de Pierre Assouline

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La République des livres
Rage de Riboulet

Rage de Riboulet

Ce n’est pas l’écrivain sur lequel la rentrée littéraire braque ses feux et c’est regrettable car Mathieu Riboulet en est l’une des voix les plus originales et les plus puissantes. Pas une surprise pour ceux qui le suivent depuis Un sentiment océanique (1996), l’ont retrouvé dans Deux larmes dans un peu d’eau (2006) ou les caravagesques Oeuvres de miséricorde (2012) et l’ont tout récemment reconnu dans le bref mais percutant livre à deux mains (ou quatre selon qu’on écrit à la plume ou au clavier) qu’il a signé avec l’historien Patrick Boucheron, fruit de leur conversation épistolaire sur les évènements de janvier dernier à Paris Prendre dates (2015). Maurice Nadeau l’avait découvert, J.B. Pontalis l’avait confirmé et c’est depuis autour du bureau d’esprit de Verdier qu’il se retrouve.

On se souvient peut-être que dans l’excipit de Peau d’ours, Henri Calet demandait à ce qu’on ne le secoue pas car il était plein de larmes, lui autant que son livre. Celui de Mathieu Riboulet, Entre les deux il n’y a rien (140 pages, 14 euros, Verdier) exige au contraire d’être secoué car il est plein de rage. Il y noue deux « naissances » dans les années 70/80 : la sienne, très jeune, à l’homosexualité ; et celle, concomitante via un amant italien, à la conscience politique à l’extrême-gauche, dans la mouvance des Brigades rouges, de la Fraction armée rouge, d’Action directe et des Autonomes. Son désir d’évènements et son désir d’hommes étaient étroitement liés. Ce qui n’allait pas de soi lorsqu’on se souvient qu’à l’époque, les mouvements d’extrême-gauche n’étaient pas vraiment gay friendly, comme on ne disait pas encore, malgré une poignée de folles par la suite chez les autonomes. Mettre son cul au service du peuple n’entrait pas dans les codes en vigueur.

La chronologie réelle y est découpée comme une fiction. Les événements pour lui, ce sont l’assassinat de Pierre Overney, la prise d’otages aux Jeux Olympiques de Munich, la mort de Pasolini sur une plage d’Ostie etc, mais un etc plein d’exécutions, d’assassinats, d’attentats, de braquages, jusqu’à la guerre de Bosnie. C’est à partir de 1976, à l’âge de 16 ans donc, que l’auteur entre dans « le grand jeu du cul et de la politique » en pleine conscience que sa préférence lui permet, pour le meilleur et pour le pire, le pas de côté, une vision décalée, le réflexe de jouer de profil et de ne jamais rester de face.

 « Conscience sexuelle et conscience politique c’est tout un, être pédé ça vous déclasse en un rien de temps »selfie

Il s’agit d’organiser un peu de pensée autour d’un ordre du monde malgré l’ombre portée des morts. La violence parcourt cette histoire de regard, de désir et d’écriture. Une pure question de domination à l’échelle européenne, dans l’héritage de tout ce que le vieux continent a pu produire comme saloperies au XXème siècle :

 « Auschwitz et son silence herbeux, sa désolation sèche, est un grand manque humain au revers de l’Europe, qu’on lui tourne le dos ou qu’on lui fasse face ».

C’est justement ce qui fait le prix de ce livre : son écriture est française, et son hommage à la langue à son meilleur est remarquable, mais il n’est pas franco-français car « quel que soit le fil que l’on tire, toute la pelote européenne vient ». Pas étonnant que Riboulet soit publié par l’éditeur des Penchants criminels de l’Europe démocratique de Jean-Claude Milner. On y entend l’écho de ses reproches et de son réquisitoire. A le lire, on comprend qu’il fait corps avec les morts car tout corps est historique.

Lui et les siens ayant renoncé à intimider l’Etat à partir de 1978 se retrouvent peu après affronter un ennemi autrement plus implacable qui tient dans l’acronyme Sida. Mais dans ce récit qui noue en permanence la politique et la mort, l’obscénité n’est pas dans l’exhibition du corps ni dans sa formulation, mais bien dans la manière dont parfois la société étale l’immontrable, ou traite les gens comme des chiens. C’est d’ailleurs le mot qui revient le plus souvent : « chien ». Sous la plume de Riboulet, les morts le sont comme des chiens.

L’écriture est d’une puissance, d’une tenue, d’une exigence rares (lire ici un extrait). Ce n’est pas un roman, et même un anti-roman bourgeois dans la forme particulière creusée par Riboulet de livre en livre et mêlant le récit de formation au plus vif de la peau, le témoignage, l’essai mais c’est tellement plus littéraire que bien des romans de la rentrée qu’on s’en voudrait de passer à côté. Une telle rage à égrener les noms des morts des années de plomb !

Reste plus in fine qu’à méditer à rebours le mot de Saint-Just placé en épigraphe : « Ceux qui survivent aux pires crimes sont condamnés à les réparer ». Que sont devenus les survivants des luttes politiques de cette époque-là sinon des fantômes échappés de « cette tragédie antique » que fut l’affaire Aldo Moro.  Et en France des fantômes à l’ironie ricanante prêts à renoncer à leur idéal d’autrefois en tournant en dérision leurs engagements passés. Rien de très glorieux. Avec toujours en filigrane, ce point d’interrogation à la fin d’une question rebattue, notamment par Olivier Rolin, dans Tigres en papier : pourquoi, contrairement aux Italiens et aux Allemands, les gauchistes français n’ont pas basculé dans le lourd et les choses sérieuses : terrorisme, clandestinité, lutte armée ? Le fait est que, malgré Action directe, il n’y a pas eu en France de prix à payer pour l’état d’urgence. A un moment précis, un léger détour a été opéré qui a évité de prendre ce chemin-là. Le cerveau a eu raison de la poudre hormonale. Pas si sûr que ca n’ait tenu qu’à un fil. Car il en convient, ces années ne furent au fond qu’un peu de poudre dissipée par le vent.

(P.S. A lire également six brefs blasons en prose du même auteur qui viennent de paraître sous le titre Lisières du corps (75 pages, 11,50 euros, Verdier) et le dossier que la revue littéraire québécoise Contre-Jour (Numéro 35, hiver 2015) lui consacre sous le titre « Mathieu Triboulet, le déhanchement et la grâce »)

(« Pasolini pendant le tournage de l’Evangile selon saint Matthieu » photo D.R ; « Selfie à Auschwitz ou l’obscénité » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 050 Réponses pour Rage de Riboulet

rose dit: à

J’en se qu’un jour on a eu en photo le hall d’entrée avec l’escalier qui montait et une statue de marbre blanc, une femme, au rez de chaussée. J’ai encore cette illustration de la tête. Avec un damier noir et blanc comme carreaux au sol.

rose dit: à

Je pense

D’accord pour cesser mais jaser pourquoi ?

D. dit: à

La plaine Monceau, c’est largement surfait.

le crémier à jc dit: à

rose dit: 11 septembre 2015 à 17 h 29 min
c’est la mère raclée

C’est le clone à la chèvre de pq

Sergio dit: à

Phil dit: 11 septembre 2015 à 17 h 09 min
faites interdire l’aérodrome derrière votre château,

C’est pas Bergerac ? I va avoir les paras* sur le dos ! Des fois c’est pas facile de s’en débarrasser…

* civils, bien sûr, mais a priori c’est le plus gros centre en France ; enfin c’était pour le Witz…

la vie dans les bois dit: à

Vous voyez que Barozzi cultive des courges.

la vie dans les bois dit: à

Dans le parc Monceau, on a toutes les chances de voir des fantômes. Tu crois qu’ils sont là; il y en a un, c’est sûr, il dit être absent. C’est à ça qu’on le reconnait.

coup de froid dit: à

merci Passou d’avoir effacé l’insanité de JC sur Sartre

Bloom dit: à

On trouve sur ce blog le compost d’une certaine France qui pue tellement qu’on en sent les effluves méphitiques au-delà des frontières. Islamophobes, racistes, homophobes, confits dans leur étroitesse fascistoïde, leur beauferie à front national bas. Comme certains vieux arbres, ils sont tellement pourris de l’intérieur qu’ils vont s’effondrer sur eux-mêmes et ne laisser qu’un tas de tissus décomposés sur lequel viendront se soulager les bêtes sauvages.

Le vieux garçon qu'on appelait monsieur dit: à

culpabiliser non…

Alors celle-là venant d’un barozzi, j’en voudrais pas !

Continuez à laisser les femmes homophobes vivre planquées grâce aux clichés et cinoche dont vous êtes l’un des plus rampants soldats !

Zoon dit: à

On trouve sur ce blog le compost d’une certaine France qui pue tellement qu’on en sent les effluves méphitiques au-delà des frontières. Islamophobes, racistes, homophobes, confits dans leur étroitesse fascistoïde, leur beauferie à front national bas. Comme certains vieux arbres, ils sont tellement pourris de l’intérieur qu’ils vont s’effondrer sur eux-mêmes et ne laisser qu’un tas de tissus décomposés sur lequel viendront se soulager les bêtes sauvages. (Bloom)

Je ne savais pas que Bloom maîtrisait à ce point l’art de l’autoportrait.

Zoon dit: à

» Homo sum et nihil humanum a me alienum puto »
Traduction officielle Budée :

Je suis pédé et rien de ce qui est humain ne demeure étranger à mon statut de p… (Widergänger)

J’avais proposé deux traductions que la modération m’a sucrées. Injustice! favoritisme !

Je propose :

 » Homo, en somme : ni « il » ni « elle ». Amen. — Aliéné ? Pute ? — Oh !

Le vieux garçon qu'on appelait monsieur dit: à

Non mais le pauvre barozzi qui ne voit pas ceux qui l’insultent… on va pleurer…

Zoon dit: à

être pédé ça vous déclasse en un rien de temps »

Voire… Entre frères, on se tient les coudes. D’ailleurs cela dépend de qui classe . Par ailleurs, chacun de nous pourrait citer quelques pédés de classe, très bien classés et même premiers de la classe. La question du pédé déclassé est au fond une question très complexe. A potasser fortement; à méditer.

coup de froid dit: à

Je ne savais pas que Zoon maniait aussi bien l’ignominie

Zoon dit: à

« Ceux qui survivent aux pires crimes sont condamnés à les réparer »

Penses-tu.

coup de froid dit: à

la fiotte suprême : JC !

Ueda dit: à

Zoon dit: 11 septembre 2015 à 19 h 02 min
Voire… Entre frères, on se tient les couilles.

Ça…
En loge, Grand Orient ou ailleurs, il s’en passe des choses sous le tablier.

Sergio dit: à

Le vieux garçon qu’on appelait monsieur dit: 11 septembre 2015 à 19 h 01 min
ne voit pas ceux qui l’insultent…

Il a raison ! C’est comme dans les Passagers du vent : « Et si ça me plaît, à moi, d’emprunter une allée bordée de sourires ? »

C’était une belle réplique, nichteware ?

Sergio dit: à

Zoon dit: 11 septembre 2015 à 19 h 02 min
Entre frères, on se tient les coudes.

Au début je comprenais pas pourquoi Swann confiait Odette à Charlus pour qu’il la surveille, justement… Je me disais que c’était comme dans Vieille canaille il allait l’embrasser dans les coins !

la vie dans les bois dit: à

Elle est superbe cette allée, Sergio, ça me botte bien.

la vie dans les bois dit: à

Barozzi à 17h13, traque les Juifs jusque et y compris dans les grands magasins. J’invente rien: il l’écrit de lui-même. Aidé- encouragé ?- en cela par la prof de Manosque qui nous a donné ici même, billet Angot ?, le summum de ce qui peut être fait dans la pu. tasserie. je m’excuse de la faiblesse de mon dico, en la matière.

Dommage qu’un ancien intervenant de la RDL ne soit pas là pour lui conter son histoire familiale.

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 11 septembre 2015 à 19 h 17 min
Elle est superbe cette allée

C’est Isa qui la prononce, elle a pris un chapeau gigantesque dans ce qu’on appellerait aujourd’hui le commerce local (Abomey, c’est le Dahomey, je pense), cela fait rire toute la foule sur la place mais on se rend déjà compte que ce n’est pas un rire méchant.

Widergänger dit: à

Zoon dit: 11 septembre 2015 à 19 h 02 min
être pédé ça vous déclasse en un rien de temps »

Voire… Entre frères, on se tient les coudes.
_____________
À mon avis, c’est plutôt autre chose qu’ils se tiennent…

Widergänger dit: à

Oui, c’est l’aérodriome de Bergerac. Ligne directe Londres Bergerac ! Ah ces angliches, ils recolonisent la France, dis donc ! C’est une nouvelle guerre de cent ans qui s’annonce, dis !

Widergänger dit: à

Être pd, ça ne vous déclasse plus, plus aujourd’hui. Faut pas déconner ! C’est vieux. À quand un pd président de la République ou PM ?

Phil dit: à

Dans la famille Terence, on trouve M. Stamp, pilier du théorème de Pasolini.

la vie dans les bois dit: à

« Que sont devenus les survivants des luttes politiques de cette époque-là sinon des fantômes échappés de « cette tragédie antique » que fut l’affaire Aldo Moro »

c’est beau comme de l’antique, l’Italie vue de Paris III ?

Non, ils ont été condamnés et réinsérés. Et puis ils gèrent leur « droits », à la télé.
Mais pas en Italie.

« Mario Moretti, l’un des leaders historiques. Après avoir commencé à se livrer, il a brusquement cessé. « Il voulait avoir le contrôle éditorial sur le film et c’était hors de question », indique le réalisateur.Les trois autres, eux, ont continué à se « confesser », décryptant le processus social et politique qui les a conduits à la lutte armée puis à l’enlèvement d’Aldo Moro, en 1978. L’ensemble donne une oeuvre saisissante, limpide dans son déroulé, rythmée par des images d’époque. Le public italien, souvent hostile aux apparitions médiatiques des anciens activistes et à la perception française des « années de plomb », devra patienter pour juger sur pièce: à ce jour, aucune chaîne de télévision transalpine n’a acquis les droits de transmission. »
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/des-ex-brigades-rouges-se-confessent_1034673.html

Zoon dit: à

À mon avis, c’est plutôt autre chose qu’ils se tiennent… (Widergänger)

Widergänger, voyons… Un peu de … tenue.

Zoon dit: à

Zoon dit: 11 septembre 2015 à 19 h 02 min
Voire… Entre frères, on se tient les couilles. (Ueda)

J’ai pas écrit ça. Je ne suis pas très ferré en anatomie, d’accord, mais à ce point-là…

vérités fondamentales dit: à

Madame Grandgousier, enceinte, mangea trop de tripes, Si bien qu’on dut lui administrer un astringent ; il était si fort que les lobes placentaires se relâchèrent, le foetus Gargantua glissa dans une veine, monta et sortit par l’oreille de sa maman………

Le vieux garçon qu'on appelle monsieur dit: à

C’était une belle réplique, nichteware ?

Une réplique, oui c’est joli. Pas trouvé dans une pochette surprise j’espère…

Les besoins artificiels de certain(e)s un peu moins…

Pardon de ne pas aimer tous les poseurs, surtout ceux qui se la jouent décontractés alors qu’il leur faut pourrir une vie pour se sentir heureux…

Le vieux garçon qu'on appelle monsieur dit: à

Non mais parce qu’en voir d’aucuns se la jouer gamines bébés bourgeoises contentes de leurs hochets trouvé dans une pochette surprise, tous genres inclus, ça fait vraiment pitié…

la vie dans les bois dit: à

Il fallait bien que triboulet se trouvé une excuse pour être  » déclassé ». Il n’en avait pas besoin, le pauvre.

Le vieux garçon qu'on appelle monsieur dit: à

Bon.

J’espère tout de même que je ne vais pas encore me retrouver dépendant de l’aide de quelqu’un qui aura eu besoin de me laisser dans la m.rde pour se procurer un double bonheur. Mais je crois que c’est rapé.

D’ailleurs j’ai porté plainte et tu t’es bien chargé de signaler en loucédé que cela a très peu de chances d’avoir un effet demain…

la vie dans les bois dit: à

Tiens, Riboulet ne cause pas de Battisti ?

la vie dans les bois dit: à

Parce que quand même un grandécrivain comme Battisti, honoré par la France, c’est un peu de la tragi-comédie, non ?

Le vieux garçon qu'on appelle monsieur dit: à

on se rend déjà compte que ce n’est pas un rire méchant

Faire iech pendant quatorze années à radoter l’évangile à mémère jusqu’à devenir l’égal de n’importe qui quand tu ne l’étais pas, ça l’était et ne pourra rien faire d’autre que le rester. Tant pis. On vit coincé comme on aime.

lecteur serieux et assidu dit: à

je suis bien le seul à venir sur ce blog pour lire les articles…

merci Monsieur Assouline pour tous ces comptes rendus de lecture de la rentrée littéraire 2015.

à première vue, il me semble que tous ces auteurs ont un point commun : leur humour et leur sens de l’ironie.

à tel point qu’il est difficile de les départager, sauf que l’humour et le sens de l’ironie chez Christine Angot sont assez indépassables.

c’est sans aucun doute une bonne rentrée car sans humour et sens de l’ironie la littérature est plate, brute de décoffrage, bas de plafond, elle ne dit rien de plus que ce qu’elle dit.

alors qu’avec l’humour et le sens de l’ironie les livres prennent une ampleur, une hauteur, une largeur, une profondeur… tout de suite ça devient ample, haut, large et profond.

merci encore,
bàv.

Le vieux garçon qu'on appelle monsieur dit: à

Nan mais parce que là même si on se fait passer pour quelqu’un d’autre afin de démontrer qui se soumet à qui je risque pas de le trouver drôle. Allez savoir, peut-être même d’autant moins !

Le vieux garçon qu'on appelle monsieur dit: à

je suis bien le seul à venir sur ce blog pour lire les articles…

Et ça y est, encore une qui connaît et sait tout sur tout le monde. Mais quelle épidémie…

lecteur serieux et assidu dit: à

« le récit qui noue en permanence la politique et la mort »

je pense qu’il ne faut le prendre au pied de la lettre mais voir la façon dont nouer la politique est la mort est la fois drôle et ironique.

« nouer la politique et la mort » c’est dire que la politique est morte tout en disant que la mort est politique, et là il faut mesurer toute l’ironie de ce propos.

cet auteur est sans nul doute le plus drôle de cette rentrée 2015, peut-être avec Angot.

lecteur serieux et assidu dit: à

« l’obscénité n’est pas dans l’exhibition du corps ni dans sa formulation, mais bien dans la manière dont parfois la société étale l’immontrable, ou traite les gens comme des chiens. »

et là on change de registre pour passer de l’humour à l’ironie…

l’auteur veut sans doute dire qu’il vaut mieux traiter les gens comme des chiens, que traiter les chiens comme les gens.

si on se met met à traiter les chiens comme on traite les gens c’est un coup à avoir la spa sur le dos, et un procès de 50 millions d’amis.

c’est de l’ironie, à l’évidence s’ils étaient traités comme des chiens les gens seraient heureux et ils remueraient la queue.

la vie dans les bois dit: à

« Son désir d’évènements et son désir d’hommes étaient étroitement liés. »
Finalement ce billet qui ne vaut pas un clou, est celui d’un « croyant non pratiquant » (il y a un copyright).

lecteur serieux et assidu dit: à

« Et en France des fantômes à l’ironie ricanante prêts à renoncer à leur idéal d’autrefois en tournant en dérision leurs engagements passés. Rien de très glorieux. »

là je suis 100 fois d’accord, rien n’est pire que l’ironie ricanante, d’ailleurs je me demande si on peut encore appeler « ironie » une ironie qui ricane.

une ironie qui ricane porte un autre nom, c’est comme un caniche avec des longues pattes fines, ce caniche là on l’appelle un lévrier.

Le vieux garçon qu'on appelle monsieur dit: à

lecteur de compétition ?… faudrait vraiment laisser ce genre « d’esprit » pour d’autres conventions…

allez. bonne soirée, bon week-end, bonnes politesses etc etc

lecteur serieux et assidu dit: à

« Ce n’est pas un roman » ça c’est ce qu’on appelle une bonne nouvelle.

« et même un anti-roman bourgeois » là je crois bien que c’est plutôt « ni même »

ce n’est pas…. ni même…

parce que « et même » ce serait pour quelque chose qui est, c’est ça « et même » ça, par contre pour ce qui n’est pas c’est « ni même »,

enfin il me semble.
mais quoi qu’il en soit cela reste une bonne nouvelle…

lecteur serieux et assidu dit: à

« à renoncer à leur idéal d’autrefois en tournant en dérision leurs engagements passés. »

il est très regrettable que les écrivains tournent toujours en dérision leurs engagements passés.

dans la mesure où un bon écrivain se reconnaît au fait qu’il tourne en dérision ses engagements présents.

parce que les engagements passés tout le monde s’en tape, littérairement parlant.

d’ailleurs tourner en dérision ses engagements passés, cela porte un nom : la vanité.

c’est quelqu’un qui dit, je reconnais que je me suis mis le doigt dans l’eoil, sous entendu maintenant je suis devenu un petit futé : avant j’étais niais et maintenant je suis intelligent et je vais vous parler intelligemment de l’époque où j’étais niais, je suis désolé mais c’est là le comble de la vanité.

si ce type vit 20 ans de plus il va nous pondre des bouquins en parlant du temps où il était niais en évoquant ce livre écrit en 2015 : c’est pas sérieux, on ne peut pas faire confiance à ce genre de bonhomme : quand on a été niais un jour je suis désolé de le dire mais on le reste toute sa vie.

lecteur serieux et assidu dit: à

quand on a été niais un jour je suis désolé de le dire mais on le reste toute sa vie : il suffit de voir des types BHL, ou Sollers, ou Onfray…

et c’est là où l’on voit que ce livre est certainement drôle, un summum de drôlerie : un type qui tourne en dérision ses engagements passés est toujours drôle, même risible.

d’ailleurs si vous voulez passer un bon moment de rigolade je vous conseille d’inviter à dîner un type qui va passer tout le repas à parler de ses bourdes passées, c’est à mourir de rire.

et ça c’est vrai pour un individu mais pour un pays comme la France qui passe son temps à vous raconter ses bourdes passées, là c’est encore plus drôle.
il n’y aurait qu’une ou deux bourdes, ce ne serait pas drôle, mais devant toute la liste de boulettes de l’histoire, il y a un moment où même le type le plus sérieux du monde éclate de rire !

il se dit, comment c’est possible d’accumuler autant de bourdes.

lecteur serieux et assidu dit: à

surtout quand la somme de ces bourdes deviennent le fond moral et idéologique de toute une société, une société qui se nourrit des bourdes passées, au point d’en faire une idéologie !

on a connu l’époque marxiste, l’époque royaliste, les époques nationalistes, l’époque bourgeoise, et aujourd’hui nous vivons quoi ? nous vivons l’époque de la liste des bourdes du passé !

voilà notre idéologie actuelle, comment ne pas en rire.

non cet auteur est certainement le plus drôle de a rentrée littéraire, parce que le pauvre des bourdes il en a accumulé plus que la moyenne.

c’est ce qu’on appelle l’humour par l’excès, l’humour de l’excessif, l’humour de l’accumulation, comme Laurel et Hardy, ou ces clowns dans les cirques qui faisaient rire les gamins parce qu’ils accumulent les boulettes.

sauf qu’aujourd’hui cet humour est devenu une idéologie.

bis repetita... dit: à

le petit fier de son vide fait son étalage habituel

passons…

lecteur serieux et assidu dit: à

d’ailleurs la chose drôle qui se passe actuellement c’est la coupure entre les deux Europe, celle de l’est qui n’est pas encore dans notre humour et celle de l’ouest qui comme son nom l’indique est pas mal à l’ouest.

les pays de l’est disent nous n’avons pas le même passé que vous, c’est faux : ils n’ont pas la même littérature que nous, ce Triboulet, avec sa liste de bourdes ne vendrait pas 3 livres en Hongrie.

lecteur serieux et assidu dit: à

« Sous la plume de Riboulet, les morts (le) sont comme des chiens. »

le sont ? ils sont morts comme des chiens ?

ou ils le sont ? les morts sont comme des chiens ?

les vivants sont des chiens, les morts sont des chiens…

pauvres chiens qui n’ont rien demandé à personne.

il dit dans le livre s’il s’est fait mordre par un chien quand il était petit ?

s’il a écrit ce livre pour exprimer sa haine des chiens c’est pas bien.

ça aussi c’est typiquement français, cette façon de tout le temps rabaisser la condition animale.

il faut lui dire que la différence entre les hommes et les chiens c’est que les chiens n’accumulent pas les bourdes.

quand on a passé sa vie à se mettre le doigt dans l’oeil la moindre des choses serait de respecter un minimum les animaux, il viendrait jamais à l’idée d’un chien de nous dresser la liste de toutes ses bourdes de jeunesse, même le chien le plus tordu n’est jamais aussi ridicule.

Le vieux garçon qu'on appelle monsieur dit: à

Mais quel cinoche ! On se croirait chez mamie… Suffisamment de rats se vantent d’être aux commandes des bateaux et puis se faire traiter de niais par un minable c’est du déjà vécu revécu et survécu malgré les enterrements surdimensionnés des cérémonieux qui ne s’assument pas. Sans vouloir rappeler de vieille grand-mère pas des vieux cons. Et puis ne suis pas bon petit soldat du génie moi, pardon…

poisson pilote dit: à

Bon; c’est vendredi soir, les meules s’ébrouent, les bourgeois s’offusques, les frelons merdeux font mine de dominer la situation, je me dis que c’est comme les nouveaux radars : « on sait que ça existe, mais on sait pas où c’est » … 143 dadas d’époque, pas des poneys
https://www.youtube.com/watch?v=A5hL1zuq-tY

Zoon dit: à

L’écriture est d’une puissance, d’une tenue, d’une exigence rares (lire ici un extrait)

Oui. Bon. Soit. J’ai lu l’extrait. C’est pas mal écrit ; ça se laisse lire. Moi, ça m’a laissé plutôt froid. Enfin, des goûts et des couleurs, n’est-ce pas. En tout cas, c’était une occasion de découvrir un auteur dont j’ignorais tout. J’ai vu, dans le dernier « Monde des livres », que Pierre Michon (autre auteur Verdier) découvrait « Par-delà nature et culture » de Philippe Descola, publié en 2005. Mieux vaut tard que jamais.

Le vieux garçon qu'on appelle monsieur dit: à

Et poisson pilote fait sa petite domina chochotte son livre pour les nuls à la main. Bref, vraiment laissons, d’autres je-sais-tout vont vite suivre pour expliquer les pourquoi et les parce que chez les braves on connaît le gag par coeur depuis le temps…

Zoon dit: à

les meules s’ébrouent, les bourgeois s’offusques, les frelons merdeux font mine de dominer la situation (Poisson pilote)

N’agressez pas Bloom, s’il vous plaît. Son effort d’autocritique est déjà suffisamment douloureux (voir son courageux autoportrait de 18h34, si émouvant dans sa détresse). N’en rajoutez pas inutilement.

Sergio dit: à

Le vieux garçon qu’on appelle monsieur dit: 11 septembre 2015 à 20 h 27 min
Pas trouvé dans une pochette surprise j’espère…

Les Passagers du vent, c’est François Bourgeon pour tout, scénario, texte, dessin. Bien documenté, et effectivement parsemé sans excès de phrases qui retiennent l’attention. Comme elles sont assez originales, on peut penser qu’elles sont trouvées in situ par l’auteur lui-même, dans l’émotion de la création ; maintenant, même et surtout subconsciemment, qu’est-ce qui n’est pas peu ou prou, comme on dit, pompé…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…il reste dans l’impossibilité de guérir, toute les personne de tout les maux qui existent,!…

…tout au plus,!…comme de nos photos ancienne les passés au scanner, repérer des anachronismes, des adeptes du travail rapide,!…en examinant les zones par champs de  » pixels « ,!…( déjà,…des flous artistiques,…pour cacher les photos pornos par des contrastes durs, pour imiter les bandes dessinées,!…
…certains logiciels permettaient de bien voir, les images réels en ( pixels ) avant la vue globale en bandes dessinées,!…Chat,!…alors,!…

…que chacun fasse déjà son travail, d’investigation,!…suivant ses compétences acquises dans l’administration de l’état,!…et le suivi des échelons pour une bonne gouvernance,!…
…ou des fonctionnaires et de mauvais employés débiles, pour se cacher,!…de ne rien savoir, sur des pratiques d’arts, plus que suspectes,…pour un niveau de plus du profit avant l’humanisme global à respecter déjà, comme le commerce équitable,!…diplomatie sur le dos des peuples,!…pour en laisser porter le chapeau à autrui,!…etc,!…
…mais c’est bien sur,!…etc,!…

…un peu trop de connivences,…pour ne pas se douter, que les états sont  » malades « , de trop d’offshore leaks et stratifications de données de lignes rouges à ne pas dépassées,!…
…passionnant,!…un des faits à en suivre son chemin,!…of course,!…contre hais, barrières et autre rivières à enjambées,!…
…des raisons d’états,…à l’état c’est moi,!…en ribambelles et sonnets,!…
…etc,!…etc,!…
…inspecteur de l’état dans l’état, çà s’apprend aussi sur le tas, très involontairement,!…à ses premiers pas,!…

Sergio dit: à

lecteur serieux et assidu dit: 11 septembre 2015 à 21 h 25 min
même le chien le plus tordu n’est jamais aussi ridicule.

J’en ai vu, dans un parc, avec feu de position sur le dos ; c’était extraordinaire. Evidemment c’est pas le clébard qui est allé l’acheter, l’engin, ni lire la notice de montage ; mais enfin déjà il rigolait pas, ce qui est louche, et puis enfin pour accepter cela faut être un sacré collabo ! Et le fait d’être un chien lorrain ne justifie pas tout…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…c’est vraiment de la colle, cette modération,…
…même, en écrivant rien, juste du vent de parfum,!…
…v’là,!…en attente de modération,!…pour rien de rien,!…je ne regrette rien,!…etc,…Chat alors,!…

Le vieux garçon qu'on appelait monsieur dit: à

Sergio, passez les plats aux fanatiques des bébés mouches dans leur rêve d’une génération condamnée à perdre toute spontanéité.

Bien sûr, c’est vrai.

Il serait peut-être plus indiqué de ne pas le dire façon « c’est comme ça » lancé par une mémère qui a de l’extension trouvée dans une pochette surprise dans l’autre main. Mais vous êtes libre de vous la jouer incapable de comprendre ce que je veux dire par là…

poisson pilote dit: à

Zoon dit: 11 septembre 2015 à 21 h 47 min
les meules s’ébrouent, les bourgeois s’offusques, les frelons merdeux font mine de dominer la situation (Poisson pilote)

N’agressez pas Bloom, s’il vous plaît. Son effort d’autocritique est déjà suffisamment douloureux (voir son courageux autoportrait de 18h34, si émouvant dans sa détresse). N’en rajoutez pas inutilement.

N’agresser personne, évidemment.La conjugaison a son importance mais, arrivée à ce point de la conversation, je me demande si Mishima a encore des choses à « signifier » (expression modèle des frelons merdeux évoqués plus bas)

Le vieux garçon qu'on appelait monsieur dit: à

Déjà que les mémères qui phantasment des numéros de judo au rayon humiliation n’en finissent pas d’être vraiment trop c.nnes…

Sergio dit: à

Giovanni Sant’Angelo dit: 11 septembre 2015 à 22 h 58 min

…c’est vraiment de la colle, cette modération,…

Faudrait qu’on ait un lexique des mots blacklistés ; parce que comme cela ne correspond pas à grand-chose, on cherche pour rien…

Sergio dit: à

Le vieux garçon qu’on appelait monsieur dit: 11 septembre 2015 à 23 h 12 min
les mémères

Non mais ça j’en ai de lugubres cohortes à la salle de muscu… Un maëlstrom ! Ca absorbe tout on est digéré immédiatement… Faut faire la guerre révolutionnaire… Du faible au fort ! Comme dans le Petit livre rouge… Sinon reste la grenade !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Sergio,!…je ne cherche vraiment rien,!…

…juste, faire acte de présence, avec une pirouettes de mots en volées,!…

…pas de carte, pas de territoire, aucun sens, aucun motif,…diversions en partages,!…tout au plus,!…

…bien sur,!…faut bien écrire, comme un dessin vu, dans nos actualités,!…qui fasse une image  » drone « ,!…points de vues,!…en strates superposés,!…sans plus,!…

la vie dans les bois dit: à

Dans le magazine littéraire, spécial rentrée, l’article proustien consacré à M. Riboulet fait mieux ressortir la dimension porno intellectuel dans la langue et le néant.

Bloom dit: à

Merveilleuse première conférence sur la diversité végétale hier soir dans nos murs. Je sais maintenant pourquoi l’arbre à pluie (rain tree, Albizia saman), mon arbre tropical préféré, s’appelle ainsi. Plaisir d’apprendre avec des vrais spécialistes passionnés. Trois autres à venir et une sortie au jardin botanique. Loin de la médiocrité.

Ce qui est bien avec Jeanbrun, c’est qu’on revient illico à l’âge du bac à sable, « c’est celui qui dit qui y est ». Retard à l’allumage, à tous les étages…Un Lithos est mille fois plus complexe que la plus « sophistiquée » de ses étiques pensées. Beauté de la nature naturante. Hideur de la nature dénaturée.

Bloom dit: à

des vrais spécialistes passionnés = de…
dans l’enthousiasme, on écrit comme on parle, pas vrai, RQ?

JC..... dit: à

« Selfie à Auschwitz ou l’obscénité » (Passou)

Je ne comprends pas cette réflexion sur une image banale. Même après relecture multiple … Faire une telle photo n’a strictement rien d’obscène !

Que la Shoah soit le comble de l’obscénité, je veux bien… mais se tirer le portrait devant un portail célèbre ?! Obscène ?! Pourquoi ?

Allons donc …!

Nous ne devons pas avoir la même conception de « Obscénité » … !

Bloom dit: à

Selfie macht dum

JC..... dit: à

Je n’ai jamais pris un selfie de ma vie, la question n’est pas là …

La question porte sur l’obscénité de se photographier entre potes devant un témoignage historique, un monument quel qu’il soit, y compris le portail d’un Camp de concentration.

Bloom dit: à

Camp de concentration.

Non. Camp d’extermination.

JC..... dit: à

A titre d’exemple, l’installation de cette sculpture m.erdique d’Anish Kapoor à Versailles, le Vagin de la Reine, une monstruosité dégradant le site, me parait elle, parfaitement « obscène ».

Il est vrai que l’art contemporain… avec ses étrons emballés présentés à la FIAC !

JC..... dit: à

Oui !
D’extermination !

Qu’est ce que ça change… ?

Bloom dit: à

Qu’est ce que ça change… ?

Tu préfères que je te concentre ou que j’extermine?

JC..... dit: à

Bloom, votre côté têtu devient obscène : nous parlons de l’obscénité d’un selfie devant un portail de camp d’extermination, pas de la Shoah …

Désolé de vous avoir réveillé.

Je me tire ailleurs : laissez reposer vos neurones épuisées par le fonctionnariat !

Le vieille qui n'aimait pas faire des histoires dit: à

Mais laissez donc Bloom faire ses selfies avec les vrais spécialistes passionnés, JC. Si pour s’émerveiller devant un arbre il a besoin de ça… C’est son choix comme on aime à le dire, heu non, nulle part.

Zoon dit: à

Je ne comprends pas cette réflexion sur une image banale. Même après relecture multiple … Faire une telle photo n’a strictement rien d’obscène ! (JC)

Entièrement d’accord avec JC. Cette photo n’a rien d’obscène. Se tirer le portrait entre copains devant le portail d’un haut lieu touristique comme Auschwitz n’a rien que de très anodin et banal. D’abord parce que cette pratique photographique est entrée dans les moeurs, ensuite parce que ces « lieux de mémoire » tels qu’Auschwitz sont devenus des destinations touristiques aussi incontournables que le Louvre ou le Taj Mahal. Auschwitz est un must touristique du sud de la Pologne, entre une balade dans les Tatras et la visite du vieux Cracovie. Les concentrations de touristes à Auschwitz dépassent sans doute très largement celles qu’on peut comptabiliser aux falaises d’Etretat ou même à Saint-Pierre de Rome. Hannah Arendt parlait fort justement de la banalisation du mal. La banalisation du lieu de mémoire, surtout s’il est un haut lieu du mal, en est-elle une expression ? Peut-être. Personnellement, j’ai, comme tant d’autre, visité Auschwwitz. Je n’en garde guère que le souvenir d’un ennui pesant. Bloom, Assouline et quelques autres ont sans doute leurs raisons — que je respecte — de considérer Auschwitz comme un lieu sacré qu’on ne saurait souiller par un banal selfie. Mais moi, qu’aucun lien familial ni d’aucune sorte ne relie à aucun de ces vieux morts, je reste à tout cela assez indifférent : c’est que le souvenir de ces événements, regrettables sans doute, se perd peu à peu pour moi, comme pour l’immense majorité des Européens et des habitants de ce monde, dans la nuit des temps.

rose dit: à

Répondre à la provocation pour créer du dialogue cela n’a rien d’intéressant. Ai relu BdB ce matin. Beckett Bernanos et l’introduction des Bienveillantes faite par Clopine. Pas la suite pas encore ouvert le bouquin.
Et puis je pense au père de Christine angot. Pensait-il lui faire du bien en la sodomisant enfant ?

Je me pose vé matin cette question sur la commune science de.celui qui fait le mal et qui peut être sans doute croit ai si rendre service à la personne visée.

Ou de la puissance des mots. Ai écoute yasmina khadra un matin sur FC et ai été opposée au mot employé par lui lorsqu’il parlait de khadafi : il a dit et répété « narcissique ». Or il me semble que Khadafi est tout à fait mégalomane et pas seulement narcissique.

La vieille qui n'aimait pas les histoires dit: à

Le nez dessus c’est le nez dessus, on peut bien se la jouer pinocchio comme Sergio ou le roi du vanilla sous topping chocolat la longeur du nez ne changera pas là où il insiste aimer se poser. Alors prétendre n’en avoir rien à fiche après ça, c’est bon pour les, euh non, rien.

rose dit: à

cette question sur la conscience

Résumons..... dit: à

Rose pose de réelles, vraies, importantes et bonnes questions : Papa Angot enfilait-il dans la douleur ?

Rose ne nous déçoit jamais…

rose dit: à

Style t’y seras une fille m’a fille cad tu seras une e….lée. Et là il définit la condition féminine et il l’a rattaché à sa mère. Mère à qui elle dit « on s’en est sorties ».

rose dit: à

Il la rattache

Enfiler je ne l’utilise que pour le chas. C’est d’une grossièreté consommée.
Je vais aller nusqu’au bout de ce que j’ai à dire.

La vieille qui n'aimait pas les histoires dit: à

la longueur

à ne pas confondre avec la lenteur, enfin sauf si on se trimballe pire qu’une mauvaise compagnie, on ne peut pas tous avoir les mêmes clients…

Le selfie passou, c’est une référence à une sommité institutorale du centre du monde paquet de nouilles à la main et tête d’abruti satisfait de l’être comme on en voit tant au premier rang des manifs pour tous ?

rose dit: à

La question que je pose est fondamentale. Tu e. ..tu te fais en. ..dans le choix et le désir impérieux j’imagine ou dans le non choix et dans l’annihilation de soi. La disparition la négation.

La vieille qui n'aimait pas les histoires dit: à

Rose vous me rappelez un bien triste docteur qui a besoin d’étaler des horreurs sortant de son cabinet pour faire pitié…

rose dit: à

Pour la lenteur pck rien de meilleur : hier j’ai demandé à M. s’il voulait manger avec moi. J’avais fait cuire deux truites roses. J’étais triste de les manger seule. Il m’a dit oui. J’ai fait un lit de pommes de terre du jardin les deux truites posées dessus et recouvertes d’un lit de tomates du jardin. Cuites au four. Nous nous sommes régalés.
La question que je lui ai posée c’était pour en savoir plus sur la parité : il m’a répondu « c’est pareil ».

rose dit: à

Je fais envie plutôt que pitié, langue de p.

La vieille qui n'aimait pas les histoires dit: à

Sinon ils ont du en faire un club.

Ils ont beaucoup de peine à vivre sans cela, faut les comprendre…

DHH dit: à

Oui cette image est obscène !
.N on pas en tant que telle ;mais par la réalité obscène qu’elle révèle et que vous décrivez ,à savoir qu’;Auschwitz est devenu un lieu touristique comme les autres ,plus couru que les autres même, une etape dans une excursion en Pologne ,le fonds de commerce des hotels et des autocaristes de Cracovie ,le point fort des « tours » sur les lieux concentrationnaires que n’ont aucune gêne à proposer les voyagistes polonais .
Tout cela ramène effectivement de manière obscène ce qui fut le crime le plus monstrueux de tous les temps à ce que vous qualifiez « d’événements regrettables »

La vieille qui n'aimait pas les histoires dit: à

Je fais envie

Tu mendies beaucoup trop pour y prétendre. Un bébé rose aka un certain genre de machine dans la langue de Shakespeare.

rose dit: à

Pck e….sa fille -outre se faire plaisir à soi, ce qui est le but premier du pervers, je jouis du mal que je fais à autrui, c’est d’abord démolir sa mère, la mère de sa fille. Puisqu’elle n’est pas sa femme. Ni avant ni après l’engrossement.

rose dit: à

Le jugement porté sur autrui lorsqu’on n’a jamais eu le courage de la rencontré très réelle une heure durant je m’en contrebalance.

Bien sûr que c’est totalement obscène mais c’est de la provocation faite pour provoquer la discussion.
Elle permettra ensuite de juger de classer d’évincer et de traiter les gens de minables.
Rien d’autre.

rose dit: à

Aimer l’histoire c’est.bien la première manière d’aimer les histoires.

Clopine qui en est écoeurée... dit: à

Le problème est justement de considérer Auschwitz comme une destination touristique. Les jeunes imbéciles qui sourient sous le portail « arbeit macht frei » (comme ceux qui ont volé cette partie du portail à Dachau) affichent surtout leur complète ignorance de l’histoire et leur stupidité devant la signification de tels lieux.

Mais par contre, que des types comme Zoon qui s’y ennuie (!) ou Jc qui voudrait transformer le tout en club med – alors que leur culture supposée leur a donné les outils pour comprendre qu’il s’est passé là quelque chose d’indélébile pour l’humanité – là, c’est proprement intolérable, et une fois de plus, la question surgit, toujours la même : Pourquoi Pierre Assouline accepte-t-il cela ?

rose dit: à

Le père d’Angot il commet double outrage.
Il ramène sa fille à une condition féminine celle du ruban blanc d’Haneke. Et il ramène à la judéité de sa mère cad à la shoah et à l’extermination honteuse de six millions de juifs.

Le père Angot a beau s’être chopé Alzheimer et crevé vite, c’est une ordure. Je l’écris publiquement.

La vieille qui n'aimait pas les histoires dit: à

Rose, vu vos passions, vous devriez allez lècher les boules que Marcella n’a qu’au niveau de la vue pour apprendre à mêler tout ce qui ne vous appartient pas avec vos propres étrons et prétendre ensuite donner des leçons de sublimation comme un minable iceberg ayant échoué à faire couler le Titanic et que par ailleurs aucun tropique ne pourrait faire fondre.

Encore heureux que les p.tes qui le sont vraiment finissent somme toute asssez contentes d’être payées.

rose dit: à

Je ne peux pas penser que l’on s’imagine protéger quelqu’un le surveiller faire œuvrz de sauvetage en violant son intimité.Comment à ce point se fourvoyer ? Faut il soit même être cassé pour opérer telle erreur fondamentale de jugement.

la vie dans les bois dit: à

Correspondances de Manosque.
Christine Angot, avec  » un amour impossible » fera lecture le mercredi 23 septembre prochain, salle Jean le Bleu.

« « J’aime bien cette phrase de Duras : “Trouver quoi écrire encore.” Entre deux livres, j’ai toujours pensé, à un moment ou à un autre : ma mère, faire un livre où on la verrait. Où on verrait ce que c’est, avoir une mère. Dire ce qu’est cet amour. Et ce qu’il devient. Écrire ce que je sais
depuis que je suis à son contact, c’est-à-dire toujours. Je pense à un tel livre depuis trente ans, depuis que j’écris. Pas un livre sur ma mère. Ça, ce n’était pas possible. »
http://correspondances-manosque.org/fiche_programme/un-amour-impossible/?lieu=festival-in

rose dit: à

Que les p…le restent. Bien public.

rose dit: à

Et là j’adopte une attitude horriblement macho et méditerranéenne en toute conscience de l’être et macho et méditerranéenne.

C’est la femme qui fait l’homme.Et c’est l’homme qui choisit la femme. Pas le contraire.

La femme avec qui vit l’homme blessé ou elle le panse ou elle l’emmène dans sa fange merdique.

Anus... qui tollit peccata mundi dit: à

On se traine Riboulet comme un boulet ici.

la vie dans les bois dit: à

Riboulet père était aussi un théoricien.

rose dit: à

Pourtant l’homme étranger évolue. Je le vois. Je le lis. C’est lui qui a fait le pas pour communiquer avec WdG. C’est lui qui a apaisé ces tensions.
Elle, elle jette l’opprobre. Conspué les uns conspué les autres. Gueule haut et fort harcelle l’un puis l’autre.
Chacun son tour.
Ne lâche jamais sa proie.

La vieille qui n'aimait pas les histoires dit: à

La vie dans la grande famille communiquant par pets de mouches est assez éprouvantable, faut bien l’écrire.

Ces mecs me font penser à des vautours se croyant fauves redoutables en posant virtuellement la botte sur des victimes que d’autres ont exterminés et se délectant de se sentir ainsi d’heureux assassins. Manque juste un T-shirt « point godwin » pour compléter leur portrait de branchés.

Anus... qui tollit peccata mundi dit: à

Pourquoi Pierre Assouline accepte-t-il cela ?

Pour que vous ayez la possibilité de vous en indigner Clopine!

la vie dans les bois dit: à

Cette anale logie entre littel et riboulet fils est bien vue.

rose dit: à

Jamais tu ne pénètreras dans mon intimité. Jamais tu n’outrepasseras les limites que je fixe sur ta lecture de ma vie.
Je me la suis bouclée quand tu portes les ordis des potes. Quand tu règnes en maître sur ça j’autorise ça j’autorise pas.
Je te trouve capable d’évolution. La fille avec qui tu vis te tire vers le bas. Tu es responsable. Grandement.

langue bien pendue dit: à

Rose aligne les bonnes feuilles depuis tôt ce matin.

rose dit: à

Tu vis en couple tu ne vis pas mieux tu ne vas pas mieux. Elle te fait cuire ton steak te suce tu n’en tirés aucun bénéfice. Donc à quoi cela sert-il de vivre en coupe s’il n’y a pas d’amélioration du quotidien banal ? Pour avoir ton steak cuit et ta queue sucée ?

La vieille qui n'aimait pas les histoires dit: à

Et c’est reparti pour l’éternel numéro des lâches qui s’adressent à quelqu’un mais font bien attention de ne pas dire à qui. Mais ce genre de stupidité ça peut quand même casser, faut faire gaffe…

En tout cas, à lire les délires ce n’est pas de moi qu’elle parle. Cela doit être un Gollum. Un Gollum qui fait tellement envie…

Phil dit: à

Les jeunes gens devant l’entrée d’Auschwitz sont simplement mal élèves, probablement ignorants comme leur génération ipodée. Echec de leurs parents, de leur pays mais aussi d’une histoire médiatisée en propagande.
Seront-ils capables de massacres ? C’est possible. La crocheteuse hongroise de migrants, caméra à l’épaule, est prête à tuer.

Résumons..... dit: à

« Enfiler je ne l’utilise que pour le chas. » (rose)
On écrit le chat, rose !

PS : La Shoah ? je partage l’avis censé de l’épouvantable Jambrun, comme dit Josette : ce sont de regrettables évènements.

De même nature que ceux dont toutes les guerres en autorisent le fait !

Simplement, il y a eu passage aux outils industriels au XXème siècle : Shoah, Hiroshima/Nagasaki, Goulag, Lao gai…

Rien de « sacré à vénérer » dans la Shoah, qui serait au dessus de ces autres exemples de la malignité humaine, DHH/Judith !!!

rose dit: à

Hier elle a saisi Attira et ne l’a plus lâché. Comme un chien qui ronge son os.

Tellement abrutie à ne vivre que de son con que rien ne remonte jamais jusqu’à son cerveau. Cela stagne sous la ceinture. Faut lui donner son nonos.
Elle le ronge sans le lâcher.

Misère de celui qui vit avec ça. Et qui s’en contente.

Résumons..... dit: à

« Pourquoi Pierre Assouline accepte-t-il cela ? » (L’armoire normande)

Parce qu’il est moins c.on que toi, eh Patate !

La vieille qui n'aimait pas les histoires dit: à

Rien de « sacré à vénérer » dans la Shoah, qui serait au dessus de ces autres exemples de la malignité humaine

C’est vrai que le globish et la globomania ont tendance à faire oublier la belgitude « ça c’est passé près de chez vous ». Du moment qu’on est du genre à trouver cela reposant…

rose dit: à

Les chas de l’aiguille avec l chameau qui passe pas au travers et l’éléphant non plus.

Je pense que tu merites une fille bien mieux que celle-là.
Fragile mais sensée. Maladroite mais honnête.

Et puis douce. Qui ne harcèle jamais personne.

Rose désolée que tu ne te sous pas arrêté. Parfois, c’est vrai, je te le confie, je pense que c’était tout du chiqué histoire de la mater.
Ouais j’en ai une autre sur la liste tu m’auras pas comme ça.
Alors qu’elle t’a bouffé en quatre ans de temps.

la vie dans les bois dit: à

allez hop, un petit extrait d’une hagiographie journalistique, qui fait dans « l’acte fondateur »:
précision: tout ce qu’il y a entre parenthèse, n’est pas dans l’article d’origine.

« Une langue plus que jamais chevillée au corps, dont elle épouse les lignes, sursaut et souffle, mimant à merveille l’amplitude d’un mouvement (-de va et vient ? note de môa-), la confusion de fluides ( – là on ne sait quelle mécanique est à l’oeuvre, note scientifique) ou le dialogue muet de danseurs au diapason ( c’est un tango ?)

A moins que ce ne soit l’inverse, le corps imitant la langue ( là, on sent bien que le doute épistémologique s’installe et vient interrompre ce tango langoureux)

Car en d’autres endroits se distinguent encore les pleins et les déliés d’une silhouette; ( accrochez vous, ça déchire sa mère)
le magistral S dessiné par la courbure d’un torse ou telle attitude en laquelle s’incarne le sens secret d’un prénom ( S comme Suzon, Sodome ? T’imagines si le prénom commence par I, comme il n’a pas à se tordre le gars)…

Sans oublier ( attention, là ça devient du sérieux, du lourd, comme si les lecteurs de triboulet ne pensaient pas , jamais, à aut’chose qu’à leur arrière-train)
je reprends:
Sans oublier les profuses (joli adjectif) scènes de (roulement de tambour) ppornographie, dont l’écrivain, agacé ( il a la rage, on vous dit), agacé par les « chichis fétichisants » du mot érotisme, rappelle qu’elle est bien écriture, graphie, au confluent du sexe et du regard ( autrement dit: regard de biais, avec sextoys en poche ?) »

Voilà, c’est tout ça, les tribulations de tribolet en littérature dans le magazine.
On dit merci qui ?
au journaliste: C. Thomine.

rose dit: à

….que tu ne te sois
Tu aurais pu devenir un copain. Pas un étranger. Tes trucs de frère à la con. Je te baise pas t’es ma sœur.

Ben non.
Et lui il est timide et respectueux d’autrui. Je ne te souhaite pas les pires horreurs.

Tu n’as pas à pirater les ordis d’autrui. J’ai dit ton nom et blog à J. Je vais dire la même chose à L.
M. tu peux pas le pirater il n’a pas internet. Tu n’as pas à fouiller dans la vie des autres s’ils ne sont pas d’accord.

L’intimité fait partie du privé.

Que ta meuf écrive de toi fieffé salopard et qu’elle tolère tous tes actes délictieux, c’est lamentable.

A tous je vous souhaite une bonne journée.

Là où tu te goures c’est quand tu crois que je m’occupe de ton chemin ou que je te trahis. Non. Tu n’envahiras pas le mien. C’est tout.

Résumons..... dit: à

Je ne voudrai pas oublier en bonne place parmi les joyeusetés du XXème siècle que sont Shoah, Hiroshima/Nagazaki, Lao Gai, Goulag etc… la lutte au Cambodge.

Noble lutte contre les « porteurs de lunettes parlant plusieurs langues », envoyés à la mort avec les opposants, ou assimilés, à l’homme nouveau communiste, héros luttant avec force contre l’effroyable libéralisme capitaliste.

1,7 millions de morts….

Pas mal pour un petit pays !… Daesh joue petit bras…uhuhu !

Bloom dit: à

Seront-ils capables de massacres ? C’est possible. La crocheteuse hongroise de migrants, caméra à l’épaule, est prête à tuer.

Bien dit, Phil. La Hongrie du régent Horty n’est pas un accident de l’Histoire.

Résumons..... dit: à

Rose, vous avez le chas, j’ai l’aiguille ! Au travail, cornecul …par Riboulette !

Résumons..... dit: à

La Hongrie est actuellement un exemple pour l’Europe …!

la vie dans les bois dit: à

« Les jeunes gens devant l’entrée d’Auschwitz sont simplement mal élèves »

beau lapsus Phil: mauvais élèves, mauvais prof ?

Zigmund dit: à

De grands malades vivent parmi nous. Des psychotiques qui ne se contentent pas d’être fous mais mais feignent d’être normaux. Nous côtoyons ces désaxés sans y prendre garde. Il arrive qu’ils exercent des responsabilités. Il arrive même que nous les trouvions sympathiques.

coup de froid dit: à

Résumons…. JC est en train de faire de ce blog un véritable vide-ordures

La vieille qui n'aimait pas les histoires dit: à

« au confluent du sexe et du regard ( autrement dit: regard de biais, avec sextoys en poche ?) »

Votre blocage au niveau bouche à oreille ne m’a pas très inspirant pour vous permettre de visualiser d’autres positions. Dommage, même s’il y avait de quoi rire.

rose dit: à

Je comprends que tu imagines que affublée de quinze potes l’inutilité me prenne de t’avoir toi et donc par le fait je te jette.
Tu te trompes.
Le psychiatre avait dit vous devez avoir.dix.personnes sir qui.compter pour.vous accrocher avec les deux mains..J’ai.quinze parce que j’y ai rajouté un pied.

Si je peux je mettrai les deux pieds. Pas sûr. C’est pas facile.

Je te le répète que tu l’entendes bien : je t’intéresse de pénétrer mon intimité. Elle est à moi.

La vieille qui n'aimait pas les histoires dit: à

ne m’a pas l’air très

(mettons cela sur le monopole du choeur tragique)

la vie dans les bois dit: à

Vous êtes  » libre » de lire l’article du magazine littéraire spécial Rentrée, à la page 40 et suivante.
Il y a d’autres passages trouducutesques.
A vous !

la vie dans les bois dit: à

Riboulet sera aussi à Manosque dans quelques jours.
Ce sera peut-être plus facile pour la prof de Manosque de « pénétrer » cette intimité.

rose dit: à

Cette matrone e horrible qui partage ta ouche et vit à genoux, que tu aimes le steak sans échalotes et sans déglacer le suc dans la poêle, je peux le comprendre. La mère de Romain lui a provoqué ainsi le plus grand chagrin de son enfance « je sus soudain que le monde donnait bien le change », tu évités ainsi tout desillement brutal, que tu aimes, passif que tu es te faire sucer, c’est ton Graal à toi. Dati là dessus a été très lucide, la fellation c’est nul. et cela vous annexe messieurs, tout cela je peux limite l’admettre.
A mes yeux un homme n’est pas fait pour être annexé.

la vie dans les bois dit: à

je me demande si la prof de Manosque n’abuse pas, en plus du reste, de PCP…

la vie dans les bois dit: à

Si je dis:  » prof de Manosque », c’est grâce aux indications de Barozzi données ici.
Il se fait porter « honteux » depuis ?

la vie dans les bois dit: à

Il y aura des parents d’élèves à cette rencontre littéraire des Correspondances. C’est ça qui est bien aussi. Ce mélange social.

rose dit: à

Néanmoins je pense que tu peux lui parler. Servile elle.s’est attachée à toi. Tu lui dis chérie fous la paix à mes potes de.blog. Ma.cherie va voir ailleurs si.j’y suis. Et puis tu essaies de lui redonner confiance en elle. Parce que.vivre à ce point là avec.un chateau branlant qui menace à tout instant de s’écrouler c’est.hyper inquiétant.

Faut, il faut.cesser le shit l’alcool et tous artifices. Prenez la.vie comme.elle est et.ce.n’est pas une vague saloperie.
Parle avec elle. Tu es responsable si elle nous emmm..tout le temps.
Parle avec elle te.dis-je.

Nous sommes samedi. Hier, ici, c’était la Syrie. De quoi vouloir migrer. Comme dieu en France.

rose dit: à

Attila se repose il a subi harcèlement moral toute la journée d’hier.
Bon envahissement lvdlb.

la vie dans les bois dit: à

oui, ohff, « harcèlement », c’est vit dit.

Phil dit: à

Attention dear Bloom, la Hongrie est de Horthy est d’abord celle de Clemenceau. Gare aux dominos.
La crocheteuse de migrants est une déracinée sans culture, produit de la ruine d’un état après la chute du mur.
Les mêmes individualités se retrouvent dans les pays voisins, en ex-ddr par exemple.

la vie dans les bois dit: à

Oui, c’est bien dans les commentaires du billet consacré au livre de C. Angot, que cette professeur de l’E.N nous a donné un aperçu de sa pédagogie.

Phil dit: à

La Hongrie de Horthy est…

Résumons..... dit: à

Rose a, comme Dati, raison ! Une fellation mal faite c’est, comme dirait notre noble Court, le Ring de Wagner par Boulez/Chéreau.

Une fellation de cannibale, quoi !

Cependant, une fellation réussie, affectueuse, inventice, concluante, mérite notre reconnaissance renouvelée et vaut toutes les lectures du monde …

la vie dans les bois dit: à

« Une fellation de cannibale, quoi ! »

Ah, mais c’est très inspirant pour un roman, ça.
D’ailleurs, c’est déjà fait.

D. dit: à

C’est amusant cette façon de parler de soi à la troisième personne. Je vais m’y mettre aussi, tiens. Il est bien enrhumé aujourd’hui et il a toussé toute la nuit même avec le sirop codéiné.
Il est lucide mais du coup il s’est recouché.

Clopine qui en est écoeurée... dit: à

Vous avez dit « selfies à Auschwitz » ?

Je vais vous parler de Rama. Rama est un jeune indonésien d’une trentaine d’années, qui vit à Java, y travaille après des études aux USA, est musicien et pratique le couchsurfing (il loue son canapé). Il a ainsi rencontré le frère du Clopinou, ils ont sympathisé : et voilà Rama, de voyage en occident, qui tout naturellement vient chez nous… Comme il est très curieux de l’histoire occidentale, et qu’il possède quelques solides notions sur la seconde guerre mondiale, il nous a demandé de lui faire visiter les plages du débarquement, pendant les quelques jours de juin où il est venu chez nous. Et puis, il est reparti faire un « tour d’Europe », nous envoyant des selfies de Venise, de Prague, etc.

Nous aimons beaucoup Rama, nous avons beaucoup parlé avec lui : il a décidé d’aller à Auschwitz, et, là comme ailleurs, il a fait un « selfie » – et nous l’a envoyé.

Mais comme il est d’une intelligence et d’une sensibilité remarquables, ce selfie-là n’était pas tout-à-fait comme les autres.

Je pense n’avoir pas d’autre moyen de vous le faire voir qu’en vous envoyant sur mon blog, où je viens de poster la photo qu’il nous a envoyée.

http://www.clopinetrouillefou.com/

Evidemment, on peut toujours hausser les épaules.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la passion, les passions,…encore et encore,!…Oui,!…et la condition humaine de tout nos électeurs, grands ou petits,!…

…du beurre en passions pour nous mettre en diversions,!…
…Ah,!…mes châteaux, mes milliards, mes domaines,…ajoutons aussi, nos connivences de se la jouer, la patrie,!…pour distribuer des médailles aux rescapés de tout ordres,!…

…repenser le système sociétal, issu du féodal mal réviser,!…à bon compte de toute les finances sur nos têtes de linottes,!…

…faire facile, collaborer au style Mao du capitalisme à la Hollande sur scène, rive gauche et droite en connivence,!…
…gouverner avec un bandeau sur les yeux,!…un choix collabos,!…d’un autre âge, tout ces Auschwitz des €uro-peuples aux lobbyings des affaires d’esprits norma-liens,…
…la critique, de la mal gouvernance, du sang, et encore du sang,…du vrais, bien décapités,!…pour faire  » exemple « ,!…

…l’encore du sang, du vrai , du pur,!…au meilleurs des affaires et royalties en offchore leack,!…du sang de riches – complices,…les vrais encore en lices à bourses,!…
…les à Céline aux culs,!…
…tuer les tous, qu’il n’en reste pas un, pour me le reprocher,!…aux protestants de la St-Barthélémy,!…
…la misère en partage, et à nos châteaux et domestiques bien ficelés,!…très serviles of course,!…Ah,!Ah,!…
…du sang sur scènes à nos bourreaux,!…etc,!…
…des larmes de sangs à deux baals circonscrites,!…etc,!…du sang, du sang,!…
…comme un manteau vermeil,…chargé d’un réseau d’or,!…là,…
…un plus,!…à se mettre,…les fesses en l’air,!…au guide Michelin,!…
…Ah,!Ah,!Ah,!…l’éducation du sadisme des peuples,!…etc,!…
…en veux – tu, en voilà,…de la honte endoctrinée des  » profits « , à longs termes,!…Vive la mort,!…Go,!…

…à tout nos souverains issus de nos peuples, les plus ignobles en court, à collabos des profits,!…vider vous de votre sang,!…suicider-vous,!…
…Subito-Presto,!…encore un effort,!…& tirer la chasse,!…merci,!…à la leurre en boîtes,!…
…les contrastes,!…etc,!…

la vie dans les bois dit: à

Si c’est le copain de clopinou, alors, c’est que la photo est bonne.
Merci. Mais non.

la vie dans les bois dit: à

On appelle ça du floutage de gueule.

Résumons..... dit: à

Quittons nous sur ce refrain célèbre paroles de Voris Bian surgi d’une autre époque, célébrant un Grand Ecrivain, l’illustre Riboulet aux haricots toulousains.

REFRAIN
Faut Riboulet, faut Riboulet
Avant qu’le ciel nous tomb’ sur la tête
Faut Riboulet, faut Riboulet
Pour obscurcir l’ciel d’nos idées

Nos ancêtres les Gaulois
Cheveux longs et têt’s de bois
Sorbonnards et jeunes fadas
Ne connaissaient que ce refrain là

Faut Riboulet, faut Riboulet
Avant qu’le ciel nous tomb’ sur la tête
Faut Riboulet, faut Riboulet
Pour empêcher l’Capital d’gagner

Nos ancêtres les Gaulois
S’engageaient sans foi ni loi
Et les fiottes trois par trois
Sur le pavé se croyaient Rois

Faut Riboulet, faut Riboulet
Avant qu’le ciel nous tomb’ sur la tête
Faut Riboulet, faut Riboulet
Pour faire péter la société !

Nos ancêtres les Gaulois
Prir’nt de l’âge, devinrent gras
Les barbares étaient toujours là
Mais tant pis : à la soupe, on ira !

Faut Riboulet, faut Riboulet
Avant qu’le ciel nous tomb’ sur la tête
Faut Riboulet, faut Riboulet
Pour renier toutes nos idées …!

Résumons..... dit: à

Clopine qui en est écoeurée… dit: 12 septembre 2015 à 10 h 36 min

Photo débile, rien de surprenant : qui se ressemble s’assemble !

Résumons..... dit: à

« Loire: un corps découvert dans un sac poubelle » (Le Figaro)

Titre honteux : on aurait pu utiliser le terme, généralement admis, de burqa.

Effet Boomerang dit: à

« du floutage de gueule »
Moins le l, c’est ce que l’on peut dire de votre « critique » infantile de Riboulet.
Quant au cliché, Est-ce parce que c’est le copain de Clopinou que la photo doit etre déclarée mauvaise? Evidemment pas!
Donnez-vous la peine de réfléchir avant de bloguer.

Résumons..... dit: à

Quel dommage qu’en Normandie, merveilleux pays, certaine brêlasse prenne une vitre de ferme, souillée de chiures de mouches, pour vitrail de Notre DRama…uhuhu !

Diagonal dit: à

@ Tribouldingue

Je me demande si l’association Riboulet-Ribouldingue sous quelques plumes ne serait pas liée au fait que Passou, en fin de billet, aurait pu l’induite à son insu, en évoquant Triboulet (le fou de la cours de Louis XII et François 1) sous couvert d’évoquer l’hommage d’une impeccable revue québécoise à l’auteur du jour.

Alan Turing..... dit: à

Tribouldingue, Croupignole et Philochard seraient des personnages … codés ?

Zoon dit: à

Mais par contre, que des types comme Zoon qui s’y ennuie (!) ou Jc qui voudrait transformer le tout en club med – alors que leur culture supposée leur a donné les outils pour comprendre qu’il s’est passé là quelque chose d’indélébile pour l’humanité – là, c’est proprement intolérable (Clopine etc )

Et alors ? Rien de plus naturel ni de plus courant que l’ennui. Les sorties vertueusement indignées de chaisière effarouchée dont Clopine nous gratifie régulièrement révèlent surtout son désir que soit respectée en toutes circonstances et sur certains sujets une certaine langue de bois, et que soient censurées les entorses à ladite langue de bois. On connaît les effets pervers de la langue de bois. En particulier, elle est immanquablement génératrice… d’ennui. donc elle tue le débat, donc elle est démobilisatrice.

closer dit: à

« Evidemment, on peut toujours hausser les épaules. »

Nous les haussons en effet, mais nous sommes contents d’en savoir plus sur le, jusque là mystérieux, frère de Clopinou.

coup de froid dit: à

Zoon et JC : deux petits tas d’ordures à vider dans les cacabinets

Zigmund dit: à

Jeremy Corbyn, élu chef du parti travailliste avec plus de 59% des voix.
À suivre.

Bloom dit: à

La belle équipe – Pasolini à Bénarès, en compagnie de Moravia et d’Elsa Morante:

« Nous marchons entre eux qui, toujours aussi tranquilles, gentils et indifférents, nous laissent passer, jusque tout près du bûcher. On ne distingue rien, simplement du bois bien arrangé et attaché, au milieu duquel le mort est serré : mais tout se consume et les membres sont indiscernables des bûches. Il n’y a aucune odeur, sinon l’odeur délicate du feu. »

Pier Paolo Pasolini, L’odeur de l’Inde, p.154.

rust cohle dit: à

à écouter l’émission Répliques de ce matin, déjà pour entendre la voix du survivant Lançon et pour le moment très amusant du dernier échange entre Finkielkrault et Florence Aubenas, quand Finky lui propose de l’inviter avec Droopy, Floflo a mis une seconde pour percuter et comprendre que Fink la comparait au héros du dernier livre de Droopy.

étonnant que personne n’ait fait le rapprochement entre le livre de Droopy et la situation de la France dans la période 1930-1945, où les militants de droite des Croix de feu se sont retrouvés dans la résistance à combattre les nazis alors que les humanistes socialistes se sont eux retrouvés du côté du gouvernement de Vichy à la solde des allemands.

Phil dit: à

Pasolini a visité l’Inde avec ses lunettes communistes et serait passé complètement à côté, selon Fernandez qui pourtant partage ses goûts -mais pas ses lunettes-.
Vous êtes d’accord, Bloom ?

rust cohle dit: à

sur le selfie à Auschwitz et l’obscénité il est de moins en moins évident de mettre une frontière entre ce qui obscène et ce qui ne l’est pas.

par exemple le dernier livre d’Angot, dans le contexte médiatique de sa publication, est d’une extrême obscénité, Angot elle-même est toujours obscène, elle a fait de l’obscénité son fond de commerce, déballer ses histoires sur les plateaux télé, faire de l’inceste une actualité de la rentrée littéraire, faire de la souffrance un objet commercial est une obscénité.

pareil pour ce livre de Riboulet.

pas évident dans ce monde où la guerre est diffusée entre deux pubs de parfum et de lessives d’échapper à l’obscénité.

je comprends bien que se dire qu’on échappe à l’obscénité soit rassurant intellectuellement, mais déballer sa vie privée sur un blog ou sur facebook c’est obscène, on peut retourner le problème dans tous les sens : déballer sa vie privée est aussi obscène que ce selfie.

la vie dans les bois dit: à

@
« étonnant que personne n’ait fait le rapprochement entre le livre de Droopy et la situation de la France dans la période 1930-1945, où les militants de droite des Croix de feu se sont retrouvés dans la résistance à combattre les nazis alors que les humanistes socialistes se sont eux retrouvés du côté du gouvernement de Vichy à la solde des allemands. »

Etonnant que tu fasses un saut a-historique, entre le troisième chapitre du livre  » Soumission », pour nous dire que les encartés FN et sympathisants nationaux identitaires xénophobes de 2015 sont les seuls seuls résistants au socialisme nazional français.

T’as pas écouté la radio, dans le chapitre 3 ?
Ou alors tu es sans réseau international, à Pech’Monta.

Tu sais quoi ? dire que la Résistance a fédéré des groupes assez divergents politiquement, en te servant d’une fiction politique, c’est comme si tu veux leur faire avaler qu’en 2015 les sympathisants FN, nationaux identidaires et xénophbes sont les seuls résistants au socialisme nazional français.

Tu me diras les visions politiques de Triboulet valent les tiennes.
Lui réduit l’extrême gauche ultra violente, aux FHAR. Sa nostalgie, comme la tienne, quelle poudre aux zyeux, didon.

rust cohle dit: à

peut-on faire de ses souffrances son gagne pain ?

la vie dans les bois dit: à

J’ai juste voulu dire à rust colle qu’il arrête de se la péter.
Et j’ai fait des répétitions.

la vie dans les bois dit: à

Enfin mariage pour tout le monde, quoi.

la vie dans les bois dit: à

C’est un peu glauque.
Il y a même des pédérastes dans ce mouvement

« À l’origine, le groupe rassemble des féministes du MLF et des lesbiennes venues du club lié à la revue mensuelle Arcadie, auxquelles s’ajoutent des homosexuels en février 1971. Mais le déclencheur serait une affiche d’un Comité d’action pédérastique révolutionnaire collée à la Sorbonne en mai 1968. Le groupe organise des réunions à l’école des Beaux-arts de Paris. »

rust cohle dit: à

bien sûr mais les critiques n’ont pas assez insisté sur ce point, peut-être parce qu’il est le plus embarrassant, il me semble que ce que voulait dire Fink à Aubenas c’est que c’est toujours un rapport de force, chaque pouce de terrain cédé par les uns est conquis par les autres, Droopy le démontre à sa façon avec sa fiction.

n’est-pas Zoon ?
vous avez bien lu Soumission de Droopy comme une critique de cette pensée que vous incarnez ?
me semble-t-il.
ou alors vous l’avez mal lu ?

Widergänger dit: à

Pour ne pas se rendre compte que le selfie d’Auschwitz est obscène, il ne faut pas avoir la tête bien vissée sur les épaules.

De même pour penser que quelqu’un qui écrit un récit autobiographique serait de facto obscène.

Faut être bête tout simplement. Seule excuse à l’ignominie.

la vie dans les bois dit: à

C’est vraiment préoccupant. Ce manque de discernement.

Bloom dit: à

Phil, je dirais qu’au contraire Pasolini a tout de suite compris la navrante monotonie de l’Inde, d’où surgissent quelques personnages d’exception.
La fascination malrucienne pour l’Inde était celle d’un esthète qui n’a vu que les hauts lieux de l’art hindou & bouddhiste, fréquenté les grands hommes mais jamais rencontré les vrais gens (il l’avoue lui-même). Celle d’un homme hanté par la mort aussi (son père avait à la main un livre de sentences bouddhistes quand il s’est suicidé), à laquelle l’Inde continue à être d’une remarquable indifférence. « x est mort. – ah bon? ».
Pour Fernandez, je ne saurais dire pas, il ne fait pas partie de mes références sur l’Inde.
Hélas, la partie la plus riche & fascinante de l’Inde n’est plus en Inde, elle est au Pakistan. Réputation détestable pas entièrement usurpée. Les plus belles femmes du monde, sans aucun doute & la littérature contemporaine la plus vibrante d’Asie.

JC..... dit: à

FHAR

Après la scission, j’ai fait partie, huit jours, des GOUINES ROUGES.

Rapidement démasqué … je me suis engagé dans la Légion Etrangère de souche.

JC..... dit: à

« Hélas, la partie la plus riche & fascinante de l’Inde n’est plus en Inde, elle est au Pakistan. Réputation détestable pas entièrement usurpée. Les plus belles femmes du monde, sans aucun doute » (Bloom)

Ah ! tu m’en diras tant …. sale hétéro !

rust cohle dit: à

au contraire, il ne faut hésiter à se la péter, me semble-t-il.

surtout devant la complexité de la situation, Droopy a eu je crois raison d’extrapoler cette situation, de l’amplifier, de l’emmener vers sa limite.

dans les années 30 les socialistes à qui on aurait dit qu’ils seraient du côté des nazis ne l’auraient jamais cru, ils l’auraient pris comme une insulte, c’est pourtant ce qui est arrivé.

d’ailleurs quand Florence Aubenas a compris ce que Finky lui disait elle l’a mal pris, elle s’est sentie dans la position d’une socialiste à qui on aurait dit en 1935 qu’elle soutiendrait Vichy.

la situation est très complexe, et il me semble au contraire qu’il ne faut pas hésiter à se la péter pour essayer de la comprendre et d’être lucide, c’est le gros problème des journalistes et des intellectuels, leur manque d’effort et de rigueur qui aboutit à un manque de lucidité.

du coup on est obligés de se la péter à leur place pour se taper tout le boulot qu’ils devraient faire, ils sont complètement perdus dans leur tête les pauvres :

http://www.telerama.fr/idees/la-democratie-un-horizon-impossible-pour-les-pays-arabes,130910.php#xtor=EPR-126-newsletter_tra-20150910

Widergänger dit: à

« Un souvenir de voyage ». Tu débloques, t’es malade ! Aller à Auschwitz n’est pas un « voyage », c’est une épreuve !

Nulle part ailleurs, je n’ai ressenti la honte d’être un homme.

Aller à Auschwitz, c’est ressentir cette épreuve terrible de la honte d’être un homme.

JC..... dit: à

Mon ami Michel,
je n’irai pas à Auschwitz car je ne suis ni juif, ni concerné, ni sensible à cet évènement exceptionnle, somme toute NON EXTRAORDINAIRE dans l’histoire humaine.

Tu le comprends : c’est bon ; tu ne le comprend pas : prend ton temps, rien ne presse …

Un jour, peut-être.
Bien à toi.

Widergänger dit: à

Je ne suis pas ton ami. Tu dépasses les bornes. Pense ce que tu veux, ça m’est complètement égal. La réalité inclut les im.béciles heureux.

rust cohle dit: à

« Widergänger dit: 12 septembre 2015 à 13 h 37 min
Pour ne pas se rendre compte que le selfie d’Auschwitz est obscène, il ne faut pas avoir la tête bien vissée sur les épaules.
De même pour penser que quelqu’un qui écrit un récit autobiographique serait de facto obscène. »

je n’ai pas dit que c’était la même obscénité mais une autre forme d’obscénité.

le problème n’est pas d’écrire un récit autobiographique mais de devenir un animal de foire qu’on expose sous les projecteurs.

ou alors vous n’avez pas compris le mécanisme actuel du monde l’édition.
l’édition c’est le monde marchand, c’est l’activité « commerciale » dans ce qu’elle a de plus détestable.

ce que fait Angot c’est comme prendre le Requiem de Mozart pour vendre de l’eau de Cologne, le problème se trouve dans ce mélange des genres dont l’objectif est de stimuler les désirs libidinaux qui servent à alimenter le système capitalisme.

je comprends que vous ne l’ayez pas vu, sans doute faudra-t-il un peu de temps pour prendre du recul et voir que notre époque baigne dans cette obscénité, et que malgré tous ses efforts, Angot y est plongée toute entière.

c’est le système médiatique qui a fabriqué Angot.
Angot est un pur produit de notre société du spectacle et de la consommation.

et vous, vous nous parlez de récit autobiographique alors qu’il ne s’agit plus de ça.
si cette cette femme a fait de ses malheurs son gagne pain c’est bien parce que ce système l’a embauchée.
allez demander à la mère Térésa chez Flammarion ce qu’elle en pense d’Angot.

la vie dans les bois dit: à

le pen et d’autres négationnistes ont été condamnés. Il ne tient qu’à un fil que l’auteur du message de 13h57 ne tombe le masque.

T’en penses quoi Javert, il est encore défendable ton ami ?

rust cohle dit: à

si vous allez demander à la mère Térésa chez Flammarion ce qu’elle en pense d’Angot, regardez bien son regard, vous y verrez le reflet d’un tiroir caisse.

Widergänger dit: à

rust cohle dit: 12 septembre 2015 à 14 h 02 min
_______
Vous êtes un pauvre en esprit. Ça réduit d’autant les possibilités de dialogue.

rust cohle dit: à

Widergänger dit: 12 septembre 2015 à 13 h 51 min

pour vous mais la plupart des gamins (non juifs) n’en ont plus rien à taper d’Auschwitz.

arrêtez donc de refuser de voir le monde tel qu’il est et de vous inventer un autre monde qui n’existe pas ailleurs que dans vos rêves !

rust cohle dit: à

Widergänger dit: 12 septembre 2015 à 14 h 08 min

et vous, vous êtes très riche en esprit, tellement riche en esprit que vous vous êtes inventé un monde dans lequel vous vivez mais qui n’a rien à voir avec le monde réel !

JC..... dit: à

Vous êtes fous, mes braves, de parler de négationnisme ! Qui parle de négationnisme à Auschwitz ?

Il s’agit simplement de ne pas « sacraliser » des actes politiques au motif religieux. Si j’allais à Auschwitz, j’irai « VISITER » un camp d’extermination !

Que les juifs ressentent Auschwitz d’une certaine façon, je l’admet et les comprend, mais pour moi, organiser la Shoah, vitrifier Hiroshima, tuer des millions d’innocents au Goulag, enfermer en Lao Gai, décimer 1,7 million de personnes au Cambodge … c’est tout comme !

Vous pensez autrement ?
C’est votre droit.

Widergänger dit: à

Penser autrement ! Comme si c’était une question d’individu ! Ce n’est nullement une question personnelle, mais une question d’appréciation etd e compréhension objective de la Shoah. Le discours qui uniformise tous les événements cités, est une pensée antisémite. C’est tout. Tu penses comme les antisémites. Tu es un antisémite.

Widergänger dit: à

Tu ne peux pas t’en rendre compte parce que tu es trop bête ! Mais c’est toi et les im.béciles de ton genre qui vivent dans un monde fictif de préjugés et de vagues idées absurdes.

Martin Hart dit: à

excusez mon associé rust cohle, il n’a plus toute sa tête

rust cohle dit: à

l’Europe est devenue une maison de vieux, où des vieux comme Riboulet vous racontent leurs erreurs de jeunesse, ils ont l’esprit pris par leurs souvenirs.
Heureusement que vous avons quelques récits de gamins qui nous expliquent pourquoi aujourd’hui ils rejoignent Daesh, ou pourquoi ils se marrent en faisant des selfies à Auschwitz, ce genre de récit ne mériterait-ils pas un Goncourt ?

Widergänger dit: à

Si, les gamins non juifs en ont à faire d’Auschwitz ! J’en connais au moins trois qui sont élèves de collège, dont une jeune fille d’origine algérienne, musulmane, pas croyante mais arabe.

Votre cerveau est anémié.

Martin Hart dit: à

tout comme le PQ de porquerolles de plus en plus congre

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