de Pierre Assouline

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Quand « l’autre » est un pervers narcissique

Quand « l’autre » est un pervers narcissique

Il y a comme cela des fictions qui, aussitôt refermées, l’air de rien, modifient non seulement le regard que l’on porte sur les gens, mais celui que l’on porte sur soi. On se demande : en sont-ils ? et qui me dit que je n’en suis pas moi-même ? Effet garanti même si cela ne dure pas. Demeure un trouble inquiétant. Ainsi de L’Autre (199 pages, 16 euros, Seuil), premier roman de Sylvie Le Bihan. Du vécu à coup sûr, mais sans que les relents autobiographiques aient la vanité des romans à clés.

C’est d’une psychopathologie qu’il s’agit : celle du pervers narcissique. Non pas uniquement celui qui jouit de la souffrance des autres, mais celui qui de surcroît exulte à enfoncer l’autre pour mieux se rehausser. C’est un dialogue de conscience, sa voix intérieure s’adressant à la narratrice. La vie d’Emma bascule le jour où elle s’y attend le moins. Emma, jeune femme au tempérament de feu, séductrice décidée à vivre ses fantasmes, plutôt grande gueule dans son genre, pleine d’assurance et qui ne se reconnaît qu’une faiblesse traînée comme un boulet depuis l’enfance : elle sait donner mais non recevoir, incapable de reconnaître les efforts de ceux qui l’aiment vraiment, attitude dans laquelle elle voit la forme achevée de l’ingratitude. « Une méchante fille » selon sa mère. Entendez : quelqu’un d’odieux. Ce qui ne l’empêche pas de réussir, de consommer des hommes avant de les jeter sans état d’âme.

Jusqu’à ce qu’elle en rencontre un qui va la déstabiliser au-delà du raisonnable. Non par amour mais par sadisme. De l’extérieur, ce trader de la City semble un homme bien sous tous rapports : physique, intelligence, culture, situation, fortune. Il a si bien réussi dans la vie que cela dispense de se demander s’il a réussi sa vie. De ceux dont on dit spontanément qu’ils ont tout pour eux sans imaginer qu’il ne leur manque plus que l’essentiel pour les rendre supportables : l’humour, la légèreté, le pas de côté. N’empêche que la séductrice est séduite. A l’intérieur, le pire des êtres, une personnalité des plus toxiques pour son entourage proche, assez scatologique pour ne jamais tirer la chasse derrière lui de manière à en faire profiter toute la famille. Généreux, mais à sa manière : il la couvre de cadeaux de prix, la gâte pour mieux la pourrir, crée le besoin pour mieux tuer l’envie dans un univers où dominée par la ruineuse futilité des marques, d’où le côté « viedemerde » chez les riches du récit. Bonus extravagants de fin d’année et lignes de coke sniffées dans le toilettes des grands restaurants : un monde où l’excès est la norme. Malgré tout, elle reste parce qu’elle ne connaît plus rien d’autre depuis longtemps.

Il lui faudra de nombreuses années de mariage pour percevoir ce qui saute aux yeux : il trouve son bonheur à l’écraser. A en faire autant avec leurs enfants. Sous son empire malsain, Emma est dégradée, humiliée, salie, en proie au dénigrement permanent, elle se sent comme une femme en fraude. Elle culpabilise à mesure que le malaise s’installe. L’Autre, jamais nommé, a réussi à instiller le doute en elle. Plus elle se dévalorise, plus il se valorise. Destructeur et puéril, il se sert du langage comme d’une arme : double, ambigu, contradictoire. C’est un malade qui s’emploie à la rendre malade.

Le récit de cette descente aux enfers, mené dans un style crû et coupant, est rythmé en creux par une scène enchâssée qui revient en leitmotiv à intervalles réguliers, un fil rouge reliant leurs deux destins croisés s’articulant : le dixième anniversaire des attentats du 11 septembre dans le silence mystique de Ground Zero. Deux femmes sont là pour faire le deuil de leur mari. Mais contrairement aux autres, elles ne sont pas accablées de chagrin. Plutôt libérées d’une souffrance qui les oppressait. Sans regret. Il est vrai que l’un et l’autre… Que faire alors d’un tel deuil ?

C’est un livre violent, cruel, impudique, immoral. Tout pour être dérangeant. C’est le procès à charge d’un mari manipulateur dans lequel sa victime ne s’épargne pas. Le roman de Sylvie Le Bihan est réussi en ce qu’il déstabilise le lecteur à proportion du désarroi de la narratrice, preuve que quelque chose de sa fragilité est passé. A propos, bien que ce ne soit pas précisé, dans la Bible, ah’er désigne l’autre en ce qu’il est dangereux. Celui qui existe par sa capacité de nuisance avec la méchanceté requise. Autant dire que cet « autre » évoqué dans le titre vient de loin.

(Illustration Philippe Ramette)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 014 Réponses pour Quand « l’autre » est un pervers narcissique

JC..... dit: à

Beau billet !

Une méchante fille, odieuse, bouffeuse d’hommes, qui finit dévorée par un prédateur plus odieux et plus affamé qu’elle, un pervers, cocaïnomane, forcément trader… ça sent son cliché, coco !

Optimiste, on se doit de supposer que Le Bihan, Sylvie, a su éviter le caniveau des idées reçues, piège tout proche…

ici Londres dit: à

attendons avec appréhension les commentaires hors sujet sur ce beau portrait de bouguereau et de jicé

des journées entières dans les arbres dit: à

Si en plus le pervers est père, ça fait pervers pépère, non ?

Jacques le F dit: à

Assez d’accord avec JC 9H12

rastaquouère dit: à

Le quatrième de couverture de la dernière publication de la collection »Aventures et passions »aux Editions »J’ai lu ».

Emma,une jeune femme au tempérament de feu,séductrice décidée à vivre ses fantasmes,plutôt grande gueule dans son genre rencontre un trader de la City, un homme bien sous tous rapports : physique, intelligence,
culture, situation, fortune,mais sous cette belle apparence se cache un pervers narcissique qui entraînera Emma dans une descente aux enfers…

je l' ai reconnu dit: à

Bonne fête Papa!

Unigamba dit: à

C’est vrai que les enfants trinquent, même ceux qui n’ont pas une belle gueule!

versubtil dit: à

Vous avez raison Unigamba, les enfants trinquent (ne moralisons pas trop!)mais les parents aussi…

Excellent sujet, populaire à souhait, Delly news, roman de gare sophistiqué et marronnier des blogs transgénérationnels.

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

SUR L’autre
personnage si important que je ne doute pas que
les erdéliens vont se surpasser pour le documenter:encore à autre chose, je joins un lien d’approche pour certain-e-s

http://fr.wikipedia.org/wiki/Elisha_ben_Avouya

bouguereau dit: à

De l’extérieur, ce trader de la City semble un homme bien sous tous rapports

ma mère de ma mère..encore une belle histoire de machine a coude dans l’cul d’une vache
heu..il a un apeul ?

Bloom dit: à

Dans le genre, Jordan Belfort, le personnage interprété par Di Caprio dans le dernier Scorcese, The Wolf of Wall St., chef de meute, qui fait passer bien des personnages de fiction pour des enfants de choeur.
Money.Power.Women. Drugs. Le modèle américain du trader sans foi ni loi a franchi les frontières plus sûrement que l’idéal du citoyen frugal & responsable…

bouguereau dit: à

C’est un livre violent, cruel, impudique, immoral

..tout ça pasque y’a un pot cassé en page 21 qu’elle dirait clopine..

bouguereau dit: à

Money.Power.Women. Drugs.

..sans roquènerol..faute

Bloom dit: à

Les fleurs du Mâle.

bouguereau dit: à

escuse moi kabloom..sans borsalino thompson dent de requin et poil..ça fait bien pédé d’anglais

Bloom dit: à

bouguereau dit: 15 juin 2014 à 10 h 26 min
Money.Power.Women. Drugs.

..sans roquènerol..faute

Wall St, man!!!!!!!!
Rockeux = petit joueurs, y compris le père Page, Picsou N°1 du r&r…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…rien de nouveau!,…
……………….,en manque de cultures!,…
……………….,et victimes de la crise, depuis leurs tendre enfance!,…
…des générations spontanées pernicieusement introverties par les grandes-guerres!,…
…résultats des courses!,…
…des couples dans des situations de misères,…envenimés par les tapages médiatiques de toutes les modes aussi!,…générations Kung-fu, style,…etc!,…l’audace inutile suicidaire aux jeux gratos!,…
…plusieurs types de cas à ce problème!,…ou la raison n’est plus!,…qu’au niveau d’instinct!,…narcissique!,…et survol de classes et marques b.c.b.g.,…en circonférences!,…
…pensée au genre la peinture à Delaunay l’obsession narcissique aux cercles et couleurs vives!,…un rejet des natures,…pour rester bloquer sur soi-même!,…
…l’art de la créativité nulle!,…sur fixette de nombrilismes très courant!,…les briques de cercles!,…
….Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…

OneNote dit: à

Amusant, l’Autre est le titre d’un livre d’Eric Zemmour… encore un Berbère !

Tiens, je vais faire ma Des Journées :

Récit à clefs, L’Autre est d’abord un formidable roman balzacien, qui, dans la tradition française, conjugue littérature et politique. On plonge avec bonheur dans cette comédie du pouvoir, de
dorures ciselées des bureaux Louis XV aux suites présidentielles des Méridien. Zemmour a écrit, vingt ans après Le Bon Plaisir de Françoise Giroud, le roman vrai de la Ve République.

(Cette Emma serait journaliste à BFM business, que je ne serai pas surpris…)

ueda dit: à

« un fil rouge reliant leurs deux destins croisés s’articulant : le dixième anniversaire des attentats du 11 septembre dans le silence mystique de Ground Zero. »

C’est peut-être très bien.
Je ne le saurai jamais.

rose dit: à

Ce qui ne l’empêche pas de réussir, de consommer des hommes avant de les jeter sans état d’âme.

eh oui sgnarf, sgnarf nous en sommes là. Mais d’autres suivent, une palanquée.

ueda dit: à

Touite

« Pour Jean d’Ormesson, catholique agnostique, l’important c’est Dieu, qu’il existe ou non. »

Pareil pour l’Académie.
Qu’elle existe ou non.

JC..... dit: à

« C’est un livre violent, cruel, impudique, immoral »

Tous les livres qui sortent étant plus ou moins de cette veine là, je m’en vais faire un tabac en écrivant de mes petites mains de brute un livre « calme, tendre, pudique et généreux » !

M’sieur Goncourt ! Me v’là ! Attend d’voir ! la surprise d’ta vie, m’sieur Concourt ….

rose dit: à

L’Autre, jamais nommé, a réussi à instiller le doute en elle. Plus elle se dévalorise, plus il se valorise. Destructeur et puéril, il se sert du langage comme d’une arme : double, ambigu, contradictoire. C’est un malade qui s’emploie à la rendre malade.

Eh bé…Nous sommes sûrs, au moins que ce n’est pas de la tarte.

Un style cru, le contraire de cuit. Pas de circonflexe, là.

rose dit: à

Eh bé…Nous sommes sûrs, au moins, que ce n’est pas de la tarte.

de l’impact de la virgule

rose dit: à

Merci sur la notation prise ds la Bible sur la signification de l’autre.
Je crois que parce que l’autre, au même titre que les enfants, déstabilise des acquis et demande une remise en question.
Chose que l’on n’a pas forcément envie de faire.

OneNote dit: à

l’important c’est Dieu, qu’il existe ou non

Rimbaud dit à peu près la même chose (en mieux).

ueda dit: à

« Il y a comme cela des fictions qui, aussitôt refermées, l’air de rien, modifient non seulement le regard que l’on porte sur les gens, mais celui que l’on porte sur soi. On se demande : en sont-ils ? et qui me dit que je n’en suis pas moi-même ? Effet garanti même si cela ne dure pas.  »

Ça, je peux comprendre.

« Destructeur et puéril, il se sert du langage comme d’une arme : double, ambigu, contradictoire. »

Camarade JC, as-tu fait ton examen fenêtre?
Avons nous fait souffrir?

En tout cas, je salue un roman qui nous explique qu’il ne faut en aucun cas se mettre à l’écoute de l’Autre.
Un courant d’air va passer sur les cafés philosophiques (ça existe encore?).

des journées entières dans les arbres dit: à

onenote pour dire vos truc pervers, vous ne mandez pas ma caution; c’est clair ?

Vous assumez ! vous êtes assez narcissique pour le faire.

des journées entières dans les arbres dit: à

Ecrire « autre » avec un A, c’est brevété. Par un crypto-facho. Je vous l’ai déjà signalé.

OneNote dit: à

Je suis pervers et narcissique, mais je ne suis pas pervers narcissique, nuance.

JC..... dit: à

Terminé…! Quatrième de couverture de mon roman de SF, futur chef d’œuvre à coup sûr :

Ce récit décrit la France des années 2027.

Les trains roulent, les intermittents travaillent, les interventions extérieures militaires ont cessé, la croissance est à 1,9%, le chômage est à 5,2%, l’Instruction Publique est privatisée, les élèves, les étudiants, travaillent et réussissent, la réforme de l’Etat donne ses fruits, 10 Provinces, les élus sont éligibles deux fois seulement, la guerre civile de 2017 est loin derrière, oubliée, les cathédrales sont pleines, les synagogues paisibles ne sont plus taguées, les minarets sont rasés, les banlieues entreprennent et développent des start-up innovantes…

Ce récit est le premier roman d’un vieil écrivain reclus depuis des années dans une île de la Méditerranée transformée en hôpital psychiatrique. Son titre ? « Nous, Autres »

ueda dit: à

« des journées entières dans les arbres dit: 15 juin 2014 à 11 h 03 min
Ecrire « autre » avec un A, c’est brevété. Par un crypto-facho. Je vous l’ai déjà signalé.

Une deuxième crotte, pour nous rafraîchir la mémoire?

Soyez sans crainte, on vous regarde de loin.

Annie blanchard dit: à

J’ai lu ce livre de Sylvie Le Bihan.
Je connais des pervers narcissiques .
Ce livre est brillant , percutant, bien écrit , l’auteur n’épargne pas son héroïne et victime , pas de bons sentiments, aborde des questionnements importants .
De plus , ce livre libérera je pense bcp de victimes solitaires .
Chapeau pour un premier roman !

la Reine des chats dit: à

La note semble ouvrir des fenêtres sur un contenu apparemment cliché, et alors? Gageons que si PA engage à y aller, cela cèle autre chose que je ne sais plus combien de nuances de grey.
A ce jeu (à propos de fenêtres)des livres très amusants, décalés, curieux, dans le genre de celui de Thomas Clerc, « Intérieur » pourraient se résumer par : un écrivain fait le décompte des flacons de shampooing Klorane dans sa salle de bain. Proust? Un ramassis de ragots alambiqués. Le « Maitre et Marguerite »? Un diable délirant, entouré d’un caniche noir, d’un chat malfaisant et bavard et de démons très peu crédibles se manifeste dans le Moscou dans années 30, au travers d’une fresque amphigourique. Personne n’y comprend rien. Faulkner? Des intrigues dégoulinantes de glycine, avec viol sur têtes à claques via un épi de maïs, bagnards en goguette sur le Mississippi, filles aux yeux jaunes. Beckett? Des clodos se prennent absurdement la tête. Bukowski? Longue branlette ordurière d’un vieil auteur au nez pourri. Bellow? Le ressassement pré, et post dépressif d’un prof en pleine andropause que poursuit (agréablement) Ramona et (désagréablement)un rival dont il a cru ne rien avoir à craindre tout d’abord, sa femme lui ayant affirmé dans un premier temps avec dégoût y être allergique, car lui non plus n’était pas enclin à tirer la chasse (« l’appartement était si petit que Maddy avait confié à Herzog en poussant des cris d’orfraie ne pas pouvoir tomber amoureuse de Valentin, ayant pu sentir sa merde » – décidément! – voilà que s’esquisse une sociologie dérivée du lien à la cuvette? Intéressant).
L’exercice de réduction n’est sûrement pas aisé, et parfois inversement proportionnel aux territoires qu’il est censé recouper. Ce que disait Michel Alba il y a qq jours, quant à l’incitation à la lecture me parait plus que jamais judicieux : cette nécessité d’aller par soi même à la rencontre véritable, intime, des textes. PA certes est mon berger. Rien ne saurait manquer où il me conduit, cependant il est bienvenu de mettre un brin la main à la pâte en relayant ses billets par une approche personnelle des livres qu’il propose.

Onésiphore de Prébois dit: à

C’est d’une psychopathologie qu’il s’agit : celle du pervers narcissique. Non pas uniquement celui qui jouit de la souffrance des autres, mais celui qui de surcroît exulte à enfoncer l’autre pour mieux se rehausser.

Mais il ne s’agit aucunement d’une psychopathologie ! Voici seulement deux ou trois décennies, personne n’avait jamais entendu parler des pervers narcissiques. C’est une invention récente de psychiatres et de psychanalystes en plein délire nosographique. Invention, au demeurant, imprégnée de nauséabondes arrière-pensées judéo-chrétiennes.
La méchanceté, le plaisir incomparable de faire souffrir psychiquement l’autre, de lui e fire baver des ronds de chapeau, le goût de la domination sans partage, jusqu’à la réduction du partenaire à l’état d’esclave quotidiennement humilié, ce sont là des pulsions naturelles, abondamment répandues,sources de grandes satisfactions d’amour-propre et d’épanouissement personnel. Bien sûr, ces éminentes qualités sont aujourd’hui dénigrées dans le contexte d’humanisme mou et de fraternité bidon où baignent, avec les encouragements des pouvoirs publics, de la police et des thérapeutes, nos malheureux contemporains. J’ai personnellement, voici quelques années, poussé au suicide une de mes anciennes maîtresses, une jeune Juive charmante, sensible, cultivée, et à qui était venue la lubie de m’aimer. Vous pensez si j’en profitai. Après le décès de la pauvrette (elle s’était jetée sous un TGV –le seul de la journée, c’était un jour de grève), ses parents crurent intelligent de venir me demander des comptes. Je leur fis comprendre qu’il n’en était pas question, à l’aide d’une arme de poing de fabrication allemande, à moi léguée par mon grand-père, ancien milicien. J’étais d’ailleurs intouchable, exerçant à mes heures perdues les fonctions d’agent du Mossad.

des journées entières dans les arbres dit: à

la glU, j’aimerais bien que Daaphnée nous donne un aperçu de votre photo…

ueda dit: à

« Annie blanchard dit: 15 juin 2014 à 11 h 11 min »

Bon.
Je note.

Nous pratiquons ici, Annie, une culture de 4ème de couverture.

ueda dit: à

« des journées entières dans les arbres dit: 15 juin 2014 à 11 h 14 min
la glU, j’aimerais bien que Daaphnée nous donne un aperçu de votre photo… »

Vous l’avez, ma perruche, et celles d’autres camarades.

Un costard allongé sur le dos, et une imago sous les spots.
Ensuite, on éteint les lumières.

OneNote dit: à

Nous autres, modernes, est le titre d’un (bon) bouquin de Finkie (recueil de ses cours à Polytechnique). Titre emprunté à Péguy, ce me semble…

Cette quatrième de couverture a l’air diablement alléchant. Attention cela dit à ne pas confondre science-fiction et anticipation, et anticipation avec prospective fumeuse.

des journées entières dans les arbres dit: à

J’aimerais bien que Daaphnée nous nous un aperçu de la photo de la glU.

des journées entières dans les arbres dit: à

nous donne, enfin, nous fasse partager son expérience…

ueda dit: à

« des journées entières dans les arbres dit: 15 juin 2014 à 11 h 20 min
J’aimerais bien que Daaphnée nous nous un aperçu de la photo de la glU. »

Flatté.

Pulsion scopique?

ueda dit: à

« des journées entières dans les arbres dit: 15 juin 2014 à 11 h 21 min
nous donne, enfin, nous fasse partager son expérience… »

Pèpèpe.

Devenir la 3ème sous couverture?

Pas de hippie par ici!

Unigamba dit: à

L’auteure dans son entretien mis en ligne par P. Assouline, nous spécifie que la/les victimes ne sont pas en deuil lors de l’enterrement de l’affreux et comme elles, je crache (symboliquement) sur la tombe de mon père car je garde ma salive pour pouvoir encore en parler.

des journées entières dans les arbres dit: à

Pour ceux qui veulent théoriser sur le A., le P de pervers, et le N de narcisse.

Ames sensibles s’abstenir !

« C’est encore pourquoi autrui nous blesse, justement parce qu’il reflète notre moi. Autrui nous dit qu’il existe, à l’intérieur de nous, quelque chose qui nous encombre – cette permanence paradoxale, ce scandale. Autrui, en portant le regard sur nous, nous renvoie à la confrontation entre l’infini et le fini – d’où notre besoin de conquérir l’autre, pour le nier, ou à l’inverse d’être conquis par lui, pour être nié. Mais cette confrontation, ajoute Finkielkraut citant Lévinas, potentiellement violente, est nécessaire : c’est par elle que le Bien surgit comme une possibilité en nous. Autrui, en nous plongeant dans le scandale, nous oblige à assumer notre responsabilité, nous interdit de céder à notre paresse naturelle. Il est, par lui-même, une injonction : rencontre-moi ou tue-moi. Et le péché, ajoute Finkielkraut, réside justement dans le refus de cette injonction, dans le refus d’assumer la responsabilité de la rencontre. »

lien sur: scriptoblog, retour aux sources.

ueda dit: à

« la glU »

Oiselle cherche bâton.

ueda dit: à

« des journées entières dans les arbres dit: 15 juin 2014 à 11 h 27 min
Pour ceux qui veulent théoriser sur le A., le P de pervers, et le N de narcisse. »

PAN PAN cul-cul?

des journées entières dans les arbres dit: à

J’aimerais bien que Daaphnée nous donne un aperçu de la photo de la glU.

Unigamba dit: à

Onésime D.P. a quelque peu raison lorsqu’il stigmatise cette enflure de P.N., à la guerre comme à la guerre, nous sommes dans l’émollient du care…
J’ai résisté à être l’absence au moignon du père! ( moi-gnon)

TKT dit: à

Extrait d’un article du journal Le Monde:
« Il avance toujours masqué. Il repère sa proie et ne la lâche plus. Enjôleur, compréhensif, attentif, il est à l’écoute de sa bien-aimée, qui, dit-il, est tout pour lui. Il la séduit, se rend indispensable, propose le mariage. La victime est comblée. Prise au piège, elle ne va pas tarder à déchanter. Le masque tombe, plus ou moins vite. L’homme qu’elle a épousé se révèle être un prédateur de l’amour. Docteur Jekyll et Mr. Hyde. Il humilie sa proie, la dévalorise, la culpabilise, la harcèle, provoquant les disputes, mais jamais en public. C’est un champion de la manipulation. Elle craint ses sautes d’humeur, ses colères. Elle fait tout pour arranger les choses. Mais rien n’y fait. Ce scénario est typique du « pervers narcissique ».
Cette pathologie, encore discutée parmi les spécialistes, a été décrite pour la première fois par le psychanalyste Paul-Claude Racamier (1924-1996) dans un article, « Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique », paru dans la Revue française de psychanalyse, en 1986. Marie-France Hirigoyen, psychiatre et psychanalyste, l’a fait découvrir au grand public grâce à son best-seller Le Harcèlement moral (La Découverte & Syros, 1998). « On compte autant d’hommes que de femmes atteints, explique-t-elle. La violence des pervers narcissiques repose sur le triptyque : séduction, emprise, manipulation. Si on retrouve chez eux les traits communs de tous les pervers moraux [par opposition aux pervers sexuels], ils sont beaucoup plus calculateurs et présentent une capacité de destruction très supérieure. » Auteur d’un livre récent sur la manipulation (Abus de faiblesse et autres manipulations, JC Lattès, 300 p., 18 euros), la psychiatre use d’une image forte pour les définir : « Des vampires qui ont besoin de regonfler leur estime d’eux-mêmes en vidant leur victime de sa substance. »

Le paradigme du troll reste D.bile, puis vient JCouille, qui pourraient être la même personne.

Les deux pervers narcissiques de la RdL, ont en commun les mêmes haines, les mêmes clichés, le même ralliement au FN, la même folie quand ils attaquent ponctuellement une cible. Les cibles ne sont pas des victimes, les seules victimes sont en fait les trolls, personnages sans vie personnelle. L’un est bêtissime, colle-blanc c’est à dire prolétaire Azerty. L’autre se voudrait habitant de Porquerolles où, il draguerait en scooter sur les routes nombreuses de l’île et les rues et places multiples de cette grande communauté varoise, quand même 300 habitants plus les touristes débarqués par bateau.

Unigamba dit: à

Le pervers narcissique a remplacé le paranoïaque dans la panoplie en mal de nosologie littéraire?

ueda dit: à

Voir, voir…

Je respecte toutes les perversions, pourvu qu’elles soient consensuelles.

Pour vous, branchette, mais n’en abusez pas!

des journées entières dans les arbres dit: à

« A propos, bien que ce ne soit pas précisé, dans la Bible, ah’er désigne l’autre en ce qu’il est dangereux. »

ah bon.
faut s’en méfier alors ?
marcher en rasant les murs ?

ueda dit: à

@ TKT

Il y a quelque chose de ça dans le rapport que D. souhaite entretenir avec vous.
Ignore him.

En revanche, le camarade JC est franc du collier.
Avec un sacré coup d’espadrille!

OneNote dit: à

Autrefois on appelait ça un connard, ça résumait bien la chose. Cette manie qui consiste à voir, à débusquer des pathologies mentales derrière chaque comportement plus ou moins déviant devient parfois préoccupante.

des journées entières dans les arbres dit: à

J’aimerais bien, que Daaphnée, nous donne, un aperçu, de la photo de la glU

Unigamba dit: à

« séduction, emprise, manipulation. »

Une définition possible de la vie politique?

rastaquouère dit: à

Lecteur!mon frère,sauras-tu deviner quelle phrase a bien pu être écrite par dame Le Bihan?

« Des spermatozoïdes vides en costume sombre dans une queue en érection… ils montaient, se bousculaient dans les escaliers, croche-pattes, délits d’initiés, évaluations à l’acide mensonge, coups bas et trahisons. De petits hommes… ».

« « Il attendait de toi, comme un enfant peut l’attendre de sa mère, que tu allèges le poids de ses tensions et que tu soulages ses angoisses… ton sein flétri, à sec, à vif ne satisferait jamais sa soif, et tu deviendrais sa pire ennemie… »

« Emma,écroulée,avilie sous les coups de cet homme,sentait le sang qui,doucement,venait humecté ses lèvres »

des journées entières dans les arbres dit: à

onenote, autrefois ce  » connard » passait sans doute devant la justice ?

J’ai entendu à la radio que dans beaucoup de commissariats, les plaintes pour violences conjugales étaient encore refusées de nos jours.

ueda dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 15 juin 2014 à 11 h 43 min
« A propos, bien que ce ne soit pas précisé, dans la Bible, ah’er désigne l’autre en ce qu’il est dangereux. »
ah bon.
faut s’en méfier alors ?
marcher en rasant les murs ? »

Lecteur, mon frère, fais un pas de côté.
Résiste à la tentation de dire que ce commentaire est l’oeuvre d’une conne.
Il a peut-être un sens caché, un sens exquis, c’est le clin d’oeil d’un esprit subtil, mais qui se dérobe par pudeur c’est tout.

ici Londres dit: à

et Onépasifort qui fait le malin, c’est du propre

bérénice dit: à

Si en plus le pervers est père, ça fait pervers pépère, non ?

Pervers-pépère ça fait sexuel alors que le narcissique est plus littéraire dans sa pratique déviante et s’incorpore au groupe sans extravagance, à l’usage il est repérable, un peu comme certains ici qui outre une culture indéniable et qui d’ailleurs leur sert à travestir leur stratégie malsaine, sont de ces malades pour qui la souffrance occasionnée par leur action, se pose en indispensable, on pourra donc dire qu’il est aliéné.
http://tempsreel.nouvelobs.com/le-dossier-de-l-obs/20120315.OBS3872/pervers-narcissiques-20-pistes-pour-les-reconnaitre.html

Onésiphore de Prébois dit: à

Cette pathologie, encore discutée parmi les spécialistes, a été décrite pour la première fois par le psychanalyste Paul-Claude Racamier (1924-1996) dans un article, « Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique », paru dans la Revue française de psychanalyse, en 1986. Marie-France Hirigoyen, psychiatre et psychanalyste, l’a fait découvrir au grand public grâce à son best-seller Le Harcèlement moral (La Découverte & Syros, 1998).

C’est bien, comme je le pensais, une invention récente des psychanalystes. Ces gens-là font flèche de tout bois pour attirer dans leurs cabinets de nouveaux clients. La psychanalyse, ou l’escroquerie médicale élevée au rang d’un des beaux-arts.

Onésiphore de Prébois dit: à

Destructeur et puéril, il se sert du langage comme d’une arme : double, ambigu, contradictoire. C’est un malade qui s’emploie à la rendre malade.

Magnifique ! Je te salue, mon semblable, mon frère. Sauf que nous ne sommes pas malades. ce sont nos victimes qui le sont.

TKT dit: à

Ueda, on peut ignorer ou répondre, la vérité, seule la modération d’un site internet peut décider de garder des propos indésirables ou pas.
Ne pas répondre ne fait pas disparaitre le pervers narcissique, il change de proie.
Quant aux pervers narcissiques, ceux de la vraie vie, il est plus facile de s’en débarrasser, ils ne sont pas cachés derrière l’anonymat.
Si j’ai bien compris divers reportages et articles de presse, le pervers narcissique est d’abord un séducteur lequel, par la suite passe à un travail de destruction. Un troll ne séduit pas, il passe directement à la destruction, vraisemblablement pour oublier le temps d’un commentaires, que dans la vraie vie il est solitaire et impuissant. Ni donneur d’ordres, ni donneur de plaisir.

Si les trolls ne font pas baisser la qualité des Notes de la RdL, ils rendent impossible quelconque conversation et l’échange de propos. Leur but ? Se prendre pour Dieu.

Onésiphore de Prébois dit: à

elle sait donner mais non recevoir, incapable de reconnaître les efforts de ceux qui l’aiment vraiment, attitude dans laquelle elle voit la forme achevée de l’ingratitude. « Une méchante fille » selon sa mère. Entendez : quelqu’un d’odieux. Ce qui ne l’empêche pas de réussir, de consommer des hommes avant de les jeter sans état d’âme.

Bien fait pour sa gueule en somme. Pourquoi se gêner, avec une garce pareille? Le « pervers narcissique » qui va lui faire payer la note, c’est en somme le Vengeur masqué !

JC..... dit: à

Mon ami Thierry ! Mon frère Thierry ! Frère Thierry des Entubeurs ! …

Dieu t’a fait comme tu es pour que tu te décarcasses… en voyant le diable, en le combattant vaillamment, en tentant les Exorcismes de Pseudos les plus invraisemblables…. en vain !

Ignore nous, au lieu de t’indigner hessellement…!

JC..... dit: à

Prébois, tu es le meilleur !
Un trader cannibale, en Vengeur Masqué… j’adore !

Onésiphore de Prébois dit: à

Cette pathologie, encore discutée parmi les spécialistes, a été décrite pour la première fois par le psychanalyste Paul-Claude Racamier (1924-1996) dans un article, « Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique », paru dans la Revue française de psychanalyse, en 1986. Marie-France Hirigoyen, psychiatre et psychanalyste, l’a fait découvrir au grand public grâce à son best-seller Le Harcèlement moral (La Découverte & Syros, 1998).

On voit très bien, à travers ce résumé, apparaître le glissement qui mène des observations farfelues de Racamier à la notion, autrement inquiétante, de « harcèlement moral », posée par la mère Hirigoyen. Evolution à l’américaine qui consiste à faire admettre par le public ( et, si possible, par les pouvoirs publics )une notion hautement problématique pour faire marcher les cabinets d’avocats et faire cracher des indemnités aux supposés « pervers ». Il y a un hic de taille, évidemment : comment un « pervers », qui est lui-même un « malade », peut-il être considéré comme responsable des « dégâts » qu’il cause ?

TKT dit: à

JCulé, je ne m’indigne pas, Hessel me tapait sur les nerfs avec son indignation systématique. Quant à vous, présent aussi sur d’autres sites dans la même croisade milicienne, je vous trouve irritant mais pas plus conséquent que votre alter-ego D.bile.

Unigamba dit: à

« séduction, emprise, manipulation. »

Version européenne, tous les patrons sont des pervers narcissiques!
A l’embauche, l’entreprise vous séduit, on signe.
Pour accéder à l’échelon supérieur, on redouble d’effort.
Pour rester en place, on accepte des stagnations ou des diminutions de salaire!

bouguereau dit: à

Et le péché, ajoute Finkielkraut, réside justement dans le refus de cette injonction, dans le refus d’assumer la responsabilité de la rencontre

l’autrui c’est le catho..finky en pervers narcissique est trop pucé..il fait trop biper les tracker

des journées entières dans les arbres dit: à

JB, pfeuhh, on sait bien ce que vous avez fait de Josette, dans la cave.

Onésiphore de Prébois dit: à

Le « pervers narcissique », inventé par les psychanalystes, ne fera jamais autant de dégâts que ceux qui ont inventé ce polichinelle pour remplir leurs tiroirs-caisses. Pour s’en convaincre, on peut relire le célèbre « Livre noir de la psychanalyse » et recenser les victimes de cette moderne forme de charlatanisme. Elles sont légions. Les seuls pervers narcissiques qui aient jamais existé, ce sont les psychanalystes eux-mêmes.

des journées entières dans les arbres dit: à

J’aimerais bien que Daaphnée nous donne un aperçu, de la photo de la glU.

bouguereau dit: à

un pervers nacissique est stealth..sinon c’est un con c’est certain..faut pas sfaire prende..au plus malin au plus pervers..finkie y va pas nous gonfler avec sa rhétorique de convers..

Onésiphore de Prébois dit: à

JB, pfeuhh, on sait bien ce que vous avez fait de Josette, dans la cave. (Des Journées)

Merde ! je crois bien que j’y ai aussi emmuré le chat !

TKT dit: à

Unigamba, à l’embauche c’est surtout le futur salarié qui doit séduire, il a moins de choix que le recruteur.
Dire que les patrons sont des pervers narcissiques est assez ridicule, ils sont là pour faire fonctionner une entreprise, pas pour se défouler.
Vous tenez un langage typiquement hexagonal, le désir d’une lutte de classes permanente. Et puis vous généralisez, ce qui est toujours mauvais.

bouguereau dit: à

Les seuls pervers narcissiques qui aient jamais existé, ce sont les psychanalystes eux-mêmes

c’est les derniers qui « nomment » jean marron..au debut c’est ceci sera un clou ceci sera un marteau cet animal sur ma bite un morbaque..et à la fin faut inventer des noms d’oiseau jean marron.. »un bon menteur se croit lui même » c’est un adage de dunké

bouguereau dit: à

Merde ! je crois bien que j’y ai aussi emmuré le chat !

avec le cul qu’elle a..les keuf ont dla route

JC..... dit: à

Déformer mon cher pseudo JC, pur dans sa simplicité, en JCulé… tu exagères mon cher Thierry, mon bien-aimé Thierry !

Tes parents devraient se retourner dans leur tombe, ou sur leur couche de souffrances de t’avoir enfanté par erreur, ou omission contraceptive …uhuhuhu !

bouguereau dit: à

L’enfer, c’est les autres. Alors, pas de cadeaux

pan pan ! kolossal fuzillate!.. à la machineguévère épicétou

JC..... dit: à

Politique incompréhensible de la part d’un gouvernement de droite !

Qu’attendent ils pour envoyer la troupe tirer les intermittents comme des lapins, et les cheminots comme des éléphants ???

bérénice dit: à

comment un « pervers », qui est lui-même un « malade », peut-il être considéré comme responsable des « dégâts » qu’il cause ?

Là réside la difficulté, il semble impossible d’apporter les preuves du harcèlement quand il a lieu et il sera toujours extrêmement difficile de ne pas conclure à une bataille de subjectivité entre d’une part une personnalité despotique et d’autre part une sensibilité qu’on pourra voir comme défaillante, le pervers narcissique ne se jouant que de ses mots et ne laissant qu’une trace affective qui aura rayé dans le sens de la blessure répétitive la psyché de sa victime, après il faudrait réussir à mettre à plat la stratégie infatigable de l’agresseur qui comme un parasite ou un vampire se nourrit de l'(affaiblissement jusqu’à la destruction provisoire ou définitif de l’équilibre ciblé en tant qu’objectif à détruire.

rose dit: à

Et si il ne change jamais, c’est parce qu’il n’en a aucune envie et n’en ressent pas le besoin.

Merci bérénice à 12h38 de votre lien

Onésiphore de Prébois dit: à

JB, pfeuhh, on sait bien ce que vous avez fait de Josette, dans la cave. (Des Journées)

Puisque Des Journées m’y pousse, je vais tout dire ce que j’ai fait à Josette et pourquoi je croupis actuellement dans un endroit sans poésie.

 » La police était pleinement satisfaite et se préparait à décamper. La jubilation de mon coeur était trop forte pour être réprimée. Je brûlais de dire un mot, rien qu’un mot, en manière de triomphe, et de rendre deux fois plus convaincue leur conviction de mon innocence.
— Gentlemen, — dis-je à la fin, comme leur troupe remontait l’escalier, — je suis enchanté d’avoir apaisé vos soupçons. Je vous souhaite à tous une bonne santé et un peu plus de courtoisie.Soit dit en passant, gentlemen, voilà — voilà une maison singulièrement bien bâtie (dans mon désir enragé de dire quelque chose d’un air délibéré, je savais à peine ce que je débitais); — je puis dire que c’est une maison admirablement bien construite. Les murs, — est-ce que vous partez, gentlemen ? — ces murs sont solidement maçonnés.
Et ici, par une bravade frénétique, je frappai fortement avec une canne que j’avais à la main juste sur la partie du briquetage derrière laquelle se tenait le cadavre de l’épouse de mon coeur.
Ah ! qu’au moins Dieu me protège et me délivre des griffes de l’Archidémon ! — A peine l’écho de mes coups était-il tombé dans le silence, qu’une voix me répondit du fond de la tombe ! — une plainte, d’abord voilée et entrecoupée, comme le sanglotement d’un enfant, puis bientôt s’enflant en un cri prolongé, sonore et continu, tout-à-fait anormal et antihumain, — un hurlement, — un glapissement, moitié horreur et moitié triomphe, — comme il peut en monter seulement de l’Enfer, — affreuse harmonie jaillissant à la fois de la gorge des damnés dans leurs tortures, et des démons exultant dans la damnation.
Vous dire mes pensées, ce serait folie. Je me sentis défaillir, et je chancelai contre le mur opposé. Pendant un moment, les officiers placés sur les marches restèrent immobiles, stupéfiés par la terreur. Un instant après, une douzaine de bras robustes s’acharnaient sur le mur. Il tomba tout d’une pièce. Le corps, déjà grandement délabré et souillé de sang grumelé, se tenait droit devant les yeux des spectateurs. Sur sa tête, avec la gueule rouge dilatée et l’oeil unique flamboyant, était perchée la hideuse bête dont l’astuce m’avait induit à l’assassinat, et la voix révélatrice m’avait livré au bourreau. J’avais muré le monstre dans la tombe !

Comme quoi c’est pas le tout de jouer au pervers narcissique. Encore faut-il ne pas se mélanger les crayons.

rose dit: à

Onésiphore de Prébois dit: 15 juin 2014 à 12 h 15 min
Il y a un hic de taille, évidemment : comment un « pervers », qui est lui-même un « malade », peut-il être considéré comme responsable des « dégâts » qu’il cause ?

Question passionnante : on remplace pervers par violeur :
comment un « violeur », qui est lui-même un « malade », peut-il être considéré comme responsable des « dégâts » qu’il cause ?

Il l’est.

Ou par voleur, ou par terroriste etc.

L’intéressant c’est que, non, la victime n’est pas consentante, c’est une proie.
En quoi alors accepte-t-elle de fonctionner dans ce processus destructeur ? Comment un prédateur choisit-il ses proies ?

En tout cas, je peux l’écrire : très facilement.

Elle le subit sans doute parce qu’elle ne sait pas y échapper. Mais pas de souci le pervers, polymorphe, a d’autres proies sous le coude (et le compas dans l’œil).

La question à poser serait : comment, lorsqu’on est malade accepter le fait que l’on soit malade ?

(Je rappelle ma praxis : lorsque j’écris quelque chose je parle aussi de moi (c’est cui kidit qui est)).

Je repose donc la question différemment pour mieux la cerner : comment accepter de se soigner lorsque l’attitude que l’on adopte comme modus vivendi est destructrice pour autrui ?
Si j’ai un cancer je meurs ; si je suis pervers narcissique je tue autrui. Et moi avec. Parce qu’on ne peut pas tuer autrui impunément.

Je ne vois qu’une solution : résister.
Puis, sauver sa peau.

bérénice dit: à

rose dit: 15 juin 2014 à 12 h 54 min
Et si il ne change jamais, c’est parce qu’il n’en a aucune envie et n’en ressent pas le besoin

Tout au contraire, son mode de fonctionnement implique ce besoin à se repaitre de la souffrance qu’il aura réussi à générer. Dans ces conditions, changer ne l’intéressera pas et j’imagine que comme pour le viol il y a quelques temps (les femmes violées le voulaient bien…), il sera difficile de convaincre et de démontrer qu’il y a agression quand bien même ce serait objectivement prouvable, les éléments de preuves et l’épreuve ne possédant aucun caractères matérielles.

rose dit: à

Oui enfin Onépasifort c’est la chat noir d’Edgar Allan Poe. Tu peux l’écrire.

unigamba dit: à

TKT dit: 15 juin 2014 à 12 h 32 min
Tkt, vous lisez tout au premier degré, pourtant l’ironie y est, très grosse…!

bérénice dit: à

matériels.

unigamba dit: à

Unigamba, à l’embauche c’est surtout le futur salarié qui doit séduire. tkt

Déjà victime donc!?
Chacun peut choisir!

rose dit: à

>bérénice dit: 15 juin 2014 à 13 h 07 min

je lis ce que vous écrivez.
Pas besoin de preuves autres qu’une conviction intime. Je lisais récemment, en lien avec ce que vous dites sur le viol, que les femems qui subissent des agressions sexuelles au boulot n’en parlent pas et démissionnent (en catimini).
Le bouquin d’Hirigoyen met à jour ce qui se pratique depuis belle lurette. J’en ai parlé hier : cela se pratique entre enfants (ados) et est soigneusement passé sous silence : un est massacré ; d’autres en jouissent. La plupart couvrent. Chape de plomb.

Lié au syndrome de Stocklom ; à la tendresse, à l’impossibilité de l’abandon ; à la mésestime de soi ; à la répétition de quelque chose de déjà vécu.

Chaque individu, béré, sait si ce qu’il vit est nourricier ou destructeur.

Nous parlions hier de la méchanceté (qui me sidère) : une me disait qu’elle est liée à une grande faiblesse.

Ouvertures.

Bon dimanche, béré.

rose dit: à

Je ne sais pas : ce qui est psychologique détruit bien plus que ce qui est matériel : une disait aussi : elle me martyrise, elle me torture.

Le pervers est celui que ça fait jouir.

Sinon, sanité basique : tu ne tortures pas, tu ne martyrises pas, tu n’en jouis pas.

bérénice dit: à

Et moi avec.

non Rose je regrette mais il existe des gens incurables qui adorent marcher dans la vase, ils y sont bien même enfoncés jusqu’au yeux, c’est leur milieu d’élection, aucun sentiment de culpabilité en eux, on pourrait faire le parallèle avec les pédophiles qui récidivent parce que justement ils sont exempts de sentiment de culpabilité, la perversion est leur norme.

Dexter dit: à

« C’est un livre violent, cruel, impudique, immoral. »

c’est bien pour ça que je n’aime pas la littérature d’aujourd’hui, elle est trop violente, cruelle, impudique et immorale.

on attendrait des écrivains un peu plus d’humanité, en un mot : d’être des humanistes…

qu’ils sachent nous montrer ce que l’homme a de bon en lui, cette bonté naturelle des hommes, qui d’instinct vont aider leur prochain.

car ce qui est beau chez l’homme c’est sa nature si charmante et aimable, son manque d’égoïsme, de cupidité, d’avidité, de vanité, d’ambition, son comportement naturel doux et paisible, son penchant qui le pousse à aimer son prochain comme lui-même, c’est ça la vraie humanité, je veux dire dans la vie de tous les jours, dans le quotidien.

à tel point que nous nous sentons parfois fatigué de toute cette bonté humaine, on aimerait voir les hommes un peu plus méchants.
non ?
j’ai pas raison monsieur Assouline ? ça vous gonfle pas à la longue la naturelle bonté humaine ?

les écrivains peuvent comme ils font les pauvres, ils essaient d’inventer des personnages égoïstes et méchants, il faut qu’ils se crèvent le cerveau d’imagination pour réussir à nous pondre des personnages pourvue d’une telle méchanceté alors que la réalité nous démontre à chaque instant le contraire.

rose dit: à

On ne choisit pas grand chose : et surtout pas d’être victime.

Le coup de la victime consentante, cela me fait gerber (puisque nous en sommes au vomi, crachons donc).

On est victime parce qu’on est victime depuis longtemps.
Ce n’est pas un choix style « ah ben moi je choisis de me faire massacrer ! » : pas du tout.
Et qu’on a un lien très fort avec l’agresseur.
Pareil qu’être sur la radeau de la Méduse.

Les victimes ont des cœurs tendres.
Les bourreaux ont des cœurs durs.
C’est une histoire de circulation du sang : chez les premiers (pourquoi le féminin systématique ?) cela coule, rouge foncé.
Chez les secondes (pourquoi le masculin systématique ?) cela stagne et nécessite des ressorts et des pontages. Le sang est brun.

Salut, je suis partie.

unigamba dit: à

 » tous les patrons sont des pervers narcissiques! »

Ou dit autrement, tous les patrons sont des exploiteurs réels ou en puissance, tous les chefs aussi -les petits chefs encore plus! – la résistance individuelle dans nos sociétés libérales ( certains disent ultra…) a désormais remplacé la résistance collective, le sociétal du care à pris le pas sur le social.

bérénice dit: à

Chaque individu, béré, sait si ce qu’il vit est nourricier ou destructeur.

Oui et alors? Quand vous n’avez pas le choix ou la possibilité de vous extraire de ce milieu destructeur? Les suicidés du travail avaient-ils d’autres choix, acculés à la ruine, au chômage, avec ces quelques millions de chômeurs en France personne ne doute qu’une victime pourra démissionner chargée de l’espoir de retrouver un emploi, take it easy! Quand aux couvertures, complicités coupables, ça complique le jeu, effectivement, chape de plomb.

rose dit: à

Non béré.
Sauf les crapauds dans la vase.
Quand on est malade on souffre.
Rien n’est inéluctable béré.
On peut travailler. S’extirper.
Je sais la douleur.
Un pédophile finit pourri dans son cloaque. C’est juste parce que parfois c’est satisfaisant pour celui qui pratique mais c’est nauséabond.
Je ne crois pas que l’on ne souffre pas.

des journées entières dans les arbres dit: à

Je ne vois pas pourquoi les ( compté 2) veuves noires, velues, vieilles et iniques auraient ici de la légitimité pour donner des leçons sur la perversion d’une relation entre deux individus.

des journées entières dans les arbres dit: à

Surtout que les veuves noires en question ne donnent pas l’impression de faire économie, question bibine.

Dexter dit: à

entre un trader et un chômeur, le plus sympa des deux c’est souvent le trader, les chômeurs en plus d’être des branleurs qui vivent sur le dos des travailleurs sont pour la plupart tous des teigneux, la perversité narcissique du chômeur n’a pas de limité…

unigamba dit: à

On ne choisit pas grand chose : et surtout pas d’être victime.

Oui, mais on peut lutter contre!
Comme de ne pas accepter les gnons psychiques et moraux, parfois physiques du moignon de son père, par exemple!

rose dit: à

bérénice dit: 15 juin 2014 à 13 h 24 min

Quand aux couvertures, complicités coupables, ça complique le jeu, effectivement, chape de plomb.

c’est vrai : et là j’ai honte de moi.
Le pas de choix, par contre ce n’est pas vrai : on a tous le choix tout le temps. Sans arrêt.
Difficile de guérir mais on guérit.

Les burnés out sont ceux qui ont cédé au désespoir : il ne fait pas, béré, céder au désespoir.
Je crois aussi en la guérison du pervers narcissique : il s’appelle un repenti.

Il faut croire en l’homme debout et en marche béré, l’hébreu.

ueda dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 15 juin 2014 à 13 h 26 min
pourquoi les ( compté 2) veuves noires, velues, vieilles et iniques

Édentées, peut-être?

Dexter dit: à

dans la hiérarchie de la mauvaiseté, le pire du pire c’est la perversité narcissique du chômeur intermittent du spectacle.
monsieur Assouline je ne sais pas si votre écrivaine connait les intermittents du spectacle mais il y aurait un bouquin à faire sur eux.
les traders à côté c’est tous des bisounours.

le problème est que le jour où un écrivain dira du bien des traders et du mal des intermittents du spectacle n’est pas encore là, ce jour là on pourra peut-être commencer à parler de littérature.

rose dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 15 juin 2014 à 13 h 26 min

C’est difficile hein d’avoir un témoin attentif depuis le début n’est ce pas.

>rose

c’est dégueulasse aussi d’être le témoin attentif depuis le début n’est ce pas ? En attendant le cassage de gueule.

bérénice dit: à

les écrivains peuvent comme ils font les pauvres, ils essaient d’inventer des personnages égoïstes et méchants, il faut qu’ils se crèvent le cerveau d’imagination pour réussir à nous pondre des personnages pourvue d’une telle méchanceté alors que la réalité nous démontre à chaque instant le contraire. Dexter

C’est de l’humour ou vous n’êtes pas encore sorti du jardin d’Eden?

unigamba dit: à

la perversité narcissique du chômeur intermittent du spectacle.

C’est sûr, on en connait tous un, sans boulot, qui se dit autrement acteur que Depardieu!

des journées entières dans les arbres dit: à

JB, c’est à cause de vous et de vos coups de crayon, qu’on reste enfermé dans la bibliothèque !

Dans un village du Trièves enfoui sous la neige, ont lieu des événements étranges. Une jeune bergère, Marie Chazottes, disparaît, un homme est attaqué, un porc est mutilé. L’hiver suivant, à nouveau, un homme disparaît. Arrivent alors au village six gendarmes conduits par le capitaine Langlois, chargé de résoudre ces mystères. Nouvelle disparition. L’hiver suivant, Frédéric II, qui possède une scierie à l’écart du village, voit un homme descendre d’un grand hêtre. Il monte dans l’arbre, découvre les cadavres des disparus et suit l’homme jusqu’à Chichilianne. Il apprend son identité : c’est un certain M. V. Langlois, à son tour, part à la recherche du criminel, le trouve chez lui, le tue, puis démissionne. Quelques mois plus tard, Langlois revient au village, comme commandant de louveterie. Il s’installe chez Saucisse, une « vieille lorette de Grenoble », qui tient le Café de la Route. Il fréquente le monde de la contrée (la créole Mme Tim, le procureur royal de Saint-Baudille), se marie, s’ennuie. Lorsqu’un loup ravage le pays, Langlois le traque et le tue dans une cérémonieuse battue. Dès lors, il comprend que le seul divertissement qui vaille est le meurtre. Il se suicide en fumant un bâton de dynamite pour que la fascination du sang ne fasse pas de lui, à son tour, un assassin.

Read more: http://www.site-magister.com/roi.htm#ixzz34ht84UNR

rose dit: à

Je lis souvent c emot sous votre plume : inique. Qui a trait à l’injustice.

Cela seul me fait gerber : l’injustice.

N’est ce donc pas foncièrement injuste de reproduire ce que l’on a vécu soi-même ? Au lieu de le transformer en un acte créatif ?

des journées entières dans les arbres dit: à

J’aimerais bien que Daaphnée, nous donne, un aperçU de la photo, de la glU.

rose dit: à

Dans le film Un roi sans divertissment, le passage où l’on voit les jeunes femmes mortes en haut de l’arbre, blanches, sous la neige est saisissant. Rangées côte à côte, comme les femems de Barbe bleue dans la placard.

Merci de ce lien magnifique entre le sujet du jour et ce roman de Giono.

Le mot est moderne, et galvaudé : la réalité est constante et navrante.

rose dit: à

Rangées côte à côte, comme les femmes de Barbe bleue dans le placard.

TKT dit: à

Unigamba, je préfère quand l’ironie est fine.
Avant de dire qu’il faut savoir vous lire, apprenez peut-être à écrire ?

rose dit: à

Il ne s’agit pas de porter un jugement. Encore moins de lancer la pierre.
Que celui qui n’a jamais péché s’hasarde.
Il s’agit de percevoir les mécanismes.
De voir si l’on peut les contrer.
Et comment.

bérénice dit: à

Édentées, peut-êtrhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Latrodectismee.

rose dit: à

: il ne faut pas, béré, céder au désespoir.

bérénice dit: à

Rose, l’âge de toutes les façons aura raison de tout, de tous et de nous, désespoir & TTC.

unigamba dit: à

TKT dit: 15 juin 2014 à 13 h 41 min

Comment ne pas accepter charitablement ce conseil hospitalier!

rose dit: à

fr.wikipedia.org/wiki/Latrodectismee.

pas du tout, blablabla : le tabac. L’amour. Les dents sont fragiles aux relations amoureuses.
Mais la première cause est le tabac : il fait tomber les dents.

rose dit: à

TTC qu’est-ce bérénice ?

des journées entières dans les arbres dit: à

la veuve noire et velue de 13h45 a un sens très noble des auttres, biblique même:

Après moi le déluge:
Parole attribuée à Mme de Pompadour : sert à marquer un désintérêt complet de ce qui peut arriver après soi.

Paul Edel dit: à

Comment avoir envie de lire un roman qui, réduit à son intrigue, ressemble à une pub ratée pour Meetic, un antidépresseur ? pour une chaine d’hôtels ? pour une banque en ligne ? et qu’on a l’impression d’avoir vu cent fois dans les feuilletons pour ménagères de TF1?.. depuis les lignes de coke dans les toilettes jusqu’au ground zéro ? une montagne de clichés : défonce, jusqu’au fric roi.. ecstasy baises farouches sans doute ? voilà une héroïne candidate à la prostitution bourgeoise , et bien sûr victime qui crie son malheur et sa plainte sur 2OO pages. Un bouquin-cliché de plus.. voilà de quoi ça a l’air.. ..

Je passe donc une petite annonce :
cherche roman avec sérieux, pudeur,liberté, dévoilement, délire, délicatesse, plaisir, ombrage, retrait.art tape- à -l’œil , et féministes révoltées s’abstenir s’abstenir.
Selon Pierre Assouline «« C’est un livre violent, cruel, impudique, immoral. »
beurk ! j’en ai déjà 5 bibliothèques pleines. J’arrive plus à suivre tellement ils sont nombreux.. il y a quekques années, c’était les écrivains qui buvaient, mainteant ce sont les lecteurs qui boivent pour supporter de tels bouquins..

lourd et lent dit: à

unigamba dit: 15 juin 2014 à 13 h 47

T’inkékète donc pas, tkt n’a sûrement pas compris le message!

Un lecteur assidu dit: à

« maintenant ce sont les lecteurs qui boivent pour supporter de tels bouquins.. »

A la bonne vôtre, Paul Edel!

bérénice dit: à

Du sirop d’orgeat ou un Marie Brizar bien frappé? Je prendrai un Martini blanc avec beaucoup de glace également si c’est avant, après je ne sais pas trop s’il sera possible de boire de ce merveilleux Drappier.

Un lecteur assidu dit: à

bérénice dit: 15 juin 2014 à 14 h 28 min

Une poignée de glaçons
1/10ème téquila
1/10ème triple sec
8/10ème kas citron
( cela en apéritif, pour ne pas casser les vins qui suivront, sinon à toute heure vous pouvez augmenter les doses de téquila et de triple sec.)

bérénice dit: à

Votre cocktail relève de l’assassinat ou bien des habitués, en tout cas je déclarerais forfait avant la fin du premier. Son nom? Il le signe de la pointe de l’épée?

Un lecteur assidu dit: à

« casser » le goût des vins, bien entendu…

des journées entières dans les arbres dit: à

« le dixième anniversaire des attentats du 11 septembre dans le silence mystique de Ground Zero. Deux femmes sont là pour faire le deuil de leur mari. »

leurs maris étaient des terroristes ou est-ce de la programmation neuro liguistique, cette date anniversaire ? Est-ce qu’il y a un lien-fil rouge- subliminal, dans cette date anniversaire ?

En tout cas merci avec ce lien youtube mis en lien dans le billet, j’ai trouvé une interview avec deux protagonistes engagés dans une lutte sans pitié.
Merveilleux.
L’aigle et le colibri.

https://www.youtube.com/watch?v=v2iQOtqRZO4

Un lecteur assidu dit: à

Très apprécié des femmes et je le connais grâce à une amie…
Vous pouvez ajouter une paille articulée pour le folklore.

des journées entières dans les arbres dit: à

Dr Lecter, posez vos godillots, vous écrasez mes plates-bandes !

bérénice dit: à

13h55 depuis Noé nous nous sommes enrichis d’Hiroshima Tchernobyl Fukushima, il faudrait actualiser cette prise de position, le déluge n’étant plus l’ultime danger, Nostradamus ou les Incas peut-être même les Aztèques, peu importe, prévoyaient que nous péririons par le feu.

kicking dit: à

incroyable de lire le nombre d’individus incapables de signaler à propos d’un sujet aussi à la mode que le pervers-narcissique ce dont ce dernier a besoin pour agir en toute tranquilité..

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

comme si publier un texte sur le net équivalait au label écrit au XIX° siècle.

des journées entières dans les arbres dit: à

kicking dit: 15 juin 2014 à 14 h 48 min
de quoi avez-vous besoin pour vous nourrir ?

ici Londres dit: à

le petit trépignement de Popaul… ceux et celles qui ont lu ses livres en savent quelque chose, quelle tristesse…

kicking dit: à

djedla ne détournez pas le sujet..

j’y reviens..
1) être en position de convaincre l’entourage de la victime que ce qu’on lui fait subir est pour son bien
2) une fois cela acquis en tirer un pouvoir quasi absolu
3) la respectabilité sociale dont le pervers-narcissique est généralement très dépendant reste assurée pendant le massacre dans l’attente patiente que la victime montre tous les symptômes de quelqu’un s’étant détruit lui-même

et maintenant pour répondre à votre question je ne bouffe pas (encore et malgré mon grand âge) les pissenlits par la racine

kicking dit: à

et voilà au passage pour « l’autre »..

maintenant que l’on m’excuse de ne pas venir faire du food porn chez vous..

bon dimanche

bérénice dit: à

incroyable de lire le nombre d’individus incapables de signaler à propos d’un sujet aussi à la mode que le pervers-narcissique ce dont ce dernier a besoin pour agir en toute tranquillité..

Kicking, s’il fallait recenser les pervers et parmi eux les narcissiques, on n’en finirait pas et il est encore probable que vous soit demandé de consulter pour paranoïa, ils agissent en toute tranquillité parce leur action est de l’ordre du filigrane ou de l’interligne, à l’encre sympathique.

des journées entières dans les arbres dit: à

kicking dit: 15 juin 2014 à 14 h 55 min

Vous avez recopié wikipédia ?

Ps: vous plait pas ce lien youtube sur Pierre Rahbi et Jacques Olivier Travers à la bibliothèque Medicis ?
https://www.youtube.com/watch?v=v2iQOtqRZO4

Intellectuellement c’est beaucoup plus rentable et bénéfique que l’interview de la pauvre Emma Le Bihan; dans quelle galère elle a accepté de se fourvoyer, la pauvre…

des journées entières dans les arbres dit: à

Kicking, j’espère pour vous que vous êtes bien sorti de votre thérapie. Encore qu’à vous lire, cela ne semble pas non plus évident.

kicking dit: à

béré vous vous branlez avec des mots à la mode comme tout le monde, bien, et puis ?

kicking dit: à

j’espère pour vous que vous êtes bien sorti de votre thérapie

vous invoquez le médical parce que vous n’assumez pas vos opinions ? être péteur en puant la merde peut passer pour un simulacre de cohérence dans la mesure où on n’a pas été la chercher ailleurs..

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

et on ne parlera pas des suicides en psychanalyse , et que quelqu’un comme le ondateur de la colletcion « l’un et l’autre » , J.P. a pu dire publiquement « avec moi, ce n’est pas dangereux, tandis qu’un de se collègues, dans son séminaire, disait qu’aller -alors- sur un divan, c’était risquer sa peau .
bon et le reste de la littérature dans tout ça ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Si vous soupçonnez- pour quelque raison que ce soit- d’avoir à faire à un pervers narcissique, le plus sage à conseiller c’est : la fuite.

bérénice dit: à

béré vous vous branlez avec des mots à la mode comme tout le monde, bien, et puis ?

hORREUR DU mARQUIS ET DE SON VOCABULAIRE, j’ai d’autres loisirs.

Bardamu dit: à

rOSE qui est intarissable depuis la nuit dernière, a bien deviné que je n’ai pas le BAC !

(comme aime à le dire JP Foucault, pour ne l’avoir passé qu’à Barcarin; et Ss/quelques autres latitudes pour myself)

Et ce que je dois dire penaud, c’est combien on ressent ce vide, lorsqu’une discussion verse dans la psychanalyse, et la pervers narcissivité… (n’ayant de plus jamais pu devenir fonctionnaire…)

Par exemple; dernièrement Sitbony (un ponte du machin truc) s’est fendu d’une extraordinaire analyse sur la perversité des propos de JMLP le pâtissier. Eh bien malgré ma volonté… couikk (trop fort pour moi: Spaltung dans le sujet)
Disons que je ressens plutôt les situations; bêtement terre à terre, quoi. Et puisqu’on a parlé de ce gentil Toubon. Je me souviens de ces propos à propos des femmes:
« ce que je regarde d’abord en elles ce sont les jambes »
C’est Toucon qui parlait, mais pour moi c’est presque pareil, cette monstrueuse et sombre attirance, d’où mon angoisse de la Perversnanavicieusité… Or ce qui m’a rassuré (pas sur moi mais sur lui Toujon), c’est que dans le même reportage (style Delahousse…) le brave homme à la tête bien ronde, comme pour prouver à rebours sa « fidélité », et du coup la perversité de l’autre (oui du Grand « A-utre » aurait dit Lacan que je salue en le signifiant), oui il ajoutait:
« si Jacques Chirac, me le demandait je sauterais par la fenêtre »

Allez expliquer les suicides des (hauts) fonctionnaires sans cela… sans ce sens de l’Etat !
Et si c’est pas normal qu’il rejoigne la Haute Autorité Bidule…

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

frère : ah אח presque aher à une lettre près

bérénice dit: à

godillots vous pourriez évoquer le suicide sans filet?

bouguereau dit: à

« la preuve de l’humilité, la vraie, c’est d’être la victime consentante d’un boudin pas fier » dlarochefoucault

gilou dit: à

« C’est une invention récente de psychiatres et de psychanalystes  »

non, plutôt un constat devant la prolifération des cas

bouguereau dit: à

vontraube..ta fierté entre les mains de dédé elle prospère pas..

bouguereau dit: à

ta gueule raclure…t’es laid con et malcontent..une insulte a jéova

bouguereau dit: à

si Jacques Chirac, me le demandait je sauterais par la fenêtre

pour jacquot tomber de caribe en cila c’est du rdc à ground zéro..

les parents de la fille dit: à

elle sait donner mais non recevoir, incapable de reconnaître les efforts de ceux qui l’aiment vraiment, attitude dans laquelle elle voit la forme achevée de l’ingratitude. « Une méchante fille » selon sa mère. Entendez : quelqu’un d’odieux.

C’est sûrement congénital

bouguereau dit: à

job c’est la victime consentante du pervèrenarcisse avec un grand p comme dirait dracul

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Comme il aurait été un peu vulgaire d’évoquer un rançais, j’ai choisi une histoire belge au hasard

Vendredi 22 octobre 1999

Le cavalier international s’est donné la mort, jeudi, dans sa propriété de Peulis Eric Wauters a fait le grand saut

Le cavalier international Eric Wauters (48 ans) s’est suicidé, jeudi matin, dans sa propriété du Green Grass Land, à Peulis, près de Malines. Ce geste au demeurant inexpliqué laisse sans voix le monde du saut d’obstacles dont il était en Belgique la figure sans doute la plus représentative.

alex dit: à

job c’est la victime consentante du pervèrenarcisse

le christ

Onésiphore de Prébois dit: à

« la preuve de l’humilité, la vraie, c’est d’être la victime consentante d’un boudin pas fier (bouguereau)

la preuve de l’humilité, la vraie, c’est d’être un boudin pas fier d’être une victime consentante.

Marc dit: à

Message personnel

Je t’aime et je t’ai toujours aimé, malheureusement le temps m’a manqué pour te le dire et mon agenda est surchargé pour une durée indéterminée, je ne peux donc toujours pas formaliser mon sentiment. Je compte sur ta compréhension et te demande de patienter sans aller consulter un de ces psy à la noix qui ne pourront rien pour toi sauf à dresser un dossier d’une psychopathologie faussée. Bien évidemment, à toi de te débrouiller avec ce que cette absence donne à commenter, tu n’as qu’à relire Yves Navarre.

Mme Michu dit: à

Ah ben tiens si l’humilité c’est se vanter de donner ce qu’on n’est pas…

de tout et de rien dit: à

« le monde du saut d’obstacles dont il était en Belgique la figure sans doute la plus représentative. »

C’est vraiment une histoire belge, votre récit.
N’ayant plus la frite à sauter les obstacles, il se fit sauter le cervelle?
( J’adore!)

bérénice dit: à

Michu je surveille ma tranche d’agneau, pauvre bête, expliquez-vous car le sous-entendu n’est pas mon fort, aussi l’on a coutume de me décrire en être primitif sans métastase.

bérénice dit: à

Je t’ai toujours aimé…

Encore un garçon qui en aime un autre, quelle époque où les femmes minoritaires vont devoir se battre pour embarquer pour Cythère.

hamlet dit: à

bonjour Monsieur Assouline, merci pour cet article qui donne envie de lire ce livre.
depuis son premier livre j’ai toujours bien aimé Bret Easton Ellis, je trouve qu’il donne à l’auteur qu’il est la bonne distance.
BEE a toujours été conscient de la duplicité actuelle propre à la culture et plus particulièrement à la littérature, le caractère de sainteté de l’écrivain qui dit et montre ce qui est, et celui de rédemption dans lequel il place le lecteur toujours à la recherche du pardon.
la figure du trader comme victime expiant nos péchés et assez bien trouvée.
les destins tragiques de l’existence des consommateurs de produits culturels est de savoir qu’il n’a pas d’alibi, pas d’excuse, impossible d’invoquer son impuissance face au crime commis devant sa porte, tous les matins il va chercher dans sa boite aux lettres les messages de Bret Easton Ellis lui décrivant les atrocités du monde, dans chaque enveloppe avec le récit du destin tragique il trouve une hostie, il l’avale consciencieusement, nous n’avons plus d’autres choix possibles, sinon d’attendre la prochaine enveloppe contenant le récit d’un nouveau destin tragique, tant qu’il ne s’agit pas du nôtre nous n’avons pas d’autres choix possible.

hamlet dit: à

la légèreté

des journées entières dans les arbres dit: à

 » La manipulation mentale

On parle de manipulation mentale lorsqu’un individu ou un groupe exerce, d’une façon ou d’une autre, une tentative de contrôle, le plus souvent psychique, sur autrui entraînant une déstabilisation des processus décisionnels, de la capacité à juger, du pouvoir d’auto critique.
Autrement dit, la manipulation mentale est le fait d’obtenir de quelqu’un qu’il fasse ou pense quelque chose, sans qu’il ne s’en aperçoive véritablement, sans qu’il puisse décoder que sa réflexion est hors service.

Le mécanisme d’emprise par un pervers narcissique
Lorsqu’elle vise à exercer une emprise sur autrui, la manipulation mentale est l’oeuvre d’un manipulateur, en psychopathologie on l’appelle un pervers narcissique.
Rien ne le distingue particulièrement, et si nous croisons son chemin, il y a de grandes chances pour que nous le trouvions sympathique, accueillant, intelligent et même cultivé. Les manoeuvres qu’il déploie sont dissimulées et n’alertent pas.
Cette capacité à manipuler n’est donc pas l’apanage de n’importe qui, elle est celle du pervers narcissique dont la description a été faite à la fin des années 80, notamment par Alberto Eiguier, psychiatre et psychanalyste, dans son livre « Le pervers narcissique et son complice » . Le titre même de l’ouvrage indique la nécessité d’un « autre » sur qui va se déployer la manipulation. Ce « complice » doit également avoir certaines dispositions psychologiques qui vont l’amener à se « soumettre ». »

Notes prises lors de l’intervention de Françoise Chanussot, psychologue clinicienne, lors d’une réunion régionale des ADFI du Sud-Ouest.

http://www.unadfi.org/IMG/pdf/La_manipulation_mentale.pdf

ADFI: Associations de défense des familles et des individus victimes de sectes.

L’ADFI a part ailleurs mis en garde contre certaines pratiques:

•Psychothérapies et Sectes

Il ne s’agit pas de dénoncer la psychothérapie comme étant un outil dangereux mais nous ne pouvons pas nier que son utilisation peut être source de multiples dérives : escroquerie, mise sous dépendance, exploitation, profits, sectarisme… En effet, les groupes sectaires n’hésitent pas à faire des emprunts aux techniques psychothérapeutiques. Non contrôlée, accessible à tous puisque, selon certains, chacun de nous en un rien de temps peut devenir psychothérapeute grâce à des formations payantes proposées par n’importe qui, la psychothérapie est un outil très intéressant pour les sectes et futurs maîtres à penser. Détournées de leur finalité par certains, toutes les techniques de psychothérapie peuvent être utilisées à des fins de mise sous dépendance. Ainsi, seront utilisés P.N.L, analyse transactionnelle, rebirth, hypnose, sophrologie, et bien d’autres encore, dans le but de déstabiliser les individus par un travail de remise en question de leurs représentations du monde extérieur et du monde interne, par l’acquisition de nouvelles connaissances et d’un nouveau langage, par la fabrication de certitudes et, enfin, de modeler la personnalité grâce à une relation privilégiée établie entre le thérapeute et le patient où la neutralité bienveillante et l’analyse du contre-transfert n’existent pas.

Ils diront dit: à

Ils disent dit: 15 juin 2014 à 16 h 00 min

bouguereau dit: 15 juin 2014 à 15 h 25 min

Un panaris.

(Le panaris (du latin : panaricium), est un terme général employé pour désigner « toutes les inflammations aiguës (des parties molles))

bérénice dit: à

Hamlet selon vous nos vies seraient métronomiques, tragique de l’autre, tac et tragique de notre trajectoire personnelle, tac et à ce jeu de miroir, si ce n’était l’hostie, nous ne saurions plus vraiment ce qui nous distancie de l’assassin du livre ainsi avec une facilité déconcertante en oubliant l’hostie, nous pourrions sauter de la page du livre à la vie, de la vie à la page fatidique, c’est pour le moins inquiétant pour ceux qui auraient abandonné la foi.

JC..... dit: à

Les pervers narcissiques n’existent que dans la logorrhée des charlatans qui pullulent et succèdent, impunis, à ce voyou de Siggy le Bouffon Viennois, le roi du divan à statuettes !

Vous êtes, nous sommes, ils sont, peu ou prou, des pervers narcissiques : des humains aux normes, quoi !!!

Homéostasie bien naturelle … tout à fait compréhensible, inévitable dans ce monde de méchants patrons, de vilains syndicalistes, de salauds politiques faisant des trucs pas propres…

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Comme je n’aime pas ce titre qui renvoie effectivement à …(cherchez) j’en mets un et j’en invente un ?
L AUTRE JOURNAL
LE RETOUR DE L AUTRE

bérénice dit: à

à ce voyou de Siggy le Bouffon Viennois

J’ignorais qu’Onfray fut votre maitre à penser.

Bihoreau de Bellerente dit: à

«Il n’y a pas de gens méchants, que des gens malheureux.»

Cette phrase remonte sans doute à la nuit des temps mais jamais ne fut-elle plus acceptée que de nos jours. Plus de criminels, que des malheureux rendus malades par leur malheur. Vidons les prisons, remplissons les maisons de santé, protégées par de hautes murailles barbelées.

Et ces gens toxiques qui nous pourrissent la vie, faut-il se précipiter vers eux et leur baiser les pieds? Certains ne s’en remettraient pas.
La société de consommation devait apporter le bonheur. Écoutez Foule Sentimentale pour vous en dissuader. Mais vous le saviez déjà, non?

Sergio dit: à

Elle ha qu’à lui filer de la mort-aux-rats dans le tartare…

TKT dit: à

@ bouguereau dit:15 juin 2014 à 15 h 23: « vontraube..ta fierté entre les mains de dédé elle prospère pas.. »:
La fierté de quelqu’un ne peut être qu’entre ses propres mains.
Alors, Bouguereau, dans les mains d’un inconnu malade du cerveau, que voulez vous que cela ait comme impact direct sur moi ?
La fierté ce n’est pas non plus ce que l’on puisse avoir de plus valable.

Qu'ils disent... dit: à

C’est bien que chacun s’aperçoive (le nombre grandit chaque jour), que Bouguereau est à la fois un salaud et un con.

JC..... dit: à

« La fierté ce n’est pas non plus ce que l’on puisse avoir de plus valable. »

Réaction helvète de notre ami Thierry : un tas de money, amas dodu, bien charnu, c’est bien plus valable !

des journées entières dans les arbres dit: à

Dans « L’Oiseleur, l’autour et l’alouette », Jean de La Fontaine décrit » Un manant au miroir prenait des oiselons, Le fantôme brillant attire une alouette ».

Au XVIIIe siècle, le miroir accompagne l’abreuvoir et la tonnelle murée pour la chasse des petits oiseaux et le traîneau pour l’alouette dans l’encyclopédie « Chasses-Pêches » de Diderot & d’Alembert: » Ayez un miroir, que toute la surface soit couverte de morceaux de glaces, que les faces latérales soient en talus, afin que le miroir tournant sur son pivot avec vitesse, forme à l’œil un corps solide, continu, convexe etbrillant. » La chasse au miroir aux alouettes connaît son essor de la seconde moitié du XIXO siècle à la seconde guerre mondiale. Classiques, mécaniques, à l’acétylène ou même électrique: les esprits inventifs ne manquent pas d’idées et tout ou presque est essayé! Il existe alors deux types: le miroir à ficelle, de loin le plus apprécié et le modèle mécanique.

http://le-miroir-a-alouettes.fr/un-peu-dhistoire

JC..... dit: à

Bouguereau, que Dieu le protège, est le mat central du Passou Circus !! INDISPENSABLE.

On l’enlève, et le chapiteau s’écrase sur les petits maitres et les petites couillonnes du blog, s’agitant comme puces pensives…

des journées entières dans les arbres dit: à

y’a pas de rapport disait l’autre.

lecteur dubitatif dit: à

ta fierté entre les mains de dédé elle prospère pas.. »

ah bon?dédé flatte la bistouquette de thierry?

Fable dit: à

JC….. dit: 15 juin 2014 à 16 h 42 min

« Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,
Et de tous les côtés au soleil exposé,
Six forts chevaux tiraient un Coche.
Femmes, Moine, Vieillards, tout était descendu.
L’attelage suait, soufflait, était rendu.(2)
Une Mouche survient, et des Chevaux s’approche; »

alex dit: à

JC….. dit: 15 juin 2014 à 16 h 27 min

pervers narcissique, vous en faites trop dans la flagornerie

charles dit: à

jc impressionné par les grosses gueules

JC..... dit: à

Djedla,
votre dernier lien est d’une rare obscénité mensongère. L’objet métallique n’est pas ce que vous dites, mais un gode ceinture Bouguereau, prototype qu’il conçu et réalisa à l’âge de 13 ans …

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