Pour en finir avec la guerre d’Algérie
Si Benjamin Stora a fait sienne de longue date la fameuse formule de Pierre Nora (« L’Histoire rassemble, la mémoire divise »), elle ne l’aura jamais autant éclairé que cet été. Il l’aura passé à rédiger le rapport commandé par le président de la République sur « la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie ». La lettre de mission invite l’historien internationalement reconnu pour son expertise à dresser « un état des lieux » dans un but de réconciliation entre les peuples.
Eprouvé par des années de controverses et de polémiques, le rapporteur sait d’expérience que son texte se retrouvera pris dans un feu croisé entre, côté français, la droite nationaliste qui ne veut rien avoir à faire avec l’Algérie, et côté algérien, les nationalistes et les islamo-conservateurs qui estiment que leur peuple a été victime d’un génocide et vivent de la mémoire de guerre. Aussi, avant même s’il en ait écrit le premier mot, ses détracteurs (Jean Sévillia en tête dans le Figaro) en ont dénoncé par anticipation le caractère « partial et partiel » sinon « complaisant ». En novembre dernier, quelques 400 intellectuels avaient signé une pétition soutenant Benjamin Stora après que l’hebdomadaire Valeurs actuelles eut publié un portrait abject dans lequel des contre-vérités et des insinuations se mêlaient à des attaques sur son physique, le tout exhalant un fumet typique d’une certaine presse de l’entre-deux-guerres.
Pas question de « mémoire historique » ni de « travail mémoriel » comme on a pu déjà le lire ici ou là- ce qui n’empêchera pas de raviver les tensions entre mémoire et histoire. Pas de commission d’experts, pas de budget, pas de locaux, pas de consultations tous azimuts, pas d’enquête franco-algérienne (à l’annonce de sa mission, il y en a même eus pour lui envoyer des CV de candidature !). Juste le travail bénévole d’un seul historien et professeur des universités dont Emmanuel Macron, qui avait autrefois assisté à quelques unes de ses conférences sur le sujet, attend qu’il use de son expérience (plus de quarante ans de recherches depuis sa maitrise sur Messali Hadj à Paris X en 1974 sous la direction de René Rémond, une dizaine de documentaires, la présidence et la direction d’une vingtaine de thèses, une quarantaine de livres seul ou en collaboration dont le plus récent Une mémoire algérienne en rassemble six dans la collection Bouquins/ Robert Laffont) pour lui faire des « recommandations ». Ce n’est d’ailleurs pas la première fois puisqu’en 2018, Stora ne fut pas étranger (même si l’initiative en revient à Cédric Villani) à la reconnaissance de la responsabilité de l’Armée, et donc de l’Etat français, dans l’assassinat et la disparition du mathématicien et militant communiste Maurice Audin pendant la bataille d’Alger en 1957.
Le chercheur et le président ne sont pas seulement séparés par une génération. Jamais le premier ne parlerait de « crimes contre l’humanité » pour définir la colonisation française de l’Algérie comme le fit le second ; ce propos, énoncé durant la campagne électorale et jamais regretté depuis, n’était pas un propos de campagne mais bien le reflet d’une conviction ; or le pied-noir en Stora se refusera toujours à blesser et humilier ainsi sa propre famille- les siens au sens large. Nul n’est plus conscient que cette guerre touche encore des millions de gens en France. Raison de plus pour que son rapport réponde à tous les groupes : pieds-noirs, harkis, algériens etc sans oublier les historiens sur la question des archives !
A suivre Benjamin Stora (Constantine, 1950), on comprend bien que tout ce qu’il entreprend désormais invite à dépasser la guerre d’Algérie, à considérer ce pays comme un partenaire indispensable de la France sur le plan géopolitique. Ses livres donnent une idée de la direction que ses préconisations prendront : pour sortir de l’amnésie, mettre à distance la martyrologie, aller vers plus de vérité des deux côtés de la Méditerranée, il plaidera pour une vraie reconnaissance des pratiques criminelles de part et d’autre pendant la guerre d’Algérie. On comprendra peut-être mieux le paradoxe selon lequel les mémoires saignent encore à mesure que le travail académique progresse. On peut croire que son rapport, issu d’une réflexion personnelle, appellera à regarder le passé en face. A quoi bon sortir de l’oubli si c’est pour se retrouver dans des conflits mémoriels ? La guerre d’Algérie serait alors une guerre sans fin.
P.S. : rajout du 23 janvier 2021 : on peut lire le rapport Stora ici : https://bit.ly/2KG9pOB.
1 302 Réponses pour Pour en finir avec la guerre d’Algérie
Nonfiction.fr – Quelle analogie existe-t-il entre les Editions de Minuit et Maspero et les revues Esprit et Les temps modernes lors de la guerre d’Algérie ?
Anne Simonin – Pierre Vidal-Naquet, l’historien des Editions de Minuit, distingue deux types d’engagements fondés sur des traditions différentes. Concernant l’engagement des Editions de Minuit, il l’assimile à une tradition « dreyfusarde « , fondée sur une tonalité morale et marquée par la Résistance. Tandis que pour les Editions Maspero, il s’agit d’un engagement « tiers-mondiste » pour lequel l’axe international et anticolonialiste prime. Une phrase notoire de Jérôme Lindon valide cette position « dreyfusarde » : » ce que j’ai pu faire, je l’ai fait pour la France, non pour l’Algérie « . Cette phrase symbolise toute la teneur de l’engagement des Editions de Minuit et de la détermination de Jérôme Lindon, à savoir l’imposition de la reconnaissance des valeurs universelles de la France. Certes, il y a un fond politique commun entre les Editions de Minuit et les Editions Maspero, l’obtention de l’indépendance de l’Algérie, mais le fond métaphysique guidant leur action est différent.
Au-delà de ça, il existe une dimension essentielle que révèle le combat mené par les Editions de Minuit dans la guerre d’Algérie qui a trait à la forme : la qualité littéraire des publications est un élément constitutif de l’engagement de Minuit.
Lorsque Jérôme Lindon reçoit par courrier le texte de La Question, il doit procéder à un examen de validité. Ne pouvant établir la preuve matérielle des actes de torture, le témoignage doit être authentifié comme vrai. Ce témoignage, est-ce une preuve de l’authenticité de l’existence de la torture ? D’où le rôle joué par Pierre Vidal-Naquet aux Editions de Minuit. Il est « l’expert maison « . Avec une méthodologie d’historien, il a pu établir des recoupements et valider l’authenticité des témoignages. Mais ce qui fait la véracité de La Question pour Jérôme Lindon, c’est la qualité du texte. Quand un homme dit avoir été torturé dans les termes qu’emploie Henri Alleg, il n’y a que peu de doutes concernant la vérité des faits.
Dès lors, la maison d’édition de Jérôme Lindon est dans une position engagée, mais pas militante. Car lorsque que vous êtes dans une position militante, comme les Editions Maspero, le fond prime sur la forme ; le fond est nécessairement plus important que la forme. Pour les Editions de Minuit, pour dire les choses justement, il faut les dire correctement. Donc la forme a une importance absolument fondamentale. N’oublions pas que les Editions de Minuit, c’est l’éditeur du » Nouveau Roman « . La preuve en est qu’on reconnait tous les auteurs du « Nouveau Roman » – moins Samuel Beckett et Robert Pinget, respectivement irlandais et belge – parmi les signataires du Manifeste des 121. Ce texte est rédigé par le summum de la critique littéraire de l’époque, à savoir Jean Schuster, Dionys Mascolo, Maurice Nadeau et Maurice Blanchot. Cet attachement littéraire est une grande spécialité de Minuit par rapport à Maspero. La forme fait sens pour les Editions de Minuit.
Quant à l’opposition entre la revue Esprit et Les Temps Modernes, il semble que la ligne éditoriale relève de la radicalité supérieure,davantage « tiermondiste « , d’Esprit par rapport à celle des Temps Modernes. Mais c’est moins sur le fond du discours que sur l’incarnation personnalisée de l’engagement que les deux revues se distinguent. Celui qui a véritablement emblématisé la guerre d’Algérie, c’est Jean-Paul Sartre. Bien que l’on reconnaisse une importance évidente à Jean-Marie Domenach et à Paul Thibaud, ils ne sont pas des leaders aussi charismatiques que Jean-Paul Sartre. Pour le dire nettement, la différence entre les deux revues tient moins à la nature du discours qu’aux personnalités qui les portent, c’est-à-dire à la figure qui les incarne ; or l’homme qui est l’incarnation de cette ligne de démarcation c’est Jean-Paul Sartre pour la revue Les Temps Modernes et Francis Jeanson pour les Editions de Minuit. Dans cette guerre de solitude qu’est la guerre d’Algérie, l’adhésion massive à la dénonciation de la torture s’est fait à travers l’incarnation d’une personnalité charismatique. La personnalisation de la dénonciation de la guerre d’Algérie et des actes de torture a été un fait essentiel dans l’adhésion de l’opinion publique.
Car il n’y a pas eu de mobilisation politique d’envergure. Les institutions, les organisations politiques n’ont pas embrassé la cause des déserteurs de façon pleine et entière. Les éditeurs sont devenus des porte-parole d’un engagement extrême, engagement qui n’a pas été relayé au niveau politique, que ce soit par le Parti Communiste ou par le Parti Socialiste Unifié. L’extrême-gauche n’apporte pas l’appui politique nécessaire à la dénonciation de la torture. Ce que fait un éditeur pendant la guerre d’Algérie, c’est bien plus qu’être un éditeur : il devient un maître à penser »
https://www.nonfiction.fr/article-5645-un_engagement_a_la_fois_dreyfusard_et_resistant_avec_anne_simonin.htm
😈
😱 je suis déçue, je ne réussi à pas à trouver de beaux émoticônes diaboliques comme celui de D. Le second à air inspiré du cri , non?
ReussiS.
@ Pour saluer Claude Vigée, un poète juif alsacien jamais lu, à la différence de tous les herdéliens. La vieille poésie,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Vig%C3%A9e
@ j’ai oublié mon rire, vous ne pouvez pas l’avoir entendu. La néo-sémiologie virtuelle.
@ Personne ne souhaite la mort de Trump, pas plus que ne déplore celle du million de morts tués par la pandémie depuis un an. Et pourtant, d’aucuns pensent qu’il faudrait trépasser un ou deux milliards de vieux ou de nouveaux nés supplémentaires pour assurer le survie de l’espèce des cinq ou six miyards restants. Les statistiques actuarielles de probabilités.
@ le chef d’orchestre, au cerveau bien particulier, n’a pas forcément besoin d’avoir l’oreille absolue. Neurosciences de la coustique.
@ dimanche 4 octobre (10 h). Encore une nouvelle journée de lectures diverses et variées. Bien des gens vont mourir, mais pas moi, ni aucun erdélien. Je cueille le jour pour vous aussi et vous emm… un brin, ducon.nes. Politesses. Bàv,
Généralement, Barette, le guitariste joue sur la guitare qui est devant lui. Rarement sur celle de son voisin. Même chose pour la majorité des autres instruments de musique, et les machines à coudre, claviers de pc etc. Je vois que mes conseils prophylactiques n’ont pas été suivis. N’ouvrez pas le deuxième tube, au moins.
Nonfiction.fr– Pour finir, avez-vous constaté un renouvellement significatif de l’historiographie ou des questionnaires appliqués à la guerre d’Algérie ?
Raphaëlle Branche- Dans la mesure où l’histoire est d’abord une question de sources, c’est évident que l’historiographie a été profondément marquée par l’ouverture des archives militaires en 1992. Avant, on a assez peu de travaux sur la guerre elle-même ; et depuis, le nombre de thèses sur le sujet a explosé. Ces sources ont d’abord permis d’éclairer considérablement la guerre militaire, puis, dans un second temps, la guerre en métropole : l’action du FLN, celle de la police parisienne, les expériences métropolitaines de la guerre que nous avons étudiées avec Sylvie Thénault et une quarantaine de personnes . Ça a alors été l’occasion de rappeler qu’il ne s’était pas agi que d’un « ailleurs ». Plus récemment encore, il y a eu des travaux sur l’été 1962, c’est-à-dire sur le départ des Français d’Algérie et la prise de pouvoir par le FLN. Ce que je vois très nettement, c’est surtout la diminution des travaux sur la guerre et un intérêt véritablement nouveau pour la période coloniale. Tous les historiens français de ma génération qui s’intéressaient à l’Algérie travaillaient sur la guerre : aujourd’hui, les doctorants s’intéressent à ce qui l’a précédée, et qui avait été complètement délaissé par leurs prédécesseurs. Ceux qui ont commencé à travailler sur l’Algérie dans les années 1990 ont été happés par l’ouverture des archives, par le bonheur d’ouvrir des cartons pour la première fois, et il faut aussi rappeler que c’était à nouveau la guerre en Algérie pendant ces années-là. À l’inverse, les nouvelles générations préfèrent s’éloigner de la guerre et ne pas tout lire en fonction d’elle
https://www.nonfiction.fr/article-5642-la_memoire_actuelle_de_la_guerre_dalgerie_avec_raphaelle_branche.htm
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* Propos recueillis par Pierre-Henri Ortiz et Pierre Testard.
rappel:
P.ASSOULINE évoque VIGEE DANS SON JOB
Merci Pablo75 pour votre récit de virée aux marchés aux puces. il faut votre abnégation ibérique pour déterrer un livre du fatras déversé en vrac sur les tables des marchands; sans doute avez remarqué cette évolution avec les années qui passent dans la « présentation » des livres d’occasion ? autrefois rangés à la manière du libraire, aujourd’hui versés d’un sac poubelle sur une planche. M. Stora tient sûrement compte de l’esprit du marchand de tapis dans ses considérables théories.
@ dirFil /: M. Stora tient sûrement compte de l’esprit du marchand de tapis dans ses considérables théories /
Pourriez-vous clarifier votre pensée, à défaut de laisser accroire à un navrante calomnie ? Merci pour l’avancée du DEBAT.
« Je n’ai pas vu ce post de Madame Lèchecul-Pètesec, ne lisant plus ses tartines sur des auteurs très médiocres qu’elle prend pour des génies en citant des phrases d’une étonnante banalité (comme celles sur la Beauté de F.Cheng, un type qui n’a strictement rien à dire mais qui a compris qu’il avait un rôle à jouer dans les salons littéraires parisiens, celui du sage oriental – il y a quelques années j’avais sorti d’une bibliothèque municipale ses « Cinq méditations sur la Beauté », où je n’avais pas trouvé une seule phrase à copier).
J’ai du mal à croire qu’on puisse se pâmer devant autant de fausse profondeur, tant de bavardage pseudo-philosophique ou pseudo-lyrique.
J’attends le jour où Madame Lèchecul-Pètesec nous fera découvrir un grand écrivain méconnu qui ne soit pas à la mode ou un livre peu connu d’un classique trop connu. »
Bien d’accord avec ces remarques, Cheng n’est pas philosophe mais un gourou de sagesse pour les cuisinière de moins de cinquante ans…
Un Mathieu Ricard de la littérature.
Bien d’accord avec ces remarques… de Pablo75, il faut le préciser.
@ VIGEE DANS SON JOB
C’est cela, oui. Il y annonçait sa mort sur un tas de fumier ? Quelle prescience, cet Assou !
« découvrir un grand écrivain méconnu qui ne soit pas à la mode ou un livre peu connu d’un classique trop connu. »
Claude Vigée!
les cuisinières de moins de cinquante ans ont joué un grand rôle pour les mangeurs d’hommes, parmi les nouveaux philosophles notamment.
C’est une cabale montée par tous les réactionnaires de l’Herdélie nostalgérique, ou quoi ?
(Bàv, Kamel Daoud).
« « L’Eternel est très fort pour les commencements mais pas doué pour les fins ».
https://littrature353.wordpress.com/2018/01/23/assouline-pierre-vies-de-job-gallimard-2011-52/
@John Silver, faut pas faire les questions et réponses. Laissez à notre amie Ch. le soin de vous répondre après avoir relu l’intégralité de l’œuvre poétique de Claude Vigée et ses multiples annotations de son oauvre intégrale ans sa bibli. Tout le monde n’a pas sa conscience professionnelle, convenez-en !
Un peu de respect, que diab’.
Cheng n’est pas philosophe mais un gourou de sagesse pour les cuisinières de moins de cinquante ans…
Un Mathieu Ricard de la littérature.
Un auteur dont on glisse le dernier livre sous le bras, entre deux cours de yoga.
Né en 1922 à Paris, Marcel Mouloudji était le fils de Saïd Mouloudji, un Kabyle né en Algérie, et de la Bretonne Eugénie Roux. Il est décédé en 1994 à Neuilly-sur-Seine.
Né en 1922 à Paris, Marcel Mouloudji était le fils de Saïd Mouloudji, un Kabyle né en Algérie, et de la Bretonne Eugénie Roux. Il est décédé en 1994 à Neuilly-sur-Seine. À l’occasion des vingt ans de cette disparition, les éditions musicales Mercury viennent d’éditer un magnifique coffret de 300 chansons (13 CD) qui déroule la carrière si riche et attachante de ce créateur hors normes.
Mouloudji a connu une enfance très difficile : sa mère fut internée alors qu’il avait dix ans et il vécut dans une chambre de bonne avec son père et son frère. Adolescent, il rejoint les Faucons Rouges, un mouvement de jeunesse de gauche. Il restera toute sa vie marqué nettement à gauche, même s’il ne voulait pas se considérer comme un « chanteur engagé ». J’aurai l’occasion de le rencontrer une fois en 1974 à Amiens alors qu’il était venu chanter gracieusement pour des travailleurs en grève.
À 13 ans, il rencontre Sylvain Itkine, du groupe Octobre, puis Jean-Louis Barrault qui devient son protecteur. En 1936, il tient un rôle dans son premier film,La Guerre des gosses, première adaptation de La Guerre des boutons. À 16 ans, il connaît son premier vrai succès dans le film de Christian-Jaque Les Disparus de Saint-Agil) avec Eric von Stroheim et Michel Simon. Pendant la guerre, il vit dans la clandestinité et fréquente Sartre et Beauvoir, qui l’évoque à plusieurs reprises dans La Force de l’âge. À la Libération, il devient une figure marquante de Saint-Germain-des-Prés. Il se lance, pour des raisons – il faut bien le dire – alimentaires, dans la chanson, tout en continuant à tourner pour Christian-Jaque. Il obtient son premier grand succès en tant que chanteur en 1951 avec “ La Complainte des infidèles ”, extraite du film La Maison Bonnadieu de Carlo Rim. En 1952, il tient le premier rôle du film d’André Cayatte Nous sommes tous des assassins, un plaidoyer contre la peine de mort.
Mouloudji est un surdoué : il est l’auteur de la plupart de ses textes, de certaines musiques. À ses moments perdus, il peint remarquablement bien.
Il est l’ami de Prévert, de Boris Vian. En 1953, il crée “ Comme un petit coquelicot ”, que Raymond Asso a écrit pour lui. La chanson connaît un succès énorme. Elle est encore aujourd’hui reprise à tout va.
En 1954, à la fin de la guerre d’Indochine, Boris Vian écrit “ Le déserteur ”, qui se termine bizarrement pour une chanson pacifiste :
Si vous me poursuivez,
Prévenez vos gendarmes,
Que je possède une arme,
Et que je sais tirer
Un appel à la désertion, plus un appel au meurtre de gendarmes, c’est peut-être exagéré. Mouloudji conseille la version que l’on connaît et que Vian lui-même adoptera :
Si vous me poursuivez,
Prévenez vos gendarmes,
Que je n’aurai pas d’armes,
Et qu’ils pourront tirer
La France est en plein tropisme militaro-colonialiste puisque novembre de cette même année voit la Toussaint rouge, le début de la guerre d’Algérie. Chanter “ Le déserteur ” est un acte d’un courage rare (passible de dix ans d’emprisonnement).
https://blogs.mediapart.fr/bernard-gensane/blog/191214/mouloudji-20-ans-apres
Diogène Laertius — Heraclitus, in Lives of the Philosophers IX 1.3) —, dit que H. aurait tenté de guérir son hydropisie en se réchauffant avec de la bouse de vache dans un fumier.
et notr PAblo a dû passer la nuit à chercher ce que représentait le « prélude » à l’époque baroque, pas de bol on ne doit pas trouver la réponse sur wiki.
alors c’était quoi un prélude ? les autres mouvement sont des gigues, des sarabandes, des allemandes… bon ça c’est des danses. Sauf que dans les préludes et fugues, la fugue n’est pas une danse…
bon bon continuons de chercher… ça doit bien être écrit quelques part dans les 200 bouquins que j’ai trouvés aux Puces… continuons de chercher, sinon je poserai la question à mon ami Pécuchet…
trop drôle.
Vous trouverez bien à vous sustenter là dedans, B. Il parait que c’est un nouveau langage qui aurait permis une révolution dans la communication universelle des internautes.
Pour ma part, je préfère féminiser UNE émoticône.
https://www.google.com/search?q=%C3%A9moticone&client=firefox-b-d&tbm=isch&source=iu&ictx=1&fir=8Risqjx2HMZ8AM%252CmZ4ZvpT8xvzTIM%252C%252Fm%252F02ngh&vet=1&usg=AI4_-kQMyDHZueuYO-3kQ-kdGwksquMu3Q&sa=X&ved=2ahUKEwi2v9WAyJrsAhVKCxoKHWMHD_gQ_B16BAgWEAM
rien de bien böse-méchant, dear JJJ. n’ai pas la la lecture picrocholine du commandeur Stora mais les récits de migrations migrent aussi. les tribulations de Pablo75 rappellent qu’il n’y a plus que les puces pour retrouver les récits d’Afrique sur les tribus indigènes roulées dans la farine par les marchands syriens.
Bonjour!
J’ai souvent confondu Claude Vigée et Jude Stephan. Le premier de ces deux poètes est remarquable mais le second est exceptionnel. Selon mon point de vue, s’entend.
https://www.youtube.com/watch?v=GvWMewXQxZU
@ guérir son hydropisie en se réchauffant avec de la bouse de vache dans un fumier.
Ah ? Merci r., pour cette précision. J’avais toujours pensé qu’il l’avait guérie en ne se baignant jamais dans la même eau poisseuse. Il faudrait que MC l’authentifie. Espérons-le. Bàv. (NB/ ai remarqué que vous faisiez énormément de fautes d’orthographe, mais ce n’est pas un souci. Ce qui est sympathique c’est que vous n’usagez pas de correcteur. Quand on voit l’efficacité de celui de B., !
@ »il ne le massacre pas il fait du Gould »
on comprend la démarche de Gould il faut prendre de la hauteur pour avoir une vue d’ensemble, si on prend les 2 préludes et fugues en Fa mineur du livre 1 et 2 qu’obtient-on ?
prelude Fa mineur livre 1 :
la fugue – des contrepoints qu’on retrouve dans plusieurs cantates :
hamlet:
La courante : Elle date du 17° siècle et doit être « noble et retenue ». D’Alembert dit « c’est une sarabande fort lente ». Elle comprend deux parties avec reprises.
La courante française est en 3/2 ou 6/4
La courante italienne est plus rapide, en 3/8 en croches égales
http://musique.baroque.free.fr/danses.html
prélude fa mineur livre 2 :
et la fugue en fa mineur du livre 2 :
maintenant on peut commencer à comprendre les choix du tempo de Gould : elle dépend de ce qu’il lit sur la partition ! et c’est d’une logique et d’un cohérence absolue !
on peut toujours se planter sur Bach parce qu’il n’existe aucune indication, on peut faire ce qu’on veut, sauf que, ce que propose Gould est inattaquable !
Job et son « fumier ». En fait erreur de traduction : non pas fumier mais le « mazbala », nom que les Arabes donnent à l’endroit où l’on entasse le fumier à la sortie du village, qui est en fait un tapis de cendres mêlé de poussière.
https://littrature353.wordpress.com/2018/01/23/assouline-pierre-vies-de-job-gallimard-2011-52/
Giacinto Scelsi, 12 preludes — seconde série — pour piano :
et alii, oui toutes pour les danses sûr qu’il ne faut jamais oublier le fait qu’au départ c’est le choix d’une danse dans l’esprit du compositeur. dans ce cas l’accélérer pour la rendre « mentalement indansable » c’est un choix qu’il faut argumenter, c’est toujours possible, mais il faut trouver une bonne raison de le faire.
et alii un exemple simple, Canarios de Sanz dansé :
leSanz par Yepes avec sa fille : sur un tempo plus rapide cela reste dansable :
Janssen J-J, je préfère mes erreurs d’orthographe — française — aux mostruosités produite par la vanité de certain-e-s (c’est correct ?) Rdliens et RdLiennes.
BàV, rm
le même par H. Smith sans danseur :
la 5G en France :singer?ouistiti ou la machine pub?
https://dentelleetpellicule.wordpress.com/2019/09/20/singer-costumes-pub/
renato : vous préférez laisser dire que Gould massacre Bach ?
on a 2 clowns sur ce blog qui nous pondent âneries sur âneries sur la musique et il faut laisser pisser ? désolé renato, mais pour moi ce n’est pas possible de laisser dire que Gould massacre Bach ! c’est pas possible !
« Yet the realities of life so cold,
So cowardly, so ready to betray,
So stinted in the measure of their grace
As we pronounce them, doing them much wrong,
Have been to me more bountiful than hope,
Less timid than desire – but that is past. »
The Recluse. William Wordsworth.
Norman Douglas « South Wind »
Richard Sennet « Palais Royal »
Si Chaloux ne les a pas encore dans sa besace,ce sont
de bonnes lectures.
[En lisant diverses traductions du passage d’Aristote, on tombe sur un malentendu — laissons tomber les bevues de certains traducteurs expérimentés — : le nom ἰπνός, est rendu au sens de « four », « cuisine », ou simplement « feu », devant lequel Héraclite se réchaufferait.
D’où des traductions du type : « comme on dit qu’Héraclite parlait à des étrangers qui voulaient le rencontrer, qui, en s’approchant de lui, après l’avoir vu se réchauffer devant le feu (πρòς τῷ ἰπνῷ), s’arrêtèrent ».
Mais pourquoi ses invités auraient-ils jamais à se figer devant lui en se réchauffant devant le feu? Qu’est-ce qui serait étrange ou dégoûtant, selon ce contexte?]
Généralement, Barette, le guitariste joue sur la guitare qui est devant lui. Rarement sur celle de son voisin. Même chose pour la majorité des autres instruments de musique
Oh ça va, en fait y repensant, j’ai plus de difficultés aux enregistrements à démêler le son des guitares quand il y en a au moins deux et je ne saurai attribuer une ligne à l’un ou l’autre. En regardant sans être pratiquante du tout, je suis nulle, je parviens à suivre souvent. Bon dimanche au pays qui vous ressemble!
@ Renato
Connaissez-vous une artiste italienne, Franca Ghitti,
admirée hier sur Arte? Elle a manipulé toutes les matières, et réalisé des travaux d’une beauté à vous couper le soufle. .
Jude Stephan, à lire et écouter dès que possible?
Diogène Laerce est effet une excellente lecture, pleine d’enseignements.
Plugueukeu, vous ne savez pas le solfège. Les chiffres indicateurs ne sont pas une indication du tempo.
Oui, Vanina, le travail de FG est intéressant. Je l’ai quelque fois rencontrée dans les années 70 au bar Giamaica lors de nos respectifs séjours milanais : brefs échanges d’opinions, mais intérêts divergents.
@Bien des gens vont mourir, mais pas moi, ni aucun erdélien. Je cueille le jour pour vous aussi et vous emm… un brin, ducon.nes. Politesses. Bàv,
C’est ça, ducon, et pense à faite publier ta dent de Louise dans le carnet mondain du Figaro, ça changera de » sans pleurs, ni fleurs »
@Inédit : quand James Dean sillonnait le djebel Amour au volant de sa Porsche en 1955, peu avant le début de la guerre d’Algérie
Peu APRÈS le début de la guerre
Finkielkraut n’est pas d' »une abyssale connerie », Clopine, c’est seulement, excusez-le, il ne pense pas comme vous, ce qui est tout différent.
Votre position, fondée sur « les progrès de ce que la philosophie sociologique nous a appris » montre surtout que vous les réduisez au seul Bourdieu, sans même vous enquérir des acquis de Michel de Certeau, autrement dynamisants et fondamentaux pour toute Recherche. En bref, vous faites du néo comtisme un bon siècle après que sa philosophie se soit cassée les dents. Pour celles et ceux qui ont connu votre période Onfray, non moins fervente, ce n’est pas une surprise.La suite promet…
Peu après le début de la guerre, début qu’il faut dater à 1954.
J’espère que M. Stora n’a pas une vision a – historique, de la chronologie de la guerre.
Déjà qu’en mitterrandie, ils ont du mal à en dater la fin.
Pat v, c’est Jude Stefan, pas Jude Stephan. Interrogé sur son pseudonyme, il disait que sesivres étaient du « jus de c’t’éfan »- là. Sa maison d’Orbec était stupéfiante : imaginez une sorte de « maison de Tante Léonie » proustienne et dans son jus, et aux murs des tableaux contemporains aux couleurs violentes, stridentes même, qui introduisaient d’autorité un décalage gidien.
@ n’ai pas la la lecture picrocholine du commandeur Stora. à clarifiez cette obscurité (boëse : bouse, bouseux, meuh-meuh ?)
@ pourquoi ses invités auraient-ils jamais à se figer devant lui en se réchauffant devant le feu? Qu’est-ce qui serait étrange ou dégoûtant, selon ce contexte?… On se le demande, mais enfin, les vrais tas de fumier sont toujours un peu sales et puent un brin, sauf si on en a l’habitude, ils exhalent parfois d’agréables saveurs vénéneuses.
@ on a 2 clowns sur ce blog qui nous pondent âneries sur âneries sur la musique et il faut laisser pisser ? Non, il ne le faut pas, ni les laisser chier non plus sur nos fumiers, tels B et P apprenant l’agriculture. Foutons-les au violon, ou à la guitare… histoire de conjoindre leurs turpitudes pucières pou putassières.
@ Amour naissante Hamid/Clarisse : « Est-ce qu’une épargnée peut comprendre un bouleversé ? ». (AZ, poche, p. 363). Posez la question au Benjamin, ou interrogez_vous à cette aune).
@ r., Le mal qu’a pu produire et provoquer Oriana Falacci dans le « tournant italien ». L’avez-vous connue aussi bien que Maria-Antonietta Machiocchi ou Laura Betti ? Des femmes de tempéraments…
@ N’ai jamais lu Cheng F et Ricard M. Influencé par l’idée de daubes… On dit pourtant qu’ils ont aidé pas mal de gens tristes à survivre, à s’extraire de leur marasme, ma soeur. Où donc placez-vous l’efficacité de la mauvaise littérature ?… On tourne toujours un brin autour de ces questions à la RDL. Mais on ne trouve pas de réponse définitive. Un exemple, moi je pensais que la « courante » au 17e s. signait la découverte de la diarrhée et de son remède. Et bien non, etalii, c’est un faux zami. Heureusement qu’on a wiki. En ce moment, ils demandent de faire un don de 2 euros dès qu’on ouvre. Leur avez-vous donné des sous en remerciement de tout ce que vous y avez appris ? Je suis sûr que non. Et moi, victime de la macrognie, je leur ai mis 1OO euros, via paypal.
Bàv, et à CT sur son nouveau roman.
A propos de Stora, et de sa position qui peut paraitre à certains inévitablement entre-deux, se souvenir de cet axiome: « l’Histoire commence à la mort du dernier témoin. » Et parfois bien plus quand la mythistoire est puissante. Ce qui est le cas encore des deux cotés de la Méditerranée. Rappelons qu’il a fallu trois siècles pour débattre sereinement de la Révocation. Ce qui nous renvoie à Cottret, mais c’est un autre problème.
@Peu après le début de la guerre, début qu’il faut dater à 1954
Quand a-t-on admis de qualifier les « événements » de guerre ?
Je n’en sais rien Langoncet, de cette falsification du langage.
Clopine dit: à
Pat v, c’est Jude Stefan, pas Jude Stephan. Interrogé sur son pseudonyme, il disait que sesivres étaient du « jus de c’t’éfan »- là. Sa maison d’Orbec était stupéfiante : imaginez une sorte de « maison de Tante Léonie » proustienne et dans son jus, et aux murs des tableaux contemporains aux couleurs violentes, stridentes même, qui introduisaient d’autorité un décalage gidien.
Vous avez raison Clopine et je ne sais pas pourquoi j’ai commis cette faute ( pardonnable?)à plusieurs reprise.
L’important c’est l’impact indélébile de ses écrits. Je les recherche dans ma bibliothèque.
Expliquez-moi le décalage gidien d’autorité 😉 que cela me rassure!
BàV.
Comme souvent le dimanche, Gigi la visqueuse nous gratifie d’un abondant dévoiement. C’est l’Attila des fèces : là où il ch… l’herbe ne repousse pas. Est-ce qu’au moins Nini les fesses rouges, qui fut abondamment et justement châtiée, peut de nouveau s’asseoir? Tiens-nous au courant de ses progrès. La pauvre femme : en plus d’avoir épousé un crétin, il lui faut subir les verges que tu devrais recevoir (tu me diras que tu en reçois d’autres et tu auras raison).
Hurkhurkhurk !
l’Histoire commence à la mort du dernier témoin. »
Pour l ‘ histoire de la guerre d’Algérie, Yves Courriere a pu en rencontrer.
Publié dans « 8 mai 1945 dans le constantinois, un autre regard sur ces évènements……. » , fédération
Comité de liaison des Associations Nationales de rapatriés-CLAN-R »
https://www.ac-orleans-tours.fr/fileadmin/user_upload/hg/Lycee/Terminale_g%C3%A9n%C3%A9rale_L-ES/histoire/les_m%C3%A9moires__lecture_historique-F.Giry/diapo_guerre_d_algerie.pdf
Oriana Fallaci et Maria Antonietta Macciocchi, peut-être ?
Cannes a été le théâtre d’une manifestation rassemblant plus d’un millier de personnes. Objectif : protester contre le film Hors-la-loi de Rachid Bouchareb.Nouvel épisode dans la polémique causée par Hors-la-loi de Rachid Bouchareb. Alors que le film était projeté à la presse ce matin, la ville de Cannes était le théâtre d’une manifestation, nommée « commémoration aux victimes françaises de la guerre d’Algérie », selon les
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Cannes-2010-Hors-la-loi-une-manifestation-proteste-contre-le-film
réception du film « hors la loi »
http://www.allocine.fr/film/fichefilm-136108/critiques/spectateurs/
Amis erdéeliens, bonjour
Nous savons tous que Gigi la Visqueuse est une merde, limace illisible, qu’il est con comme un balai européen, mais je vous en supplie – comme peut le faire un authentique croyant : il ne le sais pas !
Pensez à la famille, joyeuse, réduite à de veules héritiers en attente !
EPARGNEZLE !!!
Et pour en finir avec les axiomes !
L’Histoire est, comme la religion, un tissu de délires sans début et sans fin.
Orthographie des noms bien à part, de quel mal parlez-vous, Janssen J-J, à propos de Fallaci ?
Pat V, le recueil de nouvelles « la crevaisons » est sans doute plus abordable que les poèmes, extrêmement savants car empruntant leurs codes au grec et au latin.
Si j’ai évoqué Gide, c’est à cause de son célébrissime « familles, je vous hais ». La maison d’Orbec de Stefan me semblait mettre en évidence un sentiment de cet ordre : les torchons sagement accrochés au clou près de l’évier, le mobilier familial inchangé, tout semblait indiquer un homme accroché avec dévotion à une histoire familiale conservée pieusement en l’état. Mais les peintures contemporaines, énormes, accrochées à côté des vaisseliers rustiques, semblaient, elles, proclamer l’inverse d’un quelconque attachement aux valeurs familiales. D’où mon rapprochement entre Gide execrant les familles et Stefan accrochant un nu féminin, orange et bleu, au-dessus de la table à manger lui venant de sa grand mère !
Les mentions d’Esprit et des temps modernes sur ce fil ont fait remonter en moi un souvenir ancien
C’était au tout début des annéees 60 . Toute honte bue en cette ére franquiste, je passais des vacances familiales dans un hôtel de la Costa brava
Ma fille avait eu de la fievre et j’avais appelé un medecin ;celui qui arriva était ,un homme assez âgé, qui parlait français, et qui a des riens m’est apparu un esprit distingué .
Tout à coup , pendant qu’il rédigeait consciencieusement son ordonnance ,je l’ai vu brusquement s’interrompre; son regard s’est ’immobilisé et comme un éclair de gourmandise a illuminé ses yeux :Il venait d’apercevoir, abandonné au désordre de la chambre ,le numéro des Temps Modernes que j’avais apporté dans mes bagages avec d’autres lectures de vacances .
Puis il m’en a parlé, m’a dit connaître l’existence de cette revue, a évoqué les figures de l’intelligentsia française qui en étaient les piliers. Bien averti de la richesse etde l’interet notamment politique de cette publication, il regrettait fort de ne pas pouvoir y avoir accès dans son pays comme à Esprit , revue à laquelle il était abonné.
Je lui ai évidemment offert ce numéro ;et il s’est montré envahi de bonheur et éperdu de reconnaissance pour ce qui dans le désert intellectuel répressif de l’ Espagne d’alors devait être probablement pour lui un cadeau miraculeux .
Tant de gratitude , s‘agissant d’une publication ordinaire, qu’en France on pouvait pour quelques francs s’ acheter dans n’importe quel kiosque, m’a fait éprouver presque dans ma chair , l’espace d’un instant , et au delà de ce que j’avais appris dans les livres sans vraiment en imaginer la dureté, combien est insupportable pour l’esprit la pesanteur d’un ordre moral totalitaire ; Dans une sorte de « suave mari magno » j’ai mesuré « du rivage » ma chance de vivre dans une démocratie , où je peux librement choisir mes lectures.
Mais dois-je l’avouer ? je n’ai pas pour autant interrompu ces vacances au pays de Franco ;version familiale et privée d’une Realpolitik
L’Histoire est, comme la religion, un tissu de délires sans début et sans fin.
Puisque l’heure est au badinage sans importance :
Suave etiam belli certamina magna tueri
Per campos instructa tua sine parte pericli
J’ai lu que parmi les romans de la rentrée il en est un d’Emmanuelle Branche dont la matière procède de ses travaux de chercheuse sur la torture systematiquement utilisée par l’Armée pendant la guerre d’Algérie .
qui l’a lu?
…dimanche 4 octobre 2020 à 14 h 31 min.
…
…les non-évènements, pour enfoncer les portes ouvertes,!…
…les formations de gestions social et politique aux non-évènements,!…
…
…mais, c’est très vaste, et, c’est pour rapporter » gros « , à court et à longue échéance,!…
…
…tout le monde, dans l’histoire à aujourd’hui, est dans le non-événement,!… comment çà!,…et pourquoi,!…
…
…de la politique » fiction « , pour » brûler « , les gens par les deux bouts,!…
…
…comme aussi, le soleil à rendez-vous, avec la lune,!…( vu par un terrien, alors que les astres se déplacent nonchalamment, dans leurs cycles habituels,…
…ou la mort, les bio-diversités trop usées.
…en plus des fêtes et célébrations ( carnavals, élections, sports, cinéma, messes, ), pour museler à œillères les populations,…
…
…le profit, les ventes et productions pour handicaper les lucidités indépendantes des gens,…
…la guerre constante, pour être plus riche, que son voisin,!…Algérie, colonies, concurrences et leaderships, en tout domaines,!…à revanches,!…
…qu’elles paix à revendre,!…(…)
De 1954 à 1962 plus d’un million et demi de jeunes Français sont partis faire leur service militaire en Algérie. Avec « Papa qu’as-tu fait en Algérie ? Enquête sur un silence familial » (éditions La Découverte) l’historienne Raphaëlle Branche livre une enquête fouillée sur le silence qui a marqué et entouré la guerre d’Algérie. Alors que Paris et Alger ont récemment initié un dialogue sur la mémoire franco-algérienne, nous vous proposons de lire quelques extraits choisis de cet ouvrage inédit mêlant archives et témoignages récents.
https://theconversation.com/bonnes-feuilles-papa-quas-tu-fait-en-algerie-145057
branche R
https://theconversation.com/bonnes-feuilles-papa-quas-tu-fait-en-algerie-145057
Il s’agit plutôt d’une enquête de l’historienne Raphaëlle Branche : « Papa, qu’as-tu fait en Algérie ? » La Découverte. Le Monde (André Loez) en a rendu compte le 06/09/2020.
L’imaginaire des descendants est central : comment, et avec quels éléments, se représentent-ils l’histoire ? Comment comble-t-on les trous avec son imagination ? Comment se construit le récit ? C’est aussi un des enjeux du construire ensemble : construire un récit non pas de vérité partagée, mais un récit qui mettrait d’accord sur ce qu’il existe de commun. Raphaëlle Branche
On ne peut pas penser réparation sans explorer aussi la blessure qui va avec, et cette exploration passe par le dialogue entre toutes les parties : la mémoire est un travail, pas une stèle. Kader Attia
https://www.franceculture.fr/emissions/le-temps-du-debat/guerre-dalgerie-comment-concilier-memoire-familiale-et-histoire-collective
Biographie de Kader Attia
Né en 1970 à Paris, de parents algériens, Kader Attia passe son enfance entre la banlieue parisienne et le quartier de Bab el Oued à Alger. Il utilise cette expérience de vie entre les deux rives de la Méditerranée comme point de départ d’une pratique artistique qui questionne les esthétiques et éthiques de différentes cultures. Son approche poétique et symbolique explore les répercussions profondes de l’hégémonie culturelle occidentale moderne et du colonialisme sur les cultures extra-occidentales, entre Tradition et Modernité, et crée une généalogie du monde contemporain et des relations qui se jouent actuellement entre l’Occident et les pays extra-occidentaux. Depuis plusieurs années, ses recherches se concentrent sur le concept de la Réparation comme une constante de la nature humaine, dont la pensée occidentale moderne et la pensée traditionnelle extra-occidentale ont toujours eu une vision opposée. De la Culture à la Nature, de la question du genre à l’architecture, de la science à la philosophie, tout système de vie est un processus de réparation infini.
Crédit photo : Per Kristiansen
https://www.franceculture.fr/personne-kader-attia.html
plus abordable que les poèmes, extrêmement savants car empruntant leurs codes au grec et au latin.
Clopine, on peut lire ses poèmes ( ceux de Jude Stefan )sans connaître les secrets de sa prosodie toutefois fort intéressante.
Il écrit en français jusqu’à nouvel ordre!
Plus intéressant est son point de vue du poème qui ne se finit pas à sa conclusion sur la page.
(…)
Quel plaisir de l’écouter!
Jude Stefan :
Certaines personnes ressentent le besoin de « réparer » les autres. Elles sont comme des chevaliers blancs qui cherchent à sauver ceux qui, parfois, ne veulent pas être aidés ou n’en ont pas besoin.
https://nospensees.fr/certaines-personnes-ont-besoin-de-reparer-les-autres/
Gilbert Meynier, trop tôt disparu, était un grand spécialiste de l’histoire algérienne. Personnalité chaleureuse, il avait animé de son enthousiasme la soirée qui suivit la présentation de notre exposition sur les colonies dans la première guerre mondiale.
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/12/19/disparition-de-gilbert-meynier-passeur-de-l-histoire-algerienne_5231942_3212.html
« Avec sa disparition, c’est une partie de l’histoire de notre pays qui s’en va, écrit Tahar Khalfoune. J’ose espérer que les Algériens reconnaîtront l’œuvre monumentale qu’il a consacrée sa vie durant à l’histoire de notre pays, [une histoire] très riche, mais mal connue et mal enseignée, c’est une dette d’amitié et de justice que nous lui devons. »
« Il y a parfois des tensions… c ‘est rhétorique peut-être, dans l’écriture, dans l’exagération baroque… Je ne sais pas s’il y a un bon sens du mot mais il y a de la violence! J’aime la violence, j’aime quand les gens se battent ; je n ‘aime pas qu ‘ils se battent mais ça m’intéresse.J’aime l’outrance provocatrice aussi, et la grossièreté. L’usage de la grossièreté verbale m’a toujours beaucoup intrigué ; la violence verbale — il y a des agressions verbales aussi, c ‘est sûr! — , quand elle est juste, me plaît assez. .. Il y a dans la violence, une tension : c ‘est pour cela que je n ‘aime pas la poésie molle ou tiède, où il n’y a pas de tension. »
Jude Stefan.
Sublime Radu Lupu (et en concert très impressionnant). Il y a eu une époque où je n’écoutais que lui en Schubert. Même un peu trop lents à mon goût, ses impromptus sont d’une beauté et une intensité très étonnantes. Et ils me rappellent beaucoup ceux de Zimerman. Comment tu peux aimer l’un et pas l’autre?
Dans le si beau impromptu nº 3 – l’une des oeuvres pour le piano les plus belles qui existent, pour moi – je préfère la version de Zimerman. Et dans l’Andante de la dernière sonate aussi:
Schubert: Piano Sonata No.21 in B flat, D.960 – 2. Andante sostenuto
https://www.youtube.com/watch?v=j9k-oP4xF_M
pour moi ce n’est pas possible de laisser dire que Gould massacre Bach ! c’est pas possible !
puck dit-hamlet dit:
Pétomane, je te le répète encore une fois: arrête de vouloir apprendre à ton père comment on fait les gosses.
Le Pétomane parlant de musique est aussi comique que Madame Lèchecul-Pètesec parlant de littérature très médiocre (mais à la mode) comme s’il s’agissait de la littérature qu’on lira encore dans trois siècles.
L’un est sourd et l’autre est née sans le sens du goût.
Deux cas impossibles.
Pablo, vous utilisez toujours les insultes pour éviter le débat, j’ai l’habitude avec vous.
Pablo, c’est comme votre compte-rendu de votre promenade chez les boutiquiers, c’est très mal raconté…
Par contre j’ai lu dans un grand roman à peu près la même histoire, mais là on sent le souffle littéraire propre aux grands écrivains nordiques, en l’occurrence il est lituanien, ou finlandais je me souviens plus, mais là on ressent la littérature dans toute sa puissance, c’est un peu le Glenn Gould de la plume, je vous livre l’extrait:
»
« Je peux vous aider ? »Samuel entend ces mots, derrière son dos, à qui sont-ils adressés, se demande-t-il. Samuel n’a pas le temps de s’attarder là-dessus, sur cette question, une chose inouïe vient en effet de se produire, là, sur le stand d’un bouquiniste, il vient d’apercevoir un livre. Son regard saute d’un livre à l’autre, des livres posés sur le dos qui se chevauchent maladroitement, ne laissant apparaître que l’essentiel, le titre, le nom de l’auteur, rien de plus, puis soudain, le miracle. Le nom de l’auteur, il l’a oublié, mais il sursaute en voyant le titre, il n’a pas oublié le titre, Antimatière, il se souvient, en une fraction de seconde, tout lui revient.(…) « Je peux vous aider ? ». Samuel sent qu’on lui tape sur l’épaule, il se retourne, c’est le bouquiniste. Samuel le connaît, il vient souvent sur les quais du Rhône pour chercher des livres. Le bouquiniste semble agacé, il tient une bâche en plastique transparent, il commence à pleuvoir, explique-t-il. Samuel regarde autour de lui, les autres bouquinistes ont déjà fermé leurs présentoirs, là où ils mettent leurs livres les plus précieux, ils ont déjà recouvert les livres posés sur les tables à tréteaux d’une bâche en plastique transparent. Si vous voulez prendre un livre il faut vous décider vite parce qu’il commence à pleuvoir, dit le bouquiniste. Il connaît Samuel, un client hésitant, il prend des livres puis les repose, n’importe comment, il est ensuite obligé de passer derrière pour les remettre en ordre. Cette fois Samuel n’hésite pas, il sourit au bouquiniste, il n’a pas à s’inquiéter, insinue ce sourire, ça va aller vite, c’est déjà une affaire réglée, de longue date, une vieille histoire, il a trouvé ce qu’il cherche depuis si longtemps, le miracle tant attendu s’est enfin produit, aujourd’hui c’est son jour de chance. Samuel met sa main dans la poche pour prendre l’argent pour payer, il ne sait pas encore le prix du livre, cela n’a pas d’importance, il a assez d’argent sur lui pour le payer, il se retourne pour prendre le livre et vite repartir avec.
Horreur, une femme, une petite femme, vieille et petite, maigrichonne, le visage sec, un méchant visage sec et ridé, vêtue d’un imperméable en plastique transparent comme les bâches pour protéger les livres, un chapeau rond, à large bord fait du même plastique transparent, à la main une canne en bois pour l’aider à marcher, sa main osseuse, sèche et ridée, sa méchante main rôde autour de son livre, elle remet un livre en place, celui situé juste au-dessus du sien, le premier livre de la rangée, le sien est en seconde position, juste en dessous, elle l’a pris pour l’approcher de ses yeux, l’approcher de son méchant regard, pour mieux lire le titre. Elle le remet en place, mal, déplacé, trop sous le suivant, trop sous le sien, le nom de l’auteur est caché par le sien situé juste en dessous, le titre n’apparaît qu’à moitié, le bouquiniste devra encore mettre de l’ordre dans ses livres. Le sien c’est le suivant, elle est sur le point de s’en saisir, c’est ce qu’elle fait, elle l’a dans ses griffes, le rapproche de ses yeux. Samuel se précipite, arrache le livre de ces doigts maigrichons et fourchus. La femme recule, le regarde, de son regard bleu, pas vraiment bleu, un bleu délavé, un bleu si délavé qu’il n’est plus bleu, plutôt blanc, un regard blanc bleu, elle lui jette un regard noir.
Samuel panique, cette femme est une sorcière, se dit-il, c’est évident, le destin l’a placée là, entre lui et ce livre, pour qu’il ne puisse pas entrer en possession de ce livre aussi facilement, sans un combat préalable, titanesque et préalable avec une sorcière, si elle le touche avec sa canne, se dit-il, elle va le transformer en crapaud, c’est certain. La bouche de la vieille dame s’ouvre, pas vraiment une bouche mais de méchantes petites lèvres, très fines, si fines qu’elle semble ne pas en avoir. Samuel s’écarte, il ne doit pas rester à portée de sa canne. Mais enfin, lance-t-elle, d’une voix aiguë, en voilà des manières, les jeunes ne respectent rien de nos jours, vous avez vu ça, dit-elle au bouquiniste, ce malotru, il a failli m’arracher le bras.
Samuel, tremblant, ouvre vite le livre, à la dernière page, pour rechercher le prix, il sursaute en le découvrant, il vaut deux fois plus cher que le neuf ! Le neuf n’existe plus, ce produit est une rareté, répond le bouquiniste à Samuel qui pourtant n’a encore rien dit, avec sa bâche dans les mains, il pleut de plus en plus. La vieille dame sourit, bien fait pour lui, croit-il lui entendre dire, l’a-t-elle vraiment dit, Samuel n’ose se retourner vers elle pour lui demander si elle l’a dit. Il fouille dans sa poche, tend des billets au bouquiniste et s’en va en courant sans attendre la monnaie. Une fois éloigné, Samuel se retourne, il voit la vieille dame aider le bouquiniste à mettre en place la bâche en plastique transparent. »
J’ai souvent confondu Claude Vigée et Jude Stephan. Le premier de ces deux poètes est remarquable mais le second est exceptionnel. Selon mon point de vue, s’entend.
Pat V dit:
Il y a beaucoup de gens, comme Madame Lèchecul-Pètesec ou maintenant Pat V, qui jugent les écrivains qu’ils lisent comme s’ils n’avaient jamais lu rien de meilleur, comme s’il n’y avait pas d’autres écrivains bien plus grands qu’eux.
Pour moi, qui ait lu et lis toujours beaucoup de poésie espagnole, française et traduite d’autres langues, je trouve Vigée et J.Stefan (dont j’ai quelques livres) des poètes de 7ème-8ème catégorie. Du dernier j’ai lu encore quelques poèmes la semaine dernière (dans un livre de la collection Poésie Gallimard trouvé par hasard dans mon bordel de livres) et les ai trouvés très décevants par rapport à mon souvenir – j’ai lu plusieurs livres de lui à la bibliothèque de Beaubourg il y a plus de 30 ans et j’avais bien aimé. Maintenant, connaissant bien mieux la poésie, je trouve J.Stefan un poète « del montón », comme on dirait en espagnol (banal, médiocre), avec beaucoup trop de concessions à la fausse profondeur, si tentante en français (en espagnol elle passe beaucoup moins bien, et du coup il y a moins de poètes qui jouent au « mallarméanisme »).
Certains ici ne connaissent pas l’expression « tl ; dr », dommage — je suppose qu’ils croient que faire long donne l’illusion de l’intelligence.
« je suppose qu’ils croient que faire long donne l’illusion de l’intelligence. »
c’est qui déjà qui parlait de vanité ?
« Pour moi, qui ait lu et lis toujours beaucoup de poésie espagnole, française et traduite d’autres langues »
c’est pas bien d’utiliser l’art comme faire-valoir personnel.
Les mentions d’Esprit et des temps modernes sur ce fil ont fait remonter en moi un souvenir ancien […] C’était au tout début des annéees 60. Toute honte bue en cette ére franquiste, je passais des vacances familiales dans un hôtel de la Costa brava […] Tout à coup, pendant qu’il rédigeait consciencieusement son ordonnance, je l’ai vu brusquement s’interrompre; son regard s’est ’immobilisé et comme un éclair de gourmandise a illuminé ses yeux :Il venait d’apercevoir, abandonné au désordre de la chambre,le numéro des Temps Modernes que j’avais apporté dans mes bagages avec d’autres lectures de vacances. […] il regrettait fort de ne pas pouvoir y avoir accès dans son pays comme à Esprit, revue à laquelle il était abonné. Je lui ai évidemment offert ce numéro ;et il s’est montré envahi de bonheur et éperdu de reconnaissance pour ce qui dans le désert intellectuel répressif de l’ Espagne d’alors devait être probablement pour lui un cadeau miraculeux .Tant de gratitude , s‘agissant d’une publication ordinaire, qu’en France on pouvait pour quelques francs s’ acheter dans n’importe quel kiosque, m’a fait éprouver presque dans ma chair , l’espace d’un instant , et au delà de ce que j’avais appris dans les livres sans vraiment en imaginer la dureté, combien est insupportable pour l’esprit la pesanteur d’un ordre moral totalitaire […] Mais dois-je l’avouer ? je n’ai pas pour autant interrompu ces vacances au pays de Franco…
DHH dit:
C’est rare qu’un post de DHH soit ridicule, mais là elle a bien réussi à l’être. Faire de l’Espagne des années 60 un pays comparable à la Russie de Stalin est stupide. En Espagne dans les années 60 circulaient les livres interdits aussi normalement qu’aujourd’hui la drogue. Mon père avait dans sa bibliothèque plusieurs livres publiés par « Ruedo Ibérico » ici à Paris, des livres féroces contre le franquisme que j’ai lu à l’adolescence. Avec ses amis, ils se prêtaient souvent ce genre de livres. Son libraire vendait sous le manteau toute sorte de livres interdits et on pouvait même lui en commander. Beaucoup d’immigrants revenaient passer leurs vacances en Espagne avec des livres ou des revues porno interdits (si on ouvrait leurs valises à la frontière, chose rarissime, ils risquaient uniquement de les perdre). Et tous les basques et catalans qui le voulaient venaient en France se fournir en livres ou voir des films interdits. Pour le médecin dont parle DHH rien de plus simple que d’aller à Perpignan acheter des livres et des revues français. Et j’ai du mal à croire qu’on ne pouvait pas être abonné aux Temps Modernes, puisque aucun employé de Correos savait de quoi il s’agissait et personne ouvrait les centaines de milliers voire les millions d’enveloppes reçus chaque jour de l’étranger (sauf pour les cas des opposants politiques surveillés, j’imagine). Faire de cette revue un trésor fabuleux qui mettait en extase un catalan avec du fric, c’est ridicule. Je suis sûr qu’à Barcelona il y avait plein de librairies qui vendaient des livres et des revues français interdits. Et sinon, rien de plus simple que passer la frontière et acheter plusieurs numéros des Temps Modernes d’un coup.
(C’est étrange l’idée que les Français se font de la dictature de Franco et comment ils connaissent si mal son histoire. Il faudrait qu’ils s’informent un peu, en lisant les écrivains exilés, par exemple – dont beaucoup sont revenus en Espagne dans les années 50-60 et écrivaient dans la presse et publiaient des livres sans problèmes).
DHH, n’employez pas le mot « totalitaire » à la légère. Le simple fait que votre médecin était abonné à une revue comme « Esprit » montre que ce terme est démesuré. Un abonnement à « Esprit » n’était même pas imaginable derrière le rideau de fer, ni la liberté de circulation de millions de touristes comme en Espagne (et des espagnols eux-mêmes apparemment).
@ Chaloux
Je vais te scandaliser, mais tant pis: le premier mot qui me vient à l’esprit quand j’écoute l’Andante (à 13 min 08) de la sonate D.960 de Schubert par Horowitz…. est « frivole ». Ce n’est pas possible de passer sur les moments les plus beaux et terribles de ce mouvement avec une telle légérété, pour ne pas dire une telle insouciance.
(La reprise du moment le plus tragique – la mort qui arrive – à 18 min 14 montre, pour moi, que notre ami Vladimir n’a rien compris à ce que Schubert a voulu exprimer dans sa dernière sonate).
Schubert, Piano Sonata No.21 in B-flat Major, D.960 / Vladimir Horowitz ( 1953 )
https://www.youtube.com/watch?v=OPZyx7v5PGM
Pablo, ce matin j’ai commencé par Zimerman, plutôt moins mauvais que j’aurais cru. C’était le premier impromptu qui m’intéressait. Mais au bout de deux écoutes, j’ai commencé à le trouver insupportable. Lupu est un peu convenu, parfois, dans la manière dont il joue les soufflets par exemple (crescendo-decrescendo), mais toutes les solutions qu’il offre aux petites difficultés que pose le texte sont crédibles, ce qui n’est pas le cas de Zimerman. Avec la partition sous les yeux, je pourrais te dire ce que je trouve franchement contestable.
Quoi, on serait vaniteux si on supporte mal des posts long et indigestes ?
@la torture systematiquement utilisée par l’Armée pendant la guerre d’Algérie .
qui l’a lu?
deachach ?
Dans les années 60 sur la Costa brava, beaucoup d’Anglaises échevelées fraîchement divorcées venaient expérimenter leur liberté retrouvée, la dictature leur faisait de l’effet.
DHH, n’employez pas le mot « totalitaire » à la légère. Le simple fait que votre médecin était abonné à une revue comme « Esprit » montre que ce terme est démesuré. Un abonnement à « Esprit » n’était même pas imaginable derrière le rideau de fer, ni la liberté de circulation de millions de touristes comme en Espagne (et des espagnols eux-mêmes apparemment).
closer dit:
Comment ça « apparemment »? En Espagne il n’a jamais été interdit de circuler ni de voyager à l’étranger. Seuls quelques opposants surveillés n’avaient pas de passeport. Pendant le franquisme seuls les militants politiques de l’opposition (surtout les communistes) avaient des problèmes s’ils agissaient ouvertement (en organisant des manifs, par exemple). Mais personne dans les années 50-60 interdisait à des écrivains communistes, comme Blas de Otero o Alfonso Sastre de publier (et à Sastre de monter ses pièces, pourtant très politiques, comme » La Mordaza » (Le Bâillon) qui « trata encubiertamente el tema de la dictadura, la represión y la censura », comme dit Wikipédia, et qui a été crée en 1954). La censure agissait s’il y avait des allusions politiques trop claires, surtout contre Franco.
En Espagne, à partir des années 50, on a publié la plupart des livres des écrivains exilés, dont presque tous avaient l’autorisation de rentrer, ce que beaucoup ont fait. Il faut lire les lettres échangées entre eux sur le fait de si moralement devaient ou pas revenir dans le pays en étant utilisés par le franquisme pour montrer aux démocraties qu’il y avait de la liberté en Espagne. Des cas comme celui de Pablo Casals, qui n’a pas voulu rentrer tant que Franco soit vivant, sont rarissimes.
« Apparemment » parce que je n’avais pas de connaissance directe et précise du sujet…Tes informations montrent que les restrictions de sortie et d’entrée en Espagne étaient nulles pour la quasi totalité des espagnols. Rien à voir avec les pays communistes, eux, vraiment totalitaires.
Dans les années 60 sur la Costa brava, beaucoup d’Anglaises échevelées fraîchement divorcées venaient expérimenter leur liberté retrouvée, la dictature leur faisait de l’effet.
Phil dit:
Et Ibiza était un bordel à ciel ouvert, où circulait abondamment la drogue. Il faut lire ce que le philosophe (communiste à l’époque) et grand spécialiste des drogues Antonio Escohotado a écrit sur l’Ibiza des années 60.
Il faut comprendre que le franquisme, pour des raisons économiques et politiques (vis-à-vis des démocraties étrangères) a été obligé de lâcher la bride très vite et a permis beaucoup de choses qui étaient des abominations pour les franquistes eux-mêmes (surtout pour le premier d’entre eux, à la sexualité douteuse).
« C’est rare qu’un post de DHH soit ridicule, mais là elle a bien réussi à l’être. Faire de l’Espagne des années 60 un pays comparable à la Russie de Stalin est stupide. »
Les Français ne pensent pas : ils adhèrent ….
« Souvent résumées à des silences ou à de très rares récits, »
Lu dans le lien sur le livre de R. Branche. Qui fait un amalgame foireux avec d’autres guerres.
Il ne faut pas longtemps pour se rendre compte de la somme considérable de la biblio sur le sujet de la guerre d’Algérie, sous tous formats, essais, témoignages, romans.
Faut-il comprendre que le silence est assourdissant ?
Tu pourrais nous en dire plus sur la sexualité du Caudillo, Pablo75 ?
J’ai trouvé savoureux ton papier sur les puces de Montreuil.
Il faut dare dare que j’aille y admirer le jeune Ronaldo-Magrhébin des vieux papiers !
« qui jugent les écrivains qu’ils lisent comme s’ils n’avaient jamais lu rien de meilleur, comme s’il n’y avait pas d’autres écrivains bien plus grands qu’eux. » Pablo75.
Exceptionnel souvenir de » Gnomiques » effectivement Pablo. Ai-je écrit quelque part que je ne voyais pas d’écrivain plus grand que lui?
Non à ce que je sache.
Je n’arrive pas à retrouver dans ma bibliothèque ce « Gnomiques »…
@ avec beaucoup trop de concessions à la fausse profondeur
Expliquez nous cela Pablo car pour nous il nous semble un poète très terre à terre dans tous les sens du terme.
« Les Français ne pensent pas : ils adhèrent …. »
Comme les moules, JiCé ?
DHH a des circonstances atténuantes.
En ce temps-là elle était encore sous l’influence de la papesse Simone et les Temps Modernes était un peu sa Bible…
On voit tout de suite où se situent les centres d’intérêt de JB…
@ Christiane, en réponse à votre post du 30/09 je crois ( je n’ai pas d’archives), vous voudrez bien prendre note :
1) Gisèle alias x : FAUX
2) Gisèle universitaire : FAUX
3) Gisèle aux innombrables pseudos : FAUX
4) Gisèle et ses jargons : FAUX ; mes maigres posts l’attestent.
5) Gisèle vous vous réfugiez sous l’aile protectrice de C.P. :FAUX .Interrogez-le, vous le connaissez bien, il vous le confirmera.
***christiane, je n’ai que faire de vos délires et de vos insinuations; dans peu de temps, je serai loin; profitez-en, reprenez votre sang froid.
Gisèle le 4/10 à17h50.
*** Bizarre chez vous cette fixation haineuse sur MOI-Gisèle,d’autant que vous aviez clamé chez Sergio en 60 lignes « menteuse, vous n’existez pas, et patati et patata…
*** j’ignore si vous avez pu identifier « x »,et j’ignore la suite de l’histoire. Tout cela me semble si vain et si poisseux.Ne vous inquiétez pas à mon sujet,je change de longitude, dès ce soir et je vous laisse à vos recherches.
Gisèle le 4/10 à 17h42
4)Gisèle aux jargons etc etc..:FAUX
@ Nabila dit: à
Sinon, auriez-vous pétionné pour qu’ils entrassent ensemble au Panthéon, Bécassine ?
Étaient ils de leur vivant des homosexuels connus et reconnus. J’enterre Nora avant son heure, pour le second je ne sais pas si le glas à sonné. Après verif, oui. Mort et enterré une fleur de lys posé sur le coeur.
Faites vous allusion à La solitude de la fleur blanche de Annelise Roux ?
Il me semble que si Girardet a été un témoin emporté à sa manière par « les événements d’Algérie », il n’est pas historien de la guerre d’Algérie.
Dans cette biblio à foison, il n’y a pas si longtemps est paru un témoignage romancé, lequel a mis 60 ans à maturer.
Le résultat valait le coup.
La nuit de Zelemta
https://www.albin-michel.fr/ouvrages/la-nuit-de-zelemta-9782226319425
Afin de soutenir le temps que l’aracheur de dents occupe pour boir son ombre :
Ce sont les arapèdes qui adhèrent au rocher, JiBé, comme les Français adhèrent aux politiciens !
(solides dans leurs idées ridicules et leur inaction coupable…)
La parole est à l’avocat le plus bas d’Inter, Pierre Desproges. Maître:
« Les Espagnols vivent dans un léger désarroi depuis que leur chef, M. Franco, est mort.
M. Franco a gouverné l’Espagne avec bienveillance pendant quarante ans. Certes, il était encore plus réactionnaire que la plupart des radicaux valoisiens, mais il savait se montrer généreux avec les riches et général avec les militaires. Le général Franco est mort dans son lit, contrairement au général Gamelin qui est mort dans le mien, mais enfin nous touchons là à ma vie privée et alors bon, je vous en prie. On a dit beaucoup de mal du général Franco, et c’est vrai qu’il avait mauvaise haleine, mais force est de reconnaître qu’il a su laisser l’Espagne dans l’état où il avait aimé la trouver en entrant ».
gisèle, merci
@pablo
je prends acte de vos remarques.
Peut-être ce médecin en a -t-il rajouté dans l’expression de sa frustration pour noircir aux yeux d’une étrangère un peu naïve un régime qu’apparemment il exécrait.
@ C.P. acceptez mes excuses, j’ai été ahurie de constater les effets pernicieux du post que je vous avais adressé, il y a 3jours à peu près. J’aurais dû me taire; j’avais reconnu « x » par son style et sa connaissance de la litt. anglaise notamment, et italienne; je ne connais pas son identité, bien sûr et je ne la cherche pas. Par ailleurs, j’étais et je suis lasse de cette chasse aux pseudos sur la RdL; d’autant plus lasse que j’avais essuyé les propos diffamatoires de Clopine, peu de temps après avoir mis les pieds sur la RdL; j’avais disparu, illico. Nouvel essai, nouveau pseudo (inchangé depuis); et bing, affirmations péremptoires de Rose, Gisèle était un homme! j’aurais laissé tomber si DHH ne s’en était mêlée: Gisèle savait bien mentir car elle s’était laissé tromper. Pour Christiane et d’autres, je mentais, je n’existais pas! Je m’arrête. Lorsque vous avez parlé de « x » qui était l’objet de toutes les suppositions, j’ai pensé qu’allait s’engager une vraie chasse à l’x ! C’était la raison de mon post.
Je lis un blog non pour dépiauter des identités mais pour découvrir des textes, des façons de penser,différentes des miennes.Je sais un peu qui vous êtes, je vous lisais attentivement sur le blog de P.Edel, c’est tout. J’ai un autre pseudo, sur le blog de P.Edel, normal,je n’emmêle pas les posts de l’un aux posts de l’autre.Je vais être absente, et non pas parce que je boude.
Portez-vous bien, et oubliez ma maladresse,stupide. Gisèle le 4/10 à 18h30
« On a dit beaucoup de mal du général Franco, et c’est vrai qu’il avait mauvaise haleine, mais force est de reconnaître qu’il a su laisser l’Espagne dans l’état où il avait aimé la trouver en entrant ».
Pierre Desproges selon Bloom-Bloom, dit le Marquis de Mes Deux
Franco a laissé l’Espagne dans les mains de Juan Carlos et celles d’Adolfo Suárez, nommé ministre de l’idéologie franquiste (el Movimiento Nacional), un soi-disant pur franquiste qui a pris possession de son ministère habillé avec la chemise bleue des « falangistas » (les fascistes qui ont aidé Franco a gagner la guerre civile et auxquels, une fois au pouvoir « el Caudillo » a donné un coup de pied dans le cul et a relégué à des tâches décoratives pas trop visibles à l’étranger).
Et ce sont ces deux-là qui ont démantelé le franquisme en deux ans et ont transformé l’Espagne en une démocratie.
Aujourd’hui 60 % des Espagnols ne savent pas qui est Franco.
Rassurez-vous gisèle, les petites crises de chirstiane et les angoisses des chasseurs d’identités ne sont pas un moment signifiant dans la vie de la RdL.
@ C.P. acceptez mes excuses, j’ai été ahurie de constater les effets pernicieux du post que je vous avais adressé, il y a 3jours à peu près. J’aurais dû me taire; j’avais reconnu « x » par son style et sa connaissance de la litt. anglaise notamment, et italienne; je ne connais pas son identité, bien sûr et je ne la cherche pas. Par ailleurs, j’étais et je suis lasse de cette chasse aux pseudos sur la RdL; d’autant plus lasse que j’avais essuyé les propos diffamatoires de Clopine, peu de temps après avoir mis les pieds sur la RdL; j’avais disparu, illico. Nouvel essai, nouveau pseudo (inchangé depuis); et bing, affirmations péremptoires de Rose, Gisèle était un homme! j’aurais laissé tomber si DHH ne s’en était mêlée: Gisèle savait bien mentir car elle s’était laissé tromper. Pour Christiane et d’autres, je mentais, je n’existais pas! Je m’arrête. Lorsque vous avez parlé de « x » qui était l’objet de toutes les suppositions, j’ai pensé qu’allait s’engager une vraie chasse à l’x ! C’était la raison de mon post.
Je lis un blog non pour dépiauter des identités mais pour découvrir des textes, des façons de penser,différentes des miennes.Je sais un peu qui vous êtes, je vous lisais attentivement sur le blog de P.Edel, c’est tout.
Portez-vous bien, et oubliez ma maladresse,stupide. Gisèle le 4/10 à 18h30
gisele , au – revoir.
https://minicmeu.wordpress.com/2012/05/03/des-au-revoir-interminables/
Il est une page ultime de la guerre d’Algerie dont on parle peu :Celle qui raconte la trahison par le pays liberé de ceux qu’on appelait les pieds rouges ,ces militants français de la première heure, qui ,la paix signée, etaient venus participer sur place à l’essor de cette nouvelle Algerie qu’ils avaient appelée de leurs vœux, pour laquelle ils s‘etaient battus, avaient souffert et avaient pris des risques pendant la sale guerre , sur le sol algérien ou le sol français
Ils s’appelaient Henri Alleg, Andre Mandouze,’Helene Cuenat ;et aussi quelques uns de ces anonymes, qui portaient des valises ou s’employaient au sein du réseau Janson
Les bouleversements politiques aidant, Ils se ont très vite retrouvés persona non grata dans cette Algerie dont ils avaient rêvé, qu’ils avaient aidée à naître au peril de leur vie, et qui maintenant les renvoyait chez eux . Ce sort aurait sans doute été celui de Maurice Audin s‘il avait survécu à la brutalité de ses geôliers militaires
Un ouvrage bien documenté sur cette période :de Catherine Simon les années pieds-rouges .Y en a –t- il d’autres ?
Pour compenser le massacre mainetenant en action sur Arte :
Ainsi donc l’Espagne, sous la férule de Franco, aurait été un paradis de liberté et de démocratie. Une anecdote pour étayer cette allégation : un de mes condisciples à la Sorbonne alla se dépayser sur les ramblas de Barcelone. Après muchas copas, en pleine nuit, il lui vint l’idée de beugler « Franco asesino » en traversant la Plaça de Catalunya. La police l’y cueillit et l’emmena directement dans une geôle. Comme il était mineur (on est avant 1974), ses parents ont dû faire le voyage pour aller le libérer, après caution exorbitante et excuses.
Kenzo est mort.
j’i_magine que certain-e-s trouvent du plaisir à claironner « qui est qui » ;je trouve cela ridicule et ennuyeux;si la RDL devait s’appesantir sur ces considérations policières, je renoncerai à la suivre
@ Un ouvrage bien documenté sur cette période :de Catherine Simon les années pieds-rouges .Y en a –t- il d’autres ?
Drôle de branche, comme il se dit d’un moyen porté par un mémoire devant la Cour de cassation.
Bécassine, si Girardet a été, à sa manière, un acteur et un témoin des « événements d’Algérie, il n’est pas, à ma connaissance, un historien de la guerre d’Algérie.
@ jc EPARGNEZLE !!! Oui, épargnez-moi, j’en vaux la peine.
@ r. – « de quel mal parlez-vous, à propos de Fallaci ? » Du virus de l’islamophobie en Italie dont elle a justifié la déferlante à grands renforts de moulinets, sous prétexte de féminisme.
@ l’Attila des fèces. En quoi est-ce gênant ? Plutôt flatteur, non ?
@ « Certaines personnes ressentent le besoin de « réparer » les autres ». SOS-RDL…, là, je me sens un brin interpellé, Maylis DK.
Bon dimanche à méditer la trabile, Bàv (19.59).
Langoncet, a demain, ou pas.
Je n’ai plus rien à déclarer sur ce fil , au sujet inépuisable. Je laisse la place aux autres.
Deachach pose une question. De mémoire J. Andras cite des personnes dans son roman, qui pourraient correspondre à sa demande.
Bonne soirée.
Gisèle, je ne saisis pas à quoi vous faites allusion : en quoi vous ai-je diffamée, grands dieux ?
Ainsi donc l’Espagne, sous la férule de Franco, aurait été un paradis de liberté et de démocratie.
Alexia Neuhoff dit
Tiens, comme ça manquait de Cons dans le blog, Alexia, grande consommatrice de Caviar de Gauche à la louche, se sacrifie pour nous montrer qu’elle non plus ne comprend rien à rien et ne sait pas lire.
Notre Grande Spécialiste de l’Espagne sous Franco essaie d’invalider des Faits avec une anecdote qui ne fait que confirmer ce que j’ai écrit: « La censure agissait s’il y avait des allusions politiques trop claires, surtout contre Franco. »
Maintenant, je vais employer ses mêmes moyens, intellectuellement crétins, pour lui envoyer à la figure sa Connerie de Nulle en Histoire:
« Ainsi donc la France, sous la férule de De Gaulle [grand admirateur de Franco, qu’il a tenu à rencontrer – soi dit en passant], aurait été un paradis de liberté et de démocratie…
Une anecdote pour étayer cette allégation : le père d’un de mes voisins algériens est allé se promener rue Charonne le 8 février 1962. Après muchas copas, en pleine nuit, il lui vint l’idée de beugler « l’Algérie aux Algériens ». Poursuivi par la police, il essaie de se réfugier dans la bouche de la station du métro Charonne où il se trouve entre les 8 morts étouffés ou à cause de fractures du crâne. Comme il n’était pas mineur, sa famille a dû faire le voyage depuis l’Algérie pour rapatrier son cadavre. »
Bien reçu en pleine poire, Grosse Andouille?
Puisque vous êtes aussi un fondamentaliste, Janssen J-J, je comprends que vous compreniez mal la position de Fallaci. Elle a trop souligné le phénomène, d’accord, mais vous devriez sortir de l’idéologie à 2 balles qui a créé le terrain favorable aux attentats de Paris — 13 novembre 2015 —.
@et alii dit: à
hommage à Kenzo
Faites-vous allusion à La solitude de la fleur blanche de Annelise Roux ?
Kenzo World :
« El último libro de Carrère desata la polémica en Francia.
Emmanuel Carrère, la venganza de la realidad
La exesposa del escritor francés, Hélène Devynck, le acusa de engañarla a ella y a los lectores con su nueva novela, ‘Yoga’. Un contrato entre ambos obligó al creador a cambiar el manuscrito y a novelarlo. »
https://elpais.com/internacional/2020-10-03/emmanuel-carrere-la-venganza-de-la-realidad.html
La Cricri s’émeut des calomnies qu’on lui sert mais oublie très facilement celles qu’elle a servies. Elle devrait faire une pause tant elle devient insupportable.
D’ailleurs, Janssen J-J, vous oubliez ou ignorez qu’elle a aussi sévèrement critiqué les soldats américains responsables de la torture dans la prison d’Abu Ghraib.
« Tiens, comme ça manquait de Cons dans le blog, Alexia, grande consommatrice de Caviar de Gauche à la louche » etc.
« A la louche », n’exagérons pas… à la petite cuillère, et encore… les jours fastes !
quequ’un peut peut-être rappeler l’affaire du métro CHARONNE?
MERCI
Ne pas oublier le massacre de Charonne
Samedi 7 Février 2015
Le 8 février 1962, 20 000 personnes participent à Paris à une manifestation contre les attentats de l’OAS et pour la paix en Algérie. A l’issue de ce défilé pacifique, les forces de l’ordre chargent les manifestants aux abords de la station de métro Charonne (11e). Un déchaînement de violences policières qui fera neuf morts et plus de 250 blessés.
Pour ne pas oublier, la CGT, le PCF et le Comité vérité et justice Charonne, une cérémonie d’hommage aux neuf victimes du 8 février 1962 s’est déroulée ce samedi 7 février au métro Charonne.
https://www.humanite.fr/ne-pas-oublier-le-massacre-de-charonne-564933
Il y en a au moins un qui s’amuse avec tous ses pseudos et ses aventures rocambolesques… je le préférais romancier… il vieillit mal, tournant à l’aigreur…
« A la louche », n’exagérons pas… à la petite cuillère, et encore… les jours fastes !
Alexia Neuhoff dit:
Tu sens le Caviar de Gauche à des kilométrés à distance. Tes phrases puent la Connerie Infinie des moralistes de la Gauche Caviar française la plus Crétine.
Enfin, un twit pour passer de la part de la rêverie :
https://twitter.com/Daniel_Red_Eire/status/1312449271656935424/photo/1
Hommage. Bernard Arnault collectionne les Renault twingo signées Kenzo. L’art de vivre à la française
https://www.youtube.com/watch?v=sRCq1VhhSac
Passou, je quitte ce blog. Je regretterai les rares mogwaïs qui y survivaient mais trop de «Gremlins» ont envahi l’espace commentaire et ils se reproduisent à une vitesse sidérante…
Bonne suite à vous. Vous allez pouvoir passionner vos étudiants.
(Pablo75 à besoin qu’on lui déverse une casserole d’eau froide oreilles, comme on le fait avec les fox-terriers en rut.)..
Monteverdi – Laudate Pueri – I Fagiolini
https://www.youtube.com/watch?v=IIQbxZrkOnk&feature=emb_title
Il ne sait pas comment se faire remarquer, Langoncet l’Insignifiant…
De Gaulle était aussi un admirateur de Mao, mais il n’a pas pu le rencontrer.
En revanche on sait de source sûre, contrairement au caudillo, qu’il ne doit rien de sa légitimité, a hitler.
Gisèle merci infiniment pour cette mise au point nécessaire ! J’aimerais, si vous me le permettez faire de même et mettre les choses au clair afin de mettre fin à ces insinuations aussi insidieuses que perfides :
Pablo = Jazzi : probablement.
christiane = passou : sans doute
puck = Hugo Gaston : FAUX
D. = Paul Edel : certainement
passou = Mr Charoulet : VRAI
Mr Charoulet = Chaloux : VRAI
voilà !
désolé, je me suis planté dans l’ordre, je recommence :
Pablo = D. : probablement.
christiane = Jazzi : sans doute
puck = Hugo Gaston : FAUX
D. = Paul Edel : certainement
passou = chaloux : VRAI
Mr Charoulet = closer : VRAI
(La pub LVMH de renato a mis hors de lui le correcteur automatique ; du coup Pablo75 a le choix entre une casserole d’eau froide sur ou entre les oreilles. Cela dit, je crois que je deviens bigleux et que les touches du clavier de mon 5s me trahissent par leur petitesse.).
désolé d’avoir interrompu cette discussion, vous en étiez où ? Franco était-il un fan de Pink Floyd ?
oui probablement.
Sinon il n’aurait jamais laissé tourner le film More.
par contre ayant fréquenté cet endroit dans les années 70 je tiens à démentir le fait que Franco allait en boite tous les soirs pour danser sur la musique de Fleetwood Mac, ça ce sont des ragots de communistes !
pas vrai Pedro que j’ai raison ?
En revanche on sait de source sûre, contrairement au caudillo, qu’il ne doit rien de sa légitimité, a hitler.
Marie Sasseur
Putain, la culture historique de la Blatte du Blog !!
Y’en a qui gagnent des batailles médiocres à peu de frais, avec pseudos en bandoulière, zéro risque jamais.
Quand on ne se mise pas soi-même il n’est pas difficile, surtout en meute, de virer qui ne vous revient pas.
@ »En revanche on sait de source sûre, contrairement au caudillo, qu’il ne doit rien de sa légitimité, a hitler. »
qu’est-ce qu’on peut lire comme connerie sur ce blog !
Franco a conquis le pouvoir démocratiquement parce qu’il était aimé par le peuple !
tout le reste ne sont que mensonges inventés par les communistes !
Au moins tout le monde sait maintenant à quoi s’en tenir.
Pedro on seulement vous êtes un nostalgique du franquisme, mais en plus vous êtes un révisionniste ?
juste par curiosité : si vous avez au moins une qualité pour pouvez nous dire laquelle ?
@ » Pedro on seulement vous êtes un nostalgique du franquisme, mais en plus vous êtes un révisionniste ? »
Pourquoi mettre un point d’interrogation.
christiane dit: à
Passou, je quitte ce blog.
Trois options : 12, 24 ou 48 heures…
Hurkhurkhurk!
Marie Sasseur dit: Pourquoi mettre un point d’interrogation.
»
désolé Madame Je Sais Tout ! je savais déjà que Pedro c’était un néo franquiste mais je savais pas que c’était aussi un révisionniste.
L’inculture historique de la Blatte et du Pétomane fait froid dans le dos.
Si Franco, après la Deuxième guerre mondiale, a sauvé sa peau et les Espagnols n’ont pas pu se débarrasser de lui et être aidés par le Plan Marshall américain (chose que l’Espagne a payé très cher) c’est parce que Franco, prévoyant que Hitler ne pourrait pas gagner contre le reste de l’Europe, comme Napoléon l’avait fait avant lui, n’est pas entré en guerre aux côtés de l’Allemagne, l’Italie et le Japon. Hitler voulait que Franco lui permette au moins le passage par l’Espagne vers le Maroc (objet du célèbre entretien entre Franco et lui à la gare d’Hendaye en 1940) et Franco n’en a pas voulu, ce qui a rendu Hitler fou de rage.
Si notre Grosse Blatte de Blog avait un peu plus de culture historique, elle saurait que Franco doit beaucoup plus à Mussolini qu’à Hitler. Dans le « Journal » du Comte Ciano on voit très bien tout ce que les fascistes italiens ont fait pour aider Franco à gagner la Guerre Civile, contrairement à Hitler qui n’a fait qu’envoyer la légion Condor de l’aviation allemande pour détruire Guernica en 1937, plus pour tester son pouvoir de destruction que pour aider Franco, d’ailleurs.
@mais je savais pas que c’était aussi un révisionniste.
maintenant, tu sais.
Chaloux dit: à
christiane dit: à
Passou, je quitte ce blog.
Trois options : 12, 24 ou 48 heures…
Hurkhurkhurk!
»
chaloux vous aussi vous poussez à fond pour exclure les gens, faire le grand nettoyage sur le blogapassou.
c’est pour ça que vous êtes pote avec Pedro ?
le gang des néo franquistes.
Marie Sasseur dit: à
@mais je savais pas que c’était aussi un révisionniste.
maintenant, tu sais.
»
désolé si je le découvre à peine maintenant madame je sais tout avant les autres !
remarquez je m’en doutais quand même un peu.
vous croyez que c’est pour ça que Phil il a Pedro à la bonne ?
@vous croyez que c’est pour ça que Phil il a Pedro à la bonne ?
La bonne espagnole ?
Peut-être.
Sasseur !!!! la prochaine fois prévenez-moi à l’avance que je perde pas mon temps inutilement à discuter de Karajan et Wagner avec un révisionniste !
« Franco doit beaucoup plus à Mussolini qu’à Hitler. »
ouf ça me rassure.
Qu’un Pétomane Communiste depuis toujours, qui a passé sa vie a justifier les crimes de Staline l’Antisémite, qui a milité dans un parti qui a causé la mort de 100 millions d’innocents, ose parler d’histoire, de nostalgie, de révisionnisme, laisse rêveur… Comment comprendre que l’idole absolu du Pétomane soit toujours Staline, un type qui a tué plus de communistes que Hitler?
Et c’est cet admirateur éperdu de l’un de plus grands criminels de l’histoire du XXe siècle qui vient ici donner des leçons de morale !!!!
Quel Ordure, ce Maurice Desborels !! Quelle épave spirituelle !!
« Nouvel essai, nouveau pseudo (inchangé depuis); et bing, affirmations péremptoires de Rose, »
Seconde explication, la dernière, après je pars (non, je blague) : ici, nous avons un multi pseudos. Très attachant, très irritant.
Je vous ai prise vous, x et même cneff paysages pour lui.
Voilà.
C’est fini.
Désormais j’évite tout le péremptoire et la vistoire.
Un homme peut se prendre pour une fille et une fille pour un homme si ça leur chante.
Mais je suis plutôt d’accord avec Aram.
Trouve la député européenne transgenre horrible.
Et quitte à un animal, un gorille ce serait bien. On fera profil bas.
Bisous
Que personne ne quitte le navire, x, christiane, gisèle et les autres.
J’arrête le vistemboire aussi.
« (…) Hitler qui n’a fait qu’envoyer la légion Condor de l’aviation allemande pour détruire Guernica en 1937, plus pour tester son pouvoir de destruction que pour aider Franco »
ah le goujat ! en plus Franco s’était vigoureusement opposé à ce bombardement !
Guernica c’est la faute à Hitler ! Franco n’y était absolument pour rien !
Pedro c’est ça que les gamins espagnols apprennent à l’école ?
La Blatte Nazie et le Pétomane Stalinien, main dans la main.
Comme pendant le Pacte germano-soviétique…
Pétomane, parle-nous de l’histoire de l’Union Soviétique que tu connais bien mieux que celle de l’Espagne, toi l’admirateur des crimes antisémites de Staline…
Y a pire que nous ; les mecs qui loupent leur stage 😒🙄
« Après la mort d’un participant, les stages de survie en pleine remise en cause ».
@ « A suivre Benjamin Stora (Constantine, 1950), on comprend bien que tout ce qu’il entreprend désormais invite à dépasser la guerre d’Algérie, à considérer ce pays comme un partenaire indispensable de la France sur le plan géopolitique. »
Géopolitique? Grands dieux, mais la momie est donc morte ?
Y’en a surtout qui ont compris que la guerre est finie depuis presque 60 ans, malgré tous les efforts déployés pour la maintenir, dans l’esprit des moins fufutes.
Back to Constantine : accord entre la France et l’Algérie.
« Selon ce que le ministère a déclaré ; dans le document rendu public aujourd’hui, dimanche, cet accord permettra la mise en place de cinq ateliers de fabrication numérique au sein des écoles polytechniques d’Alger ; d’Oran et de Constantine ; ainsi qu’au niveau de l’École supérieure d’Informatique d’Alger ; et de l’École de Biotechnologie de Constantine. ».
https://www.dzairdaily.com/enseignement-superieur-algerie-signe-accord-avec-france/
Cette ordure de franquiste réfugié à paris aurait été un parfait collabo, pour les nazis. D’ailleurs il milite pour des sectes ésotériques new age , le genre très en vogue chez les nazis.
Et ça je pense que tu ne le savais pas non plus.
Apprends, Gros Connard Stalinien, qu’encore aujourd’hui on discute sur les causes du bombardement de Guernica. Si tu es capable, lis le chapitre « Motivaciones de la incursión » dans le long texte dédié à ce fait sur Wikipédia.
https://es.wikipedia.org/wiki/Bombardeo_de_Guernica
Il faut être vraiment un Con de Naissance Absolu pour croire, à presque 80 ans, que l’Histoire s’est déroulée comme les Manuels d’Histoire du Parti Communiste Français des années 50 la racontaient.
Pablo75 dit: Qu’un Pétomane Communiste depuis toujours, qui a passé sa vie a justifier les crimes de Staline l’Antisémite, qui a milité dans un parti qui a causé la mort de 100 millions d’innocents, ose parler d’histoire, de nostalgie, de révisionnisme, laisse rêveur… Comment comprendre que l’idole absolu du Pétomane soit toujours Staline, un type qui a tué plus de communistes que Hitler? »
Sasseur !!! effectivement vous aviez bien raison, ça c’est exactement la rhétorique révisionniste : accuser de stalinisme primaire celui ose s’attaquer à la mémoire de Franco.
si tu dis du mal de Franco c’est que tu es un stalinien qui défend les crimes de Staline et le goulag !
pointer une chose pour éviter d’en pointer une autre : c’est là ma foi une assez bonne rhétorique, c’est pour ça qu’elle est utilisée par la plupart des révisionnistes.
Pablo75 dit: Apprends, Gros Connard Stalinien, qu’encore aujourd’hui on discute sur les causes du bombardement de Guernica.
»
au final vous souhaiteriez arriver à quelles conclusions ? allez-y dites-nous le fond de votre pensée.
Ce soir j’ai mangé du thon en boîte.
Tu vois une fois que cette ordure de franquiste est démasquée, il a la courante, comme son ami.
Demande lui quels symboles ésotériques il collectionne. A mon a avis il doit avoir des trucs qui ressemblent à des croix, avec des branches tordues.
Pétomane, on connaît ta rhétorique léniniste: essayer de donner des leçons d’histoire et de morale malgré le fait d’être une Ordure Morale capable d’approuver les 100 millions de victimes innocentes du communisme.
Mais cela ne marche pas.
Tout le monde te connaît ici: tu es le Pol Pot du Blog.
après s’être occupé de l’Algérie, Stora devrait s’occuper de l’Espagne : les deux pays ont en commun d’avoir recouvert leur histoire d’une grosse chape de plomb pour éviter les sujets qui fâchent, comme ces histoires de fosses dans lesquelles étaient ensevelies les victimes du franquisme qui n’ont jamais été résolues.
Pablo75 dit: (…) Ordure Morale capable d’approuver les 100 millions de victimes innocentes du communisme.
»
Pablo, expliquez-moi votre logique = en quoi les millions de victimes du stalinisme, ou du nazisme, seraient en soi un argument pour passer sous silence les victimes du franquisme ?
Et la Blatte de Blog Nazie qui se branle tous le soirs pensant au Führer, après avoir répandu ici sa pestilence…
Il est temps de faire du nettoyage dans ce blog.
Pétomane, quand on a passé des années à applaudir aux 100 millions de victimes du communisme, ON LA FERME sur l’Histoire, la Politique et la Morale.
On ne discute pas de ces choses là quand on s’est agenouillé des milliers de fois devant des massacreurs d’innocents comme Lenine ou Staline.
Mais te demander à toi de la Décence Morale est comme demander à la Blatte de Blog de la propreté.
Pablo75 dit: il est temps de faire du nettoyage dans ce blog.
»
le « nettoyage » : Pedro faut pas trop insister sur certains mots qui ont tendance à révéler la personnalité de ceux qui les utilisent.
Je pense que j’ai fait mouche. Pour avoir droit à des invectives aussi ordurieres.
Il faut que tu creuses cette histoire d’ésotérisme. J’avais déjà indiqué ici, que ses pratiques étaient suspectes. Outre qu’il est évident que pour etre en boucle en permanence, avec des pratiques compulsives de répétition, et de décervelage, il a été » formé « .
Les franquistes et les nazis étaient très branchés sur le sujet.
Je te le laisse. Je voulais juste intervenir, pour montrer qu’il ne connait pas l’histoire de France. Même s’il maquille celle de l’Espagne. C’est fait.
Bon courage !
Pétomane, c’est quand que tu vas faire ton mea culpa pour l’admiration éperdue que tu as ressentie pendant des années envers des criminels comme Lenin et Staline, coupables d’avoir tué plus de 100 millions d’innocents?
Si tu n’as pas lu « Le Livre noir du communisme » il est temps que tu le fasses, que tu apprennes la réalité de ce que tu as adoré avec toute ta ferveur fanatique de Crétin Fini.
Je pense que…
Marie la Chiasse dit:
Décidément on aura tout vu sur ce blog: même une Blatte de Blog Nazie qui croit penser…
pablo la chiasse , pablo le nazi , pablo la blatte, pablo le petomane, pablo le pucier franquiste du blogapassou. pablo, le delinquant.
Next.
Notre Blatte de Blog Nazie qui croit penser ne fait que répéter mécaniquement ce qu’elle entend, avec l’espoir qu’on croit qu’elle est un perroquet.
Mais sa pestilence de Blatte Nazie ne trompe personne.
Peu de vocabulaire, ce delinquant, a un euro. Il est étonnant qu’il arrive à escroquer des gogos avec ses activités de madame soleil. C’est ce qui est grave: Qu’une ordure pareille puisse voler des personnes en leur racontant des conneries. En espérant que ses actes délictueux s’arrêtent là.
« Cette aura d’omniscience dont sont nimbés les individus qui abritent une vaste somme d’informations complexes ».
Herbert Lieberman (Trois heures du matin à New York).
La Vieille Blatte de Blog Nazie Qui Croit Penser radote de plus en plus. Son cerveau de nuisible à neurone unique est à bout de rouleau.
Phil, le phénomène s’expliquerait par le fait que si les sociétés réactionnaires ne sont pas très bandantes, elles ne peuvent cependant pas censurer l’érection. Alors, les anglaises vraisemblablement moins enfermées par les principes d’une mentalité entretenue par une Église catholique soutenue et active venaient à la rencontre des estivants ou autochtones branchés sur la même longueur d’onde. C’est une ambiance très poubelles ce soir, poubelles éventrées. C’est fameux. Viva la movida, olé!
Dear B, vous oubliez le facteur climatique, sachant que « la chaleur descelle les moeurs comme les dalles », la dictature évite une complète débandade. Gute Nacht.
Lundi 5 octobre 2020, 5h54, 14°
Surtout ne nettoyez pas ce blog littéraire de prestige ! Il pousse sur ce lourd fumier bien gras, d’admirables fleurs sauvages.
Rarissimes, je vous l’accorde !…
« Que j’ai FAIT mouche… »
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