Quand Kipling dénonçait l’intrusion médiatique
Voilà qui ne fera pas plaisir à George Orwell, qui ne voulait voir en lui que le chantre de l’impérialisme britannique : Rudyard Kipling, qui demeure le poète préféré des Anglais, fait à nouveau parler de lui. Et pas pour son inoxydable hymne « If » auquel peu d’écoliers ont échappé. Une cinquantaine de poèmes de sa main, inédits d’après les spécialistes, ont été récemment découverts et seront publiés le mois prochain dans l’édition complète de sa poésie en trois volumes par Cambridge University Press. Un universitaire les a retrouvés au cours de la rénovation d’une maison de Manhattan, dans les papiers de famille d’un ancien dirigeant de la compagnie maritime Cunard Line.
Plusieurs d’entre eux auraient été écrits et lus devant les passagers durant une traversée en paquebot. Certains concernent, « naturellement » devrait-on dire tant l’événement bouleversa sa vie, la disparition de son fils John au front en 1915 lors de la bataille de Loos – « disparition » et non « décès » car il ne se résolut jamais à sa mort, n’ayant jamais réussi à retrouver son cadavre (j’y avais consacré tout un chapitre de Rosebud tant cette histoire m’avait frappé). D’autres poèmes dénoncent par exemple l’intrusion des médias dans la vie privée des hommes publics. La sienne, en l’espèce. Déjà ! « The Press », daté septembre 1899, est justement celui que The Guardian a choisi de publier. A vous de juger. Avis aux commentateurs de la « République des livres » : toutes les traductions sont les bienvenues.
« Why don’t you write a play-/ Why don’t you cut your hair ?/ Do you trim your toe-nails round/ Or do you trim them square ?/ Tell it to the papers,/ Tell it every day/ But, en passant, may I ask/ Why don’t you write a play ?
What’s your last religion ?/ Have you got a creed ?/ Do you dress in Jaeger-wool/ Sackcloth, silk or tweed ?/ Name the books that helped you/ On the path you’ve trod./ Do you use a little g/ When you write of God ?
Do you hope to enter/ Fame’s immortal dome ?/ Do you put the washing out/ Or have it done at home?/ Have you any morals ?/ Does your genius burn ?/ Was you wife a what’s its name?/ How much did she earn?
Had your friend a secret/ Sorrow, shame or vice-/ Have you promised not to tell/ What’s your lowest price ?/ All the housemaid fancied/ All the butler guessed/ Tell it to the public press/ And we will do the rest.
Why don’t you write a play? »
(photo D.R.)
1 418 Réponses pour Quand Kipling dénonçait l’intrusion médiatique
« Un salaud de moins sur cette terre ! » (rédigé par LML)
Digne émule de Sartre, quand LML va-t-il se décider à sortir son grand ouvrage si attendu : « le Sionisme est un humanisme » ? C’est d’ailleurs le seul.
Ueda je n’ai pas lu tous vos commentaires mais j’y trouve de l’amusement bien qu’il soit plus souvent ces derniers question ou allusion au sexe ,je n’ai rien contre mais il me semblait que plus on l’évoquait moins il était ensuite facile de pratiquer,l’évocation prenant la place et la surface du réel plus le temps pour une action directe style commando,rendez-vous vous êtes concerné…
Ne vous réjouissez pas trop vite, ML, un salaud de perdu dix de retrouvés !
« Vous croyez que le père de Philippe Régniez était anarchiste ou vichyste, rose, that is the question »
En réalité le vrai père était un curé rouge, plus tard nommé cardinal et évêque, qui pour monter les échelons de la très sainte institution,n’a pas voulu reconnaître l’individu -celui-ci a été « élevé » (à coups de cravaches) par l’amant de sa mère (une pauvre fille qui a mal tourné)
W,
Je vous dois la vérité.
Je ne suis que la modeste compagne de Uedo.
C’est lui, l’élément viril, avec yukata et double sabre.
au fait, quelqu’un sait il traduire a text neck ?
parce que j’ai la nuque un peu raide , et ce n’est pas un torticolis
« However, too much texting and tilting your head down can become a pain in the neck for some people. An excessive amount of leaning your head forward and down, while looking at a phone or other mobile device could result in what some people call “text neck.”
« Après tout que sait-on de l’intention réelle de Kipling, qui a utilisé le mot religion en anglais »
Il se moque des questions, superficielles, futiles, pédantes, posées par les journalistes
Tu trouves que l’on tarde trop à atteindre le point Godwin, Chantal ?
Tiens Cabotin Pouillon, quelle surprise, vous voilà de retour, je crois entendre dans le lointain La marche du grand turc, comme il se doit.
« le fils Régniez sera gauchiste ou athée, c’est tout le mal qu’on lui souhaite »
en réalité le vrai père est un vagabond qui passait par là ..la femme de pr ne sait pas qui au juste – elle s’est plaint de ce que son mari est très laid et la bat et ..enfin par pudeur il vaut mieux arrêter là (cela ne nous regarde pas)
le text neck c’est une cervicalgie — c’est-à-dire une douleur du cou — produite par l’abus de texto envoyés.
..14h23 ne vous répandez pas ,les commentaires ne saturent pas ,à peine transparaît une identité qui bientôt il est vrai se transformera en roman des familles nouvelles ce qui achèvera de préciser le code barre
.. les grandes douleurs sont muettes ..
quel tintamarre ici, et manque de dignité.
« la solitude de BXVI, dans et hors de cette foule romaine ! »
il sera entouré du frère évêque délinquant sexuel, dont il a couvert abus sur mineurs
« … quelle surprise, vous voilà de retour… »
Nous nous réunissons du retour de C.P., on ne peut pas dire du même de la présence de l’éditeur d’outre-Atlantique.
dire du même > dire de même
jc est pour tendre l’autre joue aux agressions du pq planqué au paraguay
Dis-moi renato, tu es naturellement con ou tu prends des cours du soir ?
Je suis con comme une chaussette trouée et j’ai un joli cul, tout mignon, tout beau…
Si c’est pour vous faire plaisir Michel, v’est du 100% naturel.
Je suis dans la merde jusqu’à l’anus, j’en souffre, aidez-moi, enculez-moi, s’il vous plaît, renato…
Bien, les poux sont là, à plus.
Mauvaise Langue, « salaud » ne (me) va pas bien, pour Stéphane Hessel. En réalité, vous connaissez son histoire, comme celle de sa famille, vous me l’avez rappelé à propos de « Jules et Jim », par exemple…
Ce sont les Palestiniens qui vous font vous emporter, et être injuste. J’étais allé, avec Daaphnée, écouter Hessel place du Panthéon, et je ne peux croire que ce qu’il avait dit de digne, sans cracher sur Israël, vous aurait tant choqué. Mais ici, je vais me faire insulter ? Ou à tout le moins m’entendre dire une fois de plus que je ne comprends rien à rien.
La mauvaise langue dit:27 février 2013 à 14 h 05: Sur cette traduction d’un poème anglais, vous êtes le seul bouffon.
Le pire, c’est que vous êtes ennuyeux; quoi de pire pour de jeunes élèves de 5ème, qu’un prof de Lettres chiant ?
Votre traduction n’en n’est pas une, c’est un navet signé mauvaise langue.
La différence entre vous et Marcel Proust, quand il reprenait la traduction de Ruskin par sa mère, c’est que vous, vous êtes Michel A., c’est à dire un fat.
Tandis que la dame descend les marches chez renato, on entend ici la musique du dj Régniez !
Toujours dans le commerce des bondieuseries, Philippe Régniez ? Ca rapporte ?
does your burn gêne.. c’est la traduction bougreau. par ici mougli
Sur ce sujet, notre ami ML est complètement déraisonnable, C.P.
Il n’y a rien à faire.
Votre question à M. Régniez est presque du Kipling (« Toujours dans le commerce des bondieuseries, Philippe Régniez ? Ca rapporte ? »):
« What’s your true religion ?/ Have you got a creed ?/
Have you been a what’s its name?/ How much did you earn? »
Il y a de l’usurpation de pseudo à l’égard de renato.
Shame.
De quoi votre femme est-elle le nom ? / Combien cela vous rapporte-t-il ?
Shame aussi pour le faux JC !
je n’ai pas du tout apprécié que PR dédaigne mes informations à propos des gays du vatican, parce que cela l’énervait pour la réconciliation et récupération par B16 de la Fraternité Saint Pie V.
Nous avons droit à toutes ses aigreurs depuis quelques jours.
Je n’aime pas les savoyards, un fond de nationalisme et de pédantisme sous couvert de spiritualité.
les savoyards font pourtant de bons ramoneurs, Chantal !
ML préfère sa mère à la justice.
Mais c’est une mère qu’il s’est choisi et il ne connaît pas l’inconfort (understatement) qui donnait son sens aux propos de Camus.
« Je n’aime pas les savoyards »
c’est complètement idiot et absurde de généraliser à partir d’un cas dégueu
Bon, j’avais raison ! J’avais raison quand je disais que ce que je disais c’était du bullshit! En fin de compte, ce poème-là n’était pas parmi ceux que Kipling lisait aux autres passagers sur un paquebot.
http://www.guardian.co.uk/books/2013/feb/25/rudyard-kipling-poems-discovered?INTCMP=SRCH
Je ne pense pas au sexe, -cela m’importe peu sur un blog littéraire – mais à ce titre dans la presse :
« le capitaine quitte le navire, mais il ne coule pas il faut prier ».
» Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;
Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;
» Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d’un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n’être qu’un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tous jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire
Tu seras un homme, mon fils. »
Ce poème de Kipling, popularisé en France par cette traduction d’André Maurois, est certainement un des plus célèbres de son auteur. Il l’écrivit à l’intention de son fils John, alors âgé de douze ans, et qui fut tué au combat pendant la Grande Guerre.
La question n’est pas de se demander si les conditions énumérées par Kipling pour mériter d’être reconnu comme un homme sont acceptables ou pas. Qui, à la vérité, ne reconnaîtrait qu’elles valent d’être reconnues comme d’éminentes vertus ?
Le problème que pose ce texte, apparemment innocent et bien digne d’être appris par coeur dans les écoles, est ailleurs. Kipling vivait à une époque où beaucoup de gens admettaient sans discussion — surtout dans son milieu social — que le rôle d’un père, c’était d’abord de transmettre ses propres valeurs à ses enfants, et que le rôle d’un fils, c’était de transmettre à ses enfants les valeurs qu’il avait reçues de son père. Cette conception de l’éducation et de la vie contient des présupposés idéologiques informulés. Reconnaissons qu’elle dégage un fort parfum de conservatisme.
Le second problème, c’est le nombre de conditions posées. Il est difficile d’en faire un compte précis, mais il y en a au moins une bonne trentaine. La logique du développement est claire : si tu satisfais à toutes ces conditions, tu seras pleinement un homme; si tu ne satisfais à aucune, tu ne seras pas un homme digne de ce nom; si tu ne satisfais qu’à quelques unes, tu resteras un homme inaccompli.
Au moment où il écrivait ce texte, Kipling ne doutait certainement pas une seconde d’être dans le vrai. Il n’y a pas d’apparence qu’il ait admis alors qu’il pouvait exister bien d’autre façons de devenir un homme qu’en remplissant les conditions qu’il énumérait là. Il transmettait donc à son fils une vérité qu’il pensait incontestable. L’idéal de vie auquel il adhérait était, sans aucun doute, le seul qu’il croyait valable.
Pourtant, certaines des conditions posées appellent la discussion, par exemple celles énumérées dans cette strophe :
» Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n’être qu’un penseur ; »
Songeons, par ailleurs, que la sagesse proposée dans ce texte est une sagesse mesurée, à l’écart des extrêmes, une sagesse pour honnête homme. Elle ne convient pas nécessairement à tous les tempéraments.
Jouons un instant au jeu auquel se livre Pierre Bayard dans son dernier livre. Si j’avais été le fils de Kipling, je me serais senti écrasé en me voyant mis par mon père, un homme célèbre, une autorité morale incontestée, le plus grand écrivain britannique de son temps, au pied du mur de telles responsabilités. « Et si, quand j’aurai atteint la trentaine, me serais-je dit, mon père me fait comprendre que, décidément, non, je n’ai pas rempli les conditions, qu’est-ce que je ferai ? » De quoi se pendre au premier If venu, is’nt it ? Kipling enchaînait en quelque sorte son jeune fils, de façon implicite et inconsciente ( donc d’autant plus redoutable ) à l’obligation de ne pas se montrer indigne du programme à lui tracé par un père prestigieux.
Si j’avais été le fils de Kipling et que j’avais eu la chance de ne pas être tué à la guerre et d’atteindre la quarantaine, au journaliste venu me demander si j’estimais avoir satisfait aux conditions énoncées par mon père dans son célèbre poème, j’aurais répondu, comme on s’en doute : » Quel poème ? Excusez-moi, mais je n’ai encore lu aucune des oeuvres de mon père. Je vous promets de combler cette lacune, dès que j’en trouverai le loisir. » . Ce serait d’ailleurs un judicieux conseil à donner à tous ceux qui se sentent écrasés par la personnalité d’un père trop célèbre : surtout, faites comme si papa n’existait pas.
Le monde a bien changé depuis Kipling et nous vivons heureusement dans une société où il est admis que chacun cherche ses valeurs en s’éclairant de sa propre lanterne. Tes valeurs sont belles et bonnes, mon cher papa, mais tu me permettras d’en juger moi-même et de n’en faire qu’à ma tête.
Evidemment, il y a plusieurs façons de lire ce texte. Ou bien on considère qu’il remplit une fonction de transmission de vérités incontestables, ou bien on le prend comme l’énoncé d’une série de propositions soumises à la discussion. Et c’est ainsi que l’éducation, dans le monde ouvert qui est le nôtre, devrait toujours, pour moi, se concevoir : non pas comme un stock de vérités que l’on impose, mais comme des hypothèses que l’on propose. Les valeurs, aujourd’hui, ça ne se transmet pas : ça se discute.
Continuant de jouer au jeu de Pierre Bayard, si j’avais été Kipling, j’aurais transformé l’affirmation finale en une question : » Seras-tu un homme, mon fils ? » .
Question de tempérament , mais pas seulement.
Sur ce sujet, notre ami ML est complètement déraisonnable
..mais allons il ne parle que de ça et toi tu lui réponds parceque c’est un sujet de « interressant » comme dit cépé..bande d’enflures..gonflé a l’hélium que vous êtes..et décidément les coups de pompe à philippe et les coups de clyster à la sainte vierge honore votre humour légendaire..chiants comme la mort que vous êtes
Voici la version originelle du Indignez-vous, empruntée à Christiane sur un autre site :
http://www.dailymotion.com/video/x7m4d6_charlie-chaplin-extrait-de-son-film_news#.US4VeqXchaV
bouguereau (et al) : « enfoncer une porte ouverte » peut se traduire par « stating the obvious ».
Et non, comme vous le proposez par « va te faire enculer bien bien profond ».
Comme très souvent, le traducteur (ici, vous) projette ce qu’il a en tête, ce qui occupe son esprit. G.-A.G a bien parlé de ce genre de phénomène.
J’extrapole peut-être mais les deux savoyards que nous nous coltinons RM et PR sont en tout point ergoteurs sans fin, mécontents et sûrs de leur bien dire et bien parler.
Ce sont de fort petits messieurs.
Quand j’ai vu s’afficher « 838 commentaires », j’ai illico pensé que l’opuscule iacubite y serait pour quelque chose.
Ne l’ayant pas lu, j’ignore s’il possède une « stupéfiante puissance littéraire », à en croire les vendeurs branchouilles du Nouveau Zob. Ce qui est stupéfiant, au moins, c’est le nombre de fautes de syntaxe qu’il contient comme autant de colombins dans une soue à cochons. L’éditeur, trop pressé de palper l’artiche, n’a pas cru ru bon de faire relire le tapuscrit de l’escaladeuse de braguettes par un correcteur – que c’est vrai, il aurait fallu payer.
ueda
les propos de camus ont été déformés par un mini journaliste (camus a dit: ‘si c’est ça la justice, je préfère ma mère » )
Dites donc, bouguereau, qui fait de la pub ? Et en se réclamant de Léon Bloy, encore ! Qui lui aurait botté les fesses jusqu’à un marécage et la gueule d’un anaconda, en guise d’enfer.
JB, à travers son fils, Kipling s’adresse à toutes les générations à venir. Le poète utilise toujours un « je » universel…
D’ailleurs, Philippe Régniez l’a bien compris, qui à mes Confessions d’un suceur de bites à répondu : « Légions ! » C’est ainsi, que par lui, je me suis senti adoubé poète !
Formule de M° Veil, avocat de DSK :
« C’est un livre à mettre au cabinet de complaisance, pour un usage intime. »
Y a pas à dire, c’est chié ! Les mots-valises, l’avocat, il sait faire !
JB tu est un faux derge, envoyer ton manuscrit à PR !
Tout fait farine à ton moulin, ce n’est pas terrible quand on est édité au Mercure.
Tu est beaucoup plus conscient de tes droits que de tes devoirs..
« C’est un livre à mettre au cabinet de complaisance, pour un usage intime. »
Super slogan publicitaire qui va contribuer à augmenter les ventes !
DSK devrait demander une part sur les droits d’auteur afin de dédommager Nafissatou Dialo ?
chantal dit: 27 février 2013 à 15 h 13 min
Quoi ? L’expatrié lui aussi est savoyard ? Jésus-Marie, c’est trop de malheurs pour une si belle région – ah les Bauges…
Bon, il leur reste le Glacier des Alpes, dans le vieil Annecy…
La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 14 h 10 min
Un salaud de moins sur cette terre.
L’abjection et l’ignominie te vont comme un gant mon mimi.
Petite chose insignifiante qui espère exister par la bassesse et l’injure.
Méprisable
Mais enfin, Chantal, comment peux-tu croire ce que dit PR ?
Il a lu l’extrait ici et a imaginé la suite. Mon manuscrit est en lecture, là où il faut qu’il soit édité ou pas…
Mais pas sous ce titre et tout a fait différemment…
dans le fond et la forme !
tu / es … il / est
distanciacion brechtienne !
http://www.bertbrecht.be/verfremdung.php
si c’est de l’humour .. j’ai rien écrit.
Le grabataire Pouillon se déshabille et montre encore une fois sous les rides du vernis son vrai visage de sagouin malappris. « Je ne reviendrai plus! » avait dit Pouillon, un homme de parole. Quand je pense qu’une telle raclure enseigne à de jeunes âmes innocentes…
Jacques Barozzi, il n’y a aucune honte à faire circuler votre manuscrit chez tous les éditeurs, même ceux d’Amérique latine.
« … la Fraternité Saint Pie V. »
Encore une spécialiste… Mère de ma mère, comme dirait quelqu’un.
« j’ai rien écrit »
Mais il n’est pas interdit de s’excuser, Chantal.
Si tu rencontres Philippe Régniez, dit lui que j’ai pour habitude de choisir mes éditeurs…
c’est le blog de la jungle ici
bon film produit en 42 par olihood, tout en indish english, good appetizer avant un resto du passage brady; ja wohl
Tous vos rétropédalages (sic) ne serviront à rien, Jacques Barozzi, vous êtes foutu, marqué à vie, et attendez que Bolom apprenne la chose, c’est le peloton assuré…
La prochaine fois que vous passez par Paris, Phil, faites-moi signe, on ira déjeuner au passage Brady. Je l’avais proposé à TKT, mais il a refusé, préférant faire un tour à la mosquée de Paris !
Vérifiez avec soin, Régniez : Je n’ai JAMAIS dit que je ne reviendrais plus. Vous êtes un menteur. Je suis allé faire un tour du côté des critiques, pour ne pas vous rencontrer ici. Mais vous avez bien le droit de commenter et même de faire de la réclame, semble-t-il. Vous m’indisposez grave, tant pis pour moi !
Même pas peur, Philippe Régniez !
Merci baroz. bien volontiers. tkt devait avoir souvenir du porno du passage brady. le temps passe, c’est la déprimette, la mosquée change les idées.
C.P., personne ici ne porte le moindre crédit à Philippe Régniez, laissez-le pédaler dans la provocation, c’est tout ce qu’il lui reste !
Je ne compte pas rencontrer PR. Ni entrer dans le moulin à baffes de ce blog.
Assouline au moins laisse pédaler le PR dans le vide ..
Pie V est fait exprès. La messe à l’ancienne est bien celle de Pie V .
Le passage Brady est dans la partie kurde du quartier turc, Phil. Juste après le quartier des coiffeurs africains et avant celui des magasins et restaurants pakistanais. Je voulais le faire voyager, en moins de deux heures, à travers pas moins de trois continents et avec un seul ticket de métro. Il a dû trouver cela un peu trop low cost ?
nous attendons tjrs la traduction du Kipling par PR le GRRRRAND TRADUCTEUR DE L’ANGLAIS.
Il y avait en effet, Phil, un cinéma haut en couleur au débouché du passage, sur le boulevard de Sébastopol : La Scala, vieil établissement qui a connu son heure de gloire avant de sombrer dans le porno le plus glauque. J’y ai pas mal traîné mes guêtres autrefois, mais je viens de voir récemment, en vue d’un prochain ouvrage, qu’il avait été totaleent détruit ! Notre patrimoine fout le camp…
Kipling, en tant que poète, écrit des vers de mirliton. Orwell avait de toute façon raison de le considérer comme un chantre du colonialisme, ce serait ridicule de le nier… mais il est vrai aussi que l’écrivain est plus complexe que ce portrait qui a longtemps dominé. Ses nouvelles sont excellentes, il a quelques romans qui échappent à toute définition pré-établie, et si l’on oublie certaines facilités d’écriture, c’est un grand bonhomme. Ceci dit, il faut relire Mark Twain, encore et toujours.
baroz, c’était le cinéma préféré de guibert, un autre adepte du livre de la jungle.
Mais qui est cette Chantal?
Bon Dieu maintenant la messe c’est à l’ancienne comme la moutarde ?
Chantal: Philippe Reignez propose dans son officine, une traduction de Louis-Ferdinand Céline qu’il a concocté lui-même.
mais qui est ce svp ?
» – Ha, vieille, dy-je lors, qu’en mon coeur je maudis,
Est-ce là le chemin pour gaigner Paradis ?
Dieu te doint pour guerdon de tes oeuvres si saintes
Que soient avant ta mort tes prunelles esteintes,
Ta maison découverte et sans feu tout l’hiver,
Avecque tes voisins jour et nuit estriver
Et traîner sans confort, triste et desesperee,
Une pauvre vieillesse et toujours altérée. »
Mathurin Régnier, » Satyre XIII (MACETTE) «
La patate est un chouette légume.
Contrairement à certains, Kipling vivait dans la réalité, il avait les pieds fermement sur terre et appelait les choses par leur nom. Il n’était le chantre de rien du tout, l’empire et le colonialisme avaient-ils besoin d’un chantre. Il est vrai qu’un poème comme Boots convient mal aux pieds efféminés d’un bolom, ou qu’aujourd’hui il est de mode de préferer la lecture du guide du routard à celle du merveilleux poème Mandalay au du laudatoire (sic) Fuzzy-Wuzzy.
Pardon : « alteree »
TKT dit: 27 février 2013 à 16 h 31 min
une traduction de Louis-Ferdinand Céline
Onkr ! Ferdine ça coule tout seul ça luit comme de l’eau de roche… Par exemple chez Duras, en revanche, y aurait bien certains recoins…
Mon Cher Thierry, encore un mensonge. Il est vrai que j’ai longuement revu cette excellente traduction et que j’y ai ajouté une bonne quantité de notes dans les quelques 450 que contient l’édition.
Kipling vivait tellement dans la réalité qu’il a écrit des nouvelles fantastiques et des romans avec des tigres et des ours qui parlent.
Jacques Barozzi dit: 27 février 2013 à 16 h 05 min
Le passage Brady est dans la partie kurde du quartier turc, Phil. Juste après le quartier des coiffeurs africains et avant celui des magasins et restaurants pakistanais ………………….à travers pas moins de trois continents
Je n’ai pas compris si c’était les Kurdes qui vivaient en Europe ou si les Pakistanais étaient océaniens.
MàC, comme tu nous manques
D., d’abord et avant tout vous êtes à Paris (France-Europe). Vous descendez à la station de métro Château d’eau : l’Afrique. Vous tournez à droite dans la rue du Faubourg Saint-Denis : Turquish-kurdie(Euro-Asie). Puis plus haut, après la gare du nord, vous entrez en pakistanie (Asie), jusqu’au square de la Chapelle (Maghreb). Et maintenant, le compte y est ?
le pq du paraguay, raciste et antisémite, se croit détenteur de la vérité , c’est typique des malades mentaux
Franchement Philippe Régniez, laissez moi vous dire que vous êtes trop souvent grossier et sans amour pour vos frères humains, ce qui est contraire à la religion catholique romaine !
MàC, comme tu nous manques
pas à tout le monde – et faut être c pour pas le voir sous le boug
Jacques Barozzi dit: 27 février 2013 à 16 h 59 min
D.,
C’est la fréquentation des cimetières avec TKT qui vous obsède.
Pour les deux burnes nous avions déjà TKT et Chaloux, une troisième ferait désordre.
Pour le décompte continental, la démo est un peu tirée par les cheveux (et ne correspond pas au récit initial) mais l’effort doit être souligné (quoique comme il y a deux sorties le virage à droite peut poser problème, comme toujours)
FP dit: 27 février 2013 à 16 h 42 min
des tigres et des ours qui parlent
Oui, faut pas les laisser faire…
antoine dit: 27 février 2013 à 17 h 10 min
MàC, comme tu nous manques
pas à tout le monde – et faut être c pour pas le voir sous le boug
C’est le géographe qui me manque
« pieds efféminés d’un bolom »
obsédé du Q, le régniez
@ CP (15:57)
« Brise légère –
l’ombre de la glycine
tremble à peine »
Bashô
« C’est la fréquentation des cimetières avec TKT qui vous obsède. »
Non, D., c’est votre façon de connenter, comme dirait justement TKT.
Et ça me rappelle furieusement le petit grincheux qui venait à mes promenades signatures !
Si cela vous interesse, regardez la TV demain. Ce sera notre hélicoptère blanc, et pas celui des autorités italiennes, qui va embarquer le pape émérite BXVI vers un destin remarquable.
Cet homme de grande qualité mérite une nouvelle chance : il l’aura !
Les types qui voient des efféminés partout et se veulent intégrement virils sont hautement suspects…
L’Adolphe n’était pas un modèle probant !
« faut être c pour pas le voir sous le boug »
Ah ben justement, je me demandais si c’était MàC ou pas….
En tout cas, si c’est lui, ça l’oblige à un exercice permanent, éviter les thèmes qui l’identitifieraient…. Une sorte d’évitement permanent, une sorte d’oulipo où par exemple il faut non pas éviter la lettre e mais certains thèmes qui lui sont chers et dont il parlait fort bien (l’Allemagne)… Du coup, ne pouvant parler de ce qui l’intéresse, il serait donc obligé de se cantonner à des espèces d’éructations sur le thème de l’enculade… Et se serait donc enkysté dans une espèce de personna bougonne et grossière en permanence, qui parfois en sort de très bonnes (il faut être fairplay!)….
Quelle ascèse ce doit être ! Quel self-control !!
Ma foi, peut-être que ça mérite de l’admiration… en même qu’un certain regret pour les contributions plus substantielles dont on est privé…. Enfin tout ça c’est des supputations….
Cet homme a totalement dévalué le métier de Pape, JC. Demain, les papes pourront poser des RTT !
L’avantage du Psilocybe semilanceata c’est qu’il ne tombe pas sous les rigueurs de la loi. Tandis que le Lophophora williamsii qui ne pose aucun problème dans les pots de ma compagne devient une raison de procès si les forces de l’ordre le trouvent en petits bouts séchés dans les poches qui veut seulement passer un bon moment entre deux réalités, ou plus.
dans les poches qui veut seulement > dans les poches d’un gars qui veut seulement
Merci, Christiane.
Enfin, Jacques, nous n’allons pas installer BXVI à Avignon, comme pape de secours ! Pas du tout intéressant … non, ce sera autre chose.
oui, renato, et il y a encore plus tordu dans la législation. Tu fais cuire des fruits dans ta cuisine, c’est légal. Tu en recueilles la vapeur pour la condenser, c’est illégal, tu es considéré comme bouilleur de cru.
S’ils s’avisent d’interdire les psilocybles (et pourquoi pas ? c’est dangereux), tu te retrouves hors-la-loi si tu en ramasses un.
J’oubliais : merci Christiane.
L’amanita pantherina n’est pas mal non plus, mais son maniement est plutôt délicat : un chouia de trop est t’est bon pour le croquemorts — à propos duquel on s’abstiendra de rappeler l’origine du mot (garantie par l’Institut de Sociologie de l’Université de Lausanne).
comme pape de secours !
y a bien des soupapes de sécurité.
les papes pourront poser des RTT ! (Barozzi)
Ils font déjà le pont, c’est dans la désignation du job : pontifex.
Et encore merci Christiane.
(J’ai appris qu’il fallait toujours remercier Christiane, c’est une constante du blog.)
« Stéphane Hessel fut avant tout un maître à ne pas penser », tranche Richard Prasquier
Il a bien raison …
psilocyble > psilocybe, pardon. (Et encore, je ne suis pas sûr de l’orthographe.)
Ce serait l’envers d’une histoire qui a déjà eu lieu. Voir sur votre encyclopédie de confiance Pape Correr, alias Grégoire XII (qui dut d’ailleurs renoncer mais pour des raisons plus politique que Pape Ratzinger) et son double Avignonnais Pedro de Luna alias Benoît XIII (antipape).
Merci JC.
(T’as raison, écrase-lui la gueule, maintenant qu’il est mort, tu resteras ainsi égal à toi-même et, qui sait ? avec un peu de pot, tu feras même rire ueda.)
Psilocybe c’est bon (pour l’orthographe). Quant à sa dangerosité, c’est comme tout : faut pas exagérer.
Un pape démissionnaire, c’est comme un capitaine quittant le navire en premier en pleine tempête, un pilote sautant en parachute en abandonnant ses passagers, un comédien se tirant de scène au milieu d’un acte, un chirurgien laissant en plan son opéré sans l’avoir refermé, bref, une faute professionnelle, sans parler du caractère sacré lié à ce métier particulier dit aussi sacerdote !
encore une jésuiterie de paul edel , une de trop .
je pense accepter l’invitation d’alexandre gefen ..
Ce n’était pas moi, Jacques Barozzi. C’est jamais moi, oubliez pas que je suis immaculé et pur comme tous les catholiques de la Tradition. Je prie le matin en me tournant en direction du Vatican, à genoux pendant 8 minutes. Quand mes genoux sont fatigués, je me retourne.
Je suis au travail, ma baie noire dans une main et je contrôle que le sol de la piscine ne devienne pas moisi. Je travaille en bikini, du latex noir, et des sandales en plastique bleu et blanc. J’ai un sifflet et une perche, une serpillère et un seau. Je ne sais pas quel sera mon prochain emploi, je suis sous-utilisé car j’ai trop de diplômes de l’école primaire, mais je suis un génie des mathématiques, de physique intersidéral et un champion auvergnat de ping pong.
Vous êtes un pécheur, Jacques. Si vous alliez au paradis, vous auriez droit à 80 nuits avec moi, pour prier pour l’âme de mon défunt frère jumeau.
pour des raisons plus politique que Pape Ratzinger
On ne peut pas être certain, en fait, qu’il n’y ait pas quelque raison politique derrière la renonciation de Ratzinger.
« Jacques, nous n’allons pas installer BXVI à Avignon »
Ben, ça a pas mal réussi à la catholicité.
Voyez Jean XXII,Duèze..
Il a renfloué les caisses de la Papauté ( Dante à mis les caorsini- Duèze en était un- dans son Enfer..)bataillé contre les excès de l’astrologie divinatoire, porté le holà à l’ars Nova qui voulait remplacer le chant grégorien par la pop music de l’époque, bref, appelé à régner à 72 ans, il tint la papauté pendant 18 années et mourut à 90 ans!
http://cahiersdefanjeaux.com/
sacerdoce, pardon !
C’est quoi la baie noire, D. ?
je suis allée voir le plan de la bataille de Loos les conditions les divisions, les britanniques étaient peu nombreux par rapport aux français mais disaient avoir plus de minutions que les allemands. 17 ans c’est pas un âge pour mourir à la guerre ça non. If a cette portée tragique.
Les hommes ne sont pas des bêtes de somme.
ce sont les munitions pffff
Rappel pour le champignon halluciné.
La putasserie médiatique lamentable des « Indignés », et la vertu zéro de ce petit opuscule antisémite ont été critiqués du vivant de notre regretté Hessel.
Aucun problème de culpabilité.
Jacques Barozzi dit: 27 février 2013 à 17 h 27 min
Non, D., c’est votre façon de connenter, comme dirait justement TKT.
Eh bien oui, aussi bizarre qu’il puisse paraître , une troisième burne existe bien
>Jacques B la baignoire dans une main
« On ne peut pas être certain, en fait, qu’il n’y ait pas quelque raison politique derrière la renonciation de Ratzinger. »
J’ai justement écris ‘plus politiques’ car chez Ratzinger il y a un melange de politique, mœurs, santé, tandis que chez Carrer c’était du politique pur (pouvoir + intérêts des diverses factions).
Rappel pour rose.
Les hommes sont des bêtes.
Oups ! Carrer > Correr, pardon
Paix à Stéphane Hessel
une faute professionnelle
Vite dit, Barozzi. Je pense que ça va peut-être école, au contraire. Devenus gâteux ou grabataires, les prochains se rappelleront désormais que le droit canon permet la renonciation et refuseront de s’accrocher à leur siège saint pour de ne pas être des boulets. Que faire d’un nonagénaire sourd comme un pot qui ne peut plus lire ni marcher, par exemple ?
(putain, j’en aligne, des posts, comme si j’avais que ça à foutre… ce sera le dernier.)
Jacques Barozzi dit: 27 février 2013 à 17 h 28 min
Et ça me rappelle furieusement le petit grincheux qui venait à mes promenades signatures !
Signatures ?
Vous avez assez pleuré ici comme quoi personne n’achetait votre livre.
Et pardonnez-moi mais je ne croit pas avoir besoin de vous pour mes promenades parisiennes, votre côté simplet manque de charme.
« Que faire d’un nonagénaire sourd comme un pot qui ne peut plus lire ni marcher, par exemple ? »
Le porter en procession, c’est là l’essentiel de la fonction de Pape, juste une icône à sortir de temps en temps et à offrir à la vue d’un public prêt à tomber en pamoison !
La Teigne a laissé le self-control à la remise, avec les crucifix en laiton, les bougies en cire synthètique, et les exemplaires de Mein Kampf pour les nuls. C’est rien de dire que le vulgaire lui sort par tous les pores, à l’anus mundi.
>JC enlevez le déterminant oui
> nota je confirme on mange vraiment bien au resto indien du passage Brady. A droite en entrant par le nord. Le contraire en rentrant par l’autre côté. Petites tables petites nappes petits prix bonne cuisine familiale tandoori, biryani, lassi, nan nature.
Paris Scope,
Aucun nom de type charmant, non-simplet, à vous proposer sur le continent pour vos promenades. Ici, les types sont infects. Ego hyper pourri par la chaleur des débats…
(Par contre, si vous venez à Porquerolles ?)
Laissez les vieux vieillir tranquillement. Quand on sera vieux on aimera qu’on nous bichonne ; dès maintenant d’ailleurs, pour s’entraîner. S’il est mort sans son lit, bien lui en a pris.
JC dit: 27 février 2013 à 18 h 17 min
« ce petit opuscule antisémite »
A peu près aussi con et abject que LML.
C’est dire
Sur le principe, D., je suis d’accord pour que le pape puisse prendre sa retraite, mais, après d’avoir commencé à être charitable avec lui-même, il devrait alors permettre aux chrétiens de pouvoir recourir à l’interruption de grossesse ou à l’euthanasie.
« « Stéphane Hessel fut avant tout un maître à ne pas penser », tranche Richard Prasquier
Il a bien raison … »
Aaaah.
Enfin, je peux me démarquer de mon camarade de blog JC!
Content comme tout.
Mec de gauche, tout d’un coup.
J’ai comme des petites lucioles dans les yeux.
Merci, camarade!
Ça faisait un peu trop longtemps qu’on nous voyait en tandem, hein.
(Alors que c’était plutôt en pédalo, car la relation de succession du tandem est obscène, alors que le côte à côte du pédalo a quelque chose de fraternel.)
Prasquier?
Prasquier est un âne.
Si j’étais juif en quelque sens de ce mot (qui en a beaucoup), je me méfierais comme la peste d’un tel « représentant ».
En revanche, sur le best-seller, euh…
Il n’était pas bon du tout.
J’ai été de ceux qui ont essayé d’argumenter ici leur désaccord, et je ne retire pas un mot.
La société humaine se porterait mieux si on faisait des points de contrôle à partir de 50 ans. Pour certains lieux de vie remplis de débiles, bien avant 50 ans, naturellement …
Tu réussis les tests, tu vis.
Tu échoues, on te pique.
Quelle dynamique cela induirait !
je suis d’accord : sa monstruosité à Yacub (pseudo ressemblant étrangement à Jacob quand même ?) elle sera face à face ; il faudra aller dans les monstrueux excès qu’elle met à jour en publiant mais qui sont déjà dans les mœurs. Puis y’aura un immense dégoût puis ce seront des jours féconds. Parce qu’après la monstruosité il y a symboliquement des jours féconds. Loin des modèles => de la création.
Il a un air coquin sur la photo, Kipling. Et que dire de ce menton fendu comme un gland !
ueda,
Le tandem mixte est un enchantement visuel si vous laissez les commandes à votre compagne…
@ C’est quoi la baie noire, D. ?
Je traduis tout en français, c’est un Blackberry.
Les mots étrangers devraient être interdit , c’est mauvais pour la sauvegarde de notre nation.
Jacques, pourriez vous traduire votre patronyme, il en va de la survie du caractère national.
Vive D. !
Vive Moi-Même !
Non, JC ! Le CRIF n’est pas content, et cela ne date pas de la mort de Hessel et d’un trop d’hommages. Mais de l’antisémitisme « pur » (et en sous-pamphlet), vous n’avez pas besoin de moi pour en trouver. Vous connaissez sûrement le blog de Thomas Joly, par exemple.
Oui, mais là, c’était le pauvre ueda qui avait la vue sur ton gros cul, JC, insoutenable, il préfère pédaler à pédalo !
Prasquier est peut être un con mais il attire notre attention sur le danger d’adorer les icônes, créées pour l’octoberfest…
Ah, Barozzi veut un Pape voué à ses désirs, comme s’il n’était pas un homme uniquement représentant de Dieu sur terre. Il n’est pas Dieu, faut-il encore le préciser?
Barozzi veut une religion courbée à ses ordres et pas que..
Si tu entrevoyais mon cul, sublime pour les dames, Jacky, tu me parlerai sur un autre ton…
Et c’est quoi un Blackberry, D. ?
Si je résume, vous avez été un fringant cadre bancaire à la Défense, puis comptable en sous-sol dans une chocolaterie, maintenant garçon de bain public en banlieue. Jusqu’où va nous conduire votre dégringolade professionnelle, D. ? Et comment faites-vous pour trouver toujours du travail malgré les 3, 2 millions de chômeurs ? Vous couchez pour avoir le poste ? J’attends avec impatience le prochain épisode : je vous verrais bien en tenancier de sex-shop, vous nous raconteriez votre travail au quotidien !?
jeudi 28 février 2025 l’épouse de TKT annonce le décès de son époux pendant sa sieste, il avait 103 ans il n’aurait pas souffert, Passou qui venait de faire un long papier sur kiri le clown perd son dernier commentateur
on se fiche du best seller les Indignés comme de l’an quarante. Il était un homme bon chaleureux, ouvert et capable d’esprit critique. S’intéressant aux jeunes, à la modernité » de son temps et honnête, Hessel a eu un beau parcours de vie.
>jc j’voudrai pas dire mais vous iriez pas vous coucher avec une bd et une bouillotte non ?
>renato je suis d’accord avec vous (demain il neige) depuis que trucmuche a pris les rênes le nouvel obs s’est devenu gala+voici+ici paris réunis. (je vais pas partir dans belle jeunesse et patin et couffin, mais il faut faire du fric or qu’est ce qui fait vendre les potins, pas les sonnets shakespeariens, (j’ai un faible pour les sonnets shakespeariens)).
Le sort du fils de Kipling fut le sort de milliers de poilus cela me fout le bourdon.
Non, C.P., je ne connais pas le blog, ni Thomas Joly lui-même … et cela ne me tente guère d’y faire un tour ! Mais, comme goy, j’ai de la sympathie pour Israel et pour les juifs.
c’est devenu (retraite anticipée chez les inuits)
« jc j’voudrai pas dire mais vous iriez pas vous coucher avec une bd et une bouillotte non ? »
A part Little Nemo …. les BD… ? pour la bouillotte, j’ai ma recette, une recette classique.
Orwelll, dans son roman Burnese Days (’34), fait dire à son narrateur « Year after year you sit in Kipling-haunted little Clubs ».
Dès les années 30, Kipling était devenu le symbole de la colonisation anglaise.
Toute la littérature anglo-indienne (Forster, Scott, Masters, Kaye)
découle de son oeuvre. Dès les années 30, Bhupal Singh, dans son Survey of Anglo-Indian Fiction (OUP), l’avait bien vu:
« Rudyard Kipling has been a force in the history of Anglo-Indian fiction. Much of what has been written since the publication of his Indian stories, and especially Kim (1901) has directly and indirectly been influenced by Kipling. Before Kipling, Anglo-Indian fiction was amorphous. It had no distinctive place in the history of English Literature. Its recognition is due to Kipling. »
En cela, comme en qualité de repoussoir, Kipling est un moment essentiel de la littérature-monde.
Ce n’est pas une dégringolade professionnelle, Jacques. A l’origine, je voulais mener une enquête journalistique sur la condition des comptables. Puis, je me suis aperçu que c’était une excellente expérience, qui va me permettre d’écrire un roman sur la déchéance humaine. Je prends des notes tous les jours, ce sera parfaitement sordide.
blackberry c’est du cassis (la main dans le cassis c’est trouble)
s’il est mort dans son lit horresco referens
polder 27 février 2013 à 17 h 32
En même temps s’il s’agit bien de la même personne, cette distance l’aide à ne pas disjoncter en direct , ce qu’il n’arrivait pas à éviter jadis (et ça nous fait des vacances)
à force de mentir, je me le demande où va-t-on ?
une question quand même comme elle est oujourd posée dans les rencontres même s’il est vrai qu’il pourrait encore être apporté bien des remarques assez près du billet et du poème :
pensez-vous que ce poème à l’ élaboration de la traduction duquel plusieur commentateurs ont contribué est un bon poème , la question n’étant pas sur ce blog de savoir si tel contriuteur est intelligent, tel autre vaniteux , tel autre dévoré d’ubris ?
justifiez votre réponse si possible .
Votre usage des caractères gras commence à m’exaspérer, rose.
Et vous-même, HR, pensez-vous que c’est un bon poème ?Votre avis nous intéresse.
Vous pouvez jouer les gourdes si cela vous amuse, rose, mais vous devriez tout de même savoir que le mensonge mène en enfer.
JC dit: 27 février 2013 à 18 h 59 min
A part Little Nemo …. les BD… ?
Ce mec n’a vraiment rien pour lui
« Rudyard Kipling has been a force in the history of Anglo-Indian fiction. Much of what has been written since the publication of his Indian stories, and especially Kim (1901) has directly and indirectly been influenced by Kipling. Before Kipling, Anglo-Indian fiction was amorphous. It had no distinctive place in the history of English Literature. Its recognition is due to Kipling. »
Mauvaise Langue pourrait-il traduire ?
Jacques Barreaux, vous êtes méchant, au lieu de me remercier de vous avoir posé des colles dignes de mon QI de 03:15 du matin. J’aime les distractions gratuites, j’ai un chat à nourrir. Il mange mes restes bio.
Au fait, Mauvaise Langue, combien de langues maîtrisez-vous ? Autant que ueda ? Si oui, vous m’impressionnez encore plus, parce que ueda est très fort.
Je me sens tout à fait en phase avec Paris scope. C’est bien simple, j’aurais pu écrire tout ce qu’il écrit.
Je mets mes mains là où le Seigneur me guide, Rose.
Je vais aller droit au paradis, une de mes sœurs travaillait rue du Paradis, dans sa jeunesse. Au paradis, Rose, vous aurez droit à 80 jeunes-hommes de 50 ans comme moi, garanti puceaux et immaculés.
Je pars demain au Vatican, je reviendrais quand le nouveau Saint Pères sera élu.
Mais en enfer, vous aurez 90 Thierry de 66 ans.
Il a trouvé comment enfoncer sa porte ouverte ?
Souligner l’évidence, prêcher un converti,
livrer du charbon à Newcastle, fouetter
un cheval mort ?
Dictionnerrement.
Paris scope dit: 27 février 2013 à 19 h 10 min
Petite usurpation de pseudo assez ridicule.
Mais si c’est la seule façon de vous mettre en valeur, continuez et grand bien vous fasse.
D’ailleurs baroz a un point commun avec vous, le style
il y a peu j’ai vu une miss météo indienne française sur france 3, bien contente ai-je été. Un jour on arrêtera de secouer les marionnettes repoussoir avec le dit colonialisme.
>jc grand bien vous fasse. Ne connais ni l’une ni l’autre.
>je mémorise strong ; D vous bilez pas : c’est mauvais pour de multiples choses
>sur le mensonge je m’en doutais un peu mais j’aime bien avoir confirmation de ce dont je me doute ; cela me permet de moins douter. Je crois que cela influe sur bien d’autres choses que l’enfer, sur la mort par exemple, les moments qui précèdent la mort lorsque la vie défile sous ses yeux, que le bilan s’impose. Mentir c’est laid. Mentir tout le temps c’est pathologique. Mentir en entraînant de braves gens à l’esprit paisible et non revanchard, ce n’est en rien justifié. Ce n’est pas faire œuvre d’art.
Je ne cautionne pas vos mensonges.
Non, C.P., vous ne vous ferez certainement pas insulter en tout cas pas par moi à propos de S. Hessel. Vous êtes simplement dans le ton de l’époque, vous êtes un (faux) naïf.
R. Prasquier a dit ce qu’il y avait à dire à propos de S. Hessel. Je l’approuve entièrement même s’il ne représente pas forcément tous les Juifs de France ; j’en connais au moins un qui ne le reconnais pas comme son représentant. Mais enfin, il parle au nom des institutions juives liées au CRIF, ce qui compte en France.
C.P., un discours de S. Hessel n’efface pas tous les autres ni toutes ses déclarations outrancières et outrageante à l’égard d’Israël. Son antisionisme viscéral ne plaide pas pour la cause qu’il prétendait défendre, à savoir les humiliés de tous pays.
Ce ne sont pas fondamentalement les Israéliens qui sont la cause réelle de la situation d’humiliation des Palestiniens. Mais les Arabes.
Quand les Arabes se décideront à faire la paix avec Israël, à accueillir les bras ouverts la légitimité juridique, morale et politique de l’Etat d’Israël au lieu d’inscrire la destruction d’Israël dans ses Chartes (Hamas comme OLP), Israël signera de suite comme Israël l’a fait avec Sadate. La paix peut advenir du jour au lendemain mais pour faire la paix il faut être deux.
Je retire ce que j’ai dit. Si 19 h 10 est une usurpation de pseudo, alors je ne me sens pas du tout en phase avec le contenu du message.
D dit: 27 février 2013 à 19 h 07 min
si c’est moi que vous appelez Hr, vous pouvez dire que je pense que tous ceux qui ont joué à m’ppeler H.R. m’ont rendu ce blog si inhospitalier que je leur souhaite d’apprendre à se questionner avant de s’adresser à moi.
il est pourtant notoire que leur cher Lacan invité à des fêtes chez des juifs était complètement paumé et ne comprenait rien , malgré sa grande intelligence pour poser les qestions de la filiation, celles-là m^me d’actualité et qui vont être reformulées pendant la fête de Pessah , avec les questions posées .( le poème eétant fait de questions comme votre machintruc donneur de bons points n’a pas compris pourquoi je le soulignais tant il est engoncé dans son préjugé de savoir et de « parler pour » et d’avoir » ! »
50 ans mais vous êtes vieux ! Laissons-nous vous laisser vieillir bien tranquillement.
J’aurai bien d’autres choses à faire qu’à m’occuper de cul : je vous laisse les croûtes.
Quand au nombre, seul l’un compte.
C’est tout comme questionnaire ?
Et comme prédictions ?
je donne un cours pour briser l’hégémonie, pardon je ne suis pas libre.
Vous avez moins de cinquante ans, rose ?
pag l’amour dit: 27 février 2013 à 19 h 24 min
tous ceux qui ont joué à m’ppeler H.R.
Comment faut-il vous appelez alors ? Vous changez tout le temps de nom.
appeleR
dans mon souvenir kipling est obsédé par la disparition de son fils, il recherche partout sa dépouille .. et le fils porteur de ce poème IF dans son paletot militaire se sent obligé quelque part de devenir un héros .. c’est très lourd à porter ..
lire à ce propos le mythe de la naissance du héros d’Otto Rank.
Mais que peut la douleur d’un père qui a engagé son fils à se battre devant la dévastation ?
Que pouvons-nous aujourd’hui faire face à la démission d’un Pape qui représentait une valeur morale en occident.
Que pouvons-nous face à la déferlante des « affaires » qui éclaboussent notre socle civilisationnel , quand littérature et journalisme à sensation deviennent si amalgamés qu’il n’y a plus d’oxygène ..
Les gens courent après le fric, l’illusion d’être, et chacun porte le masque de ce qu’il voudrait que les autres trouvent en lui, au lieu de solidifier leurs propres bases.
N’être ni fils, ni héritier .. la grande fracture est affective, Dieu de nous aime pas .. le Pape démissionne / Le Saint Père .. prend sa retraite comme tout le monde .. il pose un acte très lourd symboliquement.
Quand je lis : « Le Capitaine quitte le navire, mais il ne coule pas » Le Pape se pose en anti-héros .
D, il ne faut pas croire qu’on maîtrise une langue parce qu’on s’amuse ici à traduire un poème de Kipling. Je baragouine pas mal de langues. Mais je ne maîtrise qu’une seule langue, et encore ! Le français. L’allemand, j’ai commencé à l’apprendre en 6è et je me débrouille pas trop mal. Mais c’est tout. J’aimerais néanmoins maîtriser une bonne dizaine de langues, mais je manque de temps… Toute une vie de toute façon ne suffit pas à maîtriser sa langue maternelle, alors vous pensez, une langue étrangère voire plusieurs… Dans ma vie je n’ai connu qu’une seule personne qui était réellement bilingue français allemand, réellement bilingue ça veut dire passer d’une langue à l’autre sans hésiter sans aucune faute de quelque sorte que ce soit. Mais il parlait l’allemand de naissance et tous les jours avec sa mère jusqu’à un âge très avancé et est venu en France à l’âge de 7 ans en 1933. Mais c’est extrêmement rare. Et cette personne a appris l’anglais à l’école comme tout le monde, il a des amis Anglais, il parle tout à fait correctement l’anglais mais il n’est et ne sera jamais bilingue en anglais-français. Les Juifs cosmopolites qui autrefois parlaient dix ou quinze langues européennes n’étaient pas bilingues non plus. Mais ils les lisaient et se débrouillaient plus ou moins bien avec, par exemple les parents de Amos Oz, ou le physicien Georges Charpak dans il était gosse en Pologne. Mais les contraintes du milieu le rendait nécessaire. Apprendre une langue prend beaucoup de temps. Les gens sont plus ou moins doués pour ça. Je crois, je l’ai toujours cru que c’est la relation à la mère qui le détermine. Apprendre une langue nouvelle c’est d’une manière ou d’une autre renouer, retrouver inconsciemment la merveille relation infantile qu’on a eu avec sa mère, enfant. Quand ça n’a pas marché de ce côté-là, l’apprentissage est probablement beaucoup plus difficile. Mais je peux me tromper, c’est en tout cas mon sentiment.
HR, je ne vous ai jamais appelée H.R., moi ; ou alors les points ne sont pour vous qu’une nuance…
HR, je n’ai jamais « joué » à vous appeler HR. Je vous ai toujours appelé(e) HR parce que c’est le seul moyen de savoir de qui l’on parle. Vous ne pouvez pas nier que c’était votre premier pseudo. C’est un signe de reconnaissance qui convient à tout le monde.
Ne plus attendre que les gens soient morts pour les faire tourner en leur marchant dessus, voilà le topo, pour le reste je vous laisse entre.. euh… qu’importe, et affichant tout ce dont vous tenez tant à vous montrer bien informés. Bonne nuit.
Vous avez moins de cinquante ans, rose ?
elle a dit proche de la soixantaine, faut suivre mon Dédé
CP, oui Hessel …
Sacré bonhomme! La première fois que je l’avais rencontré, nous avions parlé poésie ..
Au fait, puisqu’on parle de poèmes et de Hessel : j’ai vu un doc où plusieurs (très vieux) anciens déportés parlaient de ce qui les avait aidé à survivre : ils évoquaient (parmi d’autres choses bien évidemment) la poésie.
Le poème que se récitait Hessel pour tenir c’était The Raven, d’Edgar Allen Poe.
Les tribulations de Jacky dit: 27 février 2013 à 17 h 10 min
« Pour les deux burnes nous avions déjà TKT et Chaloux, une troisième ferait désordre. »
Et de quatre ! Le blog à Passou est sévèrement burné.
Qui sait qui est cet emplâtre mal torché?
Les gens réellement bilingues ne sont pas si rares, Mauvaise Langue. J’ai même un ami parfaitement trilingue, mais je reconnais que ça, c’est plus rare. Il est trilingue parce que les hasards de la vie l’ont fait naître aux USA, dont il est parti à l’âge de neuf ans pour suivre ses parents en Espagne, où il a fait toute sa scolarité secondaire. Et comme il parlait toujours français à la maison, puisqu’il est français, il est complètement trilingue.
Il y a beaucoup de gens bilingues à Paris.
à propos de roman familial et de l’invention par certains d’une origine « noble » :
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/hom_0439-4216_1995_num_35_135_369952
qui n’a pas reconnu Daaaaphnée à 19 h 46 ?
Vazy, Daaphnée, t’es célèbre…
réflésion faite, c’était peut-être chaloux en personne
Moi aussi, j’ai connu et même fréquenté un temps S. Hessel quand il y a eu l’occupation de l’église Saint-Bernard à la Goutte-d’Or par les sans-papier. J’en étais, comme membre de la Ligue des Droits de l’Homme. Je le voyais presque chaque jour et sa femme dans les assemblées, les manifs, etc. Mais à ce moment là, j’ignorais ce qu’il pensait d’Israël. Avec son pamphlet, il a perdu toute estime à mes yeux. Et pire quand il est allé serrer la main du chef du Hamas. C’est une monstruosité impardonnable pour un juif ou qui se présente comme tel alors qu’en réalité il ne connaît pas grand-chose de l’Etat d’Israël et n’est pas de confession juive puisque ses parents étaient converti. Et il n’a jamais mis les pieds dans une synagogue, il n’a aucune culture juive et n’a jamais désiré en acquérir une. Moi, je n’appelle pas ça un Juif ! sauf à avoir une vision étriquée et ethniciste des antisémites comme Baroz qui juge tout à l’aune d’une vision ethnique du monde ; la culture et le sentiment personnel ne joue aucun rôle à ses yeux. C’est ce que j’appelle une vision typique européenne des choses, décadente, sans référent, qui flotte dans le vide. Une vision extrêmement dangereuse des choses qui pourrit la vie, même des Juifs.
chaloux en personne
Nous ferait-il l’honneur de nous observer en douce ?
Baroz qui juge tout à l’aune d’une vision ethnique du monde
permettez-moi de trouver cette assertion un peu excessive.
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