de Pierre Assouline

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La République des livres
Pierre Le-Tan, le charme indéfinissable du collectionneur

Pierre Le-Tan, le charme indéfinissable du collectionneur

Les collectionneurs forment une drôle de race. Je n’en suis pas. Nul besoin de posséder pour apprécier ou aimer. Une telle idée me détournerait plutôt de la contemplation de l’œuvre. Je pourrais à la limite collectionner les collectionneurs, leur tirer le portrait, mais pas l’écrire. Ils ne me fascinent guère même si leur névrose de l’accumulation m’intéresse, étant entendu qu’on élimine de cette réunion où il serait plaisant de les épingler comme des papillons, les spéculateurs et ceux qui exposent des tableaux contemporains chez eux à défaut d’exposer le chiffre d’affaires de leur société ou la progression de leur compte en banque. Ils croient participer à l’histoire de l’art quand ils ne connaissent que le marché de l’art. Seuls les esthètes, les dandys, les décadents, les malades sont dignes d’intérêt. Autant avouer que j’ai dégusté Quelques collectionneurs (118 pages, 20 euros, Flammarion) avec un plaisir sans mélange. Le dessinateur Pierre Le-Tan (Paris, 1950) y a consigné ses rencontres avec ces gens discrètement remarquables depuis qu’il reçut sa première commande de Harper’s Bazaar à l’âge de 20 ans, suivie par celles du New Yorker et de nombre de grands magazines. Sous la plume d’un autre, l’exercice eut vite viré au snobisme. Pas là, pas avec lui. Il y a si peu de name-dropping que la plupart des collectionneurs apparaissent sous leur prénom et la première lettre de leur nom. Même si on les reconnaît, le conservateur Pierre Rosenberg, le spécialiste de l’affiche publicitaire Alain Weill, ou encore Gaston Palewski et Umberto Pasti. Ils ont en commun l’obsession de la curiosité. Et quand un nom est cité, il paraît tellement invraisemblable qu’on se demande s’il ne l’a pas inventé ; cette Rolande-Louise de Petitpierre, j’en mettrais ma main au feu…

Narration calme, atmosphère apaisée. L’écriture de Le-Tan a le coulé passéiste de ses dessins au trait immédiatement identifiable par ses quadrillages à l’encre de Chine. Des dessins qui résonnent comme les Gymnopédies de Satie. Même dans le flou, il se veut précis et minutieux. On s’y enveloppe dans une ambiance ouatée, nostalgique, un rien mélancolique. Quelque chose d’autrefois, exhalant un parfum colonial. On s’y meut en flottant. Dans son univers intérieur, on ignore jusqu’à l’invention de  l’ordinateur. Les lecteurs de son ami Patrick Modiano se souviennent que ses dessins ornent les couvertures de la plupart de ses romans en poche chez Folio. Mais ils ne soupçonnent pas l’incroyable osmose qui s’est produite, au-delà de leur complicité, entre ces deux artistes du clair obscur, du palace abandonné, des rues mal éclairées, des immeubles à double issue, des dernières fêtes de l’Empire. Chez Le-Tan écrivain et dessinateur, libre enfant de Bloomsbury, influencé par ses pères le peintre Le-Pho et Boris Kochno, un monde ressuscite : des maisons tangéroises discrètement fastueuses d’où l’on discerne les lumières de l’Espagne, hantées par des personnages sans âge aux cheveux teints, ultimes reliefs d’un âge d’or révolu ; de minuscules appartements parisiens débordants d’objets provenant de partout, dont le point commun est de n’être pas au goût du jour quel que soit le jour : « Un collectionneur avisé achète toujours en dehors des courants » glisse-t-il dans une parenthèse en expert mais sans se prendre eu sérieux, garnement toujours prêt à faire une blague. Il en faudrait peu pour que cette galerie de merveilleux fantômes souriants tourne au conclave de spectres terrifiants. Cela durera tant qu’il y aura des gens pour comprendre de quoi il retourne lorsque l’auteur évoque une démarche à la Swanson, un timbre de voix à la Feuillère, ou une ambiance à la Philippe Jullian.

N’empêche, une belle bande de névrosés dont l’esprit n’est jamais en paix. Fort heureusement, le collectionneur Pierre Le-Tan ne s’oublie pas. Il a beaucoup possédé et s’est beaucoup séparé ; des milliers d’objets collectionnés en tous genres , tous lieux et toutes époques, tout en sachant que c’était parfaitement inutile ; pour autant rien ne lui manque ; il éprouve même du plaisir à retrouver chez d’autres des fragments de sa collection dont il n’a pas tenu registre : « Cela a quelque chose de rassurant, comme si j’avais laissé mes enfants à une personne de confiance ». Le chapitre de son autoportrait est savoureux. Il m’a même été rapporté qu’il lui arrivait d’acheter un objet chez un marchand, de promettre de revenir le chercher et de l’y laisser des mois sinon des années, son désir ayant été assouvi. Aujourd’hui, sage et désenchanté, il sait que rien ne nous appartient vraiment, sinon une tête en pâte à modeler fabriqué par sa fille à l’école, offert dans l’émotion et secrètement conservé à l’égal d’un rosebud inavoué. De toutes façons, sa vraie collection n’est pas faite d’objets : c’est une réunion de détails et de sensations.

C’est un recueil de traces qui augmente le mystère des êtres au lieu de le dissiper. On se prend à douter de ce que l’on croit connaître. Ermolaï von Trovaso (Trieste, 1906- Tampa, 1998)  a-t-il vraiment existé ? Allez savoir. On le croirait échappé de la Place de l’Etoile ou de Dans le café de la jeunesse perdue. Dans cette esthétique irréelle, la moindre bicoque prend des atours palatiaux dès lors qu’un collectionneur l’habite. Si Pierre Le-Tan était biographe, et j’étais éditeur, je m’empresserais de lui commander une « oeuvrevie » de Mario Praz. En attendant, la prochaine fois que je passerai place de l’Odéon devant le restaurant « La Méditerranée », j’aurai une pensée pour Balthus en avisant son chat sur l’enseigne. J’allais oublier : ce petit livre est magnifiquement édité. Papier ivoire, typographie soignée, dessins en incrustation dans une mise en pages généreuse, toutes choses subtiles, fines, raffinées mais sans luxe ni ostentation, nimbées d’un halo poétique, qui lui confèrent un charme indéfinissable. Quelque chose d’apaisant dans le regret de l’insouciance perdue des artistes. Il réussit à nous révéler l’air de rien ce que la folie de l’accumulation, de la propriété et de l’exhibition peut parfois receler de grâce.

(Dessins de Pierre Le-Tan)

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450 Réponses pour Pierre Le-Tan, le charme indéfinissable du collectionneur

bérénice dit: 30 octobre 2013 à 23h55

Nous n’avançons pas, nous finissons de creuser un trou bientôt aussi profond qu’une tombe un fossé, pas terrible terrible.

Gare de Lyon/Bangkok dit: 30 octobre 2013 à 3h46

A propos de collectionneur, avez-vous lu le papier dans l’Express (Jérôme Dupuis) sur la vente aux enchères par De Villepin de sa collection ? Il y en a pour plus d’un million d’euros…
 »Plus de 400 lots, tous plus époustouflants les uns que les autres, devraient passer sous le marteau du commissaire-priseur Me Antoine Godeau. »

http://www.lexpress.fr/culture/livre/villepin-se-livre-aux-encheres_1291245.html?xtmc=Dominique_de_Villepin&xtcr=3#rZJxXZ5VbWB18s2V.99

http://www.lexpress.fr/culture/livre/villepin-se-livre-aux-encheres_1291245.html?xtmc=Dominique_de_Villepin&xtcr=3

bérénice dit: 30 octobre 2013 à 5h36

1h03 Un jour nouveau délivrant une nouvelle nouveauté pour un dénouement nouveau? Générosité des nécro…

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 6h19

Hier soir, une violoncelliste sublime -Elegie op.24 de Fauré- me disait : » l’Auvergne, c’est notre bled à nous autres »… Je n’ai pas voulu la croire. Excellente musicienne, politiquement à former.

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 6h29

Les collectionneurs d’otages, esthètes, dandys, décadents, malades du bulbe, névrosés religieux, voyous, trafiquants, ont dispersé enfin leur petite collection d’humains de qualité retirés du marché 3 ans…

« Gracieusement ! » affirme Laurent le Magnifique, pour qui mentir n’a jamais posé de problème. Un maroquin vaut bien des bassesses.

bérénice dit: 30 octobre 2013 à 6h39

JC La vie n’a pas de prix. Et je vous tire ma révérence, je pars pour nul part assembler les débris d’une ancienne et fine poterie brisée dont il manquera toujours quelques morceaux. merci pour tout.

Chaloux dit: 30 octobre 2013 à 6h58

Très juste, Bérénice, est-ce que ce n’est pas la définition même du mot « vivre »?

Bihoreau de Bellerente dit: 29 octobre 2013 à 19 h 58 min
J’ai avancé dans ma lecture. En fait, ce qui me gène un peu, en dehors des manifestations d’une décision de séduire de part et d’autre, et du « organisons notre postérité », c’est qu’il s’agit moins d’une correspondance d’écrivains que d’une correspondance de professionnels du livre. Le côté intéressant de la chose, c’est qu’on mesure tout ce qu’on perd en entrant dans ce monde-là. (Remarques ahurissantes de Chardonne : votre livre est trop long, il m’a fallu trois jours pour le lire. Aucun lecteur n’a trois jours pour lire un livre etc…).
En littérature, mieux vaut rester un bec enfariné.

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 7h06

Bérénice,
La vie a un prix.

Il y a beaucoup de satisfaction à sauver un objet brisé et à trouver l’angle d’où il parait encore intact…

rose dit: 30 octobre 2013 à 7h07

Autant y entrer : on y mange bien à la Méditerranée place de l’Odéon ; souvenance d’un filet de Saint Pierre délicatement inséré entre deux lamelles de pâte feuilletée parsemées de graines de sésame et servi avec de l’oseille, bien sûr, pour la légère acidité.

(nota : avoir les pépettes signifie avoir les foies).

bérénice dit: 30 octobre 2013 à 7h13

Chaloux un mot pour vous que je préférerais ne pas… Chardonne? ça ne m’étonne pas que vous y consacriez du temps pour une question à laquelle vous ne répondriez pas, répondre de soi quand rien n’oblige, la belle affaire!

rose dit: 30 octobre 2013 à 7h14

Mais le véritable clou de cette vente, largement centrée sur la notion d’engagement, devrait rappeler quelque chose à tous les bacheliers de France nourris à la fameuse « querelle Sartre-Camus ». On se souvient qu’elle avait violemment éclaté autour de la publication de L’Homme révolté de Camus, en 1951. Dominique de Villepin possède ni plus ni moins que l’exemplaire de cet ouvrage ayant appartenu à Sartre et Beauvoir. « Au Castor, A Sartre, leur ami, A. Camus », peut-on y lire de la main de l’auteur de L’Etranger. Ce sera leur dernier contact avant la rupture, officialisée par Sartre d’une formule qui semble comme faire écho à cette dédicace: « Notre amitié n’était pas facile mais je la regretterai. » Estimation de ce pan de l’histoire intellectuelle de l’après-guerre: entre 40 000 et 60 000 euros.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/villepin-se-livre-aux-encheres_1291245.html?xtmc=Dominique_de_Villepin&xtcr=3#AcCwPjrH0jQuUu48.99

Quel courage ! Ou bien quel désir de tourner la page définitivement ?

S’alléger oui mais pas de sa bibliothèque. Et garder ce Camus.
Quand un ami (cf Télérama) lui dit de nommer son livre Le Pont, car on pourrait lui dire La Chute de Camus, celui-ci répondit eh on a bien Les Illusions Perdues de Balzac !

Certes…

rose dit: 30 octobre 2013 à 7h16

On peut être sublime et violoncelliste e ton peut dire l’Auvergne c’est not’bled à nous autres.

Que reste-t-il qui nous surprenne ?

Chaloux dit: 30 octobre 2013 à 7h22

Bérénice, je ne sais pas si je vais y consacrer beaucoup de temps. Je lis quelques livres pour en savoir un peu plus que je ne sais, pour ne pas lire trop naïvement la correspondance.
Quant aux réponses qu’on se donne, ne valent-elles pas celles que l’on donne aux autres? Poussière…
Bonne journée,

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 7h34

Payer 40.000 euros ou plus pour « posséder » une dédicace « exceptionnelle » sur un ouvrage que l’on trouve à 5,13 euros sur Amazon.fr, c’est comprendre le fonctionnement jouissif du collectionneur, le partager, et cela n’a plus rien avoir avec l’amour des livres et de la littérature !

Peopeulisation : niveau, petite culotte de Madonna …

rose dit: 30 octobre 2013 à 7h48

Les petites montaient chez Sartre pour la conversation pas pour l’élastique. Il me semble.

des journées entières dans les arbres dit: 30 octobre 2013 à 8h17

« Aujourd’hui, sage et désenchanté, il sait que rien ne nous appartient vraiment, sinon une tête en pâte à modeler fabriqué par sa fille à l’école, offert dans l’émotion et secrètement conservé à l’égal d’un rosebud inavoué. »

psychologiquement, on dirait que c’est un réachat de narcisse.

en connaître un rayon dit: 30 octobre 2013 à 8h17

S’alléger oui mais pas de sa bibliothèque.

Et pourquoi pas?
On peut le faire en silence et mal se faire payer de retour par les libraires anciens qui vous l’ ont achetée.Plus de trente ans d’ accumulation collectionneuse qui vous allège la pièce et l’ esprit…et puis, ça repart!

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 8h17

Cécile Duflot vient de commencer une splendide collection de plantes vertes dans son beau bureau ministériel …

« Partir ? Pourquoi partir ?! » dit elle, furieusement accrochée au pouvoir, EELV doit apporter plantes vertes et potiches écologiques au gouvernement ! »

en connaître un rayon dit: 30 octobre 2013 à 8h21

Je regrette ma collection complète de la revue Opus International, je l’ avoue.

en connaître un jupon..... dit: 30 octobre 2013 à 8h35

Je regrette ma collection complète de petites amies, je l’avoue.

rose dit: 30 octobre 2013 à 8h35

beaucoup de choses se font en silence mais pourquoi alors ne pas vendre soi-même ses livres plutôt que de vendre le tout à un libraire ancien ?

tata simone dit: 30 octobre 2013 à 8h40

Collectionneur,dire:c’est un névrosé;un homme qui s’ennuie.
Exemples connus:Nabokov qui collectionna les lépidoptères,Caillois,les pierres,Sciascia,les livres anciens.

Un Castor, ça travaille aussi avec la queue des autres..... dit: 30 octobre 2013 à 8h46

Un collectionneur, une collectionneuse, ça fonctionne au plaisir, à l’amour, à la passion : parler de névrose ne rime à rien !

Aimer autorise, excuse, ennoblie tout excès…

rose dit: 30 octobre 2013 à 8h57

Aimer autorise, excuse, ennoblie tout excès…
Non, définitivement.
Parlez pour vous, pas pour les autres.
Aimer serait de respecter l’autre et soi-même avant toute chose.

Phil dit: 30 octobre 2013 à 9h03

Pas de plus grand plaisir pour le collectionneur Mitterrand que de recevoir une eo d’un livre de Chardonne. Même les présidents africains savaient caresser le vice.
Chaloux, l’erreur (de jeunesse) conduit à lire Chardonne comme un auteur d’aphorismes. Il s’en défend avec Nimier qui eut le malheur de parcourir un de ses livres à la vitesse d’une Aston Martin repeinte.

des journées entières dans les arbres dit: 30 octobre 2013 à 9h04

« parler de névrose ne sert à rien »
Voire.
La syllogomanie et Diogène, son syndrome, vous connaissez ?
Moi non plus, jusqu’à tout à l’heure.

« E.L. Doctorow s’est très librement inspiré des frères Collyer, qui ont vraiment existé et qui ont été retrouvés morts derrière les volets fermés de leur maison de New York en 1947 »
http://fahrenheit451.hautetfort.com/tag/syllogomanie

Grand soleil,
je vous souhaite le même.
A bientôt.

des journées entières dans les arbres dit: 30 octobre 2013 à 9h05

« parcourir un de ses livres à la vitesse d’une Aston Martin repeinte. »

Merci de cette expression, Phil; j’ai l’impression que l’on pourra s’en resservir sous peu.

Su' le champ d'foire d'Migron dit: 30 octobre 2013 à 9h11

@18.07 « en même temps quand t’es sur une piste.. faut surtout pas montrer qu’t’es trop intéressé.. n’importe quel marchand d’bestiaux sait ça.. à combien que cht’en débarrasse, de ta carne là? »

bouguereau : allez, j’te la fais à 12 le kilo
billoreau : tu déconnes ou quoi ? 10,5, allez, mais vraiment pour t’en débarrasser, hein
bouguereau : mettons 11, et on n’en parl’pu…
billoreau : top’là mon fils, fumier d’gars, va !

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 9h17

« Aimer serait de respecter l’autre et soi-même avant toute chose. »

Vous rigolez, rose !
Autant demander à l’eau de ne pas mouiller, au feu de ne pas brûler, au vent de ne pas gonfler la voile, à la glèbe de ne pas garder bien enfouis les morts, ces pauvres morts d’avoir abusé du « respect » en ces circonstances extraordinaires où la norme se prend les pieds dans un tapis, de roses…

Le bonheur à Barbezieux dit: 30 octobre 2013 à 9h21

Quand on visite la blanche maison charentaise de Jacques Boutelleau sur la place de Barbezieux, on en sort en général malheureux, et on n’a pas vraiment envie de réentrer dans sa poussiéreuse correspondance avec Nimier…, d’autant qu’on a déjà pas mal labouré un paquet de ses lettres collectionnées dans les cahiers rouges de Grasset depuis 1954.

société des agrégés dit: 30 octobre 2013 à 9h26

Pas d’accord John Brown, la toile est bien un immense réservoir de haine beaucoup plus que d’amour…Elle permet de cracher son fiel dans l’anonymat.

L’amour, il n’y a aucun besoin de la toile pour l’exprimer.

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 9h35

Faux débat !

Internet, immense réservoir de haine plutôt que d’amour ? Fiel craché ? Evidemment… puisque l’humanité, elle-même, est constitué d’un immense troupeau de mammifères haineux plutôt qu’amoureux… Comptez le nombre de saints que vous connaissez autour de vous, et le nombre de salauds … comparez les résultats.

Convaincus ?!

u. dit: 30 octobre 2013 à 10h00

Histoire de mamelles (des arts, des armes et des lois)

« l’humanité, elle-même, est constitué d’un immense troupeau de mammifères. Comptez le nombre de seins que vous connaissez autour de vous » (JC, à peine retouché)

u. dit: 30 octobre 2013 à 10h10

Chacun ses points forts.

« L’Asie s’impose de plus en plus comme la destination privilégiée par les expatriés mondiaux, selon une étude de HSBC. La France, elle, séduit toujours les retraités et les expatriés avec des familles. »

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 10h12

camarade u.
vous avez raison d’être mutin…!
En dehors des livres, vous collectionnez ?

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 10h13

à la vitesse d’une Aston Martin repeinte

jean marron c’est à la vitesse du lavement..et ça fait pas qu’une nuance de grey dirait sergio

rose dit: 30 octobre 2013 à 10h21

se faire traiter de connasse de bout en bout et dire je l’aime faut être la reine des tartes ou bien vachement abimée déjà !

Phil dit: 30 octobre 2013 à 10h28

l’empoussiéré de Barbezieux,
la correspondance avec Nimier est empreinte d’un respect faussement filial du aux circonstances. Celle avec Morand, dont la publication était prévue pour l’an deux mille, laisse dans la tombe les scrupules qui plombent un landerneau littéraire toujours soucieux de paraître et laisser paraître.

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 10h29

tu collectionnes ?

c’est difficile d’accepter que rien en se fait sans une méchante dose d’obsession jicé..la collection en est toujours une expression frappante et un peu dégradante..mais si on voyait aligné le tas de ses secrets sur des étagères..

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 10h31

..évidemment on peut dire comme lassouline que le tas arrangé au hasard est beau comme le canigou..

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 10h33

..ça fait illusion, mais dieu par exemple collectionne peut être les montagnes et les cons qui y grimpent

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 10h44

collectionner, ça sert à rien

et le .. »je te montrerais ma collec d’estampes »?
il parait que kafka collectionnait les photos pornos..

Daaphnée dit: 30 octobre 2013 à 11h01

Ben ça, c’est comme les collectionneurs de petites culottes, le Boug!
Mmm .. moi, j’ai bien eu une collection de taille-crayons ..
Enfin, la tentative de l’esprit d’une collection de .. pour voir.
Mais, au delà de deux .. Disparus!
On ne contrôle pas tout.

Giovanni Sant'Angelo dit: 30 octobre 2013 à 11h34


…je collectionne de tout en qualité,…

…pièces de monnaies très ancienne,…les premières du temps de Crésus,…et même périodes,…même déjà en cire au relief de lion la tête tournée de face,…
…( zone Macédoine-Bysance ),…

…les pierres précieuses,…et mêmes semi-précieuses,…(….),…réserve pour créer des bijoux comme G.Braque( …. ),…

…réserve de systèmes de créativité d’innovations perpétuelles,…

…et surtout ne rien faire,…pour ne rien laisser aux vautours du système  » juifs « ,…de ramasser les trésors après abandons et morts des artistes,…

…auto-gestion à niquer le système juif de l’art,… &,…ou autres systèmes du genre  » acteurs – idoles « ,…reconvertis en peintres du dimanche pour leurs publicités et prestiges d’humanismes – philosophes à racler de l’argent facile encore,…etc,…Ah,…Ah,…etc,…

…l’art et les collections, un grand jeux pour escrocs et arnaqueurs aujourd’hui,…avec une équipe d’artistes de  » publics-relations-managements côtés en bourse à la signature authentique des mafias du biseness & C°-Trust à deux balles,…de drogués dégénérés,…

…comme les Prix Nobel du Boson de Higgn’s, à justifier à accélérateur de particules à rien foutre dans une logique de recherche à côté de la plaque,…

…ou autres docteur Honoris-Causa,…pour en mettre plein les yeux au peuple d’abrutis,…par les alliés de persécutions des peuples comme l’église,…

…une explication sensée dans ce sens,…

…par le livre,…
… » Diplomatie Connivences « ,…

…au dessus de nos têtes à huile d’olives,…etc,…envoyez,…

JC, Viennois de circonstance..... dit: 30 octobre 2013 à 12h44

« Mmm .. moi, j’ai bien eu une collection de taille-crayons .. »

….Mmmm….vraiment ?…..

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 12h55

Etant wagnérien de longue date, cela ne vous surprendra pas si, saint de corps et d’esprit, j’affirme que notre délicieuse Walkyrie, la fifille à papa, a raison !

Dissolution de l’A.N. et nouvelles élections.

Un excellent moyen, démocratique, d’éviter une révolution ! Les révolutions : c’est salissant, vous pouvez pas savoir …

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 13h06

La photo du retour des otages est atroce : je plains le cinquième malheureux, otage du suffrage universel, qui en a encore pour plus de trois ans, sans espoir de libération …

Jacques Barozzi dit: 30 octobre 2013 à 13h12

« moi, j’ai bien eu une collection de taille-crayons .. »

A force de tailler le petit crayon de u., il n’en restera plus, Daaphnée !

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 13h14

justement dafnoz..il parait qu’il mettait les photos dans une boite en fer en haut de sa bibliothèque qui chut sur le nez de cheulou un jour de tremblement de terre..on ne saura jamais cquil foutait là..jean marron affirme qu’ il en est pas dvenu plus idiot aprés qu’avant, vu qu’il l’était déjà avant et que dieu n’existe pas..vdqs

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 13h20

tu peux bien phil éxiger a ton notaire un reformatage bas niveau de tout tes disques durs a ta mort..la nsa sait tout de tes logs aux sites porno russes et saura en ajouter quelques tchèques et croate pour salir ta mémoire avec des jigua et des jigua de pics et de vid 3d

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 13h22

Jacky,
Une réflexion en passant, à propos du « petit crayon du camarade U. » : au moins, lui, a une tête chercheuse bien réglée, il ne lui viendrait pas à l’idée de remonter la bretelle d’autoroute à l’envers …

Phil dit: 30 octobre 2013 à 13h23

bougreau, je ne consulte que le prestigieux blog de passoupline et la météo marine. pas de quoi fouetter un tchat.

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 13h26

otage du suffrage universel, qui en a encore pour plus de trois ans, sans espoir de libération …

si tu crois que tu vas palper une rançon avec ça jicé..

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 13h33

J’ai le plus grand respect pour des institutions éprouvées, qui nous ont donné Chirac, Sarkozy et Hollande…

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 13h40

Tu es pétri d’une intelligence pâteuse mais raffinée, Bougboug !

Ta question est bonne : à partir de quelle somme en euros*, le Nul de Tulle accepterait la rançon et rentrerait chez lui la queue basse et le coffre plein ? 10 Millions ? 100 M ? 500 M ? 1 Milliard d’euros ?….

*on peut envisager un paiement en dollars, avec poste restante suisse, type Cahuzac…

Jacques Barozzi dit: 30 octobre 2013 à 13h42

Comme de Gaulle, pour s’en sortir, Hollande n’a pas d’autre choix que de proposer un référendum !

Phil dit: 30 octobre 2013 à 13h43

jc, vous risquez le pétage de la durite. devriez lire un peu de Chardonne. ça stoïcise.

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 13h47

Phil dit: 30 octobre 2013 à 14 h 43 min
« jc, vous risquez le pétage de la durite. »

Ne vous inquiétez pas pour rien, le pétage de duite n’est pas pour demain. Je vous laisse Chardonne et finit mon Marc-Aurèle…

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 13h52

Bien que ce soit une utile alternative à la panne télé, n’exagérons pas l’importance du sexe dans la vie : on est pas des bêtes.

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 13h52

type Cahuzac…

il s’est fait lamentablement gauler jicé..non un bon, droit dans ses bottes..de droite quoi

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 13h54

laisse au moins vals te mettre 1 ou 2 grenades au piment d’espelette dans le bénart avant baroz..charles aimait les courageux

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 13h54

« A propos, Phil, aimez vous les guenons ? »

je retire cette question, par trop intime … vous ne m’en tiendrez pas rigueur, j’espère.

Phil dit: 30 octobre 2013 à 14h00

jc, veillez à ne pas trop vous dédéiser.
réjouissez-vous, la littérature n’est jamais si bonne à lire quand les pays et valeurs s’écroulent.

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 14h00

tu espères plus des autres que de toi même jicé..et cette modestie et cette humilité achetée à prix de peau de tes fesses n’est pas du tout suspect..chapeau!

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 14h05

tien voilà keupu qui vient te cracher à la figure jicé..il préfère barabasse !

madhya dit: 30 octobre 2013 à 14h08

14H23 JB l’homme qui ne taille jamais pour suite à l’espion qui m’aimait dans la collection Point.

Dimitri d'Arlatan dit: 30 octobre 2013 à 14h10

Bérénice, je n’arrive pas à faire le premier pas.
Je vous confie cette mission, si vous l’acceptez.

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 14h10

Dédé est un génie !
Se dédéiser, après s’être religieusement dédéisé, peut être le but d’une vie de travail sur soi-même.

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 14h12

dédé se fait régulièrement défoncer sur saturne et y’a jamais personne pour payer une rançon

Tite..... dit: 30 octobre 2013 à 14h13

Bérénice,
réfléchissez avant d’accepter !
Que vont devenir nos sept enfants ?

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 14h14

ici au moins moi je t’entends jicé..dire que c’est bon serait te faire de la peine

JC.... dit: 30 octobre 2013 à 14h14

les valeurs ne sont belles qu’écroulées

c’est incroyablement profond ce que tu dis là, j’en chiale d’émotion,
mais à la place d’écroulées j’aurais dit « mortes » ou ‘agonisantes » ça fait original tu vois

bérénice dit: 30 octobre 2013 à 14h15

Dimitri tout dépend vers quoi vers qui c que c’est engageant un pas de plus et l’on risque sa vie au bord de la falaise avec du vent dans le dos , voyez ces pauvres surfeurs qui atterrissent malencontreusement sur l’antenne bouygues loin de la vague

Dimitri d'Arlatan dit: 30 octobre 2013 à 14h15

Bouguereau, vous devriez savoir que Saturne est gazeuse. Et que la gravité qu’elle génère m’aplatirait comme une crêpe.
Ignorant.

amicalement dit: 30 octobre 2013 à 14h18

y’a une beauté de la ruine, l’acropole en est le plus bel exemple actuel.

faut pas généraliser par ex jc est à veumir

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 14h19

..dédé il peut rien dire..ses éminences au vatican lui interdisent formellement.. »le monde n’est pas prét » qu’ils disent..ac cadavère qu’il répond dédé..et crac ils en profitent et il dérouille encore et encore.. comme une crèpe qu’il ressort

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 14h19

JC…. dit: 30 octobre 2013 à 15 h 14 min

Cher troll,
Toujours !
Toujours, tu oublieras le dernier point ? celui qui fait cinq …..?

madhya dit: 30 octobre 2013 à 14h24

Soit une poignée de types en concurrence dont la plupart change de pseudo 5 fois/ jour sans compter les quelques éléments féminins sorte d’ovni qui se comportent de la même façon, le tout réussissant à donner une impression d’affluence aux origines variées animant une mouvance pourtant enrichissante et divertissante quoiqu’asséchante au pire toxique.

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 14h24

Parfois Boug, tu me fais penser à Pierre l’Hermite, tellement t’es entraînant ! Ah, combattre ensemble les Infidèles …

…à la Closerie des Lilas, devant un demi, en attendant les autres tit’nenfants. Pleurs de joie !

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 14h28

Une organisation humanitaire qui marche depuis des millénaires, les putes, et on voudrait la mettre bas ?!

Et remplacer nos Bonnes Sœurs du Désir par des guenons syndiquées ?! mais à quoi pensent les féministes intégristes ?

La-men-ta-ble…

madhya dit: 30 octobre 2013 à 14h34

JC vous le nauséeux, auriez-vous vaguement une idée précise des répercussions du phagocytage cité par Phil, l’économie nous importe et sérieusement

madhya dit: 30 octobre 2013 à 14h36

prenez note je n’ai pas écrit nauséabond, je suis respectueuse je tente de le rester.

JC..... dit: 30 octobre 2013 à 14h44

madhya dit: 30 octobre 2013 à 15 h 34 min

Faites confiance à Phil ! Lui est honnête. Nauséeux, je ne mérite pas votre questionnement…

madhya pimbèche dit: 30 octobre 2013 à 14h45

Ainsi accoutrée je dispose d’1 chance de plus afin de quérir une réponse.

renato dit: 30 octobre 2013 à 14h46

« devriez lire un peu de Chardonne. ça stoïcise. »

Je lui avais conseillé Lorenzo Valla, Phil, mais rien JC reste droit, batte à la main.

madhya pimbèche dit: 30 octobre 2013 à 14h47

JC l’un vous a annoncé en tant qu’à « veumir », je n’invente pas je surligne

amicalement dit: 30 octobre 2013 à 14h49

Comme de Gaulle, pour s’en sortir, Hollande n’a pas d’autre choix que de proposer un référendum !

on s’en fiche complètement

madhya pimbèche dit: 30 octobre 2013 à 14h56

De toutes façons quoiqu’il fasse le PS perd aux prochaines législatives il peut encore éviter l’extrême cata, virer à droite avec l’intérieur, renforcer sa gauche et son autorité avec Aubry, se protéger pour une défaite avec son ami qui ne fera pas d’ombre.

u. dit: 30 octobre 2013 à 15h33

Cécile D. (gros cul, oeil bête) reste.

–Pourquoi elle et Placé ont tellement grossi?
OGM?

renato dit: 30 octobre 2013 à 15h45

Ce n’est pas en occupant plus d’espace sur le petit écran qu’ils vont faire jeu égale avec Cohn-Bendit.

christiane dit: 30 octobre 2013 à 15h53

Bien sûr, il y a les… collectionneurs et cette bataille née de leur classement dans les « névrosés ». Et là, P.Assouline et certains commentateurs ne sont pas tendres !
Qu’en est-il de ce livre, de ce regard que P. Le Tan pose sur ce sur ce monde réel ou imaginaire ? Qu’est-ce qui permet au blogueur de terminer son billet par « ce charme indéfinissable » du livre refermé (dont il garde jalousement le secret) ?
Il y a l’enfance à l’origine de ce désir. L’enfant qui classe et collectionne pour ordonner le monde, tenter de mettre ensemble ce qui se ressemble (premiers pas vers la lecture : les noms chapeauteront les objets qui semblent se ressembler, appartenir à un même groupe. Il faudra du temps pour qu’il comprenne que chaque objet est unique par son histoire et le regard porté sur lui…).
Puis, dans le monde des adultes ces collectionneurs qui parfois transforment la vie de leurs proches en enfer à cause des accumulations d’objets qui les enferment dans une soif insatiable de posséder encore et encore pour continuer une collection inachevable.
Mais il y a les autres, ceux qui ne sont pas où est leur collection. Ceux qui, cherchant, sont en marche, plus loin, ailleurs à la recherche d’un bonheur rare : un livre, un objet, un manuscrit.Parfois la quête sera plus importante que de trouver. Souhaitons qu’ils n’aient pas le même sort triste que Kane. (car ce qu’il cherchait était un souvenir d’enfance, clos dans une blessure… Rosebud).
Pierre Le-Tan s’est approché de certains d’entre-eux. Le ton des dessins, celui de l’écriture (évoqué) orientent la lectrice que je suis vers son passé. Ces fantômes suivis au fil des pages ne seraient-ils pas des éclaireurs de sa propre incertitude, de ses oublis ?

Agrégatif faussement haineux dit: 30 octobre 2013 à 16h09

L’amour, il n’y a aucun besoin de la toile pour l’exprimer.

eh bé, c’est pas ce qu’on devine ici… plutôt un trop plein d’amour qui fait semblant d’être mieux dans la méchanceté, préférant s’avancer à visage masqué sans se sentir obligé de retirer sa burqa du forum public. Beuh

Sergio dit: 30 octobre 2013 à 16h15

Un collectionneur, normalement et jusques à plus ample informé, c’est des brics-à-bracs. Donc là ipso facto y a deux champions du monde unapproachables, Sosthène de Rodiencourt et Courtial des Péreires. Donc Боже мой il serait très largement grand temps de s’y mettre…

Du côté de chez Drouant dit: 30 octobre 2013 à 16h17

Lemaître, Toussaint, Verger, Tuil : le dernier carré des goncourables. Un fidèle reflet de l’air du temps de la rentrée littéraire.

J’ai déjà imposé Toussaint.

hamlet dit: 30 octobre 2013 à 16h27

imposer Toussaint ? oui bien sûr, c’est une bonne chose, avec tous ces gens qui trouvent des magouilles pour échapper à l’impôt il n’y pas de raison qu’il ne soit pas imposé.

hamlet dit: 30 octobre 2013 à 16h30

.renato, non je testais juste certaines touches de mon clavier comme le point final isolé ou en début de phrase

rose dit: 30 octobre 2013 à 16h38

Fin d’aprem ai vu Troudballe DD.
Cela m’a fait un choc au cœur.

————————————–
Super agréable d’entendre les couinements de l’amour plutôt que les glapissements de rancœur envers nous autres (moi j’aime bien, vous m’avez attendrie +++ aujourd’hui tous les deux => j’vous ai laissés roucouler tranquilles -si ça pouvait durer un peu ce serait top-)

Petite fille j’avais des poupées de collection, indienne Hopi et son marmouset, poupée flamenca en rouge et castagnettes, poupée chinoise et poupées russes achetées tardivement à côté du marché de la Buffa en hommage à Gary (et d’autres encore).
Puis j’ai collectionné les verres anciens les plus petits possibles, j’en ai beaucoup de très beaux, je ne compte pas m’en débarrasser, et je ne m’en sers pas et depuis quelques années je collectionne les grenouilles : j’en ai deux, une en bronze signée et une en céramique signée aussi. Les deux magnifiques etc. mais silencieuses, ce qui pose problème pour des grenouilles.

Les livres je m’en sers ce n’est pas une collection. Mais les enfants petits on a collectionné les Popi et bien avant, très longtemps les Pieds Nickelés. Et les Tintin.

rose dit: 30 octobre 2013 à 16h44

De manière générale je ne suis pas une collectionneuse. J’aurais un faible pour les cocottes Staub mais deux ce n’est pas une collection : collectionner c’est devenir gaga et partout où tu vas tu cherches, qui un canard qui sa chouette qui des toiles de maître si ses moyens sont démesurés.

Est-ce que les gens qui collectionnent s’ennuient ? Ou bien sont-ils obsessionnels ?
J’ai vu l’intérieur de Le Tan (de chez lui) je comprends qu’il collectionne. Quand tu sais plus quoi faire de tes sous t’as pas d’autre alternative que de collectionner pensé-je mais peut-être à tort.

SE débarrasser d’une collection c’est que tu n’y tiens pas plus que cela. Son truc de « je garde le catalogue » c’est un truc de ouf. Et des sous qu’est ce qu’il en a fait ?

Ces gens très riches et très discrets parce qu’ils sont très riches me pompent l’air.

Curiosa dit: 30 octobre 2013 à 16h46

imposer Toussaint le jour de la… pour faire plaisir à Popol qui le trouve empâté ?
à Rose : ici aussi on a nos Pieds-Nickelés, Sarko a Mamie Zinzin, nous on a Mémère Ribouldingue

Jacques Barozzi dit: 30 octobre 2013 à 17h37

« touite
LVMH met Gallimard dans son sac à main. »

Plutôt le contraire, Phil, Gallimard s’offre des sacs vuitons pour transporter ses pléiades, champagne !

Daaphnée dit: 30 octobre 2013 à 17h47

Ah. Mais il existe aussi des maniaques, parmi les collectionneurs .
J’en connnais un autre qui collectionne les petites voitures en fer – remarquez, il en a aussi grandeur nature, de course .. – une pièce entière d’étagères et de vitrines en verre chez lui ..

« Maniaque » c’est sa femme qui le dit ..elle doit avoir ses raisons ..

Notre Jacounet aura certainement une interprétation lumineuse ..

Collectionnite dit: 30 octobre 2013 à 17h52

18h47

Madame doit aussi savoir que c’est une bonne façon d’échapper à l’ISF, donc elle tolère et investit dans les chaussures.

Giovanni Sant'Angelo dit: 30 octobre 2013 à 18h05


…Oui,…on arrive à vendre des parcelles de collections,…pour tenir son monde ( qu’on n’a pas choisi ) debout,…

…vous arriver à vous poser beaucoup de questions sur la place que vous tenez eu égards aux mérites et sacrifices pour une société inexistante qui vous  » broyer « ,…

…conjurations & connivences pour vivre sur le  » dos  » d’autrui,…
…( analyse plus détaillez des relations civiles,…sur les mentalités de profiteurs et victimes,…) un livre, des films plus détaillés sur l’horreur et profits, sur le commerce équitable,…et tout court,…etc,…

John Brown dit: 30 octobre 2013 à 18h06

Découvert un fabuleux dessinateur qu’Assouline connaît sûrement. Il s’appelle Kader Attia . Comment transfigurer un banal sac en plastique blanc de supermarché en une dizaine de dessins. Fascinant, et exemplaire.

Sergio dit: 30 octobre 2013 à 18h08

Le train électrique c’est pas mal, mais il faut une grande maison, donc de la galette. Ou alors non, l’essentiel est une grande cave, à l’instar de Carinhall, et, si on veut, pas de maison au-dessus. Mais attention à ne pas dénoncer le compteur électrique !

Daaphnée dit: 30 octobre 2013 à 18h17

il faut une grande maison, donc de la galette

Une galette avec une grande maison dessus,
heu .. dites-moi Sergio, ne serait pas une soucoupe volante ?

Et Jacounet, Dédé le spécialiste aux manettes ..

Sergio dit: 30 octobre 2013 à 18h26

Daaphnée dit: 30 octobre 2013 à 19 h 17 min
soucoupe volante ?

Les soucoupes volantes aussi, on peut les collectionner, mais alors là il faut… Je sais pas, moi… Des lacs salés !

bouguereau dit: 30 octobre 2013 à 18h28

Découvert un fabuleux dessinateur qu’Assouline connaît sûrement. Il s’appelle Kader Attia

Non, il le connait pas. Mais où l’as-tu découvert, marron ? Précise.

u. dit: 30 octobre 2013 à 18h29

« Comment transfigurer un banal sac en plastique blanc de supermarché en une dizaine de dessins. Fascinant, et exemplaire. » (Brown)

Fascinant, certes, mais exemplaire de quoi?
Arte povera?

Du côté de chez chrysanthème dit: 30 octobre 2013 à 18h33

J’ai déjà imposé Toussaint à Edmonde-Pivot depuis des plombes. C’est dans Louverture de la poche.

collectionneuse de sommets dit: 30 octobre 2013 à 18h45

rose dit: 30 octobre 2013 à 9 h 57 min

Parlez pour vous, pas pour les autres.

Jean Lenoir dit: 30 octobre 2013 à 18h45

Il y a quelques mois un type très intéressant nommé TKP ou quelque chose d’approchant racontait ici des choses passionnantes. Où est-il donc ?

J'en ai assez de philippe bilger, il est trop bien dit: 30 octobre 2013 à 18h45

(sic transit) J’en ai assez de cette perfection de Jean-Jacques Goldman. A force de le sanctifier, on finit par oublier qu’il a des comptes à nous rendre. Précisément parce qu’un tel choix d’existence, aussi fermement tenu, assumé, un tel talent dorénavant mis seulement au service des autres, une telle aura d’autant plus vive qu’elle se nourrit d’une discrétion recherchée et goûtée avec constance et cohérence imposent des obligations.

traube ? dit: 30 octobre 2013 à 18h48

TKP ? Il est mort, mais TKT, lui reviendra. Pour l’instant, il a pris froid lors de sa dernière baignade dans le lac de Zurich

Jean Lenoir dit: 30 octobre 2013 à 18h49

Comment se fait-il que le dénommé Bouguereau est prof d’histoire-géo alors qu’il semble ignorer que Saturne est gazeuse.
Que fait l’Éducation Nationale ?

John Brown dit: 30 octobre 2013 à 18h50

Fascinant, certes, mais exemplaire de quoi?
Arte povera? (u.)

Quoi de plus désespérément pauvre, en effet, qu’un banal sac de plastique blanc tel qu’on en trouve à la disposition des clients dans tous les rayons de supermarché, celui où l’on entasse fruits, légumes, boîtes de conserves, puis qu’on froisse e qu’on jette à la poubelle ? Le degré zéro de la trivialité consumériste. Or, qu’un artiste inspiré — virtuose du crayon de surcroît — le manipule, le froisse, lui fasse prendre des poses, et — surtout — se prenne à le rêver, ce sont, en neuf dessins éblouissants, non pas un, mais des multitudes d’univers de formes, de figures, d’êtres mystérieux comme piégés dans les innombrables replis de la matière que le spectateur fasciné découvre, sans se lasser d’en découvrir encore et encore. C’est en cela que ce travail de Kader Attia me paraît exemplaire. Du coup, ces neufs dessins au crayon, sans aucun rehaut de couleur, dans un format modeste, ont (presque) éclipsé pour moi les oeuvres d’artistes de renom (Rebeyrolle,Basquiat,Bacon) près desquelles ils étaient accrochés, tant ils constituaient à eux seuls un manifeste éclatant des pouvoirs de l’imagination, et m’ont fait oublier le côté maladroitement et inutilement didactique de l’exposition ( à la Fondation Maeght jusqu’au 11 novembre)

logique dit: 30 octobre 2013 à 19h02

quand la vie est un collier
chaque jour est une perle
quand la vie est une cage
chaque jour est une larme
quand la vie est une foret
chaque jour est un arbre
quand la vie est un arbre
chaque jour est une branche
quand la vie est une branche
chaque jour est une feuille

quand la vie c’est la mer
chaque jour est une vague
chaque vague une plainte
une chanson un frisson
quand la vie est un jeu
chaque jour est une carte
le carreau ou le trèfle
le pique le malheur
Et quand c’est le bonheur
les cartes de l’amour
c’est le cul et le cœur.

Fatras

Chaloux dit: 30 octobre 2013 à 19h34

Les enfoirés de crétins qui ont déposé dans la main de leurs enfants (de leurs enfants !)des bananes pour insulter une femme noire, s’imaginent qu’ils iront en Paradis. Ils seront bien surpris. Leur place est réservée. Ils nettoieront les chiottes du Purgatoire jusqu’à la fin des temps.

Jacques Barozzi dit: 30 octobre 2013 à 19h41

« et m’ont fait oublier le côté maladroitement et inutilement didactique de l’exposition ( à la Fondation Maeght jusqu’au 11 novembre) »

Tu parles de l’expo imaginée par BHL, JB ?

u. dit: 30 octobre 2013 à 19h52

John Brown dit: 30 octobre 2013 à 19 h 50 min

Thank you.
C’est là où on voit le caractère unique de l’expérience (pas de généralités, mais: « je me pointais ce jour-là, et savez-vous ce qui advint? ».

« Ça vaut vraiment le coup, cet expale?
– Je n’en sais rien, mais j’en sors un chouia changé »)

Chaloux dit: 30 octobre 2013 à 19h53

Allez savoir, Jacques, peu importe. Quoiqu’il en soit, il n’est pas un dieu qui ne les repousse.
« Il y aura des grincements de dents »… C’est L’Évangile du jour…

(Pour ceux que ça intéresse, les archives du XXie siècle consacrées à Morand sont en consultation libre sur le site de l’Ina.)

Chaloux dit: 30 octobre 2013 à 19h59

Sinon u., vous avez Saint François d’Assise, les livres de Jacques Dalarun, André Vauchez ou François Delmas-Goyon. Pas mal non plus comme Arte Povera, et qui va tellement plus loin…

D. dit: 30 octobre 2013 à 20h14

Bérénice, je suis pris d’un doute.
Est-ce que vous vous fichez de moi ?
Réponse souhaitée.

manifeste C(ase)bv dit: 30 octobre 2013 à 20h41

Parmi les signataires, certaines personnalités comme Frédéric Beigbeder, à la tête du magazine Lui, le chroniqueur Eric Zemmour, l’humoriste Nicolas Bedos, le journaliste Ivan Rioufol, l’avocat de Dominique Strauss-Kahn Richard Malka, le comédien Philippe Caubère, l’écrivain Benoît Duteurtre ou encore Basile de Koch, l’époux de la désormais célèbre Frigide Barjot.

Le beauf jardinier dit: 30 octobre 2013 à 22h20

en connaître un jupon….. dit: 30 octobre 2013 à 9 h 35 min
Je regrette ma collection complète de petites amies, je l’avoue.

Je vous l’echange contre une collection complète de râteaux.

John Brown dit: 30 octobre 2013 à 22h38

Tu parles de l’expo imaginée par BHL, JB ? (Jacques Barozzi)

Gzact. Ce qu’il y a d’agaçant avec BHL, c’est qu’il se prend manifestement au sérieux. Personne ne doute de l’étendue de sa culture ni de son discernement, ce qui aurait donné une exposition bien plus agréable s’il s’était un peu plus lâché et s’était abandonné à sa fantaisie, au lieu de nous concocter ce parcours en forme de pseudo-méditation philosophique (niveau : classe de terminale) sur le thème de la résistance victorieuse de l’image aux anathèmes de Platon et des théologiens. Curieusement, le résultat dément complètement cet effort de mise en forme dialectique et l’on circule au milieu d’un bric-à-brac (de très haut niveau, heureusement) qui ruine les prétentions didactiques du projet initial; c’est ainsi que, dans un coin de salle s’entassent un illustrissime James Ensor, un magique Paul Klee, une figure féminine de Picasso, à côté d’un grand format de Garouste assez drolatique et de la « Cène » de Philippe de Champaigne. Plus loin, un étourdissant paysage d’Albert Gleizes se retrouve coincé entre un Christ de Rouault et une Vanité de Champaigne etc. etc. Le visiteur trouve son bien au petit bonheur (il faut dire que les élucubrations de BHL m’ont immédiatement gonflé) et se prend le choc de la rencontre avec des merveilles inconnues (pour moi, outre les dessins d’Attia et le Gleizes, un petit format de Jawlensky qui troue littéralement le mur, la planète Saturne revue et corrigée par Victor Hugo, la descente de croix visionnaire et torturée de Cosmè Tura, une série de Kandinsky première manière, époustouflants, un Baselitz fulgurant, j’en oublie). Merci BHL, mais de grâce, la prochaine fois, laissez le laïus au vestiaire.

Πρόβαλλιτο dit: 30 octobre 2013 à 22h49

L’aoriste est ce qui est dépouillé des valeurs subjectives de durée ou d’achèvement qu’expriment présent et parfait, et il est mis sur le même plan que le futur qui, on le sait, est dépourvu d’aspect.
J. HUMBERT, Syntaxe gr., Paris, Klincksieck, 1945, p. 120.

renato dit: 30 octobre 2013 à 22h58

Une action sur sa fin ou un passé indéterminé… bien… pour le moment je suis suffoqué par l’emploi excessif d’adjectifs chez John Brown…

JC..... dit: 31 octobre 2013 à 5h52

Chaloux dit: 30 octobre 2013 à 20 h 34 min
« Les enfoirés de crétins qui ont déposé dans la main de leurs enfants (de leurs enfants !)des bananes pour insulter une femme noire »

Allons ! Allons ! Si les parents ne peuvent plus donner des bananes à leurs enfants…et si ceux-là ne peuvent plus les offrir gentiment à une négresse* de passage … où va t on ?

(*je préfère employer ce mot qui n’a rien d’insultant, « femme noire », ça fait sorcière…)

bérénice dit: 31 octobre 2013 à 6h04

D je me moque rarement des gens mais souvent des choses, des situations que j’amplifie jusqu’à les éclater de rire, ne doutez pas que je rigole tous les jours le plus difficile consiste à trouver des sujets qui ne soient pas préoccupants, il faut prendre le large pour souvent ne rien ramener du tout je compte donc sur vous.

antoine dit: 31 octobre 2013 à 6h35

renato (20h46)
ça n’excuse pas les intégristes cathos de civitas, l’abbé beauvais -leurs propos nauséabonds

JC..... dit: 31 octobre 2013 à 7h06

Voilà un adjectif que j’adore : « nauséabond » ! Merveilleusement employé, dans ce cas précis : « les propos nauséabonds des cathos » !!!

Il est vrai que « hyène dactylographique », ça a pris un coup de vieux … et que « nauséabonds », il vaut mieux l’utiliser contre les braves cathos qui envisagent le mariage des mêmes, et l’achat de bébés pauvres, comme une vaste couillonnade que contre les mœurs auvergnates !

u. dit: 31 octobre 2013 à 7h42

« Nauséabond », « gerber »…

Il est déjà pénible d’écouter un marchand de bonnes paroles (entendu hier, stupéfait, un prêche de M. Plenel sur FC) mais il est intolérable de le voir s’approcher avec son tricot souillé par ses propres vomissures.

u. dit: 31 octobre 2013 à 8h02

Je désapprouve les propos de mon camarade JC sur les bananes.
Et Mme Taubira n’est quand même pas le diable, seulement une politicienne exécrable.

Mais on attente tellement à la liberté de parole, et aux libertés tout court, de manière croissante et par tous les moyens, que je ne vais pas lui jeter la pierre.
Ce qui présente l’avantage supplémentaire de le frustrer un peu, car il aime ça, les pierres.

La vision de la gauche morale est: acceptez d’être moins libres, pour votre bonheur. Ce bonheur est nécessairement un, et nous sommes un peu en avance, nous le connaissons mieux que vous.
On fait aujourd’hui, du matin au soir, l’expérience de contrôleurs visibles et invisibles, dont il faut anticiper la nuisance avant de dire ou d’écrire le moindre mot.
Dernière épisode: l’affaire de la pénalisation de la prostitution.

Quel pauvre discours sort de la petite tête charmante de Najat…

renato dit: 31 octobre 2013 à 8h36

antoine,

je n’excuse rien, je me limite à dire que le racisme n’est pas une ‘spécialité’ des catholiques — il suffit d’avoir un peu voyagé pour en avoir fait le constat, sous toutes les latitudes et par un segment des fidèles de toutes religions (même chez des athées déclarés).

JC..... dit: 31 octobre 2013 à 10h12

Les bien pensants, je les emmerde !

Que le camarade jeteur de pierres m’épargne : les caillasses peuvent être mieux employées.

Et je m’en vais, de ce pas, envoyer un bon régime à la garde des sots, qui en a bien besoin !

JC..... dit: 31 octobre 2013 à 10h29

… que les malfaisants se sentent libres de mal interpréter la dernière phrase de mon précédent message : ils ont gagné au jeu de la libre pensée….!

antoine dit: 31 octobre 2013 à 11h29

renato
ce n’est pas une consolation

JC
on n’a rien à f de vos états d’âme et stupides commentaires d’attardé

bon appétit dit: 31 octobre 2013 à 11h44

u.
l existe une nuance entre la liberté d’expression et applaudir aux ravages de cinq années de médiocratie décomplexée (selon laquelle rappeler que le racisme est un délit équivaut à bafouer la liberté d’expression ou au goulag …!!)

JC..... dit: 31 octobre 2013 à 11h55

Qu’ils sont beaux, les petits marquis de la pensée étriquée et moulante, qu’ils sont mignons, sûr d’eux, si propres, si arrogants, si contents d’eux-mêmes, clapotant dans leur pensée crasseuse, si petite et minable…!

renato dit: 31 octobre 2013 à 12h21

« ce n’est pas une consolation »

Jamais je n’ai fait quoi que ce soit pour me consoler (ce, qu’entre parenthèses, n’est qu’un problème religieux) : je constate, et c’est tout. Cela dit, et c’est à savoir, dans mon économie de vie, le raciste est toujours le premier qui en parle — les enfants ont brandi des bananes ? il se peut bien que leurs parents leur imposent la fellation, et puisque le silence (secret) est la règle…

horresco referens dit: 31 octobre 2013 à 12h22

on n’a rien à f de vos états d’âme et stupides commentaires d’attardé

Que le lecteur se rassure. L’Antoine pense peu et court et ne représente QUE LUI-MÊME !!!
Chassez ce/on/con ne saurait voir!!

renato dit: 31 octobre 2013 à 12h30

« … les petits marquis de la pensée étriquée… »

Enfin, JC, s’il y en a un dont on peut dire que la pensée est étriquée c’est bien vous car ce n’est pas parce que vous faite de la provoc à deux balle que vous faite preuve d’une réelle capacité de provocation : vous être un con qui croit agir en nom de la liberté d’expression sans pour autant disposer d’une réelle idée de liberté… mais bon, vous vous prenez pour un scientifique, ce qui est une insulte pour les scientifiques, et cela vous semble suffisant pour vomir votre pauvre existence sur un espace publique, seulement il faudrait que vous compreniez une fois pour toutes que la seule différence entre vous et le dirigeants actuels (et passés) c’est que eux il ont le pouvoir, et vous pas, mais sur le fond c’est la même merde.
Bien à Vous,
Renato Maestri

lecteur dit: 31 octobre 2013 à 13h00

renato
les intégristes cathos sont de plus en plus « décomplexés » (bons pour l’asile)

u. dit: 31 octobre 2013 à 13h26

« rappeler que le racisme est un délit  »

C’est une loi que je remets en cause, en raison de la nature parfaitement foireuse de ce concept, et du caractère juridiquement douteux de son usage.

La garantie des libertés fondamentales est infiniment plus importante.

On mesure l’abaissement des esprit au fait que cette vérité essentielle ait été perdue de vue.

JC..... dit: 31 octobre 2013 à 13h44

Renato,
vous faites bien de nous rappeler à 13:30 qu’il y a ici en plus des « petits marquis de la pensée étriquée », des « grands barons fielleux de la somptueuse couillonnade » !

Que dieu vous garde cet esprit primesautier, et vous épargne toute mauvaise pensée scientifique…

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