025 à 14h04

mon pseudo sera par définition un vrai pseudo!
je ne me souviens pas assez précisément du poète argentin ou ?
Qui fut lui-même envolé , (livre emprunté dans une bibli parisienne dont je suis trop loin)
etj’avais espéré le retrouver,en vous signalant au passage quelques recherches confirmées sur chrétienté et dictature,qui valent bie les endives et les bordels sur ce blog
game is over!

MC dit: 21 mars 2025 à 14h09

FL, cette histoire de « moeurs musulmanes » vous la trouvez déjà dans Candide! Veuillot n’y est pas pour grand chose. En revanche, je signale que la famille Lacordaire surnommait, et encore aujourd’hui, Montalembert Monte-a-l-envers! Et il semble il y avoir eu de bonnes raison pour cela…

je cuide dit: 21 mars 2025 à 14h30

La grippe aviaire a provoqué une augmentation du prix des œufs aux États-Unis. Ceux-ci ont vu leur prix s’accroître jusqu’à 59 % sur une année. Pour faire face à cette inflation, Donald Trump aurait demandé de mener des recherches afin de savoir quelle quantité d’œufs pourrait être importée du Danemark. Une lettre dévoilée par Reuters met en avant ces recherches sur les critères d’importation.
e/international/amerique/2025/03/17/apres-le-groenland-trump-demande-au-danemark-de-lui-envoyer-des-oeufs-WC6PI7DNLNCYZP6HSG4U7RO3JU/?cx_testId=27&cx_testVariant=cx_1&cx_artPos=0#cxrecs_s

Claudio Bahia dit: 21 mars 2025 à 14h31

En réponse à JJJ , hier
Non , pas Coimbra, jolie ville presque exclusivement universitaire, mais à Albufeira, petite ville touristique (trop) tout au sud.
Pour Francine aucun problème je n’ai jamais connu personne de ce nom. Ma première épouse se nommait Sophie (de son prénom complet Waltraut Sophie). Elle est morte à l’âge de 40 ans en 1983 , j’avais son âge aussi, tuée par un automobiliste alors qu’elle était sagement à byciclete ( je crois avoir conté cela ici il y a longtemps, peut-être à Renato)

je cuide dit: 21 mars 2025 à 14h52

comme je pensais à la maman de ROSE? J4AI SONG2 QU4IL 2TAIT DOMMAGE QUE CETTE VIEILLE DAME N4AIT PAS UN ANIMAL DE COMPAGNIE auquel elle serait attachée et qui maintenant pourrait vivre à l’EPHAD avec elle;buien des questions de « famille » de rose se trouveraient résolues par la présence de cet animal!

rose dit: 21 mars 2025 à 15h02

Ma mère n’est pas une vieille dame.
Et si vous preniez un animal de compagnie, je cuide ?

Kilékon dit: 21 mars 2025 à 15h07

Mal à la jambe ( leg in english) et alii?

C’est à force de faire des liens.

Kilékon dit: 21 mars 2025 à 15h09

à force de faire des liens

C’est autrement dit : se mélanger les béquilles!

( Miss Béquilles, un autre pseudo).

je cuide dit: 21 mars 2025 à 15h14

KILEKON
INUTILE DE VOUS EMPËCHER DE vous lâcher en connerie pour mobiliser votre pseudo au kilo ou en watt (billet)
je suis occupée et ça ne concerne pas le blog ! a vous de trouver ce qui vous convient le mieux pour vous occuper de vous

Kilékon dit: 21 mars 2025 à 15h22

je suis occupée et ça ne concerne pas le blog !

Mais oh que si, le blog attend avec impatience votre nouveau pseudo pensé à annoncer! 🙂 / 😉

Kilékon dit: 21 mars 2025 à 15h26

et alii,

Vous pourriez vous appeler Endive, cela couperait l’ herbe sous le pieD de D.

Kilékon dit: 21 mars 2025 à 15h36

Ce qui est bien avec vous, D, c’est que vous savez faire bref et sans liens inutiles…

D. dit: 21 mars 2025 à 15h52

J’ai trouvé, pour camp de filtration.
Je ne connaissais pas ce terme.
Ce sont des camps oú l’on retient contre son gré une population pour identifier et trier ceux et celles qui l’a compose. En l’occurrence, pour les Russes, mettre d’un côté les pro-Russes et de l’autre côté les pro-Ukrainiens.

D. dit: 21 mars 2025 à 15h57

Ce qui me pertube, sur la photo de VW, C’est le tissu du fauteuil. Et encore il est reproduit en noir et blanc.
Avouez qu’il y a de quoi déprimer, non ?

D. dit: 21 mars 2025 à 16h09

On voit que ce tissu a reçu deux impressions successives en superposition, très largement décalées, sans bien comprendre si c’est volontaire ou non. Ça créée un malaise supplémentaire, presque subliminal.
Qu’en pensez-vous, Christiane, qui aimez le graphisme ?
Et vous, et alii, qui aimez le subliminal ?

je cuide dit: 21 mars 2025 à 16h16

chers erdéliens, je suis une « suffisamment vieille dame » (P.Assouline est bien plus jeune que moi)pour pouvoir dire « vieille dame »,et je n’aurais jamais osé venir sur ce blog si je n’avais pas été capable de me trouver un pseudo;dinc ne vous fatiquez pas, même si ce que j’ai choisi ne vous plait pas: »je m’en balance » comme dit-presque- la chanson

D. dit: 21 mars 2025 à 16h16

Non, ce n’est pas du Vasarely !
Que j’apprécie d’ailleurs beaucoup.
Qu’est-ce qui vous fait penser ça ?

je cuide dit: 21 mars 2025 à 16h21

j’avais cru que le siège de VW était une chauffeuse, mais à en croire l’image de wiki, non,ce n’est pas ça;tant pis

je cuide dit: 21 mars 2025 à 16h24

S’en balancer signifie que l’on ne tiendrait pas en haute estime une chose ou une personne et que pour signifier ce mépris, on adopterait une posture assez désinvolte pour marquer nettement son sentiment.
Traduction en anglais : (je m’en balance) I don’t give a damn (about)

Christiane dit: 21 mars 2025 à 16h30

https://larepubliquedeslivres.com/virginia-woolf-la-folie/

En 2016. Même fauteuil, même revue.
Le fauteuil doit être confortable mais le tissu est vraiment moche ! Du Vasarely ? Certainement pas.
Mais la lumière, elle, ce visage un peu ingrat mais beau ,ces mains très longues rattrapent le tissu ! Oui, il y a superposition de motifs. Dommage qu’ils n’aient pas continuer jusqu’au un brouillage complet ! Cette photo m’agaçait. Je sais maintenant pour quelle raison : le tissu du fauteuil !

je cuide dit: 21 mars 2025 à 16h32

rose, merci;si je pouvais , je le ferais; mais c’est un peu trop tard pour en acquérir un; si j’en avais eu un déjà, je l’aurais emmené! ce n’est pas un hasard si une loi est récemment passée pour autoriser sinon encourager un animal en EPHAD;c’est un « tiers » remarquable!
il y a surement sur cette question un lien que je ne chercherai pas

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