
Pour saluer Jean-Pierre Azéma
L’historien Jean-Pierre Azéma nous a quittés hier à l’âge de 87 ans.
« Dis-moi ce que tu n ‘aimes pas et je te dirai qui tu es ». Jean-Pierre Azéma n’aimait pas… Par exemple, Au revoir les enfants, film comblé d’honneurs, grand succès international, parce que Louis Malle y traite de deux sujets que connaissait bien notre historien – l’internat et l’Occupation – mais d’une manière qui lui hérisse le poil : « De l’esbroufe ! Du toc ! Tout sonne faux ! » Antimallisme primaire ? Pas du tout : « J’avais beaucoup aimé jadis Les Amants, c’était un de mes films-fétiches ; avec Lacombe Lucien, j’ai commencé à prendre mes distances, à cause de ses concessions inutiles à la mode rétro. Cette fois, je suis plus sévère à cause de l’exploitation qui est faite des gosses. Louis Malle n ‘a pas compris grand-chose, ni à l’époque ni au fonctionnement d’un pensionnat. » C’est dit sans violence mais sans ambages. Il sait de quoi il parle. L’internat et l’Occupation, justement, c’était sa vie.
Vous auriez reconnu Jean-Pierre Azema à ceci qu’il ne portait jamais de cravate et qu’il avait toujours, en revanche, une écharpe autour du cou. Tout le contraire de ce qu’on imagine des messieurs de Sciences-po. Mais ce n’était pas de la désinvolture. Jean-Pierre Azéma, quand vous l’interrogiez sur lui-même, hésitait d’abord, puis il finissait par s’expliquer en termes de génération. 7 ans à la Libération, 25 lors de l’indépendance de l’Algérie, 31 en Mai-68. Puis un mariage et trois enfants : « La famille, la vie de couple, c’est l’essentiel, c’est bien notre génération. » L’homme vous devenait vite attachant par ses valeurs, ses principes et sa complexité, tout en vous étonnant par son langage : là, il ne s’agit plus de génération, il était le seul à truffer ses phrases de l’argot khâgneux de la fin des années 50, comme si la blouse grise de l’éternel pensionnaire lui restait collée telle une tunique de Nessus. L’historien était respecté sinon admiré par ses étudiants, ses travaux sur la France de 1938 à 1948 faisaient autorité… Mais il n’avait pas choisi cette période par hasard. C’est ici que nous retrouvons son « ego-histoire » – dans laquelle l’histoire personnelle, singulière, entremêle ses effets à ceux de l’histoire de sa génération.
Il était né à Paris mais des Azéma, on en rencontre un peu partout – surtout dans le Midi. On en repère déjà un dans Montaillou. Son père, Jean Azéma, originaire, lui, de l’île de la Réunion, militait à l’extrême droite. Journaliste, il écrivait dans Je suis partout, l’hebdomadaire de Robert Brasillach, et dans les journaux de Jacques Doriot. Après 1940, il bascula dans le clan des collaborationnistes. Lié à Jean Hérold-Paquis, l’homme qui s’était rendu célèbre en répétant inlassablement : « L’Angleterre comme Carthage sera détruite », il travailla à Radio-Paris. Assumant ses idées jusqu’au bout, il s’engagea dans la division Wallonie et, condamné à la prison à perpétuité par coutumace, dut se réfugier après coup en Amérique latine. De ce passé paternel, le jeune Jean-Pierre et ses frères ne connaîtront longtemps que des bribes. Adolescent, à l’âge où sa curiosité s’éveille, il fut trimbalé d’internat en internat. Son véritable uniforme, c’est une écharpe qu’il ne quittait pas l’hiver et qu’il lui arrivait de porter même en été :
«Au départ, c’était une nécessité. Les récréations étaient longues et j’ai eu froid. C’est devenu une manière d’être. Quand je n ‘en porte pas, je me sens quasiment nu. »
Dix années de solitude, mais aussi de chaudes complicités, de parties de ballon et le goût inoubliable du café au lait cuit dans les grandes marmites. Il atterrit en première au lycée Lakanal, à Sceaux. C’était l’un des rares « bahuts » parisiens installés à la campagne, à tout le moins dans les arbres d’un grand parc, à avoir un stade, une vraie piste en cendrée… Les parents voyageurs jugeaient très sain de mettre leur progéniture au « bon air ». Dans ce qui sera son dernier lycée, Jean-Pierre Azéma fit la connaissance notamment de Michel Winock. Ils liront le Discours de la méthode sur les mêmes bancs et feront partie de la même équipe de football. De là l’origine d’une amitié fidèle. Il en naîtra des ouvrages en commun, le premier s’intitulant Les Communards, « un livre de jeune homme » comme dira un de leurs maîtres.
Le cursus universitaire est classique : hypokhâgne, khâgne, agrégation. En Sorbonne, il fut marqué par l’enseignement d’un médiéviste, Édouard Perroy. Mais il alla tout autant écouter les cours de Ricoeur et de Jankélévitch. Comme pour les étudiants de sa génération, la guerre d’Algérie lui servit de révélateur politique. Il milita à l’UNEF, dominée par les « cathos » de gauche et en garda la conscience d’appartenir à une « génération éthique » – celle qui protesta contre l’usage de la torture par l’armée. Peut-être avec une certaine bonne conscience d’elle-même mais Jean-Pierre Azéma n’éprouva nulle envie de donner des leçons. Il lui en resta des principes, quand bien même ses idées politiques se nuancèrent : « Je ne voterai jamais à droite (sauf pour faire échec à l’extrême droite). » En 1962, il était à la limite de son sursis. Les accords d’Évian lui épargnent le séjour dans les djebels. Mais il mesura encore les enjeux de cette guerre lorsque, deux ans plus tard, il fut expédié à Coëtquidan, comme soldat-professeur de deuxième classe, pour enseigner la « culture générale » aux saint-cyriens : une bonne partie des officiers resta marquée par les souvenirs des méthodes de « pacification ».
La « quille » venue, le voici à Troyes, puis dans les lycées Lakanal et Henri-IV (en ces temps de classes creuses du côté des maîtres et de classes pléthoriques du côté des élèves, les agrégés après un petit tour en province revenaient vite à Paris s’ils le voulaient). Enfin, il fut élu à l’Institut d’études politiques, SciencePo à Paris, qui deviendra sa maison. Il y était porté par son goût de l’histoire du temps présent :
« Par intérêt pour la vie de la Cité, par tempérament, par sensibilité. Et puis, je suis fils de la guerre. »
Ce n’est qu’en 1968 qu’il revit son père pour la première fois depuis la fin de l’Occupation. Il fit le long voyage d’Argentine. Il y rencontra un inconnu qui avait la tête d’André Breton, une élégance un peu désuète, des allures de grand seigneur. Le jeune homme de gauche écouta l’ancien « collabo ». Il découvrit chez lui une culture, une curiosité intellectuelle inépuisable, mais aussi des rancunes tenaces et parfois insolites (notamment contre Laval… « symbole de la démocratie ! »). Azéma fils évoquait avec pudeur Azéma père : « En causant, causant, causant, j’ai mieux compris ce qui avait pu le motiver. Cela a permis des relations plus saines. » Un an plus tôt, il avait suivi, à Sciences-po, le séminaire sur le gouvernement de Vichy dirigé avec la grande autorité qui était la sienne par René Rémond. Ce fut le déclic. Il s’immergea dans la période, lit la littérature existante qui ne lui procura que des satisfactions mitigées.
Un livre l’irrita particulièrement (« il faut le faire lire aux jeunes chercheurs comme contre-modèle ») : Histoire de Vichy (Fayard, 1954) de Robert Aron. Ce pavé, qui a pu passer pour un ouvrage de référence parce qu’il était à peu près unique sur le sujet, lui sembla détestable, et d’abord par la méthode : un jeu de citations extraites de sources jamais – ou rarement – référencées et qui se révèlaient être quasi uniquement des plaidoyers pro domo. Il faudra attendre les travaux d’Eberhard Jàckel (La France dans l’Europe d’Hitler) et ceux de Robert Paxton (La France de Vichy) pour disposer de bases enfin solides. Les premières recherches menées l’amenèrent à s’intéresser à Edouard Daladier, dont on venait de confier les « papiers » personnels à la Fondation nationale des sciences politiques. Jean-Pierre Azéma demeura convaincu que la biographie n’était pas un genre mineur. Elle valait mieux en tout cas que la réputation qui lui avait été faite. Un point mérite d’être souligné dans le destin de celui qui demeure pour la postérité le signataire des accords du 29 septembre 1938 avec Hitler : adulé sur le coup pour avoir « sauvé la paix », il deviendra, malgré une attitude plus qu’honorable pendant la guerre, une victime du syndrome de Munich et devra sous la IVe République se contenter d’occuper des strapontins. Parallèlement, Jean-Pierre Azéma utilisa les archives ramassées par le Comité d’histoire de la Deuxième Guerre mondiale, pour mener à bien la rédaction d’un livre que Michel Winock lui avait commandé au nom des Éditions du Seuil : De Munich à la Libération, tome XIV de la « Nouvelle Histoire de la France contemporaine ».
« Ce fut un boulot de chien… Plus j’avançais, plus les choses se compliquaient… L’impression que j’ai gardée de cette longue gestation est celle d’avoir été un coureur de haies qui en découvre une douzaine après en avoir sauté une. »
Désormais embarqué dans les années 40, il croisa naturellement un certain Jean Moulin sur son chemin et finira par lui consacrer une biographie Jean Moulin. Le rebelle, le politique, le résistant (Perrin, 2003). On ne savait pas grand-chose alors sur celui qui était devenu, par la vertu d’une oraison de Malraux au Panthéon, le héros éponyme de la Résistance gaullienne. C’est pourquoi Henri Frenay, qui s’était heurté à lui, en 1943, comme responsable du mouvement Combat, pouvait déclarer urbi et orbi, mais sans preuve, que Jean Moulin était en fait un « crypto-communiste », tout comme son ancien « patron » Pierre Cot. L’homme était suffisamment séduisant et secret, sa trajectoire suffisamment complexe, pour qu’il puisse être étudié à travers une thèse intitulée : « Jean Moulin. Une biographie politique, du républicain au fédérateur des Résistances en France. » En menant son enquête d’histoire orale, Jean-Pierre Azéma rencontra un témoin capital, Daniel Cordier qui fut l’auxiliaire et surtout le véritable homme de confiance du fondateur du Conseil de la Résistance. Suffoqué par les affirmations de Frenay, mécontent de l’à-peu-près des historiens sur le sujet, celui-ci s’était attelé à l’établissement d’une chronologie incontestable de la « Mission Rex », en se servant notamment de documents qui étaient en sa possession. Il avait été amené progressivement à élargir le champ de sa recherche et, fait bien rare, l’acteur de l’Histoire sut se muer en véritable professionnel de la recherche : ses livres ont bouleversé l’historiographie de la Résistance intérieure et toutes les idées reçues sur les enjeux politiques de la France livre comme ceux de Paxton l’avaient fait pour la Collaboration d’État, Il restait à Jean-Pierre Azéma de soutenir une thèse sur travaux axée sur la France des années sombres.
Tenace et loyal dans la vie (les témoignages sont unanimes), il était persévérant et minutieux dans l’analyse. Jean-Pierre Azéma vérifiait tout, se souvenant de la cabale qui avait été montée contre Paxton, lors de la sortie de sa France de Vichy : pour discréditer des thèses qui gênaient, on avait monté en épingle quelques erreurs minimes. Il arriva aussi que sa conception entière et éthique de l’histoire le rende injuste dans sa critique et intransigeant dans la discussion, mais il restait accessible lui-même aux critiques et savait parfaitement reprendre ou nuancer telle ou telle affirmation de la veille.
De l’Université, il lui était difficile de parler car la rue Saint-Guillaume est un monde à part et relativement privilégié : on y travaille dans de très bonnes conditions, en particulier grâce à une bibliothèque exceptionnelle. Il aurait voulu que le monde universitaire en finisse une fois pour toutes, malgré la concurrence de plus en plus vive autour des rares postes disponibles, avec ce qui subsiste de structures féodales relayées par les rivalités de clans et de chapelles. Un exemple de ces querelles de mauvais aloi : le reproche formulé explicitement à l’encontre de certains de ses camarades d’être des « historiens médiatiques ». Comme si c’était une tare que de savoir parler à la radio ou de passer à la télévision. Lui-même fut le conseiller historique de la série télévisée Un village français (France 3, 2009-2017). Il existait à cet égard une demande sociale : pourquoi ne pas y répondre ? Jean-Pierre Azéma regrettait, pour sa part, que les historiens aient été trop absents de la controverse publique qui avait surgi sur le passé de Heidegger :
« C’est dommage. Aux yeux de l’historien, Heidegger est le prototype d’un agrarien de droite, partie prenante dans le compromis de type autoritaire qui a permis l’émergence et l’affermissement du régime nazi. Son attitude jusqu’en 1944 et après la guerre est parfaitement cohérente. Discutailler sur tel ou tel morceau de phrase, comme s’entêtent à le faire bon nombre de ses groupies m‘apparaît parfaitement subsidiaire. »
Pourtant, depuis quelques années, ils étaient de plus en plus nombreux, les historiens, à prendre en compte les « enjeux », les « batailles », les « rejeux » de la mémoire. Pour lui, c’était une bonne chose. Sans doute les témoignages oraux ne pèsent pas lourd s’ils ne sont pas recoupés par des sources écrites qui demeurent incontournables. Reste, pensait-il, que le va-et-vient entre le vécu très immédiat et le passé proche crée de l’histoire. Reste aussi que l’historien du temps présent peut difficilement, quoi qu’il en ait, faire abstraction de son affectivité, de ses choix éthiques ou philosophiques, de son appartenance générationnelle, bref de son « égo-histoire », selon la formule de Pierre Nora. Ce qui implique qu’il pratique de façon systématique le travail de deuil.
Un sourire amusé, une poignée de main franche et directe et il vous quittait pour le cinéma : « Je suis prêt à beaucoup pour un bon film. » Sa silhouette se détachait sur le trottoir de la rue Saint-Guillaume. C’est celle d’un éternel étudiant. L’écharpe toujours, celle de l’éternel pensionnaire des années froides de l’Occupation dont il devint l’un des plus grands historiens, lui, le fils du collabo. « Oui mais, avant, je n’en avais qu’une pour changer l’autre ! Alors qu’aujourd’hui, j’en ai plusieurs, de couleurs différentes. Et pour l’été, eh bien j’en ai même en soie ! C’est ça le luxe… »
(« Un cinéma à Paris sous l’Occupation » photo D.R. ; « Jean-Pierre Azéma » photo archives Ouest-France ; Daniel Cordier pendant la guerre » ; « Carte d’identité du préfet Jean Moulin » ; photos D.R.)
1 236 Réponses pour Pour saluer Jean-Pierre Azéma
Belle réactivité, Passou.
Bravo !
L’homme vous devenez : devenait.
une thèse sur travaux axé sur la France des années sombres. axée ?
Corrigé, merci !
L’homme vous devenez vite attachant
les enjeux politiques de la France livre,
(le reproche formulé explicitement à l’encontre de certains de ses camarades d’être des « historiens médiatiques ». Comme si c’était une tare que de savoir parler à la radio ou de passer à la télévision. petit bémol : rappelons-nous quand même les dégâts irréversibles causés par les Castelot, Decaux, Chiappe et autres furieux extravagants -> au vu de leurs progénitures, eruggiéri, pdrouelle, etc, rptv, etc).
Papier intéressant, TDM.
Pour un historien spécialiste de la France, mourir un 14 juillet, est un clin d’oeil du Destin.
Condoléances à Madame Azema, nos chemins s’étant croisés . Un grand vide apparaît.
« devenez » au lieu de « devenait » ce n’est probablement pas la faute à Passou ,mais au robot, qui nous.a déja fait le coup comme je l’avais relevé sous un autre billet
« Vous » étant étant contigu au verbe ne peut être, pour ce grammairien numérique aux idées courtes , que le sujet du verbe, donc désinence « EZ » normale pour une deuxième personne du pluriel
Castelot savait se documenter pour ses bios, Decaux pouvait se f as ire utilement conseiller et tombait parfois sur un fonds d’ Archives, Chiappe , inssauvable, marchait à la copie et au Whisky. Ils ne représentent pas l’Histoire de JJJ, faut-il, pour les deux premiers, les en accabler? On pourrait au contraire s’amuser à constater que la Nouvelle Histoire redécouvre l’événementiel ! Cf le bouquin sur Jean Ier, préface de Boucheron, déjà cité. Amusant comme l’Histoire à la Lenotre reparaît dans les endroits les plus inattendus!
et on nous annonce une nouvelle biographie de Boucheron par Alain Viala. J’espère que vous allez y mettre bon ordre, MC. Bàvj
17.08 C’est ça, vous allez nous expliquer comment fonctionne la grammaire de l’algorithme du robot pour exonérer PA… Lui, il n’a pas moufté, et a juste rectifié le tir. Nouvelle preuve de son sens des responsabilités en tant que directeur du fameux BàPAss. Humain, Trope humain.
Personnellement, je n’ai jamais croisé Mme Azéma. Je le regrette. Qu’elle sache néanmoins combien nous condoléons avec nos chers disparus, sur ce réseau social attentif au vécu des historiens français les « solides ». Une pensée émue à Michel Winock, également.
les + solides… Donc, pas avec JF Chiappe, apparemment. Le fils du fameux préfet impliqué ?
Je m’aperçois que pas mal de bons historiens/ écrivains ont eu pas mal de vocation à vouloir purger le passé de leur salaud de père, Carrère d’Encausse, Azéma, Tulard, Jardin, Le Roy Ladurie, Chalandon, Fernandez, et autres… Je sais, je sais… un honneur de s’en être lavés, en les biographisant sans complaisance, plutôt que d’en avoir été anéantis par la honte à jamais ? Eternelle interrogation. Quelle vérité ? Quelles similitudes ? Quelles impostures ? Outre,
Pauper Franciscus Bayrou. Quae miserabilis finis. Ille qui paene praesidens fierat…
Un papier éclairant sur cette époque, je ne connaissais pas Jean-Pierre Azema, pas évident de comprendre les égarements de ses aînés.
Je n’ai connu qu’un spécialiste de cette époque et encore j’étais fort petite quand il menait ses itw, c’était Jean Vanwelkenhuyzen.
De Munich à la Libération, livre remarquable d’un grand historien.
Le sort que la Wehrmacht réserva au troupes coloniales en juin 1940, moins connu que celui des « cadets de Saumur » : « (…) près de Lyon, le 1er régiment d’infanterie coloniale se défendit avec tant d’opiniâtreté que les Allemands fusillèrent les officiers survivants et – le racisme aidant – jetèrent les Sénégalais sous les chenilles de leurs chars » (p.64.).
Le rappel de la continuité des atrocités allemandes (e.g. août 1914, Dinant, Belgique, par exemple) : « (…) la Wehrmacht fut moins ‘korrect’ qu’on ne l’affirme : ici et là des otages furent massacrés, plusieurs centaines en mai, à Oignies, une quinzaine, le 14 juin, à Tremblay-Lès-Gonesse, etc. » (p.63)
Histoire à hauteur d’hommes et de femmes, qui ne recule pas devant la complexité mais ne se paie pas de mots au risque de devenir inopérante.
« rappelons-nous quand même les dégâts irréversibles causés par les Castelot, Decaux, Chiappe et autres furieux extravagants ».
Quelle tête de c…
« au vu de leurs progénitures, eruggiéri, pdrouelle, etc, rptv, etc »
Stéphane Bern !
« purger le passé de leur salaud de père, Carrère d’Encausse, Azéma, Tulard, Jardin, Le Roy Ladurie, Chalandon, Fernandez, et autres… »
Irène Frain !
Non, pas IF, je confonds avec une autre…
Mourir un 14 juillet pour un royaliste comme Thierry Ardisson, c’est pas mal non plus, Pablo75 !
@les enjeux politiques de la France livre
De la France du livre ? (on a connu une république dissidente dite république des ivres)
Incidemment, des cinq sens du mot liber avec Pierre Bergounioux
https://www.imaginem.fr/IMG/pdf/pierre_bergounioux_texte_liber.pdf
Les acteurs actuels de ce cul de basse fosse ont l’alcool plutôt mauvais, semble-t-il ; cela passera
Salut salut les cabotins [les Bibi, monsieur et madame, ont ils une descendance, familiale aussi bien que nationale, dont on pourrait espérer un brin d’autonomie ?]
Résister à la Wehrmacht qui écrasait la France en fuyant à Londres !
Merci De Gaulle !
Sans les américains, on parlerait allemand aujourd’hui.
Merci les Yankees !
Renatus, verbum extraterrestris ex radicibus Latinis componitur: extra (« foris », « praeter ») et terra (« terra »).
Significat igitur quod est extra Terram, sive quod originem habet non in Tellure.
Hoc verbum saepe adhibetur ad describendas creaturas vel res e spatio exteriore oriundas.
Verbum fictum métaterrestris ex Graeco praefixo meta- (μετά = « post », « ultra », « trans ») et terra provenit.
Significare potest id quod est ultra vel supra Tellurem, sive rem vel entitatem ordinis superioris vel transcendentis.
Exempli causa, intelligi potest:
Intelligentia leges physicas terrenas superans, conscientia immaterialis, sed cum Tellure coniuncta,
Entitas e Terra orta, sed ad statum « trans-terrestrem » evoluta.
Praefixum para- (παρά) Graecum est, significans « iuxta », « prope », « parallelum ».
Paraterrestris ergo significare potest id quod est iuxta Terram, parallelum mundo terrestri, sive exsistentiam latentem sed propinquam.
Hoc adhiberi potest ad describendas:
Realitates parallelas seu dimensiones coexsistentes,
Entitates invisibiles sed praesentes in nostro spatio,
Mundi alios non in Terra natos, sed cum ea communicantes.
Hocne tibi anum perforet, Puckus, nonne ?
Si hanc mihi familiaritatem permittere licet.
J’avais bien aimé « Lacombe Lucien » et beaucoup moins « Au revoir les enfants », pour les mêmes raisons que Jean-Pierre Azema.
Non, pas Chiappe. Mais si vous lisez par exemple le Hugo de Decaux, vous trouvez des bouquins pas mal faits qu’ils s’appuient sur les travaux de Gaudon, ( Hugo) ou des fonds privés. ( la Castiglione, pour n’évoquer que le seul Decaux.
S’il y a des gaffes dans l Offenbach, elles tiennent essentiellement à la méconnaissance de la musique : « Que reste-t-il de Bagatelle, Madame l’ Archiduc, tout cela était nonchalant, facile… » Or s’il y a bien une Opérette qui égale celles du Second Empire, n’étant ni nonchalante ni facile, c’est bien Madame l Archiduc. La, JC Yon est préférable, musicalement parlant…. MC
Votre singulière culture sent un délicat parfum de naphtaline, MC !
Je me souviens de la représentante belge Paule Hermann et de ses gros yeux pétillant de malice. Elle était très forte au jeu des questions télévisées, et je me souviens du Suisse aussi, mais là, j’ai oublié son nom…
Ce soir, vu ANGE, avec Arthur H… Peu crédible en tzigane cherchant à s’incruster dans leur musique, mais bon, tout road moovie erratique est toujours bon à prendre. On voyage dans le sud de la France. Cela dit, hein ?… Tony Gatlif, on peut s’en passer, jzmn. L’est plus ce qu’il était… Et toujours le même déjanté Amalric, fringué un peu sale.
J’aime bien Tony Gatlif, mais celui-là je l’ai évité, JJJ.
Il avait l’air savant, ce grand historien bxllois
https://www.babelio.com/auteur/Jean-Vanwelkenhuyzen/142113
Il est curieux qu’on le connaisse si mal en France. Merci pour cet excellent rappel.
ah ça y est je l’ai retrouvée, cette Paule Herreman (pardon) et son copain Michel Deneriaz. C’était à l’époque du Francophonissime, voilà que j’y suis, avec Me Capello, le Charoulet de l’époque…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paule_Herreman
Bàv,
@ je confonds avec une autre…
Marie Chaix ?
Saluons ! Saluons, saluons, saluons sans réserve.
Et contrairement aux historiens qui en jouissent professionnellement des décennies plus tard … oublions ces temps passés soumis aux feux de l’Enfer guerrier voulu par des salauds de tout bord.
Rectificatif: le prénom du père de Jean-Pierre Azéma est Jean-Henri et non seulement il fut, mais il resta collaborationiste sa vie durant. A Buenos Aires il fonda l’agence de publicité Yuste Publicidad avec un franquiste espagnol. L’histoire est raconté par Gabriel Dreyfus, publicitaire juif et ami de Jean-Henri Azéma et décédé en 2023 à 76 ans, dans son livre « La publicidad que me parió ». Voici ce qu’il m’écrivit jadis indifférent au passé de son ami: « Mi amigo Jean Azema, socio de Yuste, ocupa una buena parte de mi libro « La publicidad que me parió ». Sí, fue nazi. También un gran tipo… El hijo es puto y tiene un restaurante… Sieg heil ! »
Le restaurant du fils existe encore à Palermo Hollywood. C’est devenu d’ailleurs une petite chaîne de restaurants branchés…
Réveil. Longtemps, mon premier geste , comme la veille le dernier, a été de m’occuper de mes lunettes : pendant que les paupières s’ouvraient, la main s’en allait prospecter la table de nuit…
Ce n’est plus le cas. La nouvelle priorité est de tapoter le lit… Pour récupérer l’e-phone, celui-là même d’où j’écris (d’où les fautes algoritmesques) et qui est le dernier objet du soir…
Je ne suis pas la seule, Internet est devenu si universel, l’être humain y consacre tant de temps, que forcément nos réflexes sont impactés. Ce qui peut faire froid dans le dos, d’ailleurs. Ceux qui croient encore un peu à la science peuvent à ce sujet aller écouter le dernier numéro de Bläst sur ce que nous font les algorithmes. Ils apprendront ainsi pourquoi les liens mis en partage, les « like », les échanges sur les réseaux sociaux, ne sont pas anodins, et quels effets s’ensuivent sur nos cerveaux…
ACTUALITES BUDGETAIRE
Réalisée par mes soins, je vends au prix d’Un Euro une statuette en terre cuite de 30cm nommée « François BAYROU en Père NOEL ».
Cet euro viendra boucher, partiellement, le déficit du pays. Achetez !
L’histoire de Vichy ee Robert Aron est tout de même à lire. C’est la contribution d’un contemporain des faits. Ces livres ne sont jamais à négliger.
Me souviensj maintenant de Srebrenica, j’avais juste 40 ans et, cet été là, nous avions organisé une fête d’enfer. Le télescopage de cette fête ayant effacé ce massacre de ma mémoire, la figure du psychiatre génocidaire Milosevic et de celle de Mladic ne se sont pourtant jamais effacées par la suite.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2025/07/12/bosnie-herzegovine-srebrenica/
Manque curieusement à cette notice déjà bien fournie la présence de l’historien Jean-Pierre Azéma au procès Papon en 1998, cité par les parties civiles, un des moments-clés de la clarification nationale sur le rôle de la machine collaborationiste vichyssoise.
J’espère trouver un jour « L’Histoire de Vichy » de Robert Aron, comme contrepoison au travail haineux de Paxton qui repose essentiellement sur les archives allemandes et qui est largement démoli par Marc Ferro, pas un collabo que je sache…
Un exemple:
« Dans l’édition de 2005 de La France de Vichy, page 12, Paxton écrit que jusqu’en 1943, il n’y a eu que 40 000 soldats allemands (des « vieux ») ; les forces nouvelles seraient arrivées plus tard, et elles auraient été placées sur les côtes. C’est une grossière erreur, gênante en raison du commentaire qui l’accompagne, et malheureusement répétée au cours des éditions, en dépit des démarches effectuées [au moins par Pierre Laborie] pour attirer l’attention de l’éditeur sur la bévue. Les seules troupes de sécurité (maintien de l’ordre) représentaient 100 000 hommes fin 1941, 200 000 en 1943. À leurs côtés, les troupes d’opérations comptaient 400 000 hommes en 1942-43 et ces effectifs seront portés à environ un million d’hommes au début de 1944. »
Et comme l’écrit Chaloux, Robert Aron, lui, y était…Et juif par dessus le marché.
On s’attendre à un samedi pluvieux sur le Béarn.
Je l’avais achetée à la librairie Simone Thomas où je passais tous les samedis matin.
Voici une critique absolument féroce et totalement gratuite du témoignage de JP Filiu sur Gaza. Si l’on comprend bien, nous aurions été abusés par le tissu de « lieux communs » dont serait émaillé le bouquin d’un historien du dimanche parti en vacances, tout juste désireux de faire un scoop…
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(C-C du papier in EAN du jour) /// Jean-Pierre Filiu a également été diplomate. C’est avec l’aide de l’ONG Médecins sans frontières qu’il a pu entrer à Gaza dans un convoi de l’ONU, au début de l’hiver 2024, et séjourner un mois dans ce qu’on appelle la « zone humanitaire », alors qu’aucun journaliste, étranger ou israélien, n’est autorisé à le faire et que les journalistes locaux y sont la cible de l’armée israélienne (…). Ce livre [est] d’une lecture aisée, teintée parfois de clichés embarrassants (sic), quand l’auteur insiste sur le fait qu’il a « arpenté », de façon sans doute martiale (sic), ce territoire et qu’il évoque ce qu’il y avait vu de « nonchalance orientale ». Certainement pas chez les habitants des camps de réfugiés, ou dans les files de travailleurs massés au check-point pour se rendre en Israël. Il y rappelle qu’à Gaza aujourd’hui « la mort est partout chez elle », et que cependant, pour tenter de survivre, les Palestiniens font preuve d’une étonnante inventivité, recyclant des panneaux solaires inutilisables et des boîtes vides de corned-beef en réchauds domestiques. Jean-Pierre Filiu met l’accent sur la désintégration de la société à la suite de ce qu’il désigne comme un conflit entre Israël et le Hamas. Il parle des « vautours », ces « milliers de délinquants » évadés des prisons éventrées par les bombardements, des pillages, des gangs, des viols, qui ont conduit le ministère de la Santé à autoriser l’avortement jusqu’au 120e jour de grossesse, ce qu’il souligne avec ironie, tout comme il reproche au Hamas de taxer le tabac (sic). Jean-Pierre Filiu a glané (sic) beaucoup de ses informations dans la presse, le plus souvent internationale, dans quelques rapports, et peut-être dans des conversations (sic). S’il est historien de profession, ce livre dans lequel il ne cite que très rarement ses sources (sic) n’est en aucune façon un travail d’historien (sic). Quand il affirme, par exemple, sans dire d’où il tire cette information, que le chef du Hamas, Yahya Sinwar, tué en août 2024, a déclenché le massacre du 7 octobre 2023 pour obtenir la libération des Palestiniens détenus dans les prison israéliennes, en particulier celle de Marwan Barghouti, membre oppositionnel du Fatah (la faction adverse), il jette un très grave discrédit sur la personne que beaucoup désignent comme (sic) le « Mandela palestinien » et qui en prison est victime de fort mauvais traitements. Jean-Pierre Filiu semble (sic) ne pas avoir lu les bons historiens palestiniens (par exemple, Walid Khalidi ou Rashid Khalidi) (sic) ni même israéliens (Ilan Pappe ou Tom Segev) (sic). Son récit de ce que les Israéliens appellent la guerre d’indépendance et les Palestiniens la Nakba n’en tient aucun compte et reprend les poncifs les plus affligeants (sic). Si l’on est en quête d’une analyse anthropologique et historique rigoureuse et sans concession (sic), mieux vaut se référer aux essais réunis dans Gaza, une guerre coloniale (sic)…///
Circulez donc…, y’a rien à voir chez Filiu, le goy… Suivez plutôt mon regard plus justement décillés. Oui, bravo, Sonia Dahan-Herzbrun, pour vos critiques toujours aussi courageuses. Bàv.
Ah la librairie Simone Thomas, rue St André des Arts! Et ses murailles de livres…
MC
@ contrepoison au travail haineux de Paxton
A chacun ses convictions et sa manière de les raconter. Non ? -… So what ?
7.10 – au « procès de Papon », je me souviens plus du rôle essentiel qu’y joua Henri Rousso que de celui de J-P Azéma. Les souvenirs des historiens s’échevèlent et se désagrègent aussi, tout comme les nôtres. C’est humain, même si, eux, ils auraient fait « profession » d’entretenir avec plus de rigueur, la mémoire commune de l’humanité.
Ce dont se rappelle chaque mémoire individuelle, hein ?… un bien grand mystère, chaque jour, mais parfois plus éclairant que le reste… Des détails décisifs des particuliers échappent souvent aux historiens généralistes. Bàv
J’y ai connu Simone, sa fille, de l’avis général peu aimable, et le gendre, tandis que les tas grossissaient…. MC
À la librairie Thomas, dont pourrait nous parler Pierre Assouline, Il fallait être admis. Une fois que c’était fait, pas de problème.
Marie Chaix, oui, JJJ !
Peut-on placer Passou parmi les écrivains historiens contemporains et notamment de la Seconde Guerre mondiale et de l’Occupation ?
Je n’ai jamais, ou très peu par hasard, regardé Decaux et Castelot, pas par mépris mais sans doute par négligence. D’après ce que j’en sais, je ne vois vraiment pas quels « dégâts irréparables » ils auraient pu commettre en intéressant le grand public à l’histoire même événementielle et épicée d’anecdotes (vraies évidemment). J’ai lu récemment que Decaux lisait tous les historiens professionnels sur un sujet avant d’en faire une belle histoire pour le public.
D’ailleurs ils ne pouvaient guère prendre le risque de raconter n’importe quoi, étant scrutés par les médias de gauche tout puissants…
J’aime beaucoup Stéphane Bern, pour aggraver mon cas, un homme très sympathique qui m’a révélé récemment la vie incroyable de la Reine Charlotte, épouse du « roi fou » George III.
Tout le monde ne peut pas être comme l’immense intellectuel des Charentes qui ne tolère pas ces futilités bonnes pour la piétaille (ni le rosé de Provence bien frais que tout le monde adore en été)…
Ah? Je l’ai fréquentée étant étudiant, et n’ai jamais eu l’impression d’un sas! Il est vrai que j’étais déjà bien connu dans le milieu! MC
Jazzi. Je ne vois pas en quoi ces biographies relèvent d’une culture naphtalinee , surtout quand on signale des biographies récentes pouvant les rectifier ou les compléter. Yon, mais aussi Hovasse pour Totor!
Expo de photos de David Bowie à Saint-Rémy de Provence.
Paroles de l’artiste :
« Les seules personnes vraies sont pour moi les fous.
Ceux qui sont fous d’envie de vivre.
Fous de désir.
Ceux qui ne baillent jamais.
Ne disent jamais de banalités, qui brulent, qui brulent, qui brulent… »
« Lorsque j’étais étudiant en Art, je peignais, je sculptais.
Je me suis rapidement rendu compte que je n’étais pas bon.
Aussitôt je me suis mis à écrire.
Pour exprimer ce que je voulais exprimer dans la peinture, le dessin, la sculpture. »
…
Un soir de brouillard d’automne à Londres.
L’écrivain français Jean Genet, entre dans un pub discret, il a rendez-vous avec David Bowie qui veut adapter pour le cinéma « Notre-Dame-des-Fleurs ».
D’après le producteur Christophe Kemp, leur conversation est exceptionnelle. Unique.
Le film ne se fera pas.
Mais le scénario a été retrouvé miraculeusement 45 ans plus tard.
(Daniel Sarfati, sur le blog Littérature et cinéma)
Principalement à cause de l’opérette, MC !
« pour aggraver mon cas »
Tu es définitivement grillé, closer, plus personne ne peut te prendre au sérieux !
Chez moi, par principe, on ne lisait pas Castelot. Ce n’était pas de l’histoire. Je l’ai lu assez tard, vers la trentaine, lorsqu’une amie de ma famille, fervente royaliste, m’a demandé de chercher quelques-uns de ses livres d’occasion, pour un duc de ses relations. En attendant de les porter (Louis XVII, Madame Royale etc.), je les ai lus et je les trouvés à ma grande surprise très intéressants. J’en ai donc lu d’autres, puis je crois presque tous. Puis Castelot m’a mené à son maître, G. Lenotre, le Balzac de la Révolution, que j’ai aussi lu intégralement. Et je dois dire que je n’ai pas regretté le voyage.
Ce qui n’est pas juste chez ces historiens, on le corrige en lisant les grands historiens d’aujourd’hui, dont surtout Emmanuel de Waresquiel.
un duc de ses relations
les ducs font parfois les puces, dear Chaloux, nous les reconnaissons à la chevalière, souvent bien sûr à la conversation.
Paris sous la botte, notule de prestige de Passou, of course.
Azéma est donc le Gérard Philipe de l’histoire, daddy collabore, fiston résiste, le grand public applaudit sur les gradins subventionnés.
Les raisons données de la reconversion de Cordier en collectionneur d’art sont souvent elliptiques. Il faut s’en contenter, dirait le général Patton qui voulait emballer la Dietrich en remontant le rhin.
L’historien Henri Rousso a refusé de témoigner au procès Papon, et s’en est longuement expliqué, tout comme Maurice Rajfus.
Ont témoigné, outre JP Azéma, R Paxton, M-O Baruch et R Rémond.
Dear Phil, je n’ai jamais rencontré le duc…
J’aime bien Stéphane Bern, moi aussi.
Mon plus grand étonnement fut de l’avoir vu soutenir l’insoutenable : Macron.
L’immeuble décarboné du XIIe arrondissement n’est plus qu’un souvenir. Il a été ravagé par les flammes. Combien vont encore nous coûter ces gens-là?
Demain, j’irai mettre un cierge à l’église pour demander que la destitution de Macron soit engagée au plus vite.
Bern et le Président Macron ont du toupet.
Je n’ai pas vu l’incendie hier soir dans le 12e mais je l’ai senti !
Dear Phil, je n’ai jamais rencontré le duc, mais j’ai eu sa petite fille sur les genoux. C’était à Fribourg-en-Brisgau, il y a bien longtemps. Hasard des rencontres.
Oui mais lequel des deux enc… l’autre, Phil ?
C’est une grande question d’égo histoire !
je me disais bien dear Chaloux, le duc ne pouvait vous filer entre les jambes ainsi. Vous me rappelez François-Poncet, le fils de l’ambassadeur à Berlin, qui sauta sur les genoux de Goering en recevant son cadeau de noël, un train électrique.
Je prierai ardemment.
Chez Simone Thomas, lors de ma première visite, je voudrais voir un livre sur Dürer qui se trouvait en haut d’un étagère. Je le demande. Mme Thomas la mère me répond assez sèchement: « Vous n’avez qu’à prendre l’échelle », ce que je n’aurais pas fait de moi-même, simplement par un reste d’éducation. J’ai répondu « excusez-moi Madame », je suis monté à l’échelle et j’ai acheté le livre. Et j’y suis retourné toutes les semaines pendant des années.
Le fils est je crois toujours en activité sur Internet . Il y a quelques mois, je lui ai envoyé une personne qui souhaitait se débarrasser d’une partie de la bibliothèque de ses parents.
Chez les Thomas, tous les livres étaient nettoyés et couverts.
tous les livres étaient nettoyés et couverts
de surcroit les bons libraires savent couvrir leurs livres avec des couvertures qui les mettent en valeur, papier transparent « glossy » ou papier calque mat, selon l’illustration.
Ad aedificium sine carbone, in dioxido carbonico incipere antequam perfectum sit exstruere, ultimus est luxus. Solum Lutetiae talia videntur.
Vrai. Ce qui rendait certains inaccessibles. C’est là que j’ai vu passer en nouvelle Elzevirienne l’ Hittopadesia avec la marque d’ appartenance de Georges Bizet….
Elzevirienne l’ Hittopadesia
Mister Court pas les rues
J’étais à Paris ce matin et je suis abasourdi par le niveau de malbouffe proposé aux touristes. Partout ce ne sont que hamburgers gras, frites, nuggets et frites chicken, arrosé de Cola au vrai sucre, et souvent enfermée version 50 cl !
La moitié des touristes sont obèses et un bon 3/4 en net surpoids. Ce qui est le plus déplaisant est qu’ils ne font pas le moindre effort pour montrer un autre exemple à leurs enfants.
Le triangle de la malbouffe, c’est les parents, les enfants et les marchands.
Saleté de touristes. Non seulement ils sont mal-elevés au possible et cons comme leurs pieds mais en plus ils gros, moches et habillés comme des sacs à patates. Ce qui est presque une insulte aux véritables et utiles patates de qualité, j’en conviens.
Il vaut mieux rester à Chaville, D!
C’est pour ça, Claudio, que vous me faites de la peine quand vous me dites que vous allez grossir ce flux en septembre. Parce que vous, vous n’êtes pas un sac à patates et j’ai peur que vous le deveniez par mimétisme.
Oui, rester à Chaville est une délice que je suis capable de goûter parce que sans le vanter je suis un être fin et subtil capable de jouir du parfum parfois presque mélancolique des après-midi passées dans un isolement presque total avec pour seule compagnie là un caquètement, là un bourdonnement d’abeille.
Mes cons de voisins sont partis en vacances, ces abrutis. Tous.
Les connards aux clébards qui viennent ordinairement les faire déféquer devant ma superbe haie de troène de l’Himalaya, en téléphonant grossièrement à leur maîtresse, sont tous partis, aussi.
Suaves moments.
« Vivant, il rêvait de manger une banane.
Mort, on a posé un régime de bananes sur sa tombe ».
Proverbe africain.
Les voisins, c’est les pires espions du monde.
Comparés à eux, les agents de la CIA sont des amateurs.
Tu veux des renseignements sur quelqu’un, demande à son voisin.
Moi je veux bien espionner ma voisine, surtout si elle est mignonne.
Walter le pervers !
Ta gueule !
Ta gueule toi-même, Maurice l’écrevisse!
Je suis ton voisin, Maurice, fais pas ton malin alors…
Dis-moi, Walter, elle est comment ta voisine ?
Elle très intelligente, physiquement, et moralement…euh… elle n’a aucune morale !
Elle EST très intelligente…
Apprends à écrire correctement ducon…
Ça va, Maurice Druon, on n’est pas à l’Académie Française ici…
Ah tiens, Maurice Druon, je l’ai oublié celui-là.
Jamais lu ses Rois maudits, je préfère plutôt Les Doigts maudits, mémoires d’une prostituée éroticodactyle de Clara Hollander…
Drôle de lecture pour un Maurice !
Mais bon, c’est vrai que Maurice rime avec vice(s) !
je commence à comprendre comment tout cela fonctionne.
comme Macron, en fait son vrai truc c’est pas les finances ou la politique, son truc c’est le théâtre et la littérature.
pour ça il met son costume noir, avec sa cravate noiré et il vient dire son texte devant la caméra genre sur les menaces existentielles qui pèsent sur la France sur ces choses mystérieuses et connues de lui seul qui menacent la liberté des français.
autant le politicien est nul autant l’acteur est bon, tellement bon que tous les français croient à ses histoires : c’est à ce genre détail qu’on reconnait un bon acteur.
ainsi donc le peuple français s’enfonce dans cette nouvelle fiction genre les rois maudits ou le roi Lear…
pareil en Allemagne et en GB : les peuples européens décollent du réel pour se plonger dans la fiction comme ces enfant à qui on raconte des histoires pour les endormir.
plus ces peuples s’élèvent dans les cieux de la fiction plus dur sera l’atterrissage.
je commence à comprendre comment ça fonctionne.
l’Europe est comme une vieille famille déchue qui regarde de vieilles photos dans leurs albums de famille, se remémorant cette époque de splendeur genre le Guépard.
après avoir regardé ces vieilles photos ces gens mettent leurs beaux habits, ceux-là même qu’ils portaient du temps de leur splendeur, et ils passent à table, en silence, s’assoient, devant leur assiette vide.
je commence à comprendre comment cela fonctionne.
tout cet édifice ne tient que sur des mots et des discours creux, une mise en scène à 2 balles et de vieilles croyances.
genre : ah Churchill quel grand héros…
les historiens ?
que sont devenus les historiens ? j’ai l’impression qu’il en existait beaucoup à une époque, ont-ils disparu ? volatilisés ?
quelqu’un en connait-il un par hasard, d’historien ?
j’aurais une question à lui poser, une question toute simple…
Monsieur l’Historien, le conflit en Ukraine a-t-il commencé en 2022 ou bien avant ?
et ce conflit, l’occident a-t-il une part de responsabilité ?
non pas que je ne sache les réponses diffusées sur toutes les ondes, par tous les journalistes, mais j’ai comme un petit doute, j’aimerais juste savoir, pour être sûr ?
et vraient ça me gêne de remettre en doute la parole des journalistes, je sais le bon boulot qu’ils font et vous comprnez je ne voudrais passer pour quelqu’un qui met en doute ce que nous disent les journalistes !
sacré nom de nom où vais-je donc pouvoir trouver un historien de confiance pour lui poser la question ????
bonjour Monsieur l’Historien !
quelle chance de vient d’en rencotnrer un, par hasard, au coin de la rue…
bien le bonjour monsieur l’Historien ! vous êtes un scientifique ? n’est-ce pas ? je veux dire dans votre approche de votre métier la science joue un rôle ?
hein ? non ? oui ? vous ne comprenez pas le sens du mot scientifique ? ah bon ! tant pis ! bien le bonjour chez vous Monsieur l’Historien…
Le Floch-Prigent va nous manquer.
@ « l’immense intellectuel des Charentes » (cl.) vous emmerde, itou. Et vous, sauf votre Honneur, de quoi est fait votre immen(di)sité intellectuelle, et vos propos qui, de fil en aiguille, deviennent de plus en plus impolis ?
Je ne fais que direj ce que je pense et répond catégoriquement par cette opinion à Jzmn quand une question polie m’est adressée (@ 8.49) : « Non, en aucun cas, P.A. ne peut pas être ainsi classé. Au regard de ss trajectoire et habitus, il n’est qu’un habile romancier journaliste très cultivé qui ne se sert que de matériaux de seconde main, toujours excellents, du reste pour nourrir la âte des es romans. Quant à ses biographies, elles sont en général sérieuses et bien documentées. Mais ce ne sont pas, à proprement parler, ceux d’un sérieux travail d’historien spécialisé sur une période, la connaitrait-il comme à peu près sentie par notre Modiano. M’enfin, pourquoi développer ? chaque erdélien.ne a le droit de répondre autre chose à votre question, à laquelle il serait bon que vous répondiez vous-même. J’en suis fort impatient, lcé. Bàv,
Maurice, t’as vu ? la Gigi est en colère contre closer !
Elle n’a aucune éducation, elle insulte tout le monde et ne supporte pas qu’on la critique.
Mon Dieu ! Quelle mal élevée.
Non, Walter, cette Gigi n’est ni bien ni mal élevée.
En fait, elle n’a jamais été élevée.
On va quand même la plaindre, la pauvre, c’est pas vraiment facile pour elle de vivre sans éducation.
Je reste sur ma position. Non seulement je n’aime pas Stéfane Bern, mais j’estime en outre que c’est un très mauvais cabot de toutes les têtes de noeuds couronnées de la planète… Il n’a jusquà présent que produit de la daube en série. C’est le roi des kons, qui fait honte à la communauté des historiens français et d’outre Quiévrain, comme auraient dit Brassens et Brel. « Qu’on le pendouille haut et court au sommet d’une éolienne britannique décarbonnée ! » murmure-t-on à Westminster Abbay. Aurait de l’allure.
Bàv,
Tu sais Maurice, il faut qu’on fasse quelque chose pour essayer de guérir la Gigi de ses névroses.
Je propose qu’on lui recommande un bon psychiatre, compétent, gentil et bienveillant : Gérard Miller !
Il saura la soigner, le bougre !
il faut écouter à 1mn20 on entend la mort venir….
it’s good for our economy ?!?!?!
seriously ? globalist’s job ??? what’s the FUCKIN’ HELLLLLL ?????????
Walter & Mauricette, je persiste et signe… Ce qui ne fait de mal à personne, et surtout pas à vous, (je pense). Alors, passez vous la bien, hein, la mano negra. Bàv,
@ »Non seulement je n’aime pas Stéfane Bern, mais j’estime en outre que c’est un très mauvais cabot de toutes les têtes de noeuds couronnées de la planète… »
hein ? quoi ? non ?
qu’on aille me chercher une camisole sur le champs j’ai trouvé un rebelle conspirationniste !!!
@ »quelque chose pour essayer de guérir la Gigi de ses névroses. »
non pas maintenant ! son esprit commence à peine à s’éveiller que déjà vous voulez le lobotomiser comme Nicole sonne ???
Non Walter, un psy pour la Gigi, il ne pourra jamais la supporter.
Dès la première séance, il la chassera de son cabinet.
Ce qu’il faut à la Gigi, c’est une bonne tisane aux herbes concoctée amoureusement par Stéphan Bern !
Gigi chantant au plus profond de la nuit, prends donc ces ailes et apprends à voler… Toute ta vie
tu as attendu seulement ce moment pour te libérer.
Gigi toi qui chante au plus profond de la nuit, prends donc ces yeux enfoncés et apprends à voir, toi qui toute ta vie attendais seulement ce moment pour être libre
Gigi toi qui chante au plus profond de la nuit, prends donc ce livre d’Histoire et apprends à connaitre les hommes, toi qui a attendu tout ta vie pour apprendre à lire…
Le degré de narcissisme des touristes est effrayant. Il n’y a que leur pauvre bobine qui compte pour eux. Tu peux leur montrer les plus beaux joyaux de l’architecture, de la sculpture, de la peinture, ils n’ont qu’une idée en tête : foutre leur face débile devant, avec un selfie qu’ils envoyent direct à 100 personnes sur Instagram ou WhatsApp. Quelle bande de cons. Et de connes. Je vous assure que la parité réglementaire est scrupuleusement respectée en l’occurrence.
Écoutez donc Madame L’ Archiduc, Jazzi, avant d’en médire, ou un air de Bagatelle par Felicity Lott , ou la quasi intégrale de Ba-ta-clan! Je tiens qu’Offenbach « Mozart des Chamos Élysées », Rossini dixit, est un grand compositeur, et qu’on peut ecouter sans déshonneur Ba-Ta-Clan, Mr de Choufleuri, Mesdames de La Halle, Orphee, La Belle Hélène, Barbe Bleue, La Perichole, La Grande Duchesse de Gerolstein, ou les Briganfs ( pas tels que montés à Garnier!) C’est aussi je crois l’avis de Leibo witz, de Gardiner et de Minkowski, pour ne rien dire de Marcel Couraud et de quelques autres!
Stéphane (avec ph) Bern n’a aucunement la prétention d’être historien. Il fait des émissions de vulgarisation en invitant des historiens et en nous montrant des lieux généralement inaccessibles au public.
Je le trouve sympathique en tant que personne et son attachement à la culture et à l’histoire françaises me touche.
Voilà JJJ, pas de quoi piquer une crise. Je sais bien qu’il n’est pas un historien, pas plus que ne l’était Decaux, mais je ne vois vraiment pas pourquoi il serait interdit d’intéresser un public à l’histoire événementielle à travers un récit vivant adapté à ses goûts. Ce public, de toute façon ne lira pas Braudel ni Duby ou Marc Bloch.
Felicity Lott, géniale interprète de La Belle Hélène!
Maurice, t’as vu ? Y a Marc Court qui radote, radote, radote, radote… comme un lapin Duralex !
Tu crois qu’il est malade ?
Oui, Walter, MC est malade.
Depuis que Marie Sasseur a quitté le blog et ne l’insulte plus, il est en manque d’amour.
On va lui chanter La maladie d’amour de Michou Sardouille pour lui remonter le moral :
Elle court, elle court, la maladie d’amour,
Elle unit dans son lit,
Marc Cour mais… sans Marie !
Oui, Walter, MC est malade.
Depuis que Marie Sasseur a quitté le blog et ne l’insulte plus, il est en manque d’amour.
On va lui chanter La maladie d’amour de Michou Sardouille pour lui remonter le moral :
Elle court, elle court, la maladie d’amour,
Elle unit dans son lit,
Marc Cour mais… sans Marie !
Pour une fois, je suis d’accord avec Court. Snif! Je considère Offenbach comme un authentique grand compositeur et un mélodiste de génie. Son œuvre regorge d’airs magnifiques et inoubliables, parfois même d’une grande mélancolie.
@ Ce public, de toute façon ne lira pas Braudel ni Duby ou Marc Bloch.
Qu’en savez-vous, tête de kon prétentiard ? Bern suffirait assez pour l’édification du bas-peuple ? Et vous seriez là, cloclo, à vous faire son porte parole pour éclairer la ménagère prolétarienne en voie de ménopause rêvant d’un nouveau gendre royaliste pété de royalties ?… Vous avez piqué une crise, un complot ou quoi ?
Merci de ne pas répondre par vos invectives habituelles. Calmez vos nerfs. Rebtrez dans l’ordre antérieur. Màv.
gendre royaliste pété de royalties
y’a de la contrepèterie dans l’air
La grosse Gigi remplace l’assasseure. Elle a un contrat?
Marc, vous avez l’air super balaise en musiques populaires de qualité, bel canto, science fiction et XVIIe siècle. Félicity… Lott à l’américaine (private joke). Bàv,
___
Elle a trouvé un nouvel amoureux dans son CDBF. Sur la soeur et la mer, calmées, cher dirfil, je ne vois d’ailleurs pas la contrepèterie, pmp. Mais je ne RPMV à Chaville de toute façon. Ni aux crottins de Chavignol, a fortiori. Puent.
Bàv,
DITHYRAMBISMES
authentique grand (…)compositeur et un mélodiste de génie. (…) airs magnifiques et inoubliables, (…) d’une grande mélancolie.
On dirait de l’Eve Ruggieri au meilleur de sa forme, sur les croisières musicales de la Crète.
Cela dit, j’aime beaucoup participer à ses excursions annuelles patronnées par Télérama, avec une réduction pour les abonnés de la revue. Vous y verrais-je cette année encore, il paraitrait que Jakoff est au programme, justement. Bàv,
remplace l’assasseure. Elle a un contrat
Vous parlez de vous, là, l’exfiltré rescapé de la marmite erdélienne, et à quel prix… l’humiliatin publqiue… et la clause contractuelle non négociable… Dieu le sait, soupir, ahahaha.
in the bathroom ?
the walnut cake ?
the swimming pool ?
or on the oversea ?
Quid, B…
Une bonne bière fraiche et blonde plutôt qu’un méchant rosé provençal…, c’est l’heure des douceurs, crosby, steal, nasch and djeunes… tchin,
Lotte à Weimar… Pas le meilleur de Mann, entre nous, pas vrai Edel… Weizer ? bàv,
Je suis allé au bout de ma pensée, grosse vache saoule, ce qui ne risque pas de t’arriver. C’est au contraire de dignité qu’il s’agissait, ce qui ne peut que t’échapper.
@ »Stéphane (avec ph) Bern n’a aucunement la prétention d’être historien. »
justement c’est ça qui est beau chez lui, je veux dire cette absence de prétention, sa modestie, son humilité qui font de lui le plus grand historien français actuel.
car après tout Jacques Le Goff aussi était humble, et Vidal Naquet aussi l’était…
l’ami Stéphane les rejoint ainsi dans la troublante grandeur de l’humilité partagée !
pareil pour Michel Onfray il rejoint par sa flagornerie les plus grands philosophes français…
je me demande comment on peut se permettre de critiquer ici avec hauteur de mépris un type qui commente avec autant de passion l’eurovision.
shame on you !
@ »On dirait de l’Eve Ruggieri au meilleur de sa forme, sur les croisières musicales de la Crète. »
mais qu’est-ce qui lui arrive à notre ami 3j !
hého rassure moi, j’espère que tu vas pas faire dans le contestataire !
je veux dire la France est au bord du précipice, en vrai c’est pas le moment de faire de la contestation !
au contraire il faut se serrer les coudes et ne pas critiquer Eve Ruggieri !
sérieux attaquer la Ruggieri c’est attaquer Jaroussky, c’est comme un pan entier de notre paysage culturel qui s’effondre et ça je supporte pas, je veux dire les paons de la culture qui s’effondre c’est limite un monde qui s’effondre et l’entrée de la planète dans le multipolaire…
J’ajouterais que quand k’Auteur de Le Roy l’a dit, et de l’Omelette à la Follembuche, le délicieux Léo Delibes, termine Belle Lurette, ça ne peut pas etre mauvais. A signaler une reprise récente au Québec…. Et Rosenthal? Il se trompait sur la valeur des valses et des thèmes d’ Offenbach pour son ballet Gaieté Parisienne?
Le Roi!
il est où pedro ? il doit être content parce que Trump a dit qu’il permettait aux ukrainiens de bombarder Moscou et St Petersbourg…
en retour Medvedev (pas le tennisman l’autre) a dit qu’il permettait aux houthis de couler tous les bateaux américains et si l’occasion se présente de bombarder los Angeles et New York.
je sens qu’on entre dans un monde nouveau où on va beaucoup s’amuser…
J’ai reçu le dernier livre de Pynchon : Shadow Ticket. L’ouvrir ou ne pas ouvrir ? Telle est la question.
Lotte à Weimar, bien au contraire, le seul TM supportable, qui n’est pas imprégné par une sorte de pourriture de mort.
Si Braudel, Duby ou Marc Bloch se vendaient comme des petits pains chez Leclerc, ça se saurait…Vous savez parfaitement que j’ai raison à 99%.
Quant à ce malheureux SB, qu’un personnage aussi sympathique et inoffensif puisse déchaîner une telle colère, c’est une énigme…
D’autant qu’il m’est arrivé plusieurs fois de croiser S. Bern, c’est un homme d’une grande courtoisie, très engagé pour le patrimoine.
Alors, l’avis de la sangsue à fermette…
@ le seul TM supportable, qui n’est pas imprégné par une sorte de pourriture de mort
C’est formidable les opinions qu’on peut déclencher sur ce blog.
@ le dernier livre de Pynchon : Shadow Ticket.
Envoyez le moij, si vous ne l’ouvrez pas après réception en service de paresse (sic). Version anglaise ou italienne ? Merci RM, tchin ! Bàv,
Il lui suffisait d’avoir croisé des « gens », des ducs ou des princesses, tels écrivains obscurs en des bibliothèques parentales, et nombre d’autres colifichets… pour qu’il perdît toute contenance et mesure en ses chaussettes. De quel capital social et culturel étendu était-il pourvu, mon dieu, mon dieu !… Quand je pense que pas plus tard que ce matin, j’ai « croisé » mon ancienne gardienne parisienne, au point que j’en fusse resté tout ébaubi, tant elle était devenue digne. Cela me reste une énigme. Je ne sais pourquoi elle me fit tant d’effets magnétiques, alors qu’aucun courant musical ne passa jamais entre Manu Macron 75 et moij.
Des caravanes passent leur chemin en silence devant des vaches soules. Sait-on assez que les Salers restent suaves en l’occurrence et les sages Maraîchines, des plus égrillardes ? Une expérience de comparaison fascinante pour qui l’a tentée. Encore faut-il savoir se salir parfois les mains avec un couteau sans lame et sans manche.
Bàv,
@ Vous savez parfaitement que j’ai raison à 99%.
Les avez-vous lus au moins, mon 1 % ? Ma gardienne ignore qui est stéfane bergne, mais elle a lu Montaillou, village occitan d’une seule traite, et puis, enhardie, elle s’est passionnée pour son histoire du climat, m’a-t-elle raconté. En revanche elle n’a pas été convaincue par sa vision de la Cour décrite à partir de Saint-Simon. Elle s’est plaint par ailleurs de n’avoir pu trouver les autres ouvrages de cet historien chez Leclerc, qu’ils mettaient trop de temps à les commander. Elle refuse toujours de passer par l’Amazone. Je lui ai conseillé d’aller voir en attendant des expos de tableaux à Landernau, moins difficiles d’accès qu’à Paris. Elle en est revenue enchantée. Et à l’Intermarché de cette bourgade, elle a trouvé tous les bouquins de Le Roy Ladurie… Elle est formidable, ma gardienne parisienne d’origine portugaise qui fait beaucoup d’efforts pour acquérir une culture plus légitime. Elle m’a avoué que sa fille faisait son hypokhagne, elle voulait rester à sa hauteur. J’ignore si on peut les mettre dans les 1% des prolos les plus riches de la planète.
Bàv,
@ je veux dire les paons de la culture qui s’effondre c’est limite un monde qui s’effondre et l’entrée de la planète dans le multipolaire
Sûr ! et on est toujours les dig dindongs des pans de la farce, hein ? Je nous sers les coudes derrière les grandes oreilles de Beth Aram les Bains. Faisons Bloc, Marc !… Embarquons avec nous le malheureux copain juif du petit Marcel, pour visiter l’ex oasis de Gaza… OK ? hein ?
A plusss. A taaaaaaaaaaaaaabb !
Votre gardienne fait partie des 1%, c’est très bien.
J’ai ouvert le colis et déception, ce n’est pas Shadow Ticket mais Confessions de Catherine Airey, un premier roman, selon la présentation de l’éditeur : «… trois générations de femmes qui, chacune à leur tour, font l’expérience de la gravité irrésistible du passé », on verra ça. Je m’attendais à autre chose mais je vais devoir attendre.
Il n’y a peut-être ni Duby, ni Braudel chez Leclerc , mais il y a , je suis obligé de le reconnaître, et ceci de Brest à Rodez, une tradition d accueil des revues historiques régionales de faible tirage, tout à fait méritoire. Évidemment, il faut les y chercher…
@L’ouvrir ou ne pas ouvrir ? Telle est la question.
Si seulement renato avait pu la maintenir fermée ne serait-ce qu’une demi journée
Finalement, je ne sais pas si notre hôte l’a remarqué, mais son commentarium, c’est une bande dessinée d’Hergé. On est ici chez Tintin. Une écrasante, étouffante, majorité de personnages masculins. Un ou deux Tournesols, sourds aux paroles d’autrui et bouchés à l’emeri, quelques capitaines Haddocks imbibés d’eux-mêmes (sauf que leurs insultes sont moins fleuries), des sales gosses gâtés façon Abdallah qui se croient drôle s et ne sont que pénibles, des Séraphin Lampions comme des réverbères accrochés à tous les coins de rue,et des Dupontds qui se renvoient l’un l’autre leurs médiocrités mutuelles. Je ne mets pas les noms en face des personnages, ce n’est pas la peine, ils se reconnaîtront ! Et une absence féminine remarquable, forcément, même les Castafiores ne peuvent respirer là-dedans, alors, chanter !!! Si Marie Sasseur a déserté, c’est peut être qu’elle a des ennuis de santé ? Rose ? Elle a témoigné d’une blessure profonde, pas une réaction… Ici, c’est la ligne claire de la parole des mecs !
Ah tiens, Maurice Druon, je l’ai oublié celui-là.
Il faut regarder les adaptations télévisées. Il y en a deux les deux sont bien.
C’est comme l’adaptation des « Mémoires de Vidocq » avec Claude Brasseur et Danielle Lebrun. Un chef d’oeuvre de Marcel Bluwal. Danielle Lebrun joue toujours au théâtre. Elle jouait dans « Le Soulier de satin ».
* « Ah tiens, Maurice Druon, je l’ai oublié celui-là. »
Et du mépris de classe, en veux-tu en voilà. Sauf peut être JJJ, qui s’aperçoit que les gardiennes d’immeuble sont des êtres humains, et en témoigne ici … A part lui, mon dieu, ça se bouscule le phylactère tant et plus !
Pour les fils qui ont un père difficile à défendre n’oublions pas le journaliste de « Libération » Philippe Douroux. Il en parle dans « Un Père ordinaire ».
https://editions.flammarion.com/un-pere-ordinaire/9782080459251
Bon je vais ouvrir Michelet pour la description de la prise de la Bastille.
« Il y en a deux : les deux sont bien. »
20:52
La socialiste Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre, nommée à la Cour des comptes sur proposition de François Bayrou
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Très heureux pour elle, va enfin pouvoir se recycler en comta… Voilà au moins une opération politique de haute volée de faite !… Beth Aram vient d’acheter au PS à l’arrachée la non censure de son gouvernement par ce parti, à la rentrée. Oufl !… on respire, closer, va peut-être pas tomber dans les pommes, avec Retailleau, un gars qui n’a strictement rien à voir avec le Front Bleu Marine de la Nation condamnée. Quissé ?
L’essence ciel, c que vous soyiez toujours là et des nôtres avec notre hôte. Vous sauvez la corporation. On peut tjs compter sur vous, je pense. Ne vous en faites pas pour ma soeur, va très bien, prend du repos avant le marathon de la rentrée… Elle file un parfait cocon en coton. Elle n’est pas blessée… Juste un petit chagrin de coeur dont elle se remet progressivement. Son nouveau compagnon lui a promis de revenir la revoir très bientôt. Il lui a prêté plein de bouquins, en attendant. Bàv…
Bàv,
Jjj mais non mais non voyons le ps va discuter avec le premier ministre de la longueur des chaînes ce n’est pas une simple nomination certes méritée (sic) qui va troubler leurs débats et pour le fn il suffit de retirer un des deux jours fériés supprimes ou les deux et hop le tour est joué pas de censure..a moins d’un miracle mais je n’y croies pas et hop je sors ….c’est un blog littéraire ici ..
Ne croyez pas ça, CT !… Je cultive un infini mépris pour les classes économiquement supérieures, et plus encore pour les moyennes bien dotées en capital culturel qui font croire au « peuple » en sa diversité, par définition grossière, démuni des deux espèces de capitaux, que leurs savoirs vernaculaires (savoirs, savoir-faire et savoir-être) ne vaudrait pas tripette sur cette chaîne, par rapport à la leur. La leur ?… plus que légitime, forcément et IN-DISCUTABLEMENT plus légitime et distinguée, par la magie de l’héritage et de la consécration académique.
———-
Té…, je viens de découvrir, en achevant la récente biog dédiée à la jeunesse de Bourdieu, la notion forgée par V. Collard de « transfuge de champs »… Pas bête, et appelée à une certaine fortune, ce me semble. Il se concentre notamment sur les années charnières de la carrière de son héros, lorsqu’il renonça à ses premières amours philosophiques pour conquérir un champ à reconstruire entièrement, celui la sociologie, à partir de ses enquêtes en Algérie et au Béarn… afin d’en remontrer au méprisants de la philo académique triomphante mais sclérosée des années 50. Fascinante est la démo de l’auteur qui élucide par le menu les conditions politiques, historique et institutionnelles du contexte de la rupture de Bourdieu avec Canguilhem et son rapprochement progressif avec Aron, au CES. Puis son « adoubement » par Althusser. Une lumière décisive à l’explication de la bifurcation de la trajectoire, grâce à un concept plutôt heureux. Heureux, car heuristique. Il pourra désormais s’ajouter sans dommage au dictionnaire dirigé par Gisèle Sapiro.
Bàv.
@ c’est un blog littéraire ici
Mais où avez-vous pris ça, Renelle ?… Votre opinion compte, croyez-le bien, n’en déplaise aux seules grandes gueules spécialistes de la littérature géopolitique de la RDL !
@ 19.21 – N’oublions pas non plus le Dominique Jamet, à la trajectoire politico journalo-littéraire des plus heurtées. Tu m’étonnes, avec un père pareil, hein !
https://www.babelio.com/livres/Jamet-Notre-apres-guerre–Comment-notre-pere-nous-a-tue/20093
Bàv FLorence,
@ »n’en déplaise aux seules grandes gueules spécialistes de la littérature géopolitique de la RDL ! »
quoi ? hein ?
t’as pas lu l’article à passou ? lui aussi il fait de la géopolitique !
exemple au hasard : « Jean-Pierre Azéma regrettait, pour sa part, que les historiens aient été trop absents de la controverse publique qui avait surgi sur le passé de Heidegger »
en quoi ce philosophe allemand peut-il bien intéresser cet historien français ?
c’est un cas typique d’ingérence dans les affaires d’un pays étranger ?
sans compter l’histoire des accords d’Evian qui ont évité à cet historien français d’aller mourir bêtement dans une colonie française.
la géopolitique elle est partout mon pauvre, dans l’Histoire comme dans le reste.
perso comme je suis fan de John Maershmeier je suis fan de l’école réaliste.
du coup quand tu parles de moi la prochaine fois n’oublie pas de le préciser : « spécialiste du courant réaliste de la littérature géopolitique »
Reçu 5 sur 5, mon brave ! On sent que tu deviens moins aigre, ces temps-ci… Du courant réaliste virant anti complotiste, finally, maybe ?
S’il faut relire Dosto, asth’heure, ô non, pas ça, par pitjié !…
« Je cultive un infini mépris pour… »
Quelque soit l’objet ou le sujet du mépris, le mépris en soi est méprisable, JJJ.
Laissez ça aux imbéciles !
@ »On sent que tu deviens moins aigre, ces temps-ci »
merci oui, mais en fait non, toujours autant d’aigreur de lire des articles sur ces beaux combats anti nazis alors d’autres nazis sont aujourd’hui même nos meilleurs alliés,en fait je sais si c’est de l’hypocrisie, un manque de lucidité ou bien un défaut de réalisme.
mais bon, comme je sais bien me tenir en société parce que j’ai reçu une bonne éducation j’essaie de ne pas trop montrer mon aigreur face à ce ramassis d’hypocrisie de pseudos historiens qui se félicitent par rayeur de l’entrée de la Finlande dans l’otan.
Complément aux délicieux commentaires de Clopine qui n’est pas du tout une « malade mentale » : « Les personnages s’expriment grâce
au texte qui est
placé dans les
bulles, appelées
aussi « phylactères ».
Chaque bulle
possède une queue
ou appendice.La pointe de la queue indique le
personnage qui
parle. »
Bonjour à Rose et à Marie Sasseur qui nous manquent bien.
@ John Maershmeier, encore un gars qui se prend pour Alain Bauer !
20.46 Nénamoins, TU devrais aller voir le film de l’autre déjanté, Quenard, il va T’entretenir de la longueur du cou des péruviens. TU z’y ressembles un brin, à TE tirer par les cheveux pour t’extraire des eaux usées de ce blog pourri par les mélodramaticomanes habituels. Un ersatz de baron Munchhausen, quoi, plutôt. Personne n’arrive à vous prend’au sérieux comme spécialiste punckt du courant électrique réaliste de la littérature poliorcétique. Moij, du moinss. J’y arrive pas, malgré mes efforts d’empathie à l’égard de chaque erdélien.ne digne de ce nom. Désolé. Bàv,
En lisant ce nom, « Azema », je me suis dit; ah! Passou va surement en parler. Et puis non, rien! alors que c’est sûr, les bloggeurs de la RDL vont en parler en long et large. Et alors là, também não !!
Bon alors je dis que je possède un livre qui m’a vraiment beaucoup appris:
« 1938 – 1948 Les Années de Tourmente », dirigé par Jean-Pierre Azéma et François Bédarida. Il s’agit d’un dictionnaire critique de cette période, ont collaborés 52 historiens (*), de 12 pays, cependant une majorité de français. C’est un monument de plus de 1000 pages. Bon, il date de 1995, ce n’est pas la porte à cotê.
oups: à côté
Voyons voir. Les fichiers étaient sur le bureau du procureur général qui s’apprêtait à les lire lorsqu’une femme de ménage les a jetés ; en tout cas ces fichiers n’ont jamais existé, il semble qu’il s’agisse soit d’un faux fabriqué par un ancien président, soit d’un canular, selon le moment. S’il ne s’agissait pas d’un cas de abus de jeunes filles, ce serait risible.
Dis Maurice, comme tu la trouves toi, Sabine Azéma, comme actrice j’veux dire…
mais peut-être que ce livre, finalement, est nul, et que j’aurai dû me taire,
Bon, JJJ nous dira.
Et je répond demain à D au sujet des touristes, merci à lui
Bon et bien vous m’apprenez, chère Ch. ce qu’est un phylactère, je croyais que c’était un vêtement sacerdotal. Voyez comment on peut être stupide, quand on n’a pas été nourri à la BD (bande dessinée), quoiqu’on ne la méprise pas, vu que c pas bien de mépriser.
Non, Ch. je ne crois pas que Ma soeur manque à quiconque ici, quand on sait ce qu’elle a pu vous injecter, à vous toutes les gonzesses, vous poussez le bouchon un peu loin, avec votre prétendue solidarité féminine… Faudrait quand même pas charrier, merd’alhors, et prendre tous les machos pour des mecs ! Incroyab !
Pas terrible la Sabine, comme actrice et comme femme.
Je lui préfère Miou-Miou, sa jolie frimousse et son minois de Lolita provinciale, quand elle était jeune évidemment.
Pour Paul Edel, https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-book-club/dans-la-bibliotheque-de-nicolas-bouchaud-5660139
Je trouve assez incroyable qu’une intervenante puisse jeter des ordures sur les autres sans un minimum d’autocritique. Y a-t-il une école de pensée derrière cela ?
J J-J dit: 16 juillet 2025 à 20h06
@ c’est un blog littéraire ici
Mais où avez-vous pris ça, Renelle ?… Votre opinion compte, croyez-le bien, n’en déplaise aux seules grandes gueules spécialistes de la littérature géopolitique de la RDL !
Mais vous parlez de qui ?? de quoi??
JJJ,
Bonsoir
Marie Sasseur donnait des liens intéressants et hors des périodes crispées… était d’une plume agréable à lire. Ce n’est pas donner ay tout le monde d’être odieuse avec talent.
donné à
21.25 / JJJ nous dira.
Mais bien sûr qu’il n’est pas nul ni trop vieux pour se parfaire au sujet… Je ne l’ai pas eu en main, ce bouquin, aussi vous m’intéressez prodigieusement. Pierre Assouline a-t-il contribué à cette somme dirigée par Bédarida & Azéma ?… Si ce n’est le cas, voilà qui devrait conforter ma réponse de tantôt à jzmn… Car enfin, la caution de ces deux sommités dans le champ ayant rassemblé le meilleur du gratin de leur époque aurait été plutôt éloquente envers icelui… Votre vérif. m’obligerait assez, glissée dans votre réponse à D. Merci, lcé. –
Quant à H. Rousso, anéfé… avec « un passé qui ne passe pas », il s’était en effet pas mal expliqué sur son retrait du procès Papon, à l’IHTP et ailleurs, je m’en souviens maintenant… Merci à l’intervenaute qui a signalé cette mienne erreur. BNàv,
3j non t’as pas bien compris le lien entre géopolitique et littérature ! tu devrais lire le livre de Brzezinski « the Grand Chessboard », au milieu de ce livre on trouve une phrase du genre « l’occident prendra l’Ukraine et la Russie ne pourra pas faire autrement que l’accepter ».
3j tu devrais comprendre toi t’es hyper dans ce mouv occidental qui dit aux autres ce qu’ils doivent faire et comment se comporter : l’occident dicte au monde les règles à suivre ! comme toi tu le fais sur le blogapassou.
c’est un sujet littéraire pourquoi ? parce que si tu prends une famille ce sont les parents qui disent aux enfants les règles qu’ils doivent suivre.
sauf que là y’a une couille dans le potage parce que le nouveau chef de l’otan tu sais comment il appelle Trump ? il l’appelle « daddy » ! « papa » c’est hyper affectueux ! sauf que ce papa il est un peu maboule ! c’est un papa hyper immature qui agit comme un gamin de 12 ans ! Macron lui c’est quoi ? un gamin capricieux qui a épousé une femme plus vieille que sa mère, Merz lui il vit dans une espèce de vénération de son père officier de la Wehrmacht et Starmer il a nommé comme patronne de son service de renseignement la petite fille d’un SS qui commandait un camp d’extermination, un type qu’on surnommait « le boucher ».
t’arrives à piger le trésor littéraire que recèle cette histoire !
maintenant qu’on a la description des personnages pour la plupart des gamins immatures la question est de savoir comment va se terminer ce livre !
@ Ce n’est pas donner a tout le monde d’être odieuse avec talent
Vious alors, Christiane, qui disiez ne plus jamais vouloir intervenir icite !… Je reconnais volontiers que vous mentez avec talent et un certain aplomb. Cela dit, j’apprécie your come back, quand vous semblez sécher sur la SF de SV, non ?… Je plaisante, bien sûr, et aime à vous titi yeh…, hein, tel Till l’S-piègu’ ! 🙂 Bàv
@ comment va se terminer ce livre @ 21.39 !… Dans la soue à gorets, pour sûr !…
Je croyais que TU l’avais déjà écrit, dans tTON uchronie post complotico-apocalyptique… Nous aurais-TU menti, une fois de plus et par hasard, mon guignolot ?
TOI déjà TU lis mal (« l’occident prendra l’Ukraine et la Russie ne pourra pas faire autrement que l’accepter »), et TU nous racontes des balivergnes géopolitiques à la Papounett qui veulent rin dire. Parce que TU te relis pas et que TU donnes des leçons à qui s’efforce de TE lire avec patience, mansuétude et componction, sans jamais en tirer le moindre profit personnel… C’est désespérant, non, Zbignev ? On a envie de T’injurier, mais on s’abstient et on ne MEPRISE Personne en particulier. Sauf les kons, bien entendu, mais ils le savent… A quoi bon les désigner, le sont bien trop nombreux et fiers de l’être, icite, c le ppal.
Bàv,
@ Mais vous parlez de qui ?? de quoi??
Mais de Walter et Maruice, voyons doncl, les nouveaux DuponTD du blogapassoul.
Depuis votre établissement au Portugal, vous suivez moins bien le commentarium de la RDL qu’à l’époque où vous viviez au Brésil, avec votre épouse, où vous étiez mieux branché. Il est vrai que tout le monde vieillit, hein… Mais à nos âges, on peut encore visiter Paris sans devoir se faire insulter par les autochtones qui se sont établi dans les banlieues du sud ouest pour y fuir les touristes de la capitale. Bàv,
Oui, JJJ, je sèche sur les passages. C’est
costaud !
Juste avant, »Les terres du bout du monde » et « Cacao » du grand Jorge Amado.
Bien aimé les lectures de votre concierge. Montaillou, quel délice.
Mais non, je ne suis pas revenue ici. Surtout pas.
« être odieuse avec talent ». La Dame (?) dont il est question est des plus répétitives, et, si talent il y a, on ne l’a pas vu, chère Christiane. MC
Oui et non, MC.Elle a une plume ! Mais oui, c’est répétitif comme d’autres… ici.
Toujours pertinentes vos interventions !
Ahle bouillant Achille de la Belle Hélène. Irrésistible.
Elle chaloupe dans l’invective avec la gouaille d’Arletty. De toutes façons les qualificatifs quelle emploie at votre égard glissent sur vous comme l’eau sur les plumes d’un Colvert. Ah, MV, avouez que vous aimez bien ferailler avec les belliqueux que vous renvoyez avec une courtoisie vacharde à leur sottise.
MC
ferrailler
Parcourir les commentaires des billets RdL devient horriblement fatiguant.
Heureusement, le Connétable Passou travaille ses billets avec le sérieux qu’on lui connait….
Constat ? C’était mieux, avant !
Qui aime être insulté, Christiane?Surtout sans raison valable! Je ne suis pas de ce bois là…. MC
« Soutenir Francesca Albanese, c’est non seulement défendre la liberté d’expression et le système international de protection des droits humains, mais aussi affirmer que la vie de chaque être humain a la même valeur et la même dignité, qu’il soit Palestinien ou Israélien, enfant de Gaza ou de n’importe où ailleurs dans le monde. »
Feltrinelli Editore
On a marché sur la lune :
Bien sûr, MC. Mais au point où elle était arrivée en insultant presque tout le monde, c’était son problème, pas le nôtre. Une enflure des mots qui renvoyait à elle, pas à nous. Un système fermé, une parole non dominée, une hémorragie de mots de gueule.
N’empêche et je le maintiens que quelque chose en soubassement indiquait une possibilité de naviguer dans l’écriture grasse par jeu plein de risque. Qui aime s’abîmer ainsi si ce n’est la piégée d’un pari stupide. Il y a eu une distribution de rôles et pas que pour elle. Vous êtes une des cibles, JJJ une autre, CT et Jazzi encore d’autres dont moi.
Nous sommes sur le blog d’un joueur qui aurait pu arrêter ce jeu pervers et qui ne l’a pas fait et qui ne le fera pas. Cela a qy voir avec une certaine fascination.
Continuez votre exploration culturelle sans vous sentir concerné par ce jeu. J’aime vous lire comme certains autres ici, hommes ou femmes on ne sait avec ce jeu de pseudos.
Et non je ne suis pas revenue, je ne reviendrai jamais ici. Je passerai librement, à l’occasion puis j’irai sur d’autres terres bien plus agréables et porteuses de littérature et dart. Des terres où on se sent libre même d’effacer ses commentaires
LIBERTE CHERIE…
La volonté de Messire Passou, concernant son blog prestigieux, est claire : ouvrir un espace de Liberté à des amoureux de la littérature, aux curieux, aux férus d’un partage paisible, aux rodeurs courtois, mais aussi aux abrutis numériques de tout poil.
Des tarés en profitent, et se déchainent sans autre raison que tartiner les murs de la cathédrale d’un vomi narcissique, fruit de leur handicap mental sévère.
Conséquence du choix : donner la liberté totale se paie !
Bien vu, JC, comme toujours. Mais qui ne dit rien consent…
Pour une qui n’est pas revenue tu es partout, Christiane !
C’est ce que l’on nomme parler par prétérition ?
JJJ ne pourra plus dire que ton départ, c’est de ma faute…
« Cela a à voir avec une certaine fascination »
Plutôt avec une sorte d’éthique : la liberté de parole.
Mais à force qu’on lui chie sur la tête, Passou finit toujours par virer les fâcheux.
Ainsi, Chaloux, hier, et Marie Sasseur, aujourd’hui…
La mort spectacle
« « Chers amis, chers ennemis, dernier bonsoir ! » Dans une ultime mise en scène, les obsèques de Thierry Ardisson, producteur et animateur star décédé à 76 ans, sont célébrées ce jeudi à Paris, devant une assistance invitée à revêtir sa couleur fétiche, le noir.
La cérémonie se tiendra à 16h30 en l’église Saint-Roch à Paris, la paroisse des artistes, avant une « inhumation dans la plus stricte intimité », a indiqué sa famille à l’AFP. L’accès à l’intérieur de l’église sera « réservé aux invités », à qui il est demandé de respecter le « dress code Ardisson (avec ou sans lunettes noires) », c’est-à-dire le costume noir. »
« Chers amis, chers ennemis, dernier bonsoir ! Retrouvez-nous pour dire au revoir à l’homme en noir », est-il inscrit sur le carton d’invitation, portant la mention « Roch never dies », clin d’œil à la paroisse du Ier arrondissement et promesse d’une bande-son éclectique à son image. »
Jazzi, être partout ? Ce doit être des métempsycoses mal gérées. La faute à Soleil vert.
Passou ? Une énigme… Je l’ai connu sur ce blog, par hasard. Je le préfère hors ce blog dans son écriture, ses lectures, ses prises de paroles nombreuses. Ici, JC. a fort bien défini les malades qui sous couvert de liberté viennent arroser les autres de leur fiel nauséabond.
Tiens bon la barre de tes écrits parisiens et autres sauf, tu le sais, ces zones troubles où tu te perds même sous couvert de fiction.
Malgré les échanges orageux je crois que si Clopine rappelait en urgence absolue tu répondrais présent…
t’appelait
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