
Pouchkine, c’est la Russie
La Maison Pouchkine à Pétersbourg, qui est bien davantage qu’un musée à sa gloire, a été inaugurée en 1905. On y trouve ses manuscrits, sa bibliothèque, ses objets, des gravures et tableaux et de quoi organiser des rencontres culturelles et des colloques qui dépasse sa seule personne car Pouchkine, c’est la Russie, ou du moins la littérature russe, tout simplement. Son œuvre recèle des expressions ou des morceaux de phrases qui sont devenus des mots de passe entre les Russes. Ainsi « la nuit du 3 » (Eugène Onéguine) est-elle un schibboleth, un signe d’appartenance ou de reconnaissance, il n’y a pas à expliquer. Pouchkine relève du fonds et le socle communs des Russes jusqu’à en être devenu le lieu commun et le synonyme de tout, le seul capable de mettre d’accord occidentalistes et slavophiles tout en conservant un écho universel, l’incarnation de la liberté secrète, il se situe à sa juste place à l’origine de la littérature russe moderne- et du métier d’écrivain au sens moderne de l’expression puisqu’il disait écrire pour lui et publier pour gagner sa vie. Toutes choses qui sourdent de chaque page du Dictionnaire amoureux de Pouchkine (580 pages, 28 euros, Plon), une fête de l’esprit.
Son auteur André Markowicz a traduit l’ensemble de son théâtre, nombre de ses poèmes lyriques ainsi que les principaux poètes de sa génération, la première de l’histoire de la littérature russe à se regarder comme telle, constituée d’artistes qui avaient entretenu une conversation permanente, rassemblés dans un essai qui fit grande impression sous le titre Le Soleil d’Alexandre. Il compagnonne intimement avec Pouchkine depuis qu’il est âgé d’une vingtaine d’années ; alors qu’il venait juste d’obtenir sa licence, les maitres d’œuvre de la grande Histoire de la littérature russe en plusieurs volumes publiée par Fayard dans les années 90 lui commandèrent le chapitre qui lui était consacré. L’ode « Napoléon », l’exilé du genre humain comme il l’appelle, mort en martyr selon lui, lui est venu sous la plume au lendemain de sa mort. Markowicz l’a traduite à 17 ans. Depuis, cent fois il l’a remise sur le métier encore et encore. Et il se dit prêt à recommencer jusqu’à la consommation des siècles :
C’est peu dire qu’André Markowicz ne doute pas du génie de son héros. Jamais avare de superlatifs, il élève « Le Cavalier de bronze », hymne à la beauté de Pétersbourg et à ses nuits blanches, au rang de « plus grand poème jamais écrit en russe » ; et les 7000 vers d’Eugène Onéguine, « indiscutable et indiscuté, le plus grand livre jamais écrit en langue russe ». Mais outre son tempérament parfois porté à l’hyperbole, comment ne pas lui donner raison. Non seulement il connait comme peu d’autres la littérature et la poésie russes de l’intérieur de la langue, et pour cause (« Traduire, c’est vraiment lire »), mais cette vision panoramique lui donne les moyens de la comparaison. Markowicz ne doute pas mais, outre qu’il n’est pas inconditionnel de la grandeur de la totalité de l’œuvre, lorsqu’ il est confronté à un obstacle, il l’avoue : non, il ne parvient toujours pas à traduire son grand poème sur la négation de Dieu « Le démon » (et soudain il nous revient en mémoire que Jacques Chirac prétendait avoir traduit toute l’oeuvre de Pouchkine dans sa jeunesse grâce aux leçons d’un vieil excentrique !) ; non, il s’avère incapable de définir le fameux « esprit russe » ; non, il ne lui pardonne pas d’avoir « honteusement » chanté la répression de la révolte polonaise de 1830-1831 ; non, il n’a pas pu traduire certains fragments inédits car inachevés ; non, il l’avoue, il est incapable de traduire « ça », la présence de Pouchkine qui s’impose au visiteur de la Maison Pouchkine à Pétersbourg, envahi par des remontées d’enfance et les émotions qui lui font cortège car « ça » n’a pas de nom c’est indestructible. Ces aveux d’impuissance sont l’une des multiples facettes de la qualité de ce livre passionnant qui joint des touches très personnelles, le ressenti du lecteur et du traducteur, à une érudition sans faille.
« La Russie de Poutine est monstrueuse en ceci qu’elle allie l’indifférence à la culture naturelle au capitalisme et à la dictature mafieuse. Je ne suis pas sûr que cette dictature, même si, un jour ou l’autre, elle finit par s’effondrer, mette en grand danger ce « ça » qui fait ma Russie »
Depuis des années, le Kremlin et ses associés mafieux organisent le vol systématique de manuscrits de Gogol, Lermontov et surtout Pouchkine dans les réserves des grandes bibliothèques occidentales dont la BnF à Paris et surtout celle de Varsovie. Le protocole est toujours le même : un petit réseau de voleurs géorgiens se présente avec de fausses cartes de chercheurs, passent plusieurs jours à « étudier » les documents et remplacent l’original par un fac similé si bien fabriqué qu’il trompe les conservateurs. 170 oeuvres ont ainsi été subtilisées dans les collections. Ce que c’est de demeurer l’incarnation éternelle de la Russie…
Il y a des entrées bienvenues sur le bilinguisme russe/français, une manière de diglossie en fait, qui régnait dans l’aristocratie russe jusqu’à 1914, le français n’étant pas seulement la langue de la conversation mais celle de la réflexion sinon de l’écriture, le russe étant par eux considérés comme la langue vulgaire des journaux. Au lycée, ses camarades avaient surnommé Pouchkine « le Français ». Une place est faite naturellement à Boldino, un village de la province de Nijni Novgorod qui appartenait à sa famille ; une épidémie de choléra l’y confina une première fois pendant trois mois, puis à nouveau un peu plus tard, confinement des plus stimulants et des plus féconds puisque nombre de ses chefs d’œuvre furent composés, complétés ou achevés dans ce splendide et misérable isolement absolu.
André Markowicz appartient à la catégorie des traducteurs que je qualifierais d’empathiques. Il ne lui suffit pas d’être porté par l’admiration, encore lui faut-il n’éprouver aucune répulsion. S’il a bien été l’audacieux et si novateur traducteur de Dostoïevski, il s’est contenté, si j’ose dire, de rendre en français ses 31 œuvres de fiction en 45 volumes mais s’est bien gardé de toucher à ses lettres et à ses articles (y compris son admirable discours prononcé lors de l’inauguration d’un monument à Pouchkine) à cause de son nationalisme et de son mysticisme ; certes, et il n’en disconvient pas, ceux-ci ont également irrigué ses romans mais leur structure les mettait à distance (en situation, dans la bouche des personnages etc).
On dit parfois à propos des grands poètes suicidés que leur mort volontaire éclaire rétroactivement leur vie à mort ou à raison. Pouchkine, c’est son duel avec Georges d’Anthès. Même ceux qui n’ont jamais rien lu de lui savent au moins cela. Blessé, agonisant, Pouchkine fut transporté dans sa bibliothèque aux trois mille volumes. Mais on ne sait à qui il s’adressait, aux hommes ou aux livres, lorsqu’il murmura :
« Adieu, les amis ».
Issu d’une illustre famille aristocratique ruinée, il fréquentait les grands bals depuis toujours, chantait l’empire russe… En permanence hanté par la folie, ce joueur addictif mourut endetté jusqu’au cou à cause de passion pour les cartes (il avait même joué et perdu ses manuscrits à deux reprises)… André Chénier était le poète français dont il se sentait le plus proche… Il était obsédé par les pieds des femmes (il est même question de petons du côté de chez Onéguine ce qui indignait Soljénitsyne qui y voyait l’origine de la perte du sacré dans les démocraties !). Mais comment rendre nojki, diminutif de nogui, autrement que par « petits pieds » dans les strophes 30 et 34 du premier chapitre ? Il y a donc « petons », mais c’est risqué de ramener la Valentine de Maurice Chevalier dans la grande poésie russe du XIX ème ce qui ferait désordre ; la consultation du Dictionnaire de l’Académie (1802) libéra d’un cas de conscience…
Markowicz aura passé sa vie d’adulte en compagnie de Pouchkine et ce n’est pas fini. De son propre aveu, il y a encore beaucoup à découvrir du côté des variantes, de la ponctuation et même du papier sur lequel il écrivait. Ce Dictionnaire n’a pas de dédicataire. Mais le linguiste Efim Etkind (1918-1999), grand savant, professeur, passeur et traducteur, aurait pu l’être. Il fut le maître admiré et l’ami cher de Markowicz jusqu’à ce qu’ils se fâchent à jamais. Il n’empêche… :
« C’est lui qui m’a fait. Si vous lisez ce Dictionnaire amoureux de Pouchkine, c’est qu’il y a eu Etkind ».
Après un aussi bel élan de gratitude, on a hâte de retrouver son exemplaire d’Eugène Onéguine dans la traduction de devinez qui avant d’attaquer le massif Pouchkine par la face nord, celle du splendide témoignage sur le quotidien de l’aristocratie russe entre 1819 et 1825 (promenades, fêtes, bals et ballets) ou par la face sud et se laisser emporter vers l’ivresse des sommets dans une quête infinie de sa légendaire légèreté.
« Je n’estime pas cher tous ces droits souverainsQui font tourner la tête à mes contemporains.Je ne murmure pas si les dieux me retirentLe pouvoir d’amender le budget de l’EmpireOu d’empêcher les rois de lever des armées.Et je ne pleure pas qu’on ne puisse imprimerDans une presse libre un tombereau d’orduresSans tomber sous le coup d’une acerbe censure.Cela, c’est, voyez-vous, « des mots, des mots, des mots. »Il me faut d’autres droits, plus secrets et plus hauts.Une autre liberté, plus haute, me transporte :Dépendre du monarque ou du peuple, qu’importe ?C’est dépendre toujours. Chacun son dû.——————————————N’avoirPour maître que soi seul. Être en repos. DevoirNe contenter que soi ; pour quelque honneur infâme,Ne rien devoir courber, le cou, les rêves, l’âme.Selon sa fantaisie, vagabonder, errer,Contempler la nature en sa splendeur sacréeEt frissonner de joie, plein de larmes sereines,Face aux créations de la pensée humaines.O vrai bonheur ! droits vrais !…. »
(« Pouchkine récitant à un ami poète devant Derjavine », huile sur toile d’Ilia Répine, 1911, Maison Pouchkine ; « Portrait d’Alexandre Pouchkine. huile sur toile, 1827, Maison Pouchkine; « Le dernier tir d’Alexandre Pouchkine » huile sur toile d’Adrian Markovitch Volkov, Maison Pouchkine )
328 Réponses pour Pouchkine, c’est la Russie
trouve ses manuscrits, sa bibliothèque, ses objets, des gravures et tableaux et de quoi organiser des rencontres culturelles et des colloques qui dépassent (rencontres culturelles et des colloques sont le sujet => verbe au pluriel.
Sinon, j’aurais dit Saint Petersbourg.
Et enfin
« Adieu, les amis ».
C’est nous.
Tout cela est bel et bon, mais comment expliquez vous que, si vous demandez à 100 français pris au hasard s’ils ont lu des auteurs russes du 19ième siècle, beaucoup répondront: « Oui, Tolstoï, Dostoievski ou Tchékov… » mais quasiment aucun Pouchkine?
@Ubu
Going down the line
https://youtu.be/2s4slliAtQU?si=D2HYRDrZrxZQ7-rm
Que vive la Grande Russie !
Bon, soyons clairs. Pouchkine, c’est un café où on boit du chocolat. Et encore, pour ceux qui écoutaient les éditions Barclay en 1966. Bon d’accord, je sors.
Un article qui me rappelle La traque d’Henri Troyat, un de ses derniers romans publiés, qui n’est pas un mauvais livre, et ne manque ni de pente, ni d’une certaine puissance. L’histoire d’un homme qui veut venger Pouchkine en tuant d’Anthès. Je ne lirais pas ses œuvres complètes, mais je n’ai jamais réussi à mépriser Troyat.
Je lirais bien ce livre mais ma pile d’ouvrages à lire est si haute, et elle grandit tous les jours.
Brian Wilson témoin d’un passé american révolu est mort.
Bah, good vibrations for ever, les mecs. Et surtout : pas l’ombre d’un doute. Surtout.
J’ai toujours pensé que, quand on entre beaucoup trop dans une langue, on risque de perdre le sens de la mesure. On est toujours dans le trop, et ça, ce n’est pas facile à gérer. J’ai remarqué que, par exemple, les gens qui sont beaucoup trop amoureux de l’équipe de foot allemande, ont une tendance à « pardonner » quelques autres aspects de l’Allemagne ou du peuple allemand. Ca vaut même pour la langue : un fou furieux amoureux de la littérature américaine commence à être un peu indulgent à l’égard d’autres choses (moins louables) américaines. Je ne sais pas pourquoi. J’avais suivi l’argumentaire de Markowicz concernant le comportement de beaucoup d’auteurs ukrainiens après l’agression russe qui ne voulaient plus entendre parler de la littérature et de la langue russes, et je dois dire que cet argumentaire ne m’avait pas du tout convaincu. Enfin.
Lénine et Staline
Deux rouges vermines
Ont tué Tsar et Tsarine
La Sainte Russie
N’est plus divine
C’est Pouchkine qu’on assassine !
Il y a longtemps, j’avais un ami russe, parfaitement francophone et passionné francophile, qui m’avait assuré que la poésie de Pouchkine est tout bonnement intraduisible en français.
Et qu’en est-il alors, lui ai-je demandé, de toutes les traductions qui existent ?
Il m’avait répondu après un long et slave soupir : « Faut bien que les français se familiarisent un peu avec le romanesque des steppes et la poésie des scythes que chante notre barde national Pouchkine, même médiocrement et insuffisamment traduits ».
« comment expliquez vous que, si vous demandez à 100 français pris au hasard s’ils ont lu des auteurs russes du 19ième siècle, beaucoup répondront: « Oui, Tolstoï, Dostoievski ou Tchékov… » mais quasiment aucun Pouchkine? »
la réponse est très simple : Pouchkine n’est pas un auteur russe.
même Steiner ne fait pas commencer la littérature russe avec Pouchkine, mais avec Gogol.
« La Russie de Poutine est monstrueuse en ceci qu’elle allie l’indifférence à la culture naturelle au capitalisme et à la dictature mafieuse. Je ne suis pas sûr que cette dictature, même si, un jour ou l’autre, elle finit par s’effondrer, mette en grand danger ce « ça » qui fait ma Russie »
il veut dire un peu comme l’Amérique de Trump ?
pour lui être russe c’est accepter les lois ukrainiennes héritées des lois de Nuremberg qui interdisent aux russes de parler russe ou qui donne aux russes des droits inférieurs aux autres ?
je me demande comment un type qui se prétend être un amoureux de la langue russe peut s’accommoder de lois qui interdisent de parler cette langue ?
pour les humanistes occidentaux limite je comprends encore parce que leur humanisme n’est qu’hypocrisie, mais pour lui je comprends pas.
Et puis, il y a les larmes de Pouchkine, versées un 19 octobre, quand tous ses amis ou presque sont en prison, ou morts, les seules qu’il aurait versées! Quand il sait qu’il n’écrira plus, presque plus.Comme Markowicz sait nous les rendre tangibles, tangibles parce que, grâce à lui, traduites, transportées. Partagées. Moi, les larmes de Pouchkine traduites par Markowicz, je les ai senties sur mes joues.
Livre rare, livre miraculeux, Partages 2 s’étend de juillet 2014 jusqu’à juillet 2015. Un an.
https://towardgrace.blogspot.com/search/label/Pouchkine
Je lirais bien ce livre mais ma pile d’ouvrages à lire est si haute, et elle grandit tous les jours.
Me too.
Mais, hier, ai rangé Zola dans le placard, trois livres d’art aussi, plus quatre de Michel Gautier. Le drame de sa maison à son décès.
Quand je reviendrai, je reprendrai le dépoussiérage et le tri. En ai fait émerger quatre ou cinq, emmenés avec moi. Ils me sécurisent. Ai roulé le tapis aussi. Matinée grand ménage de printemps.
Michel Vautier, poète.
Pour les humanistes occidentaux limite je comprends encore parce que leur humanisme n’est qu’hypocrisie, mais pour lui je comprends pas.
Hier, avons eu une grande conversation avec ma maman, impossible à retranscrire ici, eu égard à l’intimité, qui m’a laissée en état de sidération avancée. À la fin, je lui ai dit que je ne comprenais pas. Elle m’a expliqué pourquoi. Ma mère, peu diplomée, elle n’a pas le bac, est d’une intelligence qui me stupéfie, comme Renato. Je lui ai demandé comment faisait-elle pour comprendre tout. Elle m’a répondu c’est la vie qui lui apprend à vivre.
Nous sommes allées arroser les dahlias. Deux sont en train de crever.
C.m’a demandé de l’embrasser. Un très bel homme est arrivé, mocassins blancs. Grand, beaucoup de classe. Un abandonné par sa famille.
Hier soir, ai mangé des farfales, un peu de beurre, une saucisse de ménage de Thoard. Ensuite, ai tranché un oignon, une courgette, la seconde saucisse, dans le jus de cuisson, riz parfumé de Thaïlande, un bol de riz et deux d’eau.
Un type est arrivé, suédois, Jui ai dit Greta Thumbert, m’a répondu j’l’aime pas. Ai conclu ne parlons pas de politique on va se fâcher. Comme il reniflait mon plat, lui ai filé une petite assiette. Il respirait le bonheur par toutes les pores de sa peau. Pendant qu’une bonne femme venait m’interpeller et m’engueuler pour trois assiettes sales dans l’évier, cépamoi ai-je rétorqué, lui est revenu et m’a embrassée. Voilà hein. Mon plat était délicieux, la France, Marseille, la vie.
Dehors, y avait les Mureaux. Un camion Leclerc de location énorme, bourré jusqu’au plafond de tentes, de sacs, de matériel. Ont commandé des pizzas. Sont tous noirs, presque. Heureux et joyeux. Les animateurs sont tous blancs. Z_ont échappé à leurs HLM.
Une seule question me taraude sur ce petit de quatorze ans, c’est pourquoi. La jeune femme a le double de son âge plus trois ans. Un môme définitivement orphelin de mère. Mais pourquoi ce passage à l’acte ?
J’en connais une qui nous appelle aussi les mecs. Hier soir, ai pensé vivement que je ne voulais pas, âgée, j’y suis, que l’on confonde mon genre. Il/elle était très âgé, on ne savait pas si c’était un homme ou une femme. L’enfant aussi lundi, cheveux longs, traits fins, c’est un garçon.
Tout est fragile comme du chocolat Meunier, la trilogie, sommeil, calme et sérénité, sauf la ténacité et l’amour pour ma mère.
Il existe une catégorie de gens qui semblent nés pour être perpétuellement trompés.
Cette pauvre Clopine y entre de plein droit.
– avec Françoise Morvan, elle aussi animée à chaque instant par la même passion, la même vie intense. Il y a la mère d’André, qui relit ses traductions et les commente !
Texte de Claro dans Le clavier cannibale comme celui souligné par et alii plus haut. Magnifique.
Un de plus dans la PAL. Même si je ne partage ni l’isolement, ni la difficulté d’être un humain de Markowicz.
Hier, Emma, au scrabble les a tous eu W, X, Y, Z sauf le K, que j’ai pioché. Jui ai dit « ah, malheureux au jeu, heureux en amour ».
Il existe une catégorie de gens qui semblent nés pour être perpétuellement trompés.
Ah, vous parlez de moi. Bafouée, conviendrait mieux. Hier, ai montré à ma mère un petit minus. Ai pris le pouce et l’index, y avait deux millimètres, dans notre conversation. Jui ai dit comme ça « moi, je suis un petit minus ».
Si ce n’est, je vous aime, à distance. Déjà, trois jours pour moi, c’est énorme.
sur » Il fut le maître admiré et l’ami cher de Markowicz jusqu’à ce qu’ils se fâchent à jamais. »
il faut croire que c’était nécessaire;ce n’en est pas moins troublant
Rose, pas de vous, vous êtes timbrée mais très intelligente..
POUCHKINE
Des regrets de n’avoir rien bouffé chez ce fada de Russe ?
Euh, non … ! Aucun.
Mélenchon va-t-il faire composer une opérette sur les tribulations navigatoires de ces dames? Titre: Rima et Greta sont dans un bateau.
Malheureusement, aucune n’est tombée dans l’eau. Pince-moi en est pour ses frais.
Hurkhurkhurk !
Reviens, Francis Lopez!
On ne peut même plus dire qu’il y a beaucoup de poissons dans la mer. Quant aux sirènes, que sont-elles devenues ?
Lopez façon « Avec son Tra La La? » On voit mal ici les Espagnolades!
J’ai oublié Gogol dans ma liste des auteurs russes du 19ième siècle effectivement lus par les français.
nota: Gogol était ukrainien mais écrivait en russe et aimait la Russie.
« Le gouvernement actuel figure parmi les plus fortunés depuis 2017, avec 22 ministres millionnaires, selon les déclarations de transparence rendues publiques.
La tendance ne fait que s’accentuer depuis 2017 : sous la présidence d’Emmanuel Macron, les ministres sont de plus en plus riches. Le gouvernement actuel compte 22 millionnaires sur 36 membres, d’après leurs déclarations d’intérêts et de patrimoine, rendues publiques, mardi 10 juin, par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). »
Il n’y a pas de hasard.
rose,occupée à monter une « opération pistou pour tous »;dont ma doyenne sera le chef(son palais défierait toutes les toques)
A propos des Pouchkine volés.
et qu’on ne me dise pas queb je suis fichue comme un as de pique!
Monsieur Court-circuit oublie le chanteur de Mexico.
Toujours des objections débiles. C’est aussi sur lui qu’il faudrait composer une opérette.
Exegi Monumentum
Mon monument n’est pas l’ouvrage des humains
Et mon peuple y viendra par le sentier dont l’herbe
Ne cachera jamais la trace au pèlerin.
Il dépasse en hauteur de sa tête superbe
Le phare des Alexandrins.
Non, je ne mourrai pas tout entier, héritière
De mon souffle, ma lyre à ma chair survivra
Et je serai fameux, tant que sur cette terre,
Un poète encore chantera.
Mes vers par la Russie iront de Bouche en bouche,
Et chacun dans sa langue épellera mon nom –
Slave hautain, fils des steppes farouches,
Toungouze et Kalmouk vagabond.
Longtemps je serai cher à la foule innombrable
Pour avoir réveillé la bonté dans les coeurs,
Chanté la liberté dans mon siècle implacable,
Crié grâce pour le malheur !
Muse, accomplis de Dieu la volonté bénie
Sans vouloir de couronne et sans craindre d’affront,
Tais-toi, quand les sots parleront !
Cette traduction de H. Grégoire d’une adaptation d’un poème d’Horace est une sorte de bilan testamentaire que Pouchkine rédigea à la fin de sa vie.
C’est une synthèse en quelques vers de la transformation des élans de jeunesse, de sa vie tortueuse d’intrigues politiques et amoureuses, en une stèle romantique à la glorification de l’Empire disparu.
Un pont entre l’aristocratie et le peuple avec la création d’Eugène Onéguine mêlant dans les bases de ce roman psychologique réalisme romantisme et folklore populaire.
A.P? désirait “laisser à la langue russe une sorte de rusticité biblique” et luttait contre les “grâces européennes et les délicatesses françaises”
in
https://www.nonfiction.fr/article-4307-pouchkine-lame-russe.htm .
Avec ses lèvres épaisses et sa peau mate, il avait un physique plus métissé que slave, Pouchkine !
Quelque chose de particulièrement sexy.
Y a t-il une entrée à ce sujet dans le dictionnaire amoureux de Markowicz ?
Lermontov est peu lu en France.
Grand poète et mort en duel lui aussi.
Un second Pouchkine ?
Plutôt une pâle étoile brillant faiblement dans l’orbite de l’astre géant des lettres russes.
in « contestable » bio de gourdin
« à la police d’ouvrir les lettres du poète à sa femme, Natalie, ce qui fera écrire à Pouchkine dans une lettre de la correspondance conjugale de 1834 : “On peut très bien se passer de la liberté politique, mais sans l’inviolabilité de la vie de famille, l’existence est impossible. Le bagne est infiniment préférable” –
jeu
A.P. était un grand joueur et jouait au « pharaon! »
Le teint brun et les cheveux crépus de Pouchkine viennent de son arrière-grand-mère abyssinienne.
Du sang africain dans les veines du Grand Russe !
a vos bibles (pardon, à vos cartes)
Le pharaon, ou Faro en anglais, est un jeu qui se déroule entre un banquier et un nombre illimité de joueurs appelés pontes, sur une table ovale recouverte de feutrine verte. Sur ce tapis est disposé en forme de U un exemplaire de chaque carte de l’As (qui compte comme le 1) au Roi.
Le banquier joue avec un jeu entier composé de cinquante-deux cartes qu’il mélange. Il commence par brûler la première du paquet (ce qui signifie écarter cette carte, face visible, sans qu’elle ne soit prise en compte). Il désigne deux endroits (un à sa droite et un à sa gauche) qui correspondront aux emplacements « carte gagnante » et « carte perdante ». Les pontes, à chaque tirage, peuvent miser sur un des dessins de cartes sur le tapis en disant s’ils pensent que la carte, quand elle sortira, sera une carte gagnante ou une carte perdante. Les joueurs peuvent retirer ou modifier leur mise à tout moment. Le banquier gagne la mise du ponte, lorsque la carte du ponte tombe dans l’emplacement carte perdante que le ponte avait misé sur une carte gagnante ou inversement. Le ponte gagne sa mise lorsque son pronostic était bon. wiki
loser dit: 11 juin 2025 à 19h51
Tout cela est bel et bon, mais comment expliquez vous que, si vous demandez à 100 français pris au hasard s’ils ont lu des auteurs russes du 19ième siècle, beaucoup répondront: « Oui, Tolstoï, Dostoievski ou Tchékov… » mais quasiment aucun Pouchkine?
euh! j’ai lu « la fille du capitaine », mais bon, je ne suis pas français, donc, oui, c’est possible.
Le texte de Passou est intéressant, mais écrit « vite », pour le dire ainsi.
Et pourquoi, lorsqu’il est question de littérature russe et de traduction, l’on ne mentionne jamais Georges Nivat ??
Closer dit disculpe!
d’aptès les tableaux prioisés, les joueurs de pharain sont esentiellements des hommes;mais le secret; la martingale, c’est d’une femme qu’il faut l’obtenir (la dame de pique)
proposés pharaon
je ne joue pas aux cartes
la question qu’il faut poser c’est pourquoi Pouchkine n’est-il pas un auteur russe ?
la réponse est donnée par le titre du bouquin de ce type : « Dictionnaire amoureux de Pouchkine »
si Pouchkine avait été russe il n’aurait pas pu écrire un dictionnaire amoureux.
exemple au hasard : Dostoïevski.
Dictionnaire amoureux de Dostoïevski…
Dictionnaire amoureux de Pouchkine : quelqu’un a réfléchi à la débilité de ce genre de titre ?
en quoi doit-on aimer un auteur ? en tomber « amoureux » ?
même d’un livre : pourquoi dire qu’on « aime » un livre.
comme si la littérature devait être un truc fait pour être aimée.
c’est carrément du Bernard Pivot ! sérieux ça n’a pas de sens ! c’est juste une vision « marketing » de la littérature.
l’essai « Pouchkine ou le vrai et le vraisemblable »
Nabokov (1937) articulait déjà : celle de l’inaccessibilité de l’auteur réel et de l’original intraduisible.
sans compter bien sûr la dimension politique : Pouchkine c’est le « bon russe » parce qu’il nous ressemble, un idéaliste enfant des Lumières : le russe parfait.
comme il y a le bon noir ou le bon arabe à qui on ne peut que refiler le Goncourt tellement c’est un bon arable.
et là faire de Pouchkine le Navalny de la littérature limite on imagine bien un humoriste en faire un sketch, c’est du macronisme littéraire.
rose, minus habens, a réglé cinquante choses ce matin.
Opération pistou à l’Ehpad, on va en parler à la cuisinière.
Tout le monde à l’épluchage.
« Mes vers par la Russie iront de Bouche en bouche,
Et chacun dans sa langue épellera mon nom –
Slave hautain, fils des steppes farouches,
Toungouze et Kalmouk vagabond. »
ça fait un peu caricature genre image d’Epinal.
la caricature du « vrai russe » et du « bon russe ».
sérieux on croirait une pub pour visiter un pays exotique vision 19è : retrouvez la beauté sauvage de la Russie comme vous n’avez jamais osé la rêver…
laisser l’indicible agir dans le non-dit.
OK, mais comment troubler cette ataraxie?
Rose s’agite le cerveau et ce n’est pas là son moindre défaut!
Bravo!
« le seul capable de mettre d’accord occidentalistes et slavophiles »
ce problème n’est plus celui des russes, mais c’est le nôtre.
en fait nous aimons que les russes occidentalistes juste parce que nous refusons l’altérité : nous n’aimons que ce qui est comme nous.
d’ailleurs il faut bien que tout le monde sache qu’aujourd’hui dans les pays Baltes, donc des pays de l’UE hé ben les russes nés dans ces pays n’ont pas les mêmes droits que les autres.
exemple au hasard : dans les pays Baltes les russes nés dans ces pays depuis plusieurs générations n’ont pas le droit d’avoir un passeport de ce pays.
ce genre de comportement ça porte un nom : l’apartheid !
donc aujourd’hui l’Europe accepte que certains de ses pays pratiquent l’apartheid parce que ceux qui en sont victimes sont des russes.
nous européens tolérons ce genre de politique raciste.
et après on donne des leçons de droits de l’homme à la toute la planète…
parlez pour vous puck, ce n’est pas très intéressant d’aimer quelqu’un qui nous ressemble, bonjour l’effet miroir …
maintenant il est vrai qu’au quotidien, c’est peu pratique de vivre avec quelqu’un qui vous contrarie à l’envi.
D’où l’intérêt d’un roman qui nous présente une collection d’autres que l’on peut ouvrir et fermer quand l’envie nous en prend ou nous en déprend.
Le texte est intéressant à lire , j’ai un peu la flemme effet secondaire de la pleine lune des fraises, besoin de décanter
Mal au crâne depuis deux jours, est-ce l’effet de la pleine lune des fraises ?
C’est beau, Chantal, mais c’est un univers si lointain dans mes lectures. A part Tchekhov, je connais peu ces grands écrivains, cette immense Russie. Peut-être Olivier Rolin… Journal du météorologue… terrible… et
et sa fascination pour cet espace. La Sibérie, le Goulag, ses saints… Un pays redoutable… Bois sombres et terre blanche, toute gelée. La neige… Et les bouleaux… La taïga… Les steppes…Les marches des escaliers du Potemkine…. La Place Rouge, le Kremlin… Des monastères, des églises aux toits dorés…. Le Transsibérien… Cendrars..
Michel Strogoff… Un samovar et du thé brûlant… L’écriture cyrillique… Les isbas en bois… Soljenitsyne, L’Archipel du Goulag… Vassili Grossman, Vie et Destin… Gorki… Tolstoï, La mort d’Ivan Ilitch… Varlam Chalamov, Les récits de la Kolyma, le bagne où il fut envoyé… Mandelstam…
Un drapeau rouge sang…
Un souffle obscur venu du passé…
Effacement des traces… Vols des manuscrits de Pouchkine…
L’écriture triomphant de toutes les formes de domination…. Ne pas oublier même si certaines mémoires sont effrayantes, des chemins obscurs, des témoignages. Un homme marche difficilement, s’enlise dans la neige…. Ce sont les premiers mots de Récits de la Kolyma.
Et aujourd’hui autre trou noir, ces ados qui tuent sans émotion enfants et adultes… Trou noir.
Ça pourrait être les prémices d’une infection virale respiratoire, Jazzi.
Par exemple.
ce n’est pas très intéressant d’aimer quelqu’un qui nous ressemb
–
…mais alors qu’est-ce que c’est pratique. Vous pouvez pas imaginer !
Pour cette raison je m’aime que moi.
En effet c’est très loin Christiane, dans un premier temps j’ai pensé que relire Pouchkine me permettrait de trouver une sujet de conversation léger avec ma soeur qui avait épousé un russe de Saint Pétersboug et adopté un bleu russe du nom de Pouchkine, mais depuis lors elle s’est séparée et remariée avec un italo-suisse et pour le moment elle en a aussi son compte de vie commune, mais 3 enfants dont 2 adolescentes … Elle n’est pas très positive pour l’avenir et cela me pèse. Je me souviens comme vous des lectures et films russes évoqués ici par Paul Edel, j’ai été jusqu’au bout de cette recherche d’ailleurs avec le film « compartiment n°6 » qui date de 2021. Dans quel dilemne sociétal vivons-nous ? Une amie journaliste qu’autrefois que je pensais très humanitaire est devenue complètement terrorisée depuis qu’elle a fait une enquête sur le drame silencieux des profs dans les écoles islamisées en France et en Belgique je n’ai pas réussi à aller la voir car elle semble si déprimée en interview et éteinte que cela me fait peur.
Tu ressembles à une endive ou à tes poules, D. ?
Vous n’allez pas me croire.
Asseyez-vous.
À midi, à l’Ehpad Meissel, Marseille, nous avons mangé en entrée des carottes râpées fraîches avec un brin de persil, pas de boîtes de cinq kilos
J’en pleurerai de bonheur si je ne savais pas gérer stricto sensu mes émotions.
pleurerais,
Je me retiens.
Je m’estime capable de relations cordiales avec mes endives, Jazzi.
Je ne dirais pas qu’il s’agit de relations humaines, mais ça n’en est pas loin.
Regardez Rose avec ses carottes et son persil : elle pleure de joie. La relation legumière n’est ni à railler ni à négliger.
Même Chantal, dont je ne partage pas les valeurs, aime les radis et leur parle.
Merci, Chantal. Donc votre sœur n’a pas gardé le mari mais a gardé le chat !
Pour le reste oui, un parcours semblable, une tristesse semblable…
C’est sur le tard, le très tard, qu’on se rend compte qu’on n’a aimé vraiment, dans sa vie, qu’une ou deux personnes. Vraiment mais pas immuablement.
Des centaines de rencontres, bonnes ou mauvaises, des fréquentations plus ou moins saines ou malsaines, des amitiés d’enfance inoubliables et des inimitiés d’adolescence mémorables… Et des amours : De passage et sans passion ou de partage avec fusion et effusion.
Moi personnellement, au soir de ma vie, ne me reste qu’un seul désir, celui de mourir seul au-delà de tout amour car il n’y a rien à aimer quand on rentre dans le néant.
Puck m’a un jour révélé une quasi-adoration pour le potiron. Enfant, à Oran, il avait pour doudou un potiron et il dormait avec en suçant son pouce.
Christiane, je ne sais pas. Elle ne m’a jamais rien dit à ce sujet.
Je te recommande ce livre de l’un des mes confrères et néanmoins amis, D. !
« Il n’est pas inutile, écrit Jean-Luc Hennig, d’interroger le désir que nous pouvons avoir à caresser une poire, à déshabiller un bulbe de fenouil, à peler une orange à vif ou à mordre dans le cul d’un artichaut… »
https://www.ethnopharmacologia.org/bibliotheque-ethnopharmacologie/dictionnaire-litteraire-et-erotique-des-fruits-et-legumes/
rose,
opération pistou:
voyez avec virginie et janine(elle revient demain, maus est au courant)et bien sur notre doyenne, qu’on vous la présenteavec toutes les cérémonies requises: attention, elle est un chef! (même si elle aime blaguer et rire dans l’amitié sic )sa petite fille aussi est professionnelle et dans la blague aussi, je crois! bref vous vous entendrez super!je compte bien sur vous pour vous amuser un max avant qu’on se régale! chouette!
marseille est impossible! on n’a pas trouvé un radiologue(pour moi!)qui puisse recevoir avant la semaine prochaine !en attendant, j’essaie de ne pas trop stresser! et respecte les ordres pour tout!infirmière, médecin! c’est Molière!et encore, je ne doute pas un instant que j’ai de la chance!
j’ai vu la scène la plus touchante entre un homme habitué à caresser un chat sur son épaule, et apaisant par son affection intelligente une femme qui éructe des paroles hachées, incompréhensibles pour moi:elle posa sa têre sur son épaule, et il la caressa longuement, sur le front, les cheveux;
j’espère qu’ils se retrouveront et se reconnaîtront en partageant cette émotion si secrète que je ne saurais en imaginer les mots,
en pensant à vous
Tu n’as rien compris, Jazzi.
@ »parlez pour vous puck, ce n’est pas très intéressant d’aimer quelqu’un qui nous ressemble, bonjour l’effet miroir … »
absolument !
sauf que c’est ce que dit cet article de passou : Pouchkine c’est la Russie.
en fait c’est une Russie de carte postale.
c’est juste faire de Pouchkine une espèce de Navalny de la littérature, un « agent » occidental qui incarnerait une Russie aimable parce qu’une Russie qui correspondrait à ce qu’on en attend.
c’est juste une nouvelle facette de ce vieil esprit colonialiste occidental.
exemple : cet esprit colonialiste occidental est porté aujourd’hui par des types comme Soros et les néoconservateurs américains.
du genre on va faire de l’Ukraine ou de la Géorgie des pays comme nous, parce que leur population aspire à devenir comme nous.
c’est exactement ce que les français disaient de l’Afrique au 19è :on va aider ces gens à être comme nous, c’est Soros ou Glucksmann.
pour ça que ce titre « Pouchkine c’est la Russie » ça sonne comme un slogan de néoconservateurs :
Pouchkine c’est la Russie qu’on aime !
Pouchkine c’est la Russie qu’on veut !
donc pour y parvenir il faut juste changer le régime en place !
faire pour la Russie ce qu’on a voulu faire en Libye, en Iran, en Afghanistan, en Ukraine, en Géorgie etc…
pour que la Russie réelle devienne la Russie de Pouchkine.
vous me suivez ?
comme pour le Goncourt : Kamel Daoud c’est l’Algérie !
sous entendu c’est l’Algérie qu’on souhaite.
Je hais la pornographie légumière.
rose suite
mais surtout pensez bien que la cuisine, c’est quasi « la cité interdite »!
et un souvenir qu’il y a au moins un hopital (draveil) où les patients sont ou ont été conviés à éplucher les légumes, ce qui est banal dans les H.P.
pour ça qu’au milieu de l’article il y a ce rappel :
« La Russie de Poutine est monstrueuse blabla (…) »
au cas où on n’aurait pas bien compris la démarche.
parce que la Russie c’est Pouchkine et pas Poutine.
comme l’Irak c’était pas Saddam, ni les autres…
en fait c’est de l’instrumentalisation politique à 2 balles de la littérature.
Pouchkine, c’est la littérature russe, tout simplement, Puck. Y’a pas à tortiller. Si t’es pas content, casse-toi.
ROSE? CE QUE J’AI ECRIT EST INCOMPREHENSIBLE;
cet homme si tendre est sourd muet ;et émet des sons étranges quand il veut attirer l’attention; il est assez corpulent , et parce qu’handicapé reste assis sur son grand fauteuil roulant:c’est lui qui a été à Lourdes (pour ses jambes, je crois)il en est revenu avec une croix assez grande, qu’il montre pour se présenter;il est pieux m’a-t-on dit ,ie va à la messe; il a de la famille en dehors du chat:une épouse, et un frère avec lesquels il communique avec son téléphone:
Bela Borsodi, Phytophile
https://www.anothermag.com/art-photography/gallery/10563/phytophile-by-bela-borsodi/5
Bela Borsodi est un photographe autrichien
closer, il me semble que lorsqu’on pense Boris Godounov,on associe Modeste Moussorgski,et rarement Pouchkine
autre nom associé à Boris Godounov
celui de CHALIAPINE? GRAND INTERPRETE DE Boris Godounov
Un peu de fraîcheur dans l’eau chaude !
https://pauledelblog.fr/2024/08/02/je-rentre-en-russie/
Oui, Chantal, Paul Edel.
https://pauledelblog.fr/2022/01/18/lecture-agitee-de-l-idiot-de-dostoievski/
Ou encore, celui-ci.
https://pauledelblog.fr/2022/09/26/relire-guerre-et-paix-cest-pas-mal-du-tout/
Sans oublier Tolstoï !
D. dit: 12 juin 2025 à 12h35
Pouchkine, c’est la littérature russe de carte postale, tout simplement, Puck. »
pourquoi tu t’énerves : j’ai dit la même chose que toi.
Pouchkine, une ascendance africaine ?
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-pourquoi-du-comment-histoire/comment-les-origines-africaines-de-pouchkine-ont-elles-pu-influencer-son-oeuvre-4393861
Le Baudelaire d’Eugène Crépet est délectable, surtout dans cette version des années 20, si pleine de notes apparemment ajoutées par son fils Jacques, qu’on a l’impression de lire deux livres à la fois.
Chaloux dit: 11 juin 2025 à 19h48
J’ai dans le répertoire « Livres à lire » l’édition de 1928 de ce livre, téléchargée en pdf sur archive.org.
Et j’ai téléchargé 5 autres livres d’E. Crépet: les 2 vols. de « Le Trésor épistolaire de la France » (1865), les 2 de « Les poëtes français » et ses « Lettres reçues, 1859-1862, sur la publication des poëtes français ».
On peut télécharger gratuitement aussi les 6 vols. de la Correspondance de Baudelaire dans l’édition de son fils Jacques Crépet (Ed. Conard, 1947-1953).
Pouchkine n’est pas un auteur russe.
puck dit: 11 juin 2025 à 22h10
Quelques heures après:
Pouchkine c’est le « bon russe » parce qu’il nous ressemble, un idéaliste enfant des Lumières : le russe parfait.
puck dit: 12 juin 2025 à 9h33
Dictionnaire amoureux de Pouchkine : quelqu’un a réfléchi à la débilité de ce genre de titre ?
puck dit: 12 juin 2025 à 9h25
Par contre, un titre comme « Dictionnaire amoureux de Maurice Desborels », qu’est-ce qu’il aurait été intelligent !!!
« pauledelblog.fr/2022/01/18/lecture-agitee-de-l-idiot-de-dostoievski/ »
dans cet article il y a 2 phrases marrantes :
le « qui peut-y croire » : c’est exactement ce que Tolstoï disait de Shakespeare « qui peut-y croire ».
parce que pour Tolstoï il fallait que les personnages d’un roman soient « crédibles », alors que pour Dostoïevski, qui était fan de Shakespeare, pour la littérature était une chose tout à fait secondaire.
l’autre phrase intéressante c’est : « Honnêtement, je trouve que cet homme « bon » ne fait pas grand-chose de bon autour de lui. »
honnêtement c’est exactement la chose qu’il faut comprendre de l’idiot : un type bon dont la bonté est inutile.
Quand Dostoïevski écrit il n’y a pas 1 auteur, mais 2 : le Dostoïevski d’avant, l’idéaliste occidentaliste croyant aux Lumières genre Pouchkine et à la possibilité de rendre le monde meilleur et le Dostoïevski d’après qui hait d’une haine le Dostoïevski d’avant exemple l’Idiot.
du coup quand Dosto dézingue l’Idiot il se dézingue lui-même.
le mécontentement dont par Dosto tient au fait que s’il a la certitude de détester celui qu’il a éte, il n’est pas du tout sûr d’aimer celui qu’il est devenu.
je me demande comment un type qui se prétend être un amoureux de la langue russe peut s’accommoder de lois qui interdisent de parler cette langue ?
puck dit: 11 juin 2025 à 22h18
Avec ta vision poutiniste du monde tu ne pourras jamais comprendre des choses aussi simples que celle-là.
Avec la philosophie de ton gourou Poutine on croit qu’on peut conquérir l’Ukraine en 3 jours, que l’Occident ne va pas bouger parce que c’est des cons et qu’après l’Ukraine on peut avaler aussi sans aucun problème les pays Baltiques et la Moldavie, au minimum. Résultat final: la moitié de l’armée russe détruite, 3/4 de son matériel militaire inutilisable, un million de russes morts ou blessés graves, l’Otan renforcée avec 2 nouveaux pays qui contrôlent la Baltique, les dépenses en armement de l’Occident relancées de façon spectaculaire, l’économie russe en lambeaux avec des taux d’intérêt de 21 % (pour acheter un appart on doit emprunter à 30 %), la moitié du PIB russe dédié à l’industrie de guerre, 2 millions de jeunes diplômés partis à l’étranger, des dizaines de raffineries de pétrole et des usines d’armes détruites, les avoirs russes en Occident confisqués, le gaz et le pétrole russe bradés à l’ennemi chinois (dont on vient de trouver des espions à l’intérieur même des services secrets russes), etc, etc, etc.
Bref, un désastre militaire, économique, politique, stratégique produit par la philosophie mafieuse de ton idole Poutine.
« pauledelblog.fr/2022/01/18/lecture-agitee-de-l-idiot-de-dostoievski/ »
l’autre truc hyper intéressant à lire dans cet article d’Edel (bien plus que l’article lui-même) ce sont mes commentaires.
Hier soir, ai mangé des farfales, un peu de beurre, une saucisse de ménage de Thoard. Ensuite, ai tranché un oignon, une courgette, la seconde saucisse, dans le jus de cuisson, riz parfumé de Thaïlande, un bol de riz et deux d’eau.
rose dit: 12 juin 2025 à 3h21
Tu manges des pâtes et du riz ensemble? Ou tu manges deux plats complets différents à chaque repas?
effectivement je viens de relire mes commentaires sous cet article de Paul Edel : mazette ça décoiffe ! sérieux je ne pensais pas qu’à l’époque j’avais déjà compris autant de choses sur Dostoïevski (bien que je ne sois plus d’accord sur certains points).
Pourquoi George Nivat a-t-il disparu demande Claudio?
C’est très simple, Markowicz est devenu le pape de la traduction du russe en France et pas seulement du russe. Il a aussi traduit des poètes chinois Tang sans connaître un mot de chinois. Et tout le théâtre de Shakespeare par dessus le marché. L’échantillon que j’en ai lu (« Comme il vous plaira » je crois) ne m’a absolument pas convaincu. Je lis plutôt WS dans la traduction de François Victor Hugo.
Quant au russe, je le lis de préférence en anglais dans les traductions des Penguin Classics en qui j’ai toute confiance. En tout cas beaucoup plus que dans cet arriviste qui a réussi à faire croire que les traductions antérieures aux siennes ne valaient pas grand chose.
« Qui se loue s’emboue »
Je ne sais pas où ça en est de cette affaire de film pornographique tourné par Houellebecq.
Ses avocats ont réussi à trouver un terrain d’entente avec le réalisateur ?
« Comme on a de la chance de pouvoir habiller nos morts dans des vêtements qu’ils ont aimés… »
C’est tellement juste ce que vous dites là. Yann Andréa avait fait enterrer Marguerite Yourcenar dans le manteau qu’elle s’était fait pour son prix Goncourt.
Ils avaient été choisir les coupons ensemble. Trois coupons. Un tissu très onéreux. Lindon était vert.
« J’ai commencé à écrire L’Amant parce que Yann est revenu aux hommes. » Elles sont à peine assises, dans la chambre-bureau de l’écrivaine, que Marguerite Duras lance cet aveu à une journaliste qu’elle voit pour la première fois. Marianne Alphant, de Libération, venue l’interroger sur ce roman qui vient de paraître, en 1984, reste sans voix. A ce moment précis, Yann Andréa entre dans la pièce, s’asperge d’un parfum de Marguerite posé sur la cheminée, puis énonce sans un bonjour ni un regard : « Bon, je sors. »
Fascinant non ?
Bon il fallait quand même qu’il trouve son équilibre. Elle l’aurait dévoré sinon. Ses amants lui ont permis de tenir.
Merci pour ce partage, FL.
JE crois que vous dérivez dans des déconnades;
soit « la langue de molière »
va-t-on dire que c’est le français?
ET QUAND JE LIS /
3Traductions du mot « langue de Pouchkine »
https://www.lalanguefrancaise.com/dictionnaire/definition/langue-de-pouchkine
IL FAUT QUAND MËME QUE Pouchkine ait une relation étroite avec « le russe » pour que tant de langues parlent de « la langue de Pouchkine »
L’exemple italien:
https://www.radioclassique.fr/podcasts-et-emissions/esprits-libres/
A méditer, mais qui sont les Draghi et Meloni français ?
Mais… elle l’a bel et bien dévoré ! MC
Dites, Chaloux, cela vous arrive d’être gai? Parce que pour l’opérette, il y a des progrès à faire….
Sur les vols de Pouchkine, cf aussi le Bibliophile Heurtebise, blog, et swisslife pour la BN et la Suisse….
Yann Andréa avait fait enterrer Marguerite Yourcenar dans le manteau qu’elle s’était fait pour son prix Goncourt.
FL dit: 12 juin 2025 à 15h12
Yourcenar?
Lapsus entre les deux « Marguerite », Pablo.
@ »C’est très simple, Markowicz est devenu le pape de la traduction du russe en France »
Markowicz est surtout un showman, il fait de la « traduction spectacle ».
il a compris comment marche le système du coup la part d’esbroufe occupe un grande part.
c’est un peu le Umberto Eco de la traduction, un type qui aurait fait un tabac dans les émissions Pivot.
du genre : l’auteur écrit que son personnage s’assoit dans sa cuisine et mange une pomme, mais il faut comprendre que la pomme en russe représente la courgette, et la cuisine pour les russes ce n’est pas vraiment la cuisine mais plus dans l’inconscient populaire russe ce qu’on pourrait appeler le soldat, c’est pour çae j’ai préféré traduire cette phrase « il s’assoit dans sa cuisine pour manger une pomme » par « il s’assoit dans son salon pour manger une courgette »
Bon il fallait quand même qu’il trouve son équilibre. Elle l’aurait dévoré sinon. Ses amants lui ont permis de tenir.
Quelle horreur
Marguerite Yourcenar, même histoire. Son amant de quarante cinq ans plus jeune qu’elle a fini dans une d’échéance totale, et est mort avant elle.
Il y a une justice quelque part.
Amen.
une déchéance. Le correcteur ne connait pas. L’est automatique.
« La Russie de Poutine est monstrueuse en ceci qu’elle allie l’indifférence à la culture naturelle au capitalisme et à la dictature mafieuse. »
et puis s’autoriser à mettre de l’huile sur le feu en sortant des conneries pareilles aujourd’hui juste quand des types sortis d’on ne sait où et pilotés par on se sait qui viennent de s’en prendre à la dissuasion nucléaire russec’est pas sérieux.
ce type est carrément hors sol, et on ne peut pas prétendre traduire du russe quand on est hors sol.
en plus ce type n’est même pas slave et il n’a aucune idée de ce qu’est la slavophobie actuelle !
parce que le danger aujourd’hui ce n’est pas Poutine, mais c’est de savoir qu’un président américain ne contrôle plus rien.
le danger c »est une CIA qui fairt ce qu’elle veut sans recevoir aucune consigne hormis de gens que personne ne connait !
un ancien responsable de la cia a dit que les les types de la cia sont devenus accros aux renseignements fournis par les services secrets ukrainiens, c’est pour ça qu’ils avaient 20 bases de la cia dont 12 sur la frontière !
en fait la seule chose qu’il devrait s’autoriser à faire c’est juste faire son show de traduction et la mettre en veilleuse au lieu de remttre une pièce dans la machine !
Nous sommes le 12 juin. Il reste théoriquement encore près d’un mois de cours, un peu moins, soit le 1/8ème du temps scolaire net de vacances.
J’entends que de partout c’est la débandade, particulièrement dans les grandes agglomération. Il n’y a pourtant que 3 classes concernées par des examens : Terminale, 1ère et Troisième. C’est le prétexte à tous les abus. Locaux réquisitionnés, professeurs réquisitionnés mais bizarrement un certain nombre sont en réalité « malades » et déjà partis en vacances se reposer. Les élèves sont livrés à eux-mêmes, particulièrement au Lycée avec les fameuses « révisons » qui correspondent aussi à 2 ou 3 semaines de vacances pour des professeurs qui ne prendront même pas la peine de répondre au téléphone si le rectorat les appelle mais surveilleront attentivement l’arrivée de leur paye de juin.
c’est comme passou qui se réjouit de voir la Finlande entrer dans l’otan.
je veux dire ça met le soupçon : comment faire confiance à un critique littéraire sur les bouquins alors qu’en même temps il se réjouit de voir entrer la Finlande dans l’otan.
quel type à peu près normal dans sa tête peut se réjouir de voir aujourd’hui dans le contexte actuel de voir entrer la Finlande dans l’otan ?
c’est juste pas possible d’être hors sol à ce point, il faut rester un minimum connecter au réel sinon ça va devenir le bordel complet !
en fait nous n’avons plus aucune notion du temps et de l’Histoire, à force de vivre au présent nous oublions ce qu’il s’est passé il y a 3 jours.
30 ans, c’est pas beaucoup 30 ans, si on revient 30 ans en arrière et qu’on écoute ce que disaient Kissinger et Matlock on se dit comment a-t-on pu tomber si bas :
Ta gueule keupu !
Rose, pas de vous.
Solidaire un jour, solidaire toujours.
Ici, je l’ai appris. (Dernière partie de phrase). Je ne le savais pas.
MC, oubliez-moi. Là-haut c’est très amusant. Vous ne savez jamais de quoi vous parlez, quel que soit le sujet. Vous êtes un prototype.
Pablo 75
Hier, ai mangé farfales et saucisse de Thoard.
Puis, ai préparé mon plat de riz pour ce soir.
C comme ça.
Les traductions à partir du russe semblent pas évidentes, en lisant un bouquin que j’ai récupéré quand une bibliothèque se débarrassait de son surplus, je découvre un tas de précisions et de nuances. Marckovitz est probablement une sorte de vampire qui bénéficie du travail de ceux qui l’ont précédé dans l’exercice. Je retourne à mon précis de littérature Russe édité par le centre national pour les études de l’état de l’est. Ce qui m’a intéressée en relisant Paul edelweiss, c’est comment les romanciers russes sont arrivés à décrire les mouvements de l’âme au plus près, faisant fêter un câble à leurs personnages, les soumettant à des tares, des fêlures sans fard. Bon ce soir, j’ai une pensée pour l’unique survivant du crash de l’avion indien, qui a eu le coup de chance incroyable d’être assis au siège n°11 à côté de la porte de secours et qui a eu le réflexe de l’ouvrir et sauter dans le vide. Et la mort atroce pour tous les autres passagers. Il va vivre une existence toute chamboulée après cela, c’est encore plus radical que les rails de train dans la modification de Butor. J’imagine que tout le reste de son passage sur terre il va se demander pourquoi « moi » ? La lune des fraises c’est quelque chose.
La saucisse est de CHEZ Thoard.
Je ne le savais pas parce que personne ne me l’avait jamais dit.
Nota : ma mère encore volée. L’ourse blanche du zoo de Berlin, WWF et son bébé ourson.
Je n’y crois pas.
Suis allée voir le chef.
Aujourd’hui, c’est le premier jour depuis que ma mère est volée que je pense que ce sont des membres du personnel.
En parlant, avec les uns, les unes, les autres, je constate que sont volés, l’argent, les vêtements deux jupes neuves, les chemises Ugo Boss, le pull vert pomme avec encolure et bout des manches blanc, les tablettes, les téléphones portables, les câbles qui vont avec.
« Ici, ça vole » dit ma mère. Voler des personnes âgées c’est un truc dingue.
Même et y compris les vêtements marques aux noms des résidents sont volés. Inouï.Le chef m’a dit qu’il prenait cela au sérieux.
» l’auteur écrit que son personnage s’assoit dans sa cuisine et mange une pomme, mais il faut comprendre que la pomme en russe représente la courgette, et la cuisine pour les russes ce n’est pas vraiment la cuisine mais plus dans l’inconscient populaire russe ce qu’on pourrait appeler le soldat, c’est pour çae j’ai préféré traduire cette phrase « il s’assoit dans sa cuisine pour manger une pomme » par « il s’assoit dans son salon pour manger une courgette »
J’ai déjà lu ça quelque part et je crains que cela soit assez représentatif…il y a de quoi vous rendre allergique à toute traduction de Markowicz.
Non la saucisse est de Thoard.
C’est un village vers le col de Font belle. De là tu peux aller à la pierre écrite et à une cité mythique Théo je ne sais quoi avec une bibliothèque encore plus mythique.
Mais a midi, j’ai mangé une saucisse de Montbéliard.
Théopolis, je crois.
Col de Fontbelle.
Du moment qu’il y a une datcha, un samovar, des verstes, et le toutim, on se fout un peu du reste.
J’ai déjà corrigé des copies en étant membre de jury de concours dans l’administration. Je sais ce que c’est. 2 x 50 (double correction).
Consciencieusement. Parce que l’avenir des gens et celui de l’administration exige beaucoup de conscience.
Ça m’avait pris 8h au total. Environ.
1 journée de travail en équivalent.
Seulement. Eh oui.
Sont volés aussi, les briquets, les orchidées, les porte-carte avec la photo chérie dedans et cinq euros.
En fait voler, c’est un système.
Ce matin, quelqu’un m’a dit « arrêtez d’offrir (des dahlias, des bouquins and so on. Des pâtes de fruits, des chocolats, des melons, tout le monde s’en fout ».
J’ai questionné « comment vous savez ça ? On m’a répondu : j’en ai marre.
C’est assez drôle de lire la prose d’un peintre très connu qui se dit avoir une tête d’ endive et qu’il habite à Chaville.
Cela ne s’invente pas!
Ceux qui savent compter en auront déduit que ça faisait environ 5 minutes par copie. Pour les concours, on ne s’attarde pas sur les très mauvaises copie. Celles ou au bout d’une page on sait que c’est irrécupérable et rhédibitoire. On peut faire une telle copie en 3 minutes.
Certaines moyennes ou bonnes peuvent prendre jusqu’à 10 minutes, voire plus.
@Brian Wilson témoin d’un passé american révolu est mort
Les buveurs de jus de betterave bio d’aujourd’hui n’ont pas dit leur dernier mot
porte-carte, vous n’accordez pas en nombre ?
ça nous fait une belle jambe, mais quand même, pour ceux qui vivent de comptes …
La Californie a beau n’être qu’un État américain, son économie est florissante. Avec un produit intérieur brut (PIB) de 4 100 milliards de dollars en 2024 (soit environ 3 600 milliards d’euros), la Californie a officiellement dépassé l’économie du Japon (4 010 milliards de dollars) selon les dernières données du Fonds monétaire international (FMI) et du Bureau of economic analysis (BEA) des États-Unis, faisant ainsi de l’État américain – le plus riche des États-Unis -, la quatrième plus grande force économique mondiale, rapporte la BBC.
Moi, je ne parle pas aux gens qui ne savent pas ce que c’est que être prof.
Ce matin, rencontré six.
24 élèves. Autant de vélos. 300 km. De Aubenas à Cassis ce soir, où ils dorment à la Fontasse, mon auberge de cœur. Ce métier génial.
Ces gosses en or massif. Hier soir, ils ont fait une Tite boom. En étant sages, sans déranger personne.
Alors zut, hein.
Un projet prepare pendant des mois, sur ses jours de congé. Trois profs d’EPS, un de physique chimie, un de SVT le dernier je sais pas. Les trente vélos dans le camion. Un truc de folie.
Les gamins heureux que l’on leur propose cela.
Les connards de millionnaires du gouvernement macron pas même à la cheville de ce qui se joue, là-bas aux Mureaux, dans le collège Jules Verne.
Ces pauvres mecs qui nous gouvernent avec leurs 21 millions d’euros de patrimoine, et leurs sociétés de conseils.
« comment les romanciers russes sont arrivés à décrire les mouvements de l’âme au plus près, faisant fêter un câble à leurs personnages, les soumettant à des tares, des fêlures sans fard »
exact ! c’est pour ça qu’on peut se permettre de dire que Pouchkine n’est pas écrivain russe ou « slavo-russe » (si on définit l’âme slave par le mysticisme, la démesure, l’ambiguïté vis à vis de la modernité, du progrès, de la raison et la vérité).
Non. Pck y avait une carte dedans m’a dit la doyenne, en conversant.
Dès que tu parles, tu apprends : ceci volé, cela volé, et ça volé. Ils sont résignés.
Je vais faire un tabac.
Il est vrai que moi, j’y ai passé une heure trente par copie.
Les profs de maths, qui si t des gens extrêmement intelligents, je n’ai pas dit fainéants, au fur et à mesure s’organisaient, au CNED aussi, des contrôles qui pouvaient être corrigés avec des cases, des transparents, je ne sais pas quoi. C’était ou juste ou faux. Et clac. Au tombeau.
« La Californie a beau n’être qu’un État américain, son économie est florissante. »
exact !!! c’est pour ça que je ne comprends pas pourquoi au lieu d’envoyer l’armée Trump ne leur a pas envoyé une dizaine de millions d’immigrés illégaux : ils ont largement les moyens de les accueillir, surtout à Hollywood.
Pouchkine, une ascendance africaine ?
merci d’y revenir
il était naturel dans la haute société de s’acheter, de s’échanger et d’offrir en cadeaux des personnes noires et en particulier des enfants noirs (appelés « négrillons »).
IN {avec tableau ); Quand les Noirs servaient de faire-valoir aux aristocrates blancs
Aujourd’hui, on a fait je jardin de ma mère et toute la longueur. Finis les lauriers roses blancs merveilleux, finies les fleurs multicolores qui poussaient par terre. Fini l’arbre à graines pour les tourterelles turques. Je suis stupéfaite par ces oiseaux, une surtout, la fidèle, qui, malgré le carnage est venue se percher sur la table ronde et blanche pour dire nourris-moi encore. J’ai crié (pas pitié) c’était trop tard, c’était fini ; a trente minutes près j’aurais pu sauver quelque chose. Ma mère m’a dit : on dirait Papa.
La dernière fois, je revenais de Port Saint Louis du Sénégal, c’était chez moi, j’ai pleuré. Ce matin, je n’ai pas pleuré.
C’était de toutes manières trop tard.
Moi, ce que je ne comprends pas, Amélie Oudea, Castea, É.Borne, etc etc.etc. c’est, lorsqu’on n’a aucunes compétences (j’accorde au pluriel) on se barre.
« edelweiss »
L’Edelzwicker est un assemblage qui doit être constitué au minimum de 50% de Riesling, Muscat, Pinot Gris et/ou Gewurztraminer, le reste étant composé de Sylvaner, Chasselas et/ou Pinot Blanc. Avant assemblage, chaque cépage doit être vinifié séparément et doit avoir obtenu l’agrément AOC Alsace.
Moi, je ne parle pas aux gens qui ne savent pas ce que c’est que être prof.
Et vous parlez aux profs qui ne savent pas ce que c’est un millionnaire? 🙂
Il est vrai que moi, j’y ai passé une heure trente par copie.
C’est évidemment trop, certainement trop!
Vous vous enlisiez avec complaisance dans les méandres adolescents.
j’y ai passé une heure trente par copie.
C’est l’école à la paresseuse pour copier le titre d’ Henri Calet.
qd même il y a qq chose de pas net dans cet éloge pas très net de la littérature russe pendant qu’on soutient un pays qui brûle les livres de Pouchkine et qu’on saut de joie parce quand la Finlande entre dans l’otan.
je veux dire on s’est mis dans une position où l’on ne pourra plus faire les yeux doux à la Russie du genre ah comme c’est cool les écrivains russes… pour au moins un demi siècle.
je veux dire là pour un moment c’est mort complet !
même pour les concours de piano il faut arrêter d’inviter les russes parce qu’on se couvre de ridicule.
exemple au hasard : le dernier concours de la reine Elisabeth en Belgique premier prix un hollandais :
https://www.youtube.com/watch?v=41QP5LmYe4M&list=RD41QP5LmYe4M&start_radio=1
Moi, je ne parle pas aux gens qui ne savent pas ce que c’est que être prof.
–
Ça tombe bien : moi je ne parle pas aux gens qui disent que ceux qui ne sont pas profs ne savent pas ce que c’est qu’être prof.
pendant que le jeune pianiste russe Sergey Tanin qui est probablement un des plus grands pianistes actuels est arrivé… 6ème !!!
le premier super nul a eu des applaudissements, des bis, des fleurs etc…
le sixème qui est mille fois meilleurs : silence compelt, pas d’applaudissements.
je veux dire faut arrêter le massacre parce qu’on est en train de se couvrir de honte !
pareil pour la littérature : faut choisir entrer Pouchkine et la Finlande dans l’otan !
https://www.youtube.com/watch?v=swT7R3iZd_w&list=RDswT7R3iZd_w&start_radio=1
Et puis les tourterelles truques, moi je les mange. Avec des endives.
De toutes façons, moi, je mange tout. C’est pas compliqué.
Pas le fenouil.
faut voir dans ces 2 vidéos la façon de rentrer dans le piano entre Tanin et le hollandais !
le scherzo3 de Chopin par Tanin, et le mec arrive 6è, la honte :
https://www.youtube.com/watch?v=Ju9uRJ8mKAI&list=RDGDtaQVKn7PY&index=2
300 kilomètres en vélo ! Il faut être dingue. Moi j’aurais été élève, j’aurais refusé tout net.
oupss : Chopin par Tanin :
https://www.youtube.com/watch?v=GDtaQVKn7PY&list=RDGDtaQVKn7PY&start_radio=1
Aujourd’hui, Puck, rentre-toi ça dans le crâne :
puck dit: 12 juin 2025 à 20h38
pendant que le jeune pianiste russe Sergey Tanin qui est probablement un des plus grands pianistes actuels est arrivé… 6ème !!!
le premier super nul a eu des applaudissements, des bis, des fleurs etc…
le sixième qui est mille fois meilleurs : silence complet, pas d’applaudissements.
Inutile de dire comment c’est possible. Puisque tout est possible.
Ma mère (x repetitat placent)m’a dit aujourd’hui « on réfléchit avant d’agir ».
Quant on a eu Castaner ministre de l’intérieur, embauché par Shein aujourd’hui, Oudéa qui va devenir présidente des prochains J-O et Borne, reine des 49-3 qui rempile où que ce soit, il suffit juste de se décaler un brin et de regarder cela avec quelque ironie, et distance.
Moi j’aurais été élève, j’aurais refusé tout net.
Ils étaient heureux de manière exceptionnelle.
Quel bonheur fou de voir ça.
Je te signale que de l’Ardèche à la mer, cela descend tout le temps.
« Ἀνθρωπον ζητῶ »
On raconte que le philosophe Diogène de Sinope, dit le « Cynique » [vers 404-323 avant J.-C.] se promena un jour, en plein midi, à Athènes, portant une lanterne allumée et criant à la cantonade : « Ἀνθρωπον ζητῶ ! » [« anthrôpon zètô »].
Cette phrase est souvent traduite par : « je cherche un homme », c’est-à-dire un homme « vrai », « bon », « sage », sous-entendant qu’il est bien difficile de le trouver.
Mais Diogène, habitué aux provocations incessantes, était tout sauf un « humaniste »! Sa phrase est une machine de guerre dirigée contre le Platonisme, son ennemi de toujours. Littéralement, elle signifie : « je cherche Homme ». Car, ce que veut transmettre cette « performance » philosophique, c’est le message suivant : vous aurez beau allumer une lampe en plein jour, jamais vous ne rencontrerez l’entité abstraite
[= l’ « Idée »] « Homme », qu’affectionnent tant les Platoniciens. On ne peut tout au plus que rencontrer des hommes concrets et divers. 😉
» Je cherche un ( pianiste »
C’est du même ordre.
Hier, ai mangé farfales et saucisse de Thoard.
Puis, ai préparé mon plat de riz pour ce soir.
C comme ça.
rose dit: 12 juin 2025 à 19h21
Normalement c’est le contraire qu’il faut faire, le riz étant bien plus délicat à conserver que les pâtes (il ne faut pas le laisser refroidir dehors trop longtemps, surtout avec cette chaleur).
….il ne faut pas le laisser refroidir dehors trop longtemps avant de le mettre au frigo….
La nuit ici, je témoigne, il fait froid. Et il a passé la journée entière au frigo. Les cerises aussi tournent. Ai appris cela en mai. Terrible. Henri Miller parle bcp des écrivains russes. Demain, tâcherai d’oraliser un beau passage. S’il n’y avait que le riz de délicat.
Bonne nuit.
Le riz était long à préparer. Je l’ai fait après avoir mangé. Cc aurait été bien avec des lamelles de parmesan.
Timbrée. Bien moins que les amis romains de Mimithor. Une lichette de minus habens. Ai renoncé du coup à mon stage de cuisine. Je ne laisserai jamais mon homme pour des fêtes aussi futiles. L’amour c’est l’amour. Ita est intransigeant. Si Marco wxyz a teouvé son créneau, laisse-les z’y. Cela lui fait peut être beaucoup de bien. Ce qui n’est pas rien. Bonne nuit.
Ce matin j’ai lu dans un blog espagnol un très grand éloge de la nouvelle de Raymond Carver « Intimité », qui se trouve dans le livre « Les trois roses jaunes ».
Je viens de la lire. Un petit (par la taille) chef d’oeuvre.
Le plus impressionnant c’est de réussir à dire autant de choses avec une telle économie de moyens.
Ceux qui veulent apprendre à écrire, pourraient s’en inspirer.
N’ayant lu de Carver (mort à 50 ans) que sa poésie, je ne sais pas si le reste de ses nouvelles est du même niveau. Je vais en lire d’autres pour voir.
lien
Quand les Noirs servaient de faire-valoir aux aristocrates blancs
expo »oser la liberté »
Mesdemoiselles de Blois et de Nantes, filles de Louis XIV et de la marquise de Montespan, disposent d’un esclave d’agrément, que le peintre a placé au rang du chien, dont il partage la couleur, et qui sert d’accoudoir à Louise-Françoise ».
17 août 2010
Ourika (Madame de Duras)
Ourika, la première grande héroïne noire
de la littérature occidentale
Il y eut même une mode Ourika en France : rubans, blouses, colliers, pendules, vases « à l’Ourika ». Le roman arracha des larmes à Goethe, fut salué par Châteaubriand qui hissa son auteur, Madame de Duras, au même rang que Mme de Lafayette et Mme de Staël, figures emblématiques du classicisme et du romantisme. Sainte Beuve et Stendhal saluèrent également le talent de l’auteur. Pourtant, Ourika est tombé dans l’oubli. Notre siècle verra-t-il sa résurrection ? Il est vivement conseillé de lire l’ensemble du dossier très instructif – réalisé par Virginie Belzgaou – qui accompagne le roman afin de saisir tout le retentissement de l’œuvre et ses qualités littéraires. »
Certes, mais il
Ne faut pas exagerer avec Claire de Kersaint, Duchesse de Duras, capable aussi de fabriquer des petits Edouard à la chaîne….
MC
Personne ne l’avouera, mais tout le monde ou presque sera content si Israel nous débarrasse du programme nucléaire iranien pour longtemps…
Saint Petersbourg c’est russe aussi!
Il y a 342 ponts à l’intérieur des limites de la ville, 5 à Kronstadt, 54 à Tsarskoïe Selo, 51 à Peterhof, 16 à Pavlovsk et 7 à Oranienbaum.
La longueur totale de tous les ponts de la ville est d’environ 16 kilomètres.
22 sont des ponts-levants.
Le pont le plus long est le grand pont Obukhovsky sur la rivière Neva avec 2824 mètres.
Le pont le plus large est le pont bleu sur la rivière Moïka (97 mètres), qui est également présenté comme étant le pont le plus large du monde par certaines sources [1].
@ Claudio Bahia dit: 10 juin 2025 à 18h55
/// comme dirait ce pauvre JJJ (à qui je dois toujours un livre) /// —-
Non, vous ne me devez pas de livre, ni rien du tout. C’était de bon cœur, à l’époque. Oublions tout cela. Bàv.
traducttion:
Медный Всадник, littéralement Le Cavalier de Cuivre, mais que l’on traduit généralement en français par Le Cavalier de bronze (ou d’airain). Le poème est d’autant plus connu qu’en Russie, certaines parties sont même apprises par coeur (entre autres cette fameuse déclaration d’amour à Saint-Pétersbourg, “Je t’aime, création de Pierre…”).
Le titre fait référence à une célèbre statue équestre de Pierre le Grand qui se dresse sur l’actuelle Place du Sénat à Saint-Pétersbourg.
https://www.lemagducine.fr/a-lire/analyse-litteraire/le-cavalier-de-bronze-poeme-alexandre-pouchkine-10031583/
le cavalier:
https://fr.images.search.yahoo.com/yhs/search;_ylt=AwrkOCjH4kto0XMSzA.PAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzEEdnRpZAMEc2VjA3Nj?p=cavalier+de+bronze&type=type80410-3704578258¶m1=10426122&hsimp=yhs-024&hspart=sz&gdpr=1&ei=UTF-8&fr=yhs-sz-024#id=1&iurl=http%3A%2F%2Fwww.noblesseetroyautes.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2021%2F02%2Fimage-3-1024×683.png&action=click
« L’Asie est fauve et monstrueuse… ». Michel Strogoff? Non , Victor Hugo…
Principal symbole de l’Empire russe, le créateur du redoutable «Cavalier de bronze» n’est pas russe, et ce n’est que pure coïncidence. Cet homme se nommait Etienne Maurice Falconet (1716-1791), et il était français.
« Cavalier de bronze », créé à la demande de la marquise de Pompadour, maîtresse du roi Louis XV. Falconet comptait parmi ses amis les deux plus grands philosophes de l’époque, Voltaire et Diderot. C’est Diderot qui conseille à l’impératrice russe Catherine II d’engager Falconet pour travailler sur la statue équestre de Pierre le Grand.
Pour le sculpteur, qui ne cache pas sa joie, c’est l’occasion d’accomplir enfin quelque chose de grand, qui puisse s’inscrire dans le temps. A l’époque, il est l’auteur de petites sculptures très belles, a déjà travaillé dans la célèbre Manufacture Royale de Porcelaine de Sèvres et a participé à l’ornement des sculptures du parc de Versailles. Mais cela ne suffit pas. Il veut plus.
Kandinsky, victime de deux régimes : soviétique et nazi
Pourquoi avoir choisit Falconet ? Certes, Catherine II n’est sans doute pas fine connaisseuse de la sculpture française, mais elle fait avant tout confiance à Diderot, qui ne lui recommanderait sûrement pas de piètres artistes. Ensuite, Falconet se dit prêt à réaliser cette oeuvre pour beaucoup moins que ses concurrents. On lui promet 200 mille livres, et il accepte. Une somme plutôt modeste pour les 12 années de travail sur le monument.
Pourquoi avoir choisit Falconet ?
Et pourquoi donc Daniel Buren, avec complaisance du journaliste, sur France Inter ce matin pour une exposition en Italie?
Mitterandie et Melonie pour le Burburen! 🙂
Les trois roses jaunes, j’en avais un peu parlé :
https://soleilgreen.blogspot.com/2017/11/nouvellistes-americains-3.html
Le style minimaliste est je crois une idée de son éditeur (à vérifier)
Le riz non ensaucé peut ne pas se conserver. Mais une riz imbibé, beaucoup mieux.
Par exemple une salade de riz-vinaigrette se conserve très bien.
Au moins 2 cm de pluie tombant en moins d’une heure sont attendus à Paris et IdF vers 1h du matin. Suffisamment pour mettre en difficulté le réseau d’évacuation des eaux pluviales.
Évidemment le bermuda ne conviendra pas.
Faut-il lire « La Haut » , opérette de Maurice Yvain , ou « La Haut c’est amusant », qui n’a guère de sens? Dans les deux cas , il s’agit d’ Yvain , et pas de Lopez!
En ce jour d’entrée dans la troisième guerre mondiale (grâce à Benjamin), le dress-code est : treillis Kaki.
Le retour du grand cinéma coréen.
il n’empêche (billet)
il semble que pas si sournoisement que ça, d’ailleurs, P.Assouline renvoie les lecteurs à différentes interprétations des « duels » et rivalités du poète sous griffe plutôt psy occidentale
Le nom Pouchkine (en russe : Пушкин) est un patronyme russe célèbre, notamment porté par Alexandre Sergueïevitch Pouchkine (1799–1837), considéré comme le père de la littérature russe moderne.
Étymologie du nom « Pouchkine » :
Le nom Пушкин (Pouchkine) dérive probablement du mot russe пушка (pouchka), qui signifie :
canon ou pièce d’artillerie,
mais aussi de manière plus ancienne ou dialectale, « chouette » (oiseau), ou une forme affective de « peluche », « duvet », en lien avec le mot пух (poukh) signifiant duvet, plume légère.
Il existe deux hypothèses principales :
1. Origine militaire ou liée à un métier :
Le mot пушка signifiant « canon », le nom Pouchkine pourrait désigner un ancêtre qui travaillait avec l’artillerie, un canonnier, ou une personne ayant un lien avec la fabrication de canons.
2. Origine liée à une caractéristique physique ou affective :
Il pourrait aussi s’agir d’un surnom affectueux dérivé de пух (poukh), donc une personne douce, légère ou avec des cheveux duveteux.
Famille de Pouchkine :
Le poète Alexandre Pouchkine descendait d’une vieille famille noble russe. Son ancêtre paternel, Grigory Pouchka, vivait au XVe siècle, et son surnom « Pouchka » est probablement à l’origine du nom de famille Pouchkine. Le surnom Pouchka pourrait lui-même venir de пушка ou пух, selon les explications évoquées.
—
Si tu veux, je peux aussi détailler les origines africaines de Pouchkine par son arrière-grand-père maternel, Abram Gannibal, un ancien esclave africain devenu général russe.
* un surnom affectueux dérivé de пух (poukh)
Il s’agit donc du Poukh de la RDL?
Précisément ! Notre Doudou.
Je sais aussi bien que vous de qui est La-Haut, pauvre escarbot de m…
croyance, jeu
si vous êtes comme Pouchkine, joueur , joueur, archijoueur, jouez le vendredi 13, vous triplez vos chances de gagner; à vos cartes…
Attaque d’Israel en Iran, Macron fera un point de presse en fin de journée.
Le narcissisme à ce point devient franchement problématique.
Mon frère russe Poukh-Poukh vient de tout miser sur l’Iran en ce vendredi 13 de très gros tirage.
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