de Pierre Assouline

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Variations sur « A qui la faute ? »

Variations sur « A qui la faute ? »

Quel lecteur passionné de la Lettre au père de Kafka, ou de Lettre à ma mère de Simenon, sinon des deux à la fois (c’est mon cas), a jamais rêvé d’en lire le retour ? Impossible évidemment puisque l’un n’avait pas posté sa longue philippique à son géniteur, et que l’autre l’avait publiée après la mort de la destinataire. Ce père et cette mère, on ne les connaît que par leurs fils, par leur reproches, leur vécu, leur ressenti. On ignore leur version des faits, leur vécu du conflit. Des biographes ont bien creusé de ce côté-là pour en savoir davantage. N’empêche que j’ai souvent rêvé d’une collection « Droit de réponse » dans laquelle un éditeur donnerait enfin la parole à ces victimes de l’histoire littéraire, en chargeant des écrivains de les défendre. Les exemples ne manquent pas, encore que le père de Paul Auster et celui d’Orhan Pamuk n’auraient guère de raison de leur répondre tant ils ont été bien traités, l’un dans L’invention de la solitude, l’autre dans son discours de réception du Nobel.

J’y repensais en reprenant La Sonate à Kreutzer (Kreïtserova Sonata, traduit du russe par Michel Aucouturier, éditions des Syrtes), l’un des brefs chefs d’oeuvre de Tolstoï nouvelliste avec Maître et serviteur et La Mort d’Ivan Illitch, tir groupé des années 1886-1895. L’inexorable progrès de la jalousie dans un couple en est la trame, sur fond d’orgueil mal maîtrisé, drame conjugal dont l’idéal de l’amour divin sera le salut (ou la fuite, comme ce fut le cas avec la fugue de l’auteur). Depuis, il est difficile d’écouter la sonate pour violon et piano No 9 de Ludwig van sans être envahi par les réminiscences de sa nouvelle.

Un malade nous parle. Une sorte de fou qui n’est pas sans rappeler le narrateur des Carnets du sous-sol de Dostoïevski. Sauf que là son monologue ne relève pas de l’éructation ou de l’invective misanthrope mais bien de la confession. A cause du titre, on croit qu’il s’agit de musique, et plus exactement du premier presto de la pièce de Beethoven (juste un épisode de l’histoire, en fait) ; on nous fait comprendre en route qu’il s’agit de sexe, ou plutôt du dégoût des femmes pour l’acte, avant de nous faire admettre enfin qu’il s’agit de jalousie. La femme, c’est la chair, donc le vice ; voilà le message. Le traducteur fait remarquer dans sa préface que le livre, écrit en 1888 mais longuement mûri par l’expérience conjugale, n’est pas inspiré des relations entre Tolstoï et sa femme mais, tout à au contraire, les a influencées.

Or dans A qui la faute ?, Sophie Tolstoï, née Behrs, de seize ans sa cadette, répondait au réquisitoire de son mari. Ce qui permet déjà de se faire une opinion plus nuancée sur l’enfer conjugal de Iasnaïa Poliana, la jalousie pathologique qu’il reprochait à sa femme. Il y a quatre ans, les éditions des Syrtes avaient eu l’idée de réunir en un seul volume La Sonate à Kreutzer de l’un et A qui la faute ? de l’autre, ainsi que deux autres textes. Déni de fiction ? littéralité d’une lecture strictement autobiographique ? réduction abusive ? Pourquoi pas…

Cela constituait une sorte de dossier pour notre édification – mais n’espérez rien de tel à propos par exemple de Philip Roth car on ne l’imagine pas, ni lui ni ses ayant-droit à venir, accepter un jour de publier Deception (Tromperie, 1993) sous la même couverture que la cinglante réponse de son ex-femme Claire Bloom dans Living a Doll’s House. J’y repensais donc ce matin en découvrant dans le New York Times la critique de l’édition américaine de cet ensemble tolstoïen. Son titre est une trouvaille : The Kreutzer Sonata Variations. Magnifique ! C’est peu dire qu’il s’y prête particulièrement. Mais il faudrait retenir cette idée de variations pour d’autres, même si on ne connaîtra jamais les improbables A qui la faute ? de Hermann Kafka et Henriette Simenon.

(« Léon et Sofia Tolstoï » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

1 171 Réponses pour Variations sur « A qui la faute ? »

Jacques Barozzi dit: à

La différence entre un professionnel et un amateur ?

Roth ou Passou disent merci, le premier à Zweig, le second aux commentateurs-correcteurs…

Guillaume Tell dit: à

Bien, très très bien, ça dégage sec

C’est qu’il a soif de sang et de tripes humaines le Widangeur!
Saleté de planqué!!!

Jacques Barozzi dit: à

« A qui la faute ? »

Je t’avais dit de ne pas voter pour Hollande !

Deneb dit: à

On peut très bien fermer les stores avec une manivelle, n’en déplaise à Bloom.

Jacques Barozzi dit: à

Et pour les élastiques des lingeries féminines et masculines, D. ?

Widergänger dit: à

La faute au manque d’audace dans les réformes. J. Attali l’a dit…

Jacques Barozzi dit: à

ML, faites-vous conférencier !

ST dit: à

Enfin une bonne nouvelle pour égayer notre après-midi :

« Le moulage de son sein gauche a servi à créer un verre, reprenant la légende de Marie-Antoinette.
« Même à 40 ans, Kate Moss n’est pas en manque d’inspiration pour se faire mousser. Le mannequin britannique a collaboré avec la sculpteuse Jane McAdam Freud dans la création d’une coupe de champagne moulé à partir de son sein gauche. Ce verre sera distribué dans une trentaine de restaurants du quartier branché de Londres, London’s Mayfair. Il ne sera cependant pas mis en vente. »

Widergänger dit: à

J’y pense sérieusement.

ST dit: à

« ML, faites-vous conférencier ! »

Il aime parler devant des salles vides ?

Jacques Barozzi dit: à

Thème de votre conférence, sans avoir à passer par la case écrivain : « les Alba, généalogie d’une famille française ».

bérénice dit: à

A qui la faute? _ Bloom.

Une analyse après constat de la désertification industrielle n’est-elle pas livrée dans l’article en question? En gros niveau d’adaptation insuffisant face à la concurrence asiatique entre autres, coût de production trop élevé, taux d’innovation faible, qualité/prix peu attractif, coefficient de visibilité trop faible, absence de stratégie ou carence à la conquête de nouveaux marchés, infrastructures inaptes au combat économique?

Widergänger dit: à

15% des jeunes « Français » approuvent l’Etat Islamique !
Voilà où on en est dans notre beau pays des droits de l’homme…!

La faute à qui ?

Widergänger dit: à

Ça c’est la première conférence attalienne que je ferai pour espérer en vivre…

ST dit: à

« La faute à qui ? »

Aux Etats incompétents (dont les USA) qui laissent Israël commettre ses crimes, et qui sont incapables depuis des décennies d’esquisser une solution de paix.

Widergänger dit: à

Mon projet c’est de racheter le château de mes ancêtres, le château de Lespinassat à 3 kilomètres au sud de Bergerac, pour en faire un centre de recherche sur les Juifs du Périgord et leur destinée.

Jacques Barozzi dit: à

Hier j’ai vu « Catacombes », gros succés auprès de la jeunesse ipodée chère à Phil. Et consommation industrielle de pop corn durant toute la projection. Décor de carton pate pour un film où l’on embarque comme dans le train fantôme de la foire du trône !
Finalement, ML, pour la conférence il vaut mieux tabler sur : « le Fantôme d’Auschwitz », c’est plus porteur !

bérénice dit: à

Deneb sans compter qu’une manivelle peut, avec un peu de volonté et de détermination, servir d’objet contendant en cas de besoin ou de pulsion homicide, entre autres usages qui se passent d’imagination et forcent l’économie.
http://www.lefigaro.fr/economie/

Widergänger dit: à

Non, la faute à tous les peigne-cul comme St, Baroz et alii de cette Europe aux penchants criminels comme l’analyse si bien Milner.

DHH dit: à

@clopine
je m’associe fortement au conseil qui vous a été donné sur le livre de mona ozouf :composition française.
ce livre m’a remuée dans ma sensibilité de fille de la « laÏque »,venue d’ailleurs
CI- dessous ce que j’ai ecrit un jour de cet ouvrage:
c’est une autobiographie attachante qui se double d’une réflexion riche sur le métissage culturel .
Fille d’un instituteur breton, bretonnant militant, devenue normalienne, agrégée, puis historienne de renom, Mona Ozouf y raconte son itinéraire de fille de la « laïque », de produit classique de la méritocratie républicaine.
A partir de ce qu’elle nous livre d ’elle dans ce livre, elle montre, de manière brillante et convaincante, comment on peut porter vivante une culture particulière, pour elle celle du monde bretonnant avec sa langue ses paysages, ses légendes et sa religiosité mâtinée de paganisme , sans parasiter en rien une identité fondamentale et structurante, celle de son enracinement dans la France,sa symbiose avec sa langue et l’imprégnation au plus profond de soi de ses valeurs universelles.
En elle ces deux composantes de sa sensibilité et de sa culture s’enrichissent l’une l’autre ,en une symbiose heureuse ;c’est cela la « composition française » ,qui au prix d’un discret calembour donne son titre à l’ouvrage .
Une magistrale leçon pour ceux qui porteurs d’une culture venue d’ailleurs ont la tentation de voir dans le repli communautariste la condition de la sauvegarde de cette part de leur identité

ST dit: à

Widergang, votre conférence serait interdite par les autorités pour trouble à l’ordre public – mais aussi pour vous préserver d’une mort certaine par assassinat !

Jacques Barozzi dit: à

« c’est une autobiographie attachante qui se double d’une réflexion riche sur le métissage culturel . »

Attention, DHH, ML va dire que les 15% en faveur de l’état islamique c’est à cause de gens comme vous !

Jacques Barozzi dit: à

« 15% des jeunes « Français » approuvent l’Etat Islamique ! »

Vous mettez les Français entre guillemets, ML ?

Widergänger dit: à

Je comprends que vous ayez envie de me tuer, mon brave ST. C’est tout à fait dans votre profil de gros con…

bérénice dit: à

WG j’avoue avoir perdu le fil de votre généalogie qui me parait d’un coup tentaculaire et complexe, aurai-je loupé un des épisodes narratifs? Quoiqu’il en soit, je vous exonère du devoir de rappel, l’administration fiscale s’en chargera.

bérénice dit: à

En modération pour une blague, décidément, rien ne va plus non plus chez Passou, les jeux sont faits.

H comme Héron dit: à

la création d’une coupe de champagne moulé à partir de son sein gauche.

Pour des flutes à champagne z’auraient pu mouler une bite, laquelle ?

ST dit: à

J’aurais aimé lire la blague de Bérénice !

Bougrin Durbouge dit: à

« On dit qu’une jeune fille accompagnait Hippocrate, et que le premier jour Démocrite lui dit « bonjour, vierge », et le lendemain « bonjour, femme ». Et en effet, la jeune fille avait perdu sa virginité pendant la nuit. Alors, ça t’a plu, la quenouille d’Ithaque ? Tu la comprends mieux, maintenant, la philosophie du vide et du plein ? prétend-on qu’il ajouta avant de s’en retourner à son étude » — Diogène Laërce, Vies, IX, 42.

Rayon conserves dit: à

CI- dessous ce que j’ai ecrit un jour de cet ouvrage

y’a des gens qui gardent tout: les bouts de ficelle, les vieux torchons, les sacs en plastique, les vieux papiers usagés..

Bloom dit: à

Attali a été suffisamment longtemps aux affaires pour qu’on lui impute une partie de la faute. Le néos-convertis, rien de pire.

Phil dit: à

Widergg, un livre écrit par Soma Morgenstern retrace la vie de Joseph Roth.
Baroz, vous allez beaucoup au cinéma et vos goûts sont éclectiques comme on dit dans le poste; jamais entendu parler de ce « catacombes ». Probablement un film pour sièges à peloteurs du réseau mk2, gérant de « complexes » enrichi par l’Etat Français.

Widergänger dit: à

Bloom ne montre que son ignorance en s’en prenant aussi bêtement à Attali, qui mérite quand même un autre genre de critique !

ST dit: à

Ah ! ça ne m’étonne pas qu’un Widergang admire un escroc intellectuel comme Attali !
C’est complet !!!

Widergänger dit: à

Pour répondre au commentaire de DHH, si bêtement attaqué, je dirais qu’il n’y a pas de comparaison possible entre la génération de Mona Ozouf et celle des potentiels djihadistes en rut dans nos banlieues.

Widergänger dit: à

ST le neu neu ! Je n’ai jamais dit que j’admirais Attali. Je dis simplement que c’est un des quelques centaines d’intellectuels qui ont des choses intéressantes à dire sur le monde tel qu’il ne va pas. C’est tout. Et au diable les gros cons comme ST…

bérénice dit: à

14h47 hy zont de la place! Le cerveau peut tout compresser sans espace avec une zone sans mémoire en strapontin qui fuit un peu comme un geyser laisse filtrer jusqu’à l’écorce ce qui provient des strates chthoniennes.

ST dit: à

« Et au diable les gros cons comme ST… » W

Ah ! ça… on comprend que la contradiction vous soit fatale à chaque fois ! Le moindre souffle de vent vous renverse. Cf. La Fontaine.

Deneb dit: à

14h 02

?! je ne suis pas D.

Widergänger dit: à

Roth pratiquait déjà la formule attalienne :

_________

Dans une conférence que Roth a tenue le 12 juin devant la salle bondée de la maison de la librairie de son éditeur d’exil, Albert de Lange, qui portait le titre de Croyance et progrès et où il reçut un tonnerre d’applaudissement quand il tonna contre les superstitions, le progrès technique moderne était le sauveur de l’humanité, conclut-il avec cette exigence : « Mettons la raison au service de ce qui nous a été donné : savoir au service de l’amour. »
___________
Roth, c’est en somme le contraire du pamphlet réactionnaire de Bernanos sur les Robots. C’est aussi à cause de l’esprit à la Bernanos que la France va si mal aujourd’hui, un esprit rétrograde, hostile au progrès et replié sur le passé. Ça donne des écrivains assez minables et réactionnaires eux-mêmes comme notre Paul Edel blogueux…

bérénice dit: à

hostile au progrès et replié sur le passé

Sans être replié sur le passé, possible de voir que le progrès de la technique et des plus sophistiqués ne sert pas toujours au progrès des sociétés, juste à consolider et grossir la puissance des producteurs associés assemblés en puissance économique adaptée et asservir de plus en plus d’individus administrés selon des modes différents qui trouvent à se servir de valets, de nouveau tsar en passant par les tyrans, les despotes, les fous et surement aussi quelques démocrates désireux de conserver indépendance et intégrité.

Sergio dit: à

Le nombre de fois qu’on a traduit « Socrate avait une femme acariâtre »…

bérénice dit: à

nouveaux tsars

bouguereau dit: à

Attali a été suffisamment longtemps aux affaires pour qu’on lui impute une partie de la faute. Le néos-convertis, rien de pire.

attali avait tout à fait le profil d’un « donneur d’alerte », et il ne l’a pas fait, c’est un marchand de petits fours à déblaterer des banalités pour coquetèle comme roth..le plus inquiétant c’est qu’il n’a même pas la décence de se taire, ça c’est trés symptomatique et inquiétant

bouguereau dit: à

je dirais qu’il n’y a pas de comparaison possible entre la génération de Mona Ozouf et celle des potentiels djihadistes en rut dans nos banlieues

que l’idée même vous soit venu a l’esprit donne une idée abyssal de votre suffisante connerie

Sergio dit: à

ST dit: 21 août 2014 à 15 h 02 min
Le moindre souffle de vent

C’est pas un problème hon augmente la vitesse d’approche…

ST dit: à

« C’est aussi à cause de l’esprit à la Bernanos que la France va si mal aujourd’hui, un esprit rétrograde, hostile au progrès et replié sur le passé. » W

Contresens total sur Bernanos, qui est à classer parmi les grands penseurs « alternatifs » qui ne cessent à la fois de rester en marge, et d’inspirer les quelques happy few qui le lisent.
Comment serait-ce à cause de Bernanos que la France irait si mal aujourd’hui, alors que cette France précisément rejette toutes les idées défendues par Bernanos ?
Sur Israël, il nous aurait certainement surpris, lui l’ami de la liberté et de la paix, ce que toute sa vie démontre !

bouguereau dit: à

Ah ! ça ne m’étonne pas qu’un Widergang admire un escroc intellectuel comme Attali !

hof..la jalousie pour le pantouflage..l’odeur de l’argent..trés français..on ne dira pas franchouillard..rénateau dirait que les franchouillard sont ceux qui justement jalousent tout ceux qui peuvent le faire..quoique

bouguereau dit: à

il est question de tolstoy et il bombe le torse avec zweig et roth..alors qu’est ce tu veux qu’un dracul comprenne de nonos..franchement

ST dit: à

« Roth pratiquait déjà la formule attalienne » Widergang

Si Roth revenait et prenait connaissance de tout ce que vous lui faites dire, il se suiciderait à nouveau dans l’alcool !…

ST dit: à

« un esprit rétrograde, hostile au progrès et replié sur le passé » W

C’est votre esprit même, Widergang, l’arrogang sioniste judéo-maoïste, colonialo-esclavagiste ! Excusez du peu !
On attend vos conférences avec impatience ! Le Hamas n’a qu’à bien se tenir !…

Phil dit: à

Roth avait du panache même dans l’alcool et rivalisait avec certain Archiduc au bar du Sacher. Attali a le goût des portes capitonnées, ce qui n’est pas si éloigné du mobilier au Sacher.

B comme BERLIN dit: à

« Clopine dit: 21 août 2014 à 11 h 49 min
du vin d’amandes, ainsi nommé à cause de son parfum… d’amande ».

Essayez le cyanure, Clopine, parfum d’amande garanti naturel !.
Au plaisir de vous revoir après !!! !! !.

radio keupu dit: à

les raclures te pètent au nez, vieux débris de bouguereau, nous on aime bien : déchet, vermine et rognure en ce qui te concerne… ça te plaît ?

ST dit: à

Le cyanure serait encore trop doux pour un W : heureusement, le Hamas a des méthodes plus expéditives, et sait comment traiter selon leurs mérites les Widergang !

Sergio dit: à

B comme BERLIN dit: 21 août 2014 à 16 h 19 min
Essayez le cyanure

Oui enfin vaut mieux s’entraîner, parce que sinon ça fait comme pour Laval…

ST dit: à

Oui, les Laval, les Widergang, ça a la vie dure et ça repousse, comme la mauvaise herbe !

B comme BERLIN dit: à

WGG en conférencier public.
Merdre, préparez les œufs péraves et les tomates trop mures.

JC..... dit: à

Des régimes, qui n’étaient pas incompétents comme les clowns gazaouis subventionnés au pétrole, ont essayé au fil du temps de débarasser la terre du Christ-Roi de ces traitres de Juifs, le dernier de la liste des prédateurs étant l’ami Dolfie, empereur du Reich millénaire de moins de 10 ans…

Vous feriez mieux de comprendre que si les remarquables nazis n’ont pu réussir à éradiquer cette vermine intelligente, ce ne sont pas quelques gazouilleurs cons comme des balais, qui réussiront.

Israël est admirable, sera défendu, et nous aimons terriblement les gens qui savent se défendre, car ils nous servent d’exemple !!!

Mme Michu dit: à

Madame Bovary répondant à Flaubert

Ah ben ça nous changerait des boeufs!

JC..... dit: à

« A qui la faute » est une déviation grave, simplificatrice, du jugement, au profit d’une logique de causalité absurde, réductrice et faussement rationnelle.

Bonne soirée !

renato dit: à

J’attends toujours qu’une plume avec quelques familiarités avec le théâtre développe une idée d’Arbasino : la mère de Gadda et le père de Kafka se rencontrent dans un sanatorium en Autriche… et ils causent « enfants »…

ST dit: à

« A qui la faute » est une déviation grave, simplificatrice, du jugement, au profit d’une logique de causalité absurde, réductrice et faussement rationnelle. JC

Comment avouer plus clairement qu’on n’a rien compris au problème ?

what else dit: à

« Attali a le goût des portes capitonnées, ce qui n’est pas si éloigné du mobilier au Sacher. »

Le marbre de Carrare, les avions particuliers

gling gling dit: à

Bloom dit: 21 août 2014 à 13 h 40 min
A qui la faute?

Aux gros fényants

SOEUR ANNE AUX DEUX BERGES RAQUE dit: à

Widergänger dit: 21 août 2014 à 14 h 27 min
Mon projet c’est de racheter le château de mes ancêtres, le château de Lespinassat à 3 kilomètres au sud de Bergerac, pour en faire un centre de recherche sur les Juifs du Périgord et leur destinée.

hahahahahaha. Un centre de recherche pour les truffes. Du Père Igor. On est dans le sur-surréalisme.

bérénice dit: à

Phil n’y a t-il pas de palaces plus aquatiques avec piano au reflet, la mémoire de Ravel y flottant, quelqu’endroit moins cosy où chaque pas sans être réverbéré ne soit pas non plus fondu dans des velours qui vont à l’hiver, aux automnes finissants, un habitat d’été quoiqu’il prenne congé?

bérénice dit: à

Au plaisir de vous revoir après !!! !! !.

Je ne connais aucun légiste mais c’est un peu vache de souhaiter revoir Clopine crispée par d’affreux maux qu’occasionnent à coup sûr l’ingestion de cyanure. Ne l’aimez-vous donc pas cette Clopine qui se distribue sans compter le temps ni les phrases influencées par de grands bardes?

bérénice dit: à

Sergio je dois toujours fournir un ponctuel effort pour ne pas confondre Laval… et Deschanel, lequel des deux avait-il les pieds propres?

@ST dit: à

Vous êtes un benêt content de vous-même. Là où vous voyez un seul problème, n’importe lequel d’entre nous peut en voir plusieurs. Un stage découverte s’impose !

ueda dit: à

Après « La paille et le grain », « La truffe et le groin », bon titre.

Bonheur de faire piailler baroz dit: à

Jacques Barozzi dit: 21 août 2014 à 13 h 59 min
« A qui la faute ? »
Je t’avais dit de ne pas voter pour Hollande !

Il est très bien ce président.

Un mec qui fait couiner Duflot et Mélenchon ne peut être que valable.

Si en plus Morano, Estrosi et marine reprenne le canon c’est qu’il est limite génial.

Encore 3 ans mes p’tits chats,
au moins.

Bloom dit: à

Attali a le goût des portes capitonnées, ce qui n’est pas si éloigné du mobilier au Sacher.
—-
N’êtes pas sans savoir, cher Phil, que du Sacher au Masoch, il n’y a qu’un pas, qui pour Attali pourrait être celui qui mène du Sacher à Madoff…

Chacun balaie devant sa porte dit: à

Jacques Barozzi dit: 21 août 2014 à 14 h 19 min
Thème de votre conférence, sans avoir à passer par la case écrivain : « les Alba, généalogie d’une famille française »

Idem pour Barozzi, jamais passé par la case écrivain et nous plombant avec ses supposés illustres ancêtres vénitiens.

ueda dit: à

Echange Hamas contre Hoummous.

Donne araq en prime.

Phil dit: à

Bérénice, le café Central est parfois moins peuplé d’émirs à grosse moquette. Le piano trône et certains jours d’hiver la commande du « mélanche » se fait avec le bon accent.

Attila dit: à

Attali ?

Sur la commode dit: à

Jacques Barozzi dit: 21 août 2014 à 14 h 28 min
« le Fantôme d’Auschwitz », c’est plus porteur

Le point Godwin/Baroz du jour est atteint.
Après le point moncul, les quotas sont remplis.

bouguereau dit: à

dans madoff il y a les neoils d’un personnage d’escroc seulabre qui percent derrière ses persiennes toujours closes..mais attali en pleine lumière c’est notre symptome

Phil dit: à

qui mène du Sacher à Madoff…(Bloom)

indeed, dear bloom. Cent ans ont passé mais c’est toujours l’apocal’hips joyeuse.

bouguereau dit: à

ta gueule raclure

Spirit of Saint Louis dit: à

Un Occident judéo-chrétien, sinon rien !

bouguereau dit: à

nous plombant avec ses supposés illustres ancêtres vénitiens

ça fait calbut en cashmire

ueda dit: à

« les Alba, généalogie d’une famille française »

Ne pas trop taquiner notre ami.

La filiation ou la mort, c’est le message du père Milner.

bouguereau dit: à

J’attends toujours

le your et la nouit yattendrais touyour ton wetour..

Jacques Barozzi dit: à

Je ne vois que Clopine pour écrire ce « Madame Bovary répondant à Flaubert » !

Bic cristal dit: à

ST dit: 21 août 2014 à 16 h 02 min
C’est votre esprit même, Widergang, l’arrogang sioniste judéo-maoïste, colonialo-esclavagiste !

Tiens le corbeau Dupont est de retour.
Pour gagner du temps, vous devriez prendre un bureau à la Kommandantur.

bouguereau dit: à

« La truffe et le groin », bon titre

clopine a juste a signer..aprés elle fait des conférances..elle lui met dans l’fion à dracul le pti chéri..mais non

Bouvard et Pécuchet dit: à

Je ne vois que Clopine pour écrire ce « Madame Bovary répondant à Flaubert » !

Baroz,t’as la vue qui baisse

Bic cristal dit: à

ST dit: 21 août 2014 à 16 h 28 min

Dupont dépasse largement le stade du corbeau, il en est à l’appel au meurtre.
Où s’arrêtera-t-il ?

bouguereau dit: à

Roth avait du panache même dans l’alcool et rivalisait avec certain Archiduc au bar du Sacher

j’en ai connu un fameux..ha pas baron mais presque qui a écumé 1000 restaux avec des chèques en buis huilé..ho tu sais ya pas plus fastoche si on a des nerfs..un vieux costard élimé et un air un peu sur de soi..vieux lui même et sympa..toute l’affaire c’était de l’empécher d’entrer..une fois dans la place c’était cuit..le scandale tu comprends..quand t’étais serveur en plus tu te faisais taper sur les doigts..chte dis pas, le juge le renvoyait direct dans ses foyers quand il était convoqué

Phil dit: à

Baroz descend de Venise par le tout à l’ego. hurkrhurk

Jacques Barozzi dit: à

JC, tu devrais aller voir « Les lendemains qui chantent », une comédie douce amère qui commence en 1981 avec l’élection de François Mitterrand et s’achève sur le dernier tour de piste de Lionel Jospin, remercié en 2002. Grâce à l’insertions des plans réels, on y revit les dernières décennies de notre belle histoire de France. La gauche en prend pour son grade : fric cul et mensonges ou la grande désillusion. On rit jaune.
Tu aimeras, il y a même un rabin sympathique qui ressemble à Passou et apporte un peu de morale dans toute cette sarabande, à voir !

radio keupu dit: à

18 h 50 : ta gueule raclure, c’est nouveau, ça vient juste de sortir tandis que ta gueule vermine de vieux débris de bouguereau ça fait plus chic dirait JC

Jacques Barozzi dit: à

Phil on voit que vous n’habitez pas Paris et ne connaissez pas son tout à l’égoût créé par l’ingénieur Belgrand sous Napoléon III. Les affiches de « Catacomes » flanquaient les bus de la RATP et les panneaux Decaux néohaussmaniens. J’ai même vu de la publicité sur ma tablette à la pomme. En tant qu’auteur de guides incontournables sur la capitale, je me devais d’aller voir ce que l’on avait fait d’un lieu aussi emblématique. J’ai dit plus bas mon avis. Quoique descendant en ligne brisée d’une illustre famille fondatrice de Venise, je sors d’un milieu populaire où l’on avait toujours gardé une extréme dignitê : mon père, prénommé Eugenio, bel athlète sourd et muet en était le plus bel exemple. J’ai toujours dans la tête l’image de son visage souriant tandis que dans son sommeil il venait de glisser dans la mort. J’avais dix ans. Un Barozzi reste toujours un Barozzi…

daaafnez dit: à

ueda dit: 21 août 2014 à 18 h 39 min
Après « La paille et le grain », « La truffe et le groin », bon titre.

comment peut-on âtre paysan, quelle heurreur

berny la magouille dit: à

barozzi « On rit jaune. »

comme mes pièces

Jacques Barozzi dit: à

…en tous lieux en tous temps.

eric dit: à

« Encore 3 ans »

ladolf se languit de la marine le pov’ gars il compte les jours

Rien de plus marrant que Barozzi faisant politique dit: à

Jacques Barozzi dit: 21 août 2014 à 19 h 08 min
JC, tu devrais aller voir « Les lendemains qui chantent »,

Il existe aussi « les lendemains qui déchantent » production chiraquo-sarkozienne avec magouilles diverses, financement étranger et rolex en vitrine.
Pas mal, un peu plombant pour le PIB mais d’une pure moralité barozzienne.

renato dit: à

Tant que il y a des lendemains ça va…

Phil dit: à

dear baroz, aucun doute sur votre dignité vénitienne. Pas de lagune, lacune là-dessus.
A paris, je ne vais plus dans les cinémas complexifiants popcornés. Leur préfère la cinémathèque de Bercy, malgré son accès labyrinthique aux salles manière porno de quartier. La faute à Berri, quoi.

Widergänger dit: à

Je vous trouve méchant avec Barozzi ; il fait des efforts pour paraître intelligent. Ne désespérez pas Billancourt ! Vieille noblesse vénitienne déchue qui n’arrive même pas à raconter son enfance, c’est dire sa misère.

Jacques Barozzi dit: à

La cinémathèque de Bercy dans l’ancien centre culturel américain, près de chez moi, est un peu sinistre et ne remplace pas la salle du Trocadéro, Phil. Poussez plus loin jusqu’à Bery-Village, dans les anciens chaix de la halle aux vins. Le multiplex y est confortable et la programmation plus à la page. Depuis près d’un an je me remets à niveau du cinéma contemporain. Je vais presque tous les jours au cinéma, ici et partout dans Paris, à pied et à vélo…

Jacques Barozzi dit: à

Dans « Les lendemains qui chantent », ML, quelqu’un demande au rabin, pourquoi tu ne parles pas ? Celui-ci lui répond : « Dans la vie il y a ce qui savent et ceux qui ne savent pas. Ceux qui savent ne parlent pas et ce qui ne savent pas parlent. Ceux qui savent savent qu’ils ne savent rien, ceux qui ne savent pas croient qu’ils savent et parlent de tout, c’est à dire de rien…. »

Jacques Barozzi dit: à

« Un Barozzi reste un Barozzi, dans tous les lieux et dans tous les temps », c’est pas un peu juif, ML ?

Phil dit: à

Merci Baroz des bons conseils, nous devrions trinquer dans les chaix. Dans les « complexes », les fauteuils à trous pour boissons collantes sont une plaie d’égypte.
Langlois collectionnait les confitures, Berri les tableaux. Du trocadéro à Bercy, impôt de confiture.

ST dit: à

« Vous êtes un benêt content de vous-même. Là où vous voyez un seul problème, n’importe lequel d’entre nous peut en voir plusieurs. Un stage découverte s’impose ! »

Un tel stage m’aurait vivement intéressé ! Hélas, je pars demain passer deux semaines à Capri chez des amis. Merci quand même, et bonne continuation aux travailleurs manuels – car des travailleurs de l’esprit, je n’en ai pas rencontré ici !

Widergänger dit: à

Un benêt inquiétant qui plus est ! Un cinglé de cette dimension, je ne crois pas qu’on en est encore eu sur la Rdl depuis 7 ans que j’officie ici. Un étron puant et glaireux.

Widergänger dit: à

C’est un rabin très socratique…

Paris brûle-t-il sur France3, oooouuuuaaaiiiiisss ! ça va me rappeler mes émotions de l’enfance, 1966, ah la belle époque !

Jacques Barozzi dit: à

« Un étron puant et glaireux. »

Quelle précision en 3D et en odorama dans l’art de l’autoportrait !

D. dit: à

Livre d’Ézéchiel 34,1-11.

La parole du Seigneur me fut adressée :
« Fils d’homme, parle en prophète contre les bergers d’Israël, parle en prophète pour leur dire ceci : Parole du Seigneur Dieu : Malheur aux bergers d’Israël qui sont bergers pour eux-mêmes ! N’est-ce pas pour les brebis qu’ils sont bergers ?
Au contraire ! vous buvez leur lait, vous vous êtes habillés avec leur laine, vous égorgez les brebis grasses, vous n’êtes pas bergers pour le troupeau.
Vous n’avez pas rendu des forces à la brebis chétive, soigné celle qui était faible, pansé celle qui était blessée. Vous n’avez pas ramené la brebis égarée, cherché celle qui était perdue. Mais vous les avez gouvernées avec violence et dureté.
Elles se sont dispersées, faute de berger, pour devenir la proie de toutes les bêtes sauvages.
Mon troupeau erre de tous côtés, sur les montagnes et sur les hautes collines ; mes brebis sont dispersées dans tout le pays, personne ne va les chercher, personne ne s’en occupe.
C’est pourquoi, bergers, écoutez la parole du Seigneur :
Aussi vrai que je suis vivant, déclare le Seigneur Dieu, puisque mon troupeau est mis au pillage et devient la proie des bêtes sauvages, faute de berger, parce que mes bergers ne s’occupent pas de mon troupeau, parce qu’ils sont bergers pour eux-mêmes au lieu de l’être pour mon troupeau,
eh bien, bergers, écoutez la parole du Seigneur :
Ainsi parle le Seigneur Dieu : J’interviens contre les bergers. Je leur reprendrai mon troupeau, je les empêcherai de le conduire, et ainsi ils ne seront plus mes bergers ; j’arracherai mes brebis de leur bouche et elles ne seront plus leur proie. – Parole du Seigneur Dieu –
Maintenant, j’irai moi-même à la recherche de mes brebis, et je veillerai sur elles.

kicking dit: à

le toutou à l’ego? faudrait tout de même arrêter de faire un nonosse éternel avec la tarte à la créme du narcissisme quand la mégalo par procuration s’est insinuée partout pour mieux planquer celles et ceux qui l’auront planifiée..

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…est ce qu’il y a dans la salle,…

…un consortium,…qui peut me parler ou m’expliquer,!…cette histoire, de petite ou grande cuillère,…
…des juifs d’Espagne,…ou d’ailleurs,…

…question de goûter & manger à tout les plats philosophique,…

…vous en parliez,…il y quelques mois,…et j’ai oublié le contexte explicatif,…de ces détails aux cuillères,!…

…merci,!…d’avance,!…

…est ce comme le gag,…du grain de blé, à doublé sur chaque case successive d’échiquier,…comme tribut à en détourner les règles simpliste-abusive,…ou autre chose,…

…vivre, d’une cuillerée à l’autre,!…etc,!…

Sergio dit: à

bérénice dit: 21 août 2014 à 18 h 30 min
Sergio je dois toujours fournir un ponctuel effort pour ne pas confondre Laval… et Deschanel, lequel des deux avait-il les pieds propres?

Deschanel on sait pas trop, mais comme il marchait sur les voies ferrées, il risquait fort d’avoir des cailloux dans ses brodequins. Laval faudrait voir à Châteldon, mais nous en Haute-Loire les travaux commencent pour l’eau courante. Et alors Vichy faut pas trop y compter c’était réservé pour les dactylos du Maréchal…

Bougrin Durbouge dit: à

HitchBot, le petit robot auto-stoppeur termine sa traversée du Canada (Le Point).

Les scientifiques envisagent maintenant de lancer sur les routes son successeur, iVan Ill Hitch Bot. Comme son grand frère, son nom indique bien ses caractéristiques et sa mission.

Bougrin Durbouge dit: à

Il sera malade dans les camionnettes qu’il empruntera.

Jacques Barozzi dit: à

Mais la terre entière est déjà peuplée de robot, Bougrin Durbouge !
Tenez, je vous remets un de mes petits contes :

« Les Homobiles

Les Homobiles n’ont pas de patronymes ni même de prénoms.
On les appelle par leur nom de marque ou de modèle, ce dernier n’étant parfois plus qu’un numéro.
Leur identification se fait grâce au code-barre tatoué sur l’intérieur du poignet gauche.
De la ceinture au sommet de l’occiput, ils sont hommes. En dessous, deux roues sur pneumatiques leur tiennent lieu de jambes. En place d’anus, ils arborent fièrement un court tuyau chromé d’échappement : ils se nourrissent d’un gaz explosif, qui les fait tout à la fois péter et avancer.
Les Homobiles n’ont pas de villes ni de maisons. Quand ils ne sillonnent pas inlassablement les routes, ils s’immobilisent sagement dans l’un des petits carrés individuels délimités sur les bas-côtés : certains préfèrent se regrouper sur de vastes parkings, tandis que d’autres, plus élitistes, s’isolent dans des box fermés.
Les Homobiles n’ont pas de sexe, au propre comme au figuré. Mais la façon dont ils se frottent frénétiquement le bout du tuyau, dos à dos, laisse à penser qu’ils ne sont pas dépourvus d’une certaine sexualité !
A ce jour, on s’interroge encore pour savoir si les Homobiles ont une conscience autonome ou s’ils sont simplement programmés ?
Bien que dotés de mémoire, les Homobiles ne rêvent jamais.
Quand on les interroge sur leurs origines, ils ne se souviennent pas d’avoir eu l’homme comme ancêtre. »

Sergio dit: à

Jacques Barozzi dit: 21 août 2014 à 23 h 07 min
petits contes :

Et l’émission de Jean Yanne ?

renato dit: à

Cynégétique de l’omnibus

Des diverses espèces de grands fauves et pachydermes non encore éteintes sur le territoire parisien, aucune, sans contredit, ne réserve plus d’émotions et de surprises au trappeur que celle de l’omnibus.
Des Compagnies se sont réservé le monopole de cette chasse ; à première vue l’on ne s’explique pas leur prospérité : la fourrure de l’omnibus est en effet sans valeur et sa chair n’est pas comestible.
Il existe un grand nombre de variétés d’omnibus, si on les distingue par la couleur ; mais ce ne sont là que des différences accidentelles, dues à l’habitat et à l’influence du milieu. Si le pelage du « Batignolles-Clichy-Odéon », par exemple, est d’une nuance qui rappelle celle de l’énorme rhinocéros blanc, le « borelé » de l’Afrique du Sud, il n’en faut chercher d’autre cause que les migrations périodiques de l’animal. Ce phénomène de mimétisme n’est pas plus anormal que celui qui se manifeste chez les quadrupèdes des régions polaires.
Nous proposerons une division plus scientifique, en deux variétés dont la permanence est bien reconnue : 1° celle qui dissimule ses traces ; 2° celle qui laisse une piste apparente. Les foulées de cette dernière sont extraordinairement rapprochées, comme produites par une reptation, et semblables, à s’y méprendre, à l’ornière creusée par le passage d’une roue. Les naturalistes discutent encore pour savoir si la première variété est la plus ancienne, ou si elle est seulement retournée à une existence plus sauvage. Il est indiscutable, quoi qu’il en soit, que la seconde variété est la plus stupide, puisqu’elle ignore l’art de dissimuler sa piste ; mais – et ceci expliquerait qu’elle ne soit point encore toute exterminée – elle est, selon toute apparence, plus féroce, à en juger par son cri qui fait fuir les hommes, sur son passage, en une tumultueuse panique, et qui n’est comparable qu’à celui du canard ou de l’ornithorynque.
Vu la grande facilité de découvrir la piste de l’animal, facilité décuplée par sa curieuse habitude de repasser exactement sur la même voie dans ses migrations périodiques, l’espèce humaine s’est ingéniée à le faire périr dans des trappes pratiquées sur son parcours. Avec un instinct surprenant, la lourde masse, arrivée au point dangereux, a toujours fait demi-tour sur elle-même, rebroussant chemin et prenant grand soin, cette fois, de brouiller sa piste en la faisant coïncider avec ses précédentes foulées.
On a essayé d’autres systèmes de pièges, sortes de huttes disposées, à intervalles réguliers, le long de la voie et assez pareilles à celles qui servent pour la chasse au marais. Des bandes de gaillards résolus s’y embusquent et guettent le passage de l’animal : le plus souvent celui-ci les évente et s’enfuit, non sans donner des signes de fureur par un frottement de sa peau postérieure, bleue comme celle de certains singes et phosphorescente la nuit ; cette grimace figure assez bien, en rides blanches, le graphique du mot français : « complet ».
Quelques spécimens de l’espèce se sont toutefois laissé domestiquer : ils obéissent avec une suffisante docilité à leur cornac, qui les fait avancer ou s’arrêter, en les tirant par la queue Cet appendice diffère peu de celui de l’éléphant. La Société protectrice des animaux a obtenu – de même qu’on supporte la queue adipeuse de certains moutons du Thibet sur un petit chariot – que celle de l’omnibus fût protégée par une poignée en bois.
Cette mesure de douceur est assez inconsidérée, car les individus sauvages dévorent les hommes, qu’ils attirent en les fascinant à la façon du serpent. Par suite d’une adaptation compliquée de leur appareil digestif, ils excrètent leurs victimes encore vivantes, après avoir assimilé les parcelles de cuivre qu’ils en ont pu extraire. Ce qui prouve qu’il y a bien digestion, c’est que l’absorption du numéraire à la surface – l’épiderme dorsal – est moindre exactement de moitié que l’assimilation à l’intérieur.
Il convient peut-être de rapprocher de ce phénomène l’espèce de joyeuse pétarade, au son métallique, qui précède invariablement leur repas.
Quelques-uns vivent dans un commensalisme étrange avec le cheval, qui semble être pour eux un dangereux parasite : sa présence est en effet caractérisée par une déperdition rapide des forces locomotrices, remarquables au contraire chez les individus sains.
On ne sait rien de leurs amours sinon qu’à l’instar de certaines plantes dont le pollen est transporté de l’une à l’autre par les insectes qui ont pénétré dans l’intérieur, ils se reproduisent par correspondance.
La loi française paraît considérer ces grands fauves comme nuisibles, car elle ne suspend leur chasse par aucun intervalle de prohibition.

Alfred Jarry

D. dit: à

C’est nullisime, ça plait à renato. Tout va bien.

Jacques Barozzi dit: à

Il y a des correspondances mais je n’ai jamais lu Jarry, renato…

Court, Verbatim dit: à

 » Les bretons, c’est tous des cons »
Forte pensée de votre frère cadet, ML.
Depuis, c’est vrai, nous avons eu l’ainé. Lequel, selon ses propres termes, « officie ».un Grand Pretre, quoi.
Je ne sais pourquoi, je pense à votre père,
« Noble et brillant auteur d’une triste famille. »
Que voulez-vous, en Bretagne nous ne sommes pas enclins au roman familial, nous ne nous payons pas d’un d’Hozier de friperie comme celui qui trone sans aucune expertise critique sur votre blog, et nous ne nous annexons pas un malheureux chateau périgourdin qui, que je sache, est toujours un château-hotel, donc accessible à qui paie.
Il y a un certain réalisme en Bretagne. Et quelquefois, en face de certains délires, c’est bien agréable…
Bonne soirée.
MC

Jacques Barozzi dit: à

C’est toujours très beau les histoires de bergers et de troupeaux perdus, D., le Dieu pasteur, ici, c’est vous ?

abdelkader dit: à

Roth avec Zweig, Zweig avec Roth , (who gives a shit ?), Alba sans ses gants de boxe et qui s’auto-excite au lit…Attali avec une plume d’autruche dans le derrière, le garde-champêtre en belle du bal, le bougre en garde-barrière fondamentaliste…la Rdl au mois d’Aout, en fait…

Widergänger dit: à

Je ne résiste pas au plaisir de vous faire découvrir la fin sublime du chapitre 5 ; Roth a été invité par Zweig à Ostende après bien des drames ; Zweig l’accueille à l’arrivée du train qui l’amène d’Amsterdam :

_______________
C’est avec peine qu’il descend du train et c’est ici le terminus. Zweig attend sur le quai, a déjà tout arrangé, porteur, hôtel, le trajet pour s’y rendre. Les retrouvailles entre les deux amis ici au bord de la mer sont d’abord un peu gênées, guindées, hésitantes de part et d’autre. Les lettres ont été longtemps leur seul moyen d’échange, Roth ne s’est pas gêné pour adresser bien des reproches qui n’étaient pas toujours très tendres à son vieil ami, de nombreuses déclarations d’amour, plus d’une exagérées, plus d’une sincères. Zweig s’est renié, a éludé les rencontres, inquiet, méfiant, soucieux de sa propre tranquillité d’esprit. Dans leur lettres, ils ont trouvé un équilibre affectueux et combatif entre l’amitié, l’envie, l’admiration, la dépendance, l’amour, le donneur de leçon et la jalousie. Le désespoir de Roth a atteint là-bas, seul à Amsterdam, implorant un visa pour la Belgique, un nouveau stade.

Ils se serrent la main, « Monsieur Zweig », « Monsieur Roth ! Enfin. Cordiale bienvenue au bord de la mer ! ». Et puis tout reprend son cours ordinaire. Roth commence à se détendre. Un homme, un ami qui règle le monde autour de lui, son homme de main pour s’emparer de la lumière du soleil, dissiper les brumes de la déraison, mener une vie bonne et une belle vie. Comme il aime se reposer sur lui en cet été. Comme son pas redevient tout de suite plus assuré. Et comme Zweig est heureux de son côté lui aussi à présent qu’il sent le bonheur aussitôt se répandre chez son hôte. Comme il se réjouit de sa supériorité. Oui, lui aussi se sent alors à nouveau à la hauteur de cette vie en voyant son ami hésitant marcher à ses côtés le long des rues étroites. Ils sont comme faits l’un pour l’autre. Deux êtres d’exception précipités dans le vide qui, l’espace d’un moment, se tiennent l’un à côté de l’autre dans une halte précaire.
(V. Weidermann)

Passant de minuit dit: à

A mi-chemin entre le charabia et le style Oui-Oui, sublime en effet. Allez, Widergänger, au lit!

Bloom dit: à

S’il est un seul livre de cette ‘rentrée littéraire’ que je lirai dans mes nouveaux lointains, ce sera “Viva”, le dernier récit de Patrick Deville. Enfin un vrai écrivain, qui bâtit une oeuvre où se télescopent temps & espace aux dimensions de la planète et de l’histoire, qui écrit sur les autres, qui s’intéresse à la vie des hommes illustres comme à celle des obscurs, à Stanley comme au patron d’un rade miteux de Libreville. Le tout dans un style qui rappelle parfois les fulgurances du Cenrdas de L’Or, style nerveux, dépourvu des affectations et des préciosités qui masquent vide du propos chez ces écrivaillons dont les tronches retravaillées sur photoshop s’étalent dans les magazines spécialisés, comme autant de produits d’un système de la pose dont la superficialité est la marque de fabrique.
Avec Patrick Deville, c’est l’infini chatoiement du monde dans sa crudité fondamentale qui se raconte, par l’entremise d’une conscience et d’une sensibilité à la fois singulières et universelles. En plus, ce Monsieur Deville est un homme de culture, mais d’une culture qu’il ‘porté légèrement’, comme dit l’anglais. Pudique.
Et comme il y est question de Lowry et de Trotski au Mexique, “Viva” est un must intégral.
En ces temps de présentisme imbécile, la citation de Walter Benjamin en exergue est un salutaire (r)appel à la responsabilité collective et individuelle.
“Il existe un rendez-vous tacite entre les générations passées et la nôtre”.
Viva vivra.

ZunZun dit: à

@ 22H57
Pas besoin d’appartenir à une institution universitaire, vous pouvez aussi faire l’experience avec les moyens du bord : vous laissez un baladeur MP3 au bord de la route avec un petit message  » déposez moi au prochain stop  » scotché dessus et quelques centaines d’heures de bulletins meteo pour la conversation.

Royauté polonaise dit: à

Jacques Barozzi dit: 21 août 2014 à 23 h 54 min
Il y a des correspondances mais je n’ai jamais lu Jarry

Pauvre homme, et il veut faire littérature.

B comme BERLIN dit: à

Shit de merdre,
Y aurait-il moyen de se marrer ce soir ??? ?? ?.

B comme BERLIN dit: à

Jarry,
c’est pas le mec qui à découpé sa propre tête peinte par le Douanier ?.
Ce même mec que Rousseau logeât pendant plus de trente jours dans le galetas qui lui servait d’atelier ?
Ce mec, encore, qui avec un révolver tirait parfois sur tout ce qui bougeait sur l’eau en descendant les quais de la Seine en sortant du « Bateau Lavoir » ?. (On savait s’amuser à l’époque).
Et ce mec, enfin, qui nous enchante toujours avec UBU ?.

B comme BERLIN dit: à

 » Un Barozzi reste toujours un Barozzi… »,

je reconnais que même sur ce « Bolg & !-! », le Barozzi reste un Barozzi.

B comme BERLIN dit: à

« Phil dit: 21 août 2014 à 20 h 00 min
malgré son accès labyrinthique aux salles manière porno de quartier »,

Tue Dieu, vous devez être vraiment vieuque !.
Y’a longtemps que cela n’existe plus.
Pourquoi allez payer pour voir un film de boules alors que même les journaux dit sérieux vous les refile gratos?.

Non, le Midi-Minuit n’existe plus.
Il en reste un petit, dans une rue perpendiculaire au REX, une à deux encablures vers l’est à faire, pas un monde !.
Demandez le programme, certains jours c’est réservé aux couples…

Salutation, et n’oubliez pas le viagra ou autre.

B comme BERLIN dit: à

Bloom dit: 22 août 2014 à 0 h 45 min
“Il existe un rendez-vous tacite entre les générations passées et la nôtre”.

Très bien,
y’a pas à dire, j’aime…
C’est beau comme de l’Attique.

La mort peut-être !!! !! !.

B comme BERLIN dit: à

Allez,
« Nonne notte ».

JC..... dit: à

Les media nous font croire de façon éhontée qu’un « Britannique » vient de décapiter un otage en Syrie, journaliste américain.

Ne revenons pas sur le drame qu’a représenté pour les Anglais la perte de leurs colonies nord-américaines et l’œil critique, amusé, qu’ils portent depuis l’Independance, sur l’american way of life….

Quel drôle de « Britannique », ce tueur au coutelas !!!

Il a probablement les papiers prouvant sa nationalité anglaise, mais il lui manque l’identité britannique. Oxford. Eton. Cambridge. On voit bien qu’en présence d’un otage, il ne discute pas : il égorge et décapite au nom d’Allah le miséricordieux, ce qu’un britannique véritable ne ferait pas sans offrir au préalable une tasse de son meilleur thé.

Conclusion, nous devons passer, nous autres démocraties occidentales irréprochables, à la notion « d’Identité Variable ».

Faisons passer à TOUS les titulaires d’une nationalité donnée, un test de QI, Quotient d’Identité, et délivrons en fonction des résultats, une « Carte d’Identité Variable ».

Prenons un Italien, faisons le chanter. Il chante faux ? Il perd des points. Il va à la messe ? Il en gagne. Il a des copains siciliens ? On précise si ce sont des humanistes ou non… Bunga bunga ? on l’acclame.

Cela permettra d’oublier le look, le faciès, la couleur de peau, l’habillement, des critères identitaires primitifs et idiots, à l’heure du numérique ! Le voile, un niqab, et vous perdez 50% de nationalité … et les allocations. Pour la barbe, on étudiera, comme en Corée DémoPop, la taille, la coupe, la longueur … sinon pas de chômdu !

Ainsi, on approcherait mieux le réel : notre « Britannique » serait catalogué 0% anglais, 100% terroriste, et on le retirerait administrativement de cette noble communauté insulaire, qu’il dégrade par ses actes….

Clairement, nous ne pouvons continuer à traiter des étrangers comme nos compatriotes, au simple vu d’un papier jauni… Mettons en œuvre ce que la science met à notre disposition : la gestion informatisée de l’Individu.

A qui la faute ?

kicking dit: à

le niveau meetic de la sous-préfecture globale ne manque pas d’air mais retient son souffle pour mieux communier avec son vide, fort mieux, ceci posé, beaucoup moins que 7 différences avec une vieille soviet à trouver alors autant chercher les différrents..

bérénice dit: à

Tout de même ce Léon avait un sacré gros nez, une sorte de partie visible de l’iceberg, preuves au fil de plomb littéraire.

Bloom dit: à

La mort peut-être !!! !! !.

D’évidence.
Mais c’est d’autre chose dont il est question. Walter Benjamin a lu Baudelaire. Baudelaire qui disait que les morts ont des droits sur les vivants. Que les vivants sont en quelque sorte les tombeaux de leurs morts…

bérénice dit: à

Les vivants des tombeaux… Des morts en sursis qui transmettent parce que les machines n’ont pas encore trouvé à se programmer seules et pour qui d’autre que l’homme. A quoi bon remplir l’archive si elle ne rassemblait plus en rien qui ressemble à un héritage positif et à un enseignement bénéfique? Mais où situer le bien dans ce monde qui ne court plus sans espoir de réparation vers un irréversible qu’on espère loin loin devant différé sans y penser plus qu’à ces pauvres gens qui meurent maltraités dans d’atroces souffrances morales et physiques, oubliés dans un désert quand d’autres batifolent dans les bulles ou végètent dans des trous insalubres.

david dit: à

les bretons sont les francais les plus gentils attachants ,tetus mais sympatiques ,pas racistes ouverts aux autres,la mer dans les yeux et le coeur sur la main je garde beaucoup d’amis en bretagne

carlalala dit: à

« ce Léon avait un sacré gros nez,  »

les opérations n’étaient pas encore au point à l’époque

cesco perliolio dit: à

pauvre jc, pauvre con, quel boulet, voudrait être lu, et, ce, dès le matin. prions. C’est triste

élève à boucros dit: à

« Baudelaire qui disait que les morts ont des droits sur les vivants. Que les vivants sont en quelque sorte les tombeaux de leurs morts… »

il manquait de magnésium

JC..... dit: à

Bonne nouvelle de Ferguson !

Défendus par le KKK, les policiers blancs pourront tirer les p’tits nègres comme sur lapins en clapier …

Rien de nouveau sous le soleil.

JC..... dit: à

cesco perliolio dit: 22 août 2014 à 8 h 39 min

Euh ?! et à part ça ? ça va la santé ? cette mauvaise déprime ?… Ah ! le psy a renoncé …!

dans une halte précaire. dit: à

Pas grand chose à se mettre sous la dent dans les commentaires!
A samedi, donc.

JC..... dit: à

Il faut avouer que Passou nous a pondu un billet sur l’improbable intérêt de ces variations « A qui la faute ? » …

On fait ce qu’on peut, avec ce qu’on a comme matériau.

bouguereau dit: à

“Il existe un rendez-vous tacite entre les générations passées et la nôtre”

le banquet d’odin kabloom…quelquefois walt fait dans le précieux..

bouguereau dit: à

les david..tous des con

JC..... dit: à

Sofia Tolstoï, vous lui coupez les cheveux bien court, vous la déshabillez (en fermant les yeux pour ne pas être tenté…uhuhu !), vous lui passez une redingote noire, pantalon noir, chemise à plastron, cravate noire, gros cigare … et vous venez d’en faire un homme à sale gueule, face lourde, déterminée, bref un Maître de Forges, Président de son CA familial !

Je comprend la fuite de Léon, avec un patron d’industrie pareil, faisant la tronche dans son pucier… Beurq !

bouguereau dit: à

il manquait de magnésium

..diagnostic bien posé..baudler avec du magnésium c’est comme vangogh avec une bonne paire de lunettes, zauraient fait de bons clercs de notaire

bouguereau dit: à

avec un patron d’industrie pareil

son oeil à l’objectif, sa main à l’oreille c’est un geste à walt à kabloom et à toute les générations futures: « matez moi ces poils qu’il a dedans »

renato dit: à

Comme Matisse…

Deneb dit: à

Widergänger dit: 22 août 2014 à 0 h 23 min

Excellent.

Deneb dit: à

affectations et des préciosités qui masquent vide du propos chez ces écrivaillons

genre Clopine ?

Jacques Barozzi dit: à

« A qui la faute ? »

à Passou qui, si ma mémoire est bonne, nous avait déjà servi ce billet il y a quelques mois, voire quelques années sur le procès verbal de la vie conjugale des Tolstoï ? Impression de déjà lu. Que ne doit-il pas faire avant l’avalanche des livres de la rentrée !

Jacques Barozzi dit: à

ça coule bien, ML, on dirait la rencontre de Bouvard et Pécuchet.
Juste une petite variation pour éviter la répétition de l’un et l’autre ?

« Ils sont comme faits l’un pour l’autre. Deux êtres d’exception précipités dans le vide qui, l’espace d’un moment, se tiennent l’un à côté de l’autre (côte à côte ?) dans une halte précaire. »

Jacques Barozzi dit: à

Pourquoi ne pas tondre, raser et déshabiller le mari, JC, aucun risque de céder à la tentation en le voyant tout nu ?!

Il n'est décidément bon à rien dit: à

Widergänger dit: 22 août 2014 à 0 h 23 min

Truffé de fautes de français, d’erreurs de syntaxe et de maladresses, si l’on se donne la peine de lire sérieusement. poubelle !

Jacques Barozzi dit: à

« Truffé de fautes de français, d’erreurs de syntaxe et de maladresses »

Par exemple (s) ?

Il n'est décidément bon à rien dit: à

La construction syntaxique de la plupart des phrases est incorrecte, la ponctuation idem. Plusieurs fautes de genre. Des impropriétés (ma préférence va peut-être à : « des retrouvailles « guindées »). Les premières tentatives étaient plus désastreuses encore. Merci en tout cas pour la rigolade.

Phil dit: à

la sonate à kreutzer, une vieille rengaine à passou ? tsss…

Deneb dit: à

Juste une petite variation pour éviter la répétition de l’un et l’autre ?

Vous n’avez rien compris, Jacques. C’est fait exprès, comme dans une musique. Je me demande parfois si vous êtes sensible à la musicalité d’un texte. Et puis si ça se trouve vous ne savez même pas ce que c’est.

Jacques Barozzi dit: à

Le roman de Cécile Duflot, « De l’intérieur, voyage au pays de la désillusion » (Fayard, en librairies le 25 août) est-il un livre de la rentrée ?
En tout cas, une ultime variation sur « à qui la faute » !

Deneb dit: à

Par contre j’aurais mis : à la place de la virgule derrière arrangé. C’est le seul petit truc qui cloche. Et qui après tout est davantage de la responsabilité du correcteur que de l’écrivain (qui à mon avis a de l’avenir).

Jacques Barozzi dit: à

« Je me demande parfois si vous êtes sensible à la musicalité d’un texte. »

Justement, DeneD, à moins que l’on nous rejoue ici le Bolero de Ravel revu et corrigé par Lelouch ?

JC..... dit: à

Léon a la gueule de l’emploi : un méchant papelardier, gros dégueulasse et grognon. Cependant, comme disent les américains :

« A dirty old man is just a sexually active senior Citizen »

Sirius dit: à

Bloom, votre plaidoyer pour Deville donne envie…est-ce-que Passou a jamais écrit sur lui?

WG, je dois à Roth l’une des plus belles scènes de roman jamais lues…dans la Marche de Radetzky, le moment où Trotta présente ses condoléances au mari de son ancienne maîtresse et reçoit un paquet de lettres…je n’en dis pas plus. Simple, beau, poignant…Je crois que Zweig est loin d’atteindre ce niveau où que ce soit. Roth est un très grand de l’Europe danubienne né avant 1914, avec Sandor Marai…

Ce qu'il ne faut pas lire dit: à

Tiens, Widergänger signe Deneb! Sacré Widergänger. Pauvre homme.

bouguereau dit: à

la sonate à kreutzer, une vieille rengaine à passou ?

lettre à kreutzère..c’est magnifique

bouguereau dit: à

Je crois que Zweig est loin d’atteindre ce niveau où que ce soit.

naturliche..

bouguereau dit: à

ça coule bien, ML, on dirait la rencontre de Bouvard et Pécuchet.

pas mal ..pour moi on dirait plutôt les dupont(d) à ostende..surtout dans ce stacato un peu pathétique à éteindre tout l’univers autour pour donner un peu de corps au couple..

radio keupu dit: à

naturliche… naturlèche, vieux débris de bouguereau déjà atteint comme dirait JC

JC..... dit: à

Sirius dit: 22 août 2014 à 10 h 52 min

Exact !
Splendide ce passage…

bouguereau dit: à

roth est un marrant..un sens de la cocasserie que zweig n’a jamais

Phil dit: à

à quelle heure Roth est-il arrivé à Ostende ? quel train a-t-il pris ?

bouguereau dit: à

david au micro de radio raclure

Jacques Barozzi dit: à

« les dupont(d) à ostende.. »

Ou Laurel et Hardi, après une scène de ménage !

bouguereau dit: à

Laurel et Hardi sont quand même des néoprolo baroz..tu les vois dire qu’il existe plus que des myons de russes analphabète?..les duponts écoutant radio londre ? pas sûr

JC..... dit: à

Les Dupont(d) écoutent radio keupu, la radio des velu(e)s …

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…je n’écrit rien c’est trop con,!…en ce moment,!…
…mijotés ensemble,!…vos turpitudes aux Zweig -Roth,!…& goudron littéraire-juif-nazi,!…
…l’union fait la force,…pour abrutis des vessies,!…
…je n’écrit rien,…c’est trop  » con « ,…vos propos d’intello’s à deux balles,!…sur toile,!…etc,!…
…envoyez,!…aux snops’,!

ici Londres dit: à

radio londres ne lit pas les commentaires de vieux débris énoncés par david comme dirait JC

dans les kyats dit: à

les dupont(d)s à ostende c’est une idée, je les vois toutafé marcher jusqu’à plus dans la mer, en maillot de laine vierge à petites rayures, et se prendre les pieds dans le varech.

zweig&roth dans une gargote à moules sous le portrait d’un habsbourg à rouflaquettes

Jacques Barozzi dit: à

En fait c’est JC accueillant ueda à l’embarcadère de Porquerolles !

Jacques Barozzi dit: à

La suite, ML !
On attend le moment où ueda monte en amazone à l’arrière du scooter rose !

JC..... dit: à

Barozzi,
Les personnalités sont embarquées par nos soins depuis le port d’Hyères, on ne leur inflige pas la navette à ploucs, ici nommée : « le promène-couillons » !

dans les oyats dit: à

au risque de me faire traiter de connard, je verrais bien roth se moucher dans la serviette et zweig regarder le lustre en cuivre consterné.

dans les oyats dit: à

in n’y a aucun décors dans cet extrait c’est très plat aucune ambiance, on est contents pour eux qu’ils se soient rencontrés et alors ?

JC..... dit: à

Jacky, tu comprends que des voyous malfaisants dans ton genre, langues de vipères lubriques, infects cannois… on les laisse venir à la nage, et on les achève au harpon sur le quai d’accueil, à la Melville.

La violence appelle la violence …

bouguereau dit: à

je pensais qu’un promène couillon était tout bateau de plaisance sans voile..c’est comme ça qu’ils disent en bretagne

bouguereau dit: à

on les achève au harpon sur le quai d’accueil

y’a un fanion vilkomen?

bouguereau dit: à

zweig&roth dans une gargote à moules sous le portrait d’un habsbourg à rouflaquettes

dracul aurait une chance de racheter la maison du jardinier du chateau de ses ancêtres..il pourrait inviter clopine a un striptease scrabble quelle vient dinventer dans son dernier opus de « la truffe et le groin »..mais voilà..l’orgueil et la prétention ruine ce monde

dans les oyats dit: à

y pas de promène couillon à ostende, y la malle ostende /douvre. Un truc qui te fait monter la vague dedans, un pont rouillé, un captain tout rouge comme un rostbeef et des kilomètres de moquette moisie. même plus un piano. Tu peux à peine te verser un verre de genièvre tout tremblote ..

Phil dit: à

oui, mais en 36, c’était autre chose !

dans les oyats dit: à

je vois bien la scène : cuisine & dépendance, dracul en peignoir à carreaux une plume à la main, clopine en après – skis exigeant une virée shopping à Andorre, nous vivons au milieu des connards, vivement un peu de luxe.

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