Pour saluer aussi d’autres Pauvert
« Quel est aujourd’hui l’éditeur qui fait ce job ? » se demande Paul Edel sur son blog dans la chute de son hommage à Jean-Jacques Pauvert qui vient de disparaître à 88 ans. La question, posée ès-qualités par un critique littéraire doublé d’un écrivain, vaut d’être méditée car on la retrouve un peu partout dans les nécrologies du grand-éditeur-de-Sade qui fut aussi celui d’André Hardellet (il se retrouva au tribunal pour Lourdes, lentes), Siné, Topor, Mandiargues, Breton, Bataille, Albertine Sarrazin, Brigitte Lozerec’h, Hortense Dufour et l’exhumateur de textes d’Oscar Panizza, Georges Darien, Alfred Jarry, Léon Bloy, Raymond Roussel…
Paul Edel cite à juste titre les fleurons du catalogue Pauvert, mais aussi, chose plus curieuse, La Littérature à l’estomac de Julien Gracq dont le blogueur nous dit qu’il s’est « empressé » de le publier. Or on sait que ce pamphlet, paru dans un premier temps en janvier 1950 dans la revue Empédocle, a été repris aussitôt après en un mince volume par son éditeur de toujours José Corti, ainsi que onze ans après au sein du recueil Préférences. Mais par quel miracle a-t-il pu faire également l’objet d’une édition chez Jean-Jacques Pauvert sous le même titre en 1964 ? On aimerait le savoir. Cela nous renseignerait peut-être sur les limites du style Pauvert, des méthodes qui, si elles n’enlèvent rien au courage, à l’audace, à l’indépendance du « grand décalé », autorisent à mettre un bémol sur l’admiration.
On peut comprendre que certains imprimeurs jadis acculés à la faillite ou au dépôt de bilan par ceux des éditions Pauvert aient conservé un souvenir plus contrasté du « non-conformiste de l’édition ». Certains auteurs ou ayant-droits également marqués par sa désinvolture. Car c’est aussi cela un éditeur, et pas seulement celui qui laisse un beau catalogue. Ou des Mémoires. Ceux de Jean-Jacques Pauvert ont laissé la trace d’un exercice d’autosatisfaction sans mélange. A croire qu’il avait inventé le métier et que celui-ci allait mourir avec lui. Il est vrai qu’il avait tout fait dans ce milieu, avec une force de conviction exaltée par son goût de la provocation, et qu’il était des rares à savoir chercher, découvrir et surtout lire, ce qui s’appelle lire, à défaut de savoir compter.
Alors, quel éditeur fait aujourd’hui le « job » ? La plupart, tout simplement. En assumant les risques, lesquels ne consistent pas nécessairement à affronter les juges de la XVIIème chambre. Certains, de moyenne ou de petite taille, le font à leur compte en province ; d’autres, un peu moins indépendants parfois, à Paris ; mais leur personnalité étant moins flamboyante que celle de Pauvert, on en parle moins voilà tout ; leur discret catalogue en témoigne, qu’il s’agisse d’auteurs contemporains, inédits et inconnus, ou d’oubliés du siècle échu qu’ils ont à cœur de rééditer, mais à bas bruit. Car contrairement à une idée reçue devenue un poncif de toute réflexion sur ce métier, répandu par le pamphlet d’André Schiffrin L’édition sans éditeurs (La Fabrique, 1999), il n’est pas exclusivement aux mains de managers analphabètes, il s’en faut. Le fait est, aussi, que les temps ont changé et qu’il faut vraiment aller la chercher pour trouver la censure. Elle concerne essentiellement la pédophilie, le négationnisme et les appels à la haine raciale, dans la presse surtout car l’écrivain, lui, peut s’abriter derrière les exigences de la fiction.
De toute façon, le mot même de « censure » perd de sa substance dès lors que l’on veut bien lire en ligne. Des livres d’Henry Miller, Léon Degrelle avaient bien été interdits dans les années 50, et même L’homme de gingembre de JP. Donleavy, la Lolita de Nabokov sous Guy Mollet. Depuis, ils sont disponibles en format de poche et dans les plus prestigieuses collections. Quant à Sade, cela fait déjà longtemps qu’il dépucèle, viole, déchire, écartèle, torture et trucide en format de poche dans les meilleures éditions critiques. Ces jours-ci encore, un volume Sade paraît dans la Pléiade (le marquis s’y divinise depuis un quart de siècle déjà) sous la direction experte de Michel Delon : Les cent vingt journées de Sodome, Justine ou les malheurs de la vertu, La philosophie dans le boudoir… Quand Sade fit son entrée dans la fameuse collection, l’éditeur lança une campagne publicitaire avec le slogan :
« L’Enfer sur papier bible ».
La formule a disparu depuis, et pour cause : elle ferait sourire. Sauf peut-être le grand critique américain Roger Shattuck, le philosophe Michel Onfray et d’autres qui estiment qu’une telle horreur n’a pas sa place sous de si prestigieux auspices. A quoi Michel Delon répond dans sa présentation :
« Nous proposions en 1990 de donner à Sade sa place dans la Bibliothèque de la Pléiade « sans banalisation ni provocation ». Il l’occupe désormais, mais ne se laisse pas facilement ranger, quelque part entre Rousseau et les sagas islandaises. C’est la fonction de la littérature de ne pas se réduire à un classement préalable, de ne jamais se reposer sur la certitude de valeurs intangibles. Sade incarne un principe d’inquiétude et de dérangement qui nous oblige à le relire et à nous demander ce que lire veut dire ».
Il fallut autrefois un Pauvert, à la suite de Maurice Heine et de Gilbert Lely, pour sortir les romans de Sade de l’enfer. Mais aujourd’hui, ce n’est pas la censure qui envoie les textes en enfer : c’est l’indifférence, l’oubli, la méconnaissance, l’inculture et surtout, l’autocensure, le fléau qui ne dit pas son nom.
(illustration Gray)
1 054 Réponses pour Pour saluer aussi d’autres Pauvert
Maintenant, si vous ne savez pas lire (ce que j’aurai tendance à croire de plus en plus, vus les innombrables contresens que vous tirez toujours de mes propos…), ce n’est pas moi qui vais commencer à vous l’apprendre. M. Court, vos boursouflures et vos leçons élitistes empêchent votre (probable) érudition de servir à quoi que ce soit, en fait. Dire que ce sont les impôts communs qui vous ont payé des études supérieures, et pour arriver à quoi ? A un individu imbu de lui-même, et qui, emporté par ses exécrations, ne sait que prendre le contrepied de la moindre opinion que j’énonce, sans jamais s’excuser quand il a tort, sans jamais dévier de ses propres oeillères, sans jamais renoncer à ses a priori. Vous savez, plus je lis vos réponses à mon endroit, plus je bénis le ciel de n’être pas vous. Quelles plates certitudes, et quel arrogance que les vôtres !
Rédigé par : Clo | le 02 octobre 2014 à 17:28 | |
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Ouah dis donc, ça chauffe dur chez Popaul ! Je me demande s’ils vont s’en remettre.
C’est pas la planche à bd la plus naze du monde?
non, je vous demande
ueda dit: 1 octobre 2014 à 14 h 42 min
‘…Tu vas quand même pas réussir à me faire réécouter AF, une fois suffit bien.
Si je me souviens bien, il dit deux choses:
– « Tous les musulmans, loin de là ne sont pas antisémites » (merci pour eux!), mais si on considère les actes et propos antisémites dans la France de 2014 (et non de 1930) la majorité d’entre eux proviennent d’idéologies au sein de la population d’origine musulmane;
– La France aujourd’hui, en gros, gagne des musulmans et perd des juifs (qui font leur aliya)
C’est bien regrettable, mais c’est factuellement vrai.
Ensuite la question, c’est: on fait quoi?’
J’ai lu le commentaire ci-dessus, et j’ai conclu que votre citation de Pinkie s’arrete apres ‘…perd des juifs (qui font leur aliya)’
Ais-je bon ? si oui, les 2 phrases qui suivent puent la fausse culitude , sinon mes esscuses mais dans ce cas-la, quel est donc le but de votre commentaire ? vous me suivez ? comment ? euh… a vrai dire, j’ai déjà donné au bureau et j’ai déjà un Bouddha dans mon jardin, merci a vous…
Taisez-vous…tain…elle est belle la liberté d’esspression…
abdelkader dit: 2 octobre 2014 à 20 h 52 min
Merci pour l’effort.
C’est presque ça!
Widergänger dit: 2 octobre 2014 à 20 h 25 min
Le vieux geek solitaire philosophe à son insu est pour la paix dans les ménages, il se cherche une compagnie féminine!
Règlement de compte chez Paul Edel entre Clopine et M.Court. Ça barde !
Le blog littéraire, table des magiciens modernes, excellent anabolisant de l’ego.
Combien de blessures narcissiques, combien de refus d’éditeurs ou de grands journaux masque cette dans du ventre ?
Marécage dit: 2 octobre 2014 à 21 h 05 min
__________
Vous avez quelqu’un en vue ? Il me faut les mensurations précises.
Une fois n’est pas coutume, mais je vais essayer de commenter sur le sujet du jour: j’avais lu le dialogue entre un prêtre et un moribond du Marquis bien avant que je ne lise l’Etranger de not’Albert… je pense avoir entendu l’échos du dialogue du marquis dans le dernier chapitre de l’Etranger dans lequel Camus avait aussi mis en scène un dialogue entre un curé et Meursault…le style est simple et épuré dans les deux cas…ah oui, avant que j’oublie : dans le discours du moribond, il y a des échos de Omar Khayyâm, a mon humble avis…surtout vers la fin, ou le moribond parle d’un Dieu qui l’a crée dans le but de se donner le plaisir de le punir…
Abdelkader, vous écrivez ça:
« dans ce cas-la, quel est donc le but de votre commentaire ? »
J’avais écrit ça, après le résumé des propos tenus par AF:
« Ensuite la question, c’est: on fait quoi? »
Mon commentaire (si c’est un commentaire) tenait en une phrase.
Cette phrase visait (mais ce n’était peut-être pas clair), après avoir avoir reconnu ces modestes faits (il y a d’autres faits), à s’arracher aux déterministes à la noix, qu’ils soient de nature « culturelle », « ethnique », « religieuse ».
Cette question signifie que le problème est de nature politique.
Elle suggérait: est-ce que le plus important n’est pas le passé récent, mais plutôt l’avenir?
Est-ce qu’il ne faut pas plutôt demander: qu’allons nous pouvoir faire ensemble pour aller au-delà des fausses solutions (en un mot, pour aller vite: le FN) et se mettre d’accord sur une ligne politique? Cette politique (est-il besoin de le dire?) se moque éperdument des questions d’origine.
Quel crétin peut croire tracer, avec son crayon gras, une ligne qui serait, par exemple, entre musulmans/ non musulmans?
Si vous pensez ça, soit vous m’insultez, soit je ne suis décidément pas clair (c’est probablement le deuxième).
Le couple de l’année : Clopine et Court !
Ouaaaahhhh!!!!!!
Ça doit être quelque chose ! C’est la greffe d’un poireau avec une courge…
Abdel, les Quatrains ce soir, n’y pensez pas !
http://www.youtube.com/watch?v=cVy7ZEGkhdI
la greffe d’un poireau avec une courge…
Et vous,qui baignez dans la soupe, vous êtes le petit rond, WGG…
Suite et fin, avec Abdelkader
Choisir quelle politique?
Je n’en sais rien.
Mais il me semble qu’au R-U (puisque vous y êtes) on pose plus nettement les alternatives devant le peuple.
J’ai suivi les débats Salmon/ Darling, et il n’existe pas d’équivalent de ça en France.
On pose publiquement la question à son adversaire:
Quel est votre but? Une fois défini votre but, quels sont les moyens que vous allez consentir à choisir pour y parvenir?
What’s your point? What’s your argument?
On se bat, mais on écoute.
On manque ici de cette no-nonsense approach.
Bon, la courge … on n’a plus de doute sur la question depuis longtemps. La malheureuse n’en rate pas une où qu’elle passe !
Pour le poireau, je ne vois pas ce qui énerve tant ML chez M.Court !
Bref, cette manie de déplacer ici des querelles qui naissent ailleurs est des plus déplacée et déplaisante .
Une question de « bonne moeurs » non acquises, probablement ..
Daaphnée, Bravo, c’est ce qu’il fallait dire au potiron (qui rit jaune…)!
On pose publiquement la question à son adversaire:
Quel est votre but? Une fois défini votre but, quels sont les moyens que vous allez consentir à choisir pour y parvenir?
What’s your point? What’s your argument?
On se bat, mais on écoute.
Mais où se passe ce débat, dans les médias, ailleurs ? L’équivalent des quelques débats organisés sur les chaines télévisées ici ?
A quoi cela tient-il que cela ne se produise pas ici ?
Et « les machins, vas-y, sors de ce corps », c’était pas la bonne époque?
A quoi cela tient-il que cela ne se produise pas ici ?
A WGG qui veut occuper ici précisément, le terrain en poireau pomme de terre!
vas-y, sors de ce corps
Gare au moment fatal où ML sortira de son potiron …
Je m’en fous qu’il ait 2 minutes ou 1 jour de retard sur moi, déjà avec ta logique d’appropriation je me fends la gueule.
ce qu’il fallait dire au potiron (qui rit jaune…)!
Mais attention, lui, il n’est pas un sans dents!
Vous êtes vous? Noël à Guernesey? bein restez y (rires)
D’ autres Pauvert?
Tchou.
Eric Losfeld.
Ce soir c’était purée.
La fameuse purée façon Dédé.
Un Pauvert pas cher…
Jarry, Alfred, Le surmâle, ed. Ramasay/Jean-Jacques Pauvert 1990, in-8 br., réédition de ce « roman moderne », suivie d’une longue étude (60 pages) inédite d’ Annie LE BRUN, -comme c’est petit un éléphant-, exemplaire du service de presse, prière d’insérer joint, envoi
20 euros, c’est donné!
( Catalogue 173 du Dilettante octobre 2014 n° 376.)
Qu’est-ce que c’est que cette histoire d’insert à tester, Bérénice ? J’ai besoin d’explication.
(je vous ai vu une fraction de secondes il y a quelques jours et vous étiez plus resplendissante que jamais; je vous avouerais que j’ai été ébloui par autant de classe et d’élégance avec ce petit air volontaire que je vous connais; je n’hésiterai pas à dire que vous êtes la plus belle femme que j’ai jamais connu – même si je ne vous connais pas assez – la plus envoutante, la plus … aaaah je souffre de ne point vous enlacer, vous couvrir de caresses et baisers. Eh ben si c’est vrai).
…
…Allo,…de de la plate=forme,…des livres,…
…
…trop, de problème, avec numericable,…système pour détruire en roulements les ancien boitiers, pour les remplacer par des plus chère, avec wi=fi,_…sans brochure explicative des modification,etc,…
…escroqueries et management,_…
…la liberté aux P.D.G., ruffiants,_…
…
…de toute façon découvert des livres sur la langues et la culture française à explorer sans internet,_…bonne chance,…aux accrocs sur se site,_…à bientôt,_…Ah,_Ah,_Ah,_Bip,_Bip,…etc,_…Go,_…
…
Demain, dans les news, cherchez des nouvelles de « ce poème long et chiant », ça sera la rdl
LE BRUN, Annie, VAGIT-PROP, ed. Ramsay/J.J. Pauvert, 1990, in-8 br., réédition 14 ans plus tard du célèbre pamphlet anti-féministes Lâchez tout suivi de 12 autres textes où l’ auteur dénonce la volonté de CENSURE, la fascination pour les régimes totalitaires, la sororité crétinisante, la mutilation de l’ imaginaire amoureux et la rage de pouvoir des militantes dits féministes, TONIQUE, éd. en partie originale(il n’est pas annoncé de grand papier.)
20 euros chez le même libraire et c’est pour Clopine!
Jean Michel Place
Robert Morel…pas que Pauvert!
J’assiste à un peu d’homéopathie si vous pouvez en parler à vos proches
D que de flatteries pour finalement constater sinistrés que le pont n’a toujours pas été reconstruit et que le Mozambique ne fait rien pour remédier à notre séparation et c’est le cœur dans l’eau que nous voyons engloutir les plus exaltants de nos sentiments, la passion s’en va diluée à des millions de mètres cube limoneux et maronnasses qui font la fertilité de ces terres et notre grand malheur larmoyant à jamais.
C’est factorisable
De André Hardellet sous le pseudonyme de Steve Masson, on peut trouver LOURDES, LENTES…éd. L’ or du temps 1969 in-8 reliure éd., coll » la bibliothèque privée », édition originale (il n’est pas annoncé de grand papier), numérotée
15 euros…
Il s’agit là bien sûr de la maison d’édition de Régine Desforges, 10 rue des Petites Ecuries que je rencontrais dans l’escalier durant les vacances de 1970 alors que je travaillais à l’étage au-dessus pour payer mes études…
Nostalgie!
L’ édition de La jeune Parque mise el ligne par Passou est plus récente.
Les deux édition, il me semble on subit la censure.
une certitude widangeur: vous n’avez aucun humour!
La commissaire est un peu engagée.
On s’en doutait un peu.
On va occuler
http://revuesshs.u-bourgogne.fr/dissidences/document.php?id=457
occuler ?
occulter
on va occulter la commissaire en allant voir l’exposition, car je vais vais y aller voir.
Sinon, je pense que le marquis aurait été de mon avis:
Carrère ne mérite pas le Goncourt.
Il est du niveau Nobel.
Vais vais.
Bonne nuit.
C’est que notre jeune docteur n’a pas les oeillères d’un pur littéraire et ne se sent pas non plus investi d’entretenir un sombre culte à la mémoire d’un auteur irrémédiablement classé au second
rayon par ses (sélectifs) glosateurs. Jeangène Vilmer présente cet atout d’être expert en droit et en
philosophie : sa double et solide formation va lui permettre d’échafauder une théorie magistrale sur les
cendres du temple qu’il aura au passage soigneusement pris soin d’incendier.
http://www.revuejibrile.com/JIBRILE/PDF/ACTUELLES/JEANGENE.pdf
merci a vous, des journees…
http://rue89.nouvelobs.com/zapnet/2014/10/02/merci-rire-255231
……………………….. dit: 2 octobre 2014 à 23 h 12 min
http://rue89.nouvelobs.com/zapnet/2014/10/02/merci-rire-25523
Rien à redire ; vous avez des remarques à formuler sur la mise en scène ?
Oh et puis merde.
Parfois je comprends Baroz.
Non j’ai rien dit. J’ai rien dit je vous dis.
Le plus drôle, c’est ceux qui voit en Court un humoriste…
Par exemple, ceux qui se plaignent de l’action des trolls tout en conduisant une action de troll… Curieux… Vraiment curieux.
« Quel crétin peut croire tracer, avec son crayon gras, une ligne qui serait, par exemple, entre musulmans/ non musulmans? » (ueda)
Mon Dieu, comme disait l’autre, mais dans ce cas le crétin qui trace grassement la ligne, c’est le religieux …
(réflexion d’un agnostique luttant contre le racisme religieux, racisme qui exclut obligatoirement l’Infidèle quelle que soit la religion)
Seul un petit nombre d’entre nous est capable de « poser le crayon » sans tracer de ligne …
La grande majorité des humains n’existent, ne sont, n’agissent ou ne réfléchissent que par la variété, la diversité des crayons gras traceurs de limite qu’ils utilisent.
Ils ne les ont pas inventé, choisi, après mûre réflexion, mais parce qu’on les leur a obligeamment proposé, fourni, imposé ou vendu…
Même Sa Sainteté le Dalaï-Lama s’habille toujours pareil. Pour être reconnu comme tel.
« Sinon, je pense que le marquis aurait été de mon avis: »
Sinon dans un ordre des choses inversé qui eut pu rendre à César ce qui appartint à César et vous situer convenablement dans un géographie littéraire bien dessinée avec rose des vents imprimée en coin de page, vous auriez pensé à produire la phrase suivante:
Sinon je pense que j’aurais été de l’avis du marquis.
Mais ne connaissons nous pas tous votre immense valeur littéraire et critique qui donne à lire ce que l’on sait et universellement reconnue pour telle.
ya des musulmans de naissance, comme des cathos etc de naissance, qui sont athées, pas croyants
Maurice la mémoire de l’eau, il est impossible de n’absolument pas croire, il reste en chacun de nous même à se voir perdu au milieu de l’océan à la merci des requins, lâché par un passeur-escroc, une infime chose qui scintille et qui s’attache à de la croyance. Jusqu’à notre dernier souffle sauf pathologie invitant au suicide, nous croyons . La vie n’est-elle pas une religion?
« La vie n’est-elle pas une religion? »
Non
C’est une réponse non argumentée. Soit on ne choisit pas mais on y croit sinon à quoi bon se reproduire?
Ne dit-on plus célébrer, n’existe-t-il plus d’hymne, de chants, la messe aura-t-elle été dite qu’il ne s’en produirait plus? De toutes façons il existe d’autres religions que les courants majoritaires avec cette dérive que l’on sait, on pourra évidemment parcourir l’historique, c’est désopilant, à la morgue il y a foule.
« sinon à quoi bon se reproduire? »
La procédure est souvent bien agréable … et les Cathares étaient vraiment des mecs et des gonzesses sinistres !
8h23 L’homme seringue? Vous y trouveriez du plaisir? Plutôt opter pour n’importe quoi qui fut? soit moins compromettant et plus divertissant.
La procédure n’est pas une affaire d’hôpital, mais de plaisir… On détaille ?
Un vit vous invite:
http://www.languefrancaise.net/bob/detail.php?id=29341
Je serais de votre avis si vous y préfériez pour ses qualités littéraires et un certain raffinement dans la luxure, le marquis mais il y a, sans conteste, de ça.
Dieu merci, on ne nous enferme plus à la Bastille pour si peu de terrain gagné en liberté.
Sade est une crapule : un inverti de la courbe du raisonnable !
Tout féministe de bon goût ne peut que plaindre sa pauvre épouse … une sainte, toute à sa soumission.
« Soit on ne choisit pas mais on y croit sinon à quoi bon se reproduire? »
Pfff
je reviens de chez Popaul ; Mcourt, en sa pédanterie super gonflée, est tout simplement ridicule, mais ça on le savait déjà.
« on ne choisit pas mais on y croit »
tout le monde n’a pas été élevé (conditonné) dans une religion quelle qu’elle soit
Quelle punaise rapporteuse cette « à l’ évidence »!
Mentalité de dénonciatrice, pouah!
Si le noble Court est pédant et ridiculement gonflé, qu’est ce que vous êtes vous, mon pauvre évidence ? … Une épave ? … un mort-vivant ?…
pfff
La vie est reproductible un peu comme pour les lithographies sous toutes ces formes à l’identique avec un mélange qui laisse encore une part au hasard, améliore-t-on la technique pour autre chose que pour préserver la vie dans la plus belle d’entre elles, bientôt il sera dans l’ordre des choses d’éliminer les embryons qui ne correspondront pas aux ambitions parentales ou à leur goûts en matière d’esthétique.
leurs
Est-ce qu’ Hamlet est dans les parages ? Il faudrait qu’il descende un peu des remparts d’ Elseneur, là, parce que j’ai pensé à lui, hier, en lisant ceci :
« Ceux-là, les acharnés, les passionnés de leur « moi », qui en veulent le complet épanouissement et qui l’obtiennent, sont les recrues-nées pour le grand renoncement. Il est bon d’avoir vécu sa vie. C’est la meilleure chose, la seule raisonnable à faire dans la vie. « C’est pour l’amour de soi que toutes choses sont chères », dit un vieux proverbe dans une des Oupanichads. Il faut le savoir, percer à jour toutes les illusions, les façades de sacrifice, d’altruisme, d’héroïsme et tutti quanti, et comprendre que même le martyr n’aime que lui-même et ne poursuit que sa satisfaction. Quand l’on a, une fois, bien vu cela, que l’on a cessé de se duper soi-même et que l’on a analysé la jouissance retirée de l’épanouissement du moi, quand on disséqué le moi lui-même et qu’on l’a vu reculer, insaisissable, et finalement s’évanouir comme un mirage, alors vois-tu, mon ami, l’idée de lutter, d’avoir de l’ambition, d’avoir quoi que ce soit paraît saugrenue ».
Il me semble que ces paroles-là, au moins, pourraient obtenir l’assentiment d’Hamlet ?
(d’autant que ce n’est pas Nietzsche qui dit cela.)
(ni Onfray.)
Et d’ailleurs, je ne dévoilerai l’auteur qu’à la condition qu’ Hamlet commente ce passage…
qu’est ce que vous êtes vous, mon pauvre évidence ? … Une épave ? … un mort-vivant ?…
Un avorton asexué, ça c’est sûr!
Dieu fasse, dans son infinie sagesse, que Clopine s’applique à elle-même la leçon de renoncement qu’elle cite…. uhuhu !
Une poule fait sa parade au dindon…
ça suffit, notre Dame Patronnesse de la pensée, beljemoï!
« Un avorton asexué, ça c’est sûr! »
Cette pov’bête a un clito de fourmi, un vit de cafard et, curiosité organique, un con gigantesque d’éléphante de cirque …
Court a ses soutiens, je doute qu’il ne se suffise, il fend la bise, se fiche du fracas et ne se pose jamais la question du ridicule lu su produit ressenti. C’est un homme fort comme il en faut au pays pour s’exposer, c’est une bête, un animal de scène cependant quelque chose dans sa tenue me gène jusqu’au déplaisir quoiqu’il puisse se passer de mon suffrage, sûrement Est-ce que cela s’attarde à la texture et quoiqu’il ne cache pas l’étiquette qui dit tout des composants et du pays de fabrication.
JC ne fait certe pas dans la dentelle, mais voir un tel éléphant danser…
Excellente, la réponse de M.Court à la bergère sue le blog de P.E.
JC….. dit: 3 octobre 2014 à 5 h 57 min
Mon Dieu, comme disait l’autre, mais dans ce cas le crétin qui trace grassement la ligne, c’est le religieux …
Quoique certainement crétins, nous n’en sommes pas!
En revanche, nous traçons d’autre lignes, beaucoup plus importantes, tracées à la pointe sèche.
Certaines sont structurales et propres à toute communauté politique: citoyens/ non-citoyens (certains étourdis croient possible son effacement).
D’autres sont décidées en fonction (non d’appartenances héritées mais) de choix collectifs: elles concerne en particulier la distinction ami/ennemi.
Ou si ces mots (que les Européens ont pu croire effacés), adversaires et alliés.
C’est l’islamisme qui donne à l’ami/ennemi une coloration religieuse. De son point de vue, c’est parfaitement normal. Ne la reprenons jamais à notre compte!
Pour le républicain (athée, catho ou musulman d’origine) cette division se fait sur des politiques, débattues publiquement: politique migratoire, politique de défense, politique religieuse (laïcité, liberté de ne pas croire ou de changer de religion)…
Ça suppose naturellement le désir d’exister!
ça pourrait être du Stéphane Hessel, Clopine ?
Heureux du retour de Christiane !
Ou si ces mots (que les Européens ont pu croire effacés) > Ou si ces mots (que les Européens ont pu croire effacés) font peur
Ce terme d’agité(s) du bocage, dont le copyright appartient à JC, a fait des petits, Clopine !
Finalement, de la « dispute » il peut parfois sortir du bon !
La guerre Passou-Paul Edel n’aura pas lieu ?
« Ça suppose naturellement le désir d’exister! »
Ce désir, je ne l’ai jamais eu … A quoi bon ? Me sentant mal-aimé, combien de fois ai-je tendu les bras vers la Mort – très séduisante, contrairement à sa représentation classique, et craquante la Garce, rudement bien calibrée – elle m’a regardé et s’est exclamée me rejetant d’un geste léger, ironique :
« Qu’est ce que tu voudrais que je fasse de toi, mon joli boulet !? Tu fous le bordel partout où tu es ! Reste sur cette planète … »
« Tu fous le bordel partout où tu es ! »
Moi aussi, mais bien involontairement, JC !
Elle ne s’appelait pas Bernadette, ta fermière?
c’est un vrai poéme le cinéma français voyant sa campagne..son ex « ruralité »..poème souvent -trés mauvais- celui là fait à peine exeption. des univers « truqués » exactement comme dans pk dickhead ou le prisonnier (rimembeur?)
rapport trés étroit : justement j’avais exactement ce genre de conversation avec des parents et leur moutard..ils m’écoutaient d’un air incrédule, et c’est d’une trés grande conséquence « litteraire » je pense
http://rue89.nouvelobs.com/2014/10/01/comment-a-interdit-enfants-marcher-255181
tracées à la pointe sèche.
Ueda, ne serait-ce pas plutôt : gravées à la pointe sèche?
Tombé sur cette lettre de Bonaparte en 1797:
« Je vois que par vos lettres que vous partez toujours d’une fausse hypothèse: vous vous imaginez que la liberté fait faire de grandes choses à un peuple mou, superstitieux, pantalon et lâche »
Un peuple pantalon…
Un peuple pantalon…
avec étui pénien zouz..c’est spéce à ton bled..à toi la vieille ford sans roue au fond de la pature..à l’abordage en calçon
Un peuple pantalon… de sans culottes !
à toi la vieille ford sans roue au fond de la pature..à l’abordage en calçon
Calçon ou pas, j’allais à l’école à pied.
Il fallait traverser un territoire ennemi, mais racontes pas ta vie.
« Mais aujourd’hui, ce n’est pas la censure qui envoie les textes en enfer : c’est l’indifférence, l’oubli, la méconnaissance, l’inculture et surtout, l’autocensure, le fléau qui ne dit pas son nom. »
Le fléau qui ne dit pas son nom, c’est que les écrivains ne marchent plus, le boug ? Dis-le à tes parents d’élèves !
Ce post ne semble pas refléter le style de la signataire:
christiane dit: 3 octobre 2014 à 9 h 39 min
Excellente, la réponse de M.Court à la bergère sue le blog de P.E.
mais racontes pas ta vie.
..si ya des saignements de nez et du cul t’es obligé
« Il fallait traverser un territoire ennemi, mais racontes pas ta vie. »
Le gay Marais, ueda et sans culotte ?!
D’accord avec vous, Ueda. Christiane n’écrit pas comme cela ; l’auteur est juste un troll, qui passe en piquant un pseudo, à sa bonne habitude.
ueda, Napoléon connaissait la commedia dell’arte et ses fameuses pantalonnades.
« Le personnage de Pantalon est citoyen de Venise, son nom même marque son appartenance vénitienne. On a fait en effet dériver Pantalon de « Pianta Leone », plante le lion, en référence aux Vénitiens qui voulaient conquérir de nouvelles terres pour la république de Venise, terres où ils plantaient le drapeau de Saint-Marc orné d’un lion, emblème de Venise. Mais on attribue aussi le modèle du personnage à l’ancien patron de Venise, Pantéleimon de Nicomédie, Saint Pantaléon auquel Venise consacre une église. »
(Wiki)
les enfants baroz..la technique les a confiné c’est vrai..du coup on peut leur « servir » un monde..si voler une ds a 18 ballet pouvait te valoir une sacrée raclée « comme tous les vauriens »..bien plus tard ça dvient des souvnirs d’empreint..de la poésie frelatée
Christiane aime beaucoup monsieur Court, qui la fait toujours rire !
Napoléon connaissait la commedia dell’arte
c’est pas napo qui connaissait la comédiadélart baroz..c’étoiye la télé de l’époque..et ça prouve qu’il faut dabord énormément mépriser pour percer sous bonaparte
La première chose que fait l’enfant dès qu’il peut marcher, c’est fuir ses parents à la découverte du vaste monde. Tandis que eux songent déjà à le tenir en laisse, pour le protéger bien sûr !
bouguereau dit: 3 octobre 2014 à 10 h 26 min
..si ya des saignements de nez et du cul t’es obligé
La guerre anti-coloniale vécue par les enfants.
Je devais soigneusement éviter les Bigeard et Lagaillarde en culottes courtes.
La politique, je n’y comprenais rien, c’était comme une guerre entre ethnies.
Les armes étaient des lances pierres redoutables et des carabines à plomb, ah oui ça saignait, nom de dieu…
Tu ne veux quand même pas que je te raconte l’histoire d’une Bernadette posant sa main sur mon genoux?
« il faut dabord énormément mépriser pour percer sous bonaparte »
Il n’a pas hésité à les envoyer à la conquête du vaste monde ses pantalons grognards !
On prépare les mouchoirs, ueda, raconte !
Bernadette, Jacques, était prof de piano.
Ses seins contre mon dos, ses mains sur les miennes au clavier, son souffle dans le cou.
Ma foi, tout est déjà dans cette vignette…
tu zappes le sentimental zouz ..ça regarde pas le populo..mais le docteur mandarin dans sa cabane doit faire sa conférence de presse..et dire si la malade se meurt
Il n’a pas hésité à les envoyer à la conquête du vaste monde ses pantalons grognards !
c’est ça..il a eu le courage de risquer leur vie..il pleurait comme un veau avant chaque bataille.. »pour les morts bouhouhou.. demain »..l’histoire dit qu’un grognard le consolait
Autant du côté du pouvoir incompétent en place que dans le camp des opposants, impuissants à venir… quelle pantalonnade post naboléonienne !
Sarkozy l’andouille de Neuilly ! Juppé l’eau tiède en filet insipide ! Voila nos Patrocle et Achille promettant la lune, en chaises roulantes rouillées : plus flétris, plus vieux, plus dépassés… tu meurs.
Pantalon, piège à cons !
Quel blog littéraire libéral que la RdL.
Chacun peut y aller d’un chapitre.
« Mes érections ».
« l’histoire dit qu’un grognard le consolait »
Il lui offrait sa petite mort ?
« Ses seins contre mon dos, ses mains sur les miennes au clavier, son souffle dans le cou. » (ueda)
Je la connais ! C’est la prof à Chaloux … Musicalement irréprochable, sexuellement décidée.
Oui, mais Jeanne d’Arc veille, JC, avec ou sans pantalon !
C’est pour ça que vous jouez comme un pied, ueda ?
Avant le repos du guerrier, ueda, on veut l’évocation de ses batailles !
plus flétris, plus vieux, plus dépassés… tu meurs.
justement ils ont tous le courage de te faire claquer jicé..c’est tous des bonapartes et t’es rien qu’un récalcitrant..jicé au pilori! ‘ne veut pas mourir pour la france’
Quel blog de monomanes!
ueda dit: « 3 octobre 2014 à 10 h 51 min
Quel blog littéraire libéral que la RdL. » et on oeut ajouter, en cadeau, la fierté féministe si compacte de Clopine.
on ne naît pas compacte on le devient polo
dans la chamaillerie Clopine/MCourt, on peut être pour l’une (comme moi) ou pour l’autre, soit, mais reconnaissons que Clopine a écrit un livre et possède un blog alors qu’on cherche vainement des écrits du p’tit Court à part ses interventions fielleuses et toujours pédantes… ah si Clopine avait une particule…
En complément au commentaire de Paul Edel de 11:01, rappelons que la compacité de Clopine n’est en aucun cas comparable à celle d’une naine blanche…
En astrophysique, la structure interne d’une naine blanche est déterminée par l’équilibre entre la gravité et les forces de pression produite par un phénomène de mécanique quantique appelé …. « pression de dégénérescence ».
Un mot banni du référentiel clopinien !
Popaul ne se mouille pas mais on sent bien qu’il a une préférence pour Clopine et on le comprend
…et JC éructe des conneries, ça ne change pas ni ne le grandit, quelle truffe !
A l’évidence,
-vous patinez dans la semoule d’un couscous vieilli ! Ecrire un livre, tout le monde l’a fait ici !… Banal.
-en quoi un radotage sur ce con de Marcel Proust est-il un acte sain ?… Révulsant.
à l’évidence il l’est : con.
on attend fébrilement les titres de livres de JC, allez mon gars, on t’attend vieux bigorneau
regarder les choses en face : regarde-toi dans la glace : personne
Sur cette scène de comédie, JC, le personnage « à l’évidence » n’est pas un Pantaleone, il fait plutôt partie de l’intrigue secondaire assignée aux valets et aux soubrettes.
Il en faut, il en faut.
« à l’évidence », vous vous trompez, mais ce n’est pas bien grave. Je crois Paul plutôt agacé de l’algarade Court/votre servante sur son blog, parce que ça risque d’éveiller l’appétit des trolls donc du boulot supplémentaire pour le modérateur… Sans compter l’image déplorable de tirailleries de cour(t) (hihi) de récréation. C’est pourquoi, même n’ayant pas vraiment voulu cela, je lui présente des excuses.
J’estime que c’est une force de savoir demander pardon. On n’arrête pas, sur cette terre, d’écraser les pieds d’autrui : même si je partage avec tous cette propension à piétiner, il me semble plus élégant de le reconnaître de bonne grâce.
Mais je crois que, pour la plupart, l’excuse est comme l’aveu d’une faute, d’un manque, d’une erreur. Ce qui est très désagréable à reconnaître pour les « infaillibles », qui sont légion (regret de ne pouvoir être pape ?)
En tout cas, bien sûr, je pourrais demander à Paul de reconnaître que le procès de Court s’appuie sur un prédicat de la plus mauvaise foi possible, mais pour de vrai je le remercie de ne pas perdre son temps à ces pénibles vétilles. Pénibles, certes, mais vétilles, certainement.
Et puis, oui, j’ai plein de qualificatifs qui peuvent s’accoler à mon nom. Féministe et libertaire, écolo et « de gauche », verte dehors et rouge dedans, avec un petit drapeau noir qui s’agite, planté par là-dessus. Mais aussi dans le doute et la curiosité, je me les accorde aussi ces deux-là, tenez.
Clopine a écrit un livre
ahahahahah!
J’estime que c’est une force de savoir demander pardon.
Clopine
t’arrrive tro avec ton gros ventre épitépouff
la fierté féministe si compacte de Clopine.
Compacte, tu l’as dit! Le boulet!
à uedada : je vous retourne le compliment, avec un doigt d’honneur haut levé
JC a écrit DES livres
ahahahahahahahahahah !
verte dehors et rouge dedans
Clopine est comme les radis radsoc, à peu de chose près!
( Blanc en dessous, rouge au-dessus et près de l’ assiette au beurre.)
Clopine Trouillefou dit: 3 octobre 2014 à 11 h 33 min
Sans compter l’image déplorable de tirailleries de cour(t) (hihi) de récréation.
Mais c’est une cour de récréation.
Pas une cour de justice, ni un amphithéâtre.
Chacun joue son rôle comme il l’entend.
« A l’évidence » a choisi jusqu’à présent le contrepoint ancillaire, il ne tient qu’à lui d’en changer!
PS qui n’a rien à voir.
Je crois avoir écouté Onfray une dizaine de fois.
« À l’évidence » y était employé plus que de coutume.
C’est un garçon qui traverse ses rivières, la pantaleone relevé, en sautant d’évidences en évidences.
c’est uedada qui va nous communiquer (niquer) les titres des livres écrits par son pote JC, youpi
mais ta gueule…raclure
à la vôtre, roulure
( Blanc en dessous, rouge au-dessus et près de l’ assiette au beurre.)
dernier radis en normandie
je lui présente des excuses.
J’estime que c’est une force de savoir demander pardon.
vdqs aussi sec.. »jestime »..sous contention par dessous, ça boudine
radis de Normandie, t’as rien de mieux, andouille
« Chacun joue son rôle comme il l’entend. »
Tout à fait, ueda. Déjà, dans la cour de récréation, le petit Court jouait à la cour de Justice ! Une vocation prématurée ?
Sans compter l’image déplorable de tirailleries de cour(t) (hihi) de récréation.
Clopine
Tu pètes é plus haut que ton cul clochonne épiténouille
Blanc en dessous, rouge au-dessus et près de l’ assiette au beurre.
agrémenté de fayots nom de d’là!
« agrémenté de fayots nom de d’là! »,
Pour naître couvert de sauce tomate !.
Le drapeau noir de Clopine est-il un signe de deuil ?
Aujourd’hui j’men va cuisiner des radis roses, excellent avec du sel du Jura. Avec les radis, je dégusterai un vin de framboises trempé dans de la vodka hors d’âge.
Au contraire de mon pigmanion, JC, je ne suis pas macho, j’attends la femme de ma vie. Je vais avoir 55 ans, il est temps que je devienne père. Bérénice, voulez vous de moi ? Annette de la ligne 7, ne veut plus de moi, elle aime les dieux du stade. Je suis Dieu, un dieu implanté. Pour rendre mon ventre plus intéressant, je vais doubler mes tablettes de chocolats et mes canettes de bière-vodka.
Mimi, où es-tu ? Ton génie me manque, sans toi le monde est vide.
Dis, coco, t’es en train de faire ton Alya ?
à Rôôô bougue-rototo , tu peux pas toi péter plus haut que ton cul pasque t’as rien dans le falzar épitétartignaule
tu peux pas toi péter plus haut que ton cul pasque t’as rien dans le falzar épitétartignaule
chouine tro pas t’as ta place sul’podium!
Je vais avoir 55 ans, il est temps que je devienne père.
un père vieux, ça sert à rien.
Clopine, soyez forte, demandez moi pardon.
Vous vous êtes en effet permis de dresser de moi un portrait très peu flatteur. Vous devez vous excuser à présent.
@bouguereau dit: 3 octobre 2014 à 10 h 05 min
« Elle ne s’appelait pas Bernadette, ta fermière? »
La légende dorée ? Je choisirai plutôt celle qui troqua ses blancs moutons pour une armure de guerrière afin de bouter l’ennemi hors de son chemin ! Elle a la niaque et j’aime ça !
@Jacques Barozzi dit: 3 octobre 2014 à 10 h 34 min
« Christiane aime beaucoup monsieur Court, qui la fait toujours rire ! »
Exact ! Sur ce, je retourne à Grignan, loin de la nef…
CONCOURS DU HARICOT MUSICIEN dit: 3 octobre 2014 à 12 h 26 min
on dit plutôt :
« venter plus haut que son moulin »…
A l’évidence a pris Chaloux pour maître, c’est vous dire s’il est con.
Il paraît qu’il y a eu de nombreuses usurpations de pseudo hier, mais jamais personne n’usurpe le mien. Je suis vexé.
Peut-être parce que mon pseudo ressemble trop au surnom de Chaloux ?
Attention, Christiane, c’est à Grignan qu’a fini la divine marquise !
Je vois qu’on me lit jusqu’à Berlin, c’est bien, ML pourrait me traduire en germain !
« C’est pourquoi, même n’ayant pas vraiment voulu cela, je lui présente des excuses. »
Au poil, Clopine : tu me présentes tes excuses dodues, je les enfile avec ma vétille roide !
La première version m’avait déjà interpellé.
à l’évidence dit: 3 octobre 2014 à 11 h 42 min
« JC a écrit DES livres »
Sept, très exactement, ma douce, dont voici les titres :
Livre I : « Tu l’as voulu ! » Une réflexion sur le fatum en milieu érotique …
Livre II : « Salve, mentula ! » Digression sur l’importance de la copulation religieusement pratiquée
Livre III : « Encore ! » La notion de désir insatiable dans un système social fermé
Livre IV : « Aboule, Mémé ! » Les implications sociales, culturelles et financières d’une carrière de gigolo universitaire
Livre V : « Pas là… ! » La découverte de territoires inconnus par une bonne sœur lesbienne, mais propre
Livre VI : « Le salut par les salopes » une confession bouleversante d’un humanitaire mystique au Vatican
Livre VII : « A l’évidence, il est con » Un rapport circonstancié sur des pratiques sado-maso-pauvertienne en République des Livres…
« Aboule, Mémé ! » je l’ai lu, tu faisais très bien le con-com-bre, JC !
http://www.marmiton.org/recettes/recette_taboule-de-meme_25736.aspx
@Jacques Barozzi dit: 3 octobre 2014 à 13 h 03 min
Oui, j’y ai du temps pour écrire et pour lire.
A propos d’une récente entrée en lice sur un blog proche et de certaines questions restées sans réponse, vous pourriez creuser l’image de Janus… (l’art de châtier et de caresser pour une même… plume ! (fin des indices). Je redeviens carpe (centenaire à en croire certaine).
» Bernadette, Jacques, était prof de piano. »
ça se voit et s’entend..! Autant d’harmonie en une seule personne c’est rarissime!
(On comprend jacques chi ! il connaît son bonheur!)
(Ueda) « Tu ne veux quand même pas que je te raconte l’histoire d’une Bernadette posant sa main sur mon genoux? »
daaphnée s’appellait déjà Bernadette ?
Je m’adresse à Widergänger: vous allez me ficher le camp de ce blog fissa, je ne veux plus lire un seul message signé par vous pendant les 6 prochains mois. Vous allez vous cloîtrer dans votre chambre et noircir le papier jusqu’à sentir l’arthrose de vos doigts. Vous allez bosser sans relâche et finir ce putain de roman/récit dont vous avez balancé ici les premiers chapitres.
J’ai envie de connaître la suite.
Allez hop, au boulot!
Rappelez-vous: plus un commentaire. Si vous avez besoin d’un coach en développement perso (pour acquérir une éthique de travail et cesser de vous polluer la vie sur ce blog), hamlet se chargera des démarches.
Deneb dit: 3 octobre 2014 à 12 h 17 min
Le drapeau noir
Houi mais anarchiste c’est sans rien du tout ! Même pas de drapeau… Ni de cabestan…
Janus
c’est pas Janus c’est comme qui dirait vouloir faire une révérence avec un doigt dans les crottes du nez
Sergio dit: 3 octobre 2014 à 14 h 07 min
Houi mais anarchiste c’est sans rien du tout !
Et surtout pas d’oreillettes, sinon c’est foutu!
ueda dit: 3 octobre 2014 à 14 h 21 min
Sergio dit: 3 octobre 2014 à 14 h 07 min
Et surtout pas d’oreillettes, sinon c’est foutu!
C’est vrai, c’est vrai… Mais c’était romantique ! Abject mais romantique… Tiens on devrait écrire des Bienveillantes de ce côté-là !
christiane évoque Janus… j’ai eu peur qu’elle oublie de mettre le J devant
Il y a certainement eu un clash sévère entre christiane et Popaul où elle est absente depuis longtemps et qu’elle fait son « retour » ici, sur la nef fous
T’as jamais entendu parler des deux fesses de Janus, tête de bite de Sam Harkande ?
A l’évidence a pris Chaloux pour maître, c’est vous dire s’il est con.
2 belles raclures de chiotte de merde
bougue-rototo réveillé ressort ses arguments de première bourre, remonte ton falzar, guignol édenté
fesses et bite, autres arguments, ceux habituels de Barozizi
et ça continue, le vieux débris est cuit cuit cuit, à bout de souffle, pffft, trouve autre chose, un petit effort, si tu peux
sacrées rythmiques, ici ! je viens de me muscler les bajoues – et prendre qq rides supplémentaires – ambiance phé-no-mé-na-le ! ça tire de tout côté, sans être baclé – ça pourrait faire l’objet d’un « truc » – quoi exactement, je n’en sais rien – pas du théâtre, ni comédie musicale – un nouveau truc, kwoâ, à imaginer, à créer, à représenter, qui changerait une toute autre approche des rapports humains, non ?
(le fou-rire ultime : JC….. dit: 3 octobre 2014 à 13 h 37 min : 7 livres (probablement réuni en un coffret ?)(extrapolons … plus réjouissif que … non, rien …
à bougue-rototo, vieux débris qui sent la pisse : définition du verbe rabâcher : répéter sans cesse d’une manière inutile ou fastidieuse… t’as compris ?
Avec les liens, ici, c’est la 3D, ça alors !
greubou c’est qui keupu ?
puck ne demande rien à greubou !
ne demande rien à personne, tu dois trouver les réponses toi-même.
oui hamlet, je comprends bien, pour trouver ces réponses me faut-il suivre la voie de la raison ou bien celle de mon coeur ?
mon pauvre puck, tu es tellement pathétique que c’en est touchant.
la voie de la raison et la voix du coeur, car s’il faut suivre la première il faut savoir entendre la seconde.
hammy voilà à présent que tu me fais un faux procès, je n’ai jamais voulu rire de ces choses.
qui te crois-tu pour prétendre savoir de quelles choses il nous faut rire ?
Pas centenaire, Christiane, mais à vue de nez, vous avez passé la soixantaine. Ce me pend d’ailleurs aussi (au même nez, s’entend). Je ne vous savais pas coquette ?
ham, se t’énerve pas ! c’est la raison ! notre conscience s’épaissit comme le brouillard londonien, notre intelligence est le nom que nous donnons à cette conscience, pour maitriser, comprendre, analyser le monde et communiquer.
Puck/Hamlet, c’est un jeu de miroir ?
Hamlet, vous n’avez pas répondu à mon message de ce matin.
Le problème n’est pas l’édition, mais la diffusion. Imprimer un ours coûte quelques milliers d’euros, un ISBN guère plus, mais en coller quatorze mètres cubes à la FNAC du coin, là c’est une autre paire de manches…
communiquer ?
Clopine vous en pensez quoi de la communication philosophique, genre il faut aller vers le plaisir et fuir les souffrances .
vous savez ce qu’il disait Lichtenberg des philosophes bavards ?
il disait qu’ils étaient moins soucieux de la vérité que du tintement de leur voix.
Clopine dit: 3 octobre 2014 à 16 h 39 min
Pas centenaire, Christiane, mais à vue de nez, vous avez passé la soixantaine.
Il y a un Gary, qui doit être très connu, où l’héroïne, Cora, dans les soixante-cinq soixante-sept ans, sort en boîte avec son jeune amant, ça fait des bagarres terribles, c’est pas mal…
Hamlet, justement l’extrait du livre que je vous ai posté ce matin, et qui semble si contradictoire avec vos propos anti-hédonistes, anti-philosophiques, anti-nietszchéen et anti-onfraysien, me semblait vous correspondre : je vous voyais bien approuver ce qui peut paraître comme une pirouette, un paradoxe (« ce sont les plus acharnés à vivre pleinement leurs existences, les plus attachés à l’épanouissement de leur moi, qui sont -paradoxalement- les mieux armés pour le renoncement le plus absolu »). Et puis, une énigme : qui a bien pu écrire cela ?
Sergio, c’est bien pour cela que la vexation de Christiane me semble relever un brin de la coquetterie. Après tout, la vieillesse est un pays comme un autre, avec sa géographie et son histoire ; il convient juste, peut-être, de s’y préparer un peu mieux, de prendre quelques précautions et de ne pas trop exténuer le burnous, voilà tout.
La vieillesse m’effraie, bien sûr, à cause de son issue, mais moi qui suis à son seuil désormais, c’est avec une certaine curiosité que je m’y penche. J’ai toujours pressenti (appelons cela un pressentiment) que ma vieillesse serait sereine, comme une sorte de compensation à ma jeunesse brouillonne et solitaire.
Bien sûr, la condition à remplir est de garder suffisamment de forces physiques pour ne pas devenir prisonnier de son corps. Mais pour l’instant, bon an mal an, le mien me donne encore satisfaction. Il est vrai que je le traite mieux, depuis quelque temps, que je ne l’ai jamais fait. Dieu que j’ai pu le mépriser, l’exploiter, le réduire au silence, ou bien au contraire lui demander le maximum de ce qu’il pouvait me fournir en bien-être, plaisirs, et voluptés diverses !
L’âge rend excusable les petites maladresses de comportement qui arrivent parfois à de nobles vieillards.
Tenez, moi qui ai 92 ans, il y a trois mois et quelques jours j’ai fini ma course en rentrant à toute vitesse dans la salle du Bar des Sportifs où nous avons nos habitudes. A scooter, sans casque. Plein pot ! Rien !
Et bien malgré leurs blessures, la plupart des consommateurs renversés sur la terrasse m’ont gentiment réconforté, moi et l’étudiante suédoise qui était sur le siège arrière en train de m’éplucher la tige de jade …
La vieillesse, c’est rien : on s’habitue vite ! On s’amuse… on oublie de freiner !
En un mot comme en cent, je vous le dis comme je le pense : vous me faites tous chier.
Clopine je suis descendu voir votre question, ça vous file pas le vertige quand il y a autant de commentaires d’aller en bas et de remonter, pour descendre il suffit de se laisser glisser sur la rampe mais pour remonter Dieu que la montée est difficile, le mieux serait de se déplacer latéralement…
oui pour Nietzsche le plus important c’était lui-même.
sur ces histoires d’altruisme les moralistes français l’ont bien dit, Chamfort par exemple, je n’échangerais pas 1 aphorisme de Chamfort contre tous ceux du Gai savoir.
le problème est que Nietzsche a voulu aller en amont, d’accord les bons sentiments n’existent pas à l’état pur, c’est notre orgueil qui nous rend généreux blablabla mais encore, alors il était voir plus profond comme le fouille merde qu’il était, et là qu’est-ce qu’il a trouvé ?
il a trouvé les lois des hommes écrites contre leur véritable nature.
et dans ces lois il a trouvé la loi de toutes les lois : celles des Saintes Ecritures, il écoutait son père les rabâcher à longueur de journée.
et après il a trouvé celui qui obéissait à ces lois comme si c’est lois n’avaient été écrites par les hommes par sa propre nature : le Christ !
et là il a pété un plomb parce que ce Christ contredisait ses petites théories de fouille merde.
et là il aurait pu en prendre acte ! non ! il s’est pris pour le nouveau Christ, le nouveau Saint Paul, le nouveau Moïse.
pourquoi ?
parce que Nietzsche était jaloux ! il était rongé par la jalousie jusqu’au trognon.
relisez cet extrait Clopine et dites moi si vous ne discernez pas entre les mots sa triste jalousie ? tout son lamentable ressentiment.
dans le bestiaire des philosophes on en trouve beaucoup qui en tiennent une couche mais là, avec Nietzsche c’est le pompon !
alors, embourbé dans son ressentiment il s’est inventé des fables, des histoires de surhomme et de volonté de puissance.
par chance lui qui voulait affronté la réalité du monde cette réalité l’a rattrapé, un jour de janvier 1889, à Turin, c’était une belle journée d’hiver dans cette ville maginifique, pas de bol il est tombé sur ce type qui frappait son cheval, pas méchamment mais ce geste de pure méchanceté lui a fait entrevoir ce que pouvait être, par constraste, la pure bonté, cette bonté naturelle qu’un seul homme sur cette terre avait porté en lui, et là qu’est-ce qu’il a fait ce grand farceur de l’éternel retour ? il a été embrassé ce cheval, il l’a embrassé à en avaler sa bave, et là il s’est mis à pleurer comme un gamin de dix ans, il a pleuré toutes ses larmes, ces larmes qui venaient se mêler à celles de ce pauvre cheval, des larmes d’innocence Clopine, il a pleuré en demandant pardon à ce cheval, pas demandé pardon pour ce type qui le fouettait, non ! il a demandé pardon pour tous les crimes commis par les hommes sur cette terre depuis l’aube des temps, lui qui écrivain que les forts devaient faire périr les faibles il a demandé pardon à ce cheval Clopine !
voilà ce qui arrive quand on veut jouer les fouilles merde.
alors il faut reprendre le travail et se demander si ces lois des hommes étaient effecitvment des lois anti naturlles ou bien si elles entraient dans la nature des hommes, parce que Nietzsche s’est mis le doigt dans l’oeil jusqu’au coude : les hommes n’ont jamais appartenu à une nature autre que la leur propre.
L’homme est une monstruosité au regard de la nature, une monstruosité au regard dee l’univers, c’est la réponse que Dieu fait à Job quand ce dernier finit par se taire, où est l’homme ? où se situe-t-il dans ce monde ? certainement pas à côté des autres animaux, l’homme est seul, c’est cette solitude que n’a pas supporté ce grand nigaud de Nietzsche.
il n’y a que les débiles profonds comme les nazis et Michel Onfray pour prendre au sérieux ces fables nietzschéennes débiles.
Ce que dit Witold est sympathique. J’aimerais bien lui être agréable. Mais il ne connaît pas ma vie. Je fais ce que je peux.
Oui, Witold est sympathique, c’est vrai. Il est ce qu’on appelle un brave garçon, une sorte de JC sans casque et en tongs.
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