Pour saluer François Maspéro et…
Pour ceux qui ne le connaissaient pas, François Maspéro, qui vient de disparaître à 83 ans , était quelqu’un de pudique, discret, réservé. Du genre qui pèse chacun de ses mots avant de les employer. Des qualités manifestées tant dans son activité d’éditeur (« éditeur engagé » clament ce matin les médias, mais s’agissant de lui, c’était d’une telle évidence que cela en devenait pléonastique) que dans celle de traducteur et d’écrivain. Tout le contraire d’un bateleur de médias.
Il fut autrefois le fondateur et l’âme des éditions Maspéro, résolument engagées à gauche, et l’animateur de la légendaire librairie « La joie de lire », rue Saint-Séverin au Quartier latin. Résolument marqué à l’extrême-gauche en toute indépendance des chapelles (sa collection « Cahiers libres » lancée en 1959 était un clin d’œil complice aux « Cahiers » de Charles Péguy) même si au lendemain de 68 il se rapprocha de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) millésimes Krivine.
A ce double titre, il joua un rôle essentiel dans la vie des idées en France dans les années 60 et 70, même si les esprits étroits ont toujours du mal à imaginer qu’un éditeur et un libraire puissent avoir l’importance d’un intellectuel dans la circulation des idées. Jusqu’au jour où il passa la main. Ses engagements politiques étaient certes contestables mais leur cohérence sur la durée force le respect.
Etant ce qu’il est, François Maspéro le fit avec élégance. C’est à peine si un jour (sur ma sollicitation et dans les colonnes du journal dont je m’occupais alors), il laissa exploser sa colère dans une « tribune libre » où il s’en prenait à Alain Geismar et à tous ceux qui se flattaient d’avoir volé des livres à « La joie de lire », puisqu’il était de notoriété publique que cette librairie était l’une des rares à ne jamais porter plainte, et pour cause : cela eût été le comble pour un éditeur qui ne cessait de dénoncer la répression policière et qui, ès-qualités, avait fait l’objet de dix-sept condamnations pour avoir, notamment, défié la censure. Si bien que nombre de militants révolutionnaires y pratiquaient le chapardage à grande échelle sans état d’âme. C’est aussi de cela et des amendes suite aux condamnations que cette librairie est morte en 1976, disait en substance Maspéro dans cet article en affichant son mépris pour ces néo-bourgeois qui s’en font une gloire aujourd’hui.
Mais s’agissant de sa maison d’édition, dont il s’était éloigné en 1982, il avait toujours eu l’élégance de rester dans sa réserve quoiqu’il pensât de l’évolution des éditions de La Découverte, lesquelles avaient repris le fonds Maspéro. Il s’était toujours défendu d’exprimer la moindre critique ou le moindre jugement sur la maison quand elle passa dans le giron du groupe Wendel Investissement. Mais il y a dix ans il était sorti du retrait qu’il s’était imposé pour remettre les points sur les i. Car c’est de l’héritage des éditions Maspéro qu’il s’agissait.
Dans un article de la revue Medium (No3) sous le titre « A propos d’un héritage « structuralo-marxiste », il s’en prenait à la brochure de la Découverte « 1983/2003 vingt ans d’engagement ». Il est vrai qu’à la lire, on avait le sentiment qu’au début des années 80 les auteurs-phares de Maspéro ne produisaient plus rien, que cet effondrement était spectaculaire, qu’il s’incarnait en Althusser à la fois dans la chute des ventes de ses livres et dans le meurtre de sa femme, que les lecteurs aussi bien que les auteurs avaient pris acte de l’échec théorique du structuralo-marxisme pour aller voir ailleurs, que le tiers-mondisme de la maison était à l’image de son fondateur quelque chose de l’ordre du « franciscano-maoïsme »… N’en jetez plus !
Aussi François Maspéro prit-il sa plume pour répondre point par point. Calmement. En rappelant par exemple que ceux qui passaient pour n’avoir « plus rien produit » après 1983 s’appellaient tout de même Jacques Rancière, Pierre Macherey, Etienne Balibar, Emmanuel Terray, Alain Badiou, Dominique Lecourt, Alain Lipietz, Yves Lacoste, Pierre Vidal-Naquet, Jean-Pierre Vernant, Jean Chesneaux, Michel Wievorka entre autres, autrement dit des pointures des sciences humaines.
Le paradoxe est qu’au même moment La Découverte revendiquait haut et fort cet héritage qui constitue son fond, tout en assurant que vingt ans avant, il fallait tout reconstruire sur les ruines fumantes des éditions Maspéro. Dur de garder son identité quand elle a été historiquement forgée par un autre. Mais est-il toujours indispensable de tuer le père, surtout quand il a récupéré son nom ?
Pour comprendre l’homme que fut François Maspéro, toutes activités et toutes sensibilités confondues, il faut garder à l’esprit qu’il était resté un enfant de la guerre. Si l’état-civil et Wikipédia indiquent bien qu’il est né le 19 janvier 1932, sa vraie date de naissance était le 24 juillet 1944. Il n’avait pas 13 ans. Il a vu la Gestapo arrêter son père, le grand sinologue et résistant Henri Maspéro, lui-même fils du grand égyptologue Gaston Maspéro, et l’expédier à Buchenwald où il est mort à la veille de sa libération. Sa mère, également déportée, a survécu à Ravensbrück. Son frère est mort les armes à la main à 19 ans dans un maquis de la Libération.
Dès lors, il y eut un avant et un après. La clé de l’existence de François Maspéro, ce fut l’absence de son frère. Car on ne cesse jamais d’aimer les ombres quand elles nous sont brutalement tombées dessus à l’adolescence. La guerre l’a hanté à travers les guerres d’indépendance des anciennes colonies : Indochine, Madagascar, Maghreb… Ses proches ne s’étonnèrent de le voir démarrer sa carrière d’éditeur par un livre de Pietro Nenni sur La Guerre d’Espagne mais c’est bien entendu la guerre d’Algérie qui marqua l’acmé de son engagement.
Retiré de l’activisme éditorial, il écrivit des livres publiés par le Seuil Le Sourire du chat (1984), Le Figuier (1988), Les Passagers du Roissy-Express (1990), L’Honneur de Saint-Arnaud (1992), Le Temps des Italiens (1994), La Plage noire (1995), Les abeilles et la guêpe (2002), L’Ombre d’une photographe. Gerda Taro (2006) récits, reportages, carnets de voyages, biographie, autobiographie, traduisit des livres Luis Sepùlveda, Alvaro Mutis, Augusto Roa Bastos, Eduardo Mendoza, Carlos Ruiz Zafon, Cesar Vallejo, Arturo Perez Reverte, Francesco Biamonti, John Reed, milita pour les causes bosniaque et palestinienne.
Sur la tombe des Maspéro, le grand-père d’origine italienne avait fait graver ces deux mots : « Ma spero » (« mais j’espère »). Un patronyme qui sonne comme une devise. A lire l’émouvant témoignage de son ami Marcel-Françis Kahn, on apprend que cet homme est mort accidentellement. C’était chez lui samedi dernier, au moment même où à Buchenwald, cimetière de son père, des rescapés venus de partout dans le monde observaient une minute de silence à leur mémoire à tous.
…ET POUR SALUER GÜNTER GRASS
La guerre encore et toujours, mais différemment, avec Günter Grass, à peine plus âgé que François Maspéro, qui vient également de disparaître à 87 ans. La guerre marque aussi pour lui sa vraie date de naissance. D’abord parce que l’écrivain doit tout à sa participation au « groupe 47 », mouvement générationnel constitué notamment de Martin Walser, Heinrich Böll, Uwe Johnson, Siegfried Lenz autour de rencontres annuelles ; ils s’accordaient sur la nécessité de réinventer la littérature, sous une bannière morale et engagée, en réaction à la catastrophe dont l’Allemagne commençait à se relever. Ils discutaient théorie littéraire des ruines. Des œuvres en sortirent, ce qui n’allait pas de soi. Il y avait un passé à liquider et ils s’y employèrent afin de donner une conscience aux jeunes allemands issus de ce nouveau monde.
Günter Grass en émergea avec sa « trilogie de Dantzig » (Le Chat et la souris/Katz und Maus et Les Années de chien/Hundejahr, après Le Tambour), si rabelaisienne, burlesque et grotesque (il devait la découverte de Rabelais à Paul Celan auquel il se lia lors de son séjour à Paris) et ironique. Ce fameux Tambour (1961), on l’entendit résonner un peu partout dans le monde (et on peut parier que son prix Nobel de 1999 –« « pour avoir dépeint le visage oublié de l’Histoire dans des fables d’une gaieté noire”- doit autant au succès du livre qu’à celui du film que Volker Schlondorff sût en tirer). Par la suite, le souverain pontife de la critique littéraire allemande Marcel Reich-Ranicki, qui l’avait tant porté aux nues à ses débuts, le lâcha le jugeant de plus en plus lourd, laborieux, insupportable. Mais Grass était déjà trop installé dans le paysage littéraire international, avec ses conclaves réguliers de traducteurs accourus de partout à Lübeck, pour en être affecté autrement que dans son orgueil et son amour-propre. Régulièrement, il réagissait en électron libre à l’actualité, ce qui n’allait pas sans susciter de violentes réactions. Ainsi lors qu’il prit position contre la réunification de l’Allemagne :
Nous devrions avoir conscience, nos voisins l’ont, de la masse de souffrance que cause l’Etat unitaire, de l’étendue du malheur qu’il a apporté aux autres et à nous-mêmes (…) Auschwitz, ce lieu d’épouvante, cité comme exemple de traumatisme permanent, exclut à l’avenir un Etat unitaire allemand. Si, comme il reste à craindre, il s’impose quand même, son échec est écrit d’avance » (discours prononcé à Tutzing le 1e février 1990)
Il remit cela peu après dans Tout un monde (Ein weites Feld, 1995) dans lequel il reprochait à l’ex-RFA d’avoir pris en otage l’ex-RDA en l’amenant à l’horreur libérale, alors que lui entendait préserver son héritage socialiste, ce qui ne manqua pas de provoquer une nouvelle polémique. Cela aurait pu durer jusqu’à sa mort, quelle que fut la qualité de ses textes, malgré En crabe/Im Krebsgang, 2002, ou la pertinence de ses prises de position, tant il semblait intouchable dans son olympe de nobélisé, s’il n’avait publié ses mémoires en 2006 sous le titre Pelures d’oignon/Beim Häuten der Zwiebel, et la révélation scandaleuse de son engagement volontaire à 17 ans dans la division Frundsbergde la Waffen SS à la fin du IIIème Reich.
Tout le monde se demanda pourquoi le-grand-écrivain, conscience de la gauche depuis des décennies, avait tant tardé à le confesser car ce ne sont pas les occasions qui avaient manqué.Grass soutint que le moment était venu, maintenant et pas avant, car il attendait d’avoir à écrire quelque chose de « directement autobiographique »… Peu convaincant. Il avoua à demi-mots que cette vérité-là, il n’avait jamais pu se l’extraire des tripes avant tant elle était complexe, douloureuse, inacceptable. En fait, étant donné que, de son propre aveu, Michaël Jurgs, son biographe autorisé, n’avait jamais rien su de cette affaire, l’écrivain avait essayé de désamorcer la publication prochaine d’une enquête de journaliste, ou d’une nouvelle biographie, révélant ce passé caché. Cette anticipation d’une dénonciation annoncée parut tout à fait plausible, surtout depuis la divulgation peu avant d’un grand nombre de dossiers d’archives récupérés dans les ruines de l’Allemagne nazie, et longtemps conservés à l’abri des regards dans l’ex Union soviétique et dans les pays de l’Est, notamment l’ex RDA.
On se souvient du commentaire que fit le traducteur et essayiste Georges-Arthur Goldschmidt après la publication de Pelures d’oignon et les interviews de Günter Grass pour sa promotion. Il ne lui reprocha pas de n’avoir pas eu assez de force de caractère et de courage pour ne pas se laisser embarquer à 17 ans, mais plutôt ce qu’il appelle « son indifférenciation linguistique » :
« Il parle de cet engagement dans le style et le ton de l’époque, sans recul ; on dirait qu’il y est encore. Il s’agit chez lui d’une normalisation. Il écrit certes contre l’oubli, mais qu’est-ce donc qu’il ne faut pas oublier ? Son écriture, peut-être, même sans qu’il le veuille explicitement, fait passer le nazisme du côté des pertes et profits et tant pis pour le lecteur. »
A relire Grass, à supposer qu’on ne se lasse pas d’un style si baroque qu’il en est saturé dans l’accumulation de figures de style, l’enchevêtrement des différentes narrations, le mélange des genres, le foisonnement des citations cryptées, le télescopage des néologismes et des anachronismes, il apparaît tout autant hanté par la honte et la culpabilité, que par une volonté de réconciliation avec l’Histoire. Fort en gueule sinon grande gueule, trop attendu dans ses provocations, d’un radicalisme lassant tant il était prévisible et systématique, moraliste désormais inaudible car discrédité depuis ses aveux sur son passé, anticonformiste dont l’œuvre était couverte de prix et de récompenses, il prétendait simplement « dire ce qui doit être dit », titre d’un de ses poèmes. Il faisait alors penser à ces naïfs qui prétendent énoncer la vérité parce qu’ils disent ce qu’ils pensent.
(« François Maspéro » photo Tristan Jeanne-Vales/ Opale ; éLa joie de lire » photo D.R. ; « François Maspéro » photo Klavdije Sluban ; « Günter Grass » photos D.R.)
N.B. Correction du 16 avril : Contrairement à ce que j’avais écrit dans un premier temps, ayant mal interprété le témoignage de Marcel-Françis Kahn dans Mediapart, par allusion à une tentative de suicide ancienne, François Maspéro est mort accidentellement.
412 Réponses pour Pour saluer François Maspéro et…
On peut pas lutter…
Contre l’envie d’en rajouter ? Oui, vous verrez…
Alors, attention, petit monsieur
D. dit: 14 avril 2015 à 23 h 03 min
Elles constituent une nuisance sonore peu acceptable de nos jours.
Ha mais que nenni ! Il y en a d’électriques scandaleusement belles et qui bombent comme sérieux… Et comme on les entend pas, dans une petite rue mal éclairée, on coupe en deux vite et sans hésitation ni murmure tout ce qui fait mine de quoi que ce soit !
la vie dans les bois dit: 14 avril 2015 à 23 h 12 min
Je vous recommande néanmoins
Les blogs d’écrivains j’y avais pensé lorsque, récemment, je pouvais plus poster sur la RDL, et je suis bien vite arrivé à l’évidente conclusion que ce serait immédiatement bien trop restrictif, à moins bien sûr de rechercher un casuel excessivement typé ; donc j’ai fait demi-tour en me mordant la queue comme les castors, comme disait Dutronc…
Sergio, il va pas lâcher son style Flaubert comme ça, c’est sûr…
Bon le mieux est de ne plus en parler, Sergio.
Attention à quoi ? Au respect des adages et fables pour le bien de la multitude et pour les siècles des siècles ? Si cela vient de qui refuse de voir depuis trop longtemps, vous savez…
Comme n’importe qui dit: 14 avril 2015 à 23 h 47 min
style Flaubert
Flaubert, ou Flobert ? Il y a une nuance nuancée…
D. dit: 14 avril 2015 à 23 h 48 min
Bon le mieux est de ne plus en parler
Si ! On mettra des moteurs à pinces à linge ! De chez la voisine d’en face…
Mais oui, Sergio, attention à la couche de fond…
Bon je rentre à la base demain y a rien…
Je reçois un mail sur ma boîte : Met-trique, le fameux site de rencontres « gratuit pendant trois jours ». Tous les désespoirs sont permis.
« Bonne nuit »…
…
…un montage , un montage,!…
…
…des cartes, et des cartes, à découper,!…
…
…copier/coller,…
…
…modifier l’historique, interchanger dans le jeux de l’Oie, et modifier des tronçons par d’autres,!…
…d’une l’Oie, à l’autre, les républiques dans la marre à canards,!…
…la domestication,…des clans au beurre,!…l’entrée de l’Oie,…en parade,!…
…
…quel rôle, dans quel folklore, de part quel morphologie des groupes,…
…des us & coutumes des temps des barricades,…façons suivis identiques,!…
…
…personne, ne vas rééquilibrer la donne,…
…républiques des esclaves libres,!…
…façon » Picsous « ,!…il en reste une aux vents,!…pour les dieux, à s’en foutre,!…
…les animaux en costumes-cravates,!…
…Docteur,!…je suis à vous,!…encore,!…
…etc,!…
…jeux de tronçons de l’Oie,!…( deux virages à gauches,!…les tronçons nouveaux,!…et tout ces soldats de plombs,!…
…Oui,!…Maman, paie,!…5 Francs,!…en décalcomanies,…bien sûr,!…
…
…pose,!…vient la tété, à maman,!…etc,!…
…
Jaloux s’énerve et se rengorge. Une petite qu’on envoie distraitement rejoindre les ténèbres extérieurs d’une pichenette. Cause toujours, ma chochotte, ton insignifiance n’a d’égal que ta prétention.
(Chaloux, c’est l’avatar de Régniez, l’éditeur en fuite)
insignifiance
cette « info » n’a donc aucun intérêt et ne nécessite même pas d’invoquer les us et coutumes du spa où les rombières se jettent des masques à la figure
M OU MME dit: 14 avril 2015 à 21 h 33 min
Il avait demandé ( à l’âge de 15 ans) à être dans les sous-marins, ce qui lui a été refusé et deux ans plus tard a été mis (par ordre) dans la Waffen (letemps.ch)
Widergänger dit: 14 avril 2015 à 19 h 48 min
Widergänger dit: 14 avril 2015 à 19 h 58 min
pourquoi donc Widergänger, qui, par son courage et son génie, fait rêver des générations de jeunes, ne s’est pas encore engagé sur le terrain
la vie dans les bois dit: 14 avril 2015 à 19 h 51 min
Victor Hugo mange du rat »
Et il a été malade comme un chien !
Quel terrain ? Quel vélo ?
Si quelqu’un trouve la « pichenette » de Bloomie, qu’il la dépose rue des Morillons où je passerai la chercher, pour examen.
Je ne sais pas si c’est une impression partagée, mais survolant rapidement les envois, comme pour sacrifier à » laisser un commentaire », par exemple en dernière heure,- j’ai pas le temps de lire les autres du même tonneau- 8h26, 8h34, je me demande si cela procède d’un abrutissement feint ou réel de leurs auteurs, ou de l’usure de leur crincrin.
Rendez-nous les commentateurs de livres et littérature !
“Il avait demandé ( à l’âge de 15 ans) à être dans les sous-marins, ce qui lui a été refusé et deux ans plus tard a été mis (par ordre) dans la Waffen (letemps.ch)”
L’intellectuel français moyen apaise sa soif aux abreuvoirs du Monde… Or, depuis qu’on ne doit plus se servir d’une loupe pour lire les notes en bas de page, “le journal de référence” refile des commérages comme n’importe quel hebdo people… et pour un brin de “bruit”, il arrive à falsifier même ce qui est vrai… il y a, évidemment, un défaut de vision quelque part… soutenu par une certaine arrogance… Pourrait-on parler de complaisance excessive et injustifiée dicté par le désir immodéré de montrer une supériorité et de gagner quelques louanges ou, mieux, d’un sentiment de vanité, d’orgueil stupide, dans le but d’obtenir des éloges pour des mérites inexistants. Naturellement, les autres journaux suivent, et voilà que les affaires grossissent…
dans le but d’obtenir des éloges pour des mérites inexistants. > dans le but d’obtenir des éloges pour des mérites inexistants ?
« L’intellectuel français moyen apaise sa soif aux abreuvoirs du Monde »
il s’agit d’un précision du journal letemps.ch, entre autres nombreux autres journaux et ouvrages ( un « détail » de l’Histoire pour les esprit universels supérieurs détenteurs de la vérité, incarnations de la justice comme le Vôtre )
“il s’agit d’un précision du journal letemps.ch
Je sais, je ne pensais pas à vous mais à M OU MME…
warum dit: 15 avril 2015 à 8 h 35 min
« pourquoi donc Widergänger, qui, par son courage et son génie, fait rêver des générations de jeunes, ne s’est pas encore engagé sur le terrain »
Votre ami Widerganger s’est engagé à 15 ans dans les sous-marins de notre Armée Populaire Népalaise.
Depuis, il attend sa convocation.
« Le temps » (ch) est assez précis. Plus que la Tribune.
« Depuis, il attend sa convocation. »
on comprend mieux ses crises
Dans son dernier interview, paru dans El Pais, il réussit à dire quand même pas de banalités, notre brave Günter…!
(…) pas mal de banalités (…)
« … pas mal de banalités… »
Vue la déconcertante & décoiffante nouveauté de vos propos, le spectateur lambda se demande pourquoi donner tant d’espace à des vieux cons qui ont perdu leur temps en « faisant » une œuvre, là où quelqu’un de bien comme vous, qui n’a rien foutu de la vie, aurait tant à dire…
Et toc dans les dents le Widergänger ! Ah, mais vous allez voir, on va réussir à le mater, cet animal, avec sa Casa de Alba et son château dans le Périgord ! Non mais !
« dans El Pais, il réussit à dire quand même pas de banalités, notre brave Günter…! »
s’il avait eu l’honneur de vous connaître, Gunter G ou bien le journaliste auraient certainement dit des choses transcendantales
Votre ami Wiederganger ne s’est pas engagé à la légère dans le corps éminent des Sous-marins Népalais.
Outre une brassière de sauvetage, il exigea un duo de jeunes népalaises pas laides pour apprendre la langue népalaise, à l’aise, nuit et jour s’il le fallait.
Nous devons aux antécédents de l’ineffable la fondation de la ville d’Alba et l’inventions des vins produits dans son territoire. Dommage que, le temps aidant, une perversion du goût ait amené notre professeur vers le gros-rouge… avec les conséquences dont tout le monde a pu « faire » le constat…
quelle paix sur ce blog sans le PQ de JC
Bonjour, aujourd’hui je bascule dans les sixties, et je me fais penser à ce naïf qui prétendrait énoncer la vérité parce qu’il dirait ce qu’il pense. Et bien quoi ? J’avoue avoir aimé le baroquisme du « Turbot » de Günter Grass en son temps, mais m’être plus tard totalement in-intéressé à la polémique suscitée par Pelures d’oignon. Son heure de gloire littéraire était passée à mes yeux. Ce Grass-là vient de mourir et les nécrologistes patentés lui cherchent encore des poux dans la tête : voilà-t-il pas qu’il aurait été « peu convaincant » lorsqu’il se justifia d’avoir mis si longtemps à évoquer son passé nazi à l’âge 17 ans ! Mais pour qui se prend on pour balancer des jugements définitifs pareils, quand on approche soi-même de ses 62 balais ? Du respect, que diantre ! Il aurait mieux valu nous rappeler ce que Grass dût à Ingeborg Bachmann du « groupe de 47 » plutôt qu’à Paul Celan. Enfin, l’heure n’est plus à [pinailler]. – S’agissant de François Maspéro, nous n’avons jamais eu le loisir de [piller] sa librairie, vu que nous ne vivions pas dans ses parages et sans aucun doute parce que nous n’avons jamais appartenu à la « néo bourgeoisie » (sic). Mais surtout, parce que nous n’aurions jamais imaginé le faire, alors que ça nous aurait peut-être effleuré pour Gallimard, si nous avions été mus par ce genre d’idéologie que la propriété des bouquins c’est du vol…, on ne voit plus trop bien le rapport d’ailleurs, quant à La Découverte, il faut dire que François Gèze… La stupéfaction maspérienne est surtout venue de la lecture du sourire du chat et des Passagers du Roissy Express en son temps… Il y avait comme ce sentiment d’étrangeté qu’un révolutionnaire de salon pût relater chacune des stations du RER B, en s’aventurant pour la première fois en haute banlieue nord-est de sa capitale saint-séverinesque. J’avais éprouvé le même sentiment d’étrangeté, en débarquant de ma cambrousse, mais à part de çà, rien de commun entre nous : nos chemins n’avaient jamais convergé, ils n’allaient donc point diverger, et question génération, il avait, tel François Béranger, une bonne longueur d’avance quoi. Mais j’allais pourtant lui garder de la reconnaissance au vieux et paisible FM devenu, sa petite maison au bord de la route dans la vallée de Chevreuse était toujours bien accueillante. – Un dernier détail qui n’a rien à voir : je ne pense pas que Michel Wieviorka soit un grand intellectuel parmi l’assortiment énoncé de ceux qui auraient prétendument survécu à la mort des éditions Maspéro. Il n’en demeure pas moins étonnant et affligeant que son patronyme soit systématiquement écorché sous la plume de la RDL. Quant à pléonastique, nos érudits de l’EN ont-ils moufté ? J’en sais trop rien mais il me semblerait que pléonasmatique devrait mieux sonner, non ?
pour être plus drôle, on pourrait aligner trois croix sur neuf cases pour commencer.
Diagonal
Bien dit
…
…l’éducation des » r’êves « ,!…pour se retrouver en » peau de vache « ,!…
…raconter des sacs,…des sacs,…
…. Oui,!…mais des Hermes,!…etc,!…
…
Adresse au zozo qui usurpe mon pseudo.
Je ne vois pas pourquoi vous vous obstinez à commenter sous un pseudo qui n’est pas le vôtre. Aussi, je veux mettre gracieusement à votre disposition quelques pseudos inédits qui feront votre gloire sur ce blog:
Rouletabile
Josette
Fricotticotta
Madame De…
Le Zouave
Groslapin
L’ émasculeur
Sergent Garcia
Poulidor
El Bajador
Crapule
L’obstiné
Foutriquet
Cradamante
Le renseigné
L’érudit
Savonette
Patakess
Roudoudou
Laconique…
« dire ce qui doit être dit », le titre de l’un de ses poèmes. Est-ce le seul de G. Grass, est-ce que cette tribune écrite dans le journal Le Monde, il y a 3 ans est de cette eau ?
« Et admettons-le : je ne me tais plus,
parce que je suis las de l’hypocrisie de l’Occident ; il faut en outre espérer
que beaucoup puissent se libérer du silence,
et inviter aussi celui qui fait peser cette menace flagrante
à renoncer à la violence
qu’ils réclament pareillement
un contrôle permanent et sans entraves
du potentiel nucléaire israélien
et des installations nucléaires iraniennes
exercé par une instance internationale
et accepté par les gouvernements des deux pays.
C’est la seule manière dont nous puissions les aider
tous, Israéliens, Palestiniens,
plus encore, tous ceux qui, dans cette
région occupée par le délire
vivent côte à côte en ennemis
Et puis aussi, au bout du compte, nous aider nous-mêmes. »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/europe/article/2012/04/05/gunter-grass-ce-qui-doit-etre-dit_1681403_3214.html#HpJQ2tVWERpyOqMW.99
Ce que j’ai beaucoup aimé dans cette personal history de G. Grass, donnée au New Yorker, c’est le portrait du soldat,- insubordinate, qui avait une philosphie, une seule: « whedontdothat »- qu’en fait G. Grass peu avant d’être affecté des les waffenn SS sur le front de l’Est et de découvrir les réalités de la guerre.
Bel effort Diagonal; vous auriez pu repeindre les murs mieux que ne le faisait G. Grass dans la cantine, et insister sur cette étrangeté qui voudrait que le biographe en sache plus que le biographé pas trop aware qui souhaiterait en apprendre plus sur lui-même, qu’il ne sache déjà.
Et puis at last but non least, le dossier G.Grass ,n’est pas classé criminel, ni négationniste, contrairement aux allégations qu’on nous sert ici, venant en outre de source douteuse, sans que personne ne moufte.
sauf moi, bien sûr, et j’ai toujours ma flotte de 5 bateaux: porte-avion, croiseur, contre-torpilleur, et pédalos.
A un moment on entend des borborygmes, et ça se comprend… en gros, les gens apprécient ou pas pour des mauvaises raisons…
Le baroque, comme le maniérisme d’ailleurs, est fort mal connu, et cité à tort et à travers… disons: mauvaise information sur le produit… et quelques préjugés…
Le problème avec les banalités et les lieux communs, c’est que c’est des trucs normaux, mais que quelqu’un a dit normalement avant…
renat’orna sabbia dit: 15 avril 2015 à 15 h 02 min
Le baroque, comme le maniérisme d’ailleurs, est fort mal connu,
J’adorais les jeux de cartes allemands ; les nôtres, en comparaison, me semblaient d’une platitude… Au propre comme au figuré, du reste, c’est que de l’à-plat !
Le baroque, c’est un apogée donc… c’est encore le coup de la roche tarpéienne !
Gadda, in « La connaissance de la douleur » (pas envie de traduire): « Il grido-parola d’ordine “barocco è il G.!” potrebbe commutarsi nel più ragionevole e più pacato asserto “barocco è il mondo, e il G. ne ha percepito e ritratto la baroccaggine”.
beach kamuki
Voler des livres dans une librairie, c’est toujours voler. Condamnable, car criminel.
Lorsque notre Police attrape un filou qui a volé un livre, nous lui crevons un œil, car tout crime mérite punition. Curieusement, certains viennent, en dépit de ce châtiment, voler le Tome 2 pour connaître la fin. Nous leur crevons bien entendu leur dernier œil, mais en témoignage d’humanité, leur laissons trois jours pour achever le livre volé.
Il nous a fallu couper les deux mains à un récidiviste aveugle qui avait tenté de voler « La Lecture Braille pour les Nuls » !
Maspero n’aurait pas fait faillite au Népal.
http://www.geopolitique-geostrategie.fr/jean-bernard-pinatel/analyses/irak
il y a, évidemment, un défaut de vision quelque part…
écrire à l’encre de ses yeux c’est trop beau…
Gouvernement du Népal dit: 15 avril 2015 à 16 h 14 min
voler le Tome 2 pour connaître la fin.
Faut pas avoir fait une spé pour comprendre qu’en prenant que la dernière page… Comme ça on peut embarquer toute la collec ! Ca au moins c’est rare ça se voit pas tellement…
« Vous êtes européens à la façon suisse »
Pas vrai, ça marcherait mieux…
17h21 L’erreur deviendrait rapidement inhumaine.
@16.51, Comme tous les experts militaires, le général Pinatel se trompe dans son diagnostic à courte vue sur la politique étrangère du pays à l’égard de Bachar, quand il déclare :
« La France veut combattre Daech tout persévérant dans son erreur stratégique de vouloir aussi combattre le régime d’Assad sans tenir compte de la capacité de résistance du régime d’Assad, soutenu aujourd’hui par plus de 50% de la population syrienne ». Il se situe bien dans la problématique du « piège » tendu aux Occidentaux révélée par Luizard, mais il sous estime la capacité de la diplomatie française, -quelles que soient les déclarations martiales d’intransigeance apparentes du chef de l’Etat- évoluent à grands pas dans les négociations en sous main avec le régime syrien. Quant aux prétendues attaques chimiques, Pinatel n’en fait pas mention, comme par hasard. D’une manière générale, je pense qu’il reste bien trop éloigné du cabinet de Fabius voire de celui de Le Drian. Pas mal de points de ses analyses sont passablement biaisées par son appartenance au complexe militaro industriel qui les rendent tous un peu myopes.
En dehors ce ça, de plus en plus de gens de notre propre société, dont Pinatel, vous disent : « Je veux bien payer des impôts, mais à condition de savoir à qui l’Etat redistribue l’argent récolté, car si ce n’est pas pour moi où pour ceux qui me ressemblent, alors c’est pas la peine ! D’autres (les 1%) pensent : « je me fiche bien de savoir à combien sont payés les parachutes dorés de nos patrons du CAC 40 pourvu que mes actions de leurs entreprises me rapportent de bonnes pépètes, et tant pis si on me dit ce qu’il en résulte dans les fonds de pension ». Ainsi, l’écart se creuse et donne-t-il l’impression que la solidarité face aux injustices se fait de plus en plus malheureuse, comme dirait Dubet. S’accentue la défiance générale, et se perd irréversiblement le sens de la fraternité qui tempérait jadis les inégalités héritées et acquises. Ni Dieu dans tout ça, ni la récente Cosmologie de Michel O. ne sont hélas pas d’un grand secours. En leur absence, la transcendance ne réside que dans un imaginaire de fraternité à reconstruire ici et ailleurs, tous les jours qui nous restent. Fr. Maspéro s’était peut-être embourbé, mais il n’aurait pas pensé autrement : la providence divine ne remplacera jamais l’Etat providence à revitaliser par l’équité, quelle que soit la façon dont notre littérature un peu défaitiste du moment puisse en témoigner.
On parle de « talibanisme soft » sur le billet d’a à côté.
Qui se souvient du petit Julliard, ce lycéen plus vieux que son âge auquel on pouvait prévoir une belle carrière politique?
Inscrit en droit, il a monté les échelons par le syndicalisme étudiant, le secrétariat du parti et les cabinets ministériels.
C’est un profil de gauche exemplaire.
C’est lui qui parle aujourd’hui quand il s’agit de culture à la municipalité de Paris.
Paris!…
Admirons d’abord la phrase de ce professionnel du « culturel », la voici:
« Si le CFCM a bien une vocation de représentation du culte, il n’est pas une association cultuelle ».
Et voici le contexte:
La Ville de Paris va louer au Conseil français du culte musulman (CFCM) les locaux qu’il occupe actuellement pour un loyer symbolique de 100 euros par an, selon une délibération approuvée mardi par le Conseil de Paris. Le PRG, les Verts et le PCF se sont abstenus, l’unique conseillère de Paris PG a voté contre.
La délibération prévoit de louer au CFCM ses locaux de plus de 100m2 à l’angle de la rue de la Croix-Nivert et de la rue Lecourbe (15e arrondissement) pour un loyer annuel hors charge de 100 euros par an, soit une aide en nature de 30.683,14 euros par an. Il se verra aussi remettre gracieusement 90% de la dette constituée par les redevances qu’il n’a pas été en mesure de régler, en 2013 et en 2014. Cette aide représente un montant de 49.216 euros. EELV, le PCF et le PG se sont inquiétés de l’atteinte à «l’esprit» de la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, qui interdit que la République finance les cultes.
«Si le CFCM a bien une vocation de représentation du culte, il n’est pas une association cultuelle», a argué le Premier adjoint Bruno Julliard (PS), chargé notamment de la Culture. Le conseiller de Paris EELV Pascal Julien a pourtant pointé une «ambiguïté», alors que le site internet du CFCM permet en «un clic» d’avoir accès «à un appel à la prière», «un prêche» ou une «récitation du Coran».
Mais no dino, chez les SDF, on cause grec et latin. As tu vu le dossard du médaillé Fields dans le bungalow ?
Ueda (l’atteinte à «l’esprit» de la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, qui interdit que la République finance les cultes.)
Loi de plus en plus « atteinte » (depuis 1919 et en particulier par Pétain, puis la loi Debré etc…)
si on a atteint l’esprit de la loi, je ne sais , mais peut-être a-t-on attenté à , commis un attentat à ….
Tarn : 80 tombes dégradées dans un cimetière de Castres
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/04/15/tarn-250-tombes-degradees-dans-un-cimetiere-de-castres_4616583_3224.html#OOoAAfMcQc2mLRxV.99
C’est curieux, j’aurais préféré que Bartolone s’attaque à l’éradication de la grande pauvreté plutôt qu’au vote obligatoire. Les socialistes ont décidément abdiqué toute dignité.
Dino, plus sérieusement, dans ton 17h55, je pense qu’il faudrait affiner.
Par un rappel à la loi:
En vertu de l’article 2 de la loi du 9 décembre 1905, les associations cultuelles ne peuvent recevoir aucune subvention publique, directe ou indirecte. En effet, l’attribution d’une subvention pourrait être interprétée comme la reconnaissance officielle d’un culte, ce qui est exclu par la loi.
En revanche, les associations cultuelles peuvent disposer de ressources et de financements privés : cotisations d’adhésion ou de renouvellement d’adhésion à l’association, produits des quêtes et des collectes pour les frais du culte, rétributions pour des cérémonies et des services religieux, etc.
Néanmoins, malgré l’interdiction de subventions publiques, les associations cultuelles profitent d’aides indirectes qui ont été progressivement mises en place. Ainsi, la législation fiscale qui leur est appliquée est avantageuse. Le Code général des impôts autorise les entreprises et les particuliers à déduire de leurs bénéfices ou de leurs revenus les dons aux associations cultuelles. Les édifices du culte sont exonérés de la taxe d’habitation et de la taxe foncière sur les propriétés bâties s’ils appartiennent à une personne publique ou à une association cultuelle. Par ailleurs, l’Etat peut accorder sa garantie à des emprunts émis par des associations cultuelles pour la construction de nouveaux édifices du culte et la pratique des baux emphytéotiques consentis par une commune à une association cultuelle moyennant un loyer symbolique s’est répandue.
http://www.vie-publique.fr/politiques-publiques/etat-cultes-laicite/separation-eglises-etat/#sommaire_2
Le débat auquel tu fais référence portait semble-t-il sur le statut du CFCM.
Et t’en penses quoi ?
dino, si ton but unique était d’avoir le 06 du « petit Juillard », c’était pas la peine de venir en tenue de taliban.
Adresse-toi aux PTT ou met en route un FAQ, comme sur Arte.
…
…faite, tourner en rond, les affaires et histoires,…que vous mettez au devant,!…
…le jour et la nuit,!…
…j’en est que faire,!…
…de toutes ces élucubrations, en fantaisies, et diversions,!…à votre coeur d’élite,!…
…plus pervers tu meurt,!…Ah,!Ah,!Ah,!…
…j’en reste à mes souvenirs déjà du futur, à construire,!…
…du progrès,!…recel d’informations, pour ne pas les diffusées,!…ou contraires aux profits de gestions courant actuel,!…
…le progrès, somme toute au frigo,!…
…d’abords, du Stalag 13 cérébral en cognition et diversion des faits et profits,
…et pour bien faire, ses sacs de recels de solutions objectives,!…aux archives,!…
…Cinéma du pouvoir,!…les » os » aux chiens,!…
…etc,!…en passant,!…
profitons en pour recommander à P.Assoline et des paranos hygiène e la suspicion:
Hygiène de la suspicion
sur philomag par Latour
et ses paranos
Photo
Pipe, béret à gland…
« Voyez comme j’ai peu l’air allemand »…
Il n’en faisait pas trop, le cher GG?
Je n’ai pas lu ses derniers livres mais cet homme m’est très sympathique.
une roue de mégalo, qu’elle soit devant ou derrière passé un certains nombre d’essieux, et pour ne montrer que ce triomphe sans rien porter… je sais pas, a priori une sainte nitouche ne devrait pas mettre bas, mais enfin…
Une fémène a sauté sur Draghi. Sapré passou, heureusement que votre prestigieux blog fait dans le virtuel. Pareil pour pauledel, mais lui, il filtre…aussitôt capturée, la fémène est coulée dans la grappa.
C’est drôle, ce mot » capturée », Phil.
On peut aisément comprendre que la routine informatique ne vienne pas à bout de la vindicte de l’ectoplasme- auteur du 22h09- qui pourrit de ses obscénités le fil de commentaires, ou semble en manifester l’intention.
Non, voyez-vous, ce mot » capturée » fait écho à un conte philosophique très touchant que je viens de voir à la télé. Ce n’était pas sur Arte. L’histoire d’une capture, de son échec. Par bonheur.
http://www.bonnepioche.fr/cinema/longs-metrages/le-renard-et-l-enfant-p15.html
ou quelque chose d’approchant dit: 15 avril 2015 à 19 h 55 min
qui n’a que sa moto a faire entendre intelligiblement…
Faut quand même reconnaître qu’on a réussi le tour de force d’avoir pratiquement tout, soit de droite, soit de gauche, les intellectuels, les vins, l’habillement, le langage, la gueule de la baraque, celle des maîtresses, le cinéma, la littérature, la médecine, la bagnole, mais jamais… la moto !
On est des purs blancs de neige comme le Génie des alpages qui viennent de naître… D’authentiques cathares !
Le baroque c’est le classique en phase terminale, non ?
…
…Pure Jus,!…à faire soi-même,!…Rowenta,!…
…
…deux citrons, deux oranges, coupées en deux,!…sur le pressoir à main,!…
…
…le tout, à verser dans un petit entonnoir, sur le goulot, …d’une bouteille eau minérale,!…au 10 % sucré,!…
…
…préparer plusieurs bouteilles,!…
…parce que, çà coule de source,!…
…Non,!…dans sa baignoire,!…pour les AAA+,…des Bourses,!…
…bonne nuit,…
Giovanni Sant’Angelo dit: 15 avril 2015 à 23 h 24 min
une bouteille eau minérale
C’est pas dangereux ?
J’aurai du ajouter, Phil:
Je suis responsable de ma rose… répéta le petit prince afin de se souvenir.
Et bonne nuit.
question subsidiaire: vous avez vu l’annonce de la speakerine télérama des livres prochainement adaptés au cinéma ?
A cette heure, lire: j’aurais dû
…
…Sergio,!…23 h 31 min,!…
…
…j’ai l’impression, que j’ai tellement écrit,…que je ne me reconnaitrait, pas,!…dans l’imaginaire que vous avez de moi,!…
…
…je, trouve, trop de chose,!…par simplicité,!…comme tout le monde,!…
…
…Non,!…un bouteille d’eau minérale, est moins dangereuse, que de rêver aux dieux des profits,!…Ah,!Ah,!…
…en cas de besoin,!…des Gordon Finest Scotch,…un choix équilibré,!…pour moi,!…
…etc,!…
GSA 23H24 : je ne rate jamais une de vos interventions. Je vous laisse ce soin.
Conversations dans les volutes de fumée entre Günter et Bourdieu qui vient de s’achever sur Arte ! Comme dit notre regretté dinosaure, jamais on pourra les entendre à une heure de grande écoute.
Schade !
Parce que là, en 99, il se demande qui pourrait ouvrir encore sa gueule, dans les temps à venir, de ceux qui se revendiquent les héritiers des Lumières !
Moi, je ne vois pas trop…
http://vendangeslitteraires.overblog.com/2015/04/gunter-grass-caillou-dans-la-chaussure-allemande.html
Au dernières nouvelles pas, et elles sont plus fraîches que pas mal de trucs balancés ici…
Même pas le HIV, tu te rends compte ?
À part la puanteur de mort ça aime quoi ici ? Bon, ça tire en première, on l’aura compris, mais pour le reste…
On passe la moitié de sa vie à souffrir, puis l’autre à aimer, puis la dernière à souffrir. Ne croyez pas qu’il y a erreur de calcul, j’ai eu mon certif, et une vie à trois moitiés.
@la vie dans les bois(19 h 56)
a cela il faut ajouter la subvention permanente de l’Etat au culte catholique ,resultant du fait qu’à la suite des vicissitudes qu’a entraînéees la loi de 1905 il s’est retrouvé propprietaire de tourtes les eglises installéeees alors sur le territoire et que depuis il en assure l’entretien
Paul E., écrivain bourgeois honorablement connu des lecteurs de la RDL, a capturé une Femen isolée lundi, l’a arrosé de grappa, et en consomme les charmes hurleurs depuis trois jours et trois nuits. Que fait la police ?!
passou il autorise des biographes par collégialité on dira
Et pendant ce temps un original nous a ressorti « les gens »
Démocratie, bien précieux, sauf en rayonnages…
@DHH, 6h47,
J’ai du vérifier le sens du mot » vicissitudes » que vous employez à propos des « conséquences » de la loi de 1905.
Est-ce à dire que vous payez trop d’impôts à l’Histoire ?
J’ai retrouvé pour vous, un lien (*) donner sous le billet » Pour saluer Clémenceau » de décembre dernier.
En voilà un extrait:
« À l’expiration du délai d’un an prévu pour la constitution des associations cultuelles, les biens des établissements ecclésiastiques supprimés sont mis sous séquestre, pour être dévolus par la suite à des bureaux de bienfaisance. Les églises fabriciennes, construites entre 1802 et 1905, deviennent propriété communale par la loi du 13 avril 1908, qui modifie les titres deux et trois de la loi de séparation. »
Petite anecdote, c’est en parcourant de nouveau ce texte qu’il m’avait échappé que tout le le patrimoine de l’Eglise avait été confisqué pendant la Révolution française.
(*)http://rh19.revues.org/627#ftn43
Le jeu de trompe-couillons de Bartolone, ou comment passer d’un droit démocratique choisi à un devoir obligatoire imposé ! Compliments aux magiciens et illusionnistes de gauche, jamais à court d’idées conn.s.
quelques fautes d’inattention, DHH, vous corrigerez mes fautes.
Le lien:
http://rh19.revues.org/627#ftn43
Au hasard, pour parler d’actualité, ne manquez pas de nous faire savoir si on trouvera plus de fidèles casés à Bâle qu’à Berlin.
Je trouve que c’est une très bonne idée politique, de rendre obligatoire le premier des devoirs civiques, le vote républicain.
« si on a atteint l’esprit de la loi »
tant qu’on n’atteint pas à l’esprit saint…
« tout le patrimoine de l’Eglise avait été confisqué pendant la Révolution française. »
heureusement que les trésors immobiliers et bancaires du vatican sont intacts et prospèrent
Et c’est reparti pour un tour avec les obsessionnels du goupillon. Bon, à plus tard…
Si ‘la vie dans les bois’ dans l’affolement de son réveil sous hutte à gnomes sylvestres, ce 16 avril 2015 à 8 h 09, trouve que c’est une très bonne idée politique de rendre obligatoire le premier des devoirs civiques, le vote républicain
….
vous pouvez être certain que c’est une conn.rie majeure de l’imposer par la force !
C’est peut-être de l’ironie mais ce n’est pas amusant… c’est vrai que l’argument n’a pas à l’être, mais un certain jeu devrait être permis même s’agissant du vote… de ce pas nous nous retrouverons avec notre croyance religieuse écrite sur le passeport comme chez les barbares… avec des conséquences ennuyeuses pour ce qui portent écrit « sans »…
…. gouvernés par des nuls n’ayant jamais travaillé vraiment, on ne peut attendre d’eux qu’un diagnostic erroné de la peste, et des soins débiles : une application de make-up sur les bubons mortels ….
J’ai chaussé mes lunettes à trous d’Young, imparable.
_________________
La forêt de G. Grass était la même que celle d’ Ingebor Bachmann.
« Si les maisons sont vertes par ici, je peux encore y entrer.
Si les ponts ici sont intacts, je peux y marcher de pied ferme.
Si peine d’amour est à jamais perdue, je la perds ici de bon gré.
Si ce n’est moi, c’est quelqu’un qui vaut autant que moi.
Si un mot ici touche à mes confins, je le laisse y toucher.
Si la Bohême est encore au bord de la mer, de nouveau je crois
aux mers.
Si je crois encore à la mer, alors j’ai espoir en la terre.
Si c’est moi, c’est tout un chacun, qui est autant que moi.
Pour moi je ne veux plus rien. Je veux toucher au fond.
Au fond, c’est-à-dire en la mer, je retrouverai la Bohême.
Ayant touché le fond, je m’éveille paisiblement.
Resurgie, je connais le fond maintenant, et plus rien ne me perd.
Venez à moi, vous tous Bohémiens, navigateurs, filles des ports
et navires
jamais ancrés. Ne voulez-vous pas être Bohémiens, Illyriens,
gens de Vérone,
et vous tous Vénitiens? Jouez ces comédies qui font rire
Et qui sont à pleurer. Et trompez-vous cent fois,
ainsi que je me suis trompée et n’ai jamais surmonté les épreuves,
et pourtant je les ai surmontées, une fois ou l’autre.
Comme les surmonta la Bohême, et un beau jour
reçut la grâce d’aller à la mer, et maintenant se trouve au bord.
Ma frontière touche encore aux confins d’un autre mot et d’un autre
pays,
ma frontière touche, fût-ce si peu, toujours plus aux autres confins.
Bohémienne, vagabonde, qui n’a rien, ne garde rien,
n’ayant pour seul don, depuis la mer, la mer tant disputée,
que de voir
le pays de mon choix. »
Ingeborg Bachmann, Traduction de Françoise Rétif
Le grec sort de E.N. bientôt : mauvais. La Grèce sort de l’Europe, bientôt : excellent.
8 h 18 min
‘How the Vatican built a secret property empire using Mussolini’s millions
Papacy used offshore tax havens to create £500m international portfolio, featuring real estate in UK, France and Switzerland’
http://www.theguardian.com/world/2013/jan/21/vatican-secret-property-empire-mussolini
l’imposer par la force
bof
arthur, te bile pas avec ce trésor, oggi c’est la St Benoît- J. Labre
« Il est le saint patron des sans-domicile fixe, des pauvres et des exclus. »
Je ne te fais pas un sourire.
Avouons qu’il serait tout de même infiniment plus productif de faire apprendre à nos enfants l’arabe plutôt que ces langues mortes, ce qui aurait, entre autres avantages, celui de leur permettre de lire dans la langue originale notre futur Livre Saint.
un original nous a ressorti « les gens »
il ne balancera pas
« plus productif de faire apprendre à nos enfants l’arabe plutôt que ces langues mortes, »
il y a quelques décennies il s’agissait d’apprendre le chinois, de l’invasion du chinois, c’était le mal jaune par çi le mal jaune par là
pourra-t-on un jour consulter les archives secrètes du vatican,tout savoir sur jeanne d’arc par exemple, en attendant la suppression des religions
« … de faire apprendre à nos enfants… »
Et il ne vous vient pas à l’esprit qu’il serait préférable qu’eux mêmes choisissent quoi faire?
Où sont passées mes fraises ?
Cette censure est abjecte.
On rend le vote obligatoire en supprimant le choix de voter ou pas, d’y aller ou pas.
On rendra bientôt obligatoire le vote pour une liste imposée, en supprimant le choix pour d’autres listes.
Le peuple doit être maté !
Un témoin digne de foi, le sieur Arouet, nous a appris que la Sainte, folle de son corps, se faisait sauter régulièrement par un arabe de banlieue, un certain Ali Boron.
Vous aurez remarqué que le PQ de JC ne signe plus de son nom ici (sauf sur le cinéma) mais se répand sous d’autres pseudos, lâcheté garantie, cela ne trompe personne, hélas !
Latin/grec : intellectuels, écrivains, poètes, universitaires dénoncent la talibanisation de l’Education nationale
Que de temps perdu pour nos élèves en heures consacrées à l’étude de matières inutiles. Qu’on ne vienne pas nous raconter que ces heures gaspillées leur permettront de lire Platon ou Cicéron dans le texte ; personne n’en croit rien et, pour découvrir ces auteurs, il existe d’excellentes traductions. la suppression du latin et du grec dans les collèges et lycées permettrait aux professeurs concernés de se consacrer à plein temps à l’enseignement du français. Quant au latin et au grec, ils continueront d’être enseignés à l’Université, à côté des langues rares telles que l’inuit ou l’hébreu (quoique, missiles russo-iraniens aidant, cette dernière langue devrait sous peu accéder au statut de langue morte). Préoccupons-nous plutôt d’élever le niveau des élèves dans les disciplines utiles — les mathématiques, l’anglais, le chinois — plutôt que leur faire perdre leur temps et notre argent dans l’étude du latin, du grec ou d’autres matières inutiles comme la littérature, la philosophie ou l’histoire. Leur suppression permettrait, par ailleurs, de réduire les effectifs d’enseignants non moins inutiles que les matières qu’ils enseignent, soit en ne remplaçant pas les départs à la retraite, soit en supprimant ou en aménageant le statut de fonctionnaire afin de foutre à la porte (sans indemnités) tout un tas de surnuméraires suceurs de budget.
Monsieur ou Madame, t’as mauvais genre
« On rendra bientôt obligatoire le vote pour une liste imposée, en supprimant le choix pour d’autres listes. »
jc en rêve
Qu’on ne vienne pas nous raconter que ces heures gaspillées leur permettront de lire Platon ou Cicéron dans le texte ; personne n’en croit rien et, pour découvrir ces auteurs, il existe d’excellentes traductions. (moi)
Sur cette question, on relira avec profit les considérations définitives de Georges Darien dans les premières pages du « Voleur ». On a toujours profit à revisiter ses classiques plutôt que de lire les âneries d’un Régis Debray (entre autres).
Il s’agit moins d’apprendre une langue morte que de penser comme un grec ou un « latin ». Si le bon peuple avait adopté Hésiode à la place des fabulations d’Homère, le pays serait au top du g7.
les conflits de classe dont des parents se plaignent à moi ne sont pas des histoires de latin et de grec, mais dès la maternelle, des histoires de portables et d’ordis .
Déjà qu’ils sont même pas responsables de ce qu’ils bouffent, ces pauvres parents…
Il s’agit moins d’apprendre une langue morte que de penser comme un grec ou un « latin ». (Phil)
Il y a belle lurette que nous ne pensons plus comme un Grec ou comme un Latin. D’ailleurs, si nous savons approximativement comment Platon et Lucrèce pensaient (en tenant compte des réarrangements multiples introduits par des copistes drogués au monothéisme judaïco-chrétien), des modes de pensée du contemporain de Thucydide ou de Virgile nous ne savons foutrement rien. Déjà qu’il m’aura fallu des décennies pour apprendre à penser comme je pense (si j’ose dire), alors les grecs et les latins d’avant le guignol de Bethléem, tu penses…
JC l’aigri de pq, mini provocateur de salon qui se distrait en regardant les infos sur tf1
…
…chefs d’entreprises,!…des ouvriers Plus, » salo « ,…
…fils à papa, universitaires, héritiers, châtelains, parvenus, chevaliers-brigands,!…tous dans le même » sac « , de sophistes en diversions,!…
…les chiens à l’os du pognon, compagnies d’archers et d’arbalétriers » feux « ,…de toutes pièces,!…dans l’impasse,!…
…pas de quartiers, du sang de chien,!…
…etc,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…
…
MadameMonsieur, il a fallu aussi des décennies à Romilly pour approcher la pensée de Thucydide. c’est bien le seul intérêt des langues mortes. Dans une vingtaine de siècles, il se trouvera bien un citoyen capable de décrypter la pensée d’un Goubert, par exemple, qui lui permettra de relativiser le fatras médiologique qui occupait ses contemporains.
Pour M OU MME, l’Histoire, la Seule, la Vraie, n’a débutée qu’à l’arrivée du train à bestiaux 570 AC en gare de la Mekke ! Tout le reste est sans importance.
du sang de chien,!
Alors ça, aucun risque avec la société de protection des cabots de la khonnerie en meute, caniches inclus, qui veille au grain…
des modes de pensée du contemporain de Thucydide ou de Virgile nous ne savons foutrement rien. (moi)
Quant au mode de pensée favori du Français approximativement cultivé nourri aux humanités gréco-latines mal digérées, il consiste pour l’essentiel à réciter de travers, à l’endroit et à l’envers, les oeuvres complètes de Testut et Conard. Voir la démonstration par Lucky dans « En attendant Godot ».
Voir la démonstration par Lucky dans « En attendant Godot ». (moi)
Je soupçonne Pozzo de s’être converti à l’islam radical . Pense, porc !…
Je soupçonne Pozzo de s’être converti à l’islam radical . Pense, porc !… (moi)
Au fond, le monologue de Lucky peut être compris comme l’illustration du naufrage yoyotant de la culture franco-européenne dérivée de la gréco-latine, pour le divertissement d’un converti aux méthodes de Boko Haram (Pozzo).
Giovanni, je plains sa muse…
Jambrun arrête de boire le pastis frelaté que tu fabriques toi-même, tu vois bien que ça te fait du mal !
…
…j’aime bien, le blason du pape Benoit XVI,…
…
…à peu de distance, çà fait tête de clown,!…
…
…faut pas demander, le niveau, intello du Vatican,!…de consommateur du recyclage avertis,!…en piscine privé,!…
…les cardinaux, en sous-brettes,!…
…à nos soeurs, les mentalités aveugles,!…
…le service aux-dieux,!…çà rentre le métier,!…
…encore à l’année sabbatique,!…aux leurres à faux-cons,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…
10 h 01; oui theo, il se tape aussi une paluche en regardant Bourdin sur bFNtv
Mais de fait, depuis la loi de 1905, l’Etat est-il aussi propriétaire, DHH, de toutes les synagogues, mosquées et divers temples et autres lieux de culte répartis sur tout le territoire national ?
Web 2.0, l’école des fans. Pour la révolution prière d’attendre le 3.0
il a fallu aussi des décennies à Romilly pour approcher la pensée de Thucydide. (Phil)
Disons que la mère Romilly s’est un peu approchée de la pensée qu’elle croyait avoir de la pensée de Thucydide, et ce uniquement entre le point x et le point y sur son trajet dans l’espace-mouvement; ce qui, au total, ne l’a guère avancée, et nous encore moins, qui tentons de nous approcher en pensée de la pensée qu’elle croyait avoir de sa pensée de la pensée de Thcucydide. Quelle misère, quand on y pense.
10 h 29 min
La loi de 1905 :
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000508749
(La première mosquée de métropole, Grande Mosquée de Paris a été construite en 1925 ou 26)
mais oui normalement l’Etat en est propriétaire je me trompe peut-être ?
L’analyse vectorielle chez les blondes c’est cocasse.
Un constat : une « révolution » est nécessaire, qui n’a pas lieu. Il ne s’agit pas de couper des têtes ; une révolution est simplement ce qui se produit quand un cycle est révolu. Or notre modèle de société est révolu : en un siècle, jusqu’à la crise de 2008, le modèle fordo-keynésien qui fondait la société et son économie s’est effondré.
stiegler sur philomag
Bonjour Monsieur Attila !
Pourriez vous mettre votre immense compétence à l’œuvre en rasant églises synagogues mosquées dans nos villes et nos campagnes ? Nous souhaiterions pour le bien des générations futures libérées de l’asservissement religieux qu’elles puissent utiliser l’emprise au sol pour cultiver de merveilleux, coquets, délicats et fructueux jardins potagers ?
D’avance, merci, cher Monsieur Attila !
Il ne s’agit pas de couper des têtes
Depuis qu’elles ne sont plus au sommet ce serait vraiment un coup très bas…
@ATTILA
Non cette situation ne concerne que les biens catholiques ,l’eglise ayant refusé de jouer le jeu de la loi de 1905, qui prevoyait la remise des edifices religieux,alors proproeté de l’Etat à des associations consistoriales à creer ;par son refus de realiser cette reforme l’Eglise a maintenu le statu quo
Quant à la mosquée de Paris ,elle a eté financée de maniere derogatoire par l’Etat, un vote ddu parlement ayant expresement autorisé cette exception à la loi de 1905 pour remercier de leur participation à la Grande guerre les combattants musulmans
La cour d’assises du Tarn a condamné, Luc Fournié à sept ans de prison pour le meurtre de Jonathan Lavignasse, 17 ans, le 14 décembre 2009 qui cambriolait son café tabac à 2 heures du matin, en compagnie d’un complice.
A l’issue de trois heures de délibéré, la cour et les jurés ont écarté la thèse de la légitime défense, pourtant retenue par l’avocat général, qui aurait entraîné un acquittement.
Merci qui ?
DHH, des associations pas consistoriales mais diocesainespour le culte catholique, je pense.
@La vie dans les bois
non je ne pense pas le terme consistorial etait le terme generique dans lequel avait été pensée cette reforme .
…diocèse. origine grecque oet latine.
À la longue le Vatican passe pour le repaire d’une bande de jeunes à côté de vous, c’est du plus haut comique…
il n’y avait pas encore de mosquée en france
mais tout le reste y passe : cf l’Article 12 Modifié par Loi n°98-546 du 2 juillet 1998 – art. 94
Les édifices qui ont été mis à la disposition de la nation et qui, en vertu de la loi du 18 germinal an X, servent à l’exercice public des cultes ou au logement de leurs ministres (cathédrales, églises, chapelles, temples, synagogues, archevêchés, évêchés, presbytères, séminaires), ainsi que leurs dépendances immobilières et les objets mobiliers qui les garnissaient au moment où lesdits édifices ont été remis aux cultes, sont et demeurent propriétés de l’Etat, des départements, des communes et des établissements publics de coopération intercommunale ayant pris la compétence en matière d’édifices des cultes.
La loi de 1905
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000508749
10 h 58 min
au lieu de les raser les transformer en logements hôtels restaus cafés
ARTE rendra t’elle hommage à Günter Grass, décédé le 13 avril ? (site officiel d’ARTE)
___________
Je le cite ici pour la faute d’orthographe d’un site officiel. La France est en train de sombrer, son orthographe fout le camp :
ARTE rendra-t-elle hommage etc.
Cette folle de Belkacem a déclaré ce matin que l’allemand était une « langue élististe ». Il faut vraiment les virer du pouvoir ces socialistes.
On va désormais enseigner la littérature française à l’Ecole mais en anglais :
« Avec la réforme du collège, les élèves ayant bénéficié à l’école élémentaire de l’enseignement d’une autre langue vivante étrangère que l’anglais pourront se voir proposer un enseignement dans cette langue à compter de la classe de sixième, dans le cadre de classes bi-langues, qui seront donc reconnues et institutionnalisées. Le recentrage du dispositif bi-langue sur l’apprentissage de l’anglais dès la sixième pour les élèves ayant étudié une autre langue à l’école élémentaire contribuera à redynamiser la diversité linguistique dans le premier degré en encourageant en particulier l’apprentissage de l’allemand. » (Belkacem)
Pour info
L’Article 2 de la loi de 1905 déclare comme un principe institutionnel : « la République ne reconnaît, ne salarie, ni ne subventionne aucun culte ». L’Église catholique le dit clairement : l’enseignement privé à 95% catholique est une œuvre de l’Église, il est placé sous la tutelle et le contrôle des Évêques.
Or, par la loi du 31 décembre 1959, dite loi Debré, l’Etat finance l’enseignement privé catholique, au mépris du principe : « Fonds publics à l’Ecole publique, fonds privés à l’école privée ».
L’enseignement privé catholique ne complète pas l’Enseignement public, il le concurrence outrageusement avec les fonds publics détournés de leur mission d’origine : permettre le droit à l’Instruction pour tous au sein de l’Ecole publique, laïque et républicaine.
Dans le budget 2015 de l’Etat, ont été votés :
• 7 176 057 475 euros détournés pour l’enseignement privé (1er et 2nd degrés)
• 627 630 000 euros détournés pour le forfait d’externat privé
• 578 751 591 euros détournés pour l’enseignement agricole privé
• 78 895 852 euros détournés pour l’enseignement supérieur privé
Soit 8, 5 milliards d’euros détournés des fonds publics !
A cela s’ajoute près des 2 milliards détournés des budgets des collectivités territoriales
http://www.fnlp.fr/spip.php?article1191
marre des religions
Pour les vieux élus politiques, t’es d’un quartier catho, tu lèches l’oignon des cathos ; t’es d’un quartier muslim, tu lèches le culte des muslims. T’en a rien à brillantiner du camp laïc, de la république, de l’argent de l’Etat, coco ! Y a que toi qui t’intéresse…
DHH, cette petite réflexion sur le qualificatif des associations qui furent appelées à gérer le patrimoine cultuel, lors de la mise en place de la loi de séparation des églises et de l’Etat, dit bien toute la bataille engagée pour la rédaction de l’art. 4 de cette loi de 1905.
Le terme consistorial s’appliquerait, de fait, d’avantage au Concordat de 1801. Sachant que ce qui subsiste aujourd’hui, pour le culte catholique, sont à ma connaissance des associations diocésaines.
Et je tiens à mon néologisme: oet: ou/et inclusif.
Elle s’appelait comment déjà, la librairie de François Maspero ?
La joie de lire ?
C’était pas une enseigne un peu trompeuse par hasard ?
« La joie de lire ? »
Ou La loi de jouir ?
Vive la laïque !
12h35
Y a que toi qui t’intéresse…
ah bon
Wiedéogäg, il va devoir se convertir pour pouvoir continuer à enseigner le français ? Et en quelle langue ?
C’est sûr que barozzi il va pas dans les librairies pour lire.
D’ailleurs et à ce sujet, il y a une faute dans une citation du billet; il ne fallait pas lire :lecteur, mais, tout simplement: voyeur.
Je pense qu’une très petite minorité, voire réduite à une seule personne, sait à quoi s’en tenir, de cette nuance…
Hop là, je me tire.
Bon aprèm !
« J’emporte à tout hasard ma carte du PCF, au cas où les communistes russes reviendraient au pouvoir pendant mon séjour »
Patrick Besson avant son départ pour la Russie, qui s’appelait encore l’URSS lors de son dernier séjour…
oui, l’orthographe n’est pas le fort du monde:
Ils débuteront aussi les langues étrangères et régionales, et acquéront les premières compétences
et l’Achéron, que fait-il?
Une solution écologique pour réguler les populations de requins sur les côtes réunionnaises et l’afflux de migrants sur les côtes italiennes : déporter les requins.
Qu’est-ce que je ris quand la locomotive elle démarre pour mon hog. (Je garde les pieds sur terre, serais-je rétro). Inscrivez-vous oui, faites des plans sur terre, y’a rien qui diffère de google page + ici.
c’est la semaine mondiale des toilettes : une pensée particulière pour le PQ de JC le Fourbe
es textos et des courriels archivés dans un fonds littéraire de la BnF. Oui mais signés Pierre Guyotat !
Oui, bon. Qui se souvient de Pierre Guyotat ? Qui lit encore Pierre Guyotat ? Quand se décidera-t-on à brûler ce tas de vieilles paperasses ?
« Qui lit encore Pierre Guyotat ? »
Moi, par exemple.
« Qui lit encore Pierre Guyotat ? »
Moi, par exemple. (Lulu)
Vous avez bien du temps à perdre, ma bonne.
question toiletttes et lexique: le béretn’est pas surmonté d’un … »gland » mais d’uns sorte de petite queue de feutre
le béretn’est pas surmonté d’un … »gland » mais d’uns sorte de petite queue de feutre
Ridicule. Je ne suis point de ces mesquins. Car pour ce qui est de moi, j’ai enflé par le membre, qu’on nomme laboureur de nature : en sorte que je l’avais merveilleusement long, grand, gras, gros, vert, et acrêté à la mode antique, si bien que je m’en servais de ceinture, le redoublant à cinq ou six fois par le corps. Et s’il advenait qu’il fût en point et eût vent en poupe, à me voir eussiez dit que j’étais de ces gens qui ont leur lance en arrêt pour jouter à la quinzaine. Mais après moi, en sera perdue la race, ainsi comme disent les femmes. Car elles lamentent continuellement qu’
Il n’en est plus de ces gros, etc.
vous savez le reste de la chanson.
vous savez le reste de la chanson. (moi)
C’était pour saluer François, comme de juste.
Car pour ce qui est de moi, j’ai enflé par le membre, qu’on nomme laboureur de nature (moi)
De vrai, je n’ai point l’exclusivité de la croissance, car autres croissaient en matières de couilles si énormément que les trois emplissaient bien un muy. D’iceux sont descendues les couilles de Lorraine, lesquelles jamais n’habitent en braguette, elles tombent au fond des chausses.
J’ai comme un doute sur « n’habitent en braguette « .
Car pour ce qui est de moi, j’ai enflé par le membre, qu’on nomme laboureur de nature (moi)
Je suis né l’année des grosses Mesles.
au bonheur des programmes:
Le mot béret est issu du nom béarnais (gascon) berret, d’où le dicton Lo berret qu’ei bearnés !, « le béret est béarnais ».
Il est attesté pour la première fois en français en 1835 au sens de « couvre-chef de laine, plat et sans bord, porté par les paysans du pays »[1]. La plupart des spécialistes estiment qu’il est issu plus généralement de l’ancien occitan be(r)ret « bonnet », qui procède lui-même du bas latin birretum, dérivé du bas latin birrus, « sorte de capote à capuchon, en usage dans toutes les classes de la société sous les derniers empereurs », attesté au IIIe siècle. Dans la région de Bayonne et les Landes, le béret était appelé bounet (bonet).
Ce terme est emprunté au gaulois birros, basé sur un radical celtique *birro- « court »[2],[3]. Cette racine se retrouve en celtique insulaire : vieil irlandais berr, gallois byr, breton berr « court ». Le grec βιρρος, « courte capote à capuchon », est probablement emprunté au latin.
Le même étymon se retrouve dans l’espagnol birrete, sorte de couvre-chef, issu également de l’occitan[4], ainsi que dans l’italien berretto, berretta.
béret suite:
. La petite « queue » qui dépasse au centre, le cabilhòt (« petite cheville »), la coudète ou le coudic (« petite queue »), était l’extrémité des fils résultant du tricotage à la main.
Mea culpa : Contrairement à ce que j’avais écrit dans un premier temps, ayant mal interprété le témoignage de Marcel-Françis Kahn dans Mediapart, par allusion à une tentative de suicide ancienne, François Maspéro est mort accidentellement.
« François Hollande, le plus grand des P¨résidents de la Cinquième République! »
« Il faut vraçiment les virer du pouvoir, ces socialistes! »
Wiederganger dans les deux cas…
…
…pour faire, très court,!…
…
…Persée,!…et Méduse ( église – état ),!…
…
…Bellérophon,!…chevauche Pégase et affronte la chimère ( autre église – état ),!…
…
…suite,!…St – Georges, se bat, contre le dragon ( épouvantail ),!…pour se faire remercier de sauvé,!…l’autre jouvencelle à se mettre sur le dos,!…
…
…conclusion, en impliquer des motivations, aux abois,!…pour faire panier, aux mains de rêves,!…à Hermès en ronde,!…finir les rôles en place sur l’échiquier,!…
…etc,!…
…l’église, l’état,…même combat,…de vaches-sacrés libres aux misères du profit,!…
…et, on tourne sa soupe,!…Ah,!Ah,!…
…etc,!…
…
…suffisant à mes traces,!…
…le champs libre,!…aux autres,!…
…etc,!…
C’est pas moi qui empêche, mais presque.
Sarah Bernhardht.
« Pierre Guyotat … « Tombeau pour cinq cent mille soldats » … Le général Massu fait interdire le livre dans les casernes françaises en Allemagne…. »
(wiki)
Vous avez l’air de parler de Portsentry ou F-Prot plus que de l’accident, mais c’est vrai que le ticket est cher.
Exercices pratiques en début d’après-midi, en compagnie d’une indigène passionnée de littérature.
Admirable message venu du fond des temps.
Décision commune, vers 16 heures : le texte doit être étudié, connu, analysé, dans ses parties les plus difficiles quoiqu’il en coute à de simples lecteurs !
Marcel-Françis Kahn aurait une cédille au c.?
« Marcel Reich-Ranicki, qui l’avait tant porté aux nues à ses débuts, le lâcha le jugeant de plus en plus lourd, laborieux, insupportable. » :
c’est comme dans les Fruits d’or, alor… Vanitas vanitatum et tarpeia arx !
Sans compter que voler un machin lourd, laborieux, insupportable…
Ah oui, Jean-François Banni.C’est sur que j’y vais pour un mèche.
« Lourd, laborieux, insupportable » ? …. Deutsche Qualität ! Belle cigale ignore la fourmi.
signé Les mêmes mecs qu’on voit pas sur youtube
Une fois mort, Maspero n’est plus rien : laissons tomber cette nullité d’époque où le cerveau fonctionnait à 5% de ses capacités !
Je rêve de Jules Caesar et Cléopâtre trainant à Roma leur barbare débile derrière un char de triomphe. Mise à mort trois jours plus tard.
Casting : BCE Francfort au lieu de Roma, Mario Draghi et Christine Lagarde, et dans le rôle du barbarde débile Alexis Tsipras
« Qui lit encore Pierre Guyotat ? – Moi, par exemple. – Vous avez bien du temps à perdre, ma bonne.
Pour pouvoir en juger, il faut l’avoir lu, et être en mesure de le comprendre – ce qui ne semble pas être votre cas.
Mea culpa : Contrairement à ce que j’avais écrit dans un premier temps, ayant mal interprété le témoignage de Marcel-Françis Kahn dans Mediapart, par allusion à une tentative de suicide ancienne, François Maspéro est mort accidentellement. (Passou)
Suicide, mort accidentelle, mort naturelle, au-delà de 80 balais, la question présente-t-elle un quelconque intérêt ? et même, à tout âge de la vie, hormis les cas de meurtre, d’assassinat et, bien entendu, de « mort au champ d’honneur », vaut-elle qu’on se la pose ? Oui sans doute, quand la mort ( alors souvent collective) est le produit des défaillances, négligences, ignorances d’autrui ), ce qui fait tout de même beaucoup de monde. Mais autrement ? « Il est mort de mort « , disent les villageois dans je ne sais plus quel récit de Giono. C’est bien tout qu’on peut dire de sensé, dans la plupart des cas. « Il était mort. Quel étonnement. » écrit quelque part Flaubert (ou c’est moi qui l’invente ?) avec son côté pince-sans-rire inimitable. Aujourd’hui encore, dès soixante ans passés, l’étonnement devient superflu.
Très bel et très équitable article d’Arnaud Leparmentier dans « le Monde » de jeudi, intitulé « Le chemin de Grass « . Dans un entretien de 2006, Grass évoque son « incrédulité face aux images des camps de concentration : des allemands n’ont pas pu commettre ça, c’est impossible ! C’est en captivité que nous avons été confrontés pour la première fois à ces crimes, et nous avons vu en même temps comment dans les casernes américaines, les Blancs qui vivaient dans des baraques séparées traitaient les Noirs de « niggers « . Et Leparmentier de commenter, à juste titre : « Subversif. Jusqu’au bout ».
Comme n’importe qui dit: 16 avril 2015 à 17 h 20 min
C’est fatiguant votre existence par références.
Houi ; mais comme disait Truffaut, c’est une joie, et c’est une souffrance…
C’est comme une fenêtre magnifique mais qui se coince tout le temps, qui s’obscurcit, qui se rerallume…
Je me suis toujours demandé comment un gars qui n’a aucune référence viendrait ressentir de la grande musique, sans piège, de la belle musique… C’est là qu’on entrevoit, que l’on touche d’un peu près ce qu’est l’abstrait…
Y a du boulot, hein !
Viens me dire que c’est moi qui ai tenu à transformer ceux que je connaissais en petits merdeux. Mais alors approche vraiment…
Vivez heureuses dans vos robes de reines en idéologies. Tu parles d’une abstraction !
Et le modo mériterait de se montrer sans fard…
Comme n’importe qui dit: 16 avril 2015 à 19 h 05 min
l’abstrait…
Une « connaissance » portant un masque idéologique
Il est là, le problème : qu’est-ce qui n’a pas de masque ? Seconde interrogation : que détermine la peinture chez l’être humain spectateur ? Réponse facile, un ensemble de vibrations. Maintenant l’affaire est de reconstituer tout l’échafaudage entre ces deux niveaux d’abstraction extrêmes (parce qu’ils sont extrêmes, pas parce qu’ils sont extrêmes)…
Oh le pauvre petit sophiste qui tient à se la jouer pas content. Oh lalala, t’es dans une mauvaise moitié comme l’autre pauvre chou ?
Comme n’importe qui dit: 16 avril 2015 à 19 h 08 min
Mais alors approche vraiment…
« Sors dehors ! » Ca, c’est indétrônable ; et c’est un des rares trucs qui me fassent encore rigoler comme au premier jour…
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