Prix Goncourt : Salvayre Regina !
Le prix Goncourt 2014 a été attribué au cinquième tour de scrutin à Lydie Salvayre pour Pas Pleurer par 6 voix contre 4 à Meursault, contre-enquête de Kamel Daoud. Le prix Renaudot, décerné dans une pièce attenante du restaurant Drouant, est allé à David Foenkinos pour Charlotte.
Le Seuil n’avait pas eu un auteur couronné par l’Académie Goncourt depuis vingt-cinq ans, Eric Orsenna étant le dernier pour L’Exposition coloniale. Lydie Salvayre, qui a abandonné il y a deux ans son métier de pédo-psychiatre dans un hôpital en région parisienne, a publié une œuvre riche d’une vingtaine de titres, des romans et des récits traduits dans de nombreuses langues et souvent adaptés au théâtre. Ses parents, des républicains espagnols, s’étant réfugiés en 1939 en France où elle est née neuf ans plus tard, elle n’a cessé de tourner autour de sa mémoire, de son identité, des langues française et castillane dans lesquelles elle a été élevé bien qu’elle soit issue d’une lignée catalane ; il lui manquait un déclic pour affronter à nouveau, mais plus frontalement, le personnage de sa mère. Ce fut, récemment, le choc produit par la lecture des Grands cimetières sous la lune, qui lui a fait franchir le pas et, du coup, lire toute l’œuvre de l’écrivain (et l’on ne doute pas que Pas pleurer fera lire à son tour Bernanos). Ainsi put-elle nouer les destins de cet homme et de cet femme face à la guerre civile espagnole, l’un et l’autre s’autorisant à obéir à leur conscience au risque de perdre la confiance, l’amitié, l’estime des leurs.
Le récit est puissant, coloré, radical jusqu’à une certaine violence parfois. Le lecteur non hispanisant pourra être à première vue déconcerté par un certain nombre de phrases écrites en « fragnol », sabir franco-espagnol que parlait la mère de Lydie Salvayre et qu’elle a voulu conserver tel quel, sans traduction, de manière à restituer la musique qui berça son enfance sans qu’elle ait pu toujours la comprendre alors. On souhaite bien du plaisir au traducteur de ce roman pour son édition espagnole… Avec Lydie Salvayre prix Goncourt dans une France dont le premier ministre est d’origine catalane et le maire de Paris andalouse, on imagine déjà la « une » des journaux de Madrid et de Barcelone. Ils y côtoieront une nouvelle toute récente : pour la première fois de son histoire, le Diccionario de la lengua espanola vient de définir le franquisme comme une dictature…
Pour ne pas me répéter, voici ce que j’écrivais le 8 septembre dans ces colonnes :
“Pas pleurer (273 pages, 18,50 euros, Seuil), qui se déroule en pleine guerre civile dans la Barcelone de l’été 1936 prise dans le souffle libertaire, elle noue le récit de sa mère Montse à la prise de conscience du Bernanos des Grands cimetières sous la lune. Le point commun entre maman et le grand écrivain? Le courage. le même courage : celui d’oser changer de camp, manière de reconnaître que l’on s’est trompé, jusqu’à prendre le risque de témoigner contre ce et ceux qui étaient son camp. On peut écrire un livre à charge contre l’Eglise sans qu’il ne cède en rien aux canons de l’écriture romanesque, même si parfois cela sent un peu le dossier. Même si la charge est rude :
« L’Eglise espagnole est devenue la Putain des militaires épurateurs (…) l’infâme institution (…) etc « .
L’imprégnation des (re)lectures de Bernanos probablement, aussi grand pamphlétaire qu’il fut un puissant romancier (si au moins Pas pleurer pouvait engager ceux qui ne l’ont jamais lu à y aller voir, ils n’en reviendraient pas – d’autant que le Castor Astral le réédite avec soin). Ce qu’il a fait en faisant le jeu des Républicains, lui qui s’était rendu en Espagne naturellement acquis à la cause nationaliste, Bernanos ne l’a pas fait par goût du scandale mais parce que sa conscience chrétienne fut profondément révoltée par la manière dont l’Eglise avait prêté main forte au crime. S’il lui en a coûté de le dénoncer, il lui en aurait coûté bien davantage de n’en rien faire.
Il ne s’en dégage pas que le son d’une conversation d’outre-tombe de deux voix entrelacées mais une couleur. D’aucuns regretteront que nombre de phrases ne soient pas traduites ; mais enfin, c’est plus ou moins de l’espagnol, pas du sanskrit ! Ils se consoleront en se disant que cet entre-deux-langues, qui correspond bien à la double fidélité franco-espagnole de l’auteur, participe justement de sa musicalité. Encore que, dès l’épigraphe tirée du Quijote, ils risquent de lui en vouloir :
« De qué temes, cobarde criatura? De qué lloras, corazon de mantequillas? »
Rien n’est inventé : la narratrice est bien Lydie Salvayre, c’est de sa mère qu’il s’agit, alors une jeune femme d’une grande force de caractère (une étreinte est l’occasion d’un baiser de quatre-vingt dix minutes, un exploit qui n’est heureusement pas délayé pendant quatre-vingt dix pages !), et du vrai Georges Bernanos. Toute à la violence de son propos, elle se donne pour idéal la charge de Carlo Emilio Gadda contre l’abjection mussolinienne. Ou encore les déchirements d’un José Bergamin, catholique et républicain. Il est de pires modèles. Tout sauf la lâche neutralité d’un Saint John Perse alias Alexis Léger du quai d’Orsay, jouant un rôle déterminant dans la non-intervention.
Pas pleurer est un hommage, aussi émouvant que secouant, de la fille à sa mère, cette femme qui fit partie de l’interminable colonne de réfugiés passant la frontière du Perthus à pied au début de 1939 après un long voyage, se retrouvant dans un camp à Argelès avant d’échouer dans un village du Languedoc où elle vivait encore jusqu’à sa récente disparition ; elle y a passé sa seconde vie, comme la première, à montrer à ces enfants comment affronter les travaux et les jours, mais sans pleurer.
(« Lydie Salvayre aujourd’hui chez Drouant et il y a quelques semaines du côté de Nancy » photos Passou)
1 075 Réponses pour Prix Goncourt : Salvayre Regina !
J.-C. Azerty dit:
à
J.-C. Azerty dit: 6 novembre 2014 à 18 h 46 min
Taxer sans preuve Machin d’antisémitisme est parfaitement farfelu.
C’est vouloir mettre notre ami WG sur la paille. (ueda)
Je crois que j’ai trouvé, sans vraiment le chercher, le qualificatif adéquat pour l’ami en question : il n’est pas foncièrement méchant, il est farfelu. Voilà. C’est un farfelu. Furlufufu. Poil au fût.
bérénice dit:
à
hamletb 18h50 pour que la vie soit rendue possible il faut pourvoir aux conditions à court moyen long termes, Hamlet la fin de vie est un des innombrables problèmes qui font partie d’un complexe géant qui contient la vie et qui peut aussi connaitre des améliorations.
bérénice dit:
à
nous sommes en train de discuter de choses sérieuses.
Parce que vouloir réduire le droit du travail à peau de chagrin et les salariés aux désidératas d’un petit moyen ou grand chef qui pourrait vous expédier comme un papier à la corbeille, ce n’est pas bien grave?
renato dit:
à
Mise en place dans l’espace public:
http://www.lesoir.be/sites/default/files/imagecache/475×317/2012/10/16/primadonna_0.jpg
J.-C. Azerty dit:
à
notre problème n’est pas la fin de vie des gens c’est leur vie !!!!! (Hamlet)
Objectons à Hamlet que la fin de vie des gens, c’est encore leur vie. Objectons lui aussi qu’il n’y a pas de « grands » ni de « petits » problèmes : tout se tient. Je te tiens tu me tiens par la barbichette.
ueda dit:
à
hamlet dit: 6 novembre 2014 à 18 h 54 min
u. Bernard Pivot !
vous imaginez ? mais cette femme tout le monde s’en fout !
Noble hamlet, nous autres orientaux bercés par des philosophies que vous dédaignez, nous sommes récompensés par Bernard Pavot tous les jours.
bérénice dit:
à
Bernard c’est l’opium du peuple.
Clopine dit:
à
… Parce que j’ai eu la banane, à Spilt.
(d’accord, je sors).
Hamlet, vous savez sûrement que je suis preneuse d’une vraie conversation avec vous. Sauf que là, c’est l’anniversaire de Clopin, et puis votre esprit paradoxal m’inquiète depuis longtemps. Paul Edel vous trouve en forme : ouh là là. Je m’en vais donc m’éclipser…
(mais je reviendrai, pour sûr. Vous êtes l’une des figures attachantes de ce blog, à cause de l’obstination avec laquelle vous vous attachez à être vous-même. Nous partageons ce trait !)
est-il nécessaire de le préciser ? dit:
à
l’obstination avec laquelle vous vous attachez à être vous-même
des trolls donc……….
est-il nécessaire de le préciser ? dit:
à
ce ne sont certes pas les intellos d’ici qu’amélioreront le monde
et encore moins les clowns blancs de fond de cour……
renato dit:
à
C’est vrai que préciser qu’il n’est pas nécessaire de préciser, c’est défoncer une porte ouverte… Un intellectuel, peut-être?
est-il nécessaire de le préciser ? dit:
à
c’est défoncer une porte ouverte…
on devrait compter (sur) tes yakas ????????
hamlet dit:
à
mais mon pauvre ami le medef fait son boulot, c’est normal qu’ils défendent les patrons !
le problème c’est la culture !
vous trouvez normal qu’elle fasse le boulot du medef en endormant les gens avec les franquistes, le réchauffement climatique et l’euthanasie ?
parce que non ! tous les problèmes ne se valent pas, il faut les prendre dans l’ordre.
ça ne me dérange pas que Pivot aille faire le clown sur canal+ avec l’autre crétin de canal+, sa place est là, la place du président du Jury Goncourt est sur Canal au grand journal.
Pivot est celui qui a transformé la littérature en spectacle, en grand show télévisé.
historiquement c’est là que les choses ont commencé à partir en cou.lles.
parce que s’il faut parler d’histoire et de mémoire alors parlons-en !
mais pas pour parler des franquistes et des pétainistes non il faut faire de l’histoire pour comprendre à quel moment la culture est venue se substituer à la politique, le passage de l’homme sujet à l’homme individu, l’avènement de l’hédonisme comme grosse tarte à la crème onfraysienne pour faire nous faire passer des vessies pour des lanternes.
faisons de l’histoire pour trouver le moment où a commencé le grand endormissement culturel capitaliste !
voilà ça c’est un sujet intéressant.
pour en arriver à un monde où des gamins veulent préserver une planète où un petite minorité aristocratique essaie de préserver ses richesses.
parce que ce n’était pas donné !
qu’une petite poignée d’individu possède la quasi totalité des richesses de notre pays pour parvenir à retoruver le niveau des inégalités de 1914 ce n’est pas une chose naturelle, il a fallu en mettre en place des mécanismes tordus pour y parvenir.
l’évidence est que ce système n’aurait jamais pu voir le jour sans la complicité des intellectuels, des écrivains et des philosophes.
maintenant que nous avons fait de l’Histoire politique et compris la complicité des acteurs culturels il faut se poser la question morale : ils sont responsables mais sont-ils coupables ?
les journalistes, les médias ce n’est pas le problème, il y a des enjeux financiers et la pluaprt sont des crétins incapables de compter jusqu’à 10 sans les doigts.
mais les autres ? les philsophes et les écrivains sont-ils devenus complices du medef consciemment ? ou sont-ils des idiots utiles avec leur humanisme débile ? ou bien étaient-ils juste motivés par leur vanité ? les récompenses, le Goncourt… les trophées, depuis les plus anciennes civilisations les trophées existent, il faut en parler.
c’est ce mécanisme qu’il nous faut maintenant décortiquer.
je ne dis pas que ça va être un boulot facile, mais si chacun n’y met pas un peu du sien nous n’allons pas y arriver bordel !!!
voilà le travail d’Histoire qu’il faut faire !
renato dit:
à
Inutile de sortir mes yakas, les vôtres marchent très bien.
Chaloux dit:
à
bouguereau dit: 6 novembre 2014 à 16 h 11 min
« il en va du langage comme des formules mathématiques : elles constituent un monde en soi, pour elles seules ; elles jouent entre elles exclusivement, n’expriment rien sinon leur propre nature merveilleuse, ce qui justement fait qu’elles sont si expressives que justement en elles se reflètent un jeu étrange des rapports entre les choses. »
les deux dernières locutions sont contradictoire polo..et justement ce qui ne lasse pas d’étonner les mathématiciens..ils ont cet honnéteté..pas novalis
Combien ici capables de détecter, à la lecture de cette seule remarque, la bêtise sans vergogne de bouguereau-le-tenia?
hamlet dit:
à
u. il ne faut faire diversion avec les chinois, le problème c’est pas la Chine c’est l’Occident !
on veut déjà nous embourber l’esprit avec les sunnites et les chiites alors que personne n’en rien à taper, ils peuvent tous se trucider entre eux, c’est pas notre problème.
les médias sont fortiches pour ça, les gens sont tous incollables pour faire la différence entre un sunnite et un chiite mais plus personne ne fait la différence entre un riche et un pauvre !
les comptables à la solde des puissants ont transformé notre occident en énorme plan comptable !
l’occident de Spinoza, Hobbes et Montesquieu est devenu un plan comptable, avec ses actifs, ses passifs, ses pertes et profits et ses provisions pour créances douteuses.
alors est-ce la fin de notre civilisation ?
u. pas la nôtre, je veux dire la mienne.
donner un prix littéraire à un type comme Foenkinos pourrait nous faire dire « oui », c’est le fin des haricots.
mais méfions-nous, parce que l’occident a des ressources que les chinois n’ont pas, il peut rebondir, revivre de ses décombres.
hamlet dit:
à
Bernard Pivot doit adorer Foenkinos.
à la limite c’est son droit.
Merci d'exister dit:
à
Chaloux dit: 6 novembre 2014 à 19 h 45 min
Combien ici capables de détecter, à la lecture de cette seule remarque, la bêtise sans vergogne de bouguereau-le-tenia?
Phrase très intelligente Chaloux, tu es le seul ici à ne rien comprendre, un peu comme Clopine avec Hamlet.
Les ego irrecevables, un bonheur de lecture.
Chaloux dit:
à
Merci d’exister dit: 6 novembre 2014 à 19 h 53 min
Phrase très intelligente Chaloux,
Hurhurkhurk, pauvre andouille…
Bonne soirée,
Diagonal dit:
à
Il faut décerner le prix du roman posthume aux « Terres du couchant », un délicieux inédit de LP/JG daté de 1953. On s’y laisse embarquer dès la première phrase : « En somme, nous vivions bien. Chaque saison amenait ses fruits et ses plaisirs, et la Terre du Couchant n’était pas avare. Les vices dans le gouvernement du Royaume étaient si vieux, et leurs méfaits si capricieux dans leur enchevêtrement qu’ils finissaient par participer des hauts et des bas qui donnent sa varitété à tout spectacle naturel : si on formait le voeu parfois de les voir « s’arranger », c’était de la même lèvre pieuse dont on souhaite que le temps « s’arrange » après la grêle ou la gelée.
Aujourd’hui, bravo à Lydie de Bréga-Vieil. Je pense que c’était un bon choix.
Carla G. dit:
à
« le medef fait son boulot » — la nouvelle manière étant de lancer des versions exagérées, outrancières des ce que souhaite « the establishment », pour permettre ensuite de les faire adopter ds une version un petit peu atténuée qui sera saluée par des soupirs de soulagement. Les think tanks ayant longuement martelé des mantras extrémistes la grande braderie finit par ressembler à un sauvetage de l’essentiel. Bravo les artistes (les « outriders » comme dirait le jeune Owen Jones)
com hic dit:
à
« le chien aboie et la caravane passe…
Et si l’on dit dans un ordre qui inverse et qui à mon humble avis correspondrait mieux au lien de causalité, verrait-on enfin un progrès qui embrasserait l’humanité dans son entier??
couper la langue de tous les chameaux ? vaste programme et que de sang que de sang versé !
bérénice dit:
à
chaloux 19h54 suivait cette remarque par Sergio
Oui, et d’ailleurs c’est un miracle qu’elles servent à quelque chose de concret ; mais assurément elles sont aussi éloignées de la réalité que le langage de la pensée qu’il lui est imparti de véhiculer.
Chaloux dit:
à
Quoiqu’il en soit, cette remarque est bien d’un tenia qui produit des navets. les « locutions » ne sont pas contradictoires et qu’est-ce que sait cet imbécile de bouguereau de « l’honnêteté » de Novalis. Propos derisoires d’un poivrot qui se donne des airs…pathétique et trouduculesque…
bérénice dit:
à
La pensée ainsi véhiculée ne se retrouve que trop rarement à l’état de concrétisation. Sergio nous dira peut-être en initié quelles sont les multiples terrains d’application des théories mathématiques, à peu près partout?
Chaloux dit:
à
Un peu de réflexion surtout sur la notion de langage, qu’il soit mathématique ou pas… Chose dont ce pauvre boumou serait bien incapable…
100% dit:
à
tu es le seul ici à ne rien comprendre, un peu comme Clopine
Pas de comparaison possibe clopine c’est hénorme de fonte ellapajoui épicétou
Widergänger dit:
à
Réduire Candide à un catalogue… c’est la catastrophe critique du soir, mes petits chéris. Ah, la situation ne s’arrange pas sur la Rdl.
Evidemment que Candide ne se réduit pas à un catalogue. Il sape les base de l’Ancien Régime. C’est un texte éminemment politique, engagé.
Ah, la critique journalistique…
Widergänger dit:
à
Il y a toujours des ignares ici qui ne savent pas ce que tout le monde sait, à savoir que Alexis Léger était une merde d’antisémite. Font pitié, ces ignares, avec leur jugement étriqué et bas de plafond.
Widergänger dit:
à
Et pas seulement Candide, mais les Lettres persanes de Montesquieu. Althusser en a même écrit une critique politique. Mais l’autre zouave avec son Brecht transformé en baiseur de ces dames n’y a vu que du feu…
Ah, le niveau sur la Rdl, ça fait peur. Et dire que tout ça est passé par les fourches caudines des cours de français pour préparer le bac en 1ère. Déclin de la France, on a les preuves !
Chaloux dit:
à
Voila Alba, l’immense penseur et écrivain qui ne pense ni n’écrit, reparti pour une soirée de lieux communs dont la plupart seront d’énormes sottises.
Bon courage la RDL!
Widergänger dit:
à
Bernadette dit: 6 novembre 2014 à 17 h 46 min
et moi, émoi, comme une naïve ou un conne, qui croyait trouver ici quelques moments d’intelligence, de paix, que me trompe-je, alors adieu tas de ploucs
__________
Vous voyez que je ne suis quand même pas le seul à vous le dire, tas de ploucs ! Deux, c’est déjà le début de la majorité !
Widergänger dit:
à
Dans le métro aujourd’hui, vu une femme qui lisait le dernier Modiano, avec un regard sceptique…
Chaloux dit:
à
Et encore, albablabla, tu ne vois pas ceux qui te lisent…
Widergänger dit:
à
Problème grammatical intéressante :
« une vie de chiotte »/ »une vie assez de chiotte » (hamlet)
Il introduit une adverbe d’intensité à l’intérieur du complément de nom. C’est limite quand même… Voyons ce que ça donne avec d’autre adverbes :
Une vie beaucoup de chiotte
une vie mal de chiotte
une vie bien de chiotte
une vie pas mal de chiotte
une vie moins mal de chiotte
Ah, c’est intéressant… !
Le sens de sa vie dit:
à
Chaloux plus fort que Clopine.
Dans le détestation ce crétin laisse Clopine à des kilomètres.
Clopine reconnait (mal mais quand même, la non-agressivité de Bergeret)
Chaloux lui, petit soldat fier de ses petits poingss, ne reconnaît rien hors sa haine des plus intelligents que lui (ce qui, sans faire offense à bouguereau, est permis à tout détenteur du BEPC)
Chaloux est né pour délater, un étalon du genre, il serait bien qu’il l’admette pour survivre à sa vocation.
Paul Edel dit:
à
» Mais l’autre zouave avec son Brecht transformé en baiseur de ces dames n’y a vu que du feu… » comment pouvez vous vous abaisser à dire de telles inepties? mon pauvre ami.. vous devenez pathétique dans votre ivresse de mépris.Vorre niveau de haine fait effectivement peur.
Star dit:
à
Widergänger dit: 6 novembre 2014 à 20 h 50 min
WG avec Paul c’est un peu comme Chaloux avec bouguereau.
Le vermisseau amoureux d’une étoile.
bérénice dit:
à
Chaloux peu importe les éclaircissements dont Sergio pourraient enrichir cette phrase complexe, je crois qu’une vie ne me suffira pas à prétendre comprendre quoique ce soit et encore moins croire, après tous ces mensonges, quoi en dehors de la théorie pure?
Widergänger dit:
à
Ce qui m’a surpris justement, c’est le nombre de scènes de baise dans ce roman. Aucune haine là-dedans, mais un sourire… comme quoi on peut se tromper quand on me lit, mes petits chéris…!
Ah, le niveau monte à la Rdl…!
Widergänger dit:
à
Non, vous vous trompez complètement, mes petits chéris ! Moi, je n’ai absolument aucune haine contre Popaul. Il n’est pas significatif pour que la haine ait du sens. Je dis simplement ce que je pense d’un point de vue critique. Il représente tout ce que je méprise en littérature, c’est tout.
Star dit:
à
Bon ok, parfois Mimi quand il cause littérature ne dit pas que des conneries.
Sa grande différence avec Chaloux.
Star dit:
à
Widergänger dit: 6 novembre 2014 à 21 h 18 min
Ah, le niveau monte à la Rdl…
Sûrement ton besoin de jouir mon Mimi.
com hic dit:
à
quoi en dehors de la théorie pure?
coming out politique autant dire sans surprise
com hic dit:
à
WGG n’a pas lu Tournier et c’est dommage
Eh oui ! dit:
à
Widergänger dit: 6 novembre 2014 à 21 h 22 min
Il représente tout ce que je méprise en littérature, c’est tout.
La Maîtresse de Brecht, un grand livre.
Mimi
Widergänger dit:
à
Je parle souvent de littérature avec mes collègues.
Parmi mes collègues, il y a quand même des gens de tous âges. Et des gens qui sont une une écrivain qui publie des romans, l’autre un peintre reconnu qui vend ses toiles effectivement, un troisième un chercheur en mathématiques de haut niveau (CNRS), mais tous ont de la littérature française une très très mauvaise opinion. Une autre fait du théâtre, et du théâtre qui refuse du public tellement la demande est forte !
Il n’y a pas un seul écrivain français qui retienne leur intérêt. L’autre jour, on comparait la France avec d’autres pays, comme l’Espagne parce que l’un de mes collègues prof d’espagnol connaît bien la littérature espagnole contemporaine. Ou l’Allemagne, avec la prof d’allemand. La littérature française c’est du vierbiage, dit l’une de mes collègue prof de lettres qui est agrégée comme moi. Et Modiano, personne ne le prend parmi mes collègues pour un grand écrivain, personne ! Personne parmi mes collègue ne connaît J. P. Amette ! Personne n’a lu un certain P. Assouline non plus… Personne. Pourtant ce sont des gens qui lisent, qui s’intéressent à la vraie littérature. J’ai une collègue qui connaissait très bien GAG pour l’avoir eu dans un autre collège comme collègue. Elle le lisait donc. Mais elle trouvait elle aussi que P. Handke, c’est de la merde…
renato dit:
à
Mimi métallo blessé dans son honneur…
Widergänger dit:
à
La modération fait dans le comique…
Widergänger dit:
à
Je parle souvent de littérature avec mes collègues.
Parmi mes collègues, il y a quand même des gens de tous âges. Et des gens qui sont une une écrivain qui publie des romans, l’autre un peintre reconnu qui vend ses toiles effectivement, un troisième un chercheur en mathématiques de haut niveau (CNRS), mais tous ont de la littérature française une très très mauvaise opinion. Une autre fait du théâtre, et du théâtre qui refuse du public tellement la demande est forte !
Widergänger dit:
à
J’en déduis que ce qui est à modérer se trouve dans le second paragraphe.
On va voir si c’est le mot « merdre » qui est enregistré sur la liste noire…
Widergänger dit:
à
Il n’y a pas un seul écrivain français qui retienne leur intérêt. L’autre jour, on comparait la France avec d’autres pays, comme l’Espagne parce que l’un de mes collègues prof d’espagnol connaît bien la littérature espagnole contemporaine. Ou l’Allemagne, avec la prof d’allemand. La littérature française c’est du vierbiage, dit l’une de mes collègue prof de lettres qui est agrégée comme moi. Et Modiano, personne ne le prend parmi mes collègues pour un grand écrivain, personne ! Personne parmi mes collègue ne connaît J. P. Amette ! Personne n’a lu un certain P. Assouline non plus… Personne. Pourtant ce sont des gens qui lisent, qui s’intéressent à la vraie littérature. J’ai une collègue qui connaissait très bien GAG pour l’avoir eu dans un autre collège comme collègue. Elle le lisait donc. Mais elle trouvait elle aussi que P. Handke, c’est de la
Widergänger dit:
à
Ah non, c’est pas le mot merde, dis donc !
Widergänger dit:
à
Ah, alors, ça doit être Modiano !
Widergänger dit:
à
Ah ben non, c’est pas Modiano…
Widergänger dit:
à
Ah ben c’est J.P. Amette !
Widergänger dit:
à
Ah ben non ! C’est la concurrence Modiano Amulette ?
Widergänger dit:
à
Ah ben non plus dis donc !
Widergänger dit:
à
Alors est-ce que c’est dans la première phrase ?
Widergänger dit:
à
Ah ben ouais dis donc c’est dans la première phrase !
C’est simplement qu’on n’a pas le droit de critiquer les écrivains français sur la Rdl. Sinon, dis, t’a affaire au modérateur…
Widergänger dit:
à
pas un seul bon écrivain français
Widergänger dit:
à
Ah ouais dis donc, c’est le mot « intérêt » qui provoque la modération…
Widergänger dit:
à
Ah, les progrès de l’informatique, mes petits chéris !
Widergänger dit:
à
Il n’y a pas un seul bon écrivain français. L’autre jour, on comparait la France avec d’autres pays, comme l’Espagne parce que l’un de mes collègues prof d’espagnol connaît bien la littérature espagnole contemporaine. Ou l’Allemagne, avec la prof d’allemand. La littérature française c’est du vierbiage, dit l’une de mes collègue prof de lettres qui est agrégée comme moi. Et Modiano, personne ne le prend parmi mes collègues pour un grand écrivain, personne ! Personne parmi mes collègue ne connaît J. P. Amette ! Personne n’a lu un certain P. Assouline non plus… Personne. Pourtant ce sont des gens qui lisent, qui s’intéressent à la vraie littérature. J’ai une collègue qui connaissait très bien GAG pour l’avoir eu dans un autre collège comme collègue. Elle le lisait donc. Mais elle trouvait elle aussi que P. Handke, c’est de la merde bien enrobée…
Widergänger dit:
à
Ah, j’ai réussi à éliminer l’objet du scandale, dis donc ! Ah, je suis fortiche !
La technique en marche. dit:
à
Widergänger dit: 6 novembre 2014 à 21 h 44 min
C’est seulement, comme vous le répondrait passou si vous lui posiez la question, un bug du robot, incompréhensible, pour tous.
Passez outre, chagez de pseudo pour d’adresse pour un temps,
et souriez.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…@,…hamlet,…à 19 h 39 mn,!…
…
…ne nous emmêlons pas les esprits,!…allons au plus court,!S.V.P.,!…
…
…avoir des sociétés de productions quelconque,!…
…& se voir faire inscrire de faux emplois,…ou autre emplois fictifs de la mairie de Paris,!par exemple,!…
…
…en plus,!…se voir mettre à la » côte » de la Bourse,!…pour des investissements qui ne profitent qu’aux actionnaires,!…en plus,!…
…
…c’est de la simple » Mafia « , édulcorée en droit d’expertise fiscal,!…
…
…c’est le loup dans la bergerie,!…un autre dessin,!…Ah,!Ah,!,…
…pour faire court,!…
…c’est idiot et ridicule, de laisser vivre ces gens à nous extorquer du matin au soir, avec costumes & cravates,!…
…c’est obscène, cet connivence,!…je touche combien, & je laisse tomber,!…
…poue en arriver aux guerres du pétrole,!…
…Oui,!…Alors,!…Merde à l’électricité à tout les coins de rue,…gratuite en Norvège,!…pour vendre encore plus de pétrole à l’étranger,!…
…faisons court,!…les mafieux d’états,!…
…connivences pour spolier le peuple,!…et bénéficier de son soutien,!…l’arnaque,!…
…Ah,!Ah,!…
…
…Je vois trop clair,!…pour m’enrichir sur le dos du peuple,!…
…le tiers état corporatiste, le clergé & la noblesse en familles,!…Ah,!çà ira,!…
…je prend mon pied,!…avec,!…etc,!…
…
…la force d’un pays,!…prendre les gens pour des » pauvr’cons,!…encore un,!…
…
…
Distribution de diplôme dit:
à
Widergänger dit: 6 novembre 2014 à 21 h 49 min
Et Modiano, personne ne le prend parmi mes collègues pour un grand écrivain, personne !
Il est donc peut-être permis de considérer que nombre d’agrégés sont des cons et ne mériteraient pas de l’être.
Peut-être.
Sûrement.
L'insoutenable électricité de l'air dit:
à
prendre les gens pour des » pauvr’cons,!…
Seulement s’ils insistent !!!!!!!
Distribution de diplôme dit:
à
Le principe d’un concours :
x places, y concurrents.
Au hasard, si tous cons :
nous avons x cons diplômés.
Aucun doute, ça arrive.
Trop souvent.
Widergänger dit:
à
Oui, ici c’est comme au Carnaval, c’est le monde renversé. Les cons passent pour des gens intelligents et cultivés et les gens intelligents et cultivés passent pour des cons…
Ah, ils sont comiques sur la Rdl !
Widergänger dit:
à
Distribution de diplôme dit: 6 novembre 2014 à 21 h 58 min
On peut déjà en déduire, qu’au moins vous n’êtes pas diplômé… ce qui explique votre commentaire de merde…
com hic dit:
à
quand rien ne bouge faut au moins faire du bruit..
Les mille et une nuits de Mimi dit:
à
Widergänger dit: 6 novembre 2014 à 21 h 49 min
J’ai une collègue qui connaissait très bien GAG pour l’avoir eu dans un autre collège comme collègue.
GAG en collège !!!!!!!!
Mimi, tu racontes n’importe quoi.
Tu sais quand il a arrêté ?
Et où ?
Ne fantasme pas stp,
tu nous fais du Clopine (ou pire, du Chaloux)
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…les tours de passe-passe de la bonne à tout faire,!…Monsieur m’a à la bonne,!…etc,!…
…
Distribution de prix dit:
à
Widergänger dit: 6 novembre 2014 à 22 h 01 min
Mais si mon Mimi, et bien avant toi.
Paul Edel dit:
à
WG, votre haine est claire, systématique, à mon égard.
Pourquoi pas ?
Ce n’est pas important.
Vous faites une caricature de mon roman. Pourquoi pas ? Tout le monde a le droit de juger une œuvre.
Ceux qui achèteront « la maitresse de Brecht «, pour y trouver « des scènes de baise » seront bien déçus.
Par contre ils sauront un peu mieux comment ça fonctionne entre un intellectuel qui se veut la « vitrine officielle » d’un Etat et qui s’aperçoit que cet Etat devient plus en plus policier, et qui tire sur les ouvriers.. la RDA.. J’ai voulu aussi un Brecht qui se veut révolutionnaire et qui humilie certaines de ses maitresses jour après jour….les contraadictions d’un homme aussi intelligent m’ont interessé… Un Brecht qui se heurte à une ligne officielle : le « réalisme socialiste » jadnovien aux ordres de Moscou……
Ecrivez plutôt un beau roman, WG , je serai le premier à applaudir..croyez moi..
Vraiment .vous avez très bien parlé à une certaine époque de Christa Wolf, de Paul Celan, de Bachmann, de Döblin. aujourd’hui vous devenez blessant, injuste avec tellement de commentateurs .Vous voulez réduire au silence les autres. vous humiliez pour défendre vos causes ?. Je vous laisse vous débrouiller avec ça..
Mais ne vous prenez pas pour un imprécateur génial parce que vous humiliez tellement de commentateurs.. vous n’êtes pas Thomas Bernhard..Lui a une œuvre. Grandiose. Allons Allons écrivez votre roman….il n’y a que ça…
Widergänger dit:
à
Ça chauffe sur la 5 avec Zemmour et Cohn Bendit ! Et la fille de Mitterrand et Abecassis !
Je ne suis pas du tout d’accord avec Zemmour, mais je trouve que sa façon de penser est intéressante et pose de vraies question aux historiens.
Widergänger dit:
à
Ecoute-moi bien, mon petit Popaul !
Tu ne m’intéresse pas du tout ! Avec Màc et la bande, tu nous as toujours fait chier un max ! On te connaît par cœur, c’est Màc qui à mon avis t’avais le mieux défini. Maniatis aussi te prend pour un sacré salopard !
Tu nous fais chier et je t’emmerde ! Ta haine, tu peux te la foutre au cul !
Avec ta littérature de merde !
Point barre !
Widergänger dit:
à
Non, c’est pas vrai connard ! Tu ne serais pas du tout le premier à applaudir si je publiais mon roman ! Tu serais le premier à chier dessus !
T’es une grosse merde de fumier de pourriture !
Quand j’ai mis en ligne ici le début du roman, qu’est-ce que tu as écris, fumier ?
Tu crois que tu aurais encouragé un type qui ose mettre en ligne un roman qui lui tient à cœur pour le soutenir, le stimuler ? Non, pas du tout ! C’est pas du tout ce qu’as fait, fumier ! Qu’est-ce que t’as écrit sur ton blog de merde ? Que le début d’un roman ça ne voulait rien dire, à croire que t’aurais été jaloux ! Que tu connaissais tes tas de gens qui avaient des débuts de romans dans leur tiroir !
Tu l’as écrit, ça, grosse merde oui ou non ? Tu crois que c’est bien d’écrire ça pour un type qui essaie d’écrire ce roman depuis plus de trente ans ? Tu sais ce que ça veut dire d’être trente ans à ruminer un roman ?
Pauvre connard ! Odieux personnage de merde ! T’es simplement un gros fumier ! Va chier tes articles de merde sur ton blog et tes bouquin fumeux ! Pauvre merde !
bacassablologie dit:
à
pauvre petit mimi, obligé d’aller chercher papa màc et maman maniatis.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…service civil obligatoire,!…mes aieux,!…
… » je veux « ,!…tous des rois à Louis XIV,!…en Pampers de légitimité d’escroc du peuple bienheureux,!…
…l’autre cinéma,les visites chez le citoyen le dimanche,!…
…les Henri IV,!…en concourt,!…la poule au pot,!…
…comique à » spolier « ,!…Ah,!Ah,!…les libertés,!…etc,!…
… » Travail-Famille-Patrie « ,!…à l’Oncle Sam du profilage,!…Go,!…Bip,!Bip,!…
…
Fournier dit:
à
Widergänger dit: 6 novembre 2014 à 22 h 13 min
Avec Màc et la bande,
Stop Mimi.
La bande, si elle a existé ce dont je doute, sinon par le plaisir (ou pas) de se lire (et dont tu ne faisais que peu ou pas partie) est un moment (plutôt sympa) dans notre vie, ne cherche pas ni à te l’approprier, ni à l’expliquer.
Tu seras toujours à côté de la plaque.
En toute amitié.
Pleure pas Zemmour, tu auras droit à VSD dit:
à
Widergänger dit: 6 novembre 2014 à 22 h 11 min
Petit Zemmour, grand Dany.
La vie a de bons moments.
Le chaloux qui passe dit:
à
bacassablologie dit: 6 novembre 2014 à 22 h 20 min
closer dit:
à
Vous en faites pas Paul, il finira par se calmer…
Chaloux dit:
à
Pas de détestation, pas la moindre, mais ces abrutis genre Alba ou boumou qui s’autorisent à affirmer n’importe quoi sur n’importe quel sujet, dans le seul but d’impressionner des gens pour lesquels ils n’ont au fond que mépris, j’aime assez les débarbouiller.
Chaloux dit:
à
Widergänger dit: 6 novembre 2014 à 22 h 19 min
si je publiais mon roman
Ça c’en est, du roman…
Thalis Mégeanne Brest dit:
à
La littérature française c’est du vierbiage, dit l’une de mes collègue prof de lettres qui est agrégée comme moi.
J’ ai connu une agrégée de lettres qui elle aussi en son temps n’ avait jamais lu Michel Butor… et l’ affirmait avec candeur!
Il faut qu’ un auteur soit au programme des écoles pour qu’il commence à intéresser nos « chers professeurs », une majeure partie d’ entre eux.
Pour Ponge, c’ est pareil…
Chaloux dit:
à
Widergänger dit: 6 novembre 2014 à 22 h 19 min
Alba, on te concède qu’Edel n’est pas Sainte Beuve mais ton truc ça n’a vraiment ni queue ni tête. Et puis tu sais, des textes écrits par des ruminants…
Surtout ne pas en faire un drame dit:
à
La modération fait dans le comique…
Et les intervenants dans le lourdingue, ça balance comme ça peut…
Thalis Mégeanne dit:
à
Et que dire de ces « professeurs » qui ne s’ intéressent qu’ aux auteurs du programme scolaire de l’ année!
car il y a les enfants dont il faut s’ occuper et le mari qui va aux matchs de foot, ou bien l’ épouse qui a ses cours de patchwork ou de cuisine facile.
Bref, un prof de lettres ça donne des cours, ça ressasse les classiques et est très peu créateur.
Ce n’ est même pas ce qu’on lui demande!
Chaloux dit:
à
On écrit ou on n’écrit pas. On travaille ou on ne travaille pas. Si on n’écrit pas, on ne dit pas « je vais écrire », on ferme sa gueule.
Sergio dit:
à
Job, Job… Scaferlatti, ou Scrabelli ? Y a une nuance bon Dieu !
Surtout ne pas en faire une incitation dit:
à
tu sais, des textes écrits par des ruminants…
Attention à ne pas trop la jouer reine-mère tout de même…
Chaloux dit:
à
Paul Edel dit: 6 novembre 2014 à 22 h 07 min
Ceux qui achèteront « la maitresse de Brecht
Lapsus linguae : il voulait dire : ceux qui liront.
Thalis Mégeanne dit:
à
Ne parlons pas des » professeurs d’ art plastique » j’ en connaissais un qui passait son temps à donner comme études ses propres œuvres à analyser à ses élèves.
Connu nulle part, il n’ était jamais aussi bien servi que par lui-même pour une minable promotion.
Le pire, ce fut lorsqu’une de ses élèves ( c’ était en terminale )lui avoua que son père ( un ami collectionneur dont je tiens cette histoire)avait été reçu par Soulage dans sa maison à Sète. Il prit cette élève en grippe jusqu’à l’ examen du bac. Un médiocre et une ordure.
Comme quoi, WG, il n’y a pas qu’à la RDL que l’ on en trouve. A chacun son lot!
J.-C. Azerty dit:
à
Tu crois que c’est bien d’écrire ça pour un type qui essaie d’écrire ce roman depuis plus de trente ans ? Tu sais ce que ça veut dire d’être trente ans à ruminer un roman ? (Widergänger)
Peut-être qu’une césarienne..
Thalis Mégeanne dit:
à
Un enseignant la première chose qu’ il demande à son libraire ce n’ est pas un livre, c’ est le montant de la remise qu’ on va lui octroyer!
Albert Samu dit:
à
On ne tire pas sur une ambulance mais ce caca nerveux restera dans les annales !
Chaloux dit:
à
Alba, « les seuls lauriers qui vaillent sont ceux qu’on se décerne à soi-même », Flaubert. Il me semble que pour Flaubert cela s’entendait « après un immense travail ». Ne vous plaignez pas, voyez comme vous vous décernez ces lauriers, et sans avoir rien fait…
Albert Samu dit:
à
La période du Goncourt peut être éprouvante pour certains écrivains. Mais pour les écrivains qui n’écrivent pas, c’est carrément l’enfer.
Chaloux dit:
à
Star dit: 6 novembre 2014 à 21 h 14 min
Un tenia « étoilé », c’est toujours un tenia…
Albert Samu dit:
à
Appel d’urgence pour une césarienne sur une baudruche faisant une grossesse nerveuse.
Thalis Mégeanne dit:
à
D’ ailleurs, qu’ attendait-il, notre Alba en « collant » ses textes sur la RDL?
abdelkader dit:
à
Bonsoir Fons,
Tres content que le Daoud te plaise et que vous ayez, toi et ta cheffe comme tu dis,garde de bons souvenirs de mon pub local…Tony ‘Fingers’ le pianiste, a joue les feuilles mortes ce soir…contre le pot de vin habituel…
J.-C. Azerty dit:
à
Tu crois que tu aurais encouragé un type qui ose mettre en ligne un roman qui lui tient à cœur pour le soutenir, le stimuler ? Non, pas du tout ! C’est pas du tout ce qu’as fait, fumier ! Qu’est-ce que t’as écrit sur ton blog de merde ? Que le début d’un roman ça ne voulait rien dire, à croire que t’aurais été jaloux ! Que tu connaissais tes tas de gens qui avaient des débuts de romans dans leur tiroir !
Tu l’as écrit, ça, grosse merde oui ou non ? Tu crois que c’est bien d’écrire ça pour un type qui essaie d’écrire ce roman depuis plus de trente ans ? Tu sais ce que ça veut dire d’être trente ans à ruminer un roman ?
Pauvre connard ! Odieux personnage de merde ! T’es simplement un gros fumier ! Va chier tes articles de merde sur ton blog et tes bouquin fumeux ! Pauvre merde ! (Widergänger)
Le sujet et manifestement timbré mais pas vraiment dangereux.
On retrouve dans ce cas (d’école, publique) les manifestations classiques de la psychose maniaco-dépressive :
– phases de délire de persécution
– accès mégalomaniaques
– raptus furoris
– alternance d’extases pseudo-mystiques et de plongeons scatologiques
On recommandera les douches froides et les séances de flagellation modérée. L’application de cataplasmes de moutarde sur les parties génitales pourrait aider à l’expulsion de jets pornographiques apaisants.
Court dit:
à
Quand on se souvient des numéros de leche vis-à- vis d’Opitz, puis de PE, offerts par la Mauvaise Langue sur ce blog ou sur l’autre, on se pince, et l’on se demande si l’on ne reve pas.
Chemin faisant, on aura noté que le magnum opus qu’on nous promet à gagné en age, sinon en réalité. 30 ans contre sept. Suggérons comme titre « tu enfanteras dans la douleur ».ça reste optimiste…
Bonne soirée.
MC
Jacques Barozzi dit:
à
Je me souviens d’avoir demandé un autographe à Manitas de Plata, qui avait signé d’une croix.
(C’était sur la Croisette à Cannes dans les années 1960)
http://www.leparisien.fr/musique/mort-a-93-ans-du-guitariste-gitan-manitas-de-plata-06-11-2014-4270551.php
Matt Age dit:
à
Chaloux dit: 6 novembre 2014 à 22 h 58 min
j’aime assez les débarbouiller.
Et les matter.
WWWooouuuuaaarrrffff !
Mais quel crétin.
Le chaloux qui passe dit:
à
En fin de soirée notre bon Chaloux s’est épanché, pauvre homonculus solitaire, sous plusieurs pseudos pour se donner l’impression d’exister.
Vains efforts.
JC..... dit:
à
Par bonheur, il n’est arrivé à personne ici l’idée saugrenue de suggérer que cette table riche chez Drouant, ce Pivot patelin, cette élue tenant un bout de papier bancaire, ce pouce en l’air bonasse d’un complice gras ….. tout cela pouvait être vu comme une scène d’une obscénité majeure !
Par bonheur !…….
Fons dit:
à
Bonjour Abdel 23:48
C’est un peu dommage que tu es plutôt nocturne et moi matinal ici à la rdl, mais ça fait plaisir de commencer la journée en lisant ton commentaire. Je viens de mettre tout en douceur par l’intermédiare de youtube les ‘feuilles mortes’ par Yves Montand et la chanson me rend assez mélancolique. Je regrette un peu qu’à cause de tout mon bavardage lors de ntre soirée, je n’ai pas donné toute l’attention à ton pianiste, que lui et ses amis chantants méritaient. En tout cas paie lui un pint de ma part, je vais te rendre dês qu’une fois on se rencontre quand tu traverses la Manche.
Je ne sais pas si tu as lu Bérénice 14:16
« la vie dans les bois des journées dans les arbres la reine des chats ne seriez-vous pas fons avec cet esprit machiavélique qui vous tient lieu de science et ce goût pour la manipulation entre deux séances au paravent? »
J’espère que mon coming out par l’intermédiare de dame Bérénice ne te pose pas trop de problèmes. Me voilà donc sorte de fantôme intérieur de ‘vie’, un peu comme le fantôme qui accompagne le frère de Musso.
Moi, je trouve intéressant, this « In One Person » being, un peu à la John Irving, c’est juste que ça va rendre un peu compliqué le blind date que j’ai proposé à ‘vie’, et dont elle semble avoir un peu peur. En plus j’ai constaté sur mon calendrier qu’il est assez rempli pour la semaine prochaine, après avoir changé de mon job de trader, comme je t’ai raconté. Et si jamais ‘vie’ est encore plus maligne que Bérénice pense, et qu’elle t’a imaginé toi aussi? Regardant l’histoire, nous ne serions pas le premier cas de ‘Three in One Person’ dans l’histoire.
Je te laissse pour ta journée de travail, et déjà un bon weekend. Moi, je vais prendre le petit déj avec Daoud (j’espère finir aujourd’hui) et puis je vais attendre la réponse de JC, s’il a lu Reinhardt, ou non. Quand même pas difficile comme question pour un homme comme lui, tout courageux et plein de franchise, non? Any betting money on his answer? Non, non, ne te fâches pas, je sais ce que tu en penses.
Jacques Barozzi dit:
à
Sur la photo 1 on voit Didier Decoin qui adresse un doigt d’honneur à Françoise Chandernagor qui lui en retourne deux !
Chaloux dit:
à
Le chaloux qui passe dit: 7 novembre 2014 à 6 h 57 min
Fixette se trompe. Seulement signé de mon pseudo. Le reste ce n’est pas moi.
polder dit:
à
Intéressante itw de Kamel Daoud, hier soir sur Arte (vers 20h, « le 28′ « )… Sa jeunesse salafiste… les langues en Algérie, le français et l’arabe… la religion… Bouteflika… Abdelwahab Meddeb… Je me permets de poster le lien (crois pas que ça fonctionne hors de France) : http://www.arte.tv/guide/fr/051912-040/28-minutes?autoplay=1
JC..... dit:
à
Fons,
vous semblez être un de ces types à idées fixes qui croient que c’est malin d’emmerder un honnête homme qui a autre chose à foutre que de « prouver » qu’il aime ou qu’il n’aime pas un roman, vu que les goûts et les couleurs ne se discutent pas….
Alors, ouvrez votre Reinhardt de chez Pépé Gallimard, relisez le dialogue LUI/MOI page 206 et 207, celui qui se termine par
MOI : « Quoi, ce n’est pas vrai ? J’aime ton sexe, il est beau, j’ai adoré ce que j’ai senti qu’il me faisait, tout à l’heure, quand il est venu en moi »
C’EST PAS DE LA GROSSE MERDE, CA ?
Et Passou qui m’a vanté ça, il ne mérite pas une fessée ?… et moi une indemnité, un remboursement ?
JC..... dit:
à
… c’est bien simple. D’un point de vue de l’écriture inutile, stupide, hyper nulle, si on cherche pire que Reinhardt, on ne va trouver que la vomissure haineuse de ce pauvre Abdel, notre harki chéri, terrifiante main d’œuvre louée par ces fourbes d’Anglais !….
Fournier dit:
à
Accord avec polder,
à l’écouter (à le lire je ne sais) hier soir Daoud me semblait être un choix en accord avec les réflexions d’hamlet.
Un choix actuel.
bérénice dit:
à
JC ce que j’en dis moi qui serais proche autant physiquement que moralement d’aller rendre visite à mon voisin s’il éveillait en moi quelqu’érotique curiosité , c’est que ça donne envie de posséder l’objet qui manque essentiellement à la femme et qui fait VenDre en autant de produits substitutifs que séductifs. Mais je déplore comme vous la banalité de la phrase, enfin, qu’il fut beau s’assortit au miracle! c’est Bernadette en sa grotte!
bérénice dit:
à
http://www.dailymotion.com/video/x2c8rw_c-est-la-ouate_music
Ce n’est pas Cecilia , on fait ce qu’on peut.
bouguereau dit:
à
« tu enfanteras dans la douleur ».ça reste optimiste…
ma mère de ma mère dracul écrit sous péridural !..l’alcool la dope l’argent..c’était encore judéochrétien
bouguereau dit:
à
« Quoi, ce n’est pas vrai ? J’aime ton sexe, il est beau, j’ai adoré ce que j’ai senti qu’il me faisait, tout à l’heure, quand il est venu en moi »
ça t’as rappelé les trucs que tu disais au cure dans la sacristie jicé..mais quand on est jeune on est con voilà tout
bouguereau dit:
à
c’est que ça donne envie de posséder l’objet qui manque essentiellement à la femme
je t’en propose un pas ébréché..j’ai pas dit que je te le donnerais béré
Fons dit:
à
@Polder 7:56
Merci mille fois, Polder, pour ce lien très intéressant. Je dois avouer qu’en aimant bien lire le livre, qu’ Abdel m’a fait découvrir, j’ai oublié un peu de m’intéresser à celui qui l’a écrit, ce qui imho de petit lecteur est ma façon favorite de découvrir un livre. Vraiment rès intéressant ce que monsieur Daoud raconte. `Comme je viens de déménager dans les montagnes et forêts de ‘vie’ je n’avais pas de problème avec le geoblocking. J’espère que votre lien va fonctionner à Londres. Je voulais écouter une deuxième fois, mais malheureusement j’ai vu les derniers posts par JC, et je dois d’abord me calmer et prendre une deuxième tasse de thé, avant de réécouter.
bérénice dit:
à
Bouguereau vous êtes un optimiste forcené qui ne servirait en rien à la recherche scientifique, la connerie négligeant les frontières de l’âge et du temps, des traces ont été identifié dans les couches du crétacés inférieur et de l’ordovicien moyen qui jusqu’à preuve du contraire n’abritaient pas plus de sacristie que d’amphithéâtre.
JC..... dit:
à
… et le dialogue, pages 206 et 207, chez le pauvre Reinhardt, c’est rien…. il y a pire !
Par exemple, pages 72 et 73, les échanges verbeux merdiques entre Fionarose et Playmobil677 sur le réseau, on se croirait chez Clopine ou Bergeret (je suis prudent, je ne sais pas dans quel camp retranché vous êtes hoplite) !
Remboursez !….
bouguereau dit:
à
j’ai vu les derniers posts par JC
on partage imho qu’ils sont toujours a forte charge érotique défons
bouguereau dit:
à
Fionarose
imagé..tlé joli
JC..... dit:
à
…bref, c’est mal écrit, c’est mal foutu, c’est con ! Que ce ramassis de couillonnades puisse s’appeler un LIVRE !!!… Inimaginable !…
La vie est mal faite …
bouguereau dit:
à
Remboursez !….
il est écorné sent le pastis et divers fluides mélangés..t’as consommé..envoie le à clopine pour la consoler..avec une dédicace de bergeret
Fons dit:
à
Voilà! j’ai encore perdu un pound, que j’avais mis sur: ‘Non, il n’a pas lu, JC.’
Preuve donnée avec page 207 et Playmobil, que vous avez lu, j’espère que vous aurez un peu le temps de discuter pourquoi que c’est de la m…. Non, non, ne commencez pas que vous avez les oreilles encore plus sensibles que les miennes et que c’est les pages 206 à 208 qui vous dérangent et vous choquent. Si tel est le cas after all, je me demande quand même quel genre de lecture vous attire, and I hope for your sensibility end your sensitive years, that you never touch a book by Updike, Roth or Murakami! Il vaut donc peut-être mieux pour vous, de vous tenir au Goncourt du jour qui commence avec ou retourner vers vos voitures playmobil.
‘Pas Pleurer’ première phrase.
Au nom du Père du Fils et du Saint-Esprit, monseigneur l’évêque-archevêque de Palma désigne aux justiciers, d’une main vulnérable où luit l’anneau pastoral, la poitrine des mauvais pauvres. C’est Georges Bernanos qui le dit. C’est un catholique vervent qui le dit
Et concernant votre post 8:18 vingt minutes après que vous vous êtes clamé ‘honnête homme’, je dois vraiment joindre monsieur Court un peu plus tôt. ‘Je ne crois pas mes yeux, et je crois rêver et il faut qu’on me pince!’.
Ce commentaire de votre part, vous l’avez de nouveau mis au nom de votre franchise et de votre sacro sainte liberté d’expression????
Je me demande si vous n’êtes pas pire que Herr Wieder et quelques autres Türvosteher et chiens de garde de la rdl. Ou bien vous faites semblant pour m’énerver ou vous êtes tellement bête que vous ne comprenez vraiment rien du tout. Et à part ça, quel irrespect envers monsieur Reinhardt, vers les femmes qui doivent subir sous sous leurs crétins de maris, ce que Bénédicte doit subir, quel irrespect envers monsieur Daoud, envers monsieur Assouline, envers tous les rdliens qui réfléchissent un tout petit peu, envers la culture de votre nation et surtout, surtout vers mon ami Abdel. Pauvre type que vous êtes!!!!!!!!
Mille de mille de, je m’avais quand même juré de ne pas m’énerver!
Spi dit:
à
Fons dit: 7 novembre 2014 à 9 h 26 min
Bon Fons,
tu ne nous énerves pas,
tu nous gonfles.
Comme dab.
bérénice dit:
à
JC de cet auteur je garde Cendrillon et le Système Victoria pour lequel vous ne développez d’ailleurs aucune comparaison concernant l’érotisme qui s’en dégage. Ce serait moins bon, de toutes façons pas le temps de pouvoir lire toutes ces invitations. Je ne comprends cependant pas votre colère et des sélections aux grands prix ne pourrait-on pas dire qu’elles s’adressent aussi à un certain public et qu’elles sont de ce fait destinées à booster les ventes en garantissant toutefois une certaine qualité d’écriture et la diffusion de certains thèmes soit qu’on ait tendance à les passer à l’oubli soit qu’ils intègrent une actualité?
JC..... dit:
à
Fons !!!
Pourquoi aurais-je le moindre respect pour l’infâme Eric Reinhardt ? Lisez son torche-cul de roman, et vous comprendrez le mal qu’il fait à l’écriture.
(dites, vous êtes bouché, Al Fons, ou vous faites ça pour tenter de m’énerver ? Vous ne seriez pas le premier à essayer… Vainement, pécaïre !)
JC..... dit:
à
Fons,
Avant de vous quitter : votre amitié pour ce fada d’Abdel, c’est professionnel finance… ou médical ? Vous êtes soignant , Passeur de camisole…? Vous travaillez dans un abattoir hallal ?
bouguereau dit:
à
Eric Reinhardt ? Lisez son torche-cul de roman, et vous comprendrez le mal qu’il fait à l’écriture
je t’engage comme chef marketting jicé..il faut des dispositions naturelles pour ça dirait béré..et t’en es entrelardé
bouguereau dit:
à
Passeur de camisole
olé!
..bon assez déconné
Fons dit:
à
@ Bérénice
Cendrillon j’ai aimé aussi beaucoup. Victoria me reste à découvrir. Peut-être je devrai emmener le petit JC vers Victoria’s Secret pour le désensibiliser un peu.
C'est toi qui l'as dit dit:
à
bouguereau dit: 7 novembre 2014 à 9 h 40 min
..bon assez déconné
C’est ça. Casse-toi.
Jacques Barozzi dit:
à
Euh, JC, cette phrase hors contexte, ne faut-il pas la lire au second degré ? C’est le narrateur, Reinhart, travesti en femme, qui la prononce, ça ne lui donne pas un peu de relief ainsi qu’à la platitude de tous le style du livre ? Les quelques pages que j’ai lues sur le site Gallimard ne m’ont guère emballé, mais Passou a milité jusqu’au bout pour lui faire avoir le Goncourt, il doit y avoir quelque chose que tu n’aurais pas compris ?
daniel dit:
à
Fons on est plusieurs à ne pas s’abaisser à lire les commentaire du maniaque qui signe jc (et à le reconnaître sous d’autres pseudos) c’est un provoc pervers frustré qui a besoin d’attirer l’attention et de se croire intelligent
Amadeus dit:
à
Sapristi, faut encore se coltiner les haineux bouguereau et le PQ de Porquerolles, quelle tristesse !
Jacques Barozzi dit:
à
JC, Abdel gagne peut-être à être connu de visu ?
Souvent les gens sont très différents de l’image que l’on s’en fait à travers leurs seuls mots, ainsi que j’ai pu le constater souvent !
JC..... dit:
à
Euh, Jacky, les quelques pages que tu as lues sur le site Gallimard ne t’ont guère emballé, mais Passou a milité jusqu’au bout pour lui faire avoir le Goncourt !
Il doit y avoir quelque chose que tu n’aurais pas compris, mon ami… ?
Amadeus dit:
à
la critique littéraire selon JC, Barozzi, vous rigolez ou quoi ?
JC..... dit:
à
Gros bisous, mes tout beaux… ! A demain.
Jacques Barozzi dit:
à
ML aussi sans doute, quels mots d’amour contrarié il a adressé à Paul Edel hier soir ! Un geste de ce dernier, une rencontre, et « La maîtresse de Brecht » redeviendrait génial ?
renato dit:
à
Pourquoi s’acharner sur ce pauvre Reinhardt, JC ? Passou avait passé quelques lignes qui en disaient long sur la qualité du bouquin. Vous avez cru au « critique » ? Tant pis pour vous — pour ne pas dire « pauvre con » — car vous jouez le type désenchanté et puis… il suffit qu’il y ait une histoire de cul pour littérateurs d’emprunt et vous tombez dans le panneau. Enfin-bref, arrêtez-vous, vous êtes en train de perdre toute votre crédibilité car, voyez-vous, le spectateur se dit : « Tiens, ce vieux réac, il joue le désenchanté et puis il tombe comme une peau de figue sur un truc de rien du tout ».
Clopine Trouillefou dit:
à
En fait, je ne sais pas si j’ai vraiment envie de lire ce livre de Lydie Salvayre (et moi, « salvayre Regina », ça m’a fait sourire, voilà).
Mais j’ai envie de l’offrir à une amie, petite-fille d’émigrés espagnols ayant fui la dictature de Franco et qui, en plus, n’a pas forcément vécu des rapports simples avec sa mère. J’ai remarqué que c’est un des effets du Goncourt, ce côté « cadeau », ça me gêne un peu, comme si tout ceci n’était qu’affaire de marketing – plus que la reconnaissance d’un auteur, on viserait la cible d’un lectorat potentiel.
J’ai aussi offert, à un autre ami oenologue celui-là, une superbe bande dessinée autobiographique (en partie), un projet complexe et simple à la fois ; ça s’appelle « les ignorants », et c’est basé sur l’idée qu’un dessinateur de bd, parfaitement ignorant du monde du vin, passe une année entière à participer aux travaux d’un vigneron (bio et pratiquant la biodynamique !) ; en contrepartie, le vigneron « qui n’y connaît rien » s’initie au monde particulier de la bande dessinée.
Peut-être faudrait-il, pour que la Rdl s’apaise un peu, que nous ayons l’humilité, les uns les autres, d’admettre nos ignorances et de tenter l’échange, pour les atténuer ? Ainsi, à chaque fois qu’un WGG, ou un CP, ou autre, parlerait d’un domaine que d’aucuns (comme bibi) ne connaîtrait pas, il faudrait qu’ils acceptent de parcourir une partie de l’univers de l’autre : on imagine les ricochets…
Mise en pratique ? Si l’un d’entre vous parle d’un auteur inconnu de moi, il doit accepter que je lui parle d’un auteur inconnu de lui.
Certes, il faudrait de l’humilité pour échanger ainsi. Et ce n’est guère une monnaie courante, par ici. M’enfin, on pourrait toujours essayer, non ? Ca vaudrait mieux que ces sempiternels crêpages de chignon…
Jacques Barozzi dit:
à
Fons, pourriez-vous nous dire quel genre d’homme est Abdel dans la réalité ?
Fons dit:
à
JC, j’ai lu que votre prochain livre est le bestseller du moment. Comme j’en avais entendu parler depuis mon retour à la rdl et comme je ne connaissais pas du tout le nom de l’auteur j’ai googlé un peu et je suis tombé sur quelques interviews assez intéressants. Je vous souhaîte bonne lecture et comme il semble qu’il n’y a pas de nudité du tout, mais que des hommes droits, très forts et francs qui sont éduqués par des pères blancs de préférence, et la mère au foyer au lieu de se tourner vers une seule journée de plaisir comme la pauvre Bénédicte, plaisir qu’elle doit payer avec la perte de ses enfants et même sa vie à cause de ce crétin de mari minable, tout blanc et bien pensant. Des pères qui savent défendre la nation and keep away les étrangers. Donc plutôt un certain conservatisme ou pire, qui va sauver votre nation. Je n’ai pas trop envie de vous suivre et je vous souhaîte beaucoup de plaisir avec ce pavé NON-m…dique. Et je ne vous en veut pas du tout que vous avez boosté avec plaisir ces ventes là!
Esther Seïvat dit:
à
Mais qui est-ce ce Fons qui prend ce blog pour une maison de passe littéraire?
Jacques Barozzi dit:
à
« la pauvre Bénédicte, plaisir qu’elle doit payer avec la perte de ses enfants et même sa vie à cause de ce crétin de mari minable, tout blanc et bien pensant. »
Ah bon ! j’ai jamais lu ça de sa part, Fons, faut dire que souvent je saute ses commentaires emberlificotés !
Amadeus dit:
à
JC parti dans la cabane au fond du jardin, sa place
Jacques Barozzi dit:
à
Clopine, cet « Ange » vous a perturbé, hi hi hi !
Fons dit:
à
NON, Barozzi, je ne vous dirai pas! C’est à vous de le découvrir pas ces commentaires.
Et Barozzi, j’aime bien vos commentaires en général et la prochaine fois que j’irai à Paris je vais me procurer un de vos guides,
mais,
concernant Reinhardt, j’ai été choqué par une image qu’un certain Barozzi y a mis, en irrespect total vers le livre, les femmes en général, j’espère que ce sont les trolls qui vous ont joué un tour, ou que vous aviez bu quelques verres de trop ce jour la. A moins que vous allez voir cette sorte de films à côté de votre bon goût cinéma que vous présentez à la rdl et ailleurs. Bonne journée à tous les rdliens, je suis toujours assez énervé à cause de ce JC et je vais faire un tour dans la forêt de ‘vie’.
Fons dit:
à
par ses commentaires (les commentaires d’Abdel)
et non
C’est à vous de le découvrir pas ces commentaires.
mile de mille de, je n’arrive pas à me calmer!
closer dit:
à
« Au nom du Père du Fils et du Saint-Esprit, monseigneur l’évêque-archevêque de Palma désigne aux justiciers, d’une main vulnérable où luit l’anneau pastoral, la poitrine des mauvais pauvres. C’est Georges Bernanos qui le dit. C’est un catholique vervent qui le dit »
Si c’est vraiment la première phrase du Goncourt, cela ne donne pas envie de continuer…Encore un règlement de compte cathophobe, un de plus. Taper sur un archevêque, aucun risque et sur un archevêque franquiste, encore moins! La référence à Bernanos sent la dérobade (« voyez même Bernanos le dit ») et l’argumentaire laborieux, le contraire du roman. On peut se demander si le succès du Royaume n’a pas suscité chez les Goncourt l’envie d’encourager une sorte de « contre poison » (de leur point de vue naturellement).
J’avais parié sur Daoud comme contrepoids au prix donné à l’israélienne. C’est à une contre offensive idéologique anti Carrère que l’on a assisté.
Jacques Barozzi dit:
à
Je ne bois jamais, Fons, juste un verre de vin à chaque repas. Parfois un joint, mais je ne vois pas à quoi vous faites allusion. Et puis vous savez, les auteurs, c’est presque leur faire injure que de les prendre avec respect ! Avec intérêt ou passion, c’est mieux. La littérature doit être irrévérencieuse ou pas…
Sinon, comme le boug, je n’ai rien contre un bon film porno : les acteurs s’y donnent à fond, Fons !
Jacques Barozzi dit:
à
Justement, Fons, les commentaires en général ne donnent pas une idée juste du commentateur. Penseriez-vous que Clopine est une rigolote dans la vie ?
Pas parti ? dit:
à
daniel dit: 7 novembre 2014 à 9 h 47 min
Tu es toujours là Luc ?
Fons dit:
à
Dame Clopine, ne jouer pas la Sainte! Vous aussi vous n’avez aucune raison d’être fière de ce que vous avez mis dans le billet Reinhardt sans avoir lu le livre. La seule personne que j’ai apprécié dans ce billet là, c’est un/e commentateur/rice, qui écrit sous le nom de ‘Rose’ et qui est retourné au billet après avoir lu le livre. A mon avis, même que ses commentaires étaient assez courts c’est il/elle le(la) seul(e) qui a compris le livre. Bon à demain, à moins que je ne me perde dans la forêt de ‘vie’.
Jacques Barozzi dit:
à
En effet, closer, cet incipit n’est pas engageant !
renato dit:
à
« voyez même Bernanos le dit »
Pour ne rien dire de la référence à Gadda : m’enfin ! comme dirait Gaston Lagaffe… C’est par ailleurs vrai que la photo 1 est parlante…
versubtil dit:
à
« Mais j’ai envie de l’offrir à une amie, petite-fille d’émigrés espagnols ayant fui la dictature de Franco »
Succès assuré de ce côté là pour le roman de Lydie Salvayre, Clopine. Cela fait consensus sociologiquement parlant.
Le sud-ouest notamment regorge de ces familles marquées (plus ou moins par l’ histoire ), des municipalités organisent des commémorations à but électoraliste…
J ‘ose espérer que ce roman ne sera pas uniquement cela, une réduction à l’ événement, à une xième messe commémorative.
Demain je vais rencontrer Lydie Salvayre à Brive et je lui poserais la question…
Y seront, Hélène Cixous, Antoine Compagnon, Marcel Conche, etc…etc…
J’ avais envisagé de rencontrer L. Salvayre avant l’ obtention du Goncourt, ce sera plus difficile désormais!
Jacques Barozzi dit:
à
Mais qu’ai-je mis, Fons ?
Amadeus dit:
à
9 h 47 : bien vu, bien dit, daniel
Amadeus dit:
à
à versubtil : Brive, y aura Popaul ?
closer dit:
à
« « L’Eglise espagnole est devenue la Putain des militaires épurateurs (…) l’infâme institution (…) etc « . »
Encore une invective qui en dit long sur le livre. L’Evêché de Palma de Mallorque n’est pas toute l’Eglise espagnole. C’est comme si l’on disait que la Corse c’est la France. Ce n’est en tout cas pas l’Eglise dont des centaines de membres ont été torturés et massacrés par les gentils républicains. La France a très bien fait de ne pas même le doigt dans l’engrenage de l’intervention.
On dirait que Passou fait tout pour nous ôter l’envie de lire ce livre. Il ne dit rien qui montre que Pas pleurer est un vrai roman et non pas une énième auto fiction assortie de règlement de comptes politiques.
Jacques Barozzi dit:
à
« J ‘ose espérer que ce roman ne sera pas uniquement cela, une réduction à l’ événement, à une xième messe commémorative. »
Je crois versubtil que c’est un peu plus profond que ça. Si commémoration il y a, c’est plutôt celle de la singularité de la mère dont la fille narratrice restitue la langue propre ?
Jacques Barozzi dit:
à
closer, si votre voisin tente d’assassiner sa femme, vous n’intervenez pas ?
Comptinette..... dit:
à
Ainsi Fons Fons Fons
La petite marionnette
Ainsi Fons Fons Fons
Trois p’tits tours
Et puis s’enfonce.
Politique dit:
à
Jacques Barozzi dit: 7 novembre 2014 à 10 h 27 min
« closer, si votre voisin tente d’assassiner sa femme, vous n’intervenez pas ? »
Degré zéro atteint par JB !
closer dit:
à
ça peut dépendre de la femme Baroze…mais je ne vois pas le rapport avec mon commentaire.
Jacques Barozzi dit:
à
renato, sur la photo 1, Didier Decoin, qui a voté pour Lydie Salvayre, fait comprendre à Françoise Chandernagor qu’il lui a mis bien profond. Celle-ci lui réplique qu’elle même et Passou, occupé à prendre la photo, et qui avaient voté pour Daoub, peut se carrer sur leur double doigts.
Jacques Barozzi dit:
à
Vous parliez de non intervention, closer.
geotrouvetout dit:
à
Si les deux voisins sont des tueurs psychopathes, vous avez vraiment envie de risquer votre peau pour sauver l’un d’entre eux?
versubtil dit:
à
Je crois versubtil que c’est un peu plus profond que ça
Mais c’ est évident Jacques Barozzi!
Je parlais de la réception, en général, du public (sans jeu de mot, d’ accord?!)
daniel dit:
à
Pas parti ? dit: 7 novembre 2014 à 10 h 16 min
non je suis pas Luc
Fons dit:
à
Barozzi 10:20
espérant que c’est vous honnête homme, qui demande et pas le troll qui se croit tellement smart, et qui a mis la saloperie sous votre nom afin d’énerver Clopine. Il faut retourner au billet Reinhardt, celui avec l’entrée de métro en photo, que le pauvre petit JC n’a pas trouvé, et scroller pour le commentaire 2.9. 11:15 Je viens de vérifier, l’image se trouve toujours. Comme troll stupide mais intelligent il va sûrement arriver à la remplacer par une Sainte Vierge pour ne pas choquer JC. J’ai fait copie, même en risquant des milliers de coups de pantoufles, si jamais la cheffe tombe dessus. Mais sait on jamais à quoi ça peut servir! Imaginez que c’est JC qui a mis, il paraît qu’il n’est pas tellement ami avec Clopine.
Voilà, totalement à bout de nerfs je sors avec Daoud dans la poche et je vais le hurler aux animaux, en espérant de ne pas réveiller ‘vie’.
Jacques Barozzi dit:
à
Cela, ça ne dépend plus de l’auteur, versubtil.
J’ai entendu Lydie Salvayre se réjouir, grâce à ce prix, de la perspective de toucher un public plus large que son lectorat habituel.
Idem pour Modiano depuis son Nobel.
Amadeus dit:
à
à Fons : JC ami avec Clopine ? il déteste tout le monde et tout le monde déteste ce petit microbe
versubtil dit:
à
Vous ne venez pas à Brive la Gaillarde, Jacques?
Il y aura Jean Michel Frodon pour son énorme bouquin chez Citadelle et Mazenod.
De Cortanze, Marlène Jobert et Laurent Joffrin, sans oublier Henri Pena Ruiz et Yoyo Maeght…et Charlotte Valandrey!
( Sans oublier les vieux routards, Jean François Kahn et Denis Tillinac..)
Le chaloux qui passe dit:
à
Amadeus dit: 7 novembre 2014 à 10 h 47 min
tout le monde déteste ce petit microbe
Mais non, quelques uns, les amoureux de leur miroir.
Jacques Barozzi dit:
à
Fons, la réalité est parfois dégueulasse, étrange que vous ayez fait une copie de ce lien ?
Jacques Barozzi dit:
à
Si je viens un jour à Brive la Gaillarde, versubit, ce sera pour vous faire une petite visite.
Esther Seïvat dit:
à
tout le monde déteste ce petit microbe
Il n’y a pas de vie sans microbes…
versubtil dit:
à
Jacques Barozzi dit: 7 novembre 2014 à 10 h 57 min
Je vous servirais volontiers de cicérone bien que je ne sois pas Briviste!
Certains restaurants de provinces valant bien vos mémorables brasseries.
Et une réunion RDL valant bien une rustique beuverie.
( Mais là, il faut se déplacer en minibus avec chauffeur qui ne bois pas!)
Amadeus dit:
à
à Esther : microbes, gardez-les pour vous
renato dit:
à
Encore Reinhardt ?! mas ce n’est pas possible !
Par exemple, chez Bataille (Le Mort)… après, une chose dans l’autre… ce ne sont que des variantes… assez fades… inutile donc d’en faire toute une histoire… surtout en tenant en compte les mœurs d’aujourd’hui, etc.
Bon, c’est vrai que l’on en est à détruire une œuvre, tabasser un vieux artiste, demander qu’un œuvre soit retirée d’une expo (Maison Européenne de la Photographie)… c’est aussi vrai que la stupidité est dans le monde et elle fait bien son travail… mais ce n’est pas une raison pour emmerder longuement le peuple parce qu’on a cru aux livres-conseil… et l’on a aimez ou pas…
versubtil dit:
à
désolé pour la non relecture…( boit, etc…)
A propos de boire, Jacques, il vous faudra visiter le libraire ancien et moderne, Livresse, près de la rue de Corrèze dans le centre ville.
Grandes et réjouissantes libations en perspective!
renato dit:
à
et l’on a aimez ou pas… > et l’on a aimé ou pas…
la vie dans les bois dit:
à
Well, Fons, hello, what a contest, je n’ai pas le temps du tout, j’ai beaucoup de travail, et des choses à préparer pour mon voyage à Paris, and I told You, I wouldn’t have time to read all the Histoires Insolites de Villiers de l’Isle Adam. Que Rheinhardt n’aime pas les femmes, et qu’il sache bien l’écrire, is no more un cas de conscience for me. Je l’ai dit sur le billet de ce livre » splendide ». En plus j’ai toujours la rage sur Pivot, maintenant il ne justifie plus l’éviction d’Emmnuel Carrère pour son » égo » dans son oeuvre » le Royaume », mais pour de basses raisons commerciales, comme déjà M. Houellebecq l’avait laissé entendre: il a déjà eu trop de prix littéraires. Je pense à un truc Fons,pour quand je serai à Paris; J’ai qqchose pour vous et aussi pour Abdel qu’il faudra que je dépose qqpart ( kisses to Abdel, et il faut dire au playmobil de Porquerolles, qu’Abdel est un bel homme, en plus)
Jacques Barozzi dit:
à
Actuellement je me tiens éloigné des livres et de la littérature, versubtil, je me concentre sur le cinéma, ma première passion, que j’avais un peu délaissée…
Jacques Barozzi dit:
à
Sous les pavés parisiens, un trésor !
http://www.huffingtonpost.fr/2014/11/05/sous-paris-gaz-naturel-volcans-fossilises-sous-sol-bassin-parisien_n_6108274.html?icid=maing-grid7%7Cfrance%7Cdl2%7Csec1_lnk3%26pLid%3D305506
Spi dit:
à
la vie dans les bois dit: 7 novembre 2014 à 11 h 12 min
Bon Djedla que soyez Fons ou « vie » vous nous gonflez toujours autant.
Toujours Gaga dirait bouguereau.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…@,…la France à bien fait de ne pas intervenir en Espagne,!…Da-Da,!… » erreur « ,…
…
…tactique,!…de l’autruche qui met sa tête dans le sable,!…en cas de danger immédiat, ou à long terme,!…très proche,!…
…
…voyez les U.S.A.,…le seul danger est intérieur aux leader-ships,!…
…
…de toute façons,!…çà aurait déjà,!…précipiter,!…les positions des alliances des axes,!…
…et, les troupes françaises se seraient déjà, fait la main dans la guerre, pour la défense à ses voisins républicains,!…
…
…avec les troupes espagnoles en soutien,!…
…donc, la non-intervention à écraser le » Caudillo « ,!…à fait perdurer, ce régime débile de droite,!…jusqu’aujourd’hui,!…tient,!…
…
…tacticien de mes deux-closer’s,!…etc,!…
…Oui,!…les bonnes-espagnoles,!…un manque à gagner,!…à se mettre,!…etc,!…
…Ah,!Ah,!…
…Oui,!…le Pétain était déjà de connivence, pour se faire mettre dans l’oseille,!…possible,!…etc,!…
…
Vanessa dit:
à
Bon Djedla que vous soyez Fons ou « vie » vous nous gonflez toujours autant.
+1
Amadeus dit:
à
Spi : bouguereau c’est lady gogo pasque Lady gaga c’est déjà pris, lord tordu ça lui va bien aussi
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