Pour saluer Gérard Rondeau
Quelque chose passe dans le tremblé de l’image. Ce n’est qu’une photo parmi d’autres mais dans ses livres et ses albums, elles ont toutes ou presque cette signature invisible, sa patte, sa personnalité, un peu de son esprit et de son âme comme il sied à un artiste. Plusieurs de ses images peuplent mon quotidien sur mes murs sur ma table. Avec d’autres, elles nous expliquent ce qui nous arrive mieux que nous ne saurions le faire. Le propre de l’art. C’était l’un des photographes les plus fins, élégants, généreux, attentifs et patients que j’ai croisés depuis que je me passionne pour la photo (ça m’a pris à l’âge de 16 ans et ça ne m’a jamais lâché). Il s’appelait Gérard Rondeau, il nous a quittés hier à 63 ans à la suite d’un cancer fulgurant. Un ami irremplaçable. Il est parti comme il vivait : discrètement.
Il avait tiré le portrait de nombre d’écrivains, de poètes, d’artistes, de musiciens et de penseurs en tous genres pour le compte du Monde – et pour d’autres aussi. Il était du genre à avoir besoin d’une commande pour se mettre en branle. Elle le stimulait. Après, c’était parti. Ses albums reflétaient fidèlement tant l’homme que son travail. Des livres édités avec un soin remarquable, qu’il s’agisse de la fabrication, de la conception, de la mise en page. Très fouillés sous des apparences de fouillis, des images dans tous les sens, des légendes manuscrites au feutre noir, un grain inoubliable, une qualité de noir, de gris et de blanc des plus rares, tout ça pour dire les rencontres d’un regard qui a un vrai goût des autres. Olivier Frébourg, un proche, propageait ses livres à l’enseigne des éditions des Equateurs.
J’y ai retrouvé au détour d’une page, comme échappés du chapitre, les différents Rondeau que j’avais entr’aperçus ces dernières années : la première fois d’abord à Sarajevo accrochant sa série sur les coulisses du Louvre aux cimaises d’un centre culturel, puis dans l’album splendide qu’il fit avec son ami Yves Gibeau sur les champs de bataille de la Grande guerre, un petit matin au Sélect alors que je lui faisais du coude pour qu’il prenne Jean-Pierre Léaud tout enchifrené qui s’était assis par hasard à notre table et parlait tout seul, une autre fois à dîner quelque part en province où je l’avais scandalisé en lui avouant mon peu d’enthousiasme pour le vin de Champagne, plus tard encore dans le visionnage compulsif du film incroyable qu’il a réalisé avec une patience inouïe sur son ami le peintre Rebeyrolle dans son atelier même ; car il fallait bien un espèce d’amitié pour décider l’ours à ouvrir son atelier à l’objectif et à se laisser regarder au travail ; le filmeur est si fin que tout en se mouvant dans le motif qu’est sa peinture même, l’artiste évoque l’influence du Louvre, de Delacroix, de Géricault, de Rubens, de Rembrandt, du Titien et du Tintoret ; il en parle en homme du bâtiment et c’est passionnant ; jamais dans l’indiscrétion, Rondeau nous entraînait au coeur du laboratoire des forces obscures, dans les ténèbres expressionnistes de Rebyrolle et c’était prodigieux : rarement un peintre a accepté qu’un oeil extérieur, fut-il complice, viole pendant tant d’années son intimité de créateur.(Vidéo 2000/RMN 84mn).
Tous ces Rondeau se retrouvent derrière l’objectif pointé sur l’éclat de rire d’Eric Clapton et l’énigmatique couple de Boileau et Narcejac, le sculpteur Richard Serra en abominable Hulk et Weyergans paumé comme jamais, Gilbert et George naphtalinisés à souhait et Jacques Derrida derrière la vitre, Antonio Tabucchi les yeux grands fermés et Sami Frey ténébrissime tel que dans le journal, Bernard Frank en ses murmures dissimulé derrières ses mains et Jean-Paul Kauffmann avec qui il avait fraternellement remonté la Marne, Poirot-Delpech à toute vitesse sous la coupole et Frédéric Dard au bord des larmes, Music dans le prolongement du personnage de son tableau et André Dhôtel en fantôme de lui-même. Il avait exposé aux Galeries Nationales du Grand Palais à Paris, à la National Gallery de Jakarta, à la Maison Européenne de la Photographie à Paris, au Festival de la Luz à Buenos-Aires, au Musée de l’Élysée à Lausanne, au Martin-Gropius-Bau à Berlin, mais aussi à Istanbul, New York, Sarajevo et Rome
Dans son art photographique, la curiosité était son guide, avec une profonde empathie, le reste n’étant que technique. Jamais de recadrage, dents du négatif apparentes ou bords peints en noir au risque du procédé, l’esprit de finesse à la rencontre de l’esprit de géométrie, que du noir et blanc bien charbonneux et profond d’un grain exceptionnel. Il avait fait sienne l’une des phrases de l’écrivain du Grand Jeu, Roger Gilbert Lecomte, dont il se sentait si proche :
« Regarder à se crever les yeux, à éclater le crâne, avec les yeux de derrière les yeux, de derrière la tête, comme un aveugle avec un grand cri lumineux. »
Gérard Rondeau ne trichait pas. C’était quelqu’un de rare, pudique, élégant en toutes choses. J’ai passé une grande partie de la nuit assis à regarder ses photos. A l’aube, je n’en étais pas vraiment sorti. Ses personnages me poursuivent. Silhouettes, regards, lumières : tout un monde, son univers, sa sensibilité, son héritage. Tant qu’on les regardera, ils vivront.
(Photos de Gérard Rondeau extraites de son site)
820 Réponses pour Pour saluer Gérard Rondeau
Berzinc, ce que ton père dit de la langue des philosophes allemands pourrait être étendu à d’autres disciplines intellectuelles et à bien d’autres pays et continents
c’est parfaitment vrai..mais chez les hallemands c’est un vieux complexe de son élite vis a vis du français et de l’angliche..le « provincialisme » a chez eux un sens particulier et gueuteu a fait des pieds et des mains pour faire le tartarin hinternational en chargeant la barque du buveur de bière..c’est un kador..mais les autes l’on tous suivi sur ce coup là..berlin c’était un trou
Il y a un Céline, et des milliers de Zink…
c’est pas vrai jicé..c’était que le meilleur de sa tribu dont il était même pas l’fondateur..et c’est déjà pas mal..de plus en faire le chantre de l’oralité dans l’marbe c’est un contresens on lsait.
si y’avait plus de zink modeste peut être qu’ils oseraient..
J’ai la plus gronde sympathie pour Nicolas Dupont-Aignan mais s’il veut vraiment du bien pour la France, s’il veut vraiment le changement, il faudrait qu’il accepte l’idée que les 2 pour cent qu’il fera au premier tour seront 2 pour cent en moins pour la vraie alternance représentée par MLP dont le programme sera en definitive très proche du sien avec un parti nettoyé de ses composantes historiques racistes et néfastes avec notamment toute la panoplie de casseroles remontant à la guerre d’Algérie et à l’Indochine, tout ça enfin largué.
Bref, Nicolas, et j’espère qu’il me lira, la France souveraine et gaulliste ne se fera pas sans votre ralliement au parti qui peut gagner, et se ralliement peut n’être que momentané. N’oubliez pas que pour mieux régner, l’adversaire compte sur le morcellement. Et de plus, vous feriez un très bon ministre des Finances pour piloter la sortie de l’euro.
Et Jeanne d’Arc aux anciens combattants, D. ?
Ce qui est vrai, c’est que les élèves ne maîtrisent plus l’orthographe.
La situation me paraît très grave.
Sur les quatre classes que j’ai, les moyennes oscillent entre 3/20 et 4,5/20.
Cela signifie que les élèves sont nuls en orthographe. Mais à ce point c’est nouveau. Une dégradation considérable du niveau.
Le reste suit pour la maîtrise de la lecture savante des textes. Les notions de narratologie ne sont pas plus assimilées que les règles d’orthographe.
C’est le début de la fin du monde…
Le langage de la philosophie peut être spécifique. Ce n’est pas forcément l’indice d’une crise de la langue.
Une philosophie, c’est comme une théorie mathématique. Cela ne viendrait à l’idée de personne de critiquer le langage de la théorie des ensemble, qui est très spécifique.
La langue spécifique de la spéculation philosophique a sa langue, ses concepts qui s’efforcent d’être précis.
On peut certes dire que ce désir de précision est quelque part ridicule, parce que l’esprit humain veut embrasser plus qu’il n’est capable. Mais l’ambition philosophique demeure.
Certes, Nietzsche ou Montaigne n’emploie pas un langage spécifique. Mais leur texte n’en demeure pas moins souvent fort difficile à comprendre en raison même de leur langue qui reste fort ambiguë. Preuve en a été donnée chez Paul Edel à propos du I, 31.
Pour ma part, je n’ai pas vraiment d’opinion sur la question parce que je vois bien les difficultés d’avoir une opinion arrêtée sur un tel sujet.
Heidegger n’a ni raison ni tort d’employer une langue comme la sienne. C’est le choix qu’il a fait.
De ce choix on ne peut rien inférer quant à sa pensée. Sa langue ne dit rien de ce qu’il pense ni de sa façon de le penser. Il pense avec cette langue-là, c’est tout. Il nous appartient de faire l’effort de le lire si on veut le comprendre. Ce qui est rarement le cas chez ses critiques.
Article pour ceux qui aiment les intégristes :
« les élèves sont nuls en orthographe. Mais à ce point c’est nouveau. Une dégradation considérable du niveau. »
En quoi sont-ils meilleurs, WGG ? En anglais peut-être ?
En informatique, c’est sûr !
Certains élèves sont déjà bilingues en anglais.
mettre hors de tout propos une fable de la fontaine sur un blog , c’est vraiment avoir du emps à perdre…
Paul Edel dit: 15 septembre 2016 à 12 h 38 min
mettre hors de tout propos une fable de la fontaine sur un blog , c’est vraiment avoir du emps à perdre…
voilà la raison pour laquelle je me ferais arracher trois dents plutôt que de retourner sur ce planplanblog…La Fontaine??? du tmps à perdre??? Mazette, votre éminence, vous ne vous mouchez pas du pied en matière de suffisance.
Elle répondait aux dizaines de poèmes animaliers de Jean Folain, entre autres, qui y pullulent, cher Paul…
Mieux vaut enseigner Shakespeare que La Fontaine, WGG !
Et ce n’était pas hors de propos, puisqu’il s’agissait des animaux malades de la peste, toujours d’actualité !
Paul Edel dit: 15 septembre 2016 à 12 h 38 min
Tu vieillis mal, Paul ! Tu vieillis …. En as tu conscience dans ta forteresse à pont-levis mangé par le temps qui détruit tout ?
Jibé dit: 15 septembre 2016 à 11 h 36 min
Vous appréciez le monstre parce que vous êtes des fo.folles… cette fienbe n’aura pas mes sous, durement gagnés.
Ce qui est vrai, c’est que les élèves ne maîtrisent plus l’orthographe
–
les algorythmes y seraient-ils pour quelque chose?
Et pis on commence pas une phrase par « ce qui est vrai » pas plus que par « eh bé moi » comme je l’ai lu récemment dans les commentaires de ce blog.
D. dit: 15 septembre 2016 à 12 h 52 min
Ce qui est vrai, c’est que les élèves ne maîtrisent plus l’orthographe
–
les algorythmes y seraient-ils pour quelque chose?
bas…très très bas. pas étonnant de la part d’un thuriféraire de Ducon-Gnangnan
Jacques B., est-ce que par le plus grand des hasard vous auriez pris goût à vous f..tre de ma pomme ?
« eh bé moi »
Serait-ce de la néoténie, comme je l’ai lu sur un autre blog, D. ?
oui, Berguenzinc, il m’arrive d’attraper directement les cacahuètes.
Je sais que le coup n’est pas permis.
Si l’orthographe était massacrée pour de nobles raisons, par exemple coloniales, passe encor… mais il n’y a que « massacre » et rien comme idée créatrice … !
tu vieillis mal Paul, éructe le JC… pour quelqu’un à l’agonie d’andouille haineuse, on peut lui retourner le comcompliment
La néoténie décrit, en biologie du développement, la conservation de caractéristiques juvéniles chez les adultes d’une espèce, ou le fait d’atteindre la maturité sexuelle pour un organisme encore au stade larvaire.
–
Une larve avec un gros zi$zi dressé, voyons-voir, à qui pensiez-vous JC ?
La différence entre les philosophes allemands et les philosophes grecs ?
Une question de climat !
Les uns filousophent autour d’un poêle à charbon puant, les autres philosophent en marchant, libres, à l’air libre, sous un soleil bienveillant, dans une nature splendide qui s’offre à eux, le regard vers l’immensité marine scintillante …
« Une larve avec un gros zi$zi dressé, voyons-voir, à qui pensiez-vous JC ? »
… euh… Cazeneuve ?….
De plus, les philosophes grecs ils caressaient leurs jeunes et beaux élèves sous la table, autour d’un banquet, JC !
les fouignozofs allemands utilisent une langue pâteuae comme dit le divin Wolfgang. Soit volonté d’obscurcissement, soit inadéquation de l’allemand au ragnagna fouignozofique…car lisons Heine, Fontane, Rilke, etc , k’akkeland sait être léger et doux, violent et tourmenté comme le français.
Pour ce qui est de la néoténie, comme l’axolotl par exemple, on en a quelques exemples fameux ici.
Le Maroc a pris part à la première Journée de la Francophonie économique et numérique, qui s’est tenue mercredi à Paris, sous le patronage du président malgache, Hery Rajaonarimampianina, en présence de personnalités du monde politique, diplomatique et économique, dont des représentants du secteur public et du monde des affaires, des universitaires, des chercheurs et des acteurs de renommée internationale dans le domaine de l’économie et du numérique. – See more at: http://lematin.ma/journal/2016/le-maroc-participe-a-la-premiere-journee-de-la-francophonie-economique-et-numerique/254336.html#sthash.ZVlqGxLc.dpuf
Quand la jeunesse, le sport et la culture s’allient pour témoigner de la solidarité francophone, cela donne « les Jeux de la Francophonie ». La 8e édition des Jeux de la Francophonie se tiendra du 21 au 30 juillet 2017, en Côte d’Ivoire, à Abidjan.
https://www.jeux.francophonie.org/
k’akkeland sait être léger et…. hahahahahahahaah, comme je suis devenu bigleux, le k est prsè du l….mais quel beau lapsus…kakkeland pour l’allemand….allô Sigmund…
l’inconscient est une petite frappe mrerdeuse…
Madagascar…un parengon de démocratie, de pluralisme et d’intégrité, comme on le sait….
parangon, zorglub !
javert, je n’ai pas l’ambition de mettre un frein à ta logorrhée jargonnante.
quand je parlais de néoténie, l’Inénarrable frustrée du fion, Dame Cloporte surgit du fond de sa poubelle…
Charmie Hebdo a vraiment un gros pépin de recrutement, pou ren être réduit à taper dans le stock de balais de chiottes invendus !
Heureusement que l’usage du français n’est pas limité à l’usage que tu en fais sur un forum internet javert. Boursouflé tu es, boursouflé tu restes.
Je constate que ta tentative d’usurpation d’identité semble remporter un succès d’estime.
J’avais mis un lien wiki, sur « francophonie », resté coincé dans les tuyaux.
J’avais mis un lien wiki, sur « francophonie », resté coincé dans les tuyaux.
Disons moins académique que ne la sanctifie M. Zink.
Bergenzic vous avez raison non seulement je suis d une suffisance insensée mais lubrique désinvolte joyeux et faible de l oreille gauche
« Pour ce qui est de la néoténie, comme l’axolotl par exemple, on en a quelques exemples fameux ici. »
>Berguenzinc
J’ai eu la chance inouïe d’en voir deux vivants de mes yeux. Hélas en bocal. La couleur est triste ils sont blanchâtres.
Le grec ancien se survit dans le grec moderne ».
Vous avez essayé de demander votre chemin en grec ancien? C’est pire que si vous parliez en ce siècle le français de la Chanson de Roland!
Et si vous leur dites que vous parlez par metaphoron, vous risquez de voir arriver un autobus…
l’axolotl, c’est beau comme une b.te volante et à pattes !
http://www.jesuiscultive.com/spip.php?article346
« Annulation d’un contrôle aux frontières car effectué… 10 cm en Espagne
« Un ressortissant marocain, intercepté à la frontière franco-espagnole, a été remis en liberté par le tribunal de Perpignan, car son avocat a démontré que le contrôle avait été effectué 10 cm en territoire espagnol, a indiqué jeudi 15 septembre 2016 »
Hallucinant…du Courteline au carré !
m’enfin, Baroro, une bite avec des branchies ? tu as vu ça où…je sais bien que ces pauvres axolotls habitent le Marais, mais quand même…
cela dit il a une bonne tête, de bite évidemment.
« une bonne tête, de bite »
Autrement dit, un gland, Berzinc !
Autrement dit, un gland, Berzinc !
lui 10cm audelà ça suffit largement
polo fait l’beuz..c’est toujours ça dpris polo
J’avais mis un lien wiki, sur « francophonie », resté coincé dans les tuyaux
essaie un clystère au vinaigue de framboise tiède
De plus, les philosophes grecs ils caressaient leurs jeunes et beaux élèves sous la table, autour d’un banquet, JC !
dracul y sfait larder au queuteur..c’est la fin du monde
« La langue de Heidegger est l’indice d’une crise profonde de l’état de langue lui-même ». Georges-Arthur Goldschmid
Intéressante remarque du traducteur. Qu’est-ce que pensent aujourd’hui les germanistes de Heidegger, voilà qui serait intéressant de savoir pour éclairer le débat.
javert, dans ton message « berguenzinc dit: 14 septembre 2016 à 15 h 56 min »
tu n’as pas compris que ta boursouflure verbeuse n’est pas comparable à l’original.
Il manque l’odeur.
Celle dont tu mets longtemps à te débarrasser, sans autre faute que le simple fait d’y avoir posé les yeux.
Maintenant pour répondre à un post scato de ton modèle d’étude, javert, voilà:
Les germanistes ne forment pas une confrérie où tout le monde penserait la même chose. Y a-t-il seulement deux germanistes qui pensent la même chose à propos de la langue de Heidegger ?
Là on peut pas reculer jusqu’à es arbres on est dedans inside…
Et le désir s’accroît
Quand l’effet se recule
berguenzinc, avez-vous demandé à GAG quelle était la position de Peter Handke sur Heidegger ? Connaître aussi l’avis de ce grand écrivain ajouterait quelque chose, même si au fond on se doute un peu de ce qu’il dirait.
Je suppose, Jibé, que vous avez déjà, comme moi, observé les évolutions de la très belle Psittacula krameri dans bon nombre d’espaces vert franciliens ?
http://www.living-nature.eu/mathias/archiv/halsbandsittich-rose-ringed-parakeet-psittacula-krameri/
@Il n’y a que les boboïdes gauchistes qui attribuent le réchauffement climatique à l’activité humaine, et rien d’autre.
Tout l’art suave de la pensée négationniste… : amener 97% de la population scientifique mondiale à « argumenter » avec des négateurs avides de rendre leurs crottes intéressantes.
J’allions quand même point tomber dans c’te panneau publicitaire.
la pensée négationniste ???
tu voulais plutôt dire la tactique habituelle des négationnistes, non ? Voui.
Colle z’y, à l’Eddy de Tante (JC)
Convenons que « la Révocation de l’Eddy de Tante » ferait un fameux titre pour un pastiche de Louis.
berguenzinc dit: 15 septembre 2016 à 14 h 35 min
Et le désir s’accroît
Quand l’effet se recule
Et vingt fois dans son coeur le fer a repassé
Tant qu’on y est.
La née vocation de l’Eddy de rente, tant que vous y êtes.
« c’te panneau publicitaire »
on pourrait tout aussi bien répondre que s’il y a autre chose que l’activité humaine et que celle-ci vient y ajouter ses effets le problème ne fait que gagner en importance
Le jour où Passou nous colle un billet sur Heidegger dans les naseaux, de quoi hon va parler ?
JJJ,
Mon petit gars, lorsqu’on n’est pas d’accord avec le bolo boboïde qui affirme tout et n’importe quoi … on est « négationniste » !?
Et mon culte, c’est du boulet de presse ?!…
Jean dit: 15 septembre 2016 à 15 h 13 min
Jean convient.
Delaporte dit: 15 septembre 2016 à 15 h 02 min
désolé, je n’ai pas eu encore l’occasion. Mais ça viendra.
bàv
@Janssen J-J dit: 15 septembre 2016 à 15 h 06 min
tout à fait de votre avis ! des tanches comme le Porquirouleetamassemoussesurmousse, c’est une engeance. Peut import qu’ils dégoisent sur le commun, mais alors quand ils se mettent à se prendre pour de grrrrrrrands savants, là il y a de quoi avoir les jetons. -Hier, au Pétain de Porcquiroule, j’avais envoyé une référence pour liquer, un tableau évoutif sur les facteurs du réchauffement climatique…^pensez donc, c’était comme envoyer un poème de Malarmé à Mireille Mathieu…
JC fait partie des crétins fossilisés dans la peur des bolchéviques…intéressante pièce de musée. Mais au fond, ses dégoisis un peu fascisants , tout le monde s’en tape. Laissons-le confire dans le pastis…c’est bon pour les morues.
tiens , le Porcquiroule, chuis pas chien…
http://earthobservatory.nasa.gov/blogs/earthmatters/2016/09/12/heres-how-the-warmest-august-in-136-years-looks-in-chart-form/?utm_content=buffercc30f&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer
envoyer un poème de Malarmé à Mireille Mathieu… (berguenzinc)
Malarmé, qui c’est çui-là, demande Mireille qui, dans la foulée se met à réciter « Le vierge, le vivace… ». Stéphââââne !
je vous ferai tout de même remarquer, Berguenzinc, qu’on ne peut qu’avoir peur d’un bolchévique.
D. dit: 15 septembre 2016 à 16 h 04 min
mais vous retardez…y en a plus des bolchéviques…fini…a pu…y a plus que quelques fossiles pourrissant en Russie. Par contre, vous les fachos, ça n’a pas l’air de trop vous déranger…
Quelques graphiques pour impressionner le bolo boboïde, et voilà la bête conquise. l’homme pourrit la planète !
Quel délassement de revoir la peur de l’an Mil ressurgir sous forme d’angoisse écologique chez les petits maitres du discours littéraire creux.
Croyez à vos théories, mes enfants ! vous êtes intellectuellement armés pour avoir tout faux ! Et remettez votre bolchevique dans votre culotte : elle dépasse vilainement …
Par contre, vous les fachos, ça n’a pas l’air de trop vous déranger…
ro l’ote
Les Bolchéviques c’est bien mais havec les oreillettes ; y avait de sacrées affiches !
Si les imams devenaient rouges, à mon avis ça vaudrait pas le train de Стрельников…
si l’mamouth a trop chaud faut faire comme allègre..ldégraisser
qu’on ne peut qu’avoir peur d’un bolchévique
hon peut pas havoir peur dla fée électricité dédé
Il est vieillissant, le Berguie !
Bolchevique ? fascisme ? nazi ? fachos ?… on sent le référentiel WWII qui continue à lui servir de feuille de vigne. Peuchère…
Ignorons ce vieux bonhomme !
amener 97% de la population scientifique mondiale à « argumenter »
..la communauté scientifique mondiale et un lobi faschiss et hantisémite
Oui, ce jour-là, ça va être très drôle, la Rdl…
Mais non, vous n’avez rien compris, mes petits chéris :
« Et le désir s’accroît quand les fesses reculent » Pierre Cornec.u…
l’mamouth a chaud au cul
La gabegie continuait à l’Opéra de Paris, autre mammouth républicain :
« En 2014, la facture de taxis s’élevait à 100.000€. Plus grave, ces trajets étaient effectués – entre autres – par quatre dirigeants qui disposaient déjà de voiture avec chauffeur. »
Le vaisseau, qui coule, sera rattrapé par les fonds publics, malgré sa gestion désastreuse :
« Enfin, c’est surtout le recrutement raté de Benjamin Millepied comme directeur de la danse qui a plombé la saison. »
Millepied, directeur de la danse ! et on n’a pas imaginé une seconde que ça allait direct à l’embrouille, à l’entrechat difficile, à la chorégraphie suicidaire ? …
De Joachim
Je ne chante (Magny) je pleure mes ennuys
Ou, pour le dire mieux en pleurant je les chante,
Si bien qu’en les chantant, souvent je les enchanté :
Voyla pourquoi (Magny) je chante jours et nuits.
Il vivait avec Nathalie Porte man pourtant.
mille pieds => 250 par voiture.
Je sors tête basse âme contrite
Missié Jibé, il a laison!
Edwuar Loui est un gland écrivain…
C’est un aptonyme que de s’appeler Millepied et d’être danseur… mais avec pédicure, ça marche aussi..
lu aujourd’hui « thank you for comming » (sic) de la part d’une de ces innombrables associations spécialisée dans l’excellence, bon, faut admettre qu’en mettre trois ils oseraient pas, ils préfèrent rester globishement modérés…
spécialisées (arf)
ça sentait assez fort l’influence germano pas pratine
Il s’appelle Millepied, sans « s » à « pied », comme pour nous avertir que quelque chose cloche.
oyé kéfalé kéfalé… dit: 15 septembre 2016 à 17 h 15 min
« Missié Jibé, il a laison! Edwuar Loui est un gland écrivain… »
Un gland, c’est suorw ! Ekwivain, c’est moins suorw !
Pas cloche mais boîte…
Pas boîte mais court. Comme missiė Court.
C’est une chausse trappe
croche
pousse
valet de
doigt de
chausse
de nez
bot
casse
chauffe
gai
de porc à la Ste Menehould
en cap
tendre
droit
Millepied à la danse
Pistone à la musicologie à Paris IV
Derrida à l’Almanach Vermot
de biche
taille
Le jour où Passou nous colle un billet sur Heidegger dans les naseaux, de quoi hon va parler ? Sergio le 15 septembre 2016 à 15 h 35 min
de Handke le négationniste ?
ach, il y a des compromissions compromettantes.
Saint Jean …. de Port
ta terre
mais vous pouvez continuer de marcher en courant, Sergio.
Au fait il y a bien une frontière qui a coupé la ville de Metz. Les pierres s’en souviennent, entre les pierres d’un sale gris d’importation, et les pierres de Jaumont.
Handke, qui pour être une grand écrivain, n’en est pas moins un bien piètre politicien avait outenu à fond la Serbie de Milosevic, au point d’être allé à l’enterrement de cette raclure. Et son traducteur d’alors s’est fait gruger. L’amitié rend souvent aveugle .
Fontane aurait dit « Irrungen, Wirrungen » ,errements et tourments.
<Maintenant, Balai de Chiottes, si vous pensez m'enfoncer en faisant allusion à la bourde susnommée, vous vous mettez le doigt bien profond où je pense, parce que , quelqu'erreur qu'il aura pu faire, "le traducteur de Handke" en vaut cent millions comme vous.
Calamba !!!! encole lâté !!!!
de grue
destal, ça c’est pour Mandelstam…
javert, tu travailles à temps masqué pour quel mammouth, twa, le ministère de l’intérieur ?
Ach, il va falloir encore dégraisser de ce côté-là.
« L’amitié rend souvent aveugle »
ça avec ta conseillère en com’, on l’a bien compris ducon.
oulala pas contente, Balai de Chiottes….
Hugo, pour ne pas oublier Gérard Rondeau…
« Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. »
« Millepied, directeur de la danse ! et on n’a pas imaginé une seconde que ça allait direct à l’embrouille, à l’entrechat difficile, à la chorégraphie suicidaire ? … »
Voilà que JC plagie Audiard !
Oh wala cricri et son cortège funèbre…
C’est qui, Balai de chiottes ?
« Dans les années 70, je suis parti très jeune comme coopérant au Sri Lanka pour diriger pendant deux années une Alliance française. Nous étions alors empreints de certitudes, gauchistes et persuadés, pour revenir à Polemos dans votre précédente question, que le combat était père de toutes choses. Ce long séjour en Asie, qui fut comme une ouverture formidable sur un autre monde, élimina mes certitudes, m’apprit à voir, à apprendre, et bouleversa à jamais mon rapport à la vie, au temps. Pour revenir au « Grand Jeu », c’est certainement là-bas, sans encore le formuler, que je compris que le « Grand Jeu » était irrémédiable et qu’il ne se jouait qu’une fois. »
G. Rondeau
http://le-poulailler.fr/2016/01/politiques-de-lamitie-entretien-avec-gerard-rondeau/
devine !
christiane dit: 15 septembre 2016 à 19 h 24 min
Hugo, pour ne pas oublier Gérard Rondeau…
Hugo frais….dis-moi Léopoldine,
où est-il donc passé,
ce beau canot tout neuf
que je t’avais acheté…
Tu te souviens sans doute
Au castorama de Villequier
javert, un toubib a échoué à te soigner Tu devrais reprendre l’annuaire. Il y en a bien un qui viendra à bout de ton vice.
Bel à propos, La vie :
« Je crois en la vertu du silence. C’est souvent la plus belle, la plus intense des communications entre deux êtres. Et je crois justement en la vertu des images que j’appellerai silencieuses : celles qui vous renvoient vers une interrogation, un doute, vers l’histoire des autres, vers le regard d’un semblable et vers votre propre regard. La photographie résume, et en même temps, elle ouvre vers un imaginaire. Elle est source d’ailleurs. »
Gérard Rondeau
ben voui, cricri, c’est comme le port salut, c’est écrit dessus.
Milosevic ? Un saint homme, qui avait vu juste …
Rebeyrolle ou le Journal d’un Peintre (Extraits)
https://www.youtube.com/watch?v=xYqf2kQMLBA
blurp
Ce soir j’ai mangé des oeufs-bacon-salade.
Le correcteur d’orthographe me propose culs-de-bassefosse en remplacement, j’ignore pourquoi.
Les cahiers rouges Grasset publient une « version non censurée » du Portrait de Dorian Gray. Acheté par curiosité.
Fille à la Voilette
Il existait des glacières. Assez curieusement, celle que j’ai vue est à Williamsburg, c’est du Dix-huitième siècle bien restauré, comme toute la ville, par la munificence du Rockfeller d’avant 1940. pour les temps plus anciens, il y a la lettre de Pline pour un festin « tu fourniras la neige », mais il ne nous dit pas comment il la conservait!
A partir du moment ou le Jardin est aussi un lieu de puissance, il est inévitable que de grands canaux apparaissent. La scénographie de celui de Vaux est spectaculaire, mais il faut compter certes avec le Roi, mais aussi avec Condé. Un des problèmes de Vaux tel qu’on peut l’imaginer par ce qui reste est à mon sens de s’approprier une symbolique royale. Ce que Richelieu n’a pas fait dans le château qui portait son nom , ni au Palais Cardinal d’ailleurs, pas plus que Colbert à Sceaux.
E.O pour Eric Orsenna.
L’état de Villers-Cotterêts est calamiteux et le château est invisitable pour cette raison Son état est actuellement aussi désastreux que les parties de Fontainebleau non ouvertes au public, ceci malheureusement de source sure.
Bien à vous.
MC
la vie dans les bois dit: 15 septembre 2016 à 18 h 57 min
Au fait il y a bien une frontière qui a coupé la ville de Metz.
Au moment des trois évêchés, donc tout le temps jusqu’au rattachement de la Lorraine, Metz était bien une enclave française en territoire lotharingien, puis en terres d’empire ; c’est peut-être tout simplement de cet ordre…
« c’est peut-être tout simplement de cet ordre… »n Sergio
Je ne pense pas, non.
Et plus c’est simple, plus c’est complexe.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rundbogenstil
En ce moment Sarkozy dans « L’Emission Politique » – LEP :
lamentable a souhait, nous ressert son minable programme réchauffé de 2007, démagogique au possible, incapable de hiérarchiser les problèmes, charisme envolé, autorité et respectabilité perdues; ne fait-il pas pitié, avec ses tics qui s’aggravent ?
la vie dans les bois dit: 15 septembre 2016 à 22 h 57 min
Et plus c’est simple, plus c’est complexe.
Ca commence à me revenir : il y aurait quelque chose de visible (donc effectivement des pavages, des murs) dans la gare allemande, située à bonne proximité de l’actuelle.
Metz est ,par son vieux centre, serré autour de la Carhédrale, une vile française, jusque dans sa pierre.
En 1871, quand l’annexion fut devenue « définitive » le Second Reich, initié par Guillaume premier à Versailles puis ratifié le 18 janvier 1871, l’Ammemagne décida de germaniser les villes, grandes ou petites dans ce style « gréseux wilhelminien, néoroman » s typique. Or, il fallait frapper les opinions, d’où une nouvelle ville dans le Quartier de la Gare, avec la Gare Centrale, la Poste et de larges avenues qui rappellent absolument les grandes villes allemandes. Même processus de juxtaposition urbaine à Sarrebourg, Sarreguemines, etc…En Alsace, déja urbanistiquement germanique, les nouveaux quartiers wilhelminiess crûrent autour de centres déja « allemands » ou , du moins alémaniques Colmar et Fribourg Strasbourg et Heidelberg ou Ulm ont plus d’un point commun.
Dernière chose, les trains roulent en Alsace Lorraine, comme en ALlemagne et donc à l’inverse de la France. Des « sauts de mouton furent aménagés aux points exacts de l’ancienne frontière. Voilà.
Le Presbytère d’Yves Gibeau (Extraits)
https://www.youtube.com/watch?v=DUWGhwBkzHg
…
…ce qui manque le plus,!…
…pour vaquer mieux à son jardin, et autres métiers s’il en reste,!…
…
…c’est une théâtralité cinéma des histoires invisibles pour des saint châtelains,!…
…
…en fin de journée,…réunions des saint anges,!…en suite et rondes,!…
…un tel , m’avise de cela,…nous restons et continuons,…dans l’aile sud,…j’ai pris des aveux à vérifier pour l’octroi d’une résidence convoiter,…près de la sacristie après la fontaine, des échanges pourparler aux parfums d’innocents à communier,!…
…
…Hé, bien, dis donc,…en être comme de la sanguine, à vous démouler entre ces lustres du château des anges,!…tenez-vous bien,!…
…
…toutes ces histoires d’Ô,…elle sont bien droguées, pour nous mettre en pièces encore bandant pour rien,!…
…attention au peignoir, bien serrer votre nœud,!…au saloon,!…ce soir,!…
…le grand Dallas en ses familles pour une bananes vanille ou chocolat,!…
…avec deux boules glacées à lécher,!…
…etc,!…
…pas mieux, avec du chiffre à rien foutre,!…
…demain, ces châteaux en suite,…réunis,!…
…feuilletons,!…en feuilletons,!…
…les vies privées en peignoirs, à la bande armée de tous poils,!…une lune de derrière les gigots,!…encore un Bordeaux au vent bien retranché, hissons haut, la main a la bouteille,!…etc,!…
…
…la lecture pendant les heures de bureau,!…veillez au grain,!…qui pousse,!…
…tantôt,!…
…
…ainsi font font font les petites marionnettes, Trois p’tis tours et puis s’en vont,!…
…des histoires monter en épingles,!…
…
…mon 23 h 33 min,!…éclipser en modération,! Ah,!Ah,!…
…
Petit rappel 22h27. Service parfait. Williamsburg en Virginie, je suppose,je chercherai.La glacière était indispensable aux Romains, la villa de Montmaurin a des viviers d’eau de mer, des centaines de coquilles ont été trouvées. Très beau site; que j’ai visité . Pour Versailles,la question est cruciale:lorsque toute la Cour sera au grand complet, il faudra la nourrir,donc avoir des réserves, fraîches et comestibles; fruits de mer, poissons sont des mets de choix; qualité, originalité,quantité.Vaux ou les châteaux de la loire peuvent renseigner. Versailles est une entreprise, florissante ? combien de chambrières, de valets, payés combien? même s’il est dit que la saleté est partout installée. Ne cherchez pas, je vais me faire une biblio. Versailles est donc ruineux; mais, »nec pluribus impar » le Souverain brille en Europe même s’il manque de sous.
Fontainebleau est immense, entretenir un tel bâtiment est une folie; il faudrait imiter Vaux, fêtes, mariages, expos,trouver une manne céleste !
Villers-Cotterêts est à l’état d’abandon. Publicité ? Je connais un vieil édifice,quasi abandonné, à grands frais restauré, remarquable; la suite? il est fermé ! projets? aucun.Incompétence.
E.O. (j’aurais dû y penser..) c’est un actif !!
Dilemme: trouver des fonds nécessaires, donc privilégier des solutions mercantiles et culturelles. Merci.
Prendre son
à coulisse
de poule (déjà écrit ?)
s Nickelés
mettre à
lever le
Moi aussi j’ai mangé deux oeufs de poule avec de la ratatouille maison. Je mets à chauffer je creuse un trou je casse l’oeuf. J’avais un petit pain que j’ai volė à la cantine.
Dans la gare bâtie par Mussolini à Saint Dalmas de Tende vallée de la Roya lorsque je l’aurais achetée le bâtiment sera coupė en trois lieus d’accueil hôtelier : à gauche Auberge de Jeunesse à droite camping pour les familles nombreuses au milieu hôtel cinq étoiles. Moi je gérerai le restaurant.
on sera collectiviste comme dans un phalanstère. Ceux qui veulent lire auront un rythme de tâches allégé.
Parfois je m’absenterai. Au retou, mes affidés auront été magnifiques mieux qu’en ma présence parce que débarrassés du souci d’attirer mon attention.
Tous ceux qui désirent partir le pourront mais ne le feront pas.
Au retour.
j’obtiendrai l’autorisation de me faire enterrer sous le kiosque à musique près du système qui gère les fontaines. Le fontainier sera chargé de ma tombe.
A Turin ils la Mairie ont ouvert au grand public au peuple à bibi les jardins du roi dans deux lieux.
palazzo reale.et veneria reale
faudrait sortir les robes pour arpenter les jardins
A Veneria reale ils ont réemployé l’Orangerie pour y installer une exposition photo.
Citronniers et orangers ont grand besoin de chaleur l’hiver.
Chez un homme politique, la question n’est pas de connaître ses projets, ce qu’il a l’intention de faire une fois élu, la question est de savoir s’il aura le courage de faire ce qu’il a promis !
Chez une femme politique, c’est pareil …
De quoi vont vivre les migrants en Europe ?…
Le démantèlement de la Jungle de Calais, tel qu’il est présenté par le nain Cazenave, est la chose la plus stupide que ce gouvernement de faux-culs nous ait vendu, l’exclusion de l’IdF et de la Corse, la manip la plus honteuse …
La baleine Europa échouée dans la croissance molle et la démographie faible, avec ses 500 millions d’habitants au niveau de vie considérable, n’a pas réalisée qu’en face d’elle l’Afrique explose, avec un taux de fécondité à 4,7 enfants par femme pour 1,6 enfants en Europe …
Les imaginatifs n’auront pas besoin de dessin pour prédire l’avenir tout proche.
Population totale de l’Afrique en 2014 : 1,1 milliard d’habitant ….
…
…bon,!…rétabli,…
…
…mais, si, j’adore notre Nicolas Sarko en plumes,!…bientôt au moulin rouge,!…
…
…il a tout vrai,…l’alliance éternelle avec la Russie,!… vilipendé par l’Oeillande,…et son clan à cinq bîtesfaces,!…
…son avènement, après le problème de l’immobilier aux U.S.A,…son système de » sauver » la France,!…toujours et encore,!…
…bien sur,!…
…mais enfin,!…aussi sa capacité, à intervenir en Libye, faire front en chef de guerre,!…bon,!…
…
…juste une grande lacune, être seulement ministre des affaires étrangères ou de la guerre des paradis fiscaux a venir,!…
…
…la réalité,…et principes pour une France forte,!…à ne rien colmater, des événements à fragiliser le bien-être du citoyen français,!…
…et de plus, et pas des moindres,… » prévoir et anticiper » les évènements, of course,!…sur tout les échiquiers mondiaux,!…
…autrement, des présidents » obsolètes « ,!…juste pour du chiffre à se faire plaisir entre les 200 familles, les plus riches de France,!…et leurs larbins lèches-culs,!…vivre la France à ses pourboires et retours d’ascenseur,!…
…les pieds dans le plat, à ses heures,!…
…Stop ou encore,!…Ah,!Ah,!…
…le ridicule ne tue pas,!…etc,!…Go,!…
…envoyez,!…
« … Veneria reale… »
La VenAria Reale, rose:
[Accent sur l’avant dernière sillabe (ve-na-rì-a). Le mot vient du latin « venari ».]
JC….. dit: 16 septembre 2016 à 6 h 36 min
De quoi vont vivre les migrants en Europe ?…
Eh bien, on pourrait les lancer à l’assaut de Porquerolles, où ils se nourriraient sur l’habitant.
Jean, votre sens de l’humour est merveilleusement développé !
Et maintenant une autre question : « De quoi vont vivre les migrants en Europe ?… »
christiane dit: 15 septembre 2016 à 19 h 24 min
Hugo, pour ne pas oublier Gérard Rondeau…
« Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Vers Sion, contemple, ô Reine :
Deux mains ! Deux lobes !
Ah! le Roux !
Blanche ? Il l’a qu’en pagne.
Jeux, pardi ! Ré !
Voitures… Jeux secs… Tue ma tante !
J’irai par là qu’en pagne.
J’irai par là. Monte, âne !
Jeune puits, demeure…Eh ? Pilule on tend.
JC….. dit: 16 septembre 2016 à 9 h 23 min
« De quoi vont vivre les migrants en Europe ?… »
Les migrants gratteront la moitié des revenus des Européens. Question : pourquoi ?
Les migrants gratteront la moitié des revenus des Européens. Question : pourquoi ?
Réponse : parce que les migrants sont des oiseaux mi-gratteurs
8h19 Merci renato, c’est fabuleux et tentant, j’imaginais Turin dénuée d’âme, industrielle, sans intérêt . De toutes façons , je n’irai pas pas plus qu’à Chambord Chinon Azay-le-Rideau, vissée par mes circonstances et bien que de toutes ces images qui parfois dissuadent ou usent l’envie du voyage naisse aussi une sérieuse frustration qui s’alimente de tous ces lieux qui éveillent désir et curiosité.
Excellent, Jean ! Tout particulièrement dans le billet nécrologique de Passou pour un ami cher. Osons ! Soyons fous …
Jean, je tenais à vous remercier pour votre bonne humeur.
D, je tenais à vous remercier pour votre opportunisme que guide une estime, un respect, une amitié sûre pour Jean lequel est souvent mal vu, ici, on se demande bien pourquoi ?! …
Mon petit D*, savez vous que Josette son épouse le bat, notre Jean, « Pour l’attendrir » dit elle…
(* terme affectueux, Votre Grandeur, ne vous méprenez pas …)
Bérénice, sachez que la traversée en train de la banlieue de Turin est une véritable épreuve, à déconseiller à tout dépressif. En plus elle est interminable. La seule consolation qu’on puisse en tirer c’est que c’est d’ici que sortent ces si belles et bonnes voitures que sont les Alpha-Roméo, surtout côté motorisation.
Je ne dis évidemment pas la même chose de Fiat…
Parfois, elle m’épate… Elle descend du ring, enlève ses gants de boxe et offre une gerbe de liens tous plus beaux et plus profonds les uns que les autres :
Un entretien incontournable pour qui veut connaitre ce qui meut Gérard Rondeau (avec Fabien Ribery -revue Le Poulailler) – 19h34
Quelques photos et cette pensée sur le silence – 19h27
Cet extrait d’une quête du regard dans l’atelier de Rebeyrolle – 19h53
Des pas dans la maison de l’ami, Yves Gibeau, qui n’est plus là, envahie par la végétation et le silence – 23h28
Je regarde, j’écoute, impressionnée par ses éclats de lui. Sa voix surtout fait mal, ou son image fugitive car c’est de mort qu’il s’agit et de chagrin dans le billet pensif de Pierre Assouline écrit pour faire de la vie à contre-mort.
Demain, oui, le « cortège funèbre »…
Ici, les amis ont salué, émus, le billet, l’amitié. Puis les conversations et les polémiques ont repris comme va la vie sur la RDL.
C’était hors-champ de la rentrée littéraire, un billet comme une confidence, des photos regardées dans la nuit.
Une mort au milieu de tant de morts… Souffrance… répétition sérielle qui accompagne sa, notre, traversée jusqu’au moment où nous serons celui ou celle par lesquels la série continuera. Indivision des vivants et des morts. Métamorphoses. Voix et visages enregistrés avant l’oubli, quand les strates du temps auront effacé les témoins, quand celui qui aimait aura disparu et qu’il n’y aura plus personne pour border sa mémoire.
L’amitié ne s’explique que par ceux que nous aimons, mêlant le périssable de toute vie et le souvenir. On est alors dans les terres très anciennes de la mémoire et dans celles du désastre de la mort.
Silence, oui. Merci La Vie.
Tout disparaîtra, tous ces « je »… tous ces « tu », sous quelques pelletées de terre dans un fracas de lumière et d’ombre, de noir et blanc. Granit inusable des seuils. Cicatrices…
Vos fréquents séjours dans Alpha Centauri vous égarent, mon bon D : on écrit Alfa Romeo … !
JC….. dit: 16 septembre 2016 à 9 h 48 min
Excellent, Jean ! Tout particulièrement dans le billet nécrologique de Passou pour un ami cher. Osons ! Soyons fous …
Paon dans l’aronde … Elle, l’aronde… Oh !…
rose dit: 16 septembre 2016 à 4 h 17 min
Citronniers et orangers ont grand besoin de chaleur l’hiver.
–
J’ai l’impression que vous n’y connaissez pas grand chose en horticulture pour avoir écrit ça, Rose.
Ces arbre ont besoin de froid l’hiver, entre 0 et10 degrés, le mieux etant 0 la nuit et 10 le jour. Mais surtout pas 15 à 20 la nuit. Ils ont aussi besoin d’une bonne lumière natureĺle tamisée. Et aussi une humidité contrôlée. 60 pour cent c’est parfait, 20 pour cent ou moins fera chuter les feuilles en hiver, 80 à 100 les fait pourrir. Etonnament ils supportent très bien d’être recouverts de neige quelques heures, pourvu qu’il n’y ait pas de fort gel en même temps.
« Réponse : parce que les migrants sont des oiseaux mi-gratteurs »
Jean, vous faites un concours avec Berguenzinc?
Quittons nous sur un conseil que, pour une fois, vous n’aurez pas à payer sur facture comme je l’exige usuellement :
« Lisez La Lucidité de José Saramago le Nobel de Littérature portugais… Lisez le avant 2017 : c’est grand ! »
closer dit: 16 septembre 2016 à 10 h 14 min
Jean, vous faites un concours avec Berguenzinc?
Bière,
Tu es bière qu’en zinc,
Et sur toi je baptiserai mon nez ! glisse !
Pas du tout. Sur la photo, la dame à des gants de skis, pas des gants de boxe. Faudrait voir à rester sur le bon Chemin.
fautes de français inadmissibles, ça m’ épate moi-même.
Turin sans âme, bérénice !
Vous devriez lire ce petit ouvrage de l’un de mes confrères en goût de… !
http://www.gallimard.fr/Catalogue/MERCURE-DE-FRANCE/Le-Petit-Mercure/Le-gout-de-Turin
Turhin et Danube….
Blagapar (-2347, -2301), Turin est , en effet, une ville formidable. D’abord par le site, avec les Alpes dans l’horizon bleuté, et puis, cette atmosphère si particulière que l’on retrouve à Milan, celle d’une Italie alpine, un mélange entre Lyon et Vienne. Une ville sans fleuve. Quand on y arrive en train, car il faut y arriver en train, en venant de Cuneo, par exemple, on a, enfin « on » !!! , su moins j’ai eu cette sensation , plus forte que dans aucune autre ville, d’être à bord d’un paquebot fendant la mer des maisons. On y pénètre comme si l’on voyait une pièce de théâtre depuis les coulisses. La ville n’est pas livrée au train , mais aux rues…là, elle se rengorge , fait la belle, avec ses places , rapidement entr’aperçues, ses maisons dont on devine la façade; mais côté du train, les ficelles , le bricolage du décor, des encorbellements de cours avec des fenêtres ouvertes..puis soudain, la grande Gare de Porta Nuova…
Turin, je m’y suis attaché. J’en suis parti à regret. La Place St Charles…avec ses pigeons, et ses deux églises jumelles est tout bonnement une sorte de place idéale, dans une mécanique urbaine somptueuse. Et puis….qu’est-ce qu’on mange bien à Turin…comme d’ailleurs dans toute l’Italie.
fautes de français inadmissibles, ça m’ épate moi-même.
le fond, la forme, l’emballage, tant de choses appelleraient à correction, un peu comme la délinquance en col blanc plus difficilement repérable quand elle serait justiciable. Sans doute avez-vous raison toutefois de soigner ce qui est de l’ordre du remédiable, ça vaut pour pattes blanches. Quant au fond du commerce, n’y changez surtout rien, ce n’est plus la peine.
bergueune va écrire un gout d’baroz havec sa mécanique somptueuse
pour le Vieux Débris, toujours à considérer les syndicalistes comme des feignasses, n’a qu’a suivre ce lien:
crevez , avec La Poste…
doulce France….
Lisez La Lucidité de José Saramago
t’as l’gout des sales bolchévic
Cela-dit il faut relativiser : Turin ne sera jamais rien d’autre que Turin, et ceux qui sont en quête d’absolu n’ont aucun interêt à y aller, Jibé ne me contredira pas sur ce point.
Les migrants gratteront la moitié des revenus des Européens. Question : pourquoi ?
pasque tu léches la miburne à micouille
quête d’absolu n’ont aucun interêt à y aller
faut aller a vezoul..c’est certain
@la question est de savoir s’il aura le courage de faire ce qu’il a promis.
Mais si votre mentor est LUCIDE sur son électorat, y a pas de souci à avoir…, on sait déjà qu’il « a la probité vierge ».
http://dvalot.free.fr/pictures/pontsrhone/Pont_Lafayette_DSF_2040.htm
un mélange entre Lyon et Vienne. Une ville sans fleuve?
des twitts signalent une sorte de « querelle des investitures » diffamatoires remontés en justice et vidée ce jour même entre deux Frédos. C’est Pottecher qui nous en aurait fait un miel.
@ bérégovnice, je n’ai évidemment pas dit que Lyon était une ville sans fleuve ! Vous me renez vraiment pour un khon…c’est navrant. Quant à Vienne, pusique vous savez tout, je vous ferai remarquer que le Danube effleure la ville mais ne passe pas en son centre.
Et puis, vous en connaissez beaucoup, vous des villes de la taille de Turin, sans fleuve pour la traverser?
http://www.voyagesphotosmanu.com/Complet/images3/pont-turin-gr.jpg
Nous bénéficions du même style d’ouvrage, ici.
Janssen, bonjour, mais qui sont les deux Frédos?
Pour l’absolu, D., celui-ci qui paraitra en octobre ?
http://www.mercuredefrance.fr/livre-Le_goût_de_l_absolu-9782715238626-1-1-0-1.html
je me permets de vous rappeler qu’à Turin, le Pô là aussi, n’effleure que l’Est de la ville. Enfin, bref, c’est sans importance.
L’extrême droite pour la destruction de la maison d’Hitler
L’extrême droite pour la destruction de la maison d’Hitler
Vienne | Le candidat d’extrême droite à l’élection présidentielle autrichienne, Norbert Hofer, s’est déclaré favorable à la démolition de la maison natale d’Adolf Hitler et a indiqué vouloir améliorer les relations avec la communauté juive.
«Eh bien, les seules options existantes sont de faire de cette maison un musée ou de la démolir. Si vous voulez mon opinion, je serais pour qu’on la démolisse», a déclaré M. Hofer, cadre et député du parti d’extrême droite FPÖ.
Plus tôt cette année, le gouvernement a approuvé un projet de loi visant à exproprier le propriétaire de cette maison située dans le centre de Braunau am Inn, près de la frontière allemande, où est né le dictateur nazi en 1889.
Protégé
Cette procédure vise à éviter qu’elle ne devienne un lieu de pèlerinage pour nostalgiques du IIIe Reich. Le statut du bâtiment pose néanmoins un problème pour son éventuelle démolition. Il fait partie du centre historique de la ville et se trouve ainsi sous la protection du patrimoine.
M. Hofer a également fait part de son souhait d’améliorer les relations de son parti avec la communauté juive autrichienne, l’IKG, qui représente quelque 15 000 personnes. »
paru dans « le Journal de Montréal »…
Tout ce qui vient de l’extrême-droite est sujet à caution….je sens une embrouille quelque part. Maintenant, si la Le Pen décidait de foutre en l’air la tombe du Maréchal Putain, ce ne serait pas plus crédible…
Tout le monde se fout de ce que chacun pense de Turin …
http://www.journaldemontreal.com/2016/09/11/lextreme-droite–pour-la-destruction–de-la-maison-dhitler
de ça aussi, on s’en fout, le Vieux Débris?
A la place de la maison d’Hitler, une synagogue ou une mosquée ?
non…un dépôt Butagaz !
jibé décidément la pensée devient binaire, une métamorphose qui nous évitera le choix du culte, un bénéfice tout compte fait, combien d’arbres seront épargnés dans cette économie du papier non recyclé et cette amputation des diverses branches qui font que l’homme se perd alors que tant de pèlerins pas encore écrasés nous indiquent l’unique pensée qui vaille qu’on dépense d’un coup sa vie pour rendre service au prophète.
Berguenzinc la maison du führer c’est quand même pas Palmyre! on ne va pas chipoter sur cette trace d’une histoire bien encombrante.
bérénice dit: 16 septembre 2016 à 12 h 52 min
je crains que vous ne compreniez pas grand’chose, décidément . C’est une excellente initiative de bousiller la bicoque de cette saloperie. Seulement, que ce soit justement l’extrême-droite qui le préconise, ça ne vous met pas la puce à l’oreille?
Il y a aussi la quête de l’Absolut, si on peut dormir tard le lendemain.
C’est d’ailleurs le genre d’absolu qu’on mélange volontiers, hein mon Colonel ?
Il y a du pour et du contre, la voir se transformer en lieu de mémoire – le musée – ou en lieu de culte néo-nazi donc la détruire.
passou passe au journal de FR 2 … dictionnaire amoureux des écrivains.
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