de Pierre Assouline

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La République des livres
Pour saluer Milan Kundera

Pour saluer Milan Kundera

Un Européen, c’est celui qui a la nostalgie de l’Europe. Milan Kundera, qui vient de mourir à Paris à l’âge de 94 ans, nous a appris cela que seul un créateur venu de la fiction pouvait nous apporter. On lui doit d’avoir ressuscité l’idée d’Europe centrale tout en vouant aux gémonies l’expression « mitteleuropa ». Contexte et fil rouge de l’essentiel de ses écrits, elle court tout au long de son œuvre comme en témoigne la publication en deux volumes de son Oeuvre (attention, sans « s » !) dans la collection de la Pléiade sous son contrôle vigilant. On peut aujourd’hui (re)lire La Vie est ailleurs, La Plaisanterie ou Le Livre du rire et de l’oubli sans surinterpréter les intentions cachées de l’auteur (critique voilée du régime etc). A condition de ne jamais oublier ce qu’il a voulu faire du roman : un art, et non plus un genre, porteur d’une vision du monde, et dont l’avenir se joue dans la cale de l’Histoire.

Kundera nous a appris à regarder les régimes communistes en action non à travers leur prisme strictement socio-politique mais par les attitudes qu’ils suscitaient chez les citoyens/personnages. Du communisme en particulier, il tira la meilleure des introductions au monde moderne en général. L’impact de son œuvre est indissociable de l’émancipation des peuples de ces pays-là. Elle est des rares à avoir permis, à ses lecteurs emprisonnés derrière le rideau de fer, d’inscrire leur « moi » au sein d’un « nous » jusqu’alors dilué au sein d’une histoire collective. Traitant la politique en artiste radical, il a redonné des noms à des phénomènes, des sentiments et des sensations que le totalitarisme avait réussi à débaptiser. Kundera a regardé la société en adepte du pas de côté et du décalage. Il a revisité les anciennes catégories qui définissaient les grands romanciers d’Europe centrale, celle de la philosophie et du sérieux, pour les remplacer par un rire tout de désinvolture et d’impertinence, par l’humour et l’ironie contre les grotesques du système, et par l’élévation du kitsch au rang d’une catégorie quasi métaphysique. Sa méditation sur l’exil, et l’impossibilité pour l’émigré de rentrer au pays sous peine d’annuler de sa biographie intime ses longues années passées hors de chez lui, est inoubliable.

   Il a ressuscité un Occident oublié au sein de notre Occident. La résurgence de cette Atlantide a cassé la vision bipolaire Est/Ouest ; celle-ci n’avait pas seulement écrasé l’identité de la Mitteleuropa : elle avait installé le choc des civilisations dans les esprits. On doit au romancier d’avoir hâté le retour de l’Europe centrale en restituant ses habitants à l’Europe, une véritable révolution culturelle, ce qui n’est pas peu (son article de 1983 sur « Un Occident kidnappé » fait date). Sa vision de l’Histoire n’en est pas moins « idéalisée parfois à la limite du kitsch « . Certains de ses critiques tchèques lui ont ainsi reprocher de n’avoir pas voulu voir que l’Europe centrale avait été aussi une allégorie de la face sombre du XXème siècle ; il n’en a retenu que l’éblouissante modernité à l’œuvre dans la Vienne de la grande époque pour mieux oublier la haine de la démocratie, le nationalisme anti-Lumières, l’antisémitisme et autres démons. Un tropisme dont certains dénichent les racines dans une naïveté propre à une conception avant-gardiste de la modernité, en vertu de laquelle le passage du passé au présent permettrait de se libérer des ténèbres. Comme quoi, pour avoir été un fin analyste de la mécanique totalitaire, le romancier n’en serait pas moins victime d’une illusion sur le brouillard qui enveloppe le passé et se dissipe dès que celui-ci devient présent.

 Il identifie la bêtise à la religion de l’archive, l’illusion biographique, le formalisme littéraire, la recherche génétique. Tout ce qui concourt selon lui à dépouiller un auteur de ce qui n’appartient qu’à lui. Ses deux Pléiades parues sous sa garantie, gage d’autocensure, nous privent notamment de textes de jeunesse. Le fait est que cette édition épurée, qu’il a débarrassée de ses premières traductions en français par lui jugées calamiteuses (son problème avec ses traducteurs est plus vaste), est la négation même du travail des historiens de la littérature. On ne saura pas quand il est passé du rire à l’oubli, et de la tendresse au désenchantement. Ni comment le Kundera tchèque fut aussi engagé que le Kundera français ne l’est pas. Ni les étapes parfois douloureuses qui l’ont fait glisser de sa langue natale à sa langue d’adoption avec tout ce que cela suppose de renoncements. Ni l’évolution du lyrisme insolent, drôle, sarcastique, agressif, mordant, romantique des années de plaisanteries et de risibles amours à l’anti-lyrisme l’ayant mis à distance des sentiments pour verser dans une ironie qui n’aura conservé que le sarcasme des années d’avant, comme un adieu à l’innocence, prix à payer pour accéder à la sagesse, si Diderot à ses débuts, si Anatole France vers la fin. Ni pourquoi il lui fallu dissocier son art romanesque de tout contexte politique pour lui accorder le statut extraterritorial d’une autonomie radicale. Regrets éternels. On aurait ainsi mieux compris comment un grand écrivain se déhistoricise dès qu’il se veut universel.

 

Ses thuriféraires, et il n’en manque pas, ne supportent pas que l’on interroge l’évolution de son style depuis qu’il a décidé d’écrire en français. Lui non plus d’ailleurs puisque dès lors ou presque, il décida de publier ses livres made in France d’abord en Espagne ou en Italie puis en tout dernier lieu chez nous afin de n’avoir pas à affronter d’emblée la critique hexagonale. Il n’en demeure pas moins que dès la parution du Rideau (2005), on pouvait se demander ce qui lui était arrivé. Car il y a un mystère Kundera. Ce phénomène étrange pointait déjà dangereusement dans ses trois derniers romans rédigés dans sa langue d’adoption (La lenteur, L’identité, L’ignorance). 

Méconnaissable, l’auteur drôle, captivant, stylé, puissant et pétillant d’intelligence de La plaisanterie, de La valse aux adieux et de L’insoutenable légèreté de l’être pour ne citer que les plus notoires. C’était le temps où il écrivait en tchèque. D’autant plus regrettable que Milan Kundera est par excellence l’écrivain qu’on aimerait continuer à aimer. Pour ce qu’il fut, ce qu’il est et ce qu’il a fait. Une oeuvre. Il n’est pas le premier orfèvre de la langue à en avoir changé. Conrad et Nabokov sont les plus fameux. Mais cela ne les a pas stérilisés. Car avec Le rideau, qui se présente comme un essai en sept parties, la pensée est aussi épaisse que l’expression est pauvre.

Cet ensemble discontinu de réflexions sur l’art sous toutes ses formes brasse large : le coup d’envoi donné par Goethe à la Weltliteratur, Rabelais, le comparatisme etc. On ne retrouve le Kundera d’avant que lorsqu’on aperçoit des éclairs dans l’analyse qu’on voudrait lui faire aussitôt approfondir. Ainsi son insistance à qualifier Kafka d’« écrivain allemand  » (pour mieux demeurer le seul grand écrivain tchèque ?) Comme on aurait aimé le voir développer des constats tels que : «  »L’Europe n’a pas réussi penser sa littérature comme une unité historique et je ne cesserai de répéter que c’est là son irréparable échec intellectuel » ». Ou encore : «  »Hitler avait apporté non seulement d’indicibles horreurs à l’Europe mais il l’avait spoliée de son sens du tragique«  ». Mais quand on lit sous sa plume, à propos de l’invasion soviétique de la Tchécoslovaquie en 1968 :«  » Je sais depuis lors ce qu’aucun Français, aucun Américain ne peut savoir ; je sais ce qu’est pour un homme vivre la mort de sa nation » », on se demande s’il a entendu parler de ce qu’a vécu la France entre 1940 et 1944. On dit que si l’on retire une idée, une seule, d’un livre, on n’a pas perdu son temps. En ce qui me concerne, je suis reconnaissant à Kundera de m’avoir rafraichi la mémoire sur Cervantès:

« Il écrit la seconde partie de Don Quichotte alors que la première est déjà éditée et connue depuis plusieurs années. Cela lui suggère une idée splendide : les personnages que don Quichotte rencontre reconnaissent en lui le héros vivant du livre qu’ils ont lu ; ils discutent avec lui de ses aventures passées et lui donnent l’occasion de commenter sa propre image littéraire. Bien sûr, ce n’est pas possible ! c’est une pure fantaisie ! une blague ! »

 Après ça, je me suis précipité sur mon Don Quichotte !

N’empêche, quel lecteur ! Une Rencontre (2009), genre d’essai qu’il affectionnait depuis les indispensables réflexions exposées dans L’Art du roman (1986), est de nature à désarmer d’anciennes préventions vis-à-vis de son usage du français. C’est assez éblouissant. Car sur de courtes distances, Kundera excelle à s’attaquer au vif d’une oeuvre, à la désosser et à lui faire rendre son âme (ici un témoignage sur ses années d’enseignement à l’université de Rennes). Ses intuitions semblent inédites, ce qui est une prouesse s’agissant d’un champ de livres, de tableaux ou de musiques déjà bien labouré tant par la critique des experts que par l’opinion. Et pourtant, il parvient à étonner, à surprendre, en ouvrant d’un mot, d’une phrase, d’un doute de nouvelles pistes. La rencontre annoncée par le titre est celle des réflexions nées de la fréquentation de ses souvenirs. Voici Francis Bacon en ses portraits et autoportraits, saisi loin du poncif de l’horreur, à moins que celle-ci, d’une richesse shakespearienne dans l’étalement des viandes, soit tout sauf effrayante, un peu comme dans les romans de Tostoï ; Kundera choisit même de le beckettiser, puisque l’un peint encore avec de la peinture comme l’autre fait encore du théâtre avec du texte.

Huile et langage, c’est tout un, deux matériaux en voie de disparition dans leurs corporations respectives, ce qui explique aussi leur isolement. Chez le boucher, Beckett, comme Bacon, aurait très bien pu dire que les carcasses d’homme pouvaient être accrochées en lieu et place des carcasses d’animaux. Au fond de la prétendue horreur qui leur est commune, que reste-il d’autre que l’expression d’un visage, là même où ils auront trouvé «  »une raison pour vivre cet accident dénué de sens qu’est la vie » » ? Voici encore le Dostoïevski de L’Idiot, le Céline de D’un Château l’autre, le Philip Roth de Professeur de désir, le Juan Goytisolo de Et quand le rideau tombe, Chamoiseau en Césaire, et Beethoven, Xenakis, Rabelais, Janacek et d’autres encore brillamment revisités tel Brecht en ses mauvaises odeurs. Même si au passage il ne peut s’empêcher de réduire l’entreprise biographique à sa caricature (« une logique artificielle qu’on impose à une succession de tableaux ») ni de commettre une erreur en affirmant imprudemment que pendant la guerre de Tchétchénie «  »personne, pas un journaliste, pas un politique, pas un intellectuel » » n’a voulu se souvenir du Hadji Mourat de Tolstoï, alors que son opportune réédition a été abondamment saluée par la presse.

Vétilles car il sera beaucoup pardonné au fin lecteur qui, relisant Cent ans de solitude, y voit tout à la fois l’art du roman à son meilleur et l’ère du roman à son déclin. Pardonné encore celui qui jouit d’une telle liberté par rapport à la tyrannie de l’air du temps qu’il ose reconnaître n’avoir jamais ouvert un livre de Soljenitsyne (« Ses retentissantes prises de position (dont j’applaudissais le courage) me faisaient croire que je connaissais d’avance tout ce qu’il avait à dire ») mais se régaler à la lecture des Dieux ont soif d’Anatole France qu’il espère retirer ainsi de la liste noire établie par les salons où l’on pense (un Kundera n’y suffirait pas…).

Il a rarement eu le trait aussi vif. Il ne lui faut que trois lignes pour nous persuader que Milosz est l’inventeur du futur grammatical de la nostalgie, forme métamorphosant «  »l’évocation mélancolique de ce qui n’est plus en la tristesse déchirante d’une promesse irréalisable«  ». Ou que la fidélité aux convictions est puérilité quand la fidélité en amitié est une vertu. L’a-t-il fait exprès ? Etait-il si sûr de son effet ? Toujours est-il qu’il a gardé le meilleur pour la fin : un commentaire magnifique de Kaputt et de La Peau, les deux chefs d’oeuvre d’un Curzio Malaparte évoqué d’emblée comme«  »plus proche de Pétrarque que de Garibaldi«  ». Bien qu’elle s’attarde longuement sur les questions de forme, de composition et d’architecture, sa critique est d’une sensibilité esthétique et d’une empathie remarquables pour cette « poésie de l’invraisemblable« .

On n’a guère lu, sous la plume des critiques et des préfaciers, de lectures aussi profondes, intelligentes et denses que celle-ci. Même si on a encore en mémoire (et comment pourrait-on les en chasser ?) les têtes de chevaux saillant d’un lac glacé. Ou la scène du narrateur passant de nuit à cheval sous une double rangée d’arbres remuant de murmures et de râles, et comprenant à l’aube qu’ils venaient de Juifs crucifiés. Ou encore ce moment atroce où un Napolitain écrasé par un char américain est, tout aplati, aussitôt brandi comme un étendard au bout d’une pique fichée dans ce qui fut une tête. Ou le chagrin absolu de l’auteur découvrant que son chien Febo, disparu qu’il aime comme jamais il n’a aimé un être humain, agonise vivant et éventré dans un laboratoire expérimental alors que la guerre est finie ; mais la cruauté des hommes, dans ce qu’elle a de plus archaïque, elle, n’a pas déserté la vieille Europe. Impossible de ne pas se précipiter chez Malaparte après avoir lu Kundera.

Dans Milan Kundera « Ecrire, quelle drôle d’idée » (et quel drôle de titre soit dit en passant), que Gallimard publie ces jours-ci fort opportunément (320 pages, 21 euros), Florence Noiville, critique au Monde des livres puise abondamment dans Une Rencontre, peut-être davantage que dans d’autres de sa bibliographie, et on la comprend. C’est une mine de même que l’est son propre livre, hommage appuyé à un ami admiré pour son œuvre « alliance de la profondeur et de la limpidité », mais hommage totalement dépourvu du moindre esprit critique. Car depuis des années, la journaliste a continument fréquenté « l’ermite » de la rue Récamier, les guillemets s’imposant car on le voyait souvent déjeuner au Récamier pour y déguster son plat favori (grenouilles à l’ail et persil frit), plus grande concentration d’éditeurs et de chroniqueurs au m2, ou pour quelques fêtes dans les bras de Sollers ou BHL au café de Flore non loin. Kundera, discret sinon secret (« Tout écrivain a trois vies : sa vie publique, sa vie privée, sa vie secrète » disait-il), ne fuyait pas seulement les micros et les plateaux des journalistes « ces chiens renifleurs ». Il avait la haine des biographes, une engeance méprisable à ses yeux. Sa biographie officielle sur la jaquette de ses livres se réduit à ceci :

 « Milan Kundera est né en Tchécoslovaquie. En 1975, il s’installe en France ».

Le paradoxe est qu’il s’est beaucoup confié à son amie Florence Noiville, biographe de Singer en sachant bien qu’elle lui consacrerait un livre un jour (ici sa participation enthousiaste éclairante à l’émission Répliques). Certes pas une biographie mais un gisement pour les futurs biographes. Elle s’est rendue à Prague, a interrogé d’anciennes relations ; mais tout étant sous le contrôle de sa femme Vera, elle a évité d’interroger sa première épouse. Ou Adam Hradilek, chercheur à l’Institut pour l’étude des régimes totalitaires, et Petr Tresnak, co-auteurs d’une enquête très fournie intitulée « La dénonciation de Milan Kundera » et diffusée en version anglaise sur le site de l’hebdomadaire praguois Respekt. Sa divulgation fit scandale en 2008. Nombre de grands écrivains à travers le monde se solidarisèrent avec lui. Ce qui ne changea rien à l’affaire : il « aurait » dénoncé un autre étudiant à la police secrète communiste, ce qui aurait abouti à la condamnation de celui-ci à une peine de 22 ans de réclusion pour désertion. L’insinuation est pire que l’accusation. D’après un rapport de la police secrète du 14 mars 1950, les choses apparaissaient ainsi résumées :

« Aujourd’hui vers 16 heures, un étudiant, Milan Kundera, né le 1er avril 1929 à Brno, résidant à Prague VII, Cité universitaire, rue du Roi-George-VI, s’est présenté dans ce département et a rapporté qu’une étudiante, Iva Militka, résidant dans la même cité universitaire, avait indiqué à l’étudiant Dlask, de la même cité universitaire, qu’elle avait rencontré Miroslav Dvoracek, un de ses amis » »…

Ce que l’écrivain avait aussitôt nié avec la dernière énergie. Ce n’est évidemment pas grâce au livre de Florence Noiville qu’on en saura davantage si ce n’est que cette histoire l’a durablement meurtri. Ce portrait de Kundera en séducteur (les nombreuses photos sont convaincantes) facétieux, silencieux, ironique n’en est pas moins passionnant, tant pour ce qu’il dit que pour ce qu’il tait. Ses amis parmi les écrivains, de Jacques-Pierre Amette (on lira ici le récit de leurs conversations) à Philip Roth, peuvent en témoigner.

« Ses zones d’ombre. Accepter de ne pas les percer. Par respect.  Parce que c’est inutile : « des préoccupations de concierges » comme dit toujours Vera ».

Cela figure parmi les principes d’écriture notés par l’auteur sur son carnet d’enquête. Un étonnant plaidoyer pour l’oubli. Aussi ressort-on ravi et frustré de cette Vie de saint. On aurait aimé en savoir plus sur le ressentiment que son exil français a suscité chez ses compatriotes les mieux intentionnés, sur son attitude pendant le Printemps de Prague, sur ce qui lui a barré la route du prix Nobel (son « politiquement incorrect » et sa réputation de misogynie tirée de l’analyse de son oeuvre, selon Florence Noiville), le roman comme lieu de suspension du jugement moral, la passion des triptyques de Bacon (ses Trois études pour un autoportrait figuraient face à lui au-dessus de son bureau), l’influence fondatrice de la musique sur sa prose, les vraies raisons de l’hostilité à son endroit de son ancien ami Vaclav Havel… Toutes choses évoquées par ce livre, mais à peine. Son dispositif par empilement de fragments, d’extraits de l’œuvre, de documents, de photos inédites relève du dossier. Comme si une vie d’écrivain n’était réductible qu’à des scènes. Milan et Vera en Philémon et Baucis.

Kundera se désolait de ce que Franz Kafka attire l’attention davantage que Joseph K. Ca ne risque pas de lui arriver. De toute façon, de son vivant, plutôt que de s’en remettre à quelque Max Brod, lui et sa femme ont fait tourner la broyeuse à plein régime, éliminant d’innombrables lettres, documents et manuscrits. Après une Pléiade bien propre et sans rien qui dépasse, ils ont fait le ménage. Rideau !

(« Dessin de Milan Kundera », « Portrait de Milan Kundera, 1980 » photo Elisa Cabot ;« Trois études pour un autoportrait de Francis Bacon, 979 Huile sur toile Chaque panneau: 37,5 × 31,8 cm Metropolitan Museum of Art, New York Jacques and Natasha Gelman Collection, 1998)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

945 Réponses pour Pour saluer Milan Kundera

Bloom dit: à

Pour certain.e.s la lutte contre la dépression passe par le shit, la beuh, le speed, le lsd et surtout la morphine, dear sister morphine.
Surtout pas le jaja et ses cousins. Ca pue, ça fait vomir et c’est vulgaire.
Quand tout est perdu, on peut se foutre en l’air utilement, par exemple en se faisant exploser à côté d’un.e facho.

JC..... dit: à

OPINION PARTAGEE

« C’était mieux avant ! »

Tout le monde est d’accord.
Cela se complique lorsqu’il s’agit de définir « avant quoi » …

et alii dit: à

un musicien philosophe raconte:
« Ce motif « La sixième porte » extrait du Château de Barbe-Bleue est comme un scintillement et un miroitement sur l’eau
C’est Kurtag qui me l’avait fait découvrir. Comme j’avais préparé toute une série de questions son œuvre, en réponse il m’avait offert une pomme… grande leçon d’humilité pour moi et qui me fit comprendre que je devais simplement être à l’écoute sans vouloir analyser trop profondément les choses. » – Peter Szendy
https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/musique-emoi/peter-szendy-ecrivain-4225768
ça plairait à CLOPINE

et alii dit: à

Szendy est d’EUROPE CENTRALE puisqu’il est d’origine hongroise

et alii dit: à

rock guitare
« Symbole de l’occupation américaine, «divertissement»[6] et «défoulement»[7], musique adolescentine de l’«idylle rock»[8] chez Kundera, et facteur dévoyant le «sentiment de la langue» chez Millet, le rock est pour ces écrivains français la bande-son manifeste de l’invasion anglo-saxonne (Millet et Quignard) et de l’ère du «tout culturel»[9]. Ainsi, leurs écrits de fiction comme leurs essais témoignent d’une posture anti-rock qui apparaît plus en filigrane dans ces derniers. Elle se manifeste dans les «romans»[10] au travers de différents procédés: caractérisation des personnages, inclinaison logogène[11] de la narration ou objets symboliques construisant l’espace romanesque. Dans le texte de Kundera par exemple, le rock est la musique «éternelle» participant d’une sexualité libérée qui accompagne Tamina jusqu’à la mort:

L’histoire de la musique est mortelle, mais l’idiotie des guitares est éternelle. Aujourd’hui la musique est retournée à son état initial. C’est l’état d’après la dernière interrogation, l’état d’après l’histoire.[12]

Le premier argument de cette posture «anti-rock» fait donc de celui-ci une musique d’avant et d’après l’histoire, une musique hors de l’histoire, rompant avec toute visée historiciste et téléologique de l’évolution musicale. À ces préjugés sont souvent associées les idées de sauvagerie, d’affaiblissement de l’art et d’une musique primitive façonnant «une tribu des premiers âges»[13]. C’est également dans L’Occupation américaine, l’objet de l’affrontement générationnel entre Patrick Carrion et son père, entre deux visions de la musique et de l’art:

-Cette musique était un divertissement. Tu en feras autant que tu voudras pendant les grandes vacances.
-Je ne suis pas d’accord, mon père. La musique n’est en aucun cas un divertissement.
-Un défoulement, si tu préfères. Ce n’est même pas agréable. Ce n’est même pas joli.
Patrick haussa la voix: «Dieu merci!»[14]
http://popenstock.ca/de-lexistence-dune-litterature-rock

B dit: à

Vasseur, chacun son remède, quelquefois ça reste sans. Personne ne doute de votre coriacité, j’imagine que votre acharnement à ne respecter que votre fille et les gens qui vous sont utiles du moment qu’ils le sont encore ne nait pas de nulle part. Peut-être transformez vous vos peines en haines, votre jalousie couplée à un orgueil rare en méchancetés diverses et variées, les hommes étaient à vos pieds pourtant, ont-ils migré vers d’autres sandalettes plus fraîches et moins abimées que les vôtres ? Ce serait un nouveau motif tu pour alimenter votre réservoir.

MC dit: à

Ah , la « jeune, riche, belle , et cultivée « Sasseur….il me semble qu’on en revient. MC

B dit: à

Bloom, les mafias veillent à enfariner la planète ce qui ne fait pas de tous les dépendants des dépressifs. Les pouvoirs se montrent assez inefficaces à surveiller cette menace , les gains sont colossaux, dans ces réseaux complexes les corruptions ne sont sûrement pas inexistantes.

Marie Sasseur dit: à

Le scabreux a la tronche aussi épouvantablemrbt hideuse que ce qu’elle contient. Ceci est un fait.

Jazzi dit: à

Le léZard a eu le privilège de se promener à Cracovie avec Polanski et de découvrir les secrets de la ville, que les touristes d’aujourd’hui ne voient déjà plus !

Marie Sasseur dit: à

épouvantablement, un pou.

Marie Sasseur dit: à

Le cymbalum est évoqué, dans La plaisanterie de Milan Kundera, comme l’instrument typique des orchestres folkloriques tchèques d’après-guerre.

Le cymbalum est présent dans plusieurs bandes originales de films, telles que :

les films d’Emir Kusturica,
Une Affaire d’Etat, en 2009, musique de Noko (en)
Le Seigneur des anneaux : Les Deux Tours, en 2002, musique de Howard Shore (thème de Gollum),
Le Grand Blond avec une chaussure noire, en 1972, accompagnant le flûtiste de Pan Gheorghe Zamfir, musique composée par Vladimir Cosma,
La Guerre des cerveaux, en 1968, sur une musique de Miklós Rózsa,
IPCRESS, Danger Immédiat, en 1965, sur une musique de John Barry
Kaamelott – Premier Volet, en 2020, joué par Cyril Dupuy, musique de Alexandre Astier.
John Barry utilisa également cet instrument pour le générique des séries Amicalement Vôtre et L’aventurier.

Wiki

Bloom dit: à

Certes B, l’idéal est de consommer sa propre production. Plus dur pour le speed, LSD et la morphine, mais pour le reste, c’est très faisable.

Les grandes villes devraient ouvrir des fumeries d’opium, comme on en trouve dans le Londres du Mystère d’Edwin Drood de Dickens et du Portait de Dorian Gray wildien.
Les vertus rétentrices du latex issu du pavot somnifère roulé en boulette permettraient également d’économiser l’eau courante en ces temps d’assèchement des nappes phréatiques.
Perso, j’ai déjà la pipe en porcelaine et argent achetée sous le manteau à Pékin en 2000 avec la complicité active de mon épouse. Sur les starting-block du rêve coleridgien.

renato dit: à

«… simplement être à l’écoute sans vouloir analyser les choses trop profondément… »

Ou vous êtes zen et d’autres critères entrent en jeu * ou vous êtes con et à un moment vous trouverez un mur qui, pour sa nature, ne se déplacera pas.

* « Si tu ne trouves pas le calme, ici et maintenant, tu le trouveras où et tu le trouveras quand ? » (Dōgen)

Jazzi dit: à

C’est sûr qu’un bon joint, de temps à autre, est conseillé à certaines, ici, Bloom !
Cela nous éviterait les commentaires acariâtres et les lamentations infinies…

Marie Sasseur dit: à

René franchit souvent le mur du con.

D. dit: à

Faut-il une énième fois rappeler que la vie vient de Dieu, est vécue en Dieu et que les âmes des suicidés vont en Enfer ?

renato dit: à

La Marietta l’a franchi une fois pour toutes.

D. dit: à

Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.

Amen

renato dit: à

Et voilà dédé avec ses superstitions archaïques.

D. dit: à

Veni creator Spiritus,
Viens, Esprit Créateur nous visiter
Mentes tuorum visita,
Viens éclairer l’âme de tes fils;
Imple superna gratia
Emplis nos coeurs de grâce et de lumière,
Quae tu creasti pectora.
Toi qui créas toute chose avec amour

Qui diceris Paraclitus,
Toi le Don, l’envoyé du Dieu Très Haut,
Altissimi donum Dei.
Tu t’es fait pour nous le Défenseur;
Fons vivus, ignis, caritas
Tu es l’Amour le Feu la source vive,
Et spiritalis unctio.
Force et douceur de la grâce du Seigneur

Tu septiformis munere,
Donne-nous les sept dons de ton amour,
Digitus paternae dexterae.
Toi le doigt qui oeuvres au Nom du Père;
Tu rite promissum Patris,
Toi dont il nous promit le règne et la venue,
Sermone ditans guttura.
Toi qui inspires nos langues pour chanter

Accende lumen sensibus
Mets en nous ta clarté, embrase-nous,
Infunde amorem cordibus,
En nos coeurs, répand l’amour du Père;
Infirma nostri corporis
Viens fortifier nos corps dans leur faiblesse,
Virtute firmans perpeti.
Et donne-nous ta vigueur éternelle.

Hostem repellas longius
Chasse au loin l’ennemi qui nous menace,
Pacemque dones protinius;
Hâte-toi de nous donner la paix;
Ductore sic te praevio
Afin que nous marchions sous ta conduite,
Vitemus omne noxium.
Et que nos vies soient lavées de tout péché.

Per te sciamus da Patrem,
Fais-nous voir le visage du Très-Haut,
Noscamus atque Filium;
Et révèle-nous celui du Fils;
Teque utriusque Spiritum
Et toi l’Esprit commun qui les rassemble,
Credamus omni tempore.
Viens en nos coeurs, qu’à jamais nous croyions en toi.

Deo Patri sit gloria,
Gloire à Dieu notre Père dans les cieux,
Et Filio, qui a mortuis
Gloire au Fils qui monte des Enfers;
Surrexit, ac Paraclito
Gloire à l’Esprit de Force et de Sagesse,
In saeculorum saecula. Amen
Dans tous les siècles des siècles. Amen.

D. dit: à

renato dit: à

Et voilà dédé avec ses superstitions archaïques.

Tu es habité par Satan depuis si longtemps, renato… va te faire exorciser, suppôt blasphemateur.

renato dit: à

Moscou fait sa guerre du blé, ceux qui en souffriront ce seront les plus pauvres : et on trouvera encore des fascistes (noirs et rouges) pour nous dire que la Russie est un pays civilisé ; que le peuple russe n’est pas responsable des agissements de la mafia qui tient le pays.

renato dit: à

C’est plutôt à vous Marietta de garder votre calme et parfois faire usage de cette qualité qu’on appelle « pensée » et que vous n’avez eue qu’au conte-goutte. C’est par ailleurs pour cette raison qu’en lisant vos décharges de biles je compatis.

renato dit: à

Mais quel crétin ce dédé, je me demande de quel séminaire sort son curé, en admettant qu’il prend la peine d’écouter un « fidèle » si aut of courge.

JC..... dit: à

PEUPLE RUSSE

C’est un peuple admirable qui ne croit pas aux légendes occidentales professées par les dirigeants occidentaux incompétents et menteurs !

Les siennes, russes dans l’âme, sont bien plus solides que celles des mécréants de Bruxelles qu’il faut sauver en les annexant tous !

Marie Sasseur dit: à

René, quelle lourdeur !
on attend toujours votre analyse de Beethoven dans l’insoutenable légèreté, remember ?

renato dit: à

Quoi JC êtes-vous un fan de Dugin et de sa théorie à deux balles de Nouvelle Russie (Russkiy mir) ? non, parce que si c’est ça il faudrait y aller mollo avec le pastis.

renato dit: à

La lourdeur c’est plutôt vous Marietta, qui passez votre temps en proférant des insultes.

J’ai mis en ligne une analyse de l’Op. 120, si vous étiez la grande que vous rêvez d’être vous sauriez transposer. Amusez-vous bien, pauvrette.

renato dit: à

Et à propos, dédé, essayez de devenir chrétien avant de vous prétendre catholique !

Marie Sasseur dit: à

Vous ne lisez que de la merde, René; les insultes vous en abusez constamment, surtout quand ca se voit trop que vos propos superficiels masquent une grande incompétence.
Vous avez mis du youtube betove sur ce blog, pendant un an.
Je vous ai donné un indice pour Beethoven dans l’insoutenable légèreté, et l’opus 135.

Si vous saviez de quoi vous causez, vous ne vous ridiculiseriez pas en permanence.
Comme tout bon milaniais boursouflé.

renato dit: à

Vous n’avez donné aucun indice, Marietta l’insulteuse, allez voir en remontant le fil. Bon, vous n’avez que des lecture chic-élégantes-côtelette on l’a compris et on ne peut que s’incliner devant autant de Style. Vous n’arrivez cependant pas à transposer l’analyse d’une œuvre de LvB et cela ce n’est pas une tache… bien que pour une qui crache constamment vers le ciel ce n’est pas le top.
Cela dit, déchainez-vous Marietta, c’est tout ce que vous savez faire. Have a good trip !

Samuel dit: à

Pourquoi tout le monde se chamaille avec tout le monde sur la Rdl ?

Jazzi dit: à

A défaut de s’aimer on se dispute, Samuel !
Tu n’as pas lu Guerre et Paix ?

Marie Sasseur dit: à

René, il faut aller mollo sur la bibine. Avec la chaleur qu’il fait, c’est déconseillé.

Vous êtes sans cesse dans le bourre-Pif, un peu crétin et infantile..il vous a manqué de faire des études, même si comme motodidacte , vous avez pu vous en affranchir sous un prétexte pseudo- artistique, genre pinterest…
Il y en a un qui a commenencé à dire que l’ insoutenable légèreté avait été composée comme une symphonie de Beethoven, ce sur quoi vous avez ensuite pu illustrer votre immense connerie satisfaite d’elle-même.

Tout cela est bien évidemment faux , ce roman n’est pas composé comme une œuvre de Beethoven.
En revanche le dernier quatuor dudit donne une clé, pour illustrer une sorte de résignation de Tomas.

Lisez !

Jazzi dit: à

Pas mal de films cette semaine, malgré les vacances d’été.
Mais par quoi commencer ?
« Oppenheimer », bio pic sur le père de la bombe atomique, par Christopher Nolan ; l’histoire drolatique et sociologique de la poupée « Barbie » par Greta Gerwig ou « Les Meutes », premier film, un polar très noir, primé à Cannes, d’un réalisateur marocain.
Vous avez une idée ?

renato dit: à

Comme dit, qu’elle se déchaine que c’est tout ce qu’elle sait faire. Par ailleurs, étant moyennement instruite et parfaitement inculte, elle n’a aucune idée de ce qui est la pratique de la composition, donc compassion ; Kundera par contre avait étudié composition, il savait donc jouer avec les disciplines, ce qui est incompréhensible pour les conformistes.

J’attends impatiemment la prochaine bordée, c’est toujours amusant l’opinion d’une frustrée.

Marie Sasseur dit: à

Moi je n’attends plus rien de vous René. Vos commentaires : que du vent et surtout des mensonges.
Pourquoi faire comme si vous aviez lu Kundera ? C’est idiot.

Oui,j’ai fait de longues études, mais je ne veux pas vous faire honte.

JC..... dit: à

« Pourquoi tout le monde se chamaille avec tout le monde sur la Rdl ? » (Samuel)

C’est tellement facile !
Entre inactifs se croyant exceptionnels… Relire les récits des relations humaines simplifiées dans les dortoirs et dépendances d’Auschwitz, en fonction des personnalités des prisonniers en survie.

Bref, quand on n’a pas de problème dans la vie de rentiers bourgeois, on s’en crée sur un blog « littéraire » de prestige !

Jazzi dit: à

« Oui,j’ai fait de longues études, mais je ne veux pas vous faire honte. »

Moi je n’ai pas mon certificat d’études et j’en suis fier !

Marie Sasseur dit: à

S’il y en a qui versent dans la facilité par désœuvrement, en confondant l’espace commentaires avec leur  » commodités », qu’ils aillent se suicider. René leur donnera l’adresse, il connaît.

renato dit: à

Ce que je disais, Marietta, vous êtes une instruite inculte.

Cela dit, vous ne me faites honte en aucun cas, car vous n’êtes personne, vous n’avez que des lectures à la mode, que par ailleurs vous comprenez mal ou pas du tout, même.

Bon, maintenant je n’ai plus de temps à dédier à votre vanité.
Bon après-midi et déchainez-vous à votre aise, Marietta.

Jazzi dit: à

Vais-je devoir migrer sur un blog plus gay, Samuel ?

(Les amours, forcément frustrées, de la nymphomane et de ses boys, c’est pas toujours rigolo…)

Marie Sasseur dit: à

René, toujours dans le mensonge.
Il est bien incapable de citer un seul commentaire d’un livre que j’aurais mal lu confronté précisément à sa propre lecture.
En revanche on n’a rien lu de consistant de sa part, ni sur Kundera, il revient à la mode, 35 ans plus tard, ni sur Houellebecq, tiens, il devait le lire aussi.

Mais ici, c’est un grand classique, quand on creuse un peu, on voit qu’il n’y a rien, que des pseudo-croyances de charlatans qui se bourrent la gueule, à grands coups de menton.

Alors René , quand il n’est pas in love avec Vladimir de Moscoue ( sic) nous gratifie de considérations très connes sur Jane Birkin, chanteuse porno selon lui, comparée de manière absolument insensée à Boyd Granville, sous prétexte ? qu’elle sont décédées à 8 jours d’intervalle ?
Le milaniais dispose.
Mais nous on suppose.
Et c’est pas joli, joli.
Incitation au jeûne, défense et illustration du suicide, quand ce ne sont pas des clichés un peu tendancieux de jeunes femmes qu’il récupère à droite, à gauche, sur le net et les met en devanture sur son pinterest, comme les « dames » en vitrine, à ‘ Dam…

Paradoxalement, une voix manque sur Kundera et la musique, c’est celle de J. Drillon.
Il avait déjà mis une tarte à René, à propos de  » la musique « , on aurait bien rigolé quand même.

Bon été et lisez !

renato dit: à

Me souviens avoir expliqué à Drillon, suite à une sienne tarte, la technique pour simuler un crescendo au piano, naturellement sans réponse de sa part ¬— mais implicitement, en me donnant une tarte il la donnait aussi à LvB et Schumann.

Puis il y eut une analyse de Vivaldi, car comme beaucoup il faisait l’erreur de comparer les compositeurs, ce qui est parfaitement arbitraire. Cela bien à part en faisant la comparaison avec Bach, il semblait oublier l’admiration que ce dernier portait à Vivaldi. Et là encore une tarte

Autre tarte car nous n’étions pas en accord sur la question du pourquoi un orchestre est philarmonique ou pas : moi je prenais à exemple la philarmonique de Vienne lui celle de Paris.

Il y eut in fine la question de sel, car il se demandait pourquoi le pain italien manquait de sel et là, pain toscan bien à part, il y a en Italie une normative relative à l’usage du sel, là aussi il n’y et pas de réponse.

Maintenant je sais qu’il était malade, donc je ne me pose pas la question de savoir pourquoi des tartes et pas de réponses.

renato dit: à

n’y EUT pas

Janssen J-J dit: à

Dixit, la rosse, en phase terminale /// du bac à lauréats, /// de longues études ensuite, kella dit. /// Migrer sur un blog + gay ? sans honte avec on certif ? /// … allez voir chez bilger avec charoule, on s’y envoie enlère tous les 1/4 d’heure, c’ super chaud ! tu r’viendras pu à las’souline pour la saouler ! (du viandox)

Marie Sasseur dit: à

Une manière pour René de mettre du sel sur la queue d’un oiseau.

C’est sûr on n’a pas les mêmes souvenirs.

On a vu ce qu’il en était des tomates chinoises découvertes sur un mur de Pompei. Quel magicien ce René, l’histoire est toujours ce qu’il croit qu’elle est…

Et tout est à l’avenant.

Tout ça finit toujours en eau de boudin milaniais, dans la piscine qu’il a privatisée à 2500m d’altitude.

Pas mon trip.

renato dit: à

« Pas mon trip. »

Très bien, mais en bonne instruite inculte vous comprenez que dalle, comme il est juste qu’il soit, surtout pas une formule classique d’ironie. Donc des longues études ? permettez-moi d’en douter, Marietta.

lmd dit: à

Bon, j’ai lu l’article de jazz magasine (merci Marie Sasseur) j’ai lu l’article d’En Attendant Nadeau, l’article des Inrock, de Libé ; tous parlent de ce que disait Kundera ; pas de ses livres.
Ce qu’il y avait a en dire le fut lors de leur parution sans doute.
– Kundera est mort… Et alors ? – C’est le titre de Franck Bergerot (jazz magasine).
Et alors, il va falloir que je lise en entier au moins un des livres de Kundera, pour savoir quoi en penser. Mais alors il sera trop tard pour faire un commentaire.

Marie Sasseur dit: à

C’est facile de parler d »ironie après que la grosse connerie de René , complètement ignorant, a été  » mise en boîte ».
Aucune bassesse ne le rebute, ce milaniais.

Bloom dit: à

Notre Père, qui es
que ton
que ton

Ca se tutoie ou ça se vouvoie, le Père qui est osseux?

En anglais, c’est un VOUS de solennité, THY name, etc.

Our Father, who ART in heaven,
hallowed be THY name;
THY kingdom come;
THY will be done
etc…

En regardant la voûte en éventail (fan vaulting) de l’Abbaye de Bath, où naquit ce trait typique de l’architecture ecclésiastique anglaise (Henry 7), je me dis qu’il correspond à un quart de robe de cérémonie médiévale inversée.

Marie Sasseur dit: à

Entre faire un commentaire, comme ça parce que telle lecture nous a emporté, et le faire pour qu’il soit lu et commenté, dans une echolalie sans fin, lmd a choisi. Il ne lira rien.
Là aussi, on touche le fond.

Salut, et lisez !

renato dit: à

Je vous reboute ? je n’espérais que ça, rebouter une instruite inculte. Il serait embarrassant qu’elle m’apprécie !

Marie Sasseur dit: à

Rebuter, René, apprends à écrire correctement. Après tu pourras apprendre à lire.

renato dit: à

Voilà. « La plus minable des actions que l’on peut commettre lors d’une controverse, c’est de s’accrocher aux erreurs de grammaire et de syntaxe de l’autre. »
G. Guareschi, Mondo piccolo.

Marie Sasseur dit: à

Mais oui, René, change de disque, tu t’exprimes comme une savate en français, comment espères-tu comprendre ce que tu lis ?

Allez, courage, tu peux encore y arriver.

renato dit: à

Donc, instruite mais inculte et minable.

Marie Sasseur dit: à

Tu es comme ton mentor, René, à la fin tu gram chie grave dans la colle.

Et mets-toi au boulot, au lieu d’agonir ce que tu ne connais pas.

Jazzi dit: à

« Ca se tutoie ou ça se vouvoie »

ça y est, Marie sasseur est passée au tutoiement avec renato : c’est chaud !

renato dit: à

Vous savez bien, Jazzi, elle remplit ses vides comme elle peut.

Dino dit: à

Quelqu’un peut me faire une synthèse du débat Marie Sasseur/Renato?

En trois lignes, pas plus…

Jazzi dit: à

Je t’aime, moi non plus, Dino.

Marie Sasseur dit: à

Much ado about nothing, dindon, en une ligne.
Comme vos apparitions ici.

closer dit: à

Demande à chat GPT, Dino!

Marie Sasseur dit: à

Pas de bousculade, les veaux, l’étape touche à sa fin.

« On eût voulu, pour les coureurs, de plus robustes vélos, des cadres brasés à la forge, des pneus ballons, que sais-je, peut-être de longues moustaches, un autre sang, un autre cœur de chercheurs d’or. La fin d’une race affrontait, ici, la fin du monde. »

http://encreviolette.unblog.fr/2017/07/11/ici-la-route-du-tour-de-france-1957-2/

D. dit: à

J’aime pas ce près de « dino ». Ça fait dinosaure. J’aime pas du tout du tout.

D. dit: à

renato est milanais ?! Je le croyais turinois. Comme quoi…

D. dit: à

ce prénom de dino. J’aime pas.

D. dit: à

J’aime bien Marie Sasseur. Elle écrit bien. Elle se relit, ça se voit.

renato dit: à

Oui D, Milanais, à Turin j’avais un atelier.

D. dit: à

Allez, renato. Ça suffit cette agressivité. Vous n’avez pas le niveau en Français pour commenter ici. Un point c’est tout.

D. dit: à

Un atelier de vélo ?

Kilékon dit: à

Milanais, à Turin j’avais un atelier.

Et la petitr maison dans la prairie, où ça?

Jazzi dit: à

Je te décris le tableau, Dino.

Au milieu de la scène du Casino de Paris, Miss Sasseur, toute en jambe et en plumes, descend le grand escalier, entourée de ses boys en smoking et hauts de forme : à sa gauche, JJJ, taille XXL, à sa droite, renato, filiforme. Au-dessus, Phil et monsieur Court, avec, au centre, un petit dernier, à qui il a fallu apprendre en toute hâte les pas : Patrice Charoulet !
Le tout sur l’air de « J’ai de belles gambettes, j’le sais », sous l’oeil médusé du public, qui s’apprête à leur jeter des tomates bien mûres.
Dans un coin de la salle, le léZard, avec son appareil photo, souris en pensant au prochain article de son blog…

renato dit: à

Vous n’êtes pas celui qui peut me dire si je peux commenter ici ou pas, D.

D. dit: à

Ben si.

Jazzi dit: à

sourit… (le léZard est un autre Jazzi)!

Dino dit: à

Dino, en honneur à ce grandissime bandéoniste argentin qu’est Dino Saluzzi (Kultrum, 1982)… Il a joué avec Barbieri, Haden, Piazzola, Di Meola et Godard a utilisé quelques uns de ses titres dans Nouvelle Vague (1990)

renato dit: à

Sur les rives du lac Majeur, Kilékon ! Avez-vous « besoin » d’autres info ?

Dino dit: à

Merci Jazzi, c’est passionnant… on dirait un extrait de Finnegans Wake

Jazzi dit: à

« Rien n’est gratuit en ce bas monde. Tout s’expie, le bien comme le mal, se paie tôt ou tard. Le bien c’est beaucoup plus cher forcément. »

(Louis-Ferdinand Céline —La Vie et l’Œuvre de Philippe Ignace Semmelweis, 1924)

et alii dit: à

ben lui:
souris en pensant au prochain article de son blog…
isrelit pas!

renato dit: à

Ben, non, D.

Kilékon dit: à

Sur les rives du Lac Majeur!

Là aussi, papa tango? ! 🙂

et alii dit: à

vous êtes une instruite inculte.
dans mon école, on disait « doctus cum libro »na

et alii dit: à

dans mon école, on disait « doctus cum libro »na

Kilékon dit: à

Avez-vous « besoin » d’autres info ?

Et le Yacht que vous n’avez pas déclaré au fisc dans le Triangle des Bermudes? 🙂

et alii dit: à

donc ici, on sera
doctus cum interenato

Jazzi dit: à

« La grossièreté n’est supportable qu’en langage parlé, vivant, et rien n’est plus difficile que de diriger, dominer, transporter la langue parlée, le langage émotif, le seul sincère, le langage usuel, en langue écrite, de le fixer sans le tuer… Essayez… Voici la terrible  » technique  » où la plupart des écrivains s’effondrent, mille fois plus ardue que l’écriture dite  » artiste  » ou  » dépouillée « ,  » standard  » moulée, maniérée que l’on apprend branleux en grammaire dès l’école. Rictus que l’on cite toujours n’y réussissait pas toujours, loin de là ! Force lui était de recourir aux élisions, abréviations, apostrophes… Tricheries ! Le maître du genre c’est Villon, sans conteste. Montaigne plein de prétentions à cet égard, écrit tout juste à l’opposé, en juif, semeur d’arabesques, presque du  » France  » avant la lettre, du Pré-Proust…
Dès qu’on se sent un peu  » commun  » dans la fibre et l’intimité, le mieux, de beaucoup, sans conteste, c’est de se vouer aux bonnes manières, de faire carrière en  » dépouillerie  » en élégante concision, sobriété délicate, finement tremblotante, colettisme. Tous les  » parfaits styles  » dès lors vous appartiennent, avec plus ou moins de petit doigt, lon-laire !
Plus rien à craindre de vos élans !… Vous ne serez jamais découvert, le monde, si bourbeux, si porc, tellement irrémédiablement bas du cul, ses  » chiots  » toujours si près des talons, ne se torche que de papillottes, pasteurisées… Toute sa distinction !… La seule à vrai dire. Pour cette raison et nulle autre, vous observerez que les dames s’effarent et se déconcertent, interpellées en durs propos, tressaillent des moindres grossièretés.
Elles toujours si près du balai, toujours si boniches par nature, dès qu’elles écrivent, c’est au plus précieux, au plus raffiné, aux orchidées qu’elles s’accordent… Elles n’empruntent qu’à Musset, Marivaux, Noailles, ou Racine, leurs séductions, leurs travestis. Supposons qu’elles se laissent aller… quel déballage ! une minute ! Jugement de Dieu !… Ce serait alors vraiment la fin du monde ! Ecrire pourtant de cul, de bite, de merde, en soi n’est rien d’obscène, ni vulgaire.
(…)
Dans ce but, rien ne leur paraît plus convaincant, plus décisif, que le récit des épreuves d’amour… de l’Amour… pour l’Amour… par l’Amour… tout le  » bidet lyrique  » en somme… Ils en ont plein les babines, ces croulants dégénérés maniéreux cochons de leur  » Amour  » !…
C’est en écrivant d’Amour à perte d’âme, en vocabulant sur mille tons d’Amour, qu’ils s’estiment sauvés… Mais voici précisément, canailles ! le mot d’infamie ! le rance des étables, le vocable le plus lourd d’abjections qu’il soit !… l’immondice maléfique ! le mot le plus puant, obscène, glaireux, du dictionnaire ! avec  » cœur  » ! Je l’oubliais cet autre renvoi visqueux ! La marque d’une bassesse intime, d’une impudeur, d’une insensibilité de vache vautrée, irrévocable, pour litières artistico-merdeuses extraordinairement infamantes…
Chaque lettre de chacun de ces mots suaves pèse sa bonne demi-tonne de chiasse, exquise… Tous les jurys Feminas s’en ravissent intimement, festoyeusement  » tout à la merde « , s’en affriolent en sonnets, pellicules, conférences, mille tartines et téléphones et doux billets… »

(Louis-Ferdinand CÉLINE — Bagatelles pour un massacre, Éditions Denoël.1937)

renato dit: à

Pas de « barque », Kilékon. Une chose dans l’autre c’est un truc coûteux à l’achat et dispendieux à l’entretien pour l’usage que l’on en fait ».

renato dit: à

Poutine s’empare des filiales russes de Danone et Carlsberg et les transfère à ses fidèles. Le neveu de Kadyrov dirigera la deuxième plus grande entreprise laitière de la Fédération, tandis qu’un entrepreneur proche du président dirigera la brasserie Baltika de la société danoise.

Pendant ce temps Prigozhin réapparait et lâche sa perle : « Ce qui se passe sur le front ukrainien est une honte dont nous ne voulons pas faire partie ».

et alii dit: à

« en mémoire de KUNDERA su TABLETT par

MAXIME D. SHRAYER
https://www.tabletmag.com/sections/arts-letters/articles/in-memory-of-milan-kundera
 » L’autre livre de poche était L’insoutenable légèreté de l’être de Milan Kundera. J’ai dû depuis relire le roman 10 fois en l’enseignant à des collégiens américains dans mon cours sur l’exil. Je suis un immigré de 56 ans au moment où j’écris ces lignes, le bloc de l’Est n’est plus, la Russie est en guerre contre l’Ukraine, et le roman ne m’excite plus autant que lorsque je l’ai lu pour la première fois en tant qu’étudiant soviétique impressionnable et jeune poète.

Et pourtant, en 1986, j’ai lu le roman de Kundera comme rien de moins que le manifeste d’un artiste-intellectuel du bloc de l’Est. J’avais l’impression que Kundera avait donné à son lecteur une grammaire de la vie dans laquelle une conduite sexuellement amorale tenait souvent lieu de protestation politique contre le système totalitaire. A l’époque, j’aurais pu signer mon nom sous chaque page décrivant les pensées du personnage principal, le chirurgien tchèque Tomáš. À bien des égards, les pensées de Tomáš sur le monde totalitaire – l’amour et le sexe, l’art et la musique, le conformisme et la dissidence – étaient aussi mes pensées. J’aurais pu jurer par le livre de Kundera, et pourtant je ne pouvais même pas partager ma réaction avec qui que ce soit autour de moi. J’ai adoré le livre et j’ai souffert de l’incapacité de partager mon amour. Et je l’aime toujours comme on aime amèrement son passé abandonné, disparu.

Et ainsi, ce matin de juillet 2023, je chuchote : Dors bien, Milan Kundera. Que votre légèreté soit supportable, vos blagues risibles dans les mondes à venir.

D. dit: à

Ben si, renato.

renato dit: à

Ben non, D.

Pablo75 dit: à

Quelqu’un peut me faire une synthèse du débat Marie Sasseur/Renato?
En trois lignes, pas plus…
Dino dit:

La Vieille Pouffiasse du Blog s’emmerdant dans son bled (où elle vit seule depuis qu’elle est à la retraite en attendant la mort, situation sans issue qui la rend folle), vient ici emmerder les Naïfs qui se laissent emmerder par elle en lui répondant poliment. Et cela dure depuis au moins 15 ans. Tant qu’il aura des masos pour lire et polémiquer avec cette Grosse Connasse Hystérique et Vraie Obsédée Sexuelle, elle viendra ici faire sentir la puanteur de son cerveau en décomposition.

Jazzi qui la connaît bien a expliqué à l’une de ses victimes ce qu’il faut avec elle: « Laisse pisser la Sasseur, Margotte, le seul moyen est de l’ignorer. Là, tu la fais mouiller… ».

Pablo75 dit: à

« Chez Glenn Gould, il y a une tension du temps. Le son menace de s’éteindre … et in extremis, quelque chose d’autre s’enchaîne. »
Peter Szendy

Bach : Variations Goldberg BWV 988
Glenn Gould, 1981
https://www.youtube.com/watch?v=G7EEACEefH0

Marie Sasseur dit: à

L’ordurier du 75 est venu pour sa petite sérénade. Qui va-t-il séduire ce soir?
La vieille pouffiasse selon ses termes, qui lui met ses couches, lui a certainement laissé quartier libre.
Et sa grosse connasse de fille, une obsédée sexuelle toujours selon ses termes, quelle famille, fait la pute aux puces pour payer l’abonnement internet de l’ivrogne.

La musique ne dit pas non, elle ne peut pas.

Marie Sasseur dit: à

On lui connaît le syndrome de diogene, puisque le pingouin du 75 habite dans un logement insalubre, au milieu d’ordures qu’il entasse, comme il le fait sur ce blog .
Atteint du syndrome de Gilles de la Tourette, il a déversé ses insanités tour a tour, sur a peu près tous les intervenants de ce blog.
Sauf sur un individu encore plus ordurier que lui, et à qui il avait proposé la botte, individu heureusement banni de ce blog.
Il baragouine 2 ou 3 mots d’espaniol, c’est ce qui lui permet de rester en vie sur ce blog.

Pablo75 dit: à

Une fois n’est pas coutume, je répète le message que j’ai écrit ici l’autre jour à l’adresse de Sasseur, alias la Super Grosse Connasse du Blog, cet espèce d’Ectoplasme Infrahumain qu’aucun mec a dû oser toucher depuis un demi-siècle au moins tellement elle pue l’aigreur, message qu’elle a dit n’avoir pas lu – pour qu’elle puisse le relire tranquillement.

@Marie Sassoeur
STOP
Margotte dit:

Maintenant c’est STOP, OK ?
@Marie Sassoeur

Pierre Assouline ou le responsable de ce blog peut-il me contacter SVP ?
Margotte dit:

@Marie Sassoeur
Pour la 3eme fois : STOP.
Margotte dit:

@Marie Sasseur
Pour la 4eme fois : STOP
Margotte dit:

On voit que Margotte ne connaît pas ce blog, qui est l’un des plus libres qui existent en France et dans lequel presque tout est permis par son propriétaire, dont l’attitude dans la photo en haut et à droite est assez explicite. Je vais lui expliquer où elle est tombée.

Ici il y a une Vieille Pétasse habitant toute seule un coin perdu de la France profonde et essayant de se faire passer pour une belle femme riche et libre qui passe l’année à la plage (alors qu’elle se morfond au fond d’une cabane de jardin insalubre) : c’est la Grande Connasse du Blog, une Pouffiasse Absolue dont l’activité principale est, dans cet endroit, celle d’insulter tout le monde, d’accuser le plus de monde possible de crimes sexuels (il faut dire que, n’ayant pas vu le loup depuis au moins 50 ans, tout ce qui concerne les délits sexuels l’excite au plus haut point). Cette Conne Infinie est bien sûr (en ce moment, parce qu’elle change de pseudo, mais pas de façon d’aboyer et mordre, enragée comme elle est depuis toujours) « Marie Sasseur ».

En plus d’une analphabète que ne lit que les Prix Goncourt qui se vendent bien, étant celui-là le seul critère de qualité littéraire dans le bled où elle est enfermée, c’est aussi une Fasciste de Naissance qui choisi ses victimes entre les participants de ce blog les moins dangereux pour elle, des femmes souvent, les plus âgées et polies possible, ou chez les gens trop pacifiques ou trop Vieille France pour lui rendre la pareille. Comme tous les Fascistes Méchants comme la Galle, c’est une lâche qui a très peur des types les plus violents et vulgaires du blog. Quand on lui rend la pareille et ont l’assomme en la mitraillant d’insultes, comme moi en ce moment, elle ne fait que répondre en bégayant toujours les mêmes injures, sans beaucoup d’énergie, tellement cela l’affecte (comme les petits voyous qui se la pètent jusqu’au jour où un type aimant l’ordre leur casse la gueule en public). Si à cette Grosse et Grasse Angouille on lui répond systématiquement, elle cède assez vite et parfois elle disparaît du blog quelques jours pour se refaire une santé.

Alors, ici tu n’as que deux possibilités devant les calomnies de Notre Grande Grognasse Hystérique et Vraie Obsédée Sexuelle: Jazzi t’a expliqué l’une d’elles (« Laisse pisser la Sasseur, Margotte, le seul moyen est de l’ignorer. Là, tu la fais mouiller… »). L’autre c’est de lui rentrer dans le lard le plus violemment possible, et la poursuivre, s’il le faut, quelques jours en la ridiculisant à chaque post rempli de conneries qu’elle écrira ici (et elle n’a jamais écrit rien de sensé). Crois-moi, c’est très efficace. Moi j’ai la paix avec elle depuis qu’un jour je l’ai bien remise à sa place, qui est celle de sa niche.

Marie Sasseur dit: à

L’ordurier du 75 est coutumier du fait.
Il compile des commentaires des uns et des autres, et les copie-colle. Peu de variations dans le procédé.

On remarque que  » margotte  » n’a depuis ni justifié, ni poursuivi, heureusement! ses graves accusations d’abus sexuels proferées contre M. Kundera.

Pablo75 dit: à

On se demande d’où elle sort Notre Grande Pouffiasse de blog et qu’est-ce que lui a fait la Vie pour qu’elle devienne la Trainée des Blogs qu’elle est devenue. On avait vu sur une vidéo sur le Net sa gueule repoussante de Monstre de Cirque, mais cela n’explique pas tout.

Son Hystérie Sexuelle (le Cul est le thème qui se cache au fond de presque tous ces messages ici) est un spectacle pour les amateurs de cas psychiatriques désespérés.

Le fait de n’avoir pas vu le loup depuis au moins 50 ans la rend folle. On sent qu’elle est en train de quitter sa condition d’être humain pour devenir un animal sauvage devant nos yeux. Une chienne enragée…

Patrice Charoulet dit: à

Extrême droite

En 2023, en France, « extrême droite » ne veut dire ni hitlérisme ni fascisme mussolinien. C’est une catégorie politique dont les éléments constituants sont définis par les professeurs de science politique. Une foule de livres sont d’accord là-dessus. Il y une extrême droite comme il y a une extrême gauche, une gauche, une droite , un centre.
Il faut signaler une étrangeté. Le patron du PCF ne s’amuse pas à dire : « Je ne suis pas communiste. ». La candidate trotskiste de Lutte ouvrière ne s’amuse pas à dire : « Je ne suis pas trotskiste ». M. Bayrou ne s’amuse pas à dire : « Je ne suis pas centriste ». Depuis 1958, les dirigeants gaullistes n’ont pas proclamé : « Nous ne sommes pas gaullistes. » . Mais es dirigeants des deux principaux partis d’extrême droite, Mme Le Pen et M. Zemmour, répètent : « Nous ne sommes pas d’extrême droite. » (et parfois « Nous ne sommes pas fascistes »). Ils ne sont certes pas fascistes, mais ils sont in-dis-cu-ta-ble-ment d’extrême droite. Et je le redis, extrême droite ne veut pas fascisme. Le fascisme (mussolinien) et l’hitlérisme (ou le nazisme) ont existé il y a quelques décennies. Ils avaient leurs caractéristiques propres. L’extrême droite française a les siennes. Le parti d’extrême droite le plus puissant est le Rassemblement national (nouveau nom du Front national) et le second parti, de création récente , moins puissant, est celui que M. Zemmour. Autour de ces deux partis, divers groupuscules s’agitent et , de temps en temps, se montrent dans les rues, avec quelques militants cagoulés.
Les thèses de ces deux partis sont promues par quelques journaux, quelques radios et quelques télés,
de manière évidente, mais parfois niée par les journalistes de ces médias. Il semble qu’un milliardaire, M. Bolloré, ait choisi de leur faciliter la tâche. C’est, parmi les milliardaires français, une originalité. D’autres milliardaires français se contentent de lutter contre l’extrême gauche et la gauche, sans vouloir faire la courte échelle à l’extrême droite, ce qui n’étonnera personne

Marie Sasseur dit: à

Le pingouin du 75 s’agite inutilement,je le zappe.

Milan Kundera ne méritait pas cela. J’espère que « margotte » a pu faire amende honorable et se procurer ses romans. Elle verra que ses accusations grotesques ne tiennent pas la route.

Pablo75 dit: à

Il y a des gens ici qui se sont demandés pourquoi la Grosse Pétasse du Blog parfois elle ne mordait pas, n’aboyait pas (trop), elle répondait (presque) normalement. La clé c’est l’alcool.

Quand elle a bu, elle devienne la chienne enragée que tout le monde connaît ici, écrivant des messages incohérents, insultant tout le monde (avec une préférence pour les faibles et les femmes) ou délirant toute seule sur des thèmes dont tout le monde s’en fout.

Vous remarquerez que plus la journée avance et plus ses messages deviennent enragées. Elle doit s’enfiler plusieurs litres de vin blanc en pack en carton par jour.

C’est la clé de Notre Grosse Connasse: son alcoolisme inguérissable. À chaque fois que vous la lisez, imaginez-la avec son verre de piquette à la main, et vous comprendrez mieux les conneries qu’elle écrit.

Marie Sasseur dit: à

charolais, le pingouin du 75,

Milan Kundera définitivement passé de l’autre côté du chronomètre…

Bon été et lisez!

Pablo75 dit: à

J’aime bien Marie Sasseur.
D. dit:

Cela confirme la théorie, qui a circulé par ici, de qui se cache derrière ces deux pseudos (théorie qui nous a permis de voir la gueule – qui explique bien son besoin d’alcool – de notre Grande Pétasse sur Youtube).

Vous remarquerez que jamais elle ne critique (ou même commente) les propos de D. Et vice versa.

Marie Sasseur dit: à

« «Milan Kundera a été incinéré ce jour», dans un endroit non précisé, et «la cérémonie s’est déroulée dans la plus stricte intimité», a indiqué dans un communiqué le président de la maison d’édition, Antoine Gallimard. «La sonatine de Janacek, jouée au piano par Ludvik Kundera, le père de Milan, l’a accompagné durant ce dernier voyage», a ajouté Antoine Gallimard. Ce morceau du compositeur tchèque Leos Janacek a été enregistré par le père du romancier, un pianiste renommé mort en 1971. »

Figaro

renato dit: à

@ Charoulet, pour un bon usage du mot « fascisme »

Le fascisme se présenta comme un mouvement politique néo-hégélien prônant l’État éthique.
Politiquement, sa doctrine et sa praxis se fondaient sur l’affirmation aveugle de raisons nationalistes et impérialistes, sur la capacité (prétendue) de vaincre et harmoniser les conflits économiques, politiques et sociaux, sur l’imposition du principe hiérarchique à tous les niveaux de la vie nationale, du corporatisme économique et la centralisation administrative dans la politique intérieure et l’expansionnisme impérial dans la politique étrangère.

Jazzi dit: à

En vitrine de la Librairie de Paris, place de Clichy (qui appartient au groupe Madrigal, anagramme de Gallimard), sont exposés tous les romans de Milan Kundera.
Comme après la mort de Bergotte (Anatole France) dans la Recherche…

D. dit: à

Ben si, renato.

D. dit: à

Rien à voir avec Marie Sasseur.
Mais je l’aime bien, elle est gentille.

D. dit: à

Demain c’est tête de veau.

Jazzi dit: à

« Mais je l’aime bien, elle est gentille. »

C’est ta tatie Danielle, D. ?

renato dit: à

Tous vos concepts sont faux, D., à commencer par le fait que la chose que vous appelez « diable » n’est qu’une invention morale.

En mots simples, moi je fais quelques erreurs d’orthographe ; vous êtes politiquement et religieusement une épave. Donc, une chose dans l’autre, j’ai le droit de commenter ici exactement comme vous, d’autant plus que contrairement à vos erreurs, les miennes ne sont pas dangereuses.

rose dit: à

Donc 40 années avant ou arrière, peu importe : il faut voir qui fait quoi non où il le fait, car ce sont les individus qui comptent.

Bien évidemment Renato.
Ne me moquais de cette soi-disant supériorité, a mes yeux tellement idiote ! Et sortant de l’Anatolie, d’une modernité stupéfiante, je voterai presque pour l’entrée de la Turquie dans l’Europe.

rose dit: à

Je me moquais bien sûr. Pour moi, les gens sont égaux où qu’ils crèchent.

renato dit: à

Enfin ! Whatsapp en panne pour une bonne partie de mes amis, heureusement les messages fonctionnent.

D. dit: à

Oh non, renato. Le diable n’est pas une invention. Si vous saviez à quel point vous vous trompez. Et il vous conduit tout droit en Enfer pour avoir obéis au reniement de Dieu le Père, de son Fils unique Jésus-Christ et du Saint-Esprit. Et il s’en réjouit parce que plus il vole d’âmes à Dieu plus il s’en réjouit.

D. dit: à

Plus particulièrement le no. 160.

Marie Sasseur dit: à

Une fois le pingouin du 75 passé, lors d’une crise de démence fortement alcoolisee, il ne reste plus de ce commentarium qu’un triste spectacle d’ahuris. On veut bien croire que Passou continue son apprentissage de l’espaniol des bidonvilles, mais à quel prix et surtout avec quels moyens.

rose dit: à

5h33 jeudi 20 juillet 2023

rose dit: à

Le 160 est passionnant.

Une infirmière m’a donné la clé après m’avoir offert un livre sur les ânes lors de cette rupture difficile à vivre. Aujourd’hui, il est gâteux, a un foie d’alcoolique, ne peut plus conduire. Ce livre a été volé chez mes parents et le manuel d’Épitecte : mon père me.demandakt à moi si c’était moi qui avait volé : pas une épingle à cheveux.
Lorsque tu es dépressif, a dit cette femme, et que tu prends le soir les médicaments, le matin tu te réveilles englué et tu n’as pas avancé d’un centimètre.
Sans médicaments, tu avances le matin au réveil difficile de qq.milimètres centimètres, kilomètres etc.

Règle number one pas de médocs.

Marie Sasseur dit: à

Pour rire .
Dans cette émission de littérature populaire, 3 écrivains, 2 femmes et un homme, parlent de leur lecture de Kundera.
La plus jeune et féminine, feministe même, genre émancipation par le cul, a lu Kundera et sait dire le choc érotique ressenti, a la lecture de l’insoutenable légèreté. Elle en a une lecture intelligible, compréhensible, partageable.

Les deux autres n’ont visiblement pas lu Kundera, mais l’un sait broder ( sur le titre) et l’autre, non, elle accroche pas, elle n’est pas dans cette dynamique , ni historique, ni intimiste.

https://youtu.be/xQyZpnlseCI

Et je me suis demandé si pour lire l’insoutenable légèreté, il fallait un rapport particulier a la philosophie de l’existence et et un certain goût pour l’esthétisme. Il y a peut-être là une terrible injustice : les moches restent à la porte.

Bon été et lisez !

JC..... dit: à

UN ESPOIR, DEVENU RIQUIQUI….

Et oui ! l’Europe au fil des décennies est devenue RIQUIQUI ! Misère…

C’est ce constat accablant que met en lumière l’épouvantable affaire Fiona Scott Morton. La Commission européenne raisonne, là, au niveau du gazon bruxellois.

Quels fumiers ! un Espoir envolé, l’Europe !

JC..... dit: à

Un bon été, c’est un été sans lecture…

Bougez vos culs, camarades ! Faites du sport ! Nagez ! Faites de la voile, pas du moteur ! Courage…

rose dit: à

Amazon fabrique également une gamme d’appareils qui écoutent nos conversations privées à l’intérieur de nos maisons.

Oui, m’a dit la dame de la presse stupéfaite par celui/celle qui paie avec sa montre connectée.

rose dit: à

Passionnante interview.
À un moment faudrait glisser deux choses : le vrai problème c’est l’argent.
Et puis, tu as la peur ancestrale, deux mille ans liée à la trahison d’un des siens (un enfermé chez lui, un encore sous des panneaux métalliques les Baumettes reconstituées) et la peur suite à la Shoah où les juifs ont été décimés. Rajouter une peur par dessus ces deux là, c’est être gravement atteint.

renato dit: à

D., il est vrai que moralement vous n’êtes qu’une épave, malgré cela vous devriez au moins savoir que je ne suis pas votre subalterne, donc même si vous n’avez pas mis un point d’exclamation, votre impératif présent sonne comme un ordre. Vous pouvez naturellement employer cette conjugaison comme vous voulez et avec qui vous voulez, mais pas avec moi. Capito ?

Cela dit, je n’ai pas de leçons à recevoir du Vatican, même pas en matière de foi : qu’ils commencent plutôt à nettoyer leurs étables et qu’ils apprennent les bonnes manières à leurs ouailles !

20.7 — 7.08

renato dit: à

JC, vous avez raison pour Fiona Scott Morton. En réalité la Commission l’avait choisie, mais des nains politiques ne l’ont pas acceptée, ainsi elle, qui n’a pas de problèmes à se caser (professeure à la Yale School of Management), est élégamment partie vers des nouvelles aventures.

https://twitter.com/vestager/status/1681544527352410113/photo/1

Tout le contraire des moules qui parasitent les rochers de la politique.

Jazzi dit: à

« J’ai grandi, mais je n’ai pas été petite. Je n’ai jamais changé. Je me souviens de moi avec une netteté, une mélancolie qui ne m’abusent point. Le même cœur obscur et pudique, le même goût passionné pour tout ce qui respire à l’air libre et loin de l’homme – arbre, fleur, animal peureux et doux, eau furtive des sources inutiles, – la même gravité vite muée en exaltation sans cause… Tout cela, c’est moi enfant et moi à présent… Mais ce que j’ai perdu, c’est mon bel orgueil, la secrète certitude d’être une enfant précieuse, de sentir en moi une âme extraordinaire d’homme intelligent, de femme amoureuse, une âme à faire éclater mon petit corps… Hélas, j’ai perdu presque tout cela, à ne devenir après tout qu’une femme… » (Colette, Les Vrilles de la vigne, 1908)

Marie Sasseur dit: à

Il y a un âge pour tout, et quand c’est trop petit, c’est trop petit.

« Ce 17 juillet 2023, Gérald Darmanin a signé un arrêté qui interdit à la vente aux mineurs du livre de Manu Causse, Bien trop petit. Paru chez Thierry Magnier, le titre « manifestement destiné à la jeunesse, contient, à travers le récit d’une fiction imaginée par le personnage principal (…) la description complaisante de nombreuses scènes de sexe très explicites ».  »

https://actualitte.com/article/112709/droit-justice/interdit-aux-mineurs-gerald-darmanin-censure-un-livre-jeunesse

Jean Langoncet dit: à

@le manuel d’Épitecte … Règle number one pas de médocs.

Une poupée veaudoux fera l’affaire ; coquin de sort

Jean Langoncet dit: à

@Gérald Darmanin a signé un arrêté qui interdit à la vente aux mineurs du livre de Manu Causse, Bien trop petit.

Place Beauvau on sait lire entre les lignes

Janssen J-J dit: à

On sent que dARD manien a BIEN lu son manuel d’archi TECTe, a transpercé sa poupée barbine en doux veau. Et qu’il cause de Manu comme à Tchao, le pantin. .. warfl->bilbobo, bàv 🙂

Patrice Charoulet dit: à

@Jazzi

Grand merci de cette belle citation de Colette.
Au fait, j’ai cru comprendre que vous écrivez sur les films qui sortent. Où puis-je lire ça ?

Marie Sasseur dit: à

« Milan Kundera a été incinéré mercredi à Paris. Ses cendres devraient un jour être transférées à Brno, sa ville natale, où a récemment été inaugurée la Bibliothèque Milan Kundera, dans laquelle des archives de l’écrivain peuvent être consultées par les chercheurs. Inscrite à l’Université d’Aix-Marseille, Adélie Huguenin travaille sur une thèse relative à l’œuvre de l’auteur tchéco-français et a été l’une des premières à avoir accès à ces archives. »

https://francais.radio.cz/kundera-revenir-a-brno-me-permet-de-veiller-a-concilier-sa-vie-tcheque-et-sa-vie-8789218

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