de Pierre Assouline

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La République des livres
Le génie des lieux

Le génie des lieux

Il n’y a pas que les personnes : les maisons aussi peuvent résister. Offrir de la résistance. C’est la manière la plus fascinante et énigmatique par laquelle peut se traduire un phénomène impalpable que l’on appelle le génie des lieux. Faute de mieux et par défaut car comment le dire autrement lorsqu’un endroit lourd de sa propre histoire se met à raconter ce qu’il a vu et ce qu’il a vécu. On sait que les murs parlent mais rares sont ceux qui savent les écouter. Des poètes, sûrement ; des écrivains, parfois. Ces maisons sont habitées. Pour ne pas dire hantées. Elles ont un destin semblable à celui d’une personne. Elles vivent en nous et en dehors de nous. Deux romans leurs rendent justice.

Marrakech a beau être devenue un haut lieu du tourisme occidental, peu d’étrangers y sauraient situer la Villa Taylor, moins encore sauraient dire ce qu’elle fut et l’on compte sur les doigts d’une main ceux qui y ont récemment pénétré. Un bijou Art déco niché au cœur du Guéliz, le quartier européen de la ville du temps du protectorat français, dans un environnement de maisons coloniales ou mauresques. C’est dire que le lecteur attend beaucoup de Villa Taylor (250 pages, 18 euros, Anne Carrière). Pour leur cinquième roman, Michel Canesi et Jamil Rahmani signent là ce qu’ils ont écrit de plus accompli, comme si le passé et la beauté des lieux les avaient envoûtés jusqu’à les porter.

Cette maison, ils nroosevelt-and-churchill-grangere l’ont pas seulement regardée, humée, écoutée : ils s’en sont imprégnés. On croirait même qu’ils ont imaginé comme un prétexte l’histoire de Diane, une vraie prédatrice dans son milieu, executive woman réputée dure en affaires dont la vie privée a été asséchée (« un désert ») par son ambition professionnelle, qui hérite de ce lieu mythique à la mort de sa grand-mère et s’y rend à contre-coeur afin d’y régler les détails de la succession ; elle découvre à cette occasion ses propres zones d’ombre, affronte ses démons intérieurs, met à nu la névrose d’abandon qui la tenaille depuis l’enfance et fait face à ses contradictions, au risque d’être étouffée par cette maison qu’elle a toujours crue hostile ; même la barrière de l’Atlas au loin lui est oppressante. Un prétexte romanesque comme pour mieux mettre en valeur la villa tenue pour un personnage en soi, le vrai personnage principal du roman. Cette maison nimbée de palmiers et cyprès, cernée par les oliviers et les washingtonias, ils la font respirer, vivre, parler avec une délicatesse et subtilité.

Construite dans les années 20 par Mrs Edith Bishop Taylor, femme d’un riche banquier new-yorkais, sa propriétaire y passait ses hivers. Elle s’appelait alors « La Saadia », autrement dit « la Bienheureuse ». Sa maison connut son heure de gloire lorsque Roosevelt et Churchill y dormirent, ensemble mais pas dans la même chambre, afin de discuter de la situation. Il y avait de quoi : cela se passait les 24 et 25 janvier 1943 en marge du sommet d’Anfa, à Casablanca. Sir Winston ayant installé son chevalet sur la deuxième terrasse de la tour berbère de la villa, en profita pour peindre un paysage qu’il s’empressa d’offrir au président américain au grand dam de Mrs Taylor, déjà outrée qu’un démocrate se soit roulé dans ses draps, elle qui avait toujours soutenu le parti républicain. Cette lumineuse aquarelle est sa seule œuvre de guerre ; le reste de son œuvre fut la guerre. Mais outre la France où il s’est rendu régulièrement jusqu’à sa mort, notamment sur la côte d’Azur, sir Winston adorait le Maroc pour sa lumière si apaisante qu’elle réussissait même à mettre à distance le black dog qui lui pesait tant sur le cou avant de l’emmener par le fond pendant des heures ou des nuits.

La tandem formé par Canesi & Rahmani réussit là le plus difficile : outre les couleurs, rendre les odeurs et les parfums tant de la ville que de la villa. Rien moins que son âme. D’ailleurs, l’un des personnages ne découvre-t-il pas qu’en phénicien « parfum » se disait rouh qui signifie « âme » en arabe ?..

« La Villa Taylor a ému Roosevelt mais pas dans le sens espéré par Churchill. L’Américain n’y a pas vu une ode au colonialisme mais le chant du cygne d’un monde à l’agonie »

Le fils de Roosevelt hérita du fameux tableau et le revendit en 1950 à George W. Woodward, un collectionneur du Nebraska lequel le céda quatorze ans après à un producteur de cinéma et ainsi de suite de collectioneurs à collectionneurs jusqu’à ce qu’en 2011, à la suite de sa énième exposition dans un musée d’Atlanta, on découvre que le propriétaire anonyme n’était autre que le couple Brad Pitt/ Angelina Jolie… qui vient juste de divorcer. Que va donc devenir le tableau ? Ce pourrait être la matière d’un autre roman…La-Villa-Kerylos-Beaulieu-sur-mer-2

Pour écrire Villa Kérylos (352 pages, 18 euros, Grasset), l’historien de l’art et romancier Adrien Goetz s’est transporté, lui, du côté de Beaulieu dont la devise est Pax in pulchritudine (Paix dans la splendeur) et les habitants des Berlugans (qui ne l’aurait deviné…). « Sa » maison est beaucoup plus connue que la Villa Taylor puisqu’elle s’offre aux visiteurs. Elle n’en est pas moins mystérieuse. On se demande même comment on a pu durablement y habiter tant elle ne semble pas faite pour ça. Et pourtant, quel point de vue ! quelle situation ! et quelle exquise extravagance à dix minutes à pied de la villa Ephrussi sur le cap Ferrat…

L’homme qui l’a fait édifier au début du XXème siècle n’était pas seulement issu d’une famille très fortunée, d’une liberté et d’une fantaisie épastrouillantes ; il était également très savante, érudit, connoisseur dans son genre, de même que ses deux inséparables frères. Théodore, Joseph et Salomon Reinach constituaient dans le Paris des salons et des Académies une fratrie des plus originales. On les appelait « J.S.T. » pour « Je Sais Tout ». Joseph, ardent dreyfusard et chroniqueur méthodique de l’Affaire, lui consacra une somme en plusieurs volumes qui fit autorité ; pendant la première guerre mondiale, signa tous les jours dans des gazettes des comptes rendus des batailles qu’il signa Polybe. Théodore, le plus génial des trois, véritablement savant dans tous les domaines (aujourd’hui, on appelle ça « un Google ») fut en quelque sorte le co-architecte de sa maison avec le véritable architecte, Emmanuel Pontremoli. Il ne lui demanda pas de reproduire ni de pasticher mais bien de réinventer une maison noble de la Délos du IIème siècle av. J.C.

p55-03imLe projet consistait à en faire une maison entièrement dévolue à l’esprit, sinon à l’âme, de la Grèce ancienne. Les trois frères y observaient une règle qui consistait à n’y converser qu’en grec ancien, ce qui excluait d’emblée leurs épouses. Elles ne se plaignaient pas seulement de l’inconfort, malgré la beauté des lieux. L’une d’elles déprimait sans son piano, lequel aurait, il est vrai, réchauffé les lieux. Mais comme il n’était pas question qu’il fut pas hellène, son mari y fit graver Pleielos Epoiesen (Pleyel l’a fait) et lui demanda d’interpréter en priorité pour leurs invités les Six épigraphes antiques de Debussy. Ce qui n’empêchait pas Théodore Reinach d’y jouer pour sa part, et à grand fracas, la Grande Duchesse de Gerolstein avant de transcrire pour piano ce qu’il tenait pour la première œuvre musicale de l’humanité : l’hymne à Apollon de Delphes dont il confia les arrangements et la création à un habitué des lieux, Gabriel Fauré.

L’histoire est passionnément racontée par le fils de la cuisinière des voisins, les Eiffel, un certain Achille, ce qui est bien le moins. Dans son grand âge, il revient sur les lieux et se souvient des colonnes en marbre de Carrare, les stucs à l’antique, les bois exotiques. La plus belle pièce de la maison était nommée l’Andrôn, le vestibule Thyrôreion, les chambres des invités Philémon, Baucis, Dédale, Icare, les thermes Naiadès, l’avant-cour prolongeant le vestibule Proauleion et le chien répondait au nom de Basileus ! Le petit Corse issu d’une famille très modeste avait en quelque sorte été adopté tout jeune par les Reinach qui lui enseignèrent une partie de leur savoir, l’initièrent aux langues anciennes, le firent souffrir dans l’apprentissage de la grammaire grecque, le poussèrent à étudier sans relâche et surtout lui permirent de trainer en permanence entre ces murs.

De son propre aveu, il était trop jeune pour avoir conscience de « l’anomalie monstrueuse qu’était ma vie de tous les jours avec les Reinach », lui qui vivait sur la pointe des Fourmis comme dans une principauté indépendante. Il est vrai qu’il lui arrivait de crier « Evohé, Evohé ! » en se promenant nu la nuit sur la plage avant de se jeter dans les vagues, ce qui n’était alors pas très courant dans le département des Alpes-Maritimes (la pratique a dû se généraliser depuis). Manifestement, le commerce quotidien de Théodore, auteur d’un Mithridate Eupator, roi de Pont (Firmin-Didot, 1890) unanimement loué pour sa finesse d’analyse, avait laissé des traces. Bien que la maison ait été pillée par les nazis après l’invasion de la zone libre, et que nombre d’archives en aient disparu, le vieil homme nostalgique ne désespère pas de retrouver sinon la couronne d’or d’Alexandre le Grand, fameuse parure royale grecque sur laquelle tous les archéologues ont fantasmé, du moins des signes, des traces, des échos de la description de la fresque représentant Sisoès découvrant son tombeau.

Cette demeure, Achille Leccia, devenu un peintre abstrait après 1945, la vénéra comme une maison de famille alors que cette famille n’était pas la sienne. Il était de la nasse 1907, (pardon : de la classe 1907) comme son meilleur ami Adolphe Reinach, fils de Joseph. Ensemble, ils se battirent au front mais seul Achille en revint. A sa manière, par son récit souvent émouvant, parfois drôle, toujours juste, il nous fait la mesure du temps, son poids, son épaisseur, sa densité. Le curé du coin, visitant la maison achevée, eut un bon mot qui remit les choses à leur place :

« Cela fera de jolies ruines quand ces gens-là seront ruinés ».

Formule brillante mais fausse car la villa Kérylos brille encore de mille feux et plus encore désormais avec ce guide sans pareil, la fiction aidant. Par le biais des alliances et des disparitions, Léon Reinach, fils de Théodore, et sa femme Béatrice née Camondo, ainsi que leurs enfants Bertrand et Fanny, avaient hérité de l’histoire, du passé, du lustre, à défaut des murs eux-mêmes, de la villa Kérylos, du musée Nissim de Camondo, du château de Champs-sur-Marne, de la villa Ephrussi de Rothschild. Ils sont morts tous les quatre à quelques mois d’intervalle dans les chambres à gaz d’Auschwitz. A propos, en grec kérylos désigne des alcyons, ces oiseaux de la tristesse qui pleurent dans les poèmes.

(« Vue de Marrakech » de Winston Churchill, © The Churchill Heritage Ltd. Photo National Trust, Chartwell ; « Roosevelt et Churchill à la villa Taylor, photo Granger ; « La villa Kérylos » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire, Littérature de langue française.

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commentaires

489 Réponses pour Le génie des lieux

JC..... dit: à

Quittons nous, définitivement, sur une maxime confucéenne de Martial :
« Le sage ne doit tolérer qu’une seule agitation, celle de sa fière mentule »

Jean dit: à

De la rue Saint-Denis, Paris :

Marylène Lapine et Manuel Mac-Rond font savoir que, contrairement aux rumeurs, ils sont toujours à la colle. En dépit des préjugés, nationalisme ombrageux et mondialisation échevelée sont parfaitement compatibles. Question de présentation. Tout est affaire de rhétorique.

Jean dit: à

Ils sont morts tous les quatre à quelques mois d’intervalle dans les chambres à gaz d’Auschwitz.

D’après des conseillers autorisés de Marylène Lapine, tout ça, c’est que des calomnies.

JC..... dit: à

La lessive MACRON lave plus gland.

JC..... dit: à

Nous venons d’exclure de l’Institut un véritable caun qui affirmait que s’il y avait eu tant de gazés au Zyklon durant WWII, la raison était que les tarifs de groupe étaient exceptionnels.

Germania ! Germania ! qu’elle folie t’a pris ? tu es folle, voisine ! pourquoi ?…. (…quand je vous dis que la France va mal, avec un partenaire européen pareil. Regardez bien le corps de Mutti Merkel, le corps qui parle, lui, vraiment…)

Nicolas dit: à

Au moins avec ce débat nous n’avons plus de doute. Le Pen au pouvoir c’est l’instauration de la dictature.

JC..... dit: à

Quels sont les limites de la littérature ? la réalité …

JC..... dit: à

« Les autorités juive, protestante et musulmane appellent ensemble à voter Macron »

Cela devrait mettre la pute à l’oreille des hommes et des femmes de raison, non ?….

Lavande dit: à

Le commentarium est devenu une véritable nef des fous/folles. Dialogue strictement incompréhensible entre Rose et Bérénice!

Sinon MLP doit avoir des crampes dans les zygomatiques ce matin: son conseiller en communication lui avait dit « souriez, souriez, donnez l’impression que vous êtes aimable, bienveillante, chaleureuse, sympathique ». Malheureusement, elle, elle ne peut s’empêcher d’avoir un sourire méchant, hypocrite et hargneux.

JC..... dit: à

Ne projetez pas, Lavande….

christiane dit: à

@Lavande dit: 4 mai 2017 à 11 h 41 min
Mêmes impressions , Lavande.

christiane dit: à

Les commentaires de JC sont insupportables.

christiane dit: à

Les commentaires de Jean, aussi !

JC..... dit: à

Dégage, Christiane….

ce n’est pas une réunion de cellule de Parti Humaniste, ici ! …. juste une agora pour contribuables bien élevés.

Et tolérants….

JC..... dit: à

Les moutons iront voter Macron demain … ISOLOIR rime avec ABATTOIR.

JC..... dit: à

Depuis la Terreur des vertueux Saint Just et Robespierre, je ne me suis jamais autant amusé.

Delaporte dit: à

C’est le pire débat de tous ceux qui ont eu lieu sous la Ve. Même moi, je ne m’attendais pas à une telle dégénérescence. Marine Le Pen a tiré les choses vers le bas, et Macron s’y est engouffré naturellement. Cela fait très peur, quel que soit le vainqueur dimanche. Marine Le Pen, avec son affreux rictus qui dissimulait mal qu’elle n’avait rien à dire, et Macron, uniquement porté sur l’économie, n’ont pas su répondre de la fonction qu’ils convoitent. Il faut les recaler tous les deux. Hélas, ce n’est probablement pas possible. Maintenant, il est trop tard pour sauver la France.

bérénice dit: à

Le commentarium est devenu une véritable nef des fous/folles.

Passou lui même se plaît à voir dans son blog la nef des fous, Rose n’est pas des plus faciles à décrypter, on se demande où est l’envers de l’endroit et dans quel sens il faut la lire quand on n’a pas le sentiment qu’il manque carrément une page et même un chapitre qui aiderait à comprendre le fil de l’intrigue. Pour ce qui est de l’original qui supporte ce titre je regrette bien évidemment de n’avoir succombé à la tentation d’en faire l’acquisition dans une vieille édition, en cherchant qui sait si je ne le retrouverai pas un jour prochain au hasard des allées.

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Nef_des_fous_(Brant)

XYZ dit: à

Maintenant, il est trop tard pour sauver la France.

Le suicide s’impose. Ciao, delaporte; console toi, tu manqueras a personne.

Delaporte dit: à

« Le suicide s’impose. Ciao, delaporte; console toi, tu manqueras a personne. »

Je serai le dernier dans la poussière, car je veux voir cela. Je veux voir aussi la renaissance qui viendra après, et que le ciel nous promet.

bérénice dit: à

Lavande, un indice pour comprendre de quoi il retourne, vous connaissez l’homme invisible et bien je vis avec la doublure en satin de son manteau laquelle est travaillée d’innombrables poches dans lesquelles je trouve selon les jours depuis des années des documents divers affirmant, annonçant, déclarant, décidant, souhaitant, offrant … tout et son contraire, rien de bien de déstabilisant, il suffit de considérer cette présence dans l’absence comme un tissu de mensonges ou d’insincérité ou pour s’en accommoder, de tirer jusqu’au point extrême sur les fils afin de pouvoir plaisanter, s’amuser avec celui qui porte le vêtement, trouver ainsi dans le drame toute la cocasserie qu’on peut extraire d’une situation qui m’est assez désagréable à vivre . Je finis même par devenir inventive à force de méchanceté et par éclater de rire devant le résultat ahurissant de mes pérégrinations intérieures, c’est la meilleure de solutions pour y trouver de l’agrément. Au quotidien, la situation sue m’est renvoyée sans que je le cherche sous forme d’échos de qualité identique ce qui malheureusement interdit toutes possibilités d’oubli quand bien même du dedans ce serait rendu possible; l’extérieur tient à me rappeler comme une revanche sur ma différence que je n’échapperai pas à ses conditions ni à ma condition qui si nous nous étions en réalité rencontrés serait autre et m’éloignerait du monde laborieux dans lequel jusqu’à présent j’ai évolué . Un peu de Cendrillon et les sorcières sont nombreuses.

Delaporte dit: à

Les deux votes, Le Pen ou Macron, sont des votes nihilistes. Ce sont des votes pour détruire le pays à court terme. Le je-m’en-foutisme de Le Pen, la dictature économique de Macron : rien de tel pour nous rayer enfin de la carte. Un court et beau suicide !

Nicolas dit: à

Le grand soir du silence de dieu est à notre porté, si proche qu’on peut le caresser de quelques maux dérisoires. Vivement le plan Marshall.

JAZZI dit: à

Il semble que Marine Le Pen ait atteint son point d’incompétence ?

JAZZI dit: à

D’aucun amant d’ici aussi, si l’on en croit bérénice !

JC..... dit: à

Le plan Marshall, d’accord, mais Mar(é)shall nous voilà : restons français.

JAZZI dit: à

Les femmes perdront définitivement D. ?

JAZZI dit: à

Où est-ce la faute au whisky ?

Delaporte dit: à

Macron a conclu son lamentable débat par une promesse, du type de celles qui n’engagent que ceux qui y croient et dont les politiques sont coutumiers pour berner, une fois de plus, les votants :

« Je veux y apporter une réponse par une vraie politique de réformes, de transformation du pays. Celle qu’on n’a jamais faite depuis trente ans. »

JC..... dit: à

Entre une Marraine couilllue et un Bébé Macron castré…. j’hésite.

bérénice dit: à

Jazzi, j’ai trouvé qu’elle n’était pas à la hauteur et sans avoir jamais eu l’intention de voter FN , elle aurait pu au lieu d’attaquer en dressant un bilan négatif du précédent politique, économique, social défendre son programme proposition par proposition, elle n’était pas à l’aise sauf dans le dernier tiers du débat et surtout sur les thèmes de l’immigration, la justice, ce genre de choses. Elle a raté son exposé. Pour Emmanuel Macron, je ne sais si cela a été proposé n’étant pas attentive à cette campagne 24h sur 24, il aurait été judicieux de le mettre en concurrence avec des économistes comme Thomas Piketty qui ne partage pas sa vision et défend d’autres possibilités, et d’autres qui le rejoignent ou s’en éloignent, théoriquement trop compétent et habile sur ces points pour se faire contredire ou contrarier par Marine Lepen. Dans la presse écrite des arguments sérieux circulent, il faut les chercher et le grand et large public ne fait pas toujours cette démarche, moi non plus d’ailleurs.

JC..... dit: à

…. et si je m’en foutais complètement, de ces caunneries ?….

bérénice dit: à

Enfin , cette loi travail, simple détail , permettra à l’employeur d’annuler ou déplacer les dates des congés payés annuels d’un salarié en le prévenant 15 jours avant si besoin ( je crois) se présente pour assurer le bon fonctionnement de l’entreprise, dans ces conditions comment prévoir des vacances en famille, si ce détail est toujours valide dans la loi et bien que sur d’autres points je reste dubitative, je trouve qu’ils poussent un peu loin le bouchon , 36 abrogé en partie; jusqu’à présent la loi obligeait l’employeur à accorder les dates de congés souhaitées quand celles du conjoint n’était pas déplaçables – deux semaines garanties par la Loi – .

bérénice dit: à

n’étaient

Sergio dit: à

Jean dit: 4 mai 2017 à 9 h 31 min
ils sont toujours à la colle.

Non mais ça vaut pas c’est juste pour les deux parts d’IRPP y a pas de sentiments là-dedans…

Sergio dit: à

bérénice dit: 4 mai 2017 à 13 h 22 min
Enfin , cette loi travail, simple détail , permettra à l’employeur d’annuler ou déplacer les dates des congés payés annuels d’un salarié

Houi, alors là c’est surtout les petits chefs, les petits porions qui vont s’en donner à coeur joie, histoire de se jucher et naturellement sans le moindre rapport avec la production ou même la marche générale de la boutique..

Sergio dit: à

Bon ben c’est pas mal, tout ça, c’est bien que la Louise elle ait déraillé !

On n’a peut-être pas besoin de préparer les cocktails halor…

Sergio dit: à

C’est jamais la faute au whisky ! Y a des mecs faits pour le whisky et des mecs faits pour le Pepsi voilà tout…

XYZ dit: à

la renaissance qui viendra après, et que le ciel nous promet.

Encore un qui sort de sup de khons…

bérénice dit: à

Effectivement Sergio, je crois que E M sous estime la médiocrité et la méchanceté du genre petits chefs , il y a aussi cette clause permettant de licencier librement en cas de baisse d’activité de plus de trois mois, tout le monde va trembler et au moindre désaccord ou incompatibilité personnelle la porte sera ouverte dans le sens de la sortie, on trouvera bien un trimestre pour le faire et se défaire des éléments indésirables – ce sera à la tête du client – pour ainsi dire, avec cela un bon verrou à l’expression .

gardel dit: à

A Rose du 4 mai: Voilà, en chiffres, la 8e « Famille Macron » omis par l’Obs du 6/avril/2017. Merci.
——
L’appel de 35 écrivains à voter contre Marine Le Pen:
« Le 7 mai 2017, il faudra voter contre Marine Le Pen. Quel qu’ait été votre vote du 1er tour. Car il en va de nos libertés, de l’idée que l’on se fait de la France aujourd’hui et surtout de notre avenir et de celui de nos enfants. Une nation solidaire, ouverte, joyeuse, éduquée, créatrice, consciente de son passé, porteuse d’un projet fraternel et essayant de contribuer au progrès humain dans son ensemble ».
Sapristi! Quel programme! Et surtout quel exercice littéraire, on comprend le nombre de 35 les écrivains requis pour sa rédaction : sept adjectifs pour un seul substantif et la modestie d’un « essayant » pour faire universel et/ou humaniste sans la prétention d’un diktat quelconque. La formule, il faut le reconnaître, est indiscutable (imaginez-vous un antonyme pour chaque adjectif employé – on n’ira pas très loin. Sans parler de la tendresse implicite dans l’incontournable mention – un petit peu démago, il faut l’admettre – de « nos enfants ». C’est pas grave, on est en présence de 35 écrivains qui ne se vantent pas de leur métier, à peine s’ils le signalent pour, peut-être, conférer un plus de prestige et de respect à leurs convictions politiques. Même si on peut en douter, il est vrai qu’aujourd’hui, en s’agissant d’émotions, nobody is perfect.
—-
Je viens d’écouter à Régis Debray en FC. Un luxe.

Sergio dit: à

Non mais soixante c’est pas mal…

Delaporte dit: à

« Encore un qui sort de sup de khons… »

Il me semble que le plus con, c’est celui qui se voit contraint à un vote nihiliste, et que sa pauvre raison ne guide guère dans ce magma politique. Je lis que même dans le camp de l’extrême droite ils on tous été déçus par l’effroyable prestation de Marine Le Pen. Ils pensent désormais à Marion Maréchal pour lui succéder. Sera-t-elle à la hauteur ? Ce n’est pas certain du tout. Le FN, comme on sait, n’est pas une pépinière de talents prometteurs.

Bob dit: à

Il y a de ces cas, ici !!Et Delaporte des fois on peut se demander si vous êtes ironique – vous savez bien que la niece est encore pire et qu’il s’agit de préserver la répu :en refusant de s’abstenir ou de voter blanc

JC..... dit: à

« Une nation solidaire, ouverte, joyeuse, éduquée, créatrice, consciente de son passé, porteuse d’un projet fraternel et essayant de contribuer au progrès humain dans son ensemble »

Hélas ! 35 caunnards ne peuvent que pondre un tissu de caunnerie aussi lourd…. Ah, mein gott, qu’il est difficile de s’extraire du rêve de puissance que donne l’utilisation d’un traitement de texte convenable au sévices d’une pensée de merbe !

JC..... dit: à

Lorsque la mendiante républicaine vous demandera le 7 mai :
« La Peste ou le Choléra, monsieur/madame ? »

Répondez :
 » La pêche à l’andouille surgelée, tarée de mes deux ! »….

La population française sera désormais constituée des :
– Abstentionnistes, gens admirables et fiers de leur jugement
– Blancs, gens récupérables malgré leur faiblesse
– Caunnards qui iront dans un isoloir sépulcral voter pour un mort intellectuel et politique

Phil dit: à

sapré JC..carbure aussi au picon bière

Delaporte dit: à

« Et Delaporte des fois on peut se demander si vous êtes ironique »

Sans ironie, à la Voltaire, ce serait assez insupportable. Quand on se dit que dimanche sera élu l’un ou l’autre de ces pitoyables candidats, je crois rêver, à nouveau. Parce que nous devrions être blindés, déjà, avec Hollande, Sarkozy, et tous les autres qui n’ont été que de pauvres marionnettes pour sujets idolâtres. Pauvre humanité ! Pauvre France !

JC..... dit: à

Phil, je vous fais un aveu sincère. Trop jeune, je n’ai jamais bu un « Picon bière », c’est quoi, ce truc ? Un mélange stupéfiant ? un truc sordide inventé par les bougnats ?…

JC..... dit: à

Pierre Berger épouse Madison Fox : l’eugénisme des vieux.

la vie dans les bois dit: à

breaking news..

Stasera sur la télé France 2, D. Pujadas annonce la présence du  » plus lu de nos écrivains », parmi pas mal de l’akadémie.

Pas de soumission !

la vie dans les bois dit: à

Il faut avouer que les deux finalistes à la présidentielle, ne méritent cette intelligence apaisée, de penseurs français, qui s’expriment actuellement sur sur France 2
Me Dupont-Moretti est assez excellent dans le genre. Pour dénoncer la délinquance du fn.

JAZZI dit: à

« Pétition » Pour la survie de notre démocratie, des historiens appellent à voter Macron » : Azéma, Jeanneney, Ory, Rousso,… »

Passou aura eu une position impériale dans cette campagne présidentielle !

Sergio dit: à

JC….. dit: 4 mai 2017 à 19 h 14 min
un truc sordide inventé par les bougnats ?…

Habsolument ! Ca fleure bon le bistrot de campagne où c’est le seul truc marqué : « Mère Picon »…

Avec le papier tue-mouches qui pend du plafond !

Sergio dit: à

Maqueron c’est comme Cascade halor, le sympathique proxénète de Guignol’s Band… Du moment que ça fait fuir l’aute toupie !

la vie dans les bois dit: à

Séquence émotion sur France 2:
le franc-macron vs le franc qui vaut plus rien de le pen. Du jargon de banquier.

la vie dans les bois dit: à

Sergio, je pense que LF Destouches aurait été vraiment intéressé par ces échanges gros sous à la banque. Comme il se plaignait sans cesse, n’est-ce pas.

la vie dans les bois dit: à

Voilà le prof’ François, XIX èmiste du XXI ème siecle , l’Ecrivain , le nôtre, connu dans le mondentier, qui va s’exprimer.

la vie dans les bois dit: à

Michel Houellebecq, observateur, toujours surprenant, voudrait une petite place, caché dans un petit coin d’un bureau des Républicains… Quelle idée…

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 4 mai 2017 à 22 h 46 min
Comme il se plaignait sans cesse, n’est-ce pas.

C’est un peu difficile d’être le narrateur et l’auteur ; et toute son oeuvre est purement autobiographique. Donc enlever ces éternelles plaintes, ce serait taper dans la viande. Et pourtant des fois c’est assez marrant, mais d’autres c’est vrai que cela peut lasser. Alors qu’en plus il dit rien sous les bombes !

Je l’aime mieux en aide de camp du Courtial, à réparer le ballon…

D. dit: à

Marine Le Pen sera élue dimanche Présidente de la République.
Ce sont les asttes qui le disent.
Ce sont les entités avec lesquelles j’ai établi un canal qui le disent.
Ce sont de puissants calculs mathématiques qui le disent.
Mais il y aura également dès dimanche soir des manifestations violentes.
La France s’aprête à traverser une période très particulière de son histoire. La cinquième république n’a plus beaucoup de mois à vivre.

JAZZI dit: à

Cette campagne présidentielle aura été d’une rare violence !
Ele a commencée avec la mise à mort en direct du taureau Fillon.
On a vu l’envol de l’aigle impérial Macron.
On a assisté à l’implosion du PS et à la désagrégation du pauvre Hamon,
à l’émergence de la gauche de la gauche autour de Mélenchon.
Et voilà que l’on nous annonce la victoire de Marine Le Pen et le début de la guerre civile !

Widergänger dit: à

Tes entités mentent, mon pauvre DD. Ce sera encore toi le dindon de la farce. Il doit y avoir bien des ressentiments en toi pour que tu votes pour une grosse vache pareille. T’es vraiment à désespérer de l’humanité, mon gros DD.

Widergänger dit: à

En tout cas, moi, mes petits chéris, je retourne sur mon vélo électrique dès demain soir. On the road again with my bike… Youpiiiiii!!!!! There is so charming corners in the country side ! so beautiful ! so lovely !

Delaporte dit: à

Ce vendredi, Chevillard égrène son art littéraire :

« Comme si n’importe qui pouvait écrire n’importe quoi ! »

Le raisonnement est le suivant : moi, Chevillard, je ne suis pas n’importe qui, donc… je puis écrire n’importe quoi ! Ce sera de l’art, de la littérature ! L’avantage est que je ne me foulerai pas (je n’aime pas travailler), et que donc, malgré mon absence de talent, ce sera assez bon pour le public, qui a intérêt à aimer cela.
Ainsi raisonne Chevillard en ce beau vendredi de mai, et nous gâche en même temps la journée.

Bloom dit: à

Go on, ML! (there are such charming places…); The joys of freewheeling!
S’il est une chose que nous rapporterons d’Inde, ce sont des vélos électriques.

bérénice dit: à

« Comme si n’importe qui pouvait écrire n’importe quoi ! »

Delaporte, ce pourrait être , il faut être quelqu’un pour écrire quelque chose ou à l’inverse comme vous le faites remarquer il faut disposer d’un nom pour être autorisé à n’importe quoi, mais n’y a t il pas une pointe d’ironie , une critique des productions littéraires pléthoriques qui mettent à disposition du public tout et n’importe quoi , ne suis pas qualifiée pour juger de l’ensemble mais quelle avalanche contribuant à la déforestation pour l’éclosion d’une myriade d’auteurs depuis quelques années, dix ans peut-être, on a l’impression d’assister au chant du cygne de l’édition papier puisqu’on nous annonce sa fin prochaine; en attendant quelle moisson!

Lavande dit: à

Delaporte vous avez des détestations qui tournent au TOC.
Wgg: vote par procuration?

bérénice dit: à

Delaporte, pour se venger de son patronyme dont on peut trouver la définition dans un dico: boucher en gros qui fait le commerce des carcasses à la cheville, Eric Chevillard fait dans la dentelle de Calais, une autre définition du terme toutefois lui irait mieux: Servant à assembler les pièces d’un ajustage et, par extension, à boucher un trou . Pour ma part de lui j’ai lu: Du Hérisson, Le vaillant petit tailleur, Démolir Nisard, le désordre Azerty, L’auteur et moi.

bérénice dit: à

J’ajoute que j’ai déchiré choir parce qu’à l’époque il m’avait déçue. Un minuit, une vingtaine d’euros perdus, crotte de bique!

renato dit: à

Question de rire un coup, à combien peut-on chiffrer un capital pour commencer à parler de « grande fortune » ?

Et toujours dans la perspective de s’amuser, une autre question. Puisque ce n’est pas en disant que l’on fait le monde, si je dit que l’Europe devrait se confédérer pour après se fédérer, quel-le politique, selon les rdliens, pourrait parler nous apprendre les différences entre forme confédérale et forme fédérale sans passer par une fiche ou la case « dico » ?

Il va sans dire que je n’attend aucune réponse.

bérénice dit: à

Mais c’est quand même dommage car pour le même type de déconvenues s’il me fallait jeter au feu tous les poètes et auteurs qui dans leur vie privée- sans être puritaine pour autant – ont commercé avec des gens peu recommandables à certains égards qui me tiennent à coeur, cela ferait pas mal de volumes en moins dans les contemporains et les classiques, à ceci s’ajouteraient les raquettes, les ballons, les thèses, les doctorats, les pédalos, les diplômes de commerce, les mandats politiques de toutes natures, j’en oublie surement mais sûrement tout un village au napalm et je suis contre les violences alors compter les points ou les trous comme au golf, pourquoi pas? il faut cependant se garder de l’étroitesse d’esprit excluant les talents au motif que et j’ai autre chose à faire, donc débarrasser le grain de l’ivraie sans perdre de vue l’insoutenable légèreté de l’être toujours prompt à ranger provisoirement certaines de ses convictions, quelques uns de ses chevaux de bataille dans un moment d’égarement pour satisfaire certaines de ses pulsions, de l’hygiénique, du transgressif qui lui permettent vraisemblablement de mieux se diriger vers une station inconnue, un peu comme chacun dépasse une difficulté pour avancer d’une case . Reste cependant l’impardonnable qu’il appartient à chacun de définir et d’entretenir et quoique en matière de littérature et bien que je ne sois pas suffisamment lettrée pour en en avoir une idée exacte, il semble que parmi ceux qu’on adule, il y ait pas mal d’individus paradoxaux ou qui ont défendu des causes plus que douteuses et pour cette raison demeurent incompréhensibles .

bérénice dit: à

Bloom, si je possédais quelque chose de vous, vous subiriez un sort plus tragique encore, je vais m’initier au Vaudou exprès pour vous!

bérénice dit: à

Et j’hésite à vous faire part du point d’arrivée, tout ce temps pour en arriver là ; bien qu’on puisse comprendre la logique de certains justiciers solitaires nous ne sommes pas autorisés à délégitimer la Justice des hommes , en dépit de ceci il m’est arrivé de penser que si le crime n’était pas passible de privation de liberté il vaudrait mieux que je ne rencontre pas certains individus qui ne méritent pas de vivre car ils sont irrémédiablement nuisibles et sont responsables de forfaits qui auraient du les mener devant un tribunal si la société n’était pas si hypocritement organisée et ce depuis toujours mais ce serait renoncer à l’abolition de la peine de mort ou tomber dans un schéma du type règlement de compte entre mafieux, je n’en suis pas ni ne suis prête à renoncer à la loi Badinter puisque comme chacun sait la peine de mort n’est pas dissuasive et de plus est responsable de la mort d’innocents .

bérénice dit: à

Bloom, votre pavillon ressemble équipé qu’il est de barreaux aux fenêtres à une prison, à propos d’Edith W et des génies des lieux, à partir de votre point de recherche, on trouve ceci:

http://www.terresdecrivains.com/Edith-WHARTON

D. dit: à

Widergänger dit: 5 mai 2017 à 0 h 52 min
Tes entités mentent, mon pauvre DD. Ce sera encore toi le dindon de la farce. Il doit y avoir bien des ressentiments en toi pour que tu votes pour une grosse vache pareille. T’es vraiment à désespérer de l’humanité, mon gros DD.

Déjà il est fort possible voire probable que je sois moins gros que toi. Peu importe, j’ai toujours apprecié les gros.
Ensuite, et cela va étonner plus d’un, mais ne m’étonne pas moi même, car la clé mathématique est précisément là : mon choix de vote n’est pas arrêté à ce jour. Marine Le Pen m’a déçu lors du débat. Elle avait la responsabilité de défendre la nationalité et la souveraineté et elle l’à fort mal fait. Elle n’a tout simplement pas travaillé et a certainement été bien mal coaché.
Donc à cette heure, pour moi, c’est Blanc ou c’est elle.
Oeu importe mon vote et le tiens, Wgg, elle va passer parce que c’est écrit, d’une part, et parce que c’est aussi calculable en logique floue. Disons que l’on calcule un champ d’incertitude de résultat qui en fonction des paramètres donnés varie entre 30 et 70 pour cent. En mettant de côté les astres et les entités (mauvaises, je le précise, mais je ne fais pas commerce avec elles), critiques-tu ces chiffres, WGG ?

Maria martinez dit: à

J ai adoré la villa Taylor, les odeurs m ont ramené à Valencia en Espagne ou à Grenade, les bougainvilliers mélanges au jazmín et au basilique espagnol sont des odeurs étourdissantes qui imprègne l odorat du souvenir. L histoire semble écrite par une femme tellement le ressenti des gestes, la trace des mains et les sensations semblent être ébauchés par une âme féminine. Libro precioso dirait ton en espagnol mais non moins un livre précieux ! À lire, sentir garder er relire… mais surtout à partager.

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