Quels écrivains seront encore lus en 1640 ?

Le tremblement du temps donc.

https://www.persee.fr/doc/litts_0563-9751_1995_num_32_1_1692_t1_0198_0000_2

@Jazi
A propos de votre balade ,de
Elizabeth et Robert Badinter, un de ces ces couples comme tant d’autres, dont les époux n’appartiennent plus désormais à la même classe d’âge et où la femme ,encore solide et active,s’ est changée en affectueux bâton de vieillesse , pour celui dont elle a partagé la vie durant une soixantaine d’années .
Longer le Luxembourg m’arrêter à la Procure et arriver place Saint Sulpice ,c’est pour moi u cheminement familier depuis des decennies ,et depuis des décennies j’enrage en arrivant sur la place de trouver ces arbres maigrichons qui ont remplacé les somptueux et généreux platanes qui entouraient le fontaine
Et ce crime pour un parking

Elle a fait l’École alsacienne.

Je ris.

Klee et Benjamin:
L’Angelus Novus, de Paul Klee, (1920). Israel Museum, Jerusalem Gift of Fania and Gershom Scholem, Jerusalem; John Herring, Marlene and Paul Herring, Jo Carole and Ronald Lauder, New York; Swiss.
ls étaient de la même génération. Le premier, le philosophe Walter Benjamin, est né en 1892, le second, le peintre Paul Klee, en 1879. Et ils sont morts la même année, en 1940, sans s’être fréquentés. Mais un étrange petit bonhomme de 318 × 242 mm, dessiné à l’encre et au fusain, les a réunis à jamais dès 1921 : l’Angelus Novus.

Je n’ai pas bien compris ce qu’il s’était passé le mercredi 28.

‘I think our numbers will be about 10 – yes thats ten.But our action will be the more heroic for confronting a vastly superior enemy in their lair. What we do in life echoes in eternity.’

« Je pense que nous serons une dizaine – oui, une dizaine – mais notre action sera plus héroïque car nous aurons affronté un ennemi largement supérieur dans son repaire. Ce que nous faisons dans la vie résonne dans l’éternité. »

@fl
vous dites
On peut pas vraiment dire qu’ils n’appartiennent pas à la même génération.
je n’ai pas dit cela mais j’ai ecrit qu’a ce jour ils n’appartiennent plus à la même classe d’âge
sans doute etes vous trop jeune pour comprendre:
Elizabeth c’est le troisième âge, et ,pour quelqu’un en bonne santé, cela signifie des capacités physiques et intellectuelles tres peu différentes de ce qu’elles etaient 20 ou 30 ans plus tôt
Robert,c’est le quatrième âge , un âge ,ou aussi autonome qu’on soit, on subit inévitablement l’alteration plus ou moins marquée de certaines capacités ,marcher, voir entendre, se souvenir continuer à etre capable de faire rapidement certaine choses, continuer, si on en a été capable à rédiger et à parler avec clarté etc..

« Après une dispute, un cuistre présente ses excuses à Antoine de Rivarol :
– Les mots ont dépassé ma pensée.
– Oh, ils n’ont pas dû aller bien loin. »

N’en déplaise à Bloom, j’ai toujours trouvé que l’esprit français était supérieur à l’humour anglais !

Zeitgeist [ˈt͡saɪ̯tˌɡaɪ̯st]1 signifie littéralement « esprit du temps ».

Ce terme emprunté à la philosophie allemande désigne « les grandes lignes de la pensée2 », les questions en débat et la sensibilité d’une époque3. « Le Zeitgeist se révèle par exemple dans le fait qu’une même découverte est faite quasi simultanément par des personnes qui travaillent de manière indépendante4 ».

Les expressions équivalentes esprit ou génie, du temps, des temps, de l’époque, du siècle, de l’âge, sont attestées à partir du xvie siècle. Elles expriment la notion que les pensées et les actions des humains dépendent de leur environnement social, qui varie selon le lieu et le temps. Herder les traduit en l’allemand Zeitgeist au tournant du xviiie au xixe siècle. Cette notion s’oppose à la philosophie idéaliste de Kant, qui affirme l’existence d’idées immanentes, et à celle des Lumières qui voit dans les changements un progrès vers la vérité. L’usage en français du terme Zeitgeist est une référence aux controverses philosophiques du xixe siècle.
wiki

Faut demander à Hervé Bazin

Classique d’un pays entré dans la postmodernité avec l’équipement mental d’une société agricole coincé au stade de l’accumulation primaire.

De Bloom, analyse géopolitique de l’Irlande !

https://www.nationalchurchillmuseum.org/never-give-in-never-never-never.html

RAPPEL SUR PHILOMAG/
Arrive un philosophe et sociologue allemand, Hartmut Rosa, qui propose un autre concept : l’accélération. Le problème n’est pas d’aller vite, mais toujours plus vite. Et ça change tout. L’accélération touche si juste qu’on ne peut plus penser sans elle ce que Rosa diagnostique comme nos « famines temporelles ». En mettant le rythme dans l’analyse du temps, il permet de comprendre ce paradoxe qui veut que plus l’on va vite, moins on a le temps. L’apport de Rosa dans ce livre est d’articuler la temporalité propre à l’économie capitaliste au temps social, et même au temps intime, qui nous projette sans cesse dans l’instant d’après. Pour autant, le « remède à l’accélération » (recueil paru chez Philosophie magazine Éditeur en 2018) n’est pas forcément de ralentir – comme sur un vélo, s’arrêter ou pédaler trop lentement, c’est tomber. Il a forgé un autre concept pour « retrouver le contact avec le monde » : la résonance (La Découverte, 2018). Ceci est une autre histoire…

0 PROPOS D’ACCELERATION ce « vite vite » dont on se plaint temps dans les EPHAD? une question:
* »peut-on dormir plus vite » je ne dis pas s’endormir », mais dormir

Excellent, Soleil vert !
C’est de l’humour anglais ou de l’esprit Français ?

Ce matin, j’avais décidé d’acheter le JDD. Je me suis rendu, un peu avant 9 h, chez le sympathique buraliste, près de chez moi, lui ai acheté un jeu à gratter et le JDD. Sauf, je m’en suis aperçu en rentant, qu’il avait oublié de me donner le magazine. Car il y a un magazine du JDD une fois toutes les deux semaines. Et ce dimanche, c’était cas. J’ai dû ressortir, et palper en même temps les 10 € gagnés au jeu. C’était mon jour de chance, car dans le magazine il y avait un superbe article de devinez qui, Simon Liberati. Il faisait une infidélité à « Match », pour nous revenir une nouvelle fois sur trois pages de son récent voyage aux USA sur les traces du gourou assassin, Manson. Un très bel article, pas bâclé, passionnant et tout et tout. Liberati connaît bien cette histoire. Il dit des choses étonnantes, par exemple que Manson et les filles autour de lui n’avaient jamais quitté l’enfance. Que tuer Saron Tate était un jeu. Est-ce pour ça que ce fait divers m’a toujours laissé insensible ? Que résume-t-il de l’époque, à part un certain infantilisme ? Ce n’était même pas un complot comme dans « Le Rivage des Syrtes » ou « Le Désert des Tartares ». Cette remarque que fait Liberati aujourd’hui est importante, comme s’il avait perdu son temps à lire et à écrire sur Manson. Il y a un livre sur l’affaire, un pavé qu’il a lu plus de dix fois (en anglais). IL commente les livres qui sont parus sur Manson, notamment un auquel Manson a collaboré et dans lequel il se livre complètement. Liberati est hypnotisé par ça. Après tout, c’est un lecteur récurrent de « Moi, Christiane F., droguée, prostituée ». Il lisait ce document brute quand il était enfant. Je me souviens de ce volume, dans les librairies. A l’époque, je n’aurais pas eu l’envie de le lire. Ce n’était pas pour moi. Trop sordide. Je me souviens aussi d’une p^rostituée qui s’appelait Ulla, dans les années 70. Et Ulla avait écrit un livre, eh oui, ça s’appelait « Ulla par Ulla ». J’en regardais la couverture avec stupeur, n’imaginant jamais que j’aurais pu l’acheter avec mon argent de poche. Et puis Ulla a quitté l’actualité, et, quelques années plus tard, elle est devenue SDF. Des journalistes l’avaient retrouvée dans un aéroport. Elle vivait dans une consigne. Au lieu de l’aider, les journaleux en avaient tiré un article sordide. L’article de Liberati, qui a le même âge que moi, me fait songer à tout ça. Sinon, dans le JDD, rien de spécial. Ce n’est pas pire qu’avant. La presse réussit à Bolloré. « Match » a repris de l’énergie. C’est la presse de demain. Bonne soirée !

Pas tant de différence, JB. La boutade de Rivarol aurait pu être prononcée par Churchill…

 » Winston Churchill, vous êtes ivre !  »  » Et vous, Madame, vous êtes laide. Mais moi, demain, je serai sobre !  »

 » Un bon politicien est celui qui est capable de prédire l’avenir et qui, par la suite, est également capable d’expliquer pourquoi les choses ne se sont pas passées comme il l’avait prédit.  »

Attlee, « un homme modeste, qui avait toutes les raisons de l’être »

etc, etc…

 » Winston, si j’étais votre femme, je mettrais du poison dans votre verre!  »  » Eh bien moi, Nancy, si j’étais votre mari, je le boirais ! « 

Jésus

Depuis des années, chaque dimanche matin, j’écoute sur France Culture l’excellente émission « L’Esprit public », de 11h à midi.
Avant cette heure se succèdent diverses émissions religieuses, que je n’écoute pas.
Ce dimanche 26 novembre, pour être sûr de ne rien rater j’allume ma radio un peu avant. C’était la messe catholique. J’entends le prêtre catholique dire ces mots « Jésus, le roi de l’Univers ». Ces mots me surprennent un peu. J’imagine qu’ils n’ont pas surpris les catholiques qui venaient d’écouter cette messe. Pourquoi suis-je
étonné ? Je ne suis pas un grand connaisseur de cette importante religion, mais j’ai bien compris que Jésus y tient une place capitale. J’ai entendu un jour un évêque déclarer : « Si Jésus n’est pas ressuscité, notre foi est vaine. » Bien. Jésus, né il y a un peu plus de deux mille ans aurait dit et fait des choses, rapportées dans le Nouveau Testament, qui sont à la base du développement du christianisme. Ce n’est pas rien. Il y a plus d’un milliard de chrétiens. Ce qui les caractérise est non seulement de croire qu’un Dieu a créé l’Univers, mais aussi que l’on doit vivre en suivant les paroles prononcées par Jésus.
Cela dit, je me permets de penser que les paroles de ce prêtre « Jésus, roi de l’Univers » ne riment à rien. Et avant Jésus, l’Univers n’existait-il pas ? On nous dit par exemple que la Terre aurait 4,5 milliards d’années. Jésus est apparu il y a deux mille ans
seulement. « Roi de l’Univers », c’est vraiment n’importe quoi, que l’on soit ou non chrétien.
Mais que les chrétiens qui me lisent continuent à croire ce qu’ils croient. Chacun son avis. Chacun voit midi à sa porte. Je suis tolérant.

et alii dit: à
dont on se plaint tant!(notamment pour le moment et la durée des repas) peut-être rose a-t- elle fait quelques remarques ?
Et alii
Rien sur la vitesse et rien sur l’accélération.
Le déroulé du temps dans un EHPAD est mortel, et le dimanche il est triple mortel. Rien ni personne : ils sont seuls et abandonnés.

Jésus est bel est bien Roi de l’Univers.
Pourquoi ? Parce qu’il est Fils de Dieu, Dieu né de Dieu depuis tous les siècles.
La Sainte Trinité EST depuis tous les siècles. « Je suis celui qui suis ». Aussi bien Père, que Fils ou Esprit.
Et cette vérité c’est l’Esprit qui nous l’enseigne, à la condition de s’ouvrir à Lui.

Vous avez raison, Rose, beaucoup de veillards sont très seuls dans les Ehpad.
Beaucoup d’enfants sobt très seuls aussi.
Seuls au sens de privés d’affection et d’éducation et de bon exemple. Les cités en sont remplis. Pas tous mais beaucoup.
Et beaucoup d’étudiants ou de jeunes travailleurs sont aussi très seuls.
En fait si l’on regarde bien il existe de terribles solitudes partout.

Chapitre 2
1Jésus était né à Bethléem en Judée, au temps du roi Hérode le Grand. Or, voici que des mages venus d’Orient arrivèrent à Jérusalem
2et demandèrent : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu son étoile à l’orient et nous sommes venus nous prosterner devant lui. »
3En apprenant cela, le roi Hérode fut bouleversé, et tout Jérusalem avec lui.
4Il réunit tous les grands prêtres et les scribes du peuple, pour leur demander où devait naître le Christ.
5Ils lui répondirent : « À Bethléem en Judée, car voici ce qui est écrit par le prophète :
6Et toi, Bethléem, terre de Juda, tu n’es certes pas le dernier parmi les chefs-lieux de Juda, car de toi sortira un chef, qui sera le berger de mon peuple Israël. »
7Alors Hérode convoqua les mages en secret pour leur faire préciser à quelle date l’étoile était apparue ;
8puis il les envoya à Bethléem, en leur disant : « Allez vous renseigner avec précision sur l’enfant. Et quand vous l’aurez trouvé, venez me l’annoncer pour que j’aille, moi aussi, me prosterner devant lui. »
9Après avoir entendu le roi, ils partirent. Et voici que l’étoile qu’ils avaient vue à l’orient les précédait, jusqu’à ce qu’elle vienne s’arrêter au-dessus de l’endroit où se trouvait l’enfant.
10Quand ils virent l’étoile, ils se réjouirent d’une très grande joie.
11Ils entrèrent dans la maison, ils virent l’enfant avec Marie sa mère ; et, tombant à ses pieds, ils se prosternèrent devant lui. Ils ouvrirent leurs coffrets, et lui offrirent leurs présents : de l’or, de l’encens et de la myrrhe.
12Mais, avertis en songe de ne pas retourner chez Hérode, ils regagnèrent leur pays par un autre chemin.
13Après leur départ, voici que l’ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph et lui dit : « Lève-toi ; prends l’enfant et sa mère, et fuis en Égypte. Reste là-bas jusqu’à ce que je t’avertisse, car Hérode va rechercher l’enfant pour le faire périr. »
14Joseph se leva ; dans la nuit, il prit l’enfant et sa mère, et se retira en Égypte,
15où il resta jusqu’à la mort d’Hérode, pour que soit accomplie la parole du Seigneur prononcée par le prophète : D’Égypte, j’ai appelé mon fils.
16Alors Hérode, voyant que les mages s’étaient moqués de lui, entra dans une violente fureur. Il envoya tuer tous les enfants jusqu’à l’âge de deux ans à Bethléem et dans toute la région, d’après la date qu’il s’était fait préciser par les mages.
17Alors fut accomplie la parole prononcée par le prophète Jérémie :
18Un cri s’élève dans Rama, pleurs et longue plainte : c’est Rachel qui pleure ses enfants et ne veut pas être consolée, car ils ne sont plus.
19Après la mort d’Hérode, voici que l’ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph en Égypte
20et lui dit : « Lève-toi ; prends l’enfant et sa mère, et pars pour le pays d’Israël, car ils sont morts, ceux qui en voulaient à la vie de l’enfant. »
21Joseph se leva, prit l’enfant et sa mère, et il entra dans le pays d’Israël.
22Mais, apprenant qu’Arkélaüs régnait sur la Judée à la place de son père Hérode, il eut peur de s’y rendre. Averti en songe, il se retira dans la région de Galilée
23et vint habiter dans une ville appelée Nazareth, pour que soit accomplie la parole dite par les prophètes : Il sera appelé Nazaréen.

un morceau solo de violon!

Quel est le personnage de Molière qui ressemble le plus à une figure de rhétorique?

Kudos!

D. dit: à
Vous avez raison, Rose, beaucoup de veillards sont très seuls dans les Ehpad.
Beaucoup d’enfants sobt très seuls aussi.
Seuls au sens de privés d’affection et d’éducation et de bon exemple. Les cités en sont remplis. Pas tous mais beaucoup.
Et beaucoup d’étudiants ou de jeunes travailleurs sont aussi très seuls.
En fait si l’on regarde bien il existe de terribles solitudes partout.

Oui, D. bcp de femmes seules aussi.

Néanmoins, voyez-vous, D. laisser des gens âgés qui ont consacré leur vie entière à autrui, dans un don inaliénable d’eux-mêmes vieillir seuls, c’est un scandale.

Ce sera puni par le glaive : le sang coulera à flots ininterrompus.

Elisabeth Badinter ? Bon. Lu des trucs d’elle, parfois d’accord, parfois irritée parce qu’être de la gauche caviar ne vous donne pas le droit de caviarder la gauche. Et puis zut, aussi, donner de la voix féministe mais signer cette voix du nom du mari, veux-je dire. Badinter. Papa ? Admirer Condorcet mais deux phrases et demie sur l’épouse d’icelui(et encore, just citer les mots du mari célébrant l’épouse). Pas anticapitaliste pour deux sous, mais ça, c’est peut-être le plus difficile à faire, quand justement on en a beaucoup, beaucoup. De sous…

Bref, les BadinterS, c’est Ebert contre Rosa Luxembourg. z’avaient le pouvoir, après 81. Comment leur pardonner ? Comment ne pas voir que l’accommodement d’un socialisme réformiste et surtout pas révolutionnaire conduit in fine à la peste brune ?

Bref. Je ne suis pas apte à juger de ses performances intellectuelles, mais merdalors, devenir comme la Catherine Deneuve des milieux socialistes mon cul c’est du poulet… Pouvait mieux faire. Ne plus être Badinter, et s’affirmer Catherine.

(et puis là, son soutien sans nuance du gouvernement pourri de l’Etat d’Israël ! Ça lui coûterait quoi, de se démarquer des ultra-orthodoxes, du colonialisme, et Tutti quanti ? On ne lui demande pas de soutenir le Hamas ni les frères musulmans, hein….)

Bon, je m’emporte peut être un peu.
parfois, elle dit deux trois trucs où elle n’a pas tort. Mais c’est marrant : je crois que c’est juste une femme déterminée. Non qu’elle soit en train de tracer une voie, mais juste l’inverse : elle ne suit que ses déterminismes..
Épouse de, va !

SUR L4OBS Laure Adler:
Les injonctions de jeunesse et de vitesse scandent notre quotidien. On vit dans une société où, dans les grandes entreprises, on vous fait comprendre dès 45 ans que vous êtes déjà un peu rouillé. Passé ce cap, beaucoup de gens – qu’ils soient femmes ou hommes – pensent déjà faire face à des défis très difficiles, que la société leur enjoint en plus d’admettre.

personnellement, je souffre d’être empêchée de rester seule; la solitude m’est indispensable;je connais des personnes qui s’en plaignent beaucoup,et des personnes qui n’acceptent pas que je veuille être seule,expérience faite d’avoir supporté leur compagnie

Le cours sur les sac à rébus est bien intéressant. Je viens de le réécouter.

« Les Petits Vieilles » a été écrit par Baudelaire chez sa mère à Honfleur et intégré à l’édition des « Fleurs du mal » de 1861. La deuxième donc.

Ensuite des considérations sur les chiffonniers. Contre Benjamin, le conférencier ne pense pas qu’on puisse tirer argument du thème du chiffonnage chez Baudelaire pour en faire un crypto-socialiste bien après 1848.

Quand je disais que c’était du lourd.

https://www.college-de-france.fr/fr/agenda/cours/les-chiffonniers-litteraires-baudelaire-et-les-autres/resurgences-du-systeme-du-chiffonnage-chez-baudelaire-le-sac-rebus

« La peste brune, elle vient du peuple, du populisme […] »

Vous devriez réécouter « La Résistible Ascension d’Arturo Ui ».

Un chef d’oeuvre soit dit en passant.

lorsque j’ai vu apparaitre sur le monde des mentions du genre:Publié hier à 18h30, modifié à 05h50
Temps deLecture 4 min.
j’ai été perplexe; différentes idées m’ont traversé l’esprit, sans aucune mise en pratique pour vérifier, « valider »concrétiserje n’ai pas souvent lu de réflexions un peu poussées sur cette mention
« comparativement; »maintenant, c’est trop tard pour moi;
bonsoir

C’était pour rigoler Rose. Jamais je n’aurais fait une telle chose.

(Si chacun pouvait indiquer les sources des propos qu’il prête à telle ou telle personnalité publique, par exemple cette affirmation de Clopine sur E. Badinter pour ne citer qu’un exemple : « (et puis là, son soutien sans nuance du gouvernement pourri de l’Etat d’Israël ! Ça lui coûterait quoi, de se démarquer des ultra-orthodoxes, du colonialisme, et Tutti quanti ? On ne lui demande pas de soutenir le Hamas ni les frères musulmans, hein….) ». Cela dit, beaucoup de respect pour le couple Badinter, surtout pour Monsieur et sa défense éprouvée de la laïcité ; Salut salut)

L’intrigue du début de la pièce, visant à compromettre Hindsborough et compliquée à comprendre, est bien expliquée chez Wikipedia.

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_R%C3%A9sistible_Ascension_d%27Arturo_Ui

(si à cet instant je pense à renato, c’est tout à fait fortuit)

Je vous ai cru D.
Hormis l’excellence du shampoing aux oeufs, bof.
Alors, nous irons tous, ouf.

Ils sont tellement pénibles. C’est comme Arturo Ui. Personne n’ose leur résister.

leur engagement
leurs engagements

Et cette beauté intrinsèque de vieillir ensemble, leur différence d’âge ne favorisant pas la facilité.

(la laïcité ne se limite pas à organiser la coexistence plus ou moins pacifique de communautés, quelles qu’elles soient : elle est une condition essentielle de la république ; ce sera tout pour ce soir, cette petite discussion était très agréable)

* les sacs à rébus

June 4, 1940. House of Commons.

A chaque fois je frémis.

https://www.youtube.com/watch?v=s_LncVnecLA

« Lorsqu’il y a une semaine, Monsieur le Président, j’ai demandé à l’Assemblée de fixer à cet après-midi l’occasion d’une déclaration, je craignais d’avoir à annoncer le plus grand désastre militaire de notre longue histoire. »

« When a week ago Mr Speaker, I asked the House to fix this afternoon as the occasion for a statement, When, a week ago today, I asked the House to fix this afternoon as the occasion for a statement, I feared it would be my hard lot to announce the greatest military disaster in our long history. »

https://winstonchurchill.org/resources/speeches/1940-the-finest-hour/we-shall-fight-on-the-beaches/

Bertold Brecht n’est pas du tout d’accord.

@Je cite Wikipedia qui est absolument remarquable sur cette pièce.
« Le titre doit montrer que l’ascension d’Arturo Ui (ou, dans sa transposition, l’ascension d’Adolf Hitler) était résistible, c’est-à-dire aurait pu être évitée.

Des crampes d’estomac … Heu ! Non, rien …

page d’erreur indique le serveur
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Stop à la haine anti-juive du rhamasse-tout qui fait de la propagande sur ce blog.

Call for Doron.

https://www.la-croix.com/culture/Israel-Hamas-serie-Fauda-realite-guerre-rattrape-fiction-2023-11-17-1201291173

6h52

Evidemment, ils ont dû regretter amèrement leur vénalité, quand la police les a interrogés. Se sont-ils alors rendus compte de la gravité de leur acte ? Désigner S. Paty à un « mec », au look de terroriste, ce n’est pas anodin. Le terroriste leur a dit que leur prof avait besoin d’une petite raclée, ou quelque chose comme ça. Eux, ils étaient d’accord, surtout pour 300 € chèrement gagnés ! L’ado met dans la balance l’intégrité physique de son prof d’histoire et le jeu vidéo qu’il convoite avec une concupiscence indigne. Il estime que ce petit sacrifice est justifié. Personne n’en saura rien ! Résultat des courses : événement international ! Petite cause, grands effets. Donc, ce procès aujourd’hui. Pour leur apprendre une leçon chèrement acquise : « Tu ne tueras point ! »

C’est du foot !

« FIFA 21 est une simulation de football éditée par Electronic Arts. »

Cela peut aussi provoquer la mort d’un prof honnête, indirectement !…

cours (et répétée deux fois depuis), c’est rien

Enfin, tous ceux qui laissent faire sont des assassins.

Lu
Zizim ou l’épopée tragique et derisoire d’un prince ottoman.

Chez Albin Michel 1993

Remerciements à Nicolas Vatin […]et à Guillaume Caoursin Mémoire sur l’affaire du roi Zizim.

Tragique et dérisoire mais aussi magnifique d’un prince turc qui, au décès de son père, non pas est intronisé roi ainsi que son père l’avait décidé (comme Abdallah de Jordanie) mais est poursuivi par la vindicte assassine de l’aîné Bajazet qui, lui, se prend le trône convoîté.

Trouvé, grâce à ce récit romanesque rondement mené, plusieurs informations sur Rhodes et ses forteresses imprenables et deux cartes anciennes, éblouissantes.

Martin Buber ds Philosophie Magazine

https://www.philomag.com/articles/martin-buber-et-le-sionisme

Un débridé de la zapette sur réseaux ce renato … ouf

« Le titre doit montrer que l’ascension d’Arturo Ui (ou, dans sa transposition, l’ascension d’Adolf Hitler) était résistible, c’est-à-dire aurait pu être évitée. »

Si elle avait été arrêtée, elle n’aurait pas eu lieu. Trop fort!
Merci docteur.

@ Daniel Schneidermann ? (kloser)

N’était-ce pas ce journaliste qui cracha tant et plus sur Bourdieu qq temps avant sa mort, lequel avait eu cette audace de dénoncer l’emprise des medias parisiens sur le monde politique (cf. sur la télévision)… et qu’un Onfray crut devoir défendre à l’époque, l’un de ses rares avocats hors sérail. Il faut bien admettre, cela dit, qu’Onfray commençait déjà à fourbir ses propres armes contre les futurs « islamo-gauchistes » dominants, à l’entame des années 2000.
Je croyais mort Schneiderman depuis longtemps. Et l’on nous apprend maintenant sa résurrection, en ayant gardé tout son fiel ?
L’histoire des wagons germanopratins ne connait décidément pas d’évolution majeure.
Bàv

FReud suite:
« En un mot, Freud assimilait le mouvement sioniste dans son ensemble à une entreprise de rejudaïsation des Juifs, à une sorte de nouveau messianisme, plutôt qu’à une utopie socialiste ou à une entreprise politique. Aussi préférait-il sa position de Juif de diaspora, universaliste et athée, à celle de guide spirituel attaché à une nouvelle terre promise : « Tout en vous remerciant de m’accueillir en Angleterre, j’aimerais vous demander de ne pas me traiter “comme un guide d’Israël”. Je souhaiterais être considéré seulement comme un modeste homme de science et d’aucune autre manière. Bien qu’étant un bon Juif qui n’a jamais renié le judaïsme, je ne peux néanmoins oublier mon attitude totalement négative envers toutes les religions, y compris le judaïsme, ce qui me différencie de mes confrères juifs et me rend inapte au rôle que vous voudriez m’attribuer [10]
[10]
Citée par Jacquy Chemouny, Freud et le sionisme, Paris, Solin,…. »

gérard HADDAD:sept 2019
« Personne ne proteste contre la situation de la population de Gaza, qui vit dans une prison à ciel ouvert depuis douze ans, à part quelques personnalités très isolées comme Raphi Walden ou Gideon Levy. Le problème palestinien peut aujourd’hui paraître secondaire, même pour les pays arabes, mais c’est un abcès qui gangrène toute la scène mondiale. Que le peuple supposément le plus moral du monde commette de telles abominations à Gaza crée une crise morale générale. Et je vous dis cela avec douleur.
https://www.jeuneafrique.com/mag/829165/politique/gerard-haddad-le-fascisme-guette-israel/

@ aux dégrizés de la tapette

… S’agissant de la domination masculine à travers l’histoire, rappelons cette conclusion :
« il existe une ligne invariante de force autour de la domination masculine, qui se trouve toujours soumise à d’autres forces, par conséquent, elle se développe tant que les conditions le permettent ; elle peut être inhibée, voire contrecarrée lorsque les conditions freinent son expression ou lui font obstacle (…) Dans le cas de la domination masculine, (comme dans celui des phénomènes de la reproduction sociale), ce qui devrait frapper les chercheurs, c’est leur omniprésence historique indépendamment des circonstances ou des conditions qui ne cessent de varier (BL, p. 819). (…) Plus ont touche aux fondamentaux de la biologie de l’espèce, et plus il est difficile d’inventer ou de fabriquer des artefacts compensateurs ou émancipateurs (…). Pour qu’une possibilité technique ait des conséquences sociales générales et durables sur le réagencement des rapports sociaux fondamentaux, il faut qu’elle soit de dimension universelle. Sinon, quelques petites poches d’humanité s’émanciperont, tandis que l’écrasante majorité des individus et des sociétés poursuivront leur développement sur les mêmes rails sans dévier de leur route » (BL, id. p. 823).
———-
Et moi, et moi et moij…? qui n’ai jamais eu de smarphone en poche, contrairement à trois milliards d’individus sur ma planète, vais-je devoir ne pas dévier de mes rails, quand le monde entier enfin éclairé par les opportunités offertes par cette nouvelle technologie de portée universelle, pourrait faire durablement exploser ces deux exemples d' »invariants »… Non ?
Voilà ce que s’est dit le simplet du jour, faisant taire icite l’étendue de toutes ses objections mentales… en laissant reposer le tout à une trace virtuelle de son journal extime.
Bàv,

langue surle point:
Dans les établissements classés en éducation prioritaire, 79,1 % des élèves ne comprennent pas la langue française et 83,5 % ignorent les bases du calcul. Les trois quarts des élèves présentant un retard scolaire ne savent ni lire ni compter. Seuls les établissements privés présentent des performances acceptables, largement supérieures à celles du secteur public hors éducation prioritaire.

extime
« Le mot d’extimité est proposé par Jacques Lacan dans son séminaire XVI en 1969 (publié en 2006, page 249). Le mot est à l’époque surtout utilisé comme une traduction du unheimlich de Freud, et sert également à traduire le uncanny anglais, que l’on retrouve notamment dans le concept de vallée dérangeante.

Serge Tisseron le reprend en lui donnant une signification différente dans son ouvrage L’intimité surrexposée (éd. Ramsay, août 2001, réédition Hachette, 2003) consacré au phénomène « Loft Story ». Il prétend par là s’opposer au mot « exhibitionnisme » utilisé au sujet des lofteurs, qui lui parait inadéquat.

Le mot entre rapidement dans le langage courant. Michel Tournier publie un « Journal extime » en 2002.

L’extimité d’après Jacques Lacan
« En fin de compte, si nous partons de ce que nous décrivons comme ce lieu central, cette extériorité intime, cette extimité qui est la Chose (Das Ding), peut-être ceci éclairera-t-il pour nous ce qui reste encore une question, voire un mystère pour ceux qui s’intéressent à cet art préhistorique »

— (Lacan, 1959-1960, , transcription Staferla, p. 285)
wiki

extime
« Le mot entre rapidement dans le langage courant. Michel Tournier publie un « Journal extime » en 2002.

c’est génétique!
Toutes les personnes ayant des yeux bleus auraient un ancêtre commun, selon un médecin, qui explique pourquoi dans une vidéo publiée sur TikTok.

Les personnes dotées d’yeux bleus feraient-ils partie d’une seule et même famille ? C’est ce qu’avance un médecin au cours d’une brève intervention diffusée sur le compte TikTok de Wired. Ancêtre, génétique, mutation… sa révélation est parfaitement logique mais a tout de même de quoi étonner.

Découvrir notre dernier podcast

Une mutation génétique qui a eu lieu il y a 10 000 ans
En matière de couleurs d’yeux, nous sommes loin d’être égaux!

Oui génétiquement et mathématiquement ça tient parfaitement la route.
Il faut plutôt dire : au moins toutes les personnes qui ont les yeux bleus. Car c’est récessif. Ce qui veut dire que beaucoup de gens qui n’ont pas les yeux bleus et qui ont un parent ayant les yeux bleus ont un ancêtre commun, mais pas tous.

Il faudrait peut-être citer correctement avant d’affirmer que ST Jerome faisait mal son boulot. Le texte dit bien quelque part , et plus d’une fois, «  Mon Père qui est dans les Cieux ». MC

Ce qui est certain c’est que sur de très longue période une population vivant dans un environnement defini (latitude, altitude moyenne, température moyenne et températures extrêmes, ressources alimentaires disponibles…), se type. Du moins autrefois parce qu’avec la mondialisation et le progrès médical, l’espacement pnus grand entre 2 générations, c’est freiné. C’est à dire que les individus mal adaptés génétiquement sont ou étaient progressivement et naturellement éliminés.
Il y a aussi le phénomène de convergence phénotypique qui est amusant. On l’observe facilement avec des animaux se reproduisant très rapidement et en très grand nombre (par exemple certains petits poissons) : des espèces ou des variétés éloignées génétiquement, mises dans un milieu défini, finiront par revêtir un aspect semblable, notamment en terme de couleur et de taille. Mais si l’on effectue l’analyse génétique, on observera toujours un éloignement important de façon globale.

Bloom, avez-vous lu le Booker Prize 2023?

qualifié? PAR QUI?
Si P. Charoulet est français, il vit sous un « régime » chrétien comme tous les français

Et on ne peut pas nier qu’un enchaînement de crapuleries ait mené Arturo au pouvoir. Pas seulement des rapports de production.

À Monsieur Closer

Vous avancez que je ne serais pas très qualifié pour parler de religion et de politique.
Réponse : En matière politique, tout homme sensé peut émettre une opinion. Que vous ne pensiez pas ce que je pense n’a rien qui doive surprendre. Nous ne sommes pas, que je sache, frères siamois.
En matière religieuse, je m’empresse de vous répondre ceci : Depuis un demi-siècle , au moins, j’ai été, sans discontinuer ,athée convaincu et persévérant. J’ai mille raisons. Les bizarreries, les âneries, les idioties des religions m’ont toujours fait rire. Faut-il être chrétien pour parler du christianisme ? Vous divaguez.

De l’Evangile de Jésus-Christ selin Saint-Matthieu. Chapitre 25.

1« Alors, le royaume des Cieux sera comparable à dix jeunes filles invitées à des noces, qui prirent leur lampe pour sortir à la rencontre de l’époux.
2Cinq d’entre elles étaient insouciantes, et cinq étaient prévoyantes :
3les insouciantes avaient pris leur lampe sans emporter d’huile,
4tandis que les prévoyantes avaient pris, avec leurs lampes, des flacons d’huile.
5Comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent.
6Au milieu de la nuit, il y eut un cri : “Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.”
7Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et se mirent à préparer leur lampe.
8Les insouciantes demandèrent aux prévoyantes : “Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.”
9Les prévoyantes leur répondirent : “Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutôt chez les marchands vous en acheter.”
10Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva. Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée.
11Plus tard, les autres jeunes filles arrivèrent à leur tour et dirent : “Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !”
12Il leur répondit : “Amen, je vous le dis : je ne vous connais pas.”
13Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure.
14« C’est comme un homme qui partait en voyage : il appela ses serviteurs et leur confia ses biens.
15À l’un il remit une somme de cinq talents, à un autre deux talents, au troisième un seul talent, à chacun selon ses capacités. Puis il partit. Aussitôt,
16celui qui avait reçu les cinq talents s’en alla pour les faire valoir et en gagna cinq autres.
17De même, celui qui avait reçu deux talents en gagna deux autres.
18Mais celui qui n’en avait reçu qu’un alla creuser la terre et cacha l’argent de son maître.
19Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint et il leur demanda des comptes.
20Celui qui avait reçu cinq talents s’approcha, présenta cinq autres talents et dit : “Seigneur, tu m’as confié cinq talents ; voilà, j’en ai gagné cinq autres.”
21Son maître lui déclara : “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.”
22Celui qui avait reçu deux talents s’approcha aussi et dit : “Seigneur, tu m’as confié deux talents ; voilà, j’en ai gagné deux autres.”
23Son maître lui déclara : “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.”
24Celui qui avait reçu un seul talent s’approcha aussi et dit : “Seigneur, je savais que tu es un homme dur : tu moissonnes là où tu n’as pas semé, tu ramasses là où tu n’as pas répandu le grain.
25J’ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre. Le voici. Tu as ce qui t’appartient.”
26Son maître lui répliqua : “Serviteur mauvais et paresseux, tu savais que je moissonne là où je n’ai pas semé, que je ramasse le grain là où je ne l’ai pas répandu.
27Alors, il fallait placer mon argent à la banque ; et, à mon retour, je l’aurais retrouvé avec les intérêts.
28Enlevez-lui donc son talent et donnez-le à celui qui en a dix.
29À celui qui a, on donnera encore, et il sera dans l’abondance ; mais celui qui n’a rien se verra enlever même ce qu’il a.
30Quant à ce serviteur bon à rien, jetez-le dans les ténèbres extérieures ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents !”
31« Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire.
32Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des boucs :
33il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche.
34Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : “Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde.
35Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
36j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !”
37Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?
38tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ?
39tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?”
40Et le Roi leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”
41Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche : “Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits, dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges.
42Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ;
43j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.”
44Alors ils répondront, eux aussi : “Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?”
45Il leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.”
46Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. »

J’accorde à Dieu la liberté de vouloir ce qu’il veut, y compris la Shoah. Il avait sans doute de bonnes raisons, qui ne sont pas les miennes-j, voyez ! Qui va nous départager, etalii ?

Karl Marx croit uniquement aux rapports de production.

Quelques réponses:

Si « qualifié » n’est pas le bon mot, et alii, disons « compétent ».

Vous avez toute liberté pour parler de religion, y compris de religions étrangères à votre culture d’origine, Monsieur Charoulet. Cependant, sachez que la théologie chrétienne est une discipline complexe et exigeante, qui repose sur une bibliographie de milliers de page écrites par les plus grands esprits. Bien qu’agnostique et non pratiquant, sauf pour les mariages (de moins en moins) et les enterrements (de plus en plus), je suis régulièrement des séminaires, de bon niveau je crois, et c’est passionnant. Alors, vos approximations…
Quant à la politique, vous la connaissez sans doute mieux, mais vous êtes sommaire et obsessionnel.

Je me doute bien que Brecht ne présente pas les choses de façon aussi simpliste, FL, mais ma pente naturelle est plutôt le déterminisme. Je trouve un peu vain de réécrire l’histoire, même si c’est très bien fait.

Non mais moi je suis pragmatique. Une cause, un effet. Point barre. Qu’on arrête de nous rouler dans la farine. Dieu est infiniment bon et souffre de voir un être humain souffrir, s’égarer, lui tourner le dos. Il a envoyé son Fils unique pour sauver de tels hommes, mais seulement si ceux-ci croient et sont de bonne volonté.
Il n’y a rien d’autre à dire.
Si vous n’avez pas la foi, la moindre des choses est de la demander. Ou même de la faire demanander par d’autres pour vous-même.
Sinon dans l’au-delà vous pleurerez et grincerez des dents, de la séparation d’avec Dieu que vous aurez choisie.
Ne croyez pas que cela se passe autrement.

 » Il a envoyé son Fils unique »

Ne sommes-nous tous pas les enfants de Dieu, D. ?

Je suis inquiet de vous savoir agnostique, Closer. Parce qu’un agnostique reste un homme ou une femme à sauver.

« Il se sentait mieux du temps où la caissière de Félix Potin distribuait aux gamins des photos d’écrivains avec une tablette de chocolat (parfaitement, cela se fit de 1898 à 1922(…) » Passou

Il se sent sûrement vieux, plus qu’il ne l’est, ce M. Morlino

Et y’en avait pas que pour les écrivains, c’est quoi cette histoire.
Il y avait , non des footeux, mais des sprinters sur les images du chocolat Potin surprise, parfaitement.

« En 1885, un premier album est édité par Félix Potin pour ranger la collection des 510 portraits de personnalités de l’époque, acquis par les acheteurs de tablettes de chocolat Félix Potin.
Un second album de collection paraît en 1907, avec cette fois, une place plus grande donnée aux artistes et aux sportifs (notamment les cyclistes).
Beaucoup des photos de personnalités sont réalisées par les studios Reutlinger, créés à Paris en 1845 par Charles Reutlinger (1816-1880) et repris ensuite par son frère, Emile (1825-1907).
L’écrivain Alexandre Vialatte (1901-1971) évoque dans ses cahiers, le souvenir de la collection des photos Félix Potin: “Lorsque j’étais enfant ma mère collectionnait, dans un album à reliure chocolat, façon crocodile, les photographies des gens célèbres qu’on découvrait dans les paquets d’une demi-livre…. Il y avait dans ce grand album toutes les célébrités de l’époque, Johnson, Alphonse XIII, d’Annunzio, Polin-Meynier et Mac-Mahon …. en haut, Félix Potin, et, en bas, le nom du personnage” (Cahier Vialatte, n° 18). »

https://www.leblogantiquites.com/2011/08/collection-felix-potin-images-publicitaires-paquets-chocolat.html

@ Tu comptes te ridiculiser avec quoi d’autre, encore,

Bonjour etalii, je vous ai déjà demandé de ne point me tutoyer SVP, cela me met à l’aise. Merci d’en prendre bonne note, je compte sur votre compréhension.

N’empêche que jamais la Simone n’aurait accepté d’exister sous le nom de Sartre. Ni d’un quelconque nom d’un autre, américain ou quoi. Alors que l’Elisabeth n’a pas eu l’orgueil intellectuel et féministe d’être autre chose que Badinter. J’y vois un signe d’acceptation d’une certaine condition, non pas humiliante hein c’est pas le propos, mais acceptée. Prix à payer pour exister ? Bof. Dire non au nom, c’est déjà lutter, à mon sens, quand on veut être soi. Je dis ça, et je rigole de moi même en même temps. Vu que mon petit cataclysme personnel ne peut être analysé qu’en terme de répudiation. C’est rigolo, la vie, non ?

Non.

je ne tutoierais pas un katho-blepas,serait-il certifié par P.ASSOULINE

@ »plutôt qu’à une époque où l’on fournit des portraits de footballeurs pour des albums Panini (et l’aveu doit être une souffrance pour quelqu’un, Morlino, dont le football est l’autre religion avec la littérature »

Messi, messi, il y a des footeux dans le catalogue Félix Potin, 1952, dernière série d’images.

Souffrez, mais souffrez qu’on s’en foote,
Et pas qu’un peu.

Categories: Cyclisme, Football, Rugby

Les géants de la route
Gino Bartali
Louison Bobet
Hugo Koblet
Ferdi Kubler
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Rik Van Steenbergen
René Baillot[Ser4 8]
Jean Baratte
Antoine Bonifaci
Antoine Cuissard
René Vignal
Michel Pomathios
Jean Prat

Wikipedia

Excusez-moi etalii, je vous ai confondue avec D. Merci.

Je vois que Bernard Morlino a un gros appétit ; il aime le repas copieux :
Les cent qui restent : 100 écrivains français du XXe siècle qu’on lira encore en 2100
Parce que c’était lui 50 amitiés littéraires
100 matchs de foot légendaires – De 1872 à nos jours
Les plus grands duels du cyclisme …
Portraits Mythiques Du Football

https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=bernard+morlino+livres#ip=1

Et c’est tout de même plus positif comme façon d’examiner le monde que de se poser la question de savoir si Jésus a inventé le signe de croix.

On va pas non plus acheter 100 tablettes de chocolat.

Bref, tout le monde est d’accord. L’homme n’est que le passé de la femme. (C’est pas de moi, mais j’aime bien).

Qui parle & à quelle occasion?

« Oh ! quel sentiment divin que celui de posséder une patrie ! Oh ! quel enivrement d’appeler sien un endroit, un lieu, un coin de ce beau sol. »

Bah, le problème des filles, c’est qu’on éduquées dès le premier âge à la règle dominante : à savoir que si vous avez une bite masculine jusqu’au fond de la flotte, interdiction absolue de mordre. Sucer, Oui. (bon, ça non plus ce n’est pas de moi, et c’est même parfaitement vulgos, m’enfin, pareil : j’aime bien.)

Sinon, a-t-on des nouvelles de Matzneff ?

Merci Bloom pour votre réponse.

De plus en plus pathétique de la part de qui ne cesse de s’avouer vaincue, ferait mieux de relever la tête !

Clopine dit: à
Bah, le problème des filles, c’est qu’on éduquées dès le premier âge à la règle dominante : à savoir que si vous avez une bite masculine jusqu’au fond de la flotte, interdiction absolue de mordre. Sucer, Oui. (bon, ça non plus ce n’est pas de moi, et c’est même parfaitement vulgos, m’enfin, pareil : j’aime bien.)
Le niveau monte, sur ce blog littéraire.

Pourquoi la vulgarité chez une femme est moins acceptable que chez un homme ?

MC dit: à
Rose . Bien entendu, on pense au Zim-Zizimi De Victor Hugo, in Legende des Siècles. Comme le portrait ne concorde pas, on se pose la question; y-a-t-il plusieurs Zim ?

il est écrit deux mots là dessus

SEE YOU LATER ALLIGATOR

Linguiste de formation Mathieu Avanzi est maître de conférence à l’université Paris-Sorbonne. Il travaille notamment sur la géographie linguistique du Français. Dans son livre Comme on dit chez nous, à paraître le 15 octobre aux éditions Robert, le chercheur a mené l’enquête sur ces spécificités régionales. Grâce à des questionnaires, il a réussi à déterminer l’aire d’usage du mot « nareux ».

« Le profil de l’auteur de la sauvage attaque au couteau de Dublin ne peut que nourrir la polémique sur l’immigration en Irlande. D’origine algérienne mais de nationalité irlandaise, l’homme avait déjà eu maille à partir avec la justice. Et avait un temps été sous le coup d’une expulsion. L’attaque a fait quatre blessés dont trois enfants. Une femme d’une trentaine d’années et une petite fille de cinq ans ont été grièvement touchées. »

Tiens, eux non plus n’arrivent pas à expulser les expulsables…

Slt cette partie là
« 33 il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche.
34 Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : “Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde.
35 Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
36 j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !”
37 Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?
38 tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ?
39 tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?”
40 Et le Roi leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”
41 Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche : “Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits, dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges.
42 Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ;
43 j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.”
44 Alors ils répondront, eux aussi : “Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?”
45 Il leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.”
46 Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. » »

Deux : je vous propose un exercice basé sur le récit et la place du narrateur => écriture au Je.

Visualisez, dessinez un parallélépipède avec à l’intérieur deux grandes diagonales se croisant en un point nodal (je ne sais si ce terme est juste).
Votre narrateur est là, au centre, au coeur. Il a une vue parcellaire, il est subjectif, il est dans le cataclysme. C’est vous.

A = N = P
Auteur = Narrateur = Personnage

Narrez.
Vingt à trente lignes,

“Sous un déluge de bombes israéliennes, les civils de Gaza sont tués à un rythme historique”, titre le site du New York Times, qui souligne que le bilan au bout de quelques semaines de conflit “n’a guère de précédent au XXIe siècle, selon des experts”.

https://www.nytimes.com/2023/11/25/world/middleeast/israel-gaza-death-toll.html

Les « experts » auraient dû regarder un peu ce qui s’est passé et se passe au Darfour ou au Yemen par exemple.

Clopine dit: à

Putain, je crois avoir farfouillé dans mon âme, dans mon cœur aussi, plus qu’aucun mec invité dans mon plumard n’aura farfouillé dans mon corps,

ça c’est bien vrai!

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