Qu’est-ce qu’un héros ?
Et si au fond tout écrivain écrivait pour ne pas être écrit ? La formule à la première personne revient souvent dans Le Monarque des ombres (El monarca de las sombras, traduit de l’espagnol par Aleksandar Grujicic avec Karine Louesdon, 324 pages, 22,50 euros, Actes sud), le nouveau livre de Javier Cercas, très attendu par les lecteurs des Soldats de Salamine, d’Anatomie d’un instant, de L’imposteur. Autant d’enquêtes sur un passé qui ne passe pas car il est de ces auteurs qui grattent obstinément les cicatrices quitte à rouvrir les plaies.
« J’écris pour ne pas être écrit ».
Autrement dit : j’écris pour me libérer du destin que ma famille et mes proches m’ont promis quand ils ne me l’ont pas imposé. Depuis son enfance, Cercas vit avec le fantôme qui hante les siens, une sorte de héros aussi légendaire que négatif, un grand oncle du nom de Manuel Mena fauché par la guerre civile à 19 ans à peine mais dont la seule pensée le faisait rougir. Pendant des années, il en a refoulé l’ombre portée sur son œuvre, redoutant le jour où il n’aurait d’autre choix que de s’y attaquer frontalement, seul moyen de crever l’abcès à la mémoire. Ce à quoi il s’est finalement résolu, fort du succès de ses précédents livres et de la notoriété acquise. Car dans l’Espagne d’aujourd’hui, où la polémique sur le transfert de la tombe du général Franco hors de son mausolée du Valle de los caidos est à la « une » de la presse depuis des mois, il ne va pas de soi d’honorer la mémoire d’un ancien phalangiste, jeune officier des Regulares comme on appelait les troupes d’Afrique formées principalement de soldats indigènes à l’exception de l’encadrement ; les tirailleurs d’Ifni y étaient rattachés.
Il y a deux manières de voir la guerre : soit par le prisme de la Reddition de Breda de Velasquez, toute de dignité dans la défaite et de magnanimité dans la victoire. Soit par celui du Tres de Mayo de Goya où l’on bascule vite du désastre dans l’horreur. Lorsqu’il s’est engagé, Manuel Mena avait l’esprit plein de Velasquez ; il en est revenu avec des cauchemars goyesques. Une phrase revient souvent au cours du récit, assénée sans l’ombre d’un doute tel un axiome alors qu’elle est hautement contestable, mais il est vrai qu’elle traine partout comme telle :
On sait qu’au lendemain d’une guerre, et on l’a bien vu en France à la Libération, la reconstruction exige un récit national unificateur, ce que le pouvoir en place se fait fort d’encourager. Que l’on trouve ce sophisme dans les Frères ennemis (1944) de Robert Brasillach ne doit pas égarer, car on la découvre aussi bien dans des écrits de marxistes et de staliniens, sous la plume de Winston Churchill et surtout (pour la première fois ?) sous celle du philosophe Walter Benjamin dans « Sur le concept d’histoire » (1940) ; il répondait à Ernst Jünger qui, dans Le Travailleur (1932), affirmait que le vainqueur a toujours le souci de créer son propre mythe en écrivant l’histoire. Refermons le débat car il nous emmènerait trop loin. Mais en relisant la dernière page du Monarque des ombres où cette phrase surgit à nouveau, on serait tenté de répondre à l’auteur que plus de quarante ans après la fin du franquisme, il n’y a plus ni vainqueur ni vaincu ; depuis bien longtemps déjà, tant en Espagne qu’ailleurs dans le monde, l’histoire de cette guerre civile est écrite par les historiens. Parfois même par les écrivains… Celui-ci dit bien comment la haine s’est rapidement propagée dès les élections de février 1936 jusque dans les villages, que l’on croyait mieux protégés contre ce poison eu égard à la proximité des habitants entre eux.
Pas sûr que des lecteurs peu au fait de l’histoire politique ou intellectuelle espagnole saisissent toutes les nuances et allusions. Ainsi lorsque, à propos d’un personnage, il est précisé qu’ « il professait une loyauté contradictoire à Miguel de Unamuno et à José Ortega y Gasset et à la Revista de Occidente « . Mais qu’importe ! Parmi les personnages et les romans fréquemment évoqués, le lieutenant Drogo du Désert des tartares de Dino Buzatti est le plus frappant ; car comme lui, le grand oncle de Cercas, qui fait ses classes d’officier un peu rapidement en raison de l’urgence de l’heure, n’en finit pas d’attendre un combat qui n’arrive pas alors qu’il est intoxiqué de discours sur la beauté purificatrice de la guerre. Il aurait pu tout aussi bien être le Jünger d’Orages d’acier pas moins exalté et pressé d’en découdre. Mais s’il est un livre vers lequel le Monarque des ombres donne envie de se précipiter (et y a-t-il plus grande vertu pour un écrivain que de renvoyer à l’écrivain à qui il doit ?), c’est bien la nouvelle Il est glorieux de mourir pour la patrie du serbe Danilo Kis, preuve de l’universalité de la guerre.
Cercas n’invente rien même s’il doit bien parfois combler des trous et des blancs. Il se dédouble à travers la double voix de deux narrateurs qui s’appellent comme lui, l’un en historien distant et l’autre racontant le work in progress du roman, mais se refuse à imaginer. Enfin, à trop imaginer, à imaginer au-delà du raisonnable car « ceci n’est pas une fiction et je ne suis pas un littérateur « . Puisque c’est une manière d’épopée mais dans le réel, il ne s’est pas embarqué sans son Sancho Pança. En l’espèce son ami le cinéaste David Trueba (dans les Soldats de Salamine, l’écrivain chilien Roberto Bolano jouait ce rôle indispensable).
Si de livre en livre Javier Cercas n’a pas à proprement parler inventé un genre qui doit beaucoup au Truman Capote de De sang-froid, il l’a singulièrement revitalisé et brillamment renouvelé. Ses enquêtes convoquent tous les genres littéraires au service d’une recherche de la vérité ; cette fois encore, il n’hésite pas à se mettre en scène afin de mieux embarquer le lecteur dans la complexité de l’Histoire. Le débat est toujours d’actualité sur les accommodements de la littérature avec le passé surtout quand celui-ci ne passe pas (Mario Vargas Llosa y est revenu récemment dans « Historia y ficcion », une récente tribune à lire ici)
Cercas se demande pourquoi son village d’Ibahernando s’étant scindé en deux, une partie de ses habitants qui n’avaient jamais quitté leur terre ont pris fait et cause pour leur ennemi de classe, les grands propriétaires qui les exploitaient, contre la République qui proposait de les défendre. Pourquoi ils sont morts pour défendre d’autres intérêts que les leurs, question qui n’épargne pas ses plus proches, famille de petits propriétaires terriens. Vaste sujet qui déborde et explose les cadres historiques et géographiques de ce livre mais ramène au village d’Estrémadure puisque l’universel, c’est le local moins les murs (Miguel Torga). Il dénonce les mensonges qui ont guidé son jeune grand-oncle dans son engagement, et c’est aussi en cela que son propos à une portée universelle, d’Achille à Kipling (« Si on demande pourquoi nous sommes morts, dites que c’est parce que nos pères ont menti ») et aux war poets anglais de la première guerre mondiale, sous la plume desquels le mot même de « mensonges » revient comme un leitmotiv.
Un vers d’Horace est placé en épigraphe :
« Dulce et decorum est pro patria mori »
Mais la seule patrie que l’on puisse défendre sans se tromper, n’est-ce pas la patria selon Cervantès : son coin de terre, son village, son quartier, sa région ? Rien n’est moins idéologique. Le seul vainqueur, c’est le survivant, le rescapé, fut-il asservi. Telle est la leçon du Monarque des ombres. Le retour du corps de Manuel Mena fut un funèbre événement pour tout le village. Tous s’inclinèrent devant le jeune mort. Mais quels peuvent être la place et le statut du héros mort du côté fasciste lors de la terrible bataille de l’Ebre, l’une des plus décisives, « une tuerie insensée » qui dura 115 jours et autant de nuits entre l’été et l’automne 1938 ? Cercas a trouvé non seulement la note juste mais la bonne lumière pour l’éclairer : le clair-obscur. On découvre Manuel Mena à travers les témoignages recueillis par l’auteur auprès de ses compagnons d’armes ou des villageois. Dans ses derniers jours, il apparaît aussi amer qu’Achille dans l’Odyssée, livre qui n’a pas quitté Cercas tout au long de son enquête, de même que l’Iliade. La perspective idéaliste du kalos thanatos, une belle mort à la grecque, pure et noble, hante ces pages souvent édifiantes.
A la fin de son odyssée dans la mémoire de sa famille, de son village, de sa région, de son pays, l’auteur découvrira les raisons tout à fait morales, et non pas politiques, qui avaient poussé son grand oncle à s’engager… Faut-il préciser que le cas de ce jeune homme du village d’Iberhando (Estrémadure) n’a d’intérêt que par ce qu’il contient d’universel, et que c’est justement la grande vertu de la littérature à son meilleur de nous y faire accéder ?
Ne cherche pas à m’adoucir la mort,, ô noble Ulysse !/ J’aimerais mieux être sur terre domestique d’un paysans,/ fût-il sans patrimoine et presque sans ressources,/ que de régner ici parmi ces ombres consumées… » (fin du chant XI de l’Odyssée, traduction de Philippe Jaccottet)
Il n’y a qu’un vie : celle des vivants. Qu’un seul vainqueur : celui qui a survécu. Tout dans ce récit puissant le hurle à travers l’histoire d’un homme qui eut politiquement tort et moralement raison. Dans l’erreur historiquement, dans le vrai personnellement. A la fin, c’est la guerre qui gagne, elle seule. Dans une page de sa novela sin ficcion (roman sans fiction), Javier Cercas reconnaît qu’au fond, il a écrit ce livre pour révéler à sa mère sa vérité sur Manuel Mena, ce qu’il était incapable de faire de vive voix. En cela, il illustre parfaitement cette réflexion de Cioran :
« On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu’on n’oserait confier à personne » (in « De l’inconvénient d’être né »)
La morale ? Mieux vaut être vivant et le serf d’un autre serf plutôt qu’un monarque mort au royaume des ombres. Cela vaut-il la peine de risquer sa vie pour une cause à laquelle on croit, fut-elle sanctionnée comme injuste par la postérité ? Désamorçant la question que l’on brûlerait de lui poser, Javier Cercas reconnaît dans son livre que s’il avait eu le même âge que son grand oncle à l’époque de la guerre civile, il n’aurait probablement pas eu le courage de mettre ses actes en accord avec ses idées. Il faut un certain courage pour l’admettre mais de toute façon, ainsi posé et l’on n’y coupe jamais chaque fois qu’un écrivain né après guerre s’empare de la guerre, le cas de conscience est vain. Car s’il avait eu 19 ans en 1936, tout en s’appelant Javier Cercas, il aurait été autre que ce qu’il est, façonné par d’autres idées que les siennes aujourd’hui et ignorant de la suite des événements.
(« Défilé de Regulares marocains pendant la guerre civile ; « La Reddition de Breda ou Les Lances », 1634, huile sur toile de Diego Vélasquez, musée du Prado, Madrid ; « Manuel Mena » ; « Tres de mayo », 1814, huile sur toile de Francisco Goya, musée du Prado, Madrid; photos D.R.)
1 014 Réponses pour Qu’est-ce qu’un héros ?
J’aurais.
@ 16.58… tu fais moins le malin, grosse baudruche fielleuse dégonflée, pauvr’type, avec ton pitoyab’ fan club catalan. Fin de la ola ibérique ? de falla c/ albeniz, mais mon cher vous reprendrez bien du ravel, n’en faites rien mon bon, je n’en pince que pour debussy
@ 16.39 quoi que d’origine vendéenne, h., comptez pas sur moi pour les sortir de l’oubli comme un cachalot dans l’onde…, pas mon genre, voyez.
@ bérénice (betelgeuse, sorry j’arrive pas), ai pensé à vous en lisant ça, mais vous connaissez sans doute. Crois pas qu’ils en aient causé dans la chambre aux Echos.
http://www.laviedesidee.fr/Comment-se-fabrique-un-oracle.html
AN, à propos d’Aznar, cet antipathique, on a même soupçonné si ce n’est Rachida,qu’il soit le père de Zorha. A l’époque je n’y ai pas accordé le moindre crédit, qu’une jolie femme comme Dati se soit laissée séduire par cet individu me paraissait des plus improbables.
les inimitiés sont parfois plus parlantes que les amitiés…
un exemple : Debussy, dont on ne peut pas dire qu’il ait toujours été très franc du collier sur ses convictions personnelles.
Debussy était allé écouté jouer du Grieg, est-ce la jalousie, le fait d’éprouver le sentiment que le compositeur norvégien le dépassait en puissance, en hauteur, et en largeur d’esprit, toujours est-il que quand Debussy vit que Grieg attaquait dans un journal la France « dreyfusarde » ses élans « naturels » reprirent le dessus…
comme quoi il faut toujours se méfier de l’eau qui dort le long des rivières paisibles bordées d’acacias en fleur…
Janssen J-J dit: 19 septembre 2018 à 17 h 11 min
Je n’ai rien révélé du tout. J’ai fourni un lien sans établir aucune corrélation entre ce lien et une identité quelconque. PatV, si c’est lui, ce dont je n’ai aucune preuve formelle, devra d’abord se retourner contre celui qui a -peut-être, je n’en sais rien-donné son identité sur le site de Sergio (j’ai une copie du message, qui d’ailleurs s’adressait à toi). Ensuite, je t’attaquerai pour dénonciation calomnieuse, ça te dégonflera aussi.
@ La preuve, gros punais de Gigi la visqueuse
C’est à moi, JJJ, que tu t’adresses encore, apparemment. Mais de quelle preuve parles-tu chachal ? Et qui va encore croire à tes sornettes à confitures toxiques ? Mais t’es comme Benalla, ma parole, tu ne nous prouves rien et surtout tu t’enfonces lamentablement. Calla te ! Si tu crois pas que tu vas t’en tirer par des insultes, comme d’hab ?
Tu viens hélas pour toi de commettre une faute irréparab’, toi… le prétendu hyper contrôlé de la rdl qui passe son temps à calculer la portée de ses morsures pour décocher en retour une bonne flèche pour amuser ton fan club. Pauvre type qui se prend pour le Ravel-Morand du dimanche et de tous les jours. Couché ! Casse toi.
Gigi, on lit dans tes posts une violence irraisonnée. Tu devrais y prendre garde. Pour le reste, on verra bien. Tu fantasmes une victoire qui me parait bien improbable.
@ Alexia
« Tout le temps de la dictature, le régime a exercé une censure impitoyable pour tout ce qui touche à la liberté d’expression et de création. »
Et aussi:
Alexia Neuhoff dit: 19 septembre 2018 à 16 h 21 min
Alexia Neuhoff dit: 19 septembre 2018 à 16 h 30 min
Ça c’est la théorie, racontée dans les manuels d’histoire par des universitaires qui n’ont jamais mis les pieds en Espagne. Mais dans les pays du Sud, la distance entre la théorie et la pratique est souvent très grande. Et il ne faut pas non plus confondre le franquisme avec le stalinisme.
La censure franquiste n’avait rien d’impitoyable, sauf pour certains sujets (attaquer Franco lui-même, ou l’Église, ou faire l’éloge de la
Maçonnerie, que Franco haïssait parce qu’elle l’avait rejeté, il paraît, dans les années 20, par exemple). À partir de la fin des années 40, quand le régime s’est senti sûr de lui-même avec l’appui des américains, Franco a desserré les boulons pour améliorer l’image du pays. Les premiers exilés ont pu rentrer dans les années 50, les intellectuels de gauche qui avaient participé à la guerre et étaient en prison ont été libérés et ont pu publier (le dramaturge Buero Vallejo, par exemple, qui était communiste actif à la fin de la guerre et a été condamné à mort, fut libéré en 1946 et a eu un gros succès de public et de critique avec sa célèbre pièce « Historia de una escalera » en 1949). En 1944 Carmen Laforet a eu le célèbre Premio Nadal avec un roman nihiliste, « Nada », qui figurait dans l’Index des livres interdits par l’Église. Et beaucoup de poètes républicains et /ou engagés à gauche (Antonio Machado, Lorca, Aleixandre, Alberti, Neruda, Blas de Otero, Celaya) n’étaient pas interdits et pouvaient publier normalement (expurgés de certains poèmes parfois). On trouvait aussi, et facilement, vendus sous la table dans les bonnes librairies, beaucoup de livres politiques interdits publiés au Mexique ou en Argentine ou ici à Paris par El Ruedo Ibérico (mon père en avait un rayon entier de bibliothèque).
Il y a quelques mois j’ai lu le « Journal intime » de l’écrivain de droite González Ruano (après avoir lu ses mémoires « Mi medio siglo se confiesa a medias ») et j’ai été étonné de voir que dans las tertulias des cafés de Madrid et Barcelone (notamment celle du Café Gijón) il y avait un mélange d’écrivains franquistes et anti-franquistes (Buero Vallejo il y allait), qui se fréquentaient comme s’il n’y avait pas eu la guerre. Tout le monde était ami de tout le monde. Ruano, qui était un chaud lapin, raconte aussi la vie nocturne du Madrid des années 50, avec ses cabarets érotiques remplis de riches et de touristes, et ses bordels avec toute sorte de putes. Cela se voit aussi dans les romans de l’époque, comme « La Colmena » de C.J.Cela ou les livres de Francisco Umbral. Ou les films des années 50, notamment ceux de Marco Ferreri avec le grand scénariste Rafael Azcona.
Entre l’Espagne officielle et l’Espagne réelle, la différence était parfois abyssale. La seule chose qui était vraiment interdite (et donc, dangereuse) en Espagne pendant le franquisme c’était de faire de la politique clandestine contre le régime, comme le faisaient les membres du Parti Communiste, ou attaquer de front l’Église.
Quant à ma phrase « Franco n’a jamais eu très peur de la littérature des vaincus», ce n’est pas une « Très, très mauvaise plaisanterie », mais une très, très grosse réalité. Franco était un type inculte, qui ne lisait pas, et pour lui l’art et la culture n’étaient pas très importants. Ça explique une bonne partie de la liberté que la littérature et l’art ont eu sous le franquisme (n’oublions pas que Buñuel a tourné en Espagne « Viridiana » en 1960).
@je t’attaquerai pour dénonciation calomnieuse
poussé dans tes retranchements, j’ai remarqué que c’était toujours ta tactique. Je t’attends de pied ferme, car ce genre de menace m’a toujours été risible, tu sais même pas ce que c’est pauvre juriste à la manque. Il te faudra au moins me « consulter », je pourrai te donner un cours à ce sujet. Mais si tu veux, je veux bien qu’on soit à l’origine d’une jurisprudence sur un réseau virtuel à ce sujet…
Allez, va rétropédaler ailleurs, te dis-je, t’es lamentab’ et tu t’embourbes grave.
(Et je n’ai nul besoin du secours d’une bonne citation livresque bien sentie puisée dans les listes disponibles sur la toile pour briller encore un brin sur la rdl… Tes derniers feux sont expirab’, Chaloux, faut t’en convaincre, tout a une fin. Le suicide est souvent la meilleure des solutions (la disparition, veux-je dire).
Jean-Jacques.
Je crois que c’est ta violence complètement démente qui t’enfonce, Gigi. Je te signale également, toi grand juriste, qu’on n’anticipe pas non plus une décision de justice.
Tu me dénonces calomnieusement, Gigi, alors que je n’ai rien révélé de l’identité de qui que ce soit. J’ai fait un commentaire et j’ai donné un lien. Si j’avais dit explicitement Bidule est Untel, il habite là, tes diatribes seraient justifiées, mais ce n’est absolument pas le cas. Donc je te remercie de la fermer sur cette affaire.
Le suicide est souvent la meilleure des solutions
Pauvre Gigi, plus visqueuse que jamais. Tu n’es vraiment qu’un pauvre type.
17.28 il s’agit d’une violence d’écriture tout à fait raisonnée. Je n’ai pas à prendre garde. Garde à quoi, grands dieux ? Je ne fantasme rien…
Mais pour qui se prend-il encore, ce p’tit merde.ux ? Et comment ? Tout d’un coup, i s’adress plus à la Visqueuse, et son ton redeviendrait doucereux, l’enfumeur de bar tabac ! Commencerais-tu à craindre quelque chose pour tes abattis, par rapport à la bravache habituelle ? Pauvre type, c’est vraiment le qualificatif qui te sied, j’ne trouve pas d’autre dans le registe de mon plus profond mépris : rétracté, couard, fuyeux, lâhce, madré, aboyeur de loin, et de plus en plus… Voilà au moins des PREUVES d’une personnalité bien trempée… Celle d’un petit merdeux du niveau d’un collégien boutonneux, toujours aigri avec son acné persistant à 50 balais sous poussières, comme l’a finement remarqué récemment une grande orgueilleuse de ce blog, une dame certes pas facile ni caractère ni de tempérament, mais souvent lucide grave, faut bien y reconnaît’ ça.
@ Donc je te remercie de la fermer sur cette affaire.
Est-ce une formule de politesse ou d’apaisement ?
Il me serait très simple de faire dégénérer cette « affaire » comme tu dis (je n’ai pas parlé d’affaire, ni encore d’instance précontentieuse), en « scandale », plutôt que de la clore. Il faudra en dire et en faire un peu plus sur les discours de la méthode récipiscente, face à la haine et au mépris des attaques gratuites dont chacun.e a été peu ou prou gratifié ici, un jour ou l’autre.
Il y a comme des bruits de bottes sur la RDL; et les autres, vous ne faites rien pour appaiser les choses? Allez, quoi, un petit « Accords de Munich » pour arranger tout ça. J’en appelle aussi à Salomon-Passou
@Et Alii dit: 19 septembre 2018 à 16 h 29 min
la mort de Jean Piat a été annoncée mais peu celle de Marceline Loridan-Ivens sauf sur France-Inter ce matin (« L’heure bleue » qui lui était consacrée par L.Adler est rediffusée ce soir à 21h. La presse a été plus réactive. Donc, elle part elle aussi… suivant la mort de sa camarade de déportation, Simone Veil. Elles étaient dans le même convoi en route pour Birkenau, l’une avait 15 ans, l’autre 16. Deux grandes dames.
et je me tais!
@hamlet dit: 19 septembre 2018 à 16 h 34 min
Heureuse de lire ces lignes.
Leger :
« Ça explique une bonne partie de la liberté que la littérature et l’art ont eu sous le franquisme (n’oublions pas que Buñuel a tourné en Espagne « Viridiana » en 1960). » Pablo
Vous tenez des propos monstrueux qui ressortissent du révisionnisme. Certes Buñuel a tourné le film en question à Madrid mais non sans conditions et sans susciter des controverses. Vous vous gardez bien de préciser qu’il n’a accepté la proposition du producteur qu’à condition de travailler avec la société de production du cinéaste Juan Antonio Bardem, connue pour son opposition au régime franquiste. Les opposants exilés (au Mexique notamment) y ont vu une traitrise et se sont ravisés à la projection du film. Essayez de trouver des exemples plus probants de l’esprit d’ouverture de votre Caudillo.
Hier, c’était pas YK pour tout le monde… et aujourd’hui, encore moinsse.
Hommage surtout à Marceline Loridan-Ivens. J’espère qu’elle reposera aux côtés de Joris, au cimetière de Montparnasse. Je tiens à saleur la beauté de sa joie d’avoir survécu à l’enfer et d’avoir su reconstruire sa vie. Voilà ce que je tenais à dire en priorité, et mesure bien que tout le reste est petit, mais parfois, il faut bien pouvoir se délester de sa rage, de son chagrin et de sa pitié accumulées dans un même élan. Aucune viscosité là dedans, un peu de sincérité seulement. Du calme.
A propos de héros ou anti héros, allez donc au cinéma !
Avec « Sisters brothers », Jacques Audiard a réussi un très grand film… américain. Comme au temps jadis où Hollywood se nourrissait de l’apport des cinéastes européens. Un pur western métaphysique, sur lequel plane la pensée écologiste de Thoreau. Joaquin Phoenix, John C. Reilly et Jake Gyllenhaal s’en donnent à coeur joie. Superbes images de l’Ouest américain, sentiments forts et violents et musique parfaite d’Alexandre Desplat.
On va crever l’abcès, espèce de gros c.on de Gigi de merbe. Je te somme de rendre cette affaire publique, sinon, c’est moi qui le ferai dès demain, en contactant les services concernés. Tu commences à me pomper avec tes menaces. En l’état, on ne peut rien me reprocher. je me suis renseigné cet après-midi. mais je saurai qui tu es, et on en reparlera ensemble, je te le garantis.
Chaloux,vous ne vous gênez pas pour donner régulièrement mon nom d’écrivain et le trainer régulièrement dans la boue sur ce blog..
Mon 19 septembre 2018 à 18 h 04 min à propos du Bételgeuse du 19 septembre 2018 à 16 h 59 min.
Paimpopol, il y a un article de Pierre Assouline qui révèle votre nom plume. Est-il interdit de penser que vous êtes un mauvais écrivain?
@18.10, petit matamore. Couché, t’a-t-on dit, à la niche.
@hamlet dit: 19 septembre 2018 à 16 h 15 min
Oui, hamlet. Aujourd’hui on apprend la mort de Marceline -Loridan-Ivens. Je pense à toutes ces dénonciations qui ont conduit femmes, enfants et hommes au Vel d’Hiv, puis à Drancy, puis dans les camps je pense à la Résistance, au Vercors, à la maison d’Izieu… je pense aux rafles nombreuses, à la Milice française.
Pablo a raison, je ne connais pas grand chose à la guerre d’Espagne, sauf le cri de résistance des républicains « No pasaran », des réfugiés qui se traînent sur la route d’Argelès avec leurs valises, quelques moutons, des mères, gosses, les camps d’internement dans le sud de la France dont celui d’Argelès, je pense à Guernica… Et ailleurs, le météorologue d’Olivier Rolin, Les camps de Sibérie, le Goulag…
Partout des milices promptes à la violence. Pas de héros dans ces rangs-là.
gigi la visqueuse, ce n’est pas toi qui m’y enverras. Je te le garantis.
On oublie régulièrement de parler du cinéma de Carlos Saura, qui, de l’intérieur, dénonçait, avec talent et courage, le régime franquiste…
Chaloux, va donc voir sur a.mayerling comment gigotent dans le dernier cercle de l’enfer, les expulsés de la RDL. Affreux ! Tu en prends dangereusement le chemin et risque d’y entrainer ton copain Pablo…
Maintenant, Gigi, dépêche-toi d’agir au lieu de te livrer à ce dressage sans risque. Parce que moi je ne vais pas lâcher. Tu ne me connais pas.
@18.10, mais ton « affaire » est déjà « publique » ici, mon pote. Comment veux-tu la rendre plus publique encore ? Tu veux dire : la judiciariser ?… Mais es-tu sûr de bien m’avoir jeté ton gant, et la veux-tu à la loyale demain matin, sur le pré ? Je te laisse le choix des armes, dans ma grande mansuétude. Va vite voir « tes autorités compétentes » si tu m’y trouves pas, faute de m’avoir donné ici la bonne adresse du pré. Qu’au moins chacun.e puisse se marrer un brin.
Jazzi, j’apprécie ton élégance, tout à fait digne du cloaque dont tu parles et où a posté régulièrement la moraliste Gigi..
(Pablo est une entreprise indépendante. Je ne vois pas ce qu’il vient faire là).
S’il y en a d’autres, après Paimpopol et Jazzi, prenez un ticket.
Oui, judiciarise, gro.sse co.nne de Gigi, puisque tu ne parles que de ça depuis deux heures. Fais-le et ensuite on verra. Mais fais-le vraiment. Le pré où tu broutes, on verra ça plus tard.
@ Parce que moi je ne vais pas lâcher. Tu ne me connais pas
Me lâche surtout pas, chachal (merci pour la pub)! Je te connais. Bien. Très bien même, hélas ! un lâche qui lâche pas, ça va nous faire des étincelles. Cer je sais que très vite, après qq aboiements de prétendue intimidation, tu nous fais en général dans le flop à la culotte…, comme tous les lâches de ton espèce (cf. argumentaire exactement identique au conflit croquignolesque de naguère avec l’gwg chez qui, semble-t-il, tu étais allé en reconnaissance. Viens donc chez moi, j’habite chez ma copine, et on nous trouve pas à jansson de sailly). Car moi, je suis pas gwg et je crains pas les fantômes.
Allez, continue ton harcèlement, on va voir ce qu’il y a sous la baudruche.
(NB/ Et je joue pas à qui c qu’a la + grosse, hein, crois pas ça, je laisse ça aux voyeurs et à tes cop’s espingouins). Et sinon ce soir pour nous détendre, Ravelle ou Debussie ?
Faut que j’alle au théâtre ce soir. Et j’ai déjà perdu bin trop de temps avec toi, tête de k’on.
« Je ne vois pas ce qu’il vient faire là »
En regardant les images des « Sisters brothers », qui sont deux frères tueurs à gage de profession, cet après-midi, je ne sais pas pourquoi mais j’ai pensé à vous deux, toi et Pablo ! Eux, cependant, ils ont droit à une séance de rédemption bien tempérée…
Vous avez tout à fait le droit de penser que je suis un mauvais écrivain Chaloux, et c’est oparfait comme ça. mais Pierre Assouoline n’a jamais dit que Jacques-Pierre Amette était Paul Edel.C’est Christiane qui l’a révélé et je lui en veux…enfin, méditez sur le sort si enviable d’un si mauvais écrivain comme moi qui a réussi l’exploit d etre traduit dans 55 langues, et a recu le Goncourt en 2003 année du centenaire.., et fut considéré par les journaux americains et de langue anglaise que « la maitresse de Brecht » en 2003 était un des meilleurs Goncourt récents..Mais ne renouvelez pas vos crises d’amertume sur moi,on finirait par vous croire atteint de gâtisme.
Pas de harcèlement, Gigi, je ne fais que répondre à tes menaces. C’est bien toi qui a commencé sur ce registre. La preuve en est facile à établir. Ensuite, on connaîtra l’identité du professeur de droit qui conseille à ceux qui lui déplaisent sur Internet de se suicider.(Ce n’est pas la première fois, j’avais fait des copies de pages).
Paul Edel,
« C’est Christiane qui l’a révélé et je lui en veux… »
Quoi ? où ça ? Quand ça ? J’ai gardé votre secret jusqu’à ce qu’il ne soit plus un secret sur ce blog.
Paimpopol, vous avez la mémoire courte. Pas moi. si vous ne vous souvenez pas des articles qui vous sont consacrés, je n’y peux rien… Sur l’ancienne RDL, je m’en souviens très bien. Et je ne suis pas le seul à vous avoir appelé par votre nom de plume, c’est très facile à démontrer. Il va vous falloir attaquer du monde. mais allez-y, plus on est de fous, plus on s’amuse.
(« Faut que j’alle au théâtre ce soir. « , elle est pompier de service…)
triple J et sa Martine, Martine, bon ça n’avait pas duré (et on n’y croyait pas)
@18.47, Pardon de m’intruser… Mais enfin, Paul Edel, pourquoi tombez-vous à pieds joints dans un tel panneau ? C’est incroyable, ce syndorme de vanité aiguë qui vous atteint tous dans votre petit narcissisme !
Mais dans quel monde étriqué vivez-vous, bons dieux ?
Voyez pas que la défense puérile de votre réputation internationale invalide sur le champ votre prétendu respect pour les opinions d’autrui ! Dès qu’un mec parle correctement et supposément poliment, tout fiel rentré, alors il redeviendrait fréquentable ? Ahurissante cécité ! C’est-i que la littérature ne vous a rien appris sur vous-même ? Je n’ose y croire !
On la croyait au théâtre, la grosse moule, mais elle s’accroche!
Paimpopol, c’est un grand spécialiste de Chateaubriand – un peu visqueux mais on n’a rien d’autre- qui vous le dit.
triple J et sa Martine?
Hurkhurkhurk!
@elle est pompier de service
Bien vu, tout à fait, c’est un métier utile, honorable et respectable, et surtout, outre qu’on voit beaucoup de spectacles à l’oeil, on en apprend beaucoup sur les passe-droit de « la critique » internationale, notamment au sortir des avant-première (et pas que chez feydeau et jacques offenbach). Le plus souvent, le tout finit pas des chansons comme sur les blogs. Genre : Et je vais pas te lâcher, tu me connais pas (je vous connais encore et c’est ce qui me tue)
Je répète : « le monsieur te dit : je vais pas te lâcher, tu me connais pas bien » !
« le monsieur te dit : je vais pas te lâcher, tu me connais pas bien »
« le monsieur te dit : je vais pas te lâcher, tu me connais pas bien »
« le monsieur te dit : je vais pas te lâcher, tu me connais pas bien »
« le monsieur te dit : je vais pas te lâcher, tu me connais pas bien »…
Ciao, ciao, lui répondit l’écho (des savanes).
Cycliquement, la RDL se transforme en règlements de comptes à OK Coral ! Serait-ce dû ici au syndrome de la Guerre d’Espagne ? Il me faut encore préciser que les deux frères Sisters, fines gâchettes, ne ratent jamais leurs cibles. Ce qui n’est pas le cas de nos deux comiques-troupiers, qui, eux, avec leurs pistolets en plastique, font régulièrement flop !
Je ne comprends pas, Paimpopol, je ne vois pas de Paul Edel dans la liste des Goncourt. De qui parlez-vous? Qui êtes-vous?
Si vous révélez vous-même avoir reçu le Goncourt 2003, quels reproches pouvez-vous m’adresser au cas où je risquerais – moi ou un autre- une hypothèse quant à votre identité véritable?
Janssen J-J dit: 19 septembre 2018 à 19 h 04 min
Est-ce moi qui suis allé te chercher? De quoi te plains-tu, vieille m.rue?
Paul Edel,
cette accusation est vraiment indigne de vous. Je n’ai pas révélé ici qui était Paul Edel. Adressez-vous à ceux qui l’ont fait, certainement avec votre accord (en ce qui concerne Passou). Vous m’aviez dit de garder le silence sur votre identité et je l’ai fait. J’attends vos excuses.
Gigi, ma grosse, qu’est-ce qui s’est passé entre toi et Martine?
On en sait trop ou pas assez…
Gigi, dès que tu reviens du théâtre, tu me racontes tout!
J’ai le droit de savoir.
Je suis ton ami!!!
TU PEUX TOUT ME DIRE!!!
Hurkhurkhurk!
C’est baron qui avait fait très fort avec le post suivant
« Jibé dit: 27 juin 2016 à 12 h 40 min
RDL à la folie !
Les masques tombent.
Martine Rousseau et Olivier Houdart, deux correcteurs du Monde.fr, auteurs de livres, seraient les créateurs des personnages de Daaphnée, la vie dans les bois, bérénice, pour l’une, et de D. et JC, principalement pour l’autre, entre autres divers pseudos.
Sont-ils payés pour cela, Passou est-il au courant ?
Cela demanderait quelques explications… »
JJJ a par la suite plusieurs fois appelé martine lvdb dans les mois qui suivirent
du vent (et une histoire de blogs voisins ou ex-voisins, oui encore une… ça lasse)
baroz pas baron (encore une histoire de correcteur)
poussière, j’employais un conditionnel après les révélations de… rose. Revois tes fiches !
Si le correcteur tient à m’ennoblir, il faut qu’il écrive comte, pas baron…
En.flure de Jazzi, te voila bien.
Quant aux explications de Passou on ne les a jamais eues et on ne les aura vraisemblablement jamais !
Moi, ça va Chaloux, et toi tu vas encore faire canapé ce soir ?
@Je n’ai pas révélé ici qui était Paul Edel
…
oui rose a plusieurs fois parlé d’un mystérieux piratage de boîte mail par un olivier, et une martine c’est possible
L’affaire Stormy Daniels, qui révèle des choses interdites sur Trump (à propos de l’anatomie de son sexe) me fait penser à ceux qui, ici, révèlent le secret caché de PaulEdel (l’anatomie de son vrai nom de plume). Tout ça est une question de pedigree. Très embarrassant, n’est-ce pas PaulEdel ? :
« L’actrice pornographique Stormy Daniels, qui affirme avoir eu une liaison avec Donald Trump il y a plus de dix ans, détaille en termes crus l’anatomie du milliardaire, dans des extraits de sa prochaine autobiographie. »
Toi, ça va toujours, Jazzi, avec ta cervelle d’éponge mo.rte, comment en irait-il autrement?
Canapé?
Ni hier ni jamais.
N’empêche que PaulEdel a raison de s’insurger. Il pourrait même attaquer Chaloux en justice, pour révélation de pseudonyme et lui demander de conséquents dommages-intérêts.
A cause de la loi française, nous ne lirons jamais en français la confession de Stormy Daniels. Je suis sûr que la littérature y perd quelque chose… de minuscule (comme le sexe du président).
Ton problème Chaloux, c’est que tu n’as d’autres arguments que l’insulte. Et après tu t’étonnes !
De la 3e audition matinale au Sénat, il ressort que pour un « politique » moyen » du pouvoir législative, « faire la police » veuille dire être habilité au droit d’user de la force contre des emmerdeurs dangereux, alors que pour un énarque de cabinet, cela veuille dire : donner une délégation administrative temporaire dans la gestion du maintien de l’ordre dans la rue, dans son autoprotection ou la protection du président » sans même avoir à fournir les preuves de la situation dangereuse en question, puisqu’ON vous dit que le pays est en danger. En jouant sur le flou de la notion de faire la police (administrative et non judiciaire), cest le terme des modalités de la « mission » qu’il fallait creuser ave cle jeune énarque. Le dircab du préfet se montra en effet assez byzantin pour ne pas se départir de sa prétendue légalité, qui n’était en l’occurrence qu’un habillage de circonstance pour légitimer un ordre de l’Elysée. Explicitement : « donnez tout ce qu’il demande à cet homme, l’Elysée s’en porte garant ! ». Ce type d’ordre qui redescent en tuyau d’orgue n’a pas besoin d’être écrit, mais il est « entendu » comminatoirement comme un seul homme, c’est ainsi que fonctionne la haute administration. Et pas plus le PPP que le MI moins que quiconque allaient pouvoir l’outrepasser. Le fonctionnement même de la monarchie républicaine.
Cela reste un magnifique cas d’école pour nos étudiants en sociologie du droit découvrant Montesquieu au XXIe s : « que vous inspire le terme de « mission de police » ? Vous serez noté selon la qualité de vos appétences sociologiques et/ou juridiques. Mais surtout selon votre aptitude à dialectiser réellement de la « sociologie du droit à l’épreuve du pouvoir » à partir de ce cas d’espèce exemplaire…
Un grand jour de débridage public sur une « affaire » qui pourrait bien devenir un « scandale » d’État. Seul l’étonnant et tenace Pierre Bas, a laissé entendre qu’il ne se laisserait pas avoir par cette terminologie des plus floues. Les téléspectateurs regrettent qu’il n’ait pas poussé le jeune technocrate dans ses retranchements, vu qu’il resta accroché au copié collé de ses deux alinéas de l’article incriminé du CSI. Évidemment, quand on ne pose pas les bonnes questions…
Enfin c’était déjà pas si mal, comme exercice de démocratie en direct, n’allons pas nous plaindre. Très utile aux citoyens, y compris aux pompiers de service, D.
(NB/ de retour de mon inspection, on m’a donné congé, d’autant que j’avais déjà vu la pièce deux fois).
En te lisant, je ne m’étonne pas, Jazzi. Tu fais semblant de ne pas insulter mais tu insultes, comme je ne dirais pas quoi. Que tu aies une cervelle de mou.che sénile, d’éponge mor.te, de moustique d’hiver, on peut constater ça tous les jours. Je n’y peux rien. Ce n’est pas une insulte, c’est une constatation.
Camarades de la rdl, Paul Virilio est mort, paix à son âme.
https://www.vice.com/fr/article/kwdqwx/un-long-entretien-avec-paul-virilio
Quand la Gigi écrit théâtre, lisez Waters.
Exemple : ce soir, je vais au théâtre, voir une pièce que j’ai déjà vue deux fois.
(Ce n’est plus une traduction, c’est un diagnostic.)
@Paul Edel
Vous faut-il des lunettes ?
» On en connaît quelques uns parmi ces blogs à part, suivis chaque jour par des milliers de lecteurs fidèles ainsi venus aux nouvelles : François Bon (« Le Tiers livre »), Claro (« Le clavier cannibale »), Jacques-Pierre Amette alias Paul Edel (« Près, loin »),(…) »
http://larepubliquedeslivres.com/journal-estime/comment-page-1/
31 janvier 2017
Gigi, et ton idylle avec Martine?
Merci Christiane.
A propos de l’entretien de Virilio mis en ligne par de nota et de l’occupation :
« (…)une situation de perversité absolue, c’est-à-dire qu’on cohabite avec les ennemis et les alliés vous tuent(…) »
(parfois, on a les occupants qu’on peut)
(Christiane, votre révélation fut bien plus précoce)
J’espère que Gigi, quand elle sera revenue de sa quatrième visite au théâtre va nous raconter enfin son idylle avec Martine!!!
(Qui a crié : Y a pu d’papier!).
@Paul Edel
et dans les commentaires de ce billet :
hamlet dit: 1 février 2017 à 20 h 15 min
Paul Edel c’est Jean Pierre Amette ???
j’ai fréquenté son blog durant des années, jusqu’à ce qu’il me vire, et je n’en ai jamais rien su, je veux dire je m’en suis jamais douté une seconde, en plus j’aime vachement Jean Pierre Amette !
et pourquoi personne ne me l’a jamais dit !!!!
christiane vous le saviez ? durant toutes ces années vous m’avez laissé dans la plus totale ignorance ?
mazette c’est quoi toutes ces magouilles, vraiment toutes ces histoires n’ont pas de sens
et ma réponse :
christiane dit: 1 février 2017 à 22 h 53 min
@Hamlet
Parce qu’il avait demandé (à ceux qui savaient) de ne pas le dire…
Et un peu plus tard , je continue à vous appeler Paul Edel :
christiane dit: 3 février 2017 à 23 h 54 min
Chaloux,
c’est Paul Edel qui m’a mise sur la piste d’Olivier Rolin, il y a bien longtemps (sur son blog).
@l’ombelle des talus dit: 19 septembre 2018 à 20 h 07 min
Alors prière d’en apporter la preuve !
veuillez poster ici ces mots en copier-coller
@Paul Edel
« Jacques-Pierre Amette, dont les critiques enchantèrent longtemps les pages culturelles du Point, a bien dit sur son blog la joie et l’émotion qui furent les siennes à chaque rentrée littéraire à l’instant de découvrir des premiers romans. »
extrait de
http://larepubliquedeslivres.com/la-rentree-en-fanfare-des-premiers-romans/
22 août 2018
Christiane, je vous parle de l’année 2015, au moins..et ne montez pas sur vos grands chevaux, ce n’est pas si important. et je n’ai aucune honte de ce que j’écris sous un nom ou un autre.
Christiane,
il y avait un article d’Assouline sur l’ancienne république, écrit sur le mode on peut bien le dire. Edel ou qui vous voudrez, Paimpopol, postait des notes sur la RDL à propos de je ne sais quoi (Rome?), on se demandait pourquoi et c’était en rapport avec son bouquin dans lequel un type d’un certain âge se fait larguer par une jeune alors qu’il couvre les dernières semaines de Jean-Paul II (ou un truc dans le genre).
La mémoire de Paimpopol commence à flancher.
Amen.
@Paul Edel dit: 19 septembre 2018 à 20 h 20 min
C’est tellement infâme que je vous demande de me copier-coller ce commentaire
Quand je fais une promesse, je la tiens !
Commme je l’ai toujours dit à chacun, moi c’est moi et toi t’es toi.
@Chaloux dit: 19 septembre 2018 à 20 h 25 min
Oui, je me souviens.
L’accusation de Paul Edel me blesse profondément.
Mais Christiane, même si c’était vrai -et je vous crois- vous n’auriez pas trahi Voltaire, ni Marcel Proust, juste un pauvre gars traduit en 55 langues par la grâce d’un concours de circonstances, déjà tombé dans l’oubli, sauf par une poignée de gens ici. Relativisez.
Une mauvaise manipulation aura zappé ces nombreux héros du vingtième siècle dont nous procédons pour la plupart d’entre-nous : https://www.onf.ca/film/trip_down_memory_lane_fr/
@Chaloux dit: 19 septembre 2018 à 20 h 33 min
Mais non, chaloux, ce n’est pas vrai ce qu’il dit !
Ce que j’ai fait, par contre, très souvent c’est de poster des extraits des livres de J-P.Amette parce que je les apprécie (contrairement à vous) mais jamais je n’ai ajouté qu’il s’agissait de Paul Edel. et, aussi, parce que vous le savez, je bombarde ce fil de commentaires des citations de mes livres préférés, ce qui en fait râler certains.
Quant à Opitz (son autre pseudo sur son blog qui signa longtemps les magnifiques chroniques italiennes), c’est lui-même qui a dit que Opitz c’était Paul Edel, sur son blog !
Aussi quand j’ai lu ce soir dans un de ses commentaires, à vous adressé : « C’est Christiane qui l’a révélé et je lui en veux ». Je suis tombée des nues.
Christiane, mettez un peu la pédale douce, s’il vous plaît, à vos cris d’orfraie. Paul Edel vous croit responsable de la divulgation de son nom, c’est tout, ce n’est pas si grave et il peut se tromper. Par contre, je vous rappelle que vous êtes capable de soutenir mordicus avoir lu des mots qui n’ont jamais été écrits nulle part, et vous pouvez déformer à votre guise (cette « guise » étant bien évidemment la plus orientée qui soit dans l’interprétation malveillante) et les mots, et les images mises sur un blog. Dois-je vraiment vous rappeler que vous avez soutenu que j’avais voulu entretenir une confusion sur ma personne, en publiant une photo (à peu près aussi peu connue que celle de Marylin Monroe retenant sa jupe sur une bouche de métro…) d’Emmanuelle Béart, pour « appâter » les mâles environnants ? (le fait que cette accusation soit totalement grotesque n’enlève rien à l’énormité de la chose)
Alors, vu que vous êtes capable de ça vis-à-vis d’autrui, vous devriez vous faire discrète au lieu de réclamer à cors et à cri des « excuses » de la part de Paul Edel. Si je me souviens bien, je n’ai jamais eu droit à la plus petite des vôtres…
Marilyn Monroe :
@(Qui a crié : Y a pu d’papier!).
the last of the rolls / for the record
https://www.youtube.com/watch?v=g69labQKuuU
Christiane, chacun fait à un autre toutes les misères qu’il peut. C’est souvent la règle. P. n’a peut-être pas eu de chance avec les femmes. Un physique ingrat? Un esprit peu attrayant? De vieilles blessures familiales mal refermées? Je le trouve très souvent brutal dans ses relations avec la douce gente féminine; ici ou ailleurs. Vous n’y échappez pas. Il faut vous faire une raison, c’est souvent le travers des vieux messieurs abandonnés. Il a plus de septante ans, il ne changera plus. laissez-le quelques temps entre sa crêpe et sa bolée de cidre. Il s’adoucira peut-être.
Tout comme la pauvre Gigi. Que cachent ses soudaines crises de polie? son vocabulaire et sa violence? Ses conseils de suicide dispensés sans relâche à autrui? Toute cette orbure mal t.rchée qui lui fait une si curieuse traîne? Le sait-elle elle-même, la vieille pupain? C’est douteux, tout aussi douteux que tout le reste de sa pauvre personne… mais c’est ainsi, on n’y peut rien non plus.
Opitz 47 ou 51. je ne sais plus.
on était tous babas et un peu admiratifs.
Maintenant, on se la joue blasés, c’est vrai.
Et j’ai trahi Olivier et Martine c’est encore vrai. Honte de moi quand même sur ce coup-là. Et je le referai sûrement pck j’étais trop contente contento de le savoir, contrairement à ceux qui se contentent des pseudos radis noir et courge musquée.
et je ne vise personne. C’ est en tte innocence.
Pardon Olivier et Martine, si vous l’ acceptez.
@CLopine dit: 19 septembre 2018 à 20 h 45 min
Ah, non, pas vous !!! je refuse de vous lire, vous êtes toujours dans le mépris.
Réglez vos problèmes avec Paul Edel et laissez-moi régler les miens avec lui.
Vous avez un côté « charognard ».
Paul, je pense que la révélation de votre véritable identité remonte bien avant 2015 et je n’ai pas souvenir du tout que Christiane ait été la coupable…Mais je vous écrit sans faire de recherche car cela me casse profondément les pieds.
Pablo, concernant la censure appliquée au cinéma, pas sûr qu’Almodovar n’ait pas profité de la fin du franquisme pour s’exprimer. http://almovida.blogspot.com/p/partie-i_09.html?m=1
Opitz 43, Rose…
« Vous avez un côté « charognard ». »
Clopine, Gigi la visqueuse a au moins l’excuse d’un possible début d’Alzheimer (ses accès de violence ressemblent étrangement à un début de démence sénile). Mais pas vous.
Pour les italophones, Cristina De Stefano, Belinda e il mostro — Vita segreta di Cristina Campo :
Chaloux dit: 19 septembre 2018 à 20 h 55 min
Mais vous vous trompez, Chaloux, il est très beau et porte bien. Fière allure, quoi… pas du tout un physique ingrat, pas du tout un esprit peu attrayant, il est très spirituel et drôle. vous le trouvez très souvent brutal dans ses relations avec la douce gente féminine; ici ou ailleurs. Ce n’est pas faux mais vous-même, cher Chaloux, n’êtes-vous pas un peu comme cela ? Il faut me faire une raison de quoi ? Je n’ai jamais dévoilé son identité. Aurais-je répondu cela à hamlet ? (commentaire reporté en dessous). Vous dîtes qu’il a plus de septante ans, qu’il ne changera plus. Moi itou et c’est un très bel âge et je ne changerai pas non plus ! Vous pensez qu’il s’adoucira peut-être. Alors là, on voit que vous ne le connaissez pas ! Cet homme est raide comme la justice mais enjôleur aussi.
Bon, il a tort et j’ai raison ! et la belle ombelle, sans preuve (car il n’y en a pas) peut aller illuminer son talus.
@closer dit: 19 septembre 2018 à 21 h 05 min
Merci de vous casser les pieds pour moi, closer. Eh oui, Paul Edel se trompe !!!!!!!!!!!
Christiane, j’ai écrit « je vous crois », ce qui signifie que je ne vous mets pas en doute.
L’on parlait de l’identité de Paul Edel déjà à l’époque de mes premiers commentaires — automne 2009…
Pablo, la revue Esprit a publié un article sur la Movida et l’impossible mémoire du franquisme, je mets le lien en ne sachant pas trop si les 16 pages seront accessibles, dans le cas contraire il vous suffira de remplir le formulaire pour un accès gratuit. https://www.jstor.org/stable/24279639?newaccount=true&read-now=1&seq=1#metadata_info_tab_contents
Moi, Christiane, je me fâche avec qui veut, mais je ne suis pas sexiste.
closer
merci de me signaler l’année. je l’avais oubliée. pas grave hein ?
@depuis 2009
…qu’on en soupe de l’ibère un peu verte et des goujats
@Chaloux dit: 19 septembre 2018 à 21 h 17 min
Merci, Chaloux.
@renato dit: 19 septembre 2018 à 21 h 18 min
Alors là, je suis hors du cadre vue la date ! Merci Renato.
@Alors là, je suis hors du cadre vue la date !
En parler et la révéler sont deux choses différentes, Mme la délatrice occasionnelle
Bételgeuse, le renouveau du cinéma espagnol ne commence pas avec Almodovar, mais plutôt et plus tôt, sous le franquisme, avec Carlos Saura. Je me souviens d’avoir vu ses films au festival de Cannes, tel « Anna et les loups » (1972). Oeuvres virulentes contre la religions, les militaires et les institutions espagnoles. Curieusement, Almodovar a fait oublier Saura, ce qui est un peu injuste.
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19559756&cfilm=39166.html
Renato, je viens juste de regarder le ballet mécanique de Fernand Léger . Merci.
@The Unknown Soldier
Tout ça pour Paimpopol à qui ses collègues ont refilé un ou deux, ou trois prix pour bons et loyaux services, comme on accorde des primes de retraite, pour qu’il finisse sa vie dans un confort acceptable…
@Jean Langoncet dit: 19 septembre 2018 à 21 h 41
ni l’un, ni l’autre. Quant à « délatrice occasionnelle » cela s’est fait UNE fois ici, aux yeux de tous, quand certaine commentatrice a dépassé les bornes et ce n’était pas une délation mais une demande de suppression d’UN commentaire infamant à mon égard. Ne voyez pas les autres à travers vous….
Bref, Nabot dixit, finissons en avec « l’esprit de 68 »
(ça ne rajeunit personne)
Pour un grand amateur de musique, tu ne changes pas souvent de disque, Chaloux !
Jajazzi, la Movida a été une récréation , personne ne dit qu’elle s’est attaquée de front au franquisme mais qu’elle s’est plutôt chargée de le faire oublier dans la bonne humeur en dévoilant des aspects de la société qui enfin avait retrouvé le droit de respirer. C’est d’ailleurs une des critiques qui a été adressée à P Almodovar. Il se moque des institutions mais en montrant des personnages hors normes, qui j’imagine étaient considérés comme des monstres auparavant, et entre autres aspects de son cinéma.
Je t’emmerbe, Baroze, fous-moi la paix.
Et à la traine de Nabot casse-toi-pov-con, on a l’audace, toute virtuelle, de remettre en cause l’esprit de 89 auquel on doit pourtant beaucoup et pas encore assez
@Ne voyez pas les autres à travers vous….
c’est un excellent conseil
Les Espagnols ont toujours aimé les travestis, Bételgeuse. Et Sitges était déjà une ville gay en plein franquisme. Mais, en effet, la Movida et le cinéma d’Almodovar ont été une grande récréation. Un nouveau souffle, un nouveau départ. Mais il semble que désormais, le retour du refoulé franquiste revienne en force, notamment avec les livres de Cercas, et que l’on veuille sortir Franco de son mausolée !
Je vends une vieille tente. Est-ce que ça intéresse quelqu’un?
C’est peut-être la raison pour laquelle le festival de Cannes n’a jamais récompensé Almodovar, Bételgeuse, à son grand mécontentement, et contrairement à Saura !
Il faut lui enfonçer bien profondément les piquets. Sinon elle s’envole.
Enfoncer.
L’Espagne ne veut plus que sa tombe soit un monument d’état, comprendre ne veut plus que cette figure de l’Histoire soit abritée au delà de la mort par une démocratie. Ensuite pour les idées qui refont surface un peu partout en Europe , c’est un autre chapitre . Cette volonté du gouvernement espagnol et bien que les cas ne s’apparentent pas me fait penser à la France qui refusait une tombe au terroriste Merah pour que sa tombe ne devienne pas un lieu de culte .
Jazzi, certains de ses films auraient mérité une récompense. Je suis depuis longtemps son travail. Il a tout de même présidé le jury, non?
Année 52. Mise à prix 3 euros. Un peu élargie avec les années et un usage intensif. On y tiendrait largement à 3 bien constitués. Avec piquets et moustiquaires. État moyen. Voire franchement moyen.
@Jean Langoncet dit: 19 septembre 2018 à 21 h 41 min
J’ajoute que lorsque JJJ a dérapé, je me suis adressée à lui directement, comme Lavande parce qu’il s’agissait d’un absent qui ne pouvait ni se défendre, ni répondre. Dans ce qui oppose Pat.V. et Chaloux, nul besoin d’intervenir puisqu’ils peuvent régler leur différent directement. Pat.V. et Chaloux ont du tempérament, il savent remettre en place qui les importune.
Pour la « délation », je crois que vous vous trompez et de région… et de personne.
Oui, Bételgeuse, mais jamais primé pour l’un de ses films. Tandis que Carlos Saura a reçu le Prix spécial du jury pour « La Cousine Angélique » (Festival de Cannes 1974) et le Prix spécial du jury pour « Cría cuervos » (Festival de Cannes 1976).
@une vieille tente
Pour le bivouac, qui sait … La Saint Michel, c’est toujours le 29 ?
Chaloux, vous savez (hormis en sauvage)qu’il est impossible de les installer dans ce qu’on appelle encore des campings.
Surtout à utiliser à la Sainte Merdace.
D’ailleurs, je viens d’en trouver une seconde, année 58, marque Gigi, franchement décousue.
1euro50. Pour la toile.
@Une mauvaise manipulation aura zappé ces nombreux héros du vingtième siècle
Je tiens Arthur Lipsett pour un parfait génie
C’est quoi la Saint Michel?
la fête à Christiane ?
Oui, Béré, mais nous déménageons bientôt, et je dois débarrasser. (Je viens de vendre la DS de mon beau-père, décédé récemment, qui encombrait mon garage). Si le reste ne part pas, je mets tout à la déchetterie.
@je mets tout à la déchetterie.
c’est que vous avez les moyens
Je ne connais pas ce cinéaste, un lien:. https://youtu.be/mY7B2-Wqj6g
Pas les moyens d’entasser des choses inutiles, quoiqu’il en soit.
Je garde le sanibroyeur peu servi pour la Gigi. dès que je connaitrai son identité, je le ferai déposer sur son pallier. Elle qui va si souvent au théâtre, je pense qu’il lui sera particulièrement utile.
lorsque JJJ dérape c’est sur une peau de banane.
C douloureux.
Cela fait zip .
Je vais aussi faire don à Gigi d’un vieux coffre Louis XIII. Sa copine pourra le mettre dedans quand il sera mort.
Avec un sac de vieux clous.
@rose dit: 19 septembre 2018 à 22 h 37 min
Oui, cela m’a étonnée. Ce n’est pas habituel chez lui. Je n’ai pu m’empêcher de lui dire mon désaccord sur cette façon de faire. Cela n’empêche pas que je lui garde ma confiance hors ce… dérapage.
un Nobel (quelle époque ma bonne dame) https://www.youtube.com/watch?v=CEoGqUqy-0w
Il faut lui enfonçer bien profondément les piquets. Sinon elle s’envole.
je l’ai vécu cela.
À primer toute la nuit.
Force10 sans affinités. le lendemain matin, ya hagarde, je suis allée à la mairie payer mon campement.
Ils l’ont fait gratos la nuit à cause du gars dont la tente s’est envolée et en courant après, il s’est tué pck il était en haut d’une falaise.
Mais c’est une petite tente ronde toute neuve. Tu la jettes, elle est montée en moins d’une esconde.
pour la replier tu t’inscris à Sciences Po que tu suis en // avec Saint Cyr. Tu mets trois jours. Tu prolonges ton séjour. Tu loues un gîte rural. Si t’étais (Sue) moderne ce serait un Rbeeandbee.
à prier .
à prier. mot inconnu du correcteur.
moi aussi christiane, toute ma confiance. Même quand il a quitté femme et enfants pour aller vivre chez la voisine.
Gigi est malade, c’est un début d’Alzheimer. Crises de violence, suivie d’ataraxie.
@rose dit: 19 septembre 2018 à 22 h 51 min
Oh, Rose. Croyez-vous que ce détail de sa vie privée ait sa place ici ?
c un détail inventé christiane. je n’en sais fichtre rien. Mais c’est pck sa femme lorgnait sur le chauffeur de taxi. 👀 en loucedé. Je lui garde -pour de vrai toute ma confiance.
Même quand il a quitté femme et enfants pour aller vivre chez la voisine.
Mais c’est pck sa femme lorgnait sur le chauffeur de taxi. 👀 en loucedé.
Encore, encore! J’en veux encore!
Hurkhurkhurk!
L’agressivité face à la maladie d’Alzheimer.
je crois que la brutalité et la non-communication pourraient être des facteurs déclenchants.
enfin, moi, je pourrai déclencher la maladie d’Alzheimer ; je suis épouvantablement distraite trop souvent. Pourtant, je tiens la route malgré une propension dans les virages pris sur les chapeaux de roue à éjecter ďe mon siège de side-car.
bonsoir à tous,
le monarque au royaume des fleurs
https://www.google.fr/search?q=monarque&client=ms-android-samsung&source=android-browser&prmd=inv&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwiuxPTUgsjdAhUC-YUKHRILA2sQ_AUICSgB&biw=360&bih=512&dpr=2#imgrc=exetJ4C8NJtjFM:
Je crois que c’est Claudio Bahia qui avait proposé un autre jeu littéraire : identifier non pas des premières mais des dernières phrases de romans.
Voilà celles que je propose à votre perspicacité mais aussi à votre intérêt, à votre attention, car je ne les ai pas choisies pour « ramener ma science » mais en rapport (même ténu) avec les thèmes de la guerre, du héros ou de l’anti-héros, et/ou des sujets apparus dans certains commentaires :
1. Que s’apaise ce tumulte dévastateur, comme se retire d’un pays mis à sac une horde en déroute.
2. Un homme qui avait coulé à pic, entraîné aux grandes profondeurs par tout le poids de ses regrets et de ses souvenirs.
3. Il hésita encore un instant devant la porte blanche. Allait-il entrer ? « À quoi bon… » Il haussa les épaules, tourna le dos et redescendit l’escalier.
4. Jusqu’au dernier moment, jusqu’à ce que je commence à me perdre de vue moi-même, je gardai ma main dans la main de ce mort, et pour ses oreilles ne pouvaient plus m’entendre je répétai les mots du chef de train du rapide qui avait amené de Dresde les Allemands sinistrés : — Vous n’aviez qu’à rester chez vous, sur votre c.l
5. Il me fut facile de partir à la guerre sans grand émoi, tout simplement parce que j’étais jeune et que, sur tous les jeunes hommes, on faisait souffler un vent qui sentait la voile de mer et le pirate.
6. Je marchais le cœur battant, la gorge sèche, et si parfait autour de moi était le silence de pierre, si compact le gel insipide et sonore de cette nuit bleue, si intriguants mes pas qui semblaient poser imperceptiblement au-dessus du sol de la rue, je croyais marcher au milieu de l’agencement bizarre et des flaques de lumière égarantes d’un théâtre vide— mais un éco dur éclairait longuement mon chemin et rebondissait contre les façades, un pas à la fin comblait l’attente de cette nuit vide, et je savais pour quoi désormais le décor était planté.
7. Comme si quelque chose de plus que l’été n’en finissait pas d’agoniser dans l’étouffante immobilité de l’air où semblait toujours flotter ce voile en suspension qu’aucun souffle d’air ne chassait, s’affalant lentement, recouvrant d’un uniforme linceul les lauriers touffus, les gazons brulés par le soleil, les iris fanés et le bassin d’eau croupie sous une impalpable couche de cendres, l’impalpable et protecteur brouillard de la mémoire.
Personne n’est obligé de jouer, bien entendu : vous êtes parfaitement libres de préférer la chasse à l’homme ou le jeu de massacre.
JJJ j’ai lu l’article que vous proposez du site La vie des idées. Merci.
Alors là, X, j’attends les réponses mais n’en fournirai aucune.
le chauffeur de taxi, Hubert.
Taxi driver.
Et hop, poussé le cochonnet un peu loin et retombée sur mes pattes
😘
Dennis Hopper :
https://blogfigures.blogspot.com/2013/01/dennis-hopper-reverend-king.html
La 6, x, je donne ma langue au chat.
L’ héroïsme de ne pas être un(e) héros…
http://www.actu-philosophia.com/Colloque-l-Art-brut-objet-inclassable
Pat.V.
L’art brut ? Pour moi, un intérêt mineur mais par contre en sous-lien dans votre dossier, une étude passionnante :
http://www.actu-philosophia.com/Serge-Bramly-La-transparence-et-le-reflet
Je lis et je reviens vous en parler.
Calme plat après la kermesse d’hier. Traînent quelques relents de boules puantes, de vomi et d’urine, plus les balles en chiffon du chamboule-tout. Deux ou trois boîtes de conserve plutôt cabossées à l’effigie des commentateurs stars. La maréchaussée annonce la sortie imminente de cellule de dégrisement des plus exaltés parmi les fêtards.
Quoiqu’il en soit, souhaitons à Gigi de rencontrer aujourd’hui le médecin qui saura diagnostiquer la maladie qui se trouve cachée derrière son ultra-violence pathologique.
C’est une urgence.
Bonne journée,
Alexia Neuhoff dit: 20 septembre 2018 à 8 h 56 min
Bagarre générale à la Dubout, vous voulez dire?
L’art brut ? Pour moi, un intérêt mineur christiane.
Du mineur au majeur, du beaux-art au bas art, cela demande discussion…
Excellent livre que le Bramly que vous citez, travail tranversal, en dehors des clous universitaires ( comme la plupart de ses écrits sur l’ art et la photographie en particulier )et un homme très sympathique avec qui discuter!
( Je ne serai là qu’ en extrême fin de matinée pour prolonger la discussion.)
@Pat V dit: 20 septembre 2018 à 8 h 41 min
Formidable recension de l’Essai de Serge Bramly « La transparence et le reflet » par Marina Seretti.
Un voyage du « verre d’eau » de Chardin jusqu’à Duchamp, opposant la mat au reflet, la lumière à la pénombre, la nuance à l’aplat. Pointant le défi de la peinture à l’huile par la technique du glacis puis ce passage, mon préféré, quand il évoque les rebelles : Titien, Tintoret, Chardin, El Greco, Rembrandt, Franz Hals, Vélasquez, Turner, Goya… qui ne craignent pas de perturber les surfaces et de rendre visible l’empreinte de la brosse sèche, de l’impulsion créatrice.
Une magnifique halte aussi sur la peinture à l’encre du paysage en Chine.
Il avance pas à pas vers la peinture du XXe S. et évoque « cette cassure ouvrant aux temps obscurs de la guerre » puis dans l’ultime chapitre écrit son abandon, pessimiste face à l’art contemporain :
« J’ignore de quoi sera fait l’art de demain . Je sais que nous traversons une mauvaise phase, que la barbarie se répand à l’intérieur comme hors de nos frontières… »
Sur l’art naïf, cette phrase énigmatique : « était considéré comme œuvre d’art ce qui avait la capacité d’engendrer de l’art »…
Voilà des pensées qui collent bien à l’ambiance de lecture diffusée par les commentaires qui ont suivi, par quel mystère ? la chronique du livre de Javier Cercas par Passou …
@Pat V dit: 20 septembre 2018 à 9 h 31 min
Avec plaisir, Pat.V.
@ x (19 septembre 2018 à 23 h 47 min)
J’ai la réponse pour le 1 mais en trichant : moteur de recherche.
Renato,
il m’a fallu une expo à la cinémathèque en 2008 pour découvrir que Denis Hopper était aussi photographe (et photographe de talent). Avant il n’était pour moi que cet acteur halluciné de certains films américains puis ralisateur.
https://www.lemonde.fr/cinema/article/2008/10/21/dennis-hopper-je-brisais-constamment-les-regles_1109377_3476.html
Dans le monde de l’art, un autre homme porte pour moi le nom de Hopper, c’est Edward Hopper. New York la nuit, ses rues et ses bars, ses hôtels et ces chambres qui ressemblent à des geôles où des êtres solitaires semblent attendre en silence, on ne sait quoi… La lumière qui coupe l’ombre au couteau. Mais aussi des stations- services, des voies de chemin de chemin de fer, les houles du vent sur l’herbe, des maisons inquiétantes, isolées, comme dans certains films d’Hitchcock .
Donc vous avez choisi Martin Luther King photographié par Dennis Hopper devant le Lincoln mémorial prononçant son fameux discours et martelant ces mots : « I have a dream ». Sacré rêve…
En effet, Lulu, avec Louis-René des Forêts il commence fort, x !
x dit: 19 septembre 2018 à 23 h 47 min
1. Que s’apaise ce tumulte dévastateur, comme se retire d’un pays mis à sac une horde en déroute.
La RDL au matin ?
« La RDL au matin ? »
La voiture-balaie est passée. Combien de cadavres ?
X, si peu de temps ce matin que j’ai lu la dernière phrase seulement de votre jeu. Je vais jouer (je ne peux pas m’empêcher de jouer…) avec les autres dès que j’aurai un peu de temps, mais là, le marché m’attend, bref…
Donc, la dernière phrase m’a évidemment fait penser à Proust, mais ce n’est pas Proust, parce que ce n’est pas la dernière phrase du temps retrouvé, si célèbre : « ((…)ne manquerai-je pas d’abord d’y décrire des hommes comme occupant une place (..) prolongée sans mesure (..) dans le Temps ».
C’est du Conrad. Je n’aime pas les thématiques conradiennes, à cause de la complaisance qu’elles témoignent vis-à-vis de la figure de l’homme blanc, à peine (mal) rachetée par la nostalgie d’un monde qui permettait l’aventure humaine exaltée. Bref. M’enfin faut quand même reconnaître que le bonhomme savait écrire.
UN peu comme, pour répondre à la pluie de tomates qui s’est abattue ici sur lui, Paul Edel. Bien sûr que le succès littéraire de sa « Maîtresse de Brecht » n’a pas percé le plafond de verre qui sépare la simple notoriété d’un milieu particulier d’une gloire universelle, bien sûr qu’on peut soupçonner qu’il s’agissait, avec lui, de la fin d’une certaine ère des Goncourt, où il était coutume de se célébrer dans l’entre-soi, bien sûr que l’homme a des défauts, comme une trop grande (fausse ?) assurance en son pouvoir et une tendance à donner des leçons (mais franchement, sur ce blog, hein…). N’empêche que d’un, il est authentiquement embrasé (y’a qu’à l’écouter parler de Stendhal, tiens), et que deux, c’est un véritable écrivain, non un écrivaillon de seconde zone ahanant dans les broussailles de la frivolité comme tant d’autres (dont moi, hélas).
Alors, les tomates, hein…
Merdum, je file.
X
mais il ajoute :
« L’esprit doucement s’endort, il n’y a que le cœur qui se souvienne. »
@ X
Sans tricher, le 6 : Le Rivage des Syrtes de Julien GracQ
Pour le 3, la réponse est ici, x !
http://www.olivier-delorme.com/romans/extraits_pdf/plongeon_4.pdf
Pour le 4, x pousse un peu le bouchon !
« Trains étroitement surveillés » de Bohumil Hrabal.
Le 5, « Jean le bleu » de Jean Giono.
Le 6 ayant été trouvé par Lucien Bergeret, passons au 7 : Claude Simon, « Le Tramway »
Reste le deux ?
Jazzi, sans mentir , j’avais pensé à Gracq.Le rivage des Syrtes, vous avez gagné !
« Un homme qui avait coulé à pic, entraîné aux grandes profondeurs par tout le poids de ses regrets et de ses souvenirs. »
Là, j’ai pensé à Camus, mais il faudrait un indice, x !
Mais c’est quoi ce numéro monté hier par Janssen J-J pour une affaire qui juridiquement n’a aucun sens?
Il suffit de s’informer sur le net pour éviter de piquer des crises d’hystérie et dire des co.nneries:
« Il est tout à fait possible de rester anonyme ou d’utiliser un pseudonyme sur l’internet. Juridiquement, il n’y a cependant pas de droit à rester anonyme ou sous pseudonyme. » (Commission juridique de l’Isoc France).
Pour que le fait de révéler l’identité de quelqu’un sur un blog puisse être considéré comme une atteinte à la vie privée il faudrait que la personne dont on révèle le nom risque sa vie à cause de cela, qu’il y ait une « mise en danger de la vie d’autrui », ce qui est très difficile à prouver. Il me semble que ni Edel-Amette ni Pat V-Staive risquent pas grand chose ici, à part le ridicule.
Dans le cas de la révélation par la presse de l’identité de quelqu’un qui utilise un pseudo, il faut que le plaignant ait tout fait pour protéger sa vie privée sur le net, ce qui n’est pas le cas ni d’Amette ni de Staive (voir le cas de Mediapart et d’une collaboratrice de Hervé Mariton, déboutée de ses demandes et même condamnée aux dépens).
Tu préfères le cinéma d’Almodovar ou de Carlos saura, Pablo75 ?
(moi je n’ai jamais révélé ton vrai prénom -plus beau que ton pseudo-, comme tu me l’as demandé par mail privé, Pablo !)
Saura
AN, sans vouloir jeter l’huile sur le feu, à plusieurs reprises je suis intervenue pour déplorer l’invective, l agressivité, l’intimidation, la menace qui sont indignes de gens se réclamant de la Culture. En vain, je renonce à tenter d’apaiser le jeu quand il est malsain ou ordurier. On remarque que les départs d’incendies connaissent souvent les mêmes points .
Alexia Neuhoff dit: 20 septembre 2018 à 8 h 56 min
Calme plat après la kermesse d’hier. Traînent quelques relents de boules puantes, de vomi et d’urine, plus les balles en chiffon du chamboule-tout. Deux ou trois boîtes de conserve plutôt cabossées à l’effigie des commentateurs stars. La maréchaussée annonce la sortie imminente de cellule de dégrisement des plus exaltés parmi les fêtards.
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Pas de tâches de sperme sur le tapis ?
Une chance.
Il y avait déjà ici un taré pour qui celui qui utilise l’expression, datant de 1850, « rat de bibliothèque » est un nazi, et voilà que maintenant arrive une autre tarée, Alexia Neuhoff, (qui est peut-être l’autre déguisé en femme) pour qui écrire que « Buñuel a tourné en Espagne « Viridiana » en 1960 » (ce qui est un fait incontestable) c’est tenir des « propos monstrueux qui ressortissent du révisionnisme », c’est-à-dire être un fasciste.
Peut-on être plus cré.tine? Difficilement…
Écoute bien, grosse andouille: ce n’est pas toi qui va m’expliquer à moi, qui l’ai vécu, ce qui a été le franquisme, ni politiquement ni culturellement. Et ce n’est pas toi qui va m’expliquer ce que je pense de « mon » Caudillo (dont avec mon père et mon frère ainé on a suivi l’interminable agonie en novembre de 1975 en écoutant tous les soirs Radio Paris en espagnol à 23 heures).
Je ne sais pas si tu es analphabète ou une abru.tie de mauvaise foi quand tu écris: « Essayez de trouver des exemples plus probants de l’esprit d’ouverture de votre Caudillo », parce que je t’en ai donné plein dans mon post de 17 h 31 min.
Puisque tu as l’air de ne pas bien comprendre ce qu’on t’explique, je vais te répéter l’un des cas les plus clairs: celui du célèbre dramaturge Antonio Buero Vallejo (dont le père, militaire mais libéral, avait été fusillé par les républicains par erreur). Buero était un communiste actif (il fabriquait des faux documents pour le Partido Comunista de España pendant la guerre), il a été arrêté en 1939 et condamné à mort en 1940 (en prison il a connu Miguel Hernández, à qui il a fait un célèbre portrait dessiné – parce que Buero Vallejo était aussi très doué pour la peinture).
Sa peine a été commuée quelques mois plus tard en 30 ans d’emprisonnement. Et en 1944 réduite à 20 ans. Il fut libéré en 1946 et s’est mis à écrire du théâtre. En 1948 il a fini son oeuvre la plus connue: « Historia de una escalera », avec laquelle il a obtenu en 1949 le prestigieux Prix Lope de Vega (donné par la Mairie de Madrid, dont le maire était nommé directement par Franco).
La pièce a eu un gros succès de public et de critique quand elle a été crée en 1949 (quelque temps après on en a même fait un film). La même année Buero a obtenu un autre prix, el Premio de la Asociación de amigos de los Quintero, avec la pièce « Las palabras en la arena. » Et pendant tout le reste du franquisme, Buero a été très joué et considéré comme le plus grand dramaturge espagnol, même s’il a dû lutter contre la censure, comme tous les écrivains anti-franquistes (l’une de ses pièces a été interdite en 1954).
Eh, oui, ma grosse bêtasse: l’Espagne franquiste n’était pas la Russie staliniste, ni l’Italie fasciste, ni l’Allemagne nazie, ni la Roumanie de Ceaucescu, ni la Chine maoïste, ni la Cuba castriste… Dans l’Espagne du franquisme le plus dur, celui des années 40, on pouvait passer d’être un condamné à mort en prison à être un dramaturge à succès en moins de 10 ans.
Le portrait de M,Hernández par Buero Vallejo
http://mhernandez-palmeral.blogspot.com/2013/07/el-retrato-de-miguel-hernandez-por.html
AN, bien que je vous suppose très documentée ou achalandée, bref pas en carence de documentations diverses, j’ai donné hier soir un lien consultable gratuitement et qui contredit l’idée défendue par Pablo d’une quiétude et absence de censure relative elle aussi sous le règne du caudillo. Je vous invite à le consulter, il recoupe vos interventions.
D, oui son écriture sur ce tableau est tout à la fois visuelle et odoriférantes. Reste à fournir un petit effort d’imagination, n’est ce pas.
OdoriférantE.
Miguel Hernández ressemblait à Garcia Lorca, Pablo !
@ Jazzi
« nos deux comiques-troupiers »
« Tu préfères le cinéma d’Almodovar ou de Carlos Saura, Pablo75 ? »
Comme Chaloux, je préfère que tu fermes ta gu.eule..
Là, c’est probant !
http://www.barapoemes.net/archives/2016/12/19/34703992.html
Hier tu as fermé la tienne, et tu as bien fait Pablo !
D, de plus j’ajouterai que j’ai une expérience de la cellule de dégrisement. Une policière ayant remarqué une goutte de sang au sol pour laquelle je ne possédais pas d’explication , m’offrit finalement un matelas bleu pour accroître le confort du béton. Dans l’état où j’étais encore, j’avais même fait pipi par terre pour ne plus les déranger. Ma voiture à la casse, un procès sur le dos, frais d’avocat et amende, compte tenu de ce que m’avait annonce le juriste de la compagnie d’assurance je ne m’en suis pas trop mal tirée et je ne l’ai pas ramené. Je suis sortie du tribunal en larmes, permis récupéré trois mois après, après contrôle de mes gamma GT, avec un seul point puisque pour couronner le tout ma peine bénéficia de six points en moins sur permis de conduire. J’ai circulé avec un point pendant trois ans sur les conseils de mon dentiste, vous n’avez qu’à tout respecter m’avait elle dit. Ce que je fis, actuellement je conserve tous mes points et ne prends plus aucun somnifère avant de sortir.
Ces « une autre tarée, Alexia Neuhoff » « plus cré.tine » « grosse andouille » « analphabète ou une abru.tie de mauvaise foi » « ma grosse bêtasse » de Pablo constituent-ils des arguments susceptibles d’alimenter le débat ? Je crains qu’ils ne disqualifient le prétendu spécialiste de l’histoire d’Espagne et révèlent un parfait goujat.
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