de Pierre Assouline

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La République des livres
Des oiseaux et des oeuvres, mais sous quel nom et à quel titre ?

Des oiseaux et des oeuvres, mais sous quel nom et à quel titre ?

Ces deux livres-là attendent sur ma table depuis près de deux ans. Comme quoi… Peur d’y toucher ? Pas vraiment. Plutôt l’appréhension de pénétrer dans une forme déroutante, mêlée au sentiment que certains livres s’inscriront dans la durée par leur étrangeté même. Il est vrai que les projets qui sous-tendent ces deux-là sont particulièrement originaux.

Quel est le plus souvent notre réflexe naturel lorsque nous entrons dans un musée ? Le regard attiré par un tableau, nous nous précipitons vers le petit cartouche sur le bord du cadre, ou sur le cartel à côté, pour nous renseigner : titre, auteur, collectionneur… Le pedigree, quoi. Nous identifions, tendance qu’un Henri Cartier-Bresson ne cessait de dénoncer ; par principe, il s’interdisait même de savoir, de manière à conserver toute sa pureté au choc esthétique, désencombré de la culture et du commentaire. Cette réaction est au cœur de La fabrique du titre (454 pages, 27 euros, Cnrs éditions). Trois maîtres d’œuvre (Pierre-Marc de Biasi, Marianne Jakobi, Ségolène Le Men) y ont recueilli différentes contributions de spécialistes sur les pratiques de nomination des œuvres d’art, fruit d’une recherche collective basée sur la méthodologie génétique. Leur mosaïque offre une passionnante contribution à l’histoire de l’intitulation en art.Mark-ROTHKO-02

Ce n’est pas rien, un titre : il gouverne et modifie notre regard sur l’œuvre plus souvent qu’on ne le croit. Il n’est plus considéré comme une annexe de l’œuvre d’art mais comme un objet d’étude à part entière. Ce n’est pas un hasard si c’est un écrivain, et non un historien de l’art, qui a été pionnier dans cette démarche : Michel Butor en 1960 lorsqu’il publia Les mots dans la peinture à la demande de Skira, un essai sur l’omniprésence de l’écriture dans la peinture. Puis des sociologues, des historiens, des sémioticiens, des philosophes lui ont emboité le pas. S’il est posé avant l’acte créateur, le titre peut influer sur la création. S’il vient de l’imagination du commanditaire, et non de la volonté de l’artiste, aussi. Ce livre particulièrement savant, qui brasse quelques siècles d’activité créatrice, est riche de pistes nouvelles. Derrière la typologie universitaire, on pourrait en tirer un inventaire à la Prévert des catégories de titres : énigmatique (Le sommeil de la raison enfante des monstres), sec (Untitled), descriptif (Un enterrement à Ornans), évocateur (Le Verrou), breveté (IKB), fantasmatique (Judith décapitant Holopherne), allégorique (L’Origine du monde), poétique (Ceci n’est pas une pipe), sans commentaire (Peinture 202 X 143 cm), tahitien (Te Pape Nave Nave), baudelairien (Olympia), ubuesque (Récolte de la tomate sur le bord de la mer rouge par des cardinaux apoplectiques), orphelin (Sans-titre)…

Et que dire alors des titres attribués par erreur ? Nul doute qu’ils changent le regard. René Char, du temps qu’il commandait un maquis dans le Lubéron, gardait constamment sous les yeux, dans son bureau aménagé dans une grotte, une reproduction d’un tableau de Georges de La Tour intitulé « Le prisonnier » ; il y voyait une métaphore de la condition de la France sous l’Occupation ; après la guerre, des recherches en archives révèleront qu’en vérité le tableau s’intitulait « Job raillé par sa femme », ainsi qu’on peut le voir de nos jours au musée des Beaux-Arts d’Epinal… Il est permis de baisser les yeux vers le titre ; mais aussitôt relevés vers l’œuvre, gardons-nous d’y voir un sujet.

L’autre livre, si intimidant que j’ai mis près de deux ans à oser m’y plonger, est Un Glossaire d’oiseaux grecs (480 pages, 29 euros, José Corti) de D’Arcy Wentworth Thomson (1860-1948), savant en biologie et en langues anciennes qui avait du savoir plein les armoires. Un Pic de la Mirandole en version monomaniaque. Même pas les oiseaux, mais leurs noms d’oiseaux. Et encore uniquement la manière dont les anciens Grecs l’entendaient. Disons qu’il devait délicieusement obsessionnel. Car le résultat en est un objet littéraire non identifié, fascinant par sa gratuité, déroutant par l’érudition qui y est déployée. Son monstre n’a pas été seulement traduit par Dominique Meens (Saint-Omer, 1951) mais, comme indiqué sur la couverture, également « augmenté de commentaires dilettantes, d’anecdotes délectables prises à divers auteurs anciens et modernes, de remarques saisissantes et de propos inactuels sur la situation présente ». On ne fait pas plus inattendu. A qui s’adresse une telle somme ? C’est simple :

“Notre ouvrage est utile voire indispensable à toute personne répondant à l’une où l’autre de ces propositions : elle possède une paire de chaussures de marche ; elle connaît l’histoire d’Achille et celle d’Ulysse ; il lui arrive de penser, voyant des hirondelles raser la prairie, qu’il va bientôt pleuvoir ; elle possède un dictionnaire, il lui arrive de le consulter ; des images d’oiseaux englués dans le pétrole ou le goudron l’attristent ; elle ouvre parfois un livre au hasard comme on faisait autrefois des Bucoliques de Virgile afin d’envisager l’avenir avec optimisme ; elle n’imagine pas qu’on puisse faire un roman d’un glossaire ; elle a entendu parler d’Aristophane et de ses comédies ; elle sait qu’il ne fait pas bon aux grenouilles d’avoir une cigogne pour tyran ; trop de racines grecques dans une phrase française l’agace ; elle n’a jamais de sa vie aperçu le moindre torcol ; elle aime rire, parfois même de choses sérieuses.”

 Armed_owl_Louvre_CA2192Bien sûr, on peut continuer à vivre en ignorant qu’Akmön désignait il y a très longtemps un genre d’aigle. Ou que Gëtauros désignait le Butor (encore lui !). Ou même que le Dikairon était un prétendu volatile de la taille d’un œuf de perdrix dont les fientes avaient la faculté de provoquer une mort aussi tranquille qu’un endormissement. Mais quand on le sait, on se sent… autre. D’autant que, pour ajouter à l’étrangeté de cet univers, ce dictionnaire rangé comme de juste par ordre alphabétique, juste après la lettre « T » comme Tutö, repart aussitôt avec des « H » comme Hubris, mais pourquoi pas, au fond… Cette somme on ne peut plus inactuelle est un dictionnaire des noms que les Grecs donnaient aux oiseaux dans l’antiquité.

Poète ornithologue Dominique Meens le présente sous un genre inédit appelé “dorman”, ou si l’on préfère “roman sans romanesque”. Parfois, on ne sait plus trop ce qui est de lui et ce qui appartient à D’Arcy Thomson, ce qui n’a d’ailleurs aucune importance. C’est d’une érudition si vertigineuse qu’elle en devient musicale. Certaines définitions sont longues de plusieurs pages (Kuknos ou le cygne) d’autres de quelques mots (Stuphokomnos ou le coq ou la caille de combat selon les scolies d’Aristophane). Il faut évidemment y picorer ; on ne garantit pas l’état mental ni le casier psychique de celui qui s’aventurera à le lire en continu de la première à la dernière page (à ce sujet, il faudra penser à prendre des nouvelles de l’éditeur et du correcteur). Secouez ce livre, il s’en envolera des petits choucas, des tarins des aulnes, des grands cormorans, des garamantes, des troglodytes mignons, des rouge-queue en version estivale des rouge-gorge d’hiver et autres oiseaux fabuleux qui lancent leurs plumes comme des flèches, tous se déployant sous leur nom grec d’autrefois.

(« Le peuple migrateur », photo extraite du film de Jacques Perrin ; Mark Rothko, « Orange, Red, Yellow », 1961, collection privée ; Chouette armée. Oenochoé des Anthéstéries attique à figures rouges, vers 410-390 av. JC, Musée du Louvre )

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commentaires

985 Réponses pour Des oiseaux et des oeuvres, mais sous quel nom et à quel titre ?

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…allons-y , avec mon intervention,…en bref!,…

…aussi sur monnaie de type genre gauloise!,…

…une aigle stylisée qui maintient une croix, et qui avec son bec,…se nourrir des ronds entre les branches de la croix!,…
…voilà!,…
…interprétations faciles à divers stratifications superposées d’esprits!,…là!,…
…observation au genre!,…Esope!,…

…la croix; aux croyances protectrices-sécurisées à attirés les ronds nigauds-abrutis,…
…et, l’aigle-état,…à se servir en confondant son vol quotidien en chasse!,…en razzias de fruits !, comme lièvres nichés! sous paroisses, cloîtres,…abbayes, églises de toutes religions,…pour faire court & bref!,…
…croyez mes pigeons!,…en trappes en cour du seigneur, & à cachots d’inquisitions!,…
…aux bénéfices du doute,…
…en rester son propre seigneur & maître d’oiseaux,…que faux-cons en cage!,…tient!,…tient!,…

…un gallo-romain de passage!,…envoyez!,…etc!,…encore un butor!,…à deux balles!,…etc!,…bref!,…

TKT dit: à

Jaune Braun, çi vous avé eu du plézirr à aicrire ze movais passetisch, je suie kontant pour vou.

f de bassan dit: à

Le Monument au Pigeon-Soldat1 (ou Monument aux Colombophiles2) est un mémorial de style éclectique élevé à Bruxelles en Belgique pour commémorer le rôle joué durant la Première Guerre mondiale par les colombophiles belges et leurs pigeons voyageurs2.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Monument_au_Pigeon-Soldat

hamlet dit: à

exact Paul Edel le talent des écrivains se situe dans leur sens de l’observation, et non pas dans l’observation du sens.
un écrivain pourra parfaitement décrire la vie d’un type au chômage mais il ne saura jamais trouvé le moyen de lui donner du boulot.

c’est la grosse erreur de notre époque : on a cru que le fait de comprendre les phénomènes allait nous aider à les résoudre.

c’est ce qu’on peut appeler la grande illusion spinoziste.
c’est pour cette raison que nous auréolons les écrivains et les philosophes, parce qu’ils nous donnent confiance en nous en nous donnant l’illusion d’être intelligents.
comme greubou qui donne toujours l’impression d’avoir tout compris à tout.
résultat des courses nous avons des flopées d’individus qui nous décrivent le monde.

Polémikoeur. dit: à

La sortie du critique allemand,
privée de son contexte (à qui donc
pensait-il au moment de la formuler ?),
n’équivaut-elle pas à peu près au :
« le cordonnier est toujours le plus mal chaussé » ?
Généralisation, exception, discussion :
vieille progression critique ! Réflexion
et contradiction… Reste une commodité
inscrite dans la simplification,
d’application limitée.
Simplexifixement.

Mme Michu dit: à

Parfois on se demamderait presque avec qui conjuguer au passé compliqué serait le plus difficile, et sans aller chercher des spectateurs. Mais bref, avoir besoin d’être entouré par des auditeurs qui ne captent pas pour partager un secret c’est aussi dire ou peut-être avouer quelque chose.

Mme Michu dit: à

m -> n

rose dit: à

>TKT dit: 22 juin 2014 à 12 h 26 min

j’adooore

>Mme Michu les carottes sont confites les carottes sont confites (mais vous le saviez avant non ?)

Mme Michu dit: à

Bon, du moment où le plus important reste de quoi on parle…

rose dit: à

>mme Michu

mais c’est pareil si t’épouses ton médecin : il t’a choisie en consultation, il est jamais là et si tu pars il te remplace par une autre cliente.

rose dit: à

on parle des zoiseaux Mme Michu et on est dans le sujet

Mme Michu dit: à

C’est vrai qu’ici on dirait un hôpital sans patient.

rose dit: à

des échassiers dans le marais

rose dit: à

pourtant nous le sommes patients

Mme Michu dit: à

Assis, rose…

TKT dit: à

Rose, Jaune Braun s’amusa plusieurs fois de la même manière avec un Alba-Anus, mais là ayant plus de courage il laissa le lien vers son Blog.
Jaune-Marron, Honnic’estfort doit se nourrir de cuisine de maïs et lentilles marrons.

Daaphnée dit: à

Perso, je pense que

Mon Dieu, Paul Edel, que ce « perso » est laid !
Brrrrrrrrrr !

Bloom dit: à

« Aucun critique n’a le droit de prétendre qu’il comprend à fond un créateur. »
(Ezra Pound)
——–
Ca, c’est de l’auto-défense pur jus: traduction, cause toujours, lecteur, tu n’a aucune légitimité pour critiquer (sans parler de comprendre quoi que ce soit à) MON oeuvre.
No worries Ezra, my man, ton oeuvre poétique est imbitable & on la laisse volontiers à ton narcissisme. En revanche, tes textes radiodiffusés sont très clairs & constituent un des morceaux de bravoure du fascisme international et de l’antisémitisme « économique ». Ezra, lui aussi, spécialiste des noms d’oiseaux:

« The enemy is Das Leihkapital. Your Enemy is Das Leihkapital, international, wandering Loan Capital. Your enemy is not Germany, your enemy is money on loan. And it would be better for you to be infected with typhus, and dysentery, and Bright’s disease, than to be infected with this blindness which prevents you from understanding HOW you are undermined, how you are ruined.

The big Jew is so bound up with this Leihkapital that no one is able to unscramble that omelet. It would be better for you to retire to Darbyshire and defy New Jerusalem, better for you to retire to Gloucester and find one spot that is England than to go on fighting for Jewry and ignoring the process… »

“England,” Ezra’s Pound’s Radio Broadcast of March 15, 1942

Bloom dit: à

Tender is the night, FS Fitzgerald

Citation de l’Ode au rossignol, de John Keats:

Away! away! for I will fly to thee,
Not charioted by Bacchus and his pards,
But on the viewless wings of Poesy,
Though the dull brain perplexes and retards:
Already with thee! tender is the night,
And haply the Queen-Moon is on her throne,
Cluster’d around by all her starry Fays
But here there is no light,
Save what from heaven is with the breezes blown
Through verdurous glooms and winding mossy ways.

Paul Edel dit: à

Mon Dieu, daaphnée que ce redoublement du aa de Daaphnée est laid !
Brrrrrrrrrr !

Daaphnée dit: à

Tsss .., Paul, c’est malin ça !

(Bon, je vous autorise à en enlever un … )

Les amis de Thierry dit: à

TKT dit: 22 juin 2014 à 12 h 26 min
ze movais passetisch

Non, no, nein, super pastis.

Cohérence dit: à

rose qui adore l’insulte, vénère TKT.
Normal.

hamlet dit: à

ici ? un hôpital sans patient ?

j’aurais plutôt vu un ensemble de patients en recherche d’une structure hospitalière, spécialisée.

hamlet dit: à

l’urgence est de remplacer nos vérités par les bonnes vieilles vraisemblances, du temps jadis d’antan.

hamlet dit: à

mais non ! demandez à Monsieur Assouline, tous les historiens le savent : les actions humaines et l’évolution historique se situent toujours entre le comportement erratique des nuages et la régularité des horloges, la position du curseur entre les deux est soumise plus aux lois du hasard qu’à celles de la nécessité.
j’ai pas raison Monsieur Assouline ?
c’est pour cette raison que les historiens font souvent de bons biographes mais rarement de bons romanciers.

Onésiphore de Prébois dit: à

« Aucun critique n’a le droit de prétendre qu’il comprend à fond un créateur. »
(Ezra Pound)

Pound ne fait là que dégager un cas particulier d’une vérité plus générale, qui est que personne ne peut prétendre comprendre à fond quoi que ce soit dans ce monde et en cette vie. On ne fait jamais que s’approcher et tourner autour de l’inconnaissable réalité, que ce soit celle d’une galaxie, de mon voisin de palier, du chat de la voisine ou d’un livre. Je ne crois pas que Pound veuille dire que la vérité ultime d’un livre appartient exclusivement à son auteur (ce qui serait d’une effroyablement naïve prétention), ni que l’interprétation du lecteur n’a aucune légitimité.Chacun sait que, dès qu’un livre est publié, sa signification dépend autant du lecteur que de l’auteur. Toute lecture est une re-création et,comme le metteur en scène et le comédien au théâtre, le lecteur est un interprète de l’oeuvre; il arrive souvent qu’un lecteur/interprète clairvoyant aille plus loin dans la signification de l’oeuvre ou d’un aspect de l’oeuvre que l’auteur lui-même.

Sergio dit: à

On dirait les oiseaux du lac Stymphale… Ou alors des goélands au plumage lisse et dur comme dirait Sollers…

hamlet dit: à

le philosophe est par définition un esprit qui court toujours derrière la réalité, il est toujours en retard par rapports aux faits.
c’est même pour cette raison qu’ils n’aiment pas les surprises.
il suffit d’observer de près l’activité d’un comité d’éthique pour s’en rendre compte.

bouguereau dit: à

Quel est le plus souvent notre réflexe naturel lorsque nous entrons dans un musée ? Le regard attiré par un tableau, nous nous précipitons vers le petit cartouche sur le bord du cadre, ou sur le cartel à côté, pour nous renseigner : titre, auteur, collectionneur…

dab c’est pas un cartouche..deuz c’est le moment ou les facheux se mettent de coté pour que tu puisses corriger ta parallaxe..et ça c’est pour ceux qui vont voir des espo surtout pour en causer aprés

Sergio dit: à

hamlet dit: 22 juin 2014 à 14 h 17 min
soumise plus aux lois du hasard

Mais le hasard ça peut pas se découper ? Euh… Je veux dire… Ou alors c’est payé par l’ennemi… La cinquième colonne !

bouguereau dit: à

cque tu serines dans ta cage kabloom c’est que ton jugement moral subsume toujours..fier de la merde dans tes noeils

D. dit: à

Thierry est dans le vent avec son jaune-canari.

bouguereau dit: à

« Aucun critique n’a le droit de prétendre qu’il comprend à fond un créateur. »

« ..l’histoire me jugera »

bouguereau dit: à

Mon Dieu, Paul Edel, que ce « perso » est laid !
Brrrrrrrrrr !

biiiiiii!..reste toi même dafnoz

bouguereau dit: à

..mais lorsqu’ils parlent d’eux mêmes et de leur travail, les écrivains sont beaucoup plus embarrassés…

on va pas défoncer les portes ouverte polo et deuz un « créateur » parlant (bien) d’un autre ne fait que trés accésoirement oeuvre de critique, il parle dabord de lui même, non pas de façon égotique justement, tout de contraire il rend aux césars d’avant lui, les quelques uns au pied desquels il s’agenouille, c’est de la geste!

A la recherche des idées daaphniques dit: à

Il est vrai que dafnoz n’a jamais d’avis perso, elle doit faire avec ceux de u. (ça aide) ou de Chaloux (ça craint)

bouguereau dit: à

nous nous précipitons vers le petit cartouche sur le bord du cadre

..oui mais pas tout de suite..pas trop vite..c’est ce moment justement ou tu t’écoutes, tu supputes ton jugement tout entier en suspend à toi même, en bref le vrai moment ou tu apprends lassouline, le reste c’est du pilpoul pour faire les guerres

Bloom dit: à

OdP, m’est avis que vous évacuez l’énonciateur pour le baigner dans un bouillon de bien-pensance qui le satisfait (mais qu’il conchie secrètement).

Onésiphore de Prébois dit: à

OdP, m’est avis que vous évacuez l’énonciateur pour le baigner dans un bouillon de bien-pensance qui le satisfait (mais qu’il conchie secrètement). (Bloom)

Je ne connais pas suffisamment Ezra Pound pour en juger. Comme tout le monde, je suis au courant de son antisémitisme, dont vous fournissez des échantillons. Ezra Pound serait-il, pour la poésie, ce qu’est un Heidegger pour la philosophie, et cette déclaration, apparemment anodine et frappée du sceau de l’évidence, cache-t-elle la revendication d’une pensée cryptée dont le sens ne se révélerait qu’aux initiés ?

Sergio dit: à

bouguereau dit: 22 juin 2014 à 14 h 36 min
nous nous précipitons vers le petit cartouche sur le bord du cadre

..oui mais pas tout de suite..pas trop vite..c’est ce moment justement ou tu t’écoutes, tu supputes ton jugement tout entier en suspend à toi même, en bref le vrai moment ou tu apprends

C’est certain. Et même très certain.

Bardamu dit: à

J’ai bien du mal à écrire ne pouvant lever de la tête : « Ségolène » + « le Men »…
(Tartine royale ?)

Autant dire que je suis en plein dans l’abstraction d’un sacré… beau tableau;

cE QUI me conduit à revenir sur la remarque de Bassan quant à Banett Newman et le re-sucé « peut-on après Auschwitzzz »… écrire avec PrimooohOh, musiquer avec Bayiiireuth, etc, etC;
Eh bien oui, en 39-45 avec Hitler et toute la compagnie il est toujours possible de peindre un belle femme nue… LA PEindre et plus encore sans doute.
Et on le doit (entre autres) à un autre polonais (de souche): Balthazar Klossowski dit Balthus, avec par exemple…. : ‘la Victime'(sic).
[la critique -inénarrable-, dit: « en ces années noires, le peintre entre en quarantaine… » eh oui, moi aussi…]

Peinture qui nous sauve des véritables escroqueries ou tapisserie Ikea de ce pauvre Newman QU’on s’efforce de faire croire très très important (avec Rotckkooo ETC).
Façon de dire que si ce dernier sombrait dans l’abstraction ce n’était en rien le fruit des circonstances comme le méli-mélo veut nous le faire croire, mais de sa tradition à lui QUI n’a jamais rien eu d’artistique
(AU POINT QUE s’il fit un jour une statue, il ne put aller plus loin que deux triangles inversés…)

En fin de compte, je ne peux que répéter la perversité à mes yeux, de toute emprise « littéraire » sur la Peinture. Peu importe qu’elle soit issue d’écrivains ou de critiques d’ARt (car ces derniers n’ont jamais qu’une formation fac de lettres et n’ont jamais tenu un pinceau dans leurs mains; alors que le graphisme est antérieur et de beaucoup à l’écriture…). En fait cette dernière a pu se développer -telle un bruit de fond-, en complément de l’économie culturelle des « Musées », qui de nos jours deviennent omniprésents, incoonncontournables… (la sempiternelle Expo Cézanne à toutes les sauces, prenant le pas à Aix en Provence, sur le Festival Musical… par exemple).
qUE LES écrivains veuillent écrire sur la peinture pourquoi pas (voir le merveilleux « Matisse/Roman » d’Aragon) mais penser qu’ils puissent nous apporter quoi que ce soit dans la connaissance de celle-ci est un mythe profond; avec les socio, psycho, sémnatico c’est pire encore. Et le n-ièm verbouillage de « spécialistes » se réunissant en « recherche collective » et pourquoi pas « pluridisciplinaire »… vers une « méthodologie génétique » (intertextuelle sans doute), me semble patauger dans cette ignorance-savante DONT Le catalogue pour l’expo/Vence 2013 de BHL fut un point d’orgue.

Oh la grande question qui nous ferait oublier les pauvres hommes qui furent à l’origine de ce questionnement cnrsss :

– oui, qUEL TITRE DONNER aux Peintures de cavernes… ahhhaahhh!!!

dISONS QU’il y a une infinité de « sainte victoire » chez Cézanne, qui sont très différentes les unes des autres, dont personne n’a encore compris ni la nécessité dans son œuvre (hormis le fait que c’est une montagne tout près d’AIx…)ni la génèse de ces métamorphoses… et qu’on peut à les nommer toutes, ou à chaque fois « St Victoire »
empêcher quiconque de dormir.
Qui plus est, puisque la situation étant semblable en tout point pour les « Baigneuses », il faut savoir de plus que ce n’était en rien des baigneuses…
Alors, bon…

Onésiphore de Prébois dit: à

OdP, m’est avis que vous évacuez l’énonciateur pour le baigner dans un bouillon de bien-pensance qui le satisfait (mais qu’il conchie secrètement). (Bloom)

Je tombe par hasard sur une page de « Je rassemble les membres d’Osiris », consacrée à l’usage que les diverses religions « révélées » font de la notion de « theos » (pages 89 à 91 dans l’édition publiée au Seuil°. Je dois dire que j’adhère et applaudis sans réserve aux remarques de Pound. Notamment celle-ci : « Dans la mesure où les juifs n’ont pas mené de guerre sainte depuis deux millénaires, ils sont à préférer aux chrétiens et aux musulmans ». Apparemment que la thèse de l’antisémitisme de Pound serait à relativiser.

kicking dit: à

à propos de strucutre.. une démocratie en manque de chef ça peut être vu comme un malade (j’oserai pas avancer le mot hypocondriaque) dépendant du mauvais remède..

kicking dit: à

(structure.. il est miné ce truc ou bien ?)

enfin, autant inviter gazprom à résoudre le problème du chômage des jeunes..

kicking dit: à

(mais qu’il conchie secrètement)

Everybody is an island to themselves
Don’t you know..

rose dit: à

Cohérence dit: 22 juin 2014 à 13 h 40 min

qui te ressemble t’assemble, Eh co-errance.

rose dit: à

Mme Michu dit: 22 juin 2014 à 12 h 57 min

>couchée Mme Michu

Mme Michu dit: à

Oui mais si qui se ressemble tas semble…

rose dit: à

ouh la mieux à faire que supporter ça

ciao

Surtout ne pas rire avec n'importe qui dit: à

rose dit: 22 juin 2014 à 15 h 19 min
qui te ressemble t’assemble, Eh co-errance.

Wharf l’humour hé !
Merci rose.

Abdelkader dit: à

« Come to me Gilgamesh, and be my lover! Bestow on me the gift of your fruit. »
Nah sorry Ishtar…there’s a football World Cup going on…can we make it say, early August? I promise I will be there…unless my team win…then, I could be anywhere…

TKT dit: à

D.bile, vous me faites passer d’un jaune à l’autre.
Jaune canari, cela doit être un jaune lumineux, avec comme support du lin, une parfaite association pour les jours ensoleillés d’été.
Je comprends que le jaune puisse vous déplaire, avec votre peau blanche, vos cheveux pauvres en épaisseur, votre regard fuyant, cette couleur serait létale pour vous, on vous prendrait pour une boite-aux-lettres des PTT.

Sergio dit: à

La couleur canonique des premières Ferrari était le jaune ; le rouge ultra-secret comme les soeurs Macaron n’est venu que par la suite.

Ciboulette dit: à

toutes la différence : Paul Edel quiberonne, bouguereau biberonne

Daaphnée dit: à

biiiiiii!..reste toi même dafnoz

Dites, le Boug’, c’est quand qu’on fait des bébés ?

Abdelkader dit: à

Desole d’avoir pollue le site et manqué de respect pour la langue francaise avec mes vulgaires et si laids perso, mes non Moins laids tain et tutti fucking frutti…sinon, Gilgamesh dit: « shall I die too? Am I not like Enkidu? Grief has entered my innermost being. I am afraid of death »
Ceci mes chers co-pensionnaires, est la question eternelle…le reste n’a aucune importance…les chardonnerets, les rouges gorges, les merles dans mon jardin, le nouveau-ne de la voisins font que la reponse a cette question soit parfois acceptable…sinon,avouez Daaphnee que mes familiarities avec la langue francaise lui font un p’tit effet de chatouille, qu’elle apprecie secretement…

rose dit: à

ckankon
ckiki
yaka
fokon

etc.

Sergio dit: à

rose dit: 22 juin 2014 à 16 h 00 min
jaune oui mais pas n’importe lequel

Ha elle est bien mais on doit pouvoir la coincer au freinage…

Daaphnée dit: à

sinon,avouez Daaphnee que mes familiarities avec la langue francaise lui font un p’tit effet de chatouille, qu’elle apprecie secretement…

Bon, Abdel, j’avoue.

( Comment ?
Tout, ici devant en public immédiatement ???
Heu .. pas tout de suite ..)

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…rien à signaler !,…je prend l’air!,…etc!,…

la Reine des chats dit: à

Un des meilleurs titres empolardé qui soient, pas dans la Série Noire, mais ç’aurait pu, triste, laconique, rêveur, provoc, mystérieux, définitif, âpre : « Putes » (Rivages). L’auteur est obèse, timide comme une jeune fille, d’une délicatesse infinie par delà ses 100kg, il sue sous ses bretelles, son ventre devant lui comme s’il était enceint d’un éléphant. Peut-être est-il ivre, avec tous les cognac qu’il s’est envoyés. Moi : « Excellent, ce titre. Mais Jimmy, c’est pas pour vendre, au moins? » Lui (choqué) : « Ben non ». Moi : « Je me disais aussi… »
Et ça s’arrête là. On est sur un perron, à la campagne, avec des vignes autour. Des chats se bagarrent dans le noir. La lune est tellement pleine, d’une brillance si surnaturelle, que j’ai peur à un moment donné d’avoir des visions, que des petits hommes verts atterrissent sous nos yeux. Il dit que ses animaux lui manquent. Je lui dis « Oui, mais il y a Martha, quand même… »(sa femme). On rit. Il a l’air tellement vulnérable, sous sa grosse moustache poivre et sel parsemée de poils roux.

Bloom dit: à

Apparemment que la thèse de l’antisémitisme de Pound serait à relativiser.

Comme celui de Goebbels, alors.

Il vaut mieux parfois s’abstenir plutôt que de s’exprimer sur ce qu’on maitrise mal.

Ce que Pound confia à Ginsberg venu lui rendre visite à Rapallo, en octobre 1967:

 » But the worst mistake I made was that stupid suburban prejudice of antisemitism. All along, that spoiled everything » Ginsberg, Beat Poet, Gary Miles, p.398

Pas besoin d’exonérer Ezra Pound de son antisémitisme. Il fut assez grand (dans tous les sens du terme) pour articuler lui-même son remords.

des journées entières dans les arbres dit: à

Un rabbin aguerri et moderne

Peu connu du grand public, Haïm Korsia avait pourtant fait parler de lui en 2004, en invitant l’humoriste Dieudonné à l’accompagner au Camp d’Auschwitz, un geste symbolique qui lui avait valu d’être rappelé à l’ordre par le Grand Rabbinat. Plus «capé» que tous les autres postulants au poste, il a fait campagne avec un profil d’orthodoxe plus moderne que la plupart de ses concurrents, notamment sur la place des femmes. Haïm Korsia a ainsi réagi à une récente affaire de divorce religieux très conflictuelle, dans laquelle des rabbins du Consistoire ont été accusés d’avoir fermé les yeux sur un chantage financier au détriment de l’épouse. «Il faut que les rabbins parlent aussi aux femmes», avait-il souligné dans une vidéo en ligne.
http://www.leparisien.fr/societe/haim-korsia-elu-grand-rabbin-de-france-pour-sept-ans-22-06-2014-3943561.php

je sais pas, mais de partout, il y a comme un faisceau de présomptions.
Et ce n’est pas titre de bouquin que La Reine met en exergue qui arrange le tableau.

Maintenant, sérieux, je plains les candidats au prix Goncourt, si d’aventure il se trouve des écrivants qui ne pensent qu’à ça.
Le niveau en lecture me semble dramatiquement bas.

Bon été.

des journées entières dans les arbres dit: à

Je ne peux pas laisser sans rappeler une histoire d’amour:

Histoire, géographie, philosophie, littérature, théologie, sociologie, droit font de ce livre une véritable encyclopédie de la laïcité. On s’y promènera « à sauts et à gambades » pour en comprendre le sens et l’enjeu, admirer ses héros, goûter les beaux textes qu’elle a inspirés, mesurer sa dynamique aux divers points du globe.

http://www.plon.fr/ouvrage/dictionnaire-amoureux-de-la-laicite/9782259215954

Onésiphore de Prébois dit: à

Pas besoin d’exonérer Ezra Pound de son antisémitisme. (Bloom)

Il n’et pas question en effet de l’en exonérer. Mais le court texte que je citais date de 1919. Il est possible (à vérifier) que Pound ne se soit découvert antisémite qu’ après sa « conversion » au fascisme mussolinien, au début des années trente.

Ciboulette dit: à

on a retrouvé un scooter rose abandonné sur une plage de Pork-and-Rôle, JC barbote désespérément, TKT rebande, bouguereau hoquète, c’est dimanche !

f de bassan dit: à

telS sontles récents commentaires qu’ils me semblent des offenses à tous les lecteurs,

possible que P.ASSOULINE ne conçoive que c’est lui qui ait offense ses lecteurs et que cette divine comédie du commentaire n’est pas soutenable.
j’ai bien l’honneur de vous laisser à vos algorithmes de supermen de blogs

SDF dit: à

Rose, HS comme d’hab’!

kicking dit: à

pour sortir du domaine des fixettes abandoniques de pacotille..

ai lu il y a peu un homme politique écrire à un autre qu’en politique comme en photographie l’important est de saisir le bon moment..

bien..

alors je propose aux représentants du peuple hors la loi de miser tous leurs deniers sur le nasdaq..

bonne soirée

kicking dit: à

(et je suis sympa de pas indiquer la couleur)

bérénice dit: à

la Reine des chats dit: 22 juin 2014 à 16 h 27 min
Un des meilleurs titres empolardé qui soient, pas dans la Série Noire, mais ç’aurait pu, triste, laconique, rêveur, provoc, mystérieux, définitif, âpre : « Putes »

J’aime encore assez l’idée, le titre est trop honnête pour rester poli, ça donne envie du détour, le derniers en date pour moi est the blonde, une histoire toxique qui ne dit rien des coiffeurs. Sûrement faut-il débusquer derrière ce titre une histoire d’amour contrarié par le sentiment

bérénice dit: à

my innermost being. I am afraid of death »
Ceci mes chers co-pensionnaires, est la question eternelle…le reste n’a aucune importance…les chardonnerets, les rouges gorges, les merles dans mon jardin, le nouveau-ne de la voisins font que la reponse a cette question soit parfois acceptable…sinon,avouez Daaphnee que mes familiarities avec la langue francaise lui font un p’tit effet de chatouille, qu’elle apprecie secretement…

Abdel avant que de mourir, devriez- vous vous remettre à l’arabe? vos dons pour les langues étrangères prouvés et approuvés.

f de bassan dit: à

et même la version monomaniaque: non, vraiment, ça ne passe pas, ne fait pas sourire, du moins pas moi.
trop ai-je vu aussi un cartoon de fond des maglitt et du monde ;d’accord, P Assouline nus rappelle qu’il est un vrai littéraire qui s’est amouraché pour cause professionnelle de grec.
mais entre ça et les radotages des commentateurs, non, non, non, et NON

Carte et territoire dit: à

Ciboulette dit: 22 juin 2014 à 18 h 56 min
TKT rebande

Ciboulette qui s’y connait en bandage herniaire nous rappelle à juste raison que Thierry du fond de son alzeimher se souvient parfois de ses 18 ans et de son amour fou pour Nini la Blonde, celle qui faisait rêver tous les élèves du cours Pollès à la fin des années soixante.
Elle ne permettait pas d’avoir le bac, mais pour dessiner la carte de la Suisse sur le drap du dessous elle était fabuleuse.
Thierry for ever, merci Ciboulette.

f de bassan dit: à

une confidence : il y a plus de dix ans, m’intéressant aux jeux de 2 , redoublements dans les mots ,les images, je m’avalais des listes de noms d’oiseaux dans toutes les langues .
la première image est belle , et la chouette que j’ai vue comme un portrait de P.Assouline très séduisante ! merci!

Un seul être vous manque dit: à

HR, Djedla, kicking, rose.
La moitié (minimum) des commentaires.
Je vais finir par user ma molette à cause de ces folles.
Rendez-nous ML, Chaloux, Bloom, Pablo,… à défaut de penser ils nous font au moins rire.

Chaloux dit: à

Salut bande de nazes.
Résumons; L’Homme qui aimait les îles, je l’ai acheté l’an dernier en même temps que le recueil de lettres paru chez Payot et les lettres de Walser, pur chef d’œuvre, mais impossible de remettre la main dessus.
Aujourd’hui L’Année des Quatre Dauphins d’Olivier Chaline, historien passionnant. Ah, cette année 1711…

Pour le reste, Ueda je pense comme vous. Les potes de blog : respect.
John Brown est bien profond ces temps-ci. Je l’embrasse au front.
Les autres ne changent pas…

Bonne soirée,

Chaloux dit: à

Et mes respects à Pablo…

hamlet dit: à

« Aucun créateur n’a le droit de prétendre qu’il comprend à fond un critique. »

cette phrase est magnifique.
merci

Chaloux dit: à

Être critique littéraire, ce serait comme parler d’amour sans jamais l’avoir éprouvé… Le problème est qu’en France, du fait d’un monde d’édition parfaitement abruti, les journalistes ont aussi pris la place des écrivains, comme si c’était la même chose, et qu’ils sont en train de doublement tuer la littérature française. Par leurs jugements, débiles, et par leurs « œuvres », dont pour la plupart on se passerait bien. Dans tous les cas, des amateurs.

Onésiphore de Prébois dit: à

John Brown est bien profond ces temps-ci. Je l’embrasse au front. (Chaloux)

C’et de l’ironie ? Tu cherches la baston, ou quoi ?

ACP dit: à

Chaloux dit: 22 juin 2014 à 21 h 16 min
les journalistes ont aussi pris la place des écrivains

Question angoissante : Paulo est-il un écrivain qui fait journaliste pour les épinards ou un journaliste qui fait écrivain pour les prix ?
J’hésite.

Onésiphore de Prébois dit: à

les journalistes ont aussi pris la place des écrivains, comme si c’était la même chose, et qu’ils sont en train de doublement tuer la littérature française. Par leurs jugements, débiles, et par leurs « œuvres », dont pour la plupart on se passerait bien. Dans tous les cas, des amateurs. (Chaloux)

Nuançons, nuançons. Autrement y en a un qui va finir par se sentir visé.

rose dit: à

SDF dit: 22 juin 2014 à 19 h 45 min
http://www.ac-grenoble.fr/ecole/74/thorens/IMG/tete_emeu.jpg

wiki dit Taxinomie

L’émeu a été décrit pour la première fois sous le nom de « New Holland Cassowary » (« casoar de Nouvelle-Hollande ») par Arthur Phillip dans son livre Voyage to Botany Bay, publié en 17892. L’espèce fut ensuite renommée avec son nom actuel par l’ornithologiste John Latham qui collabora au livre d’Arthur Phillip, donna les premières descriptions et noms scientifiques de nombreuses espèces d’oiseaux australiens. Le nom binomial scientifique de l’émeu vient du latin et signifie « le coureur de Nouvelle-Hollande ». En revanche, l’étymologie de son nom commun « émeu » n’est pas connue avec certitude. On pense qu’il viendrait d’un nom arabe signifiant « grand oiseau » qui aurait été utilisé par les premiers explorateurs portugais pour désigner son cousin de Nouvelle-Guinée, le casoar.

Chaque langage aborigène a son propre nom pour l’émeu et on peut citer, au Victoria, le nom Barrimal dans le langage « Djadja wurrung », myoure en « Gunai » et courn en « Jardwadjali ».

Les familles de l’émeu et des casoars sont placées ensemble dans le sous-ordre des Casuarii, en raison de leurs étroites relations phylogénétiques et de similitudes morphologiques. Avec les kiwis, elles constituent les représentants australasiens des Struthioniformes.

nanmého HS bibi ?

rose dit: à

hamlet dit: 22 juin 2014 à 21 h 06 min

« Aucun critique n’a le droit de prétendre qu’il comprend à fond un créateur. »

cette phrase est magnifique.
merci

merci à tous, je plussoies, je sursois etc caetera

Chaloux dit: à

Paulo, c’est un cas à part. Dans son Job, il a écrit des pages vraiment sublimes, du genre qui donnent chaud. Et son Simenon, son petit livre sur Combelle etc… Peut-être qu’un jour il osera…

Onésiphore de Prébois dit: à

John Brown est bien profond ces temps-ci. Je l’embrasse au front. (Chaloux)

ça fait du bien; ça empêche la tache noire de gagner du terrain, dans ma tête. Merci.

rose dit: à

bérénice dit: 22 juin 2014 à 19 h 56 min
une histoire d’amour contrariée par le sentiment

faut que je vous mette au parfum : vous savez pas grand chose. Ceci ci-dessus est un pléonasme. Pour choquer le clampin de base, il eût fallu avoir écrit, et l’oser,(mais qu’osez vous de fait sinon râler ?) :

« une histoire de cul contrariée par le sentiment »
mais c’est pas grave

Chaloux dit: à

Non Johnny, c’est pas de l’ironie. Je te lis et je pense à toi.

Chaloux dit: à

…Mais si j’aime pas quand Paulo tape sur Kundera, c’est bien mon droit, hein…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…l’écriture,…comme les lettres!,…reliefs, déliés, contrastes,…
…pratiquement le livre en caricature par de la monnaie, des bas-reliefs,…une technique au style et aux connivences d’époques,…avec les moyens du bord!,…
…merveilles de copier/coller dans les interprétations entre peuples , au fond avec les même Dieux!,…

…détails ou pas!,…l’efficacité objective l’emporte au fil du temps!,…la confiance dans le terroir du verbe,…
…face aux dérivés des  » cultures O.G.M. » destinés à faire échecs au conservatisme traditionnel de nos appétits individuels!,…

…il en ressort,…d’en être, des singeries, libérées!,…de l’uniformité de nos pensées!,…
…qu’est ce qu’il dit!,…range ton fusils!,…l’émotion quelle rancoeur!,…sans épreuves  » bon à tirer « ,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…envoyez!,…d’un trait!,…

Le livre des records dit: à

Chaloux dit: 22 juin 2014 à 22 h 11 min
Paulo, c’est un cas à part. Dans son Job

Mais quelle burne !
Mais quelle burne !
Yapa c’est la plus belle.

Sergio dit: à

Un seul être vous manque dit: 22 juin 2014 à 20 h 36 min
Je vais finir par user ma molette

Pour bomber mieux vaut en revenir à Page Up et Page Down ; là ça trace…

Le fantôme de MaC dit: à

Paul Edel dit: 22 juin 2014 à 13 h 28 min

S’il n’y avait que ça de laid chez la daaame…

Chaloux dit: à

Le livre des records dit: 22 juin 2014 à 22 h 32 min

Là, ma grande, il faut que t’espliques. A part ton syndrome de La Tourette, on voit pas…

Chaloux dit: à

De grâce,pas de « fantôme de MAC », on a déjà fort à faire avec Bouuguereau, la serpillière de Mac.

Bloom dit: à

Le vol des grues…
Pour un accès « pédagogique » à la civilisation chinoise, « La souplesse du dragon », de Cyrille Javary. Remarquable petit bouquin qui livre les clés que l’on est bien en peine de trouver ailleurs. Un vrai passeur, ce Javary, tout le contraire d’un F.Julien.
Devrait être obligatoire pour nos politiques, économistes, journalistes etc…

Rôôô dit: à

S’il n’y avait que ça de laid chez la daaame…

Tu dis ça passque t’es qu’une grognasss sans teint épicétou

Priapus Pontifex dit: à

Dans les entrailles du mont Saint-Michel survolé par nos drones-canards est installée la Machine. Merveille technologique, elle empêche les critiques d’être des écrivains, les lecteurs d’être des auteurs et les journalistes d’être intelligents.

Un signe de vous, et le Gouverneur extragalactique Dédé modifie le réglage …

f de bassan dit: à

Le Sourire du flamant rose (The Flamingo’s Smile), 1988 (ISBN 2-02-019416-3)
S.J.Gould

f de bassan dit: à

réponse à laquestion de procrastination de P.Assouline
Les Oiseaux (The Birds) est un film américain, du genre horreur-thriller, réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1963. 48e long-métrage d’Hitchcock,
je précise le 48e

Onésiphore de Prébois dit: à

Puisqu’on en est aux rappels basiques, rappelons que « Les Oiseaux » est une comédie d’Aristophane. Au fait, l’illustration représentant la chouette sur un vase grec est directement piquée, commentaire compris, par Assouline à l’article de Wikipedia consacrée à cette pièce. Alors, Assouline, de grâce, défense désormais de dauber sur les vertus de l’encyclopédie en ligne. Oh !… Eh !…Hein ?… bon.

Onésiphore de Prébois dit: à

Au fait, je serais curieux de savoir quelle proportion de noms d’oiseaux du glossaire de Machinchose a directement été récupérée chez Aristophane. Je vais relire le texte grec pour en avoir le coeur net. Mais il va falloir acheter le glossaire; 29 euros, ça fait cher. Mais c’est du Corti, c’est soigné.

Titre livre dit: à

Pour une archéologie du titre.

Un autre passionnant article que l’on peut lire dans cet admirable ouvrage qu’est La fabrique du titre page 95.
– Nous avons pris l’ habitude que, comme le dit Jean Dubuffet,  » la fonction de l’ artiste consiste autant qu’à créer des images à les nommer ».
( Article d’O. Bonfait.)

Priapus Pontifex dit: à

En dehors des conflits religieux et guerriers dont nous ne comprenons pas exactement vers quels buts ils tendent, une des raisons de notre discrétion sur Terre est la présence d’humains du type d’Onésiphore de Prébois.

Imprévisible, tortueux, dangereux intellectuellement, le bougre. Est ce cela ce que vos écrits appellent un « Prophète » ?

Cette planète bleue est vraiment bizarrement habitée…

renato dit: à

Raven finds the First Men

Raven was bored. He was walking along the beach in Haida Gwai, looking for some new way to amuse himself. As he walked along the beach, the blue ocean in front of him and the green forest behind him didn’t seem interesting. Raven wanted to play, but there was no one to play with.

Then he heard a strange sound, unlike any sound he knew. He looked up and down the beach. Where was it coming from? As he walked he noticed a large white clamshell lying in the sand. Inside the clamshell were tiny creatures, unlike any he had seen before.

Raven bent down to get a closer look. The creatures seemed afraid of him, so he began to coax them in a gentle voice, “Come out. Come out. Don’t be afraid. I won’t hurt you.”

A few of the creatures came out of the clamshell. They were very different from Raven. They had no feathers, no wings, and no beaks. Like him, they walked on two legs, but they had arms, faces with mouths, and black hair. They spoke to each other in a language that Raven didn’t understand. These tiny creatures were the first humans.

Raven enjoyed watching these humans play and explore the world. After a while, when he was beginning to feel bored again, he noticed that these humans were only men. There were no women. Raven had an idea. He wondered if he could find some women. He searched for a long time. Then he saw some chitons (a large sea shell). He opened one of the chitons and found some lovely, tiny women. He brought the women to the men.

Raven enjoyed watching the behaviour of the men and women. He saw them begin to pair off and have children. The human families moved to other parts of the island. Since that day, many generations of humans have grown and flourished, and Raven has never been bored.

Story retold by Mary Mahoney

bouguereau dit: à

une grognasss sans teint

..blanche comme un cul quoi

Priapus Pontifex dit: à

La présence d’un humain type Renato, libre, étrange, aussi fou qu’un Onésiphore de Prébois n’est pas faite pour nous rassurer sur le devenir de ce monde.

bouguereau dit: à

» la fonction de l’ artiste consiste autant qu’à créer des images à les nommer »

et tellement que dubuf a aussi furieusement voulu nommer celle des autres..et ça leur a pas plu..mais pas du tout

bouguereau dit: à

nous rassurer sur le devenir de ce monde

« aprés nous les chevaliers d’allah » comme dirait jicé

Giovanni Sant'Angelo dit: à


… » casse toi alors pauvre con « ,…

…démêler l’écheveau de la  » fausse crise  » avec çà!,…de primaire,…

…vrais ou faux,…aux hydres de culture,!,…

…avec,tout est à changer!,…dans l’exploitation des familles dans nos démocraties & républiques de riches avec rien!,…

…l’€urope à deux doigts d’une Union spartiate,…
… les riches toujours plus riches!,…et les pauvres,…toujours plus pauvres!,…

…V’là,!,notre Optimum à Paretto!,…sans parachutes dorés!,…

…votre château chef!,…vos clefs,…le passage aux coffres!,…
…comment!,…il n’y plus rien!,…ou c’est passsé tout le pognon!,…c’est investi aux îles Fidji!,…
…et ma cocotte minute en airain aussi!,..
…Oui! chef!,…
…mais, c’est la vraie crise!,…enfin!,…

…une chance!,…nos patates viennent de Chine!,…vous cannulez, chef!,…du cannulard de croupier chef!,…
…elle chante bien!,…Oui chef!,…je vous garde mon pote!,…si c’est pas du Big-machin tout çà!,…Oui chef!,…je revient de chez-nous,!…Oui!,…chef!,…

…ou est l’andouille !,qui vient de dire peut-être!,…vient répetete le moi en face!,…
…Oui! chef!,… » pauvre con alors casse toi « !,…V’là du changement!,…inversé!,…
…la crise des bides-bidons!,…aux bigs-brothers,!…vous avez bu chef!,…ne m’insultez pas! une fois!,…encore!,…pauvre démagode parvenu!,…une fois!,…adjugé!,…

…si , c’est pas de la culture pour casser du sucre!,…çà!,…vous êtes l’autre!,…

…la même école de style!,…et , alors!,…c’est pas de l’amuse-gueule à Coluche for Président-caviar!,…à la foie grasse de Lourde-dingue!,…

…avec!,…tout ces micro-miniatures dans l’estomac!,…je vais en jouir, deux trois par jour!,…j’ai de la veine!,…Oui! chef!,…
…etc!,…
…fin du film!,…toute ressemlance avec des faits réels est totalement fortuite et involontaire des créateurs-pantins du cinéma!,…of course!,…
…ou, elle est cette loi à Guillotine!,…
…du changement!,…du changement!,…
…Ah!,…çà ira!,…çà ira,!…etc!,…qu’elle grue!,…nom de Dieu!,…sans X,…et moi, je suis quoi!,…
…nom de Dieux, c’est mieux!,…Oui! chef!,…qu’elle €urope!,…Oui! chef!,…

…qu’est ce qu’on à fait au bon dieu! chef!,…le mérite!,…d’Azincourt!,…au bosson de Higg’s ! chef!,…
…c’est pas fini!,…silence dans les rangs!,…des partis-pris!,…etc!,…
…la Seine, c’est à côté!,…les romans-fleuve!,…à l’inspiration & footing-blus!,…

…revient banane!,…qu’est ce qu’elle à ma gueule!,…faut pas poussé chef!,…pendant la messe!,…aux christ à Ben-huur – Cassimodo,!…etc!,…
…quel!andouille je vous jure!,…Bussiness! là!,…va!,…
…une autre!,..Oui chef!,…de bière,…

Titre à l' appel ou à la pelle? dit: à

et tellement que dubuf a aussi furieusement voulu nommer celle des autres..et ça leur a pas plu..mais pas du tout

Lesquelles, soyez précis.

bouguereau dit: à

Merveille technologique, elle empêche les critiques d’être des écrivains, les lecteurs d’être des auteurs et les journalistes d’être intelligents

..ça c’est ce qu’on laisse croire aux lecteurs du figaro papier..ils sont zombifié par les habitants de pluton..

ici Londres dit: à

pom pom pom pom, message: « Rôôô bouguereau a ressorti l’épicétou de la bouteille »; je ne répète pas

bouguereau dit: à

soyez précis

ma mère..je le suis en trois mots et vous voulez que je fasse long et vaseux..connaissez vous dubuf sa vie son cul ?

bouguereau dit: à

hahem pardon je te vouvoie..c’est pas bon

bouguereau dit: à

» But the worst mistake I made was that stupid suburban prejudice of antisemitism. All along, that spoiled everything » Ginsberg, Beat Poet, Gary Miles, p.398

et tu trouves que ça signe sa récipiscence kabloom ou comme la reconnaissance d’une vieille erreur de marketting ?..prends le pour un con en plus l’ezra

Priapus Pontifex dit: à

Nous avons essayé plusieurs fois d’amener celui qui se fait appeler Bouguereau ici à collaborer avec nous, sachant quelles qualités il concentre. Il concentrait, à vrai dire car, bourré comme un petit Lu, à chaque rencontre du troisième type que nous avons tentées il a pris nos envoyés pour des pubs hologrammiques en 3D, sortant de sa bouteille comme un génie oriental…

bouguereau dit: à

« Come to me Gilgamesh, and be my lover!

vla que gilgamèche cause brit dans l’tesque..par la volonté de gaga..qui est son cousin direc comme jésus celui de vontraube..ce qui nous faisait jésus suisse tiptop..lecteur mon frère mais pas toi

Titre à l' appel ou à la pelle? dit: à

connaissez vous dubuf sa vie son cul ?

Marianne Jakobi avec Dieudonné Julien, une biographie qui nous explique la mythographie de celui qui cherchait ses titres, non pas de noblesse mais du commun.
( A ce propos, article in La Fabrique du titre de Marianne Jakobi sur les titres dans l’ œuvre de jean Dubuffet.)

bouguereau dit: à

ma mère un pénib qui fait drolatique comme dans un vieux pilote des années trente..tu sais dessiner au moins dis?

bouguereau dit: à

une biographie qui nous explique

les légendes doré ça a toujours été pour les gogos..mais encore?

bouguereau dit: à

Un rabbin aguerri et moderne

moins qu’un évèque pédophile..

bouguereau dit: à

Desole d’avoir pollue le site

..non mais chte jure

Titre à l' appel ou à la pelle? dit: à

les légendes doré ça a toujours été pour les gogos..mais encore?

Très mal reçue par le fan club de Dubuffet la biographie…( Vous n’êtes pas au courant?)

bouguereau dit: à

Mieux vaut une lettre autographe de Dubuffet

la mer qu’on voit danser a des reflets d’argent d’argent d’argent

bouguereau dit: à

( Vous n’êtes pas au courant?)

je parlais de gogo en général..le prend pas pour toi en particulier

Daaphnée dit: à

Ce n’est pas rien, un titre

En effet, même « sans titre » est connoté .. !
Quand la mention indique le choix de ne pas donner de titre .. à des oeuvres néanmoins pleines de références (Viallat/Matisse etc ..)

Polémikoeur. dit: à

« Et que dire alors des titres attribués par erreur ? »
Tout dépend si l’erreur puise ou non
sa substance dans l’œuvre d’art !
Serait-ce une erreur d’intituler « Une pipe »
tel tableau de Magritte nommé par lui-même « Ceci n’est pas une pipe » s’il était retrouvé
sans l’indication (« a priori ») paradoxale
que l’auteur a pris tant de soin
à lui associer ?
Bien sûr, le non figuratif renvoie la réflexion
sur la consistance de l’erreur de titrage
à son point de départ !
Erratomaniériquement.

Duc de la Rochefougasse de la Bourangèle du Petit Litron dit: à

Vous les petits ! Vous les sans grades ! Vous les sans titres… !

ici Londres dit: à

quand Chaloux passe la serpillière sur bouguereau, ça fait glou glou glou à l’essorage !

ueda dit: à

Eclatante victoire des « Fennecs » sur les Coréens.

En France, la bonne nouvelle a été célébrée avec modération.
Seulement 20 voitures brûlées à Lille.
Il y a eu ailleurs quelques pillages de magasin, mais dans une ambiance parfaitement bon enfant.

Des incidents à Lyon, mais, non, l’église de la Duchère n’a pas été brulée par les supporters de l’Algérie, contrairement aux rumeurs colportées par l’extrême droite.

« Contactés par L’Express, les services de police du Rhône confirment qu’il s’agissait d’une fausse information. Ils indiquent en revanche que des incidents ont bien eu lieu dans la soirée dans l’agglomération lyonnaise:
– à Vaulx-en-Velin », un supermarché Casino aurait été saccagé par une vingtaine de personnes. Les dommages sont estimés à 8000€
– à Givors, des « violences volontaires sur agents des forces publiques » ont été constatées. Il s’agissait de supporters à l’arrière de voitures qui ont utilisé des pointeurs lasers sur des policiers
– des actes de vandalisme ont également été constatés dans le quartier de la Guillotière. Une personne a été interpellée pour outrage à personnalité dépositaire de l’autorité publique.

Une bonne humeur populaire, l’expérience d’un partage dans un esprit sportif.
Ce qui importe, ce ne sont pas les actes mais l’ambiance: l’esprit est bon enfant.
Tout va bien.

Onésiphore de Prébois dit: à

Eclatante victoire des « Fennecs » sur les Coréens. (ueda)

Si Allah pouvait nous éviter un France/Algérie, tut le monde s’en trouverait bien, à commencer par notre star nationale, Karim Benzema, à qui ça éviterait de chanter « la Marseillaise » dans un contexte délicat.

renato dit: à

Non, c’est vrai ?

ici Londres dit: à

ça fayotte et fachote toujours un p’tit peu avec uedada, ça sent la marine du matin

Epicetoo dit: à

ici Londres, t’es con.

ueda dit: à

ici Londres dit: 23 juin 2014 à 11 h 56 min

Eh bien au moins je sais quelque chose sur vous, mon ami.
Vous n’êtes ni représentant de la force publique ni gérant de « Casino ».

Le spectre se resserre!

Les courges sont cuites dit: à

As a brick.

ueda dit: à

« Poète ornithologue Dominique Meens le présente sous un genre inédit appelé “dorman”, ou si l’on préfère “roman sans romanesque”.  »

Excellent.
C’est des trucs pour roupiller.

La Bible jouait ce rôle chez nos pères (à vrai dire, surtout chez nos mères).

ueda dit: à

« C’est d’une érudition si vertigineuse qu’elle en devient musicale.  »

Je vais m’en souvenir.

Il y a bien deux ou trois musiciens sur ce blog, sauras-tu les identifier?

Daaphnée dit: à

Le spectre se resserre!

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
U., mon héros chéri, unique, merveilleux .. je savais bien que vous étiez parti en mission top secret … Mais il ne faut pas tout leur dire ..
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

ueda dit: à

Daaphnée dit: 23 juin 2014 à 12 h 17 min
Le spectre se resserre!

Salut, Dédé!

(Encore plus touché que Prébois par le bisou sur le front de Chaloux.)

Daaphnée dit: à

Ah mais non, U. !
Dédé (le vrai)a parfois de l’esprit, soit ..
Mais pas tout le temps, quand même !

f de bassan dit: à

portraits d’erdéliens intitulés
Première communion de jeunes filles chlorotiques par un temps de neige (blanc) ; Manipulation de l’ocre par des cocus ictériques (jaune) ; et Ronde de pochards dans le brouillard (gris); auxquels il ajoute Combat de nègres dans une cave, pendant la nuit (Reproduction du célèbre tableau) (noir)4,5.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Monochrome_%28peinture%29

ici Londres dit: à

à Epicetoo : réponse bougresse à la bougue-rot

Money, money..... dit: à

Ce Mondial est perverti par la corruption évidente des arbitres, des joueurs et l’impossibilité que le titre échappe au Brésil !

Un France-Algérie aurait de la gueule, on enverrait l’armée dans les Casbah du 9.3 pour rétablir l’ordre en cas de victoire française, on aurait moins de frais de déplacement que dans le passé, tout benef !

Rôôôô dit: à

réponse bougresse à la bougue-rot

t’es con comme un boulon en cartoon épicétoo

Pinpin dit: à

Rond en juin, carré en juillet.

Ici Lichbonne dit: à

ici Londres dit: 23 juin 2014 à 11 h 04 min

quand Chaloux passe la serpillière sur bouguereau, ça fait glou glou glou à l’essorage !

Erreur, ça fait « prout ».

des journées entières dans les arbres dit: à

« Vous avez pleuré devant «Les Oiseaux se cachent pour mourir»? Alors … Une parodie de super nanny qui essaye de dresser le jeune etienne »
http://www.youtube.com/watch?v=ZHQSViS4uBs

Onésiphore de Prébois dit: à

Lire le « glossaire d’oiseaux grecs » en écoutant le « Catalogue d’oiseaux », d’Olivier Messiaen : une expérience à tenter. A première vue (écoute), quel instrument semble le moins apte à transcrire des chants d’oiseaux ? Le piano, évidemment. La tentative n’en est pas moins intéressante, justement parce qu’elle refuse les séductions faciles.

Onésiphore de Prébois dit: à

La tentative n’en est pas moins intéressante, justement parce qu’elle refuse les séductions faciles. (mézigue)

Les séductions du genre « waldvögel ». « Catalogue d’oiseaux » est une entreprise d’une profonde probité et humilité. Un côté homme des cavernes à l’écoute des chants divins et s’efforçant de les transcrire, avec les moyens du bord.

Onésiphore de Prébois dit: à

Un côté homme des cavernes à l’écoute des chants divins et s’efforçant de les transcrire, avec les moyens du bord. (mézigue)

L’équivalent musical de la grotte Chauvet, avec un retard de 35 000 ans. Entreprise messiaenique, s’il en est.

Sergio dit: à

Ca vaut pas les oies de Nord, ça, si ?

tseu tseu dit: à

« on enverrait l’armée dans les Casbah du 9.3 pour rétablir l’ordre en cas de victoire française, on aurait moins de frais de déplacement que dans le passé, tout benef ! »

Le mec qui chiale sur la défaite de ses c de pères…

bigbillion dit: à

ici Londres dit: 23 juin 2014 à 11 h 56 min
ça fayotte et fachote toujours un p’tit peu avec uedada, ça sent la marine du matin

il a peur pour son pain au choc ( heureusement que l’humepaie est là)

Sergio dit: à

ueda dit: 23 juin 2014 à 12 h 16 min
Il y a bien deux ou trois musiciens sur ce blog, sauras-tu les identifier?

En général c’est les sourds, non ?

Coco dit: à

En général c’est les sourds, non ?

ou des haricots.

Daaphnée dit: à

A Roubaix, en marge des scènes de liesse qui célébraient la victoire des Fennecs en Coupe du Monde à Roubaix, des incidents ont éclaté peu après minuit. À 4 heures, une vingtaine de feux de voitures étaient recensés par la police, principalement à Roubaix.
Abribus saccagés boulevard Gambetta, vitrines de commerces cassées, détritus vidés au milieu de la chaussée et incendiés, rue de Lannoy ou de Lille, feu de poubelles qui se propagent à des voitures en stationnement voire à un garage privé, rue Louis-Decottignies, une camionnette enflammée collée contre la façade d’un commerce et qui se propage à la supérette, rue de l’Alma… etc
http://www.lavoixdunord.fr/region/victoire-de-l-algerie-scenes-de-liesse-a-lille-ia19b0n2227461

La presse locale ne me paraît pas minimiser les dégats ..

bouguereau dit: à

zouz dit « bon enfant » deux fois..il se déboutonne

bouguereau dit: à

que serait l’art contemporain sans les jeux d’mollet zarbo académique en casque de cuivre poli lassouline..sans les « cartouches » et ceux qui s’y précipitent

bouguereau dit: à

je dis ça parcequ’au début c’était un « jeux »..un exercice oral, f.m.r..enfin non, avant lui aussi

Sergio dit: à

bouguereau dit: 23 juin 2014 à 15 h 38 min
En général c’est les sourds, non ?

de circonstance

Oui. Mais qui tourne la partition ? Le premier violon son boulot c’est le « la » il l’a déjà donné ; les bois de toutes manières c’est pas beau faut pas en mettre ; les contrebasses là ça serait pas mal ils ont du temps devant eux, mais de toutes manières ils en ont toujours, du temps, ils ont jamais rien à glander…

Clopine dit: à

Chyaloux est un musicien de ce blog : il possède DES pianos et passe des soirées à Pleyel.

bouguereau dit: à

Oui. Mais qui tourne la partition ?

jean cage

Clopine dit: à

Et J.ch. aussi : lui, c’est le jazz dans tous ses Etats. Entendez : partout où il va…

Clopine dit: à

Quant aux filles… je verrais assez bien Bérénice à la traversière (la flûte), et Rose à la guitare ; Daaphnée aurait son instrument à elle : la harp(I)e…

Clopine dit: à

Bien entendu, un seul instrument revient de droit au Bouguereau : l »hé(mékilé)licon !

(je pourrais mettre le cher Bobby en ligne pour illustrer l’objet, mais Bouguereau ne le mérite décidément pas…)

(et je m’en fiche bien, qu’on prenne mon c… pour une trompette).

bouguereau dit: à

qu’on prenne mon c… pour une trompette

mimile il lui mettait souvent un bouchon..et même qu’à la fin il jouait en montrant son cul surtout..

Al Mahdi du Mondial dit: à

Algérie vaincra ! Algérie vaincra ! La valise de buts ou le cercueil ! Allah est grand et la cage de but, toute petite ! Allez les Fennecs !

Sergio dit: à

Clopine dit: 23 juin 2014 à 15 h 58 min
il possède DES pianos

C’est embêtant parce que si on veut sortir celui du fond et qu’il y en a six devant… Haprès faut tout réaccorder… L’accordeur il a un sourire en verre de lampe comme Finnegans…

Tu pointes ou tu tires dit: à

Clopine dit: 23 juin 2014 à 16 h 03 min
je pourrais mettre le cher Bobby

C’est comme les BB quand on aime on compte pas.

Pas assez cher sûrement.

Priapus Pontifex dit: à

Divin à la caisse claire, aux toms et aux cymbales, j’ai accompagné Paul VI au Vatican dans un quartet funky et solidaire qui enchainait les thèmes théologiques jusqu’à tard dans la nuit romaine.

Il était fabuleux, Paul VI au cornet, un coup de langue sublime… et on avait pas besoin de plusieurs pianos !

Sergio dit: à

Parce qu’un piano c’est comme tout on peut le sortir dehors, hein ! Des fois faut se méfier de la marée quand même…

Daaphnée dit: à

zouz dit « bon enfant » deux fois..il se déboutonne

C’est à dire, le Boug’, que ces mêmes qui calment leur joie en brûlant des voitures etc … sont peut-être les mêmes qui s’enrôlent dans le jihad .. , non ?
2 de tension dans leurs meilleurs jours !

Deneb dit: à

Le piano à cordes est devenu une foutaise de nos jours mais personne n’ose l’avouer, c’est à la fois idéologique et bobo-ïque.
Sachez qu’aujourd’hui pour prétendre dépasser la qualité d’un bon piano numérique, il faut un monstre du genre Bosendorfer Imperial qu’aucun particulier non-Emir ne peut s’offrir, accorder, et maintenir accordé correctement. J’exagère pas. On sait reproduire à merveille tous les touchers, pour pas très cher, et le numérique fait tout le reste. A 4-5000 euros, on a tous les pianos qu’on veut dans son salon, et sans avoir besoin de les accorder.
Le plus navrant, c’est ceux qui s’achètent un petit piano droit neuf à 2000 euros, au son de casserole, qu’ils devront faire accorder 5 fois la première année, alors qu’ils pouvaient avoir 20 fois mieux en numérique pour le même prix. J’exagère pas. Des fois les gens disent que je suis excessif, mais là j’exagère pas.

Deneb dit: à

Je visais personne en particulier d’ailleurs. Chaloux a parfaitement le droit de collectionner les pianos. Ce sont de beaux objets et il faut forcément des collectionneurs privés, on ne peut pas tout mettre dans les musées. Je n’ai pas à prendre sa défense, après toutes les méchancetés qu’il a faites à ce pauvre bouguereau il serait plutôt à blâmer; je dis ça de façon neutre, objective et non polémique un point c’est tout.
De toutes façons je n’aime pas juger les gens.

Sergio dit: à

Deneb dit: 23 juin 2014 à 17 h 04 min
Le piano à cordes est devenu une foutaise de nos jours mais personne n’ose l’avouer, c’est à la fois idéologique et bobo-ïque.

Oui pour la partie technique. Seulement la question : est-ce que l’on garde, en tant que telle, la sonorité du piano à cordes, qui est très belle. Pour rester dans ce sujet, rappelons que cette sonorité, justement, est une des plus difficiles à synthétiser, mais qu’évidemment cela devait être nécessairement résolu un jour.

A+

Chaloux dit: à

D. on ne peut plus faire la sieste tranquille. Disons qu’un piano ce n’est pas seulement « le son ». Les gens qui ne jouent que sur numérique sont souvent incapables de maîtriser un piano acoustique. Sur l’acoustique, c’est le cerveau qui synthétise…

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