de Pierre Assouline

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La République des livres
Pascal Quignard s’abandonne

Pascal Quignard s’abandonne

« Abandon » est un mot qui finit bien. Quoi de plus noble que le don, le vrai, celui qui n’attend rien en retour ? Ce qui le différencie de la donation en paiement de droits de succession. Un don pur et sec. Sans contrepartie. Le cas de Pascal Quignard né à mi-chemin de l’autre siècle. Un tel geste a quelque chose de testamentaire. Lorsqu’un écrivain se retourne pour ne pas se perdre de vue, et qu’il a conscience d’avoir plus de livres derrière lui que devant lui, des livres à lire et des livres à écrire (et Quignard ferait certainement sien le mot de Borges : « Que d’autres se flattent des livres qu’ils ont écrits ; moi, je suis fier de ceux que j’ai lus »), il se sent pris par le démon de la légèreté.

Pour écrire encore, il lui faut s’alléger du fardeau de sa mémoire de papier, de tout ce qui dans et pour son œuvre a fait archive : manuscrits, lettres, documents, partitions, livres, dessins, tableaux, photos etc  Soit il succombe alors au syndrome de Kafka et se trouve un ami à qui tout remettre en lui demandant de tout détruire à défaut de l’avoir fait lui-même ; soit il le confie à une grande institution : BnF (Bibliothèque nationale), Imec (Institut mémoires de l’édition contemporaine), Académie française, Archives nationales, Bibliothèque Jacques Doucet…

« Je ne sais pourquoi ce geste universel (de l’abandon) s’est perdu, mais je sais quand. Il s’est perdu avec les héros qui aimaient tant la mort. Il s’est perdu avec le dieu monothéiste. Avant qu’il fût érotique, il était thanatique. Durant des millénaires le bras droit se relevait, se repliait sous la tête, le guerrier offrait son cou ou son cœur à la pointe du glaive ou au fer de la lance. Puis l’amoureuse son flanc, son ventre, son sexe. Puis l’extatique abandonna l’ensemble de son corps à l’intrusion du dieu. Puis l’amoureux de vin, tenant la coupe dans sa main gauche, le bras droit placé sous la nuque, se mit à perdre l’esprit dans l’ivresse et dans le chant bouleversant de la musique ».

L’auteur des Petits traités, de Tous les matins du monde, de Vie secrète, des Ombres errantes (Prix Goncourt 2002) et de tant d’autres du cycle Dernier royaume  (le onzième tome paraitra chez Grasset le 2 septembre sous le titre L’Homme aux trois lettres) loués, laurés, traduits, commentés, étudiés, a choisi la BnF : outre des raisons de personnes et d’amitié, elle était à ses yeux la seule à lui assurer que son don serait unifié, définitif et numérisé. En se délestant de son vivant, l’écrivain épargne ce souci à ceux qui lui survivront. La chronique de la vie littéraire est pleine d’histoires de famille qui tournent au vinaigre puis à l’aigre quand elles ne trouvent pas leur issue devant les tribunaux. On dit que les éditeurs, qui en ont parfois la charge, sont de bien médiocres exécuteurs testamentaires ; il est vrai qu’en l’espèce, le droit moral parait bien fragile face au droit patrimonial.

Si Pascal Quignard a touché à tous les genres et ne s’est jamais interdit une échappée ou un pas de côté, l’examen de sa bibliographie frappe en ceci que la rubrique la plus volumineuse n’est ni « roman » ni « contes » mais « Autres », laquelle contient ses livres qui échappent à tout classement. Or ce nouveau fonds, dont la BnF peut désormais s’enorgueillir parmi bien d’autres, des papyrus égyptiens aux papiers de Claude Lévi-Strauss, frappe par sa cohérence. Car, dit-il,

« …tout ce que je fais ne poursuit qu’un seul élan : les partitions de musique que je compose, les dessins ou plutôt les scrabouillages qui amorcent et concluent chacun de mes livres, les affiches des spectacles, des colloques, des films, les rushes des documentaires, bien sûr les brouillons mais aussi tous les tirages de luxe un à un de mes livres, mes tournées de performances de ténèbres, les programmes, les photos de la corneille Ba Yo et de la chouette Bubbelee avec lesquelles je joue dans l’obscurité, les présentations de mes conférences, les livrets qu’on distribue sur les fauteuils avant les concerts… »

Le moins spectaculaire n’est pas le moins enrichissant pour ceux qui le suivent de livre en livre : les classeurs contenant toutes ses lectures depuis son premier livre en 1968. Ils sont le cœur vivant de son œuvre. Lui qui aurait rêvé d’inscrire « Profession : lecteur » sur son passeport se reporte en permanence à ces milliers de pages perforées dans lesquelles il s’est fait le greffier minutieux de tout ce qu’il a lu depuis plus de cinquante ans. Comme il compte y recourir tant qu’il écrira, cet ensemble fera partie plus tard des deux éléments qui viendront compléter son don. L’autre recueil qu’il conserve encore par devers lui est une collection de dessins érotiques de Jean Rustin (1928-2013), grand artiste dont il fut l’ami :

« Pour le plaisir d’en avoir la jouissance jusqu’à l’instant de mourir » confie l’auteur du Sexe et l’effroi et de la Nuit sexuelle.

 Et les manuscrits de ses dizaines de livres ? Il n’y en a qu’un, celui de Boutès (2008), le seul qui ait survécu parce qu’une chercheuse, Irène Fenoglio, s’en était emparée pour les besoins d’une étude génétique sur ses trente-deux versions successives, avec chutes et dessins… Tous les autres, il les a détruits aussitôt après leur publication. Juste pour faire le vide en lui. Faire place nette.

« Je brûle afin que chaque oeuvre neuve arrive de nulle part. En sorte que chaque matin elle arrive dans son aube » dit-il.

L’origine enfouie de son geste de l’abandon est à chercher du côté d’une Vénus enivrée et endormie peinte par Nicolas Poussin, et dont on retrouvera l’écho et les reflets dans le catalogue aux éditions Hermann, sous la direction de Mireille Calle-Gruber, et l’exposition que la BnF consacrera au don de l’écrivain à la rentrée, « si les conditions sanitaires le permettent »…

Mais pourquoi cette figure serait-elle celle de la déesse Vénus enivrée ? Quel est le mythe auquel cette image fabuleuse dans ce cas référerait ? Quel nom faut-il donner à cette jeune femme dont le geste de l’abandon est sans doute le plus beau de tous ceux que j’ai vus et que je me suis efforcé de rassembler ?

(Nicolas Poussin, Vénus endormie avec l’amour, vers 1626, Gemäldegalerie Alte Meister, Dresde ; « Pascal Quignard » photo  Bertrand Desprez ; Jean Rustin, Femme sur un drap bleu, 1986, Acrylique sur toile, Fondation Francès)

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commentaires

1 117 Réponses pour Pascal Quignard s’abandonne

bouguereau dit: à

Moi je le préfère avec endive et sauce blanche.

si t’es mangeur (se) ou mangé..démon ou pas la distribution des roles dans ce cas de figure c’est himportant qu’il dirait meussieu courte..

Bloom dit: à

Le Visconti est un chef-d’oeuvre. Le vice qu’on tait est un handicap. Le vice qu’on tue est un honneur.
‘tain de déclinaisons: perdu, perdi, perda, perdo, comme disait…?

Pablo75 dit: à

« Les mecs, dans leur ensemble fraternel sont horribles. […] Mon père n’était pas horrible.
Mes deux compagnons non plus. »
rose dit:

Tous les mecs sont horribles sauf les 3 que tu connais le mieux. Tous les autres, que tu connais pas, sont forcément horribles.

Et après tu donnes 7 exemples que dans ton esprit prouvent ton affirmation, dont 4 de viols pédophiles.

Donc pour toi tous les mecs sont des obsédés sexuels dans le meilleur des cas et des violeurs et des pédophiles dans le pire.

Par contre, les femmes sont toutes des saintes,
les nymphomanes sont une invention des hommes et les femmes qui utilisent leur cul pour profiter des hommes ça n’existe pas (tiens aujourd’hui la presse espagnole raconte que l’une des maîtresses du roi Juan Carlos a déclaré au juge qu’elle avait reçu de lui 65 millions d’euros, comme cadeau, parce qu’elle était gentille).

Comme analyse sociologique sur les hommes et les femmes et leur sexualité, on a vu mieux…

Quant à ceux qui « fréquentent les clubs libertins douze années nourris comme chez Alain Ducasse », une question: s’ils avaient été nourris à la pizza de supermarché, leur taux d’ « horribilité » aurait changé?

Je te croyais plus intelligente, Rose. Plus fine, plus lucide. Maintenant tes conneries sur Chaloux et l’alcool se comprennent mieux. Pure haine des mecs.

Je plains les hommes que tu as croisé dans ta vie. Vraiment…

bouguereau dit: à

et je ne vois pas pourquoi Apulée, auteur du très ésotérique et païen Ane d’Or, serait malgré lui ici influencé par une sorte d’aura chrétienne

..le contraire est trés possibe meussieu courte..tout simplement -apostolique et romaine- bien des « valeurs » spirituelles de la chrétienté ont été -dabord- romaines..jusque dans des détails tout a fait stupéfiant

Pablo75 dit: à

En fait, Rose, quand elle codait sa pensée en pleine nuit avec des formules d’agent secret, elle donnait le change, elle paraissait très intelligente et lucide. Mais quand elle s’est mise à dire ce qu’elle pense de façon claire, là, on voit le pot aux roses: c’est une collectionneuse de Perles !!! Une concurrente pour le Pétomane !!

C’est un hasard que les deux soient de Marseille, la ville la plus cinglée de France? (Question subsidiaire: c’est le Mistral qui « pétomanise » l’esprit des Marseillais?).

bouguereau dit: à

Maintenant tes conneries sur Chaloux et l’alcool se comprennent mieux. Pure haine des mecs

vdqs?..huuuuurkurkurkurkurkurk!

et alii dit: à

et on n’a TOUJOURS PAS DE MINISTRES?
les erdéliens ne vont pas faire des offres de service?

lmd dit: à

Marseille, la ville la plus cinglée de France? Des faits ?

👀 dit: à

Je pense que je vais être ministre dabs quelques instants.

Pablo75 dit: à

Des faits ?
lmd dit:

Avant de demander quelque chose, d’exiger une réponse, on se présente. Pour qu’on sache à qui on répond, avec qui on parle. Tu es un homme? Une femme? De quel âge? Qui habite où? Qui fait quoi dans la vie?

Comme ça tu pourras éviter qu’on te réponde (mon premier réflexe): y a ti ¿quién te dio vela en este entierro?

Pablo75 dit: à

Je pense que je vais être ministre dabs quelques instants.
👀 dit: à

Ministre Délégué aux Ménus du Soir…

lmd dit: à

Mais pourquoi serait-ce à moi que s’adresserait cette réponse ? Personnellement je m’en fiche un peu .

Bloom dit: à

Je plains les hommes que tu as croisé dans ta vie

Cette façon de prendre à témoin des gens qu’on ne connait pas a quelque chose d’abject.

rose dit: à

Cette façon de prendre à témoin des gens qu’on ne connait pas a quelque chose d’abject.
En les tutoyant pour parfaire le tableau.

Je le laisse à ses fantasmes.

Marie Sasseur dit: à

Fautes vos jeux, rien ne va plus ; après le garagiste, dernier en date, la culture retrouvera-t-elle un vrai ministre ?

Marie Sasseur dit: à

Double faute…
Enfin, dégagé aussi le sinistre de l’intérieur, le dragueur lourd des clubs de la nite, échangistes ou pas.

Marie Sasseur dit: à

Quelke grande perte aujourd’hui.

Comme- un peu , comme Quignard, car il l’a lui perdue en faisant sa mue, au point d’en faire une fixette, – LE maestro considérait la voix humaine comme le plus bel instrument de musique ( et de bruitage…) avec l’orgue.

-Qual è il suo suono preferito?

-Uno è molto personale, ed è l’organo a canne, ce n’era uno grandioso che sentivo quando andavo in chiesa da bambino. L’altro è la voce umana. Può fare delle cose incrediIIIibili.

Incroyable, vraiment.

https://youtu.be/rKFpaCMRWgU

Pablo75 dit: à

Ce crétin de Bloom on le traite de « horrible », on l’assimile à des violeurs, et il est content, il applaudit celle qui l’insulte.

Encore un maso comme le Pétomane, qui aime les femmes qui le haïssent…

Marie Sasseur dit: à

Faites vos jeux ..

Me Dupont-Moretti, ministre de la justice.

Roselyne, a la culture.

Le garagiste retourne au commerce.. 😝

Marie Sasseur dit: à

Ce qui est le plus audacieux , c’est Acquitattor a la Justice. Excellent.

rose dit: à

L’avocat Eric Dupond-Moretti est nommé ministre justice, en remplacement de Nicole Belloubet

😳

Bloom dit: à

Mais qu’il est lourd, mon dieu, relou comme Berliet d’occasion…

Pablo75 dit: à

Je le laisse à ses fantasmes.
rose dit:

C’est nous, les hommes du blog, sauf le Gros Maso de Bloom-Bloom, qui te laissons à tes fantasmes sur nous, que je te rappelle:

« Les mecs, dans leur ensemble fraternel sont horribles.
Celui qui viole la fille de sa compagne lorsqu’elle part faire sa tournée.
Le voisin qui viole les deux filles de sa.voisine lorsqu’elle attaque ses nuits.
Le père qui masturbe ses trois filles enfants pour les priver définitivement de jouir.
Cui qui se fait bouffer une tranche de jambon froid sur sa bite chaude dans les chiottes carrelées.
Cui qui se branle en regardant une prifessionnelle sur son écran.
Cui qui couche avec la baby sitter.
Cui qui fréquente les clubs libertins douze années nourri comme chez Alain Ducasse et mieux encore. »

rose dit: à

Pablo 75

Contrairement à vous je ne véhiculenpas mes fantasmes, mais des réalités tangibles.
Le sexe et les froids.

Marie Sasseur dit: à

Enfin, moi je garderai le souvenir de ce jour, où la musique est en deuil.
C’est comme quelqu’un qui part en emportant une partie de vos souvenirs.

Avant que cette musique ne devienne, par la très grande rouerie des publicards, une musique de pâté pour chiens, elle a accompagné de merveilleuses aventures, qui sentent encore la neige qui fond, au mois d’avril, sous les pins cembro, et dans la bruyère d’hiver.

https://youtu.be/Jjq6e1LJHxw

et alii dit: à

Mais qu’il est lourd, mon dieu, relou comme Berliet d’occasion…d’accord, mais le « démon de la légèreté « est-il grec?erdéliennement compatible?
maintenant, j’en doute

Bloom dit: à

J’suis lourd…
Encore plus lourd que tout à l’heure
J’ai des pombes en béton
Et une cravate en plomb!

Ze fun I have. Merci, rose!
Vive le vallon des Auffes, le plateau de Valensole & les colonnes de Riez!

Bloom dit: à

des pomPes en béton.

Marie Sasseur dit: à

Des pompes en béton… d’autres ont des semelles de vent, ça fait toute la différence.

rose dit: à

Gérald Darmanin est en effet promu au sein du gouvernement au moment où la justice a ordonné la reprise des investigations concernant une accusation de viol, harcèlement sexuel et abus de confiance qu’il aurait commis en 2009. 

Lu dans le Monde.fr

Un justiciable nommé ministre de l’Intérieur.
Un effet de manche nommé à la Justice.
Ça promet.

Marie Sasseur dit: à

@Ça promet.

Des heures sombres au comico, pour toutes celles qui n’avaient déjà plus trop envie de se mettre à table.

Bloom dit: à

All That Jazz,
Much Ado About Nothing,
Not Much of A Muchness,

As You Like It…

Patrice Charoulet dit: à

MURIEL PENICAUD ET NICOLE BELLOUBET VONT- ENFIN !- AVOIR DU TEMPS POUR ALLER CHEZ LE COIFFEUR

Marie Sasseur dit: à

Sibeth Ndiaye aussi, Charoulet.

Marie Sasseur dit: à

C’est sûr que les macronniennes et l’élégance française, c’est quand même une contre-performance. Coiffées et fagotees comme pour aller traire.

Pablo75 dit: à

Un justiciable nommé ministre de l’Intérieur.
rose dit:

Pour Rose tout justiciable est forcément coupable, s’il est un homme. Aucun homme a le droit d’être présumé innocent, puisqu’ils sont tous « horribles » selon elle, sauf son père et ses deux compagnons – et les soumis qui aiment être haïs par les femmes, comme Bloom-Bloom.

Jazzi dit: à

Pablo et rose, c’est la passione !
Sortez les castagnettes !
Olé !

Pablo75 dit: à

Contrairement à vous je ne véhicule pas mes fantasmes, mais des réalités tangibles.
rose dit:

Tu as la preuve tangible que la moitié de l’humanité moins ton père et tes deux compagnons sont des violeurs et des obsédés sexuels?

Elle est où?

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

L’histoire de Clopine a rendu dingue Rose. Toute sa haine des hommes est ressortie. Il faut relire ses conseils à Clopine pour qu’elle se venge de son compagnon. Ils montrent un degré de haine des mecs qui fait froid dans le dos.

Et elle croit, la naïve, que cela ne se voit pas.

Et elle veut nous faire croire que cela n’a rien à voir avec son père, ses deux compagnons et son frère…

Jazzi dit: à

@Christiane

Il ne m’appartient pas de demander à Clopine de me transmettre sa correspondance privée !
Je ne sais pas ce que tu lui as dit concernant son texte.
Mais maintenant je comprends mieux la colère irrationnelle qui l’animait à propos de votre conflit sur de soit disant scènes sexuelles avec Clopin dont elle aurait parlé…

l’ombelle des talus dit: à

Bloom dit: àans
In Dreams Begin Responsibilities

Vous auriez lu Delmore Schwarz? Sa poésie aussi? Et Humboldt’s Gift, I presume.

Vous supposez juste. Je suis présumée coupable de résistance abusive envers Bellow dont le quarto me toise au réveil chaque matin que Dieu fait dans la pile à lire depuis … Impardonnable.

Jazzi dit: à

La vengeance est mauvaise conseillère, Pablo75.
rose s’égare un peu.
J’ai conseillé à Clopine, lorsque nous avons parlé trois heures durant à la terrasse du Chalet du Lac dans le parc des Buttes-Chaumont l’autre jour, d’écrire sans esprit de vengeance…
Et ce n’est pas ce que j’ai perçu en lisant son manuscrit.
Chaloux, le premier lecteur de Clopine a lui avoir répondu, pourrait nous le confirmer ou l’infirmer ?

Marie Sasseur dit: à

Ça doit pas valoir tripette, le club de clopin. Pourquoi la brayonne serait jalouse d’une candidate à l’amour est dans le pré, un peu comme elle, bas de plafond qui en pince pour un lourdaud ?

Le cocufiage, c’est quand même de l’art noble des Lumières !

« Bien sûr, on pratique aussi l’adultère au sein des classes populaires, mais le vrai libertinage reste l’apanage des grands aristocrates qui vivent à la cour, à commencer par le roi qui a de nombreuses maîtresses. C’est un art, une esthétique de la séduction. Le libertin a recours à un langage spécifique, le “persiflage” : il poursuit celle qu’il désire avec une ironie constante. Son but est de subjuguer la femme, c’est de là qu’il tire sa jouissance. »

Bloom dit: à

Bellow dont le quarto me toise au réveil chaque matin que Dieu fait dans la pile à lire depuis … Impardonnable.

Heureuse personne pour qui le grand Saul de Westmount reste à découvrir!
Au millénaire dernier, ma maitrise sur le roman juif américain m’a forcé à (presque) tout lire, de Dangling Man au Dean’s December. Voyage que je referais bien à rebours…
Si j’avais un conseil: The best way to resist temptation is to yield to it, disait le Wilde Oscar, jamais avare de vigoureux paradoxes…

rose dit: à

Jazzi dit: à
(…)
rose s’égare un peu.
J’ai conseillé à Clopine, lorsque nous avons parlé trois heures durant à la terrasse du Chalet du Lac dans le parc des Buttes-Chaumont l’autre jour, d’écrire sans esprit de vengeance…

ben vous êtes drôle ; je l’ai lu moi aussi le manuscrit ; je suis remontée à bloc. Sans esprit de vengeance dans les jours qui suivent : mais faut à tout le moins trois ans avant que de se calmer et quinze ans avant que de pardonner.
Cette année (ces jours-ci, mon ex. a quatre vingt ans et je biche.)

rose dit: à

Gérald Darmanin est en effet promu au sein du gouvernement au moment où la justice a ordonné la reprise des investigations concernant une accusation de viol, harcèlement sexuel et abus de confiance qu’il aurait commis en 2009.

Lu dans le Monde.fr

Un justiciable nommé ministre de l’Intérieur.
Un effet de manche nommé à la Justice.
Ça promet.

Ah, mais, un pourra aider l’autre à sa défense. Oh ben oui.

Jazzi dit: à

« je l’ai lu moi aussi le manuscrit »

On peut savoir ce que vous en avez pensé, rose ?

Bloom dit: à

@louvrepourtous:
1 July 1923 | French Jew Bertrand Nissim Reinach was born in Paris.
On 20 November 1943 he was deported from Drancy to #Auschwitz. Registered in the camp on 23 November.
No. 164604
He perished in the camp on 21 March 1944.

‘Le Dernier des Camondo’ est pour moi le chef- d’oeuvre de notre hôte, sans flagornerie aucune.
Le fait qu’il existe un musée éponyme, où j’avais emmené mon ami Andrew, échappé de Budapest, y est aussi pour quelque chose: la substance du livre s’incarne en partie dans le lieu.

Marie Sasseur dit: à

C’est assez comique de lire la tafiole , qui qui tire toujours ce blog vers le bas.

On s’en tape un peu de clopin clopine et clopinou dans une boite echangiste pour pauvres.

En outre, je trouve que Passou devrait être moins léger dans ses  » sujets ».
Le cul, ça va bien un moment.

Marie Sasseur dit: à

@‘Le Dernier des Camondo’ est pour moi le chef- d’oeuvre de notre hôte

Ah ben non, pas pour moi.

Je dirais  » état limite », mais avec quelques réserves.

👀 dit: à

Ce soir j’ai mangé du Bourguignon et du bon fromage Denormandue que j’avais rapporté dans mon Pannier.

Jean Langoncet dit: à

@la substance du livre s’incarne en partie dans le lieu.

Ah, les cabines téléphoniques

christiane dit: à

Jazzi dit
à Chaloux : « J’ai conseillé à Clopine, d’écrire sans esprit de vengeance… Et ce n’est pas ce que j’ai perçu en lisant son manuscrit.
à C. « Il ne m’appartient pas de demander à Clopine de me transmettre sa correspondance privée ! Je ne sais pas ce que tu lui as dit concernant son texte. Mais maintenant je comprends mieux la colère irrationnelle qui l’animait à propos de votre conflit sur de soit disant scènes sexuelles avec Clopin dont elle aurait parlé… »

Tu te trompes Jazzi. Elle a tellement utilisé cette remarque (amplifiée par elle) pour se dédouaner de sa « colère irrationnelle », que vous avez tous omis, toi, elle et d’autres que ses remarques, plus que désobligeantes, ont commencé dès que je suis apparue sur ce blog en 2008. Il y a autre chose, tapi dans son inconscient, effectivement « irrationnel »… même si les deux remarques (portant sur son texte de défloration et sur une remarque lue sur son blog, concernant des jeux sexuels), ont mis Clopine dans un état second que l’on comprend mieux pour qui a lu tout son texte, surtout le début.
Pour le mail, il n’avait rien de privé. C’était une critique de son texte. Ce qu’elle demandait que je n’avais pas mis ici puisque ce texte (en entier) n’était pas publié sur la RDL.
Le voici pour éviter tout contresens :

C. « Bonjour M./Clopine,
Merci de l’envoi.
Comme les évènements se bousculent… Donc, nous avions eu sur la RDL une partie de ce manuscrit. Pourquoi le besoin que cet écrit soit public ? (le premier, et ce manuscrit offert à tout lecteur de la RDL vous le demandant).
Une première impression : ce texte (recherche de soi) est pour les familiers de la RDL une élucidation car nous avions eu la partie fantasmée du bonheur avec Clopin et Clopinou.
Les deux écritures me paraissent inséparables, dépendantes l’une de l’autre, une dualité inévitable. (passage du « elle » au « Je » plus on approche du présent.) Peut-être que dans un jeu de vice versa pourraient-elles coexister dans le même livre avec une distinction au niveau des caractères d’imprimerie comme dans « W ou le souvenir d’enfance » de G.Perec. Un récit de fiction, rédigé en italique, et intercalé avec le récit plus proche de la réalité, une machine littéraire atypique pour une écriture autobiographique qui revient sur un passé mettant dos à dos la fiction et le réel ou les entrelaçant.
Si c’est à usage personnel ou pour expliquer à un ami, la dernière partie se conçoit. Si c’est un texte qui a vocation à être œuvre – et il le peut-, toute la dernière partie est inutile (comptes-rendus avec les assistances sociales… Lettre à la maîtresse de Clopin… Recherche d’un compromis pour trouver un appart à Rouen…), par contre, il manque l’enfance (déjà présente dans certains de vos écrits).
Peut-être interroger davantage la naissance du désir, la façon dont vous l’avez vécu, les expériences précédentes.
Le début est éblouissant : l’arrivée dans cette longère inhospitalière – le départ de « l’autre » – l’attitude de Clopin. et surtout la façon dont vous réagissiez à tout cela.
Il faudrait que vous écriviez ce que vous ressentiez en écrivant cette vie fantasmée – pas tout à fait – sur le blog. C’est vous l’essentiel.
Clopin et sa vie sexuelle, comme lectrice, je m’en fous royalement, mais vous, vacillant entre humiliation et provocation, entre l’aveu et l’ironie, c’est passionnant. Comme si vous étiez divisée.
Il manque des clés pour comprendre ces concessions humiliantes (influence d’une éducation catholique ? Honte ou culpabilité du renvoi de la première femme ? peur de l’opinion des autres ? lâcheté pour l’affronter ?…)
L’érotisme, le vôtre est analysé comme un tourment. En a-t-il toujours était ainsi ?
Ce goût de l’introspection comme un goût de vous contempler puis de l’être par les autres (lecteurs), d’être justifiée.
Pourquoi vous dévoiler ainsi dans ce récit bien écrit et architecturé ? Émouvant souvent mais sans recours au pathos.
Ce risque de dire toute la vérité, du moins votre vérité,(Clopin reste indéchiffrable) comme si, écrivant, vous retourniez le couteau dans la plaie.
Épreuve surmontée en partie mais non encore complètement élucidée ni dénouée… (Tout n’est pas la « faute » de l’autre dans cette relation sado-masochiste…)
L’absence totale des deux enfants : le fils de l’autre et Clopinou, m’a surprise.
Bon voilà, quelques impressions. Je vais bien sûr détruire, après l’avoir relu, ce texte qui vous appartient. »

M.B. a répondu :
« Merci de votre avis. je pense que ce texte pourrait servir à d’autres femmes abusées, et qu’il peut remettre une perspective « féministe » dans les pratiques actuelles de notre société… Mais bon ! J’ai toujours « mis sous le boisseau » mes écritures, et j’ai dorénavant envie de les mettre en avant : pourquoi pas, au fait ?
En tout cas, le texte se lit vite : et c’est une qualité, à mes yeux ! »

C. répond :
« Trop simple, M. Abusée ? vraiment ? Mais vous l’avez supposé, non ? Et votre contrat de vie avec cet homme était loin d’être clair… Demandez-vous pour quelles raisons vous avez attendu cette révélation pour réagir ?
Chaque femme découvrant que son mari la trompe vit une expérience différente. Chaque histoire de couple est différente. L’adultère, un bien grand mot qui n’est plus d’époque… »

Chaloux dit: à

@Jazzi.
1) J’ai trouvé le texte de Clopine d’un ton très juste. Pourquoi cacher ou éviter le ressentiment, s’il existe? C’est une pensée vraiment ridicule et néfaste. Que resterait-il de Juvénal, de Saint-Simon, de Chateaubriand, de Flaubert, des Goncourt (et même de Proust, en un sens), de Céline, s’ils avaient bridé leur ressentiment? La plus grande littérature est celle du ressentiment. Les pisse-vinaigre qui se brident (ou n’ont rien à brider) pour ne pas déplaire, sont oubliés dès qu’ils ont un pied au Père-Lachaise. Que Clopine écrive comme elle l’entend, c’est le cas de le dire. Et comme elle est. Elle y est à son meilleur.

Morricone est un génie.

rose dit: à

<emLe nom d’Adjani s’y étale en grand, juste au-dessus de son visage de porcelaine posé sur son coude, regard piscine mais mélancolique d’une star recroquevillée dans un petit pull blanc. Et ce titre : « La rupture avec Jean-Michel Jarre », puis : « J’y ai cru et il m’a trompée ». Les orgues nuptiales virent au requiem. Tsunami sentimental. Implosion du couple « mythique », « magique ».

Isabelle, notre Isabelle, notre Ondine, notre Agnès, notre Adèle H., notre Marie Stuart, révèle être cocue ! Jean-Michel, notre Français le plus célèbre du monde, notre Oxygène, ce musicien aux concerts mégapolistiques, un vilain, un goujat, un lâche ! Stupéfaction. Déception. En quoi croire après cela ? En la capacité d’une femme à gérer son image et sa réputation, assurément. On ne la verra pas victime, humiliée par un fâcheux à la face du monde. Reine Margot, elle fut. Reine, elle doit rester. Dans l’œil de ses admirateurs, comme dans celui des producteurs. Celle qui a toujours argué de sa discrétion, de sa pudeur quasi maladive, héritage de l’éducation sévère de son père kabyle, celle qui n’a eu de cesse de contrôler le moindre de ses clichés et de ses propos, ou d’attaquer en justice pour non-respect de sa vie privée, a bien préparé son petit 14-Juillet sentimental avant l’heure. Que ça pète, que ça blesse et que cela surprenne tout le monde !

in Gala août 2015

et jean michel jarre qui après s’être abandonné à Isabelle Adjani l’abandonne. Horrible réalité tangible.

rose dit: à

Le nom d’Adjani s’y étale en grand, juste au-dessus de son visage de porcelaine posé sur son coude, regard piscine mais mélancolique d’une star recroquevillée dans un petit pull blanc. Et ce titre : « La rupture avec Jean-Michel Jarre », puis : « J’y ai cru et il m’a trompée ». Les orgues nuptiales virent au requiem. Tsunami sentimental. Implosion du couple « mythique », « magique ».

Isabelle, notre Isabelle, notre Ondine, notre Agnès, notre Adèle H., notre Marie Stuart, révèle être cocue ! Jean-Michel, notre Français le plus célèbre du monde, notre Oxygène, ce musicien aux concerts mégapolistiques, un vilain, un goujat, un lâche ! Stupéfaction. Déception. En quoi croire après cela ? En la capacité d’une femme à gérer son image et sa réputation, assurément. On ne la verra pas victime, humiliée par un fâcheux à la face du monde. Reine Margot, elle fut. Reine, elle doit rester. Dans l’œil de ses admirateurs, comme dans celui des producteurs. Celle qui a toujours argué de sa discrétion, de sa pudeur quasi maladive, héritage de l’éducation sévère de son père kabyle, celle qui n’a eu de cesse de contrôler le moindre de ses clichés et de ses propos, ou d’attaquer en justice pour non-respect de sa vie privée, a bien préparé son petit 14-Juillet sentimental avant l’heure. Que ça pète, que ça blesse et que cela surprenne tout le monde !

in Gala août 2015

Chaloux dit: à

‘Le Dernier des Camondo’ est pour moi le chef- d’oeuvre de notre hôte

C’est le chef-d’oeuvre d’un homme qui n’aurait pas écrit de chef-d’oeuvre.

(On dirait du Feydeau, à propos du couplet d’une homme d’esprit qui l’aurait écrire par un autre…).

Hurkhurkhurk!

rose dit: à

jazzi

chui sous le choc ; l’ai lu hier. Je réfléchis. J’le dirai demain, c’est un boomerang son texte. Suis impactée.

Marie Sasseur dit: à

« Lettre à la maîtresse de Clopin… »
On ne voit pas très bien où ce feuilleton d’été ,clopin au bordel et la brayonne qui le piste, va mener la rdl, lol.

Marie Sasseur dit: à

« Suis impactée », la rosse.
😁

Chaloux dit: à

Et même compactée?

christiane dit: à

Bloom dit:
‘Le Dernier des Camondo’ est pour moi le chef- d’œuvre de notre hôte, sans flagornerie aucune.
Le fait qu’il existe un musée éponyme, où j’avais emmené mon ami Andrew, échappé de Budapest, y est aussi pour quelque chose: la substance du livre s’incarne en partie dans le lieu. »

J’ai ressenti le même choc en liant le livre et le lieu, surtout avec cette plaque-mémoire qui nous accueille sous le porche :
https://www.alamyimages.fr/plaque-a-l-entree-du-musee-nissim-de-camondo-paris-france-image64904820.html

Marie Sasseur dit: à

La rosse compactée, oui. Bibine et cachetons.

Marie Sasseur dit: à

Dans la famille Camondo, ils sont tous morts, sans descendant. C’est ce qui a plu au croque- mort de la rdl.

Marie Sasseur dit: à

Je n’ai pas besoin d’un perroquet.

christiane dit: à

Pablo75 dit: « L’histoire de Clopine a rendu dingue Rose. Toute sa haine des hommes est ressortie. Il faut relire ses conseils à Clopine pour qu’elle se venge de son compagnon. Ils montrent un degré de haine des mecs qui fait froid dans le dos. »

Oui, j’ai eu aussi cette impression en lisant les autres posts.

Jazzi dit: à

Chaloux, bien sûr, la colère, le ressentiment doivent s’exprimer et Clopine hurle son désarroi. Mais elle devait éviter l’écueil du règlement de compte… ce que son texte n’est pas.

rose dit: à

Bah, j’ai lu christiane répondant à Clopine ; je commence ce soir.

En vrac, pardon, Clopine, jfais du mieux comme je peux.

Sur le plan sociologique ; ai du mal à comprendre comment une femme émancipée peut s’en remettre à la sécurité matérielle garantie par un homme/ mari. Il est vrai que j’assiste in situ au désastre occasionné par ce type de comportement, ma mère en étant la victime expiatoire. Cela n’arrange pas mon jugement.

Je comprends très bien que les deux garçons, adultes aujourd’hui n’interviennent pas et n’apparaissent pas. Les laisser en dehors de l’histoire de leurs parents.

Ai pensé, en jugeant, ô la vilaine ! que Clopine en choisissant Jules plutôt que Jim l’avait pas fait le bon choix ; surtout quand Jim reconnait à l’oreille, absolue, Berlioz, du fond de sa mémoire abimée (cela le fait trop souffrir et il ne s’est jamais plaint car il a laissé l’autre libre ; à son détriment à lui).

J’m beaucoup l’alternance et j’aime beaucoup le style : alternance de gémissements et de hargne et le style vif et percutant. J’aime beaucoup aussi les passages en gras informatifs et précis, détaillés sur le modus vivendi des séances libertines chez josé et marie chantal.

J’crois bien que Clopine va s’en sortir et ne pas perdre grand chose ; ça m’fout les boules du coup d’avoir eu autant de chagrin. Pffff. Bagatelles pour un champion.

A priori 1500 euros par mois c’est pas si mal ; par contre 1200 euros d’économies c’est bien peu. Fallait vous mettre un oursin dans la poche, Clopine.

Demain, je détaillerai.

Chaloux dit: à

fait écrire par un autre…

christiane dit: à

rose dit: « L’avocat rose dit: à

L’avocat Eric Dupond-Moretti est nommé ministre justice, en remplacement de Nicole Belloubet, en remplacement de Nicole Belloubet »

L’arrivée de ce ténor du barreau, redouté des cours d’assises, est une des surprises du nouveau gouvernement….

Chaloux dit: à

Jazzi, je trouve ton principe débile. Il faut régler les comptes qui sont à régler.

renato dit: à

Une qui dit que tous les hommes moins son père et ses deux compagnons sont des violeurs et des obsédés sexuels, c’est l’équivalent feminin d’un qui dit que toutes les femmes sont des putes sauf sa mère et ses sœurs…

rose dit: à

Bon choix.

J’ai coupé. Sirupeux. Voudriez-vous pas que l’on pleure ?
Sursum corda.

l’ombelle des talus dit: à

renato dit: à
Une qui dit que tous les hommes moins son père et ses deux compagnons sont des violeurs et des obsédés sexuels, c’est l’équivalent feminin d’un qui dit que toutes les femmes sont des putes sauf sa mère et ses sœurs…

Tous les mecs sont des putes mais on a les plus beaux. Faut casquer mon vieux !

rose dit: à

Au hasard.

https://youtu.be/FtE3hoR_Nvo

Ai coupé aussi. Tout ce flutiau dans cette espérance juvénile, vaine, coupée corut au premeir coup de queue ailleurs que dans le con d’Irène.
Trop gnan-gnan.
Remisez les violons.
Voudriez pas que nous nous arrachions les cheveux ?
Par poignées entières ?

Jazzi dit: à

« Il faut régler les comptes qui sont à régler. »

Certes, mais pas dans un texte qui se voudrait littéraire Chaloux !
Je ne faisais que répéter le conseil de Genet à Truffaut, protégé de Cocteau, à propos des « 400 coups ». Film dans lequel, via Léaud, il assassine sa propre mère…

Clopine dit: à

Rose, merci du soutien, et vous savez, sur la Rdl, on nage toujours un peu parmi des requins.

Pour adopter votre style déclaratif :

Pas du tout sûre de m’en sortir.

Erreur sur « la sécurité matérielle », le rapport à l’argent est plus nocif que cela.

Eviter les pensées qui brûlent. L’écriture rafraîchit, elle, mais on est si souvent mal lu !

Exemple, une amie me dit que je me suis sentie « salie », cite des pratiques « sales ». Vocabulaire que je n’ai JAMAIS employé, et pour cause : point de morale dans mon esprit (ni de vengeance, ni de haine), mais un jugement politique, ça oui.

Misère sexuelle de mes contemporain (e)s.

Nous sommes placées entre nos mères souffrantes et nos filles acérées. Juste la place d’un idéal, chez moi bafoué mais peut-être pas chez tout le monde ???

Petit poème express :

JE NE SUIS PAS JALOUSE (mais)

J’aurais beaucoup aimé
Emouvoir quelqu’un
Au point qu’il se propose
D’agir comme un mec bien

J’aurais beaucoup aimé
Qu’on m’estime « touchante »
« Fragile », à préserver
A l’abri des tourmentes

Ô Guillaume ! Ô Schubert !
Si l’on est mal-aimé
C’est qu’on ne sait pas plaire…

J’aurais beaucoup aimé
Qu’on cherche à m’éviter
Le moindre des orages…
Mais on me réservait
Le fracas du naufrage.

Marie Sasseur dit: à

@ »J’crois bien que Clopine va s’en sortir. »

Certainement.
Aussi bien que La rosse avec son frère qui a des relations incestueuses avec sa mère, comme elle l’a publiquement soupçonné, et son ex qui buvait comme un trou, comme elle.

Décidément, on n’a pas encore atteint le fond du glauque. La vieille foldingo divorcée, abandonnée, va peut-être vous en dire plus, pour la paix des ménages , ou la brayonne avec sa « lettre à la maitresse ».

Suspens, suspens …

Clopine dit: à

Jazzi, si j’ai « réglé des comptes », alors, j’ai raté mon coup.

Régler les comptes, il y a les avocats pour ça… Bibi, j’ai juste tenté de témoigner des souffrances terribles qu’un dévoiement égocentrique des théories hédonistes pouvait provoquer, si l’on en usait sans modération, of course.

Une autre amie m’a envoyé un tel compte rendu de lecture de mon texte : j’ai fondu en larmes (j’ai la larme facile en ce moment, certes, mais…) Un extrait de ce compte-rendu ?

Ceci :
« tes écrits me font ça, quand la lecture se termine, j’ai l’impression d’être humaine et de sortir physiquement de tes pages pour retourner vers le monde, approfondie »

. Il faut dire que cette amie a vécu peu ou prou la même chose que moi.

Et au même âge…

Saloperies de larmes, tiens.

Je me souviens d’une blague qui circulait dans mon milieu : les « soeurs de bite », et « frères de chatte ». J’espère n’avoir pas trop à expliciter, cela parle de soi-même, n’est-ce pas ?

Cela m’avait fait rire, et je m’étais dit que ce n’était pas si bête, en fait. Plutôt que la peste émotionnelle, les coups de couteau et les dépressions, pourquoi ne pas voir tout cela sur un plan « familial » ?

« Je te présente ta soeur de bite, que j’ai connue il y a x années, bibliquement, donc… »

(je n’avais pas prévu avoir si subitement une famille si nombreuse).

Bon d’accord, je sors.

Jazzi dit: à

« ou la brayonne avec sa « lettre à la maitresse ». Suspens, suspens … »

Faudra acheter le livre, Marie Sasseur !

Pablo75 dit: à

Morricone est un génie.
Chaloux dit:

Ce matin j’ai entendu dire cela sur France Info et je me suis dit: – N’importe quoi ! Si Morricone est un génie, Chostakovitch c’est quoi?

Moi c’est un compositeur qui ne m’a jamais passionné, contrairement à d’autres compositeurs de musique pour le cinéma, comme Michael Nyman ou Hans Zimmer, par exemple. Morricone a fait quelques belles musiques, mais trop classiques, et il n’avait pas un style à lui, reconnaissable.

C’est un grand compositeur du point de vue du cinéma, s’adaptant très bien aux images et créant très bien le portrait sonore d’un film. Mais en tant que compositeur pur et dur, il ne passera pas à la postérité. Il paraît que ça l’agaçait que personne parle de son oeuvre classique, ses concertos, cantates et messes, mais c’est parce que c’est de la musique pas terrible. La preuve:

Ennio Morricone: Concerto No. 3 for guitar, marimba and strings
https://www.youtube.com/watch?v=XrzNQti2rxc

rose dit: à

Un homme qui largue une femme de sale manièrz c’est une tourmznte qui se crée.
Pour Clopine. ✊

renato dit: à

@Faut casquer mon vieux !

Si casquer vaut payer déjà seulement l’idée ça refroidit, mieux vaut donc s’abstenir.

Cela dit, j’ai même connu une folle pour qui, sauf elle, toutes les femmes étaient des putes, même sa mère, et tous les hommes etaient des porcs sauf son mari qui était un porc doublé d’un gorille — jamais compris pourquoi ce primate —.

rose dit: à

de mauvaise manière ; j’enlève le sale. Mal nommé.

Bafouée aussi. Rompue aussi.

rose dit: à

marie sasseur qui s’identifie.
Comique.

rose dit: à

Brefle.
J’reviens demain.
Clopine,j’aime bien votre ton.

Jazzi dit: à

« Un homme qui largue une femme de sale manière »

C’est Clopine qui est partie, rose…
Clopin a voulu jouer Jules et Jim à l’envers : Clopine et Katy.
Le problème c’est que dans le film, Jeanne couche avec les deux.
Pas dans le manuscrit…

Jazzi dit: à

« j’ai même connu une folle »

Elle n’était pas un peu frigide, renato.
Ma mère disait à peu près la même chose des hommes et devait en penser de même pour les femmes mais ne le disait pas.

Le mari de votre folle devait être gras et poilu…

Clopine dit: à

Et que, Jazzi, dans le film comme dans le livre, il n’y a pas de « non-dit », pas de secret entre les trois, et une amitié commune.

Donc, point de Jules et Jim à l’horizon, mais une petite histoire si banale de mensonge, de lâcheté et de conformisme qu’on a peine à croire que tout le théâtre de boulevard ne marche qu’avec ce genre de trame…Soupir.

Pablo75 dit: à

Aujourd’hui j’ai écouté une vingtaine de fois à la suite, à fond (avec des écouteurs), les yeux fermés, ce Prélude BWV 566 pour orgue de Bach (qui avait 20-22 ans quand il l’a composé) dans l’interprétation magistrale (et unique) de Marie-Madeleine Duruflé, que je connais depuis 20 ans au moins et que j’ai entendu des centaines de fois.

Et pourtant, et comme à chaque fois que je répète l’expérience, cela m’a fait « planer » comme s’il s’agissait d’une drogue dure.

Quelqu’un découvrira un jour le secret de la PUISSANCE de la musique de Bach?

Jazzi dit: à

« cela m’a fait « planer » comme s’il s’agissait d’une drogue dure. »

Tu peux y aller, c’est de la bonne, Pablo75 !
Plutôt douce que dure ?
La fugue est joyeuse, glorieuse, et s’envole, et nous avec, jusqu’aux… cieux !
De quoi nous convertir tous au christianisme ?

Bloom dit: à

Allez, direction l’hémisphère sud, la province du Cap oriental,et Amazwi (‘voix’ en zoulou) le musée de la littérature sud-africaine sis à Grahamstown, qui consacre ces jours-ci une exposition à John Coetzee à l’occasion de son quatre-vingtième anniversaire. Une fois arrivé sur site,cliquer sur View Work & la visite virtuelle peut commencer.
Enjoy!
https://nationalartsfestival.co.za/show/scenes-from-the-south/
Le film sur le rapport intime qu’entretient John Coetzee avec le sud-ouest de la France par le truchement de la petite reine devrait bientôt sortir. On croise les doigts, pas les pinceaux, sinon c’est la chute assurée…= Small Man

renato dit: à

Nous ne sommes pas plusieurs, ai seulement commis une erreur de frappe et le robot n’a rien vu !

Bloom dit: à

Pesoin d’un pon polder ?

Direction l’hémisphère sud, la province du Cap oriental, et Amazwi (‘voix’ en zoulou) le musée de la littérature sud-africaine sis à Grahamstown, qui consacre une exposition à John Coetzee pour ses 80 ans. Une fois sur site, cliquer sur View Work & commencer la virtuelle visite.

https://nationalartsfestival.co.za/show/scenes-from-the-south/

Des extraits de ‘Roads of France’, le film sur le rapport intime qu’entretient le prix Nobel sud-africain avec le sud-ouest de la France par petite reine interposée, figurent dans l’installation ‘Roads’
Enjoy !

Patrice Charoulet dit: à

UNE COLOSSALE DIVERSION

Pas un seul Français n’ ignorera que le ministre de la Justice est désormais l’illustrissime avocat Eric Dupond-Moretti. Même celui qui ne s’intéresse qu’au foot, au PMU, et qui ne lit aucun journal.
Que des syndicats de magistrats considèrent que cette désignation est une déclaration de guerre est un peu ennuyeux, mais ils n’iront pas jusqu’à déclencher des grèves. D’ailleurs, il suffira d’attendre un peu pour que le caractère impulsif, volcanique et sanguin d’Acquittator fasse son œuvre, pour que ce ministre inattendu retourne dans les prétoires et faire ce qu’il sait faire : plaider en cour d’assises. On lui trouvera , après son départ, un remplaçant
sans peine. Pourquoi diable l’a-t-on choisi ?
Essentiellement, pour provoquer 90% des commentaires. Il s’agit d’une colossale diversion . Plus on parlera de Dupond-Moretti, moins on parlera du phénomène politique majeur. La désignation par le Président de Nicolas Revel comme dircab du nouveau Premier ministre. Ce dernier , trop content de la promotion, n’aurait pas osé refuser ce directeur de cabinet. Edouard Philippe
avait refusé en prenant un homme de confiance de ses amis pour ce poste capital.
Que signifie cette désignation de dircab ? Le phagocytage absolu
de Matignon par l’Elysée. Pas la moindre décision politique ne le chef du gouvernement , désormais, ne sera prise sans le feu vert du Président. Quand le Président Macron était au Secrétariat de l’Elysée, du temps de Hollande, Revel et Macron étaient dans une entente quasi idyllique. Macron peut compter sur Revel à 100% .
Or, malgré les apparences et les proclamations, sur des points très importants, les désaccords de fond ne manquaient pas entre Edouard Philippe et le Président , ce qui chagrinait ce dernier.
Une nouvelle page est tournée : tout, je dis bien, tout sera décidé par le chef de l’Etat. Voilà l’essentiel .
Et voilà pourquoi, le Président souhaite qu’on parle énormément dans les prochains jours et le plus longtemps possible de l’avocat Eric Dupond-Moretti.

Bloom dit: à

tout sera décidé par le chef de l’Etat. Voilà l’essentiel .

Normal, c’est lui qui a été élu.
Cette dyarchie est de la khônnerie en barre, un cache misère pour faire diversion (justement) rapport au fait que le président français est un monarque républicain, confortablement installé dans un palais, qui n’est pas responsable devant le parlement, qui a une équipe de conseillers en accès direct qui font doublon avec le gouvernement et ont barre sur lui.
Qui a préparé une visite du PR (le ‘père) n’est pas surpris de cette « dérive » tout à fait naturelle des institutions.
Au moins le PM britannique vit-il et exerce-t-il dans une maison de ville (spacieuse mais) « normale ». Il est élu, comme les autres députés dont il est le primus inter pares/first among equals, et doit répondre hebdomadairement de sa politique devant le parlement. Il n’a personne sur qui se défausser, pas de super lampiste à faire sauter.
Le délice avec lequel les pseudo-journalistes répétait hier le terme ‘régalien’, dont la traduction anglaise est « kingly » n’a échappé à personne. On a mieux guillotiné Capet pour le remplacer par un monarque élu dégagé de tout contrôle démocratique.
« Dans le cas où la fonction échoirait à un être inexpérimenté, un ‘puceau de la vie’ comme disent nos étudiants, qui aurait de surcroit épousé sa maman, le risque est grand qu’il n’existe plus de limite à la toute puissance. » Marcus Fenichel Wallach, Les structures profondes de l’inconscient républicain, Baltimore, 2018.

Pablo75 dit: à

La désignation par le Président de Nicolas Revel comme dircab du nouveau Premier ministre…
Patrice Charoulet dit:

En tant qu’amateur de littérature, tu devrais être content, vu son pedigree:

« Nicolas Revel né Ricard, est le fils de l’académicien Jean-François Revel né Ricard (1924-2006), et de la journaliste Claude Sarraute (née en 1927). Sa grand-mère maternelle, Nathalie Sarraute (1900-1999), était une femme de lettres juive d’origine russe arrivée en France lorsqu’elle était enfant. […] Il est le demi-frère du moine Matthieu Ricard… »
(Wikipédia)

B dit: à

En tant qu’amateur de littérature, tu devrais être content, vu son pedigree:

« Pablo, facile. La politique bien qu’il soit question de narration, de spectacle, de théâtre touche d’un peu plus près et concrètement la vie des gens que la littérature. EP était amateur de polars jusqu’à écrire, pensez vous que la répression à la française se soit originée dans ce goût dont il ne faisait pas état. Qu’est ce qu’on en a à faire de son pedigree, qu’il soit au diapason avec le chef de l’état est autrement plus important, il sera difficile de croire à l’indépendance et au pouvoir de Matignon. Un espion, un rapporteur, un conseiller, un orientateur de la politique censée provenir du chef du gouvernement. Mission de contrôle.
Ceci étant, je ne comprends toujours pas pourquoi le ministère de l’écologie et de la transition énergétique est donné pour faire occuper à celui ou celle propulsé ministre la place de deuxième personnalité au classement par ordre d’importance. C’est flatteur mais dans les faits peu révélé.

B dit: à

A charge pour E D-M de faire accepter les differentes réformes, celle des retraites concerne t elle toujours l’appareil Justice dans son ensemble ?

rose dit: à

Nous l’avons compris hier qu’un mouchard avait été placé au poste stratégique.
On peut aussi supputer que deux seront bienheureux rapidement d’avoir quitté le navire.

et alii dit: à

Dans un article paru dans le Washington Post le 2 juillet, qui relève les similitudes entre la famille Compton et celle de Trump, est cité l’ex-professeur de Mary Trump, pour qui toutes les deux familles ont été « déchirées par la dysfonction ».

Il peut surprendre que Mary Trump soit décrite par ce professeur comme une « étudiante brillante » alors que, sachant que Donald Trump est de cette famille, on est plutôt amené à se dire que les mots « Trump » et « brillant » sont un oxymore. Selon son professeur, Mary fut la meilleure étudiante de sa classe d’anglais. Elle obtiendra par la suite un doctorat en psychologie clinique.

Psychologue, Mary Trump étudia des patients atteints de délires, schizophrénie et hallucinations. On ne saurait imaginer une meilleure expérience pour analyser celui qui est son oncle. [5] Selon ses propres termes, l’élection de Trump comme président des États-Unis fut « la pire nuit de ma vie ».

Un des traits de caractère souvent attribués à Donald Trump est le narcissisme. Dans le trouble de la personnalité narcissique un individu se manifeste par le besoin excessif d’être admiré et par un manque d’empathie. Le sujet narcissique recherche une gratification en lui-même, et s’attachant peu au jugement des autres, est très focalisé sur ses problèmes d’adéquation personnelle, de puissance et de prestige. Le trouble de la personnalité narcissique est étroitement lié à l’égocentrisme. Selon la mythologie grecque, Narcisse était un chasseur qui passait son temps à se contempler dans l’eau de la source.

Revenant à William Faulkner avec une citation du site oprah.com à propos du langage de l’auteur – comme préface à « The Faulkner Glossary » :

« En lisant Faulkner, ne vous découragez pas si vous trébuchez sur quelques mots inconnus – l’auteur est connu pour traiter la langue anglaise comme sa propriété personnelle. Alors si vous, citadins, ne faites pas la différence entre un « hitch-reign » et un « plowline », ou que vous soyez rendus perplexes par un mot prétentieux, ce glossaire vous aidera – d’acalculie à zain. »
ttps://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2020/07/le-droit-et-la-littérature-saffrontent-parfois-dans-des-circonstances-étran

Bloom dit: à

Finalement, rien de cette non-actualité n’est bien grave, on pourrait être aux US…

Major U.S. cities, gripped with crisis, now face spike in deadly shootings, including of children

As the nation faces a pandemic, financial catastrophe and massive social justice protests, it is suddenly also confronting a spike in violence in some of its major cities.

Tragedies struck in urban centers thousands of miles apart, with 65 people shot over the weekend in New York and 87 in Chicago, and homicides climbing from Miami to Milwaukee. Though the summer months in the United States often augur more violence, the recent toll has been particularly devastating in communities where the victims included young children (…)

La suite dans The Washington Post
https://www.washingtonpost.com/national/america-spike-gun-violence/2020/07/06/15508ac8-bfa0-11ea-9fdd-b7ac6b051dc8_story.html

et alii dit: à

sur le « louvre »(tweet)
La nuit du dessin : foi et savoir dans Mémoires d’aveugle de Jacques Derrida [article]
sem-linkMichael Naas

et alii dit: à

. que plus tard ma libido s’est éveillée envers matrem à l’occasion d’un voyage fait avec elle de Leipzig à Vienne où il m’a été certainement donné de la voir nudam… que j’avais salué la venue de mon frère plus jeune d’un an avec de mauvais sentiments.
freud

👀 dit: à

Le bac avait déjà très peu de valeur, mais le diplôme 2020 n’en a quasimment aucune.

Jazzi dit: à

Oui mais un bac millésimé, comme celui de 1968.
C’est pas donné à tous le monde !

Jazzi dit: à

« il sera difficile de croire à l’indépendance et au pouvoir de Matignon. »

Sous la Ve république, le premier Ministre est là pour appliquer la politique du président de la République. A l’exception des cas de co-habitation…
De quelle indépendance parle-t-on ?

renato dit: à

Lu un résumé relatif à la situation de Hong Kong, apparemment le communisme ne peut d’aucune manière que ce soit se différencier du fascisme.

Cela bien à part, on assiste en Occident à une aberration vertigineuse : un criminel ne devrait pas avoir droit à un avocat ! mais quelle éducation civique reçoivent les gens aujourd’hui ?

Jazzi dit: à

Qu’est-ce qui vous fait supposer, B, que Jean Castex (Casse tête)est un valet putatif ?

B dit: à

Il ne sera pas le premier à occuper l’emploi. Avec l’avantage de peut être re- présenter sur l’affiche la ruralité, le nouveau ministre de l’agriculture fera-t-il avancer l’intérêt des agriculteurs au niveau de la PAC alors que l’écologie trouvera des solutions à la transition pour l’utilisation des substances nocives .

Bloom dit: à

Sans le bac, même si Parcoursup a déjà pré-affecté les élèves, pas d’inscriptions dans le supérieur possible. Les très doués flemmards qui filent un coup de collier juste avant l’épreuve finale sont parfois au rattrapage cette année. En outre, il pourrait y avoir des recours, car pourquoi certaines épreuves auraient-elles alors que d’autres non?
Le lieu de mémoire/rite de passage qu’était le bac est de toutes façons pulvérisé par le nouveau bac imposé par le ministre de l’éducation, qui aurait aimé être à l’intérieur, dit-on. Good luck, egghead!

Bloom dit: à

auraient-elles lieu (noir/jaune/de mémoire/de perdition…)

rose dit: à

D’aisance.
Liu Tsé Toung.
Castex chinois.

Bloom dit: à

En lien (ténu) avec les Camondo, on ne peut que regretter que la ‘Storia di un ebreo fortunato’, de Dan Vittorio Segre ne soit toujours pas traduit en français, alors qu’elle l’est en chinois…
Avis aux italianistes! Certes, il y a Dante et dame Ferrante, mais pas que!

Paul Edel dit: à

Un peu de Gombrowicz pour l’été:
« Notre élément, c’est l’éternelle immaturité. Ce que nous pensons ou sentons aujourd’hui sera fatalement une sottise pour nos arrière-petits-enfants. Mieux vaudrait donc accepter dans tout cela dès maintenant la part de sottise que révélera l’avenir. Et cette force qui vous contraint à vous définir trop tôt n’est pas, comme vous le pensez, d’origine entièrement humaine. Nous nous rendrons compte bientôt que le plus important n’est plus de mourir pour des idées, des styles, des thèses, des slogans, des croyances, ni de s’enfermer en eux et de se bloquer, mais bien de reculer un peu et de prendre ses distances avec tout ce qui nous arrive.  » Ferdydurke.
Une pensée pour pour Clopine.

lmd dit: à

Des images de Clint Eastwood sont attachées aux musiques de Morricone. Mais Clint Eastwood, réalisateur, n’a jamais fait appel à Ennio Moricone pour ses propres films. La musique de Morricone n’était sans doute pas assez digne, trop démonstrative ? Les westerns italiens supportaient mieux ces effets, ces fantaisies, ce deuxième degré ambiant.
Pascal Guignard doit marronner, au lieu de causer de lui on parle de westerns spaghetti.

Brinqueballe dit: à

Pascal Guignard doit marronner, au lieu de causer de lui on parle de westerns spaghetti.

Et des mésaventures de Clopine!

Ici c’est Guignol ou le bistrot quelconque comme disait quelqu’un. 😉

Brinqueballe dit: à

Tout le monde aura son bac à sable!

Jazzi dit: à

« Je me souviens d’une blague qui circulait dans mon milieu : les « soeurs de bite », et « frères de chatte ». »

Ah, ces hétéros ! On a encore oublié le cas des « soeurs de chattes » et des « frères de bite » ! Les cornes sont multi genres…

Bloom dit: à

Réflexions au fil des kilomètres:
« La vision que j’ai de Bach est celle d’un homme assis à côté de moi devant un clavier et qui dit : « Essayons de faire les choses de cette façon-ci », et il les fait de cette façon-ci. Puis, il dit : « Maintenant, essayons de faire les choses de cette façon-là ». Et il les fait de cette façon-là. Dans cette vision… il m’apprend quelque chose… mais ce qui le rend exceptionnel, c’est qu’à chaque fois, il y a un moment mystérieux dans l’improvisation… un moment où il vous sème… il vous sème et anéantit votre capacité à le suivre, à l’imiter, à faire comme lui. Et cette capacité… cette facilité qu’il a pour vous lâcher sans prévenir me semble constituer un véritable contre-pouvoir au pouvoir du génie romantique, incarné par Beethoven. C’est là le mystère des compositions de Bach… »

Jazzi dit: à

« Pascal Guignard doit marronner, au lieu de causer de lui on parle de westerns spaghetti. Et des mésaventures de Clopine ! »

Et le nouveau gouvernement qui passe aussi à la trappe, Brinqueballe…
Priorité à la création et aux émotions !

Brinqueballe dit: à

Priorité à la création et aux émotions !

Quelle création ( celle du nouveau gouvernement? )?
Quelles émotions? Le retour de cocufiage de Clopine étalé ici et tous ces correcteurs (trices) de copie comme rituel de passage du bac de Bray?

Brinqueballe dit: à

tous ces correcteurs (trices) de copie comme rituel de passage du bac de Bray?

Sans eau ( de mélisse) et sans moi!

Jazzi dit: à

« et sans moi ! »

Trop occupé par la lecture de Guignard ou par la fréquentation des clubs échangistes, Brinqueballe ?

lmd dit: à

@Jazzi, mais justement, il me semble que les 8 Salopards de Tarantino sont plus près de l’esbroufe que de la dignité de Pale Rider ou Josey Wales

Janssen J-J dit: à

(7.07 @ 16.41)
Personne n’avait songé à poser cette bande-son mythique pour l’hommage (dommage)pendant qu’elle était chez sa coiffeuse
https://www.youtube.com/watch?v=lT2Kh8L4Yc4
Sortir du pavé Ferdydurke, de dessous la plage ?
Déménager définitivement de M., après 34 ans.
Claudia Cardinalice. Mes hommages, madame.
Cuver le Bach 2020 avec Jean-Sébastien.
Ennio F. (anesthésiste sino-italien)
Moretti-Dupont Eric & Boulay Isabelle ? (A.N)
Quand tu es dans la merde, tais-toi.

Jazzi dit: à

Ennio Morricone, 500 musiques de films au compteur, pour tous les goûts, lmd !
En France, nous avions Michel Legrand…

Jazzi dit: à

« Quand tu es dans la merde, tais-toi. »

Si tu as trop mal, n’est-il pas permis de crier à l’aide ?

et alii dit: à

allez, jazzi, vous faire reconnaître à St Sulpice;ils sont preneurs

christiane dit: à

et alii dit: « sur le « louvre »(tweet)
La nuit du dessin : foi et savoir dans Mémoires d’aveugle de Jacques Derrida [article] »
Merci, Et Alii, pour cet article sur l’essai de Jacques Derrida ayant mené en 1990 à cette exposition au Louvre très étrange, passionnante.
Un détour par les œuvres représentant des aveugles puis cette affirmation : ceux qui dessinent sont aveugles. Passé le temps de l’étonnement, on lit et comme il a raison… On ne peut voir et dessiner (ou peindre) en même temps. D’abord on observe, puis on mémorise, puis on dessine ou on peint. Derrida écrit : « Le trait procède dans la nuit ». L’artiste est obligé de traverser un certain aveuglement. Puis il s’interroge sur le trait, frontière poreuse, bordure d’un contour. Il crée ainsi une relation entre le visible et l’invisible.
Voilà un lien avec Pascal Quignard qui a beaucoup écrit sur la peinture et aux interrogations qui naissent de la contemplation des tableaux de Rustin.
Pour P.Quignard c’est le réel qui est invisible. « Immontrable, invisible est le réel”, écrit-il dans Le sexe et l’effroi, citant le dialogue entre Socrate et Parrhasios, (extrait des Mémorables de Xénophon), sauf que pour les stoïciens, l’invisible, c’est le divin, pas pour Quignard qui évacue de l’invisible la dimension religieuse et morale. Pour lui c’est le fonds archaïque, sauvage, l’inconscient qui nourrit la création. Comme le langage, l’art est un masque trompeur… Jean Rustin nous renvoie à ce que notre nature profonde a appris à masquer.
Véhémence de l’émotion devant les scènes de ces corps las et flétris, représentées par Jean Rustin (nus de vieillards se masturbant dans un hôpital psychiatrique), œuvres taxées de voyeurisme, voire de pornographie par ses détracteurs, que seule atténue la douceur de la palette du peintre et sa lumière : camaïeu de gris, que troue, ça et là des touches de rose. Songes ambigus, solitude absolue de ces malades mutiques, vulnérables. Vérité sans voile de l’irreprésentable nudité.
«Une vue fascinée enfouie au fond de chaque corps […] Je cherche à méditer cette allergie humaine à la scène originaire dès l’instant où elle est représentée» (L’enfant d’Ingolstadt – citations du livre choisies par Passou dans son billet du 23/09/2018).
J’écrivais alors : « Jean Rustin… Pascal Quignard…
Long temps que celui où ces deux êtres hantent la RDL, l’un par ses toiles, l’autre par ses livres mais c’est la première fois qu’ils sont ici réunis, jouant pour ces corps nus, démunis, corps offerts sans provocation, sans honte, sans révolte, juste un peu surpris, s’éloignant dans les bleus délavés de la toile comme s’ils avaient autre chose à poursuivre dans la douceur.
Mais c’est quoi cet entêtement qui nous hante du fond de l’activité psychique, tout palpitant des roses des toiles de Rustin ? Comme une note fausse qui vient déchirer la tranquille harmonie où tout est lisse et convenable.
Deux êtres entêtés, le peintre avec son petit peuple hagard et poignant, l’écrivain avec cette cascade livres obscurs, savants, énigmatiques de plus en plus faits de fragments avec des trous pour laisser passer le silence et la lumière.
Ça dérange, c’est beau et urticant, on veut y demeurer et on veut fuir. C’est qu’ils s’y entendent pour ne pas laisser notre âme en repos. Ils sont faits de la terre des rêves obscurs.
L’origine, la scène de l’origine, nous savons qu’elle est interdite. Il semble qu’ils aient fracturé cet interdit. »
Jean Rustin disait en 2001 : «J’ai conscience qu’il y a derrière ma démarche, derrière cette fascination du corps nu, vingt siècles – et bien plus – de peinture, surtout religieuse. Vingt siècles de christs morts, de martyrs torturés, de massacres, de rêves brisés, et que c’est bien dans le corps, dans la chair, que finalement s’inscrit l’histoire des hommes et peut-être même l’histoire de l’art».

et alii dit: à

à propos de Derrida, et de « biographique », ce qui est étrange c’est qu’il souffrit, à cette époque de ce livre, d’une sorte d' »infection » ,je crois qui se prit à ses yeux

et alii dit: à

 »
sur le livre

« Le 11 juillet, donc, je suis guéri (sentiment de conversion ou de résurrection, la paupière cligne de nouveau, mon visage reste hanté par un fantôme de défiguration), c’est le premier rendez-vous au Louvre. Le soir même, alors que je rentre chez moi en voiture, le thème de l’exposition s’impose à moi. Comme d’un coup, en un seul instant, je griffonne au volant un titre provisoire, à usage privé, pour classer mes notes : L’ouvre où ne pas voir, qui devient à mon retour une icône, soit une fenêtre à « ouvrir » sur l’écran de mon ordinateur » (Mémoires d’aveugle, p38).

Reprenons le récit : Le 5 juillet 1989, une réunion est prévue au Louvre pour préparer le projet d’exposition confié à Jacques Derrida. Mais il doit annuler cette réunion à cause d’une affection banale mais spectaculaire qui le faisait souffrir depuis 13 jours (depuis le 22 juin 1989) : une paralysie faciale d’origine virale : « le côté gauche du visage frappé drigidité, l’oeil gauche fixe et terrible à voir dans un miroir, la paupière ne se ferme plus normalement : privation du « clin d’oeil », donc… ». Le 11 juillet, guéri de cet aveuglement, une autre réunion au Louvre est organisée, et c’est là que, au retour, dans sa voiture, risquant l’accident, écrivant sans regarder ce qu’il écrit, le thème s’impose à lui. Il marque « L’ouvre où ne pas voir » (sic). Ce
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-1507281242.html

et alii dit: à

– Dans un autre texte étroitement lié à celui-ci par son caractère autobiographique, Derrida parle de cet événement qu’il appelle PF (paralysie faciale) (Circonfession, p117). Il écrit ce récit un mois plus tard, le 23 juillet 1989. A partir de là, dit-il, il n’est plus le même. Hanté par cette défiguration dont les signes semblent déjà effacés, il ne reconnaît plus son visage. Il parle de « conversion » (Circonfession, p119), allusion peut-être au « tournant » de sa production théorique. En rapportant cette sorte de lapsus, il laisse peut-être entendre que cette conversion pourrait elle-même avoir pour titre ces mots : « l’ouvre où ne pas voir ». Pour en venir à une autre étape de son engagement d’écriture, il fallait en passer par le retrait du visage et son corrélat graphique, le dessin. Il fallait que s’écrive une phrase grammaticalement illisible mais performative à sa façon : ouvrir, par l’oeuvrance, un « ne pas voir ».
l’absence de « e » évoque aussi Perec ( même lien idixa communiqué)

et alii dit: à

excuse:j’ai écrit « infection » et c’était viral:Derrida le dit lui-même à son séminaire;je m’en souvenais d’où la facilité pour moi de le retrouver;

et alii dit: à

tant que j’y suis, Derrida a aussi raconté en séminaire qu’on lui vola son ordinateur

et alii dit: à

sur ressentiment?
DERRIDA dit aussi dans un séminaire qu’il était un « homme de ressentiment »

et alii dit: à

This essay examines the politics of transitional justice through the notion of forgiveness. Conventional notions of forgiveness and justice, as they have been adopted for and utilized in the numerous truth commissions around the world as well as in the theories supporting the work of the commissions, corrupt the transitional process into what Derrida aptly calls the conditional forgiveness of “social therapy. ” One major shortcoming in these theories has been their inability to adequately deal with the issue of resentment, i.e., the victim who refuses to forgive. Through a closer investigation into the phenomenology of ressentiment (Nietzsche, Max Scheler, Jean Améry), the essay proposes to interpret resentment as a continuation of the suffering that the victim has originally endured. Juridified and subjected to the therapeutic rationalizations of truth commissions, resentment coagulates into a suffering with a utilitarian value. Finally, this essay discusses the possible ways in which a theory of transitional justice could appropriately address the victim’s resentment thus rendering his suffering “just” and making unconditional forgiveness possible.
https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1525/lal.2007.19.3.513

Janssen J-J dit: à

bien sûr, bien sûr,… ou bien ou bien. Je parlais en général et ne visait nul cas particulier. Crier ou se taire.
ἀνέχου καὶ ἀπέχου, anekhou kai apekhou
N’est-ce pas vous, cependant, qui aviez proféré ceci : à chacun sa merde ? Cela m’avait choqué, et pourtant, à l’époque, aviez raison.

Chaloux dit: à

« Il a des vieux auteurs la pleine intelligence,
Et sait du grec, Madame, autant qu’homme de France.
– Du grec, ô Ciel! du grec! Il sait du grec, ma sœur!
– Ah, ma nièce, du grec!– Du grec! quelle douceur!
Quoi, Monsieur sait du grec? Ah permettez, de grâce
Que pour l’amour du grec, Monsieur, etc. »

Hurkhurkhurk!

D. dit: à

Chaloux, pour l’amour du grec, voyez plutôt Jacquot.

Pablo75 dit: à

Tout à l’heure, je suis passé chez Gilda, la librairie de la rue des Bourdonnais, où cela faisait plus de 4 mois que je n’avais pas mis les pieds, et j’ai trouvé (à moitié prix) « La nouvelle bible des créateurs » (selon la bande du livre), le pavé (de 840 pages) d’Emmanuel Perrat « L’auteur, ses droits et ses devoirs » (Folio Essais, Mai, 2020).

« Quatrième de couverture
La littérature a certes tous les droits, mais pas avec la justice : censure, propriété des manuscrits originaux, fiction à partir de personnages réels, nombre d’obstacles se dressent devant qui espère écrire et être publié. Dans une société en judiciarisation croissante, l’auteur ne peut plus échapper aux questions que lui pose le droit de l’édition. Cet ouvrage est un vade-mecum pour l’impétrant écrivain, le citoyen curieux des livres, l’étudiant ainsi que le praticien du droit, un outil de réflexion pratique et largement illustré d’exemples historiques.La méthode empruntée consiste à retracer tout le parcours de l’écrivain contemporain, aux prises avec les questions juridiques, depuis la reconnaissance de sa qualité d’auteur jusqu’aux litiges auxquels il peut être confronté.Dans ce guide de survie pour créateur en milieu inconnu, et parfois hostile, Emmanuel Pierrat, avocat et écrivain, évoque les enjeux juridiques des différentes phases de l’édition d’un ouvrage comme la conclusion du contrat, la rémunération de l’écrivain, les risques de diffamation, les adaptations de romans en films… et, en parallèle, la vie des gens du livres, qu’ils soient auteurs, traducteurs, éditeurs, libraires, critiques ou lecteurs. Autant de citoyens aux prises avec un objet fait de mots et de droit. »

https://www.amazon.fr/Lauteur-ses-droits-devoirs/dp/2072819091/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=1825T8KXRPALK&dchild=1&keywords=pierrat+l%27auteur&qid=1594140091&sprefix=Perrat+l%27auteur%2Caps%2C160&sr=8-1

Avis aux amateurs…

Marie Sasseur dit: à

« La nouvelle bible des créateurs » (selon la bande du livre), le pavé (de 840 pages) d’Emmanuel Perrat 

Ah, Me Pierrat… le baveux sexuel.

Chaloux dit: à

Le pauvre Quignard est mûr pour le silence éternel des espaces infinis de la BNF!

Hurkhurkhurk!

Marie Sasseur dit: à

Quignard et le sexe. ( c’est pour ceux qui n’ont pas étudié assez longtemps la reproduction sexuée chez les mammifères)

Un air de romantisme schleuh au pensionnat pour garçons:

« Sans hésitation, il place Georges Bataille tout en haut de son «arbre», pour sa pensée sauvage et les émotions que ses livres censurés donnaient au jeune adolescent. »

https://www.lexpress.fr/culture/livre/pascal-quignard_798458.html

Marie Sasseur dit: à

Il y a eu démolir Nisard, mais démolir Quignard a plus d’enjeu.

Chaloux dit: à

Par exemple, je ne savais pas que Rouart avait été condamné pour ses propos dans l’affaire du jardinier marocain et l’héritière de Mougins. P. 234.

Il y a une littérature des avocats tout à fait indispensable : qui, par exemple, a lu des livres de Gaston Delayen?

Marie Sasseur dit: à

Une mystification pareille, c’est pas tous les 20 ans, qu’on la trouve.

et alii dit: à

« L’absence de ministre du Numérique demeure un très mauvais signal » obs

Marie Sasseur dit: à

Démolir Quignard.

« L’origine enfouie de son geste de l’abandon est à chercher du côté d’une Vénus enivrée et endormie peinte par Nicolas Poussin, »

L’extase.

Et rien sur un copinage ? Astucieusement amené ainsi:

« a choisi la BnF : outre des raisons de personnes et d’amitié »

Copinage qui lui permet d’archiveraux a la Bnf avec un seul manuscrit et des fiches de lecture ?
Il n’était pas lecteur éditeur chez Gallimard, de 1977 à 1994, Pascal Quignard?

Marie Sasseur dit: à

Copinage qui lui permet d’archiver a la Bnf avec un seul manuscrit et des fiches de lecture.
La question ne se pose pas.

B dit: à

Tout à l’heure, je suis passé chez Gilda, la librairie de la rue des

Projetez vous de vous extraire de la capitale pour quelques paysages bien concrets d’arbres, de landes, prairies,jachères, hameaux, champs, bocages, bosquets, forets, châteaux, rivières, ruisseaux, montagnes, océan, îles, presqu’île, encore enviables, et si oui quelle est votre destination? Comme nous nous connaissons, je veux bien vous accompagner, je suis toujours aussi peu encombrante.

B dit: à

Gaston Delayen?

C qui?

bouguereau dit: à

Ennio Morricone, cet inconnu

tèrezoune et le souvenir de sa première main au cul..était ce dirphiloo

bouguereau dit: à

« L’absence de ministre du Numérique demeure un très mauvais signal » obs

ha ces journaliss et leurs lecteurs..non mais quelle vacuité

Marie Sasseur dit: à

Non ducon, relis bien.
L’odeur de la neige qui fond sous les pins cembro , et dans la bruyère d’hiver.

https://youtu.be/N4KnDok4-Es

bouguereau dit: à

lpédro et mon larbin..cousins de trouducul

Marie Sasseur dit: à

« L’absence de ministre du Numérique demeure un très mauvais signal » obs

C’est sûr qu’en l’abscence de Mounir, et son fuck de Marrakech, et même surtout avec lui, les chinois vont pouvoir imposer leur 5G.

bouguereau dit: à

Ennio Morricone, cet inconnu

il a dabord conchié tarentino qui l’encensait.. »américain de merde »etc..ça c’était bat..et pis quand quil lui a mis lpaquet litaloaméricain..il en a dit du bien au finiche

Bloom dit: à

Le boug’ reste une valeur sûre. Très très ‘droll’

bouguereau dit: à

– Du grec, ô Ciel! du grec! Il sait du grec, ma sœur!

pour dlébreux renfield.. »cest pas pareil »

Marie Sasseur dit: à

Tu baisses de niveau ducon, l’air de Charente-Poitou, te rend tout mou.

Chaloux dit: à

Ce n’est pas bien de l’entretenir dans cette illusion.

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