de Pierre Assouline

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La République des livres
Quand Kipling dénonçait l’intrusion médiatique

Quand Kipling dénonçait l’intrusion médiatique

Voilà qui ne fera pas plaisir à George Orwell, qui ne voulait voir  en lui que le chantre de l’impérialisme britannique : Rudyard Kipling, qui demeure le poète préféré des Anglais, fait à nouveau parler de lui. Et pas pour son inoxydable hymne « If » auquel peu d’écoliers ont échappé. Une cinquantaine de poèmes de sa main, inédits d’après les spécialistes, ont été récemment découverts et seront publiés le mois prochain dans l’édition complète de sa poésie en trois volumes par Cambridge University Press. Un universitaire les a retrouvés au cours de la rénovation d’une maison de Manhattan, dans les papiers de famille d’un ancien dirigeant de la compagnie maritime Cunard Line.

Plusieurs d’entre eux auraient été écrits et lus devant les passagers durant une traversée en paquebot. Certains concernent, « naturellement » devrait-on dire tant l’événement bouleversa sa vie, la disparition de son fils John au front en 1915 lors de la bataille de Loos – « disparition » et non « décès » car il ne se résolut jamais à sa mort, n’ayant jamais réussi à retrouver son cadavre (j’y avais consacré tout un chapitre de Rosebud tant cette histoire m’avait frappé). D’autres poèmes dénoncent par exemple l’intrusion des médias dans la vie privée des hommes publics. La sienne, en l’espèce. Déjà ! « The Press », daté septembre 1899, est justement celui que The Guardian a choisi de publier. A vous de juger. Avis aux commentateurs de la « République des livres » : toutes les traductions sont les bienvenues.

 « Why don’t you write a play-/ Why don’t you cut your hair ?/ Do you trim your toe-nails round/ Or do you trim them square ?/
Tell it to the papers,/ Tell it every day/ But, en passant, may I ask/
Why don’t you write a play ?

 What’s your last religion ?/ Have you got a creed ?/ Do you dress in Jaeger-wool/ Sackcloth, silk or tweed ?/
Name the books that helped you/
On the path you’ve trod./ Do you use a little g/
When you write of God ?

 Do you hope to enter/ Fame’s immortal dome ?/
Do you put the washing out/ Or have it done at home?/
Have you any morals ?/ Does your genius burn ?/ Was you wife a what’s its name?/ How much did she earn? 

 Had your friend a secret/ Sorrow, shame or vice-/
Have you promised not to tell/ What’s your lowest price ?/ All the housemaid fancied/ All the butler guessed/ Tell it to the public press/
And we will do the rest.

 Why don’t you write a play? »

(photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Poésie.

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commentaires

1 418 Réponses pour Quand Kipling dénonçait l’intrusion médiatique

Chaloux dit: à

19H46 gagné…
« En douce »… je lis, voila tout.

B. C. dit: à

Et pire quand il est allé serrer la main du chef du Hamas.

Contradiction, ML. Vous avez écrit précédemment : pour faire la paix, il faut être deux. C’est exactement ce que disait I. Rabin à ses détracteurs : avec qui voulez-vous faire la paix sinon avec votre ennemi ?

La mauvaise langue dit: à

La folie, c’est déjà de croire qu’on puisse solidifier quoi que ce soit. Et je dirais même, en suivant le sage Montaigne, de croire à quelque solidité que ce soit en ce bas monde.

La véritable sagesse consisterait à vivre heureux en dépit du caractère éphémère des choses de ce monde, y compris la seule qui importe à nos yeux, à savoir qu’il nous faudra un jour quitter ce monde pourtant bien imparfait mais si beau, si incroyablement beau, si extraordinaire, si divin.

La mauvaise langue dit: à

Oui, oui, BC, je la connais cette rengaine, je ne la connais que trop bien. Le mot paix dans votre bouche et dans la mienne n’ont pas le même sens.

W dit: à

ça n’a rien à voir cependant peut interférer sur l’orientation des choix politiques,Baudelaire
Delacroix,lac de sang hanté des mauvais anges,
Ombragé par un bois de sapins toujours verts,
Où,sous un ciel chagrin,des fanfares étranges
Passent,comme un soupir étouffé de Weber.
(à propos de traduction)

rose dit: à

pas seulement à Paris ; il y a bcp de gens bi- et trilingues et pas seulement anglais. Dès que la langue maternelle a été pratiquée dès tout petit, puis la langue du pays où l’on vit et d’autres langues de communication alors s’installe bien le bi-tri linguisme. Manque ensuite -c’est très difficile- tous les idiotismes propres à chaque langue vernaculaire et puis manquent aussi les subtilités sonores propres à chacun des langages : par exemple, j’ai lu dans l’article sur le fils de Kipling lost and last ben jamais on ne pourra obtenir cela de la manière aussi succincte que cela paraît là en anglais.
Et autre exemple en chinois : il y a quatre tons (si on n’en entend que trois, c’est que l’on est partiellement sourd-dingue => consulter en urgence) le mot chinois tang (même mot que la dynastie) signifie selon le ton emprunté : tang : la casserole, ou táng : la salle, ou tāng la soupe et le quatrième tang je ne sais ni où se place l’accent ni la traduction, pardon, voilà.

Nos enfants, déjà parlent couramment deux langues, ce que nous ne faisions pas au même âge. Les enfants de nos enfants parleront sûrement trois langues : nous vivrons dans un monde polyglotte.

JC dit: à

Tous ceux qui ont des enfants savent que les poèmes du type « IF » de Kypling sont bons à jeter !
La meilleure prise de position sur l’éducation ? « Il ne faut pas agir et parler comme les enfants de nos parents. » Héraclite d’Ephèse

Commentaires de Marcel Conche :
(Héraclite — Fragments — traduction et commentaires, PUF © 1986.)

« C’est-à-dire, en termes simples, comme nous l’avons appris par l’éducation. Nos parents nous laissent un lourd héritage culturel d’idées reçues qu’ils nous transmettent, dont ils voudraient qu’elles restent les nôtres. Notamment par l’éducation religieuse et morale, ils visent à faire en sorte que les enfants leur ressemblent dans leurs idéaux. Et les enfants, pour la plupart se conforment au patron, au modèle, que les parents ont arrêté pour eux… Une éducation qui fournisse l’individu en réponses avant même que la raison ne se soit éveillée, que la capacité de libre recherche ne se soit développée. Le jeune qui a vocation de philosopher ne doit « ni parler », c’est-à-dire ne pas ressasser, une fois encore, les croyances léguées par tradition, « ni agir » c’est-à-dire ne pas avoir, simplement parce que c’est ou ce fut le leur, le comportement de son père ou de ceux qui lui ressemblent.

Les hommes, pour autant qu’ils reproduisent les croyances et le monde particulier et clos dont ils ont hérité, sont toute leur vie sous la coupe de leurs parents. Comme l’enfant, devenant homme, rejette ses jouets, de la même manière, il doit rejeter les opinions qui lui ont été léguées soumettant tout au libre examen. Toutefois, la plupart des hommes en restent « aux vérités » de groupe et ne s’en libèrent jamais. Ils vieillissent enfants et leurs croyances et opinions sont leurs jouets auxquels ils se plaisent toujours. Ils prennent leurs opinions au sérieux comme les enfants leurs jouets… et deviennent furieux et agressifs (comme les enfants que l’on prive de leurs jouets) lorsque l’esprit critique fait apparaître dans leur prétendues « vérités » et idées générales des hochets ridicules pour leur âge qu’on veut leur ôter. »

rose dit: à

Manquent ensuite les idiotismes

La mauvaise langue dit: à

I. Rabin a échoué face aux Arabes et à l’Histoire.

W dit: à

ML si vous n’étiez équipé comme tous d’une capacité à l’oubli vous ne pourriez ainsi que de nombreux auteurs de ce blog discourir ici des heures sans faillir vous seriez mort de honte,de culpabilité,d’impuissance,d’angoisse,de regrets,de tout ce qui devrait nous concerner de près et qui nous regarde de loin et ne nous atteint que dans nos mots,le combat,l’engagement se situent ailleurs .

Jacques Barozzi dit: à

Mais pourquoi avez-vous choisi allemand en première langue, ML ? Votre mère parlait l’allemand ?

JC dit: à

Fou-rire : une pétition circule pour que le brave Stéphane Hessel soit inhumé au Panthéon ! Misère…
(je veux bien, mais à côté du tombeau réservé par Bougboug à des fins personnelles, tant qu’on y est !)

rose dit: à

Classique : au même titre que le traité sur la Tolérance de Voltaire, intolérant au possible ou bien les conseils avisés de Rousseau Jean Jacques sur l’éducation des enfants alors même qu’il a collé les siens à l’assistance publique.

Marcel Conche qui n’a pas eu d’enfants et Héraclite (des enfants ou pas ?) (donc qui a pu philosopher tranquillement – c’est le cas de Rousseau qui a pu aussi écrire tranquillement loin de sa marmaille braillant).

Pour parler d’éducation bien plus difficile que d’enseignement, loin du dressage éduquer, il faut ce qu’il faut.

Les conseils de famille où les décisions sont prises en commun vous n’avez jamais vécu cela ? Les débats contradictoires ?

Je vais manger je reviens vous allez voir qui je vais vous sortir de sous l’oreiller en ce qui concerne l’éducation, vous allez frémir.

Taïaut.

La mauvaise langue dit: à

Ecrit par Luc Rosenzweig
Mercredi, 27 février 2013

La machine à désinformer et à stigmatiser Israël s’est une fois de plus mise en marche. La mort d’un détenu palestinien dans la prison de Meggido a provoqué des manifestations violentes en Cisjordanie, dans desquelles seul le sang froid des forces armées israéliennes a évité qu’elles ne provoquent de nouvelles victimes.

L’Autorité palestinienne, par la voix de ses plus hauts responsables, Mahmoud Abbas et Salem Fayyad, accusent le Shin Beth d’être directement responsables de la mort de ce détenu nommé Arafat Jadarat. Ce dernier, âgé de 39 ans, aurait, selon eux, succombé à la suite des tortures qui lui auraient été infligées par les services de sécurité de l’Etat juif.

En réalité, Jadarat est décédé à cause d’une crise cardiaque, comme l’a établi une autopsie effectuée par des médecins légistes israéliens sous le contrôle, il faut le souligner, d’un magistrat palestinien venu tout exprès de Ramallah. Ce dernier n’a nullement contesté les conclusions des experts, mais les dirigeants palestiniens persistent : « les Israéliens assassinent nos enfants ! » s’est écrié Mahmoud Abbas à l’occasion des obsèques de Jadarat.

On se croirait revenu aux heures les plus noires de la seconde Intifada, à l’automne 2000, lorsque Yasser Arafat chauffait à blanc l’opinion palestinienne pour alimenter le cycle de la violence.
La raison de ce comportement irresponsable est tristement limpide : les discussions en cours pour la formation du nouveau gouvernement israélien montrent que Benyamin Netanyahou veut reprendre les négociations directes avec l’Autorité palestinienne. C’est le sens, par exemple de l’inclusion de Tsipi Livni dans la nouvelle coalition. Comme Mahmoud Abbas, talonné par le Hamas ne veut pas apparaître comme le responsable du blocage de ces négociations, il essaie de mobiliser, une fois de plus, l’opinion internationale contre Israël , avec l’arme du mensonge et de la calomnie.
——————

Voilà, c’ets ça que BC appelle « la paix » alors que c’est la guerre.

pag l'amour dit: à

il aurait été aisé de montrer l’actualité de ce poème et donner toute sa résonance au mot « religion » en passant par l’ehtnologie- et le régime totémique-avec les rituels relatifs aux chutes rognures (cheveux, poils, ongles dents ,)et extrêmités ,-ce qui correspond engros à l ascension dynamique du poème, tout ce travelling culturel étant cerné avec ironie dans le protagoniste du poème .

renato dit: à

Voilà HR qui vient tenir sa leçon à 2cents.

La mauvaise langue dit: à

Pas du tout Baroz. Je l’ai expliqué déjà ici. C’est le chef d’établissement du collège qui l’a décidé : il fallait combler la classe de 6è en effectif. C’était en 1966, époque qui faisait suite à la Réconciliation franco-allemande où les autorités s’efforçaient de faire apprendre l’allemand aux petits Français… Mais je ne m’en plains pas, au contraire. Mais il m’était interdit par mon père de parler allemand à la maison ou d’évoquer l’Allemagne et les Allemands de quelque manière que ce fût. Mon père avait lui aussi pourtant appris l’allemand au petit lycée Condorcet dans son enfance. Mais je le comprends et ne lui en ai jamais voulu de ce tabou qui pesait sur nous (mon frère cadet a aussi appris l’allemand mais ne le parle plus depuis longtemps) de quelque manière que ce soit. Cela ne m’a jamais empêcher d’apprendre mes leçons. J’étais toujours premier en allemand et le prof qui s’appelait M. Hirsch me donnait en exemple. J’ai toujours adorer parler une autre langue. Dans mon enfance, avec mon frère cadet, on s’était même inventé une langue à nous que nous étions les seuls à parler et à comprendre…

W dit: à

ML votre contenance sans conteste plus vaste que la mienne sans envisager votre sensibilité au problème israelo-palestinien qui semble faire de vous un prisonnier à vie ,quel est votre but à en débattre à tous propos?

Simon dit: à

morts et enterrés

que les grands modestes me pardonnent…

La mauvaise langue dit: à

pag l’amour dit: 27 février 2013 à 20 h 19 min

Je ne pense pas qu’il faille se montrer si savant que ça pour ce poème de Kipling, qui n’est qu’une bagatelle, une plaisanterie sans réelle sérieux. C’est aussi pourquoi on peut juger que la tradale de Bloom est très sérieuse, trop compassée, trop prétentieuse en un mot…

W dit: à

rénato lu un article intéressant de la revue Esprit à propos de traduction,qui recoupe et étend la réflexion présente à un autre domaine.

La mauvaise langue dit: à

Et vous W quel est votre but en postant votre commentaire débile…?

Tout est relatif, ma brave W. Et vous le savez, comme dirait C.P.

Il ne vous aura pas échappé que ces propos faisaient suite à la mort de S. Hessel, je pense…

Philippe Régniez dit: à

Maintenant, il n’y a plus de Fuzzy-Wuzzy, leurs descendants mangent des hamburgers et boivent du coca cola en regardant des séries américaines, et tout le monde est content.

La mauvaise langue dit: à

W dit: 27 février 2013 à 20 h 25 min
ML votre contenance sans conteste plus vaste que la mienne

En plus, je ne suis pas assuré que vous sachiez le sens du mot « contenance »…(?)

La mauvaise langue dit: à

Non, pas tout le monde. Richard Millet n’est pas content et il le fait savoir.

W dit: à

pag l’amour20h19je ne comprends pas bien votre français pourtant vous faites des efforts,dans quel sens…je ne saurais trop dire mais après le pot de chambre de Bloom hier matin et la saisie en gros que vous donnez du poème il me semble que vous devriez persévérer et lui demander audience,vous avez des points communs à l’écrit.

W dit: à

ML aucun sous entendu j’admire votre logiciel.

Chacun ses méthodes dit: à

La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 20 h 10 min
I. Rabin a échoué face aux Arabes et à l’Histoire

Vos amis eux n’ont pas échoué

La mauvaise langue dit: à

En plus, Baroz, vous devriez savoir tout de même (je l’évoque ici assez souvent pourtant) que ma mère était une très brave femme née en Charente Maritime et issue d’une brave famille de paysans. Quand elle était enfant pendant la grande guerre, en nourrice chez ses grands-parents dans un petit hameau nommé Razour à côté de Pont-Labbé d’Arnoult, elle descendait avec ses tantes et ses oncles pour faire boire les vaches de la ferme au petit canal qui a été creusé là à l’époque de Napoléon comme le raconte pour un autre village du même genre Balzac dans Le médecin de campagne. Jamsi elle n’aurait pu supposer qu’une trentaine d’années plus tard, elle se serait mariée avec un Juif dont les parents étaient Russes, l’un né en Pologne, l’autre à Odessa, avec des parents morts à Auschwitz qui n’ont jamais signifié pour ma mère autre chose qu’un fait d’histoire. Mais il ne pouvait en être autrement. Mais pour sa famille d’origine, l’évolution mentale de ma mère est tout à fait considérable. Mais bien d’ailleurs ce qui avait poussé une amie à faire une thèse de sociologie sur ma mère.

renato dit: à

Tiens, parmi le huit papes qui ont renoncé il y a deux Benoît (IX et XVI) et deux Grégoire (VI et XII). Les autres : Clément Ier, Pontien, Silvère, et le plus connu, grâce aussi au reportage de Dante, Célestin V.

Siamois dit: à

(mon frère cadet a aussi appris l’allemand mais ne le parle plus depuis longtemps)
LML

Nous pouvons supposer que c’est ce frère cadet qui ne vous parle plus.
Tout ne peut pas être mauvais dans cette famille

La mauvaise langue dit: à

Mais W je n’ai aucun logiciel ! Mon bon sens me suffit. Et la lecture de la presse. Vous pouvez en faire autant. il suffit de se sentir concerné.

La mauvaise langue dit: à

Non, c’est l’inverse. C’est moi qui ne parle plus à mes frères… Nuance ! De toute façon, ça ne vous regarde pas et vous ne savez rien de ces histoires qui de toute façon est illisible pour des gens comme vous.

chantal dit: à

Ce pape est un pape sans qualité 😉 ..

je vous laisse dans le navire RDL ..

W dit: à

ML:Vous avez déjà raconté vos racines polonaises et le travail de recherche effectué ,à chacun ses thèmes mais je ne tiens pas à être votre brave ,vous devriez faire arranger ce caractère
quelque peu et quelquefois méprisant ou peut être ne voyez-vous que des êtres perchés sur le même escabeau ,que c’est une condition subsidiaire .

Siamois dit: à

ML,
si cela ne nous regarde pas,
n’en parlez pas et tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Vos frères s’indignent ?

La mauvaise langue dit: à

Non, ce n’est pas du tout mon caractère qui est comme ça. C’est votre commentaire qui provoque mon mépris. Nuance !

Quand vous aurez compris ça, vous aurez évolué…

La mauvaise langue dit: à

Mais je n’en parlais pas. C’est vous qui avez évoqué le problème. Vous voyez bien qu’avec des gens comme vous, on court de suite à l’agression ! Les gens comme vous, je les méprise totalement.

polder dit: à

Le conclave va décider qui fera le meilleur pape ou la meilleure pipe ?
bon ok je sors!! (comme l’autre disait souvent) –

Famille je vous pardonne dit: à

Une brave femme née de brave paysans.

Pauvre ML, il ne méritait pas ça

D. dit: à

Ce soir je mange du maquereau. Avec une soupe de légumes bio maison juste avant.

Simon dit: à

Et c’est fait. Vous avez un ennemi mortel.

Quelques référence littéraires concernant les amis et ennemis que l’on vous colle par décret?

Ai lu une phrase qui m’a fait un effet (« singulièrement » n’est plus possible à taper) bizarre dans « Le Coup de Grâce »…

D. dit: à

Vous voyez que je m’alimente sainement. Je ne me nourris pas que de saucisses.

La mauvaise langue dit: à

Et mon père était un brave ouvrier juif. Et quelqu’un d’admirable comme ma mère qui se sont sacrifiés pour leurs enfants. Je leur en suit infiniment redevable devant ‘histoire et devant Dieu.

W dit: à

ML je suis l’arabe de service,ne vous gênez surtout pas.Mauvaise langue et mauvaise foi .

D. dit: à

J’aime aussi les truites de rivière pêchées à la moche, selon la technique de renato.

D. dit: à

Vous êtes arabe, W !?

D. dit: à

Bah après tout j’aime bien le couscous.

Génuflexion dit: à

Ah, si c’est devant Dieu, comme dirait JC, je m’incline.

Simon dit: à

pour ne parler que de cela …

W dit: à

je ne mange que des tas de Jean’s,D je ne pourrai vous satisfaire cependant si vous insistez nous pourrions nous échanger nos recueils de poésies.

Daaphnée dit: à

Ah, vous avez vu, Chaloux ? On nous voit partout ! La raçon de la gloire, probablement ..

rose dit: à

Toute leur vie était réglé non par des lois, des statuts ou des règles, mais selon leur volonté et leur libre arbitre. Ils sortaient du lit quand bon leur semblait, buvaient, mangeaient, travaillaient, dormaient quand le désir leur en venait. Nul ne les éveillait, nul ne les obligeait à boire ni à manger, ni à faire quoi que ce soit. Ainsi en avait décidé Gargantua. Et leur règlement se limitait à cette clause :

FAIS CE QUE TU VOUDRAS

parce que les gens libres, bien nés, bien éduqués, conversant en bonne société, ont naturellement un instinct, un aiguillon, qu’ils appellent honneur et qui les poussent toujours à agir vertueusement et les éloigne du vice. Quand ils sont affaiblis et asservis par une vile sujétion ou une contrainte, ils utilisent ce noble penchant, par lequel ils aspiraient librement à la vertu, pour se défaire du joug de la servitude et pour lui échapper, car nous entreprenons toujours ce qui est défendu et convoitons ce qu’on nous refuse.
Grâce à cette liberté, ils rivalisent d’efforts pour faire tout ce qu’ils voyaient plaire à un seul. Si l’un ou l’une d’entre eux disait : “buvons”, tous buvaient ; si on disait : “jouons”, tous jouaient ; si on disait : “allons nous ébattre aux champs”, tous y allaient. Si c’était pour chasser au vol ou à courre, les dames montées sur de belles haquenées, avec leur fier palefroi, portaient chacune sur leur poing joliment ganté un épervier, un lanier, un émerillon, les hommes portaient les autres oiseaux.
Ils étaient si bien éduqués. Qu’il n’y avait aucun ni aucune d’entre eux qui ne sache lire, écrire, chanter, jouer d’instruments de musique, parler cinq ou six langues et s’en servir pour composer en vers aussi bien qu’en prose. Jamais on ne vit des chevaliers si preux, si nobles, si habiles à pied comme à cheval, aussi vigoureux, aussi vifs et maniant aussi bien toutes les armes, que ceux qui se trouvaient là. Jamais on ne vit des dames aussi élégantes, aussi mignonnes, moins désagréables, plus habiles de leurs doigts à tirer l’aiguille et à s’adonner à toute activité convenant à une femme noble et libre, que celles qui étaient là.
Pour cette raison, quand le temps était venu pour un des membres de l’abbaye d’en sortir, soit à la demande de ses parents, soit pour d’autres motifs, il emmenait avec lui une des dames, celle qui l’avait choisi pour chevalier servant, et on les mariait ensemble. Et s’ils avaient bien vécu à Thélème dans le dévouement et l’amitié, ils cultivaient encore mieux ces vertus dans le mariage ; leur amour mutuel était aussi fort à la fin de leurs jours qu’aux premiers temps de leurs noces.

Gargan-tua chapitre 57 Rabelais

ça te va ?

La mauvaise langue dit: à

Et alors W ? En quoi le fait que vous soyez arabe devrait changer quoi que ce soit à ce que je vous dis ?

Vous vous êtes engagé comme Arabe contre les poseurs de bombes en Israël ? Non. Alors fermez-la.

W dit: à

LML vous savez quoi n’est-ce pas?

Qui se ressemble.. dit: à

Daaphnée dit: 27 février 2013 à 21 h 07 min
La raçon de la gloire, probablement ..

Aucune gloire, la reconnaissance évidente d’un style ampoulé et d’une fatuité à toutes épreuves

rose dit: à

le premier que je cherchais ce n’était pas celui-ci je ne sais pas où est ce …. de ….. de bouquin. Ailleurs qu’à l’endroit où je l’ai rangé.
en passant sur le pape (je cherche mon premier sur l’éducation)

[…] Louis XII irrité, fit excommunier à son tour le pape, et fit battre des pièces de monnoie qui portoient au revers : Perdant Babyionis nomen, Jules II opposa au concile de Pise celui de Latran. Mais une fièvre lente remporta le 31 février 1513, à soixante-dix ans. » Cest de ce pontife que Budée, contemporain et ami de Rabelais, a dit, liv. IV,:
* Enim verô visendum spectaculum, patrem non modo sanctissimum, « sed etiam senio et canitie spectabilem, quasi ad tumultum gallicuni « è Bêlions fano suos evocatos cieutem, non trabea, non augustis
« insignibus venerandum , non pontificiis gestaminibus sacrosanctum, sed paludamento et cultu barbarico coDspicuum : sed furiali
« ( ut ità dicam ) conHdentia succinctum , fulminibus illis brutis et inanibus luridum, cminente in truci vuhu cultucpie spirituum atrocitate. » Rabelais lui-même signale plus tard, ouvertement, lésines du pape Jules //. Voy . liv. IV, chap. XII. Il y eut à Tours, en 1 5 1 o, un concile sur les mauvais traitements que les François recevoient
de ce pape et sur les mesures qu’on devoit prendre à ce sujet.

>pour Jacques B une histoire de pape, tout en cherchant

pag l'amour dit: à

Je ne pense pas qu’il faille se montrer si savant que ça pour ce poème de Kipling, qui n’est qu’une bagatelle, une plaisanterie sans réelle sérieux.
même une plaisanterie -serait-ce sur l’orthographe qui n’est pas toujours une plaisanterie pour un potache au réel sérieux ,peut être un moyen pour un poète . le poème entre en résonance avec toute notre expérience , livresque ou non! les boutiques d’ongles avec les boutiques de mèches et les coiffeurs dans le quartier de Paris que certains ont rappelé , c’est aussi l’expérience , même si l’on y a une compagnie qu’un-e erdélien-ne qui invente une langue mixte de toutes les langues d’origine des produits de ce quartier .
la réponse à la question de ce qui fait qu’un poème marche pour tel-le et non pour tel-le est peut-être moins simple qu’il n’y parait quand on dit : »voyez le premier mot est , le dernier mot est , et il y a x+1 questions ce qui n’a paut-être pas été prémédité par l’auteur même , ce qui reste difficile à établir sans des témoignages fiables .
j’ai évoqué un homme qui me fit lire un livre : et j’ai la conviction qu’il ne l’a pas écrit seul, mais que ce livre était le produit d’un accompagnement thérapeutique très professionnel par sa femme et sa fille (de même que son insistance à ce que je m’y intéresse : cela aussi relèvait du conseil de ces femmes qui l’avaient amené à se mettre à peindre et non plus écrire !)
je n’avais aucune raison de le lui demander ni attendre qu’il ‘avoue à la manière dont il m’avait fait lire cette histoire « intime » quand même avec une bombe ….: il explosait d’ailleurs lorsque je disais que j ne comprenais livre en main: il explosait en hébreu , sa seconde langue , puis se traduisait vivement et violemment en anglais !sans que je hausse un sourcil interrogateur à la différence des serveurs dans le café qu’il choisissait c’est ça l’intime !)

Daaphnée dit: à

Juste comme cela, Ml, ce que vous dites à propos des langues …
Dans la famille des mes beaux-parents les langues maternelles étaient autant l’allemand que le yiddish, mon beau-père a appris le français très jeune à l’école en France et, sur le tard, des deux langues maternelles le yiddish à re-fait surface du fond de sa mémoire engloutie, l’allemand a été oblitéré …
Comme quoi, l’histoire personnelle et ce que véhiculent les langues comme vécus heureux/malheureux .. fait de la langue quelque chose qui exprime bien au-delà des choses dites et de ce dont nous pouvons avoir conscience ..

La mauvaise langue dit: à

A l’adresse de toutes les Jacub du monde :

« On se sent des envies d’aller se réfugier au fin fond du pays des Sarmates et de l’Océan glacial, chaque fois qu’ils ont le culot de parler morale, ces caricatures de Curius qui passent leur vie en partouzes. »
(Satire 2, Juvénal)

rose dit: à

pardon références Gargantua 67 Rabelais

Daaphnée dit: à

références Gargantua 67 Rabelais

Quelle référence! Surtout ce petit « 67 » !

La soirée s'annonce bien difficile dit: à

HR et rose paraissent en forme (physique hein, pour le reste ….)
Dur, dur

La mauvaise langue dit: à

Personnellement je comprends ça très bien, Daaphnée, pour votre beau-père.

C.P. dit: à

Mauvaise Langue, nous avons eu plusieurs fois cette conversation, avec d’autres voix aussi dans le dialogue, que vous connaissez comme moi.
Pour ce qui concerne Hessel, si je ne délire pas trop :

Daaphnée l’a certainement connu mieux que moi, mais je crois que nous sommes bien en accord, et je crois aussi qu’il parlait, quant à Israël et aux territoires, -sans beaucoup de pragmatisme politique-, du fond (double) d’une uchronie et d’une utopie.

L’uchronie est celle de : « et si » 1948 en avait décidé autrement ? C’est drôle, je pense à Amos Oz enfant voyant s’éloigner ses copains arabes. Coexistence ? Mais l’afflux de Juifs vers un Etat -quel Etat ?-, des démographies rivales, etc.
L’utopie : un seul état (fédéral ? ) demain ? Quasiment personne n’y croit.

Hessel était donc un rêveur sensible aux faibles, sans doute anti-sioniste au sens où vous le dites, certainement pas antisémite.

J’en finirai avec le rêve en sollicitant un peu de littérature et d’Histoire, qui ont quelques rapports peut-être avec un aujourd’hui : je pensais à vous hier soir à cause de Pourim et du « Livre d’Esther », qui s’achève, de façon assez sanglante (j’en avais oublié la dureté) par une revanche des Juifs, avec l’autorisation d’Assuerus, sur Aman et les chefs de villes Perses à eux hostiles. Mais c’est pour assurer leur sécurité, dit le livre, et sans se livrer au pillage. Il est vrai qu’il y a encore la tutelle perse, même si Esther est le salut, Mardochée épargné et même renforcé dans son rôle de conseiller.

Lointaines ou proches évocations, sans trop de projections tout de même ? Vous me les passerez.

pag l'amour dit: à

que je ne comprenais pas livre en main .
ce dont je me souveiens assez bien c’est qu’il avait vécu son enfance en Belgique, fils unique d’une mère dont le compagnon après la mort de son mari -et père de cet homme – était un érudit : il pestait encore qur l’orientation forcée par le collège de sa jeunesse, ce qui contribua grandement à sa décision d’aller en Israël, seul, puis à rejoindre les bédouins et la vie sous la tente, et les chameaux ! oui, c’est ça l’intime dont j’ai dû prendre soin :le poil des chameaux avait été mis en pelote par une femme de bédouin, et je dus tout remettre en écheveaux pour éliminer le sable innombrable : l’intime , le poèmatique

La mauvaise langue dit: à

Ultra Sauromatas fugere hinc libet et glacialem
Oceanum, quotiens aliquid de moribus audent
qui Curios simulant et Bacanalia vivunt.
(Satire 2, dans le texte)

pag l'amour dit: à

ce dont je me souviens :ah ces grains de sable du temps….. qu’il faut pour comprendre !

renato dit: à

Il manque juste une clepsydre… et le poncif brille de toutes ses lumières…

vani dit: à

En français on dit une clé de huit, renato.
Mais j’admire vos progrès.

rose dit: à

c’est pas encore le bon, je ne renonce pas, je vais le trouver

en prolégomène au sujet de l’éducation

LIVRE PREMIER.
Car, a la composition de ce livre sei-
gneurial , je ne perdy ne employai oncques plus ny aultre temps que celluy qui estoit estably a prendre ma réfection corporelle , Ravoir est, beuvant et mangeant. Aussi est ce la juste heure d’escripre ces haultes matières et sciences profondes.
Pas de doute que Rabelais, qui ayoit été cordelier, c’est-à-dire an de ces frères Lubins, que leur Alcoran appelle Diahlesris, dont on fait tant de bons contes, et qui en font eux-mêmes de si gras dans
son roman, livre II, chap. XV, et Liv. III, chap. XVIII, n’ait eu en vue de lancer ici un lardon à ses anciens confrères, qu’il appelle ailleurs patespelues par allusion à la fable du loup qui montroit patte de brebis à Tagneau pour le tromper, ou plutôt à Jacob qui se fit des pattes pelues pour tromper son père aveugle, quoiqu’il applique le sobriquet de frère Lubin à un jacobin, c’est-à-dire à un enfant de saint Dominique. Cest ainsi que, quelques lignes plus bas, il applique évidemment celui de tirelupin , qui vient également de lupinus à un moine de Tordre de Fontevrault. Ces deux sobriquets, qui ne se donnoient dans l’origine qu’aux enfants de saint François d’Assise, c’est-à-dire aux cordeliers et frères mineurs, ont donc ensuite été généralisés et donnés à tous les moines mendiants, aux augustins, aux carmes, aux dominicains ou jacobins, aux franciscains, aux capucins, aux religieux du tiers-ordre, parcequ’on les a comparés pour la rapacité à des loups et que les vieux loups sont gris.
[…]
Un crocquelardon est, au propre, un vrai mangeur de lard, un goulu, un affamé qui dévore tout; et, au figuré, un homme qui croit tout, qui dévore les plus grosses sottises, les lardons c’est-à-dire
les traits satiriques. Quoique…. je n’y pensasse non plus ou pas plus que vous.

en passant, je n’y suis pas encore c’est en désordre, peu vous chaut rêvé-je.

Pardine! dit: à

physique hein, pour le reste

ça yoyote à fond les manettes.

La mauvaise langue dit: à

Pas antisémite, certes, C.P., ce Hessel, mais favorisant abondamment leur obédience sous la forme moderne de l’antisémitisme qu’est aujourd’hui l’antisionisme.

« Rêveur sensible aux faibles »… Vous avez dit les mots qui fâchent… Je regardais il y a deux jours une conférence sur Akadem (site juif) avec le grand rabbin Bernheim qui citait à ce propos justement C.P. un ou deux paragraphes d’un bouquin de Pascal Brückner tout à fait pertinent à cet égard. Et Finkielkraut qui était en dialogue avec le grand Rabbin de France. J’approuve tout à fait ce qu’en disait Bernheim.

Je vous les passerai d’autant plus C.P. qu’elle font éternellement actualité pour les Juifs. Les Juifs n’ont pas de conception de l’Histoire, ils n’ont que des modèles de comportement. Ainsi le veut leur modestie, qui juge l’Histoire inventée par saint Augustin et Tucydide au-delà des moyens de l’Homme.

rose des prêts dit: à

Tant qu’elle n’aura pas recopié toute la toile sur la rdl elle sera en manque.
Le pire est à venir

pag l'amour dit: à

comme il disait … en hébreu : mamash!
je n’ai commencé d’apprendre un peu d’allemand que plus tard, et encore dans une hostilité totale comme pour l’hébreu d’ailleurs ..!
avant on ne me demandait pas mon avis car j’aurais bien volontiersappris l’allemand .
Il y a des partages dans les familles assez bizarre .. Mauvaise langue a raison sur ces histoires dz famille : ce n’est pas simple !
il y a les connards éternels qui s’imagienent qu’ilspeuvent venir jouer les psys avec leurs mots : l’intrusion de Monsieur j’ai la réponse à la question, question dont il n’a pas flairé le piège ! même une traduction peut fonctionner comme un piège !

rose dit: à

il y aurait MàC ici encore je suppose qu’il serait content d’avoir Rabelais pour l’éducation prônée par Grandgousier et Gargamelle sur leur fils Gargantua.
MàC youyou ????

La mauvaise langue dit: à

Il n’y aura jamais d’Etat fédéral au Proche-Orient. C’est impossible et ce n’est pas souhaitable dans l’état actuel des choses. Coexister avec les Arabes serait tout à fait possible si seulement les Arabes le voulaient. Certains le veulent mais ils n’ont pas le pouvoir. Les autres profitent de la manne occidentale. Ils maintiennent la guerre avec Israël parce que c’est leur moyen de gagner leur argent. Une caste au pouvoir qui méprise en réalité le peuple dit palestinien. Mais n’en a-t-il pas toujours été comme ça des Bédouins du désert, ils ont toujours vécu du pillage. Aujourd’hui, avec les S. Hessel qui dirigent le monde occidental, ils ont réussi même à piller nos porte-feuille pour s’engraisser sur la misère de leur peuple. Voilà à quoi c’est bon l’U.E. !

il l'est, il le revendique dit: à

La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 21 h 45 min
la forme moderne de l’antisémitisme qu’est aujourd’hui l’antisionisme.

Un con reste un con, sans possibilité de rémission

rose dit: à

« la tradition de ses exploits était particulièrement répandue en Touraine en Anjou en Poitou et dans le duché de Retz »

La mauvaise langue dit: à

pag d’amour, vous n’avez pas tort en effet.

rose dit: à

hic bibitur

La mauvaise langue dit: à

il l’est, il le revendique dit: 27 février 2013 à 21 h 51 min

Apparemment vous vous sentez concerné… Heureux de vous être rentré dedans alors !

La mauvaise langue dit: à

Quid bibitur, rosa ?

rose dit: à

Art poétique vers 365
Haec placuit semel, haec decies repetita placebit

pag l'amour dit: à

ayant laissé assez de coquilles pour aujourd’hui, courage à tous, je tente de travailler un peu . je ne fais pas le connard éternel pour tous ni de la psychologie de cocagne ou co khagne ni de coq hargne !

Chaloux dit: à

Vous avez vu, Daaphnée, il nous est venu un petit nouveau qui a deux mots à son vocabulaire: « con » et « burne ». Un pauvre type avec un ordi…
« La misère du monde n’est pas de dimension humaine ».
J’ignore de qui est cette phrase, je me souviens que Coluche l’avait citée…

Puisque vous le revendiquez dit: à

Heureux de vous être rentré dedans alors !
LML

Mais vous ne rentrez dans personne LML, dans vous à la rigueur (et parfois je l’espère), nous nous vous regardons hurler avec les loups, tristement soyez en sûr.

La mauvaise langue dit: à

« Vous vitupérez la débauche, vous, la latrine la plus notoire de la tantouzerie socratique ? Mais tandis que par-devant votre membrure hirsute et vos bras à poil dur annoncent une nature inflexible, par derrière le médecin s’esclaffe à extraire des chancres gros comme des figues de votre trou de balle épilé à la pierre ponce. » (Satire, Juvénal)

La mauvaise langue dit: à

Vous n’êtes qu’un ignare dangereux et mauvais.

pag l'amour dit: à

ayant connu des frères qui ne se parlaient plus , et pouvaient être invités en même temps par un parent commun, je dois dire qu’on ne m’a jamis dit pourquoi !( et je ne l’ai jamais demandé !)
l’un d’eux était marié , avait une fille , qui devint traductrice , et dont on m’apprit , par hasard le mariage.
L’autre vivait avec une femme qu’il épousa , je crois juste avant sa mort et n’eut pas d’enfant .
Les deux avaient vécu durement laWWII.
pour moi, jeune , c’était très dur, ces familles disloquées , avec parfois au bout de ces couloirs de silence , des tragédies … suicides, meurtres .
Je n’avais aucune raison de me sentir la cause de ces histoires qui me précédaient depuis longtemps, parfois depuis plus d’une guerre !

bonne soirée dit: à

ops:

Main dans la main dit: à

qui juge l’Histoire inventée par saint Augustin et Tucydide
LML

Je ne le connais pas bien ce tucydide, l’était aussi berbère ?
Ils se sont connus étudiants ?

rose dit: à

c’est passionnant Jules II les cornes d’un veau. épitoutça…

Tant pis : l’éducation donnée à Gargantua par ses parents est une éducation qui demande du temps libre, (de la part de ses parents) consacré à ses enfants qui ne sont pas systématiquement de sacrés cons (une l’attention sans faille et de l’amour) : avoir des enfants est une chance inouïe qui permet de ne pas devenir un vieux ….fermé à toute évolution.

Deux éducations sont données à Gargantua et ce qu’il ressort de cela ce n’est pas, ô vains raccourcis, un quelconque bourrage de crâne et encore moins l’absurde répétition de modèles à répéter, éduquer ce n’est pas faire du tricot, une maille à l’endroit une à l’envers et que je répétasse, non c’est mener, avec confiance, paisibilité et sentiment de protection, un jeune être en formation vers adopter son libre arbitre, le sien, & prendre ses propres décisions, ce qui n’est pas gnan gnan je pense ci alors toi pense ci aussi sinon tu vas voir.

Mais sans temps comment éduquer ?

Éduquer c’est plus difficile que d’enseigner.

Ceux qui le veulent, plongez dans Rabelais, je l’aime +++. Ceux qui ne veulent pas, faites donc ce que vous voulez et soyez heureux.

Je cherchais le passage très coquin où, après avoir fait nombre de …….. se moucher avec les doigts se bâfrer comme un cornegidouille etc. cela se termine en friponneries avec sa nourrice que je vous les aurais censurées sans nul doute.

Tant pis ce n’est pas grave.

à plus.

rose dit: à

La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 21 h 54 min

>M principalement de l’eau, puis du thé, parfois lait/menthe. Avec invités vin, peu mais bon. Jamais de piquette.

cordialement,

La mauvaise langue dit: à

Oui, je comprends par empathie tout ce que vous dites de ces terribles tragédies. Mais on est impuissant devant ça. La guerre a continué à détruire en effet une fois la paix revenue, même très longtemps après. Mon histoire familiale en est aussi un exemple. Il n’y a pas de solution. C’est un échec total de la vie.

Cumul des mandats dit: à

Chaloux dit: 27 février 2013 à 22 h 02 min

L’avantage avec toi mon Chachal c’est que tu cumules, burne et con, même TKT ne pas rivaliser

renato dit: à

Je ne vois pas où est le problème, LML. Moi, je suis antisioniste et mon père déjà l’était.

Je le suis en premier lieu, pour le rôle qu’un personnage important du ‘club sioniste’ italien, Cesare Sarfatti, et sa femme, Margherita née Margherita Grassini, jouèrent dans l’ascension de Mussolini au pouvoir — avec l’aggravante pour Margherita d’avoir été une théoricienne du fascisme et conseillère de B. M. (C’est elle qui dit aux Juifs italiens que le moment était venu de choisir entre Rome et Jérusalem : tableaux édifiant !).

En deuxième lieu, parce que le judaïsme et le sionisme sont incompatible car dans cette mouvance la religion est employé comme on emploie un masque.

Et enfin, et pour ce qui est de l’État d’Israël, indépendamment de l’action de Hessel, je suis indigné par le fait que les Pays Arabes ne l’aient pas encore reconnu car tout le monde a droit à une terre où trouver refuge : mais, et pour la même raison, je m’indigne aussi du sort qui est fait aux Palestiniens — comme du reste aux Kurdes et aux Tibétains, pour ne rappeler qu’eux.

C’est mon opinion, mais je crois qu’une minute du travail que des gens comme Daniel Barenboim accomplissent vaux beaucoup plus du temps incalculable que vous avez passé en reversant votre haine sur la RdL.

Et maintenait : en avant avec vos insultes habituels…

La mauvaise langue dit: à

« Éduquer c’est plus difficile que qu’enseigner. » (rose)

Certes, rose. Mais l’Education nationale implique qu’un prof se doit aussi d’éduquer. Double tache, salaire divisé par deux…

La mauvaise langue dit: à

Ben oui, renato, on ne fait pas des chats avec des chiens…

renato dit: à

Il s’est arrêté à la deuxième phrase. Morire qu’il lise un texte du debout à la fin, mais c’est vrai que deux phrases pour quelqu’un qui parle de livres qu’il n’a pas lu c’est déjà un exploit…

pag l'amour dit: à

mauvaise langue, je ne pense pas que qu’il faut s’enfermer dans le sentiment d’échec de la vie . d’abord, parce qu’il est possile de trouver certaine aide (certaines personnes, dont certains psys peuvent vous aider en ce sens pour ne pas renoncer ..à et dans des réalisations : et ne voyagez-vous pas comme une manière de réalisation de vos désirs de ce monde ? Diverses sont les manières dont nous nous racontons notre « histoire familial » -on dit même parfois roman!pourquoi s’enferre dans le mot « solution » que je vais finir par touver détestable !
et il y a bien des traductions !

La mauvaise langue dit: à

Mais oui, c’est un réel exploit de parler de livre qu’on n’a pas lu. C’est même un exploit académique et reconnu comme tel ! Voyez Genette, qui avoue quelque part n’avoir jamais lu l’Odyssée…!

La mauvaise langue dit: à

Mais moi, je n’ai besoin d’aucune aide, je vous assure. Ce sont mes frères qui en auraient besoin. Je les plains, c’est tout ce que je peux faire pour eux. Et prier.

La mauvaise langue dit: à

Faites plus synthétique, renato, et j’irai au-delà de la deuxième phrase… (mais je vous ai lu pour le reste, soyez rassuré…) Mais je ne les commente pas, ça n’en vaut pas la peine. A quoi bon s’échiner pour rien ?

De la suite dans les billets dit: à

La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 22 h 34 min
Mais oui, c’est un réel exploit de parler de livre qu’on n’a pas lu

Comme dit son copain Bayard

rose dit: à

l’intrusion de Monsieur j’ai la réponse à la question, question dont il n’a pas flairé le piège ! même une traduction peut fonctionner comme un piège !
non les pièges ne sont pas inéluctables ceux qui les fabriquent s’empêtrent dedans.

et on a le droit de penser différent

non je n’éduque pas jamais ; j’ai grand mal à cela. Enseigner je sais faire. Éduquer c’est gravissimement important.

Parfois je lis certains coms ici et je ricane tristement. Ce qui règne c’est la méchanceté et l’intolérance et la fausseté.

La mauvaise langue dit: à

Bayard l’a dit mais, comme le souligne à l’envi renato, il m’a piqué mon idée !

Esprit de famille dit: à

La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 22 h 36 min
Ce sont mes frères qui en auraient besoin. Je les plains, c’est tout ce que je peux faire pour eux. Et prier.

Et comme il l’affirme plus haut, ce n’est pas lui qui en parle

Paille, poutre et oeil du voisin dit: à

La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 22 h 38 min
Faites plus synthétique, renato

La mauvaise langue dit: à

Ça, on ne peut que vous approuver, rose quand vous dites que « Ce qui règne c’est la méchanceté et l’intolérance et la fausseté. »

« je ricane tristement. », dites-vous. Ce sentiment vous honore ; en même temps, je suis persuadé que tout le monde le partage. Le monde est ainsi fait. Il faut l’accepter comme il est, on n’a pas le choix.

La mauvaise langue dit: à

Non, je ne vous en parle pas. J’ai été sollicité, je réponds c’est tout.

renato dit: à

« A quoi bon s’échiner pour rien ? »

Et c’est bien que vous vous épargniez car à vrai dire même si vous aviez pris la peine de commenter, cela n’aurait rien changé dans ma vie.

La mauvaise langue dit: à

Vous n’avez pas besoin de le préciser, renato. Cela va sans dire…! On l’a compris depuis belle lurette…!

rose dit: à

Quand vous ne dites rien d’ouvert de franc et de réel sur la vôtre de famille comment oser juger de la famille d’autrui ?

Quand votre déséquilibre vous le multipliez par deux et à puissance X que cela en devient effrayant !

Quand vous étalez votre vie sexuelle de façon morbide sur ce blog public, à la manière directe de M Iacub avec une pornographie stupéfiante…

Jamais il ne vous vient au ciboulot que ce serait à vous d’aller vous faire aider individuellement ou bien en couple en signalant l’ampleur de ce que vous déversez sur autrui ?

Jamais ?
Et bien si jamais, je trouve cela grave.

Vous me faites honte. De votre statut que vous bafouez allègrement et de vous-mêmes que vous traînez dans la boue avec délectation en ne nous attribuant à nous aucun respect, rien de décent.

Comme ML, mais pour vous, je prie, sereinement.

Tu l'as bien cherché renato dit: à

La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 22 h 49 min

abdelkader dit: à

la mort de Hessel m’attriste…comme beaucoup, j’ai lu et aimé son pamphlet d’où ressortait son amour pour l’humanité et, en particulier, pour cette grande majorité de l’humanité qui n’a toujours pas de voix…

rose dit: à

Et j’ai honte d emoi parce que votre m »échanceté est terriblement contagieuse que cela me demande une lutte intérieure énorme pour ne pas y plonger tête la première et qu’en participant à ce blog et bien je me sens salie par la montagne d’horreurs qui s’y déversent quotidienneemnt.
J’ai bon espoir un jour de décrocher et que vous ne trouviez plus de public.

Quitte à ce que ce soit moi qui subisse la quarantaine puisqu’on le sait les mauvaises herbes sont toujours plus coriaces que les autres vite envahies et étouffées.

Sur ce bonsoir.

sans piège : bonsoir parce que chacun mérite un bon soir et pas une montagne de saloperies déversées en permanence sur sa tronche.

Avant de songer à éduquer autrui il faut d’abord s’éduquer soi-même sans doute est-ce pourquoi j’ai tant de mal avec ce concept.
Mais enseigner on enseigne d’abord qui on est avant que d’enseigner ce que l’on sait.

Être droit comme un roseau et flexible comme une liane.

Pourtant, de la sympathie j’ai pour vous, mais je vous trouve invivables vraiment !

Très soft abdel dit: à

abdelkader dit: 27 février 2013 à 22 h 56 min

Allez Mimi, c’est la défonce, vas-y

pag l'amour dit: à

mauvaise langue , mais qui dit que vous auriez besoin d’une aide spéciale que vou semblez entendre comme psy ? et comme un reproche , de plus …,comme si chacun ne faisait pas ses demandes pour soi !
vous voyez bien qu’il y en a qui ne peuvent pas apprendre le mot début , debout qu’ils sont sans répit de subodorer qu’ils seront déboutés des procès qu’ils ourdissent au fond de leur coeur ;
assez discuté, je travaille !

La mauvaise langue dit: à

abdelkader dit: 27 février 2013 à 22 h 56 min

Amen.

renato dit: à

Schoenberg disait qu’un bon enseignant apprend de ses élèves. Naturellement il faut avoir la culture musicale (et non seulement) de Schoenberg pour l’accepter.

La mauvaise langue dit: à

Mais Schœnberg avait raison, renato. J’apprends tous les jours de vous, soyez-en assuré.

renato dit: à

(Il y en a un que sous peu nous dira qu’il apprend de ses élèves ! hi, hi, hi.)

soirée arrosée dit: à

Ce 27 février 2013 à 22 h 50 min
Mais a qui vous adressez-vous exactement?

renato dit: à

Wow ! il a encore quelque chose a apprendre ! C’est incroyable !

La mauvaise langue dit: à

Je me suis toujours suffit à moi-même. Je n’ai jamais demandé d’aide à personne. Je ne crois pas en plus à l’aide d’autrui qui fait toujours le mal croyant toujours faire le bien. Je suis profondément pessimiste. Je ne crois pas en l’Homme, je ne croit pas en l’Histoire et à quelque enseignement qu’on pourrait en tirer. Je ne crois pas en l’éducation, toujours fragile et qui n’a jamais empêcher les monstruosités du monde, les Hitler, Staline, Mao, etc. Je ne crois qu’en Dieu.

whisky et petite pépé dit: à

Assez soupé de la « que sous peu », renato!

Eric Symak dit: à

> qui avoue quelque part n’avoir jamais lu l’Odyssée…

Bonjour. J’avais pour ma part commencé mais ça m’a semblé fastidieux à lire en tant qu’épopée sans posséder les clés de lecture que doit posséder le personnage d’Ion dans le dialogue de Platon, puisqu’il se dit capable de commenter l’oeuvre d’Homère. Socrate réussit dans ce dialogue à faire admettre rapidement par Ion qu’il est incapable de juger de la pertinence du discours d’autres poètes sur les mêmes sujets. Or je découvre à l’occasion d’une initiation au grec ancien que -ion est une forme de comparatif en grec. Serait-il dès lors légitime d’imaginer une pirouette littéraire de Platon qui nommerait d’une forme de comparatif son personnage incapable de comparer des poètes à Homère et qui déclare d’ailleurs que Homère est sans égal ? Ce n’est bien-sûr pas le seul bonheur de ce court dialogue qui me semble très mésestimé, mais les commentaires que j’ai pu lire s’attachent plus à en détailler la démonstration et les conclusions.

La mauvaise langue dit: à

Vous voyez, renato, je peux vous étonner tandis que vous vous ne m’étonnerez jamais. C’est la grande différence entre vous et moi.

rose dit: à

je suis d’accord avec vous renato et je dirai même cinquante/cinquante.
Vous soulevez là une piste qui m’intéresse : un jour à un colloque sur l’échec scolaire il y a quelques lustres, j’ai dit qu’enseigner c’était comme faire l’amour, une relation à deux partagée, sans dominant sans dominé : cela est ma conception de l’enseignement et aussi de l’amour. J’ai été contredite par un tenant du cours magistral devant un silence religieux (nécessaire parfois, mais pas prééminent).
Par contre, calme et respect mutuel obligatoire : renato je vous le dis sinon je ne pourrais pas enseigner s’il ne régnait pas calme et respect mutuel : humour, ironie, piques parfois mais jamais, au grand jamais de méchanceté ni de coups bas.
Renato, je vieillis grave : il y a peu je disais comment s’accentue les choses : avant je voyais 75% travail et 25 % bon esprit. Aujourd’hui je vois 50 % travail et l’équivalent en bon esprit. A la fin, je pense que je verrai 10% travail et 90 % bon esprit. Tellement le comment apprendre m’est plus important que le quoi apprendre. Vivre ensemble c’est déjà apprendre.

Je vous laisse le cœur empli de tristesse et le dos empli de crispation de notre empêchement à communiquer avec quelque respect réciproque.

je n’ai pourtant aucune culture musicale

cordialement à vous,

La mauvaise langue dit: à

Vous me donnez envie de le lire en tout cas.

rose dit: à

Croire en Dieu c’est beaucoup

bonsoir à tous

soirée arrosée et c’est nous/moi qui trinquons/e alors que je ne bois pas : je trouve cela profondément injuste. Je vous le dis.

La mauvaise langue dit: à

Rose, si on suit votre métaphore de l’amour, aujourd’hui dans les collèges et les lycées, ce serait plutôt la tendance Jacub… que rose. La tendance noire !

Aujourd’hui, rose, c’est 1% travail, 99 % de mauvais esprit…

renato dit: à

« Assez soupé… »

C’est votre croûte colonialiste qui vous empêche de corriger avec grâce ?

SAMU à Nunul dit: à

Nunul des Pandas, « La vérité » et autres fadaises dit: 27 février 2013 à 22 h 19 min

Paie-toi un bon docteur…

renato dit: à

« … je peux vous étonner tandis que vous vous ne m’étonnerez jamais. »

L’ironie et vous ça fait deux !

D. dit: à

Je suis étonné qu’il n’y ait pas encore davantage d’enseignants ici.

D. dit: à

En ce qui me concerne je n’ai jamais enseigné mais je me suis toujours senti très bien au milieu des enseignants. Et je pense que l’inverse est vrai : ils m’apprécient.

D. dit: à

Rose, par exemple, voue une admiration secrète pour moi. Mais elle ne le dira pas facilement.

pag l'amour dit: à

rose, en ce qui concerne le blog, il me semble que bein des commentaires sont COMMEune réponse monstrueuse à un déir de savoir de P.Assouline et à sa pudeur : on pourrait dire sur l »amour » qui est engagé dans les choses de l’écrire, et de lire et des « mécanismes » de leur transmission : ce billet en un exemple puisqu’il fait part d’une découverte imprévisible (?)sur l’oeuvre d’un auteur que l’on a découvert comme auteur pour la « jeunesse » … c’est bien intentionnellement que je parle d’engagement d’amour dans les histoires qu’un homme invente entre lui et des frères amis .
réponse monstrueuse de certains commentateurs également par pudeur , sur un blogg où toute varainte d’un savoir déjà archivé par l’université est sujet à révision par celle-ci, dérision ou auto-dérision par ceux qui n’en sont que les administrateurs, et non les « propriétaires » comme ils peuvent se l’imaginer .
Et donc sur ce blog, plusiers dont moi-même avaons souvent une tendance à être sérieux , d’une manière ou d’une autre , peut-être pas par peur , encore que ?
sérieux de la production d’une page en lien , sérieux d’un argument :
il est évident qu’il n’y a a priori aucune raison de croire quelqu’un qui vient raconter ici que son père est mort à la guerre, ou qu’il a été élevé dans un accomodement de religions par des domestiques d’une mère chatelaine dans un pays de l’est ….
sérieux et la question des séries !!!
pourquoi donc croire ou ne pas telles avnetures des uns ou des autres?
il y a la force des préjugés, sur la famille, les sexes, l’éducation, l’amour , l’auteur , préjugés que l’on a et dont on n’a pass toujours conscience même quand des gens essaient de nous les faire toucher comme des préjugés : préjugés sur « la toile « par rapport au papier aurais-je pu mettre dans le nombre … ce n’est pas sérieux de l’avoir oublié

D. dit: à

Ueda, qui est un des meilleurs, a mis du temps à reconnaitre mes qualités, mais il les a reconnues en s’inclinant, ce que je ne lui demandait d’ailleurs pas. Pareil pour renato.
Thierry est un des rares à bloquer, mais aussi un des rares à ne pas enseigner. Eh oui.

D. dit: à

Sur ces quelques vérités, je vais me coucher.

D. dit: à

Je vous embrasse, W. Sur la joue. Même si nous ne nous comprenons pas, j’y tiens absolument.

D. dit: à

Bonne nuit aussi à vous, Daaphnée. Vos écrits on toujours été pour moi un ravissement, je tenais à vous le dire.

D. dit: à

J’aime cette atmosphère chaleureuse et intime du soir, presque onirique. Peut-être devrais-je me taire pour mieux la goûter, mais pour l’instant ce n’est pas le cas.

pag l'amour dit: à

inutile que je corrige les coquilles : elles sont trop nombreuses , et de caractère différent : mots sautés etc
je m’en excuse sans cehrcher un autre alibi que ma fatigue .
j’aurais voulu dire que dans cette pudeur et ce désir de savoir de P.Assouline, il y a une grande violence , et qu’il ne me semble pas moins exempt de préjugés que chacun d’entre nous , peut-être autrement et mis en oeuvre autrement : chacun selon ..sa structure fondamentale bien sûr !

D. dit: à

Comme vous l’avez constaté, j’ai fini par dégager le faux D. Sans menaces, sans violences. Simplement par suggestion.
Il s’est aplati, comme le chien s’aplatit devant le Lion, après avoir bien aboyé. Je n’aime pas particulièrement ça, mais c’est dans l’ordre des choses et il n’est pas dans ma nature de bouleverser l’ordre des choses.

Philippe Régniez dit: à

L’actualité est pressante, mais n’oublions pas la noble attitude du grand poète et conteur anglais face au crime commis par les siens quelques siècles plus tôt :

« Nous nous pardonnons nos torts réciproques et le vieux crime impardonnable, le péché dont chacun de nous eut sa part, sur la place du Marché, de Rouen »

Jacques Barozzi dit: à

Revenant sur ce blog et constatant que depuis longtemps on y a atteint le point Goldwin, je me demande, et n’y voyez aucune arrière-pensée de quelque ordre que ce soit, combien y a t-il de non juifs parmi les commentateurs de la RDL ? Une infime minorité sans aucun doute ! Toutes ces querelles ne seraient-elles que des disputes de famille ? Une famille particulièrement diverse et éclatée, dispersée et parfois réunie. Réunie par un goût de la chose culturelle, du savoir, de la connaissance, plus que par l’appartenance à un peuple, une terre, une patrie ?
(ML va pouvoir encore dire que je « juge tout à l’aune d’une vision ethnique du monde »)

n’oublions pas dit: à

Le premier crime ne fut-il celui des traitres ?

Jacques Barozzi dit: à

Vous êtes juif, D. ?

pag l'amour dit: à

encore ajouter, puique j’ai parlé de amour et de savoir, il s’agit autant de question sur aimer et être aimé , et de savoir
dans le poème , il y a cette histoire de secrets
il s’agit de bien autre chose que de « démsquer »
et de jeux , et même d’autre chose que de « fantasmes » .
Hier ou avant hier une jeune femme américaine me racontait qu’elle avait déduit que des labos dans lesquels elle avait travaillé savaient déjà ce qui est seulement porté aujourd’hui à la connaissance de tous par la presse . c’était donc assez secret , mais pas du même ordre que le secret qui fait qu’un poème , un roman, un sourire même nous touche . le sujet est amplement travaillé .
donc bonsoir, bonsoir, et bonsoir encore .

Jacques Barozzi dit: à

Il était anglais, le Cauchon, Philippe Régniez ?

Philippe Régniez dit: à

Jacques Barozzi, vous avez raison. Bernanos a écrit un très intéressant et peu conventionnel Jeanne relapse et sainte (je ne vous dirai pas chez quel éditeur, mais vous le devinerez facilement – édition numérotée), d’autant plus intéressant que Bernanos était catholique.

M moi dit: à

M ton prochain, pas celui d’après, ni le suivant, dans l’instant présent. C’est une maxime. L’intrusion médiatique bonne vieille pomme du jardin, menteur invétéré ? Les petits papiers et le choc des titans, le gigantisme pestilentiel de la brute en l’homme, plutôt. En conclusion, petits malins, il vaut mieux, quelque part, être la tête et la langue du serpent ancien que le dernier mensonge au bout de la queue, une simple écaille. Ma fin est une pourtant bien une affaire d’homme. Mylène Farmer est compromise avec ses gants rouges avec l’étalon MDNA. Mais qui est qui, bon sang ? Quelle mascarade. J’entends parler de léthargie pour moi. D’accord, mais qui est qui et qui fait quoi ? Et puis il y a la fille du prophète, une guerre de religion en vue, sans texte en plus, d’autres filles, des gosses, des stars couvertes de merde. La tournée MDNA était en fait un virage majeur dans l’histoire de l’humanité ? Ah bon ? Transmission satellite parterre de stars ? Madonna semble dénoncée comme une petite pomme sur le retour ? Qui d’autre ? Où est votre champion, celui que tous réclame ? Qui est daddy ? Mort pour sauver l’humanité ? Oui, mais alors il faut beaucoup censurer et fermer vos usines. Vous rendez-vous compte que si la planète n’était pas en péril, je serais déjà mort à force de bavardage. Mon sort est donc bien lié au sien. L’amour est victorieux en fin de course dans des milliers d’années. D’ici là, tous, de l’ange le plus joli, à la plus fine ordure souriante et épanouie de crasse, vous allez d’abord devoir régler bien des différent. Partir sur de nouvelle base chez leo porcin ? Il rêve sa vie. 5 ans pour aboutir à un numéro de singes, des règlements de compte infini. Sim one. Ensuite, vous allez devoir jouer les saumons, vous faire tout le cycle, avec ma photo, pas plus, une trace mémorielle. À présent vous serez en effet souvent à trois au lit, toujours avec ma photo. C’est une image, un symbole. Beaucoup ne parviendront jamais aux origines, malgré des efforts invraisemblables, des embuches, un vrai combat des chefs de rayon. Tu seras seul bonne vieille pomme, pas de trois grâces, ni le fameux billet d’un dollars, bonne vieille pomme, seul, avec ta conscience de vieux, tes souvenirs, ton invraisemblance, tes mensonges, ton absence de synchronicité totale avec l’amour, le gout amer d’avoir d’une façon ou d’une autre été le singe de dieu, à un moment. Héros d’un jour, pas plus. Tu verras bien ce que vaut le tient, d’amour humain, trop humain, frère, faible. Tu chercheras forcément un dieu pour tout te pardonner. Moi, j’ai très peu connu de gens dans ma vie et je n’ai pas vraiment été chanteur. J’ai des réminiscences du serpent vilain dans mes rapports avec les autres, petit, pour moi c’était des moutons et les professeurs des créatures de rien, froids, misogyne à un âge ou on en sait rien. Méfiez-vous de votre habit de lumière ou envoyez Mylène bien plus jeune, fraiche, avec de vrais parfums plein la tête.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…enfin,…on veut rire,…
…faîte semblant d’être démocrates républicains,…Oui,…Monsieur le Marquis ( au choix ),…la taille,…

…vous n’y pensez pas,…dans ce club privé,…
…à table,…donc, je suis servis en deuxième,…Oui,..comme d’habitude,…Oui,…le troisième paquet au ruban d’or,…
…encore gagné,…à chaque fin de mois,…
…pourquoi toute ces taxes,…cette administration,…la dîme,…c’est tout,…
…au revoir Monsieur le Marquis,…c’est toujours un plaisir d’en être votre protégé,…
…vous déposer le coffre comme d’habitude,…j’ai des biscuits pour votre petite Thérèse,…elle le vaut bien,…
…charmante attention,…ne nous la gâter pas,…Mr.l’état c’est moi,…
…etc,…Oui,…au deuxième,…la première à droite,…quelle Casino,…c’est pas Venise,…le progrès se fait attendre,…bien elle a encore toute ses dents,…
…Docteur Honoris Causa,…

Bonux dit: à

« christiane dit: 27 février 2013 à 17 h 25 min

@ CP (15:57)
« Brise légère –
l’ombre de la glycine
tremble à peine »
Bashô »…
Au Tremble, Judas pendu ???.
Telle est une bonne question !.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…alors, quels exemples  » d’intrusion médiatique « ,…les perles de culture en colliers,…
…etc,…distingués d’aplomb,…à émerveillés,…de culture,…en galvanoplastie,…Oui l’intrusion juste quelques microns d’or,…
…les apparences de vandales économiques,…
…pour rien,…faut en avoir,…Ah,…Ah,…du cinéma de religion sur nef,…de connivences disciplinés,…
…cette mayonnaise elle va prendre mon pied ,…etc,…ne te gêne pas,…entendu,…
…etc,…

pag l'amour dit: à

je me demande, et n’y voyez aucune arrière-pensée de quelque ordre que ce soit, combien y a t-il de non juifs parmi les commentateurs de la RDL ?
Votre question me semble étrange : rien ne permet de déduire que ceux qui affirment être juifs ici le dont effectivement , de quelque manière que l’on définisse « la judéïté »
c’est une question très povocatrice , parce que rien ne permet de conclure que le signifiant juif soit celui qui rassemble autour d’un billet de P.Assouline.
Mais cher monsieur, puisque vous demandez un nombre et que vous avez dit déjà dit sur le pmoint qui vous préoccupe que vous étiez plus ,dites combien vous êtes, et soustrayez comme vous voulez : et ça vous fera une réponse

Bonux dit: à

Jacques Barozzi dit: 27 février 2013 à 18 h 09 min

Un pape démissionnaire, c’est aussi sacerdote !

La dot est mal placée pour le c.

Le Baroz n’est pas encore assez saoul pour la RdL;…

Bonux dit: à

Jacques Barozzi dit: 27 février 2013 à 18 h 13 min

C’est quoi la baie noire, D.

Desmond Tutu, & Mandela said X !!!.

Bonux dit: à

rose dit: 27 février 2013 à 18 h 16 min

Les hommes ne sont pas des bêtes de somme.

Rose : même si il est trop tard,
demander le à leurs mères !.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…l’offre ou la demande,…y a la mise en boîte ou la conservation des éprouvettes,,,,

…il vaut mieux rester très rare,…sans facteur de croissance,…ainsi personnes a déplorer,…au quotidien,…des intrusions avec l’eau de là,…à poils de chameau,…
…etc,…

Bonux dit: à

rose dit: 27 février 2013 à 18 h 32 min

> nota je confirme on mange vraiment bien au resto indien du passage Brady. A droite en entrant par le nord. Le contraire en rentrant par l’autre côté. Petites tables petites nappes petits prix bonne cuisine familiale tandoori, biryani, lassi, nan nature.

Par le Sud : Jannette,
quant au passage Brady : Est/Ouest !.
Donc ; que vouliez vous dire

Bonux dit: à

ueda dit: 27 février 2013 à 18 h 38 min
Si j’étais juif en quelque sens de ce mot (qui en a beaucoup),…
Sans marteau, qu’est-ce que vivre veut dire ??? ?? ?.

pag l'amour dit: à

le dont effectivement > le sont
au fait , je n’ai jamais entendu un peintre dire qu’il était plus peintre que x,y,ou z .
et est-ce qu’un homo dit qu’il est plus homo qu’un autre homo ?

Bonux dit: à

pag l’amour dit: 27 février 2013 à 19 h 04 min
justifiez votre réponse si possible .
Kipling fut, est, sera toujours dans ma bibliothèque !.

M dit: à

Le petit circuit des juifs. C’est le tout début de notre histoire. Le début ? Oui, mais la fin de Babylone en même temps. C’est bien avant eux, sans eux, mais à cause d’eux. L’histoire se répète. Le grand Satan malin, un fuyard, un menteur, vulgaire, affublé des pires tares, des disgrâces notamment facial, un buste global. Cette ordure ne se souvient pas de la disgrâce de Babylone, ni de l’éparpillant des juifs. C’est le juif errant, le pire du pire, qui a contaminé tout le reste, tuer l’amour ? Vous suivez les suiveurs, les danseurs ? Il me réservait, avec témoins débiles, vous, tous, blanc, noirs, jaunes, riche pauvres, il revisitait leur histoire en me réservait, savait la fin de l’empereur, celle de jésus, la fin de Roméo, celle de napoléon, Hitler, Proust, Lincoln etc etc… Ce sont de profonds nigauds dont vous êtes les suiveurs. Hey jude. Regarde-toi. Ils sont faibles, forts, vicieux. Mais ils n’ont pas inventé la langue qu’ils parlent, vous suivez ? Babel. Baby belle. Un fromage. Ils s n’ont que ça à faire, le singe de dieu. Qui rêve du jugement de dieu, sa mort. Ils ont inventé un démon qui n’est que le singe de dieu. Monkey me. Moi quelque part, une revanche sur le genre humain, cette multitude effarante. Là ils doivent boire du jus d’orange et rêve de la destruction du monde. Ils cherchent un Diue à juger entre ivrognes bien pervers, peu de cervelle et tout, et réfléchissent au sujet de l’enjeu éventuel corps qui n’est rien, une relance, de mensonge en mensonge, dont vous êtes les suiveurs, je le répète, pas de faux semblant. Je connais la mentalité juive, la pire. Ils n’acceptent pas trop leur culpabilité ni veulent mesurer son étendue abyssale, même en fin de partie, la mort du monde. Ils réalisent mais cherchent un coupable, une croix à porter à leur place. Ce sont des ladres. Ils mettent des moyens considérables, pour rien. On nait seul, on meurt seul. Entre deux c’est les magouilles, un numéro de clowns. Lucifer, le plus bel ange ? Qui ? Ce n’est pas moi. Oh, comme ils auraient voulu après m’avoir meurtri à leur côté, aux pieds ? Non, non, que des sales gueules bien vides et bien vulgaires à l’arrivée. Les seuls qui communiquent avec des reflets, des jets de couleurs. Illustres ordures, marchands d’olives, que des racontars. Et toutes les autres trognes, singes de Dieu, astres vivants d’une musique de merde. Je vous attends, enfin biogène, simple soldat, vous attends, avec vos singeries d’aristocrate ou qui convoitent.The Blueberry hill. Gueule d’amour. ^ô^

Bonux dit: à

« La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 19 h 23 min
La paix peut advenir du jour au lendemain mais pour faire la paix il faut être deux. »

Un seul a toujours suffit pour faire la guerre !!!.

Bloom dit: à

Le commentaire de 2h25 est attentatoire à la dignité humaine.
Si cette chose M comme merde veut bien m’attendre, je rentre à Paris pour une quinzaine et me ferait un plaisir de lui en coller quelques uns.
Passou, l’antisémitisme n’est pas une opinion, mais un délit. Merci d’effacer ces déjections.

Bloom dit: à

ferai

Bonux dit: à

La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 19 h 53 min
Ah que l’hilare du chaudron se marre !!!
Au prépuce montré, Juif suis-je ??? ?? ?.

Bloom dit: à

C’est aussi pourquoi on peut juger que la tradale de Bloom est très sérieuse, trop compassée, trop prétentieuse en un mot…
—-
A lire celle de ML, on comprend pourquoi il s’est arrêté au capes. Et question prétention. Faux juif, faux traducteur, psittacisme en bandoulière, immaturité congénitale: du toc et du vent.

Bonux dit: à

« La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 20 h 51 min
Quand vous aurez compris ça, vous aurez évolué… »
Permettez moi de douter !!! !! !.

Bonux dit: à

« La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 20 h 55 min

Et mon père était un brave ouvrier juif. Et quelqu’un d’admirable comme ma mère qui se sont sacrifiés pour leurs enfants. Je leur en suit infiniment redevable devant ‘histoire et devant Dieu. »

Mais pas pour nous, malheureusement !!!.

Bloom dit: à

Le Puceau du Chaco fait mine de citer Kipling au sujet de la Pucelle. Kipling n’a jamais écrit pareille chose. Pas à une usurpation près, le trafiquant de littérature antisémite.

Et puis, comme chacun le sait, c’est un évêque français, un collabo, comme il les aime bien, un bon Bourguignon de bonne souche bien terreuse qui vous colle aux bottes qui l’a fait rôtir en place du marché (où l’on mange d’ailleurs aujourd’hui de l’excellent cochon grillé, au Rouennais).

Pierre Cauchon, évêque de Beauvais
Jean Le Maistre, Vice-Inquisiteur,
Jean Beaupère
Jacques de Touraine,
que des noms anglais….

Bonux dit: à

« La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 22 h 05 min

Vous n’êtes qu’un ignare dangereux et mauvais. »

Pour vous même, certes !!! !! !.

Bonux dit: à

« La mauvaise langue dit: 27 février 2013 à 22 h 45 min
« je ricane tristement. », dites-vous. Ce sentiment vous honore ; en même temps, je suis persuadé que tout le monde le partage. Le monde est ainsi fait. Il faut l’accepter comme il est, on n’a pas le choix. »…
Traduc. SVP !.
Est-ce la complémentarité du vide de l’escient ??? ?? ?.

pag l'amour dit: à

suite de la réponse à Rose
Les personnes qui écrivent sur ce blog au féminin notamment poussent au delà des limites acceptables cette tendance ? tentation ? à jouer avec une aspiration à la relation psychanalytique qui a proliféré dans la presse depuis les années où l’on parlait du divan de tel journaliste à la télé , tendance nourrie par P.Assouline lui-même .
Bref, un air du temps de la complicité du désir des médias et du public .
et ce n’est plus seulement question de pudeur , mais la menace de l’impudence .
« bouffon » et « paranoïaque » relèvent du lexique de base du lycéen alors que Bloom en était à trouver prétentieux ou cuistre incipit dans un texte de critique .
l’impudence c’était une autre fois le présupposé de cet autre que je « projetterais » sans le savoir comme un certain Jourdain faisait de la prose !
Kipling est un auteur dont le nom est lié pour moi d’abord à l’enfance et la jeunesse, et pas principalement les miennes , justement), et comme cela rejoint bien citizen K , vu pour la deuxième fois un jour de grand froid à Paris, sans canadienne à cause d’histoires de canadiennes , après une queue effroyable mais P.Assouline aura de la chance : je laisse maintenant proliférer mes « émotions » autour de cette histoire dans mon histoire , comme on laisse croître, grimper, et s’enraciner une plante dans son jardin .
émotions donc ravivées par ce billet, et auxquelle j’avais déjà trouvé des dérivatifs plus secretsque les lexiques critique et médiatique , mais que l’ironie du poème a aidé à passer . Qu’il soit remercié du souvenir.

Bloom dit: à

Pendant la guerre des Boers, une arrogance doublée d’une xénophobie qui en rappellent d’autres:
« Occasionally foreign prisoners were gathered in. Among them I remember a Frenchman who had joined for pure logical hatred of England, but being a professional, could not resist telling us how we ought to wage the war. He was quite sound but rather cantankerous;’ Kipling, Something of Myself, p.130.

Bonux dit: à

Pour M : le Malodorant :

On nait seul, on meurt seul,
seuls l’amour et l’amitié,
nous donnent l’illusion de ne pas être seul !.
Orson Welles !.

Bonux dit: à

Onc, bye !!! !! !.

jos ep dit: à

Bloom dit: 28 février 2013 à 3 h 18 min
Tant que (comme par hasard) le vatican n’ouvre pas les archives on ne saura pas ce que cachent les documents sur cette histoire, rien ne prouvant que c’est cette personne qui a été brulée

JC dit: à

Le Sénat a adopté une proposition de loi (PPL) communiste d’amnistie des délits et sanctions pour des faits commis lors de mouvements sociaux.

Le texte a été voté de justesse par 174 voix contre 172. Les groupes PS, CRC (communiste), les écologistes et la plupart des sénateurs RDSE (à majorité radicaux de gauche) ont voté pour, tandis que la droite UMP et centriste a voté contre.

Le Parti communiste et le Parti de Gauche de Jean-Luc Mélenchon, appuyés par la CGT, se sont fortement mobilisés en faveur du vote de ce texte en organisant notamment une manifestation devant le Sénat. M. Mélenchon, eurodéputé, a assisté au débat dans la tribune du public.

« Il s’agit, ici, de faire oeuvre de justice » a déclaré la garde des Sceaux, Christiane Taubira, qui a soutenu le texte tout en s’en remettant « à la sagesse du Sénat » pour son vote.

NE CASSEZ JAMAIS SEUL ! VOUS SERIEZ CONDAMNE !
CASSEZ EN GROUPE : LA JUSTICE VOUS ABSOUDRA !
MERCI LES COMMUNISTES !
VIVE LE SYNDICALISME DE LA CASSE ET DE LA SEQUESTRATION !
NON AU DIALOGUE SOCIAL !
A VOS BATTES ? PRETS ? PARTEZ !
VOTEZ CGT….

JC dit: à

Pour connaitre une vérité cachée sur Jeanne d’Arc, relire « La Pucelle » de Voltaire …

renato dit: à

L’industrie recueille les populations moroses et affamés, et mesure le travail avec le rythme de la machine à la vapeur ; les produits s’accumulent, plus vous créez plus vous devez créer, jusqu’à ce qu’un jour il n’y a plus personne pour acheter car le marché est saturé. Alors l’industrie ferme ses portes, inexorablement. L’industrie a créé une population de travailleurs et maintenant elle les prolétarise.
In « Réminiscences du voyage d’un médecin hypocondriaque à Paris et à Londres », 1845

L’industria raccoglie le popolazioni squallide ed affamate, e ne misura il lavoro coi moti della vaporiera; i prodotti si accumulano sui prodotti; più si crea e più è forza creare, finché un giorno non vi sia più chi compri — il mercato è colmo. Allora le porte dell’officina si chiudono inesorabilmente. L’industria aveva creato una popolazione di operai e ora li trasmuta in una popolazione di proletari.

Jacques Barozzi dit: à

L’escroquerie à la viande de cheval est une affaire mondiale. On nous désigne les responsables intermédiaires mais à qui a profité le crime ? Qui a donné l’ordre ?

Quand je vois la cheminée du Vatican fumer, je pense à la cuisinière de Landru, pourquoi ?

Ce matin sur BFM Mélenchon, à grands moulinets de manches, annonçait l’effondrement de l’Italie, suivi bientôt par celle de la France : pour relancer l’économie d’un pays ou d’un continent faut-il nécessairement passer par une bonne guerre, sans nécessairement la gagner ?

jehan dit: à

« Pour connaitre une vérité cachée sur Jeanne d’Arc, relire « La Pucelle » de Voltaire  »

Pas malnon plus , « La vie passionée de Jehanne d’Arc » de Claire Brétécher

Jacques Barozzi dit: à

Rien qu’avec un petit poème en note, Passou fait un carton : 1200 commentaires en 48 h ! Qui a dit que la poèsie n’intéresse plus personne ?

therese dit: à

Autre livre saint, de Claire Brétecher: « Saint Thérèse d’Avila »

Philippe Régniez dit: à

Vous aurez remarqué, Jacques Barozzi, qu’il en fut de même pour le papier comportant le nom de Chateaubriand.

Philippe Régniez dit: à

Puisque vous vous intéressez à Jeanne d’Arc, Jacques Barozzi, je me permets de vous recommander l’ouvrage que lui a consacré Jules Michelet (toujours chez le même éditeur).

Philippe Régniez dit: à

Merci Jos ep pour cette surprenante perspective qui ouvre de nouveaux territoires à la recherche historique.

abbé lateigne dit: à

« Quand je vois la cheminée du Vatican fumer, je pense à la cuisinière de Landru, pourquoi ? »

l’esprit saint part en fumée

Jacques Barozzi dit: à

Le Jeanne d’Arc de Michelet, que je considère plus comme un romancier que comme un historien, est dans ma petite bibliothèque, M. Régniez,

Jacques Barozzi dit: à

Mais ce qui m’intéresse surtout chez Jeanne d’Arc, c’est la face cachée de Gilles de Rais !

Phil dit: à

baroz, arrêtez de prononcer face à l’anglaise.

Jacques Barozzi dit: à

Fesse de bouc toi même, Phil !

Phil dit: à

Les minutes du procès de Jeanne d’Arc sont bien suffisantes sans qu’il soit nécessaire de lire les relations des historiens.
Mais un seul et court passage des minutes est en version originale, le reste est sujet à … »Cauchon ».

abbé lateigne dit: à

Mais un seul et court passage des minutes est en version originale, le reste est sujet à … »Cauchon ».

Déjà? mon dieu!

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