
Pour saluer Jean-Pierre Azéma
L’historien Jean-Pierre Azéma nous a quittés hier à l’âge de 87 ans.
« Dis-moi ce que tu n ‘aimes pas et je te dirai qui tu es ». Jean-Pierre Azéma n’aimait pas… Par exemple, Au revoir les enfants, film comblé d’honneurs, grand succès international, parce que Louis Malle y traite de deux sujets que connaissait bien notre historien – l’internat et l’Occupation – mais d’une manière qui lui hérisse le poil : « De l’esbroufe ! Du toc ! Tout sonne faux ! » Antimallisme primaire ? Pas du tout : « J’avais beaucoup aimé jadis Les Amants, c’était un de mes films-fétiches ; avec Lacombe Lucien, j’ai commencé à prendre mes distances, à cause de ses concessions inutiles à la mode rétro. Cette fois, je suis plus sévère à cause de l’exploitation qui est faite des gosses. Louis Malle n ‘a pas compris grand-chose, ni à l’époque ni au fonctionnement d’un pensionnat. » C’est dit sans violence mais sans ambages. Il sait de quoi il parle. L’internat et l’Occupation, justement, c’était sa vie.
Vous auriez reconnu Jean-Pierre Azema à ceci qu’il ne portait jamais de cravate et qu’il avait toujours, en revanche, une écharpe autour du cou. Tout le contraire de ce qu’on imagine des messieurs de Sciences-po. Mais ce n’était pas de la désinvolture. Jean-Pierre Azéma, quand vous l’interrogiez sur lui-même, hésitait d’abord, puis il finissait par s’expliquer en termes de génération. 7 ans à la Libération, 25 lors de l’indépendance de l’Algérie, 31 en Mai-68. Puis un mariage et trois enfants : « La famille, la vie de couple, c’est l’essentiel, c’est bien notre génération. » L’homme vous devenait vite attachant par ses valeurs, ses principes et sa complexité, tout en vous étonnant par son langage : là, il ne s’agit plus de génération, il était le seul à truffer ses phrases de l’argot khâgneux de la fin des années 50, comme si la blouse grise de l’éternel pensionnaire lui restait collée telle une tunique de Nessus. L’historien était respecté sinon admiré par ses étudiants, ses travaux sur la France de 1938 à 1948 faisaient autorité… Mais il n’avait pas choisi cette période par hasard. C’est ici que nous retrouvons son « ego-histoire » – dans laquelle l’histoire personnelle, singulière, entremêle ses effets à ceux de l’histoire de sa génération.
Il était né à Paris mais des Azéma, on en rencontre un peu partout – surtout dans le Midi. On en repère déjà un dans Montaillou. Son père, Jean Azéma, originaire, lui, de l’île de la Réunion, militait à l’extrême droite. Journaliste, il écrivait dans Je suis partout, l’hebdomadaire de Robert Brasillach, et dans les journaux de Jacques Doriot. Après 1940, il bascula dans le clan des collaborationnistes. Lié à Jean Hérold-Paquis, l’homme qui s’était rendu célèbre en répétant inlassablement : « L’Angleterre comme Carthage sera détruite », il travailla à Radio-Paris. Assumant ses idées jusqu’au bout, il s’engagea dans la division Wallonie et, condamné à la prison à perpétuité par coutumace, dut se réfugier après coup en Amérique latine. De ce passé paternel, le jeune Jean-Pierre et ses frères ne connaîtront longtemps que des bribes. Adolescent, à l’âge où sa curiosité s’éveille, il fut trimbalé d’internat en internat. Son véritable uniforme, c’est une écharpe qu’il ne quittait pas l’hiver et qu’il lui arrivait de porter même en été :
«Au départ, c’était une nécessité. Les récréations étaient longues et j’ai eu froid. C’est devenu une manière d’être. Quand je n ‘en porte pas, je me sens quasiment nu. »
Dix années de solitude, mais aussi de chaudes complicités, de parties de ballon et le goût inoubliable du café au lait cuit dans les grandes marmites. Il atterrit en première au lycée Lakanal, à Sceaux. C’était l’un des rares « bahuts » parisiens installés à la campagne, à tout le moins dans les arbres d’un grand parc, à avoir un stade, une vraie piste en cendrée… Les parents voyageurs jugeaient très sain de mettre leur progéniture au « bon air ». Dans ce qui sera son dernier lycée, Jean-Pierre Azéma fit la connaissance notamment de Michel Winock. Ils liront le Discours de la méthode sur les mêmes bancs et feront partie de la même équipe de football. De là l’origine d’une amitié fidèle. Il en naîtra des ouvrages en commun, le premier s’intitulant Les Communards, « un livre de jeune homme » comme dira un de leurs maîtres.
Le cursus universitaire est classique : hypokhâgne, khâgne, agrégation. En Sorbonne, il fut marqué par l’enseignement d’un médiéviste, Édouard Perroy. Mais il alla tout autant écouter les cours de Ricoeur et de Jankélévitch. Comme pour les étudiants de sa génération, la guerre d’Algérie lui servit de révélateur politique. Il milita à l’UNEF, dominée par les « cathos » de gauche et en garda la conscience d’appartenir à une « génération éthique » – celle qui protesta contre l’usage de la torture par l’armée. Peut-être avec une certaine bonne conscience d’elle-même mais Jean-Pierre Azéma n’éprouva nulle envie de donner des leçons. Il lui en resta des principes, quand bien même ses idées politiques se nuancèrent : « Je ne voterai jamais à droite (sauf pour faire échec à l’extrême droite). » En 1962, il était à la limite de son sursis. Les accords d’Évian lui épargnent le séjour dans les djebels. Mais il mesura encore les enjeux de cette guerre lorsque, deux ans plus tard, il fut expédié à Coëtquidan, comme soldat-professeur de deuxième classe, pour enseigner la « culture générale » aux saint-cyriens : une bonne partie des officiers resta marquée par les souvenirs des méthodes de « pacification ».
La « quille » venue, le voici à Troyes, puis dans les lycées Lakanal et Henri-IV (en ces temps de classes creuses du côté des maîtres et de classes pléthoriques du côté des élèves, les agrégés après un petit tour en province revenaient vite à Paris s’ils le voulaient). Enfin, il fut élu à l’Institut d’études politiques, SciencePo à Paris, qui deviendra sa maison. Il y était porté par son goût de l’histoire du temps présent :
« Par intérêt pour la vie de la Cité, par tempérament, par sensibilité. Et puis, je suis fils de la guerre. »
Ce n’est qu’en 1968 qu’il revit son père pour la première fois depuis la fin de l’Occupation. Il fit le long voyage d’Argentine. Il y rencontra un inconnu qui avait la tête d’André Breton, une élégance un peu désuète, des allures de grand seigneur. Le jeune homme de gauche écouta l’ancien « collabo ». Il découvrit chez lui une culture, une curiosité intellectuelle inépuisable, mais aussi des rancunes tenaces et parfois insolites (notamment contre Laval… « symbole de la démocratie ! »). Azéma fils évoquait avec pudeur Azéma père : « En causant, causant, causant, j’ai mieux compris ce qui avait pu le motiver. Cela a permis des relations plus saines. » Un an plus tôt, il avait suivi, à Sciences-po, le séminaire sur le gouvernement de Vichy dirigé avec la grande autorité qui était la sienne par René Rémond. Ce fut le déclic. Il s’immergea dans la période, lit la littérature existante qui ne lui procura que des satisfactions mitigées.
Un livre l’irrita particulièrement (« il faut le faire lire aux jeunes chercheurs comme contre-modèle ») : Histoire de Vichy (Fayard, 1954) de Robert Aron. Ce pavé, qui a pu passer pour un ouvrage de référence parce qu’il était à peu près unique sur le sujet, lui sembla détestable, et d’abord par la méthode : un jeu de citations extraites de sources jamais – ou rarement – référencées et qui se révèlaient être quasi uniquement des plaidoyers pro domo. Il faudra attendre les travaux d’Eberhard Jàckel (La France dans l’Europe d’Hitler) et ceux de Robert Paxton (La France de Vichy) pour disposer de bases enfin solides. Les premières recherches menées l’amenèrent à s’intéresser à Edouard Daladier, dont on venait de confier les « papiers » personnels à la Fondation nationale des sciences politiques. Jean-Pierre Azéma demeura convaincu que la biographie n’était pas un genre mineur. Elle valait mieux en tout cas que la réputation qui lui avait été faite. Un point mérite d’être souligné dans le destin de celui qui demeure pour la postérité le signataire des accords du 29 septembre 1938 avec Hitler : adulé sur le coup pour avoir « sauvé la paix », il deviendra, malgré une attitude plus qu’honorable pendant la guerre, une victime du syndrome de Munich et devra sous la IVe République se contenter d’occuper des strapontins. Parallèlement, Jean-Pierre Azéma utilisa les archives ramassées par le Comité d’histoire de la Deuxième Guerre mondiale, pour mener à bien la rédaction d’un livre que Michel Winock lui avait commandé au nom des Éditions du Seuil : De Munich à la Libération, tome XIV de la « Nouvelle Histoire de la France contemporaine ».
« Ce fut un boulot de chien… Plus j’avançais, plus les choses se compliquaient… L’impression que j’ai gardée de cette longue gestation est celle d’avoir été un coureur de haies qui en découvre une douzaine après en avoir sauté une. »
Désormais embarqué dans les années 40, il croisa naturellement un certain Jean Moulin sur son chemin et finira par lui consacrer une biographie Jean Moulin. Le rebelle, le politique, le résistant (Perrin, 2003). On ne savait pas grand-chose alors sur celui qui était devenu, par la vertu d’une oraison de Malraux au Panthéon, le héros éponyme de la Résistance gaullienne. C’est pourquoi Henri Frenay, qui s’était heurté à lui, en 1943, comme responsable du mouvement Combat, pouvait déclarer urbi et orbi, mais sans preuve, que Jean Moulin était en fait un « crypto-communiste », tout comme son ancien « patron » Pierre Cot. L’homme était suffisamment séduisant et secret, sa trajectoire suffisamment complexe, pour qu’il puisse être étudié à travers une thèse intitulée : « Jean Moulin. Une biographie politique, du républicain au fédérateur des Résistances en France. » En menant son enquête d’histoire orale, Jean-Pierre Azéma rencontra un témoin capital, Daniel Cordier qui fut l’auxiliaire et surtout le véritable homme de confiance du fondateur du Conseil de la Résistance. Suffoqué par les affirmations de Frenay, mécontent de l’à-peu-près des historiens sur le sujet, celui-ci s’était attelé à l’établissement d’une chronologie incontestable de la « Mission Rex », en se servant notamment de documents qui étaient en sa possession. Il avait été amené progressivement à élargir le champ de sa recherche et, fait bien rare, l’acteur de l’Histoire sut se muer en véritable professionnel de la recherche : ses livres ont bouleversé l’historiographie de la Résistance intérieure et toutes les idées reçues sur les enjeux politiques de la France livre comme ceux de Paxton l’avaient fait pour la Collaboration d’État, Il restait à Jean-Pierre Azéma de soutenir une thèse sur travaux axée sur la France des années sombres.
Tenace et loyal dans la vie (les témoignages sont unanimes), il était persévérant et minutieux dans l’analyse. Jean-Pierre Azéma vérifiait tout, se souvenant de la cabale qui avait été montée contre Paxton, lors de la sortie de sa France de Vichy : pour discréditer des thèses qui gênaient, on avait monté en épingle quelques erreurs minimes. Il arriva aussi que sa conception entière et éthique de l’histoire le rende injuste dans sa critique et intransigeant dans la discussion, mais il restait accessible lui-même aux critiques et savait parfaitement reprendre ou nuancer telle ou telle affirmation de la veille.
De l’Université, il lui était difficile de parler car la rue Saint-Guillaume est un monde à part et relativement privilégié : on y travaille dans de très bonnes conditions, en particulier grâce à une bibliothèque exceptionnelle. Il aurait voulu que le monde universitaire en finisse une fois pour toutes, malgré la concurrence de plus en plus vive autour des rares postes disponibles, avec ce qui subsiste de structures féodales relayées par les rivalités de clans et de chapelles. Un exemple de ces querelles de mauvais aloi : le reproche formulé explicitement à l’encontre de certains de ses camarades d’être des « historiens médiatiques ». Comme si c’était une tare que de savoir parler à la radio ou de passer à la télévision. Lui-même fut le conseiller historique de la série télévisée Un village français (France 3, 2009-2017). Il existait à cet égard une demande sociale : pourquoi ne pas y répondre ? Jean-Pierre Azéma regrettait, pour sa part, que les historiens aient été trop absents de la controverse publique qui avait surgi sur le passé de Heidegger :
« C’est dommage. Aux yeux de l’historien, Heidegger est le prototype d’un agrarien de droite, partie prenante dans le compromis de type autoritaire qui a permis l’émergence et l’affermissement du régime nazi. Son attitude jusqu’en 1944 et après la guerre est parfaitement cohérente. Discutailler sur tel ou tel morceau de phrase, comme s’entêtent à le faire bon nombre de ses groupies m‘apparaît parfaitement subsidiaire. »
Pourtant, depuis quelques années, ils étaient de plus en plus nombreux, les historiens, à prendre en compte les « enjeux », les « batailles », les « rejeux » de la mémoire. Pour lui, c’était une bonne chose. Sans doute les témoignages oraux ne pèsent pas lourd s’ils ne sont pas recoupés par des sources écrites qui demeurent incontournables. Reste, pensait-il, que le va-et-vient entre le vécu très immédiat et le passé proche crée de l’histoire. Reste aussi que l’historien du temps présent peut difficilement, quoi qu’il en ait, faire abstraction de son affectivité, de ses choix éthiques ou philosophiques, de son appartenance générationnelle, bref de son « égo-histoire », selon la formule de Pierre Nora. Ce qui implique qu’il pratique de façon systématique le travail de deuil.
Un sourire amusé, une poignée de main franche et directe et il vous quittait pour le cinéma : « Je suis prêt à beaucoup pour un bon film. » Sa silhouette se détachait sur le trottoir de la rue Saint-Guillaume. C’est celle d’un éternel étudiant. L’écharpe toujours, celle de l’éternel pensionnaire des années froides de l’Occupation dont il devint l’un des plus grands historiens, lui, le fils du collabo. « Oui mais, avant, je n’en avais qu’une pour changer l’autre ! Alors qu’aujourd’hui, j’en ai plusieurs, de couleurs différentes. Et pour l’été, eh bien j’en ai même en soie ! C’est ça le luxe… »
(« Un cinéma à Paris sous l’Occupation » photo D.R. ; « Jean-Pierre Azéma » photo archives Ouest-France ; Daniel Cordier pendant la guerre » ; « Carte d’identité du préfet Jean Moulin » ; photos D.R.)
1 236 Réponses pour Pour saluer Jean-Pierre Azéma
JC. a fort bien défini les malades qui sous couvert de liberté viennent arroser les autres de leur fiel nauséabond.
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…genre Clopine qui, il y a quelques mois m’a ici couvert d’insultes. Il faut faire avec.
L’horreur spectacle
« Ligoté, torturé et immolé dans la garrigue : un jeune homme découvert carbonisé près de Nîmes, la vidéo du crime diffusée »
https://www.leparisien.fr/faits-divers/ligote-torture-et-immole-dans-la-garrigue-un-jeune-homme-decouvert-carbonise-pres-de-nimes-la-video-du-crime-diffusee-16-07-2025-I7OZXEBW2RAWBNSNZXT7YC256I.php
Je regrette, Jazzi, mais nul n’est autorisé à imposer un « dress code » dans une église consacrée. L’Eglise et ses bâtiments cultuels n’est ni louée ni mise à disposition de qui que ce soit. Il s’agit au départ d’accepter de bénir un défunt et/ou de dire une messe pour lui. L’Eglise accepte ou non cette demande et, pour un baptisé, elle l’accepte toujours, de nos jours du moins. Tout le monde peut assister à des obsèques. Dans le principe, il n’est pas possible de filtrer.
S’il y a beaucoup de monde, il est normal et admis de faire d’abord entrer les proches ou de leur réserver un bon 3/4 des places. C’est une pratique, absolument pas un droit. Pareil pour tout sacrement ou bénédiction, y compris le mariage, sauf le sacrement du pardon, qui est secret dans sa partie confessionnelle. Les sacrements et les bénédictions sont donnés par les clercs devant l’Eglise catholique entière. Les proches n’invitent pas, ils se contentent d’informer de la date et de l’heure données par le clergé. Ils ne peuvent obliger au port d’aucune tenue vestimentaire particulière même sous le prétexte de faire la volonté d’un défunt.
Nimes est devenue insalubre et les petites frappes de plus en plus cinglés, dangereux et nombreux, chaque jour ramène sa laisse de crimes et la statistique montre qu’il n’y a pas plus d’homicides qu’auparavant. Je ne suis pas adeptes des faits d’hiver et peut-etre trouvent-ils un relai facilité mais entre les meurtres entre bandes rivales, les morts collaterales, les disparitions inquiétantes, les meurtres sans motifs autres que ce qui semble devoir passer pour reaction ordinaire à la contrariété, l’impression ne donne pas raison à la stat.
adepte, divers.
Par ailleurs je n’ai aucun grief particulier contre T. Ardisson, je ne regardais pas ses émissions qui ne m’intéressaient pas particulièrement relativement à beaucoup d’autres.
Je sais que le monde du showbizz et des médias est très particulier et souvent dur. Certains y trouvent leur place et y évoluent avec leur style, on oblige personne à y appartenir, c’est une question de prédestination sans doute. Certains artistes le fuient et s’en sortent pourtant très bien grâce à leur charisme et à leur talent.
Christiane, MS usait de sa plume il y a longtemps, elle s’en dispense depuis pas mal de temps. A croire que les personnes qui fréquentent ce blog ne sont pas suffisamment méritantes sauf pour encaisser ses scories, ses humeurs, ses mots, toujours un peu les memes qui témoignent de son mépris et de son idée du dialogue. Un clavier mal tempéré. Armand Constant me parait etre son substitut et vouloir abandonner un style qui peut-etre ne passe plus.
@ Des terres où on se sent libre même d’effacer ses commentaires (Oui, c’est un des très grosses qualités techniques du blog de Soleil Vert, un type par ailleurs très attachant, à l’égard duquel il est impossible de dire le moindre mal, surtout depuis le décès de son chat). Vous êtes trop forte pour moi, Ch… Car il en est à qui je n’arrive pas à « pardonner » quoi que ce soit, malgré mes efforts. Ma soeur n’est pas en cause, bien que je n’arriverais pas à argumenter comme vous le faites pour la soulager de son « exclusion » temporaire et lui tendre la main. Mais êtes-vous réellement sincère avec vous-même, Ch. ? vous qui ne passez sur le blogàpassou que très rarement et ne le lisez quasiment plus avec autant d’assiduité que naguère ?
C’est une nouvelle journée qui s’apprête. Peut-être alors une baignade océane ?…, mais la marée est basse l’aprèm, en ce moment, et il faut transférer des lits dans le nouveau studio. Je souhaite à toute l’herdélie bonne trempette, si possible. Halte aux soucis. Farniente maximal et qq lectures faciles (force 4/5). Bàv, belles écuyères & bayadères de l’RDL.
@ 8.00, Vous vivez apparemment dans un monde dangereux, B. Allez vous réfugier dans la tour Magne à Nîmes, on s’y sent à l’abri, en général. C’est mon conseil amical de prudence. Prenez bien soin de vous.
JJJ, c’est un réel plaisir de vous lire.
Je ne suis pas « trop forte », je suis indifférente. Les années ont eu raison de mes désirs de comprendre ce qui se passe ici. C’est un bien grand mystère. Regardez Chaloux qui peut être immonde comme il sait dévoiler l’immensité de sa curiosité intellectuelle. E commentateur sous pseudo(s) est un véritable paradoxe. Regardez D. Qui joue les jardiniers ou éveilleur de poules, quand il n’est pas courbé dans ses patenôtres, il a le jugement droit et tranchant. C’est un blog de faux-semblants qui a ses charmes et ses repoussoirs.
Mais je préfère d’autres temps de réflexion, d’autres pistes intellectuelles, littéraires, artistiques. J’habite dans ma bibliothèque, au chaud des livres. Mon museey est intérieureaintenant que mes déplacements sont périlleux. La semaine prochaine un dur moment chirurgical à passer…. Sait-on ou s’arrête une vie ?
Parfois j’ai de la bonté venue dont ne sait où pour tous ces emmerdeurs.
Parfois j’ai de la bonté venue dont ne sait où pour tous ces emmerdeurs.
Sainte Christiane, priez pour nous pauvres pécheurs! 🙂
Christiane, tous mes vœux et mes pensées les meilleures pour l’épreuve qui vient. On peut s’affronter, je pense, sans se haïr. Donnez-nous des nouvelles.
Merci Chaloux. Vous êtes un homme bien.
Enfin un grand film qui décoiffe et nous interroge, entre sexe et cérébralité !
3j t’as pas compris ! tu connais la psychohistoire ?
le Radiant ?
ce qu’il faut faire c’est contextualiser… en fait il faut tout contextualiser.
exemple au hasard : l’Allemagne !
passou il parle de son article d’une Allemagne méchante et injuste, sauf qu’aujourd’hui l’Allemagne défend la justice, elle est le gendarme de l’Europe.
il a été question de Gunter Grass dans ce tournant des années 90, sauf que la situation a vachement évolué en 30 ans !
ce rôle de gendarme de l’Europe a commencé avec les nettoyages ethniques anti serbes en Croatie. Qui s’en souvient ? En fait on se souvient que de la moitié de l’Histoire et on a occulté l’autre moitié. Ensuite elle a voulu jouer le gendarme au Kosovo mais là les américains ont dit pas question c’est l’otan qui va s’en occuper !
aujourd’hui l’Allemagne veut se doter de l’arme nucléaire.
j’ai vu des émissions à la TV allemande sur des chaines genre LCI avec des militaires allemands qui jubilaient devant les images des chars russes allant en direction de Koursk, c’était une scène tout à fait hallucinante.
comme l’Allemagne est le gendarme de l’Europe ils veulent faire comme font tous les gendarmes : punir la Russie : les allemands veulent faire la guerre contre les russes au nom du droit et de la justice !
t’as lu Asimov ? tu connais la psychohistoire ?
Décidément, Christiane, vous les accumulez! MC
Ceci pour le duo infernal Clopine-Jazzi!
Que signifie le AO en façade du cinéma, dear Baroz ? Personne cause l’allemand d’occupation et la marie sasseur au bagne, tout baigne.
l’autre intérêt de la psychohistoire d’Asimov c’est de rendre cohérentes les situations erratiques.
en ce moment s’il y a un mot qui permet de définir l’occident c’est le mot « erratique ».
Trump est erratique, pas seulement parce qu’il aime se foutre de la tronche des journalistes en leur racontant n’importe quoi, il est vraiment erratique.
sauf que l’Europe aussi est hyper erratique.
le problème des situations erratiques c’est qu’elles modifie les statistiques, je veux dire si on calcule les coefficients de variations on arrive à des trucs totalement aberrants.
d’où l’intérêt de rendre littéraire la géopolitique.
Pour Chaloux, on peut être d’accord sur quelques points , de feu la Librairie Thomas à Offenbach!
MC.
Une île de paix en pleine folie… Oui, c’est surréaliste. Mais plutôt que d’accumuler, l’allège. On ne sait jamais quand on doit s’envoler sans bagages. Un bond hors du temps, hors du théâtre de marionnettes ou Guignol tape sur Gnafron…
Non pas Gnafron, lui c’est son ami philosophe. Plutôt Bras de fer le voleur.
J’aimais entendre les enfants rire ou crier au petit théâtre du Luxembourg.
Ici, c’est un peu Guignol.
Je sais que Chaloux vous malmenée injustement et j’en souffre. Vous le savez bien.
Andra Esposito.
Fille jouant de la flûte, 2010.
malmène
Adult only, Phil.
(à cause d’un sexe noir flamboyant et à cru dans ce film très sensuel)
la statistique montre qu’il n’y a pas plus d’homicides qu’auparavant […] l’impression ne donne pas raison à la stat.
B dit: 17 juillet 2025 à 8h00
Tu es naïve…
«Il y a trois sortes de mensonges: les mensonges, les gros mensonges et les statistiques».
Mark Twain
« Les seules statistiques auxquelles vous pouvez faire confiance sont celles que vous avez vous-même falsifiées. »
Winston Churchill
Merci Baroz, de quel film parlez-vous ?
Une adaptation vintage d’un roman classique !
https://www.facebook.com/photo/?fbid=1382244906737563&set=a.603939587901436
De « Le rire et le couteau », Phil
(voir le lien plus haut)
yesss ! en fait je vous comprends super bien…
vous aimeriez créer ici un petit cocon bien douillet, bien tranquille, où vous pourriez parler bien tranquillement des pommiers en fleurs à Proust tout en recréant les petites conditions de petites guerres entre vous, avec les gentils et les méchants, les justes et les injustes, les fous et les raisonnables etc… pour vous donner l’impression que ce petit cocon bien douillet pour parler des pommiers en fleurs n’est pas totalement coupé du monde.
sérieux je comprends tout à fait ça.
pour ça que vous préférez Proust ou Flaubert à Dostoïevski, parce que les premiers décrivent le monde extérieur, alors que l’autre va puiser la boue au plus profond de l’âme, ce qui fait dire à Paul Edel qu’il le ballade dans les couloir d’une clinique, et je comprends qu’à son âge on n’a pas envie de bouquins qui vous baladent dans les couloirs d’une clinique sachant que d’ici peu on va le faire pour de vrai.
non c’est vrai je comprends tout à fait ce à quoi vous voudriez que le blogapassou ressemble et perso si j’étais à votre place je ferais pareil.
en plus c’est compliqué de trouver le parfait équilibre entre la tranquillité livresque et la dose humaine genre méchanceté et insultes.
parfois vous basculez trop vers la tranquillité et parfois vous allez trop dans l’autre sens de la méchanceté.
d’où l’intérêt d’avoir 3j, le Carl Schmitt prof de droit du blogapassou pour légiférer, même si des fois il est un peu dépassé ou complètement bourré pour accomplir sa tâche convenablement.
@ 8.00, Vous vivez apparemment dans un monde dangereux, B
Je vis dans le meme monde que vous, quelquefois me vient cette pensée qu’avant, les pauvres, les défavorisés etaient plus dignes et moins dangereux. Le developpement de l’economie parallèle ne va pas sans crimes et d’ailleurs ses gains sont je crois enregistrés dans le PIB, les morts, les agressions quant à elles restent du ressort d’un autre ministère. L’accroissement demographique pourrait aussi justifier l’adage: plus on est de fous, plus on tue.
10.25 on se demande à qui vous vous adressez exactement, hormis à Dostoiev en vous-même ? Et c’est très bien ainsi. Evitez juste de mobiliser vos bipolarités en prenant maj place à la fin. Vous auriez toujours tout faux, de toute façon; comme toutes celséceux qui entendent vous réduire à des stéréotypes à 100 sous… Il ne « légiférait » pas sur l’ennemi, c’te pauvre Carl, il proposait juste de l’exterminer au nom du réalisme géopolitique. Vous ne savez pas lire vos bons auteurs ou quoi ? Bàv,
En ce moment, sur France Cul, y’a la biographie radiophonique de Churchill par notre hôte. Ça ressemble, hélas, aux devoirs de vacances, avec figurines à colorier avec des feutres, accents mis sur les « bons mots », si fins, si ironiques, avec ses réparties « innées » prouvant son génie, notamment littéraire,et in fine la construction de la figure du héros, seul se soulevant contre la barbarie nazie, »du sang et des larmes », homme providentiel etc. C’est juste faire l’impasse sur une analyse disons politique… Ou scientifique… C’est juste décevant. Non, si l’Angleterre s’est opposée à l’Allemagne nazie, ce n’est pas parce que Churchill était »un mec bien « (il était colonialiste jusque ras la gueule). C’était juste un conflit d’intérêts bien pensé. Ça fait froid dans le dos, ça devrait juste faire froid dans le dos, de tous les humanistes.
Comme c’est beau !
Chaloux se réconcilie avec Christiane !
Fais gaffe Chaloulou, si tu continues sur cette gentillette pente, tu vas finir par trouver la Gigi charmante et MC élégant !!!
De grâce Chaloux, ne vire pas ta cuti… Oh, Mon Dieu !!!
MC dit: 17 juillet 2025 à 9h43
… ce qui devrait en principe faire cesser les insultes gratuites unilatérales à votre encontre. Attention aux rechutes.
Bàv,
Bon, notre hôte a droit lui aussi aux célèbres cahiers des « devoirs de vacances ». Après tout, c’est l’été, et ce n’est pas fondamentalement désagréable, c’est une commande, faut bien remplir le frigo j’imagine, enfin je vois ça comme ça, même si le frigo est plein dès la naissance…
ouij Walter a raison… (9.30), Restez ce que vous êtes et surtout ne changez pas… une pente dangereuse… Faut toujours que les têtes de trolls aient un noeud pap au cou de leur mentor officiel pour faire le sale boulot public à leur place. Leçon de morale du jour : « c’est le drame du porte-parolat en démocratie virtuelle indirecte ». Bàv,
Oui, tout le monde a bien le droit de choisir ses viandes préférées à se mettre au frigo avant l’hiver.
même si le frigo est plein dès la naissance…
les bébés Courjault!
Rassurez-vous, Marie Sasseur est toujours là.
Telle une déesse hindoue, belle comme l’Enfer et terrible comme la Mort, elle vous surveille tous et toutes de ses mille yeux rouges de colère et de haine.
N’est-ce pas Walter ?
Maurice, je confirme l’identification de la femme. Posté ce matin pour donner raison à Christiane pour « la plume » en constatant que son usage faisait défaut depuis un bon moment. Le commentaire a été mis en attente modération.
En fait, je plains De Gaulle, parce que (vu l’infime différence qui existe entre le style « littéraire » entre Churchill, prix nobel, et lui), la vérité c’est que la réponse
au nazisme provient non de certains hommes, mais d’entités collectives, animées d’intérêts de classe.
Eh non , Clopine , les réparties et autres ne prouvent pas nécessairement « un génie littéraire »! Le Marquis de Bièvre avait de l’esprit et de la répartie, il n’en demeure pas moins, même avec sa tragédie à calembours un écrivain de troisième ordre. Pour le reste, j’aimerais qu’on me montre un chef d’ État non attaché à l’ Empire en cette période. À noter tout de même que, dans une Lettre à Roosevelt, Churchill écrit « L’Empire Britannique ne durera pas éternellement ». cela s’appelle de la lucidité.
, mais d’entités collectives, animées d’intérêts de classe.
Pour sur, les trains, les juifs par millions, les communistes, les débiles éliminés, les intellectuels traqués, la milice et la gestapo n’étaient que des épiphénomènes qui ne motivèrent en rien que l’on voulut vaincre le Reich.
Clopine, vous etes comme un pendule qui oscillerait pour interpréter le réel entre domination masculine et Classes sociales.
Bérénice,
L’infirmière que tu fus, connait très bien les hommes, en long et en largeur, littéralement, n’est-ce pas ?
Donne quelques conseils pratiques à Clopine la Bassine sur ces homos-erectus sauvages et barbares et sur la meilleure manière de les apprivoiser, ça l’aidera peut-être à les comprendre pour de bon et comme ça elle ne nous bassinera plus avec ses pleurnicheries féministo-grotesques.
] MC, mais moij aussi, je peux vous faire mon Churchill ou mon Spengler : « l’Empire russe de vlad ne durera pas bien longtemps »… Hein ?
Maurice, je vis seule depuis trente deux ans, je n’ai pas réussi à séduire ceux qui me convenaient. Nous n’entretenons😉que des rapports de domination en exerçant ce métier, ils filent droit, la crainte de représailles présente dans cette relation soignant- soigné. Je bosse encore et s’ils m’ennuient je fais exprès de rater le prélèvement, c’est ma stratégie, , inspirer la peur, faire craindre la vengeance !
Ne t’en fais pas Walter, aucune chance de rapprochement avec la Gigi. L’état de misère humaine où est tombée cette vermine bouffie est sans remède.
Quant à Monsieur Court, (est-ce là rien qu’on propose!) je n’ai rien contre lui, mais je suis très attaché à la probité intellectuelle, et son état de « chercheur » n’a rien d’un argument d’autorité. Il le prouve lui-même assez souvent, ce que je me plais à lui faire remarquer.
La différence entre Churchill et de Gaulle, c’est que de Gaulle est l’auteur de ses livres.
Ouf ! Me voilà rassuré.
Merci Maître Chaloux.
Il ne faut pas parler de Marie Sasseur à Michel Alba. On risque d’être en situation de modération ou en purgeation temporaire.
Ouf ! il a suivi mon conseil, le troll. Risque pas d’être contaminé, le mentor. Sauf par celzéceux qui veillent au grain en leur CDBF, uniquement, genre Marie Walter ou Maurice75 pour les intimés. Pour l’heure, aux abonnés absents. L’est juste parti faire pipie. Va revenir au triple galop. Bàv,
@ je vis seule depuis trente deux ans (B.)
C’est un peu dommage, non ? Un sympathique compagnonnage à la playa, même si éphémère, semble souvent vous manquer. Pourtant, il y a pas mal d’occasions de s’y envoyer en l’air durant deux trois heures, et de ne pas donner suite, je trouve. Bon courage.
je suis très attaché à la probité intellectuelle.
No comment @ # metoo.
« La différence entre Churchill et de Gaulle, c’est que de Gaulle est l’auteur de ses livres. »
Et qu’il n’a pas eu le Nobel de littérature, Chaloux !
« je vis seule depuis trente deux ans »
Mais pas avec maman, B !
3J, je ne fais aucun effort, je ne vois pas d’ailleurs à mon âge où se cacherait l’oiseau qui pourrait me plaire, oiseau rare, peut-être disparu. Et je dois ajouter que l’idée du contact physique me répugne sans pouvoir m’en expliquer. J’ai quitté le train du désir à trente quatre ans et je devrais maintenant accepter une place en queue de train, je ne réussirais pas à m’y résoudre .
On aimerait, Chaloux , que vous fussiez aussi compétent sur Auguste Comte, Hugo, Pierart, et autres articles commis par votre serviteur, point trop mal accueillis par la Communauté chercheuse…Pour l’instant, nous n’avons que vos vues sur Mr Claude, dont j’ai lu les Mémoires, mais n’ai point tiré d’article. Puis-je dire que c’est un peu léger pour condamner quelqu’un qui a aborde et abordera d’autres thèmes que celui-là ? Enfin, vous avez aimé la librairie Thomas et Offenbach. . C’est déjà un point commun entre nous.
Est- ce dans Alain Peyrefitte que le General lâche nos??!?ndns’ que Malraux n’aura jamais le Nobel parce que celui-ci est largement inféodé aux Americains?!?
Lâche que Malraux, etc ( ah ces portables!)
Ce qui vous manque, Monsieur Court, c’est le bon sens. Aucun projet intellectuel ne saurait aboutir parfaitement sans cette qualité considérée à tort comme mineure.
À ce propos, pouvez-vous m’indiquer quelles partitions de Brahms étaient arrivées en France en 1850? Brahms avait alors 17 ans.
Que vous soyez admiré par des gens qui vous ressemblent n’aurait rien d’étonnant.
Enfin je vous dis ça, B., (12.12) point pour vous chagriner. Je respecte vos choix, contraints ou libres, croyez le bien. C’est que n’arrive pas à m’imaginer une abstinence éternelle à partir de l’âge que vous avez dit, de même que les humains qui se disent « asexuels », d’une manière générale. (*** Sur bcp d’aspects cul-terreux, cul-turels ou cul-tueux, j’avoue être un brin demeuré. C’est pas grave, ça fait de mal à personne, m’a-t-on expliqué). Bàv,
Deux aventures tout de même pour ponctuer ces décennies, une orgie dans ma vie de bonne-soeur! L’amitié me manque plus que le sexe.
https://youtu.be/kRsm1jGjScs?si=0WXKAUciVU4yW4FT
Samy abd Rosy get’s laid.
Il est vrai que pour des gars comme les p=Punckts, les Settembrini (Mann) ou les Aliocha (Dosto) sont de pauvres types idélistes qui n’ont rien compris au film de l’humaine condition… En revanche, Dmitri ou Naphta, les réalistes cyniques ou non, ça… au moins, c’est du couillu-main. Hélas, les prmeirs furent évidemment les plus difficiles à décrire avec justesse par les deux écrivains. Mais le Punckt n’est pas à ces considérations près. Hein, moraline ?
« une orgie dans ma vie de bonne-soeur ! »
On en a été témoins…
@ Paul Edel,
Je viens de tomber sur des cassettes dans un vieux carton. J’avais juste noté Thomas Bernard sur l’une d’elle. Quelle n’a pas été ma surprise de découvrir l’enregistrement d’une interview que Jean-Piere Amette avait donnée sur France cul ou autre… Vous y évoquiez votre passion pour TB, sa biographie en 4 tomes, et comme conseils, donniez « le faiseur de théâtre » et « Perturbation » en tant qu’une bonne initiation à son oeuvre… Après quoi, ils passèrent la Reine de la Nuit (chantée par Jacqueline Dano) et des extraits de l’ignorant et le fou », avec cette voix splendide et inimitable de Daniel Emilfork.
Génial… Une grosse émotion que je viens d’avoir… Et votre voix que je ne connaissais pas… claire, précise et pas mal du tout.
Sauriez-vous nous/me rappeler la date de cette émission, Paul, lcé ? Merci.
@ »Mais le Punckt n’est pas à ces considérations près. Hein, moraline ? »
t’inverses encore tout !
je t’ai dit que je suis un disciple de l’école « réaliste » de géopolitique.
si j’étais dans la moraline je défendrais comme toi les idées de Glucksmann.
la moraline c’est quoi aujourd’hui ?
ça c’est une question super intéressante soulevée pas l’ami Carl.
la moraline c’est dire
– les ukrainiens défendent nos valeurs en imaginant que nos valeurs sont les plus belles du monde
– c’est dire l’Iran, la Russie et la Chine représente le Mal et nous occident représentons le Bien
– c’est l’idée de partir en Croisade pour combattre le Mal dans le monde tout en envoyant des bombes à Israël pour bombarder les enfants qui viennent chercher à manger dans les distributions de bouffe à Gaza
– c’est sanctionner les pays qui se comportent pas bien !
– c’est sacrifier 3 générations d’ukrainiens pour défendre nos valeurs
– c’est vouloir étendre l’OTAN jusqu’au Japon parce que l’OTAN c’est le force du Bien
– c’est s’agenouiller devant le Dieu BHL..
– c’est croire dans toutes conneries que nous racontent les journalistes sur toutes les ondes !
etc etc etc…
tu arrives à comprendre ce que c’est la MORALINE Carl ?
en fait je crois que non, je suis sûr qu’avec tes 3 neurones tu comprends pas.
13.10 pourquoi vous dire un disciple de quelqu’école que ce soit ? Vous ne savez pas penser par vous-même à votre âge ? E tuqand bien même, je ne voij pas en quoi votre prétendue objection n’avait rien à voir avec une autre moraline. Très limité, à vrai dire, ne vous noyez pas le pois(s)on, vous dis-je ! … Par ailleurs, ràv avec le mari de Tata Yoyo. Il vous pose un souci, apparemment, ce garçon là, pas vrai ?
__
J’ai retrouvé ceci, PE. Etait-ce à FC en 2009 ?
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/fictions-theatre-et-cie/cycle-thomas-bernhard-l-ignorant-et-le-fou-2504366
tu vois Carl j’étais sûr que tu ne comprendrais pas…
je préfère être à mon âge le disciple de type raisonnables comme Jeffrey Sachs ou John Mearsheimer.
plutôt que d’être comme toi le copié collé de tarés comme Glucksmann ou BHL.
si tu vois ce que je veux dire.
@ si tu vois ce que je veux dire.
Non je vois pas, désolé… tiens pour vous calmer, une autre…
ou bien encore, … Sabine D (pas l’Azéma)
https://www.olyrix.com/artistes/2751/sabine-devieilhe/videos/937/sabine-devieilhe-reine-de-la-nuit-der-holle-rache-dans-la-flute-enchantee-de-mozart
*** Je ne retrouve pas Jacqueline Danno dans le rôle, RM. L’avez-vous dans votre médiathèque ? Merci, lcé.
tu vois Carl j’étais sûr que tu ne comprendrais pas… (13.13)
Pourquoi vous emmerdez-vous à vouloir convaincre un sourdingue bouché à la toile d’émeri ?… Il y a tellement de gens icite qui aiment partager et adhérer à vos prêches et sermons. Mais étonnamment, ils ne vous répondent jamais… Subjugés et béatifiés d’admiration par votre poutinisme pacifiste, sont-ils sans doute… Je ne vois pas d’autres S-plikations. Bàv,
@ Charoulet, pour vous y retrouver dans les sigles en usage relatifs aux marchés publics dont vous être un grand consommateur, me semble-t-il. Bàv,
https://www.marche-public.fr/Marches-publics/Definitions/Marches-publics-Sigles.htm
Jacques-Pierre . Dès la naissance,marqué d’une empreinte.
On en a été témoins…
deux films classés X . Une production qui laisse à désirer mais tankafer je préfère les Magnum, c’est plus rafraichissant. Aujourd’hui, ici, de nouveau la porte du four est restée ouverte.
JJ-J je me souviens tres vaguep=mlent de cette émission mais je crois que ça remonte à plus loin que 2009..il me semble.. mais je n’ai aucun moyen de retrouver cette intervention sur France Cul. ..peut-être avec L’Ina..
TB, une vie une œuvre, 2009, se trouve très facilement sur YouTube. Je l’écouterai à l’occasion.
Aussi ce curieux documentaire-entretien au début duquel on voit TB arriver en Mercédès devant… sa fermette.
Paul Edel, vous aussi avez-vous une fermette ?
ben oui que tu comprends hein ?
l’air de la nuit en est un excellent exemple de décontextualisation problématique.
en effet n’est-ce pas, les orchestres aujourd’hui jouent tous accordés avec un La à 444Hz ce qui représente une mise à l’épreuve des chanteurs et notamment de ces meufs qui grimpe au contre Fa hyper haut ce qui détériore leur organe vocal et réduit leur temps de vie de chanteuse.
alors qu’au départ Mozart a composé cette opéra avec un La à 424Hz.
tous les disciples de l’école réaliste savent que la différence entre 444 Hz et 424Hz cela représente presque un demi ton !
ce qui fait que le Fa5 (note la plus élevée de cet air correspond presque à un contre Mi !
voilà le genre de catastrophe écologique à mettre sur le compte de la modernité !
je veux dire si ces chanteuses étaient comptées parmi les espèces protégées comme les phoques et les baleines les orchestres prendraient soin d’elles et jouearaient la Flûte Enchantée en s’accordant à 424hz comme le voulait l’ami Wolfgang.
pas vrai l’ami Carl ?
Chaloux. Après 1850 comme me l’a fait remarquer Pablo. Il s’agit de mélodies de Brahms transcrites pour son père par Adele Hugo. J’ai donné la référence : Laura El Makki, Adele Hugo, ses écrits , son Histoire, Seghers 2025. A eu accès aux archives du Musée Hugo, comme votre serviteur, et aux manuscrits musicaux d’ Adele.
@ PE, ça m’embête un peu…, sur le site de l’INA je n’ai trouvé que cette occurrence vous concernant… Alain Françon parlait d’autre chose. Mais de quoi, au juste ?
https://entretiens.ina.fr/entretien/198/alain-francon/print
Je suis pas doué pour trouver les trucs sur le web, comme l’était ma soeur, hein ?
—————
(CC = Alain Françon
Et par contre le Long Voyage vers la Nuit, j’avais commencé, fait une première version de la pièce d’O’Neill. Et puis c’est à ce moment-là que [Attou] m’a demandé si je voulais monter une pièce de Jacques-Pierre Amette qui durait vingt minutes et je l’ai montée. Et en même temps que je montais ça, je suis allé voir La Mouette, montée par Antoine à Chaillot et Dominique jouait Macha. Et je dois dire que là, quand j’ai vu comment elle jouait Macha, j’ai été… ça c’est un des grands trucs, ça arrive souvent mais là tout à coup, je me suis dit : c’est pas normal comment elle joue ça, il y a un truc, comment elle fait pour jouer comme ça, quoi ? C’est- à-dire… Alors je suis allé la voir quoi. Je suis allé la voir et lui dire que voilà je montais une pièce qui s’appellait Noises, qu’il y avait un rôle pour – Enzo Cormann -, qu’il y avait un rôle pour elle, qui serait bien voilà, et puis elle a… on a discuté, elle a accepté. Et puis, Noises c’était une distribution où il y avait beaucoup de Vitez hein. Il y avait Chatelais, il y avait Durand, il y avait Claire Wauthion, enfin je veux dire, il y en avait beaucoup des… J’ai travaillé presque avec tous les élèves d’Antoine, qui sont tous des acteurs magnifiques d’ailleurs. Et pas forcément viteziens dans le mauvais sens, comme les gens peuvent le dire, se sont tous des gens…magnifiques acteurs) Fin de citation CC.
________________
Bonne chance @ celzceux qui trouveront peut-être.
Puck, pour ceux qui comme moi n’y connaissent rien, à la fin de l’article sont donnés à entendre les trois fréquences.
Données.
Que pensez vous de la soprano Ana Durlovski dans ce rôle ?
Exacte cette hausse du diapason, mais pourquoi serait-elle criminelle? Bohm et bien d’autres jouent la Flûte à 447, et c’est très bien. A l’opposé, le 432 peut faire figure de parent pauvre.
A ce moment là, autant jouer Beethoven sur le piano de sa chambre! Ce sera authentique mais guère fracassant…
alors là justement dans mon très bel ouvrage « comment je suis devenu conspirationniste » je consacre un chapitre complet à cette histoire de diapason.
entre parenthèse Berlioz composait déjà à un diapason hyper haut mais bon on s’en fout.
si on regarde l’évolution du diapason au fil du temps il n’a cessé de grimper. bon il est évident que cela pose un problème pour les chanteurs et chanteuses lyrique dans la mesure où la voix est le seul organe qui n’a pas évolué depuis quelques millions d’années.
je veux dira autant un violon ou une clarinette on peut toujours s’arranger en construisant des instruments plus balèzes avec des cordes en matériau moderne etc… alors que la voix à moins de recourir à une sélection génétique y’a pas trop de soliution.
et c’est là qu’on arrive au coeur du problème à savoir le complot !
vous parlez de 432Hz ça c’est un super diapason hyper utilisé dans les pays d’Amérique du sud, pourquoi ?
parce que le corps humain et notamment le cerveau vibre à une fréquence interne de 8Hz et 432 est un multiple de 8 ! du coup 432 est une valeur qui entre en harmonie avec le corps humain, ce qui crée de la zénitude !
je ne reviendrai pas sur cette histoire du rôle joué par les nazis dans le diapason parce qu’on va encore m’accuser d’être pro russe.
à noter que l’évolution du diapason a grimpé pour atteindre des valeurs bien supérieures à 440, mais on a choisi de s’arrêter à 444Hz ! pourquoi ?
parce que 444 est une fréquence qui crée du stress ! cela met les auditeurs en situation d’être des compétiteurs en faisant en sorte de se haïr !
donc on peut dire que 444Hz était la fréquence idéale pour les ultra capitalistes parce que c’est la fréquence qui génère le mieux de la compétition !
et ça en déréglant les systèmes de vibrations naturels du corps !
donc compétition des chanteurs entre eux plus compétitions injectée chez les auditeurs !
exemple au hasard : pedro ! on voit que c’est un type qui écoute beaucoup trop de musique à 444Hz ce qui le rend agressif avec en plus la volonté d’être en compétition permanente avec tous les participants à ce lieu paisible…
cqfd.
c pas plutôt lié à son signe astral, où jupiter-gémeaux ascendant taureau encule vénus-vierge ascendant capricogne en maison configurée à 444,5 Hz de son périnée auditif ? (QED)
Je l’aime aussi beaucoup, cette Ana Durlovski avec sa belle robe bleue. Une robe qui très certainement contribue à rehausse la couleur suraiguë de ses vocalises en tenant son diaphragme à bonne distance du bustier censé maintenir sa merveilleuse poitrine pendulaire. Bàv,
la même dans une tenue plus légère… Le contre ut n’a pas fléchi pour autant, juste un peu sur la faim… Comme quoi, l’habit ne fait pas toujours la moniale, hein ? Elle est toujours aussi ravissante.
https://www.google.com/search?gs_ssp=eJzj4tZP1zc0NS1MKzRPMWD04k3MS1RIKS3KyS8rzs4EAHcSCRQ&q=ana+durlovski&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&oq=ana+durlovski&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUqCQgBEC4YExiABDIMCAAQABgTGOMCGIAEMgkIARAuGBMYgAQyCggCEAAYExgWGB4yCggDEAAYExgWGB4yCggEEAAYExgWGB4yCggFEAAYExgWGB4yBwgGEAAY7wUyBwgHEAAY7wUyBwgIEAAY7wUyBwgJEAAY7wXSAQoxMDE3MGowajE1qAIIsAIB8QWcIKzWgt8fKw&sourceid=chrome&ie=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:2227d643,vid:zZA9FAx-VpY,st:0
« Le 15 mars 2025, le silence est tombé.
1 300 journalistes de Voice of America ont été suspendus sans préavis, par simple décret présidentiel. Ce média historique, né en 1942 pour lutter contre la propagande nazie, diffusait l’information en 49 langues dans les pays les plus censurés du monde : Iran, Russie, Chine, Birmanie…
En une journée, tout a basculé. Plus de 2 000 heures de programmes hebdomadaires, réduites à presque rien. Des rédactions fermées. Des journalistes interdits d’antenne. Tout cela, au nom d’une volonté politique de contrôler une voix trop indépendante.
Aujourd’hui, un procès est en cours. Il ne s’agit pas seulement de sauver un média, mais de défendre un principe fondamental : celui du droit d’informer.
Car comme le rappelle Jessica Jerreat, rédactrice en chef de Voice of America : « Quand des journalistes ayant fui des régimes autoritaires vous disent : ‘J’ai déjà vu ça’… vous écoutez. » »
@ JJJ
Votre vérif. m’obligerait assez, glissée dans votre réponse à D. Merci, lcé. –
il s’agit d’un pavé ! je me suis amusé à le peser avec une balance de cuisine (celle que j’ai usée aujourd’hui pour mes confitures de pêches+abricots
2 kg et 26 g.! ce n’est donc pas le genre de livre que l’on lit en marchant et en le tenant à la main, comme D fait avec son bréviaire.
Parmi les historiens qui ont collaborés à cet ouvrage, je vous en site quelques uns, au hasard (la plupart inconnus de moi): Claire Andrieu, Pierre Aycoberri, Renée Bédarida, Martin Blumenson, Helène Carrère d’Encausse (j’ai lu tous ses livres je crois, une femme que j’avais en admiration), Jean-Claude Favez, Claude Markovits, Nicolas Offenstadt, Robert Paxton, René Rémond, Michael Salewsky, Nicolas Werth, Olivier Vieworka.
D0abord une chronologie qui occupe 16 pages.
Puis le livre se compose de 6 parties:
La violence et la guerre
Economies et Idéologies
Géopolitiques
Acteurs
Lieux, Evenements
Controverses et enjeux de mémoire
chaque partie comprend un nombre variable de chapitres. Par exemple le long Economies et Idéologies, les chapitres sont
Bilan et cout de la guerre mondiale
Bretton Wood
Economie de guerre
Innovations techniques
Keynésianisme
Pénurie et marché noir
Planification
Plan Marshall
Pret-bail
Reconstruction
Antifascisme
Cinema et guerre
Démocratie
Démocratie chrétienne
Eglises
Empires
Engagement intelectuel
Etat-Providence
Idée européenne
Marxisme
National-socialisme
et tout cela fait env, 2120 pages, il y a aussi de nombreuses images d’archives.
Cela parle aussi de certaines villes: Munich, Dresdes, Nurnberg, Prague, Londres, Jérusalem, Pearl Harbo, Sétif, Stalingrad, Varsovie
voilà, c’est tout
3J , voix + poitrine généreuse devraient plaire à Chaloux entre autres , ce dernier ayant fait part à son attachement « freudien » à ces attributs féminins. Bon, il est aussi vrai que de jolis seins s’offrent à la contemplation que l’on soit homme ou femme attaché à un certain esthétisme.
j’oubliais: pour vous rassurer, il n’y a pas de Stéphane Bern parmi les historiens.
A propos, ce n’est pas bien ce que vous avez dit de ce brave homme; j’ai eu l’occasion de le voir à la télévision depuis que je suis au Portugal, et je partage l’avis de Closer sur le droit à chacun de recevoir un peu de culture (comme j’essaie, je dis, j’essaie, d’en recevoir en venant ici).
Bon, si tout le monde dit que Stephane Bern est un brave homme, et bin, tant mieux pour lui. Et tant pis pour mes préjugés. Il se trouve que je n’AIME vraiment pas sa campagne contre les éoliennes en prétendue sauvegarde du « patrimoine » qu’elles défigureraient, je le vois avant tout comme un sinistre politicien amateur de bas étage… Cela dit, je ne l’inviterai pas à ma table.
@ Merci pour votre réponse sur Bedarida/Azéma… Vous en savez plus que la plupart de nous autres sur la période avec ça… Bon cela dit, merci pour votre élégance et modestie. Vous avez répondu indirectement à la question que je posais sur notre ami PA…
@ B / Quant aux poitrines enserrées opulentes des coloratures, il est certain que le charme de leurs arias participe au retour du « peuple » vers l’art lyrique. La reine de la nuit ne devrait jamais être mal fagotée, à cet égard, n’est ce pas ?…
@Car comme le rappelle Jessica Jerreat, rédactrice en chef de Voice of America : « Quand des journalistes ayant fui des régimes autoritaires vous disent : ‘J’ai déjà vu ça’… vous écoutez. »
Quand des journalistes font l’objet d’assassinats ciblés à Gaza et que l’ONU vous dit : « c’est du jamais vu depuis l’existence de l’organisation » … vous détournez le regard
De la graine de collabo le plus minable
Le Diapason a 444 esf plus un fait du prince americain qu’autre chose. On ne voit pas pourquoi il serait particulièrement stressant. C’est aussi exact que l’opposition Mineur Majeur rendue par Triste et gai…
JJJ a enfin trouvé une raison de détester Stéphane Bern: les éoliennes. Il cherchait depuis trois jours…
Qui s’y colle pour suggérer à la région des Charentes d’ériger qq éoliennes en face de la gentilhommière du sieur JJJ ? Pas moi car il n’est pas dans ma nature de dénoncer, comme je l’ai déjà expliqué.
Le marquis de Launay d’après Michelet. C’est pas flatté comme portrait.
« Si M. De Launay eût été un vrai militaire, il n’eût pas introduit ainsi le parlementaire au cœur de la place ; encore moins l’eût-il laissé haranguer la garnison. Mais il faut bien remarquer que les officiers de la Bastille étaient la plupart officiers par la grâce du lieutenant de police ; ceux même qui n’avaient servi jamais portaient la croix de Saint-Louis. Tous, depuis le gouverneur jusqu’aux marmitons, avaient acheté leurs places, et ils en tiraient parti. Le gouverneur, à ses soixante mille livres d’appointements, trouvait moyen chaque année d’en ajouter tout autant par ses rapines. Il nourrissait sa maison aux dépens des prisonniers ; il avait réduit leur chauffage, gagnait sur leur vin[7], sur leur triste mobilier. Chose impie, barbare, il louait à un jardinier le petit jardin de la Bastille, qui couvrait un bastion, et, pour ce misérable gain, il avait ôté aux prisonniers cette promenade, ainsi que celle des tours, c’est-à-dire l’air et la lumière.
Ah voilà le tableau que montrait le musée Carnavalet pour son exposition sur la Terreur. Vous allez me dire ça n’a rien à voir. C’est vrai mais le tableau a été exposé au salon de 1703 et le musée Carnavalet voulait des oeuvres illustrant la vie artistique sous la Terreur. Puisqu’il y avait une vie artistique sous la Terreur. Le tableau est de Thévenin.
Je ne sais pas si le marquis de Sade s’est exprimé sur le marquis de Launay.
Puisqu’il l’a bien connu. Pendant de nombreuses années.
En passant, j’ai fait l’emplette du livre sur Adèle Hugo chez Seghers, éditeur pour lequel on ne peut qu’avoir une immense sympathie. On verra demain.
Pauvre Gigi au trouillomètre perpétuellement à zéro, toujours dans la doxa, comme un bon vieux toutou qui ne saurait penser qu’à une chose : sa gamelle.
Il n’est d’ailleurs pas le seul ici.
* le tableau a été exposé au salon de 1793
Les chats qu’on ne trouve plus dans une maison et qui réapparaissent subitement passent réellement dans une autre dimension. Des expériences récentes utilisant des caméras miniaturisées viennent de le prouver.
C’est un résumé assez potable du Journal de Frances Vernor Guile, qui fait tout de même quatre volumes, et intéressant pour Un élément sur Adèle et son Lieutenant, conservé par la famille Pinson, et pour ses dessins , et pour ses rapports avec la musique, pour prendre les points qui m’étaient pas ou peu connus .
. MC
Torelli concert pour trompette en ré majeur
@ ériger qq éoliennes en face de la gentilhommière du sieur JJJ ?
Deux y sont déjà et sont parfaites dans mon paysage circonvoisin. Elles débarrassent pas mal notre commune de nos soucis de gamelle… L’autre pollution par les glyphosates nous préoccupe infiniment plus, nous dont le sens des nuisances de esthétiques n’est pas très aiguisé, à la différence de nos craintes à l’égard des cancers qui se généralisent à cause de nos pesticides suremployés. Quant à Stéphen Bern, je maintiens qu’il est un dangereux propagandiste de la saga des têtes couronnées abrutissant la populace, doublé d’un fieffé connard de la fachosphère lepéniste… Cela dit…, je ne « méprise » nullement le bonhomme si sympathique à tous nos erdéliens, je méprise ses « combats » & « engagements » publics dont j’ai connaissance. Quant à son statut d’historien, je préfère sortir. C’est l’heure, je ne « croise » pas !
@ il n’est pas dans ma nature de dénoncer, comme je l’ai déjà expliqué (19.25)
=> Laissons ce sale boulot au chiwawa suivant (19.48 a rappliqué dare dare, l’a entendu l’appel 5 s/ 5).
BNàv2.
Le jour se lève. Ouvrir les volets, enfin appuyer sur le bouton électrique qui déclenche leur remontée, dans un bruit de moteur fatigué. On dirait des paupières qui auraient du mal à s’ouvrir… Rien à voir avec les « vrais » volets, ceux qui vous font ouvrir la fenêtre, vous pencher un peu au-dehors, recevoir la fraîcheur de l’aube en plein visage et ouvrir les bras. Là, se contenter de jeter un œil, à travers la vitre, dans la cour : bout de pelouse carrée où huit arbres plantés en quinconce s’ennuient déjà,et inévitable parking.
Soupirer « Bonjour, tristesse », puisqu’il n’y a personne d’autre à qui dire bonjour.
Et puis sourire, tout de même : c’est une très jeune fille qui a écrit cela, comme titre du récit qui l’a fait connaître. Une jeune fille qui était tout, sauf mélancolique, qui a mené sa vie à toute allure, s’est étourdie dans un luxe frivole et ne s’est jamais beaucoup embarrassée de scrupules, virevoltante parmi ses amis…
Et c’est une vieille femme qui lui emprunte aujourd’hui la formule, fatiguée de remords et alourdie d’introspection, obligée de faire avec une fin de vie qu’elle n’a pas choisie.
Ce serait un joli contraste, s’il n’y avait cependant un doute : laquelle des deux comprenait vraiment la tristesse,et laquelle des deux pouvait-elle en apprécier le mieux le goût pluvieux ? Allez savoir…
Aucune des deux n’en sort défigurée.
renato, merci pour cet allegro, adagio et presto, pour commencer en trompette cette estivale journée. Vous devriez tendre l’oreille Clopine, cette musique pourrait insuffler un peu de gaité. Vous utilisez ces mots » fin de vie », si vous saviez, vous hésiteriez à qualifier ainsi votre retraite déprimée. C’est un tableau plus triste encore.
Avez-vous essayé la cure de sommeil? Quand je ne vais pas, que le désir m’a désertée, que rien ni personne ne présente pour moi d’interet, je raye la journée d’un coup de sommeil.
Gigi la visqueuse, pas ma faute si tu es toujours de l’avis du plus con.
Quoiqu’il en soit, j’ai bien fait d’acheter ce livre sur Adèle Hugo. L’histoire de cette famille est un des plus grands romans du XIXe siècle, mais cette fois c’est l’état-civil qui rivalise avec la littérature.
Est-ce que la mère Clopine va commenter tous ses réveils jusqu’à ce que mort (la nôtre) s’ensuive?
Hurkhurkhurk !
Et vous l’avez acheté grâce à qui ? Cet homme qui d’après vous n’a pas de bon sens?
Grâce à Brahms.
Et grâce, Mossieur Court-jus, aux sottises dont vous nous inondez régulièrement.
Grâce surtout à mon bon sens.
POUR SALUER LEON B.
18 juillet 1918. Une rafale de mitrailleuse boche décime nos soldats qui attaquent les positions ennemies. L’un d’entre eux est mon grand père Léon. 28 ans. Une épouse et sa fille unique, ma mère Madeleine Constance. Il ne les reverra jamais.
L’oubli le fera mourir une fois de plus. Comme lui, et bien d’autres.
Pourquoi évoquer ce fait divers ? Pour ne pas oublier.
Repose en paix, grand père !
Monsieur Court, je me suis surtout demandé s’il était vraiment possible qu’Adèle Hugo ait repéré le génie de Brahms en 1850, alors que celui-ci n’avait que 17 ans. Le fait que Pablo vous ait justement corrigé ne change rien à la valeur de vos informations.
Je n’en ai d’ailleurs pas fini avec M. Claude. Il faut que je retrouve mon « bouquins ». (La Gigi, qui n’a rien dans les deux petits sacs desséchés et poussiéreux qui lui servent de gonades, vous a d’ailleurs partiellement répondu).
Dans la mesure du possible, je vérifierai chacune de vos informations qui me paraîtront bizarres. Les chercheurs de l’a-peu- près, y compris ceux qui s’auto-congratulent continuellement, ne m’impressionnent pas beaucoup. Bach m’impressionne, Degas m’impressionne (particulièrement), Pessoa m’impressionne etc…
B.,racontez-moi plutôt ce qui vous intéresse, vous, aujourd’hui… (parce que, comment vous dire ? Quand j’écris « aller se recoucher »… bref). Merci de votre sollicitude, mais en fait, c’est beaucoup plus simple que cela : merci de votre lecture, tout court, puisque, depuis des années et quelle que soit sa couleur, claire ou sombre, je donne ma vie à lire, à l’aide de mes pauvres mots. Et, autant que faire ce peut, brièvement ! Vous, B., que voyez-vous le matin ?
@ »Monsieur Court, je me suis surtout demandé s’il était vraiment possible qu’Adèle Hugo ait repéré le génie de Brahms en 1850, alors que celui-ci n’avait que 17 ans. »
toi et pedro vous avez vraiment le chic pour poser des questions à la con.
les critiques de l’époque disent tous qu’il a du génie dès qu’il commence à faire ses premiers concerts : tu sais quel âge il a ? 15 ans !
et ses premières compositions il les fait à 14 ans !
du coup si cette gonzesse a dit qu’il avait du génie à 17 ans c’est juste que les critiques disaient déjà depuis 3 ans qu’il avait du génie.
du coup je vois pas c’est quoi le problème…
sérieux la France est au bord de la faillite, l’Europe est au bord d’une 3è guerre mondiale et vous vous posez des questions à la con dont tout le monde connait les réponses !
sérieux c’est lourd.
« connard de la fachospère lepeniste » SB ? Je ne vois pas comment Macron aurait pu confier une mission officielle à un tel individu, JJJ! La haine vous égare.
Vous ne supportez pas que les Castelot, Decaux et leurs successeurs éveillent l’intérêt du peuple des artisans, employés, retraités SNCF, etc, pour autre chose que le tiercé, la belote, la pétanque et le foot…Qu’ils restent dans leur bistro avec leurs jeux de grattage! Sauf bien sûr s’ils peuvent, comme votre gardienne (que je salue) sauter directement de France Dimanche à Leroy Ladurie, aiguillonnée par la réussite scolaire de leur progéniture (tiens, ça me rappelle qqun)…Mais combien sont dans cette situation?
Il vous faudrait un peu plus d’éoliennes dans votre champ de vision et d’audition (leur doux murmure…).
(le fait que Bern n’ait pas la moindre ascendance française « de souche » me fait apprécier d’autant plus son amour de notre patrimoine).
« 1 300 journalistes de Voice of America ont été suspendus sans préavis, par simple décret présidentiel. »
ce média ne faisait pas de l’information : c’était un outil d’ingérence et de propagande de Soros et des néoconservateurs pour créer des révolutions de couleur et des changements de régime.
les pays où ce média était le plus présent avec le plus grand nombre de journalistes à sa solde ? je te le donee émile : Ukraine, Géorgie, Serbie et Taïwan !
Jeannot quand on parle d’un truc on commence par se renseigner sinon le mieux quand on sait pas est de la mettre veilleuse !
@ »Jazzi dit: 17 juillet 2025 à 7h07
« Cela a à voir avec une certaine fascination »
Plutôt avec une sorte d’éthique : la liberté de parole.
Mais à force qu’on lui chie sur la tête, Passou finit toujours par virer les fâcheux.
Ainsi, Chaloux, hier, et Marie Sasseur, aujourd’hui… »
_______
Ni hier, ni aujourd’hui.
La vérité est beaucoup plus simple, comme toujours…
Et puis franchement entre une sorte de prostitué qui fait ici ouvertement cas de ses penchants pedophiles sous couvert de » littérature » et in huissier délinquant, petainiste rance, viré de ce blog pour diffamation publique, sérieux qu’ai-je a faire de ce fan club.
Dans ces conditions, continuer de frequenter ce commentarium deviendrait maintenant pour moi une collaboration clairement incompatible avec la nouvelle charge qui va m’incomber bientôt.
Je devais saluer Passou, merci Pierre,que je remercie pour bien des choses, et qui tolerera je le sais cette ultime annonce…au nom de liberté.
https://www.la-croix.com/religion/gaza-la-seule-eglise-catholique-frappee-par-un-bombardement-israelien-20250717
Une petite recherche permet d’identifier le cinéma parisien qui figure sur la photo. Il s’agit du Parisiana (c’est marqué dessus), un des quatre cinémas avec le Marignan, le Paris et le Rex, réquisitionné par les autorités d’occupation et strictement réservé à la troupe allemande. Il était situé au 27 Boulevard Poissonnière, dans le 2e arrondissement, qui comme tous les grands boulevards, était interdit aux cyclistes et aux voitures non munies d’un laisser-passer. L’accès au métro est celui de la station Rue Montmartre, rebaptisée Grands Boulevards en 1998. L’acronyme « AO » signifie « Autorités allemandes ». Il semblerait que le lieu soit voué au divertissement : après la guerre, le Parisiana deviendra le cinéma Richelieu, et aujourd’hui on y trouve un magasin de jouets.
Quant au visage poupin que l’on discerne sur l’écran derrière Jean-Pierre Azéma, il s’agit de celui de robert Brasillach, rédacteur en chef de Je Suis Partout jusqu’en 1943, antisémite patenté et germanophobe repenti pour qui « la révolution nationale-socialiste, élevée au rang de modèle universel, régénèrerait l’Europe décadente » (JP Azéma, De Munich à la Libération, p.226).
Clopine, présentement, la mer fraîche , la plage tranquille, deux livres: Noces que je termine de lire de Musil, et le club des optimistes qui je crois va me barber car c’est truffé de dialogues et je n’éprouve que peu d’attrait pour ce genre. J’ai planté mon parasol, déplié mon fauteuil timber ( assise basse, très confortable), préparé mes lunettes de nage. Comme la ville est étouffante, je vais rester ici un bon moment, j’ai prévu de quoi boire et manger. Dans vos environs, n’y a t il aucun lieu paisible où vous aimez vous poser , l’ombre de grands arbres, un parc, un étang, une rivière ?
Pauvre Puck, tu es tellement atteint que ta logorrhée pathologique ne soulève aucun des problèmes que pose l’affirmation de Court. Va chez le docteur.
« AO » signifie « Autorités d’occupation » bien sûr.
La Gigi est-elle un « connard de la fachosphère socialiste »?
Je pose la question.
Qui garde votre sac pendant que vous êtes dans l’eau, B?
Bon, la semaine radiophonique et Assoulinienne finit mieux qu’elle n’a commencé, grâce surtout à Hubert Védrine (ça me fait drôle d’écrire ça à propos d’un ex-ministre de Chirac, mais c’est la vérité), le seul qui a tiré vers le
haut la biographie « convenue », e secouant un peu la poussière. Il y a même eu un moment où j’aurais bien voulu trotter là autour, le long des plinthes. Quand Védrine évoquait l’idée qu’un « nouveau Churchill » ne pourrait se révéler qu’en cas de crise majeure, comme Churchill lui-même ne s’est révélé qu’en face de la barbarie nazie. Ah, si j’avais été là, je me serais dressée sur mes petites pattes, j’aurais ouvert grand mes oreilles rondes, et j’aurais osé, du bout du museau, pousser le nom de Zelinski vers Védrine… Car, quand on y pense… Mais bon, la semaine se termine, fini les devoirs de vacances, notre hôte va pouvoir aller à la plage . Je lui souhaite de croiser B. !
Pour comparer Zélinski à Churchill, il faut être complètement timbrée.
Suffisamment lu la prose débile de septuagénaires en déroute pour aujourd’hui.
Merci la pythie. Goebbels tenait au cinéma de qualité même pour ceux qui allaient au casse-pipe, kitsch verboten. Il faudra parachuter les bobines du Juif Süss comme à la Rochelle pour donner à voir le film aux Français sans introduction de doctorants lobotimisés. Le « visage poupin » du Brasillach rassure les cuistres de notre époque autant que le Céline « mauvais médecin ».
Bonne nouvelle, la marie sasseur part en croisade, ça va chier dans la colle des levantins.
« biographie convenue »
Qu’est ce que vous voulez qu’on invente aujourd’hui sue la vie et le rôle de Churchill?
A moins que l’on retrouve une caisse de documents qui contredisent tout ce que l’on sait déjà mais à ma connaissance ce n’est pas le cas…
Je vais essayer de trouver le temps d’écouter l’émission.
Clopine je suis aussi seule et vais sur mes 75 ans habite en ville (pas près de la mer comme B )alors que faire de ce temps qui m’aies encore alloué certes les lectures j’ai découvert ici des auteurs d ignores par moi mais aussi des balades et marche ( hier une plage nordiste )le cinéma avec une carte d’abonnement un cycle de conférences en septembre et des concerts classiques à moindre coût que m’offre mon « comité des œuvres sociales « de mon ancien emploi.et si comme vous l’avez écrit « la planète brûle « je fais en sorte d’apprécier ces moments « carpe dieu »
Alors il est vrai que les querelles bysantines sur ce site m’interrogent il y a pourtant des posts qui m’intéressent ..et donc je prends garde à ne pas m’immiscer dans des discussions auxquelles j’avoue me semblent inoportunes sur ce site.et conservent naturellement mes idées..
M’ait
La dernière bio de Churchill parue chez Perrin exploite nombre d’archives inédites. Andrew Roberts.
Chaloux achete par par bon sens, ce qui est le mobile le plus bourgeois que l’on ait vu depuis longtemps…On achète pour s’informer sur tel ou tel sujet, ce me semble! Et pour Adele, le Journal de Vernor Guile vaut mieux que la synthèse ici proposée. Oh , on apprendra que , côté Pinson , Adele et le Lieutenant ont signé un papier conservé dans la famille P.attestant de leur liaison, on verra des dessins qu’on ne montre pas, d’ailleurs imparfaitement annotés. Hello n’est même pas nommé. Et on trouvera des informations sur la musique chez les Hugo. Le tout avec une préface de la septuagénaire Adjani. Mais pour ceux qui connaissent le dossier, c’est un peu léger sans être infamant . MC. PS Vous n’avez pas fini avec Claude? Moi si.
Je ne vois pas très bien, JJJ, ce qu’il y a à dire de positif sur des éoliennes laides et disproportionnées, qui enlaidissent sans retour un paysage pyrénéen , breton , (pres Groix et dans l’estuaire de St Brieuc) ou Normand. (Lechâteau de Falloux, dont le parc a maintenant une vue imprenable sur deux rangs d’éoliennes, l’un a droite, l’autre à gauche. Si vous n’appelez pas çà enlaidir le patrimoine, c’est que nous n’en avons pas la même définition. Bern a raison de gueuler contre. Vous on ne vous entend pas.
Madame Claude, la vraie, confiait que le meilleur client de sa boutique à femmes bien élevées est le manager allemand qui a voyagé. pour faire avancer votre schmilblik, dear Mr Court.
M’ait…non plus.
Il vous reste un essai.
« Il faut vivre en bourgeois et penser en demi-dieu ».
Gustave Flaubert, Correspondance.
J’ai acheté ce livre en bourgeois, je le lirai en demi-dieu.
Il est probable que je lirai l’intégralité du Journal que je n’ai pas eu besoin de Court pour identifier. D’ailleurs, maintenant que j’ai le Seghers en main, il n’a de cesse que de le déprécier. Aucun ressort de la médiocrité intellectuelle ne nous sera épargné.
La Gigi est un agent socialiste.
@ pas ma faute si tu es toujours de l’avis du plus con (Henriette @ 5.16)
Sur ce coup-là, je suis entièrement de votre avis. C’est rare, reconnaissez-le, et remerciez-m’en-j !
Bàv,
« ce qu’il y a à dire de positif sur des éoliennes »
disons que si vous avez un pacemaker il est plutôt conseillé de rester à une distance d’environ 200kms d’une éolienne…
je me suis renseigné parce que ma belle mère porte un pacemaker du coup le week-end prochain je compte lui faire visiter un champs d’éoliennes, je lui ai dit qu’elles étaient plus belles à voir de près.
« J’ai acheté ce livre en bourgeois »
Christian ?
Gigi, on ne fait pas d’esprit avec l’esprit des autres. Tu ne fais en reprenant ce qu’on t’envoie, que souligner toi-même ta médiocrité foncière.
Il s’agit donc de Léon Joseph Blanc, né dans l’Hérault.
Puck, j’apprends que « Pock » désigne la pustule de la petite vérole. Pour moi, désormais, tu ne seras plus que « Pock ».
Leroy Ladurie ?… (@ 7.19)
Elle ne l’aurait jamais orthographié ainsi, elle !
Veuillez cesser de me harceler, vous vous enfoncez de pire en pis alors que jadis vous aviez plus de tenue. Il est frappant de constater comment nos plus estimables péteux finissent toujours par révéler leur vraie nature sur les blogs littéraires. C’en est même fascinant.
La 3e guerre mondiale arrive, parait-il. Préparez votre mouchoir pour la morve, on ne sait jamais…
Bàv
« une collaboration clairement incompatible avec la nouvelle charge qui va m’incomber bientôt. »
Dame pipi au grand Rex, juste à côté de l’ancien Parisiana ?
Résister à la grosse Gigi extra-visqueuse? Verboten!
Hurkhurkhurk !
@ »Pour comparer Zélinski à Churchill »
le point commun entre les deux c’est quand le président ukrainien s’est fait ovationné au parlement canadien avec un ancien officier Waffen SS qui est arrivé au Canada avec tous ses potes grâce à Churchill.
c’était assez beau ce moment de communion et de célébration de nos valeurs, comme une compression de l’espace temps.
le truc à savoir c’est qu’au Canada tous ces anciens Waffen SS avaient leur journée annuelle de commémoration devant un monument.
l’autre truc marrant c’est que les canadiens ont viré ce monument l’année dernière, sans doute parce que tous ces anciens SS sont ports ?
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2056445/monument-cenotaphe-nazi-oakville
tous ces anciens SS sont ports ?
ports / morts
Calme-toi, Gigi, ou tu vas rire mou!
Hurkhurkhurk !
le truc à savoir c’est qu’au Canada tous ces anciens Waffen SS avaient leur journée annuelle de commémoration devant un monument…
cénotaphe : monument cénotaphe avec un beau drapeau.
c’est marrant que cette partie de l’Histoire ait été complètement occultée par les historiens.
Il est inexact de dire qu’Hubert Védrine a été ministre de Chirac. Il était ministre dans un gouvernement de cohabitation dirigé par Lionel Jospin jusqu’en 2002 pour être remplacé par Dominique de Villepin.
le truc bizarre c’est qu’il a fallu attendre que cet ancien SS soit ovationné au parlement pour que les canadiens découvrent qu’il existait dans leur pays tous ces anciens SS qui 1 fois par an venaient célébrer leur histoire devant ce monument cénotaphe.
sinon les canadiens ne s’en étaient pas rendus compte.
dans une ville comme Toronto, chaque année on a une bande d’ancien waffen SS qui viennent célébrer le nazisme dans leur ville sans que personne ne s’en aperçoivent.
sans qu’un seul journaliste canadien ait la curiosité d’aller voir.
sans qu’un seul historien canadien ne se pose la question de savoir d’où sorte tous des anciens waffen SS présent dans son pays.
je veux bien que d’une façon générale les canadiens en tiennent tous une couche, mais là ça dépasse complètement l’entendement !
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2013481/nazi-ukraine-oakville-monument
on sait si JP Azéma était au courant de tous ces anciens waffen SS exilés au Canada par les anglais ?
en, fait je suis sûr que oui : tous les historiens sont des idéologues hypocrites et menteurs.
quelqu’un a une idée de savoir qu’est-ce qu’on nous cache encore comme trucs qu’on devrait savoir ?
dear Puck, savez-vous qu’à Toronto au début du siècle passé on pouvait entendre les chutes du Niagara depuis le centre ville ? aujourd’hui plus rien et les torontotois détestent les francophones du canada.
sérieux comment, après cette histoire de waffen SS au Canada, peut-on encore faire confiance dans les historiens ?
comme s’il suffisait d’enlever ce monument pour tout effacer : pas vu pas pris, ça n’a jamais exister…
Sabine Azéma, c’est de la famille ? consulter la pythie
Puck, il y a une phrase qui dit à peu près, pour justifier de l’emploi d’ex officiers nazis dans les services de renseignements et dans différents pays après la seconde GM: vous avez vos salauds, nous avons les nôtres. Je crois que PA l’avait rapportée ici et n’est-elle pas cette phrase de Churchill ?
« les torontotois détestent les francophones du canada. »
ok ! et c’est pour ça qu’ils ont accueilli tous ces waffen SS dont certains (comme celui qui a été ovationné) appartenaient à la même division SS que celle qui a commis le massacre d’Oradour sur Glane ?
dear filou vous pensez vraiment qu’ils peuvent haïr les francophones à ce point ?
N’est-elle pas, cette phrase, …
alloallo, dear Puck ? les chutes du Niagara vous intéressent moins que les waffen-ss ? pity, pythie
« j’aurais bien voulu trotter là autour, le long des plinthes. »
Les névroses de Clopine sont hautement littéraires.
Quand elle ne se compare pas à Françoise Sagan, elle endosse les métamorphoses de Franz Kafka !
Bonjour tristesse ou bonjour la clop…orte ?
J’ai eu l’occasion de rencontrer chez des amis un prof de l’université de Toronto. Oulala… Le Canada n’est-il pas une espèce de Belgique?
Les époux Klarsfeld auraient-ils failli, n’ont pas réussi à tous les faire juger. Les protections d’Etat, vraisemblablement, étaient puissantes.
Bon troisième essai « m’est alloué.. »
« Sabine Azéma, c’est de la famille ? »
L’écharpe rouge de Christophe Barbier, c’est l’héritage de Jean-Pierre Azéma ?
les gars de Toronto ne sont pas commodes, dear Puck, gros complexe d’infériorité avec les Américains d’à côté qui leur rendent bien en les prenant pour des indiens dégénérés quand ils passent la frontière. Les Canadiens n’ont pas été moins sanguinaires que les US avec leurs indiens mais leur réputation est meilleure, noyée dans le sirop d’érable. Un historien français transgenre, oublié son nom, est spécialiste de le chose.
@ Bern a raison de gueuler contre. Vous on ne vous entend pas ///. Cher MC… Si vous le dites…
Je ne me souviens pas que quiconque ait jamais trouvé encore plus de laideur aux fils électriques de haute tension qui zèbrent tous les paysages de ce pays, sans compter le nombre de fils qui passent en rase motte sur nos toitures prolétariennes.
Apparemment, la France profonde rurale et périurbaine « défigurée » (comme on la qualifiait avant la naissance de Stéphane) a fini par s’habituer à tout. Le syndrome « nimby » est le mieux partagé du monde de la haute bourgeoisie, qui seuls détiennent le monopole vertueux de la sauvegarde de l’esthétique paysagère.
Or, comme vous le savez, Stéphane et Marc, icelle va et vient, même si elle reste un enjeu décisif à l’aube de la 3e GM puncky. Bàv.
@ « on ne fait pas d’esprit avec l’esprit des autres » (HC). Elle estime sans doute avoir de l’esprit, mais surtout pas de moraline à revendre, notre chère mme Claude, en sa très haute Conciergerie.
Je vous souhaite un bon appétit, Sybil.
dear B ça n’est pas aussi simple.
exemple : les cosaques ukrainiens qui ont servi avec les nazis, au début les anglais leur avaient promis de les protéger et au final ils les ont refilés aux russes qui les ont tous dégommés.
il y a un film de James Bond qui en parle où le méchant est justement le fils d’un de ses cosaques trahis par les anglais et du coup il veut se venger en faisant sauter l’Angleterre, mais grâce à James Bond il échoue…
par contre s’ils ont refilé les cosaques aux russes les anglais ont exfiltré au Canada ces SS avec l’aide du Vatican.
Churchill a peut-être pensé que ces SS lui seraient plus utiles que les cosaques ?
c’est pas de bol pour les cosaques.
Jazzi, il y a aussi Verlaine, dame souris trotte dans le noir. Enfant, j’adorais ce poème.
@ »les gars de Toronto ne sont pas commodes, dear Puck, gros complexe d’infériorité avec les Américains d’à côté qui leur rendent bien en les prenant pour des indiens dégénérés quand ils passent la frontière. »
merci dear filou pour ces infos.
il y a un rapport avec l’accueil des SS ?
Bern est un Luxembourgeois, fils de vendeur de bijoux et porte la perruque, ça fait beaucoup pour démonter l’éolienne.
rapport avec l’accueil
bien possible, dear Puck. le ressentiment nourrit les volontés, le traitement de leurs peaux rouges n’a pas aidé à l’humanisme de la population. Le gros Hitchcock a tourné « I confess » avec les francophones de Québec, pas jolijoli.
je sais pas si passou parle de ces waffen SS ukrainiens exfiltrés au Canada par les anglais dans ses émissions sur Churchill ?
en fait non je le sais : il n’en parle bien sûr pas pour ne pas ternir la mémoire du héros Churchill.
en fait l’Histoire qu’on nous raconte est simplifiée dans le genre des histoires qu’on raconte aux gamins.
les historiens n’ont jamais considéré leur public comme des adultes, mais comme des enfants.
Il y a eu au contraire beaucoup de manifestations contre les lignes à haute tension. EDF avait commencé à les enterrer.
La Gigi est une fosse à fake.
@ »bien possible, dear Puck »
okay ! merci !
je pensais que Churchill avait fait le choix du Canada plutôt que de l’Australie pour des raisons climatiques plus proches du climat ukrainien.
@ une collaboration clairement incompatible avec la nouvelle charge qui va m’incomber bientôt.
(le scoop du jour)
—-
Et merdr’, jzmn & phil, vous m’avez encore brûlé les étapes… Du coup, je trouve pu quoi lui dire. Et m’inquiète pour Christiane.
Bon courage dans votre nouvelle charge, ma soeur Marie. Vous avez enfin compris que vous n’étiez pas digne d’appartenir à ce monde des raffinés de la littérature erdélienne.
Pensez-vous avoir de meilleures chances de succès ans l’appareil du Parti Socialiste ?… Un conseil : essayez d’être plus diplomate dans le rendu de vos connaissances littéraires. Et là, croyez-moij, vous ferez assurément un carton. Bonne chance.
Bàv,
encore que les australiens aussi ont dégommés leurs populations autochtones.
les lois votées par les ukrainiens sur les population autochtones sont assez marrantes, je conseille de les lire.
du coup les pays Baltes ont repris ces mêmes lois sur les populations autochtones et ça leur permet aussi de traiter la population russophone comme les allemands traitaient les juifs avec les lois de Nuremberg.
j’imagine que ça aussi ça fait partie des valeurs européennes que Glucksmann et BHL défendent ?
vu sous un certain angle toutes ces choses (exfiltrations des SS ukrainiens au Canada, lois sur les populations autochtones équivalentes aux lois de Nuremberg etc…) tout ça c’est assez cohérent.
et à partir de là l’attitude de BHL et Glucksmann aussi c’est cohérent parce que les israéliens traitent les palestiniens exactement comme les ukrainiens ou les baltes traitent les slaves.
l’hypocrisie c’est de dire « c’est à cause de l’époque soviétique qu’ils n’aiment pas les russes »
en fait non c’est juste qu’ils traient les slaves comme des sous hommes.
ce qui n’a rien à voir avec l’époque soviétique.
d’où aujourd’hui le fait que l’Allemagne soit leur principal allié exactement comme ils avaient été les alliés des croates quand ils ont zigouillé tous les serbes de Croatie avec un président qui a écrit un livre où il dit que la Shoah n’a jamais existé.
d’ailleurs les allemands viennent d’envoyer des soldats dans les pays Baltes.
en fait tout ça c’est historiquement cohérent.
Je me réjouis de la position de Marie Sasseur qui est un peu ce que je pense moi-même, ne pas accepter de côtoyer les insultes; que tous ceux qui réprouvent les insultes cessent de poster des commentaires, Pierre Assouline le percevra.
Ceci dit, voilà, je viens de terminer la lecture de l’immense roman de Roberto Bolano, 2666 (Points, 1160 pages): grand livre.
@ « une sorte de prostitué qui fait ici ouvertement cas de ses penchants pédophiles sous couvert de « littérature » et un « huissier délinquant, pétainiste rance, viré de ce blog pour diffamation publique » (MS)
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Ouh là là, y avait encore de la tendresse, bordel, sous cette plume légère. Vous allez nous manquer un brin, pour sûr. Heureusement, CT reste avec nous autres, quand elle lève son rideau, tous les matins. Bien sûr, ça grince un peu, mais le soleil est toujours là, même à l’heure où il blanchit la campagne…
Stéphane Bern a accordé une longue interview à Ouest-France le samedi 28 décembre 2024, dans laquelle il se montre notamment sans concessions au sujet d’Emmanuel Macron :
« Je crains qu’il soit vraiment déconnecté. […] Ce n’est pas faute de lui expliquer la ruralité. Mais vous savez, tout est pensé, dirigé depuis Paris », a notamment lancé Stéphane Bern. « Je ne pratique pas la langue de bois. Je dis tout ce que je pense, et je ne pense pas toujours du bien de ceux qui nous gouvernent », a aussi ajouté l’animateur, qui officie quotidiennement sur l’antenne d’Europe 1. Le présentateur de l’émission culte Secrets d’Histoire a par ailleurs profité de cette interview pour démentir la rumeur selon laquelle il serait proche d’Emmanuel Macron. « C’est éculé comme cliché. Oui, je suis très ami avec la Première dame, Brigitte Macron, qui est une amie d’avant. […] Mais le président, je passe mon temps à dire ce que je pense – et pas que du bien – de ses décisions… Il a toutes les raisons de m’en vouloir », a notamment affirmé Stéphane Bern. « Je ne suis ami d’aucun des chefs de l’État, mais je les ai tous connus et appréciés, depuis Valéry Giscard d’Estaing. On ne peut pas m’accuser de parti pris. Je travaille pour la France »
Oui, B, mais chez Verlaine aucune plynthe ni plaintes !
Chez lui, même les sanglots longs sont savoureux…
@ lmd, une bonne lecture bolaniesque que vous avez eue… Nous en avions beaucoup parlé icite avec DHH. Cela dit, ce que vous suggérez est difficile, et notre soeur Marie n’a certainement pas donné l’exemple de ce que « nous devrions faire ».
Nous « faisons » avec les insultes permanentes, et y réagissons avec beaucoup de maladresses, assurément. Nous ne devrions pas. Mais célavi qui est ainsi faite, et le veut ainsi. Ce n’est pas à Passoul ni à D. d’y reconnaître les siens. Voilàj ma conviction sans grand intérêt, @ lmd. Bàv.
Je prends note mais je me souviens qu’en 2017 il avait cependant pris parti et, le soir-même de l’élection, il fêtait avec Macron. A La Coupole, sauf erreur ?
@ jzmn, un peu de baumes au choeur, sur un rameau d’olivier. Bàv,
https://www.youtube.com/watch?v=93O4FjvtdUM
LMD, je vous soupçonne de ne faire qu’un avec Sasseur. Ainsi seriez vous en accord avec vous-même, ce n’est pas donné à tout le monde. Souvent je me pose cette question hautement métaphysique, d’une extrême importance, suis-je accordée avec moi même, or je ne sais pas, pas y répondre ne sachant plus qui je suis. Rimbaud apparaît, disparaît dans son « je est un autre ».
3J, de source sûre, votre réseau d’espionnage indiqué que Marie se lancerait en politique, sous l’aile de quel illustre? Le sauriez- vous? Elle fait toujours mystère tout en soumettant qu’elle est affairée.
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