de Pierre Assouline

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La République des livres
Pour saluer Zeev Sternhell

Pour saluer Zeev Sternhell

(Le grand historien israélien, spécialiste de l’histoire des idées politiques de la France et du fascisme notamment, voix écoutée et respectée de la gauche, vient de disparaitre chez lui à Jérusalem à l’âge de 85 ans. A cette occasion, en guise d’hommage à cet homme de qualité qui m’a honoré de son amitié des années 1980 aux années 2010, un fort tempérament gouverné par un absolu de l’exigence historique, la passion des archives en dehors desquelles point de salut pour le chercheur, une aptitude à fouiller dans les bibliothèques dans les rayons où presque personne n’allait plus, un côté franc-tireur isolé qu’il cultivait, une intransigeance qui lui valurent bien des soucis avec ses collègues français, et parfois de violentes polémiques jusqu’à des procès, on lira ci-après le compte-rendu de son autobiographie paru dans ces colonnes il y a six ans. Il est suivi d’un autre, encore plus ancien, relatif à son travail sur les anti-Lumières).

Pour une fois, on ne reprochera pas à un intellectuel de s’être résigné au livre d’entretien sur « saviesonoeuvre » en lieu et place de Mémoires dûment sortis de sa plume même. D’abord parce que, eu égard à la matière brassée par ses recherches, à l’extrême diversité de ses sources, à son érudition souvent impressionnante mais touffue, à la complexité théorique qui y est parfois à l’œuvre, il n’est pas toujours aisé de suivre Zeev Sternhell dans ses raisonnements ; d’autre part parce qu’il ne s’est jamais considéré comme un écrivain d’histoire ; enfin parce que ses thèses sur le nationalisme français ayant souvent suscité des controverses, du moins en France, il était de bon augure qu’un interlocuteur le poussât dans ses retranchements. Voilà pourquoi Histoire et Lumières. Changer le monde par la raison (361 pages, Albin Michel), recueil d’entretiens de l’historien israélien avec le journaliste du Monde Nicolas Weill, était espéré et attendu. Cette longue conversation, dont on ne doute pas qu’elle a été longuement réécrite et peaufinée par son auteur, savant d’une grande précision et d’une rigueur certaine, était la forme la plus adaptée pour populariser sa vision du monde.

Dans sa dimension purement autobiographique, le livre est passionnant. On y découvre dans toutes ses nuances la matrice d’une pensée. Car il est difficile, pour lui comme pour tout autre, de dissocier ses engagements d’universitaire et d’intellectuel de son cheminement intime. Né en 1935 dans une famille juive de la grande bourgeoisie de la région de Cracovie, tôt orphelin de parents qui furent déportés, réfugié auprès de sa famille à Avignon pendant la guerre, il a conservé de ce temps-là un « sentiment de solitude » qui ne l’a pas quitté durant toute son enfance et sa jeunesse. Même s’il a fondé une famille par la suite, il en est resté quelque chose en lui, dans sa solitude de chercheur. C’est en prenant acte de ce trait de caractère qu’il a renoncé à faire de la politique après avoir inspiré la création du parti Meretz et cofondé le mouvement La Paix maintenant :

« Je me suis rendu compte que je ne pouvais réussir que là où je ne dépendais que de moi-même » explique-t-il.

Le fameux procès que lui intenta Bertrand de Jouvenel, après sa mise en cause dans Ni droite, ni gauche (1983) n’aurait pas probablement pas eu lieu si Sternhell lui avait rendu visite avant pour l’interroger sur son rapport à l’Allemagne nazie ; or il veut s’en tenir aux textes dans leur jus et les analyser à l’abri de toute justification a posteriori. Il fuit les témoins de l’Histoire pour ne s’intéresser qu’à ce qu’ils ont écrit. Il va jusqu’à se méfier de l’empire que ses propres souvenirs d’enfance pourraient avoir sur la vie qu’il s’est construite ; c’est la raison pour laquelle il n’a pas vu Shoah, le film de de Claude Lanzmann. Le fait est qu’il travaille toujours en solitaire, ce qui n’est pas sans danger car cela peut aussi conduire à une forme d’autisme intellectuel. Il ne frotte son intelligence à celle des autres que dans les textes et le silence des bibliothèques, ou à la rigueur dans le cadre de colloques, réunions dont on sait qu’elles sont souvent des juxtapositions de monologues. Zeev Sternhell, qui vit à Jérusalem où il a longtemps dirigé le département de Sciences politiques de l’université hébraïque, n’est pas seulement, par sa seule volonté, un chercheur solitaire : il est géographiquement isolé de son terrain d’enquête et des bibliothèques et centres de recherches français, ce qui est particulièrement douloureux pour qui a, comme lui, le goût de l’archive. Mais cet isolement a des répercussions sur le plan intellectuel. Un tel parti pris méthodologique, qui se traduit par une absence d’empathie, reflète une absolue indifférence au facteur humain dans les engagements politiques. Loin de s’en défendre, il le revendique. Tout pour les idées !

Il est aussi déterminé dans son attitude « archisioniste » (en ce sens que les Juifs ne devaient plus être à la merci du bon vouloir d’autres peuples mais devaient fixer eux-mêmes leur destin) que dans son opposition radicale à la colonisation des territoires occupés en 1967 qu’il désigne comme « une plaie », « un cancer » et autres métaphores du même type, ce qui lui a valu un attentat terroriste d’un excité de Brooklyn à la porte de son domicile à Jérusalem. Ses pages sur sa fidélité désenchantée à la gauche israélienne, jusqu’à devenir l’une de ses consciences malgré un constat implacable sur sa déliquescence, ses trahisons et sa marginalisation, sa critique des inégalités croissantes en Israël, sont saisissantes d’authenticité.

Admirateur inconditionnel de la laïcité à la française (« une merveille »), tenant les bigots en horreur, il se définit comme un homme de gauche et un laïque absolu, la gauche des droits de l’Homme, de la Révolution française et de la Commune, depuis toujours, et certainement pour toujours ; car s’il y a bien un trait de caractère qui définit Zeev Sternhell, c’est sa constance en toutes choses ; il creuse le même sillon sur la durée et il faut vraiment un séisme intellectuel de très grande ampleur pour lui en faire creuser un autre.

Son expérience d’officier, les quatre guerres israélo-arabes auxquelles il a participé, n’ont pas seulement solidifié sa force de caractère ; elle ont appris à l’historien en lui à établir la relativité des points de vue, à ne jamais accorder foi à une source, à se méfier des mémoires et des témoignages. Il se défie de toute historisation des événements qui n’aurait pour effet que de blanchir le nazisme, ce qui ne l’empêche pas de mêler son vécu à l’analyse :

 « Il faut toujours se rappeler que chaque juif ayant survécu en Pologne a été aidé par quelqu’un, un catholique. On ne pouvait pas y parvenir tout seul »

 Et la France ? C’est l’autre grand thème qui traverse de bout en bout cette autobiographie. La France, et non le fascisme français, en est le fil rouge. Après les années avignonnaises, l’émigration en Israël, un mémoire de maîtrise sur Tocqueville, quatre années d’assistanat à l’université hébraïque de Jérusalem, ce fut à 29 ans la rue Saint-Guillaume à Paris, Sciences Po, et la lecture par hasard des Déracinés qui font de Maurice Barrès « le père du roman politique français ». En y découvrant le culte de « la terre et les morts », il y entendit les échos de l’idéologie du « sang et du sol » (Blut und Boden) allemand. Il s’y jeta à rebours de la science politique empirique, persuadé, quant à lui, du primat des idées « à l’état pur », et donc hélas souvent débarrassées du contexte historique, elles seules permettant d’expliquer la politique. A force de vouloir remonter le plus loin possible en amont, il se construisit un strict cadre conceptuel ramenant tout aux Lumières, qu’on les adule ou qu’on les combatte, quitte à ce que la philosophie politique prenne le pas sur l’Histoire.

fr-390-139-61c1fIl y a bien à ses yeux dans les élites européennes une tradition des Anti-Lumières qui court du XVIIIème siècle à la guerre froide, et même au-delà puisque le néo-conservatisme américain y est inclus, à la… lumière de laquelle il relit la critique radicale de la démocratie. Mais Sternhell a tellement tendance à remonter à cette source que non seulement il discrédite d’un revers de main les politologues qui ne le suivent pas sur ce chemin (« leur horizon ne remonte pas plus loin qu’une génération en arrière »), souvent par lui méprisés comme « historicistes », que son grand bond en arrière lui fait parfois négliger l’importance de la première guerre mondiale dans l’élaboration des totalitarismes. Tout historien des idées s’accordera avec lui pour trouver une cohérence entre d’un côté Voltaire, Rousseau, Condorcet, Montesquieu, Diderot, Kant et de l’autre, entre Burke, Herder, Taine, Renan, Croce, Spengler. Pour autant, tout débat politique doit-il se relire à l’aune de leur affrontement ? Il y a là quelque chose de binaire qui ne cadre pas avec la complexité, la richesse et la diversité des sources auxquelles le chercheur s’est abreuvé. Au moins a-t-il la bonne foi de reconnaître :

« Je parle de Lumières et d’Anti-Lumières comme de concepts. Je n’en fais pas des moments spécifiques de l’histoire européenne ou grecque. Cela non plus n’est pas toujours facile à comprendre… »

En effet… D’autant que tout à sa logique de démonstration conceptuelle, il nous entraîne sur le terrain des idées dans leur dimension la plus abstraite. (bizarrement, il n’associe le sacré et l’obéissance qu’à la religion, ce qui est pour le moins réducteur). On le suit avec un intérêt croissant lorsqu’il explique pourquoi il faut considérer la droite hostile aux Lumières comme étant elle-même révolutionnaire. Mais il élargit tant et si bien la perspective, incluant tant et tant d’éléments et de facteurs dans sa définition du fascisme, que l’on en vient à se demander plutôt qui n’a pas été fasciste. Les réflexions et les travaux d’Ernst Nolte et François Furet sont par lui balayés pour avoir privilégié la thèse d’un fascisme né en réaction à la révolution de 1917 et à la Grande guerre. S’il y revient souvent, au moins ne s’acharne-t-il pas contre eux, comme il le fait sur Raymond Aron ou Isaiah Berlin. Même le portrait de son ancien professeur de Science Po, Raoul Girardet, auquel il fut pourtant lié, est biaisé : avant d’être brièvement incarcéré en attendant son procès pour son activisme Algérie française, il le fut plus longuement sous l’Occupation ; si sa qualité de résistant avait été précisé, cela aurait rendu plus compréhensible qu’il n’avait « aucune nostalgie de Vichy », et pour cause !

En s’attaquant à l’ancien catéchisme de Science Po sur la question, à savoir que le fascisme fut un phénomène d’importation en France, quelque chose d’étranger à ses mœurs et ses traditions, il a pris le taureau par le cornes. Mais dans ces entretiens, il y revient plus vivement encore, dénonçant « le système de mandarinat français », dans lequel il voit un « réseau » solidaire et corporatif avec René Rémond aux manettes, englobant sans nuances la nébuleuse des historiens du contemporain de Sciences Po-Paris et de Paris X-Nanterre. Bref, une cabale à base de copinage ! Le grand patron de la politologie française aurait, selon lui, peu apprécié qu’à sa fameuse théorie des trois droites (légitimiste, orléaniste, bonapartiste), Sternhell ait osé rajouter une quatrième catégorie plus extrême : fasciste. Et c’est encore et toujours sa définition du fascisme, jugée trop extensive et abstraite, qui fait problème. Pierre Milza, Serge Berstein, Michel Winock auraient repris le flambeau de René Rémond en faisant bloc à la parution de Ni droite ni gauche (ce à quoi ils répondront par un livre collectif sous forme de mise au clair et au point)Ce qui vaut au dernier d’entre eux une mise en cause qui frôle la calomnie ; il l’accuse de déloyauté car celui-ci ayant été son éditeur, il n’aurait pas dû se démarquer de ses thèses en les critiquant dans un article du Débat ; or Michel Winock a toujours soutenu que son ami et auteur Sternhell l’avait libéré de ses obligations envers lui : « Tout cela est faux du début à la fin » polémique l’historien israélien ; à quoi Winock répond par anticipation dans une annexe de la réédition en poche de Nationalisme, antisémitisme et fascisme en France (503 pages, 11,50, Points/Seuil) en y reproduisant la lettre de 15 avril 1983 dans laquelle Sternhell, justement…

Contrairement à ce qu’il veut croire, ce n’est pas parce qu’il est un historien étranger, et qu’il assène des vérités dérangeantes, que le milieu de ses collègues français y a parfois mal réagi ; l’américain Robert Paxton, dont les révélations en 1983 sur la France de Vichy étaient autrement plus perturbantes, a longtemps représenté chez nous la doxa sur le sujet ; en fait, si Sternhell fait problème en France comme en Israël, c’est aussi par sa forme, son expression, la radicalité de ses positions, sa méthodologie que Raymond Aron qualifia de « a-historique », son absence de doute et sa manière de récuser les thèses adverses ; et gageons qu’avec ce nouveau livre, particulièrement vif et nerveux, où des intellectuels comme Alfred Fabre-Luce et Bertrand de Jouvenel sont traités de pronazis, cela ne s’arrangera pas, ce dont il se moque bien. Lui n’en démord pas, volontiers provocateur, exhumant leurs articles et textes de l’époque quitte à se voir reprocher « le terrorisme des citations ».

Et il enfonce le clou sur les anciens combattants regroupés dans la ligue des Croix-de-feu, puis au sein du Parti social Français du colonel de La Rocque dont il persiste à vouloir faire un mouvement fasciste, en cela d’accord, comme il le fait remarquer, avec la totalité des historiens étrangers travaillant sur la question, et en contradiction avec nombre d’historiens français travaillant sur la même question, qui taxeraient plutôt ces mouvements de conservateurs ; ils se défendent de voir du fascisme partout où il y a une critique virulente de la république parlementaire ; la modélisation du fascisme par Zeev Sternhell  est selon eux si vague, et surtout si généalogique et héréditaire, elle amalgame si facilement les antilibéraux, qu’elle inclut dans le lot beaucoup de monde, partis, mouvements, ligues et personnalités, de Esprit à l’Action française. Or à trop ouvrir le compas on risque de casser l’instrument. Malgré l’imprégnation fasciste de certaines élites des années 30, c’est tout de même le Front populaire qu’à cette époque, les Français ont porté au pouvoir. Il a fallu l’occupation de la France par l’armée allemande pour qu’une dictature s’y installe, ce que jamais Sternhell ne rappelle lorsqu’il compare les « fascismes » français et italien.

Reste à savoir ce qu’est au juste le fascisme. Un nationalisme avant tout, sans aucun doute, mais encore ? Contrairement à beaucoup d’autres, Zeev Sternhell n’inclut ni le parti unique, ni l’expansionnisme territorial parmi ses critères : dans le cas du premier, il y voit un instrument d’accès au pouvoir mais non d’exercice du pouvoir ; et on notera qu’il n’inclut pas davantage le déterminisme biologique. Quels critères alors ? La suppression des libertés publiques, la volonté de créer un homme nouveau sur les décombres de valeurs humanistes, la concentration de l’autorité dans les mains d’un chef, le rejet des principes des Lumières, de la démocratie, du socialisme marxiste et du libéralisme. Juste de quoi lui permettre d’affirmer que le régime de Vichy était fasciste, et que la France fut de longue date le berceau, la matrice, le laboratoire où fermentèrent les idées directrices des fascismes.

On voit par là que le débat est loin d’être clos ; encore faut-il s’entendre sur le sens des mots ; on s’en rend compte par exemple lorsqu’on l’entend dire que, dans la France d’aujourd’hui « l’extrême-droite se bat sur un terrain où elle excelle – la culture… » ce qui en surprendra plus d’un, attentif à l’actualité. Sur ce sujet, et sur quelques autres plus saillants, on aurait aimé d’ailleurs que son interlocuteur l’interrompe et le relance, quitte à le mettre face à ses contradictions. Le débat d’idées y aurait gagné en intensité ce qu’il aurait perdu en agressivité, accusations et insinuations contre les personnes, ce qui n’est pas digne d’un intellectuel et d’un homme de cette qualité. Cela aurait au moins eu pour effet de réduire la place accordée aux règlements de compte.

Lorsqu’il s’agit de textes «  »vieux » » de quelques années, la mention «  »Edition revue et augmentée » » réserve de bonnes surprises. Ainsi de l’étude décisive de Zeev Sternhell Les anti-Lumières. Une tradition du XVIIIème siècle à la guerre froide (928 pages, 12 euros, FolioHistoire).  La thèse qui y est développée avait fait du bruit lors de sa première parution en 2006 chez Fayard. Le chercheur y montrait et y démontrait comment les principaux théoriciens de l’opposition aux Lumières (Taine, Burke, Carlyle, Meinecke, Herder, Renan, Maistre, Maurras, Sorel, Spengler, Vico, Berlin, Croce…) n’avaient eu de cesse de s’épauler par delà les époques en ce citant, en s’étudiant, en s’influençant les uns et les autres. Sous la plume de Sternhell, on avait l’impression d’assister à une véritable course de relais où tous ses anti se passaient le témoin. C’est peu dire que cette tradition avait fini par constituer une culture en soi, et que celle-ci avait eu une part essentielle dans l’enténèbrement du XXème siècle.

C’est probablement à Nietzsche que revient la paternité de l’expression et du concept d' » »anti-Lumières » », de Gegen-Aufklärung qui fut au début platement traduit en français par «  »réaction à la philosophie des Lumières » » alors que les Anglais avaient naturellement adopté Counter-Enlightenment. Ce n’est pas qu’un mouvement contre-révolutionnaire puisque la critique émerge un bon demi-siècle avant la chute de l’Ancien régime. Il s’agit bien d’hostilité aux idées défendues par les philosophes, Voltaire, Rousseau, Condorcet, Montesquieu, Diderot, les Encyclopédistes et leur allié Kant.

Les uns comme les autres pensaient non dans l’immédiat mais dans la durée car ils posaient des questions fondamentales sur la nature humaine et la vie de l’homme en société. Surtout lorsque, à sa grande surprise, il retrouve sous la plume d’un Isaiah Berlin, soit après les deux guerres mondiales, les thèses exposées par Maurice Barrès au début du siècle sur le relativisme de toutes choses tenues par les Lumières pour des valeurs universelles (la liberté, le mal, la justice…). C’est bien cela qu’il fallait chercher dans cette querelle des Anciens et des Modernes. Les Lumières plaçaient la raison, la justice, le bonheur au-dessus de toutes autres valeurs. Il y avait chez leurs partisans un refus absolu du fatalisme en histoire, et de la résignation. En cela, le débat des pros et des antis n’a jamais cessé d’être actuel. Zeev Sternhell le démontait à travers une synthèse magistrale appuyée sur une lecture critique de tous les textes fondateurs de ces penseurs.

En quoi Sternhell a-t-il modifié son texte pour l’édition de poche ? Il a réécrit toute l’Introduction pour mieux mettre en valeurs les thèses du livre. Rousseau s’inscrit dans le cadre de cette refonte non seulement sur le XVIIIe siecle mais surtout sur la signification des Lumières et leur postérité, le totalitarisme et ce qu’il appelle le «  »libéralisme bloqué » ». Les uns (l’historien Jacob Talmon) ont voulu voir en Rousseau le fondateur du totalitarisme de gauche, les autres (le philosophe Isaiah Berlin) celui du totalitarisme tout court; ce dernier voit même en lui le plus grand ennemi de la liberté. Il fallait plus nettement mettre le holà à ce type d’interprétations, plus durement, ce qu’il s’est employé à faire dans l’édition de poche. Pour river leur clou aux « Rousseau bashers » (dénigreurs de Rousseau) en appelant à la rescousse Benjamin Constant et Nietzsche. Il a retravaillé le chapitre 8 «  »Les anti-Lumières et la guerre froide » » sur Isaiah Berlin ainsi que l’épilogue afin de mieux montrer les liens entre le libéralisme bloqué des années 50-60 et l’actuel nép-conservatisme.

«  »Spengler et Sorel avaient raison: les Lumières peuvent être de tous les temps même si, pour eux, ce sont évidemment des périodes de décadence. Pour moi, les anti-Lumières peuvent être aussi  de toutes les époques. Dans les deux cas, il s’agit de structures intellectuelles » a dit ensuite Sternhell.

Il estime qu’en France, la paternité intellectuelle du néo-conservatisme revient bien à François Furet en raison de son interprétation de la Révolution française, inspirée de Taine bien davantage que de Tocqueville. Aujourd’hui, le néo-conservatisme s’exprime surtout dans les colonnes de la revue aronienne Commentaire ainsi que dans quelques autres, moins prestigieuses. Sans oublier le poids de Derrida et de l’école déconstructionniste, à peine mentionnés dans ce livre, dans la guerre à l’héritage des Lumières. Et quand on lui demande quelles grandes figures portent la postérité des Lumières, aujourd’hui en France, il cherche longuement avant de citer Jürgen Habermas et John Rawls… A croire que chez nous, c’est une pensée qui ne passe plus. Comme si on y prenait acte depuis peu d’une démission intellectuelle des élites dans la défense des Lumières.

( « Zeev Sternhell, Jérusalem 2015 » photo Thomas Coex ;  « Manifestation du parti Franciste en 1933 » photo D.R.; « Maurice Barrès à son bureau » photo D.R. ; « Robert Brasillach, Jacques Doriot, Claude Jeantet pendant l’Occupation » photo D.R. ; « Hippolyte Taine » photo D.R.)

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commentaires

1 350 Réponses pour Pour saluer Zeev Sternhell

Marie Sasseur dit: à

Sinon, pour les doryphores qui ont beaucoup blablaté sur mon compte, j’ai passé une merveilleuse journee. A Nice, il faisait une t°c ideale pour se baquer.

Et j’ai faim.

A demain !

D. dit: à

D, vous êtes bien silencieux…

Vous attendiez peut-être un commentaire au sujet de cette fameuse photo ?

christiane dit: à

Oui, bouguereau,
cette représentation ou d’autres :
https://www.revuedesdeuxmondes.fr/mille-visages-diable/
L’ironie de l’article n’empêche pas que grâce à une remarque… étrange de D. concernant le départ de Lavande, je me suis rappelé tout le mal qu’elle a fait et continue à faire, intentionnellement, ici.
Elle ne m’épargne guère mais ses quolibets ne font pas mouche, je la méprise trop.
Comme l’écrit Pablo : pas de quartier ! Aucune tolérance pour cette personne impitoyable.

et alii dit: à

P.L>egendre est un auteur recommandé par P.Assouline;il a été invité à Beaubourg, fait au moins une conférence dans un lycée bld saint Michel (sur le management, sauf erreur) et bien sur à l’étranger (japon notamment )

et alii dit: à

je n’attends aucune « circonstance atténuante » pour préférer les interprétations de P.Legendre aux insistances biologisantes des erdélien-ne-s

Marie Sasseur dit: à

@P.L>egendre est un auteur recommandé par P.Assouline

Oui et on a commenté.
Il y a des recommandations qu’il vaut mieux regarder à deux fois.

Janssen J-J dit: à

@ vedo… je sais, je sais, que vous l’avez lue à satiété, la lettre de Grimaud. Mais en avez-vos personnellement mesuré la portée ? Je n’en suis pas tout à fait sûr… Il est surtout bon de la rappeler aux « gens du monde » d’après qui ne l’ont jamais lue de l’Intérieur.

Au fait, pour celzéceux qui, manquant de courage, seraient passés à côté de cette sentence erdélienne, -les gens sont tellement distraits-, retenons ceci :

/// Passou dit : Allez Chaloux, un peu de courage pour une fois. A défaut de vous dévoiler, cessez d’insinuer et accusez clairement. Dites et révélez, nous sommes tout inouïe à la promesse de ce scandale universitaire et intellectuel. Ou alors demeurez dans le cul de basse fosse des complotistes///.

christiane dit: à

D. dit: à

D, vous êtes bien silencieux…
Vous attendiez peut-être un commentaire au sujet de cette fameuse photo ?
Certainement pas ! Vous m’avez posé une question je vous ai répondu. Je n’ai même pas cette photo qui n’a rien de particulier dans les clichés que je garde.
Le silence est d’un autre ordre ? vous semblez avoir bien du mal à juger les propos haineux et révoltants de sasseur comme si… vous étiez une partie d’elle…

D. dit: à

Pardon, Christiane, je n’avais pas lu votre commentaire au sujet du départ de Lavande.
Non je ne connaissais pas cet épisode impliquant Marie Sasseur. Je ne lis pas forcément tout contrairement à ce qu’on imagine. Si c’est vrai c’est abominable. Elle a réalisé sa faute et s’est excusée au moins ?

Janssen J-J dit: à

Etonnant…!, vu qu’elle vous cherchait sur la plage de Nice… Avez pas dû faire grands efforts pour aller la rencontrer. A toute.

christiane dit: à

D. dit: « Pardon, Christiane, je n’avais pas lu votre commentaire au sujet du départ de Lavande.
Non je ne connaissais pas cet épisode impliquant Marie Sasseur. Je ne lis pas forcément tout contrairement à ce qu’on imagine. Si c’est vrai c’est abominable. Elle a réalisé sa faute et s’est excusée au moins ? »

Merci D.
C’est VRAI et c’est abominable.
S’excuser ? Vous rêvez !
Cette femme est la pire personne qui s’exprime sur ce blog.

hamlet dit: à

greubou : qu’est-ce que j’ai donc dit de si haïssable ?

parce que j’ai dit qu’il est possible de voir surgir un Hitler quand on a 80% d’une population dans la misère qui n’ont plus rien à perdre.

dire ça c’est juste rappeler la seule grande responsabilité des politiques : éviter d’atteindre ce point de non retour.

c’est ça qui est haïssable ? tu aurais préféré que je dise que les allemands étaient des anti lumières nazis de naissance ?

et alii dit: à

legendre:l’interprétation est une affaire de meurtre et le lieu des
affrontements sanglants, parce qu’il s’agit de guerre pour
la vérité. Ces choses, apparemment fort oubliées,
reviennent de temps à autre sur la table, chez les hauts
gestionnaires du système, quand celui-ci se heurte à
l’absolutisme des autres (par exemple, à l’Islam), mais
nous avons horreur de penser que notre organisation
gérée si scientifiquement puisse reposer sur une querelle

58. Philippe PETIT, Traité du funambulisme, Paris, Actes Sud, 1997, p. 20.
59. Cet imparlable n’a rien d’une mystique de l’indicible, mais rappelle plutôt
que l’Interdit est sans « fondement scientifique, en ce sens que sa
justification ne peut être qu’usage métaphorique du vide ». P. LEGENDRE,
préc. 1, p. 85.
Les leçons de Pierre Legendre
(2011) 41 R.D.U.S. sur la casse subjective : 693
nouvelle clinique juridique autour du tiers?
d’interprétation et de textes, et non seulement sur des
rapports de domination économique60.
Dans son souci pour la mise en scène d

Pablo75 dit: à

Elle a réalisé sa faute et s’est excusée au moins ?
D. dit:

Mais tu imagines une pareille Ordure s’excusant? Tu as l’air de débarquer sur ce blog. À moins que tu ne joues le naïf parce que l’ayant côtoyée longtemps tu la connais très, très bien…

D. dit: à

Non je ne suis pas une partie de Sasseur.
Elle est de moins en moins mystérieuse pour moi. C’est une personne très douée et cultivée. Il faut lui voir ces bons côtés.
Sûrement aussi impulsive.

Marie Sasseur dit: à

« « Ouvrez votre Lagarde et Michard à la page 124 ». Combien de fois la phrase a-t-elle résonné dans les salles de classe ? Il n’est pas courant de faire de son nom de famille un nom commun. André Lagarde et Laurent Michard ont connu cette apogée de la célébrité de leur vivant, leur double patronyme devenant synonyme de manuel de littérature française. Pour ces deux profs de lettres, liés à jamais dans l’imaginaire collectif de générations d’élèves, ce fut le résultat d’une aventure professionnelle et d’une amitié de près d’un demi-siècle. »

https://www.vousnousils.fr/2005/07/13/lagarde-et-michard-celebres-et-meconnus-243162

Marie Sasseur dit: à

# « Pour mettre en route le moteur à fachos bon teint: « Dieu n’a rien créé de plus laid que la femme qui parle espagnol ». »

Bof, comme on le sait cet  » orthodoxe » de la putasserie ne s’est pas contenté que de de  » bons mots » pour antisémites de salon.

Faut aussi juger sur les actes.

Remember les « bijoux de famille  » de sa maitresse- femme ( font le nom ressemble a un truc qu’on buvait en Crète) qui lui importaient alors plus que le sort de la France.
Au point de cacher , ou detruire ? les seuls moyens de communication de la France Libre, dans l’ambassade de Roumanie.

Il faut que le philopede passe à table.

Chaloux dit: à

@Pablo, pas mal, il m’a semblé qu’il avait un peu de mal à tenir sa sonorité, mais je l’ai écouté dans mauvaises conditions. Je viens de déchiffrer la partition.

Gilels.

https://www.youtube.com/watch?v=Ugw_RPqQ8z8

Chaloux dit: à

Gigi la visqueuse continue de plus belle à copier-coliquer le même post d’Assouline. Suis écroulé de rire…

Hurkhurkhurk!

Demain ça va faire boum!

hamlet dit: à

Pablo75 dit: Mais tu imagines une pareille Ordure s’excusant?
 »

parce que vous, vous n’insultez personne ? vous ne tenez jamais de propos orduriers ?

sauf que comme vous êtes un faux cul de première : entre deux propos orduriers vous balancez une petite vidéo YT, pour que toux ceux qui laissent si facilement enfumer disent « ah merci Pablo, c’est merveilleux ! merci pour votre grande gentillesse… »

en définitif ce blog se partage entre ceux qui balancent des propos orduriers qu’il faut arriver à coder comme geubou, les hypocrites qui balancent 2 vidéos YT pour faire oublier leurs propos orduriers, et les bons clients qui ne savent tellement pas lire qu’ils tombent dans ces tartufferie.

ça vous sert bien à ça la musique Pablo ? vous l’instrumentalisez pour mieux faire oublier ce que vous êtes.

Janssen J-J dit: à

@ Demain ça va faire boum!

On attend tous cela avec impatience !… Depuis 15 j qu’on nous promet l’explosion d’un complot bilgérien… En attendant, ricanons un brin en trinquant à cette sentence exécutoire impérissable et immarcescible :

/// Passou dit : Allez Chaloux, un peu de courage pour une fois. A défaut de vous dévoiler, cessez d’insinuer et accusez clairement. Dites et révélez, nous sommes tout inouïe à la promesse de ce scandale universitaire et intellectuel. Ou alors demeurez dans le cul de basse fosse des complotistes///.

On attend toujours que l’intimé s’exécute en son CDBF…

Janssen J-J dit: à

en définitif ce blog se partage entre ceux qui balancent des propos orduriers qu’il faut arriver à coder comme geubou, les hypocrites qui balancent 2 vidéos YT pour faire oublier leurs propos orduriers, et les bons clients qui ne savent tellement pas lire qu’ils tombent dans ces tartufferie.

Et moi je me sens comme vous, hamlé…, en dehors de telles catégories, forcément…, étant de tendance chansons post marxistes et pré-agnostiques, un peu comme elle…
https://amomama.fr/161128-mylene-farmer-tous-les-details-sur-ses-c.html

Amitiés à J. Langoncet, GWG, Bilhoreau de Bayadère et Kilukru.

hamlet dit: à

bouguereau dit:

..propos toutafé haissabe..fort tenu par des keupus..tes altères..tèrezoune n’a jamais que déblaterer..comme toi..pense à ton buddy qui pratique la « vénrie souterraine »..mais ad hominème..certes c’est telment dsa condition qu’un marxiss léniniss ne peut lui trouver que des circonstances consanguine et alcolique qui génétiquement l’empéche à l’ordinaire bravitude..et puis..il s’en prend telment..
« 

rose dit: à

>christiane

je ne savais pas cet épisode.
Me souviens bien par contre de celui dans un spectacle d’un concert de jazz, (à New York ????) durant lequel Lavande son mari et une amie étaient tankés derrière la porte d’un escalier de secours à l’arrière de la scène.
Quand les musicos ont voulu de l’air frais, ouvrant la porte de secours ils sont tombés sur les trois écoutant leur concert.
À plusieurs, ils ont saisi le fauteuil roulant du mari de Lavande, l’ont hissé sur leur scène et il a assisté au concert en live, dans un coin de la scène.
Quel souvenir heureux que l’on doit à Lavande si chère à notre coeur…

Bien cordialement

Pablo75 dit: à

Pétomane Ultracrépidarien, tes arguties puériles, tes arguments de cour d’école, tes manœuvres de cancre qui en a mare de recevoir des gifles, sont comiques. Plus je te lis ici et plus tu me rappelles le Coyote des dessins animés hilarants Bip Bip et Coyote.

https://www.youtube.com/watch?v=ikan_UUMLIE

hamlet dit: à

quelqu’un peut de mander à Pablo de s’excuser pour ces insultes svp ?

et alii dit: à

sur Rawls donc:
« Legendre affiche un enthousiasme modéré à l’égard de l’œ uvre de Hans
Kelsen, tout comme il le fait à l’endroit de l’incontournable Théorie de la
justice de John Rawls à propos duquel il écrit que « l’analyse de la
fonction de juriste ne peut aller au-delà des descriptifs hérités de Weber
ou des ressassements protocolaires où s’enlise la philosophie du droit
d’aujourd’hui, par exemple chez Rawls. (…) Malgré son importante
érudition, la Théorie de la Justice est un livre très réducteur. Voyez ce
que devient l’œ uvre de Freud pp. 500 et 582. (…) ». Quant au philosophe
autrichien, il note que » si par exemple Kelsen, auteur d’un vigoureux
traité sur la théorie pure du droit, dont les écoles ont fait un point de
mire, s’est élevé contre la dissolution juridique, (…) ses explications
manifestent à la fois un sens aigu de la structure et, si j’ose dire, une
rigueur extrême dans l’impasse. (…) Kelsen n’étant pas encore en mesure
de saisir le lien du droit aux procédures de la représentation et, plus
généralement, au statut anthropologique du langage et de la parole ».
Pierre LEGENDRE, Le désir politique de Dieu Étude sur les montages de
l’État et du Droit, Leçons VII, préc., note 2, p. 300 et p. 144.

Janssen J-J dit: à

@ MS et ses fachos bon teint. Puisqu’on vous martèle, du plus profond du CDBF : Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre. Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre. Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre. Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre. Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre. Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre.Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre. Mon inutilité est un chef d’oeuvre. Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre. Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre. Vous êtes sourdingue ou amoureuse de 75-57 ou quoi encore ? Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre. Peu importe. Le Journal inutile est un chef-d’oeuvre. Combien de fois faudra-t-il le répéter, hein, MS !

Chaloux dit: à

Merci Hamlet, ce message m’avait échappé. Il m’aurait manqué.

Janssen J-J dit: à

@ quelqu’un peut de mander à Pablo de s’excuser pour ces insultes svp ?

D’accord : « Pablo75, pouvez-vous vous excuser pour vos insultes à Chalom57 et MS, svp. Merci ».

Marie Sasseur dit: à

#Combien de fois faudra-t-il le répéter, hein, MS !

C’est pour cela qu’il rafraîchir la mémoire aux chardons-morandess du blogapassou.
C’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de rappeler que morand n’a sûrement pas raconté dans son torchon pour antisémites, comment, pour sa rombière, il aura trahi, mais pas qu’un peu.

Marie Sasseur dit: à

Il le faut, autant de fois que nécessaire.

Chaloux dit: à

Je pense que Gigi la visqueuse ne va pas bien. De moins en moins bien.

Hurkhurkhurk!

Pablo75 dit: à

Tu parles de quelles insultes Pétomane Abject?

De ceux-ci?

ils faisaient quoi tes parents ? ils cultivaient les oranges en Andalousie en faisant travailler des marocains sans les payer ?
hamlet dit: 3 juillet 2019 à 11 h 09 min

et je te le redis pablito : si ta fille soigne des animaux il faut qu’elle aussi aille s’occuper des ouvriers de ton père, votre place à tous les deux est là bas à vous occuper du pauvre sort de ces gens qu’il fait travailler sous des serres où il fait 60 degrés ! pas ici !
hamlet dit: 20 juillet 2019 à 14 h 35 min

Ou tu parles de ces menaces, Ordure Morale?

« Pablo ton problème c’est moi que je ne suis pas Paul Edel, moi ta vie ici je vais te la pourrir !!! »
(hamlet dit: 3 octobre 2018 à 23 h 09 min

je vais te pourrir la vie, hé oui Pablo, je vais te la pourrir ta vie parce qu’on ne peut pas passer lâchement ce que tu dis.[…] je vais
continuer de te pourrir la vie.
(hamlet dit: 4 octobre 2018 à 12 h 33 min)

tu veux un conseil ? reprend un petit congé sabbatique de quelques années, parce que je sens que je vais encore te pourrir la vie et après
(hamlet dit: 20 juin 2019 à 21 h 02 min)

c’est justement parce que tu as cette vision des choses que tu donnes envie de te pourrir la vie pablito ! parce que si toi tu veux boxer, moi

ta vie je vais te la pourrir !
(hamlet dit: 17 juillet 2019 à 23 h 13 min)

Arrête de prendre les gens de ce blog pour des cons, Gros Crétin au Cynisme Stalinien…

Chaloux dit: à

Morand n’est pas une tête politique, c’est un grand écrivain, ce qui n’avait pas échappé à Céline. L’histoire du train est mal passée auprès de de Gaulle, qui a continué de son côté à utiliser les talents de Papon pour estourbir. C’est une preuve d’amour qui me semble touchante (pas de Gaulle-Papon, le train).

Marie Sasseur dit: à

Grand écrivain, tout de suite les grands mots. C’est du bidonnage.
Morand est un écrivain pour nationaux socialistes, qui avait des ambitions aristo. Mais plus encore c’est sa lâcheté qui restera dans l’histoire. .Et encore, quand on considère l’épisode de l’ambassade de Roumanie, le voila ramené au niveau d’ un petit malfrat, comme il y en en a eu beaucoup à paris, du temps où cette ville était allemande.
il y en a qui aiment le sadisme littéraire, comme se flageller. C’est ainsi que le pote de Laval est devenu grand.

D. dit: à

Mais si, Morand est un grand écrivain.
Tout comme Wagner est un grand musicien.

Pourquoi le nier ? On ne traite pas des hommes mais de leur oeuvre.

christiane dit: à

rose dit: « >christiane
je ne savais pas cet épisode. » (Hélas, Lavande s’en souvient !)
Bonsoir Rose, oui, je me souviens de ce concert qu’elle racontait…

J’ai lu aussi la réponse de D.
mystère… dans un passé proche il a dû la connaître autrement (professionnellement ?) et ne peut lire sans entrer dans le déni les horreurs qu’elle répand ici et qui ne sont pas de « l’impulsivité » mais de la perversion.

hamlet ? C’est autre chose. Il sait se défendre, cherche souvent querelle à Pedro (« on s’ennuie ici. Où il est Pedro ? »). Pedro a les mêmes règles du jeu. Il ne faut pas le chercher longtemps. Les deux ne se font pas de cadeau dans le registre de l’insulte.
A part cela j’aime les références littéraires de hamlet et j’aime les connaissances musicales de Pedro.

Chaloux et JJJ, je ne comprends pas trop ce qu’ils se reprochent mutuellement. C’est bas et moche.

Quand Chaloux a « joué » à me salir, j’ai répondu dans le même registre.
Je reste sur mes gardes… mais je suis juste. Ce qu’il a dit de la foi (et qui n’était pas une citation), m’a bouleversée. Et en musique, il assure, aussi !

Lavande comme DHH sont des femmes remarquables et honnêtes. L’injure, les insinuations dégradantes, la méchanceté les rendent tristes et vulnérables. Lavande est partie. DHH s’apprêtait à le faire. Moi, je suis restée malgré les ignominies que sasseur a déversé sur ma droiture d’enseignante et le respect que je porte aux enfants (« attention les petites filles ! a-t-elle osé ! »). Elle aime salir les autres, surtout les femmes. Quelque chose de lâche et de pervers la transforme en être méprisable.
Et comme je pense qu’elle était aussi « La vie dans les bois », elle n’a pas hésité sous ce pseudo à se faire passer pour la mère infanticide d’une petite élève, faisant peser sur l’école une accusation de non-assistance à personne en danger.
Oui, la pire langue de vipère hébergée sur ce blog…
Il en reste une que je ne nomme pas, assez fourbe…

Chaloux dit: à

L’assasseure, je vous laisse les prix de vertu, j’ai la mienne.

HHH!

Chaloux dit: à

Quand on voit comment la plupart des minables qui se disent (entre eux) écrivains se comportent sous Macron , on est très malvenu, et ils le sont aussi, pour donner des leçons de résistance.

Chaloux dit: à

Cricri Gobe Tout, mes leçons vous ont fait le plus grand bien, vous êtes beaucoup moins flagorneuse et donc beaucoup plus supportable.
Feriez mieux de nous parler de votre rencontre avec Giono, ce serait plus intéressant.

christiane dit: à

Chaloux,
Giono ? La liberté de dire va avec la liberté de ne pas dire. C’est un beau souvenir, c’était une rencontre essentielle… Peut-être un autre jour…
Pour ce soir je préfère relire les poèmes de Georges Seféris traduit du grec par Lorand Gaspar.

D. dit: à

Non je n’ai a priori jamais connu Marie Sasseur, Christiane. Ni personnellement ni professionnellement. Mais comme je ne sais pas qui elle est, je préfère nuancer.

et alii dit: à

je n’ai rien lu sur Cixous noué dans un même post à P.Legendre , lequel se présente comme « anthropologue » , même s’il est bien connu comme juriste et comme psy
(voir le colloque sur le parricide à Paris avec
Yann THOMAShttps://www.lemonde.fr/disparitions/article/2008/09/16/yan-thomas-juriste_1095766_3382.html
ah il y avait R.Draï au colloque
j’ai personnellement dit qu’on m’avait entre autres reproché d’évoquer sans autorisation !(erdélienne )Cixous (entre autres!)mais je ne comprends pas comment certaines personnes abondent dans cette psychologie « de la filiation  » que ,c’est bien connu, P.Legendre qualifie de « Bouchère » -et ses élèves, voire ses lecteurs- à sa suite sans doute-avec un accent biologisant extrême; sur quoi j’ai mis des citations dont des cijtations « du désir politique de Dieu » un titre qui consonne avec les posts des erdéliens moins instruits que P.Legendre en théologie, et en psy !
bonne soirée

D. dit: à

et ne peut lire sans entrer dans le déni les horreurs qu’elle répand ici 

Christiane, je viens d’user du mot « abominable ». Vous savez lire ?!

et alii dit: à

ps P.Legendre a parlé souvent de Rawls (billet)
en outre à propos du colloque sur le parricide, où Draï intervint il ne lui fut pas interdit de citer en hébreu (au contraire d’une certaine façon, de même que l’intervenante sur la Chine, une femme belge dont je n’ai pas retenu le nom citait en chinois)

et alii dit: à

ainsi titrai libé à propos de Y.Thomas à l’initiative duquel , je crois fut organisé le colloque sur le parricide autour de P.Legendre:
Yan Thomas, la mort d’un grand maître du droit:
« Yan Thomas, le grand juriste, spécialiste de droit romain et directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales qui, depuis quelques décennies renouvelait l’approche du droit, est mort. Il ne s’est pourtant pas éteint à la suite d’une longue maladie qui nous eût laissé le temps de nous préparer. Il nous a été brutalement arraché par un accident postopératoire, alors qu’il se préparait à rassembler ses articles dans des ouvrages qui lui eussent enfin acquis une notoriété publique à la mesure de l’importance de son œuvre.

Car celle-ci est aujourd’hui dispersée dans des revues spécialisées où sont parues des séries d’articles qui sont autant de chefs-d’œuvre de style et de science, qui ont su trouver une très large audience dans un public savant fort varié, allant de l’histoire du droit à la philosophie, en passant par l’anthropologie et les sciences politiques.

Depuis quelques années, une rumeur se faisait de plus en plus insistante : un immense spécialiste de droit romain était en train non seulement de renouveler entièrement l’approche du droit, en la remettant au cœur des interrogations anthropologiques les plus fondamentales (qu’est-ce que naître ? qu’est-ce que mourir ? qu’est-ce qu’hériter ? qu’est-ce qu’une chose ?), mais encore de bouleverser l’image des sciences humaines dans leur ensemble, offrant peut-être une solution à ce qui semble être leur
https://www.liberation.fr/tribune/2008/09/23/yan-thomas-la-mort-d-un-grand-maitre-du-droit_14358

D. dit: à

J’ai croisé Richard Millet hier. Un véritable grand écrivain, au style somptueux, unique, élégant, puissant. Toujours captivant et profond avec quelque chose de cistercien dans son oeuvre, d’une grande noblesse. Des gens comme ça n’existent presque plus. Des gens vrais avec des pensées vraies et une écriture vraie.
J’ai eu l’impression qu’il préparait une nouvelle oeuvre plus magistrale encore que les précèdentes. On verra.

Chaloux dit: à

Quand vous voudrez, mais ce serait plus intéressant tout de même. Je ne suis pas jaloux de nature, mais là oui.

et alii dit: à

titrait

et alii dit: à

au risque de vous décevoir, j’ai regardé la page wiki
de Yann Thomas:
Yan Thomas, né le 9 février 1943 à Alger et mort le 11 septembre 2008, est un juriste et historien du droit français.
Il a été le disciple d’André Magdelain et a été proche de Pierre Legendre. Ses travaux ont notamment inspiré l’œuvre du philosophe italien Giorgio Agamben.

Il a créé, avec Nicole Loraux, la collection « L’Antiquité au présent » aux Éditions Belin.

et alii dit: à

ainsi « commence » presque un article sur Yann Thomas:
« Yan Thomas ayant recouru à l’anthropologie, en particulier de la famille, pour analyser les constructions juridiques, il n’est pas étonnant que la préface de l’ouvrage ait été confiée à Maurice Godelier. C’est pour lui l’occasion de rappeler la nécessité du décentrement que doit accomplir l’historien de Rome. C’est cet oubli qui a fait que, selon Yan Thomas, on a surtout envisagé les critères de naissance ou de richesse pour analyser la vie publique romaine, rarement celui de la situation familiale, alors que Rome était avant tout une « cité des pères ».

En effet, pour jouir pleinement de ses droits, il fallait avoir le statut de père de famille (pater familias) et pour cela, le citoyen devait avoir été émancipé par la décision ou la mort de son père, voire de son grand-père paternel, qu’il fût ou non marié, qu’il eût ou non des enfants. Or trois Romains sur cinq avaient perdu leur père à 20 ans et seul un Romain sur dix connaissait son grand-père.
L’ouvrage s’ouvre sur l’étude du parricide dont l’ombre plane sur l’ensemble de l’ouvrage. Contrairement à l’homicide, délit de droit privé, le parricide (qui est bien le meurtre du père et non d’un citoyen comme le montre Yan Thomas) était considéré comme un crime de droit public parce qu’il attentait au pouvoir du père et donc à l’ordre civique. Dès lors, le parricide était désigné comme un « crime incroyable » par les juristes et les rhéteurs : la folie en était la cause ou la conséquence.
https://laviedesidees.fr/Les-fils-de-Rome.html

et alii dit: à

et d’ailleurs, puisque vous aimez jouer à « la famille » mais que l’un des propos du blog est de proposer des livres , voici le titre du livre de THOMAS/
Recensé : Yan Thomas, La Mort du père. Sur le crime de parricide à Rome, coordonné par Paolo Napoli, avec un avant-propos de Maurice Godelier, Paris, Albin Michel, 2017, 352 p., 22 €.

Janssen J-J dit: à

@ Ch.
Chaloux et JJJ, je ne comprends pas trop ce qu’ils se reprochent mutuellement. C’est bas et moche (…) Quand Chaloux a « joué » à me salir, j’ai répondu dans le même registre. C’est vraiment bas et moche, Ch. !
Quand Chaloux a « joué » à salir JJJ, j’ai répondu dans le même registre. Là, c’est bin plus haut et bin plus bieau.

(NB / Ils n’ont jamais supporté ma droiture morale, hein ! Mais peuvent pas tout comprendre).

vedo dit: à

« Malgré son importante
érudition, la Théorie de la Justice est un livre très réducteur. »
En effet, et encore plus réducteur sans doute pour son sujet fondamental, la justice, et aussi pour l’économie. Dans le passé, que de discussions vaines. Je me demande même s’il n’y a pas une grosse escroquerie (de bonne foi). Quand j’assistais à son séminaire, on se demandait si c’était lui qui avait écrit son livre.

Chaloux dit: à

Je crains qu’il ne nous faille bientôt saluer Gigi la visqueuse

Hurkhurkhurk!

OZYMANDIAS dit: à

Je viens d’ouvrir une bouquinerie à Laghouat, ma ville natale.
J’ai ramé comme un galérien pour obtenir tous les maudits papiers administratifs demandés en vue d’ouvrir légalement mon « commerce ».
Bureaucratie oblige !
Ma bouquinerie a pour nom :
« LIVRESQU’OASIS ».
Souhaitez-moi bonne chance.
Merci.

Chaloux dit: à

Gigi la visqueuse :ma droiture morale

Pauvre con.

Dès demain, quoi qu’il en soit le petit Bilger et les éditions du Cerf pourront la savourer, ta droiture morale. J’ai fait mon devoir.

Bonne chance Ozy…

et alii dit: à

ozymandias ;merci de ce signe de bonne santé et tous mes voeux de succès pour votre oasis !on croise les doigts!

et alii dit: à

il est certain que je ne comprends pas tous vos « échanges », et ne cherche pas non plus à les comprendre;je les trouve décevants, comme observatrice, même si j’y apprends certaines « choses » et c’est la raison pour laquelle je n’en veux pas, comme « actrice » ; des commentaires du billet, soit, et en dehors, je ne veux effectivement pas « partager » , comme on me l’a reproché, mon « ressenti » comme on dit : vos « récréations » me sont par trop étrangères ; avec ces quêtes « d’image(s) de soi »-je n’ai pas dit intentionnellement « reconnaissance » , trop « ambigu »,je regrette de ne pas le formuler plus précisément, il est tard , et je suis fatiguée ;
merci P.Assouline de votre travail;mais là, le mot reconnaissance est bien insuffisant

christiane dit: à

Chaloux dit: « Quand vous voudrez, mais ce serait plus intéressant tout de même. Je ne suis pas jaloux de nature, mais là oui. »

D’accord, Chaloux. Il faut bien ça pour sortir de cet amalgame de mots particulièrement boueux ce soir, sur la RDL.
Pour quelle raison, Didier Ruiz à fait appel à ces retraités ? Dale Recuerdos (Je me souviens). Je ne savais alors que de ville en ville, puis de pays en pays, depuis 1999, il menait la même quête : monter une représentation au cordeau où se suivent par séquence les paroles de ceux qui ont répondu à son appel : « Metteur en scène cherche hommes et femmes de plus de 70 ans pour travail professionnel sur la mémoire.»
Je ne les avais pas encore mais son projet m’intriguait. Après un échange informel, il m’a intégrée au groupe. Nous étions huit. D’abord des entretiens individuels. Il écoutait, prenait des notes puis l’immersion dans le groupe, la structure des prises de paroles… des objets que nous devions apporter importants pour nous.
Donc, est revenu, de loin (1965) ce souvenir : la rencontre avec Giono.
J’avais terminé mes études à l’École Normale de Rouen, devais prendre mon premier poste d’instit à la rentrée et doutais. Une amie me proposa de passer une partie de l’été dans un appartement de sa famille à Aix-en-Provence, vide. Un deuil l’avait laissé inoccupé. Je pouvais utiliser les trésors de la cave : toiles, chevalet, peintures, vélo et lire jusqu’à plus d’insomnie les livres innombrables de la bibliothèque.
Je partais sur la route du Thoronet, posais le vélo contre un arbre, dessinais, écrivais ou lisais. Pensais à Cézanne à la sainte-Victoire.
Le personnage Bobi du roman de Giono « Que ma joie demeure » me plaisait, sorti dont ne sait où sur ce plateau Gremone pour partager son rêve de vie communautaire avec des paysans. Je l’ai peint tel que je l’imaginais. Je pensais à Giono. J’ai eu envie de le rencontrer, de lui offrir cette toile, de parler avec lui de ce roman, de sa liberté de vivre de son écriture, de mes doutes, de mon choix d’entrer à Dupérré (métiers d’art) qui avait fini à la poubelle, ma mère ayant jeté la convocation au concours, préférant me voir devenir institutrice !
Un échange de télégramme. « Si vous ressemblez à votre personnage, Bobi, j’aimerais vous rencontrer. Je suis pour quelques semaines joignable à cette adresse. ». Donc, ayant reçu une réponse favorable, je descendis du car et montais le chemin pentu jusqu’à sa maison, la toile sous le bras. On m’avait renseignée, en bas, sur la place où trouver la maison Lou Paraïs.
Une femme entre deux âges (?) m’invita à entrer dans la bibliothèque (son bureau ?) où il m’attendait. Il faisait sombre et si frais, les volets étant à peine entrouverts. Une pièce d’homme. C’était bien cette pénombre après ce grand soleil aveuglant… Pendant que je buvais un verre d’eau fraîche, il regarda la toile, me parla longuement de personnage, de la fin qu’il avait imaginée à ce roman, refusée par l’éditeur. Me montra des carnets. Il y avait des feuilles partout sur cette table recouverte d’une étoffe rouge et près de lui des piles de livres, de revues, de journaux. J’écoutais. Voix ferme et chantante. Très calme. Le regardais. Il devait avoir dans les soixante-dix ans, paraissait fatigué. Il avait une pipe dans les mains mais ne la fumait pas. Plein d’autres dans un grand cendrier. De très belles mains. On parla de la mort de Bobi. De la mort. Il disait : on meurt quand la vie s’arrête… qu’il aimerait mourir ainsi, naturellement… de l’aventure du Cantadour. De la paix, de la guerre, du fascisme, un peu de la prison (le premier séjour) et de Moby Dick qu’il avait commencé à traduire alors. Sa vie matérielle a été parfois difficile.
Et vous ? On découvrit qu’on était du même signe : bélier !
Il sentit le péril imminent : j’allais fuir la rentrée scolaire et vivoter sans ressource pour peindre, écrir. Alors il me conduisit autoritairement dans la grange proche pour m’expliquer les mois où il avait connu Bernard Buffet dans une bergerie proche et où il l’avait vu peindre ses têtes de clown et ses bouquets de fleurs en série pour assurer des revenus lui permettant une recherche libre. Il était accompagné de son mécène…
Giono m’a demandé alors de prendre mon poste à la rentrée. « Si vous devez peindre, vous peindrez ! mais assurez votre autonomie. Et puis, les enfants vous semblez bien pouvoir les intéresser… »
Les heures passaient, lentes, tantôt silencieuses, tantôt habitées de paroles de vie, sa vie, un peu la mienne .
En partant, j’ai eu l’intuition que je ne le reverrai pas. Il est mort à Manosque le 10 octobre 1970 d’une crise cardiaque…
Je ne lui ai pas écrit. C’était ce jour-là, pour la vie. Comme une étoile filante.
J’ai raconté un peu de ça à Dale Recuerdos… Mais pas tout.
Je ne lui ai jamais écrit mais souvent j’ai repensé à toutes ces paroles échangées. Je revoyais son regard bleu, tellement attentif et l’ombre de la pièce et le soleil du dehors.

vedo dit: à

Christiane,
« Je pouvais utiliser les trésors de la cave : toiles, chevalet, peintures, vélo et lire jusqu’à plus d’insomnie les livres innombrables de la bibliothèque. Je partais sur la route du Thoronet ».
Pour cela, si vous avez un jour besoin d’une aide, je serai votre ami.

Marie Sasseur dit: à

@Ma bouquinerie a pour nom :
« LIVRESQU’OASIS ».
Souhaitez-moi bonne chance.

Bonne chance Ozy.

Marie Sasseur dit: à

24/06/2020 7h14

Marie Sasseur dit: à

Ce glissement sémantique, instituant  » les Lumières « , et leurs anti- , comme de causer matière et antimatière est une manipulation intentionnelle, meme pas une facilité, de langage.
Si c’est ce qui est enseigné à science po paris, partout ailleurs, où n’est pas pratiquee la morale du bilboquet, il en va bien différemment.
En histoire, au collège ou au lycée ? il est encore d’actualité de faire reference au siècle des Lumières.

Marie Sasseur dit: à

#Mais comme je ne sais pas qui elle est, je préfère nuancer.

Tu fais bien.

Ce qui n’est plus permis, concernant cette vieille conne, instit’ a la retraite, qui colporte ici des calomnies.

et alii dit: à

en lisant sur LEGENDRE que j’ai évoqué à cause de son travail qui semble si ignoré par les erdélien-ne-s, je signale une formule qu’il a transmise
« Tout se passe comme si, dans la transmission
d’inconscient à inconscient entre parents et enfants, il existait une
telle chose que des arrérages psychiques, des dettes ancestrales
en souffrance selon l’adage classique : « Nomina ossibus inhaerent,
mot à mot dettes et créances sont collés aux os » (nomen signifie à
la fois nom et créance)
. P. LEGENDRE, L’inestimable objet de la transmission. Étude sur le principe
généalogique en Occident, Leçons IV, préc., note 2, p. 337.
et l’exégète d’expliquer:
Davantage que la clinique individuelle, Legendre vise celle
des institutions, la capacité intrinsèque des États à fabriquer des
fous, des individus sans culpabilité, comme ce fut le cas pour
beaucoup d’Allemands ordinaires sous le régime nazi
120. La chaîne
générationnelle tient la succession d’État : elle lie les
représentants actuels par rapport aux actions passées de l’entité
juridique. »
c’est quand même autre chose que ce que les erdéliens appellent leurs jeux de cour de récréation!
bonne journée

Marie Sasseur dit: à

@ »c’est quand même autre chose que ce que les erdéliens appellent leurs jeux de cour de récréation! »

Sûr que le Droit canonique, ça se joue dans une autre Cour !

Janssen J-J dit: à

@ Pauvre con. Dès demain, quoi qu’il en soit le petit Bilger et les éditions du Cerf pourront la savourer, ta droiture morale. J’ai fait mon devoir (sic).

Rappelons l’intéressé aux devoirs de sa condition et de sa charge, ceux de continuer le complot depuis son CDBF.

/// Passou dit : Allez Chaloux, un peu de courage pour une fois. A défaut de vous dévoiler, cessez d’insinuer et accusez clairement. Dites et révélez, nous sommes tout inouïe à la promesse de ce scandale universitaire et intellectuel. Ou alors demeurez dans le cul de basse fosse des complotistes///.

Bonjour à tous.tes les gentil.les, il fait grand beau ce matin.

Janssen J-J dit: à

@ billet / il cherche longuement avant de citer Jürgen Habermas et John Rawls… A croire que chez nous, c’est une pensée qui ne passe plus…

Je crois plutôt qu’il avait bien vieilli et n’avait plus l’agilité intellectuelle pour s’efforcer de découvrir une pensée européo-centrée dans le fil des ‘Lumières’, genre Hartmut Rosa, Emmanuel Todd, Axel Honneth, Jacques Bouveresse ou Bruno Latour et quelques autres…

christiane dit: à

Bravo, Ozy,
votre rêve devient réalité.

christiane dit: à

Et Alii,
merci pour ces lectures qui me font découvrir un penseur que je ne connaissais pas.

christiane dit: à

D.,
oui, je suis les variations de vos impressions. Puissiez-vous avoir raison… ce serait comme un paysage lavé après l’orage.

christiane dit: à

Merci Vedo,
C’est chic !
Je sors profiter de la douceur fraîche de cette matinée.
Les martinets traversent le ciel d’été, déjà, joyeux.

christiane dit: à

Janssen JJ,
je vous ai lu. Pas compris grand chose à votre querelle…

Janssen J-J dit: à

@ JD // l roman de Gorgs Prc, ntirmnt crit sans la voyll ?

@ Ch. // L’essentiel est que le harceleur m’ait bien compris, lui… Vous Ch., en revanche, cela n’a pas d’importance si ces choses basses vous échappent. Votre droiture morale d’ex enseignante (sic) vous portera toujours, semble-t-il, en des sommets qu’hélas nous autres n’atteindrons jamais 🙂

Marie Sasseur dit: à

Et toi, tu veux pas devenir mon ami, sur la route du ThoLonet?, on ira, y’a que les routes qui sont belles ;les cigales sont revenues donner leurs concerts ailés. J’attendrai, le jour et la nuit , car l’oiseau qui s’enfuit viendra chercher l’oubli, dans son nid. Tu pourras siffler sur la colline à Giono, avec un petit bouquet d’églantines, planqué derrière la bastide. On ira. Au pied de la paroi, pends ton baudrier et des mousquetons.

Bloom dit: à

Très courageux, Ozymandias. Je dirais même plus, très osé, Ozy. Break a leg!

Janssen J-J dit: à

Mais qu’est-ce qui vous arrive ce matin, Marie Sasseur ?… Ch. vous aurait-elle transmis son virus, par hasard ? Ben merdr’alhors !… On aura tout vu, d’icite, depuis l’abbaye du Thoronet jusqu’au BHV de la poésie !

christiane dit: à

Merci, Janssen JJ
Cette nuit je réécoutais dans « L’heure bleue » de Laure Adler, Ariane Mnouchkine, en direct du théâtre du Soleil.
A la fin de l’émission, Laure Adler remarque qu’il y a un livre de Primo Levi entrouvert sur la table.
Ariane Mnouchkine cherche le passage et commente.
« Il se demande pourquoi les Juifs n’ont pas quitté l’Allemagne en masse au moment de l’avènement d’Hitler ?… Parce qu’ils ne pouvaient pas y croire… Il emploie cette phrase (elle traduit de l’allemand) : « ne peut pas être ce qui ne doit pas être » et elle continue à commenter : « On n’arrive pas à croire ce qui n’est pas possible. L’impossible si on n’y fait pas gaffe peut devenir possible. »

Marie Sasseur dit: à

#vous aurait-elle transmis son virus, par hasard ? 

Son virus de pue-la-mort ?
Je suis une antidote à ce pangolin du blogapassou.

Janssen J-J dit: à

@ CH. /// Merci, Janssen JJ

Ne me remerciez pas, Ch., cela me fait trop mal que vous fassiez semblant de ne pas comprendre mon ironie à votre égard. Pour vous dire le fond de ma pensée, je trouve que vous passez trop facilement l’éponge avec tout le monde, et ça devient lourd… quand on voit que tout cela ne dure jamais très longtemps. Comme vous êtes un brin soupe au lait, l’image qui reste du style de vos commentaires et de vos ripostes dénotent l’une des figures les plus féroces de l’Erdélie. Vos ripostes sont parfois plus « basses » que les plus communément « vulgaires » de l’ensemble.
Je vous trouve une drôle de personnalité psychologique, la seule que je ne n’ai pas encore réussi à cerner totalement. Votre cas reste donc pour moi un passionnant mystère, je ne vous en remercie pas pour autant.

Belle journée dans les traces de vos martinets célestes. Bien sincèrement à vous.

Janssen J-J dit: à

@ Aux Zamandes, On va essayer d’organiser un voyage à paritr de Dijon pour visiter votre nouvelle librairie. Notre amie Ed a bien envie de se dépayser… Je lui joins ce lien pour l’allécher un brin. Bien à vous,
https://www.youtube.com/watch?v=32_6s0Y0RhY

et alii dit: à

quand j’ai compris qu’on avait voulu me tuer, enfant,-et d’ailleurs celam’était explicitement dit:qu’on avait légalement droit de vie et de mort sur moi, et ce fut mis en oeuvre, ô combien!, ô comment!, mes enfants étaient encore jeunes que j’ai voulu moi aussi qu’ils aient été en Israël, où nous sommes allés habitant à EIN KAREM , quand nous étions à JERUSALEM, chez mon amie qui était devenue
« traductrice » pour la revue Ariel qui venait de se fonder; c’était à Pessah , une année où les pâques chrétiennes tombaient à la même date que Pessah (on a fait le soir du seder chez mon amie, et mon fils était insupportable parce qu’il ne voulait pas dire son « rôle »: en anglais!comme le suggéraient mes amis,pas particulièrement « observants », juste bien lettrés; aujourd’hui,je sais que j’ai réussi à « transmettre », conjurer la malédiction de ce désir de meurtre de la juive; ce qui est bizarre, c’est que je n’y pensais plus comme tel, quand mon père le juif français dont je porte le patronyme biblique que je ne voulais pas déposer en me mariant(je voulais accoler les deux, ce qui n’était pas d’usage du tout mais personne n’était d’accord avec moi ) donc quand mon était très malade, et alors même qu’un jour , j’ai quitté la clinique où j’ai entendu une infirmière voyant le cinéma de la « future veuve »explosa en disant « elle le tue »;
j’étais venue avec des chèques pour la clinique, une clinique dont mon père sortit d’ailleurs, il décéda dans une autre à Chatenay Malabry; et même cette fois-là, je n’ai pas compris que je venais pour le voir mourir : il était immortel en moi, et avait compris ça, lui; un matin où je m’éloignai de son lit, il me demanda à mon retouraprès cinq minutes « qu’est-ce qu’il t’a dit? »ilavait compris que j’avais été voir son médecin qui m’avait « tranquillisée » , ce que je pus faire à mon tour;je me dis peu après qu’il avait alors TOUT compris ,mais pour ce tout, il me fallut du temps et il est resté « immortel » en moi ;je porte son nom aujourd’hui et aucune place à une ambiguité ;
bonne journée

puck dit: à

je vous connais tellement bien tous ! Entre vos prêches communautaristes, les uns connaisseurs enthousiastes, ou autres fumistes querelleurs, avec vos règlements de compte, envoi de lettres anonymes, blog comme lieu thérapeutique, séances de rattrapage scolaire, université d’été, parking des solitaires.

Blog- déversoir assume tout, accueille tout : souvenirs ou comptabilise, frustrations, courtisaneries, angoisses ,souhaits, inquiétudes, flinguages crades , fantasmes , colères ,regrets, rêves érotiques, calomnies, douceurs, cas de conscience, informations, rumeurs idiotes, déclarations d’amour, bouffées paranoïaques, recettes de cuisine , batailles cinéphiliques, guide musical, gesticulations , tout se mêle, se tisse, s’enchevêtre, se chevauche pour produire quelque chose de curieusement irréel dans ce mouvement brownien de construction-destruction !

et encore c’est pas tout !

et alii dit: à

excuses sur la syntaxe:
, mes enfants étaient encore jeunes que j’ai voulu moi aussi qu’ils aient été encore jeunes
auxquels j’ai voulu montrer Israel;voulu qu’ils y aient été ,

et alii dit: à

ARIEL est la plus importante revue culturelle d’Israël. Paraissant depuis 1962, elle couvre largement tous les domaines des arts et de la littérature en Israël, y compris la prose et la poésie, le cinéma, la danse, la peinture et la sculpture, la musique, l’archéologie, l’architecture et la critique littéraire. On compte parmi ses collaborateurs des professeurs, des universitaires et les plus éminentes personnalités du monde des arts et des lettres.
Ariel est publiée trimestriellement en français, allemand, anglais, arabe, espagnol et russe. Les lecteurs désireux d’être à la page de l’actualité culturelle d’Israël y trouveront une source inestimable d’informations. Pour s’abonner, les personnes intéressées sout priées de s’adresser aux représentations diplomatiques d’Israël.
je les ai vus au salon du livre à Paris, il y a quelque années

christiane dit: à

Janssen J-J dit: « cela me fait trop mal que vous fassiez semblant de ne pas comprendre mon ironie à votre égard. »

Hum… relisez bien la phrase de Primo levi…
Pour moi, le Thoronet, c’est une abbaye provençale.
Oui, la rose rouge…

renato dit: à

« je vous connais tellement bien tous ! »

En voilà un qui n’a pas été gratifié comme il juge juste.

et alii dit: à

@ Renato, ne vous mettez pas en colère après hamlet; il sait, comme nous savons tous que P.Assouline a annoncé tout ce qu’il propose:

LITTÉRATURE

POÉSIE

HISTOIRE LITTÉRAIRE

VIE LITTÉRAIRE

DOCUMENTS

ARTS

SCIENCES HUMAINES
donc les commentaires sont à proposer dans toutes ces « disciplines »; mais aucune « loi » sur les commentaires n’est émise ;

OZYMANDIAS dit: à

Chaloux, et alii, Marie Sasseur, Christiane, Bloom et Janssen J-J.

Merci à vous tous pour vos encouragements, c’est à la fois touchant et stimulant.
Si un jour, qui sait, vous décidez de venir au sud algérien pour visiter le Sahara et ses mystères, vous serez les bienvenus chez moi à Laghouat.
Rien ne vous manquera.
Générosité, hospitalité, méchouis et thé à la menthe garantis !
Je vous le dis sincèrement.
MERCI 🙋😀🙋😀🙋😀🙋😀🙋😀🙋😀🙋😀

Khaled Taleb.

Chaloux dit: à

Gigi la visqueuse :« Je vous trouve une drôle de personnalité psychologique, la seule que je ne n’ai pas encore réussi à cerner totalement. »

En plein désespoir, prêt à écrire n’importe quoi, la buse.
Tu n’as pas encore touché le fond mais je t’assure que c’est pour bientôt. Je vais m’y employer!

Et n’oublie pas de continuer à copier-coliquer le post d’Assouline plusieurs fois par jour, parce que comme aveu d’impuissance, tourner en rond à ce point-là est un must!

Hurkhurhurk!

(Merci Christiane, j’ai lu et je relirai. Je ne sais si vous l’avez fait, même seulement pour vous-même, mais vous devriez approfondir votre texte en explorant votre mémoire instant après instant).

lmd dit: à

Ne pas confondre la petite route du Tholonet (Aix en Provence, Cézanne) et l’abbaye du Thoronet dans le Var (très fameuse abbaye cistercienne).

Marie Sasseur dit: à

@Ne pas confondre la petite route du Tholonet (Aix en Provence, Cézanne)

Lol, pour qui connait la route Cezanne, la confusion n’est pas possible. Comme je l’ai indiqué.

Chaloux dit: à

L’essentiel est que le harceleur m’ait bien compris, lui…

C’est toi le harceleur, pauvre Gigi, tu es tellement crétin que tu ne t’en rends même pas compte…

Hurkhurkhurk!

Soleil vert dit: à

Docte article du boss

« Rousseau bashers » : ça ne manque pas entre ceux qui voyaient en Kadhafi son héritier et le discret d’Ormesson qui me semble t-il l’avait écarté de son « autre histoire de la littérature »

renato dit: à

Évidemment, et alii, les commentaires sont à proposer dans toutes ces « disciplines » [voir liste], mais la récrimination de puck est d’une autre nature ; ou si vous préférez, nous vient de sa vanité.

Marie Sasseur dit: à

@mais la récrimination de puck est d’une autre nature.

Maintenir le blogapassou en rea, lol.

Marie Sasseur dit: à

@« Rousseau bashers » : ça ne manque pas.

Surtout chez les voltairiens.
On se souviendra d’un pseudo- cercle d’études de l’oeuvre de JJ. Rousseau, la société Rousseau, a G’neve, récemment mise à l’honneur sur la rdl.

Robespierre, a l’origine, était un véritable lecteur de Rousseau.

et alii dit: à

renato,
vanité? évitons la « psychologie » :je ne connais pas hamlet en dehors du blog:je pense qu’il a un grand désir de « vie » « vivante », de toutes sortes de connaissances, et même de « relations » hors de son « charnier natal » ; il est un des plus jeunes de la RDL je crois et a des attentes que nombre des erdélien-ne-s n’ont pas ou plus; ce n’est pas
« vain » , et c’est même une chance pour lui;ne lui envions pas;nous avons encore les nôtres!
bonne journée!

Jazzi dit: à

Négrophobe, Colbert ?
Et le Malet et Isaac ne nous en disait rien !

renato dit: à

Incidemment, et alii, il est vrai que sur le net « chacun a le droit d’exprimer son insignifiance », il est aussi vrai qu’il n’y a pas obligation de gratifier — bon, evidemment si l’on a eu une mauvaise mère on a acquis la movaise habitude de fecevoir des gratifications pour tout et n’importe quoi.

et alii dit: à

en attendant nadeau: je crois que ça va faire plaisir à monsieurcourt qui m’a parlé de:
Michel de Certeau (1925-1986) appartenait à la même génération que Deleuze, Foucault, Bourdieu, et il diffusa lui aussi un rayonnement stellaire. S’il n’apparaît plus comme une étoile de première grandeur, c’est peut-être la rançon de ce qui fit son originalité et sa force : la multiplicité de ses facettes. Était-il psychanalyste ou anthropologue, sémiologue ou historien ? Serait-ce le définir que le dire jésuite ? Il ne mettait pas en avant cette qualité, qu’il ne dissimulait pas non plus. Le travail d’Andrés G. Freijomil, Arts de braconner, est fondé sur sa pratique de la lecture.
Andrés G. Freijomil, Arts de braconner. Une histoire matérielle de la lecture chez Michel de Certeau. Préface de Roger Chartier. Classiques Garnier, coll. « Lire le XVIIe siècle » 832 p., 69 €

D. dit: à

Ariel ? Vous plaisantez, c’est de la lessive !

renato dit: à

Oups ! fecevoir > Recevoir

et alii dit: à

bon, renato, vous êtes dites vous avec vos parents,un « petit verni » ! vous avez des envieux et peut-être envieuses? ATTENTION, vous allez en souffir (je n’azi aucun talent de bourreau et je ne veux pas me « sacrifier dans ce rôle » ; là j’ai fait la mal-aimée Cassandre

closer dit: à

Non soleil vert, d’Ormesson n’a pas écarté Rousseau de son « Autre histoire de la littérature française »…Page 93 du tome 2 (Folio).

On y trouve même cette phrase: « d’aucun auteur, je le crains, je n’ai parlé si longuement »…Et ce n’est pas du tout un « bashing ».

D. dit: à

Oui enfin si vous vous relisiez, renato, ça vous éviterez ces commentaires correctifs.

et alii dit: à

nterrogée en novembre 1972 sur ses opinions politiques, Hannah Arendt répondait : « Je n’appartiens à aucun groupe. Vous savez que le seul groupe auquel j’ai jamais appartenu était celui des sionistes. C’était bien sûr seulement à cause d’Hitler. C’était entre 1933 et 1943. Ensuite, j’ai rompu [1]
[1]
Hannah Arendt, « On Hannah Arendt », in Melvyn A. Hill (éd.),…. » Au moment précis du centenaire de la mort de Theodor Herzl, tandis que nombre de ceux qui remettent en cause son héritage se définissent depuis plusieurs années comme « post-sionistes » et alors que certaines formes de l’antisionisme aux deux extrêmes du spectre politique touchent à l’antisémitisme, il sera essentiellement question de la critique du sionisme développée par Hannah Arendt après cette rupture. Il n’est toutefois pas inutile de s’attarder sur les formes de son engagement dans ce mouvement durant les dix années qui la précèdent.
inPierre Bouretz
Dans Raisons politiques 2004/4 (no 16), pages 125 à 138
https://www.cairn.info/revue-raisons-politiques-2004-4-page-125.htm

Jazzi dit: à

« évitons la « psychologie » », dit et alii, à propos d’hamlet, et d’enchaîner aussitôt sur sa supposée psychologie : « je pense qu’il a un grand désir de « vie » « vivante », de toutes sortes de connaissances, et même de « relations » hors de son « charnier natal » » !

A chacun ses contradictions…

De même qu’elle nous répète à longueur de blog qu’elle n’est pas là pour raconter sa vie ou se faire des ami(e)s et nous fait les révélations les plus intimes que l’on peut lire ici : « quand j’ai compris qu’on avait voulu me tuer, enfant,-et d’ailleurs cela m’était explicitement dit : qu’on avait légalement droit de vie et de mort sur moi, et ce fut mis en oeuvre, ô combien ! » !!!

Janssen J-J dit: à

@ hier / #Pauvre con. Dès demain, quoi qu’il en soit le petit Bilger et les éditions du Cerf pourront la savourer, ta droiture morale. J’ai fait mon devoir#

@ aujourd’hui / #Tu n’as pas encore touché le fond mais je t’assure que c’est pour bientôt. Je vais m’y employer!#

@ en attendant demain ou bientôt… « pour toucher le fond… du CDBF » (il s’y connait, le gars :-)# Passou dit : Allez Chaloux, un peu de courage pour une fois. A défaut de vous dévoiler, cessez d’insinuer et accusez clairement. Dites et révélez, nous sommes tout inouïe à la promesse de ce scandale universitaire et intellectuel. Ou alors demeurez dans le cul de basse fosse des complotistes #.

Chaloux dit: à

Pauvre Gigi la visqueuse, ne sors jamais sans tes fusées de détresse!

HHH!

Janssen J-J dit: à

Il me fera toujours marrer, çui-là : « si vous vous relisiez, renato, ça vous éviterez (sic) ces commentaires correctifs ».
L’est drôle, ce D. à coudre !…

bouguereau dit: à

quand j’ai compris qu’on avait voulu me tuer, enfant,-et d’ailleurs cela m’était explicitement dit

heureuzment que le maîîître était là baroz et que dracul veillait jalouzment sur renfield..hévidemment ya eu des conséquences sur le régime halimentaire..et surtout surtout..sur le tremblement des oreilles

bouguereau dit: à

(Merci Christiane

3j c’est hassez simple:les larbin ont un trope..d’être des nervis avec les males..des maquro avec les femelles..c’est dleur condition..la littérature de droite en est ratapleine

et alii dit: à

on commence à savoir, jazzi que vous avez des problèmes avec la judéité au point de ne pas voir la sulpture de Mendès France au LUXEMBOURG ? et pratiquez une ignorance de la psychanalyse au point d’avoir ignoré jusqu’à ce fil la théologie de la substitution; occupez vous de vos arpions

Janssen J-J dit: à

@ ne sors jamais sans tes fusées de détresse!

ô grand jamais, voyhons donc, merci, j’allais les oublier : #Passou dit : Allez Chaloux, un peu de courage pour une fois. A défaut de vous dévoiler, cessez d’insinuer et accusez clairement. Dites et révélez, nous sommes tout inouïe à la promesse de ce scandale universitaire et intellectuel. Ou alors demeurez dans le cul de basse fosse des complotistes #

Jazzi dit: à

Un dytique cinématographique israélien (une histoire d’amour entre un homme et une femme, vue selon les deux personnages principaux : Chained/Beloved de Yaron Shani)) est attendu dans nos salles, et alii ! Ariel en a-t-il parlé ?

bouguereau dit: à

..mais n’ait haucune crainte..mon larbin est d’une lacheté habissale..lui même n’en voit pas le fond que ça lui donne comme une espèce de vertige existenciel..être poigné au rable par son c’est le seul espoir quil ait de ne pas y choir

christiane dit: à

lmd dit: « Ne pas confondre la petite route du Tholonet (Aix en Provence, Cézanne) et l’abbaye du Thoronet dans le Var (très fameuse abbaye cistercienne). »
Ah, merci, je n’avais même pas vu ! Écrire la nuit… source de lapsus…
Je me souviens avoir lu certaine qui aussi avait superposé à la sainte-Victoire… la sainte-Baume… deux montagnes différentes, aussi…

La sainte-Victoire… Cézanne… la petite route sinueuse du Tholonet… 55 ans ont passé… Je n’y suis jamais retourné… Je la suivais sur quelques kilomètres pour sortir de la ville, dans ma hâte de trouver un coin tranquille où me poser pour écrire ou dessiner ou lire…
François Gantheret a écrit un bel essai sur Cézanne : La petite route du Tholonet édité dans la si belle collection bleu nuit «L’un et l’autre» créée par J-B.Pontalis chez Gallimard.
L’abbaye du Thoronet, je l’ai découverte beaucoup plus tard. Un lieu que j’aime beaucoup. Il y a lien entre les deux dans ma mémoire des noms.

Janssen J-J dit: à

HHH ?… le feignasse usurpateur, désormais adepte des sigles ricanants, le nazillon nazbroque national qui se prend ast’heure pour le clerc de notaire d’HHHhH.

@ DHH, va bintôt vous faire de l’ombre !

Chaloux dit: à

La Gigi et la bousemolle continuent à tourner en rond comme des moutons. La fin est proche.

Phil dit: à

Beaucoup de verts propos sur le blog à passou qui rappellent les vols planés de cendriers chez le regretté Polac, considérable juif cathodique du paf français. excepté le delirium de « Marie » Sasseur, jackie sardou égarée au pays des livres, le reste est bien digne de l’estrèmedroite à littérature charpentée comme un Bourgogne.

Janssen J-J dit: à

@ être poigné au rable par son…. P75 ?

bouguereau dit: à

Quand vous voudrez, mais ce serait plus intéressant tout de même. Je ne suis pas jaloux de nature, mais là oui

mon larbin l’est -de nature-..et précisément ici il ne l’est pas du tout..et cricri le sait comme quiconque..mais elle a lgout dla soumiçion

bouguereau dit: à

excepté le delirium de « Marie » Sasseur

sa chaude main sur ton paquet te manque cruelment..je ne vais as te jeter la pierre dirphilou..ça srait pas chrétien qu’il dirait dédé

renato dit: à

et alii, « verni » ? c’est vrai, vous n’avez toutefois pas idée de la quantité de « c’est pas bon, recommence » que j’ai ramassé lorsque je dessinais ou je jouais quelques mesures d’un exercice de Czerny.

bouguereau dit: à

le reste est bien digne de l’estrèmedroite à littérature charpentée comme un Bourgogne

beaucoup d’veulrie dirphiloo..pas beaucoup dcuisse

bouguereau dit: à

@ être poigné au rable par son…. P75 ?

un larbin n’a que des maitres ou des soumis..qu’est ce qu’un égal pour lui sinon une horreur..ha dirphiloo a faux..c’est dla réthorique léniniss..hévidemment il va s’en tirer en disant qu’il prise rien qule sang la volupté et la mort

Chaloux dit: à

Pauvre Bousemolle, tu es d’un niveau… C’est la petite enfance du collabo. Quoiqu’il y ait ici peu de gens pour se faire illusion sur ton cas, tu ne devrais pas exhiber ainsi ton infériorité congénitale.

Et la Gigi qui te colle dans tes derrières… Verts paradis des amours éléphantines…

Vous êtes pathétiques, l’un et l’autre, deux aptères…Comment voudriez-vous parvenir jusqu’à un homme comme moi?…

Hurkhurkhurk!

Marie Sasseur dit: à

#excepté le delirium de « Marie » Sasseur, jackie sardou égarée au pays des livres.

Lol, l’argument est sûrement injurieux pour J Sardou qui semble avoir traumatisé le philopede.

Non, il est dans le déni, de ce que son modèle antisémite notoire, facho, selon la définition la plus commune, a commis.
Une trahison banale. Jamais sanctionnée. Et finalement « relativisée « , lorsqu’atteint par le grand âge, il lui fut accordé une dernière miséricorde, lol.

christiane dit: à

Merci, Chaloux. Vous écrivez : « (Merci Christiane, j’ai lu et je relirai. Je ne sais si vous l’avez fait, même seulement pour vous-même, mais vous devriez approfondir votre texte en explorant votre mémoire instant après instant). »

Tant d’années ont passé… Chaque point dans ce texte nocturne coupant la déferlante de mots, c’est un trou dans la mémoire.
Lors de cette création de Didier Ruiz, il y avait d’autres mémoires passionnantes, émouvantes. Nous devions réduire nos prises de paroles à quelques phrases pour suivre la construction de Didier : une rencontre… une odeur… un objet… l’enfance… Derrière nous, sur un écran que nous ne voyions pas, il projetait des photos qu’on lui avait confiées, des dessins… Beaucoup parlaient de la guerre, pas moi, née en 1946.

Plus tard, j’ai repris de la distance avec ce souvenir fort et difficile.
Tout cela pour expliquer d’où venait la photo qui a été visible un temps sur le net à la demande de D. Ma mémoire a alors revu l’ensemble des prises de paroles. Deux des copains sont morts… Ainsi va la vie. Il est bon parfois d’oublier le passé…
Mais grâce à Giono j’ai vécu toutes ces années d’un métier passionnant. J’ai appris à lire, à écrire à tant d’enfants… et nous avons peint et dessiné ensemble…

bouguereau dit: à

dabord la volupté..les léniniss pas telment..danton beaucoup plusse..robespierre? les fringues et le parfum..peut être la fessée quelle dirait tèrezoune..mais à peine

bouguereau dit: à

Merci, Chaloux. Vous écrivez : « (Merci Christiane

bonne clopine disoit aussi beaucoup merci..dirphilou a choisi la plus..la plus..la plus..seul dirphilou peut trouver les mots qu’y faut épicétou

bouguereau dit: à

lorsqu’atteint par le grand âge, il lui fut accordé une dernière miséricorde, lol

branler et piper les mourants!..térezoune est une sainte qui a droit a ses vapeurs sacrénom..c’est du boulot!

Marie Sasseur dit: à

« Contrairement à ce qu’il veut croire, ce n’est pas parce qu’il est un historien étranger, et qu’il assène des vérités dérangeantes, que le milieu de ses collègues français y a parfois mal réagi »

Vous avez raison Passou, la « raison », grand mot du siecle des Lumieres, était toute autre.
On notera toutefois que M. Sternhell n’est pas historien mais sociologue.

 » (S.Bernstein:) Il faut donc prendre ce livre mal ficelé pour ce qu’il est : un règlement de comptes qui n’établit nullement le caractère fasciste du PSF et non un ouvrage historique fondé sur une recherche scientifique sérieuse par l’analyse de sources multiples. La sélection d’informations à sens unique, l’utilisation par certains auteurs de citations tronquées détournées de leur contexte, voire « complétées » par le rédacteur, pour ne pas parler de celles qui paraissent purement et simplement inventées, traduisent le caractère polémique et largement improvisé de l’entreprise. »

https://www.marianne.net/culture/bataille-d-historiens-berstein-repond-sternhell-sur-le-fascisme-francais

puck dit: à

vanité ? très drôle : j’ai copié collé un morceau de l’article de Paul Edel sur son blog… :

https://pauledel.blog/

faut croire que j’ai toujours droit à des régimes de faveur.

puck dit: à

autres exemples de régime de faveur :

dire que l’Ancien Testament le messie n’est pas envisagé comme une personne, mais plus comme une fonction.

quand tous les cas pas Jésus dans la mesure où on ne se décarcassent pas à pondre une table des lois disant « tu ne tueras point » si c’est pour pondre ensuite un noté bene disant « mais si tu le confesses je te pardonne ».

si un autre dit ça personne ne trouvera rien à redire, si c’est moi vlan ! je me fais dégommer…

Janssen J-J dit: à

@ Puck, auriez-vous honte de vous être affublé du pseudo d’hamlet jusqu’à présent ?
Je vous rappelle que vous n’êtes pas concerné et que personne ne vous oblige à descendre au fin fond du CDBF à votre tour. Car enfin, « comment voudriez-vous parvenir jusqu’à un homme comme lui ? » Rappelons ceci, au cas où :  » #Passou dit : Allez Chaloux, un peu de courage pour une fois. A défaut de vous dévoiler, cessez d’insinuer et accusez clairement. Dites et révélez, nous sommes tout inouïe à la promesse de ce scandale universitaire et intellectuel. Ou alors demeurez dans le cul de basse fosse des complotistes #

hamlet dit: à

autre exemple de régime de faveur :

dire que si 80% d’une population est dans une misère où elle n’a plus rien à perdre, si un taré comme Hitler se pointe ces 80% peuvent voter pour lui.

si un autre sort ce genre d’opinion, en faisant remarquer que Sternhell n’aborde jamais le problème sous cet angle, on lui dira bof c’est peut-être vrai, ou peut-être faux…

si c’est moi ? au secours !!! j’ai droit à toutes les insultes : espèce de pseudo marxiste ! on me sort des tables de tavernes bavaroises ! la totale…

le monde est devenu fou…

puck dit: à

3j hamlet – puck – Dexter : la honte ?

la honte…………

ok ! celle-là on ne me l’avait pas encore sortie : c’est bo ! je l’ajoute à la liste !

puck dit: à

j’adore ce blog quand il sombre dans la bas fonds, le souterrain, les mauvais instincts…

là le blog de passou devient carrément dostoïevskien !

et là ça devient intéressant.

puck dit: à

si 80% d’une population est dans une misère où elle n’a plus rien à perdre, si un taré comme Hitler se pointe alors ces 80% peuvent voter pour lui.

hamlet dit: à

si 80% d’une population est dans une misère où elle n’a plus rien à perdre, si un taré comme Hitler se pointe alors ces 80% peuvent voter pour lui.

puck dit: à

le seul d’accord avec moi : hamlet…

hamlet dit: à

t’as pas honte ?

renato dit: à

Toujours fièrement début sur une table de brasserie munichoise, et en avant avec les récriminations.

hamlet dit: à

renato : vous pourriez développer et dire pourquoi cela évoque une table d’une taverne munichoise ?

ça marche pour tous les pays : en Europe, en Afrique, et même aux Etats-Unis.

ça marche aussi en France, en 1789, en Russie en 1917, en Iran en 1979 etc etc etc….

c’est juste ce qu’on appelle un invariant.

pourquoi alors une table bavaroise ?

Chaloux dit: à

bouguereau dit: à

un larbin n’a que des maitres ou des soumis.

Pauvre Bousemolle, avec sa rhétorique de backroom pour débile mentaux. Et la Gigi toute excitée…

Deux vieilles tarlouzes qui se font des câlins…

L’horreur…

L’a pas dû être souvent honorée, la Mumu…

Hurkhurhurk!

hamlet dit: à

si 80% d’une population est dans une misère où elle n’a plus rien à perdre, si un taré comme l’ayatollah Khomeini se pointe alors ces 80% peuvent le suivre.

dire ça c’est quoi ? être un terroriste musulman fièrement debout sur une table d’une taverne de Téhéran ?

et alii dit: à

j’ai déjà oublié qui a écrit « nota bene » mais depuis qu’on a dit à Derrida (affrancissement de la lettre)
nota beine , surtout après « break your leg « de bloom, onne joue pas les affranchis »comme les nommait P.Legendre, si on n’écrit pas nota beine
« Affranchissement », du transfert et de la lettre, colloque « Confrontation » avec Derrida autour de la « Carte Postale » (4-5 avril 1981, publié en 1982) [ATL]

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sur le livre

Table
[Bibliographie de Jacques Derrida]

Liste bibliographique des textes de Jacques Derrida par ordre d’énonciation ou de première publication (1953 – 1989)

Liste bibliographique des textes de Jacques Derrida par ordre d’énonciation ou de première publication (années 1990 et suivantes)

Chronologie des cours et séminaires de Jacques Derrida

Chronologie des textes de Jacques Derrida autour de ce qui se désigne comme « arts visuels »

Chronologie des textes de Jacques Derrida autour de la photographie

Le problème de la genèse dans la philosophie de Husserl (Jacques Derrida, 1953-54, publié en 1990) [PGPH]

Introduction à l’Origine de la Géométrie de Husserl (Jacques Derrida, 1961) [IOGH]

Heidegger : la question de l’Etre et l’Histoire (Cours 1964-65 de Jacques Derrida à l’ENS-Ulm, paru en 2013) [HQEH]

De la Grammatologie (Jacques Derrida, 1967) [DLG]

L’écriture et la différence, par Jacques Derrida (1967) [EED]

La Voix et le Phénomène, par Jacques Derrida (1967) [VP]

Avoir l’oreille de la philosophie (entretien de Jacques Derrida avec Lucette Finas pour la Quinzaine Littéraire du 16-30 novembre 1972) [AODLP]

La Dissémination (Jacques Derrida, 1972) [LD]

Marges de la philosophie, par Jacques Derrida (textes datés de 1967 à 1972, publiés en 1972) [Marges]

Positions (Jacques Derrida, 1972) [Positions]

Le calcul des langues (Jacques Derrida, 1973, publié en 2020) [LCDL]

Archéologie du frivole. Lire Condillac (Jacques Derrida, 1973, réédité en 1990) [ADF]

Jacques Derrida (Numéro 54 de la revue L’Arc, 3è trimestre 1973)

Glas (Texte de Jacques Derrida, présenté en double colonne, publié en 1974)

Séminaire « La vie la mort » (Jacques Derrida, 1975-76) (publié en 2019) [Sem1975-LVLM]

Economimesis (Jacques Derrida, 1975) [Economimesis]

Séminaire sur Walter Benjamin (Jacques Derrida, 1976-77) [Sem1976-Benjamin]

« Fors, Les mots anglés de Nicolas Abraham et Maria Torok » – Préface à « Cryptonymie, le Verbier de l’Homme aux Loups » (Jacques Derrida, 1976) [Fors]

« Scribble (pouvoir/écrire) » – Préface à l' »Essai sur les hiéroglyphes des Egyptiens » de William Warburton (Jacques Derrida, 1977) [Scribble]

Eperons, les styles de Nietzsche (Jacques Derrida, 1978) [Eperons]

La vérité en peinture (Jacques Derrida, 1978) [VEP]

La carte postale de Socrate à Freud et au-delà (Jacques Derrida, 1980) [LCP]

Interpreting Signatures (Nietzsche / Heidegger) : Two Questions (Jacques Derrida, 1981) [ISTQ]

Les fins de l’homme (A partir du travail de Jacques Derrida) (Actes de la décade de Cerisy organisée en juillet 1980, publié en 1981) [LFDH]

« Affranchissement », du transfert et de la lettre, colloque « Confrontation » avec Derrida autour de la « Carte Postale » (4-5 avril 1981, publié en 1982) [ATL]

L’oreille de l’autre, otobiographies, transferts, traductions (Jacques Derrida, 1982) [LODLA]

Je n’écris pas sans lumière artificielle (entretien de Jacques Derrida avec André Rollin publié dans la revue « Le fou parle » n°21/22, nov-déc 1982) [PSLA]

D’un ton apocalyptique adopté naguère en philosophie (Jacques Derrida, 1983) [DUTA]

Geschlecht III – Sexe, race, nation, humanité (Jacques Derrida, séminaire 1984-85 publié en 2018) [Geschlecht3]

Otobiographies, L’enseignement de Nietzsche et la politique du nom propre (Jacques Derrida, 1984) [Otobio]

« Au-delà du principe de pouvoir » (texte daté de mars 1985) [ADDPP]

Lecture de « Droit de Regards » de Marie-Françoise Plissart (Jacques Derrida, 1985) [LDRP]

Préjugés, devant la loi, in « La faculté de juger’ (Jacques Derrida, 1985) [Prejuges]

Séminaire « Théologie – Politique : Nationalité et nationalismes philosophiques : le théologico-politique » (Jacques Derrida, 1986-87) [Sem1986]

Altérités (Jacques Derrida et Pierre-Jean Labarrière, 1986), avec des études de Francis Guibal et Stanislas Breton [Alterites]

Forcener le subjectile (in « Artaud, Dessins et portraits », par Jacques Derrida, livre publié par Paule Thévenin, 1986) [FLS]

« Schibboleth, pour Paul Celan », par Jacques Derrida (1986) [Schibboleth]

Artaud et ses doubles (entretien de Jacques Derrida avec Jean-Michel Olivier, publié dans « Scènes Magazines n°5 » – février 1987) [AESD]

De l’Esprit, Heidegger et la question (Jacques Derrida, 1987) [DLE]

Feu la cendre (Jacques Derrida, 1987) [FeuLaCendre]

Psyché, Inventions de l’autre (tome 1) (Jacques Derrida, 1987, édition revue et modifiée en 1998) [Psyche1]

Ulysse gramophone, Deux mots pour Joyce (Jacques Derrida, 1987) [Ulysse]

Mémoires pour Paul de Man (Jacques Derrida, 1988) [PaulDeMan]

Signéponge (Jacques Derrida, 1988, première publication en 1984) [Signeponge]

Du droit à la philosophie (Jacques Derrida, 1990) [DDALP]

Limited Inc. (Jacques Derrida, 1990) [Limited]

« Mémoires d’aveugle, L’autoportrait et autres ruines » (Jacques Derrida, 1990) [MEDA]

« L’autre cap », suivi de « La démocratie ajournée » (Jacques Derrida, 1991) [AutreCap]

« Circonfession » (Jacques Derrida,1991) [Circonfession]

Donner le temps I. La fausse monnaie (Jacques Derrida, 1991) [DLT]

« Pour l’amour de Lacan », in Lacan avec les philosophes (Jacques Derrida, 1991) [PADL]

Déplier Ponge – Entretien avec Gérard Farasse (Jacques Derrida, 1992, réédité en 2005) [DeplierPonge]

Nous autres Grecs (Jacques Derrida, 1992) [NOG]

Points de suspension, Entretiens (Jacques Derrida, 1992) [PDS]

Qu’est-ce que la déconstruction? (entretien de Roger-Pol Droit avec Jacques Derrida, 1992) [QQD]

Syllabe, exergue à l’essai de Jean-Pierre Moussaron sur l’œuvre de Michel Deguy, « La poésie comme avenir » (Jacques Derrida, 1992)

Khôra (Jacques Derrida, 1993) [khora]

Passions, « L’offrande oblique » (Jacques Derrida, 1993) [Passions]

Prégnances – Lavis de Colette Deblé. Peintures (Jacques Derrida, 1993) [Pregnances]

Sauf le nom (Post-Scriptum) (Jacques Derrida, 1993) [SLN]

« Spectres de Marx » – l’Etat de la dette, le travail du deuil et la nouvelle Internationale (Jacques Derrida, 1993) [SMX]

Ateliers I – L’atelier de Valerio Adami, in Esthétique de l’Ecart (Jacques Derrida, 1994) [AEE]

Deconstruction and the Visual Arts – Art, Media, Architecture (Jacques Derrida, 1994) [DVA]

Force de loi – Le « Fondement mystique de l’autorité » (Jacques Derrida, 1994) [FDL]

Fourmis, in « Lectures de la différence sexuelle » (Jacques Derrida, 1994) [Fourmis]

Le passage des frontières, Autour du travail de Jacques Derrida (Actes de la décade de Cerisy organisée du 11 au 21 juillet 1992, publiée en 1994) [LPDF]

« Politiques de l’amitié », suivi de « L’oreille de Heidegger » (Jacques Derrida, 1994) [PDLA]

Toute prise de parole est un acte pédagogique (entretien de Jacques Derrida avec Jean Blain dans la revue Lire, mars 1994) [TPPAP]

Avances (Jacques Derrida, 1995), suivi de « Le Tombeau du Dieu artisan », de Serge Margel [Avances]

Mal d’archive, une impression freudienne (Jacques Derrida, 1995) [MADA]

Moscou aller-retour (Jacques Derrida, 1995) [MAR]

En direct du couloir de la mort (Mumia Abu-Jamal) – préface de Jacques Derrida (1995) [PrefaceMAJ]

Apories – Mourir, s’attendre aux « limites de la vérité » (Jacques Derrida, 1996) [Apories]

« Scène des différences – Où la philosophie et la poétique, indissociables, font événement d’écriture », in CESPR puis Littérature n°142 (Jacques Derrida, 1996) [SDD]

Demeure, Athènes – Photographies de Jean-François Bonhomme (Jacques Derrida, 2009, réédition d’un texte de 1996) [DemAth]

Echographies de la télévision – Entretiens filmés (Jacques Derrida et Bernard Stiegler, 1996) [Echographies]

Cinq articles, in « Le Génome et son double » (Jacques Derrida, 1996) [LGED]

Lignées, in « Mille e Tre, cinq », avec les dessins de Micaëla Henich (Jacques Derrida, 1996) [Lignees]

Le monolinguisme de l’autre, ou La prothèse d’origine (Jacques Derrida, 1996) [LMDA]

« Résistances, de la psychanalyse », par Jacques Derrida (1996) [Resistances]

Un témoignage donné, in « Questions au judaïsme » (Jacques Derrida, 1996) [UTD]

« Joue – le prénom » (Jacques Derrida, 1er juillet 1997) et « La langue de l’autre » (dialogue co-signé Jacques Derrida et Ornette Coleman, 23 juin 1997) [JLP]

Politics and Friendship, A discussion with Jacques Derrida (Discussion avec Geoffrey Bennington, 1997) [PAF]

Séminaire « Le parjure et le pardon » Volume 1 (Jacques Derrida, 1997-1998, publié en 2019) [Sem1997]

Adieu à Emmanuel Lévinas (Jacques Derrida, 1997) [Adieu]

A Chora L Works – Jacques Derrida and Peter Eisenman (Jacques Derrida, 1997) [ChoralWorks]

« Un ver à soie – Points de vue piqués sur l’autre voile », in Contretemps 2-3 « Voiles » (Jacques Derrida, 1997) [UVAS]

Cosmopolites de tous les pays, encore un effort! (Jacques Derrida, 1997) [CTPEE]

Le droit à la philosophie du point de vue cosmopolite (Jacques Derrida, 1997) [DPPVC]

Jacques Derrida évoque Artaud (entretien avec Pierre Barbancey dans la revue Regards n°27, 1997) [JDEA]

Le goût du secret, Entretiens 1993-1995 (Maurizio Ferraris, Jacques Derrida, 2018) [LGDS]

Marx en jeu (Jacques Derrida et Marc Guillaume, 1997) [MEJ]

Anne Dufourmantelle invite Jacques Derrida à répondre : De l’hospitalité (Jacques Derrida, 1997) [RDLH]

Responsibilities of Deconstruction, ouvrage collectif paru en 1997 sous la direction de Jonathon Dronsfield & Nick Midgley [ROD]

« Une éthique de la mémoire », Entretien à Yad Vashem entre Jacques Derrida et Michal Ben-Naftali, réalisé en 1998, retraduit et publié en 2018 [UEM]

Demeure, Maurice Blanchot (Jacques Derrida, 1998) [Demeure]

Idiomes, nationalités, déconstructions – Rencontre de Rabat avec Jacques Derrida (Cahiers Intersignes n°13, 1998) [IND]

Voiles, accompagné de six dessins d’Ernest Pignon-Ernest (Jacques Derrida et Hélène Cixous, 1998) [Voiles]

D’ailleurs Derrida, film de Safaa Fathy avec Jacques Derrida comme acteur (Ed Montparnasse, 1999) [DAD]

Donner la Mort (Jacques Derrida, 1999) [DLM]

« Pera Peras Poros », Atelier interdisciplinaire avec et autour de Jacques Derrida (Cogito, Istanbul, 1999) [Hostipitalite]

L’animal autobiographique (Autour de Jacques Derrida) (Actes du colloque de Cerisy de juillet 1997, publiés en 1999) [LAA]

La Contre-Allée (Jacques Derrida et Catherine Malabou, 1999) [LCA]

No escribo sin luz artificial (Jacques Derrida, 1999) [NESLA]

Sur parole – Instantanés philosophiques (Jacques Derrida, 1999) [SP]

Couleurs et mots, entretien avec Valerio Adami (Jacques Derrida, 2000) [CEM]

Etats d’âme de la psychanalyse – Adresse aux Etats Généraux de la Psychanalyse (L’impossible au-delà d’une certaine cruauté) (Jacques Derrida, 2000) [EDAP]

Foi et Savoir, suivi de Le Siècle et le Pardon (Jacques Derrida, 2000) [FS]

Littératures déplacées (article paru dans Autodafé n°1, automne 2000) [LitDe]

Tourner les mots – Au bord d’un film (Jacques Derrida et Safaa Fathy, 2000) [TLM]

« Le Toucher, Jean-Luc Nancy » (Jacques Derrida, 2000) [Toucher]

Entretien avec Jacques Derrida en préface à la traduction chinoise de « L’écriture et la différence », 29 février 2000 (revue ITER n°2, Traduire Derrida aujourd’hui, 2020) [TradChi]

« Entre le corps écrivant et l’écriture… », entretien avec Daniel Ferrer (Jacques Derrida, 2001) [ECEE]

Atlan grand format (Jacques Derrida, 2001) [Atlan]

Body of Prayer, textes et entretien avec David Shapiro et Michal Govrin (Jacques Derrida, 2001) [BOP]

Le cinéma et ses fantômes (Jacques Derrida, 2001) [CahiersCin]

Une certaine possibilité impossible de dire l’événement, in « Dire l’événement, est-ce possible? » (Jacques Derrida, 2001) [CPIDE]

De l’hospitalité, autour de Jacques Derrida, manifeste sous la direction de Mohammed Seffahi (Jacques Derrida, 2001) [DLH]

De quoi demain… dialogue avec Elisabeth Roudinesco, par Jacques Derrida (2001) [DQD]

La forme et la façon (plus jamais : envers et contre tout, ne plus jamais penser ça « pour la forme »), préface à « Racisme et antisémitisme », d’Alain David (Jacques Derrida, 2001) [FEF]

Heidegger en France, entretien avec Dominique Janicaud (Jacques Derrida, 2001) [HEF2]

La connaissance des textes, lecture d’un manuscrit illisible (Correspondances entre Simon Hantaï et Jean-Luc Nancy, lettre de Jacques Derrida, 2001) [LCDT]

L’université sans condition (Jacques Derrida, 2001) [LUSC]

Déclaration au colloque « 17-18 octobre 1961, Massacres d’Algériens sur ordonnance? » (Jacques Derrida, 2001) [MDAO]

Papier Machine – Le ruban de machine à écrire et autres réponses (Jacques Derrida, 2001) [Papier]

Séminaire « La bête et le souverain » Volume I (Jacques Derrida, 2001-2002) [Sem2001]

La Veilleuse (« … au livre de lui-même »), préface à « James Joyce ou l’écriture matricide », de Jacques Trilling (Jacques Derrida, 2001) [Veilleuse]

Au-delà des apparences (Jacques Derrida & Antoine Spire, 2002) [ADDA]

Artaud le Moma – Interjections d’appel (Galilée, 2002) [ALM]

« De tout coeur » (vidéo de mars 2002 adressée par Jacques Derrida aux Israéliens et aux Palestiniens, suivie de la lecture du texte « Nous ? ») [DTC]

Fichus (Jacques Derrida, 2002) [Fichus]

H.C. pour la vie, c’est à dire… (Jacques Derrida, 2002) [HCPLV]

Comme il avait raison! Mon Cicérone Hans-Georg Gadamer (Jacques Derrida, 23 mars 2002) [HGG]

Marx & Sons (Jacques Derrida, 2002) [MES]

Séminaire « La bête et le souverain » Volume II (Jacques Derrida, 2002-2003) [Sem2002]

Trace et archive, image et art (conversation à l’INA avec le Collège iconique, le 25 juin 2002) [TAIA]

Abraham, l’autre (Jacques Derrida in Judéités, 2003) [ALA]

Chaque fois unique, la fin du monde (Jacques Derrida, 2003) [CFUFM]

Genèses, généalogies, genres et le génie – Les secrets de l’archive (Jacques Derrida, 2003) [GGGG]

Parages (Jacques Derrida, 1986 – nouvelle édition augmentée en 2003) [Parages]

Psyché, Inventions de l’autre (tome 2) (Jacques Derrida, 1987, édition revue et modifiée en 2003) [Psyche2]

Voyous – Deux essais sur la raison (Jacques Derrida, 2003) [Voyous]

« Responsabilité – Du sens à venir » (Dialogue entre Jacques Derrida et Jean-Luc Nancy, le 18 janvier 2002, publié en 2004) [RSV]

Béliers. Le dialogue ininterrompu : entre deux infinis, le poème (Jacques Derrida, 2003) [Beliers]

« La démocratie à venir, Colloque de Cerisy du 8 au 12 juillet 2002 » (Autour de Jacques Derrida, publié en 2004) [BELS]

Le « concept » du 11 septembre (Jacques Derrida, 2004) [C11S]

Derrida, penseur de l’événement (entretien avec Jérôme-Alexandre Niesberg paru dans l’Humanité du 28 janvier 2004) [DPE]

Lengua por venir / Langue à venir – Séminaire de Barcelone (Jacques Derrida, 2004) [LAV]

Cahier de l’Herne : Jacques Derrida (Jacques Derrida et autres, 2004) [LHerneDerrida]

Le lieu-dit : Strasbourg, in « Penser à Strasbourg » (Jacques Derrida, 2004) [LLDS]

La vérité blessante, ou Le corps à corps des langues, entretien avec Evelyne Grossman (Jacques Derrida, 2004) [LVB]

Dialogue du 9 juin 2004 à Strasbourg avec Jean-Luc Nancy et Philippe Lacoue-Labarthe (Jacques Derrida, 2006) [RueDescartes52]

Sens en tous sens (Autour des travaux de Jean-Luc Nancy) (Colloque dirigé par Francis Guibal et Jean-Clet Martin, 2004)

Son malin génie – Préparatifs pour l’infini (Préface au livre de Safaa Fathy, Ordalie – Terreur) [SMG]

Derrida and religion : Other Testaments (Yvonne Sherwood, Kevin Hart, 2005) [DROT]

Apprendre à vivre enfin (Jacques Derrida, 2005) [AAVE]

« Il courait mort » : Salut, Salut – Notes pour un courrier aux Temps Modernes (Jacques Derrida, 2005) [ICM]

« Penser à ne pas voir », in Annali 2005/I (Fondazione Europea del Disegno – Fondation Adami) (Jacques Derrida, 2005) [PANPV]

Screenplay and Essays on the Film Derrida, by Kirby Dick and Amy Ziering Kofman (publié en 2005) [SEFD]

L’animal que donc je suis (Jacques Derrida, 2006) [AQDJS]

Penser avec Jacques Derrida (Revue Rue Descartes, 2006) [RueDescartes52]

Le sacrifice, postface à « L’Éternel éphémère » de Daniel Mesguich (Jacques Derrida, 2006) [Sacrifice]

En composant « Circonfession », in « Des Confessions, Jacques Derrida – Saint Augustin (Jacques Derrida, 2007) [ECC]

Le souverain bien – l’Europe en mal de souveraineté, in Cités n°30 (Jacques Derrida, 2007) [LSB]

Penser ce qui vient, in « Derrida pour les temps à venir », sous la direction de René Major (Jacques Derrida, 2007) [PCQV]

Deux dialogues et un texte de Jacques Derrida, in Derrida d’ici, Derrida de là (Jacques Derrida, 2009) [DDIDDL]

Remarques sur la déconstruction et le pragmatisme (Jacques Derrida, 2010, publié en anglais en 1996) [RDELP]

Derrida et la question de l’art – Déconstructions de l’esthétique (Sous la direction d’Adnen Jdey, 2011) [DLQDLA]

Politique et amitié – Entretiens avec Michael Sprinker sur Marx et Althusser (Jacques Derrida, 2011) [PEA]

Histoire du mensonge – Prolégomènes (Jacques Derrida, texte de 1997 publié en 2012) [HDM]

Les Yeux de la langue – L’abîme et le volcan (Jacques Derrida, texte de 1987 publié en 2012) [LYDLL]

Pardonner – L’impardonnable et l’imprescriptible (Jacques Derrida, texte de 1997 publié en 2012) [Pardonner]

Séminaire « La peine de mort », Volume I (1999-2000) [Jacques Derrida, paru en 2012) [Sem1999]

« Derrida, l’événement déconstruction » (Jacques Derrida et autres, Les Temps Modernes n°669-670, juillet/octobre 2012) [TempsModernes669]

Á dessein le dessin (transcription d’une conférence de Jacques Derrida prononcée en 1991, publiée en 2013) [ADLD]

Penser à ne pas voir (Ecrits de Jacques Derrida sur les arts du visible, 1979-2004, textes réédités en 2013) [ESAV]

La conférence de Heidelberg (rencontre-débat des 5 et 6 février 1988 entre Jacques Derrida, Hans-Georg Gadamer et Philippe Lacoue-Labarthe, texte publié en 2014) [LCDH]

« Le dernier des Juifs » (Jacques Derrida, 2014) [LDRDJ]

Les arts de l’espace (Ecrits et interventions de Jacques Derrida sur l’architecture, 1984-1997, textes réédités en 2015) [LADLE]

Séminaire « La peine de mort », Volume II (2000-2001) [Jacques Derrida, paru en 2015) [Sem2000]

Surtout, pas de journalistes! (Interventions de Jacques Derrida au colloque « Religion et média » en décembre 1997, publiées en 2016) [SPDJ]

Revue « L’Entretien » Volume 3, sur Jacques Derrida (mai 2017) [Entretien03]

Le parjure, peut-être (« Brusques sautes de syntaxe ») (Jacques Derrida, 2002, paru en 2017) [LPPE]

Théorie et pratique, Cours de l’ENS-Ulm (1975-76 ou 1976-77) (Jacques Derrida, paru en 2017) [Sem1976-TEP]

p11 : Histoire juive (Serge Viderman)

p29 : Nota Bene (Maria Torok)

Jazzi dit: à

« @ jzmn, que pensez-vous de ce beau jeune romancier new yorkais au pullover rose, joshua cohen ? »

Pas du tout mon genre, JJJ.

Marie Sasseur dit: à

@Pour l’acquérir, cliquez.

Et les dragées fuck all, vous n’avez à l’évidence, pas trouvé le lien, pour vous approvisionner, Dr Lecter.

renato dit: à

Une table de brasserie munichoise, hamlet, une table de brasserie munichoise. Une brasserie n’est pas une taverne. Pas besoin de développement, vous connaissez ce rendez-vous de frustrés qui fut la Bürgerbräukelle, je suppose.

et alii dit: à

liquides :
LES PHONÈMES EN ÉCRAN – LIQUIDE /L/ ET VIBRANTE /R/
il faut savoir que les liquides prescrits par les éducateurs-trices de la RDLsont les tisanes (camomille etc):mode d’emploi:on s’en tamponne le coquillard

closer dit: à

D’ailleurs Sternhell n’est-il pas un inspirateur de BHL pour son Idéologie Française?

hamlet dit: à

renato dit: Une brasserie n’est pas une taverne.
 »

désolé, effectivement ça change tout.

« le rendez-vous des frustrés » : d’accord pour l’emploi de ce mot « frustrés ».

la Bavière c’est spécial, mais il est possible de maintenir la violence des gens, mêmes en Bavière.

c’est que dit Hobbes dans le Léviathan, il ne parle pas de la Bavière, mais ce point de basculement, quand les gens partent en vrille.

c’est la responsabilité de la politique de ne pas s’approcher de ce point où l’on passe de la frustration à la violence.

les autres pays européens portent une lourde responsabilité, ils ont été totalement inconscients.

en plus en 2000 ans d’histoire tout le monde savait que quand ça part en vrille et ça devient le bordel ce sont les juifs qui dérouillent.

quelqu’un peut me dire pourquoi on ne tire jamais de leçon de l’histoire ? d’où provient cette malédiction ? parce qu’il est évident que ça va bientôt encore se répéter, à chercher les Lumières à la loupe… elles seront parties, désertées !

pour que les Lumières ça marche il faut pas de gens frustrés, ou alors c’est l’inverse : les Lumières faisaient en sorte d’éviter la frustration, Montesquieu… ?

Marie Sasseur dit: à

closer dit:
L’article de Serge Berstein mis en lien par lvdb est accablant pour Sternhell…

Non. Inutile que water closet, ce nain de jardin, le ravi de la creche qui tombe des nues, chaque fois qu’il clique, fasse le perroquet.

J’ai envoyé ce matin, un lien à Passou, qui pensait que Sternhell était historien.

Phil dit: à

beaucoup d’veulrie dirphiloo..pas beaucoup dcuisse

sous la cuisse l’ossature, dear Bougreau. Guéhenno vs Morand

Marie Sasseur dit: à

« Les Lumières plaçaient la raison, la justice, le bonheur au-dessus de toutes autres valeurs. »

Des peace and love, les Diderot et d’Alembert ?

La, Passou, c’est plus de la lumière, c’est carrément un coup de soleil, que dis-je, c’est carrément des lampes à bronzer qui vous donnent la plume si légère, je veux dire superficielle.
Mais c’est bientôt les vacances, l’école est finie.

Jazzi dit: à

Sternhell déclarait que pour lui seule l’idée importe.
Mais que valent les idées sans les hommes ?

Phil dit: à

ça dépend du genre d’hommes, dear Baroz

Brinqueballe dit: à

« Une pièce d’homme »

Le pente à long.

Jazzi dit: à

« Un tel parti pris méthodologique, qui se traduit par une absence d’empathie, reflète une absolue indifférence au facteur humain dans les engagements politiques. Loin de s’en défendre, il le revendique. Tout pour les idées ! »

Après l’art pour l’art, l’idée pour l’idée.
Avec, pour conséquence, de sombrer inévitablement dans… l’idéologie !

Phil dit: à

gare aux cinémas climatisés, dear Baroz; virus chinois dans les tubes, tête dans le tonneau à popcorn à la fin de la séance

Jazzi dit: à

« ça dépend du genre d’hommes »

Oui, exemple, Staline : tout pour les idées du communisme !
Combien de millions de victimes, Phil ?

Jazzi dit: à

« cet homme de qualité qui m’a honoré de son amitié des années 1980 aux années 2010 »

Ensuite, vous vous êtes brouillés ou seulement perdus de vue, Passou ?

Phil dit: à

naziss communiss tous dans le même sac, ça fâche les chercheurs cnrs, dear baroz. déjà avant les zamalgames giletsjaunes, la confusion battait fort. Lire Marie-Claire Lavabre sur les communiss, le bon grain et l’ivraie. Gide était d’accord avant de se raviser because gaypride verboten.

bouguereau dit: à

Mais que valent les idées sans les hommes ?

..les hommes qui disent bien que c’est méyeur que les femmes s’en passent..quelle dirait bonne..bonne..si bonne

bouguereau dit: à

Lire Marie-Claire Lavabre

ça vaut pas les sucettes à lannie Lacroixriz à dracul..ça c’est dlidée quelle a du gout qu’il dirait baroz

bouguereau dit: à

Oui, exemple, Staline : tout pour les idées du communisme !

..charité bien ordonnée..il avait fait lpetit séminaire baroz..on l’prend pas en faute si facilment

Phil dit: à

Dracul, c’était la vision paramount du génocide. restons modeste

bouguereau dit: à

Ensuite, vous vous êtes brouillés ou seulement perdus de vue, Passou ?

..il l’a ptête fait cocu baroz..ça rgarde pas lpopulo

et alii dit: à

nota beine point sur le i c’est de la philosophie

et alii dit: à

..il l’a ptête fait cocu baroz..ça rgarde pas lpopulo
pour une fois que vous êtes inspiré

bouguereau dit: à

Sternhell déclarait que pour lui seule l’idée importe.
Mais que valent les idées sans les hommes ?

..certains on dit que le fascisme n’était pas hune idée..qu’il ne s’était pas himposé grace à elles..qu’il échappait à largumentaire logique etc..et qu’en conséquence il ne se combattait pas havec des idées..dire que le fascisme est une idée serait donc une imposture baroz

bouguereau dit: à

..une imposture hutile hévidemment..sinon ça srait pas une bonne idée

vedo dit: à

Christiane,

Je comprends mieux nos échanges, il y a un an, sur Cézanne et Renoir. (J’abonde dans le sens de Chaloux). Pour le Thoronet, le livre superbe de Pouillon a déjà été mentionné ici. N’oublions pas ma promesse.

hamlet dit: à

« Sternhell déclarait que pour lui seule l’idée importe. »

une idée seule, en elle-même, n’a guère de valeur en dehors de son contexte.

Burke a reproché à la révolution française son idée abstraite de « droit de l’homme », pour lui il valait mieux parler de droit des hommes, des individus, droit des gens.

bouguereau dit: à

Guéhenno

jle connais peu..mais j’ai une grande tendresse pour les pédagogues dirphiloo..même un peu pédophile..jles ai connu trop tard pour un bien..et j’aurai aimé havoir la fibre..j’ai qule chibre qu’il dirait lassouline

bouguereau dit: à

burke n’était pas allé à l’école keupu.. »à lacadmie c’est toujours sodomie »..c’est hun peu mieux que ‘arbeit.. » qu’elle dirait drh

bouguereau dit: à

pour une fois que vous êtes inspiré

ça suffit pour une vie renfield..toi tu l’as dvant toi

Jazzi dit: à

« dire que le fascisme est une idée serait donc une imposture baroz »

Même pas une idéologie, le boug ?

bouguereau dit: à

Même pas une idéologie, le boug ?

si t’as pas un peu d’respect pour ce mot là..certainement..malheureusment on en a tous une..didéologie..du coup..c’est chier où on mange

Ed dit: à

@JJJ
Dijon est un village. Je connais déjà, merci pour l’attention ceci dit.

Jazzi dit: à

Il n’y a pas plus d’Ozymandias-Khaled-Taleb à Laghouat que de beurre en broche !

Pourquoi encourager le multipseudo, Chaloux, et alii, Marie Sasseur, Christiane, Bloom et Janssen J-J. ?

Pour lui redonner (il devait disparaître définitivement) l’occasion de se foutre de votre gueule !

« Merci à vous tous pour vos encouragements, c’est à la fois touchant et stimulant.
Si un jour, qui sait, vous décidez de venir au sud algérien pour visiter le Sahara et ses mystères, vous serez les bienvenus chez moi à Laghouat.
Rien ne vous manquera.
Générosité, hospitalité, méchouis et thé à la menthe garantis !
Je vous le dis sincèrement.
MERCI 🙋😀🙋😀🙋😀🙋😀🙋😀🙋😀🙋😀
Khaled Taleb. »

Il est évident, Christiane, que Marie Sasseur et D. font la paire…

Jazzi dit: à

Ce soir, je retourne pour la première fois au restaurant depuis plus de trois mois !
Comme pour le cinéma.
L’occasion de revoir un vieux copain italien, Vittorio, qui était confiné chez lui au centre de Florence.
On va pouvoir comparer nos confinements nationaux respectifs…

Vous avez été au restaurant, vous ?

Jazzi dit: à

« j’aurai aimé havoir la fibre (pédagogique)..j’ai qule chibre »

L’enseignement par le chibre, c’est bien aussi, le boug !

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