Panthéoniser Manouchian et toute l’Affiche rouge
Monsieur le Président de la République,
Nous vous écrivons cette lettre dans l’espoir d’empêcher une injustice. Vous avez annoncé le 18 juin votre choix de faire entrer au Panthéon les dépouilles de Missak Manouchian et de son épouse, Mélinée, en février 2024, à l’occasion du quatre-vingtième anniversaire du martyre du groupe de résistance à l’occupation nazie et à ses collaborateurs français. Le 21 février 1944, vingt-deux hommes furent fusillés au Mont-Valérien. La seule femme de leur réseau fut décapitée à Stuttgart, le 10 mai 1944.
Votre décision est une heureuse nouvelle qui nous a réjouis. Mettant fin à un trop long oubli, elle marque la reconnaissance de la contribution décisive des résistants internationalistes à la libération de la France et au rétablissement de la République. Manouchian et ses camarades appartenaient en effet aux Francs-tireurs et partisans – Main-d’œuvre immigrée (FTP-MOI), une unité de la Résistance communiste composée en grande part d’étrangers, de réfugiés et d’immigrés. « Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant », rappelait Louis Aragon en les célébrant dans son poème « L’Affiche rouge », où il évoquait leurs noms « difficiles à prononcer ».
En nos temps ô combien incertains où de nouvelles ombres gagnent, où xénophobie, racisme, antisémitisme et toutes les formes de rejet de l’autre, de l’étranger et du différent menacent, cet hommage patriotique et républicain est un message de fraternité qui rappelle que la France a toujours été faite du monde, de la diversité de son peuple et de la pluralité de ses cultures grâce à l’apport de toutes ses communautés d’origine étrangère. C’est surtout un message universel qui souligne combien les idéaux d’égalité des droits, sans distinction de naissance, de croyance ou d’apparence, initialement proclamés par la Déclaration des droits de l’homme de 1789, pour lesquels Manouchian et ses camarades ont donné leurs vies, peuvent soulever le monde entier.
Or, Monsieur le Président, c’est ce message que contredit le choix de faire entrer au Panthéon Missak et Mélinée Manouchian, et eux seuls. Eux-mêmes ne l’auraient sans doute ni compris ni souhaité. Isoler un seul nom, c’est rompre la fraternité de leur collectif militant. Distinguer une seule communauté, c’est blesser l’internationalisme qui les animait. Ce groupe de résistants communistes ne se résume pas à Manouchian qui, certes, en fut le responsable militaire avant que la propagande allemande ne le promeuve chef d’une bande criminelle. Et le symbole qu’il représente, à juste titre, pour nos compatriotes de la communauté arménienne est indissociable de toutes les autres nationalités et communautés qui ont partagé son combat et son sacrifice.
Monsieur le Président, nous espérons vous avoir convaincu que Missak Manouchian ne saurait entrer seul au Panthéon, fût-ce en compagnie de son épouse. Ce sont les vingt-trois, tous ensemble, qui font l’épaisseur de cette histoire, la leur devenue la nôtre, celle de la France, hier comme aujourd’hui. Les vingt-trois, sans en oublier un seul : juifs polonais, républicains espagnols, antifascistes italiens, et bien d’autres encore.
Nous vous demandons donc de faire en sorte qu’il soit accompagné par ses vingt-deux camarades : l’Arménien Armenak Arpen Manoukian, l’Espagnol Celestino Alfonso, les Italiens Rino Della Negra, Spartaco Fontanot, Cesare Luccarni, Antoine Salvadori et Amedeo Usseglio, les Français Georges Cloarec, Roger Rouxel et Robert Witchitz, les Hongrois Joseph Boczov, Thomas Elek et Emeric Glasz, les Polonais Maurice Füngercwaig, Jonas Geduldig, Léon Goldberg, Szlama Grzywacz, Stanislas Kubacki, Marcel Rajman, Willy Schapiro et Wolf Wajsbrot, et la Roumaine Olga Bancic.
Ils étaient vingt-trois, « vingt et trois qui criaient la France en s’abattant » – Aragon toujours –, vingt et trois qui disent notre patrie commune, sa richesse et sa force. Vingt et trois qui, à l’heure de la reconnaissance nationale, sont indissociables.
Signataires : Juana Alfonso, petite fille de Celestino Alfonso ; Patrick Boucheron, historien, professeur au Collège de France ; Michel Broué, mathématicien ; Patrick Chamoiseau, écrivain ; Costa-Gavras, cinéaste, président de La Cinémathèque française ; Elise Couzens et Fabienne Meyer, cousines germaines de Marcel Rajman ; Michel, Patrice et Yves Della Negra, neveux de Rino Della Negra ; René Dzagoyan, écrivain ; Jean Estivil, neveu de Celestino Alfonso ; André Grimaldi, professeur émérite de médecine ; Anouk Grinberg, comédienne et artiste ; Jean-Claude Grumberg, écrivain et homme de théâtre ; Yannick Haenel, écrivain ; Delphine Horvilleur, rabbine et écrivaine ; Serge et Beate Klarsfeld, historiens ; Mosco Levi Boucault, réalisateur ; Patrick Modiano, écrivain, prix Nobel de littérature ; Edgar Morin, sociologue et philosophe ; Edwy Plenel, journaliste ; Anne Sinclair, journaliste ; Thomas Stern, neveu de Thomas Elek ; Annette Wieviorka, historienne, directrice de recherche au CNRS ; Ruth Zylberman, écrivaine et réalisatrice.
(« Exécution des héros de l’Affiche rouge le 21 février 1944 » photo D.R.)
856 Réponses pour Panthéoniser Manouchian et toute l’Affiche rouge
Phil dit:
à
biologiste alsacien blond aryen
Mme Desprairies date-t-elle le virement de la blondeur dans l’histoire de France, dear Bloom ? Philippe de Bourgogne était « fair » parce que blond.
Étonnante cette moquerie de l’accent àune époque où Colette roulait les airs hardi petit en écrivant un livre des saisons dédié au Maréchal.
Abetz a reçu beaucoup de monde en plus des deux Abel hélénophiles, Cocteau, Aragon, Valery…
Bloom dit:
à
Jusqu’à nouvel ordre, la droite, c’est le pouvoir actuel. Quant à l’Evidence, elle n’était partagée il n’y a peu que par 4,78% des votants. Avec un Fou du Puy qui se prend pour Zarathoustra avant la descente dans la vallée de larmes, on se dit qu’il va lui falloir souquer ferme car elle est doublement dépassée par sa droite, l’Evidence, avec des lignes de partage des eaux de plus en plus floues (Le Flou du Puy) entre les bons bourgeois de comédie et les agressifs roquets et roquettes de la fachosphère.
rose dit:
à
Et alii
Plus que sur l’utilité je me questionne sur qu’est ce que vous cherchez.
Paul Edel dit:
à
Jazzi c est vrai que Marcel et les asperges quelle intense rigolade…
renato dit:
à
Connaître l’utilité de ce que l’autre recherche change-t-il quelque chose ?
***
Pour les asperges :
https://static.bimago.pl/mediacache/catalog/product/cache/5/3/53235/image/750×1120/2eedc3e2554854d7693b026984b6ae7b/53235_1.jpg
D. dit:
à
N’est-ce pas, Paul Edel ?
D. dit:
à
Je me demande parfois si je ne suis pas la réincarnation de Proust. Parce que moi aussi je fais pipi la nuit dans un pot de chambre et je flaire mes urines.
Marie Sasseur dit:
à
Baisse historique , en France, du niveau de compréhension, de lecture, de culture scientifique, dégringolade dans le classement pizza, comme sur ce blog…
Plus question dans ce cas de supprimer les maths dans les filières pour branleurs du bac général. Bien au contraire.
Vive les maths vive la science, vive la France.
05/12/2023 12:26 Actualisé le 05/12/2023 13:02
Baccalauréat : Gabriel Attal annonce une épreuve de mathématiques en première à partir de 2026
Après des résultats historiquement bas en mathématiques dans l’étude Pisa, le ministre de l’Éducation annonce une série de mesures pour tenter d’inverser la tendance.
HuffPost
Pablo75 dit:
à
Je vous recommande, FL, dans Massillon, son Sermon sur la mort du Pécheur.
MC dit: à
« Les surprises du pécheur mourant sont donc alors accablantes; mais les séparations qui se font dans ce dernier moment ne le sont pas moins pour lui. Plus il tenait au monde, à la vie, à toutes les créatures, plus il souffre quand il faut s’en séparer : autant de liens qu’il faut rompre, autant de plaies qui le déchirent : autant de séparations , autant de nouvelles morts pour lui.
Séparation de ses biens qu’il avait accumulés avec des soins si longs et si pénibles, par des voies peut-être si douteuses pour le salut; qu’il s’était obstiné de conserver, malgré les reproches de sa conscience; qu’il avait refuses durement à la nécessité de ses frères. Ils lui échappent cependant; ce tas de boue fond à ses yeux . Il n’en emporte avec lui que l’amour, que le regret de les perdre, que le crime de les avoir acquis.
Séparation de la magnificence qui l’environne; de l’orgueil de ses édifices, où il croyait s’être bâti un asile contre la mort ; du luxe et de la vanité de ses ameublements , dont il ne lui restera que le drap lugubre qui va l’envelopper dans le tombeau ; de cet air d’opulence au milieu duquel il avait toujours vécu. Tout s’enfuit, tout l’abandonne : il commence à se regarder comme étranger au milieu de ses palais, où il aurait toujours dû se regarder de même ; comme un inconnu qui n’y possède plus rien ; comme un infortuné qu’on va dépouiller de tout à ses yeux, et qu’on ne laisse jouir encore quelque temps de la vue de ses dépouilles que pour augmenter ses regrets et son supplice.
Séparation de ses charges , de ses honneurs, qu’il va laisser peut-être à un concurrent; où il était parvenu à travers tant de périls, de peines , de bassesses, et dont il avait joui avec tant d’insolence. Il est déjà dans le lit de la mort, dépouillé de toutes les marques de ses dignités, et ne conservant de tous ses titres que celui de pécheur, qu’il se donne alors en vain et trop tard. Hélas ! il se contenterait en ce dernier moment de la plus vile des conditions; il accepterait comme une grâce l’état le plus obscur et le plus rampant , si l’on voulait prolonger ses jours ; il envie la destinée de ses esclaves qu’il laisse sur la terre : il marche à grands pas vers la mort, et il tourne encore les yeux avec regret du côté de la vie.
Séparation de son corps, pour lequel il avait toujours vécu, avec lequel il avait contracté des liaisons si vives , si étroites, en favorisant toutes ses passions ! Il sent que cette maison de boue s’écroule; il se sent mourir peu à peu à chacun de ses sens : il ne tient plus à la vie que par un cadavre qui s’éteint, par les douleurs cruelles que ses maux lui font sentir , par l’amour excessif qui l’y attache , et qui devient plus vif à mesure qu’il est plus près de s’en séparer.
Séparation de ses proches , de ses amis , qu’il voit autour de son lit, et dont les pleurs et la tristesse achèvent de lui serrer le cœur, et de lui faire sentir plus cruellement la douleur de les perdre!
Séparation du monde, où il occupait tant de places; où il s’était établi , agrandi, étendu , comme si c’avait dû être le lieu de sa demeure éternelle ; du monde sans lequel il n’avait jamais pu vivre; dont il avait toujours été un des principaux acteurs ; aux événements duquel il avait eu tant de part ; où il avait paru avec tant d’agréments et tant de talents pour lui plaire. Son corps en va sortir , mais son cœur, mais toutes ses affections y demeurent encore; le monde meurt pour lui, mais lui-même, en mourant, ne meurt pas encore au monde.
Enfin, séparation de toutes les créatures. Tout est anéanti autour de lui : il tend les mains à tous les objets qui l’environnent, comme pour s’y prendre encore ; et il ne saisit que des fantômes, qu’une fumée qui se dissipe , et qui ne laisse
rien de réel dans ses mains : ‘et nihil invenerunt omnes viri divitiarum in manibus suis’ [Psaume 75, v.6].
C’est alors que Dieu est grand aux yeux du pécheur mourant. C’est dans ce moment terrible , que le monde entier fondant, disparaissant à ses yeux, il ne voit plus que Dieu seul qui demeure, qui remplit tout, qui seul ne passe et ne change point. Il se plaignait autrefois, d’un ton d’ironie et d’impiété, qu’il était bien difficile de sentir quelque chose de vif pour un Dieu qu’on ne voyait point ; et de ne pas aimer des créatures qu’on voyait, et qui occupaient tous nos sens. Ah! dans ce dernier moment, il ne verra plus que Dieu seul ; l’invisible sera visible pour lui ; ses sens déjà éteints se refuseront à toutes les choses sensibles ; tout s’évanouira
autour de lui; et Dieu prendra la place de tous ces prestiges qui l’avaient abusé pendant sa vie.
Ainsi tout change pour cet infortuné; et ces changements font , avec ses surprises et ses séparations , la dernière amertume du spectacle de sa mort.
[…]
Alors le pécheur mourant, ne trouvant plus dans le souvenir du passé que des regrets qui l’accablent ; dans tout ce qui se passe à ses yeux, que des images qui l’affligent; dans la pensée de l’avenir, que des horreurs qui l’épouvantent; ne sachant plus à qui avoir recours, ni aux créatures qui lui échappent, ni au monde qui s’évanouit, ni aux hommes qui ne sauraient le délivrer de la mort, ni au Dieu juste qu’il regarde comme un ennemi déclaré, dont il ne doit plus attendre d’indulgence : il se roule dans ses propres horreurs , il se tourmente , il s’agite pour fuir la mort qui le saisit, ou du moins pour se fuir lui-même; il sort de ses yeux mourants je ne sais quoi de sombre et de farouche, qui exprime les fureurs de son âme; il pousse du fond de sa tristesse des paroles entrecoupées de sanglots qu’on n’entend qu’à demi, et qu’on ne sait si c’est le désespoir ou le repentir qui les a formées; il jette sur un Dieu crucifié des regards affreux, et qui laissent douter si c’est la crainte ou l’espérance, la haine ou l’amour qu’ils expriment ; il entre dans des saisissements où l’on ignore si c’est le corps qui se dissout ou l’âme qui sent l’approche de son juge ; il soupire profondément, et l’on ne sait si c’est le souvenir de ses crimes qui lui arrache ses soupirs ou le désespoir de quitter la vie. Enfin, au milieu de ces tristes efforts , ses yeux se fixent , ses traits changent , son visage se défigure , sa bouche livide s’entr’ouvre d’elle-même, tout son corps frémit; et, par ce dernier effort, son âme infortunée s’arrache comme à regret de ce corps de boue , tombe entre les mains de Dieu , et se trouve seule au pied du tribunal redoutable.
Mes frères, ainsi meurent ceux qui ont oublié Dieu pendant leur vie; ainsi mourrez-vous vous-mêmes, si vos crimes vous accompagnent jusqu’à ce dernier moment. »
Jean-Baptiste Massillon. « Sermon pour le Jour des morts. La mort du pécheur et la mort du juste ». Dans « Sermons et Morceaux choisis » (Paris, 1848).
Jazzi dit:
à
« Marcel et les asperges quelle intense rigolade… »
La Recherche, c’est comme la Samaritaine (l’ancienne), on y trouve tout, Paul !
« Je me demande parfois si je ne suis pas la réincarnation de Proust. »
On aimerait en juger sur pièce : une ode aux endives, D. ?
« l’Evidence, avec des lignes de partage des eaux de plus en plus floues »
En votant Mélenchon, tu crois être sur la rive gauche et tu te retrouves à l’extrême droite, Bloom !`
et alii dit:
à
rose: questionnez vous :c’est déjà ça; pas vous surement!
il y a aussi ce que j’ai trouvé! à peine évoqué;
mais ceci aussi: une dame arménienne en regardant une video du musée arménien de JERUSALEM ou une autre s’est effondrée en larmes au mot « orphelin »
bonne journée, chère utilitariste de blog qui sait!
Jazzi dit:
à
« ainsi mourrez-vous vous-mêmes, si vos crimes vous accompagnent jusqu’à ce dernier moment. »
Arrête, j’ai trop peur, Pablo75 !
et alii dit:
à
endives, asperges:les erdéliens seraient déjà légumes?
Marie Sasseur dit:
à
« Pour réussir, les jeunes doivent montrer qu’ils sont capables de « comprendre et utiliser des textes écrits, mais aussi réfléchir à leur propos et s’y engager ».
1er, Singapour (543) ; 2e, Irlande et Japon (516) ; 3e, Corée du Sud et Taïwan (515) ; 4e, Estonie (511) ; 5e, Macao (510) ; 6e, Canada (507) ; 7e, États-Unis (504) ; 8e, Nouvelle-Zélande (501) ; 9e, Hong Kong (500) ; 10e, Australie (498) »
C’est pas le niveau » moyen » des commentaires de ce blog, qui ferait penser que leurs auteurs savent lire.
Quelle cata, quel scandale. Quelle honte.
J J-J dit:
à
MERCI de nous rappeler sur ce qu’est « être à droite ». Je pense me convertir au contraire, càd à la « droite extrême », beaucoup plus protectrice de nos intérêts. A l’original, en somme, plutôt qu’à la copie.
Bàv,
_________
– souci d’ordre public qui minimise autant que possible le risque de se faire poignarder à tout moment et en tout lieu ; refus de la culture de l’excuse ;
– souci de contrôler l’immigration de populations profondément différentes du peuple français historique par leur religion et leur mentalité, de façon à permettre leur assimilation; ça suppose en premier lieu qu’elles soient suffisamment peu nombreuses pour ne pas se constituer en communautés séparées, voir séparatistes ;
– refus de la culture de l’auto flagellation obsessionnelle de nous-même sans oser demander aux autres qu’ils fassent de même, ce qui ouvre un boulevard à la soumission ;
– respecter l’histoire et la culture française depuis ses origines, de façon à maintenir un lot de « souvenirs communs » qui permettent l’unité et la solidarité du peuple ;
– égalité des droits et non de résultats ; en clair promotion sociale fondée exclusivement sur les talents et le mérite avec les aides nécessaires pour ceux qui sont socialement défavorisés ;
– côté économique et social, reconnaître la supériorité du système de la libre entreprise; un système d’économie étatique centralisée n’a jamais marché ;
– reconnaître en même temps que la liberté d’entreprendre s’accompagne d’obligations de solidarité qui ne doivent laisser personne dans la misère ;
– c’est à l’Etat élu démocratiquement de trouver le meilleur équilibre entre les deux points ci-dessus ;
Bloom dit:
à
« snob comme un pot de chambre », C. Despairies, opus cité.
Bloom dit:
à
DespRairies
D. dit:
à
Ô endive noble, verte et croquante,
Dans les salades, ton élégance se montre brillante.
Une étreinte feuillue, un délice amer,
En cuisine, tu es un esprit sincère.
De la terre, tu t’élèves avec grâce,
Un trésor végétal dans l’art du fourneau en surface.
Braisée ou crue, ta saveur raffinée,
Ô endive, dans les jardins, tu es adorée.
Au milieu du festin, une présence royale,
Ta légère amertume, une essence culinaire idéale.
Dans les soupes ou les gratins, tu rayonnes,
Endive, muse de plats divins, couronnée.
Alors à toi, chère endive précieuse,
Dans la gloire gastronomique, tu es somptueuse.
Une ode verdoyante, un chant culinaire,
Pour l’humble endive, nous voulons prolonger.
D. dit:
à
Ô endive, parure des potagers,
Dans ton habit vert, symbole de légèreté.
En frisée ou en chicorée, tu te dévoiles,
Charmante, dans les assiettes, tu étoiles.
Sous le sol, ta racine s’ancre profonde,
Émergeant avec élégance, vibrante, féconde.
En salade ou en braisée, ton amertume est délice,
Fière endive, dans le panier du marché,
De chefs avisés, tu es le secret caché.
Crue ou cuite, ton destin se module,
En bouche, une symphonie, une danse qui module.
Alors, saluons cette feuille humble et fine,
En toi, endive, la gastronomie s’incline.
Une ode sincère à ta simplicité,
Ô endive, en cuisine, éternelle beauté.
et alii dit:
à
JE RECOMMANDE A D
Eh oui, « Les hommes du XVe siècle » ont donné au pissenlit ce « nom rigolo, à lire en réalité ‘pisse au lit' », en trois mots à l’origine, « à cause de ses vertus diurétiques »,
Janssen J-J dit:
à
@ le niveau » moyen » des commentaires de ce blog,
Il est même à la hausse depuis 1989, surtout depuis que ma soeur intervient pour le promouvoir, gabriel !
D. dit:
à
Oh endive, ancre du potager, dans la terre tu t’ancres,
Comme la bite, ferme et fière, tu prends place.
En salade, tu tisses des liens, semblable à la corde marine,
Croquante et fraîche, telle une brise marine.
Ton amertume, douce comme la morsure de l’océan,
Endive, telle la bite, une ancre gourmande.
Dans la cuisine, tu t’entrelaces, comme les nœuds marins,
Un festin maritime, où le goût danse comme les vagues sans fin.
Que ce soit en braisée ou en soufflé, ton voyage culinaire,
Résonne avec la solidité de la bite, ancrée avec soin.
Endive, modeste et pourtant majestueuse,
Comme la bite, gardienne silencieuse.
Ainsi, saluons l’endive, compagne des assiettes,
Tout comme la bite, fidèle dans sa conquête.
Une ode où les saveurs et les nœuds se mélangent,
Dans ce port culinaire, où l’endive et la bite s’échangent.
D. dit:
à
la bitte, pardon.
lmd dit:
à
Ça c’est un peu fort, B ! aujourd’hui, je vis toujours du même travail depuis 1965 ; je suis vieux, certes, mais je pêche ma douzaine d’oursins sans combinaison (si les oursins sont là) ; en 1977 j’ai eu l’occasion de faire partie d’une petite équipe consultée pour un projet à Sophia ; j’ai profité, pardi, de cette occasion ; nos interlocuteurs étaient bien sûr des fonctionnaires ; mais si les autorités supérieures leur permettaient de faire appel à des Français c’est bien qu’elles savaient qu’ils (leurs fonctionnaires) ne savaient pas tout sur tout. Malheureusement, il y avait un écart trop important entre les objectifs et les moyens. Je crois que le caviar ne leur coutait pas si cher que ça.
D. dit:
à
Merci à cette andouille de gpt.
D. dit:
à
Les rivages sereins de l’île de Porquerolles, où la quiétude règne en maître, peuvent être le cadre d’une juxtaposition intrigante : l’abus d’anisette couplé à l’utilisation excessive des réseaux sociaux d’Internet chez les retraités de l’île. Cette exploration complexe dévoilera les méfaits potentiels de cette dualité inattendue, examinant comment ces deux éléments peuvent interagir et influencer la vie des retraités porquerollais.
Porquerolles, connue pour ses paysages préservés et son atmosphère tranquille, accueille une communauté de retraités qui aspirent à profiter de leurs années d’après-carrière dans une harmonie naturelle. Cependant, l’entrée en scène de l’anisette, associée à la sociabilité méditerranéenne, combinée à une utilisation excessive des réseaux sociaux, peut créer un cocktail potentiellement explosif pour la quiétude insulaire.
L’abus d’anisette, liqueur emblématique de la région, peut entraîner des méfaits physiques et sociaux chez les retraités. La santé fragile des personnes âgées peut être compromise par une consommation excessive d’alcool, augmentant les risques de chutes, de troubles cognitifs et de problèmes de santé mentale. En parallèle, l’aspect social de l’anisette peut conduire à des rassemblements plus fréquents, favorisant une atmosphère de convivialité, mais potentiellement encourageant une dépendance à l’alcool.
L’utilisation excessive des réseaux sociaux d’Internet ajoute une dimension supplémentaire à cette équation. Si, d’une part, ces plateformes offrent une fenêtre sur le monde et une opportunité de rester connecté, elles peuvent également devenir un terrain propice à l’isolement. Les retraités, dans leur quête de connexion virtuelle, peuvent se retrouver éloignés de la réalité tangible qui les entoure.
Le mariage de l’anisette et des réseaux sociaux peut créer une spirale où la réalité physique et la virtualité se confondent. Les moments sociaux autour de l’anisette peuvent être documentés et partagés en ligne, créant une double réalité où l’expérience réelle est parfois subordonnée à la représentation numérique. Cette dualité peut engendrer un sentiment d’aliénation, où les liens virtuels prévalent sur les interactions directes.
Le risque de déconnexion générationnelle est également à prendre en considération. Les retraités de Porquerolles, en plongeant dans l’univers des réseaux sociaux, peuvent se sentir dépassés par la rapidité des changements technologiques. Cela peut engendrer un sentiment d’isolement numérique, les éloignant non seulement de la société locale mais aussi de leurs pairs plus jeunes, créant ainsi des barrières générationnelles inattendues.
Cependant, il est crucial de souligner que l’utilisation des réseaux sociaux peut également apporter des avantages significatifs aux retraités. Ces plateformes offrent la possibilité de rester connecté avec la famille éloignée, de partager des souvenirs et de participer à des communautés virtuelles qui partagent des intérêts communs. L’équilibre entre une utilisation saine des réseaux sociaux et la préservation des interactions sociales physiques doit être recherché.
La gestion de cette dualité à Porquerolles nécessite une approche holistique. Les professionnels de la santé, les membres de la communauté et les familles peuvent collaborer pour sensibiliser aux risques de l’abus d’alcool et de l’utilisation excessive des réseaux sociaux. Des programmes éducatifs sur la santé physique et mentale, ainsi que des ateliers sur la navigation sécurisée sur Internet, peuvent jouer un rôle crucial.
La création d’espaces sociaux dédiés, où les retraités peuvent se rassembler de manière équilibrée, permettrait de maintenir la convivialité tout en limitant l’abus potentiel d’anisette. En parallèle, encourager des activités locales, des clubs et des événements qui promeuvent la connectivité physique peut contribuer à équilibrer l’utilisation des réseaux sociaux.
Porquerolles, avec sa communauté tissée serrée, offre une opportunité unique d’adresser ces questions de manière collaborative. Des initiatives locales visant à maintenir l’harmonie entre les traditions méditerranéennes, l’usage modéré de l’anisette et une utilisation saine des réseaux sociaux peuvent servir de modèle pour d’autres communautés confrontées à des défis similaires.
En conclusion, les méfaits potentiels de l’anisette combinée à l’abus des réseaux sociaux chez les retraités de Porquerolles soulignent la nécessité d’une approche équilibrée et informée. Il est impératif de reconnaître les risques tout en préservant les aspects positifs de ces deux éléments. Porquerolles, avec son charme distinctif, offre un terrain d’expérimentation pour des solutions novatrices qui respectent les traditions locales tout en répondant aux besoins changeants de la population vieillissante de l’île.
Marie Sasseur dit:
à
Avec votre oursinade lmd, tout de suite on envie de large , et vous n’y êtes êtes pour rien, mais les oursinades, je pense Carry, et puis chemin faisant au Suisse errant, Blaise en poèmie, du côté d’Ensues la Redonne.
Save the date !
https://www.otcarrylerouet.fr/fr/decouvertes-et-art-de-vivre/l-oursin/156-les-oursinades
Dites lmd, vos copains du komintern, ils avaient fait des notes de frais… ?
Je vous charrie on n’ira pas caviarder.
Patrice Charoulet dit:
à
Sur le blog de Philippe Bilger, un homme à pseudo m’écrit ceci :
« Merci de confirmer, une fois de plus, que vous voulez ma mort sociale.
Vous êtes un ennemi du peuple français, un traître à votre nation, un traître à votre race et mon ennemi personnel.
Votre hypocrisie doucereuse ne trompe personne : les gens comme vous sont ceux qui ont fait le lit du nazisme et du communisme. Ce sont ceux qui font aujourd’hui le lit de l’islam génocidaire.
Vous êtes l’une des personnes les plus odieuses que j’aie jamais croisées — et croyez-moi, j’en ai croisé des paquets. »
Marie Sasseur dit:
à
Je ne connais pas la Bulgarie, c’est drôle car parmi des étapes d’un road trip qui passait en Bulgarie, j’ai pu voir récemment la photo d’une construction assez futuriste, et démesurée comme certaines œuvres à la gloire du socialisme soviétique.
Planté au sommet de nulle part, dans la region de Shipka ,une sorte de soucoupe volante.
Et c’est un trésor pour les urbex…
Samuel dit:
à
Pourquoi seuls les pauvres mangent des endives ?
MC dit:
à
Pas impossible qu’ils se soient imités mutuellement, le Celine et le Montandon. A creuser. L’édition Québécoise des pamphlets souligne l’imitation et les citations. Montandesques, mais le reste? Pour le reste, j’ignorais , et d’ autres avec moi , que Macron , c’était la Droite! Heureusement il y a Bloom!
Bloom dit:
à
Méditations marloviennes:
Quod me nutruit me detruit
Ce qui me nourrit aussi me détruit.
(Devise figurant sous le portrait de Christopher Marlowe, dans le grand hall du collège oxfordien de Corpus Christi).
Marie Sasseur dit:
à
Plus fortiche que Thorez…Le milliardaire rouge.
Par Eric De Saint Angel
Publié le 6 septembre 2013 à 13h28
Mis à jour le 9 septembre 2013 à 8h00
Temps de lecture 3 min
« Au physique, il ressemblait à un de ces « gros pardessus » de l’Ovalie, dont il avait l’accent rocailleux. Jean-Baptiste Doumeng venait de la terre. Il était né en Haute-Garonne dans un village du piémont pyrénéen au nom biblique : Noé. Un père métayer, avec la subordination sociale qu’implique le métayage, une famille pauvre, que la crise économique des années 1930 avait presque acculée à la misère. L’enfant est doué. Il dévore la bibliothèque du curé du village qui le pousse jusqu’au certificat d’études. Mais à l’âge de 13 ans, il doit gagner sa vie. Berger, ouvrier agricole, maçon. Un professeur d’histoire, militant communiste, sera son second mentor. Il apprend à dialectiser sa révolte.
Le voici maquignon lorsque survient la guerre. Malade, il échappe à la mobilisation, puis rejoint la Résistance. A la Libération, il contribue à mettre en place un grand mouvement coopératif. Remarqué par Waldeck Rochet, chargé des questions agricoles au PCF, il devient secrétaire général départemental de la Confédération générale de l’Agriculture. Sa formation se poursuit. C’est alors qu’il noue des liens précieux avec les milieux financiers proches de Moscou, qui ne feront que se renforcer. A l’époque, le Sud-Ouest regorge de pommes de terre et manque de tracteurs. La Tchécoslovaquie est dans la situation inverse. Pourquoi ne pas imaginer un troc ? Cet échange marchandise, c’est l’acte fondateur. La société Interagra voit le jour en 1949. Son activité va s’étendre à tous les secteurs de l’agroalimentaire (viande, beurre, céréales, agrumes, vin). Tout en présidant l’Union des Coopératives agricoles du Sud-Ouest, Doumeng accède au grand négoce. Grâce à ses appuis moscovites et à sa connaissance des besoins de l’Union soviétique et des « pays frères », il devient un acteur incontournable. En pleine guerre froide, ce communiste rompu aux méthodes capitalistes ouvre des bureaux à Moscou. Son avion privé franchit le rideau de fer sans encombre, et c’est en limousine officielle qu’il est conduit au Kremlin.:
Ici:
D. dit:
à
Samuel, je suis très riche. Ma villa de Chaville est somptueuse. Mon château d’Aurillac fait rêver. Et je mange des endives. Plein. Alors, hein, camembert.
D. dit:
à
Quand on ne sait pas, on se tait.
D. dit:
à
Je sais su’en Bulgarie il y a des yourtes, sinon je be sais pas grand chose de ce pays exotique, je l’avoue.
D. dit:
à
Ça ne peut évidemment pas se comparer à la France.
lmd dit:
à
…parlonslivres,….celui-ci donne une bonne idée de l’architecture soviétique, de ses intentions de faire des palais pour tout, même quand il n’y a pas besoin de palais (tout doit être maintenant en ruine).
https://www.taschen.com/fr/books/architecture-design/05744/frederic-chaubin-cccp-cosmic-communist-constructions-photographed
Alexia Neuhoff dit:
à
Je viens de lire dans un magazine culturel un article dénonçant les assauts de la fachosphère sur le cité Allociné. Qu’il s’agisse d’un film réalisé par un cinéaste issu de l’immigration, qui emploie des acteurs noirs ou d’origine maghrébine ou dont le scénario traite de problèmes que ces haineux ne tolèrent pas, les notes négatives (0,5/5) pleuvent, sans commentaires. Le site est ainsi fait que ces notes sont prises en compte de sorte que le film disparaît de l’affiche au bout d’une semaine.
Marie Sasseur dit:
à
« Cosmic Communist Constructions »
Excellent, et passionnant.
J J-J dit:
à
S’il n’y avait qu’Al!o ciné d’infectée… Alexia Ici-même, on nourrit de sérieux doutes depuis l’entrisme de jzmn dans les cinémathèques de la rdl, hein !…
Quant à charoulie-charoulae, c’est à se demander s’il a raison d’importer icite ses déboires de chez Bilger, notre grande conscience juridique de gauche qui bloque chez lui tous les prétendus messages diffamatoires en provenance de la fachausfaire.
De toute façon, nous sommes tous prêts pour l’éclaircie enfin à-venir en France en 2027, avec l’époustouflant programme écolo du bardélisme éclairé – Glurps.
Jazzi dit:
à
Le condamné à mort
à
Maurice
PILORGE
assasin de
vingt ans
Le vent qui roule un cœur sur le pavé des cours,
Un ange qui sanglote accroché dans un arbre,
La colonne d’azur qu’entortille le marbre
Font ouvrir dans ma nuit des portes de secours.
Un pauvre oiseau qui tombe et le goût de la cendre,
Le souvenir d’un œil endormi sur le mur,
Et ce poing douloureux qui menace l’azur
Font au creux de ma main ton visage descendre.
Ce visage plus dur et plus léger qu’un masque,
Et plus lourd à ma main qu’aux doigts du receleur
Le joyau qu’il empoche; il est noyé de pleurs.
Il est sombre et féroce, un bouquet vert le casque.
Ton visage est sévère: il est d’un pâtre grec.
Il reste frémissant aux creux de mes mains closes.
Ta bouche est d’une morte où tes yeux sont des roses,
Et ton nez d’un archange est peut-être le bec.
Le gel étincelant d’une pudeur méchante
Qui poudrait tes cheveux de clairs astres d’acier,
Qui couronnait ton front des pines du rosier
Quel haut-mal l’a fondu si ton visage chante?
Dis-moi quel malheur fou fait éclater ton œil
D’un désespoir si haut que la douleur farouche,
Affolée, en personne, orne ta ronde bouche
Malgré tes pleurs glacés, d’un sourire de deuil?
Ne chante pas ce soir les « Costauds de la Lune »!
Gamin d’or sois plutôt princesse d’une tour
Rêvant mélancolique à notre pauvre amour;
Ou sois le mousse blond qui veille à la grand’hune.
Et descend vers le soir pour chanter sur le pont
Parmi les matelots à genoux et nu- tête
« L’Ave Maris stella ». Chaque marin tient prête
Sa verge qui bondit dans sa main de fripon.
Et c’est pour t’emmancher, beau mousse d’aventure,
Qu’ils bandent sous leur froc les matelots musclés.
Mon Amour, mon Amour, voleras-tu les clés
Qui m’ouvriront le ciel où tremble la mature
D’où tu sèmes, royal, les blancs enchantements,
Qui neigent sur mon page, en ma prison muette:
L’épouvante, les morts dans les fleurs de violette,
La mort avec ses coqs ! ses fantômes d’amants !
Sur ses pieds de velours passe un garde qui rôde.
Repose en mes yeux creux le souvenir de toi.
Il se peut qu’on s’évade en passant par le toit.
On dit que la Guyane est une terre chaude.
O la douceur du bagne impossible et lointain!
O le ciel de la Belle, ô la mer et les palmes,
Les matins transparents, les soirs fous, les nuits calmes,
O les cheveux tondus et les Peaux-de-Satin!
Rêvons ensemble, Amour, à quelque dur amant
Grand comme l’Univers mais le corps taché d’ombres.
Il nous bouclera nus dans ces auberges sombres,
Entre ses cuisses d’or, sur son ventre fumant,
Un mac éblouissant taillé dans un archange
Bandant sur les bouquets d’œillets et de jasmins
Que porteront tremblants tes lumineuses mains
Sur son auguste flanc que ton baiser dérange.
Tristesse dans ma bouche! Amertume gonflant
Gonflant mon pauvre cœur! Mes amours parfumées
Adieu vont s’en aller! Adieu couilles aimées!
O sur ma voix coupée adieu chibre insolent!
Gamin ne chantez pas, posez votre air d’apache!
Soyez la jeune fille au pur cou radieux,
Ou si tu n’as de peur l’enfant mélodieux
Mort en moi bien avant que me tranche la hache.
Enfant d’honneur si beau couronné de lilas!
Penche-toi sur mon lit, laisse ma queue qui monte
Frapper ta joue dorée. Écoute, il te raconte,
Ton amant l’assassin sa geste en mille éclats.
Il chante qu’il avait ton corps et ton visage,
Ton cœur que n’ouvriront jamais les éperons
D’un cavalier massif. Avoir tes genoux ronds!
Ton cou frais, ta main douce, ô môme avoir ton âge!
Voler voler ton ciel éclaboussé de sang
Et faire un seul chef-d’œuvre avec les morts cueillies
Ça et là dans les prés, les haies, morts éblouies
De préparer sa mort, son ciel adolescent…
Les matins solennels, le rhum, la cigarette…
Les ombres du tabac, du bagne et des marins
Visitent ma cellule où me roule et m’étreint
Le spectre d’un tueur à la lourde braguette.
La chanson qui traverse un monde ténébreux
C’est le cri d’un marlou porté par la musique.
C’est le chant d’un pendu raidi comme une trique.
C’est l’appel enchanté d’un voleur amoureux.
Un dormeur de seize ans appelle de bouées
Que nul marin ne lance au dormeur affolé.
Un enfant reste droit, contre le mur collé.
Un autre dort bouclé dans ses jambes nouées.
J’ai tué pour les yeux bleus d’un bel indifférent
Qui jamais ne comprit mon amour contenue,
Dans sa gondole noire une amante inconnue,
Belle comme un navire et morte en m’adorant.
Toi quand tu seras prêt, en arme pour le crime,
Masqué de cruauté, casqué de cheveux blonds,
Sur la cadence folle et brève des violons
Égorge une rentière en amour pour ta frime.
Apparaîtra sur terre un chevalier de fer,
Impassible et cruel, visible malgré l’heure
Dans le geste imprécis d’une vieille qui pleure.
Ne tremble pas surtout, devant son regard clair.
Cette apparition vient du ciel redoutable
Des crimes de l’amour. Enfant des profondeurs
Il naîtra de son corps d’étonnantes splendeurs,
Du foutre parfumé de sa queue adorable.
Rocher de granit noir sur le tapis de laine
Une main sur sa hanche, écoute-le marcher.
Marche vers le soleil de son corps sans péché,
Et t’allonge tranquille au bord de sa fontaine.
Chaque fête du sang délègue un beau garçon
Pour soutenir l’enfant dans sa première épreuve.
Apaise ta frayeur et ton angoisse neuve,
Suce son membre dur comme on suce un glaçon.
Mordille tendrement le paf qui bat ta joue,
Baise ma queue enflée, enfonce dans ton cou
Le paquet de ma bite avalé d’un seul coup.
Ètrangle-toi d’amour, dégorge, et fais ta moue!
Adore à deux genoux, comme un poteau sacré
Mon torse tatoué, adore jusqu’aux larmes
Mon sexe qui se rompt, te frappe mieux qu’une arme,
Adore mon bâton qui va te pénétrer.
Il bondit sur tes yeux; il enfile ton âme,
Penches un peu la tête et le vois se dresser.
L’apercevant si noble et si propre au baiser
Tu t’inclines très bas en lui disant: « Madame »!
Madame écoutez-moi! Madame on meurt ici!
Le manoir est hanté! La prison vole et tremble!
Au secours, nous bougeons! Emportez-nous ensemble,
Dans votre chambre au Ciel, Dame de la merci!
Appelez le soleil, qu’il vienne et me console.
Étranglez tous ces coqs! Endormez le bourreau!
Le jour sourit mauvais derrière mon carreau.
La prison pour mourir est une fade école.
Sur mon cou sans armure et sans haine, mon cou
Que ma main plus légère et grave qu’une veuve
Effleure sous mon col, sans que ton cœur s’émeuve
Laisse tes dents poser leur sourire de loup.
O viens mon beau soleil, ô viens ma nuit d’Espagne
Arrive dans mes yeux qui seront morts demain.
Arrive, ouvre ma porte, apporte-moi ta main,
Mène-moi loin d’ici battre notre campagne.
Le ciel peut s’éveiller, les étoiles fleurir,
Ni les fleurs soupirer, et des prés l’herbe noire
Accueillir la rosée où le matin va boire,
Le clocher peut sonner: moi seul je vais mourir.
Ô viens mon ciel de rose, ô ma corbeille blonde!
Visite dans sa nuit ton condamné à mort.
Arrache-toi la chair, tue, escalade, mords,
Mais viens! Pose ta joue contre ma tête ronde.
Nous n’avions pas fini de nous parler d’amour.
Nous n’avions pas fini de fumer nos gitanes :
On peut se demander pourquoi les Cours condamnent
Un assassin si beau qu’il fait pâlir le jour.
Amour viens sur ma bouche! Amour ouvre les portes!
Traverse les couloirs, descends, marche léger,
Vole dans l’escalier, plus souple qu’un berger,
Plus soutenu par l’air qu’un vol de feuilles mortes.
O traverse les murs; s’il le faut marche au bord
Des toits, des océans; couvre-toi de lumière,
Use de la menace, use de la prière,
Mais viens, ô ma frégate une heure avant ma mort.
Les assassins du mur s’enveloppent d’aurore
Dans ma cellule ouverte au chant des hauts sapins,
Qui la berce, accrochée à des cordages fins
Noués par des marins que le clair matin dore.
Qui grava dans le plâtre une Rose des Vents?
Qui songe à ma maison, du fond de sa Hongrie?
Quel enfant s’est roulé sur ma paille pourrie
A l’instant du réveil d’amis se souvenant?
Divague ma Folie, enfante pour ma joie
Un consolant enfer peuplé de beaux soldats,
Nus jusqu’à la ceinture, et des frocs résédas
Tire ces lourdes fleurs dont l’odeur me foudroie.
Arrache on ne sait d’où les gestes les plus fous.
Dérobe des enfants, invente des tortures,
Mutile la beauté, travaille les figures,
Et donne la Guyane aux gars, pour rendez-vous.
O mon vieux Maroni, ô Cayenne la douce!
Je vois les corps penchés de quinze à vingt fagots
Autour du mino blond qui fume les mégots
Crachés par les gardiens dans les fleurs et la mousse.
Un clop mouillé suffit à nous désoler tous.
Dressé seul au-dessus des rigides fougères
Le plus jeune est posé sur ses hanches légères
Immobile, attendant d’être sacré l’époux.
Et les vieux assassins se pressant pour le rite
Accroupis dan le soir tirent d’un bâton sec
Un peu de feu que vole, actif, le petit mec
Plus émouvant et pur qu’une émouvante bite.
Le bandit le plus dur, dans ses muscles polis
Se courbe de respect devant ce gamin frêle.
Monte la lune au ciel. S’apaise une querelle.
Bougent du drapeau noir les mystérieux plis.
T’enveloppent si fin, tes gestes de dentelle!
Une épaule appuyée au palmier rougissant
Tu fumes. La fumée en ta gorge descend
Tandis que les bagnards, en danse solennelle,
Graves, silencieux, à tour de rôle, enfant,
Vont prendre sur ta bouche une goutte embaumée,
Une goutte, pas deux, de la ronde fumée
Que leur coule ta langue. O frangin triomphant,
Divinité terrible, invisible et méchante,
Tu restes impassible, aigu, de clair métal,
Attentif à toi seul, distributeur fatal
Enlevé sur le fil de ton hamac qui chante.
Ton âme délicate est par de là les monts
Accompagnant encor la fuite ensorcelée
D’un évadé du bagne, au fond d’une vallée
Mort, sans penser à toi, d’une balle aux poumons.
Élève-toi dans l’air de la lune, ô ma gosse.
Viens couler dans ma bouche un peu du sperme lourd
Qui roule de ta gorge à tes dents, mon Amour,
Pour féconder enfin nos adorables noces.
Colle ton corps ravi contre le mien qui meurt
D’enculer la plus tendre et douce des fripouilles.
En soupesant charmé tes rondes, blondes couilles,
Mon vit de marbre noir t’enfile jusqu’au cœur.
Oh vise-le dressé dans son couchant qui brûle
Et va me consumer! J’en ai pour peu de temps,
Si vous l’osez, venez, sortez de vos étangs,
Vos marais, votre boue où vous faites des bulles
Ames de mes tués! Tuez-moi! Brûlez-moi!
Michel-Ange exténué, j’ai taillé dans la vie
Mais la beauté, Seigneur, toujours je l’ai servie,
Mon ventre, mes genoux, mes mains roses d’émoi.
Les coqs du poulailler, l’alouette gauloise,
Les boîtes du laitier, une cloche dans l’air,
Un pas sur le gravier, mon carreau blanc et clair,
C’est le luisant joyeux sur la prison d’ardoise.
Messieurs je n’ai pas peur! Si ma tête roulait
Dans le son du panier avec ta tête blanche,
La mienne par bonheur sur ta gracile hanche
Ou pour plus de beauté, sur ton cou mon poulet….
Attention! Roi tragique à la bouche entr’ouverte
J’accède à tes jardins de sable, désolés,
Où tu bandes, figé, seul, et deux doigts levés,
D’un voile de lin bleu ta tête recouverte.
Par mon délire idiot je vois ton double pur!
Amour! Chanson! Ma reine! Est-ce un spectre mâle
Entrevu lors des jeux dans ta prunelle pâle
Qui m’examine ainsi sur le plâtre du mur?
Ne sois pas rigoureux, laisse chanter matine
A ton cœur bohémien; m’accorde un seul baiser…
Mon Dieu je vais claquer sans te pouvoir presser
Dans ma vie une fois sur mon cœur et ma pine!
Pardonnez moi mon Dieu parce que j’ai péché!
Les larmes de ma voix, ma fièvre, ma souffrance,
Le mal de m’envoler du beau pays de France,
N’est-ce pas assez, mon Seigneur, pour aller me coucher.
Trébuchant d’espérance.
Dans vos bras embaumés, dans vos châteaux de neige!
Seigneur des lieux obscurs, je sais encore prier.
C’est moi mon père, un jour, qui me suis écrié:
Gloire au plus haut du ciel, au dieu qui me protège
Hermès au tendre pied!
Je demande à la mort la paix, les longs sommeils,
Les chants des séraphins, leurs parfums, leurs guirlandes,
Les angelots de laine en chaudes houppelandes,
Et j’espère des nuits sans lunes ni soleils
Sur d’immobiles landes.
Ce n’est pas ce matin que l’on me guillotine.
Je peux dormir tranquille. A l’étage au-dessus
Mon mignon paresseux, ma perle, mon Jésus,
S’éveille. Il va cogner de sa dure bottine
A mon crâne tondu.
Il paraît qu’à côté vit un épileptique.
La prison dort debout au noir d’un chant des morts.
Si des marins sur l’eau voient s’avancer les ports
Mes dormeurs vont s’enfuir vers une autre Amérique.
Jazzi dit:
à
Ne faudrait-il pas faire entrer Jean Genet au Panthéon ?
rose dit:
à
Un jour, un petit garçon de douze ans, petit maigre avec un beau visage, il se tient très droit, terriblement droit, part à une fête agricole à Digne les Bains.
C’était le premier dimanche de décembre.
Lorsqu’il revint le lundi, il me dit
-« Madame, j’ai gagné le premier prix ».
– Et qu’était donc le premier prix ?
-« J »ai gagné un âne gris ».
Voilà, je partage avec vous ce qui, des années après, me remplit encore de bonheur.
Marie Sasseur dit:
à
« QUI SONT LES SCIENTIFIQUES DU PANTHÉON ?
De nombreux scientifiques reposent au Panthéon : Joseph-Louis Lagrange, Gaspard Monge, Marcelin Berthelot, Paul Langevin, Pierre Curie ou encore Marie Curie, première femme à entrer au Panthéon pour ses mérites propres.
Découvrez l’histoire de ces scientifiques de génie, qui ont révolutionné la science en France dans de nombreux domaines : mathématiques, physique, chimie, sciences naturelles,…
La visite est aussi l’occasion d’observer le Pendule de Foucault : menée en 1851 au Panthéon, l’expérimentation menée par Léon Foucault démontre la rotation de la terre ! »
https://www.paris-pantheon.fr/agenda/visite-conferences-en-francais-le-pantheon-et-les-sciences
rose dit:
à
Conte de Noël ci dessus.
Janssen J-J dit:
à
Quand on recopie un poème pédérastique, il faut le faire sans interligne. Sinon, on pourrait penser à un complot destiné à plomber la chaine, à terme.
Janssen J-J dit:
à
Je croyais pmp, que le pendule fou était suspendu aux Arts et Métiers… CNAM, sauf erreur… ?
closer dit:
à
D, vous confondez yourte et yaourt.
Alexia Neuhoff dit:
à
Janssen, 1er au classement Pisa !
Phil dit:
à
Le ministre Kouchner avait parlé de yogourt au Tibet, faites confiance au ministre, Baroz.
rose dit:
à
Janssen J-J dit: à
Je croyais pmp, que le pendule fou était suspendu aux Arts et Métiers… CNAM, sauf erreur… ?
Il est dans le grand musée archéologique de Naples.
William Boquet dit:
à
Rions un peu (en marge de la « ratonnade » maousse costaud de l’extrême droite et des supremacistes juifs en Palestine)
1980 : le traumatisme à Bondy après une «ratonnade» de militants d’extrême droite
Le 25 novembre, une centaine de militants d’extrême droite ont voulu pénétrer dans le quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère dans la Drôme, d’où sont originaires plusieurs suspects dans la mort d’un adolescent lors d’un bal de Crépol. Certains y voient le retour des «ratonnades» qui émaillèrent l’actualité des années 80. Parmi les plus marquantes, il y a celle de Bondy.
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/ratonnade-bondy-racisme-1980-arabes-skin-heads-extreme-droite
William Boquet dit:
à
La République à l’épreuve de la radicalisation des communautés ? Ce n’est pas un combat nouveau et l’islamisme n’est pas isolé dans sa défiance vis à vis des institutions
Opa sur les juifs de France
Enquête sur un exode programmé (2000-2005)
Cécilia Gabizon, Johan Weisz
26/04/2006
Au terme de trois ans d’enquête en France et en Israël, ce reportage décortique l’opération secrète menée par l’Etat hébreu pour faire émigrer massivement les Juifs de France à partir de 2004. Début 2004, l’Agence juive est réactivée. En juin, elle planifie et organise le départ de 30.000 Juifs, dont ceux de Sarcelles, une communauté traditionnellement très proche d’Israël et exposée au feu antisémite qui rougeoie dans les banlieues. Absurde vue de France, l’opération est pour les Israéliens une précaution, « au cas où ». L’opération « Sarcelles d’abord », avec les délégués israéliens venus faire du porte à porte dans les communautés est un demi-échec. Mais l’idée du départ se répand. De hauts responsables communautaires vont se lancer dans la tournée des synagogues pour prêcher la montée en Israël. Des intellectuels juifs venus de l’extrême gauche feront cause commune avec de nouvelles recrues de l’extrême droite pour fustiger la France antisémite et pro-arabe. Certains soufflent, au nom de la lutte contre l’islamisme, un racisme anti-musulman et entraînent à droite une partie des Juifs communautaires, ceux groupés autour des synagogues et des associations : un noyau qui regroupe un tiers des 500.000 Juifs français. Les dirigeants de l’Agence juive livrent une bataille décisive : Israël a besoin d’immigrants juifs pour rester un état démocratique à majorité juive. Or les deux dernières plus vastes communautés en diaspora se trouvent aux Etats-Unis et en France. Les délégués de l’Agence, et notamment les financiers américains, votent donc en 2005 un deuxième plan qui se déroule actuellement : une offensive marketing formulée par des experts, des consultants d’IBM, avec un travail par segment. La rencontre entre le sionisme et les techniques modernes de marketing est brutale, déconcertante : Les candidats au départ sont désormais des « clients » qu’il faut cerner et séduire, tandis qu’Israël est devenu un « produit ». 2005 a marqué une immigration française record, avec plus de 3000 juifs. Un véritable mouvement est amorcé chez les retraités, les Juifs pratiquants des milieux populaires, mais aussi des étudiants. La tentation de Jérusalem, raconte, avec des faits précis et jamais dévoilés, cette « OPA sur les Juifs de France » que tente l’Etat d’Israël. Le livre démontre aussi le rôle des relais communautaires et de certains intellectuels qui estiment que le rapport de force avec les musulmans obligera les Juifs à partir.
https://www.grasset.fr/livre/opa-sur-les-juifs-de-france-9782246704614/
D. dit:
à
Non madame Closer, je ne confonds pas yourte et yaourt. Il y a des yourtes en Bulgarie. A Pancharevo, 1475. Renseignez-vous avant de me contredire.
William Boquet dit:
à
Dans ce contexte, en effet, la lettre de Manouchian a vocation à éveiller les consciences
William Boquet dit:
à
“21 février 1944, Fresne
Ma chère Méline, ma petite orpheline bien aimée. Dans quelques heures je ne serai plus de ce monde. On va être fusillé cet après-midi à 15 heures. Cela m’arrive comme un accident dans ma vie, j’y ne crois pas, mais pourtant, je sais que je ne te verrai plus jamais. Que puis-je técrire, tout est confus en moi et bien claire en même temps. Je m’étais engagé dans l’armée de Libération en soldat volontaire et je meurs à deux doigts de la victoire et de but. Bonheur ! à ceux qui vont nous survivre et goutter la douceur de la Liberté et de la Paix de demain. J’en suis sûre que le peuple français et tous les combattants de la Liberté sauront honorer notre mémoir dignement. Au moment de mourir je proclame que je n’ai aucune haine contre le peuple allemand et contre qui que ce soit. Chacun aura ce qu’il meritera comme chatiment et comme recompense. Le peuple Allemand et tous les autres peuples vivront en paix et en fraternité après la guerre qui ne durera plus longtemps. Bonheur ! à tous ! — J’ai un regret profond de ne t’avoir pas rendu heureuse, j’aurais bien voulu avoir un enfant de toi comme tu le voulais toujours. Je te prie donc de te marier après la guerre sans faute et avoir un enfant pour mon honneur et pour accomplir ma dernière volonté. Marie-toi avec quelqu’un qui puisse te rendre heureuse. Tous mes biens et toutes mes affaires je lègue à toi et à ta sœur et pour mes neveux. Après la guerre tu pourra faire valoir ton droit de pension de guerre en tant que ma femme, car je meurs en soldat regulier de l’Armee française de la Libération. Avec l’aide des amis qui voudront bien m’honorer tu feras éditer mes poèmes et mes ecris qui valent d’être lus. Tu apportera mes souvenirs si possibles, à mes parents en Arménie. Je mourrais avec mes 23 camarades tout à l’heure avec courage et serénité d’un homme qui a la conscience bien tranquille, car personnellment, je nai fais mal à personne et si je lai fais, je l’ai fais sans haine. Aujourd’hui il y a du soleil. C’est en regardant au soleil et à la belle nature que jai tant aimé que je dirai Adieu ! à la vie et à vous tous ma bien chère femme et mes bien chers amis. Je pardonne à tous ceux qui m’ont fait du mal où qui ont voulu me faire du mal sauf à celui qui nous à trahis pour racheter sa peau et ceux qui nous ont vendu. Je t’embrasse bien fort ainsi que ta sœur et tous les amis qui me connaisse de loin ou de près, je vous serre tous sur mon cœur. Adieu. Ton ami Ton camarade Ton mari Manouchian Michel (djanigt)
P.S. J’ai quinze mille francs dans la valise de la Rue de Plaisance. Si tu peus les prendre rends mes dettes et donne le reste à Armène.M. M”
rose dit:
à
On va pleurer tous les soirs avec la lettre à Mélinée ?
renato dit:
à
Mozart :
J J-J dit:
à
@ Mélinée mère (Courage ? au) Curry ? 🙂 ou mère nous chiant ?
bon, je rentre, oups. J’ai trop bien vécu la journée. Désolé, les gars. Tchin à Lapère O !… & mes zamours à tous.tes,
J J-J dit:
à
Il va pas nous iech une pendule, le père de foucault, si ? Manger des endives aux yaourts bulgare, pour nous ex-purger. Chirac avait confondu les yourtes avec les youtres. Son icst n’avait pas perlé, semble-t-il. A qui la faute ? J’ai toujours eu l’alcool amoureux, lesoir, qui va s’en plaindre, hein ?
et alii dit:
à
bonsoir:
Mais alors, d’où vient cette idée que le yaourt serait né en Bulgarie ?
Probablement des travaux du Bulgare Stamen Grigoroff repris par Elie Metchnikoff, élève de Pasteur. Ils ont découvert et analysé la bactérie à l’origine de la fermentation du lait – le bacille Lactobacillus bulgaricus (en symbiose avec Streptococcus thermophilus) – à partir de yaourts provenant d’une région bulgare réputée pour la longévité de ses habitants. Celle-ci s’expliquerait par leur consommation de yaourts, selon la théorie de Metchnikoff.
Des vertus santé qui ont favorisé la popularisation du yaourt
et alii dit:
à
Metchnikoff.
La reconnaissance de l’ensemble de ses travaux sur l’immunité lui vaut le prix Nobel de physiologie et de médecine en 1908. Père de l’immunité cellulaire, il partagera son prix avec Paul Ehrlich. Tous deux sont considérés comme les fondateurs de l’immunologie.
Samuel dit:
à
Pourquoi y a-t-il en France actuellement plus de 300.000 SDF ?
Samuel dit:
à
Pourquoi il vaut mieux hériter que mériter ?
D. dit:
à
Pourquoi y a-t-il trop de monde sur la Terre ?
et alii dit:
à
sur ohilomag« Vivre, c’est trouver une forme. » Julia Kristeva aime citer cette formule du poète romantique Friedrich Hölderlin. Née et élevée en Bulgarie, elle est devenue, à son arrivée en France, l’égérie de l’avant-garde littéraire et philosophique des années 1960. Polyglotte jonglant avec les formalistes russes aussi bien qu’avec le nouveau roman ou le structuralisme, elle côtoie Aragon, Barthes et Derrida, participe à la revue Tel Quel, épouse Sollers et s’initie à la psychanalyse avec Lacan. Jusqu’à ce voyage dans la Chine de Mao entrepris en 1974 avec Sollers et Barthes, au moment où le maoïsme apparaît comme une alternative à l’orthodoxie communiste défendue par Althusser… mais où, sous le masque de la Révolution culturelle, un nouveau totalitarisme se met en place. Peu à peu, elle va marquer sa différence, en trouvant des formes, justement, d’intervention et de réflexion singulières. Forte de son expérience du communisme soviétique, elle comprend
https://www.philomag.com/articles/julia-kristeva-je-suis-et-resterai-une-etrangere
et alii dit:
à
kristeva:
Une modernité se cherche aujourd’hui, la modernité de l’athéisme analytique qui, d’inspiration freudienne, peut ouvrir à l’expérience de la pensée toutes les traditions religieuses du monde globalisé. “Là où c’était”, je peux advenir. Vous dites : “spiritualités” ? Je réponds : “Je me voyage. ” In via, in patria (« Il n’y a pas d’autre patrie que le voyage », saint Augustin). »
https://www.philomag.com/articles/julia-kristeva-couper-le-fil-de-la-tradition
et alii dit:
à
c’est aussi mon père qui m’emmena au mont Valérien pour évoquer;
lui non plus qui avait fait les deux guerres n’avait aucune haine pour les allemands
je lui suis toujours reconnaissante de son scrupule pour la transmission de l’Histoire
Jazzi dit:
à
« je lui suis toujours reconnaissante de son scrupule pour la transmission de l’Histoire »
Mais pas de la ponctuation !
et alii dit:
à
mon père n’avait pas été scolarisé; je ne saurais lui faire reproche de ce qui ne dépendait pas absolument de lui;je connais monsieur « sabre et le goupillon » qui se plaignit à moi de son père qui le voulait toujours premier; il se félicita d’avoir fichu une « torgnole mémorable à sa fille » comme un effet, ou un droit lié à son héritage ou son agrégation;
j’avais compris qu’il s’était fait haÏr de tous ses voisins et collègues;récemment j’ai pu conclure qu’il n’avait pas suscité l’affection de sa famille par alliance; il ne m’a pas impressionné, et nous ne nous saluons plus!les torgnoles FAMILIALES comme des médailles de guerre?
VIVE INTERNET
Jazzi dit:
à
Un petit tour dans mon guide des musées de Paris, JJJ ?
Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
Tél. : 01 53 01 82 00
Métro : Arts-et-Métiers
ou Réaumur-Sébastopol
http://www.arts-et-metiers.net
Créé à la Révolution à l’initiative de L’abbé Grégoire, le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) et son musée se sont installés dès 1794 sur le prestigieux site de l’abbaye de Saint-Martin-des-Champs.
De fait, le musée des Arts et Métiers peut être considéré comme l’un des plus anciens musées techniques et industriels au monde.
Riche d’environ 80 000 objets et 15 000 dessins, ses collections sont réparties sur sept sections : instruments scientifiques, matériaux, construction, communication, énergie, mécanique et transports.
Ainsi le visiteur peut-il découvrir au fil de ses déambulations à travers les salles de ce véritable « temple » de la technique de 10 000 m2, dont près des 2/3 sont affectés aux expositions permanentes : le cabinet de physique et le laboratoire des frères Lavoisier, la collection d’horlogerie de Louis Ferdinand Berthoud, le métier à tisser les façonnés de Jacques Vaucanson, le télégraphe de Chappe, le fardier de Cugnot, le pendule de Foucault ou l’Avion n° 3 de Clément Ader.
Ici, les expositions temporaires s’intéressent à des sujets scientifiques et techniques, toujours en lien avec les collections du musée. On a pu y voir ces dernières années : Métro… Ticket pour une expo (2011), Radio : ouvrez grand vos oreilles ! ainsi que Et l’Homme… créa le robot (2012), Mécanhumanimal, Enki Bilal au Musée des arts et métiers (2013) ou encore Culture TV. Saga de la télévision française (2014)
Le musée dispose en outre d’une importante photothèque dotée d’un fonds photographique de référence en histoire des sciences et des techniques.
De plus, le musée propose des visites générales et thématiques, accessibles aux visiteurs individuels ou en groupe ; des ateliers pédagogiques thématiques réservés aux enfants et quatre cycles de conférences, pour les plus grands, sous forme de conférences magistrales ou de débats au sein du Café des techniques du musée.
et alii dit:
à
CECI DIT? CÖT2 CAVIAR,j’ai frquenté un collectif d’artistes qui se réunissait régulièrement en amenant le « pique nique » à partager;et nul ne se plaignait
J J-J dit:
à
Pétrossian partageait ses boîtes d’ossiètre avec le prolétariat, c’est bien connu. Hélas, ils le bouffaient comme des vaches… Ont toujours gaspillé la marchandise, les prolos. A quoi bon les nourrir à la petite cuiller, hein ? Laissons ça à la haute bourgeoisie.
D. dit:
à
Absolument.
rose dit:
à
Jacques Drillon parle beaucoup et longuement de son père.
et alii dit:
à
treve de caviar, avez-vous essayé la poutarque?
A l’instar du caviar, la poutargue est devenu un mets recherché et cher. Face à la demande pour ce produit, les poches d’œufs sont souvent importées depuis la Mauritanie, le Sénégal et le Brésil. Actuellement, les poissons mulets sont victimes de la surpêche, ce qui a fait de la poutargue un produit de luxe.
https://www.poutargue.fr/
D. dit:
à
Cette, terminé le cirque de « la magie de Noël ». Je rends à Noël ce qui appartient à Noël et rien d’autre.
Une crèche discrète et aucune autre décoration. Messe de Noël du 25, et certainement pas la veillée du 24 avec les mioches et les familles.
Aucun repas spécial. Au contraire je mangerai pauvrement et seul 3 pommes de terre en méditant sur la venue en notre monde du Christ pauvre parmi les pauvre.
Je n’accepterai aucun cadeau (j’ai déjà prévenu) et n’en ferai aucun, si ce n’est un don aux églises en détresse dans le monde.
Et je vous invite à faire tout pareil.
D. dit:
à
Je crois que renato est un spécialiste de la bottarga, que vous appelez poutargue.
William Boquet dit:
à
@Opa sur les juifs de France
Enquête sur un exode programmé (2000-2005)
Cécilia Gabizon, Johan Weisz
26/04/2006
« Le livre décrit les activités des dizaines d’envoyés de l’Agence juive, la manière dont ils mettent à profit les violences antijuives comme les discours antisémites de certains islamistes, mais aussi les relais dont ils bénéficient au sein d’une partie de la communauté juive radicalisée. Il insiste en particulier sur les convergences – mises en lumière dès 2002 dans nos colonnes – entre les extrêmes droites israélienne, juive française et française tout court, au nom du combat commun contre l’islam. Après celle de Guillaume Weill-Raynal (Une haine imaginaire ?, Armand Colin, Paris, 2005), cette nouvelle enquête questionne la complaisance dont le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) fait preuve à l’égard de ces phénomènes. »
https://www.monde-diplomatique.fr/2006/06/VIDAL/13591
renato dit:
à
Pas spécialiste, D., j’ai gouté, pas à mon goût.
D. dit:
à
Je mettrai quand même un peu de beurre dans mes patates.
William Boquet dit:
à
Incidemment, tombé par une mauvaise manœuvre sur cette avant dernier commentaire sous le billet intitulé Lacombe Lucienne, vraiment du 12 octobre ; il y est question d’un “flux d’aide continu” à la population de Gaza. Il est vrai qu’il n’était pas dit à partir de quand le “flux” serait initié
William Boquet dit: à
@renato dit: à
WB, Accord Biden-Netanyahu : le flux d’aide sera continu.
Qu’ils s’appuient sur les Nations Unies pour le garantir et faire respecter les conventions internationales auxquelles leurs pays ont souscrit
puck dit:
à
bel article !
la seule question qui manque est de savoir si on le fait plus pour eux ou bien pour nous ?
je veux dire pour s’imaginer que nous sommes digne de le faire.
je veux dire avec ce monde injuste et ces guignols qui nous gouvernent asservis qu’ils sont à l’oncle Sam.
perso je pense pas que nous le soyons.
en fait je pense que s’ils nous connaissaient ils verraient ça d’un mauvais oeil.
je veux dire s’ils connaissaient le nombrilisme individualisme d’un type comme Haenel et les autres ils l’auraient mauvaise.
faudrait passer notre tour et laisser ça aux générations futures elles le mériterons peut-être plus que nous.
rose dit:
à
La justice en France.
En première instance, n’importe quel jugement est rendu.
Tout est bon. Mensonges, absence totale de probité, manipulations.
En appel, de manière quasiment systématique, le complet contraire du premier jugement est prononcé, relaxe définitive, innocence de l’accusé, annulation des dédommagements à payer.
En cassation, cela commence à prendre corps : quelqu’un se penche sur le dossier, l’étudie de près, prend les choses au sérieux.
Un jugement est rendu. Il semble fiable. Si tu ne vas pas en cassation, tu n’as aucune chance pour que la justice en France soit juste. Aucune.
rose dit:
à
Jamais goûté la poutargue.
Le caviar deux fois à la pointe d’une petite cuillère.
Bravo pour la remise en place de ce qu’est Noël, un bébé dans la paille (sur) d’une mangeoire pauvre, après une fuite sur un âne en Égypte.
rose dit:
à
Que le shit attaque les neurones on le sait. Mais il rend terriblement esclave.
Comment fait-on ce choix de vie ?
(Et comment accepte-t-on de se réduire à porter des couches et ne plus marcher, ita est fauteuil roulant ?).
rose dit:
à
Le verbe mériter je le conchie.
Je suis allée sur la tombe de mon père.
Sa mort honteuse, en cinq mois, ne raye pas sa vie exemplaire sur 94 ans : pas un chrysanthème, une tombe abandonnée, quarante centimètres d’herbes folles.
Mon père n’a jamais mérité cela.
Les gens qui ont hérité de ses économies n’entretiennent pas sa tombe. Même pas une plaque avec une photo, et ses années de naissance et de mort, rien.
Une prière pour lui.
À deux pas, Gastounet.
Elle, Edmonde, avait dix ans de moins que lui et lui a survécu trente ans.
Deux magnifiques pierres taillées neuves viennent d’être posées à plat devant le rocher : leurs noms & prénoms et années de naissance et de mort.
Une prière pour eux deux.
La première femme de Gaston Deferre a épousé plus tard José Aboulker qui fut le médecin du Général de Gaulle. Mes voisins aux Hautes Plaines de Mane, un lieu de parachutage durant la seconde guerre mondiale. Ainsi que la tour de Porchères. Les militants. Les gens sur le terrain. Les compagnons de la Libération. Tous ceux-là.
rose dit:
à
Ce que raconte Drillon sur la réduction des corps au cimetière, et précisément celle de son père, il n’y va pas avec le dos de la cuillère, c’est ce qui a fait que mon père s’est fait enterrer sur une bâche énorme en taille et épaisse en grammage.
Je n’ose penser aux quatre cercueils sous le sien qui jusque là étaient en parfait état.
Chaleur et pluie.
Mon père, qui se disait chrétien ne croyait pas à la résurrection des corps. Nous avons eu plusieurs conversations à ce sujet. Or, si tu ne crois pas, tu ne ressusciteras pas. C grillé pour lui.
rose dit:
à
Y a une petite fille Rosalia dont le corps ne s’est pas décomposé. C’est une sainte. Elle est dans la nécropole à Palerme.
Jazzi dit:
à
Au Kenya les femmes ne font pas que des enfants, elles plantent aussi des arbres !
https://www.leparisien.fr/environnement/comment-le-kenya-souhaite-planter-15-milliards-darbres-dici-2030-grace-aux-femmes-04-12-2023-MTQPROWXGRFYPBH2L5RQJEZ2S4.php
MC dit:
à
Chère Sasseur, les références « moisies » sont celles de l’article grenoblois, et ce n’est vraiment pas ma faute si le Soldeville fait preuve d’une telle méconnaissance du Roman National, lequel, accessoirement , suffisait à Michelet! Si vous ne me croyez pas, allez-voir ce
qu’il fait de du Guesclin, Jeanne, ou Bayard, vous aurez des surprises si vous êtes capable d’en avoir! MC
MC
MC dit:
à
Michelet s’ annexant Joffre et Foch, ça aurait eu de la gueule! MC
JC..... dit:
à
MERCREDI 6 DECEMBRE 2023, 8h24
VIE ETERNELLE & RESURRECTION
Ce n’est pas le Barbu de l’Olympe qui est responsable de la résurrection d’un mort, c’est l’Editeur de ses ouvrages…
JC..... dit:
à
Chère Rose, la pitchounette Rosalia ne se décompose pas … car elle est embaumée depuis sa mort et son installation au début du XXème dans les Catacombes des Capucins à Palermo.
Patrice Charoulet dit:
à
EN FRANCE , A QUAND
L’ARRET DE LA CONSTRUCTION EN ZONE
INONDABLE ?
Jazzi dit:
à
En France, les sénateurs volent haut !
« Ferme ta gueule », lance Gérard Larcher à Jean-Luc Mélenchon
Le président LR du Sénat a qualifié Jean-Luc Mélenchon d' »irresponsable » après la publication d’un message sur X (anciennement Twitter) où il traite la journaliste de LCI Ruth Elkrief de « fanatique ».
Jazzi dit:
à
Personne ici pour nous signaler la mort de Jean Ristat à 80 ans dans les bras de son mari !
https://www.lefigaro.fr/livres/mort-du-poete-jean-ristat-executeur-testamentaire-de-l-oeuvre-de-louis-aragon-et-d-elsa-triolet-20231204
Marie Sasseur dit:
à
Le dément mc s’est trompé d’adresse, c’est ici :
https://www.grenoble.fr/1845-jerome-soldeville.htm
De mon côté je vais voir où en est ce signalement pour harcèlement.
Les connards, ça suffit.
JC..... dit:
à
Chère Marie, nous qui sommes civilisés, instruits, éducationnés, cultivés à l’extrême, pétillants de malice, caviarophiles jusqu’ l’indigestion, nous devons absolument devenir aussi cons que les pires connards !
Question d’intégration, afin de vivre pleinement la vie en devenir telle qu’on la voit pointer, la salope.
Bloom dit:
à
Semblerait que les hommes politiques n’aient plus grand humour, à quelques exceptions près, peut-être:
E. Philippe, lauréat 2023 du prix Press Club, humour et politique:
« Si vous pensez qu’il faut être un playboy en France pour être élu, j’ai quand même quelques contre-exemples »
F. Roussel, du PC (un communiste, de nos jours…!) avait remporté le prix l’année dernière pour « La station d’essence est le seul endroit en France où celui qui tient le pistolet est aussi celui qui se fait braquer. »
Cette année, il obtient le prix de la récidive (un communiste, téléguidé par le colonel Fabien, pffft…) pour « Il ne suffit pas de s’abonner à Pif pour connaître les intentions du gouvernement. Il faut aussi s’abonner à Playboy. »
Bon…à quand un classement PiZZa de l’humour…
Quant au pendu de Foucault, il est à trouver dans l’Ordonnance criminelle de 1690 en vigueur jusqu’à la Révolution:
Claudio Bahia dit:
à
D. dit: à
Cette, terminé le cirque de « la magie de Noël ». Je rends à Noël ce qui appartient à Noël et rien d’autre.
Une crèche discrète et aucune autre décoration. Messe de Noël du 25, et certainement pas la veillée du 24 avec les mioches et les familles.
Aucun repas spécial. Au contraire je mangerai pauvrement et seul 3 pommes de terre en méditant sur la venue en notre monde du Christ pauvre parmi les pauvre.
Je n’accepterai aucun cadeau (j’ai déjà prévenu) et n’en ferai aucun, si ce n’est un don aux églises en détresse dans le monde.
Et je vous invite à faire tout pareil.
j’admire votre programme, il inspire le respect, en effet, c’est ce que devrait être Noel, mais pour le réaliser, je crois que il faut « être seul »
D. dit:
à
J’aime beaucoup le très bon caviar mais ça reste trop cher. Anormalement cher lorsqu’il s’agit d’esturgeon d’élevage presque intégralement utilisé (la chair du poisson, assez bonne et pouvant facilement être mise en conserve).
Je pense qu’il y a une certaine spéculation sur le caviar.
Marie Sasseur dit:
à
Pour les non-redoublants, et les non victimes du classement pizza, la minute culturelle.
La voie qui porte le nom d’un obscur colonel raciste, borde sur une faible longueur le parc Paul Mistral, connu du monde entier, avec pour point de repère, la tour Perret vestige de l’exposition internationale de 1925, « houille blanche et tourisme ».
https://www.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/2016/01/4a97a6e9-bc4b-413c-827a-34746f74a719/860_affiche_houille.webp
D. dit:
à
(…) La pression monte pour les transports franciliens. Avec cinq lignes de métro et trois RER « en grande difficulté » au mois d’octobre, Ile-de-France Mobilités (IDFM) a tiré la sonnette d’alarme, mardi 5 décembre, à un peu moins de huit mois des Jeux olympiques. Valérie Pécresse, présidente d’IDFM, « rappelle à la RATP la nécessité de remonter la pente et de réussir à faire rouler l’ensemble des trains commandés », a indiqué fermement l’autorité organisatrice des transports dans un communiqué.
Dans le métro, cinq lignes affichent une ponctualité inférieure à 85% aux heures de pointe. Cela se traduit par des métros et des quais bondés et des conditions de trajet très dégradées pour les voyageurs sur les lignes 3, 6, 7, 8 et 13. L’augmentation du nombre de malaises voyageurs en raison de l’affluence est même responsable de 10% des trains supprimés sur la ligne 7. Les taux d’irrégularité affichés sur ces cinq lignes « n’existaient pas avant le Covid », déplore IDFM. (…)
FranceInfo.fr
Bolibongo dit:
à
« tandis qu’à la fenêtre je/Regarde passer la lune où dorment les morts»
Jazzi,
Jean Ristat dans tout son éclat! 🙂
Soleil vert dit:
à
Oui mais aussi comment en parler hein ?
Thomas Pynchon – L’Arc-en-ciel de la gravité – Editions du Seuil
Marie Sasseur dit:
à
@Quant au pendu de Foucault, il est à trouver dans l’Ordonnance criminelle de 1690 en vigueur jusqu’à la Révolution:
??
Une longue histoire, à portée universelle,
connaissance à la portée de tous que la curaille a, une nouvelle fois, voulu faire » tourner » court…en voulant se reapproprier le Panthéon.
D. dit:
à
Bref, années après années, on en sort pas, Castex ou pas. Les usagers, notamment les travailleurs, payent, toujours plus cher. Et trinquent.
et alii dit:
à
J4EN AI MARRE DE CES repas controuvés sans variétés ;donc je suggère à l’affiche:des fromages rouges:
Moins communs que les fromages oranges, on trouve quand même un certain nombre de fromages rouges. Cette couleur surprenante peut se retrouver soit dans la pâte, soit dans l’enrobage ou la croûte du fromage.
Si le fromage présente une pâte de couleur rouge, celle-ci est due à l’ajout d’un ou plusieurs ingrédients : tomates, pesto rosso ou encore piment sont les plus fréquents. Du colorant tel que la cochenille ou le roucou (un fruit tropical) peuvent également être utilisés lors de la fabrication pour accentuer la couleur rouge.
Si le fromage présente une croûte ou un enrobage rouge, cela peut également venir d’ingrédients qui enrobent le fromage, souvent du poivron, paprika ou piment d’Espelette. Certains fromages comme le Babybel® ou l’Edam sont eux enrobés de paraffine ou de cire rouge.
https://laboxfromage.fr/blog/fromage-rouge/
D. dit:
à
Moi je ne mange pas de fromage rouge.
Vert à la limite. Orange ou jaune, oui.
Mais ni rouge, ni violet, ni bleu. C’est comme ça, je n’y reviendrai pas.
Alexia Neuhoff dit:
à
Janssen (qui banquette souvent) pourra réclamer un « repas controuvé ». Et le traiteur de se plaindre « d’être traité ». Kiss
et alii dit:
à
je me doutais bien que D en serait décoiffé:
alors qu’il se prépare avec
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Janssen J-J dit:
à
ce jour, de l’écume …
1 – ruth elkrief, jean-luc mélanchon, et le gros président du sénat : faut-il en faire des fromages ?
2 – la situation empire en Ukraine mais les souvis pour Gaza l’emporte. Il n’y a plus de 4e pouvoir aux USA, a forwardé Nicolas de la Morandière dans la chronique Le Zoom
3 – à la nouvelle petite supérette API du coin, qui vient « d’ouvrir ses portes » (entièrement automatisée), la petite Louise,3 ans, montre au vieux JJJ comment insérer sa carte QR code, pour y accéder. Ensuite, -elle sait déjà où sont exposés tous les produits-, de lui expliquer comment passer les codes barre de ses achats sur la machine à lecture où s’inscrivent les prix et le total à payer. Puis, comment poser sa carte bleue en effleurant l’autre appareil contigu, c’est le seul moyen de paiement possible, sans rendu de papier. Elle me fait comprendre que je serai débité de ces achats par un message arrivant sur mon smartphone… Mais je n’en ai pas ! Sa mère arrive à son secours pour prendre son relais. « Vous avez bien dû signaler un O6 lors de l’établissement de votre carte ! » – « ah oui, j’avais oublié, j’ai donné celui de ma conjointe à la campagne ! »…
… Merd’alors, elle va pouvoir contrôler tous mes achats. Heureusement pour elle : dans cette supérette hyperconnectée avec des alarmes et des bandes vidéo partout et une Sté de télésurveillance en cas de grabuge, hélas,… il n’y a que des produits Carrefour dits de « 1ère nécessité ». Ils ont dû penser que dans les campagnes hyper rurales, les alcools et les revues porno pour les vieux n’avaient pas droit de cité. Résultat : JJJ ne s’en fais pas trop pour l’avenir de la fabrique du crétin, les enfants en bas âge biberonnés à toutes les connectiques de la terre sauront toujours fabriquer une nouvelle race d’enfants « climatologisés », pensant qu’ON trouvera bien des solutions à tout. Seront pas des analphabètes, mais plus besoin de leur remonter le niveau en maths, on voit d’ailleurs bien les dégâts causés chez Ma Soeur gabrielle…. Si les parents refusent les redoublements, où va t on ? Anéfé…
Les vieux au rebut ou au feu, et la maîtresse au milieu. Hein ? Bàv
(6/XII.2023_Mes voeux de succès au vernissage parisien du très beau livre confidentiel de Jean-Pierre Bertin-M, sortant ce jour en librairie).
Janssen J-J dit:
à
@ AN : my Kiss for a spider woman !
—j’apprécie l’humour au dîner des cons trouvés, qui nous met en appétit, anéfé, c’est l’heure de la baffre. Bàv 🙂
morales sed laisse dit:
à
J4EN AI MARRE DE CES repas controuvés
Cela sent un peu la supérette renfermée ici, non?
morales sed laisse dit:
à
Ah, la coincée du 4! 🙂
et alii dit:
à
j’ai déjà oublié quel politique avait avoué avoir été -scolairement!-un cancre
notre ministre qui se défierait de scientifiques a-t-il interviewvé tous les cancres avoués de notre république;
qui écrira une gloire aux cancres de chez nous et d’ailleurs
J J-J dit:
à
@ à la coinchée du 4
NOUS SOM4MES des pio4nniers dans la c4ONTREE. JAZ4M va être ouf de rage. Pourra pas enterrer les minisupérettes dans ses cimetières parisiens !…
AU cas où il passerati par chez nous autres, hein… pas vrai, Bilhoreau de Ballester ?
Marie Sasseur dit:
à
@qui écrira une gloire aux cancres de chez nous et d’ailleurs
A ceux qui ont raté le bac 2 fois ?
Ils ne sont pas tous des Zola.
Zola au Panthéon : discours de Gaston Doumergue (alors ministre de l’éducation)
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/audio/p18150928/zola-au-pantheon-discours-de-gaston-doumergue
J J-J dit:
à
@ Personne ici pour nous signaler la mort de Jean Ristat à 80 ans dans les bras de son mari !
Pas moij vu que je le connaissions point… « Les bras de son mari », ckoi encore ce potin mondain, jzmn ?
Samuel dit:
à
Pourquoi les LGBTQ+ me dégoûtent et me répugnent tellement que la seule chose que je leur souhaite est leur disparition, leur mort ?
Jazzi dit:
à
« ckoi encore ce potin mondain, jzmn ? »
Ce sont les propres termes du communiqué officiel des Lettres Françaises…
Pas de pb, je vous excuse, JJJ.
D. dit:
à
« La situation empire en Ukraine »
–
…Qui conduit la population de la région d’Ukraine dans le gouffre et l’impasse, sinon Zelensky ?
MC dit:
à
Sasseur, bref mot pour dire que nous apprécions comme il se doit le courage de vos convictions, lesquelles vous conduisent à louer un article au dessous du médiocre ,puis à se dérober derrière son auteur quand on vous fait observer sa piètre valeur. Ce petit jeu façon « ce n’est pas moi qui le dit , c’est lui « en dit beaucoup sur votre courage intellectuel…
Jazzi dit:
à
« Pourquoi les LGBTQ+ me dégoûtent et me répugnent tellement que la seule chose que je leur souhaite est leur disparition, leur mort ? »
Parce que tu te reconnais (honteusement) en eux, Samuel.
Soleil vert dit:
à
MC : smartphone. Nécessité de fermer périodiquement tous les onglets, de nettoyer l’historique de navigation.
Soleil vert dit:
à
t alii dit: à
qui écrira une gloire aux cancres de chez nous et d’ailleurs ?
Daniel Pennac – Chagrin d’école ?
et alii dit:
à
interpretes, si vous vous questionniez, avant d’affirmer urbi et orbi vos convictions sur vos pêches?
Une « tablette de malédiction » en plomb écrite en hébreu ancien il y a plus de 3 000 ans pourrait en réalité être un poids de pêche sans écriture perceptible, suggèrent de nouvelles recherches.
Le morceau de plomb de la taille d’un timbre-poste, connu sous le nom de tablette du Mont Ebal, est controversé depuis l’annonce de sa découverte en mars dernier . Ses découvreurs ont suggéré que la tablette montrait une écriture dans une forme ancienne de l’alphabet hébreu qui appelait le dieu des Israélites à maudire ses ennemis. Mais les nouvelles études rejettent les affirmations selon lesquelles la tablette serait la plus ancienne inscription connue du nom Yahweh et qu’elle soutiendrait les récits bibliques sur les origines des anciens Israélites.
et alii dit:
à
La guerre a transformé le Comité international de la Croix-Rouge en une organisation vilipendée en Israël. Pourquoi n’a-t-il pas condamné le Hamas ? Pourquoi n’a-t-il pas accepté d’apporter des médicaments aux otages ? De nombreux Israéliens sont même en colère contre le langage corporel des employés de la Croix-Rouge qui ramènent chez eux les otages libérés
HA ARETZ
BREF TOUT LE MONDE VOIT ROUGE
William Boquet dit:
à
IA et responsabilités
Gaza. “Une usine de tueries de masse” : une enquête sur les dérives de l’armée israélienne
Une enquête menée par le webzine israélien “+972 Magazine” et fondée notamment sur des entretiens anonymes avec sept membres, actuels et anciens, des renseignements israéliens, met en cause l’armée israélienne et son recours à une intelligence artificielle baptisée “Habsora”. Celle-ci serait en grande partie responsable du bain de sang dans l’enclave palestinienne assiégée de Gaza.
Une enquête accablante pour l’armée israélienne menée par le webzine israélien +972 Magazine, et reprise par plusieurs médias à travers le monde, révèle que la stratégie militaire de Tsahal dans la guerre actuelle contre le Hamas, notamment le recours à l’intelligence artificielle, est largement à l’origine du nombre particulièrement élevé de victimes civiles à Gaza, estimé à des milliers de morts, dont plus de 5 000 enfants, selon le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef).(…)
Sources : Courrier international et
https://www.972mag.com/mass-assassination-factory-israel-calculated-bombing-gaza/
William Boquet dit:
à
‘The Gospel’: how Israel uses AI to select bombing targets in Gaza
D. dit:
à
Il faut un cessez-le feu définitif à Gaza.
D. dit:
à
Les mesures relatives aux emprunts, destinées à soutenir le secteur immobilier en crise, viennent d’être annoncées. Les spécialistes affirment déjà qu’elles sont très insuffisantes et marginales.
Le secteur immobilier va donc en toute logique continuer à s’enfoncer beaucoup plus que mollement, avec un risque réel de véritable effondrement fin 2024-début 2025, qui devrait exclure les biens à caractère rare, prestigieux et d’exception, possédés par les plus aisés.
La seule solution pour contrer cet effondrement étant baisser les taux directeurs d’emprunt et d’assurance, d’augmenter les rémunérations des livrets d’épargne et évidemment les salaires.
Toutes choses que l’état français repousse du revers de la main, notamment parce que la toute puissance européenne, manipulée par l’Allemagne, lui interdit, cravache en main.
Beaucoup de petites gens vont perdre de l’argent, beaucoup d’argent. Et il ne sera pas perdu pour tout le monde.
Patrice Charoulet dit:
à
Ultralibéralisme français ?
Les communistes, les mélenchonistes, certains Verts se plaignent de « l’ultralibéralisme3 français… et macronien. Ils sont dans leur rôle.
Il n’y a qu’un malheur : Dans l’Union européenne, en 2023, la France a les prélèvements obli- gatoires les plus élevés : 48 % ! Cherchez l’erreur.
Janssen J-J dit:
à
@ Pourquoi les LGBTQ+ me dégoûtent et me répugnent tellement que la seule chose que je leur souhaite est leur disparition, leur mort ?
Parce que vous faites partie de leur race, et en concevez une forme de « haine de soi »… mais voilà,
vous n’osez pas disparaitre avec eux, c clair… comme un triangle rose pour les GUD du FN !
Samuel dit:
à
Pourquoi le pitre Zelensky, lâché par les occidentaux, trouvera toujours en Renato, sur la Rdl, un soutien (comique) de poids 😂 ?!
Samuel dit:
à
Pourquoi le jazzi et la gigi sont toutes les deux bêtes comme deux femmelettes trouées de partout ?
Clopine dit:
à
Bah, Jjj, vos achats en supérette automatisée sont plain d’humour… Mais cependant, il me semble qu’un « invariant anthropologique » est désormais franchi : et nous en sommes la première génération. Je veux dire que les enfants habitaient autrefois le monde de leurs parents. Et qu’il semble que ce soit l’inverse désormais : les parents habitent le monde de leurs enfants. Oh, je sais que ce genre de simple opinion devrait être étayée par de solides études, scientifiques ou au moins philosophiques, sinon c’est juste du Charoulet (« vu l’instimable personne que je suis, toutes mes opinions sont donc vérités, bref, le cuistre parfait mais presque touchant, tant il est content de lui. Il bouvarpecuchètise à qui mieux mieux !). Cependant, il me semble que ce simple ressenti mériterait une étude. Ça se trouve, sûrement, c’est déjà fait. Une sorte de rupture ontologique de la transmission du monde… Bref.
rose dit:
à
Soleil Vert
Où on le trouve historique de navigation ?
J J-J dit:
à
@ qui devrait exclure les biens à caractère rare, prestigieux et d’exception, possédés par les plus aisés.
Dieu merci, le château d’Aurillac devrait en être épargné.
@ Il n’y a pas d’erreur, la France qui doit montrer l’exemple européen est exemplaire en matières de prélèvements obligatoires, et si ses partenaires l’étaient autant, les effets pervers de la dérive ultralibérale à l’intérieur seraient facilement contenus et les gens qui souffrent du mal-logement pourraient respirer un peu.
@ Ce petit jeu façon « ce n’est pas moi qui le dit , c’est lui » en dit beaucoup sur votre courage intellectuel
Il y a bien longtemps MC, que tout le monde en a compris l’imposture, il n’y a qu’elle et passoul pour s’abuser sur son cas… et quand elle en reste coite, plutôt que d’admettre son impéritie pathologique, elle préfère manier l’insulte, puis passer à autre chose… Trois mois plus tard : « mais je suis la première à en avoir parlé »… T4as qu’à croir’e un brin’4 MA BRUNE. hein !
renato dit:
à
Parce que, au contraire de Samuel, renato est un antifasciste, donc contre Poutine et toute la marmaille qui le soutient en occident.
Marie Sasseur dit:
à
Cet imposteur de mc insulte l’auteur d’un article d’histoire de très BONNE facture sur la municipalité de Grenoble, surtout pour ceux qui la connaissent ! et voilà que ce sinistre imbécile se permet de faire dure à mes commentaires tout autre chose que je que j’ai écrit
Connard.
Janssen J-J dit:
à
@ samuel, vous voulez dire qu’on serait des tapettes soumises à des arabes qui nous troueraient de partout ? Bonjour vos fantasmes !… elle est belle, la france déjuivée4 que vous prétendez incarner ! Fouchtram !
@ CT, je vais essayer de vous répondre, car vous avez un bon pressentiment. Il faut le solidifier, mais laissez-moi un peu de temps. A moinss que cHAROULET veuille bien s’y coltiner derechef. Bàv,
Marie Sasseur dit:
à
Mais cet illettré analphabète , le Minus Connard, a montré à de multiples reprises qu’il ne sait pas lire.
William Boquet dit:
à
(Poutine et Netanyahu, c’est le même mode de fonctionnement ; celui qui séduit les esprits faibles, admiratifs de ceux qui « savent tuer » … alors l’ONU, le soft power de l »UE, la diplomatie, les droits de l’hommisme, tous ces bisounours, vous pensez … Des têtes d’affiche les gonzes ; c’est du « sérieux » https://static.timesofisrael.com/fr/uploads/2019/07/aEAjKTMXW4AAnPp4-e1564306206168-640×400.jpg )
Marie Sasseur dit:
à
Un petit rappel historique. Qui montre, que même réhabilité , le capitaine Dreyfus était encore la cible de quelques salopards, dont on a une vague idée, quand on lit cetains sur ce blog. Qu’ils le soient par antisémite ou par défense d’un obscur colonel aux idées moins que républicaines.
« Sur proposition de Gaston Doumergue, ministre de l’instruction publique et des beaux-arts, le Président de la République , Armand Fallières, fixe au 4 juin 1908 la date de la translation des cendres d’Émile Zola. La veille au cimetière Montmartre, on procède à l’exhumation du corps en présence de Mme Zola et du fils de l’écrivain. Plus de trois cents personnes défilent alors devant le caveau entr’ouvert pour un ultime hommage. Le convoi funèbre part en fin d’après-midi et il est accueilli au Panthéon par un représentant du ministre de l’intérieur, le sous-secrétaire d’État aux beaux arts, le commandant Dreyfus et quelques personnalités.
(…)
Cependant, la volonté du gouvernement d’honorer la mémoire de Zola soulève bien des contestations. Le 3 juin, ont lieu plusieurs manifestations : le matin, une centaine d’étudiants en droit tentent de forcer les grilles du Panthéon durant la répétition du programme musical ; en fin d’après-midi, quatre à cinq mille personnes essayent d’interdire l’accès de la place du Panthéon au cortège funèbre ; durant la soirée, aux cris de « Vive Zola » ou de « A bas Zola », des groupes s’affrontent. Le jour même de la cérémonie, deux cent cinquante personnes sont arrêtées pour cris injurieux. Au moment où s’achève le défilé des troupes, un homme tire deux coups de feu sur le commandant Dreyfus, qui n’est que légèrement blessé. Immédiatement arrêté, Louis Grégori, journaliste, rédacteur à la France militaire et au Gaulois, déclare que son intention n’était pas homicide mais une protestation contre la participation, qu’il juge humiliante et scandaleuse, de l’armée à cet hommage à l’auteur de La Débâcle. Il précise la signification de son tir : « la livraison des documents, qui n’est pas douteuse pour un homme de bonne foi, faite par la capitaine Dreyfus à l’étranger avait été faite en écrivant de la main droite et c’est à la main droite que je visais ». Jugé en septembre 1908 par la cour d’assises de la Seine , Grégori sera acquitté. »
rose dit:
à
Thomas Cailley
Chaleureuses félicitations
MC dit:
à
On appréciera « l’obscur Colonel raciste, » qui, a la différence de la brillante stratège de café du commerce Marie Sasseur, est mort à Verdun, lui, avec ses hommes. Bien à vous. MC
MC dit:
à
« Du fils de l’écrivain , « et de sa bonne, Jeanne Rozerot, qui, après la mort d’Emile , devint amie avec Madame Zola…C’est par Alexandrine que les deux enfants portent le nom de leur père. MC
renato dit:
à
Ruth Elkrief est la victime de la corruption intellectuelle de Mélenchon, un extrémiste réactionnaire inculte, tout le reste ce ne sont que des vétilles mise en jeu par les médias pour occuper l’espace des désœuvrés.
Marie Sasseur dit:
à
Le Minus Connard a les idoles s’il peut.
Qu’il se deballonne comme un malpropre est bien dans ses » manières ».
Il ne connaît pas cet obscur colonel bien raciste dont il disait le plus grand bien pour mieux insulter cet enseignant ( histoire) et élu à la municipalité de Grenoble, il y moins de deux jours ?
Voire!
Car cet obscur colonel est de la « famille spirituelle » cet infect imposteur et insulteur abject mc, qui ne suce pas que des glaçons.
N’oublions pas l’histoire, car des salopards s’emploient ici, à la travestir.
En lien avec l’article mis en lien il y a un jour où deux:
Voilà où souffle le mauvais esprit, national-socialiste, identitaire, raciste , xénophobe, antisémite.
La dégradation de Dreyfus vue par Maurice Barrès
« Lancée en 1888, La Cocarde est à l’origine un journal dévoué au mouvement boulangiste. Après la mort du général Boulanger en 1891, il devient un journal nationaliste que dirige Maurice Barrès de septembre 1894 à mars 1895, au moment même où l’affaire d’espionnage impliquant le capitaine Dreyfus est révélée au grand public. Reconnu comme étant un bon écrivain (sur la forme), Maurice Barrès publie chaque jour ses réflexions en première page, comme c’est le cas ici.
Cet article, écrit par un témoin direct de la dégradation de Dreyfus, illustre le caractère antisémite du nationalisme français qui est en train d’émerger à la fin du 19ème siècle. Dreyfus – dont le nom n’est cité qu’une seule fois dans l’article – est désigné comme Judas, qui devient ici l’ allégorie de la trahison de la Patrie et qui est aussi, bien sûr, une allusion cousue de fil blanc à la judéité du capitaine. Dreyfus, avec « sa figure de race étrangère, sa roideur, toute son atmosphère » , est donc, aux yeux de Barrès, par essence un traître à « notre admirable race » à laquelle il n’appartient pas… »
https://clio-texte.clionautes.org/degradation-de-dreyfus-vue-par-maurice-barres.html
Marie Sasseur dit:
à
Et voilà que le dément mc deblatère et deverse son fiel sur le fils de Zola.
Décidément, cette pourriture infecte a la prétention de salir ce qui jamais ne sera à sa portée.
William Boquet dit:
à
De la décivilisation et des modestes désauvagés. Rions encore un peu en ce redoutable microcosme de la France moisie où Mélenchon représente un extrémiste de l’ultra gauche, Elkrief une fanatique islamophobe et Macron un ultra libéral vendu au grand capital
William Boquet dit:
à
Cela dit, une certitude : l’entourage de Le Pen est peuplé de fascites qui peinent à ne pas laisser entrevoir le bout de leur nez
renato dit:
à
Et que l’on ne sache pas faire la différence entre un « insulte » de taverne et le fait de faire d’une femme en cible c‘est ce qui inquiète le plus.
William Boquet dit:
à
Et si tout ce petit monde allait faire une retraite incognito en Cisjordanie occupée pour aider à la cueillette des olives ?
Jazzi dit:
à
« bêtes comme deux femmelettes trouées de partout ? »
On sent comme une très forte frustration, Samuel !
Bouchés de partout ?
William Boquet dit:
à
renato, l’abus d’IA génère manifestement plus de cibles que de raisons
Marie Sasseur dit:
à
Enfin, il ne faut pas se moquer, vu la gueule du youtubeur qui tracte pour le diocèse de trifouillis les oies.
Plus du genre à devoir trousser « la bonne », si on comprend bien ce qu’insinue ce misogyne par obligation,car pas gâté par la nature.
MC dit:
à
Ah Barres! Que voulez-vous, c’ est sa jeunesse! Et vous chère Marie, ne vous êtes-vous jamais trompée?Etes-vous sure qu’ a l’époque votre allure militaire et votre langage façon Etat-Major ne vous eut pas précipité dans les bras d’ Esterhazy plutôt que dans ceux d’Alfred? Ralliâtes -vous toujours ce « camp du bien « dont vous nous parlâtes un jour en termes émus mais vaguissimes? Le sort en est jeté, il me faut donc porter à votre connaissance que le même Barres qui écrivit le papier incendiaire que vous citiez avec jubilation a aussi écrit plus tard « Les Différentes Familles Spirituelles de la France », que vous négligez bien mal à propos, puisqu’il y fait un sort, et trouve une place aux différentes composantes de la Nation France. Laquelle depuis… Vous qui m’ accusez de vous lire mal, comprenez-vous, chère Marie, combien je souffre de vous voir lire à moitié, voire au quart, de méconnaître tel ou tel, et qu’il ait nom Giraudoux , Morand, Barres, ne peut qu’ajouter à mon incoercible douleur. C’en est au point que je me demande parfois si vous avez jamais lu quelque chose, en dehors de Le Tellier , naturellement. Croyez chère Marie que c’est au départ une souffrance de voir sombrer un esprit de votre envergure. Hélas, oserais-je vous dire qu’on se fait à tout, même à ces naufrages là ? Je reste, chere Marie, bien à vous. MC
renato dit:
à
Une interview :
https://www.theparisreview.org/interviews/8035/the-art-of-poetry-no-115-louise-gluck
MC dit:
à
PS Vous pouvez consulter aussi, de l’ agnostique Barrés, Les Egises Assassinees, et, s’il vous faut de l’esthétisme , ce livre dont Gracq s’est peut-être souvenu:
Amori et Dolori Via Sacrum. Là, c’est sur Venise…il y aurait d’autres choses à dire, sur la Colline Inspirée, d’autres choses que vos perroquets grenoblois et médiapartiques a prétention culturelle ne savent pas,pour ne point parler de vos ignorances. Bien à vous. MC
Pablo75 dit:
à
AVRIL 2022
Heureusement que toutes les contributions de ce vieux dément [MC] restent dispo sur ce blog, ce qui va étoffer un dossier deja conséquent sur ses pratiques de harcèlement.
Marie Sasseur dit:
DICIEMBRE 2023
Le dément mc s’est trompé d’adresse
De mon côté je vais voir où en est ce signalement pour harcèlement.
Marie Sasseur dit:
Oui, il serait temps…
Cela doit faire plus de 10 ans que Maria Esassoeur dit avoir signalé à la Justice qu’elle est harcelée ici par presque tout le monde (sauf son complice D. et tous ses avatars-), mais on attend encore la descente de la police à 6 h du matin pour arrêter les coupables.
(On voit à sa façon de radoter depuis des années les mêmes phrases, les mêmes expressions, les mêmes mots, qu’elle doit être proche de l’EPHAD).
et alii dit:
à
oserais-je vous dire qu’on se fait à tout,
vous vous faites à tout, dites vous?JE dois bien vous croire,mais je ne me fais pas à vos conversations avec Sasseur, et de là à n’en supporter aucune, ce qui est sans importance pour vous tous;
bonsoir,
Marie Sasseur dit:
à
Admirons cet effort de rhétorique qui au préalable ne se departit pas d’une lourdeur du propos, confus et insignifiant, que ce cacographe aurait pu s’epargner:
Detourner l’attention en jetant un nom au hasard, Le Tellier – pourquoi pas Nick Bostrom, tant qu’on y était ? Que vient il faire dans cette galère, si ce n’est par le truchement d’un cerveau malade, d’un monomaniaque ?
Fausse flagornerie ensuite, d’une trivialité à pleurer, heureusement que je ne n’ai délivré sur ce blog aucune indication sur ce à quoi j’emploie mon esprit d’envergure
Et surtout, pour quoi ?
Pour une » logique » qui ferait honte à Schopenhauer, et se lamenter ses lecteurs, tellement Minus Connard réduit le syllogisme à une imbecillité insensée.
Barrès s’est trompé, tout me monde s’est trompé un jour, donc comme dit le président du Sénat : fermez votre gueule.
Manquerait plus que xa.
Chez ces ordures, c’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent.
Qu’ils vouent un culte à Barrès pour cautionner leur ideologie nationaliste identitaire, ajoutons intégriste pour le dément, ne trompe plus personne.
Et ce délinquant va apprendre très bientôt le bon usage des communications sur in blog plublic.
Marie Sasseur dit:
à
Quelques fautes de frappe , à corriger.
rose dit:
à
qu’elle doit être proche de l’EPHAD
Tout, mais pas ça.
Marie Sasseur dit:
à
Madame soleil du 75 et le dément mc, la dream team…
rose dit:
à
Il a fallu arriver page 141 pour arriver à savoir le nombre d’enfants dans cette famille.
Drillon, encore.
Je ne sais pas si ce fut une bonne idée de le lire en désordre puisque maintenant, je le relis dans l’ordre. Hum.
Cadence
Marie Sasseur dit:
à
Et enfin, à tout seigneur, tout honneur, car il a été réduit sur ce blog à l’état de » spirite » par des obscurantistes, le même cinglé ignorant,
signaler que c’est à l’occasion de l’entrée de Victor Hugo au Panthéon, que ce monument est redevenu républicain. Symbole fort, que Victor Hugo a incarné, en ces temps où la République est de nouveau attaquée de toute part, les intégristes de toutes obédiences » au travail » , pour des idéologies mortiferes qu’ils prônent, antirépublicaines, antiparmelentaires.
Marie Sasseur dit:
à
antiparlementaires
renato dit:
à
Mozart :
J J-J dit:
à
récapitulons le vocabulaire habituel des noms d’oiseaux royaux des deux derniers posts :
Minus Connard / infect imposteur et insulteur abject / des salopards / cette pourriture infecte.
Bon appétit… ***les petits fours du soir commencent à être un brin rassis… mais faut bin s’indulger avec les bases du plafond (sic) —
William Boquet dit:
à
@Des têtes d’affiche les gonzes ; c’est du « sérieux » https://static.timesofisrael.com/fr/uploads/2019/07/aEAjKTMXW4AAnPp4-e1564306206168-640×400.jpg
Précision : il s’agit de l’affiche officielle de la campagne électorale de Bibi
Marie Sasseur dit:
à
C’est ça, le keuf kon-kon de la maison poulaga, demain à 6h, tu commenteras le billet.
J J-J dit:
à
mais voui fifille, dès 5h, et TU seras même pas encore baisée, femmelette pleine de trous, sam va TE reboucher sur le tard…
MC dit:
à
Détourner l’attention en jetant un nom au hasard? Fi Marie ! Je vous ai répondu sur tous les points non abordés , au mieux pudiquement laissés dans l’ombre, au pire , c’est plus vraisemblable, ignorés de votre commentateur et de vous même. S’il vous plaît que Barres soit la caricature que vous en faites, je vous ai signalé qu’il y avait d’autres choses. S’il vous plaît de me dire que je lis mal, sachez qu’il vous arrive de lire plus mal encore, surtout quand vous réduisez à un article de journal une œuvre autrement plus ample.
Si vous vous attaquez au nationalisme, choisissez au moins les bons romans, ni Amori Dolorî Via sacrum, ni Les Églises assassinées, ni les Différentes Familles spirituelles de la France, mais le Culte du Moi et sa trilogie; le Jardin de Berenice, Leurs Figures, etc. Par rapport au reste, ce sont romans de feuilles d’impôt, mais au moins ce sont , comment dire? …les bons titres! Ne me remerciez pas, j’éprouve un certain plaisir à vous remettre dans le droit chemin, tout en sachant que vous n’y resterez pas longtemps…La dessus, j’ai l’honneur de vous saluer, vous et vos cloches grenobloises, et vous prie de croire, Chère Marie , à mes sentiments les meilleurs. À demain . MC
Marie Sasseur dit:
à
Je zappe le dément mc et ses délires hallucinatoires. Ceux qui n’ont toujours pas compris ce que cet individu charrie de merde, verbeuse, mensongère, rt d’imposture, ce n’est pas mon problème .
Pour ce qui me concerne, d’autres s’occuperont de ce délinquant.
puck dit:
à
non en fait il est super cet article !
je suis 100% d’accord on devrait panthéoniser cette affiche.
je suis sûr que nous méritons de pouvoir le faire parce que nous aussi nous combattons le nazisme sous toutes ses formes !
quand je dis nous je pense surtout aux journalistes et aux analystes de LCI.
même si certains disent que certains journalistes ont un rapport avec le réel qui relève plus de la psychiatrie que de l’analyse journalistique je ne partage pas cet avis : je pense que les journalistes sont notre dernier rempart dans la barbarie !
c’est pour ça que tous les journalistes sont pour continuer de donner un max d’armes à l’Ukraine !
c’est pour justement stopper la barbarie.
les avis des journalistes diffèrent : certains disent que c’est pour éviter que la Russie n’envahisse l’Europe, d’autre que le risque c’est que nos démocratie s’effondrent sous cette défaite, d’autres parce que c’est une guerre de civilisation contre un monde qui veut nous empêcher de nous marier entre mecs.
En fait les journalistes ont trouvé au moins une centaine de raisons de contniuer d’alimenter cette guerre…
limite il n’y a plus que les ukrainiens qui ne veulent plus qu’on leur envoie des armes : ils disent que quitte à stopper les russes ils préfèrent que ce soit un autre pays qui s’y colle, du genre la Pologne ou la France ou l’Italie, mais eux ils ont déjà donné.
c’est pour ça que leur président est tombé dans les sondages à 30% d’opinions favorables : à chaque fois qu’il l’ouvre pour demander des armes parce que ses potes ultra nationalistes ont leur flingue pointé sur sa nuque le peuple crie : faites-le taire !
d' »autant que les ukrainiens savent qu’au départ les russes voulaient juste la neutralité de leur pays et un statut spécial pour le Donbass.
pour le dire autrement non seulement cette guerre était évitable, mais en plus elle n’a servi à rien.
en plus contrairement à nous les ukrainiens sont vachement bien informés.
le pays où il y a le moins de propagande éditorial aujourd’hui c’est l’Ukraine.
sur ce coup ils nous donnent une leçon de démocratie.
autant les journalistes anglais sont complètement partis en vrille genre LCI puissance mille, surtout les journaux de gauche comme le Guardian.
avant c’était le droite qui voulait faire la guerre, maintenant c’est la gauche.
surtout aux US, ils ont argument choc : faire la guerre permet de donner du boulot à 31 états américains.
c’est pour ça que ceux qui critiquent Biden sont à côté de la plaque : Biden a réussi le truc incroyable de flinguer en moins d’un an l’économie la plus solide d’Europe et même du monde : l’Allemagne.
pour réussir un tour de force pareil faut être un prodige.
sérieux je pense que nous sommes complètement à la hauteur morale pour panthéoniser ces martyres.
même si certains parlent d’un orgueil démesuré de l’individu post moderne occidental, j’y crois pas trop.
je pense que nous sommes humbles, pacifiques et avec plein d’autres qualités.
William Boquet dit:
à
@Une enquête accablante pour l’armée israélienne menée par le webzine israélien +972 Magazine, et reprise par plusieurs médias à travers le monde, révèle que la stratégie militaire de Tsahal dans la guerre actuelle contre le Hamas, notamment le recours à l’intelligence artificielle, est largement à l’origine du nombre particulièrement élevé de victimes civiles à Gaza, estimé à des milliers de morts, dont plus de 5 000 enfants, selon le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef).(…)
Sources : Courrier international
A propos, une préoccupation de saison
https://www.unicef.fr/boutique-solidaire-en-ligne/entreprises-et-collectivites-des-cartes-solidaires-et-personnalisees-rien-que-pour-vous/
Marie Sasseur dit:
à
Quant au vieux keuf alcoolique, demain et après dans son enclos, une suite de jours qui passent, en 50 pseudos.
Quelle horreur.
William Boquet dit:
à
(Quant aux autres, keupu en tête, ne leur en déplaise, on ne les abandonnera pas à leurs litanies incantatoires visant à porter de nouveau Trump au pouvoir pour imaginer de continuer à semer la mort en toute impunité ; même pour ces énergumènes un salut demeure possible https://www.youtube.com/watch?v=yv5xonFSC4c )
Marie Sasseur dit:
à
Drôle
Jeannot, gardien du sommeil de leur nuit éternelle.
https://www.liberation.fr/france/2005/11/01/il-est-le-gardien-du-sommeil-de-leur-nuit_537550/
JC..... dit:
à
JEUDI 7 DECEMBRE 2023, 6h31
Euh, non !…Rien.
Panthéonisons l’Affiche Rouge dans un tiroir, quittons le passé, préoccupons nous de l’avenir !
rose dit:
à
2023, bilan
renato dit:
à
Julia Domna, femme de Septime Sévère :
https://entheosedizioni.com/wp-content/uploads/2019/06/E88807ED-8FAD-432A-838E-35D057C0AA48.jpeg
Bonne journée…
Jazzi dit:
à
« Les moineaux et hirondelles ont déserté Paris, la Ligue de protection des oiseaux très inquiète
Ils se sont envolés à tire-d’aile loin de la capitale, privés d’habitat, d’insectes et de graines. En treize ans, trois quarts des moineaux ont quitté Paris » (Le Parisien)
Ils se sont fait pigeonner par Hidalgo ?
et alii dit:
à
Didier Daeninckx
Laurent Corvaisier
Missak, l’enfant de l’Affiche rouge (BD)
INFOSCRITIQUES (6)CRITIQUESPRESSE (1)CITATIONS (5)FORUM
https://www.babelio.com/livres/Daeninckx-Missak-lenfant-de-lAffiche-rouge-BD/573684#!
racontpatavi dit:
à
En province, jazzi, c’est du pareil au même! Je ne vois plus les merles qui venaient très très près de ma porte-fenêtre pour manger les olives mûres!
Mais ce matin, tôt, en ouvrant les volets, j’ai entendu des oiseaux gazouiller, alors?
Tout espoir est permis.
Bloom dit:
à
Les Années d’A Enaux, sérialisé sur BBC radio 4.
Blurb:
Considéré par beaucoup comme l’œuvre phare de l’iconique mémorialiste française, Les Années raconte la période 1941-2006 à travers la mémoire, les impressions passées et présentes, les habitudes culturelles, la langue, les photos, les livres, les chansons, la radio, la télévision, la publicité et les titres des journaux télévisés.
Annie Ernaux invente une forme à la fois subjective et impersonnelle, privée et collective, et un nouveau genre – l’autobiographie collective – pour saisir le temps qui passe.
Au confluent de l’autofiction et de la sociologie, Les Années est « un souvenir du passé pour notre époque de domination médiatique et de consumérisme » (New York Times), un récit monumental de l’histoire française du vingtième siècle telle qu’elle se reflète à travers la vie d’une femme.
Jazzi dit:
à
Annie Ernaux n’invente rien.
Tout au plus, elle creuse un sillon ouvert par d’autres et bien avant elle…
https://www.lelezarddeparis.fr/je-me-souviens
Bloom dit:
à
Extrait de La Propagandiste, de Cécile Desprairies, dont j’ai parlé plus haut:
« La découverte du nazisme est un choc fondamental, car il s’agit d’une pensée totale, englobante et systématique comme on peut en concevoir outre-Rhin, qui irrigue la vie, la mort, la science, la culture, la politique et le comportement. Et comme le Reich va gagner la guerre, la promesse est en passe de se concrétiser. (…)
Jusque-là, Lucie ne maîtrisait que le fascisme français, un mélange inorganisé et hétéroclite de nationalisme antirépublicain, alliant ressentiment, anarchisme et xénophobie. (…)
Antirépublicaine, Lucie l’est, elle qui est pourtant un pur produit de la méritocratie républicaine. Née pauvre – et en tirant une sorte de fierté – l’enfant a suivi un parcours sans faute (…) reçue première du canton au certificat d’études, elle a obtenu une bourse pour entrer au lycée à Paris. Un couronnement très IIIe République, qui ne calme pas son désir de revanche, au contraire, car il ne suffit pas d’être intelligente ni même brillante pour réussir. Humiliée par ses camarades parisiennes à son entrée dans un des lycées les plus snobs du XVIe arrondissement, la petite Bourguignonne, qui roule les « r », a tôt fait de perdre son accent. Mais le mépris social recevra un jour sa réponse. Ses condisciples, d’un milieu aisé, sont majoritairement « juives ». Sa cible est toute trouvée. Ces filles, elle leur damera le pion. »
pp. 50-52
Samuel dit:
à
Pourquoi la vie c’est toujours l’avenir car même la mort est une autre vie ?
Janssen J-J dit:
à
(JE, 7 XII 23, 9.46)
@ « CT, je vais essayer de vous répondre, car vous avez un bon pressentiment » (JJJ).
A partir du peu de choses que je connais de vous depuis quinze ans, et le peu de choses que vous savez de moi et qu’ignore l’herdélie, je vous répondrai ceci, histoire de ne pas me dérober, hein !
1 – Ma sociologie professionnelle reconnait son inaptitude fondamentale à prévoir le devenir du monde en général et de l’européen en particulier. Ma totale inaptitude au prophétisme est pourtant assise sur une non moins certitude absolue, qui relève autant de la science que de la foi laïque : il n’y A PAS de « dépassement dans un nouvel invariant anthropologique », ni de « véritable rupture ontologique de transmission de monde » (sic, pour reprendre vos terminologies).
2 – La confiance ou bienveillance que vous voulez bien accorder à mes petites histoires du vécu quotidien est liée à la parenté projective de l’inquiétant émerveillement qui vous habite face à la trajectoire de votre fils. Et de l’espoir quasi inconscient dont vous le créditez, c’est-à-dire sa capacité à ne pas reproduire les entraves de vos propres tourments d’écrivaine apparemment ratée, ou d’intellectuelle malheureuse.
3 – Dès lors que vous serez convaincue du fait que la clé de votre enfer ne réside ni en lui, ni en l’herdélie, ni en votre ex conjoint, mais en vous seule…, alors vous commencerez à renaître et à vivre une vieillesse utile et apaisée.
4 – Proust, Bourdieu, la nécessité de la révolution anticapitaliste et le féminisme pour plus de justice et d’égalité deviendront des engagements moins dogmatiques, des urgences plus relatives, car votre dette et vos engagements réels seront alors payés. Vous n’aurez plus tellement besoin de prouver à quiconque votre valeur intérieure.
5 – Vous pourrez enfin nous écrire des histoires novatrices, car nous le savons tous, vous avez une plume juste, quand elle nous est donnée à lire, brute et sans arrière-pensée « d’effet ». Elle laisse apparaître une sensibilité rare, une petite musique que nous savons percevoir sous la muraille, du mois quelques honnêtes citoyens de cette chaine.
… et ce sera l’tout pour vous, aujourd’hui et même peut-être pour toujours, chère madame Clopine ! Cessez un brin d’avoir la trouille folle, nom d’un chien ! 🙂 Voilàj & bizzàrvous !
J J-J dit:
à
(oups…), du moins pour quelques honnêtes citoyen.nes de cette chaine
Phil dit:
à
d’un milieu aisé, sont majoritairement « juives ». Sa cible est toute trouvée
Voilà qui discrédite Mme Desprairies, dear Bloom. Belle propagandiste, indeed. Exagération uchronique dont nous avons l’exemple quotidien ici avec la prose de « Marie Sasseur ». Après cela, étonnons-nous, dirait Hessel.
MC dit:
à
« La petite bourguignonne qui roule les r », C’était aussi le cas de.Colette: « rrespire, petit!! Tu m’empêches de travailler! »
Janssen J-J dit:
à
@ au parisien déchainé, journal habituel des ragots de jzmn, il paraitrait que le gros Gégé aurait encore fait des siennes en Corée avec le Moix ! Franchement, on sait plus à qui se fier. Ckoi, leur prochain film ? –
Y a t il un lien entre Mme Des Prairies et Mme Des Pentes, j’sus pu dans l’coup, là… MDMD !
Marie Sasseur dit:
à
Le philopède, vicieux de la gueule comme le dément, n’a pas besoin de citer mon pseudo, pour que lui soit rappelé son antisémitisme atavique, qui s’est étalé sur ce blog; » le staff » s’en souvient certainement.
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