Pour saluer Zeev Sternhell
(Le grand historien israélien, spécialiste de l’histoire des idées politiques de la France et du fascisme notamment, voix écoutée et respectée de la gauche, vient de disparaitre chez lui à Jérusalem à l’âge de 85 ans. A cette occasion, en guise d’hommage à cet homme de qualité qui m’a honoré de son amitié des années 1980 aux années 2010, un fort tempérament gouverné par un absolu de l’exigence historique, la passion des archives en dehors desquelles point de salut pour le chercheur, une aptitude à fouiller dans les bibliothèques dans les rayons où presque personne n’allait plus, un côté franc-tireur isolé qu’il cultivait, une intransigeance qui lui valurent bien des soucis avec ses collègues français, et parfois de violentes polémiques jusqu’à des procès, on lira ci-après le compte-rendu de son autobiographie paru dans ces colonnes il y a six ans. Il est suivi d’un autre, encore plus ancien, relatif à son travail sur les anti-Lumières).
Pour une fois, on ne reprochera pas à un intellectuel de s’être résigné au livre d’entretien sur « saviesonoeuvre » en lieu et place de Mémoires dûment sortis de sa plume même. D’abord parce que, eu égard à la matière brassée par ses recherches, à l’extrême diversité de ses sources, à son érudition souvent impressionnante mais touffue, à la complexité théorique qui y est parfois à l’œuvre, il n’est pas toujours aisé de suivre Zeev Sternhell dans ses raisonnements ; d’autre part parce qu’il ne s’est jamais considéré comme un écrivain d’histoire ; enfin parce que ses thèses sur le nationalisme français ayant souvent suscité des controverses, du moins en France, il était de bon augure qu’un interlocuteur le poussât dans ses retranchements. Voilà pourquoi Histoire et Lumières. Changer le monde par la raison (361 pages, Albin Michel), recueil d’entretiens de l’historien israélien avec le journaliste du Monde Nicolas Weill, était espéré et attendu. Cette longue conversation, dont on ne doute pas qu’elle a été longuement réécrite et peaufinée par son auteur, savant d’une grande précision et d’une rigueur certaine, était la forme la plus adaptée pour populariser sa vision du monde.
Dans sa dimension purement autobiographique, le livre est passionnant. On y découvre dans toutes ses nuances la matrice d’une pensée. Car il est difficile, pour lui comme pour tout autre, de dissocier ses engagements d’universitaire et d’intellectuel de son cheminement intime. Né en 1935 dans une famille juive de la grande bourgeoisie de la région de Cracovie, tôt orphelin de parents qui furent déportés, réfugié auprès de sa famille à Avignon pendant la guerre, il a conservé de ce temps-là un « sentiment de solitude » qui ne l’a pas quitté durant toute son enfance et sa jeunesse. Même s’il a fondé une famille par la suite, il en est resté quelque chose en lui, dans sa solitude de chercheur. C’est en prenant acte de ce trait de caractère qu’il a renoncé à faire de la politique après avoir inspiré la création du parti Meretz et cofondé le mouvement La Paix maintenant :
« Je me suis rendu compte que je ne pouvais réussir que là où je ne dépendais que de moi-même » explique-t-il.
Le fameux procès que lui intenta Bertrand de Jouvenel, après sa mise en cause dans Ni droite, ni gauche (1983) n’aurait pas probablement pas eu lieu si Sternhell lui avait rendu visite avant pour l’interroger sur son rapport à l’Allemagne nazie ; or il veut s’en tenir aux textes dans leur jus et les analyser à l’abri de toute justification a posteriori. Il fuit les témoins de l’Histoire pour ne s’intéresser qu’à ce qu’ils ont écrit. Il va jusqu’à se méfier de l’empire que ses propres souvenirs d’enfance pourraient avoir sur la vie qu’il s’est construite ; c’est la raison pour laquelle il n’a pas vu Shoah, le film de de Claude Lanzmann. Le fait est qu’il travaille toujours en solitaire, ce qui n’est pas sans danger car cela peut aussi conduire à une forme d’autisme intellectuel. Il ne frotte son intelligence à celle des autres que dans les textes et le silence des bibliothèques, ou à la rigueur dans le cadre de colloques, réunions dont on sait qu’elles sont souvent des juxtapositions de monologues. Zeev Sternhell, qui vit à Jérusalem où il a longtemps dirigé le département de Sciences politiques de l’université hébraïque, n’est pas seulement, par sa seule volonté, un chercheur solitaire : il est géographiquement isolé de son terrain d’enquête et des bibliothèques et centres de recherches français, ce qui est particulièrement douloureux pour qui a, comme lui, le goût de l’archive. Mais cet isolement a des répercussions sur le plan intellectuel. Un tel parti pris méthodologique, qui se traduit par une absence d’empathie, reflète une absolue indifférence au facteur humain dans les engagements politiques. Loin de s’en défendre, il le revendique. Tout pour les idées !
Il est aussi déterminé dans son attitude « archisioniste » (en ce sens que les Juifs ne devaient plus être à la merci du bon vouloir d’autres peuples mais devaient fixer eux-mêmes leur destin) que dans son opposition radicale à la colonisation des territoires occupés en 1967 qu’il désigne comme « une plaie », « un cancer » et autres métaphores du même type, ce qui lui a valu un attentat terroriste d’un excité de Brooklyn à la porte de son domicile à Jérusalem. Ses pages sur sa fidélité désenchantée à la gauche israélienne, jusqu’à devenir l’une de ses consciences malgré un constat implacable sur sa déliquescence, ses trahisons et sa marginalisation, sa critique des inégalités croissantes en Israël, sont saisissantes d’authenticité.
Admirateur inconditionnel de la laïcité à la française (« une merveille »), tenant les bigots en horreur, il se définit comme un homme de gauche et un laïque absolu, la gauche des droits de l’Homme, de la Révolution française et de la Commune, depuis toujours, et certainement pour toujours ; car s’il y a bien un trait de caractère qui définit Zeev Sternhell, c’est sa constance en toutes choses ; il creuse le même sillon sur la durée et il faut vraiment un séisme intellectuel de très grande ampleur pour lui en faire creuser un autre.
Son expérience d’officier, les quatre guerres israélo-arabes auxquelles il a participé, n’ont pas seulement solidifié sa force de caractère ; elle ont appris à l’historien en lui à établir la relativité des points de vue, à ne jamais accorder foi à une source, à se méfier des mémoires et des témoignages. Il se défie de toute historisation des événements qui n’aurait pour effet que de blanchir le nazisme, ce qui ne l’empêche pas de mêler son vécu à l’analyse :
« Il faut toujours se rappeler que chaque juif ayant survécu en Pologne a été aidé par quelqu’un, un catholique. On ne pouvait pas y parvenir tout seul »
Et la France ? C’est l’autre grand thème qui traverse de bout en bout cette autobiographie. La France, et non le fascisme français, en est le fil rouge. Après les années avignonnaises, l’émigration en Israël, un mémoire de maîtrise sur Tocqueville, quatre années d’assistanat à l’université hébraïque de Jérusalem, ce fut à 29 ans la rue Saint-Guillaume à Paris, Sciences Po, et la lecture par hasard des Déracinés qui font de Maurice Barrès « le père du roman politique français ». En y découvrant le culte de « la terre et les morts », il y entendit les échos de l’idéologie du « sang et du sol » (Blut und Boden) allemand. Il s’y jeta à rebours de la science politique empirique, persuadé, quant à lui, du primat des idées « à l’état pur », et donc hélas souvent débarrassées du contexte historique, elles seules permettant d’expliquer la politique. A force de vouloir remonter le plus loin possible en amont, il se construisit un strict cadre conceptuel ramenant tout aux Lumières, qu’on les adule ou qu’on les combatte, quitte à ce que la philosophie politique prenne le pas sur l’Histoire.
Il y a bien à ses yeux dans les élites européennes une tradition des Anti-Lumières qui court du XVIIIème siècle à la guerre froide, et même au-delà puisque le néo-conservatisme américain y est inclus, à la… lumière de laquelle il relit la critique radicale de la démocratie. Mais Sternhell a tellement tendance à remonter à cette source que non seulement il discrédite d’un revers de main les politologues qui ne le suivent pas sur ce chemin (« leur horizon ne remonte pas plus loin qu’une génération en arrière »), souvent par lui méprisés comme « historicistes », que son grand bond en arrière lui fait parfois négliger l’importance de la première guerre mondiale dans l’élaboration des totalitarismes. Tout historien des idées s’accordera avec lui pour trouver une cohérence entre d’un côté Voltaire, Rousseau, Condorcet, Montesquieu, Diderot, Kant et de l’autre, entre Burke, Herder, Taine, Renan, Croce, Spengler. Pour autant, tout débat politique doit-il se relire à l’aune de leur affrontement ? Il y a là quelque chose de binaire qui ne cadre pas avec la complexité, la richesse et la diversité des sources auxquelles le chercheur s’est abreuvé. Au moins a-t-il la bonne foi de reconnaître :
« Je parle de Lumières et d’Anti-Lumières comme de concepts. Je n’en fais pas des moments spécifiques de l’histoire européenne ou grecque. Cela non plus n’est pas toujours facile à comprendre… »
En effet… D’autant que tout à sa logique de démonstration conceptuelle, il nous entraîne sur le terrain des idées dans leur dimension la plus abstraite. (bizarrement, il n’associe le sacré et l’obéissance qu’à la religion, ce qui est pour le moins réducteur). On le suit avec un intérêt croissant lorsqu’il explique pourquoi il faut considérer la droite hostile aux Lumières comme étant elle-même révolutionnaire. Mais il élargit tant et si bien la perspective, incluant tant et tant d’éléments et de facteurs dans sa définition du fascisme, que l’on en vient à se demander plutôt qui n’a pas été fasciste. Les réflexions et les travaux d’Ernst Nolte et François Furet sont par lui balayés pour avoir privilégié la thèse d’un fascisme né en réaction à la révolution de 1917 et à la Grande guerre. S’il y revient souvent, au moins ne s’acharne-t-il pas contre eux, comme il le fait sur Raymond Aron ou Isaiah Berlin. Même le portrait de son ancien professeur de Science Po, Raoul Girardet, auquel il fut pourtant lié, est biaisé : avant d’être brièvement incarcéré en attendant son procès pour son activisme Algérie française, il le fut plus longuement sous l’Occupation ; si sa qualité de résistant avait été précisé, cela aurait rendu plus compréhensible qu’il n’avait « aucune nostalgie de Vichy », et pour cause !
En s’attaquant à l’ancien catéchisme de Science Po sur la question, à savoir que le fascisme fut un phénomène d’importation en France, quelque chose d’étranger à ses mœurs et ses traditions, il a pris le taureau par le cornes. Mais dans ces entretiens, il y revient plus vivement encore, dénonçant « le système de mandarinat français », dans lequel il voit un « réseau » solidaire et corporatif avec René Rémond aux manettes, englobant sans nuances la nébuleuse des historiens du contemporain de Sciences Po-Paris et de Paris X-Nanterre. Bref, une cabale à base de copinage ! Le grand patron de la politologie française aurait, selon lui, peu apprécié qu’à sa fameuse théorie des trois droites (légitimiste, orléaniste, bonapartiste), Sternhell ait osé rajouter une quatrième catégorie plus extrême : fasciste. Et c’est encore et toujours sa définition du fascisme, jugée trop extensive et abstraite, qui fait problème. Pierre Milza, Serge Berstein, Michel Winock auraient repris le flambeau de René Rémond en faisant bloc à la parution de Ni droite ni gauche (ce à quoi ils répondront par un livre collectif sous forme de mise au clair et au point). Ce qui vaut au dernier d’entre eux une mise en cause qui frôle la calomnie ; il l’accuse de déloyauté car celui-ci ayant été son éditeur, il n’aurait pas dû se démarquer de ses thèses en les critiquant dans un article du Débat ; or Michel Winock a toujours soutenu que son ami et auteur Sternhell l’avait libéré de ses obligations envers lui : « Tout cela est faux du début à la fin » polémique l’historien israélien ; à quoi Winock répond par anticipation dans une annexe de la réédition en poche de Nationalisme, antisémitisme et fascisme en France (503 pages, 11,50, Points/Seuil) en y reproduisant la lettre de 15 avril 1983 dans laquelle Sternhell, justement…
Contrairement à ce qu’il veut croire, ce n’est pas parce qu’il est un historien étranger, et qu’il assène des vérités dérangeantes, que le milieu de ses collègues français y a parfois mal réagi ; l’américain Robert Paxton, dont les révélations en 1983 sur la France de Vichy étaient autrement plus perturbantes, a longtemps représenté chez nous la doxa sur le sujet ; en fait, si Sternhell fait problème en France comme en Israël, c’est aussi par sa forme, son expression, la radicalité de ses positions, sa méthodologie que Raymond Aron qualifia de « a-historique », son absence de doute et sa manière de récuser les thèses adverses ; et gageons qu’avec ce nouveau livre, particulièrement vif et nerveux, où des intellectuels comme Alfred Fabre-Luce et Bertrand de Jouvenel sont traités de pronazis, cela ne s’arrangera pas, ce dont il se moque bien. Lui n’en démord pas, volontiers provocateur, exhumant leurs articles et textes de l’époque quitte à se voir reprocher « le terrorisme des citations ».
Et il enfonce le clou sur les anciens combattants regroupés dans la ligue des Croix-de-feu, puis au sein du Parti social Français du colonel de La Rocque dont il persiste à vouloir faire un mouvement fasciste, en cela d’accord, comme il le fait remarquer, avec la totalité des historiens étrangers travaillant sur la question, et en contradiction avec nombre d’historiens français travaillant sur la même question, qui taxeraient plutôt ces mouvements de conservateurs ; ils se défendent de voir du fascisme partout où il y a une critique virulente de la république parlementaire ; la modélisation du fascisme par Zeev Sternhell est selon eux si vague, et surtout si généalogique et héréditaire, elle amalgame si facilement les antilibéraux, qu’elle inclut dans le lot beaucoup de monde, partis, mouvements, ligues et personnalités, de Esprit à l’Action française. Or à trop ouvrir le compas on risque de casser l’instrument. Malgré l’imprégnation fasciste de certaines élites des années 30, c’est tout de même le Front populaire qu’à cette époque, les Français ont porté au pouvoir. Il a fallu l’occupation de la France par l’armée allemande pour qu’une dictature s’y installe, ce que jamais Sternhell ne rappelle lorsqu’il compare les « fascismes » français et italien.
Reste à savoir ce qu’est au juste le fascisme. Un nationalisme avant tout, sans aucun doute, mais encore ? Contrairement à beaucoup d’autres, Zeev Sternhell n’inclut ni le parti unique, ni l’expansionnisme territorial parmi ses critères : dans le cas du premier, il y voit un instrument d’accès au pouvoir mais non d’exercice du pouvoir ; et on notera qu’il n’inclut pas davantage le déterminisme biologique. Quels critères alors ? La suppression des libertés publiques, la volonté de créer un homme nouveau sur les décombres de valeurs humanistes, la concentration de l’autorité dans les mains d’un chef, le rejet des principes des Lumières, de la démocratie, du socialisme marxiste et du libéralisme. Juste de quoi lui permettre d’affirmer que le régime de Vichy était fasciste, et que la France fut de longue date le berceau, la matrice, le laboratoire où fermentèrent les idées directrices des fascismes.
On voit par là que le débat est loin d’être clos ; encore faut-il s’entendre sur le sens des mots ; on s’en rend compte par exemple lorsqu’on l’entend dire que, dans la France d’aujourd’hui « l’extrême-droite se bat sur un terrain où elle excelle – la culture… » ce qui en surprendra plus d’un, attentif à l’actualité. Sur ce sujet, et sur quelques autres plus saillants, on aurait aimé d’ailleurs que son interlocuteur l’interrompe et le relance, quitte à le mettre face à ses contradictions. Le débat d’idées y aurait gagné en intensité ce qu’il aurait perdu en agressivité, accusations et insinuations contre les personnes, ce qui n’est pas digne d’un intellectuel et d’un homme de cette qualité. Cela aurait au moins eu pour effet de réduire la place accordée aux règlements de compte.
Lorsqu’il s’agit de textes « »vieux » » de quelques années, la mention « »Edition revue et augmentée » » réserve de bonnes surprises. Ainsi de l’étude décisive de Zeev Sternhell Les anti-Lumières. Une tradition du XVIIIème siècle à la guerre froide (928 pages, 12 euros, FolioHistoire). La thèse qui y est développée avait fait du bruit lors de sa première parution en 2006 chez Fayard. Le chercheur y montrait et y démontrait comment les principaux théoriciens de l’opposition aux Lumières (Taine, Burke, Carlyle, Meinecke, Herder, Renan, Maistre, Maurras, Sorel, Spengler, Vico, Berlin, Croce…) n’avaient eu de cesse de s’épauler par delà les époques en ce citant, en s’étudiant, en s’influençant les uns et les autres. Sous la plume de Sternhell, on avait l’impression d’assister à une véritable course de relais où tous ses anti se passaient le témoin. C’est peu dire que cette tradition avait fini par constituer une culture en soi, et que celle-ci avait eu une part essentielle dans l’enténèbrement du XXème siècle.
C’est probablement à Nietzsche que revient la paternité de l’expression et du concept d' » »anti-Lumières » », de Gegen-Aufklärung qui fut au début platement traduit en français par « »réaction à la philosophie des Lumières » » alors que les Anglais avaient naturellement adopté Counter-Enlightenment. Ce n’est pas qu’un mouvement contre-révolutionnaire puisque la critique émerge un bon demi-siècle avant la chute de l’Ancien régime. Il s’agit bien d’hostilité aux idées défendues par les philosophes, Voltaire, Rousseau, Condorcet, Montesquieu, Diderot, les Encyclopédistes et leur allié Kant.
Les uns comme les autres pensaient non dans l’immédiat mais dans la durée car ils posaient des questions fondamentales sur la nature humaine et la vie de l’homme en société. Surtout lorsque, à sa grande surprise, il retrouve sous la plume d’un Isaiah Berlin, soit après les deux guerres mondiales, les thèses exposées par Maurice Barrès au début du siècle sur le relativisme de toutes choses tenues par les Lumières pour des valeurs universelles (la liberté, le mal, la justice…). C’est bien cela qu’il fallait chercher dans cette querelle des Anciens et des Modernes. Les Lumières plaçaient la raison, la justice, le bonheur au-dessus de toutes autres valeurs. Il y avait chez leurs partisans un refus absolu du fatalisme en histoire, et de la résignation. En cela, le débat des pros et des antis n’a jamais cessé d’être actuel. Zeev Sternhell le démontait à travers une synthèse magistrale appuyée sur une lecture critique de tous les textes fondateurs de ces penseurs.
En quoi Sternhell a-t-il modifié son texte pour l’édition de poche ? Il a réécrit toute l’Introduction pour mieux mettre en valeurs les thèses du livre. Rousseau s’inscrit dans le cadre de cette refonte non seulement sur le XVIIIe siecle mais surtout sur la signification des Lumières et leur postérité, le totalitarisme et ce qu’il appelle le « »libéralisme bloqué » ». Les uns (l’historien Jacob Talmon) ont voulu voir en Rousseau le fondateur du totalitarisme de gauche, les autres (le philosophe Isaiah Berlin) celui du totalitarisme tout court; ce dernier voit même en lui le plus grand ennemi de la liberté. Il fallait plus nettement mettre le holà à ce type d’interprétations, plus durement, ce qu’il s’est employé à faire dans l’édition de poche. Pour river leur clou aux « Rousseau bashers » (dénigreurs de Rousseau) en appelant à la rescousse Benjamin Constant et Nietzsche. Il a retravaillé le chapitre 8 « »Les anti-Lumières et la guerre froide » » sur Isaiah Berlin ainsi que l’épilogue afin de mieux montrer les liens entre le libéralisme bloqué des années 50-60 et l’actuel nép-conservatisme.
« »Spengler et Sorel avaient raison: les Lumières peuvent être de tous les temps même si, pour eux, ce sont évidemment des périodes de décadence. Pour moi, les anti-Lumières peuvent être aussi de toutes les époques. Dans les deux cas, il s’agit de structures intellectuelles » a dit ensuite Sternhell.
Il estime qu’en France, la paternité intellectuelle du néo-conservatisme revient bien à François Furet en raison de son interprétation de la Révolution française, inspirée de Taine bien davantage que de Tocqueville. Aujourd’hui, le néo-conservatisme s’exprime surtout dans les colonnes de la revue aronienne Commentaire ainsi que dans quelques autres, moins prestigieuses. Sans oublier le poids de Derrida et de l’école déconstructionniste, à peine mentionnés dans ce livre, dans la guerre à l’héritage des Lumières. Et quand on lui demande quelles grandes figures portent la postérité des Lumières, aujourd’hui en France, il cherche longuement avant de citer Jürgen Habermas et John Rawls… A croire que chez nous, c’est une pensée qui ne passe plus. Comme si on y prenait acte depuis peu d’une démission intellectuelle des élites dans la défense des Lumières.
( « Zeev Sternhell, Jérusalem 2015 » photo Thomas Coex ; « Manifestation du parti Franciste en 1933 » photo D.R.; « Maurice Barrès à son bureau » photo D.R. ; « Robert Brasillach, Jacques Doriot, Claude Jeantet pendant l’Occupation » photo D.R. ; « Hippolyte Taine » photo D.R.)
1 350 Réponses pour Pour saluer Zeev Sternhell
qui ai, pardon.
Non, ucon. MS n ‘est pas de la même engeance.
MS est baptisée catholique et meme si entretient des rapports très distants avec l’église , n’acceptera jamais qu’au nom de cette religion, elle puisse se sentir blessée ou insultée par des considérations que le seul le ressentiment n’explique pas. Mais qui a mon avis ont a voir avec autre chose…
dear Bloom, de retour à titiller le passou ? comme la mangue saint émilion, un goût qui fait souvenir. Sternhell est un beau patronyme, Finkielkraut moins gâté.
Fabre-Luce est rangé fascistoïde par Sternhell, Giscard est-il concerné ?
N’oubliez pas hamlet que l’article de Julliard date de 1983. Un contexte politique bien différent de celui d’aujourd’hui, encore totalement structuré par le clivage droite/gauche traditionnel. Julliard lui-même était engagé à gauche, me semble-t-il. Aujourd’hui, il fait figure de vieux sage au-dessus de la mêlée…
Ducon, c’est à toi que je réponds
ET quand il en a eu fini avec la prison, il a pris un hotel dans une rue qui était presque mon nom, ça je me souviens bien, j’ai dû-obligée de l’accompagner- y aller plusieurs fois; plus tard c’est un quartier où je suis retournée mariée, pour le marché, et laver le linge !je n’avais plus peur; l’histoire était close , game over comme dit hamlet;mais quand même, il s’agissait de tuer mon père et moi!
voilà pourquoi je retiens assez bien les noms de rue,
avec ma mémoire bizarre qui vient de me balancer ça tout à trac!
faut toujours regarder en amont, se demander comment en est-on arrivés là, et là on peut pas faire l’impasse sur le facteur économique.
les Lumières je veux bien, mais les allemands n’étaient pas plus cons que les autres.
la seule différence c’est d’avoir un taré dans le paysage, comme aux US il y a eu Trump et hop ! il est président. Lumières ou pas Lumières quand les gens n’ont rien à perdre ils sont capables de tout.
normal que je m’en souvienne là: à Saint Ouen, il y avait une femme très gentille avec mon père et moi;elle s’appelait Laroque(sans de)et je l’aimais beaucoup, j’avais confiance en elle; c’est cette surdétermination de noms qui a bouleversé ma mémoire ;
renato, c’est vrai que je travaille sur la mémoire génétique, et je suis certain qu’en partant de l’adn d’une pomme on peut remontrer à celle d’Adam et Eve et comprendre l’origine du mal.
cela fait-il de moi un taré ? sans doute.
le fait est que je vous emmerde crétin que vous êtes !
@DHH.
L’Assasseure est complètement cinglée, Gigi la visqueuse est « morte de trouille » -je la comprends, ça va chauffer pour ses miches et pour celles de « Murielle »-.
Par les autres, ceux qui comptent, vous êtes très estimée. Donc, laissez causer, dans un sens comme dans l’autre…
D. dit: à
Merci Christiane.
C’est celle où vous vous tenez le menton de la main gauche ?
oui
renato dit: Cela dit, esperons de ne jamais — au moins : moi vivant — arriver à 80% de mécontents, car le premier taré qu’ils pourraient mettre au pouvoir ce serait vous.
»
sérieux, c’est pas normal d’insulter les gens de la sorte.
où a-t-on vu des choses pareilles ?
je me souviens encore que cette dame a soigné mon père avec un dévouement admirable;c’est elle qui a pensé à lui donner de L’Élixir parégorique:et ça a marché il s’est remis sur pied;
renato dit: Cela dit, esperons de ne jamais — au moins : moi vivant — arriver à 80% de mécontents, car le premier taré qu’ils pourraient mettre au pouvoir ce serait vous.
»
parce qu’il y a taré et taré, et là renato me dit que je suis taré du genre à gouverner un peuple de mécontents comme Hitler et Mussolini.
c’est une insulte terrible, terrifiante.
même Pablo ne m’a jamais sorti un truc aussi horrible.
renato dit: Cela dit, esperons de ne jamais — au moins : moi vivant — arriver à 80% de mécontents, car le premier taré qu’ils pourraient mettre au pouvoir ce serait vous.
»
je suis complètement horrifié.
renato dit: Cela dit, esperons de ne jamais — au moins : moi vivant — arriver à 80% de mécontents, car le premier taré qu’ils pourraient mettre au pouvoir ce serait vous.
»
c’est la première fois que je suis horrifié à ce point.
je n’imaginais même pas qu’on puisse être horrifié autant.
https://www.jewishgen.org/Yizkor/przemysl/prz371.html
If you grow old, you will know
In letters soaked with blood
For you shall feel and you shall hear
The lamentation and the wailing, that will not be silent
(From a Jewish Folksong)
renato dit: Cela dit, esperons de ne jamais — au moins : moi vivant — arriver à 80% de mécontents, car le premier taré qu’ils pourraient mettre au pouvoir ce serait vous.
»
je sais le pourquoi de la réaction horrifiante de renato.
en fait les gens n’aime pas savoir que quand on a 80% de gens qui n’ont rien à perdre on peut se retrouver avec un taré au pouvoir.
c’est pourtant la vérité.
c’est comme pour le messie, à chaque fois que je dis un truc évident je me fais insulter.
pour le messie, je suis désolé, mais à aucun moment dans l’Ancien Testament un type a pu imaginer qu’un jour pourrait se pointer un type qui prendrait tous les pêchés sur ses épaules, pour les pardonner à ceux qui les ont commis, en leur promettant une vie éternelle, voire une résurrection des corps.
c’est pour ça que Woody Allen fait des blagues sur la vie après la mort : c’est un truc hilarant pour un juif.
qu’est-ce que j’y peux ?
Le lien ci-devant, pour répondre de a cette mise en cause qui paraît un peu « fabuleuse »
pour être honnête.
» Il faut toujours se rappeler que chaque juif ayant survécu en Pologne a été aidé par quelqu’un, un catholique. On ne pouvait pas y parvenir tout seul »
même un Dieu qui pardonne tout c’est un truc inimaginable dans l’AT.
il le fait 1 jour par an, pour le Yom Kippour, mais pas tous les jours de l’année !
et après Jazzi se demande pourquoi tous les juifs n’ont pas suivi le Christ…
« je suis complètement horrifié. »
Je ne comprends pas pourquoi : vous êtes en RdL comme s’il s’agissait de la table d’une brasserie munichoise et vous causez à roue libre de tout et n’importe quoi parfaitement persuadé d’être du bon côté. Cela ne vous rappelle personne ?
Renato il préfère miser sur la réouverture des bars , au moins ça lui évite de pister sur le sujet du billet. Une photo, une insulte, toujours la même cuite.
De moins en moins d’effort moi aussi.
Lire: poster
Le sionisme etait tres organisé, déjà très tôt, dans la ville de M. Sternhell.
renato : du bon côté de quoi ? je ne comprends pas votre logique.
quand on dit que comme en Allemagne des années 30 si 80% des gens n’ont plus rien à perdre ils peuvent voter pour le premier taré venu :
ce n’est pas se mettre du bon côté ! c’est juste dire une évidence !
c’est quoi le problème ? il faudrait pas le dire parce qu’il y a des choses qui ne se disent pas ?
et si on ne retient pas les leçons de l’Histoire on répète les mêmes conneries !
quand on dit que comme en Allemagne des années 30 si 80% des gens n’ont plus rien à perdre ils peuvent voter pour le premier taré venu…
forcément c’est moins classe que parler des Lumières et des anti Lumières.
« je ne comprends pas votre logique. »
Heureusement. Cela bien à part, c’est la manière de dire les chose des gens comme vous qui ouvre la voie aux excès — c’est ce qu’en tant que pseudo-marxiste vous ne veulez pas comprendre (les vrais, par contre, préfèrent se taire, pas qu’on les prenne pour quelqu’un qui parle du haut d’un table dans une brasserie munichoise).
Renato il préfère miser sur la réouverture des bars
tèrezoune a s’agiter lbocal..pasque rénateau a choisi la meilleure part tu voudrais lui enlver
orcément c’est moins classe que parler des Lumières et des anti Lumières
un crétin dkeupu bourré comme un coin qui cherche a rtrouver ses ptis esprits sous un réverbère..
..et mon con dlarbin..qui va lire ce soir montaigne..et se dire adieu avant dsombrer dans loubli dlui même..henfin!
n’importe comment, comme quelqu’auteur que je cite, cixous par exemple on me le reproche comme une insulte supreme , on me reproche de ne pas être aimable « avec des gens que je ne connais pas »-le comble ces « devoirs »ici :de mémoire(sic), de « grâce » et ces interdits, je considère que je n’ai rien à dire, répondre aux contributeurs-trices, pas même ce que répond un maître traité de « mandarin »(par ses collègues? LESQUELS? les psys ?dont il n’a pas hésité à dire ET écrire qu’ils faisaient des ravages-sic il ne se disait pas lacanien, n’en déplaise à vos conclusions si peu intuitives-les étudiants ? et présenta un jour le christianisme qu’il connaissait très bien en une « formule saisissante » qui n’est pas « théologie de la substitution » :ce qui pourrait la « traduire »;
portez vous bien glosez bien sur les noms
Si je me trompe, si c’est bien l’image de moi-fausse à mes yeux- qui ressort de ma présence ici pour les familiers du blog ,je ne puis continuer a intervenir ici
ma mère de ma mère..drame dans une brassrie djéruzalème..’amis protégez moi de moi même’
drame dans une brassrie djéruzalème
..ou ya pus dlumière dpuis des lustres kabloom..une lustres c’est pas des plombes..mais des piges
Bousemolle et ses fameux Colikssimo!
…lundi 22 juin 2020 à 19 h 50 min.
…
…je reste simple, pour comprendre,…
…
…il y a, les formes de modalités du droit, pour se la couler » douce « ,…
…
…or, les contestations des gens pour revendiquer, quoi que se soit,!…c’est un espace convivial pour vraiment vivre,…
…sans , ne protéger; que les seuls héritiers, des fortunes, et titres de larbins royaux, de toutes sortes,…
…
…banques, industries, abus de droits divers,!…pollutions pandémies, ou évictions du droit à la parole,…
…
…les places, les relais,…utiles pour renseigner, ou collaborer, comme lèche-bottes,…et se forger son prix Nobel, d’inventions copier.
…
…à comparer, le droit, sous les régimes aristocrate ( rois divers ), et les modèles d’aujourd’hui du droit,…il n’y a, que le volume colossal et des détails ajoutées, qui sont plus surfaits,…
…conclusions, s’y accommoder dans les tyrannies.
…réalités of course,!…envoyez,!…
…
je sais bien que moi on m’a interdit d’évoquer « derrida » (c’est relatif à ma personne ! ) mais c’est autour du billet:
Derrida-Habermas. Que disent de notre avenir les attentats du 11 septembre?
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Qu’est-ce que le terrorisme, et que peut la philosophie? Deux intellectuels majeurs, l’un Français, l’autre Allemand, interrogés par Giovanna Borradori, professeur au Vassard College, réfléchissent à la signification de l’événement.
https://www.letemps.ch/culture/derridahabermas-disent-avenir-attentats-11-septembre
..quand jveux mon larbin
..pour ton copin
https://www.youtube.com/watch?v=PbgKEjNBHqM
lien donné:
Surtout, elle examine comment ils se situent par rapport à l’héritage des Lumières, auquel l’un et l’autre font allégeance, mais de manière différente, en prenant pour exemple la notion de tolérance à propos de laquelle leurs positions se distinguent.
La philosophie face à la terreur : une lecture de Habermas et Derrida
https://www.franceculture.fr/conferences/ecole-normale-superieure/la-philosophie-face-la-terreur-une-lecture-de-habermas-et
Je cherchais autre chose et suis tombée sur un facho bon teint.
Un peu de pédagogie.
L’Action française (abrégée en AF) est une école de pensée et un mouvement politique nationaliste et royaliste d’extrême droite, partisan orléaniste[3],[4], qui s’est principalement développé dans la première moitié du xxe siècle en France.
L’Action française est fondée en 1898 par Henri Vaugeois et Maurice Pujo dans l’objectif d’effectuer une réforme intellectuelle du nationalisme. Originellement, structurée par un nationalisme républicain antidreyfusard, elle devient rapidement royaliste sous l’influence de Charles Maurras et de sa doctrine du nationalisme intégral. C’est ainsi que l’AF, s’établit sur des positions contre-révolutionnaires, antirépublicaines et antidémocratiques, sur fond de positivisme. La doctrine de la ligue royaliste prône l’antiprotestantisme, l’antimaçonnisme, la xénophobie et l’antisémitisme. Après la Seconde Guerre mondiale, sous l’impulsion de Pierre Boutang, le mouvement abandonne progressivement son antisémitisme « d’État »[5]. Dès lors, il revendique une monarchie traditionnelle, héréditaire, antiparlementaire et décentralisée.
Wiki
Après vous pouvez toujours chercher comment un pour saluer Girardet dythirambique a pu se produire sur la rdl.
La Passacaille pour orgue de Bach orchestrée par Respighi et interprétée par le Royal Philharmonic Orchestra dirigé par Andrew Litton aux PROMS 2010
Et il j’y a plus personne pour défendre la colline inspirée de Barres, sur la rdl.
The times, there are a changin »
De la perte en ligne, de l’abrutissement.
Gosh, bonne soirée.
Oui, dear Phil, je renoue un peu. Vous me flanquez une sacré nostalgie avec ces mangues St Emilion…Il me reste pour l’heure le seul Lussac, car pour les fruits, il faudrait aller à Paris Store ou chez les frères Tang, où l’on risque de croiser Wellbeck-en-pleine-forme, insupportable contradiction dans les termes. La vie est assez rude comme cela.
Finkie n’est finalement pas si mal loti, car son « kraut » désigne plutôt le végétal que le seul chou, et son « finkl » signifie « étincelle ». Quand l’étincelant végétal rencontrait la clarté de l’étoile, c’était bien sûr pour un feu d’artifice (clin d’oeil à DHH)…
Vous avez pris votre retraite , bloom ?
Quelle perte pour l’AF
O tempora, o mauresque…
Votre poulain Botul a l’air en pleine forme aussi, bloom.
« qui prendrait tous les pêchés sur ses épaules, »
C’est « péchés » ou pêchers », hamlet, il faut choisir…
« A croire que chez nous, c’est une pensée qui ne passe plus. Comme si on y prenait acte depuis peu d’une démission intellectuelle des élites dans la défense des Lumières. »
Ca dépend de quelles lumieres vous causez Passou.
J’ai comme l’impression qu’il y a un malentendu sur les élites et sur ce qui a caractérisé le siècle des Lumières.
« Au XVIIIème Siècle (1670 à 1820), naissent une vague de savants. Ceux-ci sont à l’origine de nouvelles inventions qui on toutes influencé de notre mode de vie. A l’époque, le savoir était réservé aux hommes car seul eux avait le droit à une éducation. Néanmoins deux femmes ont marqué ce siècle. Quel était les savants et comment la science a-t-elle progressé pendant le siècle des Lumières ? Nous allons commencer par vous parler des scientifiques à l’aide de biographie. Puis, nous aborderons une méthode scientifique qui a marqué ce siècle. »
https://sites.google.com/site/lesiecledeslumieresap/sciences-et-savants-au-siecle-des-lumieres
Merci pour l’info, et alii
De plus en plus intrigant !
Tous les goys ont du sang juif ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Théologie_de_la_substitution
Händel, Suite n 7, HWV 432, Passacaglia :
chers erdéliens, chères erdéliennes, c’est une affaire entendue que vos palabres n’ont aucun rapport avec un quelconque « narcissisme », puisque c’est « l’enseignement » qui a été dégagé dès ce matin; je n’avais pas compris qu’il fallait demander ici l’autorisation de lire tel ou tel livre, avoir appris telle ou telle langue -combien d’enfants étrangers s’entendent-ils dire par leurs professeurs en secondaire qu’ils -c’est à dire leurs parents-ne savent pas leur « langue maternelle »?
Les erdélien-ne-s ont toujours raison ; c’est même pour ça qu’il est inutile de discuter avec eux -elles ; madame prose et monsieur prosit disent tout ce que vous avez voulu savoir sur les fromages et la galantine sur la RDL.
Année LvB, quatuor n 7 Op. 59 n 1 :
23.6 — 7.42
@Baroz
Quand la chair(e) biblique est avariée.
An Oxford University theology professor and former pastor who downloaded 28,000 child abuse images and videos has been sentenced to a year in prison and placed on the sex offender register in France.
Jan Joosten, 61, who holds the prestigious regius professorship of Hebrew at Oxford, was suspended by the university’s Faculty of Oriental Studies and Christ Church college on Monday night. He is considered one of the most distinguished biblical scholars of his generation. (La suite sur le site du Guardian).
L’érudit pervers était peut-être un adepte de la »Wicked Bible » (« Bible vicieuse ») de 1631, réimpression de ce chef d’œuvre de la langue anglaise qu’est la Bible du roi Jacques de 1611, qui contenait une coquille géante: « Thou shalt not commit adultery » y devenait « Thou shalt commit adultery ». Version anabaptiste, en quelque sorte.
bousemolle radote toujours et de plus en plus, jusqu’où ira-t-il avec la mère de sa mère, l’avachi partout
En effet…, pourquoi vouloir discuter avec des gens qui ont raison ? Il est parfaitement idiot de n’en tirer aucune leçon personnelle après en avoir émis le constat.
————
@ pour saluer Maurice Grimaud, Marie Sasseur et J-M. Bouguereau,
*** Rappel de la lettre de Maurice Grimaud, préfet de police, du 29 mai 1968 à tous les policiers et à ses futurs successeurs, Didier Lallemand, par exemple.
« Je m’adresse aujourd’hui à toute la Maison : aux gardiens comme aux gradés, aux officiers comme aux patrons, et je veux leur parler d’un sujet que nous n’avons pas le droit de passer sous silence : c’est celui des excès dans l’emploi de la force. Si nous ne nous expliquons pas très clairement et très franchement sur ce point, nous gagnerons peut-être la bataille dans la rue, mais nous perdrons quelque chose de beaucoup plus précieux et à quoi vous tenez comme moi : c’est notre réputation. Je sais, pour en avoir parlé avec beaucoup d’entre vous, que, dans votre immense majorité, vous condamnez certaines méthodes. Je sais aussi, et vous le savez avec moi, que des faits se sont produits que personne ne peut accepter. Bien entendu, il est déplorable que, trop souvent, la presse fasse le procès de la police en citant ces faits séparés de leur contexte et ne dise pas, dans le même temps, tout ce que la même police a subi d’outrages et de coups en gardant son calme et en faisant simplement son devoir. Je suis allé toutes les fois que je l’ai pu au chevet de nos blessés, et c’est en témoin que je pourrais dire la sauvagerie de certaines agressions qui vont du pavé lancé de plein fouet sur une troupe immobile, jusqu’au jet de produits chimiques destinés à aveugler ou à brûler gravement. Tout cela est tristement vrai et chacun de nous en a eu connaissance. C’est pour cela que je comprends que lorsque des hommes ainsi assaillis pendant de longs moments reçoivent l’ordre de dégager la rue, leur action soit souvent violente. Mais là où nous devons bien être tous d’accord, c’est que, passé le choc inévitable du contact avec des manifestants agressifs qu’il s’agit de repousser, les hommes d’ordre que vous êtes doivent aussitôt reprendre toute leur maîtrise. Frapper un manifestant tombé à terre, c’est se frapper soi-même en apparaissant sous un jour qui atteint toute la fonction policière. Il est encore plus grave de frapper des manifestants après arrestation et lorsqu’ils sont conduits dans des locaux de police pour y être interrogés. Je sais que ce que je dis là sera mal interprété par certains, mais je sais que j’ai raison et qu’au fond de vous-mêmes vous le reconnaissez. Si je parle ainsi, c’est parce que je suis solidaire de vous. Je l’ai dit déjà et je le répèterai : tout ce que fait la police parisienne me concerne et je ne me séparerai pas d’elle dans les responsabilités. C’est pour cela qu’il faut que nous soyons également tous solidaires dans l’application des directives que je rappelle aujourd’hui et dont dépend, j’en suis convaincu, l’avenir de la préfecture de police. Dites-vous bien et répétez-le autour de vous : toutes les fois qu’une violence illégitime est commise contre un manifestant, ce sont des dizaines de ses camarades qui souhaitent le venger. Cette escalade n’a pas de limites. Dites-vous aussi que lorsque vous donnez la preuve de votre sang-froid et de votre courage, ceux qui sont en face de vous sont obligés de vous admirer même s’ils ne le disent pas. Nous nous souviendrons, pour terminer, qu’être policier n’est pas un métier comme les autres ; quand on l’a choisi, on en a accepté les dures exigences mais aussi la grandeur. Je sais les épreuves que connaissent beaucoup d’entre vous. Je sais votre amertume devant les réflexions désobligeantes ou les brimades qui s’adressent à vous ou à votre famille, mais la seule façon de redresser cet état d’esprit déplorable d’une partie de la population, c’est de vous montrer constamment sous votre vrai visage et de faire une guerre impitoyable à tous ceux, heureusement très peu nombreux, qui par leurs actes inconsidérés accréditeraient précisément cette image déplaisante que l’on cherche à donner de nous. Je vous redis toute ma confiance et toute mon admiration pour vous avoir vus à l’œuvre pendant vingt-cinq journées exceptionnelles, et je sais que les hommes de cœur que vous êtes me soutiendront totalement dans ce que j’entreprends et qui n’a d’autre but que de défendre la police dans son honneur et devant la nation. »
_________
Épilogue
Faut-il désarmer la police pour assurer sa sécurité ? Jacques Deveaux@GeopolisFTV http://geopolis.francetvinfo.fr/faut-il-desarmer-la-police-pour-assurer-sa-securite-70355L
Passacaille de Haendel, Eric Heidsieck fait sauter le bouchon.
Dear Bloom, il vous manquera ici les indigènes en charge d’éventer la séance du mangue saint émilion. Difficile de compter sur les gilets jaunes à la couleur pourtant assortie. Indeed la notule du jour nourrit la nostalgie du landerneau. Depuis votre dernier passage le prestigieux blog a perdu du monde, sa pendule et le ventre mou ne sait plus que « La colline inspirée » est le meilleur Barrès, sans besoin des honneurs d’une pléiade en peau de mouton australienne, what else.
Souvenir qu’une de vos connaissances, un academic, a produit une étude stimulante sur Stoker ou Dracula ou les deux, pouvez-vous redonner la référence, bitte sehr ?
@ Au facho bon teint…
tu m’étonnes qu’elle les fantasme un brin !…
(sic transit ->) Même chose avec les femmes, qui n’ont pas été cruelles avec lui, c’est le moins qu’on puisse dire, à en juger par les catalogues détaillés et très crus qu’il dresse régulièrement (« Je déteste les femmes qui rient quand on les baise »). Entre 16 et 85 ans, il en a chevauché des centaines : des duchesses, des cocottes, des actrices, des femmes mariées, et même la fille du roi d’Egypte. Véritable taureau, il les a toutes fait grimper aux rideaux. Mais il n’en a aimé qu’une, son épouse Hélène, dont il décrit longuement dans ces pages la décrépitude et l’agonie.
Ian Geay, maybe ?…
http://www.revue-quasimodo.org/PDFs/6%20-%20Geay%20Dracula%20Sexe%20Stocker.pdf
Je ne crois pas que les erdélien-ne-s aient toujours raison, mais que ce sont des vantard-e -qui manquent « d’expérience » du monde et s’imaginent pouvoir tout et tous comprendre grâce à internet;et au fait que P.Assouline les laisse se défouler et se « lâcher » sur son blog sans mettre le hola à leurs prétentions, et leurs dénigrements;
ces erdélien-n-es vont jusqu’à prétendre à être aimé-e-s (ce blog est-il une agence matrimoniale, un service d’adoption pour des gens dont la « stérilité » est reconnue « sans appel »?
(ce n’est pas le cas de renato , qui a une histoire -réussie- de créateur , et de père dans sa vie privée et n’adhère visiblement pas aux comédies de la communauté erdélienne; il est la respiration de la RDL; )
bonne journée et prêchez bien ;et lavez vous les mains
la bouse dure fait le buzz, Lulu !
https://www.youtube.com/watch?v=W0T4Yn1Ajjs
« Je déteste les femmes qui rient quand on les baise »
hun hignorant qui n’a pas lu les grandes mystiques
une coquille géante
la légende dit que lespression vient de ce qu’il y manquait le q..
Comme si on y prenait acte depuis peu d’une démission intellectuelle des élites dans la défense des Lumières
dpuis que d’aucuns ont « colporté » qu’ils en avaient qu’une comme litlère..
Depuis quelques jours, Giorgio Marincola est devenu un héros. Redevenu, plutôt. Ou même : a finalement accédé au statut de héros de la Seconde Guerre mondiale, qu’on aurait dû lui attribuer voilà bien longtemps. Et ce, malgré la médaille qu’on lui décerna jadis.
Alors que des travaux sont en cours dans le métro de Rome, le journaliste Massimiliano Coccia a suggéré que l’on baptise la nouvelle station de la ligne C du nom de Giorgio Marincola.
Ce résistant, originaire de Somalie, fut « assassiné par les nazis et les fascistes », souligne Saviano, et à ce titre « représente un pont très fort entre le passé et le présent, entre la libération d’hier et celle, nécessaire, d’aujourd’hui ».
sur un facho bon teint.
Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre.
(@Phil.Combien de personnes ont lu La Colline inspirée ici?)
Ce livre d’Hélène Cixous 1938, nuits (Galilée) dont j’ai cité des extraits hier, est lié pour moi à une journée particulière au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (Hôtel de Saint-Aignan, rue du Temple à Paris). Le rendez-vous annoncé depuis des semaines par Lavande était enfin là.
Souvenez-vous de ce manteau de théâtre qu’elle confectionnait avec amour, un manteau en laine bouillie moutarde pour un personnage d’une troupe de comédiens (Le collectif « L’Autre Moitié ») à laquelle elle avait voué ses travaux de costumière : le manteau de l’oncle Raskine, celui qui allait traverser tout le conte « Loin de Garbo ». (Un texte de Sigrid Baffert et une musique d’Alexis Ciesla.)
Un conte musical teinté d’influences tziganes. La longue traversée de Greta, Darius, Ava et Milo et ce vieil oncle, des musiciens passionnés.
Chants et musique aux accents klezmer (contrebasse, saxophone, clarinette, violon, claquettes, guitare) pour accompagner ces personnages forcés de quitter Garbo, leur village, et leur atelier de couture pour fuir la dictature montante avec leur bébé, Milo et l’oncle vêtu d’un étrange manteau… le temps d’une vie humaine… entre un petit coin d’Europe de l’Est et un « supposé Eldorado »…
L’exil, l’immigration et la transmission.
«Que garderiez-vous et mettriez-vous dans votre valise si vous deviez partir, maintenant ?» Loin de Garbo a reçu le « Coup de cœur » ET « le Grand Prix de l’Académie Charles Cros ».
L’auditorium était empli d’enfants attentifs et heureux, de leurs parents car ce spectacle « cousu main » était destiné à un jeune public.
Ce très touchant conte yiddish poétique et intemporel remonte en ma mémoire.
Comme Lavande me manque, ici…
A la librairie du MAHJ, j’avais acheté le livre tiré du spectacle (sur une des pages on peut lire : « Un spécial merci à notre aiguille de Garbo, B.S., la couturière du manteau de l’Oncle Raskine (porté sur scène par Xavier, contrebassiste tout terrain), experte mondiale en laine jaspée amovible, liséré de Moleskine et boutons rubis ») et celui d’Hélène Cixous.
Toutes ces histoires rejoignent celle de l’enfant Zeev Sternhell…
Dear Chaloux, si l’on compte ceux qui l’ont lu et visité la dite colline, peut-être deux.
Pour mettre en route le moteur à fachos bon teint: « Dieu n’a rien créé de plus laid que la femme qui parle espagnol ».
Quelques minutes de pure beauté… Merci, Pablo, pour la Passacaille pour orgue de Bach.
Une renaissance permanente du thème initial dans sa forme répétitive, l’une des plus géniales partitions de Bach.
Il faut absolument arrêter les conneries faites en ce moment sinon nous allons reconfiner dur en juillet.
Le port du masque doit être rendu obligatoire dans l’ensemble des commerces. Ceux-ci doivent être contrôlés (réalité des effectifs reçus, respect des distanciations, désinfections manuelles à l’entrée, taux de renouvellement de l’air)
Le port du masque devrait être obligatoire sur toute voie piétonne.
Les contrôles doivent être très renforcés dans les commerces, transports et sur les voies piétonnes. Des amendes sévères doivent être données aux récalcitrants.
Les dépistages restent très très insuffisants.
L’application Stop-Covid excellente, il est regrettable que ceux qui pourraient l’utiliser ne le fassent pas, c’est à mon sens un profond manque de civisme (à minima), voire une lâcheté compte-tenu de la gravité de la situation au niveau mondial mais aussi national sur le long terme. Cette application donnerait toute son efficacité si quelques dizaines de millions de personnes l’utilisaient et on en est loin.
Dans le monde du travail les inspections devraient être quintuplées car de graves défauts existent sous le prétexte que « tout va bien ».
Enfin le scandale de la Fête de la musique, notamment les graves débordements pourtant parfaitement prévisibles que celle-ci a générés, devra faire l’objet en son temps de mises en examen des fautifs a rechercher et identifier.
Pauvre France. Une fois encore. J’en ai honte.
A propos de Dracula, dear Phil, je pense qu’il s’agit de ce qu’en dit Colm Toibin dans une émission de Radio 3.
https://www.bbc.co.uk/programmes/b01g4xy9
Enjoy!
Merci, Pablo
comme dirait mon larbin on rconnait les belles ames à leur participations aux pures beautés..merci..merci a ces hélites
(@Phil.Combien de personnes ont lu La Colline inspirée ici?)
et ceux quon lu stanislas sur les hosties..y’avait haussi serdgio..les otes c’est des cons..mais alors.. des cons..
« Dieu n’a rien créé de plus laid que la femme qui parle espagnol »
dailleurs un certain sen srait coupé hune pour faire lafrenchézado convaincant
@Christiane
a « loin de Gabo » j’y étais aussi;
Spectacle charmant; communion émouvante ,un peu particulière, entre la scene et la salle, et, évidemment admiration pour la performance de la costumière
Ce livre d’Hélène Cixous
je te crois pas..à part dirphilou..personne mais personne ne lis cixous..moi même pourtant passablement plys frotté que dédé de mystères..je recule..effrayé..claquant des dents plus pire que si javais vu le chtulu
sans autorisation cet article sur non fiction:
L’intention de Roza est, ici, de répondre aux attaques virulentes dont l’héritage des Lumières est l’objet de la part d’un courant de militants et d’intellectuels de gauche. La critique des Lumières était traditionnellement, depuis la Révolution française, le fait de penseurs conservateurs ou réactionnaires. Or, nous dit l’auteure, cette tradition qui, au 20e siècle, semblait s’être épuisée tout à fait, a récemment refait surface avec véhémence. Les principes et les valeurs de la modernité, mis en selle par l’esprit des Lumières – la raison et le progrès, le sécularisme et l’individualisme, l’universalisme et le cosmopolitisme – sont de nouveau pris pour cibles, sous les yeux incrédules d’une opinion publique persuadée, jusqu’ici, que ces combats ne devaient plus jamais sortir des manuels d’histoire.
l’auteure entend mener le combat des idées. D’autant plus que, fait-elle valoir, jamais depuis plus de deux siècles d’anti-Lumières, les critiques n’étaient allées si loin. C’est dire la violence de ce courant et l’urgence d’y répondre. L’auteure se propose donc d’exposer les thèses de cette gauche radicale, d’en déconstruire l’argumentation et de pointer quelques hypothèses sur leur généalogie. Elle décline son propos en trois moments correspondant à la mise en cause de trois valeurs clés des Lumières : le rationalisme, le progressisme et l’universalisme.
Trois agressions majeures contre les Lumières
Le premier assaut de cette gauche a lieu contre la raison elle-même. Pour l’illustrer, Roza se penche sur Constellations, deux gros volumes publiés en 2014 et 2017 par le collectif Mauvaise troupe. Certains médias ont donné un écho favorable à ces anthologies de comptes-rendus d’expériences alternatives diverses. Elles peuvent être comprises comme un repli, face aux déceptions et aux échecs des luttes politiques traditionnelles, sur « une localisation radicale de la critique », selon l’expression de Michael Walzer . Or, cette reconfiguration des luttes, dont la Zone à défendre de Notre-Dame-des-Landes est un parfait symbole, est justifiée par ce courant par l’appel au sentiment et à l’imagination, sources d’une subjectivité radicale, contre les prétentions de la raison.
Au plan généalogique, ces idées renvoient, selon Roza, à la pensée politique de Foucault. Le philosophe serait une source majeure de ce courant. Non seulement en raison de la fragmentation des fronts de lutte au détriment de la politique globale, mais plus encore du fait d’un doute radical, d’origine nietzschéenne, à l’égard de la volonté de savoir : derrière celle-ci, toujours se tiendrait un pouvoir. Dans cette perspective, la raison à l’œuvre dans les différentes disciplines scientifiques n’est plus qu’un instrument au service de la domination. Que dire, alors, de l’intérêt manifesté à plusieurs reprises par le dernier Foucault pour les Lumières selon Kant ? Roza récuse cet apparent ralliement, car, dit-elle, Foucault n’en conserve que le moment critique et poursuit, en réalité, « son opération de déconstruction du projet rationaliste ». En-deçà de Foucault, l’auteure reconduit cette critique radicale de la raison à la publication, au lendemain de la guerre, de La Dialectique de la raison d’Adorno et Horkheimer, à l’égard desquels Foucault reconnaissait une dette. Pourtant, peut-on objecter ici à Roza, les deux auteurs de l’Ecole de Francfort n’y condamnent pas la raison en soi. Leur position est, en réalité, ambiguë, jamais exposée rigoureusement au demeurant. Ils y font valoir que la raison s’est retournée contre elle-même et s’en prennent au seul triomphe de la raison instrumentale.
Le deuxième assaut contre l’héritage des Lumières met en cause le progressisme. Roza s’appuie ici sur les textes d’un collectif grenoblois Pièces et main-d’œuvre. Les critiques, d’inspiration écologiste, y prennent la technoscience pour cible. C’est la raison comme instrument de maîtrise de la nature, mobilisée au service de l’homme, qui y est mis en cause. Cette critique, largement partagée par les mouvements écologistes, ne trouve pas grâce aux yeux de l’auteure. Elle la juge beaucoup trop unilatérale et lui oppose l’idée que la raison, à la fois source de critique de l’arbitraire du pouvoir et de connaissance objective de la réalité, ne saurait se diviser. Sans doute, concède-t-elle, Lumières et progressisme ne coïncident pas, mais c’est pour opposer aux excès de la critique anti-industrialiste, la thèse conventionnelle de la neutralité de la technique : le progrès tiendrait au bon usage des possibilités qu’elle met à disposition. Au plan idéologique, l’essayiste Jean-Claude Michéa est désigné par Roza comme un représentant paradigmatique de cet anti-progressisme, qu’elle fait remonter aux Illusions du progrès de Georges Sorel, théoricien du syndicalisme révolutionnaire. Sorel y développait une doctrine, mêlant de manière éclectique Marx, Nietzsche et Bergson, qui devait inspirer Mussolini.
Enfin, le troisième assaut contre les idées et valeurs posées au 18e siècle met en cause l’universalisme. Roza y consacre ses plus longs développements, en raison, probablement, de sa plus grande visibilité médiatique. Il se pourrait aussi que les prétentions à l’universalité caractéristiques des Lumières apparaissent, sous les coups de boutoir de ceux qui la contestent, comme leur clef de voûte philosophique. Sur ce point, l’auteure se concentre sur les Indigènes de la République dont elle veut récuser les thèses. Ce mouvement s’inspire largement des études postcoloniales. C’est, rappelons-le, un courant de pensée, porté par des intellectuels non occidentaux, indiens en particulier, qui s’est proposé, depuis quelques décennies, de « provincialiser l’Europe », selon le mot d’ordre de Dipesh Chakraberty. Il s’est agi, pour l’essentiel, de promouvoir sur l’histoire de l’humanité le regard des dominés, en l’occurrence des pays colonisés par les Européens.
L’essai de combat de Roza n’aborde pas un sujet tout à fait neuf. Daniel Lindenberg l’avait déjà, pour partie, traité, il y a quelques années, dans un ouvrage plus englobant, Le procès des Lumières . L’idéologie de Constellations avait fait, elle, l’objet d’une bonne analyse, en termes de « radicalité irrationnelle », par l’historien Jean-Luc Chappey, ici cité dans une note . Au plan de l’histoire des idées, le lecteur dispose désormais de quelques ouvrages de fond, tout particulièrement l’excellent livre d’Antoine Lilti, L’héritage des Lumières, qui comprend un chapitre intitulé « Le défi postcolonial » . Mais, sur ce plan, Roza semble bien plus inspirée par les partis pris de la somme de Zeev Sternhell, Les anti-Lumières .
Plus problématique, ensuite, est la philosophie de l’histoire qui se dégage de la manière dont elle oppose les Lumières à l’obscurantisme, qui a tout l’air d’une mythologie, largement partagée il faut le constater. Dans une telle perspective, l’histoire des Temps modernes est celle d’un perpétuel combat entre la Raison, avec un r majuscule, et ses ennemis. La superstition et le sentiment, le mythe et la religion, l’imagination et la passion, sont autant d’éléments intégrants des traditions, nécessairement irrationnelles et obscures. Selon cette vue métaphysique, le courage de faire usage de sa propre raison, selon la formule de Kant, par quoi l’être humain devient majeur, fait basculer les hommes dans un univers débarrassé de toute tradition. Du moins, ceux qui se saisissent de cette faculté, dont chacun est doté naturellement, évoluent dans un monde de la raison pure qui permet d’entrevoir la disparition, à terme, des traditions.
. En d’autres termes, toute perspective rationnelle s’enracine dans des croyances particulières d’arrière-fond. Le combat n’a donc pas lieu entre la raison et son autre, la tradition, comme voudrait le faire accroire Roza, mais entre plusieurs rationalités et entre plusieurs traditions. Et, lorsqu’un mouvement critique finit par emporter les institutions établies d’une société, ce n’est pas une mythique Raison qui vient prendre la place en majesté, mais une nouvelle forme de rationalité qui inaugure, par là-même, une nouvelle tradition. De ce point de vue, notre regard sur l’humanité doit d’abord faire droit à la diversité des cultures et des formes de vie sociale et le point de vue de l’universalité doit, alors, résulter d’une anthropologie comparative .
sur
La gauche contre les Lumičres ?
Stéphanie Roza
2020
Fayard
208 pages
https://www.nonfiction.fr/article-10348-les-lumieres-sont-elles-toujours-lumineuses.htm
Dieu n’a rien créé de plus laid que la femme qui parle espagnol
Distrait…, il pensait au P75 à Asnières sans doute sur un air de Manu de Falla.
@ Renato, Chaloux et Christiane
Johan Halvorsen – Passacaglia and Sarabande with variations on a theme by Handel
Itzhak Perlman & Pinchas Zukerman
Il faut absolument arrêter les conneries faites en ce moment sinon nous allons reconfiner dur en juillet.
D. dit:
Totalement d’accord. Hier je suis passé rue Belleville vers 18h: toutes les terrasses des bars étaient bondées et personne avait des masques. Avec la chaleur, dans la rue on voit de moins de gens avec elles. L’indiscipline des Français est ahurissante.
Et de plus en plus de scientifiques prévoient que le virus reviendra en automne, on ne sait pas avec quelle virulence.
Rien n’est plus laid qu’une « Mumu » qui claque du dentier en attendant des nouvelles des éditions du Cerf!
Hurkhurkhurk!
Au vu de ce résumé…,
—
Trois religieux lorrains, les frères Baillard, décident de faire revivre la colline de Sion, autrefois lieu de pèlerinage dédié à la Vierge. Remportant tous les succès, ils s’enrichissent jusqu’à inquiéter leurs supérieurs, et attirent les foules à Sion. Mais la rencontre de l’aîné Léopold avec l’hérésiarque Vintras, prêtre excommunié par l’Église, transforme Notre-Dame de Sion en bastion de la secte vintrasienne. Rejetée par les autorités catholiques, la communauté de Sion perd peu à peu fidèles et religieux, et ne reste qu’une poignée autour de Léopold et de ses frères. Le manque d’argent et l’arrivée d’un prêtre catholique « orthodoxe » dépêché par l’évêque de Nancy va chasser cette poignée de son église. Toutefois, pris par le remords et ému par l’amour sincère de Léopold pour sa colline, le prêtre catholique va s’employer à le ramener dans le giron de l’Église, et, après lui avoir donné l’extrême-onction, il obtiendra que Léopold abjure son hérésie.
Analyse 57 : Ce roman se construit comme l’affrontement de deux mouvements, le courant illuminé des « vintrasiens » et le courant fidèle à Rome. Le premier, tenant sa raison d’être de la colline et de la terre lorraine, symbolise la liberté, la fidélité aux « racines ». Le second, tenant sa raison d’être de Rome, de l’évêque de Nancy, symbolise l’ordre et la soumission à l’autorité. Malgré la folie où tombe Léopold, malgré la victoire de l’Église par sa rétractation, Barrès refuse de trancher entre l’ordre et la liberté, et donne son sentiment dans les dernières lignes, fameuse opposition entre la chapelle (l’ordre) et la prairie (l’enthousiasme) dont l’auteur montre combien elles nous sont indispensables toutes deux.
—
J’ai bien fait de ne jamais lire ce roman. Quelle horreur !… Son univers m’est totalement étranger. Jamais ne pourrai y ressentir quoi que ce soit, serait-ce même pour faire percevoir dans les diners mondains organisés en erdélie, la profondeur et la diversité de mes connaissances littéraires. Passou notre chemin de croix, et poussons vers Vézelay, la colline éternelle. L’autre Maurice avait quand même un peu + de classe et de tenue, nom de dieu !
a propos de Cixous:
c’est vrai que je l’ai évoquée;on me l’a assez reproché!elle était assise aupremier rang du séminaire de Derrida où on lui gardait la place;
plus personnel, sa mère était sage femme, et j’ai connu personnellement beaucoup de sages femmes (et leur histoire) la dame laroque dont j’ai parlé du dévouement admirable pour mon père était sage femme; j’ai voulu sa présence à la naissance de ma fille et elle vint bien que ce ne fut pas son tour de garde;c’était en fait très offensant pour d’autres personnes; mais elle vint quand même, comprenant mon inquiétude ;et tout se passa bien;
elle même n’avait pas eu d’enfant – comme bien des sages femmes stériles; c’était une femme généreuse de sa personne, discrète, et très aimée (par les hommes)elle n’était pas manipulatrice du tout; j’ai regretté de ne plus la voir après mon mariage , et lorsque je trouvai son téléphone, bien plus tard, je lui ai téléphoné;elle était rentrée « au pays » en Auvergne je crois, et devait être une vieille femme, mais elle avait la même jolie voix ; j’aurais aimé que mes enfants la connaissent, et ils ne l’ont vue qu’en photo où elle les portait dans ses bras, souriante, affectueuse, pas poseuse du tout
« Dieu n’a rien créé de plus laid que la femme qui parle espagnol »
Ah ioyui au fait on l’avait oublié la Muriel Bilger des éditions Cerf (Barbara), avec sa dédicace incendiaire… On a peur maison pa peur, c’est pas croyab’…
Donc l’a pas encore reçu ni lu, son Chamfort…, le pauv’diablotin…
Le courrier en ce moment, faut dire que ça laisse à désirer un brin. Vaut peut-être mieux pas ouvrir le paquet, y a parfois des pétards mouillés qui vous explosent à la goule, des « coolies piégés » qu’ils appellent…
On a peur de rire !
(chronique du harcélement d’un 57 qui avait prétendu arrêter mais peut vraiment pas s’empêcher de faire le malin, depuis son CDBF). Petit rappel pour ceusses qui n’auraient pas suivi les faits à partir de cette sentence inaugurale dans un commentarium du 19 février dernier:
/// Passou dit à 57 « ….quand on saura quelles circonstances sont à la base de son irrésistible -et tout aussi injustifiée- ascension… », Allez Chaloux, un peu de courage pour une fois. A défaut de vous dévoiler, cessez d’insinuer et accusez clairement. Dites et révélez, nous sommes tout inouïe à la promesse de ce scandale universitaire et intellectuel. Ou alors demeurez dans le cul de basse fosse des complotistes///.
Y est toujours, hélas. L’en sortira jamais. S’enfonce toujours + chaque jour. A propension du niveau de vomi d’où s’échappent les crapauds à la place des roses.
Gigi la visqueuse, en effet je ne l’ai pas encore reçu. En attendant, j’ai contacté les éditions du Cerf ainsi que Philippe Bilger avec copie de tes posts. Le pétard mouillé va te sauter à la tronche. Et ta « Mumu » sera la risée du métier…
Quant à du Bouchon, il a évidemment été créé par Hollande le Chapon mou, et récupéré par le macronoïde. Comme Pissou était membre de l’équipe de lancement, ça ne lui a pas plu qu’on en parle. L’opération, entièrement foireuse, a du reste entièrement foiré, du Bouchon étant ce que Coluche eût appelé « un détecteur de vase ». Tout ça pour faire passer des idées à la con sur l’histoire de l’Europe avant des élections risquées. Rangé au magasin des accessoires.
S’il y a cul-de-basse-fosse, ce serait plutôt celui de la rigolade.
Hurkhurkhurk!
Hier, déjeuner chez une connaissance. Le bon-homme, 67 ans d’âge, attend son intervention — catharate —, et on lui demande de reserver son taxi convenctionné trois semaines à l’avance ; en même temps — comme dirait l’Autre —, le medicin qui doit opérer donne la date, mais il ne peux donner l’heure que la veille. Donc, étant donné la situation familiale de la connaissance en question — vieux garçon, déjà fils unique —, ce sera moi qui l’accompagne à l’hôpital. Bon, puisque je n’ai pas de voiture et lui non plus, il faudra en louer une… il se peut toute fois que l’un de ses voisins nous prête la sienne… la condition étant que ce jour-là il puisse s’en passer…
@ Baise belette !
Ma Mumu, la risée du quartier ?… Pire que vos meufs psychanalystes !???
Muriel, des éditions du Cerf, la connaissez pas, moricaud !
Ont pas trop l’air de se presser en Belgique… On s’impatiente un brin à la rdl. Faut dire que la famille Bilger n’aime point trop les notaires et corbeaux véreux qui se la pètent en go-bite-win…, pas vrai, mon larbin urck-hulé, comme dirait notre ami JMB ?
On claque des dents, on a peur, on a peur… le CDBF57 nous terrorise avec ses aboiements pestilenciels… En attendant, pour se cultiver la nécrologie littéraire, feue la ravissante Muriel,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Muriel_Cerf
Bouguereau,
Hélène Cixous…
C’est le premier livre que je lisais d’elle. Il m’a paru lumineux et tragique. La Nuit de cristal… La montée du danger.
La mémoire fonctionne comme cela, par sauts et gambades. Pas ou peu de ponctuation, idem pour les majuscules. Je me suis habituée…
L’épisode de la cave est très fort, surtout quand elle en mêle le ressenti avec le confinement dans les wagons des trains de déportés.
Elle combat avec ses mots contre l’oubli, les fantômes… La grande Histoire sur une scène intime.
Je l’avais découverte sur le site d’Angèle Paoli « Terres de femmes ».
https://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2006/06/5_juin_1937nais.html
Beaucoup aussi par sa collaboration avec Ariane Mnouchkine, Daniel Mesguich.
Cette femme écrivain me fait penser à Perec par ses retours au passé, ses questions sur l’origine. Son père, séfarade, sa mère ashkenaze, sa naissance en Algérie…
Son visage est intéressant. J’ai essayé de le sculpter. Il faut éplucher la terre jusqu’à trouver l’essentiel, la sauvagerie. Droite et dure, fine aussi, presque virile.
Son écriture ? Des lignes fictives pour mettre au monde ce qui a été.
Elle disait dans une Masterclasse en public à la BNF où elle répondait aux questions de Caroline Broué, (retransmise sur France Culture) :
« Mon père c’était l’Algérie, ma mère l’Allemagne. L’Algérie était un pays à l’agonie quand j’étais petite. À 3 ans j’étais déjà à l’intérieur d’une scène d’une grande violence politique. C’est une expérience d’effroi devant les méchancetés humaines, les innombrables espèces de cruauté, de mise à mort de l’autre, de mépris, d’interdit. J’ai vu d’un côté l’extraordinaire bonheur qui existait dans ma petite famille, un tout petit espace où vivaient, comme dans un paradis, toutes les langues. Et tout autour, l’extérieur, qui était hideux.
J’ai alors pensé, dans ma plus petite enfance, qu’il fallait trouver un autre monde. J’ai eu besoin d’un refuge. Au sens très fort du mot, je pense que ma façon de me précipiter vers la littérature, c’était un instinct, un instinct de fuite, savoir où l’on pouvait trouver un asile. Je cherchais la beauté et la liberté. Je me suis mise à écrire ce qu’on ne peut pas écrire. Écrire ce qu’on ne peut pas écrire, c’est d’ailleurs la chose qu’il faut faire. »
Je crois qu’elle l’a trouvé cette liberté dans l’écriture et la force d’aimer.
Händel, Passacaglia — harpe :
@Gigi la visqueuse. Peu importe, les prénoms. Je me contente de te situer géographiquement – déménagement récent en Charente Maritime, du côté de Surgères- pour qu’il n’y ait pas de doute. Pour le reste, je ne sais pas qui Bilger « aime », mais je ne suis pas persuadé qu’il en vienne à vous adorer, toi et ta vieille pie.
Tu ce qui vient de toi m’amuse, et je me fais un point d’honneur de t’emm… le plus possible, jusqu’au sang, car tu es vraiment une ordure.
D., la fête de la musique a largement démontré que la majorité n’a dans la courge qui leur fait fonction de tête que de conneries ; que le necessaire n’est que un truc acessoire.
Incidemment, une fête de la musique n’est qu’une idée plus stupide, mais si on peut vendre de bierres c’est szns doute une bonne idée.
J’ai bien fait de ne jamais lire ce roman…
Votre résumé, dear JJJ, du probable Lagarde michard laïcisé, tait l’essentiel du livre comme une mauvaise production franceculture: la colline de Sion-Vaudémont fut dédiée à Wotan avant de revêtir les oripeaux chrétiens puis habsbourgeois. Déclinaison qui porte la plume de Barrès.
Heureuse de partager ce souvenir avec vous, DHH.
N’écoutez pas les médisants. Vous êtes appréciée ici, comme l’étaient Lavande et… sapience malivole…
Merci Renato et Pablo.
Quel bonheur !
dear renato, louez une porsche et buvez un martini avant de conduire votre ami à sa cataracte.
Si l’Est parisien veut faire le con genre libertaire-bohême-rebelle, alors qu’il assume.
Le prochain confinement aura lieu par quartier. Avec son propre hôpital financé par les sous des habitants. Et son propre personnel soignant. Et sa propre morgue. Pour les cimetières c’est déjà bien pourvu.
Mais là les petits cons-bobos inconséquents on ne vous laissera pas aller chez mamie en Bretagne.
La fête de la musique, renato, est surtout la fête de l’alcool dans la rue où tout le monde y est désinhibé et fait n’importe quoi.
Chaque année des rixes et des bagarres et souvent des morts. Mais là les morts seront les parents et grands parents auxquels les dizaines de nouveaux porteurs de virus tragiquement constitués, apporteront immanquablement le baiser de la mort.
Moi je n’ai jamais énormément apprécié Lavande. La personne m’indifférait plutôt et son pseudonyme m’a toujours fortement agacé. Il y avait tant de beaux noms de fleurs à choisir et paf, elle prit Lavande, parfum entêtant au possible, tout juste bon à mettre dans les armoires à vêtements, et perturbateur endocrinien avéré.
Quand on retourne au cinéma on est accueilli en début de séance par Gilbert Bécaud, qui nous chante : « Je reviens te chercher/Je savais que tu m’attendais/Je savais que l’on ne pourrait/Se passer l’un de l’autre longtemps… »
Emouvant !
Derrida disait: »ce dont on ne peut parler il faut l
écrire » :(ce qui rejoint Cixous
il n’ a pas dit l’écrire sur la RTL!
bonne journée
Primevère
Marguerite
Amarante
Coquelicot
Edelweiss
Myosotis
Påquerette
Intéressante info à propos du père de Boris Johnson :
Et alors quand elle encensait Grenoble, la petite Chicago des Alpes coincée dans sa cuvette de pollution…
Elle peut revenir, moi je m’en fous. On ne sait même pas pourquoi elle est partie, d’ailleurs, peut-être pour se donner de l’importance.
renato, comparer cette engeance dégénérée du canal saint-Martin aux courges est une grave insulte faites aux cucurbitacées qui, elles, sont utiles à la société.
Merci de vous excuser.
Maurras et Boutang qui sont cités infra, sont extrêmement intéressants à lire.
Beaucoup trop peu connus, surtout le second.
Emouvant !
gilbert y parle du seau de potecorn à dirfilou
Intéressante info à propos du père de Boris Johnson
heureux qui comme éduarde a fait un beau voyage au chabanais..
Primevère
Marguerite
Amarante
Coquelicot
Edelweiss
Myosotis
Påquerette
pas un pet à coté dmon oeillet quelle dirait bonne..
la colline de Sion-Vaudémont fut dédiée à Wotan
vintras a désinfecté tout ça..meussieu courte confirmerait..bonne clopine le voit grand rebouteux des villes
le necessaire n’est que un truc acessoire
le superflu chose très nécessaire..
« On ne sait même pas pourquoi elle est partie »
Si nous on ne le sait pas, toi tu le sais très bien, D.
et mon acolique de larbin qui tient hencore conférence de sa maladie d’égorgement..
Non je le sais pas, Jazzi, mais surtout je m’en fous complètement.
Bouguereau,
Hélène Cixous…
..je préfère jacob offenbac cricri
quel film, dear Baroz, pour fêter votre retour dans les salles obscures ? personne n’a éternué ?
Mercredi 23 juin 2020 à 14 h45 min
«L’Ombre de Staline» biopic polonais d’Agnieszka Holland, avec James Norton, Vanessa Kirby et Peter Sarsgaard.
Inspiré de l’histoire vraie de Gareth Jones, un jeune conseiller de l’ancien Premier ministre britannique Lloyd George, devenu journaliste, qui après avoir décroché une interview d’Hitler, rêve d’interroger Staline sur le « miracle soviétique ».
Arrivé à Moscou en 1933, il ne rencontrera jamais le Petit Père des Peuples, mais parvenant à déjouer la vigilance de ses surveillants, il découvrira alors l’Ukraine hivernale en pleine famine.
Contrairement à l’envoyé spécial américain en poste à Moscou, un éminent prix Pulitzer, soudoyé par les soviétiques, il révèlera la vérité au monde.
Ce qui lui vaudra d’être assassiné l’année suivante.
La cinéaste polonaise Agnieszka Holland, ex collaboratrice d’Andrzej Wajda et de Kryzsztof Kieslowski, à laquelle on doit entre de nombreux films un subtil biopic sur Rimbaud et Verlaine (Total Eclipse) avec Leonardo DiCaprio, David Thewlis et Romane Bohringer (1995), s’en est donnée ici un peu trop à coeur joie pour nous concocter un film politique et historique, mêlant formellement l’espionnage au polar.
Hélas, ses images intensives, avec des scènes de cannibalisme passablement complaisantes, faisant songer au « Kaputt » de Malaparte, adapté jadis par Liliana Cavani, et des sons sursaturés à nous faire éclater le tympan, ont achevé de me décourager !
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19587571&cfilm=254025.html
Sinon, Phil, je ne travaille pas à proprement parler à un Goût de Jésus-Christ, mais à ses conséquences…
« gilbert y parle du seau de potecorn à dirfilou »
un article sur Camus, à propos de « la peste » , et de ses informations et informateurs (Chouraqui)sur l’aide aux juifs dans la région de Chambon sur LIGNON où il soignait ses poumons
https://www.tabletmag.com/sections/arts-letters/articles/albert-camus-le-chambon
citation de l’article (sans autorisation)
« When I asked André Chouraqui whether Camus was aware of the rescuing of Jews in the area, he wrote in a letter to me: “Albert Camus had always known about the resistance that Pastors Theis and Trocmé conducted in Le Chambon-sur-Lignon.”
-> Voulez pas mon adresse perso pendant qu’on y est, pour mieux me retracer ?… ou venir me visiter sur la Gère, vous seriez évidemment le bienvenu avec votre nouvelle épouze, et nous verrions enfin à quoi ressemble votre GDC du CDBF du CdF. Encore faudrait’il pouvoir vous en extraire. Mes hommages à madame et messieurs Bilgère, en attendant Godot/Chamfort qui tarde à venir un brin, avec sa dédicace chaloupée à l’explosive.
-> « Mon résumé », dear Phil, issu de wiki-etalii me suffit amplement pour sentir de quoi ça cause. Pour le reste, amusez-vous et communiez bien avec les « bas résille », euh… les baressiens (?)… J’apprécie vos assauts d’amabilités habituels à l’égard de chacun.e, mais me demande parfois si vous valez plus « cher » que nos Lagarde @ Michard réunis…, J’ai remarqué qu’il était de bon ton de leur cracher à la figure aujourd’hui avec tout le mépris qui convient chez tout nouveau prof de français certifié post-nouveauroman déconstructiviste.
Bien à vous, en toute confratermythologie.
sur les « noms » de la peste:
One thinks immediately of the names of the characters. “Rieux,” the name of the doctor who narrates the text, came most likely from a Doctor Paul Riou in Le Chambon-sur-Lignon but substantively may have been loosely based on another doctor in the village, Roger Le Forestier, who worked in Africa with Albert Schweitzer. The name of the Catholic priest, Father Paneloux, may have been based on “Panelier”; far more importantly, his first sermon is reminiscent of those commonly delivered in France during the Occupation, sermons in which humility, culpability, and resignation to the “plague” were stressed. Paneloux’s first sermon in the novel would have immediately struck the inhabitants of the plateau as perfectly antithetical to the sermons given by their pastor, André Trocmé.
Mardi 23 juin et non mercredi…
Ayant rouvert mon « Journal cinématographique », qui suspend (définitivement ?) ma chronique du « Déconfinement de Paris » et, l’ouverture, en parallèle, d’un nouveau chantier du « Goût de… », Je suis un peu déphasé.
Mais je vais gérer durant tout l’été qui vient, lui aussi, de commencer !
Hier j’étais parti pour la séance de 16 heures au MK2 Bibliothèque. Arrivé sur l’esplanade devant le cinéma, je me suis aperçu que j’avais oublié mon pass permanent, rangé depuis plus de trois mois sur une étagère de ma bibliothèque.
J’ai pu finalement aller à la séance suivante à l’UGC du Forum des Halles, le plus grand multiplex d’Europe : grande salle pratiquement vide.
En sortant de la séance, où j’étais arrivé juste à temps, j’ai parcouru pour la première fois les galeries du Forum. Impression étrange, ambiance fantôme…
Je suis retourné à la Fnac, la plus importante de paris, où j’ai pu constater que mon « Goût de la paresse », mis en bonne place avant le confinement, l’était toujours après le déconfinement…
nom encore:
Camus’ most gifted biographer, Olivier Todd, suggests that the name Rambert might have been derived from Montrambert, a lower-class section of Saint-Etienne, the city where Camus went for his medical treatments.This suggestion evokes “Mon Rambert” (“My Rambert’) and links the character to the author. Camus told Roger Quilliot that Rambert was the character to whom he felt closest.Why not? Rambert is a journalist trapped in the city when the gates are suddenly but definitively closed. He tries everything to escape but when he finally has the chance to do so, he decides to stay. “I know that I belong here,”
@ Quant à du Bouchon, il a évidemment été créé par Hollande le Chapon mou, et récupéré par le macronoïde. Comme Pissou était membre de l’équipe de lancement, ça ne lui a pas plu qu’on en parle. L’opération, entièrement foireuse, a du reste entièrement foiré, du Bouchon étant ce que Coluche eût appelé « un détecteur de vase ». Tout ça pour faire passer des idées à la con sur l’histoire de l’Europe avant des élections risquées. Rangé au magasin des accessoires.///
_________
On va dire que ce genre d’honorable saillie attentatoire à la mémoire d’un Bilgère, spécialiste des procès en diffamation et en harcelages retracés sur le webinair, va parvenir au sieur Boucheron par le canal du courrier-corbeau habituel. Et que, pour une fois, icelui pourra éclater de rire un bon coup avec le fameux Chalumeau57, son cocu damné de service, appelant à l’aide son SOS75, à force de se morfondre dans les bas-fonds, dès fois qu’il pourrait jamais plus se dépêtrer de ses délires complotistes paranoïaques.
la RAISON dans l’histoire à Chambon:(j’admets cette histoire de Chambon -où j’ai été-me tient à coeur)
:
In his Mémoires, André Trocmé speaks of “his friend” Fayol and their visits together. “He came to see me often,” writes Trocmé, “and why not? We both had moderate views. I believed it was insane to attack Germans detachments in the area. Doing so would only incite reprisals. He agreed.”
crypter:
when he -Camus-moved to Paris in late 1943 and sent a Jewish woman to be hidden in the village, in his coded language to Pierre Fayol, he wrote that she suffered from “an hereditary infection.” Nazism was like the plague that had to be defeated and all the main characters, except Cottard, ultimately join in the fight against it. The ramifications of fighting disease were similar to those of resisting the Nazis; death was a real possibility for those who resisted the plague both violently and nonviolently on the Plateau Vivarais-Lignon.
l’article:
Adapted from We Only Know Men: The Rescue of Jews in France during the Holocaust, by Patrick Henry, with permission of the Catholic University of America Press.
William Byrd – Glenn Gould :
cette fois ci le chapeau que j’ai vu dans mon rêve-je n’aipas dit le mien-était un huit-reflets
alors pour vos quatre vérités , les erdélien-ne-s vous pourrez repasser
cher jjj, vous l’ai dit, préférence du maletisaac à Lagardemichard, pour leurs portraits phrénologiques en dépit d’une sensibilité dreyfusarde, d’où le piquant. malheureusement suis arrivé trop tard sur le marché, égalitarite déjà en marche covideuse, maletisaac réédité en poche sans les portraits.
merci baroz pour la recension, essayez de pas trop voir de navets, bons qu’avec le canard.
Je sais pas ce que je vais manger ce soir.
Des oeufs au plat sans doute.
Je dois reconnaître que Pablo avait raison : j’ai eu mal à la tête à cause du thon et des petits boutons.
Ce navet-là était servi à Berlin, Phil. Vous ne l’avez pas vu ?
Quant à du Bouchon, ma pauvre Gigi tu ne lui apprendras rien : il sait déjà tout!
Hurkhurkhurk!
« La Peau » de Lilian Cavani, d’après le roman de Malaparte, présenté à Cannes en 1981, c’était autre chose !
https://www.bing.com/videos/search?q=kaputt+liliana+cavani&PC=ATUR&PTAG=ATUR03RAND&ru=%2fsearch%3fq%3dkaputt%2520liliana%2520cavani%26FORM%3dATUR01%26PC%3dATUR%26PTAG%3dATUR03RAND&view=detail&mmscn=vwrc&mid=3675488DCB063AD476F33675488DCB063AD476F3&FORM=WRVORC
non dear baroz, peu amateur de biopic. la section officielle de Berlin reste trop politisée, le nouveau directeur, un Suisse, redonnera peut-être le goût du cinéma.
« du maletisaac à Lagardemichard »
Curieux ces couples d’hommes pour l’instruction des jeunes têtes blondes ou brunes des deux sexes, Phil…
Qu’en dit Marie Sasseur ?
Faite votre choix !
« La religion juive, mère du christianisme, grand-mère du mahométisme, battue par son fils et par son petit-fils. »
Voltaire
« Nietzsche avait vu juste, avec son flair de vieille pétasse, le christianisme était au fond une religion féminine. »
Michel Houellebecq
« Je pense que si le christianisme n’était pas tombé entre les mains des hommes, mais entre les mains des femmes, on aurait eu aujourd’hui une tout autre vie, une tout autre société, une tout autre civilisation. »
Romain Gary
D., vous si humain et attentif aux autres, comment pouvez-vous écrire : « On ne sait même pas pourquoi elle est partie, d’ailleurs, peut-être pour se donner de l’importance. » ?
Non, D., rappelez-vous. Deux commentaires cruels et ignobles de sasseur, suggérant que « c’était pratique d’avoir un mari dans un fauteuil roulant ». Ce fauteuil roulant dont il était depuis toujours et de plus en plus prisonnier. De sa faiblesse il avait fait une force. F.S. était historien, humaniste, auteur aussi sous pseudo d’une autobiographie remarquée Comme un pingouin sur la banquise, Conseiller municipal à Grenoble passionné de justice et de la qualité de vie accessible à tous dans la ville, très actif dans la vie associative. Il aura consacré sa vie aux autres. Décédé en septembre 2013.
Et l’horreur ne s’arrêtant pas là, Sasseur avait continué ironiquement sur l’adoption de leur fille. Je vous passe les détails… (Lavande étant intervenue avec douceur et conviction sur le bonheur de toute une vie de tendresse avec cette enfant dont ils étaient si fiers.)
F.S. écrivait : « J’aurai, je crois, fait preuve tout au long de mon existence d’un certain courage face à l’adversité, et aussi d’une formidable appétence à vivre. […] La passion des connaissances et des choses de l’es-
prit, le spectacle du monde et des êtres, me sont
toujours source de plaisirs et d’élévation; la soif de justice me soulève comme à mes vingt ans, la maturité en plus, les convictions intactes et leur partage avec vous, mes deux “compagnonnes” si chères, mon frère fidèle dans la tourmente et vous mes amis qui m’êtes d’un tel précieux réconfort. »
Lavande, aurait pu s’enorgueillir ici de son identité professionnelle de Maitre de conférence en Physique, retraitée de l’enseignement supérieur. Elle préférait nous parler de sa ville qu’elle aimait, du théâtre, du Festival d’Avignon, de cette troupe sympathique ou tantôt costumière, tantôt comédienne, elle partageait la vie.
A la suite de ces commentaires de sasseur, tellement ignobles, elle avait décidé de ne plus revenir sur ce blog tant que cette personne y interviendrait. Elle a tenu parole.
Je la salue avec amitié.
Et celle-là !
« La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes. »
Adolf Hitler
bouguereau,
« Jakob » Offenbach… Jean-Sébastien Bach… Deux univers si différents…
Bach me repose car sa musique m’aide à penser, à méditer. Offenbach me divertit et me charme.
Hélène Cixous ? Je suis heureuse qu’elle existe en ce monde. Elle le rend moins violent, moins haineux.
flow de blanc sans jus baroz..tertulien les nique tous debout
Crucifixus est Dei Filius : non pudet quia pudendum est ; et mortuus est Dei Filius : prorsus credibile est, quia ineptum est ; et sepultus resurrexit : certum est, quia impossibile
Elle le rend moins violent, moins haineux
si elle t’apaise cricri..on ne peut qu’en être heureux pour toi
@ Quant à du Bouchon, ma pauvre Gigi tu ne lui apprendras rien : il sait déjà tout!
Rapelons les faits, une fois n’est pas coutume –
/// Passou dit : Allez Chaloux, un peu de courage pour une fois. A défaut de vous dévoiler, cessez d’insinuer et accusez clairement. Dites et révélez, nous sommes tout inouïe à la promesse de ce scandale universitaire et intellectuel. Ou alors demeurez dans le cul de basse fosse des complotistes///.
Bach me repose car sa musique m’aide à penser, à méditer. Offenbach me divertit et me charme
se méfier des rimes riches cricri
« Le coup le plus dur qui ait jamais frappé l’humanité fut l’avènement du christianisme. Le bolchevisme est un enfant illégitime du christianisme. Tous deux sont des inventions du Juif. C’est par le christianisme que le mensonge délibéré en matière de religion a été introduit dans le monde. Le bolchevisme pratique un mensonge de même nature quand il prétend apporter la liberté aux hommes, alors qu’en réalité il ne veut faire d’eux que des esclaves. Dans le monde antique, les relations entre les hommes et les dieux étaient fondées sur un respect instinctif. C’était un monde éclairé par l’idée de tolérance. Le christianisme fut la première croyance dans le monde à exterminer ses adversaires au nom de l’amour. Sa marque est l’intolérance. »
Adolf Hitler
« Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. Pourquoi n’avons nous pas la religion des Japonais, pour qui se sacrifier à sa patrie est le bien suprême ? La religion musulmane aussi serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante. »
Adolf Hitler
« Cette philosophie [japonaise], qui est une des raisons principales de leur succès, n’a pu se maintenir comme principe d’existence du peuple que parce que celui-ci est resté protégé contre le poison du christianisme. Comme dans l’Islam, la religion japonaise est dépourvue de tout terrorisme et contient seulement l’espoir de la félicité. Le terrorisme est seulement une idée juive répandue par le christianisme. »
Adolf Hitler
« Le christianisme et l’alcool, les deux plus grands agents de corruption. »
Friedrich Nietzsche
@ jzmn, la vie de Jésus est bien controversée. Vous souhaite du plaisir à vouloir en faire une synthèse pour l’éducation de nos enfants de nulle part.
J’ai déjà signalé que le dernier roman traduit de J Maxwell Coetzee était une catastrophe.
Bon courage pour votre nouvelle entreprise. Si je peux vous aider en quoi que ce soit, n’hésitez pas, je consulte souvent mes lagardémichards et boucherons.
@ Ch. Elle avait osé faire cela ?… Mais c’est pas dieu possible, une vraie pourritue de charogne, alhors ? non…, j’y peux pas croire !
essayez de pas trop voir de navets, bons qu’avec le canard
..et le navarin halors..le navet roti au beurre avec à peu prés nimporte quoi..mais voilà..le comble c’est qu’il est devenu assez rare
franchment ton idée est un phour baroz..tu aurais pus prendre vintras..ou boullan..essaie d’avoir un peu le gout du sérieux sacrénom
essayez de pas trop voir de navets, bons qu’avec le canard.
Faut bien que quelqu’un se dévoue icite, et au canard enchainé aussi… Ils mettent plutôt en scène ce qui leur plait, sans en faire des tonnes. Et jzman est en général très correct, surtout dans les dialogues avec la regrettée ALR. Mais là, il a pas dit ce qu’il avait vuulu voir, uniquement sentir l’odeur d’une immense salle vide. Sans sa carte d’abonnés, l’est perdu. Je l’aurais pas vu sans cet angle, un brin pingre. Bof, aucun de nos amis n’est jamais parfait. Hein,
La pauvre naze de Gigi la visqueuse est tellement embêtée qu’elle copie-colique maintenant quatre fois par jour le même post de ce pauvre Assouline. Veut devenir son éditeur? Ça doit moucher rouge à la maison…
Hurkhurkhurk!
« Elle avait osé faire cela ?… »
Comme par hasard, D. en avait aussi rajouté une couche sur Grenoble, Petit Chicago à l’air irrespirable, sans parler du choix du pseudo Lavande !
Les absents ont toujours tort. On ne démissionne pas devant les ordures !
JJJ
Cette lettre du préfet Grimaud est connue. A l’époque–autre époque– il y avait du respect pour Grimaud chez les étudiants. Pour Pompidou aussi. Pas pour Mitterand.
L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes
litlère « il haissait jésus » presqu’autant que keupu..
Sérieux !
Tu préfères cette littérature délirante ?
https://www.heliogabale.org/4592/vintras-boullan-et-la-religion-du-carmel/
Li ewe où li naviel seront cuit assouage moult le pis.
Iluec copa le chief Torbant le fil Pharel… com se fust d’un naviet.
Mettre parcuire en boullon de char et des navès.
si tu dis du mal de stanislas baroz..je t’envoie 1000 démons sacrénom!
Plante crucifère dont la racine, fusiforme, charnue, d’une saveur douce et sucrée, est employée comme aliment, et recommandée comme pectorale et adoucissante, dans les irritations pulmonaires .
Händel, Suite n 5, HWV 430 :
bien sincèrement,jazzi, je ne crois pas qu’il soit bon pour le blog d’encourager les réflexions de « sasseur » , dot j’ignorais celles que christiane vient de rapporter; je me suis jusque-là abstenue de répondre à ses invectives , ça me dégoûte et aussi que vous jouiiez sur la RDL ce rôle,(sous prétexte de dévoiler l’inconscient ,je suppose, et vous ne dévoilez que des pressions du vôtre, me semble-t-il , et comme par hasard, dans des histoires de femmes; je ne vous crois pas très bien inspiré; je me souviens que vous aviez découvert qu’avec une histoire de hanche défectueuse, j’aurais conduit en faisant courir des accidents à d’autres; c’était déjà abusif,mais si c’est votre système pour vous chercher des complices, c’est d’autant plus pitoyable que c’est sur internet,et sur un blog assez suivi,où bien des personnes inversent délibérément et confondent (par une lecture trop rapide ou d’autres raisons) et que vous ne risquez pas grand chose;je vous assure que j’ai entendu des présentations plus fines par P.Legendre qui n’était pas un perdreau de l’année
Remarquable intervention du sénateur LR Bruneau Retailleau.On me trouvera partial,parce que c’est mon parti et que je vote RPR, UMP et LR,avec une régularité de métronome. Mais non ! Il m’arrive, parfois, de trouver tel représentant de mon parti pas très bon.
Je souscris, très sincèrement, à presque tout ce qu’a dit Bruno Retailleau.
Son jugement sur Castaner et Belloubet est le mien.
Son avis sur nos forces de l’ordre est le mien.
Son avis sur la démagogie et les erreurs du mouvement lepeniste est le mien.
Le passage plus important de cet entretien, et qui gagnerait à être largement difFusé, est le portrait qu’il fait de M. Macron. Quelle justesse ! Quelle lucidité ! Quel triste constat !Il faut même le réécouter et bien en savourer chaque élément.
« Les envoûteurs se vengeaient en ne le laissant jamais tranquille. Il me montra sa jambe traversée jusqu’à l’os par des effluves sataniques, et les balles des pistolets fluidiques avaient creusé davantage encore son ascétique poitrine ! »
ha c’est hun peu autre chose que « le moucher rouge » à mon larbin..dailleurs..je viens de lassommer
charoulet fait son coming in qu’il dirait baroz..il est des nôtres
j’ai justement entendu P.Legendre présenter le christianisme comme « l’origine » du cinéma; Barozzi serait mieux inspiré à étudier cet aspect de sa passion
Oui, JJJ et Et Alii… Oser faire ce mal. Chercher à atteindre l’autre dans ce qu’il a de plus vulnérable, de plus cher. Maintenant elle cherche à déstabiliser DHH. Il y a un mystère du mal chez cette femme. Elle me fait penser dans L’Enfer de Dante ou La fin de Satan de Hugo, à cette chute du prince de mal qui voulant rivaliser avec Dieu se trouve précipité dans un entonnoir de glace au fin fond de l’univers. Je dis prince car elle a, c’est certain, une culture et un regard sur le monde parfois lucide et pertinent, puis sa méchanceté la reprend et elle envoie ici tout son mal-être dans des paroles horribles.
Rien à voir avec Chaloux ou Pablo, eux peuvent être méchants aussi, mais je sens le plaisir du jeu, du langage interdit, du défoulement. Sasseur c’est plus grave, beaucoup plus grave. Elle tue par ses paroles, ses insinuations.
D, vous êtes bien silencieux…
« La Belle Hélène »du Christianisme, je ne sais pas si Proust avait les compétences poyur le dire. Le ppoint faible des Origines du Christianisme, oui. Parce qu’oeuvre de jeunesse qui n’a pas rompu les ponts avec le jeune Renan.
Le mot de Taine, « Il a mis un roman à la place de l’Histoire, est au moins exagéré. Je dirais: il a reconstitué avec les moyens du temps -dont l’Ecole de Tubingen- le scénario le moins invraisemblable possible.
Au demeurant, pas anti-religieux, le Père Renan, qui écrit quelque part un jour « on verra que j’ai tout maintenu ». Je laisse ouvert le fait que sa « religion » évolue de plus en plus vers un déisme glacé, facteur d’ordre, (ce qui nous amène au billet du jour), surtout après 1870 et « Qu’est-ce qu’une nation? ». De la Religion facteur d’ordre, déjà entrevue par De Maistre, on passe vite, via Renan, à celle de Maurras.
N’ayant pasv lu le défunt du jour, nje n’en parlerai pas. Mes lectures vont plutôt dans le sens Scholem-Idel.
Une pensée pour notre Sasseur nationale qui me fait de plus en plus songer à ces vers de Hugo:
« La vipère
Qui rampe dans la fange et s’en croit ignorée »
Bien à vous.
MC
bouguereau dit: « Elle le rend moins violent, moins haineux » « si elle t’apaise cricri..on ne peut qu’en être heureux pour toi »
Elle ne m »apaise pas mais c’est une voix nécessaire, une belle voix de femme.
Pour Bach et Offenbach, c’est toi qui a lancé la rime ! J’ai suivi en mode binaire…
L’idée du mouvement, un début :
bouguereau dit: litlère « il haissait jésus » presqu’autant que keupu..
»
Hitler haïssait Jésus parce qu’il avait réussi, keupu hait Jésus parce qu’il a échoué.
Vous aimez le cinéma de Pierre Legendre, et alii ? Il se réfère à un verset de la Bible qui dit que « l’homme marche dans l’image »…
https://arsdogmatica.com/oeuvres/films/la-fabrique-de-lhomme-occidental/
Heureuse de vous lire, M.Court. Toujours je découvre de nouveaux ouvrages, des citations opportunes mais pour la discussion sur « Le Messie », P.Edel et Chaloux ont visé plus juste, l’un avec l’analyse du comportement de Jésus face à la femme qu’on voulait lapider, l’autre en parlant d’intuition, d’humilité à propos de la foi.
Ce monde de la révélation se reflète dans des livres écrits et rêvés par des hommes, des exégèses sans fin, mais sa vérité est dans le cœur, le doute, le creux de soi, l’humilité. Des preuves de son existence sont secondaires (pour moi)…
Alors , j’écoute Bach ou Schubert ou je contemple un Rothko, un Rembrandt.
renato dit: « L’idée du mouvement, un début :… »
Oui, les deux mouvements se croisent sans fin, se superposent, s’éloignent et se retrouvent… Merci !
Je vous avais parlé de ce film lors de sa sortie.
Silence radio des erdéliens, à l’époque…
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19577607&cfilm=256396.html
« Deux commentaires cruels et ignobles de sasseur, suggérant que « c’était pratique d’avoir un mari dans un fauteuil roulant ». Ce fauteuil roulant dont il était depuis toujours et de plus en plus prisonnier. […] Et l’horreur ne s’arrêtant pas là, Sasseur avait continué ironiquement sur l’adoption de leur fille. Je vous passe les détails… (Lavande étant intervenue avec douceur et conviction sur le bonheur de toute une vie de tendresse avec cette enfant dont ils étaient si fiers.) […] Lavande, aurait pu s’enorgueillir ici de son identité professionnelle de Maitre de conférence en Physique, retraitée de l’enseignement supérieur. Elle préférait nous parler de sa ville qu’elle aimait, du théâtre, du Festival d’Avignon, de cette troupe sympathique ou tantôt costumière, tantôt comédienne, elle partageait la vie. A la suite de ces commentaires de sasseur, tellement ignobles, elle avait décidé de ne plus revenir sur ce blog tant que cette personne y interviendrait. Elle a tenu parole. »
christiane dit:
@ Lavande
Sachez que nous sommes beaucoup ici à vouloir vous revoir entre nous et que vous pouvez le faire sans crainte parce que l’Ordure qui a la Chiasse, dite la Blatte du Blog, je l’ai à l’oeil et maintenant, à chaque fois que, ivre morte, dans l’une de ses crises de delirium tremens, elle se met à insulter tout le monde, je la calme vite fait à coup de vérités bien senties crachées à la figure. D’ailleurs, depuis que je la traite ainsi elle est plus calme et elle évite d’écrire ici quand elle est saoule.
« La Belle Hélène » du Christianisme, je ne sais pas si Proust avait les compétences pour le dire.
Marc Court dit:
Par contre Court, les a, lui.
En plus d’une tête tellement grosse qu’il n’a jamais trouvé chapeau à sa taille. On sent que sa pédanterie croît à mesure qu’augmente sa certitude d’avoir totalement raté sa vie intellectuelle.
Encore un autre capable d’expliquer à son père comment on fait les gosses – comme disent les espagnols.
Hitler haïssait Jésus parce qu’il avait réussi, keupu hait Jésus parce qu’il a échoué
je vois toujours ton verre à moitié vide keupu
pédro c’est un dix rayé..un genre de sample..olé! qu’elle dirait tèrezoune
J’ai déjà signalé que le dernier roman traduit de J Maxwell Coetzee était une catastrophe.
—
D’accord avec vous, JJJ. Hormis les 2e et 3e parties de son autobiographie romancée – Youth (Vers l’âge d’homme) et Summer (L’été), John Coetzee n’a rien produit de bien intéressant depuis qu’il vit dans la banlieue d’Adelaide.
Cette année, il ne rendra pas visite à sa fille qui vit dans le sud-ouest et ne sillonnera pas les routes du Languedoc à vélo, sa passion…Stuck inside Newton with the Anduze blues again…
« l’homme marche dans l’image »
pasque t’as trop malocu qu’il dirait dirphiloo
Pour Bach et Offenbach, c’est toi qui a lancé la rime !
? cixous avec genoux..cailloux..c’est bobo
« {…] Oh ! quand je fus jeté
Du haut de la splendeur dans cette cécité,
Après l’écroulement de l’ombre sur ma tête,
Après la chute, nu, précipité du faîte
A jamais, à la tombe inexorable uni,
Quand je me trouvai seul au bas de l’infini,
J’eus un moment si noir que je me mis à rire ;
La vaste obscurité m’emplit de son délire ;
Je sentis dans mon cœur, où mourait Dieu détruit,
La plénitude étrange et fauve de la nuit,
Et je criai, joyeux, triomphant, implacable :
« Guerre à ces firmaments dont la lumière accable !
Guerre à ce ciel où Dieu met tant de faux attraits !
Il a cru m’en chasser, c’est moi qui m’y soustrais.
Il me croit prisonnier, je suis libre. Je plane.
Et le démon, c’est l’aigle, et le monde, c’est l’âne.
Et je ris. Je suis fier et content. J’ai quitté
Les anges vains, abjects, vils, et toi, la clarté
Qui les corromps, et toi, l’amour, qui les subornes !
Quel bonheur que la haine alors qu’elle est sans bornes !
Ce Dieu, ce cœur de Tout, ce père lumineux
Que l’ange, l’astre, l’homme, et la bête, ont en eux,
Ce centre autour duquel le troupeau se resserre,
Cet être, seul vivant, seul vrai, seul nécessaire,
Je vais m’en passer, moi le colosse puni !
C’est bien. Comme je vais maudire ce béni,
Et faire contre lui, tandis qu’Adam l’encense,
De la révolte avec mon ancienne puissance
Et de la flamme avec les rayons que j’avais !
Comme je vais rugir sur lui ! Comme je vais,
Moi, l’affreux, face à face avec lui le suprême,
Le haïr, l’exécrer et l’abhorrer ! […] »
La fin de Satan – Victor Hugo
« Chercher à atteindre l’autre dans ce qu’il a de plus vulnérable, de plus cher. Maintenant elle cherche à déstabiliser DHH. Il y a un mystère du mal chez cette femme. […] elle a, c’est certain, une culture et un regard sur le monde parfois lucide et pertinent, puis sa méchanceté la reprend et elle envoie ici tout son mal-être dans des paroles horribles. […] Elle tue par ses paroles, ses insinuations. »
christiane dit:
Marie la Chiasse est facile à décoder: pour supporter ses frustrations affectives (aucun mec ne l’a jamais supporté plus de cinq minutes) et sa solitude totale et définitive dans le trou à rats où elle vit, elle se saoule la gueule tous les jours et vient se venger ici des femmes gentilles qui ont réussi leurs vies, comme Lavande et DHH, par exemple.
Une telle Blatte de Blog il faut la dresser à coups de gifles, sans lui laisser passer une seule attaque. Et en attendant que P.Assouline la vire définitivement, puisqu’elle répand sur cet endroit un odeur d’ordure insupportable.
De la Religion facteur d’ordre, déjà entrevue par De Maistre
cte blague.. »il faut une botte de foin au peuple ».. »qui l’empéchra de voler mon grain? »..voltaire..quant a mauras..pas houblier quil a été misalindesque..hoo..pas pour cquon dit..gallicanisme..la vrai druate française est positiviss attation..renan..tout ça..vont pas slaisser emmerder par des cochons violets msieu courte
@ Chaloux
Tu penses quoi du Bach de Víkingur Ólafsson?
Aria variata (alla maniera italiana) in A Minor, BWV 989
Et en attendant que P.Assouline la vire définitivement, puisqu’elle répand sur cet endroit
un odeur d’ordure insupportable
..propos toutafé haissabe..fort tenu par des keupus..tes altères..tèrezoune n’a jamais que déblaterer..comme toi..pense à ton buddy qui pratique la « vénrie souterraine »..mais ad hominème..certes c’est telment dsa condition qu’un marxiss léniniss ne peut lui trouver que des circonstances consanguine et alcolique qui génétiquement l’empéche à l’ordinaire bravitude..et puis..il s’en prend telment..
La fin de Satan – Victor Hugo
cricri rtrouve à hair..tout rtombe dans ses gonds..comme au danmark qu’il dirait ‘hamlet’..le connard
@ Chaloux
Tu penses quoi du Bach de Víkingur Ólafsson?
la ligne officiel a pédro..faire le trouducul..satut dafrenchézado au consulat
JAZZI? P.LEGENDRE est aussi érudit en sciences humaines et divines » comme il dit , et ami d’artistes dont WISEMAN
https://fr.wikipedia.org/wiki/Frederick_Wiseman
côté cinéma
assez maintenant
à citer P.Legendre , autant rappeler:
« Pour l’individu comme pour une organisation, le principe de Raison – la
non-folie – se joue précisément par les grands moyens symboliques, c’està-dire par le travail institutionnel des métaphores destinées à imposer la
différenciation d’avec l’Objet absolu – entendez d’abord : d’avec la
Demande absolue. On peut être fou de Dieu, fou d’Hitler, de Mao, de la
Science, de n’importe quel Objet emblématique promu en absolu. Le lien
totalitaire n’est pas un lien, mais un non-lien, un état de fusion avec
l’absolu, où la mort elle-même n’est pas représentable – faute d’avoir
accès au vide qu’introduit la dimension structurale de l’énigme -, et les
meurtres à tout-va ne sont qu’un effet dans une conjoncture non pas de
dépersonnalisation, mais de dé-métaphorisation du langage et du
support institutionnel de la vie ». P. LEGENDRE, Le désir politique de Dieu.
Étude sur les montages de l’État et du Droit, Leçons VII, préc., note 2,
« Deux commentaires cruels et ignobles de sasseur, suggérant que « c’était pratique d’avoir un mari dans un fauteuil roulant ». Ce fauteuil roulant dont il était depuis toujours et de plus en plus prisonnier. […] Et l’horreur ne s’arrêtant pas là, Sasseur avait continué ironiquement sur l’adoption de leur fille. Je vous passe les détails… »
La foldingo ferait bien d’y revenir sur les « détails ». Cette hystérique va savoir de quel bois je me chauffe. Elle ne va pas impunément m’attribuer des commentaires qu’elle est bien incapable de comprendre, pour mieux les dénaturer.
Mais combien en a-t-elle fait fuir, cet engin ?, la liste est trop longue. A commencer par celui dont elle s’est immiscée dans l’intimité familiale, et je peux affirmer ici, que ce n’est pas la pire saloperie, dont elle aura émaillé sa vie de vieille instit’ obscène.
Et puis , cette duegne sait trop bien faire parler les absents. Quitte à m’attribuer des identités de personnes bien vivantes, avec des calomnies, dont elle est coutumière.
J’ai bien l’honneur d’avoir ici mis en garde Lavande, lorsqu’elle a publiquement dévoilé son identité.
Je sais et pour cause -qui ne regarde pas cette connasse de vieille instit’- ce que son époux a fait pour la mairie de Grenoble.
Elle a quelque chose à ajouter , la kapo du blogapassou ?
bouguereau dit: je vois toujours ton verre à moitié vide keupu
»
je crois qu’en vérité tu n’as jamais bien vu grand chose greubou, à part peut-être les recettes de cuisine.
Et il est tout aussi vrai, que même avec une proximité géographique les occasions n’auraient pas manqué de saluer Lavande.
Mais voilà, moi les vieilles à tricot, c’est pas mon truc.
comme par hasard , pour LEGENDRE,
, enchâssé qu’il se trouve avant sa naissance dans la
trame d’un ordre symbolique qui le précède, et soumis au texte
juridique que chacun, dès son entrée dans la vie sociale, ne
saurait ignorer
50. De ce point de vue, toute réduction du sujet à sa
réalité physiologique apparaît comme un processus de
désubjectivation, une mise au silence.
C’est sous cet angle que Legendre entend montrer, en
dehors de tout psychologisme, sur quoi repose la subjectivité et
par quoi elle est tenue. Le « tenir » institutionnel est garant de la
or :
toute réduction du sujet à sa
réalité physiologique apparaît comme un processus de
désubjectivation, une mise au silence.
c’est la pratique des erdélien-ne-s
bonne soirée
1350
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