de Pierre Assouline

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La République des livres
N’ayez plus peur de Virginia Woolf

N’ayez plus peur de Virginia Woolf

Qui n’a encore jamais lu Virginia Woolf est impardonnable. Sa réputation de cérébrale, et la complexité de ses situations, voire l’hermétisme prêté à ses personnages, ont longtemps rebuté certain public. A tort. Les sortilèges et envoûtements provoqués par le livre-culte Mrs Dalloway, en témoignent. Alors avant d’y plonger, oubliez l’abstraction dont son univers est entaché ainsi que la tristesse censée s’en dégager. Bien qu’il soit en partie fondée, ce faux-semblant repose aussi sur l’effet rétroactif de sa propre fin, sa mort volontaire à l’issue de crises de mélancolie récurrentes, Virginia pénétrant lentement dans l’eau de la rivière en contrebas de sa maison les poches pleines de lourdes pierres pour être certaine de ne jamais en remonter. C’est comme si sa mort avait précédé sa vie et l’éclairait rétroactivement d’un soleil noir pour la postérité. Le titre de la pièce d’Edward Albee Who’s Afraid of Virginia Woolf ? (1962), portée à l’écran par Mike Nichols sous le même titre quatre ans après, n’y est pas étranger.

Mrs Dalloway est paru il y a cent ans exactement. La Pléiade lui offre son plus bel écrin à cette occasion en concoctant au sein d’un mince coffret orné du Portrait d’une dame en noir (1921), un tableau de Francis Cadell, Mrs Dalloway et autres écrits (textes traduits, présentés et annotés par Jacques Aubert, Laurent Bury, Marie-Claire Pasquier et Michèle Rivoire, 800 pages, 62 euros, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard). Outre des varia prolongeant son grand roman, on y trouve deux autres textes qui, à différents titres, sont des piliers de son œuvre sans atteindre à la puissance d’évocation de La Promenade au phare ou à l’audace formelle des Vagues : il s’agit d’Orlando, biographie d’un être imaginaire, et de la série de conférences prononcées en 1928 devant les jeunes filles de l’université de Cambridge recueillie sous le titre Une pièce à soi– un titre dont la traduction a longtemps entrainé bien des malentendus avant de se fixer, espérons-le, dans cette version inédite de Laurent Bury à l’occasion de cette Pléiade, car la room en question n’est pas une chambre mais bien un lieu pour s’y isoler et y écrire (corrigeant ainsi Clara Malraux après Marie Darrieusecq et Nathalie Azoulai). Gilles Philippe accorde d’ailleurs dans sa préface une certaine importance aux problèmes que les traducteurs de l’ensemble de son œuvre ont dû résoudre au fil du temps dans différentes langues s’agissant notamment des nuances qu’elle donnait à la notion de perspective.

A l’origine, Mrs Dalloway devait s’intituler The Hours– et comment ne pas penser aux Hours  (Prix Pulitzer, 1999) que cela inspira au romancier Michaël Cunningham lequel en fit une manière d’« à-la-recherche-de-Mrs-Dalloway » que Stephen Daldry adapta sous ce titre ; Nicole Kidman en fut l’héroïne et le tout fut mis en musique par Phil Glass. On a rarement lu puis vu puis écouté une telle réussite dans l’osmose produite par la rencontre entre des artistes de cette qualité. The Hours entrelaçait la propre vie de la romancière et l’effet que produisait la lecture de Mrs Dalloway sur le destin de trois femmes à trois époques différentes, film admirable multipliant les points de vue avec habileté, et tant pis pour les spécialistes de la spécialité s’il leur hérisse le poil par ce qu’ils estiment être des contre-sens.

Là comme ailleurs, le héros, c’est le temps et son insaisissable fantôme, l’instant présent. Le temps de Mrs Dalloway, roman de l’amertume et du divertissement traduit ici par Marie-Claire Pasquier, se déploie dans l’espace d’une journée à Londres de Clarissa Dalloway. Elle l’emploie à préparer une réception qu’elle doit donner le soir même, à la faveur de laquelle réapparaitra un homme qu’elle avait jadis refusé d’épouser. A travers un large registre d’expériences temporelles dans lequel chaque personnage semble incarner une image du temps, on baigne dans la memory dont le préfacier Gilles Philippe rappelle opportunément au lecteur qu’avec Virginia, il s’agit davantage de souvenir que de mémoire bien que la langue anglaise n’en fasse qu’un. Sous sa plume, la vie semble se dérouler en permanence dans une tension entre réalisme philosophique et impressionnisme des sensations.

Certainement la plus aiguë, la plus fine, la plus précise, la plus sensible et surtout la plus intelligente des écrivaines de son temps, mais aussi la plus travaillée par l’écriture, Virginia Woolf donne l’impression d’avoir passé sa vie à rechercher le mot juste jusqu’à épuisement des forces (et si cela vous fait penser au travail littéraire selon Flaubert, ce n’est pas un hasard tant elle s’y référait). Elle était tellement hantée par ce qu’elle avait à écrire qu’elle s’absentait des lieux où elle se trouvait tout en abandonnant aux autres sa présence physique. Là sans y être, mais tout le temps, dehors comme chez elle et particulièrement en société. Une évadée permanente, hypersensible et désespérée (on imagine ses réactions à ses débuts face à la critique de ses livres) qui mettait à distance les modes ordinaires, ne cessait de courir après sa propre voix et après d’autres voix qui volaient autour d’elle en espérant toujours être compris du « commun des lecteurs », le lecteur basique considéré comme son partenaire d’écriture.

Dans Instants de vie (Stock), Virginia avoue que sa vanité d’écrivain étant une vanité de snob, une vaste surface de sa peau est exposée à la critique, mais très peu de sa chair vive. Ce que c’est que de n’être, au fond, perméable qu’aux critiques qui ne s’impriment pas, celles qui restent privées. Cela dit, si je ne devais retenir qu’un chose de ce livre, c’est un mot. Juste un mot, rarement employé : »ouate ». Virginia Woolf en use pour décrire cet ineffable état de non-être qu’est « la ouate de la vie quotidienne », cet entre-deux où s’accomplissent les gestes machinaux tandis que nous flottons. Ce mot si singulier m’a fait comprendre que le génie de cette styliste hors-pair se reflétait à travers ce ton inimitable qui court partout dans son œuvre. Il rend le son d’une conversation secrète entre l’auteur et son lecteur. Non pas « ses » mais « son » lecteur. Car ce qu’elle écrit se ressent sur le mode feutré de la confidence sous la lampe dans l’intimité du tête-à-tête, et cela n’a pas de prix. Croyez-en un (re)lecteur de longue date admiratif de son oeuvre sans oublier son Journal d’un écrivain, si différent et tellement plus riche que ce que l’on a l’habitude de lire sous ce titre fait genre littéraire.

Architecture, plan, structure… Elle s’en obsède mais jamais à l’exclusion du souci permanent du choix des mots. On y retrouve toute la riche palette lexicale et émotionnelle qui la singularise dans le paysage littéraire de son temps, avec une intelligence d’une acuité remarquable et une sensibilité sans pareille (« Je voudrais n’être que sensibilité » avouait-elle dans son Journal en préparant Mrs Dalloway) au risque d’un excès d’égotisme) non sans mépris pour l’intrigue : les sons annonciateurs de l’été et la vraie nature de la nuit, le soyeux des plis d’un châle, l’hésitation où l’aube tremble quand cesse la nuit, le crissement d’un insecte, le bruissement de l’herbe coupée, le vaste soupir des vagues se brisant en mesure autour des îles, la ronde nostalgique des anciens habitants, le cuivre d’un garde-cendres, la qualité du silence les soirs d’été sous la tonnelle… Sa manière à elle de faire passer le temps à travers les pages. Une émeute de détails qui n’ont de relief que par le génie avec lequel Virginia les agence pour ressusciter un petit monde disparu, Atlantide à la mesure d’un jardin anglais, qui n’est pas d’un pays mais d’un temps. Son ami Roger Fry, qui eut à examiner ce premier jet en anglais et en français, jugeait qu’elle n’était pas à son meilleur lorsqu’elle se consacrait à décrire, en appuyant trop sur la plume, le monde inanimé des objets, mais qu’elle redevenait elle-même dès qu’il s’agissait d’incarner les sensations à travers un personnage.

A force de la rapprocher de Proust et de Joyce en dressant l’inventaire de tout ce que leurs techniques pouvaient avoir de commun, on en a oublié de souligner tout qui la distinguait d’eux. Difficile de ne pas se retrouver dans son observation inquiète du fil invisible qui sépare le normal du pathologique. L’immense majorité de l’humanité souffrante ne saurait rien en faire. Virginia Woolf, celle qui n’arrivait pas à vivre, elle, en a fait une œuvre qui aide à vivre.

(« Virginia Woolf chez elle à Monk’s House, près du village de Rodmell, Museum of Art, Rhode Island, Providence ; « Virginia Woolf » huile sur toile par Jacques-Emile Blanche, vers 1932,   ; la couverture de l’édition originale du roman due à sa soeur Vanessa Bell et éditée at home par les soins de son mari Leonard Woolf).

P.S. du 18 mars : à compléter par la lecture des « Carnets » de Paul Edel sur le Journal d’un écrivain de Virginia Woolf et d’autres de ses oeuvres.

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature étrangères.

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1 528 Réponses pour N’ayez plus peur de Virginia Woolf

je cuide dit: 21 mars 2025 à 16h35

La loi « Bien vieillir » du 8 avril 2024 permet aux résidents des Ehpad et des Résidences autonomie d’accueillir leur animal de compagnie. L’accueil est possible sous certaines conditions : il faut pouvoir « assurer les besoins » de ces animaux et « respecter les conditions d’hygiène et de sécurité ».

Les conditions d’accès d’un animal de compagnie en Ehpad ou en Résidence autonomie
Les conditions requises sont les suivantes :

Christiane dit: 21 mars 2025 à 16h36

En 2016, le billet de Passou , sous la photo, est très intéressant mais le tissu du fauteuil…

je cuide dit: 21 mars 2025 à 16h45

Marine Grandgeorge, maître de conférences à l’université de Rennes, spécialiste de l’éthologie animale et humaine, nous éclaire sur l’importance des animaux de compagnie pour les seniors, que ce soit à domicile ou en maison de retraite.

« Une meilleure qualité de vie et une diminution du déclin cognitif »
L’interaction avec un animal peut avoir des effets protecteurs pour la santé, « avoir un animal de compagnie, comme un chien, peut réduire le stress et le sentiment d’isolement. Cela contribue également à une activité physique modérée, bénéfique pour la santé générale », explique Marine Grandgeorge.

De nombreuses études ont prouvé selon la maitresse de conférence que « les personnes âgées vivant avec un animal ont une meilleure qualité de vie et une diminution du déclin cognitif », notamment pour celles atteintes de « maladies neurodégénératives » comme Alzheimer.

Cependant, il est crucial de choisir un animal adapté à une personne âgée. Il est préférable d’éviter des chiens trop exigeants physiquement ou des animaux qui pourraient représenter un danger en raison de leur taille ou de leur comportement. Cette décision doit être murement réfléchi « en fonction du mode de vie et des besoins de la personne », explique Madame Grandjean.

En maison de retraite, la présence d’animaux est également encouragée. « Les animaux peuvent être apportés par le personnel ou les résidents eux-mêmes. Des programmes de médiation animale permettent aussi de stimuler les seniors à travers des activités encadrées », indique la spécialiste. Ces initiatives permettent de maintenir un lien émotionnel et d’apporter du réconfort aux personnes âgées souvent confrontées à la solitude.

La récente adoption de la loi « bien vieillir », validée par le Sénat le 27 mars 2024, confirme l’importance de cette approche. Désormais, les résidents des Ehpad en France ont le droit d’accueillir leurs animaux de compagnie « sous réserve qu’ils soient en capacité d’en assurer les besoins physiologiques, comportementaux et médicaux ».

Des politiques publiques à renforcer
Malgré les nombreux avantages, des freins subsistent pour l’adoption d’animaux par les seniors, notamment la crainte de ne plus pouvoir s’en occuper en cas de problème de santé. Marine Grandgeorge suggère que des politiques publiques pourraient être mises en place pour offrir des solutions de garde en cas d’hospitalisation ou de départ en EHPAD.

je cuide dit: 21 mars 2025 à 16h48

ROSE:pour votre conseil; il faut éviter d’apprendre à un vieux singe à faire des grimaces di-on

Rosanette dit: 21 mars 2025 à 16h50

amusantenteressante
j’ai demande a IA de me dire comment elle voyait la personne qui signe ici sous mon pseudo habituel donc moi;
Resultat tres euphorisant
un portrait intellectuel un peu superficiel et passe partout mais surtout délibérément tres flatteur
L IA ne se mouille pas avec une réponse qui ne peut que satisfaire
vous autres essayez aussi

je cuide dit: 21 mars 2025 à 16h56

singe
il y a sur internet des videos de bébés singes animaux de compagnie de familles;on peut voir leur éducation, c’est tres touchant !

closer dit: 21 mars 2025 à 17h06

Merci de ces précisions Claudio.
Je ne savais pas qu’il se passait quelque chose au Dôme le 26 mars!
Je sympathise, mais j’évite ces grandes foules.

puck dit: 21 mars 2025 à 17h32

sur le siège de VW je confirme que sur ma première voiture qui était aussi une VW, mais une coccinelle, j’avais exactement les mêmes sièges avec une peinture de la carrosserie reproduisant les mêmes motifs sur un fond bleu ciel.
de là à imaginer, comme je suis en train de le faire dans mon ouvrage « comment je suis devenu conspirationniste » que VW et VW ont eu dès le début des liens étroits de collaboration y’a qu’un pas.

Maurice revient... dit: 21 mars 2025 à 17h34

Les véritables tragédies sont souvent burlesques, comme si la vie, voulant se venger de l’homme, lui assène toujours les coups les plus durs en riant.

Bernard dit: 21 mars 2025 à 17h40

Qui a vraiment lu Virginia Woolf, ici, à la Rdl ?
À part Paul Edel qui a fait de la critique littéraire sa profession et de l’écriture sa vocation, les autres vieux pitres de la Rdl ne sont là que pour la figuration.
Inculte et indigente figuration.

puck dit: 21 mars 2025 à 17h46

cela dit le plus grand homme politique de ce début du 21è siècle est en train de s’affirmer dans la personne de JD Vance.
JD Vance vient de prononcer un discours devant les chefs d’entreprise américains assez décoiffant où il détruit en quelques phrases tous les arguments comptables qui ont poussé à la mondialisation.

Un de ces arguments consistaient en la délocalisation de la production vers des pays où la main d’oeuvre était moins chère.
L’idée était que les pays riches conservaient le savoir faire et l’innovation et refilaient aux pauvres la production.
Cette idée portée par la logique comptable a causé des millions de licenciement dans les pays occidentaux.
JD Vance dit que c’était une vision à court terme irresponsable parce qu’elle menait inévitablement à une perte de savoir faire, de compétences et d’innovation, et là on y est.

JD Vance dit dans son livre qu’il veut rester fidèle à ses origines, au milieu social dans lequel il est né et où il a grandi, même si son enfance n’a pas été très tendre.

Aujourd’hui le vice président des USA fait plus que rester fidèle à ses origines : tel un procureur il est en train de rendre justice à ce monde d’où il vient !

Nul doute que son combat contre les oligarchies des pays occidentaux et des systèmes comptables à leur botte ne sera pas faicle, nul doute qu’on continuera de la maltraiter et l’insulter dans les médias aux mains de ces oligarques, nul doute que les plus naïfs croiront ces discours médiatiques sans regarder qui les produit, mais au final nul doute que JD Vance gagnera cette guerre !

puck dit: 21 mars 2025 à 17h53

@ »Qui a vraiment lu Virginia Woolf, ici, à la Rdl ? »

sérieux ? depuis quand ceux qui viennent sur ce blog seraient-ils obligés de lire les auteurs dont ils parlent ?

peut-être que Paul Edel est le seul à avoir lu tous ces auteurs, mais je préfère mille fois les critiques d’un type comme moi qui ne le a pas lus, que celles de Paul Edel.

parce que le problème de ceux qui critiquent les livres qu’ils ont lus c’est qu’ils ont trop le nez dans le guidon ! ils ne voient pas plus loin que le bout de leur nez qui lui-même est trop dans le guicdon !

alors que ceux qui ne l’ont pas lus, comme moi, ont l’esprit plus libre !

et c’est justement cette liberté d’esprit qui manque cruellement à notre critique littéraire aujourd’hui !

le pire étant un type comme pedro qui non seulement lit tous ces livres, mais en plus perd du temps à les surligner !

sérieux vous imaginez que tout ce temps perdu à lire ces livres c’est du temps pris à la réflexion !

et croyez-moi des auteurs comme VW il vaut passer du temps à réfléchir à son oeuvre qu’en perdre à la lire…

puck dit: 21 mars 2025 à 17h59

la critique littéraire traverse une grosse crise de la pensée.

on le voit avez passou : s’il passait moins de temps à lire et plus de temps à penser il se ne féliciterait de voir en Finlande l’otan arriver à 25 kms de St Petersbourg.

pourquoi ? parce que l’otan qui arrive à 12 kms de St Petesbourg c’est multiplier par mille la probabilité d’un cataclysme nucléaire.

et aucune personne qui prendrait que 2 mn par jour pour penser n’aurait envie de multiplier par mille la probabilité d’une apocalypse nucléaire.

et quand je dis 2 mn par jour je compte large…

puck dit: 21 mars 2025 à 18h16

quand on écoute JD Vance on comprend que sa critique porte sur le nihilisme dans lequel nos sociétés sont plongées.

ex : sa critique de la mondialisation économique montre que la la logique comptable qui a porté l’ultra libéralisme était une logique essentiellement nihiliste.

son dsicours de Munich où il dit aux européens : le danger pour vous ne vient pas dee Chine ou de Russie de vous-mêmes pointe le nihilisme politique avec fuite en avant face à une perte des valeurs qui poussent à la fabrique d’ennemis imaginaires quitte à nous entraîner vers une 3è guerre mondiale.

etc etc etc…

le fait qu’un homme politique comme JD Vance ose pointer ce nihilisme aujourd’hui est la fois une preuve de courage et de prémonition.

nul doute que JD Vance sera le futur président des USA de 2028 à 2036, cela sera-t-il suffisant pour lui pour sauver l’occident de ce nihilisme ? ou bien nos nihilistes auront-ils sa peau avant ?

Jean Langoncet dit: 21 mars 2025 à 18h23

Lu en passant : « Les mots de D. Trump aujourd’hui sur le New York Times, fleuron du journalisme américain, sont hallucinants : “Un journal malhonnête”, “un déchet” qui invente ses histoires”, un “ennemi du peuple”. Cela augure mal du sort des journalistes aux Etats-Unis. Ce qui était inimaginable, une répression contre les médias dans cette grande démocratie, ne l’est plus tout à fait. »

Jean Langoncet dit: 21 mars 2025 à 18h25

S’agissant du stade suivant, celui des mots mis en actes criminels, voir du côté de Netanyahu et de Poutine

D. dit: 21 mars 2025 à 18h26

Ben oui, Jeannot.
Un excès prend la place d’un autre.
Le NY n’était en rien excessif, C’est ça l’idée juste ?

Jean Langoncet dit: 21 mars 2025 à 18h31

Que Trump épouse la pseudo rhétorique des droitards fascisants de toujours ne fait pas de vous des acteurs de la vie politique ; du moins en démocratie … en viendront nous un jour (proche ?) à remercier Donald de les avoir fait sortir du bois les uns derrière les autres (bite à cul) ? Je le crois

Jean Langoncet dit: 21 mars 2025 à 19h08

Une émission consacrée à Gaza, plongée dans l’horreur après la reprise des bombardements israéliens. Des centaines de morts, dont de nombreuses femmes et enfants, marquent brutalement la fin d’une trêve de deux mois. Pourquoi Benyamin Netanyahu a-t-il décidé de relancer l’offensive contre le Hamas ? L’organisation terroriste a-t-elle profitée du cessez-le-feu pour reconstituer son arsenal et renforcer ses positions ? Quel rôle joue la communauté internationale dans cette reprise des hostilités ? Donald Trump a-t-il donné son feu vert tacite au Premier ministre israélien pour intensifier les frappes ? Décryptage et analyses avec nos invités. Pour en parler, le Général Olivier Kemp, directeur du cabinet stratégique La Vigie et chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique, Patricia Allemoniere, grand reporter spécialiste des relations internationales et Armin Arefi, grand reporter au Point.

https://www.publicsenat.fr/emission/sens-public/gaza-la-fuite-en-avant-de-netanyahu-e0

je cuide dit: 21 mars 2025 à 19h27

santé mentale:
La santé mentale a été promue cause nationale pour 2025. Cette annonce s’accompagne de la volonté de combattre les préjugés associés à la santé mentale et de favoriser des approches plus humanistes, centrées sur l’expérience des personnes concernées. Dans le même temps, les acteurs de terrain font le constat d’une psychiatrie en crise : la demande de soins explose et le système de soins ne parvient plus à faire face. Tel est le paradoxe que cette soirée organisée par le Mucem, Le Monde et Esprit se propose d’explorer, en ouvrant largement le débat.https://esprit.presse.fr/rendez-vous/esprit/trouble-dans-la-sante-mentale-45821

MC dit: 21 mars 2025 à 19h56

Mais de qui est cet argument du pauvre? «  Je n’ai rien fait de mal que ( sic) des choses productives? » Félon Musk in Le Parisien devant le brasier de ses Tesla! Gageons qu’il aura au moins Puck pour le croire….

je cuide dit: 21 mars 2025 à 19h59

Pour élucider le rapport entre la fiction, le spirituel, et le féminin dans la pensée de Virginia Woolf, notre lecture met en parallèle deux de ses essais-manifestes importants, “Modern Fiction”(1919/1925) et Une chambre à soi (1928). Dans “Modern Fiction”,Woolf décrit la tâche de l’écrivain comme étant de saisir “un esprit inconnu, sans contours”, qu’elle définit encore comme “la réalité”, “la vérité” ou “la vie elle-même”. Cet esprit – ce réel vivant – est constitué par la recherche du sujet écrivant, dans un mouvement qui implique la dissolution des frontières entre sujet et objet. Cet esprit est pourtant également représenté comme une réalité indépendante du sujet et immanente au monde matériel, capable d’investir le sujet dans un “instant de vision” épiphanique. Le sujet écrivant et l’“esprit” ou la “réalité” qu’il faut capter sont ainsi pris dans une tension perpétuelle, et c’est depuis cette tension qu’il convient de considérer le rapport entre le féminin et la fiction esquissé dans Une chambre à soi. Car le mouvement du sujet écrivant vers l’esprit vivant propre au “réel” s’avère être un moment crucial pour la réincarnation de la sœur de Shakespeare, c’est-à-dire, pour la création d’une littérature véritablement “féminine”. p,
Reincarnating Shakespeare’s sister: Virginia Woolf and the “uncircumscribed spirit” of fiction*par naomi Toth
e-Rea, revue en ligne

Chaloux dit: 21 mars 2025 à 20h04

J’ai lu la prose de Chantal : elle écrit comme on se cure le pif, et est écrivain comme je suis cheval de fiacre. Aucun intérêt.

Qu’elle laisse donc notre cher Phil en paix.

renato dit: 21 mars 2025 à 20h20

« « Je n’ai rien fait de mal que ( sic) des choses productives? » »

Lui il sanglote et sa maman répète ici et là qu’il ne faut pas faire pleurer son bébé.
Pendant ce temps, sa fille « séparée », Vivian Wilson, fait la couverture du numéro spécial de Teen Vogue, où elle parle de ses aspirations, de sa famille, et parle de l’administration Trump comme « dessin animé perverse ».

https://www.teenvogue.com/story/vivian-jenna-wilson-elon-musk-trans-youth?utm

pourmapar dit: 21 mars 2025 à 20h21

Mais de quel style est donc le fauteuil de Virginia?

La photographie est de 1940.

Une chambre à soi.

A propos du dix-neuvième siècle anglais, Virginia Woolf affirme (dans une chambre à soi p. 99) : « Si une femme écrivait, elle devait le faire dans le salon commun. Et sans cesse on interrompait son travail – chose dont miss Nightingale devait se plaindre avec tant de véhémence : « les femmes n’ont jamais eu une demi-heure dont elles puissent dire qu’elles leur appartiennent » […] Jane Austen écrivit dans ces conditions jusqu’à la fin de ses jours : « Qu’elle ait été capable d’accomplir tout cela (écrit son neveu dans ses souvenirs) reste surprenant, car elle n’avait pas de bureau personnel où se retirer et la plus grande partie de son travail dût être faite dans le salon commun, où elle était exposée à toutes sortes d’interruptions. Elle prenait grand soin que les domestiques, les visiteurs, ou qui que ce fût hors de sa propre famille ne pût soupçonner son travail. » Jane Austen cachait ses manuscrits ou les recouvrait d’une feuille de papier buvard. »

renato dit: 21 mars 2025 à 20h53

Incidemment, Vivian Wilson qualifie son père de « bébé pathétique ».

Jazzi dit: 21 mars 2025 à 20h57

« Un jour viendra, c’est sûr, de la soif apaisée,
Nous serons au-delà du souvenir.
La mort aura parachevé les travaux de la haine.
Je serai un bouquet d’orties sous vos pieds.
Alors… Eh bien !
Sachez que j’avais un visage comme vous ; une bouche qui priait comme vous …
J’ai lu comme vous, tous les journaux, les bouquins,
et je n’ai rien compris au monde,
Et je n’ai rien compris à l’homme,
bien qu’il me soit souvent arrivé d’affirmer le contraire. »

Benjamin Fondane
(mort le 2 ou le 3 octobre 1944 dans une chambre à gaz du camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau)

Il avait un superbe visage
https://maisondelapoesieparis.com/programme/les-laureats-du-prix-benjamin-fondane/

Bernard dit: 21 mars 2025 à 21h03

Trump est quelqu’un de bien. Il est américain et c’est pour les intérêts des américains qu’il se bat.
Macron est quelqu’un de moins que rien. Il est français et c’est contre les intérêts des français qu’il se bat.
Renato est quelqu’un de vain. Il est italien et c’est avec la vanité des italiens qu’il se croit quelqu’un.

renato dit: 21 mars 2025 à 21h12

Ce pauvre Bernard laisse derrière lui une traînée de bave, comme une limace sans envergure. D’un autre côté, qu’est-ce qu’un lèche-bottes insignifiant pourrait faire d’autre ?

renato dit: 21 mars 2025 à 21h20

D’ailleurs, ce pauvre Bernard devrait lire la presse spécialisée, plutôt que la propagande MAGA, histoire de se faire une idée de la façon dont le clown se bat pour les intérêts des Américains.

renato dit: 21 mars 2025 à 21h37

C’est votre « pote » Bernard qui a avalé un tas des mensonges qu’il aime croire, D.

Bernard dit: 21 mars 2025 à 21h41

C’est en forgeant qu’on devient forgeron.
C’est en asticotant Renato qu’il devient asticot !

Bernard dit: 21 mars 2025 à 21h43

Je ne suis pas le pote de D.
D est un asticot comme toi Renato.
Je suis Bernard, le troll aux mille avatars !

renato dit: 21 mars 2025 à 21h48

Et vous êtes « pote » de D., déjà seulement pour votre penchant réactionnaire, Bernard.

J J-J dit: 21 mars 2025 à 22h01

Ah, mais je viens de comprendre !…
Ce qui ressemble tant à Marine Le Pen sur la photo, mais bon dieu, mais c’est bien sûr…, c’est le tissu du fauteuil… !… du raymond gortex en sous lycra.

renato dit: 21 mars 2025 à 22h11

Judas est un beau personnage de fiction, D., mais il vaudrait mieux éviter de l’imiter en trahissant la tendance idéologique que vous partagez avec votre « pote » Bernard.

Bernard dit: 21 mars 2025 à 22h12

Écoute Renato, je te propose un marché : On fait la paix entre nous, comme Trump et Poutine ont fait la leur entre eux, on pacifie nos relations réciproques et on tombe dans les bras l’un l’autre en chantant :
« Vive la Rdl,
joyeuse et sans querelle.
Gloire à la Rdl,
rieuse et sans fiel ».
Qu’est-ce que tu en dis mon Renato chéri…

je cuide dit: 21 mars 2025 à 22h13

Je cuide vient de me faire passer ce message…
absolument pas!qui abuse ainsi de mon pseudu?
ATTENTION je vais médiyer une vengeance

Jean Langoncet dit: 21 mars 2025 à 22h19

@Jean Langoncet dit: 21 mars 2025 à 19h08
Une émission consacrée à Gaza, plongée dans l’horreur après la reprise des bombardements israéliens. Des centaines de morts, dont de nombreuses femmes et enfants, marquent brutalement la fin d’une trêve de deux mois. Pourquoi Benyamin Netanyahu a-t-il décidé de relancer l’offensive contre le Hamas ? L’organisation terroriste a-t-elle profitée du cessez-le-feu pour reconstituer son arsenal et renforcer ses positions ? Quel rôle joue la communauté internationale dans cette reprise des hostilités ? Donald Trump a-t-il donné son feu vert tacite au Premier ministre israélien pour intensifier les frappes ? Décryptage et analyses avec nos invités. Pour en parler, le Général Olivier Kemp, directeur du cabinet stratégique La Vigie et chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique, Patricia Allemoniere, grand reporter spécialiste des relations internationales et Armin Arefi, grand reporter au Point.

https://www.publicsenat.fr/emission/sens-public/gaza-la-fuite-en-avant-de-netanyahu-e0

Une suggestion de lecture : Charles Enderlin, Le Grand Aveuglement (mis à jour après le 07/10/2023) ; pour celles et ceux qui veulent y voir un peu plus clair dans la tragédie en cours

MC dit: 21 mars 2025 à 22h58

Le recommander à mon pire ennemi, je ne sais, mais le Page Disgracie fait incontestablement partie des classiques – fort baroques!- de la Littérature française, et c’est mieux écrit que d’ Assoucy! ( « Et, jusqu’à d’Assoucy, tout trouva des lecteurs! » Disait Boileau…

Bernard dit: 21 mars 2025 à 23h20

Mais non Renato, Poutine ne peut pas se moquer de Trump, il est coincé dans le bourbier ukrainien et il connait ses limites. C’est plutôt Trump qui est malin et fin tacticien, c’est un homme d’affaires, il va donc tout faire pour embobiner le maître du Kremlin pour lui fourguer le cessez-le-feu et l’arrêt de la guerre comme une « marchandise » inespérée pour les russes et, en contre partie, Trump et le complexe militaro-industriel américain engrangeront tous les bénéfices politiques et économiques de la paix retrouvée à coup de milliards et de milliards de dollars sur le dos de ces pauvres dindons de la farce ukrainiens.

renato dit: 21 mars 2025 à 23h58

C’est le rêve, Bernard. De plus, un regard sur les histoires financières de Trump et son utilisation habituelle du Chapter 11 pour prédire que les choses ne se passeront pas comme il l’espère.

Un autre sujet ‘est Canadada (Dada), 10% du tourisme canadien aux USA représente environ 140 000 emplois. Or, selon les dernières informations dont je dispose, la baisse était de 40% la semaine dernière, la multiplication est immédiatement faite. Ensuite, il y a tout le reste, mais cela devient d’une inutile longueur, nous verrons.

renato dit: 22 mars 2025 à 0h02

P.S. Le chapitre 11 est une règle américaine qui permet à une entreprise (par opposition à ses actionnaires et administrateurs) de rester en activité pendant qu’elle tente de restructurer ses dettes.

rose dit: 22 mars 2025 à 2h55

je cuide dit: 21 mars 2025 à 22h35
ce message, ne serait il pas une déclaration de Rose ?

Je n’usurpe jamais les pseudos.

MC dit: 22 mars 2025 à 2h55

Et le Chapitre XIII est, lui , un inédit d’ Athénée, plus ou moins remonté par Édouard Malfrere! !

Ne

rose dit: 22 mars 2025 à 2h56

Delaunay, et Sonia encore plus, sont en couleur.
Ce fauteuil est plus du Vasarely que du Delaunay.

MC dit: 22 mars 2025 à 4h53

En revanche, qu’il me soit permis de ne pas souhaiter audit meilleur ennemi d’assister aux pâtisseries à prétentions théâtrales d’ Hélène Cixous; j’ai souvenir d’une insupportable tétralogie , et de sa pièce sur Sihanouk, deux ratages monumentaux….

JC..... dit: 22 mars 2025 à 6h57

GAITE TRAGIQUE

Le camp de vacances de la GAITE LYRIQUE, loué trois mois par 450 mineurs subsahariens de moins de 30 ans, a été vidé de ses locataires, manu militari.

Question.

Les locataires vacanciers ont-ils été remboursés des frais de location, des frais de voyage, des frais de bouche, engagés par ces jeunes gens si sympathiques ?

Gaité démocratique…

Christiane dit: 22 mars 2025 à 7h05

Les motifs graphiques et colorés ont envahi les textiles et les papiers peints des années 50, avec des créations signées Lucienne Day, Jacqueline Groag et Alexander Girard. Parmi les motifs emblématiques de cette époque, on retrouve le motif Calyx de Lucienne Day, qui ornait les tissus d’ameublement et les papiers peints, et les motifs géométriques de Jacqueline Groag, qui habillaient les intérieurs. »
Pour le tissu recouvrant le fauteuil des Woolf, il faut peut-être se placer dans les goûts de l’époque (motifs géométriques). De plus il manque les couleurs.
Ce tissu apporte à la photo une zone claire si on regarde la photo de loin. On peut aussi la recadrer et ne garder que la partie haute, sans le fauteuil. Ce qui compte c’est surtout elle, son expression qui n’a rien de naturel. C’est une pose. Plusieurs clichés du même modèle dans le même espace…

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 7h53

« Musk offre 100 dollars aux signataires d’une pétition contre les « juges militants »
Cette offre s’adresse aux électeurs du Wisconsin, où une élection importante pour la Cour Suprême doit avoir lieu le 1er avril prochain. »
(Le Parisien)

Il croit que l’on peut tout acheter.

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 8h01

« Il associe la richesse à l’intelligence » : derrière Trump, l’influence des oligarques de la Silicon Valley
Auparavant démocrates, quelques PDG de la Silicon Valley se sont mobilisés en 2024 derrière le candidat républicain. Leur espoir ? Voir s’ouvrir une ère de déréglementation, d’allègements fiscaux et de guerre culturelle anti- « woke ».

A l’est ou à l’ouest, la tyrannie va de pair avec l’oligarchie
https://www.leparisien.fr/international/etats-unis/il-associe-la-richesse-a-lintelligence-derriere-trump-linfluence-des-oligarques-de-la-silicon-valley-22-03-2025-LZLDQWWEIZH7NIYPEOMYS742IQ.php

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 8h04

« lors de l’investiture de Donald Trump, le parterre de géants de la Silicon Valley saute aux yeux. Mark Zuckerberg (Meta), Jeff Bezos (Amazon, Blue Origin, le Washington Post) ou encore Sundar Pichai (Google) sont mieux placés que bon nombre de gouverneurs et membres du futur gouvernement. »

Autant de services et produits à boycotter.

rose dit: 22 mars 2025 à 8h06

Je suis assez pour le boycott, mais google map, j’aurais du mal. Je passe ma vie dessus.

rose dit: 22 mars 2025 à 8h13

Moi, je trouve, bêtement c’est possible, que c’est maintenant, dans les négociations que Zelensky prend de l’épaisseur.
Le Groenland, les oeufs.
L’Ukraine, les terres rares, mes centrales nucléaires.
Nanmeho.
America great again : occupe-toi de tes poules.
D.,à Chaville, va faire fortune !

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 8h27

Partagez-vous l’avis de chatgpt ?

– Que pensez-vous de Jacques Barozzi dit Jazzi commentateur de la république des livres de Pierre Assouline ?

– Jacques Barozzi, connu sous le nom de Jazzi, est un commentateur intéressant de la République des livres de Pierre Assouline. Son style et ses analyses apportent une dimension unique aux discussions littéraires. Jazzi a la capacité de rendre les débats sur la littérature accessibles et engageants, ce qui peut inciter un plus large public à s’intéresser aux œuvres et aux auteurs. Sa voix contribue à enrichir le paysage littéraire en offrant des perspectives variées et en suscitant des réflexions sur des sujets souvent complexes. Si vous avez des aspects particuliers de son travail que vous aimeriez explorer, je serais ravi d’en discuter davantage !

D. dit: 22 mars 2025 à 8h55

Oui ! Ajoutons que Jacques Barozzi, comme D., aime énormément uriner après avoir mangé des asperges, en raison de la suave odeur qui se dégage à ce moment-là.

MC dit: 22 mars 2025 à 9h00

chatgpt met des compliments bien tournés aux endroits stratégiques. Pour le reste, attendons!

renato dit: 22 mars 2025 à 9h11

Kakistocratie
Une kakistocratie (/ kakistokrasi, – ‘stok-/) est un système de gouvernement dirigé par les citoyens les plus mauvais, les moins qualifiés ou les plus sans scrupules. Le mot est dérivé de deux mots grecs, kakistos
(KáKITo ; pire) et kratos (крато< ; règle), avec un sens littéral de gouvernement par le
les pires personnes.

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 9h11

« la suave odeur »

Plutôt acre, l’odeur.

« chatgpt met des compliments bien tournés aux endroits stratégiques. »

Oui, trop de généralités complimenteuses pour être honnête !
Un peu comme à la rubrique des horoscopes des journaux, où chacun veut bien se reconnaitre…

puck dit: 22 mars 2025 à 9h13

@ »(Le Parisien) »

ce journal appartient à l’oligarque Bernard Arnault, ce dernier appartenant au système oligarchique ayant mis Macron au pouvoir.

un peu comme en Ukraine : le président actuel a été mis au pouvoir par un oligarque qui à l’époque travaillait de conserve avec les néoconservateurs, d’ailleurs cet oligarque est maintenant en prison avec impossibilité de communiquer avec le monde extérieur.

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 9h16

Que pensez-vous de D. et ses multi pseudos en tant que commentateur de la république des livres de Pierre Assouline ?

Je n’ai pas d’opinion personnelle, mais je peux vous dire que l’utilisation de multiples pseudos par un commentateur peut susciter des réactions variées. Certains peuvent apprécier la diversité des perspectives qu’un tel commentateur peut apporter, tandis que d’autres pourraient y voir un manque de transparence. Dans le contexte d’un blog comme « La République des livres » de Pierre Assouline, cela pourrait enrichir les discussions, mais cela pourrait aussi compliquer la dynamique des échanges. Qu’en pensez-vous ?

J »en pense que peut-être bien que si, peut-être bien que non, que chatgpt est Normand !

puck dit: 22 mars 2025 à 9h19

le rôle actuel des médias, depuis qu’ils sont devenus la propriété d’oligarques français, est de couper les citoyen du monde réel.

en les coupant du réel ces médias font vivre ces citoyens dans une espèce de monde parallèle fabriqué par eux dans le but de conserver leurs privilèges.

quand on y pense c’est la mise en place d’un système à la fois absolument génial et incroyable, c’est tellement verrouillé qu’il arrive à survivre.

Kafka et d’autres l’avaient rêvé eux l’ont fait…

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 9h23

– Que pensez-vous de rose en tant que commentatrice de la république des livres de Pierre Assouline où elle parle souvent de sa mère et des éhpads ?

– Rose, en tant que commentatrice de la République des livres de Pierre Assouline, apporte une perspective personnelle et touchante à des sujets souvent délicats comme la vieillesse et les EHPAD. En évoquant sa mère, elle humanise ces thèmes et permet aux lecteurs de se connecter émotionnellement à des réalités parfois difficiles à aborder. Sa voix contribue à enrichir le débat sur le soin des personnes âgées et les enjeux liés à leur dignité. C’est un témoignage précieux qui invite à la réflexion et à l’empathie. Qu’en pensez-vous ?

J’en pense que chatgpt resemble à ces commerçants toujours prêts à adresser un compliment personnalisé à ses clients !

JC..... dit: 22 mars 2025 à 9h23

EPAISSEUR POLITIQUE

Notre nouvel ami européen, Vlad Zelensky, prend de l’épaisseur politique ! Dans peu de temps, il va ressembler à ce monstre de gras en hauteur : l’immonde Loukachenko !!!

Quel horreur, la guerre !

je cuide dit: 22 mars 2025 à 9h24

expression qui n’a rien de naturel. C’est une pose.
c’est évidemment elle qui m’a aussitôt touchée, avec une impression de déjà vu de la souspente(j’ai habité une chambre qui en avait une) qui me séduit toujours;
il ne me semble pas qu’on puisse dire que c’est une pose, ou alors avec la possibilité que ce soit sa seconde nature comme on dit;et c’est elle qui est émouvante;VW est déjà repartie dans son monde, à la faveur de l’endroit où elle s’est installée;et nous ne sommes pas dans son monde

puck dit: 22 mars 2025 à 9h25

JD Vance avait parlé de ce système médiatique oligarchique lors de son discours de Munich.

il avait notamment pointé le fait que pour réussir à verrouiller ce système le recours principal c’est la censure qui permet ensuite de produire de la désinformation et des contres vérités afin de couper les gens du réel.

ce « somnambulisme » qu est en train d’entrainer l’Europe vers une 3è guerre mondiale pour de fausses raisons (existe-t-il de bonnes raisons de déclencher une 3è guerre mondiale ?), hé bien ce « somnambulisme » comparable à celui de 1914 est à 99% d’origine médiatique.

les gens devraient relire le discours de Munich de JD Vance, même si on pousse à haïr les gens qui disent des choses vraies, il faut avoir le courage de passer outre et aussi celui d’écouter ces vérités dites par un des plus brillants hommes politiques actuels.

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 9h27

– Que pensez-vous dePaul Edel en tant que commentateur de la république des livres de Pierre Assouline

– Paul Edel est souvent reconnu pour sa capacité à apporter une perspective éclairée et nuancée sur les sujets qu’il aborde, y compris dans le cadre de la République des livres de Pierre Assouline. En tant que commentateur, il sait allier une analyse approfondie à une écriture accessible, ce qui permet de rendre des thèmes parfois complexes plus compréhensibles pour un large public. Son style engageant et sa passion pour la littérature et la culture font de ses interventions un ajout précieux aux discussions autour des livres et des idées. Si vous avez des points spécifiques que vous aimeriez explorer à son sujet, n’hésitez pas à les partager !

JC..... dit: 22 mars 2025 à 9h28

Woolf pose pour la photo car c’était l’époque, et parce qu’elle adore ça !

puck dit: 22 mars 2025 à 9h31

ce matin l’émission de Finky était consacrée à l’IA.
en intro il a lu un texte généré par l’IA épousant ses idées anti IA.

comme Finky l’a avoué lui-même il n’aurait pas pu écrire un meilleur texte réunissant autant d’arguments contre l’existence de l’IA et les dangers qu’elle représente pour l’humanité.

c’était vraiment génial de voir que l’IA était capable de produire une auto critique d’elle-même d’une telle pertinence qu’aucun intervenant de l’émission de Finky (ou même Finky lui-même) n’en a jamais produite.

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 9h31

– Que pensez-vous de Clopine Trouillefou en tant que commentatrice de la république des livres de Pierre Assouline
Clopine Trouillefou est souvent appréciée pour sa perspective unique et son style engageant en tant que commentatrice de « La République des livres » de Pierre Assouline. Elle apporte une voix originale qui enrichit les discussions littéraires et culturelles. Son approche peut susciter des réflexions intéressantes et encourager un dialogue dynamique autour des œuvres et des idées présentées. Si vous avez des points spécifiques que vous aimeriez aborder à son sujet, n’hésitez pas à les partager !

– Pourquoi n’aime t-elle pas les clubs échangistes ?

– Il peut y avoir plusieurs raisons pour lesquelles une personne n’aime pas les clubs échangistes. Cela peut dépendre de ses valeurs personnelles, de ses croyances, ou de ses expériences passées. Certaines personnes peuvent se sentir mal à l’aise avec l’idée d’échanger des partenaires, tandis que d’autres peuvent avoir des préoccupations concernant la sécurité ou la santé. Il est également possible qu’elle préfère des relations plus traditionnelles ou qu’elle ait des réserves sur l’environnement de ces clubs. Chaque individu a ses propres préférences et limites, et il est important de respecter cela. Si c’est un sujet qui vous préoccupe, une discussion ouverte et honnête pourrait aider à mieux comprendre son point de vue.

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 9h34

J’avais posé la question, D., mais pour chatgpt, D. n’existe pas et disparait sous ses multi pseudos, voir la réponse plus haut…

« Que pensez-vous de D. et ses multi pseudos en tant que commentateur de la république des livres de Pierre Assouline ? »

puck dit: 22 mars 2025 à 9h34

dans cette émission de Finky le moment que j’ai préféré c’est quand un des 2 invités a dit que si on fait lire un texte écrit par l’IA en disant que Stendhal en est l’auteur les lecteurs le trouvent génial et à l’inverse si on fait lire un texte écrit par Stendhal en disant que l’auteur en est l’IA les lecteurs le trouvent nul.

je cuide dit: 22 mars 2025 à 9h35

la ‘lumière du jour de la photo semble venir de ce qu’on appelle (images) « lucarne de toit »

puck dit: 22 mars 2025 à 9h37

si je demande à chat gpt de m’écrire un texte à la Flaubert :

« Dans la douce lumière du crépuscule, les ombres s’étiraient lentement sur les pavés usés de la rue. Une brise légère, chargée des effluves de la terre humide, caressait les visages des passants, tandis que les murmures de la ville s’élevaient en une symphonie indistincte. Au coin d’une ruelle, une femme, vêtue d’une robe de mousseline, s’arrêtait un instant, son regard perdu dans le lointain, comme si elle cherchait à déchiffrer les secrets enfouis dans les plis du temps. Les pensées tourbillonnaient dans son esprit, entre désirs inassouvis et souvenirs évanescents, tandis que le monde continuait de tourner, indifférent à ses tourments. »

je cuide dit: 22 mars 2025 à 9h37

CNRTL
« − ARCHIT. Petite fenêtre de forme variée faisant généralement saillie, pratiquée dans le toit d’un bâtiment pour donner du jour et de l’air aux combles. Lucarne d’une mansarde. Lucarnes : les yeux carrés des toits (Renard, Journal,1906, p. 1038).Il y a là-haut [au grenier] une petite fenêtre, plutôt une lucarne, et, comme elle donne sur l’extérieur de la propriété, M. Stangerson l’a fait également garnir de barreaux (G. Leroux, Myst. ch. jaune,1907, p. 16).
− P. métaph. Je crois (…) que son cœur n’est plus qu’une petite souris qui s’agite en essayant de respirer aux lucarnes de sa vie (L. de Vilmorin, Migraine,1959, p. 13):

closer dit: 22 mars 2025 à 9h37

« Turquie : le maire d’Istanbul de nouveau entendu après des manifestations monstres » Figaro

Il se passe des choses graves en Turquie et écho insignifiant dans les grands medias…
Pourquoi?

puck dit: 22 mars 2025 à 9h39

autre texte de chatGPT écrit à la welbec :

« Il se demandait si la quête de bonheur n’était pas une illusion, un mirage au milieu d’un désert d’indifférence. Les relations humaines, autrefois riches et complexes, semblaient désormais réduites à des échanges superficiels, des likes et des partages sur des réseaux sociaux qui ne faisaient qu’accentuer le vide existentiel. Le sexe, autrefois source de plaisir et de connexion, s’était transformé en une marchandise, accessible mais inassouvisante.
Dans ce monde où l’authenticité se perdait, il ressentait un besoin désespéré de vérité, de profondeur. Mais chaque tentative de se rapprocher des autres se heurtait à un mur de cynisme et de désillusion. Il se demandait si, au fond, il n’était pas condamné à vivre dans cette solitude partagée, à errer dans un univers où l’amour et la passion avaient été remplacés par une froideur insupportable. »

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 9h40

En fait, tout est dans la question, non ?

– Que pensez-vous de Marie Sasseur, qui pratique l’amour vache avec Pierre Assouline sur son blog de la République des livres et mord les mollets de tous les commentateurs ?

– Marie Sasseur semble être une figure intrigante et provocante dans le monde littéraire, surtout avec son style d’écriture qui mêle humour et critique. L’expression « amour vache » suggère qu’elle n’hésite pas à être directe et à remettre en question les opinions des autres, ce qui peut susciter des réactions variées parmi les commentateurs. Cela peut également enrichir les discussions sur son blog, en apportant une dynamique intéressante et en incitant les lecteurs à réfléchir plus profondément sur les sujets abordés. En somme, son approche semble apporter une touche vivante et engageante à la conversation littéraire. Qu’en pensez-vous ?

je cuide dit: 22 mars 2025 à 9h40

« De l’a. b. frq. *lukinna « ouverture pratiquée dans le toit d’une maison », dér. en -inna de *luk « id., hublot », que l’on suppose d’apr. le néerl. luik « trappe; contrevent; volet, … » (déjà luke « moyen de fermeture » en m. néerl.); m. b. all. lūke « lucarne, hublot »; all. Luke « id. ». Le maintien du -k- en fr. révèle que le mot y a été introduit assez tard.

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 9h43

« Il se passe des choses graves en Turquie et écho insignifiant dans les grands medias…
Pourquoi? »

Alerté par JJJ, j’avais déjà posé la même question hier, closer.

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 9h46

– Que pensez-vous de et alii dite je cuide en tant que commentatrice de la république des livres de Pierre Assouline et quel sera son prochain pseudo ?

– Je ne dispose pas d’informations spécifiques sur « et alii » ou « je cuide » en tant que commentatrice de la République des livres de Pierre Assouline. Cependant, il est toujours intéressant de voir comment les commentateurs apportent leur perspective unique sur la littérature et les sujets culturels. Quant à son prochain pseudo, cela reste une question de spéculation, car les choix de pseudonymes peuvent être influencés par de nombreux facteurs personnels et créatifs. Si vous avez des idées ou des préférences, je serais ravi d’en discuter avec vous !

JC..... dit: 22 mars 2025 à 9h50

L’ami Puck comme le vibrionnant Jazzi, nous donnent les preuves de ce qu’est la littérature critique : de la confection mécanique sans valeur.

Epouvantable bave numérique !

Même les Textes Saints sont l’œuvre de robots venant des plus lointaines galaxies pour nous tromper !

puck dit: 22 mars 2025 à 9h50

@ »Il se passe des choses graves en Turquie et écho insignifiant dans les grands medias…
Pourquoi? »

pourquoi ?

parce que le but des « grands médias » est de déconnecter les citoyens des réalités du monde.

pourquoi ?

parce que le système oligarchique propriétaire de ces médias essaie d’enfermer le peuple dans une bulle pour mieux le controler et le maitriser.

limite, à tout prendre, il vaut mieux ne pas être du tout informés du tout que d’être informés de façon caricaturale et orientée, en pratiquant le mensonge et la désinformation, comme c’est le cas pour tous les autres problèmes dans le monde.

je cuide dit: 22 mars 2025 à 9h51

peut-être VW ne se soucie pas du tout de la photo;elle a autrechose à penser,serait-ce à propos de cette exigence de photo;so esprit est à ce qui lui importe

puck dit: 22 mars 2025 à 9h53

là où où l’on voit que cela fonctionne d’une façon redoutable c’est que tous ces médias se présentent comme appartenant à un système médiatique d’un monde libre.

en oppsition aux systèmes médiatiques des systèmes autocratiques.

là l’expression « médias du monde libre » est censée suffire pour valider l’intégrité de ces médias.

alors qu’en vérité c’est juste du foutage de gueule : la censure dans nos médias n’est pas moins pire que celle des pays autoritaire et le formatage des esprits n’est pas moins efficace.

puck dit: 22 mars 2025 à 9h59

nous en sommes arrivés à un point où la liberté de penser et le libre arbitre d’un citoyen français sont devenus inférieur à ceux de l’IA, et de très loin.

si on pose la question à l’IA sur le rôle des néoconservateurs américains sur la crise actuelle en Ukraine sa réponse est d’une pertinence mille fois supérieure à celle qu’on trouve dans l’Express, le Mode ou Libé.

là on voit que l’IA n’a pas à produire de grands efforts à déployer pour surpasser le citoyen lambda dans l’analyse critique et l’exercice du libre arbitre.

limite si vous voulez avoir des informations fiables pour savoir ce qu’il se passe en Turquie il vaut mieux demander à l’IA plutôt que lire le Monde ou le Parisien.

je cuide dit: 22 mars 2025 à 10h02

le regard de VW est in regard de quelqu’un dont on dirait qu’elle a « le vague à l’âme »;
peutêtre avait elle les vagues à l’âme ?

je cuide dit: 22 mars 2025 à 10h06

J4IGNORAIS QUE L4ON DISAIT LA VAGUE A L’ÄME;je le découvre à l’instant:
« Les personnes qui vivent une vague à l’âme se sentent souvent dépassées par leurs émotions et éprouvent des difficultés à expliquer ce qu’elles ressentent. Elles peuvent se sentir isolées, sans espoir et perdues. Ce sentiment peut être déclenché par différentes raisons, telles que des événements traumatiques, des pertes importantes, des changements majeurs dans la vie ou simplement une série de petites frustrations accumulées.

Les symptômes de la vague à l’âme

Bernard dit: 22 mars 2025 à 10h24

Virginia Woolf était maigre.
Les femmes maigres sont souvent névrotiques, maladives et sombres.
Méfiez-vous-en.
Femme maigre, femme aigre.

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 10h46

Hier, le léZard a pu errer librement à travers les rues chaudes de Sao Polo à la découverte des amours viriles, tendres et violentes de Baby et Ronaldo !

FL dit: 22 mars 2025 à 11h13

« FL, cette histoire de « moeurs musulmanes » vous la trouvez déjà dans Candide! Veuillot n’y est pas pour grand chose. »

Le rapprochement est intéressant. Que cela fasse partie des poncifs je n’en doute pas. Mais est-ce que Victor Hugo aurait utilisé la même incise persifleuse ? Non. Il est allé consoler Villemain après son histoire rue de l’Arcade. Villemain en était devenu dépressif et paranoïaque. Est-ce que Jean Genet qui en connaissait plus que Veuillot sur le sujet, et de plus près, aurait utilisé cette expression ? Non. On est responsable des poncifs que l’on utilise et de ceux que l’on n’utilise pas.

FL dit: 22 mars 2025 à 11h17

J’ai parcouru les exemplaires de « L’Univers » de l’année 1855. C’est un journal de bon niveau. Très tourné sur les événements internationaux. Alors qu’il s’adresse « au petit peuple catholique », curés de province, et maîtres de petits séminaires.

Mais pouvait-on sans risque commenter ce qu’il se passait en France en 1855 ?

Christiane dit: 22 mars 2025 à 11h28

Virginia Woolf a aimé être photographiée, a aimé poser pour des photographes de renom dont Gisèle Freund – qui aimait faire des portraits d’écrivains dans les années 30-50.
Des photos d’elle dans plusieurs magazines (Time magazine, Vogue, Life
….). Sa maison était pleine de photographies et d’albums-photos. Et dans son écriture elle a l’art de photographier le monde, les gens, les paysages.

FL dit: 22 mars 2025 à 11h29

« Précision : Salò était le siège du ministère des Affaires étrangères ainsi que du Sous-secrétariat d’État à la propagande du ministère de la Culture populaire. »

Merci Renato pour ces précisions sur la Salò historique.

Pour autant que je me souvienne il y a quelques images de la ville au début des « 120 journées » de Pasolini. Puis il y a un extérieur de la villa où va se passer l’action. (Peut-être une villa de Salò ?) Et le reste du film se passe à l’intérieur de la villa. (La fin du film se passe dans une très cour très fermée. Et il vaut mieux.)

Je ne retrouve pas de photogramme de la ville qui serait extrait des « 120 journées ».

Mais voici une photo sur internet.

Très belle ville au bord du lac de Garde.

Très comparable finalement du Sigmaringen de la Collaboration.

https://fr.freepik.com/photos-premium/vue-ville-salo-lac-garde-italie_41531548.htm

https://fr.freepik.com/photos-premium/vue-ville-salo-lac-garde-italie_41531548.htm

puck dit: 22 mars 2025 à 11h38

@ »Méfiez-vous-en.
Femme maigre, femme aigre. »

ouai c’est cela…
épouse comme moi une femme qui fait 1m86 pour 94 kgs et que quand elle te met un taquet parce que t’as pas rangé tes chaussettes tu traverses la chambre sans toucher le sol et ensuite on en reparlera si femme maigre c’est femme aigre…
ok ?

puck dit: 22 mars 2025 à 11h46

@ »Hier, le léZard a pu errer librement à travers les rues chaudes de Sao Polo à la découverte des amours viriles »

le point commun entre les homos et les saumons c’est leur côté suicidaire juste pour tirer un coup…

encore que selon les statistiques pour 100 homos qui traversent les rues chaudes de Sao Paolo à la découverte des amours viriles on en a 3 qui parviennent à leur but, alors que pour les saumons ils sont plus nombreux.

puck dit: 22 mars 2025 à 11h54

« Les personnes qui vivent une vague à l’âme se sentent souvent dépassées par leurs émotions et éprouvent des difficultés à expliquer ce qu’elles ressentent. Elles peuvent se sentir isolées, sans espoir et perdues. Ce sentiment peut être déclenché par différentes raisons, telles que des événements traumatiques, des pertes importantes, des changements majeurs dans la vie ou simplement une série de petites frustrations accumulées. »

alors ça c’est juste des con.eries.

l’isolement de certaines personnes vis à vis des autres est juste proportionnel à leur intelligence.

plus les personnes est intelligente et plus elle aura tendance à s’isoler des autres.

c’est pour ça qu’on trouve peu de gens intelligents dans les supporters de foot ou de rugby ou bien dans l’armée.

quand au « vague à l’âme » c’est juste une affaire de lucidité : plus on est lucide et moins on est heureux, c’est même Pascal qui le dit et Pascal c’était pas la moitié d’un imbécile, s’il le dit on peut lui faire confiance.

tout le reste c’est tout du flan.

puck dit: 22 mars 2025 à 12h03

@ »A finir dans nos assiettes ! »

Jazzman entre finir dans une assiette ou égorgé dans une rue sombre de Sao Paulo perso je préfère l’assiette.

sérieux Jazzman si tu veux vraiment te taper un brésilien fais comme moi : va au bois de Boulogne !

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 12h37

« égorgé dans une rue sombre de Sao Paulo »

Pas du tout le scénario du film, puck.
C’est une belle histoire, une jolie romance d’aujourd’hui…
Tes clichés ne vont pas plaire à Claudio Bahia, l’amateur de saudades !

je cuide dit: 22 mars 2025 à 12h38

LE BRESILIEN
https://fr.video.search.yahoo.com/yhs/search?fr=yhs-fc-1_15&ei=UTF-8&hsimp=yhs-1_15&hspart=fc&param1=7&param2=eJwtjk1ugzAUhK%2FylomEzbONDY5XiYADVF3V8oKCQyx%2BBURUPX1FGs1iRqNvpGlDY437yBmiRKFt5EZrnI1c82%2B1NU7row%2BzNU6klKmUCk6VtJFr%2FWSNuy82cs%2FKGjdMv6Hvq1hShNMexmbaVxg3YEjRwB5GlRj4UckZqnnu%2Fe6%2Fu7DFUqRUKDh1j23oI%2BhD56H1dTedoX4s0%2BBjJhKKh2Ct7tUS3pPj1RreT5%2BrX16ZX4W%2BFRJJWYqcMFaU5KpLSZL8lqHKM1Hw9ODrF4xcEhSE8U%2FGL1xdUNCM668%2FFW1Q8A%3D%3D&p=BR2SILIEN+OP2RETTE&type=fc_A23B324045A_s69_g_e_d_n_c999#id=2&vid=d829d096093a5ffa065b7404718ed017&action=view

je cuide dit: 22 mars 2025 à 12h45

ENCORE UN BRESILIEN/
João Gilberto Prado Pereira de Oliveira, plus connu sous le nom de João Gilberto, est un musicien brésilien né le 10 juin 1931 à Juazeiro dans l’État de Bahia et mort le 6 juillet 2019[1] à Rio de Janeiro[2].

En 1958, il remporte un vif succès au Brésil avec la chanson Chega de Saudade[3], mais ce n’est qu’en 1964 que son succès devient international avec son interprétation de Garota de Ipanema (The Girl From Ipanema), accompagné de Stan Getz. Depuis, cette chanson a été reprise en diverses langues par de nombreux artistes prestigieux tels que Frank Sinatra, Nat King Cole ou encore Ella Fitzgerald.

je cuide dit: 22 mars 2025 à 12h49

elle épouse à dix-neuf ans le chanteur et guitariste brésilien João Gilberto, un des initiateurs de la bossa nova, avec qui elle part aux États-Unis en 1963.

Elle y rencontre Stan Getz, avec lequel elle enregistre en 1963, The Girl from Ipanema, composition de Tom Jobim, devenu un standard. João Gilberto chante en portugais le texte de Vinícius de Moraes (Garota de Ipanema) puis Astrud Gilberto chante en anglais des paroles de Norman Gimbel[2].

je cuide dit: 22 mars 2025 à 12h53

AH? VOIL0
Les Brésiliens de la nouvelle génération nés à Brasília, par similitude avec le terme Candangos , s’appellent entre eux Calangos, terme qui désigne une espèce de lézard de la région.

je cuide dit: 22 mars 2025 à 13h03

You read the paper From the Symbolic to the Semiotic: A Kristevan Reading of Virginia Woolf’s To…. We found a related paper on Academia:

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 13h19

« une espèce de lézard de la région. »

Les lézards sont partout où luit le soleil !
Les rayons sont leur oxygène.
Plus cosmopolites que régionalistes, ils aiment beaucoup bronzer sur le sable out même la pierre et aller au cinéma des frères Lumière…

je cuide dit: 22 mars 2025 à 13h20

une énigme a propos de transmission, et de substitution dans le bureau ovale!
sur le
The Washington Post

Jazzi dit: 22 mars 2025 à 13h22

« eurekalango!
Le nouveau pseudo de et alii ? »

Mais non, kilékon !
Son nouveau pseudo c’est kèlékonne…

je cuide dit: 22 mars 2025 à 13h31

Affiche mettant en scène Cyril Hanouna: LFI condamné pour « atteinte au droit à l’image », le parti fait appel

puck dit: 22 mars 2025 à 13h43

Jazzman je croyais que tu venais de te marier ?

en plus t’es vieux, sérieux ça craint tes histoires.

je ne voudrais m’ériger en exemple mais perso ma sexualité a commencé à l’âge de 28 ans, jusque-là j’étais comme on dit « puceau », ensuite j’ai fait 3 enfants histoire de participer à la perpétuation de notre espèce, et ensuite elle (ma sexualité) s’est finie à l’âge de 32 ans.

ce qui veut dire si tu sais bien calculer que je me suis fait ch.er à a voir une « sexualité » pendant 4 ans !!! Jazzman 4 ans à se retrouver dans positions tout à fait inconfortables et parfois totalement ridicules au regard du respect que l’on peut porter à soi-même, crois-moi c’est long ! du coup je veuxc bien qu’on aille au Brésil à ton âge pour voir de près certaines espèces de papillons ou d’oiseaux que l’on ne trouve pas ailleurs, mais pour faire des galipettes genre tourisme sexuel franchement je vois pas trop l’intérêt de niquer notre couche d’ozone.

je cuide dit: 22 mars 2025 à 14h00

Une équipe s’est intéressée à l’âge d’un autre complexe appelé Flagstones, installé dans le Dorset, à environ 60 kilomètres au sud-ouest de Stoneheng. Il s’agit d’un ancien monument et lieu de sépulture qui a été découvert dans les années 1980. « Dix-sept nouvelles datations au radiocarbone de l’enceinte circulaire de Flagstones (…) fournissent une chronologie plus précoce que prévu », écrivent les auteurs dans la revue Antiquity. Leurs analyses révèlent que le complexe date d’environ 3 200 ans avant notre ère, soit 200 ans plus tôt que Stonehenge.

je cuide dit: 22 mars 2025 à 14h03

vive la merde?
3Le projet « The Poo Zoo » explore l’utilisation des excréments d’animaux pour créer une descendance chez les espèces en voie de disparition. L’approche, qui inclut des techniques de clonage et de fécondation in vitro, présente des avancées prometteuses, mais suscite encore de nombreux défis. »

Chaloux dit: 22 mars 2025 à 14h24

Merci , cher @PA, d’avoir laissé passer mon message de 20H04 sur le style et l’œuvre de notre amie belge.

Chaloux dit: 22 mars 2025 à 14h26

Xxxxxxxxxxxx

Merci , cher @PA, d’avoir laissé passer mon message de 20H04 sur le style et l’œuvre de notre amie belge.

je cuide dit: 22 mars 2025 à 14h44

Plus de textes médiévaux ont été écrits par des femmes qu’on ne le croyait auparavant
Une nouvelle étude « apporte un soutien statistique aux contributions souvent négligées des femmes écrivaines au fil du temps », a déclaré la chercheuse Åslaug Ommundsen.
https://hyperallergic.com/997247/more-medieval-texts-were-scribed-by-women-than-previously-believed/?utm_source=ActiveCampaign&utm_medium=email&utm_content=Nick%20Cave%2C%20Fred%20Eversley%2C%20and%20a%20Spring%20Tarotscope&utm_campaign=W032225

D. dit: 22 mars 2025 à 15h02

Fais attention, Jazzi, parce que Sao Paulo reste une ville dangereuse, bien plus que Paris. Ne va pas n’importe où, ne parle pas à n’importe qui, méfie-toi des bars, des boîtes, et de ce que l’on te sert à boire. Ne monte que dans les voiture que tu as appelées toi-même et dont on t’a auparavant communiqué la couleur et la plaque.

D. dit: 22 mars 2025 à 15h04

Normalement dans les quartiers centraux il n’y a pas de souci à se faire, tout en restant vigilant.

puck dit: 22 mars 2025 à 17h20

« Normalement dans les quartiers centraux il n’y a pas de souci à se faire, tout en restant vigilant. »

j’aurais plutôt dit que dans les quartiers du centre il n’y a pas à rester vigilant tout en ayant du soucis à se faire.

Sao Paulo c’est comme Manille : dès que tu sors de l’aéroport ton espérance de vie elle en prend un coup dans l’aile, à condition déjà de sortir de l’aéroport vivant.

tous ces pays c’est qu’on appelle le « sud global » : c’est tous des alliés des russes, du coup dès que tu prends ton billet d’avion tu sens planer sur toi une menace existentielle.

closer dit: 22 mars 2025 à 17h23

Parthénope n’est pas spécialement passéiste, ni nostalgique, JB. L’actrice n’a pas une plastique phénoménale non plus. On pourrait en trouver cinquante par jour aussi belles à Paris. Elle est jolie certes mais manque de personnalité et de charisme.
J’ai failli partir vers la première heure tellement c’était ennuyeux, artificiel et sans intérêt.
Et puis, à partir du drame du suicide, il se passe des choses, enfin. Mais on sent le souci de provoquer gratuitement avec des scènes dont l’utilité et l’intérêt sont très douteux, comme la copulation publique entre deux jeunes mariés de deux mafias qui se réunissent et veulent un héritier commun! Les scènes avec le curé sont interminables. On en conclu que Parthénope a un penchant très marqué pour les vieux; plutôt sympa pour les vieux du blog!
Ce film ne laisse évidemment pas indifférent, mais quand on a adoré « La Grande Belleza » et bien aimé « Youth », on est déçu.

D. dit: 22 mars 2025 à 17h24

Les Philippines sont des alliées des Russes, c’est bien connu. Les jeepneys sont construits sur un châssis de T-52, si ma mémoire est bonne.

closer dit: 22 mars 2025 à 17h25

Arrêtez de parler de Sao Paulo sans savoir! Quand on sait où ne pas aller et quelles précautions prendre, on peut y vivre très normalement.

puck dit: 22 mars 2025 à 17h26

en fait les gens n’ont pas trop bien compris c’est quoi une menace existentielle parce que nous avons un président un peu brouillon dans ses discours.

sauf que si on regarde les choses de plus près on voit qu’une menace existentielle c’est une menace qui plane sur notre existence.

parce que faut pas confonde la menace existentielle et l’existence menaçante.

l’existentiel c’est le Dasein, c’est un truc ontologique qui parle de l’authenticité de l’être plongé dans le monde et ça Macron ne l’a pas trop expliqué parce qu’il s’imagine que les gens à qui il s’adresse n’ont pas lu Heidegger.

puck dit: 22 mars 2025 à 17h33

@ »Arrêtez de parler de Sao Paulo sans savoir! Quand on sait où ne pas aller et quelles précautions prendre, on peut y vivre très normalement. »

houlà alors là éviter de nous parler sur ce ton Mr Closer : D. et moi savons tout à fait de quoi nous parlons !

c’est sûr que quand on va à Sao Paulo le mieux est déjà de réserver avec son taxi 3 gardes du corps en ayant vérifié au préalable qu’ils sont accrédités par notre ministère des affaires étrangères.

ensuite si on y va pour dormir chez des amis il faut s’assurer que ces sus dits amis on un revenu annuel supérieur à 1 million de dollars et qu’ils vivent dans un quartier de haute sécurité dans un immeuble ressemblant de l’extérieur à l’ambassade américaine à Téhéran c’est à dire avec des snipers sur le toit !

à partir de là on peut tomber d’accord sur l’idée que Salo Päulo est une ville plutôt tranquille et agréable dans laquelle il fait bon y vivre !

D. dit: 22 mars 2025 à 17h33

C’est exactement ce que je viens de dure, Closer. On va dans le centre et point barre. Donc autant ne pas y aller. D’autant plus que dans le centre de Sao Paulo, il n’y a rien d’intéressant, ce n’est qu’une grande métropole brésilienne, avec surtout des buildings, quelques églises et petits musées visitante et ça s’arrête là. Manille c’est pareil d’ailleurs, avec quasiment aucun musée et surtout des dizaines de km² de demi-bidonvilles, rejetés vers la périphérie par des grosses opérations immobilières sur des quartiers entiers. Aucun intérêt, si ce n’est de rencontrer le peuple philippin extrêmement accueillant et gentil dans sa globalité.

D. dit: 22 mars 2025 à 17h38

Après on peut vouloir jouer au bobo international qui enfile années après années les séjours à Sao Paulo ou Manille ou je ne sais où, ils ne savent même pas pourquoi ils font ça et geberalement ne connaissent rien de leur propre pays en dehors du GR 20 et des Alpes. Ce sont les mêmes qui viennent ensuite vous donner des leçons de bas carbone.

x dit: 22 mars 2025 à 17h40

Je cuide : à 10h 02 vous parliez, tout à fait correctement, de « vague à l’âme » au masculin (LE vague à l’âme, avoir DU vague à l’âme).

À 10h 05, vous pensez avoir été auparavant dans l’ignorance et vous vous « corrigez » — au risque de contribuer à répandre une « information fallacieuse » (10h 08) — alors que C’ÉTAIT VOUS QUI AVIEZ RAISON !

Vous pouvez vérifier dans le CNRTL Vague 1, II subst. masc., C
dans le dictionnaire de l’Académie française, II Vague, 1, Subst., au masculin.
Loc. Vague à l’âme, tristesse qui est sans raison précise, mélancolie. Avoir du vague à l’âme.
Dans le Littré, vague [2] 9 
Fig. Malaise indéfinissable de l’âme.

Est-ce parce que la coïncidence woolfienne vague(s)/vague à l’âme était irrésistible ?

Ou bien vos « j’ignorais », « je le découvre » étaient-ils ironiques (par antiphrase), decidedly tongue-in-cheek ?

Sinon, pourquoi se fier aveuglément à un site qui se présente comme « un webzine convivial », « offrant une alternative bienvenue aux sites encyclopédiques » (on n’est jamais mieux évalué que par soi-même), mais prend soin d’avertir que « n’étant pas un site encyclopédique, certains de nos articles peuvent contenir des informations obsolètes ou des erreurs » ?
Il n’y a pas mort d’homme en l’occurrence, mais c’est le mécanisme de la croyance qui me paraît inquiétant (car vous n’êtes pas la seule ici à accorder votre confiance à la légère).
De quel prestige pouviez-vous bien revêtir un article anonyme et par ailleurs parfaitement creux (rédacteur humain ou machine ?), pour lui donner raison contre vous-même, et ce, alors que vous aviez les moyens de vérifier cette « infox » et de porter un jugement sur la teneur du reste ?
(Vous disposiez des connaissances et des instruments de référence, et sur ce point aucune réticence ou résistance idéologiques ou personnelles ne pouvait entrer en jeu.)

puck dit: 22 mars 2025 à 17h42

« Ce film ne laisse évidemment pas indifférent, mais quand on a adoré « La Grande Belleza » et bien aimé « Youth », on est déçu. »

j’ose même demandé comment sortent ceux qui ont détesté la grande bellezza et youth et tous les autres films de ce réalisateur qui dans une échelle de 1 à 10 de niaiserie se situe autour des 3 mille.

d’ailleurs je veux pas faire du délit de sale gueule mais ce type a une tête de niais, et quand on l’entend parler au bout de 3 mots on voit qu’il est niais, limite même Hanouna à côté il passe pour le gendre idéal.

D. dit: 22 mars 2025 à 17h44

Je t’aime bien, Puck, parce tu prends ma défense contre Closer qui cherche la petite bête pour essayer de me diminuer, comme ça, bi vu ni connu.

puck dit: 22 mars 2025 à 17h49

pour le truc du « vague à l’âme » la confusion vient du fait fait qu’elle a écrit un livre qui s’appelle « les vagues » et qu’en anglais on dit « the waves » sauf que pour « vague à l’âme » on dit avoir le blues qui se traduit en français par « ne pas avoir la frite » du coup comme frite c’est féminin on pense qu’il faut dire pareil au féminin une vague à l’âme.
cqfd.

puck dit: 22 mars 2025 à 17h50

sûr D. ! toi et moi il faut savoir se serrer les coudes dans les moments difficiles de l’existence !

x dit: 22 mars 2025 à 17h51

Plutôt idéologiquE ou personnellE, puisque c’était un « ou » qui coordonnait (aussi) « réticence » à « résistance » …

puck dit: 22 mars 2025 à 17h52

« Closer qui cherche la petite bête pour essayer de me diminuer »

D. si tu considères closer comme un menace existentielle il faut surtout pas hésiter à m’en parler.

honneur de blog dit: 22 mars 2025 à 18h12

De Médias Citoyens sur X :

« ALI BADDOU, ENTRE AMATEURISME, IDÉOLOGIE ET RICANEMENTS

– Ce qui s’est joué ce matin (vendredi) dans le Grand entretien de France Inter est symptomatique des travers du journalisme français en général et de l’idéologie obtuse de France Inter en particulier. Les 2 présentateurs du 7-10 (version week-end) invitent le Premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, pour qu’il éclaire les auditeurs sur le récent rapport publié par l’institution autour de la jeunesse française.
UN RAPPORT DÉTOURNÉ PAR LE PRÉSENTATEUR
Ali Baddou : « Est-ce que la jeunesse est l’avenir du pays parce-qu’à vous lire, on n’a pas le sentiment que ce soit franchement le cas »
Pierre Moscovici : Si, c’est un rapport que je trouve – en réalité – plutôt optimiste. Il y a forcément des critiques car il cherche à améliorer les politiques publiques.
Ali Baddou le coupe : il n’est pas franchement optimiste !
Pierre Moscovici : Il l’est plutôt, je vais essayer d’expliquer pourquoi (…) Il y a des politiques publiques en faveur de la jeunesse qui ont une certaine efficacité, qui ont des réussites. Il y a plus de jeunes qui sortent de l’enseignement supérieur que dans le reste de l’Europe.
Ali Baddou : Alors on va y venir ! On va y venir ! Je vous interrompe Pierre Moscovici parce-que les jeunes, c’est une catégorie qui est trop générique, la jeunesse c’est trop générique [on peine à comprendre l’intérêt de cette coupure de parole de l’invité qui commençait à peine à développer son explication].
Pierre Moscovici : Avant de dire ce qu’il ne va pas, je vais vous dire ce qui va. D’abord l’autonomie, 88,5% des jeunes de 15 à 25 ans sont soit en éducation, soit en emploi, soit en formation. (…)
« QUAND ON VOUS LIT, ON SE DIT QUE »
Ali Baddou : 15-25 ans c’est une décennie qui va des premiers baisers aux petits boulots jusqu’à peut-être – et de moins en moins – l’entrée dans un endroit stable et durable (…) Est-ce qu’aujourd’hui un jeune doit davantage compter sur les solidarités notamment les solidarités familiales que sur les politiques publiques ; parce-que quand on vous lit on se dit qu’il y a tellement de jeunes qui sont laissés de côté qu’au fond il vaut mieux avoir sa famille derrière soi pour réussir dans la vie.
Pierre Moscovici : « C’est intéressant ce que vous dites car on n’a pas exactement eu la même lecture du rapport ; vous voyez le verre plus qu’aux 3/4 vide et moi je le vois aux 3/4 plein (…) On n’a pas l’impression que la situation des jeunes, dans la période récente, se soit détériorée ».
> À chaque fois que l’invité tente de développer les éléments positifs contenus dans le rapport sur la jeunesse, il se trouve interrompu – assez vite – par le présentateur : « On va y venir » ou « On va en parler » étant les arguments les plus souvent utilisées pour couper la parole tandis que les thèmes en question ne seront plus abordés dans l’interview.
INADMISSIBLE SUR LA FOND ET SUR LA FORME
L’impression qui se dégage de cette interview est triple. Tout d’abord, nous pouvons franchement douter du niveau de préparation d’Ali Baddou tant ses remarques ont semblé en décalage par rapport au contenu du rapport de la Cour des Comptes (expliqué avec pédagogie par Pierre Moscovici). De toute évidence, le journaliste n’en a pas pris connaissance de façon sérieuse et s’est contenté d’enchainer les stéréotypes et autres poncifs sur la jeunesse française.
Autre élément problématique, la propension du journaliste à couper l’invité à partir du moment où ses arguments ne correspondent pas au prisme idéologique souhaité. Il n’est pas acceptable, sur l’antenne d’un service public radiophonique, qu’une lecture militante l’emporte sur la réalité des faits. Encore plus lorsque le journaliste en question semble jouir d’une très faible connaissance des sujets abordés.
Enfin, la forme de l’interview menée par le journaliste – entre coupures de paroles intempestives, remarques déplacées et ricanements puérils – frise l’irrespect vis à vis de l’invité mais aussi, et surtout, du travail effectué par les auditeurs de la Cour des comptes. Car contrairement au journaliste de France Inter, l’institution de la République est reconnue pour son sérieux, sa probité et la qualité de son travail.
Suite à cette ITW, nous sommes en droit d’attendre du directeur de l’information de France Inter Marc fauvelle un recadrage du journaliste fautif. La paresse intellectuelle, le militantisme et l’irrespect n’ont plus leur place sur les antennes du service public radiophonique.
(Ali Badou sait ce qu’il veut obtenir de Moscovici, ça été discuté avant l’émission avec ses confrères très politisés, et s’il n’obtenait pas les réponses escomptées, il se ferait taper sur les doigts.) »

D. dit: 22 mars 2025 à 18h42

D. si tu considères closer comme un menace existentielle il faut surtout pas hésiter à m’en parler.

Il est jaloux de moi. Je lui fais de l’ombre.

Bernard dit: 22 mars 2025 à 18h44

Puck et D,
Ça va les deux zigotos, on ne vous dérange pas, vous prenez la Rdl pour votre salle à manger ou quoi.
Si vous n’avez rien d’intéressant à dire, alors… VOS GUEULES !

je cuide dit: 22 mars 2025 à 18h46

merci puck c’avoit vyu qye c’est orécusément sur ce mot vague que ça coinçait,
personnellement, j’ai vérifié qu’il y a bien’en français une expression de ‘vague à l’âme , maus aussi bien le que la le choix est imposé par le contexte, et dès que j’ai vu « la », pensant à VW , ses titres comme vous le dites, mais aussi « water », j’ai pensé qu »il fallait icin= en « hommage féminin » et mélancolique,écrire la vague à l’âme;
mais merci d »avoir compris que l’avais découvert et vous soumettait une question de « fidélité »
écrire « la vague à l »âme »

D. dit: 22 mars 2025 à 18h52

Bernard dit: 22 mars 2025 à 18h44
Puck et D,
Ça va les deux zigotos, on ne vous dérange pas, vous prenez la Rdl pour votre salle à manger ou quoi.
Si vous n’avez rien d’intéressant à dire, alors… VOS GUEULES !

Vas-y, répète un peu, pour voir…

Christiane dit: 22 mars 2025 à 18h54

Oui, la dernière nouvelle est troublante. Dans ce demi-sommeil de l’enfant se glisse tant d’érotisme… Fantasmes, inceste ? On ne sait… Très très troublant.
Reynolds Price chez Paul Edel. (A propos de la nouvelle « Les noms et visages des héros ».)

MC dit: 22 mars 2025 à 19h06

Ça ne date pas d’hier! « Ainsi la France est un assemblage d’individus entre lesquels la loi ne reconnaît nulle autre distinction que celle de la fortune. Mais cette distinction , qui n’a rien de fixe, devient énorme par le fait pendant qu’elle subsiste, puisque entre l’homme qui paye 1000 francs d’impositions et celui qui n’en paie que 999, il y a , comme on s’en convaincra bientôt, toute la distance qui sépare le souverain du sujet »

je cuide dit: 22 mars 2025 à 19h16

si vous me permettez puck,il ,e s' »agit poir moi ni de confusion, ni stricto sensu de traduction;
j’essayais de décrire le visage de VW ,comme il m’apparaissait, l’écrire en français,et au rebours d’une pensée de pose quelque oeu narcissique

je cuide dit: 22 mars 2025 à 19h19

il ne s’agit pour moi
je n’ai pas encore bien compris comment mon ordi « déconne »

je cuide dit: 22 mars 2025 à 19h27

permettez que j’ajoute que ma vue a décliné et que je n’ai pas encore pris RV pour une nouvelle correction :
longue attente et valable pour combien de temps (ma mort se rapproche )

Bernard dit: 22 mars 2025 à 19h30

D,
Ne me provoque pas, Dédé… les mangeurs d’endives de ton acabit, j’les bouffe, moi, j’les tranche, façon jambon d’York, j’les disperse dans les quat’coins d’la chambrée, j’les zigouille et ils partent en couille, j’les scie, ils partent en vrille, j’les décapsule, i se brisent et roulent, j’les saccage, i deviennent poussière et mirage…
M’provoque pas l’Déďé, contre moi t’es pas bardé, t’est juste un fil, une aiguille, un dé…

Christiane dit: 22 mars 2025 à 20h06

Ah, Berthe Morisot… et ses près mouillés de Normandie ! Son roman préféré ? Madame Bovary…
Peintre de la femme, charme, sensualité. Au musée Marmottan, rencontrer ses toiles vibrantes.
Edouard Manet a laissé d’elle un portrait sublime : Berthe Morisot au bouquet de violettes. Elle aussi, pensive, mélancolique, farouche….

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