de Pierre Assouline

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La République des livres
Patrick Boucheron, l’historien qui veut rendre le passé habitable

Patrick Boucheron, l’historien qui veut rendre le passé habitable

Ceux qui déplorent à juste titre que la crise de l’Histoire en France se traduise aussi par une désaffection des grandes institutions universitaires et intellectuelles vis à vis de la discipline ne pouvaient que se réjouir hier en fin de journée lors des applaudissements nourris qui ont conclu la leçon inaugurale de Patrick Boucheron au Collège de France. Intitulé de sa chaire : « Histoire des pouvoirs en Europe occidentale, XIIIème-XVIème siècles ». Titre de sa leçon : « Que peut l’histoire ? » (on peut l’écouter ici).

On n’a pas vraiment entendu la capitale à « histoire » parce qu’il préfère monter le son ailleurs que dans les grands mots. Le présentant au public nombreux, après avoir plaidé le dossier de son élection il y a des mois devant ses collègues collégiens, Roger Chartier s’est employé à  résumer l’œuvre du jeune historien (1965) en trois mots très exactement : « ville » (il en est l’éminent spécialiste au Moyen-Âge), « indiscipline » (écart par rapport aux règles de la discipline historique), « république » au sens étymologique de chose publique. D’ailleurs, l’homme du jour n’a-t-il pas commencé son intervention par une évocation de la place de la République où il est retourné il y a un mois parmi les fleurs, bougies et papiers collés ? Les choses vues alors l’ont ramené à des pages des Misérables faisant l’apologie de la puissance souveraine de la ville, dans lesquelles il s’est replongé aussitôt rentré chez lui.

« Tenter, braver, persister, persévérer, être fidèle à soi-même, prendre corps à corps le destin, étonner la catastrophe par le peu de peur qu’elle nous fait, tantôt affronter la puissance injuste, tantôt insulter la victoire ivre, tenir bon, tenir tête ; voilà l’exemple dont les peuples ont besoin, et la lumière qui les électrise » (in Les Misérables, troisième livre, premier chapitre « Paris étudié dans son atome »)

Qu’est-ce qu’être gouverné ? C’est « la » question à ses yeux. Il l’a travaillée à travers le cas du communalisme des cités italiennes du Moyen-Âge, le désir d’auto-organisation de ses habitants, une expérience qui le passionne en ce qu’elle fut un laboratoire de gouvernementalité. Son ambition ? Rien moins que réactiver l’idée de progrès, rendre le passé habitable, replacer l’histoire dans le débat intellectuel en la rendant plus tonique, dépayser la France contre ceux qui n’ont de cesse de l’empayser, réconcilier l’érudition et l’imagination, opposer une histoire sans fin aux chroniqueurs de la fin de l’Histoire, défaire les continuités, bousculer la périodisation, réorienter les sciences sociales, inquiéter l’écriture de l’histoire sans pour autant abandonner l’énergie des grands récits à « la pensée réactionnaire » et surtout réactualiser les problématiques du passé en les faisant résonner avec celles du présent.duby

Lorsque dans Conjurer la peur, il a creusé en profondeur l’inquiétude des siennois en 1338 face à la subversion des principes républicains de leur commune par l’autoritarisme qui ronge leur gouvernement, il entendait mettre en garde contre « une peur ancienne qui peut revenir » ainsi qu’il s’en explique dans L’exercice de la peur. Usages politiques d’une émotion (débat avec Corey Robin, 75 pages, 10 euros, Presses universitaires de Lyon). C’est peu dire que cela fait écho dans la France de 2015, annus horribilis du terrorisme. Jean Delumeau avait déjà montré comment une entreprise de culpabilisation accompagne toute politique de la peur ; avant lui Thucydide avait évoqué la folie d’une cité en proie à la peste quand nul n’est retenu « ni par la crainte de dieu ni par les lois humaines ». Toutes choses que Patrick Boucheron rumine puis rassemble en une réflexion :

« La république perd pied dès lors qu’elle ne se comprend plus comme un équilibre pacifié entre les différentes peurs qui la divisent »

A l’en croire, la notion de peur est fondamentale dans l’analyse du pouvoir en ce qu’elle permet de juger de son caractère autoritaire. C’est un trébuchet. Mais face à la peur qui monte lorsqu’elle est instrumentalisée au sommet en politique de l’effroi, quelle autre attitude adoptée que la vigilance ? Patrick Boucheron passe pour le plus radical des modérés- ou l’inverse. Défenseur et illustrateur en France de l’histoire globale/monde/connectée, au choix et même « histoire corsaire » comme on dit désormais, il goûte le dissensus en toutes choses. Jusque là professeur à la Sorbonne, éditeur au Seuil, collaborateur à L’Histoire, conversationneur l’été au Banquet de Lagrasse, c’est un éclectique dont rien ni personne ne peut freiner la curiosité intellectuelle entre Comité invisible et comités de lecture. Opiniâtre, une certaine intransigeance tempérée par la bienveillance, trop critique pour être aimable, une vraie colère contre le monde qui aussi pour nom enthousiasme, élan, vivacité atténués, une forte capacité d’admiration, une érudition étourdissante nourrie par d’incessantes lectures, voilà pour le portrait en creux qui se dégageait de sa prise de parole.

foucaultAvec cela un vrai souci de la forme, de langue, de l’écriture. Pas pour faire joli. Il ne s’agit pas de décorer l’Histoire, encore moins de l’ornementer, pour la faire mieux passer. L’écriture ne lui sert pas à endimancher le propos. Il suffit de lire son éblouissant récit sur la « rencontre » entre Léonard et Machiavel pour s’en convaincre. N’empêche que, comme le remarque justement Marielle Macé dans le numéro spécial consacré au travail de Patrick Boucheron par la revue Critique (No 823, décembre 2015) :

« Un historien comme ça au Collège de France, c’est une chance pour la littérature »

Mais il y a du danger à le claironner trop fort… On l’a senti lorsqu’il a rendu hommage aux anciens qui l’ont fait. Vibrante était la gratitude exprimée à l’égard de ses maitres, ceux de fondation et ceux de passage. Avant tout Jean-Louis Biget qui fut son professeur à Normale sup, et Pierre Toubert qui dirigea sa thèse. On entendit les noms de Bloch, Braudel, Michelet, Montaigne, Machiavel, Bourdieu, Shakespeare, Hugo, Benjamin. Et pour terminer une belle évocation de Georges Duby, le grain de sa voix dans cette maison du Collège un jeudi de novembre 1985.

Ce n’est pas un hasard. Cette année encore, pour deux volumes parus chez Gallimard, Boucheron a exhumé avec Jacques Dalarun les carnets et archives du grand historien pour creuser plus avant son ego-histoire. Comme lui et quelques autres historiens, peu nombreux car peu en ont les moyens, il aspire à la littérature, c’est peu de le dire tant elle le constitue dans son travail et dans son être. Aussi était-il naturel qu’au pupitre du Collège de France, il place sa voix dans le souffle de Georges Duby lequel, au même endroit dans les mêmes circonstances, avait placé la sienne dans le souffle de Michelet. Et comment ne pas croire qu’il pense à lui-même lorsque Patrick Boucheron écrit à propos de Georges Duby qu’il voulait « travailler à sa propre assomption littéraire, au risque sans doute de fragiliser à terme son autorité d’historien » ; et le risque est accru dans les temps de « revival positiviste » que nous vivons.

On imagine d’ailleurs sans mal que désormais, le professeur Boucheron concevra certains de ses livres en trois temps comme son maître : d’abord dégrossir devant le public restreint et expert du séminaire ; puis mettre en forme à destination du vaste public du cours dans l’amphithéâtre Marguerite-de-Navarre ; enfin rédiger dans la solitude de l’écrivain. Mais pour avoir écouté et observé Patrick Boucheron au banquet de Lagrasse raconter et réfléchir à voix haute tout en marchant, quelques feuillets en mains qu’il ne regardait pas, je ne l’imagine pas rédigeant huit cent fiches par an comme Duby, lequel y consignait jusqu’aux moindres de ses hésitations et de ses inflexions de voix. Cela dit, la quantité de travail est identique comme en témoigne sa leçon inaugurale prononcée hier en donnant l’illusion de la facilité rhétorique. Nul n’est mieux placé que Patrick Boucheron pour savoir qu’aujourd’hui, la jeune garde médiéviste qui s’en prend aux thèses défendues par Duby tire argument de sa poétique pour les récuser plus encore.

La langue énergique de Patrick Boucheron ne recule pas devant l’anachronisme, les silences et se conçoit comme une affaire de rythmes, de tempo. Sa bataille personnelle avec les mots s’articule autour d’une double exigence historique et littéraire, gouvernée par l’éclat poétique et la force politique. La littérature, il n’a jamais cessé de la lire sans que son goût pour ses classiques à lui (Flaubert, Michaux, Nabokov, Pavese notamment) l’empêche de dévorer les romans des contemporains. Mais dans l’entretien qu’il a accordé à ses amis Marielle Macé et Vincent Azoulay pour la revue Critique, il revient particulièrement sur l’importance de Claude Simon dans sa formation d’historien (on imagine la conversation qu’aurait à son sujet Patrick Boucheron avec Claro dont on lira ici une fine digression sur l’origine d’une description de chevaux dans la nuit). A chaque étape de son parcours a correspondu une découverte : Géorgiques (1986), Tramway (2001), L’Acacia (1989), le Jardin des Plantes (1997) sans oublier bien sûr La route des Flandres en sont les bornes invisibles. Rarement un historien aura payé sa dette à la littérature avec une telle vibration dans la reconnaissance :

« Cette lecture m’a fait historien, au sens où elle était un défi lancé aux historiens, une mise en langue de leur propre faiblesse- de ce qu’il y a d’inévitablement mensonger dans la succession ordonnée des faits, des dates, des causes. Une des réponses possibles à ce défi, c’est le renoncement et l’abandon – à la littérature par exemple mais je tiens ce renoncement pour politiquement inconséquent (…) J’ai compris à le lire que pour devenir irréductiblement historien, et surtout pour travailler à le rester, il ne fallait jamais se contenter de l’être ».simon_12juin1985_photo_louis_monier_2

D’une grande densité, brassant et déployant à foison idées, pistes, notions, concepts, lectures, mais si concentrée pour tenir en soixante minutes chrono qu’on ne comprenait pas toujours tout, ce fut une leçon éblouissante qui laisse augurer le meilleur pour ses cours du lundi à 11h. Même si certaines questions auraient mérité plus ample développement, les plus controversées et les plus contestables, à commencer par son cheval de bataille : la dénonciation de « la déplorable régression identitaire » accusée de poisser notre époque, un principe qui lui paraît contraire à l’idée même d’histoire ; il la tient pour un piège, un enfermement dans le déjà-écrit ; sous sa plume et dans sa bouche, il faut entendre par « passion identitaire » le mythe d’une identité immuable de la Nation France ; la provenance l’occupe davantage que l’appartenance car elle est riche de complexités ; au fond, ce qui le gêne le plus dans l’identité, c’est qu’elle une telle panoplie de pensées et d’actes qu’elle déresponsabilise le citoyen.

 « Qui ne voit aujourd’hui combien sont sinistres les idéologies de la séparation ? Qui ne saisit désormais les effets désastreux d’une vision religieuse du monde où chacun est assigné à une identité définie par essence ? En mettant à jour cette généalogie du regimen, l’art de gouverner les hommes, les historiens ont jeté une lumière sombre et crue sur ce qui constitue encore aujourd’hui notre modernité. S’y devine son noyau insécable, qu’on pourrait volontiers appeler l’énigme du théologico-politique. Elle est le propre de l’histoire occidentale, son reste inassimilable, car nous sommes encore redevables (qu’on le veuille ou non, qu’on le sache ou pas) de cette longue histoire qui fit du sacrement eucharistique la métaphore active de toute organisation sociale.

Reposant sur la théologie de l’incarnation, elle informe et contraint l’implicite d’une théorie de la représentation, entendue à la fois dans son sens figuratif (comment agissent les images pour rendre présente l’absence) et politique (comment s’organisent les institutions pour déléguer le pouvoir des communautés introuvables à des représentants). En ce sens, elle s’écarte des religions de la théophanie qui, comme l’islam, conforment leur théologie des images et leur théorie du pouvoir à cette autre modalité de la manifestation du divin, la pure présence. Nous sommes là au plus vif de la coupure théologico-politique occidentale, qui est, je le répète, acte de séparation. « 

Pour autant, le pionnier français de l’histoire-monde ne versera pas dans l’autre piège qui consiste à présenter comme idyllique le métissage du reste du monde. Il se tient dans un entre-deux qui peut paraître inconfortable mais où il jubile sur fond d’incertitudes, d’intranquillité, d’inquiétudes. Au lieu de se faire discret, il y a trouve au contraire matière à réflexion, et de quoi jeter des ponts. Rien ne lui plaît comme de mettre la France « en étrangeté » au lieu de se satisfaire du canon bien établi du roman national. En cela, il est l’élève d’un Michelet dont Barthes disait qu’en rameutant des milliers de détails, il « troublait la proportion des faits », procédé illusionniste auquel l’européocentrisme doit tant.

Nombre d’historiens étaient captivés, et pas seulement des médiévistes, comme si la captatio benevolentiae s’était naturellement prolongée bien au-delà des premières minutes. L’un d’eux, blanchi sous le harnais, était si impressionné par la puissance de ce qu’il venait d’entendre qu’il convint :

« Si on ne savait pas pourquoi on faisait de l’histoire, maintenant on sait ».

Certains de ses collègues, des plus jeunes aux plus âgés, en avaient les larmes aux yeux tant l’orateur avait réussi en moins d’une heure à exprimer tout ce qu’ils auraient aimé dire avec une telle flamme à défaut d’avoir su l’écrire avec une telle plume. A 20 ans, Patrick Boucheron voulait être enseignant, mais d’histoire parce que c’est « prodigieusement amusant » comme disait Michel Foucault dans une lettre, l’un de ses maîtres lui aussi, un écrivain en philosophie dont L’ordre du discours l’a tant inspiré. C’est « prof » qu’il voulait être, et « prof » qu’il est resté. Non pas écrire mais enseigner. Au Collège de France, il jouira du statut idéal puisqu’il ne doit obéir à aucun programme, ne subir aucune évaluation et n’avoir d’autre contrainte que de changer de sujet chaque année (ici son programme en 2016). A 50 ans, avec une œuvre déjà importante derrière lui et tous les honneurs universitaires, il brûle toujours d’enseigner, mais autrement. En nouveau collégien « exagérément libre ».

(« Patrick Boucheron », photo Jérôme Bonnet ; « Georges Duby » photo D.R; « Michel Foucault, 1979 » photo D.R. ; « Claude Simon, 1985 » photo Louis Monier)

 

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commentaires

391 Réponses pour Patrick Boucheron, l’historien qui veut rendre le passé habitable

la vie dans les bois dit: à

Au CDF il ne subira aucune évaluation.
Il pourra continuer de raconter n’importe quoi.
C’est cool, nan, reons ?

Réons dit: à

la vie dans les bois dit: 20 décembre 2015 à 13 h 07 min

Aucune obsession la Tique, juste un peu de dégoût face à ta réalité. Tu sais, la vraie.

la vie dans les bois dit: à

réons, je te l’ai déjà proposé.
Explique-nous ta pathologie, les symptômes surtout; ça te gratte où exactement ?
______________________________________

Patrick n’a pas été évalué…
cela laisse rêveur.

Une unité de recherche fantôme…

La rubrique LAMOP / UMR 8589 – Laboratoire de Médiévistique Occidentale de Paris ne propose encore aucun document publié.

la vie dans les bois dit: à

A toutes fins utiles réons, en première intention étiologique: des anti-inflammatoires.
et si ton cas s’aggrave: une psychothérapie.
Je ne te fais pas d’ordonnance.

Réons dit: à

la vie dans les bois dit: 20 décembre 2015 à 13 h 34 min
une psychothérapie.

Celle que tu promeus (tu vois où) me semble bien trop influencée par quelques gourous au dogmatisme bien dangereux.

la vie dans les bois dit: à

réons, time is money, et je ne dilapide pas le mien pour les chronophages.

Parler pour ne rien dire, je te laisse avec Patrick Boucheron, tu y es en bonne compagnie.

Et l’auditoire attend tes contributions sur le sujet.

interlude dit: à

D 10h20 conserverait-on si vous étiez ministre de la santé ou des finances le droit à déclarer un cancer, une maladie orpheline ( les enfants de la lune), une hypocondrie coûteuse parce que suivie, un bouquet d’herpès génital( tant pis pour vous) etc etc?

Paul edel dit: à

Jc si vous aviez lu les bons auteurs vous auriez appris que le ressentiment ne s accompagne jamais d un style plat.

Style de vie dit: à

Paul edel dit: 20 décembre 2015 à 15 h 06 min
Jc si vous aviez lu les bons auteurs vous auriez appris que le ressentiment ne s accompagne jamais d un style plat

Il est vrai que le ressentiment qui passe exclusivement par les ciseaux d’Anastasie donne un style plus coupant aux propos.
La mesquinerie en plus.

Etre petit chez les autres pour rester "grand" chez soi dit: à

Popaul vient ici pour commenter ce qu’il se refuse à faire sur son blog si « Littéraire ».
Un monsieur de plus en plus petit.

Miss Tigris dit: à

Popaul a bien raison de faire le ménage chez lui, surtout quand on lit ce qui se trouve trop souvent ici

Elimination dit: à

Miss Tigris dit: 20 décembre 2015 à 15 h 32 min
Popaul a bien raison de faire le ménage chez lui

C’est sûrement pour cela que vous en êtes absente.

Miss Tigris dit: à

parce que vous ne savez pas lire

Elimination dit: à

Miss Tigris dit: 20 décembre 2015 à 15 h 47 min

Anna Fort ?

Miss Tigris dit: à

non, un Porquerollais insistant….. oui

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

La langue de bois suffirait à transformer comme par magie le double tranchant du langage en côté du manche? Certainement pas. Mais voyez comme on finit par ne taper que du bâton chez les schtroumpfs en jargonnant de la grimace jusqu’au sang. Seul conseil à offrir: ne pas y tenir. Liberté d’aller et venir. Ne pas interdire de danser reste possible sans pousser jusqu’à l’obliger.

Sergio dit: à

JC….. dit: 20 décembre 2015 à 10 h 31 min
Sergio à l’Intérieur

Je fais démonter tous les gendarmes couchés ça va coûter bonbon ! La limite à cent chevaux j’en parle même pas… Tonton il avait balancé la vignette moto ; le soir de son arrivée… Du balcon de l’Elysée !

la vie dans les bois dit: à

Cette fresque allégorique d’A. Lorenzetti a fait l’objet de beaucoup d’études.
Où l’on apprend qu’en GB, ces études ont plutôt un aspect politique
Qu’en France, elles sont portées par des sociologues; ça vous étonne ?
Et qu’en Italie, elles sont plutôt historiques.

https://www.youtube.com/watch?v=YAD5xycUb-M

enjoy.

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

Bon, si on y tient vraiment les clichés peuvent aider à ouvrir un boulevard, valable dans tous les Paris du monde ceux à venir inclus. « On » ayant furieusement tendance à se trimbaler une hénaurme largeur à une hauteur indéterminée cela devient furieusement incontournable. Qui quoi ? Non, rien. De l’air!

Sergio dit: à

Paul edel dit: 20 décembre 2015 à 15 h 06 min
le ressentiment ne s accompagne jamais d un style plat.

N’est pas imprécateur qui veut, professait cet excellent Brighelli…

JC..... dit: à

TAPIE POUR TAPIE

Deux sous-développés du bulbe au Front National – ils le sont tous – Gilbert Collard, avocat, et Stéphane Ravier, sénateur-maire, ont enchainé des mots nauséabonds qui nous rappellent hélas les pages les plus sombres de l’Histoire selon le Marquis Boucheron du Passey Habitable, concierge au MORNE CLUB de FRANCE :

G.C. : »Pour lutter contre le FN, Tapie revient en politique : c’est DSK dans une ligue de vertu ! Marrant, non ? »

S.R. : »Le Père Noël dépose, au pied du sapin politique, un jouet d’occasion de l’époque Mitterrand ! »

Paul Edel, écrivain célèbre dans toutes les bonnes tavernes romaines, pourrait dire :  » Gilbert ! Stéphane ! Si vous aviez lu les bons auteurs vous auriez appris que le ressentiment ne s’accompagne jamais d’un style plat. »

JC..... dit: à

Ô CORSICA !

Question insultante du barbier figariste qui titre : « La victoire des nationalistes est-elle une première étape vers l’indépendance de la Corse ? »

Nous l’espérons de tout notre cœur évidemment ! Les Corses, maitres chez eux de leur destin ! Génial !….

Pour quelle raison ce peuple fier, fort, illuminé par l’histoire (au sens du Marquis Boucheron du Basset Rable y Table) se soumettrait à une Nation en perdition, tolérant un Don Provolone épuisé au perchoir suprême, perroquet déplumé ?….

Libérez les amarres ! Liberta !…

JC..... dit: à

SEMIOLOGIE POUR LES NULS

Monsieur Verminiglia, un voisin mal marié obligé d’épouser une handicapée, encloquée par ses soins un soir de la Fête Dieu 1981, m’interroge hier :

– Salut, tu connais Patrick Boucheron ?
– Evidemment, je le connais !
– C’est qui ?
– D’après Passou, c’est l’historien qui veut rendre le passé imbitable.

Lavande dit: à

Merci Passou pour « la mort d’Auguste ».

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

La sauce à salade c’est pas bien difficile (même quand elle n’est pas déjà prête)…

la vie dans les bois dit: à

Je voudrais rappeler un lien, mis ici, en novembre 2013.
Déjà…

Jacques Heers à propos de l’histoire de Sienne :

L’essor d’un nouvel urbanisme

Sienne fut ainsi l’une des premières cités à promouvoir des règles qui répondaient à la recherche du beau et de l’harmonie. On réglementa les alignements des palais privés et des maisons situées tout autour de cette place ; on limita la construction des balcons et des portiques. Les décrets de 1297 interdisaient aux propriétaires des maisons sises sur la place de les surmonter de terrasses fermées par des balustrades et les obligeaient à n’avoir, sur la façade, que des fenêtres bifores, à doubles arcades, toutes les mêmes. Le Campo fut l’une des premières places soigneusement pavées en Italie et les statuts de 1346 décrivaient avec force détails ce pavage de briques, tel qu’il se présente encore, disposé de façon parfaitement régulière, interrompu par neuf lignes de pierres grises convergeant vers le centre.

Coïncidence ? Le gouvernement qui, dans les années 1300, mit fin aux troubles et aux conflits, réduisit ses opposants à merci et institua une sorte de tyrannie était formé de neuf personnages, d’abord autoproclamés puis cooptés. Ces Neuf, craints de tous, se faisaient acclamer pour leurs bienfaits, notamment pour leur soin mis à embellir la cité et rendre la vie plus agréable. Les « maîtres des rues » visitaient régulièrement ville et faubourgs pour vérifier la largeur des rues et faire dégager les passages encombrés. Les voies publiques en mauvais état, les rues obscures, étroites ou dégradées, devaient être réparées ou élargies. Des élus veillaient à ce que les briques ne soient pas vendues au-dessus du prix fixé et qu’elles soient « lourdes et solides, ainsi qu’il est dit dans la Constitution ».

http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/sienne_la_silencieuse.asp

la vie dans les bois dit: à

Patrick est un bon compilateur. Il faut lui reconnaitre ce talent, quand même.
Mais à l’époque du web, l’illusion est de trop courte durée…

rose dit: à

merci marc court ; je suis revenue à edgard allan poe pour comprendre l’insertion de cette citation et ai lu, grâce à vous, cette histoire fratricide ; je vous en remercie.

Soyons réalistes dit: à

la vie dans les bois dit: 20 décembre 2015 à 19 h 40 min
Je voudrais rappeler un lien, mis ici, en novembre 2013

Sais-tu ô reine des prés que tout le monde se fout de tes liens.
De tes liens et de toi.

Widergänger dit: à

Toujours pas de neige à Bergün. Y a en marre du réchauffement climatique.

décodeur dit: à

« La Bible dit que Dieu a créé le monde, et puis au septième jour « il se reposa et vit que c’était bon ».

Seul un homme aurait pu parler ainsi, jamais Dieu. Dieu a créé le monde, pourtant – très certainement – il n’a jamais ressenti que « c’était bon » ce qu’il avait créé. C’est le contentement de soi du petit artisan qui fièrement contemple le travail de ses mains, une balance, un cercueil ou une paire de bottes, qui se tape sur le ventre et s’assure lui-même que « c’est bon », ce qu’il a créé. Dieu n’est jamais aussi fat. Dieu et l’artiste – eux deux seulement – savent que ce n’est jamais « bon », que tout ce qui est de l’ordre de la création, humaine ou divine, est imparfait, car le souhait qui brule sur le foyer de toute création, ne s’éteint jamais, veut autre chose, plus, quelque chose de plus humain ou de plus divin … Ne te réjouis pas, ne te tourne pas les pouces de contentement, ne cligne pas des yeux, satisfait. Ce n’est pas « bon ». C’est, simplement – et ça déjà c’est surhumain. »

la vie dans les bois dit: à

au fake de 210h29, je comprends que tu détournes les yeux.
Place de la République, c’est bien dans le XIIème,à paris, non ?
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-18-ados-portent-plainte-pour-violences-policieres-18-12-2015-5385327.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr

Mais tu n’es pas le seul, à faire de même. En 40, déjà les parisiens n’ont pas brillé.

Tiens, si tu n’as pas non plus ouvert cet autre lien, je t’en donne la substantifique moelle:

« Nous comprenons et acceptons que cette exposition puisse faire l’objet de critiques, dont celles du Président du CRIF, car elle a comme ambition de rendre compte d’un point de vue humanitaire des difficultés quotidiennes des Palestiniens sous occupation israélienne, parti-pris dont nous connaissons le caractère controversé », déclare le Dr. Mego Terzian, Président de Médecins Sans Frontières. « Mais de toute évidence les accusations formulées par M. Cukierman sortent du cadre d’un débat d’opinion. Nous lui demandons donc instamment, en sa qualité de président du Crif, de retirer ses accusations. En cas de refus ou de non-réponse, nous donnerions à ces déclarations injurieuses et menaçantes les suites qu’elles méritent. D’autant que par leur outrance, elles sonnent comme une invitation à la violence physique contre nos personnels. »
http://www.msf.fr/presse/communiques/expo-between-wars-paris-msf-demande-au-president-crif-retirer-ses-propos-diffamat

vani dit: à

Bergün à la limite je m’en fous.
Mais la Haute-Tarentaise, non.
Temps de me.dre.

la vie dans les bois dit: à

Tiens, si tu n’as pas non plus ouvert cet autre lien, je t’en donne la substantifique moelle:

« Nous comprenons et acceptons que cette exposition puisse faire l’objet de critiques, dont celles du Président du CRIF, car elle a comme ambition de rendre compte d’un point de vue humanitaire des difficultés quotidiennes des Palestiniens sous occupation israélienne, parti-pris dont nous connaissons le caractère controversé », déclare le Dr. Mego Terzian, Président de Médecins Sans Frontières. « Mais de toute évidence les accusations formulées par M. Cukierman sortent du cadre d’un débat d’opinion. Nous lui demandons donc instamment, en sa qualité de président du Crif, de retirer ses accusations. En cas de refus ou de non-réponse, nous donnerions à ces déclarations injurieuses et menaçantes les suites qu’elles méritent. D’autant que par leur outrance, elles sonnent comme une invitation à la violence physique contre nos personnels. »
http://www.msf.fr/presse/communiques/expo-between-wars-paris-msf-demande-au-president-crif-retirer-ses-propos-diffamat

Antonio Corrado dit: à

Devrons-nous dorénavant être astreints de godiller sur des cristaux artificiels ?
Le Beaufort sera-t-il toujours d’été ?
Le Bergeron mis en tonneaux en juin ?
Le génépi cueilli en février ?

Ô Cop21 sauve-nous.

Mais qu'elle est ... dit: à

la vie dans les bois dit: 20 décembre 2015 à 21 h 12 min
Place de la République, c’est bien dans le XIIème,à paris, non ?

Bennnnnnnnnn, non !

la vie dans les bois dit: à

Pas de neige ?
Mais Chamonix, 150cm, quand même !
Certes, pas pour tout le monde…

la vie dans les bois dit: à

A 21h21, au temps pour moi !

décodeur dit: à

Non, pas dans le 12ième, je confirme.

la vie dans les bois dit: à

@21h23, effectivement, la place de la République, n’est pas dans le XIIème.

décodeur dit: à

LVDLB
Comme Duneton, je suis en faveur de « autant pour moi », plus intuitif et logique.

« À la suite de l’article de Claude Duneton dans Le Figaro littéraire14, des internautes défendent la graphie « autant pour moi » en remettant en cause l’étymologie invoquée par les ouvrages comme Le Petit Robert, Le Français correct de Maurice Grevisse ou l’Académie française14.

Claude Duneton expose dans cet article plusieurs théories en parallèle. Il commence par affirmer que l’expression « au temps » dans son sens propre n’est pas utilisée par les militaires.

Selon lui, l’expression doit se comprendre comme « Je ne suis pas meilleur qu’un autre, j’ai autant d’erreurs que vous à mon service : autant pour moi. »

Claude Duneton voit un argument en faveur de « Autant pour moi » dans l’expression idiomatique anglaise so much for (en) qu’il considère avoir un sens « presque analogue ».

Ce qu’il considère comme son argument ultime est la présence dans le dictionnaire des Curiositez françoises15 de 1640 de l’expression « autant pour le brodeur » décrite comme « raillerie pour ne pas approuver ce que l’on dit. vulg. ».

la vie dans les bois dit: à

antonio corrado, à tout hasard, c’est pas le toquard qui signe pado, des fois ?
Je me souviens de ça à cause d’A. Camilleri.

la vie dans les bois dit: à

décodeur, j’en reste à la discipline de la grammaire, toute militaire.

Mais quelle est... dit: à

la vie dans les bois dit: 20 décembre 2015 à 21 h 30 min

@21h23, effectivement, la place de la République, n’est pas dans le XIIème

Bravo la Tique.
Et maintenant une autre révision :
Non il n’y a pas 1,5 mètres de neige à Chamonix.

pado toquard dit: à

la vie dans les bois dit: 20 décembre 2015 à 21 h 33 min
c’est pas le toquard qui signe pado

Vous avez trouvé cela toute seule ?
Bravo, vous êtes nulle en littérature (c’en est) mais sur la durée vous avez des dons de flic.

la vie dans les bois dit: à

Ainsi la concierge du blog aux multiples pseudos, c’est donc pado de paris XII.
Quelle surprise.

Antonio Corrado dit: à

la vie dans les bois dit: 20 décembre 2015 à 21 h 33 min
à cause d’A. Camilleri.

Euh…. vous êtes sûre ?

la vie dans les bois dit: à

Je vais te laisser à ton dîner de con en tête à tête avec toi-même, pitbull.

Bonne soirée, aux parisiens !

Sergio dit: à

Oui ben Dieu, i crée des Mondes, seulement il fourgue les places de la république dans on sait pas où…

Sauf celle des livres, bien sûr, Passou i tient la barre comme le fliegende Holländer…

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 20 décembre 2015 à 21 h 53 min
en tête à tête

Etrange expérience que de se regarder becqueter devant un gigantesque miroir… Réparer sa mobylette ! Invectiver au téléphone un guignolo genre rabatteur bancaire…

D. dit: à

Je n’aime pas votre façon de jouer au benêt, Sergio. Vous êtes capable de bien mieux, si vous le voulez. Et nous sommes plusieurs ici à le penser.

D. dit: à

Vous êtes un hêtre pudique, comme Bouguereau, n’est-ce pas ?

D. dit: à

Widergänger dit: 20 décembre 2015 à 21 h 03 min

Toujours pas de neige à Bergün. Y a en marre du réchauffement climatique.

Vous n’aviez qu’à rester chez vous, ou choisir une destination culturelle. Je dirai que c’est bien fait pour vous.

D. dit: à

interlude dit: 20 décembre 2015 à 14 h 36 min

D 10h20 conserverait-on si vous étiez ministre de la santé ou des finances le droit à déclarer un cancer, une maladie orpheline ( les enfants de la lune), une hypocondrie coûteuse parce que suivie, un bouquet d’herpès génital( tant pis pour vous) etc etc?

Oui, oui, oui, oui, et oui.

D. dit: à

Cependant :

– Poumons noirs —-> prime d’assurance-santé augmentée.

– Bergün —–> prime d’assurance-santé augmentée.

– Transaminases —–> prime d’assurance augmentée.

– RdL ——-> prime d’assurance santé augmentée.

D. dit: à

Avec effet cumulatif.

Sergio dit: à

D. dit: 20 décembre 2015 à 23 h 42 min
Et nous sommes plusieurs ici à le penser.

Nec pluribus impar…

Qui c’est qu’a dit ça ? Non mais qui c’est qu’a dit ça ? Clémenceau avec deux ailes ? Donatien Alphonse ? Saint-Augustin (le chef de station je veux dire) ? Marguerite Steinheil (passeque lui i disait déjà plus rien) ? Le grand Ferré ? Lavoisier ? Mirabeau par la volonté du peuple…

JC..... dit: à

A cette heure ci, en face de mon bureau, au bout de la bibliothèque, les petites lampes de la Crèche de Noel, réalisée par mes soins avec des maisons et santons de plus d’un siècle, semblent d’une incongruité rassurante…

Ce doit être merveilleux d’être assez crétin, pardon chrétien, pour croire en Dieu !

Apaisant tout ce roman de Bethléem ! les rois mages, patati, patata, on en oublierait la fin tragique du Sémite fou se prenant pour le fils de dieu… Apaisant de savoir qu’il y a non pas le hasard probabiliste aux commandes, mais un bon Père au Ciel qui protège des méchants.

Quand on y pense, on se sent comme un agneau dans une étable bien chauffée, comme un coq en pâte, … Evidemment, moi, je me sens derrière mon bureau confortable comme une murène ayant bien bouffé les petits poissons qui servent à ça, la gueule grande ouverte, le sourire inquiétant, l’envie de roter, de gueuler, bien supérieure à celle de penser Noel…

la vie dans les bois dit: à

Sergio, c’est excellent cette idée de « plusieurs », qui bouffent en tête-à-tête !
Et si vous en faisiez une fresque, un peu comme Lorenzetti?

Sauf qu’elle serait virtuelle, probablement inspirée des travaux de Fibonaci.

Le seul truc, c’est que vous n’auriez pas vraiment le choix du pan de mur dans ce palais public :
Il vous faudrait représenter l’allégorie de « la république des libres », ceux qui se bouffent la tête. Vous n’oublierez pas le symbole de la corde, pas celle qui unit et sauve, mais celle qui vous entrave tous aux pieds, les exagérément libres.
Bon retour à la base.

Et merci à la justice divine du bon gouvernement.

la vie dans les bois dit: à

Fibonacci, mathématicien italien, de la belle époque, of course.

JC..... dit: à

Allongée lascivement sur un des convecteurs du chauffage central réglé à 20°, la féline Mimi von Maurlaw me regarde avec les yeux de Cléopâtre attendant Caesar, ou Marc-Antoine, suivant le résultat des régionales.

Elle est inhumainement splendide. Les chats rêvent ils de souris électriques ?….

JC..... dit: à

Question : lorsque le vieux Tapieneur veut défendre les jeunes contre la gangrène FN, la composante principale de son combat est elle de type « pulsion pédophile sénile » ou tactique « mediatico financière » ?

Jogging ….now !

interlude dit: à

Cependant : D 23h51

Vous avez tort, nul besoin de démonstration pour objectiver que vivre recèle comme un voleur des risques inhérents qu’il conviendrait de reformuler , seuls les suicidés refusent de coûter plus que cette vie qui vient creuser le trou de la sécu de façon répétitive et quoiqu’on en pense on ne pourra pas leur demander de souscrire à une assurance supplémentaire pour compléter la prévoyance due à une existence ruinée ruineuse , qui vous demande de fréquenter les piscines les salles de sport les réunions de comité d’entreprise où circulent et s’échangent bactéries et virus ( toujours respecter la distance de sécurité car on ne sait jamais ce qui se cache dans la main serrée, sur la joue qu’on est prié d’embrasser, la gouttelette de celui qui vous postillonne dessus d’ailleurs il est préférable par ces temps de grippe aviaire de refuser ces signes de sociabilité au risque de passer pour un malotru ), personne ne court ne s’échauffe ne dépasse les limitations de vitesse et pourtant nous pouvons constater sur les relevés épidémiologiques que ces lieux outre le fait qu’ils peuvent représenter un danger pour l’équilibre physique de l’individu sont aussi des boites de pétri dans lesquelles fermentent des levains suspects qui risqueront à terme d’infecter l’entreprise.

JC..... dit: à

Bien que ce soit une réflexion fort peu littéraire et, à la limite indécente, reconnaissons ensemble le raffinement de Patrick Boucheron.

Il se teint les cheveux de la même couleur que son veston ….

dupont dit: à

Je confirme: la place de la République n’est pas dans le 12ième!

thomas dit: à

Widergänger dit: 20 décembre 2015 à 21 h 03 min
« Toujours pas de neige à Bergün. Y a en marre du réchauffement climatique. »

C’est la faute aux écolos c’est sûr

thomas dit: à

« Place de la République, c’est bien dans le XIIème,à paris, non ? »

Mais non!

cricri dit: à

JC….. dit: 21 décembre 2015 à 6 h 25 min

Très poétique

Quant à nanard comme la marine il te veau bien

William Legrand dit: à

La dévouée Madame Verniglia nous confie : « Quel bousin hier encore au Camp à Nella de la rue Fournier devant le domicile de JC qui avait déployé une banderole MARINE PRÉSIDENTE MAINTENANT aux fenêtres de son domicile. Une foule immense s’était réunie, ils étaient 3 ou 4 mais par un prompt renfort ils furent bientôt 5 ou 6 en arrivant devant chez lui; les gens commencent à en avoir marre ».

JC..... dit: à

Non seulement il n’y a pas de neige à Bergün, Suisse, mais il n’y en a pas non plus à Bergen, Norvège, j’ai vérifié !

A contrario, le commissaire de police, un ami, m’a dit que chez les Verminiglia, on en trouve toujours de la bonne… venue de Colombie.

nanard dit: à

 » le commissaire de police, un ami, »

ce que tu crois

Marion Nette dit: à

J’aime bien quand JC réplique, ça veut dire qu’il est touché : c’est le but recherché

JC..... dit: à

C’est bien d’avoir un but dans la vie ….

masud al-bukhari dit: à

Superbe leçon.

Superbe morceau à la française.

Superbe morceau aussi d’équilibriste français, tendant un cable entre les Twin Towers de l’Histoire et de la Littérature.
En bas, levant la tête, les spectateurs maussades ou angoissés des sciences sociales.

Normal qu’il se réfère deux fois à Foucault.
Il conviendra chez PB aussi de jouir de sa séduction et de la tenir à une bonne distance, grâce à l’ironie.
Les yeux du bon lecteur apprennent vite à ne pas trop prendre au sérieux la poudre somptueuse mais parfois convenue de cette tradition (ou néo-tradition) rhétorique…

Surtout concernant le deuxième versant de son entreprise, non l’exploration des savoirs mais l’engagement de l’historien dans son siècle.
La magnifique générosité dont il fait preuve dans le travail du premier versant ne produit pas nécessairement des effets heureux dans les choix pratiques du second.

C’est très bien de souligner l’aspect « périphérique » de l’Europe à l’âge des empires, mais que faire des « pauvres hommes » (L. Febvre) que le hasard a fait naître aujourd’hui sur cette péninsule, à l’âge des déterreritorialisations?
Que dit PB de juste et que dit-il de faux sur l’actuel, celui de l’islamisme ou celui des « migrants », quand il descend dans l’arène en tant que simple citoyen?

Je n’en sais rien encore, je le lirai avec intérêt.

JC..... dit: à

Masud ! Masud ! Les simples citoyens ne descendent pas dans l’arène (comme de vulgaires Fersen), ils y naissent, y vivent et ils y meurent.

Je ne vois pas une divinité, teintée, comme Patrick Boucheron, venir se complaire à frayer au milieu des parvenus de la Cour des Non-miracles…

Gégé dit: à

masud al-bukhari dit: 21 décembre 2015 à 11 h 21 min

Ueda, il n’est pas nécessaire de nous infliger une vingtaine de lignes sans intérêt uniquement pour caser votre psychose : islamisme et migrants.
La prochaine fois commencez par cela.

JC..... dit: à

Depardieu, Cahuzac, Platini, Blatter, Chirac, …. même combat ! Quel Homère nous chantera les périples suisses, russes, moraux, de ces aventuriers qui nous ressemblent comme des … codétenus ?!

JC..... dit: à

Exterminons* les migrants comme font nos sœurs asiatiques jalouses qui transforment leur maris « euthanasiés » en farce pour raviolis, donnant les os à ronger aux chiens des mandarins…

* il s’agit d’une vue de l’esprit poétique, en aucun cas d’un programme politique voué à l’échec pour des raisons sanitaires : principe de précaution

Pat Rique dit: à

JC….. dit: 21 décembre 2015 à 9 h 33 min
la même couleur que son veston …

Un veston !
Un superbe manteau en poil de chameau,
on voit bien que vous vivez en slip moule-bi.. toute la sainte journée.

interlude dit: à

« Les discours historiques portés par ces modèles sont marqués
par deux caractéristiques majeures. La première est un vocabulaire
et des modes de présentation assez spécifiques et fortement
influencés – contaminés diraient certaines mauvaises langues –
par des sciences « dures », en particulier les mathématiques, ou
considérées plus dures que l’histoire comme l’économie (ellemême
très mathématisée). C’est ainsi que, dans les cas extrêmes,
on peut voir surgir dans le cadre de discours historiques des mots
et formules a priori incongrus en histoire comme « bijection »
ou « bifurcation des systèmes dynamiques non linéaires »
13.
La chose se comprend bien sûr très bien dans certaines situations,
par exemple dans le cadre d’études s’appuyant sur l’usage
des statistiques, mais que penser de cet ésotérique « (Bi
, Bj
) = si
E1
, faire Bi
; si E2
, faire Bj
, avec i, j =1, 2 » qui, nous dit-on, résume
les quatre stratégies possibles de Blücher à Waterloo14? Le vrai
problème dans cette « phrase » n’est pas le caractère juste ou non
de la proposition, mais bien le fait qu’il y a ici le choix d’un
langage qui est totalement incompréhensible pour 99,99% des
historiens actuels, d’un langage qui paradoxalement interdit donc
toute discussion. »

http://www.erudit.org/revue/npss/2010/v5/n2/044084ar.pdf

Arrangements entre amis dit: à

JC….. dit: 21 décembre 2015 à 11 h 43 min
russes,

Pour les russes n’oubliez pas vos copines blondasses.

JC..... dit: à

Ma Trique
J’ignorais que Boucheron était frileux au point de sacrifier un chameau pour s’emparer de son poil !
(en nos iles, personne n’a de « manteau »….)

JC..... dit: à

Interlude,
êtes vous dingue ? comédienne ? seule et abandonnée ? rédactrice en chef d’un magazine culturel féminin tiré à 256 exemplaires ?….

masud al-bukhari dit: à

Gégé dit: 21 décembre 2015 à 11 h 42 min
caser votre psychose

Cette psychose européenne fera l’objet d’un prochain colloque au CdF.
Je redoute une pensée molle de professeurs mais le pire n’est jamais certain.

masud al-bukhari dit: à

C….. dit: 21 décembre 2015 à 11 h 43 min
Depardieu, Cahuzac, Platini, Blatter, Chirac, …. même combat

N’oublions pas le plus extravagant des cadeaux de Noël recyclés: Bernard Tapie lui-même.
Mâtin…

JC..... dit: à

On vient d’arrêter le conducteur du billet qui a trainé son passager invité, peu connu, Patrick Boucheron sur 2 kilomètres retenu à bord par sa ceinture de sécurité historique, littéraire et habitable….

Il s’agirait d’un repris de justice critique, P.A., surnommé « la Bête de Sigmaringen » et qualifié par les spécialistes de brillant individu amoral issu d’un « milieu carencé, un peu marginal, sans activité professionnelle », selon le parquet.

Marion Nette dit: à

la trique à JC s’écrit « matraque » pour taper sur tout le monde

JC..... dit: à

Merci, Masud !
BàV et Joyeux Noel… !

Tapie, oh oui ! Charrette, place de Grève ! Comme si les jeunes avaient besoin de tels vieux !

JC..... dit: à

Pravda Toys Ltd vient de sortir à Moscou pour les fêtes de fin d’année une poupée russe géniale où figurent, emboités à merveille : Depardieu, De Gaulle, Mitterrand, Cahuzac, Tapie, Obama, Putin, Assad, Juncker, Fabius, Chirac, Holland, Bush, Castro, Churchill et Goering.

La Région de Guyane vient d’attaquer cette entreprise russe, donc européenne, lui demandant de justifier pour quelle raison la top model politique et judiciaire Christiane T. n’a pu rentrer dans la dimension de l’objet ludique alors que le gros Goering y figure !

Daaphnée dit: à

(en nos iles, personne n’a de « manteau »….)

Je ne vous le fais pas dire, JC !
Ici, il n’y aurait que les moustiques pour se mettre un bonnet sur la tête .
Bon, il est vrai que lvdb a opté depuis longtemps pour cet attribut, histoire de garder la vue rivée sur le bout de ses charentaises ..
Bref,
Bref.

Notre Wiwi-des-sommets se plaint du manque de neige, ici ce serait l’abondance des moustiques , vecteurs de toutes les fièvres que vous pouvez imaginer … sauf de celle de faire des folies.
Quoique .
Carpe diem .
Bref.
Mon voisin pédé comme un lamentin en voie d’extinction, faiblit aux échecs. Je m’ingénie à le mettre mat en moins de temps qu’il ne faut pour vous le dire.
Mat, avec ma Reine .
Et toc .

Non mais ! S’il croyait m’impressionner avec ses ronds de jambes …
Point trop n’en faut .

Daaphnée dit: à

Mon U. chéri, Noël me porte au large …
Je vous embrasse ..

interlude dit: à

culturel féminin tiré à 256 exemplaires ?…

Du tout, je sors de la projection du nouvel opus de la guerre de l’étoile et suis-je décidée à tenter de faire tenir debout un modèle de modélisation qui devrait servir à l’édification des différents partenariats sociaux sans qu’il soit besoin de tronçonner l’arbre la branche et le secteur.

Daaphnée dit: à

Nota bene: si qq a une idée pour que la mousse au chocolat résiste fermement à 40°C .. je suis preneuse.

interlude dit: à

Cependant si vous y préférez une conversation sur tous les « ions » comme notre regretté Philippe S aimât à distinguer les isthmes, je suggère d’aborder les sujets suivants:
– collusion et intérêts
.
– déviation et corruption de l’itinéraire ( pour concurrencer Michel H)
.
– anticipation et précipitations ( pour relancer météo-France qui bat des ailes sans attraper le moindre courant porteur)
.
– Dévoiement et manipulation du sens chez les inuits ( car c’est un sujet inabordable aussi conviendra-t-il de briser la route maritime tout en banquise qui nous ménera deux buts à trois à affréter des brises glaces chez les russes).

JC..... dit: à

« Mon voisin pédé comme un lamentin » (Daaphnée)

Me permettez vous de me servir de ce remarquable raccourci slovène ? Merci !

J’avoue que mes « pédé comme un phoque, comme un préfet, comme un énarque, comme un trader, comme un brit, comme un imam, comme un chanoine, comme un syndicaliste  » …. ça commence à faire vieux jeu.

« Pédé comme un lamentin », c’est grand, c’est frais, ça sent la mangrove, … et ça rime avec historien, ce qui ne gâte rien !

Paul edel dit: à

Cette photo de pb pose problème :on croirait un comédien de la comédie française mal demaquille du role du comte almaviva qui file vers le bistrot de la place Colette

la vie dans les bois dit: à

Thomas à 9h45, tu te réveilles tard, toi.
Cours vite place de la Nation, tu y verras un triomphe.

la vie dans les bois dit: à

Patrick n’aura pas froid cet hiver, de la manière, dont il a été rhabillé ici.

interlude dit: à

12h45 je décèle en vous la fibre de l’auteur/ compositeur à la Sardou qui eût pu ébranler les murs de Jerico dans « je vais t’aimer « , si l’on transpose version gay vos propositions sémantiques.

filochard dit: à

« Nota bene: si qq a une idée pour que la mousse au chocolat résiste fermement à 40°C .. je suis preneuse. »

Vous la laissez au frigo et prélevez la mousse cuillerée par cuillerée en refermant aussitôt la porte à chaque fois.

la vie dans les bois dit: à

Et la dinde de 12h28 s’apprête pour Noël.
D’ailleurs elle est déjà cuite.

interlude dit: à

13h02 Vous faites bien de préciser, personne n’établissait le rapport entre vous et cette autre.

D. dit: à

Je viens enfin de comprendre que CdF signifiait Collège de France et non pas Chasseur de Fantômes.
Ça change pas mal de choses.

Daaphnée dit: à

et ça rime avec historien, ce qui ne gâte rien !

Ah, mais je vous arrête tout de suite, JC !
Figurez-vous que j’ai une profonde estime pour les historiens et les géographes !
– Tiens, je viens de lire Gracq, encore une fois (!), dont la prose en ses qualités tient beaucoup au regard expérimenté du géographe ..-
d’autant qu’étant bien trop distraite de nature, pour retenir la moindre date et la moindre frontière, je me suis persuadée qu’il était plus opérant dans mon cas, de n’établir que des analogies plutôt que retenir des dates précises et des frontières, au final très mouvantes ..
Bref, je m’accommode assez bien de la contradiction en ces domaines dont je suis ravie d’en être très ignorante et où j’ai un grand plaisir .. à pouvoir y découvrir des maîtres explorateurs ..

D. dit: à

L’estime de Daaphnée est souvent profonde.

Daaphnée dit: à

CdF signifiait Collège de France

Le fait est que cette lvdb ignore tout des usages !
« CDF » pour « CdF » que personne ne nommerait autrement que « Collège de France ».
En toutes lettres … PFFF ! !

Daaphnée dit: à

CdF signifiait Collège de France

Le fait est que cette lvdb ignore tout des usages !
« CDF » pour « CdF » que personne ne nommerait autrement que « Collège de France ».
En toutes lettres, … PFFF ! !

Daaphnée dit: à

D. au lieu de prendre des risques inconsidérés .. rendez-vous utile pour une recette de mousse au chocolat, honorable, sous des climats hostiles .

JC..... dit: à

« Ah, mais je vous arrête tout de suite, JC ! » (Daaphnée, 13:26)

Vous réussiriez ? là où tant d’autres ont échoué !

D. dit: à

Vous faites en premier lieu une meringue italienne légèrement dépassée . Vous réservez. A côté vous faites fondre votre chocolat à 45 degrés celcius, et vous ajoutez vos jaunes. Ensuite vous incorportez précautionneusement

D. dit: à

cette préparation à votre meringue, puis vous mettez en ramequins ou dans ce que vous voulez, puis 2 heures au réfrigérateur à 3 degrés Celcius.

Daaphnée dit: à

mmm .. ne prenez pas tout au pied de la lettre, JC, j’embarque sur un catamaran sous peu et il n’y a que la mousse au chocolat qui risque de perdre au jeu de cache-cache ..

hervé dit: à

Gégé dit: 21 décembre 2015 à 11 h 42 min

Ueda, Gégé a raison soignez-vous au lieu de déversez votre bile de pervers frustré ridiculissssssime

lecteur assidu dit: à

JC….. dit: 21 décembre 2015 à 10 h 51 min
« C’est bien d’avoir un but dans la vie …. »

Vexé, l’adolf!
______________________
Daaphnée dit: 21 décembre 2015 à 12 h 28 min
« Mon voisin pédé comme un lamentin en voie d’extinction, »

On reconnapit bien là la délicatesse et le style poético bêbête de l’accroc aux pornos

les petites pièces jaunes dit: à

« Depardieu, Cahuzac, Platini, Blatter, Chirac, …. »

Et bernadette alors, cette héroïne qui s’est sacrifiée toute sa vie pour le bien de la populace, elle compte pour du beurre peut-être?! ?

Marion Nette dit: à

En lisant les réponses, affirmations, négations, supputations ou délires de JC on a la preuve qu’il a le cerveau vraiment très bas de plafond, c’est un désastre intellectuel grave

D. dit: à

Pour prendre la défense de Ueda, je n’ai jamais reconnu en lui un pervers.

le choeur d'admirateurs dit: à

 » j’embarque sur un catamaran sous peu »

mon dieu ! que vous êtes merveilleuse

JC..... dit: à

Daaphnée dit: 21 décembre 2015 à 13 h 59 min
mmm .. « ne prenez pas tout au pied de la lettre, JC »

Figurez vous que j’extraie toujours le sens primal, puis, une fois ce travail fait, je creuse à la recherche des couches profondes … Il m’arrive de retourner bredouille !

Daaphnée dit: à

De toutes les façons, mieux vaut prévenir que guérir .
Si .

JC..... dit: à

Marion, Marion !
J’ai en main ton bourdon,
J’ai en main mon gourdin.
Je te le dis, j’ai faim !

Marion ! Marion !
Fais moi voir tes citrons,
Fais moi tâter ton don !
Je te le dis : c’est bon !

(euh… Passou, ce ne sera pas repris, aucune récidive à craindre)

D. dit: à

Le bateau de Daphnee, il est pas tri marrant , alors un pi de sérieux, siouplé.

Larmichette dit: à

masud al-bukhari dit: 21 décembre 2015 à 12 h 03 min
Cette psychose européenne fera l’objet d’un prochain colloque au CdF.

Daaphnée dit: 21 décembre 2015 à 13 h 34 min
« CdF » que personne ne nommerait autrement que « Collège de France ».
En toutes lettres, … PFFF ! !

La fin d’une belle histoire d’amour.
Pleurez erdéliens.

Lacenaire dit: à

en passant vite fait : article intéressant « l’art du trolling ou comment troller les trolls »
sur http://www.rue89.nouvelobs.com
avec un bras d’honneur à JC

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 21 décembre 2015 à 6 h 39 min
« la république des libres »

Houla on sait jamais i peuvent resurgir, hein ! Comme les Bonapartistes… Les Carbonari ! Rien appris rien oublié…

Ha et puis les concours au trésor c’était difficile ! C’est comme les Kreuzwort de l’Obs j’en ai jamais réussi un seul…

Sergio dit: à

Les bras d’honneur c’est comme en avion les réservoirs faut pas oublier de permuter ! Sinon haprès on se retrouve avec un biceps comme Popeye et l’autre un fil de fer de chez Outils Wolf…

Daaphnée dit: à

Pleurez erdéliens.

Mais non, Larmichette, il n’y a que vous qui ayez une vie à ce point pauvre et vide de sens pour imaginer « vivre » sur internet .
Pauvre petit troll scotché à son écran .

Daaphnée dit: à

au trésor c’était difficile !

Il faut dire, Sergio, que sans la carte, au compas …

Gégé dit: à

« croisé les trolls nauséabonds aux commentaires débiles qui empêchent tout dialogue »
Rue89 par l’intermédiaire de Lacenaire.

Pour rester si soft l’auteur de l’article ne devait pas connaître le Lacenaire/William Legrand/Madame gaga/Pseudo Multiple qui nous pollue ici chaque jour de ses crachouillis d’une bêtise telle qu’aucune personne saine d’esprit ne peut les imaginer.

Les rdéliens font preuve d’une grande maîtrise pour supporter ce « nauséabond ».

Trollinette dit: à

Daaphnée dit: 21 décembre 2015 à 15 h 55 min

N’empêche que vous avez insulté Ueda et ça c’est grave.

JC..... dit: à

Ah !!! Feu la République des Libres !

C’était qui, la gérante, déjà ? Ah, ouiiii ! SOEUR MARIE DES ROSES, la gauchiste bourgeoise du Luberon …Quelle rosse !

Y a des spécimens, je vous jure ! A crever de rire triste !

jem dit: à

« La BnF et Apple numérisent 10 000 œuvres libres de droits… et feront payer leur consultation ! »

Simple contournement mercantile qui fera long feu, ainsi que le prévoit l’article. Comme s’il fallait confirmer la disparition prochaine de tout droit de lecture – à commencer, indirectement, par le droit d’auteur…

JC..... dit: à

Le fada aux pseudos multiples, y a pas de doute possible c’est le style TKT, l’Helvète obsessionnel. Un rôle pour lui : « Le Retour de la Momie »… A moins que ce ne soit que l’Arabe du futur, le londonien du foot dans les pubs ?

Le mystère reste entier, pour ces demi-soldes…uhuhuhu !

Marion Nette dit: à

Vous avez raison, Gégé, JC est vraiment « nauséabond »

D. dit: à

Bon, Bérénice, vos impressions sur votre déjeuner?

Gégé dit: à

17h18-17h20-17h22

Quelle activité mon p’tit chéri

JC..... dit: à

Quittons nous sur une bonne nouvelle issue de la volonté du gouvernement de notre cher vieux pays de lutter efficacement contre la radicalistaion numérique sur blog qui concerne jeunes et moins jeunes, fous du clavier !

Bernard Tapie est nommé Directeur de la « Clinique de Déradicalisation des Trolls Numériques » que Christiane Taubira inaugurera le 31 décembre à minuit, à la Courneuve, impasse de la diversité.

Il sera assisté de Jérôme Cahuzac, directeur financier et de Charles-Henri-Enguerrand de Bouguereau, chargé des technologies restabilisantes et de la torture psychologique sexuelle, pour les récalcitrants se montrant rétifs aux Lumières.

Inscrivez vous auprès de la Direction qui transmettra. Bonne soirée !

zouzou dit: à

à 17 h 28 min
baroz est vraiment bouché

Sergio dit: à

Daaphnée dit: 21 décembre 2015 à 15 h 59 min
sans la carte, au compas …

Faut voir, parce que Robert Louis a tout écrit de son île jamais il en a plus décoincé… Il avait jamais vu une pelle ! Ni les cartes même celles d’époque avec des hachures qui feraient se paumer même un pigeon voyageur… Ou la bête, là, le lamentin ceux du désert…

D. dit: à

Très beau texte aujourd’hui en première lecture :

— Cantique des Cantiques 2, 8-14

La voix de mon bien-aimé !
C’est lui, il vient…
Il bondit sur les montagnes,
il court sur les collines,
mon bien-aimé, pareil à la gazelle,
au faon de la biche.
Le voici, c’est lui qui se tient
derrière notre mur :
il regarde aux fenêtres,
guette par le treillage.
Il parle, mon bien-aimé,
il me dit :
Lève-toi, mon amie, ma toute belle,
et viens…
Vois,
l’hiver s’en est allé,
les pluies ont cessé,
elles se sont enfuies.
Sur la terre apparaissent les fleurs,
le temps des chansons est venu
et la voix de la tourterelle s’entend
sur notre terre.
Le figuier a formé ses premiers fruits,
la vigne fleurie exhale sa bonne odeur.
Lève-toi, mon amie, ma toute belle,
et viens…
Ma colombe, dans les fentes du rocher,
dans les retraites escarpées,
que je voie ton visage,
que j’entende ta voix !
Ta voix est douce
et ton visage, charmant.

Marion Nette dit: à

Gégé = WGG = mon p’tit chéri

Sergio dit: à

Ha oui l’axe Lourmarin-Vaugines c’est surtout des migrants… La porteuse elle y est pas, si ? Et dégroupés ? Groupés oui mais pas dégroupés ! Et paumés…

interlude dit: à

D exceptionnellement vous donnez à lire un style possessif parfait pour la cuisine, suffisamment rare pour être souligné, on pense à ces mères qui déclarent la bronchiolite de leur enfant comme étant la leur. D’un autre côté vous n’en faites pas trop quand vous déclarez réserver votre chocolat qui bientôt sera le leur le nôtre bref vous en serez dépossédé en un don qui vous renverra à votre image et donc à celle de Dieu . Il est question de distribuer cette année des hosties en paraffine de cet ingrédient afin de multiplier les fidèles .

DHH dit: à

Vu cet après-midi La mort d’Auguste
Comme Lavande je dis merci à Passou

Au dela de la différence de « qualité humaine » entre Antoine et ses freres ,il y a je crois une autre composante de leur différence de comportement que le film a voulu montrer :
C’est qu’Antoine, le tenancier du restaurant, est resté dans la culture du monde de la « limonade », ce milieu, que je connais un peu , des bistrots auvergnats d’autrefois où les relations d’affaires, y compris les emprunts et les placements , se font entre soi, en milieu fermé ,sans recours aux notaires ou aux banques ,et où tout repose sur la confiance ,sans contrat ni papiers , type de rapports que ses frères ont oublié

Sergio dit: à

Boh les hosties le mieux c’est encore d’aller jeter un oeil chez Fauchon… Ou alors nous à Nancy les soeurs Macaron ! Avec un vieux coup de mirabelle ça vaut la grappa…

Widergänger dit: à

Regardez plutôt M. Hulot ! Ah Tati…! Comme c’est beau ! Toute mon enfance en plus !

Par tout Tati !

Gnondprom dit: à

Widergänger dit: 21 décembre 2015 à 20 h 07 min
Toute mon enfance en plus

C’est beau, c’est noble, c’est généreux, mais c’est faux.
Pour les Vacances de M Hulot vous n’étiez pas né, alors ne parlons pas de Jour de Fêtes.
Pour Mon Oncle (dans votre berceau) les enfants de mon âge qui l’ont vu avec leurs parents se sont longtemps souvenus de quelques gags et d’une histoire de grands un peu longuette, pour Playtime il était trop tard.
Alors c’est très beau de réinventer son enfance mais un minimum de réalisme ne peut nuire.
Tati est génial, mais ce n’est pas votre enfance.

rose dit: à

je crois bien que « tov », le mot hébreu signifie beau

et dieu vit que cela était beau.

Celui qui parle d la mort tragique du petit de Nazareth oublie un la résurrection d’abord de Lazare, puis deux de lui-même et aussi la montée au ciel.

et puis, et enfin
« Seul un homme aurait pu parler ainsi, jamais Dieu »

il me semble bien que le fils de dieu a été fait homme ; ce me semble : sinon qu’y comprendre ?

deux choses me semblent essentielle : la miséricorde et puis ce sentiment d’avoir été abandonné par son père.

ça va bien merci;

J’ai beaucoup souri à vous lire ; je vous aime beaucoup.

Interlude, il y a une fille assez géniale aidé d’un anachorète distrait qui a écrit un opuscule percutant : cela s’appelle l’art de la ponctuation. Elle s’appelle Sylvie Prioul semble-t-il me rappeler. Pour vous lire, il faut avoir quelque tendresse pour vous je vous le jure. On dirait un seul élan rythmique (ou du souffle comme vous voulez). Vous devez surement prendre du recul avant d élancer tels anathèmes.

rose dit: à

deux …essentielles

Widergänger dit: à

Gnondprom dit: 21 décembre 2015 à 21 h 18 min

Ton raisonnement est idiot, mon pauvre chéri ! C’était mon enfance quand même parce que c’est dans mon enfance que je les ai vus, ses films.

Tu piges, mon petit chéri ?

rose dit: à

« par tout tati »c’est vraiment fort

je n’ai jamais adhéré à Tati : je vais tenter de refaire un essai sans garantie aucune

>DHH pas encore vu la mort d’Auguste ; merci de votre point de vue.

Widergänger dit: à

Mazel tov : bonne chance.

Lavande dit: à

Widergänger, l’un n’empêche pas l’autre…surtout que vous êtes en vacances et qu’il n’y a pas de neige à Bergün. Mais pour Auguste dépéchez-vous! Il s’arrête demain.

DHH: j’ai beaucoup aimé aussi les trois belles-soeurs qui sont des personnages finement campés.

Sergio dit: à

Gnondprom dit: 21 décembre 2015 à 21 h 18 min
Tati est génial, mais ce n’est pas votre enfance.

Y a toujours du lard et à manger dans les souvenirs…

Sergio dit: à

rose dit: 21 décembre 2015 à 22 h 24 min
je n’ai jamais adhéré à Tati :

La queue du chien qui passe devant la cellule photo-électrique et ainsi les enferme dans le garage, déviant le cours de l’Histoire et même le nez de Cléopâtre… C’est un archétype un canon un paradigme cela se produit dans la vie courante environ mille fois par jour…

Sergio dit: à

Ha ben oui passeque si on regarde les frères Lumière maintenant ça veut pas dire qu’on est de leur époque…

rose dit: à

et aussi « pardonne leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ».
Mais cela me pose un problème grave d’interprétation.

Par exemple, au niveau de la liberté d’autrui : si tu considères important, voire essentiel que l’autre soit libre, puisque tu t’accordes à toi ce même privilège, tu attends donc de l’autre qu’il comprenne par lui-même, c’est à dire le fruit arrivé à maturité de son intelligence fine, ce en quoi tu voudrais qu’il évolue.

Or l’autre n’évolue pas :
ou il a le don de ne rien comprendre
ou il aime les actes délictueux
ou il attend que tu lui demandes de cesser de manière nominative.

Or, toi, dans la relation d’égale à égal que tu apprécies avec cet individu, rien ne te pousse à lui demander de changer parce que tu considères que l’importance du changement n’est méritoire que si elle est amorcée par l’être pensant lui-même.

Sinon, il obéit à
un ordre
une menace
un acte infantilisant

à ce jour, je suis dans l’impasse.

Sur un fait précis.

Il me semble que c’est là que cette phrase dite par le fils à son père « pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font » pourrait éclairer l’impasse et offrir une voie de sortie.

Si l’autre ne sait pas ce qu’il fait, lui pardonner est l’acte premier.

Mais s’il le sait et le fait volontairement, alors pourquoi lui pardonner ?

Cela paraît être une tautologie ; à moins que le terme ouroboros convienne mieux.

La croyance en une religion ou pas, la belle orthographe ou pas ne sont pas obstacles à l’amour.

Le terme méritoire ne convient pas : l’évolution de l’individu n’opère un changement sur lui que si elle vient de sa propre connaissance et non pas de celle plaquée par autrui. Donc, réelle ou fonctionnelle ou applicable, je ne sais.

Gnondprom dit: à

Widergänger dit: 21 décembre 2015 à 22 h 24 min
Tu piges, mon petit chéri ?

Mais non tu ne les as pas vu dans ton enfance, tu les as vu dans les années 70, dans les ciné-clubs de ta fac ou de ton quartier, ne t’invente pas une épopée.
Souviens-toi, calmement, sereinement.

rose dit: à

en tout cas, ne pas lui pardonner serait moyen de dire que le comportement est inacceptable.
Et l’autre aurait ainsi moyen de savoir la gravité de la situation;

Si en disant cela il souligne la gravité de sa situation à lui c’est comme un feu rouge qui s’allume pour dire attention danger. Mais si l’autre a compris l’intensité du feu rouge et la gravité du danger, alors pourquoi continuer si ce n’est par réflexe pavlovien.

Or, comment être tout à la fois un être intelligent et pensant et un être qui fonctionne par réflexes pavloviens ?

Si l’attitude n’est pas à rapprocher de Pavlov -je n’ai jamais vu la queue du chien ni chezTati ni au quotidien- ce pourrait être d’autres hypothèses à envisager :
par exemple, le sentiment d’appartenir à la même humanité.
savoir qu’autrui et moi-même avons les mêmes comportements, ce qui n’est pas du tout vrai.
exprimer par ce biais l’ampleur de son désarroi que l’on ne sait exprimer d’autre manière
vouloir être des autres parce qu’on se pense différent alors que l’on est égal tout à fait

réclamer toujours d’être chouchouté

bah, je ne sais

cela me pose problème pardonne leur parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font mais s’ils le savent, comment pardonner ? Si c’est fait sciemment

Il me manque une dimension
Je bloque

pardon

Widergänger dit: à

Qu’est-ce que t’en sait, mon pauvre chéri ! T’es idiot !

Widergänger dit: à

Il y avait une salle de cinéma au Louvre, c’est là que je les ai vus les films de Tati. Et Le pont de la rivière Kwai d’ailleurs.

Gnondprom dit: à

Widergänger dit: 21 décembre 2015 à 22 h 50 min
Qu’est-ce que t’en sait, mon pauvre chéri !

Mais parce que c’est impossible mon cher amour.
Point.

rose dit: à

Oui, mais tu étais enfant donc cela fait partie de ton enfance : j’ai le même syndrome avec John Wayne. Il fait partie de mon enfance, or, il n’est pas de ma génération.

Mon père m’a dit un jour (il a dix ans de plus que ma mère) : la génération de ta mère les filles aimaient Kirk Douglas. De ma génération, elles aimaient Tyrone Power.

Moi, je crois que les deux avaient une fossette au menton. Je n’en suis pas sûre.
En tout cas à dix ans près, les filles n’admiraient pas le même acteur.

Enfin, sans être exagérément admirative de Wdg, je trouve ça chouette d’avoir aimé Tati dès son enfance.

Nous n’avons pas eu la même enfance, donc.

Deux lettres et tout est reconstruit dit: à

rose dit: 21 décembre 2015 à 22 h 49 min
Il me manque une dimension
Je bloque

Ce qu’il te manque c’est : dé

Ah, tu vois, ça matche.

rose dit: à

Une autre hypothèse serait de ta part « parce que tu me lis, je te lis ». Souci de parité. Ce que j’ai compris brutalement un jour.

Néanmoins, je te lis parce que tu écris publiquement.
Lorsque tu me lis, j’écris en privé.
La nuance est d’importance.

Je bloque (bis repetitat)

Il me manque une dimension que je ne saisis pas.

Point, à la ligne, n’ouvrez pas les guillemets.

Widergänger dit: à

Dans les années 60, les films de Tati plaisaient beaucoup aux enfants. Ils me faisaient rire. Les films de John Wayne, j’adorais les voir aussi, avec mon frère cadet. On passait parfois toute l’après-midi dans la salle de cinéma.

rose dit: à

Là où je bloque grave c’est parce que je ne pardonne pas (le premier janvier) et que j’ai beau réfléchir, je ne vois pas d’issue hormis la mort.

Et, point grave, ne pas pardonner est contraire à ma manière de vivre et c’est pire qu’un caillou dans la sandale.

Je continue à réfléchir.
Si je trouve une solution, je vous en ferais part, au cas où cela puisse vous être de quelque utilité.

Bonsoir à tous,

Gnondprom dit: à

Le Pont de la rivière Kwaï et Tati en Art et Essai au Louvre !
Pourquoi pas L’Eclipse de La Nuit de Maciste et Zorro au Luxembourg ?

Maman a dit dodo dit: à

Widergänger dit: 21 décembre 2015 à 23 h 00 min
Dans les années 60….On passait parfois toute l’après-midi dans la salle de cinéma.

T’avais 10 ans mon biquounet,
ne rêve pas.

Timing dit: à

Dans les années 60 une séance était une séance (Balzac001, court, entr’acte, Balzac001, film),
personne ne passait l’après-midi.

Widergänger dit: à

Même moins de dix ans ! La séance de cinéma coûtait 5 francs boulevard des Italiens. Un petit cinéma qui passait tous les westerns.

Widergänger dit: à

Tu connais rien, t’es nullissime, sur les années 60. Godard faisait la même chose avec son copain dans le cinéma Madeleine au coin de la rue Vignon, où j’ai vu tout petit (je m’en souviens encore) avec ma tante Blanche neige et les sept nains. Même que j’avais eu très peur de la sorcière…!

Timing dit: à

Widergänger dit: 21 décembre 2015 à 23 h 24 min
Tu connais rien, t’es nullissime, sur les années 60.

Non, je ne les rêve pas, c’est tout.

Widergänger dit: à

Reste donc dans ta nullité…

Timing dit: à

Widergänger dit: 21 décembre 2015 à 23 h 24 min
Tu connais rien, t’es nullissime, sur les années 60. Godard faisait la même chose

Godard, né en 30, WG né en 55,56,57 ?
Mais WG aime s’identifier, avoir un saint patron.
Au diable les anachronismes si l’histoire est belle.
Pourquoi pas,
mais en restant conscient.

JC..... dit: à

« Si l’attitude n’est pas à rapprocher de Pavlov -je n’ai jamais vu la queue du chien » (rose)

A trop regarder celle de Pavlov …. on s’égare !

JC..... dit: à

Eprouver de la gêne à être grossier, c’est passer à côté d’une partie importante du plaisir que l’on trouve dans les relations banales entre humains consentants ….

le garçon qu"on appelait monsieur dit: à

Multiplier les identités virtuelles pour ne regarder que soi-même à un stade überpavlovien pour effarer qui quoi ?

le garçon qu"on appelait monsieur dit: à

Et à part tout ça… Resservir en boucle les mêmes mots collés ensembles comme une composition cimentée c’est supposé casser la baraque ?

DHH dit: à

@Rose
Comme vous, moi non plus je n’accroche pas à Tati.

Pour moi son œuvre est un monument érigé à la gloire de la franchouillardise la plus étriquée .
Cette idéologie culmine avec Mon Oncle et ses deux portraits en opposition:
Le héros, celui qu’on admire , incarné par Tati, si sympathique, tout pétri de ce bon sens cher à Poujade , qui vaut tellement mieux que l’intelligence , qui se délecte de sa fidélité aux traditions et au terroir de ses aïeux ,qui affiche sa haine du progrès;, et puis celui qu’on ridiculise, Mon Oncle , le métèque , le cosmopolite dangereusement malin, qui cherche à compenser par une quête dérisoire du modernisme son absence de racines et le fait d’être de nulle part .

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

DHH, je ne veux rien de ce que vous prenez. Rose, non plus!

JC..... dit: à

Avec DHH, on sait que c’est du lourd.
Hélas….!

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