Quand Kipling dénonçait l’intrusion médiatique
Voilà qui ne fera pas plaisir à George Orwell, qui ne voulait voir en lui que le chantre de l’impérialisme britannique : Rudyard Kipling, qui demeure le poète préféré des Anglais, fait à nouveau parler de lui. Et pas pour son inoxydable hymne « If » auquel peu d’écoliers ont échappé. Une cinquantaine de poèmes de sa main, inédits d’après les spécialistes, ont été récemment découverts et seront publiés le mois prochain dans l’édition complète de sa poésie en trois volumes par Cambridge University Press. Un universitaire les a retrouvés au cours de la rénovation d’une maison de Manhattan, dans les papiers de famille d’un ancien dirigeant de la compagnie maritime Cunard Line.
Plusieurs d’entre eux auraient été écrits et lus devant les passagers durant une traversée en paquebot. Certains concernent, « naturellement » devrait-on dire tant l’événement bouleversa sa vie, la disparition de son fils John au front en 1915 lors de la bataille de Loos – « disparition » et non « décès » car il ne se résolut jamais à sa mort, n’ayant jamais réussi à retrouver son cadavre (j’y avais consacré tout un chapitre de Rosebud tant cette histoire m’avait frappé). D’autres poèmes dénoncent par exemple l’intrusion des médias dans la vie privée des hommes publics. La sienne, en l’espèce. Déjà ! « The Press », daté septembre 1899, est justement celui que The Guardian a choisi de publier. A vous de juger. Avis aux commentateurs de la « République des livres » : toutes les traductions sont les bienvenues.
« Why don’t you write a play-/ Why don’t you cut your hair ?/ Do you trim your toe-nails round/ Or do you trim them square ?/ Tell it to the papers,/ Tell it every day/ But, en passant, may I ask/ Why don’t you write a play ?
What’s your last religion ?/ Have you got a creed ?/ Do you dress in Jaeger-wool/ Sackcloth, silk or tweed ?/ Name the books that helped you/ On the path you’ve trod./ Do you use a little g/ When you write of God ?
Do you hope to enter/ Fame’s immortal dome ?/ Do you put the washing out/ Or have it done at home?/ Have you any morals ?/ Does your genius burn ?/ Was you wife a what’s its name?/ How much did she earn?
Had your friend a secret/ Sorrow, shame or vice-/ Have you promised not to tell/ What’s your lowest price ?/ All the housemaid fancied/ All the butler guessed/ Tell it to the public press/ And we will do the rest.
Why don’t you write a play? »
(photo D.R.)
1 418 Réponses pour Quand Kipling dénonçait l’intrusion médiatique
HR, vous êtes de retour.
Nous vous saluons verticalement.
Renato, le métier respectable ?
Le premier métier de Coco Chanel.
TKT dit: 26 février 2013 à 16 h 22 min
Ah quelle culture, quel génie !
Non, la solution proposée à « Does your genius burn » est tout à fait conforme à l’esprit du texte.
L’auteur se moque ici de ce genre de question par un renversement ironique de ce qui est élevé (le génie) en ce qui est élevé (le corps qui brûle, estomac ou pas, mais l’estomac est une possibilité pour rendre l’esprit du texte.
Que Bloom en propose une autre !
Mais c’était attendu, de toute façon, de ce pauvre Bloom, malheureux désagrégé de l’université qui ne sait que montrer combien il est prétentieux et arrogant et médiocre pour un agrégé ; il n’a même pas compris l’esprit sarcastique du texte…
Une précision : je tiens la traduction de ce vers précisément d’une ami à qui je l’ai soumis, qui est une traductrice professionnelle de la langue anglaise…
Pauvre Bloom ! Un vrai désagrégé de l’université comme il en existe tant, qui a perdu son âme en étudiant Shakespeare… dans les bas-fond de la prétention. Et ça ne l’a pas rendu aimable !
… en ce qui est bas ( l’estomac, etc.)…
Barozzi a l’art et la manière (des faux-culs professionnels) de transformer toute question, même une question innocente de traduction, en propos à connotation antisémite. Un véritable obsédé (dans tous les sens du terme…) !
Tentative de déchirage d’un code mi privé mi public
c’est un des derniers livres de Maud Mannoni
qui attira mon attention sur l’enfance de Kipling .
quant à Rosebud,
je l’ai lu, alors que je traversias une période tou de deuil
tourmentée d’histoires de familles insatiables.
C’est dire que M.Jacoub
— que j’ai un peu lue et entendue dans un ampji bondé —
ne me fascine pas avec sa ficlle de cochon,
(la rhétorique animalière étant plus qu’usée dans les arts visuels,
les sciences humaines — dont la philosophie —
comme le savent tous les commentateurs de ce blog
et la presse française au moins).
sur la perte d’un fils,
il y a aussi les fils que l’on n’a pas eus ,
pas même sous la figure du gendre
(femme veuve me dit un jour qu’elle me dit
— demanda ? —
un jour qu’elle me parlait d’elle
et de sa fille universitaire
et maintenant aussi épouse
— d’un homme très sollicité —
et mère ;
comment se faisait-il que cette fille donc
ait été si affectée par la mort de son père,
qui n’était pas connu du tout
lui et mari de la dame qui me confiait cette histoire
dans un café !)
bonne journée aux mauvai-e-s parodistes
qui n’ont perdu que l’occasion de trouver le livre de M.Mannoni
pour apprendre la différnece entre la ver roterie de clubs de rencontres de sacristains se prenant pour Mowgli
à l’esprit du texte.
—
Ne parlez pas de ce que vous ne connaissez pas, petit certifié à la mie de pain, naufrage permanent. Vous êtes déjà assez pénible quand vous abordez ce que vous prétendez connaitre.
Vous ne connaissez pas un traitre mot à l’anglais; Retourner à votre Frisch, ça nous fera des vacances.
Encore une mauvaise traductrice…il y en a tant, surtout chez les anglicistes.
Bloom désagrégé
Barozzi antisémite…
Et nous on est quoi, ML?
John Brown, TKT, Chaloux, renato, JC, moi, etc…
Ne nous oubliez pas
On veut savoir!
LML tient la traduction de ce vers précisément d’une ami à qui il l’a soumis, qui est une traductrice professionnelle de la langue anglaise… Ce qui n’est pas fait pour nous rassurer car on se demande qui peut bien partager l’amitié d’un pareil prétentieux, et moche semble-t-il si on croit dans le témoignage de TKT, donc on ne peut que tabler sur une sous baisée qui dit n’importe quoi quand c’est un pantalon que le lui demande, quelle que ce soit la qualité du pantalon
C’est bien ce qu’il a fait M. Autrement plus brillant que la trado de limace des 2 sous-fifres.
Et bouguereau, comment qu’il est bouguereau?
Mais non, vous ne donnez qu’à vos chouchous, vos ptits chéris.
Je sens que je vais bouder.
« Vous êtes déjà assez pénible quand vous abordez ce que vous prétendez connaitre. »
… Ça c’est vrai ça…
Quoi? A son âge ML n’est même agrégé interne? Doit vraiment pas être malin ! J’en connais d’encore plus sots qui le sont devenus (pardon ML…).
Kipling et l’Empire britannique, dont les soldats étaient en fait ces hommes gris écrivant à la lumière des becs de gaz dans les bureaux de cette ville étouffante qu’était Londres-la-polluée. L’Empire est devenu le Commonwealth, où la common law règne avec l’anglais et le souvenir parfois agacé d’une splendeur fanée. Élisabeth II avait 21 ans lorsqu’elle a su qu’elle ne serait jamais impératrice des Indes. Elle aura bientôt 87 ans. Stiff upper lip. Never explain, never complain, never apologize.
« Retourner à votre Frisch, ça nous fera des vacances. »
Là vous n’êtes point charitable : le brave Max Frisch n’a rien fait pour mériter cette punition post mortem.
John Brown, reviens, ami, sans toi j’éclate, j’implose, je me disperse… L’univers soudain est vide. Éclaire-moi, je t’en conjure, je t’en supplie, je te le demande…
Pauvre peigne-cul de Bloom ! T’es nul, à la niche !
quelle culture ! dit: 26 février 2013 à 16 h 49 min
Le niveau de la vulgarité d’aujourd’hui.
« je tiens la traduction de ce vers précisément d’une ami à qui je l’ai soumis, qui est une traductrice professionnelle de la langue anglaise »
tu parles! ou alors trop nulle elle s’est plantée
cette expression n’a rien à voir avec l’estomac ! c’est complètement ridicule!
Bloom a raison
Mais si ça a à voir avec le corps ! C’est vous qui ne comprenez rien à ce vers.
La mauvaise langue dit: 26 février 2013 à 16 h 59 min
Pauvre peigne-cul de Bloom ! T’es nul, à la niche !
La mauvaise langue dit: 26 février 2013 à 17 h 01 min
Le niveau de la vulgarité d’aujourd’hui.
Je pense.
Il faut penser.
Je pense la pensée.
Ou plutôt (ursprünglicher gesagt), je pense le penser.
Penser n’est pas un exercice solitaire, ça affecte l’Autre.
Penser le neuf, c’est nécessairement choquer.
Même si pour trouver le neuf, il faut savoir ruminer.
Quand je pense, j’estomaque.
Ça part d’en haut mais ça brûle en bas.
La meilleure traduction de ML, fut celle du mot « vermögen »
Et Bloom a tort. Mais il est trop prétentieux pour l’avouer publiquement…
pense > panse
(Correcteur automatique = SS)
Mais toi tu n’es pas trop prétentieux pour avouer en public que tu as toujours raison.
à déchiramniaque de 16 h 42 min
déchirez, je n’ai pas le temps de corriger les coquilles ..
Ce n’est pas une question de culture de ne pas couper la parole à une dame qui a passé la soixantaine et se met à parler des siens et d’elle-même, comme elle a eu déjà l’occasion de le faire à la demande d’instituions reconnues , sans craindre les dénigrements passionnels chers à ce blog .
Contrairement à une critique publiée, un homme peut avoir une grande culture politique et ne pas connaître les mots du lexique vestimentaire des dames , et même des messieurs à travers l’histoire, sinon de manière sommaire ! ça n’en fait pas un illettré, même si il est du point de vue du numérique aussi analphabète que je le suis encore .
ma culture n’a pas été jusqu’à demander à la charmante américiane avec laquelle j’ai bavardé hier et qui m’a dit avoir commencé de travailler dans des labos phrmaceutiques avec des produits particulièrement toxiques »ils le savaient déjà !a-t-elle dit – pour lesfemmes dès l’âge de quinze ans, c’où elle est originaire !
Et sa tablette récemment acquise ,m’a-t-elle dit , avec satisfaction de son choix pour des études qu’elle allait entamer , la trentaine passée ! n’a pas été une gêne dans les propos que nous avons échangés .
La cilture, c’était elle , et non moi!
Passou fait oeuvre utile en permettant à tant de souffrants de venir se soigner chez lui, gratuitement, et en offrant à la multitude de fort beaux cas d’aliénation. Peut-être faudrait-il que les Boches traversent le Rhin pour venir mettre les pendules à l’heure.
Le Français est vraiment fait pour de grands malheurs. Ça le réveille…
John Brown, j’étouffe…
Pour la traduction de la phrase de Heidegger, Emmanuel Faye a un jour visité mon site et m’a laissé un message où il m’a écrit que ce que j’avais écrit était « du niveau d’un Adorno ». Texto !
Je préfère ce qu’écrit Emmanuel Faye à l’arrogance bêbête d’un agrégé mal dégrossi qui croit se grandir en méprisant un certifié sous prétexte qu’il est agrégé… Il y a tant de crétins agrégés. Il en fait manifestement partie.
La mauvaise langue 26 février 2013 à 17 h 03 « Mais si ça a à voir avec le corps ! C’est vous qui ne comprenez rien à ce vers »
non ça n’a rien à voir – vous dites vraiment n’importe quoi quelle honte
C’était des fautes de frappe, il voulait dire « du niveau d’un étourneau ». Texto !
Pouvez pas être polis, bandes de mal élevés ? C’est bien vrai, ça !
Et il represente quoi ce Emmanuel Faye ?
(à part soi-même bien entendu)
« et moche semble-t-il si on croit dans le témoignage de TKT, donc on ne peut que tabler sur une sous baisée qui dit n’importe quoi quand c’est un pantalon que le lui demande, quelle que ce soit la qualité du » Quelle culture!
On sait qui vous êtes mais on ne le dira pas même si tout le monde a reconnu vos italianismes habituels…
transl dit: 26 février 2013 à 17 h 10 min
Mais arrêtez votre char, vous écrivez ce qui vous chante, mais c’est nul. Vous ne comprenez pas le texte, vous ne fournissez aucune réflexion. Autrement dit, vous parlez dans le vide ou pédalez dans la choucroute. Et vous puez en plus.
ML, Emmanuel Faye pratiquait peut-être l’ironie ?
« Il y a tant de crétins agrégés. »
Je ne peux pas vous donner tort, mais ce n’est pas bien de les mépriser seulement parce que vous n’avez pas réussi à entrer dans le lot…
mal élevé professionnel dit: 26 février 2013 à 17 h 13 min
Et il represente quoi ce Emmanuel Faye ?
Lisez-le donc ! Ça vous ouvrira des horizons…
N’écrivez pas à Mauvaise Langue « quelle honte ». Il ignore tout de cette peine morale.
Mauvaise Langue, n’écrivez pas à John Brown : »Lisez-le donc ! Ça vous ouvrira des horizons… » Il EST l’horizon.
… Ça c’est vrai ça…
Une autre anecdote à propos de la phrase de Heidegger. Un jour, j’envoie un e-mail aux éditions Verdier pour Ivan Segré. Ce fut comique. Car celui qui l’a reçu chez Verdier, l’a immédiatement fait suivre à Ivan Segré, qui m’a répondu du coup très rapidement. Il a quand même avoué qu’il avait fait une faute d’allemand et que ma critique de son interprétation de cette fameuse phrase de Heidegger était manifestement fausse ! Mais il a mis du temps à cracher le morceau.
Toujours très arrogant ces gens-là. Il a beau être philosophe, juif et talmudiste à ses heures perdues, il a quand même écrit une monstrueuse connerie et une saloperie dans son bouquin « Peut-on penser Auschwitz ? »
Mais il ne le reconnaîtra jamais en public qu’il est nul en allemand, et nul aussi dans la compréhension de la pensée de Heidegger, contrairement à ce qu’il prétend…
Ainsi va l’arrogance de nos jours. Bloom, à côté, ce n’est qu’un petit, un malfrat minable.
Ha mais ça les crétins c’est normal ils s’agrègent c’est un processus ubiquiste… Asinus asinum fricat ! Même les non-crétins ils s’agrègent aussi, conformément, pour une seule raison : la peur…
Tkt, toujours aussi con.
« ne comprenez pas le texte, vous ne fournissez aucune réflexion. Autrement dit, vous parlez dans le vide ou pédalez dans la choucroute.Et vous puez en plus »
ML, vous n’avez aucun respect pour l’auteur, pour le texte! Avec votre manie de vous projeter partout vous finissez par délirer -ce n’est pas parce que vous fabriquez un excès de bile qu’il faut voir des estomacs et brûlures d’estomac dans des lignes qui n’y font allusion ni de près ni de loin-
Mais c’est vous qui fabriquez un excès de bile ! En plus vous ne savez pas lire… Vous ne savez que brailler dans le vide comme tous les gens de votre sorte.
Encore, encore, des anecdotes, Votre Grandeur. Ma préférée c’est celle où Moïse vous avoue qu’il s’est complètement fourré le doigt dans l’oeil et que c’est toi qui a raison. Et toutes les autres : celle ou Voltaire te dit que tu es au niveau de Montesquieu, Flaubert à celui de Balzac, Heidegger à celui de Nietzsche etc. Encore, encore !!!!
Je n’ai jamais dit qu’il faisait allusion à des brûlures d’estomac, j’ai simplement dit que c’était dans l’esprit du vers.
Vous voyez bien que vous ne lisez pas bien et ne comprenez pas bien non plus (c’est un euphémisme, bien sûr…)
ML, vous devriez assoir votre arrière-train sur les 40 fauteuils de l’Académie.
John Brown est demandé en urgence chez Guertroude.
La Mère Denis elle devrait retourner à sa lessive… Bonne qu’à ça manifestement.
La mauvaise langue, vous ne vouliez pas dire : « manifestement fausse ».
je suis la réparatrice de lapsus, aujourd’hui !
Je ne peux pas Tkt, le vôtre occupe toute la place déjà…!
Traducteur professionnel, je le suis justement. Il y a deux manières de traduire ce texte : en prose ou en vers, évidemment. La prose respectera le sens plus ou moins littéral (on n’obtient jamais un sens littéral) mais ce sera un faux-sens d’ensemble, puisqu’il s’agit d’une amusoire dans le style chansonnier. Une traduction en vers s’éloignera nécessairement de la lettre, puisque, si l’on veut éviter l’anachronisme, ou simplement respecter le genre, il faut une prosodie assez classique et même rimée, car c’est une sorte de chansonnette et, en français, l’effet plaisant vient de la rime.
PS: pour « does your genius burn? », mieux vaut traduire simplement « burn » par « brûle », sans surinterpréter. Chacun comprendra ce qu’il veut. Pourquoi vouloir donner un sens précis à ce qui a un sens vague ?
« j’ai simplement dit que c’était dans l’esprit du vers. »
je sais
je sais que vous avez dit ça mais c’est faux, ça n’a rien à voir avec l’esprit du vers
« d’une ami à qui je l’ai soumis »
Une angliciste transexuel(le) ?
T’as raison, mon Michou, je suis qu’une c-nne (ça c’est vrai ça). En ce bas monde, y a que toi. Si Mallarmé t’avait connu, il aurait raturé sa phrase et l’aurait laissée comme suit: »Le monde est fait pour aboutir à Mauvaise Langue ».
(Ou : « pour abêtir Mauvaise Langue ». Dans ce cas, mission accomplie).
« que ma critique de son interprétation de cette fameuse phrase de Heidegger était manifestement fausse ! »
————> que ma critique de son interprétation de cette fameuse phrase de Heidegger était manifestement fondée !
« pour « does your genius burn? », mieux vaut traduire simplement « burn » par « brûle », sans surinterpréter. Chacun comprendra ce qu’il veut. Pourquoi vouloir donner un sens précis à ce qui a un sens vague »
Bien sûr
Je n’ai jamais dit ça. J’ai simplement dit que vous étieze stupide, la mère Denis !
Faut pas accuser votre chien de la rage sous prétexte que vous voulez le tuer, ça ne se fait pas…
Si vous ne surintéerprétez pas le mot « burn », vous trahissez le sens du vers et son esprit.
« on n’obtient jamais un sens littéral »
ça dépend
Ne corrige pas ,Mauvaise Langue, c’est bien comme ça. Dans l’ensemble ne peut-on pas dire que tu es « manifestement faux »?
ML ne s’arrête jamais quand il dit des c.nneries
Bon, arrêtez de chauffer le baudet sinon on va en avoir pour toute la soirée…
Non, chacun ne peut pas comprendre ce qu’il veut. C’est une expression très ironique en anglais (une canadienne traductrice de l’anglais en français qui le dit, bilingue). Ça vaut largement un Blommboodingue shakespérianisé sur les bancs de l’université !
Je n’ai pas de chien, j’ai un chat qui s’appelle Gustave et qui te dit M…
sigh dit: 26 février 2013 à 17 h 36 min
ML ne s’arrête jamais quand il dit des c.nneries
Un peu facile ! Affirmation gratuite qui en dit plus sur vous !
Chien ou chat, vous n’aimez pas les bêtes ! C’est le signe d’un esprit méchant, vous êtes dégoutante.
« Affirmation gratuite » qu’on paye tous les jours.
Le mot burn finira par nous les casser…
Bloomboodingue, ça, j’achète… c’est goûteux.
Depuis le temps que je le dis !
Que VOUS payez !
Ne prenez pas votre cas (pathologique !) pour une généralité. Tout le monde n’est pas aussi bête et méchant que vous ici.
Quel que soit le sujet, le contexte, Mauvaise Langue est un esprit pour lequel ce n’est jamais asse la guerre, et à qui il en faudrait toujours davantage.
Gustave, à qui je lis votre réponse, me répond:
« Quel con ».
Le Père Denise dit: 26 février 2013 à 17 h 40 min
Viens sur mon coeur, ami lumineux, mon John Brown en chocolat.
ML, on peut voir dans votre traduction que vous avez pompé sur la mienne.
Thierry, d’une certaine façon, d’agriculteur ou de notable, les femmes ont toujours travaillé, « sous couvert » de leur époux. Ce que je voulais dire, c’est que, notamment dans la société anglaise du XIXe et début XXe siècle, une femme ne se définissait pas à ce qu’elle gagnait. Une américaine, peut-être, et bien plus tard.
Cette fois, vous ne pourrez pas dire que c’est ueda qui a énervé la mauvaise langue.
ML va nous pondre des « Confessions d’un pompeur de traductions ». A soumettre (!!!) à Très Niais !
@ « une canadienne traductrice de l’anglais en français qui le dit, bilingue »: Difficile aussi pour une traductrice professionnelle de ne pas être au moins bilingue.
« Le mot burn finira par nous les casser… »
Excellent!
Roger Dugommeau dit: 26 février 2013 à 17 h 43 min
Viens mon gros chou lardé !
dans la société anglaise du XIXe et début XXe siècle, une femme ne se définissait pas à ce qu’elle gagnait
Bien sûr que si. Voyez le théâtre de boulevard. « Elle a mille livres de rente… » Gagner ne veut pas dire travailler, hein. La rente définissait le statut social.
Baroz, vous n’avez pas de traduction. C’est une machine, vous l’avez dit.
On ne peut pas inventer là où le sens est évident.
a meilleure traduction dit: 26 février 2013 à 17 h 36 min
Bon, arrêtez de chauffer le bidet sinon on va en avoir pour toute la soirée…
« Elle a mille livres de rente… »
de quelle pièce « de boulevard »?
Viens mon gros chou lardé !
Euh…
Non, pas forcément, Tkt. Caillois n’était pas bilingue et sa traduction de Hauteurs de Machu-Pichu est bien supérieure à celle officielle de chez Gallimard qui est… médiocrement universitaire, sans faux sens sans contre-sens ni pantalon…
La tradale de Caillois est géniale !
Roger Dugommeau dit: 26 février 2013 à 17 h 49 min
Viens mon gros chou lardé !
Euh…
Viens mon gros mollasson !
Jacques Barozzi dit: 26 février 2013 à 10 h 21 min
«Pourquoi n’écrivez-vous pas une p!èce- / Pourquoi ne vous coupez-vous pas les cheveux ? / Avez-vous taillés vos orteils en rond / Ou voulez-vous les couper au carré ? /
Dites-le aux journaux, / Dites-le chaque jour / Mais, « en passant », s’il-vous-plait /
Pourquoi n’écrivez-vous pas une pièce ?
Quelle est votre dernière religion ? / Croyez-vous en quelque chose ? / Vous habillez-vous de lainage / De toile, de soie ou de tweed ? / A quels livres avez-vous eu recours / A ce stade de votre parcours. / Utilisez-vous un « d » minuscule / Pour désigner Dieu ?
Avez-vous l’espoir d’entrer / Sous le dôme immortel de la célébrité ? / Donnez-vous votre linge à l’extérieur / Ou faites-le vous laver à la maison ? / Avez-vous quelques principes moraux ? / D’où vient la source de votre génie ? / Que votre femme a-t-elle gagnée / En prenant votre nom ?
Connaissez-vous le secret de votre ami / son chagrin, sa honte ou son vice-/ Avez-vous promis de n’en rien dire à personne / Quel est votre meilleur prix ? / Tout ce que connait une femme de chambre / Tout ce que devine un majordome / Parlez-en à la presse publique / Et nous ferons le reste.
Pourquoi n’écrivez-vous pas une pièce ? »
La mauvaise langue dit: 26 février 2013 à 12 h 20 min
Proposition (honnête) de traduction :
Pourquoi n’écrivez-vous pas une pièce de théâtre ?
Pourquoi ne vous coupez-vous pas les cheveux ?
Avez-vous bien taillé vos ongles de pieds en rond ?
Ou les taillez-vous carrés ?
Confiez-le à nos gazettes,
Ecrivez-le dans des chroniques
Mais, en passant,
puis-je vous demander
Pourquoi vous n’écrivez pas une pièce de théâtre ?
Quelle est votre dernière religion ?
Avez-vous une croyance ?
Prenez-vous chez Jaeger vos lainages ?
Préférez-vous la toile de jute, la soie ou le tweed ?
Dites-nous quels sont les livres qui vous ont influencé
Sur la voie que vous avez tracée ?
Utilisez-vous un « d » minuscule
pour désigner Dieu ?
Avez-vous l’espoir d’entrer un jour
Sous la Coupole des Immortels ?
Donnez-vous à laver votre linge à l’extérieur
ou le lavez-vous à la maison ?
Avez-vous quelques principes moraux ?
Votre génie vous donne-t-il des brûlures d’estomac ?
Que votre femme a-t-elle gagné
en prenant votre nom ?
Votre ami avait-il un secret :
Chagrin, honte ou vice ?
Avez-vous promis le silence ?
Quel est votre prix ?
Tout ce que s’imagine une femme de chambre,
Tout ce que devine un majordome,
Donnez-le en pâture à la presse à grand tirage
Nous nous chargeons du reste.
Pourquoi n’écrivez-vous pas une pièce de théâtre ?
La mauvaise langue dit: 26 février 2013 à 16 h 39 min
Barozzi a l’art et la manière (des faux-culs professionnels)…
John Brown, reviens immédiatement te prosterner aux pieds de Mémé. Ou alors Mémé ne sera pas contente !
Caillois l’avait faite alors qu’il était chez Neruda au Chili. Evidemment ça aide. Mais quand même. La traduction officielle de Gallimard est franchement impeccable, mais minable. Elle ne contient pas une once de poésie. Affligeant.
ueda ! on insulte Dugommeau Roger !
Et Baroz exhiba sa traduction !
Pauvre Baroz, ridicule !
Jacques, c’est que Mauvaise Laine n’est qu’un plagiaire amateur ! Pas un pro…
à propos de contre-sens, ML, « la Coupole des Immortels », bravo. Kipling à l’académie française ?
Mauvaise Langue, vous n’avez vraiment pas peur du ridicule.
« C’est une machine, vous l’avez dit. »
Voilà le très beau texte original pondu par la machine :
Jacques Barozzi dit: 26 février 2013 à 11 h 00 min
Bloom, tu pourrais essayer d’améliorer la traduction automatique de laquelle je suis parti, pour ceux, qui, comme moi, n’entrave rien à l’english ?
«Pourquoi n’écrivez-vous pas un jeu / Pourquoi ne pas vous couper les cheveux? / Avez-vous tailler votre ongles d’orteil rond / Ou voulez-vous couper les carrés? / Dites aux journaux, / Dites-le tous les jours / mais, en passant, je vous prie / Pourquoi n’écrivez-vous pas un jeu?
Quelle est votre dernière religion? / Avez-vous une religion? / Vous habillez-vous en Jaeger-laine / Sackcloth, la soie ou le tweed? / Nom de livres qui vous ont aidé / Sur le chemin que vous avez foulé. / Utilisez-vous un g peu / Lorsque vous écrivez de Dieu?
Avez-vous l’espoir d’entrer / dôme immortel Fame? / Ne vous mettez le lavage out / Ou l’avez fait à la maison? / Avez-vous des mœurs? / Est-ce que votre génie brûler? / At-vous une femme de ce qui est son nom? / Combien avez-elle gagner?
Avait à votre ami un secret / chagrin, de honte ou de vice-/ Avez-vous promis de ne rien dire / Que pensez-vous plus bas prix? / Tout la femme de chambre croyait données / Tout le majordome deviné / Parlez-en à la presse publique / Et nous ferons le reste.
Pourquoi n’écrivez-vous pas un jeu? »
shocking dit
C’est toi, mon Johnny alité?
Et il récidive, comme s’il n’avait pas compris…
Mais il se peut qu’il n’ait effectivement pas compris.
Il ne s’est même pas aperçu que de nombreuses traductions se ressemblent sur bien des points en dépit de leur différences…
Roger Dugommeau, 26 février 2013 à 17h47:
«La rente définissait le statut social.»
Cela n’a pas changé. Surtout quand on a pour nom Bellerente…
On me cause ?
Non, face à vous, vous êtes au top ten !
« […] inférieur à Yeats, Owen & co… », oui peut-être, pourquoi pas, les jugements de valeur littéraires sont souvent les mieux fondés car s’ils n’engagent que leurs auteurs, c’est leur sincérité qui témoigne. Mais enfin (b’enfin !), bien qu’on ait proclamé que Kipling n’était qu’un poète de « vers » et non de « poésie », son génie de la métrique (on l’a comparé à Horace), du mot, du rythme, de la rime, et la façon qu’il avait de rendre palpable le défi — et surtout d’oser tranquillement relever — que quelquefois les anglais s’amusent à assigner au genre poétique, celui de devoir s’approcher le plus possible du « memorable speech » (je crois que cela vient de W.H Auden, c’est anisi qu’il définissait la poésie), parle instantanément pour lui. Si Orwell, qui n’a pas été le seul à voler dans les plumes de Rudyard Kipling (qui n’était ni un coq nationaliste, ni un paon de salon, comme Mark Twain l’a montré et dit fort justement), puisqu’Henry James, Oscar Wilde et Max Beerbohm (pourtant certains étaient amis avec l’écrivain né à Bombay-Mumbai) ont aussi émis de grandes réserves à son sujet, l’a volontiers taclé, il sut voir quelque chose derrière le bonhomme (Orwell nous persuade dans un autre texte que Kipling dans sa fameuse expression qualifiant les « lesser breeds », n’indiquait rien de racial ; déjà à l’époque il le décrit comme aimant épingler les profiteurs de tout poil, blancs somme « basanés » (qu’on nommait ‘dirty’, mi tongue-in-cheek, mi-sérieux), les Indiens s’en sortant bien dans plus d’un cas (les « huns », les ‘boches’, beaucoup moins bien, c’est vrai).
Non, je pense que si Kipling est si souvent raillé pour ses vers « politiques », c’est qu’il prend le politiquement correct par les oreilles et qu’il lui fiche un coup de pied dans les roustons plus que dans le derrière (pourtant un sacré kick-ass Rudyard, tout est dans le prénom aussi hein, méfions-nous de l’eau du lac qui dort). N’est-ce pas T.S Eliot qui disait avec un léger sourire que : « Poetry is condemned as ‘political’ when we disagree with the politics. » ?
Plutôt que la peinture d’un Kilpling nationaliste et guerrier, qui n’est rien d’autre qu’un écran de fumée pratique (même l’auteur de l’article du Guardian semble d’accord avec cela), essayons de nous représenter une plus honnête photographie, celle d’un Kipling rempli de lucidité, celui qui vit la catastrophe de la première guerre mondiale arriver avant beaucoup de monde. Relisons ses poèmes extraordinaires sur le jeune shakespeare (« The Craftsman »), le magnifique « The Way Through the Woods », et, tiens, dans une optique plus mondaine, que nous fournit l’actualité littéraire la plus brûlante et cochonnement grillée, l’immense ode des « Gods of the Copybook Headings » dans laquelle on trouve cette ligne prémonitoire : « There are only four things certain since social progress began, that the dogs returns to his vomit ans the sow returns to her mire, and the burnt fool’s bandaged finger goes wabbling back to the fire. »
Johnny alité dit: 26 février 2013 à 17 h 58 min
On me cause ?
Oui lumière des lumières, âge des âges (ou âgé des âgés), parole des paroles, interjection des interjections, pet des pets, citrouille des citrouilles, pompe à vélo des pompes à vélo, c’est à toi s’il te plait que ce discours s’adresse !
Maintenant on pourrait prendre, ver à ver, et voir ce que vous avez amélioré et ce que vous avez plutôt obscurci, ML.
La machine : «Pourquoi n’écrivez-vous pas un jeu »
Moi : «Pourquoi n’écrivez-vous pas une p!èce- »
Vous : « Pourquoi n’écrivez-vous pas une pièce (de théâtre) ?
etc, etc, etc…
Il est évident que ce poème de Kipling se situe dans la tradition de la satire latine et du poème de conversation (sermones) qu’on trouve chez Horace et Juvénal, ou plus près de nous en France de Tristant Corbière. C’est dans cet esprit-là qu’il faut le traduire, en cherchant des équivalent des tournures familières employées si on veut rectifier le style trop élevé que j’ai proposé pour certains vers. Mais on est bien dans le ton de la satire si on propose :
Votre génie vous donne-t-il des brûlures d’estomac
Ce pourrait être un vers de Tristan Corbière.
Et moi je n’ai pas encore lu le poème mis en ligne par Passou. Vu ce qu’il a généré il faudra bien que je le lise.
le style trop élevé que j’ai proposé
C’est bien la première fois !
« Il ne s’est même pas aperçu que de nombreuses traductions se ressemblent sur bien des points en dépit de leur différences… »
Kipling : What’s your last religion ?/ Have you got a creed ?
La machine : Quelle est votre dernière religion? / Avez-vous une religion ?
Moi : Quelle est votre dernière religion ? / Croyez-vous en quelque chose ?
Vous : Quelle est votre dernière religion ?
Avez-vous une croyance ?
Support… Surface…
Le mot « pièce » n’est compréhensible qu’en contexte, pas au début d’un poème. En anglais on dit et écrit très facilement » a play », pour parler de théâtre, pas en français, sauf en contexte. Voilà la raison. On ne peut pas dire ici « jeu » : un journaliste ne dirait pas ce mot dans un entretien.
Et le poème réalise le « théâtre » en question. C’est un poème-conversation comme les affectionnait un Tristan Corbière dans la grande tradition satirique remontant à Juvénal.
je n’ai pas encore lu le poème
ma mère..t’es qu’une grosse féniasse épicétou..vdqs
Kipling a traduit Caillois?
Tandis que j’argumente, voilà ce que répond ML :
« La mauvaise langue dit: 26 février 2013 à 17 h 53 min
Et Baroz exhiba sa traduction !
Pauvre Baroz, ridicule ! »
C’est un peu court pour celui qui copie sur son voisin, monsieur le professeur !
Il y aurait bien une solution.
1) Pourquoi ne pas écrire ?
2) Pourquoi ne pas l’écrire?
« ma mère..t’es qu’une grosse féniasse épicétou… »
C’est que j’ai déjà lu des poèmes (passez-moi le mot) de Kipling, et je ne peut pas dire que ce fut une experience réjouissante…
Jacques en reprenant votre traduction.
Pourquoi ne pas écrire?/ Pourquoi ne vous coupez-vous pas les cheveux ? / Avez-vous taillés vos orteils en rond / Ou voulez-vous les couper au carré ? / Dites-le aux journaux, / Dites-le chaque jour / Mais, « en passant », s’il-vous-plait / Pourquoi ne pas l’écrire ?
Quelle est votre dernière religion ? / Croyez-vous en quelque chose ? / Vous habillez-vous de lainage / De toile, de soie ou de tweed ? / A quels livres avez-vous eu recours / A ce stade de votre parcours. / Utilisez-vous un « d » minuscule / Pour désigner Dieu ?
Avez-vous l’espoir d’entrer / Sous le dôme immortel de la célébrité ? / Donnez-vous votre linge à l’extérieur / Ou faites-le vous laver à la maison ? / Avez-vous quelques principes moraux ? / D’où vient la source de votre génie ? / Que votre femme a-t-elle gagnée / En prenant votre nom ?
Connaissez-vous le secret de votre ami / son chagrin, sa honte ou son vice-/ Avez-vous promis de n’en rien dire à personne / Quel est votre meilleur prix ? / Tout ce que connait une femme de chambre / Tout ce que devine un majordome / Parlez-en à la presse publique / Et nous ferons le reste.
Je ne suis pas certain que :
« Quelle est votre dernière religion » veuille dire quelque chose !
Le vers signifie plutôt (mais je n’en sais fichtre rien parce que je ne maîtrise pas l’anglais comme l’allemand) :
« Quelle est à votre avis la dernière religion du monde? »
Est-ce le Judaïsme, le Christianisme, ou l’Islam ? »
Question d’actualité s’il en est, non !
On l’interroge fictivement sur ce qu’il pense être la « dernière religion ». Je ne sache pas que Kipling ait jamais changé de religion, ni qu’il en changeait comme de chemise. Mais qui sait ?…
Faut faire un appel d’offre pour la traduction du poème de Kipling. Et que le meilleur gagne… hi, hi, hi…
a play is a play is a play.
Je vous ai répondu, Baroz, avec argument. Vous les avez passé, ou pas vu, ou ils ont été publiés alors que vous écriviez.
Je me tire, je vais dîner chez cette amie canadienne. On va bien se marrer !
Bon, les gars, chacun travaille dans son coin en silence et à vingt heures on compare les copies, d’accord?
un journaliste ne dirait pas ce mot
tes malade dracul..mème un moutard dirais pas un jeu pour une pièce..ah ils en on fait de belle quand ils ont décidé de vende le monbazillac au litron..
Kipling : Do you put the washing out/ Or have it done at home ?
La machine : Ne vous mettez le lavage out / Ou l’avez fait à la maison? /
Moi : Donnez-vous votre linge à l’extérieur / Ou faites-le vous laver à la maison ?
Vous : Donnez-vous à laver votre linge à l’extérieur
ou le lavez-vous à la maison ?
Ce qui serait bien, c’est que C.P. passe et nous propose une traduction.
« sans faux sens sans contre-sens ni pantalon »
ni estomac!alors qu’avec l’estomac ça vole haut surtout si c’est pas dans le texte ni dans « l’esprit » du texte. C’est une question de hauteur de vue, d’intelligence quoi. Faudrait rajouter « chargé »: ‘estomac chargé’, ça ferait plus près de la pensée de l’auteur
« Le vers signifie plutôt :
« Quelle est à votre avis la dernière religion du monde? »
Est-ce le Judaïsme, le Christianisme, ou l’Islam ? »
Question d’actualité s’il en est, non ! »
Hihihi…
I like you, ML !
Quand a RK, il est parfois à propos e rappeler son mot:
A woman is a woman, but a cigar is a good cigar.
« je vais dîner chez cette amie canadienne. On va bien se marrer »
Celle qui est bilingue franco chinois? A quoi renvoie l’estomac, au canada?
« a good smoke »…
Conférence, qu’elle nomme performance de Marcela Iacub, à propos du procès de Gérard X qui sodomisa son poney :
http://37.59.233.5/cpv/ressource.action?param.id=FR_R-5e3dfb5f11ff834be63e9a4b3771cd9¶m.idSource=FR_E-a6e6754c9b38993286c216fce13521f
L’aurait-on condamné s’il en avait fait des steaks, de son poney?
Et une explication possible de sa « compassion » pour DSK, cas clinique pour elle, semble t-il à l’image de se faire poney?
« je ne maîtrise pas l’anglais comme l’allemand »
enfin une lueur de lucidité
A woman is a woman, but a cigar is a good cigar.
..jcrois que clinton l’avait lu..
« Je me tire, je vais dîner chez cette amie canadienne. On va bien se marrer ! »
Téléphonez d’abord pour vérifiez si elle est bien agrégée.
Vous choisirez la bouteille en conséquence!
Why don’t you cut your hair? me demandait-on trop fréquemment dans les sixties…
Almost cut my hair rétorqua un jour David Crosby.
Puis tout cela fut oublié dans les seventies.
« Votre génie vous donne-t-il des brûlures d’estomac »
ridicule!
Bon, là où il dit
« What’s your last religion ?/ Have you got a creed ?/ Do you dress in Jaeger-wool/ Sackcloth, silk or tweed ? »
L’ironie est patente, et le mot religion n’a rien à voir avec une religion particulière, mais avec la dernière chose ou opinion qu’informe le destinataire… encore que quelque chose l’informe… en d’autres mot c’est un trait d’humour… les question successives relatives à l’habillement le soulignent… mais bon, je suis un crétin notoire donc vous pouvez passer outre cette observation sans en tenir compte.
xlew.m, je ne connais pas Kipling aussi bien que vous, mais j’aime votre beau et sage commentaire.
Qu’est-ce que vous pouvez être vaches, parfois, les uns avec les autres ! Cela m’étonne encore un peu.
Fin de la guerre pour moi : je m’en vais avec mon père et mes soeurs écouter Zohar Wexler lire « Le Rouleau d’Esther » au Centre Rachi-Guy Rothschild.
Bonne soirée à tous !
Chaloux, c’est la faute à Passou, qui a écrit : « Avis aux commentateurs de la « République des livres » : toutes les traductions sont les bienvenues. »
Je m’y suis mis ce matin, par jeu, sans prétention, ayant à peu près oublié tout le pauvre anglais que j’avais appris jadis. J’avais trouvé que ML, surtout dans la forme et la ponctuation, avait amélioré ma traduction, parfois en l’alourdissant cependant. « M » ensuite a fait de même et a rendu le tout assez aérien.
je m’en vais avec mon père et mes soeurs écouter Zohar Wexler
pourquoi faut-il toujours que la famille what’s-its-name nous tienne au courant de ses faits et gestes ?
@ «La rente définissait le statut social.»:
Je crois plutôt que dans le monde d’avant 1918, la rente définissait la possibilité de pourvoir au train de vie inhérent au statut social, ou de malheureusement devoir vivre en dessous de son statut social. Bref le statut social n’est pas le statut économique.
@ confidences intimes
Bah, ce n’est pas une famille ordinaire, les filles sont quand même remarquables.
De plus, sur ce blog culturel, elles ne nous disent pas avec qui elles vont dîner, mais ce qu’elles vont voir.
Pour les rustres comme moi, c’est tout à fait charmant.
ML a traduit Neruda en anglais
Que n’écris-tu un peu par jeu. . .
Que ne te coupes-tu les cheveux ?
Te manucures-tu en rond
ou au carré ?
Pose tout ça sur le papier
Ecris le chaque jour
Mais, au passage,
c’est ma requête
Que n’écris-tu un peu par jeu ?
Quelle fut ta dernière foi ?
Quelque chose que tu crois ?
T’habilles-tu de laine
Ou de jute ? De tweed ou de soie ?
Cite les volumes qui t’élevèrent
Sur le chemin que tu te frayas.
Te sers-tu d’un petit d
Dans tes écrits sur Dieu ?
Espères-tu pénétrer la coupole
D’immortelle renommée ?
Laves-tu ton linge en famille
Ou le donnes-tu à l’extérieur ?
As-tu une morale ?
Quelle essence brûle ton génie ?
Ta femme fut-elle une ombre ?
Qu’y eût-elle gagné ?
Ton ami eût-il un secret,
Une peine, une honte ou un vice. . .
As-tu promis de pas révéler
Quel serait ton prix minimal ?
Tout ce que la servante imaginait
Tout ce que le majordome devinait
Envoie le à la face du public
Et laisse la presse faire le reste.
Que n’écris-tu un peu par jeu ?
@ « A woman is a woman, but a cigar is a good cigar.
je crois que clinton l’avait lu.. » nous raconte Aristide:
Je crois que Clinton pensait plutôt, qu’un cigare long pouvait remplacer la virilité ou préparer le terrain.
Bonne soirée Chloé!
traduction différée dit: 26 février 2013 à 18 h 47 min
S’il y a une chose qui ne pose AUCUN problème dans le petit texte de Kipling, c’est bien le sens de « why don’t you write a play ». Mais traduction différée continue à traduire ça par « jeu ». Le minimum, trad diff, le minimum est de comprendre au moins un peu l’anglais avant de se lancer dans une trad.
Why don’t you write a play ?
Que n’écris-tu un peu par jeu ?
Hi hi hi hi
Les filles C.P. sont adorables et s’expriment avec une absence de grossièreté étonnante sur ce blog d’étalons vachards findus, agrégés gendarmerie nationale …
(passionnants, les pbs de traduction de la bleuette banale de l’ami Rudyard)
Faire pire que ML semblait impossible.
18h 47 l’a fait !
To write a play, aucun rapport avec le jeu ou un jeu, qui en anglais se traduirait par game. Mais game veut aussi dire gibier.
To write a play est écrire une pièce de théâtre, period.
Pour le mot religion, le contexte de Renato me semble le bon, qui dans le texte de Kipling pourrait aussi se traduire par croyance: la dernière croyance à la mode.
Pour Jaeger, c’est un magasin ou un fabricant de vêtements, donc de confection.
Et puis à quoi bon traduire un poème ?
Ce qui m’amuse quand même c’est que ML, qui avoue parler, lire et pouvoir traduire une multitude de langues (11 langues ?), ne possède pas l’anglais. Un peu étrange pour un génie linguistique cosmopolite.
ML adore se gargariser et faire prendre ses commentaires pour de l’or académique.
Te sers-tu d’un petit d
Dans tes écrits sur Dieu ?
Geai Geai, on parle de vous…
Quelle essence brûle ton génie ?
Le génie est-il à ou un moteur?
Plutôt,
quelle adrénaline burne ton cerveau?
JC dit: 26 février 2013 à 18 h 59 min
Les filles C.P. sont adorables
C’est fort possible. En tout cas, c’est une famille unie. Chacun a l’air d’être au courant de ce que fait l’autre à toute heure du jour et de la nuit. Un bien bel exemple.
18h47 : Je considère que mon ignorance de l’oeuvre et celle relative de la langue sont des atouts qui limitent les risques d’a-priori nuisibles à la traduction.
Mais je peux me tromper.
Thierry, c’est « lâcheté suprême » de taper sur un confrère blogueur, absent, puisqu’il dîne chez une amie canadienne. J’ai une amie québecquoise, délicieuse, M. de Saint-Amour, et toi mauvais sujet, as-tu des amies canadiennes ?
Ici aussi c’est pas mauvais comme petit théâtre. Par exemple presque chaque jour on a le moment où un personnage est incapable d’avouer qu’il s’est trompé, alors il s’enferre… il s’enferre… jusqu’à la garde…
Il y a eu le sketch « Tejero et le roi » (en gros : « vous n’y connaissez rien alors je discute pas avec vous!…. mais notez bien que moi aussi j’y connais rien… mais de toutes les façons je m’en branle! »).
Puis un autre personnage dans le délicieux sketch « De Gaulle et les langues régionales »…
Et là on a eu quelques fortes divertissantes variations sur « la pièce et le jeu », ainsi que sur « la dernière religion du monde »…
Lovely !
« … remplacer la virilité ou préparer le terrain. »
Moi, Thierry, je voyais ça comme le morceau de sucre qui accompagne l’eau de vie… plutôt…
Pourquoi ne pas écrire pour le théâtre
La raison pour laquelle vous refusez de vous couper les cheveux ?
Et vos ongles d’orteils,
Les taillez-vous en rond ou en carré ?
Apprenez-le aux journaux,
Proclamez-le chaque jour,
Mais, en passant, je vous en prie,
Pourquoi ne pas écrire pour le théâtre ?
Quelle est votre dernière religion ?
Avez-vous un Credo ?
Êtes-vous vêtu de laine, de soie, de tweed ?
Quels livres vous ont-ils permis de survivre
Sur les chemins où vous avez peiné ?
Pour écrire « Dieu »,
Usez-vous d’un « g » minuscule ?
L’espoir d’être admis sous le dôme
D’une immortelle gloire vous anime-t-il ?
Votre lessive est-elle faite au dehors
Où dans votre maison ?
Êtes-vous tourmenté de morale ?
Votre génie vous consume-t-il ?
Votre épouse était-elle dénuée de toute réputation ?
Qu’a-t-elle gagné à prendre votre nom ?
Votre ami aurait-il un secret,
Une peine, une honte, quelque vice,
Que vous auriez prêté serment de taire ?
Quel serait votre prix le plus bas ?
Tout ce que la bonne imaginait,
Tout ce que le maître d’hôtel croyait savoir,
Dites-le à la presse,
Nous nous occuperons du reste.
Pourquoi ne pas écrire pour le théâtre ?
« Je considère que mon ignorance de l’oeuvre et celle relative de la langue sont des atouts qui limitent les risques d’a-priori nuisibles à la traduction. »
Vous dites ça pour déconner ou vous le pensez vraiment ?
Bonne contribution de xlew.m. Merci pour le vieux Kipling.
C’est vrai, on attend la traduc du poème par tkt..
Et non pas le trouduc de tkt…
Nous avons un Mauvaise Langue bis à 19 h 14.
Sans rire, vous appelez ça des vers, Chaloux ?
Chacun a l’air d’être au courant de ce que fait l’autre à toute heure du jour et de la nuit
l’autonomie quoi!
> Vous dites ça pour déconner ou vous le pensez vraiment ?
Désolé, je ne suis pas investi du pouvoir de déconner qui s’en charge très bien tout seul.
hadon a raison, il faut traduire ça dans le style chansonnier. Ce sont des vers de mirliton, ça doit être léger et si possible un peu drôle. Mais le jeu en vaut-il la chandelle ?
A le traduire (50 minutes de pur bonheur) on sent surtout une grande véhémence, et rien de « mirliton », crétin des alpes.
Six contre-sens. Acceptables s’ils servaient à la rime ou au rythme, mais purement fautifs ici :
La raison pour laquelle vous refusez de vous couper les cheveux ?
Quels livres vous ont-ils permis de survivre
Votre génie vous consume-t-il ?
Qu’a-t-elle gagné à prendre votre nom ?
Votre ami aurait-il un secret,
(Je précise que je ne suis pas John Brown.)
Cinq, pardon. Mal compté.
crétin des alpes.
Qui parlait de « Mauvaise Langue bis » déjà ? La preuve est là.
polder dit: 26 février 2013 à 19 h 10 min
presque chaque jour on a le moment où un personnage est incapable d’avouer qu’il s’est trompé, alors il s’enferre… il s’enferre… jusqu’à la garde…
Aujourd’hui, c’est Chaloux.
et il a mis cinquante minutes (sic) pour nous pondre ça ?
« tes malade dracul..mème un moutard dirais pas un jeu pour une pièce..ah ils en on fait de belle quand ils ont décidé de vende le monbazillac au litron.. »
Je prends note, mais ce serait à voir. On ne traduit jamais sans adapter, c’est un débat sans âge. De vrais contresens, je n’en vois pas. Des choix, certainement, mais il faut bien choisir, c’est tout le problème de la traduction poétique.
To play, jouer.
A play n’est pas un jeu.
Fazit: Laissons aux traducteurs littéraires talentueux, la tache de transgresser vers le français, le poème anglais de Kipling. Sans oublier qu’il fut écrit il y a au moins 100 ans et qu’en 1 siècle les mots évoluent.
Et puis si Passouline demandait plusieurs traductions, c’est que de bien entendu plusieurs versions sont valables, sauf celles dominées par les contre-sens.
J’aime bien le mot anglais « translation »
« De vrais contresens, je n’en vois pas »
Les voici :
La raison pour laquelle vous refusez de vous couper les cheveux ?
Votre génie vous consume-t-il ?
Qu’a-t-elle gagné à prendre votre nom ?
Je maintiens que ce sont des choix, adaptés, mais des choix.
Votre traduction serait la bien venue. Il faut que la leçon soit complète.
Pour moi, le seul problème de sens réside ici : Was you wife a what’s its name?
Pour le reste, entièrement d’accord avec hadon.
Traduit avec l’aide d’une amie trilingue qui s’obstine à cacher ses origines.
Pourquoi n’écrivez-vous pas jeu de carte ?
Pourquoi ne vous coupez-vous pas les cheveux à la garçonne?
Avez-vous taillés vos haies en rond
Ou voulez-vous les couper au carrés ?
Dites-le aux garçons de café,
Dites-le chaque jour
Mais, sans crier s’il-vous-plait
Pourquoi n’écrivez-vous jeu de carte ?
Quelle est votre dernière sortie ?
Croyez-vous que vous sortirez en ville ce soir ?
Vous nourrissez-vous de feuillages
D’herbages, de viande et d’haricots ?
A quelle professionnelle du sexe avez-vous eu recours
A ce stade de votre parcours.
Utilisez-vous un « h » minuscule /
Pour désigner l’histoire ?
Avez-vous l’espoir d’entrer
Sous le dôme immortel des bains publics ?
Donnez-vous votre ligne à garder à un pêcheur professionnel
Ou faites-le vous garder par votre femme ?
Avez-vous quelques livres à me prêter ?
D’où vient la source de votre aigreur d’estomac ?
Que votre femme a-t-elle perdu
En prenant votre nom ?
Connaissez-vous votre ami secret
ses passions, ses amours, la marque de son whiskey préféré
Avez-vous promis de vous souler sans que personne puisse en témoigner ?
Quel est votre meilleure connerie ?
Tout ce dond une femme de chambre aurait honte
Si le majordome le devine ?
Parlez-en à la presse publique
Et nous ferons le reste.
Pourquoi n’écrivez-vous pas un jeu de cartes ?
Je ne vais certainement traduire un poème de Kipling.
JC: J’ai une nièce et une cousine, qui habitent Montréal. Personnellement je préfère Toronto, capitale économique.
Non, ici à Zürich, je ne connais pas de Canadiens ou de Canadiennes. ML apprend à parler avec l’accent québécois.
Pourquoi pas ?
on serait en droit d’attendre la traduction de hadon mais, comme c’est un professionnel, on ne l’aura pas. Les pros ne travaillent pas pour le plaisir.
Excellente traduction de renato !
« Les pros ne travaillent pas pour le plaisir. »
Et ils ont bien raison. Supposons que dans un bistrot vous rencontriez un proctologue… oseriez-vous lui demander une consultation gratuite ?
Pierre Assouline ,rappelle que le chapitre de Rosebud consacré a Kipling a pour origine l’émotion qui l’a étreint devant le drame qu’a été pour l’écrivain la perte de son fils .Et dans ce texte PA livre en deux phrases très allusives et pudiques une des raison de cette émotion,à savoir que le drame vécu par Kipling faisait echo pour lui à un drame familial ,celui qu’il a raconté plus tard dans la dernière partie de JOB
Why don’t you write a play-/ Why don’t you cut your hair ?/ Do you trim your toe-nails round/ Or do you trim them square ?/ Tell it to the papers,/ Tell it every day/ But, en passant, may I ask/ Why don’t you write a play ?
Ouah doudou vous ritez en plaid-/ Ouah doudou votre haire au cutter?/Doudou trime sur les orteils/ Ou doudou trime au square?/ Guillaume Tell aux papiers,/ Tell est un vrai dais/ But en passant, en mai à Ascq ? Ouah doudou vous ritez en plaid ?
DHH n’a pas tort. L’exaspération que la presse inspire à Kipling peut très bien liée à ce drame.
DHH a souvent raison, mais ça m’énerve.
Judith, je vous aime !
A la réflexion, j’irais encore plus loin dans l’adaptation.
Votre ami aurait-il un secret,
Une peine, une honte, quelque vice,
Que vous auriez prêté serment de taire ?
Quel serait votre prix le plus bas ?
Tout ce que la bonne imagine,
Ce que le maître d’hôtel croit savoir,
Dites-le à la presse,
Nous nous occuperons du reste.
Pourquoi ne pas écrire pour le théâtre ?
Même ueda vous aime, mais il a peur de « l’autre ».
Mais non, Chaloux, ce qui ne va pas dans votre texte, c’est le ton. Le TON, c’est important dans la traduction. Ça sonne faux. Je suis étonné qu’un esprit fin comme le vôtre ne sente pas ça.
(anonymat requis)
Cette saleté, cette insupportable obscénité dans le moindre de tes propos. Je te reconnais, c’est toi, mon john Brown, ma grosse baudruche ramollie, mon énorme pet foireux, ma vareuse de noyé, viens voir Mémé, elle se languit. (Et elle a froid aux pieds).
Le ton de Chaloux est excellent. Qu’est-ce que c’est encore que cette histoire, uforb ?
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