de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Pas une rentrée sans histoire

Pas une rentrée sans histoire

Des romans historiques dans la rentrée littéraire ? L’exception plutôt que la règle. Tout éditeur bien né vous répondra que ce n’est pas de saison. Il a été décidé il y a bien longtemps qu’en septembre, l’air du temps ne s’y prêterait pas. Les nouveautés de la fiction française n’en ont généralement que pour le culte du moi, les souvenirs d’enfance, d’authentiques destins exemplaires, les sujets de société, tous plus ou moins rhabillés de romanesque afin de concourir pour les prix. Il n’empêche qu’à chaque rentrée, quelques romans historiques se fraient un chemin. Trois notamment cette fois.

En ouvrant Veiller sur elle ((578 pages, 21,90 euros, L’Iconoclaste), le quatrième roman de Jean-Baptiste Andréa dont je vous ai parlé dès le 31 août et qui vient d’être couronné du prix Goncourt, on s’attend naturellement à ce que « elle » soit une femme. Or il s’agit d’une troublante statue. Le sculpteur qui l’a façonnée vit parmi les moines afin de la protéger des regards étrangers, là même où le Vatican l’a cachée. Le mystère de cette Piéta, c’est l’histoire de sa propre vie. En l’explorant, l’auteur retrace la relation contrariée de l’humble artisan avec la fille de la puissante famille Orsini, et partant, celle de l’Italie de la première guerre mondiale aux lendemains du fascisme. Aussi prenant que poignant, ce récit est porté par des pages d’anthologie, notamment la terrible catastrophe ferroviaire de Saint-Michel de Maurienne qui vit périr 435 permissionnaires français retour du front italien lors du déraillement de leur train dans cette commune de Savoie. La réussite tant publique que critique de Veiller sur elle, éclatante dès sa parution à la fin de l’été, doit beaucoup à l’éditrice qui avait révélé et soutenu Jean-Baptiste Andréa dès son premier roman Ma Reine (2017,  Sophie de Sivry récemment disparue.

Toujours en Italie, mais dans celle des Médicis, Laurent Binet, a choisi avec Perspective(s)(Grasset) de nous emmener du côté de Florence en 1557. L’idée de ce roman historique, qui reprend les codes éprouvés du polar, lui est venue lorsque le fameux historien de l’art Vasari s’est imposé à lui dans le personnage de l’enquêteur, chargé d’élucider l’assassinat du peintre Pontormo. Les autres ont naturellement suivi : les Médicis bien sûr (Catherine, Cosimo, Maria), le vieux Michel-Ange dont l’aide est sollicitée, le pape Paul IV en grand inquisiteur, le condottiere et maréchal de France Piero Strozzi, des affidés de Savonarole encore actifs, des artistes, des religieux… Tout concourt à lui conférer une dominante crépusculaire. Dommage qu’il pâtisse d’un défaut de fabrication : le genre du roman épistolaire dont il se réclame. Hésitant entre une ambition balzacienne et l’ombre portée des Liaisons dangereuses, son rythme souffre de cette construction autour de multiples correspondances, diluant ainsi la tension indispensable au roman policier fut il historique.

Achevons cette remontée littéraire dans le temps jusqu’au cœur du XIVème siècle, avec Croix de cendre (Grasset). Nous sommes en 1367 au monastère de Verfeil « le seul d’Europe à avoir un chemin de ronde où les moines erraient comme des soldats sans armes », qui s’enorgueillit de posséder une bible somptueusement enluminée par maitre Honoré. Le pape avait béni les bras qui tranchaient la tête des hérétiques. Franciscains et dominicains, les deux ordres mendiants, étaient d’accord sur le fond mais non sur l’art et la manière. Aux uns, l’amour de toutes choses ; aux autres l’intelligence de toutes choses. Les premiers faisaient pitié, les seconds faisaient peur :

« La voix de François parlait au cœur des hommes égarés, elle de Dominique à leurs cendres. C’est la sienne qui portait le mieux ».

Cela donne déjà le ton bien annoncé par l’incipit ( à lire ici). Un siècle après la fondation de leur ordre, deux jeunes frères dominicains se rendent à Toulouse afin d’en ramener le précieux papier sur lequel leur prieur veut écrire le récit de sa vie. Ils se retrouvent dans un guêpier car le grand inquisiteur du Languedoc est prêt à tout pour faire obstacle à cette confession : en dévoilant les vraies origines de la grande peste noire qui a décimé l’Europe vingt ans avant et qui hante encore les mémoires, elle révèlerait le rôle de Maître Eckhart (vers 1260-1328), théologien et prêcheur si admiré de la chrétienté avant d’être maudit.

Personnage central, principal représentant de la mystique rhénane, « on le voit » au pied du bûcher lorsque la béguine flamande Marguerite Porete est brûlée en place de Grève. On le suit surtout auprès de Mathilde, cette béguine de Ruhl voilée qui chantait et exposait sa nudité, et dont il fit une confidente spirituelle. Cette « hérétique » rayonne dans ce roman qui s’ouvre en épigraphe sur son sublime poème « Le long désir » (1324) accusé de suinter la luxure. Antoine Sénanque avait été foudroyé il y a trente ans par la découverte des Sermons de Maitre Ekhart, l’homme qui enseignait le détachement, par l’inexplicable puissance de leur divine étincelle plutôt que par leurs formules paradoxales et leurs subtilités, et par leur spiritualité tout en reconnaissant que le fond lui est inintelligible. Il jubile à raconter et sa jubilation est communicative. Pour son huitième roman, il s’y révèle un fresquiste accompli et emporte le morceau par un élan auquel on ne résiste pas et des dialogues les plus vifs. On ne s’ennuie pas un instant car ce ne n’est jamais alourdi par l’érudition. Umberto Eco aurait pu inscrire le nom de cet auteur dans son testament : il en est le digne héritier. A une nuance près : chez Sénanque, on comprend tout.

(« Jean-Baptiste Andréa reçu ce matin chez Drouant par l’Académie Goncourt » photo Passou ; « Marguerite Porete, détail du Baptême du Christ, de Gérard David, huile sur bois, vers 1502 – 1508 apjc, école Flamande, début XVIe siècle, Renaissance)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

1285

commentaires

1 285 Réponses pour Pas une rentrée sans histoire

J J-J dit: à

Un blog envahi par le giralducisme d’aujourd’hui.
On extravague également avec gérard garouste. J’aime, j’aime pas. Tu n’aimes que les médiocres et moij que les grands, et je sais seul où ils sont ; je t’envie pas. « Je préfère les plaisirs intenses aux petits plaisirs et mes jours », on voit pas trop bien le rapport du menu plaisir avec le grand Bach. Souvent Bach et Bartok sont chillants, le déplaiisr est supergrand, tandis que Rosemond Lehman ou Carson McCullers sont géniales. On gagne à les relire plus souvent.
L’intensité de la boursoufle, ça se défend (mais bien mal). Appris, acquis.

Pablo75 dit: à

Majors de l’ENA
En rangeant mes tiroirs, qui sont pleins de choses, je trouve ce document de 1996, qui indique les choix des majors de l’ENA, depuis sa création.
Patrice Charoulet dit:

Cela doit faire plus de 10 ans que je fréquente ce site et je n’ai jamais vu des posts aussi passionnants, sur des sujets aussi brulants et traités d’une façon aussi amusante, que ceux du ravi de la crèche dieppois Charoulet, dit l’Alphose Allais des Blogs.

À côté d’un esprit aussi espiègle que le sien ceux d’Oscar Wilde ou Sacha Guitry c’est de la gnognotte.

et alii dit: à

Laval c’est le palindrome de son nom qui détermina la vie de LAVAL m’a’t on appris

D. dit: à

La luminothérapie dès que l’on est debout.
20 minutes suffisent, très efficace.
Lunettes type Luminette ou autre dispositif sérieux imitant la lumière solaire mais filtrant le rayonnement bleu en excès par les led.

Pablo75 dit: à

Cela dépend de la signification du mot «magnifique». Et aucune traduction, dans ce cas comme dans tous les autres, ne peut donner sur l’esprit du siècle une impression comparable à l’original. Et la lecture de l’original n’est heureusement la propriété privée de personne.
vedo dit:

« MAGNIFIQUE. Qui est beau, vigoureux physiquement; qui a une belle attitude extérieure, une mise élégante, luxueuse. » (TLF).

Par exemple, le style de Chateaubriand, qui est l’exacte contraire de celui de Teresa de Ávila.

« Et aucune traduction […] ne peut donner sur l’esprit du siècle une impression comparable à l’original »… sauf les traductions de l’époque.

Et l’oeuvre de Teresa de Ávila a été traduite en français très vite. On publie à Paris en 1601 trois volumes avec plusieurs de ses oeuvres, dont « Chemin de perfection » (publié en Espagne en 1576) et « Le Château intérieur » ou « Les Demeures » (publié en Espagne en 1577). Je ne connais pas ces traductions, mais à mon avis ils doivent donner une « impression » d’époque bien meilleure que la traduction de Marcelle Auclair, faite 3 siècles et demi après.

« la lecture de l’original n’est heureusement la propriété privée de personne. »

Quelqu’un a dit le contraire? Ce que j’ai dit c’est qu’il faut connaître drôlement bien l’espagnol pour comprendre les écrits de Santa Teresa et que très peu de non spécialistes espagnols en sont capables, de la même façon qu’on ne peut pas apprendre l’espagnol en lisant Quevedo, comme tu l’as prétendu un jour ici (ce qui équivaut à dire qu’on peut apprendre le français en lisant Mallarmé).

Las cosas claras y el chocolate espeso, mozo.

D. dit: à

…Alain Minc… ben voyons.
Lisez donc la page Wikipedia qui lui est consacrée comportant les remarquables états de service de ce major de promotion.

Bloom dit: à

Rosemond Lehman

RosAmond Lehman, considérée comme auteure mineure, contrairement à Carson McCullers, pour moi la plus importante des écrivaines américaines du 20e s., qui écrit un Sud qu’hantent la mort & le péché, figé, qui suinte la malédiction & la frustration.
Dès ses vignt ans, consummée par une relation d’amour-haine sado-maso d’autant plus destructrice qu’elle s’accompagne d’une noyade à deux dans le gin et le brandy, « Mick » finit infirme comme ses personnages, ses « grotesques » (on songe à Sherwood Anderson) non sans avoir eu le temps de livrer deux chefs- d’oeuvres absolus, The Heart is a Lonely Hunter, et The Ballad of the Sad Café. Macéré dans le Southern dis-Comfort, son talent rend pourtant la parole aux muets, fait des sourds des mélomanes &
redonne leur dignité à tous les paumés.

rose dit: à

Bien. Traduite en français mme Lehman ?
Moi je voudrai bien savoir le vôtre de signe zodiacal, pck Paul, ouh la la, mais vous ?

rose dit: à

Oui, traduite en français Rosamond Lehman.

J J-J dit: à

« Poussière », son seul chef d’œuvre, que n’auraient rien eu à envier un Thomas Mann dans ses nouvelles de jeunesse (genre Tonoi Kropger), ni même une Virginia Woolf (dans Mrs Dalloway)…
Disons alors, Flannery O’Connor…, si ces auteur.es paraissent non parallélisés, je sens bien que je vais encore m’attirer des ennuis en épinglage de « littératures mineures » parmi les sachants hérarchiques. Quant à la grande ou petite Katherine Mansfield, n’en parlons même pas ! –
Bàv, rBl et roz, genss néanmoinss de bonne volonté et m’indulgeant dans mes goûts disparates.
Quant à Paul Edel : « Paul, tenez bon ! » — Ne vous laissez pas terroriser, comme moij, par tous ces gommeux du dimanche ! Bàv ! Tchin’

J J-J dit: à

@ Tonoi Kropge pfffft… Inutile de corriger, les vrais amis m’ont bin compris. Ils m’indulgent, en général (de l’armée morte). Tchin, tchinz, c l’heurt !

Bloom dit: à

« considérée comme », 3J.
J’adore la littérature de gare, SanA etc.
Varier les plaisirs, comme dans d’autres activités évolutives.

Bloom dit: à

Gérard de Villiers,aussi, que nous avions accueilli plusieurs fois à Islamabad où il venait expliquer la situation du moment à l’ambassadeur & aux barbouzes…

rose dit: à

Et bien je ne vois pas comment ni pourquoi y aurait de la grande et de la petite littérature.

FL dit: à

Vu « Ondine » pendant le confinement.

Ça marche toujours très bien.

Samuel dit: à

Pourquoi dans les romans d’Erskine Caldwell le sexe est toujours une pulsion de mort qui se venge de la vie ?

Samuel dit: à

Pourquoi les femmes cairotes chez Naguib Mahfouz sont « maquillées comme des marionnettes et solides comme des pyramides » ?

Samuel dit: à

Pourquoi l’écrivain algérien Malek Haddad dans son roman « Le Quai aux fleurs ne répond plus » décrit les femmes algériennes comme des « révoltées soumises » ?

Patrice Charoulet dit: à

à Rosanette

Pour Klinger, je donne ma langue au chat. Et donc, vous savez que…

J J-J dit: à

@ je ne vois pas comment ni pourquoi y aurait de la grande et de la petite littérature

Pablo du 7.5 et 9.3, lui, il sait comment et pourkoi… Quand il s’ennuie, c’est de la fiente, quand il jubile dans sa fixette, c’est de la grande… Peut-être pas une mauvaise méthode de classement after all, chacun la sienne, hein ?

D. dit: à

L’Euro ne passera pas 2024.

D. dit: à

Alors, renato, content de la dernière saloperie concoctée par votre Ursula adorée ?

D. dit: à

Parce que c’est ben joli de nous endormir avec Sibelius. Seulement nous ne sommes pas dupes.

Rosanette dit: à

@M charoulet
voila l’explication
certains élevés de la promo Charles de Gaulle , dans un élan vertueux vertueux visant la délégitimation du classement de sortie, systeme dont il était de bon ton de décrier la perversité, ont signé un engagement de refuser les grands corps si ils y étaient éligibles par leur classement
Pour la plupart qui n’auraient eu aucune chance d’être dans les 15 premiers, c’etait un geste elegant et sans risque. Mais is pour les autres c’était un un engagement courageux et désintéressé
Klinger était un de ces signataires et, contrairement à d’autres, il a tenu a honorer sa signature au moment de l’amphi garnison .
.De sorte qu’il n’a pu bénéficier des perspectives professionnelles brillantes correspondant à son rang de sortie, avec une affectation au conseil d’Etat ou à l’inspection des finances

D. dit: à

Le 16 novembre 2023, Joël Guerriau (centriste) est interpellé à son domicile parisien et placé en garde à vue par la police judiciaire à la suite d’une plainte d’une parlementaire l’accusant de l’avoir droguée à son insu.

Le sénateur avait donné rendez-vous chez lui à une députée avec laquelle il entretiendrait des liens d’amitié. L’élue aurait été prise de malaise et aurait quitté les lieux précipitamment. Hospitalisée dans la foulée pour y subir des examens, elle a fait l’objet de prélèvements dont l’analyse a révélé la présence d’ecstasy dans son organisme.
Lors des perquisitions, de l’ecstasy a été retrouvé au domicile de Joël Guerriau.

Il avait fait parler de lui en décembre 2016 en publiant son pénis dans un tweet répondant au sénateur Bruno Retailleau (non centriste). Il avait prétexté un piratage.

Chevalier de la Légion d’honneur
Officier de l’ordre des Palmes académiques
Médaille de la jeunesse, des sports et de l’engagement associatif, argent
Médaille des réservistes de défense et de sécurité intérieure
Ordre des nuages propices avec grand cordon (Taïwan)
Médaille d’honneur du travail, vermeil

renato dit: à

Désolé D, vous êtes dupe. Picabia aurait dit : « Vous êtes un self-cleptomane ».

Jazzi dit: à

« Joël Guerriau (centriste) est interpellé à son domicile parisien »

C’est une nouvelle affaire Staviskiki, D. !

Bloom dit: à

Katherine Mansfield
Elizabeth Bowen
Carson McCullers
Flannery O’Connor
Edith Wharton
Willa Cather
Kate Chopin
Katherine Ann Porter
Jean Rhys,
sont mes auteures préférées pour la première moitié du 20e s. Sans ordre particulier, égales dans les bonheurs de lecture qu’elles me procurent.
On mesure la prodigieuse richesse d’une littérature que l’on a parfois tendance à limiter à la seule Virginia Woolf, qui écrase trop tout.
Elizabeth Bowen était agent secret pour le compte du RU et son amant n’était autre que l’un des chefs de l’IRA, Seán Ó Faoláin (o-fouais-lon), nouvelliste hors pair.
On peut se faire les dents sur The Demon Lover, slowly but surely.
https://biblioklept.org/2016/06/20/read-the-demon-lover-a-short-story-by-elizabeth-bowen/

FL dit: à

Les romancières anglaises, cette merveille, disait Roubaud.

FL dit: à

Sylvia Townsend Warner ?

FL dit: à

Enfin, Les romancières de langue anglaise.

Bloom dit: à

Sylvia Townsend Warner?

Je ne connais pas. A découvrir, donc.
Non seulement anglaises, mais américaines, irlandaise pour Bowen et néo-zélandaise pour Katherine Mansfield.

Bloom dit: à

Les romancières de langue anglaise

Yes, et nouvellistes…

FL dit: à

« Can you suggest any suitable aspersions to spread abroad about Mrs. Thatcher? It is idle to suggest she has unnatural relations with Mrs. Barbara Castle; what is needed is something socially lower: that she eats asparagus with knife and fork, or serves instant mash potatoes. » Sylvia Townsend Warner

« Peux-tu me suggérer des faux bruits à répandre à l’étranger au sujet de Mme Thatcher ? Il est inutile de faire croire qu’elle a des relations contre nature avec Mme Barbara Castle ; ce qu’il faut, c’est quelque chose de socialement inférieur : qu’elle mange des asperges avec un couteau et une fourchette, ou qu’elle serve de la purée de pommes de terre instantanée. »

FL dit: à

Je note que le dernier opus de Truman Capote (‘Answered Prayers’ – « Prières exaucées ») commence sur une sombre histoire d’asperges sauvages.

Il ne s’en remettra jamais.

FL dit: à

Peut-être la seule bonne page de cet ouvrage. Après ça sombre.

rose dit: à

Je lis ça. Mon petit coeur ingénu frémit à ces fortes paroles.

Très très beau.
Je ne mets pas de coeur.

rose dit: à

Chevalier de la Légion d’honneur
Officier de l’ordre des Palmes académiques
Médaille de la jeunesse, des sports et de l’engagement associatif, argent
Médaille des réservistes de défense et de sécurité intérieure
Ordre des nuages propices avec grand cordon (Taïwan)
Médaille d’honneur du travail, vermeil

Attendre autre chose de la République de Macron ?
C’est la seconde fois qu’une femme s’en sort en se carapatant.

rose dit: à

Les élans vertueux vertueux, il y en a.
Bravo Klinger. Admiration !

rose dit: à

Mon petit coeur ingénu frémit à ces fortes paroles.

rose dit: à

FL dit: à
Je lis ça. Mon petit coeur ingénu frémit à ces fortes paroles.

C’est à FL.

Pablo75 dit: à

Et bien je ne vois pas comment ni pourquoi y aurait de la grande et de la petite littérature.
rose dit:

Si tu ne vois pas la différence entre Shakespeare et Christine Angot, par exemple, tu devrais aller voir un ophtalmo – voir un psychiatre.

Pour voir « comment » il suffit de lire. Pour voir « pourquoi », demande au Créateur de ce monde.

Mais surtout: ne te ridiculises pas en discutant des évidences.

JC..... dit: à

VENDREDI 17 NOVEBRE 2023, 5h46

Le De Gaulle actuel ravi de recevoir la nationalité russe ?

Euh, oui !…bonne idée.
(Hidalgo a bien reçu la nationalité tahitienne !)

rose dit: à

>Pablo 75

Dans ma famille, nous sommes trois ferventes chrétiennes touchées par le miracle de dieu et/ou la grâce.

Voyez-vous la différence entre une pâquerette et un strelitzia ?

Ce qui est grand pour vous peut être petit pour moi. Et dans son siècle implantée, Christine Angot aura participé magnifiquement à changer le monde de son vivant en rompant le silence.
Shakespeare, pouvez-vous me dire si son « to be or not to be » participe à un quelconque changement ?
Or, cette question existentielle nous nous la posons depuis la Nuit des Temps. Il l’a formulée certes.

Il n’y a pas de supériorité entre l’homme et la femme, le noir et le blanc, l’enfant et l’adulte, le juif et le palestinien.

Nous sommes libres et égaux en droit.

Et bien, la littérature, c’est pareil.
Je mets le conte de fées Les trois petits cochons des frères Grimm au rang de, qui vous voulez, Franz Kafka. Gustave Flaubert, Émile Zola
De plus, évitez Pablo 75 de faire des paris sur l’avenir, car nul ne sait rien. Qui aurait pu prévenir l’actuel succès formidable de Camus ?

Car,
-Luc, 14-11
Lorsque tu t’élèveras, tu seras abaissé, et lorsque tu t’abaisseras, tu seras élevé.

Et

-Corinthiens 12:10 : “C’est pourquoi, je me plais dans les faiblesses, dans les insultes, dans les détresses, dans les persécutions, dans les angoisses pour Christ, car, quand je suis faible, c’est alors que je suis fort.”

rose dit: à

Les deux textes m’ont été offerts.

Tu te ridiculiseras.
Cela ne m’arrive jamais.
Non seulement, les gens viennent vers moi, mais ils viennent vers moi sûrs d’apprendre quelque chose.
Parfois, je n’ai pas la repartie alors, je me tais, mais je les regarde et ils repartent heureux.
Un m’a dit « nous sommes des vieillards » ( pas moi).
L’autre est venu me dire à moi personnellement « mais toutes ces femmes, toutes ces femmes, toutes ces femmes, comment on ose y aller, nous ? ».
Oui ce sont deux femmes enchaînées aux engins de BORALEX qui les empêchent de travailler et sur dix personnes, huit était des femmes et deux hommes. Partie adverse, quatre vigiles et six gendarmes. Parfois, une petite gendarmette.
Cet homme a bien raison : nous les femmes et notre puissance tutélaire lorsqu’elle n’est pas broyée.
Clopine, relève-toi camarade.

Pablo 75,

Je n’entame pas cela avec vous, où est, et quel est, notre lien ?
Toutefois, Jacqueline l’a fait avec Blaise son frère et il y eut un miracle de dieu, la conversion de Blaise la nuit de cristal. Il se précipite à Port Royal et l’annonce à sa sœur qui est soeur désormais. Presque fini le livre de Christine Orban. J’en ai deux autres en route.
Bonne journée

renato dit: à

Peut-on se demander quelle a été la qualité intellectuelle des parents et des enseignants qui ont « produit » la génération Z ? Cela étant donné que cette génération a atteint le stade de l’antisémitisme où « peut-être que Ben Laden avait raison à propos des Juifs » est devenue une expression acceptable.

rose dit: à

Et

-Corinthiens 12:10 : “C’est pourquoi, je me plais dans les faiblesses, dans les insultes, dans les détresses, dans les persécutions, dans les angoisses pour Christ, car, quand je suis faible, c’est alors que je suis fort.”

Obligée de signaler, parce ce que là, je bloque : aucune auto-complaisance victimaire.
Non : c’est la vie en le Christ.

rose dit: à

renato dit: à
Peut-on se demander quelle a été la qualité intellectuelle des parents et des enseignants […]

Je me demanderai de mon côté :

On peut se demander quelle a été la qualité intellectuelle des parents qui ont passé trente ans à démolir* des enseignants qui transmettaient des savoirs à leurs enfants (classe politique en tête) ?

Quel est le résultat sur la génération Z ?

* Idem sur/pour le système de santé.

rose dit: à

Rectificatif

Nuit de Cristal
9 nov. 1938 – 10 nov. 1938

« La nuit de Cristal est le pogrom contre les Juifs du Troisième Reich qui se déroula dans la nuit du 9 au 10 novembre 1938 et dans la journée qui suivit. Wikipédia
Date : 9 nov. 1938 – 10 nov. 1938
Mobile : Assassination of Ernst vom Rath, Antisémitisme » in wiki

MC dit: à

Ne lisez pas Christine Orban sans avoir sous la main les œuvres de Pascal et sa vie par le tandem Plazannet -Lyraud, édition parue chez Bouquins et facilement accessible. MC

Marie Sasseur dit: à

Pour la nuit de feu de B. Pascal voir son mémorial, et dans son manteau.

Marie Sasseur dit: à

Thread

« On ne s’ennuie pas un instant car ce ne n’est jamais alourdi par l’érudition »

C’est la qualité de ses défauts, en somme.
En ce moment, je m’applique à relever toutes les mystifications dans ce roman d’Antoine de l’abbaye. Car de mystique à mystification, il n’y a qu’un pas.
Ce que je peux déjà vous dire, c’est qu’Antoine de l’abbaye et Dan Brown, même combat, lol.

JC..... dit: à

« Il n’y a pas de supériorité entre l’homme et la femme, le noir et le blanc, l’enfant et l’adulte, le juif et le palestinien. Nous sommes libres et égaux en droit. » (Rose)

Euh, non !…Rien ! On ne rit pas

J J-J dit: à

j’ai toujours trouvé cette rose formidable, et si je n’ai jamais eu les pétales de sa foi, je sais qu’elle ne piquera jamais quiconque d’avec les épines dont la nature l’a dotée.

J J-J dit: à

Elle n’aura jamais d’auto-complaisance victimaire sur rien au monde. Rien ne peut la bloquer. Elle ira toujours de l’avant, essayant de trouver les meilleures solutions conciliatrices, ici et maintenant ou plus tard. Elle aura trébuché et trébuchera bien sûr, mais aura toujours su se relever. Rares sont de telles fleurs éphémères qui auront mérité de nous côtoyer pour nous épandre de leur miel.

J J-J dit: à

Si je puis me permettre d’ajouter à votre excellente liste (dont deux me sont inconnues), quatre autres de mes connaissances…, et bien, je n’hésiterais point à vous faire part de grands plaisirs (sombres) que m’ont donné un jour ou l’autre, Sylvia Plath, Eudora Welty, Ivy Compton-Burnet, et même Barbara Pym.
Non, elles ne furent pas apeurées par Virginia. Surent se débloquer, sans elle.
Bàv,

rose dit: à

Les épines, que j’ai nombreuses, sont non pas pour piquer autrui, mais pour me protéger moi des agressions nombreuses que je subis.
Et pourtant, je suis discrète. Il n’empêche. C’est ma vie totalement incompréhensible.

C’est surtout ce dicton marseillais, sans équivoque « fais du bien à Bertrand, il te le rend en caguant ».

Bonne journée, je suis en cuisine.

rose dit: à

L’élève dépasse le maître.

Photo effrayante.
Renato nous avait montré Marioupol.

L’érudition peut décourager c vrai pck nous avons besoin de faire des liens. La progression est lente et difficile pour autrui.

Cousu dans l’ourlet de son manteau et trouvé au moment de la mort. Porté incessamment sur lui. Le parchemin a disparu, reste le double que Christine Orban a été consulté à la BNF. Grosse émotion. Elle a bossé deux ans sur ce bouquin Soumise.
Juste avant la page 200, je me suis posée la question de comment elle a fait : son appareil de notes le dit. Travail impressionnant.

rose dit: à

a été consulter

Marie Sasseur dit: à

Bertrand est une cagole.

Bloom dit: à

Non, elles ne furent pas apeurées par Virginia. Surent se débloquer, sans elle.

Certes, mais je parlais de la réception, notamment en France, où il n’y en a que pour la créatrice de Mrs Dalloway.
Sinon effectivement, ces femmes sont sans peur et sans reproche, déterminées à ne rien laisser entraver l’expression de leur puissance créatrice.
Eudora Welty, oui, bien sûr.
Un peu trop d’effet de mode à mon goût pour Sylvia Plath que son suicide a grandement contribué à propulser sur le devant de la scène. Et ce grand lourdaud de Ted Hughes était parfait dans le rôle du vilain. Si « Ariel » demeure un magnifique recueil, « The Bell Jar » est bien moins convaincant.Plath excellait dans le jaillissement, la métaphore inattendue, davantage que dans la construction narrative…
Je n’ai pas inclus Gertrude Stein car ses livres me sont toujours tombés des mains et son comportement à l’égard de Joyce fut tout sauf gentlewomanly…En pure perte, car on sait aujourd’hui qui des deux était le génie.
En ce qui concerne une absente de marque, Anaïs Nin, elle se lisait fiévreusement à deux à 20 ans avant le passage aux travaux pratiques.

Jazzi dit: à

« Chevalier de la Légion d’honneur
Officier de l’ordre des Palmes académiques
Médaille de la jeunesse, des sports et de l’engagement associatif, argent
Médaille des réservistes de défense et de sécurité intérieure
Ordre des nuages propices avec grand cordon (Taïwan)
Médaille d’honneur du travail, vermeil

Attendre autre chose de la République de Macron ? »

Remarque parfaitement imbécile et indigne d’un ex enseignant !

rose dit: à

Idem pour moi, mais je la lisais à une, et passais quand même aux travaux pratiques.
Putain de bon temps !

rose dit: à

Idem Anaïs Nin.

MC dit: à

Bon , il s’avère que la littérature française est constituée essentiellement. de poids plumes à peine lisibles , et que l’anglaise lui dame le pion. Curieux langage chez quelqu’un qui est censé représenter la France….MC

renato dit: à

Et Iris Murdoch, Bloom ?

Rose, je vous répondrai ce soir, ma fille vient d’arriver.

morales sed laisse dit: à

Attendre autre chose de la République de Macron ? »

Remarque parfaitement imbécile et indigne d’un ex enseignant !

C’est de qui cette remarque gilet-jaunasse, jazzi, s’il vous plait?

Paul Edel dit: à

Parmi les femmes américaines qui écrivent, j’aime beaucoup quelqu’un qui est rarement cité,Ann Beattie, née en 1947 à Washington. . Elle fait partie de l’école du NewYorker ( Cheever et Updike) Elle excelle dans les dialogues laconiques, pour dire les désarroi de sa génération, avec les couples bancales, , une espèce de flottement de jeunes femmes dont les silences sont assez cruels et beaucoup de choses pas dites mais suggérées avec précision. Il y a du Harold Pinter ou du Carver pour la cruauté sous-jacente,et pas mal des fêlures fitgeraldiennes dans sa génération, car elle évoque des désillusions qui assiègent les uns et les autres. Sa meilleure période? sans doute ce qu’elle écrit entre 1975-1990 .Lire en priorité ses « Nouvelles du new yorker » traduites chez Christian Bourgois.

morales sed laisse dit: à

Et qui donc ici se plaint du niveau scolaire des élèves?
L’ex enseignant(e), on suppose?

Jazzi dit: à

D’une Marseillaise, qui ferait mieux d’aller voir « Et la fête continue ! » de Robert Guédiguian, qui ne plaide pas en faveur de la gauche locale et irresponsable, et qui devrait balayer devant sa porte.

morales sed laisse dit: à

La Marseillaise n’a pas de crédit comme la banque du même nom?

vadeboncoeur dit: à

Mimi, en ce vendredi, publie-nous un nouveau tableau de Paul Klee!

Jazzi dit: à

Parmi les femmes américaines qui écrivent, moi j’aimais beaucoup la belle new-yorkaise Susan Sontag, lesbienne assumée, qui s’est faite enterrer à Paris-Montparnasse. Notamment son essai sur la photographie.

Bloom dit: à

Curieux langage chez quelqu’un qui est censé représenter la France….MC

Bien mauvais procès.
Petites jalousies nationalistes de piètre facture.
Ainsi il serait curieux pour un angliciste d’avoir une dilection particulière pour la littérature d’expression anglaise? On croit rêver.
Allez reprocher à Pierre-François Souyri d’avoir dirigé la Maison franco-japonaise de Tokyo, lui qui est un de nos plus fins spécialistes du Japon.
Allez critiquer Alexis Tadié, agrégé d’anglais, qui a été à la direction de la Maison française d’Oxford.
Et n’oubliez pas de brocarder Jean-Loup Bourget, angliciste majuscule, aujourd’hui professeur émérite des universités, parce qu’il a été attaché culturel à Londres (1973-76), Chicago (1976-77), New York (1977-80) et Barcelone (1980-81).
Décidément, vous êtes bien obtus.

Bloom dit: à

Iris Murdoch, renato, est pour moi trop associée aux versions de prépas et de concours. Trop de dialogues, c’est la réflexion que je me faisais en essayant de progresser dans A Fairly Honourable Defeat, que j’ai laissé tombé.
Mon vieux pote John H. ancien prof de khâgne à Fénelon, l’adore.

Jazzi dit: à

Et aussi Mary Mccarthy, pour son roman « Le Group »e (1954), adapté au cinéma par Sidney Lumet (1962).

Phil dit: à

Gertrud Stein

Son livre de recettes avec la copine Toklas vous fait revivre l’ancien régime, dear Bloom. La France a parfois besoin de ces Americaines déjantées argentées qui savent secouer la bête.

racontpatavi dit: à

Et n’oubliez pas de brocarder Jean-Loup Bourget, a)ngliciste majuscule, aujourd’hui professeur émérite des universités, parce qu’il a été attaché culturel à Londres (1973-76), Chicago (1976-77), New York (1977-80) et Barcelone (1980-81).

Oh, c’est donc entre Londres et Chicago (1976) qu’il m’ acheta en souscription une édition originale à tirage limité d’un artiste brut devenu très célèbre ces derniers temps!

Janssen J-J dit: à

N’ai pas cité Sontag que je ne considéré pas vraiment comme une romancière… Une belle intellectuelle, ça oui, dont j’avais apprécié naguère « le sida et ses métaphores »… Ni non plus, Patricia Highsmith, la polar-oïde, au risque d’accusation d’homophobie par jzmn dont les critères de sélection restent assez savignesques. Et pour finir, disons qu’ils ont aussi leur amélie nothomb en la personne de joyce carol…, mais elle n’est pas morte que l’on sache, et l’a encore du jus… Anaïs Nin ?… non, je ne l’ajouterai pas non plus. Et je veux bien enlever Sylvia Plath. Voilà (17.XI.23, 11.40)

Pablo75 dit: à

Dans son siècle implantée, Christine Angot aura participé magnifiquement à changer le monde de son vivant en rompant le silence. Shakespeare, pouvez-vous me dire si son « to be or not to be » participe à un quelconque changement ?
rose dit:

Maintenant Angot c’est de la grande littérature qui change le monde et Shakespeare de la petite qui n’a eu aucune influence sur lui.

Prière de ne pas rire trop fort.

« Je mets le conte de fées Les trois petits cochons des frères Grimm au rang de, qui vous voulez, Franz Kafka. Gustave Flaubert, Émile Zola. »

Sachant qu’elle a été prof pendant 40 ans, on se demande après pourquoi l’Éducation Nationale est dans un état catastrophique. Du relativisme à tous les étages et tout le monde est beau, tout le monde est gentil, voilà les deux recettes magiques de notre grande pédagogue…

Pablo75 dit: à

Rose, quand on lui dit: « Si tu ne vois pas la différence entre Shakespeare et Christine Angot, par exemple, tu devrais aller voir un ophtalmo – voir un psychiatre », elle répond: « Il n’y a pas de supériorité entre l’homme et la femme, le noir et le blanc, l’enfant et l’adulte, le juif et le palestinien. Nous sommes libres et égaux en droit. Et bien, la littérature, c’est pareil. »

Question: était Rose dans son état normal en écrivant cela ou elle avait pris des substances illicites?

Si on en croit cette phrase: « Dans ma famille, nous sommes trois ferventes chrétiennes touchées par le miracle de dieu et/ou la grâce », il est plus que probable qu’elle ait pris quelque chose d’assez fort.

Pablo75 dit: à

-Rose la prof: – Décrivez-moi les différences entre Cervantes et Annie Ernaux.
-Ses élèves: -Il n’y a pas de supériorité entre l’homme et la femme, le noir et le blanc, l’enfant et l’adulte, le juif et le palestinien. Nous sommes libres et égaux en droit.
-Rose la prof: -Très bien. 20 sur 20.

-Rose la prof: – Décrivez-moi les différences entre Bach et Plastic Bertrand.
-Ses élèves: -Il n’y a pas de supériorité entre l’homme et la femme, le noir et le blanc, l’enfant et l’adulte, le juif et le palestinien. Nous sommes libres et égaux en droit.
-Rose la prof: -Très bien. 20 sur 20.

-Rose la prof: – Décrivez-moi les différences entre Rembrandt et Piero Manzoni (auteur de « Merda d’artista », une oeuvre réalisée en 1961 et composée de 90 boîtes de conserve cylindriques en métal (4,8 × 6 cm), hermétiquement fermées, qui contiennent les excréments de l’artiste, étiquetées, numérotées et signées).
-Ses élèves: -Il n’y a pas de supériorité entre l’homme et la femme, le noir et le blanc, l’enfant et l’adulte, le juif et le palestinien. Nous sommes libres et égaux en droit.
-Rose la prof: -Très bien. 20 sur 20.

lmd dit: à

…aimer les peintures de Philip Guston…
«Quel mauvais goût !!»
Et voilà, Pablo75, vous l’avez dit, l’Art c’est le bon Gout !

Jazzi …qui devrait balayer devant sa porte ?
Les Marseillais ont réussi à faire l’union de la gauche (écologistes PS PC LFI et d’autres moins identifiés) sans rien demander à personne au niveau national. Cette union a mis dehors Gaudin et sa vielle droite rancie et corrompue. Cette majorité municipale tient le coup malgré la décision de Michèle Rubirola de se retirer du premier plan.
Cette union aurait du être un exemple national et ne l’est pas, s’est vrai, c’est triste.

vedo dit: à

Je n’ai jamais prétendu que l’on pouvait apprendre l’espagnol en lisant Quevedo. (Absurde). Je maintiens que de bien apprendre, travailler, et se répéter quelques poésies dans une langue est une bonne et assez directe voix d’accès pour pénétrer dans son coeur (après avoir acquis quand même quelques connaissances).

Jazzi dit: à

Et donc, lmd, ils sont responsables du moindre fait divers qui se passe à Marseille ?

Pablo75 dit: à

« Je n’ai jamais prétendu que l’on pouvait apprendre l’espagnol en lisant Quevedo. (Absurde). »
vedo dit:

« La poésie me semble même une bonne porte d’entrée pour une nouvelle langue […] Pour Quevedo, (mon pseudo n’est pas pour rien…), on peut très bien apprendre « Retirado en la paz de estos desiertos.. » […]. Ce n’est pas un espagnol difficile. La littérature espagnole de XVIe (et un peu après, Q.) est extraordinaire, avec une langue bien formée. Un peu de Thérèse d’Avila (moins facile peut-être) donne une idée de sa vivacité. »
vedo dit: 8 juin 2018 à 16 h 29 min

Dire que la poésie est « une bonne porte d’entrée pour une nouvelle langue » est une connerie, surtout en ce qui concerne la poésie espagnole baroque.

Quant à ton: « Thérèse d’Avila (moins facile [que Quevedo] peut-être) », montre très bien que tu n’as pas lu aucun de deux en espagnol…

Sur le sonnet de Quevedo dont tu parlais, tu peux lire pour bien le comprendre:

El soneto « Retirado en la paz de estos desiertos » de Quevedo: ensayo de una lectura fenomenológica,
de Hernán Sánchez M. de Pinillos

https://www.cervantesvirtual.com/obra/el-soneto-retirado-en-la-paz-de-estos-desiertos-de-quevedo-ensayo-de-una-lectura-fenomenologica-975521/

Samuel dit: à

Pourquoi personne ne lit ou ne cite Daphné du Maurier aujourd’hui ?

Samuel dit: à

Pourquoi tout le monde a oublié Margaret Kennedy ?

William Boquet dit: à

@Pablo75 dit: à
-Rose la prof: – Décrivez-moi les différences entre Cervantes et Annie Ernaux.

Le Siphonné de La Tilde fait avec ce postulat, au demeurant absurde, la démonstration qu’il n’a pas compris l’énoncé du sujet ; c’est son droit, du moins tant qu’il ne se pose pas en suprémaciste du bon goût pour réclamer l’expulsion des ses petits camarades de blog dont les avis divergent des siens (wouaf wouaf)

JC..... dit: à

« Les Marseillais ont réussi à faire l’union de la gauche (écologistes PS PC LFI et d’autres moins identifiés) sans rien demander à personne au niveau national. Cette union a mis dehors Gaudin et sa vielle droite rancie et corrompue. » (lmd)

Seul un innocent, permanent au poulailler de l’Opera de Marseille, peut ne pas accepter la réalité locale bien connue : une mafia municipale rassie et corrompue en remplace une autre à la Mairie !

Comme d’habitude !

D. dit: à

L’Euro ne passera pas 2024…

Patrice Charoulet dit: à

« Cellule de décryptage » !

Sur je ne sais quelle radio ( j’en change souvent), une journaliste donne la parole à un confrère, qui nous parle pendant trois minutes des SUV. A la fin, elle reprend la parole et nous dit : « C’était X, de notre cellule de décryptage ».
Eh bien non. Un journaliste a cherché quelques informations sur un (tout petit) sujet et nous les a transmises. Décryptage ? Non. Journalisme ? Oui.

Pablo75 dit: à

tant qu’il ne se pose pas en suprémaciste du bon goût pour réclamer l’expulsion des ses petits camarades de blog dont les avis divergent des siens
William Boquet dit:

Je réclame uniquement l’expulsion des Ordures Antisémites Fiers de l’être comme toi, qui empuantent depuis trop longtemps l’atmosphère de cet endroit.

William Boquet dit: à

À défaut d’argument sinon d’autorité, le Siphonné de La Tilde recourt aux affirmations sans fondement et à la calomnie

renato dit: à

Et Ivy Compton-Burnett, voir le rôle de tyran domestique attribué au père ou à la mère. Oui, chez elle aussi le dialogues. Enfin, compte tenu que « I have had such an uneventful life, that there is little information to give ».

rose dit: à

JC Seul un innocent, permanent au poulailler de l’Opéra de Marseille, peut ne pas accepter la réalité locale bien connue : une mafia municipale rassie et corrompue en remplace une autre à la Mairie !

Comme d’habitude !

Je plussoie.

Mais pas si rassie. Mafia clairement. On se partage les postes entre copains et on n’y touche plus, jusqu’au fauteuil roulant.
Mais, était-ce mieux du temps de Deferre ?

rose dit: à

Les médailles, les prix, les breloques.

À Forcalquier, l’ex-ministre de l’Intérieur a distribué deux légions d’honneur.
À hurler de rire si ce n’était aussi sinistre !
Une à une femme bouffeuse de curé (au propre).
L’autre à une menteuse/ voleuse/arnaqueuse du fisc.
Deux horreurs.

Si, distribuer long comme le bras de satisfecit, pour voir le type récompensé, foutre de l’ectasy dans le verre d’une collègue dans l’espoir de la baiser, c’est envisager comme normal d’avoir distribué les dits titres honorifiques, nous ne jouons pas dans la même cour, Jazzi.

Par contre, très proche de Rosanette, souvent, et en voie d’acquérir sa sagesse, même si sur le point de vue mesuré, faudra attendre encore un peu.

rose dit: à

Pablo 75

Vous me faites rire.
Très mauvais signe.

rose dit: à

Bloom

J’ai laissé tomber.

rose dit: à

Pire que l’ectasy.
Ben merde alors.

Bloom dit: à

« mes auteures préférées pour la première moitié du 20e s. » (yours truly)
Sontag a commencé à publier dans les années 60.
Je m’en tiens à ma période, pré-1950.
En revanche, on pourrait citer Zora Neale Hurston, une des rares figures féminines de la Harlem Renaissance, dont je n’ai lu que quelques essais, abrasifs et satiriques, qui donnent plutôt envie d’aller voir plus avant. Zora n’est
pas encore dans mon panthéon d’avant 1950, dois-je le repréciser.

Sur la grande Katherine: alors qu’à Menton, la villa de Katherine Mansfield accueille des auteur/e/s de Nouvelle-Zélande, ce n’est pas le cas de la maison de la grande écrivaine à Wellington, résidence d’écriture mais pour les Kiwis.
L’alter ego de la villa de Katherine Mansfield à Menton est depuis 2002 le Randall cottage, où Charles Juliet écrivit son Pays au long nuage blanc, POL.
https://www.sofrenz.com/randell-cottage-fr

William Boquet dit: à

« Où que vous soyez : rappelez-vous de votre potentiel illimité. Vous possédez le pouvoir de changer les choses, d’inspirer les autres et de laisser une marque durable sur le monde », a déclaré la sergent-chef Renita Rismayanti, déployée au sein de la Mission des Nations Unies en République centrafricaine, en acceptant le prix de la Policière de l’ONU de l’année au siège de l’ONU ce jeudi.

Source pour connaître quelles ont été ses missions en République centrafricaine : ONU Info

https://global.unitednations.entermediadb.net/assets/mediadb/services/module/asset/downloads/preset/Libraries/Production%20Library/13-11-2023-UN-Woman-Police-Officer.jpg/image350x235cropped.jpg

William Boquet dit: à

En écho à : rose dit: à
Les médailles, les prix, les breloques

rose dit: à

Petit à petit, eu égard à l’ancienneté de nos services, je vais cesser d’argumenter sur des propos incompréhensibles à mes yeux.
Un homme couvert de lauriers est irréprochable et exemplaire et c’est ce qui fait qu’il est couvert de lauriers.

Faut-il avoir eu le baccalauréat pour comprendre cette évidence ?

Bloom dit: à

Impossible de me rappeler le nom de ce professeur de l’Institut d’anglais Charles V, compagnon de M. Yaguello à l’époque, qui fut nommé attaché Q à Londres dans les années 90. Tous deux eurent d’ailleurs un grave accident de grosse moto.
Any inkling anyone?

Au sujet de Marina Yaguello, linguiste jubilatoire, extrait d’un article que lui avait consacré Le Monde autrefois:
« Car elle ne fait rien comme tout le monde, ce qui lui vaut un cursus atypique – elle ne prendra le temps de passer son doctorat d’Etat qu’en 1983 -, et ne lui fait pas que des amis dans le petit monde universitaire. « Etre là où on ne l’attend pas », telle est sa devise : « Je déteste les spécialistes au sens étroit du terme, qui se délimitent un champ et passent des années à labourer le même sillon. »
Je ne peux qu’applaudir des quatre mains, comme le dit Vishnou.

vedo dit: à

Décidement le stroumpf râleur du 75, capable d’âneries sur l’histoire de France, quel pédant. Lire 25 pages de ensayo de una
lectura fenomenológica pour apprécier la musique d’un sonnet, c’est comme prétendre qu’il faut lire les commentaires de Heidegger pour comprendre Hölderlin. Salut.

D. dit: à

le stroumpf râleur du 75

Je vous arrête tout de suite, vedo : pablo ne schtroumpfe pas de petite queue bleue à travers sa culotte.

renato dit: à

Chacun, rose, jette la faute sur le voisin (les parents, les enseignants, l’État, le cellulaire, la tablette…). Mais la vie dans un groupe cohérent est une question d’actions collectives, ce qui est censé produire un meilleur résultat que celui produit par chaque personne qui agit individuellement vers le même objectif — en bref, une question de singerie.
Les parents sont donc responsables de l’éducation des enfants, mais qui porte la responsabilité de l’affinage (éducation du citoyen) ? Il me semble qu’en France la loi prévoit l’enseignement morale et civique. On ne nait pas citoyen, on le devient, quelqu’un doit former des citoyens responsables et actifs en les ouvrant à une participation pleine et consciente de la vie civique, culturelle et sociale, dans le respect des règles, droits et devoirs. Donc je maintiens : les parents et les enseignants.

JC..... dit: à

« Mais, était-ce mieux du temps de Deferre ? » (rose)

Que nenni ! Malgré le business, la mafia defferriste se présentait comme « résistante » post-WWII, Guérini et Cie !

Honorable, donc, ayant « combattu » les Boches avec succès !

Jazzi dit: à

« foutre de l’ectasy dans le verre d’une collègue dans l’espoir de la baiser, c’est envisager comme normal d’avoir distribué les dits titres honorifiques, nous ne jouons pas dans la même cour, Jazzi »

C’est honteux de me prêter de tels propos, rose !

Patrice Charoulet dit: à

Bolloré, CNews, JDD…

Je suis l’homme le moins envieux de France. Il y a des milliardaires ? Tant mieux pour eux. Nous sommes dans un pays capitaliste ? A la bonne heure ! Préférez-vous les pays communistes ? La liste des vingt plus gros milliardaires de France est facile à trouver. Tous ne possèdent pas de médias.
Si ces milliardaires possèdent des médias, je laisse imaginer s’ils seraient heureux d’y trouver des idées révolutionnaires, gauchistes, communistes et s’ils ne seraient pas tentés (mettez-vous à leur place) de prier les rédactions d’avoir des idées un peu moins à gauche.
Dans ce lot, M. Bolloré a une position assez originale. Certes, comme tous les autres milliardaires possesseurs de médias il incite les rédactions à ne pas avoir d’idées gauchistes, communistes, etc. mais il y ajoute quelque chose : il est demandé aux salariés de taper sans arrêt sur M. Macron et son gouvernement et de promouvoir , par alternance, les thèses de M. Zemmour et de Mme Le Pen.
Ecoutez un jour CNews de 8h du matin à 22h (prenez des notes) et lisez le (nouveau) JDD de A à Z, et dites-moi si ce que je viens d’avancer est vrai ou faux.
Tout le monde sait-il ceci ? Pascal Praud (star de CNews) voulait rester sur RTL. Bolloré a beaucoup insisté et Pascal Praud est maintenant sur Europe 1,… que possède Bolloré.
Que tout salarié de Bolloré, à plein temps ou à temps partiel , plaide, de vive voix ou par écrit, pour son patron est dans la nature des choses . Il ne sera pas mal vu.
.

D. dit: à

L’amateurisme de Macron est, encore une fois, très préjudiciable à la France.

Macron démission. Encore une fois.

Clopine dit: à

Celui que j’avais appelé, ici, « Jim », par référence au film de Truffaut, et qui est toujours resté mon ami , et qui m’a ouvert un univers intellectuel qui m’était totalement étranger, bref, un être à qui je dois tant et qui, lui, ne m’a jamais trahie, est mort ce matin à onze heures. Et je ne pourrai même pas accompagner sa dépouille. Chacun de nous est bien seul. Et je voudrais que ma douleur soit sage, même si le soir mets des plombes à descendre.

rose dit: à

Clopine

Je n’ai jamais osé vous demander de ses nouvelles.
Mes pensées pour lui et vous.

rose dit: à

Jazzi

Visiblement, vous ne comprenez rien à ce que je dis.
Cessez de me lire.

Je ne vous ai jamais attribué de tels propos, jazzi, c’est de la situation de ce sénateur dont je parle.

Il n’est pas intègre point barre.

Rosanette dit: à

@ monsieur Charoulet
j’ai repondu à votre question sur Thierry Klinger plus haut sur ce fil

William Boquet dit: à

@Le temps s’accélère : un « grand combat de civilisation » sur le modèle de Poutine ; l’élève dépasse ici le maître

https://s.rfi.fr/media/display/7537d746-8510-11ee-a9f7-005056bfb2b6/w:720/p:16×9/2023-11-17T060427Z_520750588_RC2SE4AFNZ8T_RTRMADP_3_ISRAEL-PALESTINIANS-GAZA-BORDER.JPG

De la loi et de l’arbitraire ; et dire qu’il s’en trouvait et s’en trouve encore ici pour justifier les expulsions de palestiniens de Jérusalem Est au prétexte qu’ils ne respectent pas les lois sur l’urbanisme … la plupart des autres se contentant de laisser faire sans rien dire, comme toujours
Bon weekend camarades de blog !

William Boquet dit: à

(Plus que les piques personnelles à son encontre, il me semble que c’est cet épisode qui avait profondément dégoûté Christianne et l’avait conduite à ne plus intervenir ici)

rose dit: à

Voilà, même Deferre c’était plié.
Pourtant avec Edmonde, l’aurait pu se ranger ; ben non.
Qui dit Marseille/elections dit mafia.

rose dit: à

Jazzi

Nous ne jouons pas dans la cour signifie je suis intransigeante et vous pas.
Écrit plus haut : les gens au pouvoir, exemplaires.

William Boquet dit: à

(Une question qu’il va falloir sérieusement creuser : Israël : Benjamin Netanyahou avait été informé de l’attaque du Hamas par les renseignements, affirme son prédecesseur Yaïr Lapid
L’ancien Premier ministre israélien Yaïr Lapid a indiqué avoir reçu des informations de la part des services de renseignement avant l’attaque du Hamas. D’après lui, son successeur Benjamin Netanyahou les aurait également réceptionnés.
https://www.lejdd.fr/international/israel-benjamin-netanyahou-avait-ete-informe-de-lattaque-du-hamas-par-les-renseignements-affirme-son-predecesseur-yair-lapid-139265 )

Paul Edel dit: à

Clopine, sachez que vous lui avez consacré un de vos meilleurs textes. Superbe. Il m’est resté en mémoire.

Bloom dit: à

Il n’est pas intègre point barre.

Les vieux cochons auraient visiblement besoin d’amour. You porn suffit plus.
Faut dire qu’au Sénat, rien de frétillant, que du périmé, alors qu’à la chambre basse, on revient au fondement…Main basse sur le gynécée caqueteux…touche pas aux copines, Marcel, tu vas t’abîmer les dernières années. Trop tard, c’est plus fort que lui, il peut pas résister – toutes ces couleurs, c’est l’extase XXL garantie & partagée.
Et puis, zut alors, tout le monde ne parle que de Q et ne pense qu’à ça, à la tv, dans les livres, les bds, le net, la vraie vie, tout, tous, partout, partouze…

A voté!

closer dit: à

Pourquoi « même Barbara Pym » JJJ?
La lecture de ses romans est un tel plaisir que le « même » est de trop.
N’ayez pas honte!

Bolibongo dit: à

Geneviève Jurgensen
sur son compte facebook :

Pause linguistique, récapitulation.
Merci aux multiples contributeurs (photo), auxquels les formules suivantes ne manqueraient pas si on les abandonnait:
Zone de confort
Charge mentale
Montée d’adrénaline
Faire un pas de côté
Impacter
Mise en abyme
Interface
Bienveillance
Plasticité cérébrale
Résilience
J’assume
Je plussoie
Je valide
Je gère
Je te mets dans la boucle
Je parle sans filtre
Etre à soi même/aux autres
Ne pas avoir vocation à…
Axe majeur
Signal fort
Effet waouh
Iconique
Pas d’amalgame
Pas de souci
Soyez vous-même
Prends soin de toi
Profite
C’est compliqué/Ça va être compliqué
C’est plié/C’est pas gagné
Bon courage
La problématique
Belle personne
Le vivre ensemble
En immersion totale
Burn out
Absolument (plutôt que oui)
Tout à fait (plutôt que oui)
Écosystème (quand éco- signifie économie et non écologie)
La France des périphéries
Les territoires, les quartiers.
Ce que veulent les Français
Les Français n’en peuvent plus
La France qui souffre
Le mépris des classes souffrantes
Nauséabond
C’est dans son ADN (surtout quand c’est celle d’une marque)
Changer de logiciel
On ne lâche rien
Il faut que le peur (la honte) change de camp.
Y a pas de souci
On va pas se mentir
On est sur (du lourd… Paris…)
Faire bouger les lignes
Porter un projet
T’inquiète
Impacter
Gouvernance
Glaçant
Gagnant-gagnant
Ça va le faire/ça va pas le faire
Et pas que
Ou pas
Les bars à…
Je dis ça, je dis rien
Franchir la ligne (jaune, rouge, blanche)
Plafond de verre
Faire société
Faire famille
Faire sens
Créer du lien
A très vite/À plus
Je reviens vers vous
Rapprochez-vous de
Inclusif
J’ai envie de dire
Genre/Style/En mode
Se reconstruire
Silence assourdissant
Bonne dégustation
Genré
Je voudrais rebondir
Bisounours
Monde de Oui-Oui
On part sur un…/On est sur un…
Vous avez la carte du magasin?
Caracoler en tête
Parcours du combattant
Fais-toi plaisir
Les indicateurs sont au vert
Que du bonheur
Celles et ceux
Se remettre la tête à l’endroit
Cool/Top/Tip top/Pas top
Au global, à la base, de base
On va dire… (avec mouvement pour mimer les guillemets)
Un grand moment de solitude
etc.

Bloom dit: à

Modeste contribution:
– ligne de crête
– typiquement
– on part sur un vin léger
– je n’ai d’issue avec ça
– il coche toutes les cases
– on a fait le Rajasthan
– belle journée

Bloom dit: à

– c’est la sidération
– pas audible

Bloom dit: à

– un camouflet
– fenêtre de tir
– lieu, erc. dédié
– co-construction

Bloom dit: à

– un serpent de mer
– à l’international
– des trous dans la raquette
– j’y vois pas un sujet
– la double peine

Bloom dit: à

erc. = etc.

puck dit: à

c’est la reprise de la saison des jeux d’hiver su’l blogapassou.

je contribue :
– moi aussi j’vaux en ète
– toi tu sers à rien t’es comme un brocoli
– ce soir j’me mets en mode Bernard Tapie
– sans dec t’es pas un mec
– en voiture Simone faut k’sa décolle…
– il voulait m’prendre ma Clio moins cher qu’à l’argus
– pas grave j’garde la pêche
– toi t’es bonne comme l’arôme Maggi
– ferme ta gueule gros
– t’emballe pas reste izi
– viens au vélodrome ce soir j’te mets l’feu
– pas d’meuf pas d’tune ce soir c’est la hass
– t’as morflé askip
– c’est les potes qui m’ont dit askip
– viens ma poule chui old school

Bloom dit: à

code élaboré # code restreint (Basil Bernstein, fameux sociolinguiste)

rose dit: à

Elle a écrit impacter deux fois : c’est très mauvais signe.
Il doit l »énerver deux fois plus que les autres mots.

rose dit: à

Clopine

Le goût immodéré de Jim pour la musique.

rose dit: à

Renato,

Je vous remercie de votre réponse.

Aux parents l’éducation, aux enseignants la pédagogie.
Sommes-nous d’accord ?

Jean Langoncet dit: à

(Le Caravage passe et le Titien aboie)

puck dit: à

petit lexique des néocons en rap :

toi t’es comme l’otan
tu t’étends
t’as pas d’limite
pousse toi d’là
tu prends tout l’lit
si j’te fais la guerre
et j’envoie des bombes
sur la tête
c’est pour ton bien
parce que j’défends la liberté
et la démocratie
toi tu vis en dents d’scie
t’as pas lu Brejinsky
sur le grand échiquier
en 10 leçons pour garder le lidl chip
si t’es dans la mouize
faut t’envoyer bay h elle

Patrice Charoulet dit: à

Bolibongo

Grand merci de cette admirable citation. La dame en question mérite tous les égards.

MC dit: à

Désolé Bloom, j’avais oublié que vous étiez angliciste.Je vous voyais comme un responsable culturel du Reseau. Mes excuses donc. MC.

Bloom dit: à

Mort de Dame Antonia Susan Duffy, née Antonia Drabble, qui écrivait sous le nom de plume d’AS Byatt, qui obtint le Booker Prize pour Possession, un gros livre à la couverture représentant un tableau pré-raphaélite. J’ai dû lire une trentaine de pages avant de le ranger sur une étagère, for ever and a day…
Elle était la soeur de Margaret Drabble, romancière et nouvelliste très estimable, bien connue pour ses ouvrages critiques et ses biographies.
Un spécialiste des coléoptères travaillant en Amérique du Sud a nommé un scarabée Euhylaeogena Byattae Hespenheide, en mémoire des personnages de naturalistes figurant dans une de ses nouvelles.
AS Byatt, la 6e Beatle?

Bloom dit: à

Désolé Bloom, j’avais oublié que vous étiez angliciste.Je vous voyais comme un responsable culturel du Reseau.

Les deux, mon général.
17 années in the rézo.

et alii dit: à

NOUVEAU METIER
Le cinéma et la télévision s’adaptent aux nouvelles problématiques autour du consentement avec un nouveau métier : le coordinateur d’intimité, qui veille à ce que la mise en scène d’une scène sexuelle respecte ses acteurs. Table ronde pour découvrir ce métier et les questions qu’il apporte avec Najoua Ferréol, coordinatrice d’intimité, Magali Croset-Calisto, sexologue, et Antoine Garceau, réalisateur.
SAMEDI 2 DÉCEMBRE, APRÈS-MIDI
BIBLIOTHÈQUE OSCAR NIEMEYER
SUR esprit:havre series ;les séries et la sexualité
bonsoir

et alii dit: à

instruire?
Les séries et la sexualité
Esprit partenaire de Havre-séries
Que nous apprennent les séries quand elles regardent la sexualité au prisme du handicap, de la religion ou du pouvoir ? Ou quand elles proposent de l’interpréter via la psychanalyse ? Ou encore quand elles se piquent d’éducation sexuelle ?

renato dit: à

« Sommes-nous d’accord ? »

Certes, rose, pourvu que l’enseignement civique et morale fasse partie du bagage. Vous savez bien que l’affermissement moral est toujours possible, mais qu’il n’est pas évident.

Samuel dit: à

Pourquoi sont-ils détestés par tout le monde et méprisés par le reste ?

FL dit: à

Mon petit doigt me dit que ce site n’aime vraiment pas fabula point org.

Jazzi dit: à

« je suis intransigeante »

Vous voulez dire bornée, rose.
Mettre les turpitudes privées et sexuelles de ce sénateur sur le dos de Macron est stupide…

Jazzi dit: à

« Celui que j’avais appelé, ici, « Jim », par référence au film de Truffaut »

Mais qui donc était « Jules », Clopine ?
Et pourquoi ne peux-tu pas accompagner sa dépouille ?

Bolibongo dit: à

La dame en question mérite tous les égards.

Oui P.Charoulet, journaliste auprès du quotidien La Croix.

FL dit: à

Je crois que la meilleure invention des 6 dernières années c’est le « en même temps ». C’est fascinant. Il y en a partout. Ils ont inattaquables.

« Libération » ces temps-ci c’est un florilège.

Et pas qu’eux.

FL dit: à

* Ils sont inattaquables.

FL dit: à

Par exemple le journal est pour la Libération de la femme.

Et en même temps des domestiques nombreux, peu chers et fiables seraient bienvenus.

Voyez je ne mens pas.

FL dit: à

Alors on va me répondre : mais ce n’est pas la même chose.

FL dit: à

Quand tu lis Libération tu as quand même le sentiment qu’il n’existe qu’un seul type de femmes : la bourgeoise parisienne.

FL dit: à

Autrefois tu avais Jean Dutourd. Maintenant tu as Camille Froidevaux-Metterie.

renato dit: à

C’est la même chose et en même temps ne l’est pas ! 😐

FL dit: à

Libération c’est quand même un journal qui parle de leurs « envoyés spéciaux à Melun ».

Sans rire.

C’est pas leur style.

Bolibongo dit: à

La rose elle plussoie! 🙂

La clopine : je dis ça, je dis rien! 🙂

Passou : faire un pas de côté! 🙂

Le député Aurélien Pradié : celles et ceux ! 🙂

etc.

FL dit: à

Des fois je me demande s’ils se foutent pas un peu de la gueule de leurs lecteurs.

J J-J dit: à

Voilà …
Une femme forte …
C’est systémique …
Barbara Pym ? … (Merci closer pour le soutien, parfois aij’ mes timidités)

J J-J dit: à

Christiane aussi m’assure de son soutien sur l’autre chaine… Je suis regonflé à bloque.
Cette nuit et ce matin : « Les dés » du turc Ahmet Altan… Demain, présentation à mon cercle de lecteurs…
Au fait, sait-on si Ed. est morte ou toujours vivante ?… C’était une grande lectrice qui aimait les tomates. Elle trouvait la RDL trop vieille dans son ensemble. Un jour, elle « disparut des radars » (@ rajouter à la liste BLBG) pour rejoindre sa jeunesse & son ami Giovanni S’A.
Bàv,

D. dit: à

Vous voulez parler de la tomate hambourgeoise ?

renato dit: à

Depuis un bon bout de temps, je ne reçois pas des notifications pour des publications d’Ed.

rose dit: à

Jazzi dit: à
« je suis intransigeante »

Vous voulez dire bornée, rose.
Mettre les turpitudes privées et sexuelles de ce sénateur sur le dos de Macron est stupide…

Jazzi dit: à
« Celui que j’avais appelé, ici, « Jim », par référence au film de Truffaut »

Mais qui donc était « Jules », Clopine ?
Et pourquoi ne peux-tu pas accompagner sa dépouille ?

Les deux du même tonneau : votre qualité première, être un brave homme exempt de rancune, prompt à se réconcilier est tellement contrebalancée par le reste non l’absence totale de pensée propre.

Ma mère, hier, 89 ans, a compris l’histoire du sénateur en deux coups de cuillère à pot. Une histoire d’éthique sans doute et d’intégrité (point barre) comme cela a été signalé plus haut.

rose dit: à

dont l’absence de pensée propre.

rose dit: à

AS Byatt, la 6e Beatle?

Ou la femme du spécialiste qu’il a épinglée sous cadre ?

Beetle, non ?

rose dit: à

Renato

Je suis d’accord avec vous et pour l’équilibre de l’enfant, dans un respect réciproque et une estime mutuelle.

Marie Sasseur dit: à

thread

La Sorbonne médiévale dans l’univers des collèges parisiens
Thierry Kouamé

« L’histoire de la Sorbonne illustre, s’il en est, la réussite d’une fondation universitaire : créée à l’origine pour héberger des étudiants pauvres, en marge des écoles, elle finit par devenir le symbole même de la faculté de théologie, puis de l’université tout entière. Mais le prestige de cet établissement a souvent fait oublier qu’il n’était qu’un collège parisien parmi d’autres et que, à ce titre, il gagnait à être étudié en relation avec les autres fondations du Quartier latin. »

https://books.openedition.org/psorbonne/28966?lang=fr

Marie Sasseur dit: à

thread

« A propos de son enseignement

Il avait poussé très loin une idée ancienne, présente déjà chez Maxime le Confesseur, qu’une union de nature avec Dieu est possible. C’est le détachement (abductio dans ses textes latins, abegescheidenheit dans son vieil allemand) qui peut la permettre. L’homme détaché, pauvre, humble et noble, a réussi à faire le vide en soi, il est sans qualités (eigenschaften), sans ceci ou cela (sunder diz und daz). Quand elle est ainsi réduite à rien, l’âme détachée, qui ne sait rien, qui ne veut rien, qui n’a rien, ne demande rien par la prière mais commande à Dieu qui ne peut qu’entrer en elle, les deux néants s’unifiant alors : « Dans sa bonté, Dieu ne peut pas se retenir de fluer totalement dans l’homme humble, il y est contraint, il ne peut absolument pas faire autrement. L’humilité est la racine de tous les biens. »

Cette image d’un Dieu flux vient du musulman Avicenne, qu’il cite parfois (horrifiés, certains copistes de ses œuvres déguisèrent ce nom en un Vincent inconnu), de même qu’il cite aussi le philosophe juif Maïmonide.

Que l’âme pauvre puisse commander à Dieu, qui ne peut que lui obéir, est de son fait. Il avait cette foi profonde au cœur qu’en marchant sur les routes avec humilité, dans l’oubli de soi le plus pur, la porte s’ouvre devant Dieu qui ne peut qu’entrer. C’est cet enseignement qu’il proposa dans sa chère Université et qui fut repoussé (« J’ai dit à Paris, à l’École, que toutes choses seraient accomplies dans l’homme droitement humble ») avant d’être condamné par la papauté le 27 mars 1329. L’Église voulait en finir avec les dérives des Cathares, des Vaudois, des Turlupins, qui se répandaient chez les gens simples. Les franciscains furent d’ailleurs menacés à leur tour. Il publiait lui-même en vieil allemand autant qu’en latin pour atteindre le cœur de ses contemporains, et l’Église se méfiait de cette démarche.

Des rapprochements ont pu être faits avec le Tao ou le bouddhisme. Le théoricien nazi Alfred Rosenberg chercha à annexer ce grand lecteur de Maïmonide. Heidegger médita beaucoup ses écrits, qui le conduisirent à son étrange mystique païenne de l’Être.

Lui resta fidèle sa vie durant aux enseignements d’Augustin, son maître. Accablé d’affaires administratives et d’obligations de prédication, il passa son existence à marcher, sans doute jour et nuit, dans la neige ou la chaleur de l’été, traversant les forêts, bravant les bêtes sauvages et les brigands, et portant la parole aux couvents des frères et des moniales. »

https://paroissechaville.com/Maitre-Eckhart-et-son-commentaire

JC..... dit: à

SAMEDI 18 NOVEMBRE 2023, 6h59

GEOPOLITIQUE TEXTILE

Chez nos frères Sémites, le tissu devant accueillir deux Etats, dans une découpe savante, parait horriblement mité….

Bonne chance, camarades de haine !

Marie Sasseur dit: à

18/11/2023 7h08

William Boquet dit: à

On aurait même vu MC tenter de s’enchaîner à l’une d’elles …

JO-2024: des bouquinistes consternés assistent à l’enlèvement de leurs « boîtes »

Suspendue à trois mètres du sol, l’antique boîte à livres d’un bouquiniste parisien oscille doucement, arrachée du parapet du quai de Seine par un gros camion grue.
Vendredi soir, la mairie de Paris a déployé les grands moyens pour démonter quatre de ces boîtes emblématiques de la capitale, un test de faisabilité avant les Jeux olympiques.
Pour des raisons de sécurité, la préfecture de police de Paris réclame en effet le démontage de près de 600 des 900 boîtes couleur vert wagon avant la cérémonie d’ouverture du 26 juillet 2024, qui se déroulera sur le fleuve.
Devant un petit groupe de bouquinistes consternés, une vingtaine d’agents de la ville, aidés d’une entreprise de déménagement, ont passé plusieurs heures à procéder à cet enlèvement, après avoir soigneusement vidé les centaines de livres qui y étaient entassés.
Une grue a ensuite soulevé un par un ces gros rectangles de bois, souvent fragilisés par les ans et les intempéries.
Les boîtes qui ont été enlevées étaient fixées au quai depuis cinquante ans, mais les plus vieilles ont 150 ans.
« C’est comme un arrachage de dent! Tout ça pour quatre heures de cérémonie! Ce que les guerres n’ont pas réussi à faire, les JO vont y parvenir: nous faire disparaître », se désole auprès de l’AFP Michel Bouetard, secrétaire général de l’Association des bouquinistes.
« Tout cela est démesuré. Si on les retire, on ne sait jamais quand elles reviendront », avertit Jérôme Callais, président de l’association. « Mais s’ils persistent à vouloir les enlever, on ira au contentieux. »

– « Moment historique » –

Beaucoup de bouquinistes – ils sont environ 230 – n’ont aucun autre revenu. « Que vont-ils faire en cas de plusieurs semaines d’inactivité? », s’inquiète-t-il.
Quelques élus parisiens étaient venus les soutenir. « Nous sommes contre, tout cela est décidé pour pouvoir faire de la publicité sur les quais », s’énerve Corine Faugeron, présidente du groupe Les Ecologistes au Conseil de Paris.
D’autres en appellent à Emmanuel Macron. « Je l’ai rencontré quand il est passé quai des Grands Augustins mi-octobre. Il nous a dit +Je suis au courant, je vous défends, vous faites partie de Paris+. Mais il est supérieur au préfet, il peut lui dire de nous faire rester », s’écrie Francis Robert, bouquiniste depuis 43 ans.
« Pourquoi les enlever, puisque des barrières de sécurité seront posées à 1,50 mètre du quai? » renchérit une de ses collègues.
Pendant ce temps, les agents de la mairie ont réussi à hisser les boîtes dans le camion, sans dégât apparent.
« C’est un moment historique », balbutie une bouquiniste les larmes aux yeux. Un autre reste silencieux, le regard dur, rivé sur le parapet dénudé.
Vers minuit et demi, les boîtes étaient remises sur le parapet et les livres replacés à l’intérieur, comme le prévoyait l’opération.
Samedi matin, la mairie de Paris a planifié une conférence de bilan du test de démontage, qui aura pris trois heures. L’opération à grande échelle nécessitera l’appel à un prestataire.

publié le 18 novembre à 08h36, AFP

renato dit: à

L’escalier de lumière est la dernière notification reçue, depuis plus rien.

JC..... dit: à

MAIRIE DE PARIS

Je lève, pétillant, ma flûte pleine en hommage aux dirigeants municipaux de la Grande Cité pour leur décision courageuse : débarrasser définitivement les quais de ces saloperies de vieilles boites à lire, bourrées de punaises de livre.

En complément, je les encourage, dans le souci de contenter les visiteurs JO-2024, de transformer cette Notre Dame de Paris qui enlaidit la rivière, en un snack restaurant à terrasses traitées à l’amiante : on ne sait jamais, les jaloux et les fous sont partout !

Merci à notre belle Anne, tahitienne magnifique que le monde entier nous envie.

Jazzi dit: à

Elle est plus dégourdie que moi, ED !
Son blog lui assure un petit revenu grâce à la publicité…

Bloom dit: à

5e Beatle, George Martin.

«The Beatles» est un jeu de mots né de the beetles, «les scarabées», et de the beat, «le rythme». Le scarabée ayant été, selon la légende, choisi en hommage à Buddy Holly, idole de Paul McCartney et de John Lennon, dont le nom de groupe était «The Crickets».

Bloom dit: à

The Crickets = Les Grillons

MC dit: à

LangonBoquet ne connaît pas mes déplacements , ce qui lui permet d’aligner ce qu’il faut bien appeler des âneries…! MC

Bloom dit: à

La voix tremblante, Denis Charbit, professeur à l’Open University d’Israël en résidence à l’Université du Vermont, découvre la perte totale de crédit de l’État d’Israël auprès des jeunes générations américaines, hier sur I24tv…Choc énorme pour cet intellectuel opposé aux politiques de colonisation menées depuis l’assassinat de Yitzhak Rabin.

Totalement emmurés dans leur logique, il semblerait que les Israéliens n’aient pas pris la mesure de la défiance que leur politique de colonisation pouvait susciter après de populations pour qui les événements de la deuxième guerre mondiale sont aussi lointains que l’était la guerre franco-prussienne en 1950.

J J-J dit: à

@ la guerre franco-prussienne en 1950.
Tu m’étonnes que la mémoire des temps soit un brin élastique !ça te revient parfois comme un boomerangue… Bàv,

closer dit: à

25 septembre 2023, Renato. Pas d’affolement!

Samuel dit: à

Pourquoi un simple sourire avenant est plus désarmant que tous les arguments ?

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*