Ralph Toledano sur la ligne d’ombre
Lecteur, arrête-toi un instant. Pose tes affaires, oublie tout et installe-toi dans la nacre du temps. Il est si rare qu’une histoire y invite qu’on n’a pas le cœur à refuser l’appel d’Un Prince à Casablanca (436 pages, 25 euros, La Grande ourse), premier roman de l’historien d’art Ralph Toledano, expert en peinture italienne (notamment Francesco di Giorgio Martini, école siennoise du Quattrocento). Si la nostalgie des mondes engloutis, des sociétés disparues, des âmes envolées t’est à ce point étrangère, alors passe ton chemin. Sinon, laisse-toi emporter par l’évocation de cette journée du mardi 10 juillet 1971 à Skhirat, à quarante minutes de Casablanca, tragique déclic qui poussa un certain Semtob, à dresser le bilan de sa vie, une existence protégée par le dévouement et la fidélité de ses serviteurs, entre les tapis de Chichaoua et les fauteuils club. Ce jour-là, Hassan II y recevait en tenue de golfeur un millier d’invités en sa résidence royale à l’occasion de son 42 ème anniversaire. Soudain, les cadets de l’Ecole militaire, manifestement drogués à en juger disait-on par leur état d’hallucination, firent irruption dans le banquet et l’arrosèrent à la mitraillette avant de balancer des grenades. Semtob ne dut son salut qu’à sa rapidité à se dissimuler sous une table aux amples nappes. Une fois de plus, le roi eut la baraka. Le général Medbouh et le colonel Ababou avaient raté leur coup d’Etat. On releva des dizaines et des dizaines de cadavres et de nombreux blessés. Cinq généraux et le double d’officiers supérieurs seront aussitôt exécutés.
Personnage central du roman, attachant dès les premières pages, c’est un magistrat raté devenu un grand brasseur d’affaires immobilières. Séfarade amoureux de la France et marocain fidèle sujet de Sa Majesté, jusqu’à la « revêtir d’une pellicule sacrée » et la vénérer de manière quasi mystique, il incarne dans toute sa complexité l’orgueil de ces Juifs expulsés d’Espagne en 1492 en raison leur refus de se convertir, et réfugiés depuis dans le nord du Maroc ; ils y firent souche et y prospérèrent sans jamais renoncer à leur dialecte judéo-espagnol, à leurs chants rituels et à leurs chansons familières, à la subtilité de leur cuisine, à leurs usages ; tant et si bien que, cinq siècles après, leurs descendants les pratiquent encore alors qu’ils ont de longue date disparu d’Espagne, agissant ainsi comme un conservatoire du monde d’avant.
Installé à Casablanca, Semtob y règne discrètement, non en pacha ou en autocrate mais en seigneur. Un prince à sa manière, comme l’annonce le titre, que ce Juif de cour. Il est touchant lorsqu’il prend conscience que son monde va disparaître, que ses valeurs morales n’auront bientôt plus cours, que la noblesse des rapports humains ne sera bientôt plus qu’une vue de l’esprit, que son code des usages sera vite obsolète, que l’argent et la technique triompheront de tout jusqu’à donner l’illusion d’acquérir ce qui ne se monnaye pas et que sa mort sociale allait devancer de peu sa fin : « Les repères pâlissant, son existence deviendrait inutile ». Orgueilleux de son lignage et de sa position, désireux de léguer probité et dévouement à sa descendance, il éprouve déjà le regret de ce qui se dissout et se décompose sous ses yeux, persuadé que « chacun est dépositaire de la grandeur de son histoire » et que le souci de son passé familial est ce qui en vérité distingue l’homme de l’animal. Il y en lui quelque chose d’un prince Salina saisi dans le temps suspendu d’un entre-deux-mondes. Même pour les Legrand et les riches colons français, l’alerte a sonné. Il est temps de partir, quitte à revenir plus tard à Marrakech car l’attachement au pays est trop fort, et à ne plus le reconnaître dans ce que les parvenus parisiens et les managers en ont fait. Les nuits de Semtob sont hantées par le massacre de Skhirat. Alors il allume sa lampe de chevet, se replonge dans ses volumes de Chateaubriand et c’est peu dire qu’il en est assombri, comme en témoigne cette confession à son fils :
« Je sens aujourd’hui que les forces de la République ne peuvent plus se renouveler : elles sont atteintes de la maladie du dogmatisme social. Ce dernier ignore la transcendance. Je t’ai déjà dit ce que je pensais de la devise en trois mots de la République… En tuant leur roi, les Français se sont fiancés à la mort (…) Bientôt, il ne restera plus qu’un pays délavé, pâle et sans identité. Le génie du christianisme aura cédé sa place au totalitarisme démocratique. La religion humanitaire, qu’aucun projet métaphysique ne soutient, est un aspect de ce totalitarisme (…) Je pense que le dernier sursaut de la France fut probablement son aventure coloniale. Elle était animée d’une vision qui souvent dépassait la matière pour atteindre à l’esprit ».
Il y a de quoi faire hurler les bonnes consciences dans cet au-delà du politiquement correct. Un au-delà car Semtob, comme son créateur Ralph Toledano, ne se situent même plus dans le registre de la politique mais dans une sphère intemporelle. On n’est pas plus démodé, ce qui en fait le charme. D’ailleurs, il finit par délaisser les Mémoires d’outre-tombe (sa citation des trois âges de l’aristocratie n’est pas fidèle…) pour la lecture des Psaumes.
Le Maroc est indépendant depuis 1956. Pourtant, quinze ans après, il y règne encore un parfum de protectorat ; l’urbanisme encouragé par Lyautey, l’architecture art déco et jusqu’au noms des artères (le boulevard de la gare, le boulevard Camille-Desmoulins) en témoignent. L’auteur rend bien les rites de l’été, les guitounes plantées près des cabanons sur la plage de Bouznika à 20 kms de là, les thés au casino de Fédala qui ne s’appelait pas encore Mohammedia, les ragots de cette petite société dont tous les membres ne se donnaient pas pour une élite, il s’en faut. De 250 000 âmes, la communauté juive est passée à 2000; à nouveau dispersés, ses membres vivent désormais à Genève, Paris, Montréal et en Israël ; mais leur monde, culture millénaire enracinée dans une terre, avec ses grandes heures et ses humiliations, entre convivialité et mépris, est mort à jamais.
La forme est fluide ; la langue, métaphorique, sensuelle, goûteuse ; et l’écriture, serpentine, bien que le point virgule, merveille de l’art de la ponctuation, en soit à peu près absent. Ralph Toledano a un goût prononcé pour les descriptions minutieuses, et de la plus grande précision lexicale ; ce tropisme s’étend au choix des patronymes, lourd de sens et jamais anodin, tant nos noms et prénoms nous annoncent et souvent reflètent une identité, et plus encore lorsqu’on y renonce. Voici les gens de Mogador, et l’exquis personnage de la cousine Phoebé Attia, qui ne se résoudront jamais à appeler leur ville Essaouira, les seuls à user pour des raisons historiques d’un parler franco-arabe mâtiné d’anglais. Voici Fortunée Melloul, Dora Azoulay et Mme Sananès… L’alternance du particulier et de l’universel, l’émotion d’un personnage face à une situation se métamorphosant alors en une réflexion qui dépasse sa personne, viennent d’une ancienne et intime fréquentation d’A la recherche du temps perdu. On sent que l’auteur a appris à sentir, à observer et à regarder du côté de chez Proust. On devine l’influence du Lampedusa du Guépard et du Tolstoï de Guerre et paix dans sa manière de mettre en scène la douceur de vivre d’un monde privilégié légèrement hors du monde. On suppose la lecture des Frères Karamazov dans sa recherche désespérée d’une réconciliation avec la vie et d’une rédemption finale.
De telles lectures ont manifestement laissé des marques profondes dans son inconscient au moment de prendre la plume. Mais l’auteur croit si fort à la puissance du témoignage qu’il n’a pas cherché à se documenter ni sur l’époque ni sur l’événement tragique de Skhirat ; tout juste a-t-il eu la curiosité de lire Deux étés africains (1972) de Jacques Benoist-Méchin qui y était ; pour le reste, la mémoire a fait son œuvre, son lent travail de décantation et de dépôt. De toutes façons, un roman aux prises avec les convulsions de l’Histoire n’a de boussole que le Zeitgeist et ses incertitudes, et in fine la sensibilité avec laquelle l’auteur le ressuscite, mêlant sa vision du monde à sa sensation de ce monde. Son sentiment de la mémoire est d’autant plus fort, voire exacerbé, qu’il appartient à une minorité.
Semtob sentait la fin approcher. L’orgueil le déserta et laissa place à un sentiment d’abandon et d’éternité. Il mourut dans son lit, et même dans son sommeil, Le Petit Marocain du jour sur sa table de chevet, la télévision allumée et résonnant des accents pathétiques de l’inégalé Farid el Atrache. Ce beau roman, qui a tout pour séduire et ce qu’il faut pour exaspérer, est celui d’un mémorialiste pour qui le passé n’est même pas passé. Il est d’un artiste qui s’est fixé pour but de décrire la fameuse ligne d’ombre chère à Rembrandt, évoquée par Marguerite Yourcenar dans Le Paradoxe de l’Ecrivain, un clair obscur qui permet à l’auteur de définir les personnages et les situations en évitant le cerne simplificateur qui ne correspond à aucune réalité physique. Ici frontière brumeuse entre le réel et la littérature, elle est celle qui unit tous les temps dans un même sentiment d’éternité.
(« Casablanca » photos Passou)
592 Réponses pour Ralph Toledano sur la ligne d’ombre
« … nous choisissons les plus consistantes »
Vous choisissez ce qui est à la portée de vos dents, ce qui n’est, au fond, que le juste sort du charognard.
Le tweet d’un témoin, permet de replacer l’hystérie qui s’empare de la réunion des frustrés nationaux:
« Selon LW les forces de l’ordre ont tiré sur les enfants. Perso j’ai vu des chars Leclerc et des lance-roquettes mais bon… »
Toute conscience est bien conscience de quelque chose.
renato, Vladimir ou Verloc?
Je ne comprends pas non plus comment un monsieur peut dire à une femme de se taire. Il devrait avoir honte, je pense. Que fait-il donc dans la vie?
Plutôt Vladimir, Bloom, car je ne donnerais jamais à un autre la responsabilité de porter une bombe.
Une femme devrait savoir se taire sans qu’un monsieur ait besoin de le lui dire.
La parité c’est la parité nadine. Vous vous plaignez que personne ne traite du billet ? si c’est votre problème faites-nous voir ce dont vous êtes capables ou taisez-vous. Ou alors causez d’autres chose, ce qu’on fait ici la plus part du temps.
Très bien, je vous laisse entre vieux aigris. Adieu.
renato, maintenant spécialiste de Conrad, on n’arrête pas le progrès…
Voilà qu’appelée à s’exprimer sur le billet elle préfère se cacher derrière le très usé : « je vous laisse entre vieux aigris ».
Solidarité active avec nadine.
Ajoutez mon nom, sabine, s’il vous plaît.
Trop c’est trop.
Quoi Ph. R., vous entendez par là que je n’ai eu une adolescence digne du nom ?
Hé, sabine & véronique (et les suivantes, s’il y en aura) ce n’est pas parce que nadine vient faire la moraliste à 2balles que vous devez en faire autant…
Gide n’aurait jamais traduit Conrad s’il n’avait été assuré de naviguer en eaux troubles.
Il est garant de quoi le traducteur, Phil ?
Renato, Gide ne se soucie pas de garanties, il impose.
La nature du XXe siècle fut totalitaire faute de mieux, Phil.
C’est vrai qu’elle n’a pas l’air cool, nadine.
En réalité, c’est peut-être un très brave homme.
« En réalité, c’est peut-être un très brave homme. »
Je mettrais de côté le peut-être, ueda, et je dirais même que le brave homme en question est plutôt con…
oui renato. D’ailleurs je crois que Gide a ravi la primeur de la première traduction française de Conrad à un auteur belge, ceci à la faveur de la première guerre qui permit d’oublier les travaux de ce premier traducteur de verve flamande initiée. C’est une forme de totalitarisme. Aux Libérations tous les coups sont permis, en littérature aussi.
Conrad a navigué, je ne sais plus où j’ai enregistré une fausse info, désolée.
Attention, Phil et renato.
Dans toute conversation sur Joseph Conrad, il convient d’ajouter:
« Sur ce thème, on consultera avec fruit les travaux de M. Philippe Régniez ».
J’ai lu Conrad en italien Phil, et à l’époque je ne me souciais pas de la figure du traducteur. Pourtant j’avais déjà croisé le chemin d’un traducteur avec le Moby Dick de Pavese.
Pour les totalitarismes, si on analyse l’ascension au pouvoir de Mussolini on voit que la méthode fonctionne à merveille dans les petites structures aussi…
..Moby Dick…traduction aussi de Giono..qui faillit couler à la libération (pas la même que celle de Gide).
Indépendamment de Pavese et de Giono, et des événements qu’ils vécurent après la Libération, Phil, la question qui me perturbe en ce moment est : « Peut-on tenir Beckett pour responsable de ce qui s’est dit et fait en son nom ? » — la part de S. B. artiste et son rôle dans la Résistance sont hors discussion. Cela n’a rien à voir avec le billet, naturellement…
l’entrée en angle de cette bicoque de friqué est tout a fait spèce..l’estatue manquante..2 palais jumelés ? belle soluçion en tout cas
Il est bien connu que tout enseignant(e) se promène avec un gode
mes ptichéris..dracuclululule
La photo mal cadrée surprend de la part de l’amateur de belles images dissimulé sous l’auteur passionné des billets qui invitent toutes les solitudes du monde à venir converser , déverser pamphlets et essais
il y a quelquechose d’empathique et de communicatif avec le sujet dans ce cadre qui se fait la malle..la ruine c’est lui..c’est flaubertien tien..faudrait savoir si lassouline a pris des culs en photos..enfin les voirs empaté..je veux dire empati (et patata)
l’entrée en angle de cette bicoque de friqué est tout a fait spèce..
..mais non c’est coté jardin..que je suis bête
…
…pour faire de la politique,…il faut avoir la foi de la foi,…l’hérédité à protéger,…
…pour les infidèles la foi des illusions de la société » rationnelle » du chypre pour tout le monde,…
…etc,…à la bonne heure,…
Casablanca, en italien, veut dire ville blanche.
Mais je n’en mettrais pas ma main au feu.
En it. « blanca » ne signifie rien.
… et « casa » vaut « maison »…
« mes ptichéris..dracuclululule »
non ça c’est les curés et cardinaux quand ils disent laissez venir à moi les pitits enfants-
Jean-Marc Roberts est mort. Je l’avais connu au lycée Chaptal. Il était en Terminale quand j’étais en Première. Nous avions tous les deux le même prof de lettres, le poète Lionel Ray, et nous écrivions des poèmes dans le club de poésie du lycée qu’avait organisé Lionel Ray. J’avais créé une revue de poésie et nous refaisions le monde après les réunions du club au café d’en face avec Lionel Ray qui nous parlait aussi d’Aragon qu’il fréquentait alors assidument. Toute une jeunesse. Triste de mourir sui jeune. Mort au cancer !
« casa blanca » c’est » maison blanche » en espagnol
Prenons comme exemple Mascalzone, à ne pas confondre avec Mascalpone : « T’as une gueule de gansgster italo-américain »….
Je vous lis avec attention, mais persiste à croire que c’est ma version qui est la bonne.
Casablanca étant une très grande ville, il est manifestement absurde qu’on ait voulu l’appeler une simple maison. D’autre part, le rôle des Génois sur cette côte est attesté bien avant celui des Espagnols (ce n’est du reste que tardivement que l’espagnol s’est détaché du reste de la famille latine).
Mais je suis prêt à laisser ouvert le dossier.
Comme on dit chez nous, à certains blancs il manque une case.
Mort au cancer !
La mauvaise langue: 1
Cancer: 0
Casa signifie maison en italien aussi comme tout le monde devrait le savoir il me semble.
Casablanca veut dire en effet maison blanche; c’est évident.
« Ce beau roman, qui a tout pour séduire et ce qu’il faut pour exaspérer »
Bien dit… RDL, l’exaspération est la condition sine qua non de la séduction de tout nouveau roman dont on vous entretient… De là à aller le lire pour vérifier l’effet… Oui, peut-être, quand Passoul ne fera plus parasitage, nous irons alors y boire quelque nectar dans la solitude des pages. Car tel est l’éternel problème posé aux lecteurs de ce blog : on y apprend des choses, certes, mais pas au point de vouloir s’y faire empierger à si bon compte… Il faut parfois laisser le temps au temps et passer du rire à l’oubli et de l’oubli à l’exaspséduction.
Diagonal est mal luné. Mais je m’incline finalement : casa blanca, c’est de l’espagnol.
Enquête à suivre, donc, même si on ne peut exclure le blanchiment de toponymes à l’époque coloniale.
Le 7 est la valeur première. 4+3=7. 1431 = 7 encadré par la valeur première.
H=8
R=18
Différence : 1
D’où nécessité d’encadrer 7 par deux 1.
Conclusion ; HR est le diable, c’est son point commun avec Jacques Barozzi, qui est partisan du mariage contre-nature.
Vive Frigide Barjot. (Pour une fois, je suis entièrement d’accord avec l’UMP.)
Je ne crois pas qu’on puisse le savoir (en tout cas pas sur wikipédia) mais il est probable que le nom Casablanca vient de l’Espagnol. C’est une ville aux maisons blanches tout simplement.
Mort de Jeanne d’Arc, naissance de François Villon.
« Je ne crois pas qu’on puisse le savoir », dit Mauvaise Langue, parce qu’il ne parle pas espagnol. Moi non plus.
Je ne dis pas que vous avez tort, je dis qu’il y a controverse.
Il faudra donc veiller à laisser un temps de parole équivalent aux deux thèses en présence.
Alors donnez-en l’explication et dites -moi en passant s’il est obligatoire de prendre position pour ou contre ce nouveau mariage ? Au pire qu’est-ce qu’on risque?
Ce mariage intéresse moins d’un pour cent de la population.
Tous mes potes pédé font la distinction entre l’anus et l’anneau, et se foutent bien de ce dernier.
14341 j’avais lu qu’il qu’elle avait connu son premier émoi à 14 ans continua en inversant sa nature à 41ans et n’y trouvant pas satisfaction décida d’opter pour trois : 3 hommes 3 femmes deux hommes 1 femme deux femmes 1 homme ?
Sur le radeau de la Méduse, ils devaient se demander comment distinguer les naufragés de gauche et les naufragés de droite.
J’en étais, archimède.
Les deux autres femmes étaient passables.
« Ralph Toledano sur la ligne d’ombre »
« Il est d’un artiste qui s’est fixé pour but de décrire la fameuse ligne d’ombre chère à Rembrandt. » Passou.
Les quelques lignes de renato n’ayant amené aucun éclairage décisif (c’est le cas de le dire!)sur l’ ombre de Rembrandt, peut-être de LML nous fournira t-il quelques lumières?
‘…l’inégalé Farid el Atrache…’ merci M. Assouline pour avoir mentionne ce grand artiste…pour le reste, j’étais au Maroc, il y’a quelques temps et mon impression est que les français là-bas se comportent en nouveaux colons…ailleurs, la prostitution, la pédophilie, tous ces riads achetés pour presque rien et retapés a grands coups de subventions de l’UNESCO pour ensuite servir de résidences secondaires ou d’hôtels luxueux aux DSK, BHL et tutti quanti…ces bars ou les ‘indigènes’ ne sont pas les bienvenus…tous ces marocains qui vivent de servir leurs maitres européens et saoudiens et qui habitent tous extra-muros…j’y étais très bien accueilli, comme je m’y attendais et en ai garde de tres bon souvenirs, mais pas ma tasse de the…
» … n’ayant amené aucun éclairage décisif… »
Amener un éclairage décisif n’était pas dans mes intentions. C’est le cas de le dire ?
…s’est fixé pour but de décrire la fameuse ligne d’ombre chère à Rembrandt. » Passou.
Bon, ne chipotons pas renato, il nous faut une explication, d ‘où qu’elle vienne. C’ est intriguant cette histoire d’ ombre, non?
Si vous avez un brin de temps à perdre, Mauvaise Planque, jetez un coup d’œil à « The Shadow Line: A Confession » de Joseph Conrad…
J’ai pourtant quelques notions. Par exemple : soupaloñon y crouton, pour demander pitance.
Dans « The Rembrandt Secret », un thriller plein de surprises, Alex Connor met en scène l’assassinat de Owen Zeigler,un marchant d’art londonien connu pour être un expert respecté de la peinture hollandaise du XVIIe siècle. L’assassinat met en émoi le monde de l’art et Marshall, le fils du marchant que jusque là il ne s’intéressait pas aux activités du père, décide de conduire son enquête.
Owen Zeigler connaissait un secret qui aurait jeté une ombre sinistre sur Rembrandt, et qui, si revelé, aurait produit un effet dévastant sur le monde de l’art. Marshall arrive vite à la conclusion que le secret de Rembrandt est la cause de la mort de son père et qu’il devra agir très prudemment car il pourrait être la prochaine victime. Arrivera-t-il à vivre assez pour découvrir le secret ?
j’ ai déniché un texte sympathique, oh, pas un texte d’ universitaire mais de poète, un peu professeur mais essentiellement poète à propos de cette ombre de Conrad..Et je vais chercher pour Rembrandt, quand même!
» Au reste, les capitaines de Conrad trahissent très souvent ou ne sont pas à la hauteur ou, de toutes façons, se révèlent oppressés par des incertitudes et des sentiments de culpabilité. Et la première mission du bateau est «un traquenard», elle ne se réalise pas en tant que baptême rêvé. Comme dans un autre récit célèbre, au-delà de la «ligne d’ombre», une fois cette limite franchie, on parvient à rencontrer la «vraie vie», on se retrouve aux commandes d’un vaisseau presque ensorcelé par la négation, un vaisseau fantôme, même si plus tard une fin heureuse s’ensuit. Comme elles ont déjà quelque chose de fantomatique ces hiérarchies et ces sociétés qui semblent si pleines de vie (et elles le sont surtout si on les compare au monde tsariste, terme auquel on ne saurait renoncer et point de comparaison sous-entendu). Un style digne des petits barons lockiens du dix-huitième siècle (par ailleurs appréhendés comme les successeurs des petits barons pirates) est senti d’autant plus nécessaire qu’il s’avère désormais impossible.
La puanteur de l’hypocrisie européenne et britannique se répand, et l’oripeau du burden civilisateur apparaît dans toute sa fausseté. En effet, le modèle
humain en passe de s’imposer ne peut plus être l’esprit fort* loyal et «ignorant», mais un surhomme schi-zoïde qui, pour la dérision des hypothèses du surhumain proposées par Nietzsche, ressemblera toujours davantage à un monstre sous-humain. Voici alors que pour Conrad, les parias, les outcasts sont les plus authentiques qui, victimes et complices, ont été relégués à la marge du colonialisme. Et tout capitaine est un oucast potentiel. Ces derniers sont les plus innocents du simple fait qu’ils ont pris le parti des opprimés et payé les conséquences de leur expérience : peut-être jusqu’au point de la restituer avec le goût d’un rêve, d’une aventure dont l’innocence est à chercher dans sa lointaine origine de rêve et d’aventure infantile, adolescente. Et Conrad s’approprie ici un autre des grands thèmes du décadentisme et du vingtième siècle. Il est également, de son propre aveu, dès son enfance, un amoureux de cartes et d’estampes * et il le demeure; assimilant l’âme humaine à un navire à triple mâture, il pourrait répéter avec Baudelaire que notre âme est un trois-mâts cherchant son Icarie-, la recherche de la «preuve» et des paradis sur les mers est pour lui également le fait d’une adolescence attendant à l’infini son initiation. »
Andrea Zanzotto Essais critiques traduits et présentés par Philippe Di Meo José Corti 2006.
Bla, bla…
Zanzotto fut un magnifique ‘‘professeur’’. Je me souviens l’avoir vu, à l’université de Turin, écouter attentivement une fille qui lui expliquait sa poésie…
Quand je poste des liens, c’est toujours en rapport avec un contexte précis.
La qualité technique est primordiale.
Philippe Régniez dit: 25 mars 2013 à 21 h 30 min
Bla, bla…
ah Vot’Imminence, blablater c’est bien, en fait mon caniche adore le blabla, mais fournir une argumentation raisonnée, c’est encore mieux, non? je sais que vous avez été traumatisé par la menace anthropophage qui émane d’un ou deux passages du ‘Heart of Darkness ; mais z’encore, Vot’Munificence ? comment ? non…je vous crois sur parole hein, mais perso, je ne me souviens pas de sodomie dans le bouquin…par contre, des égorgements, ca oui…a gogo, même…mais c’est une violence nécessaire et dans sa propre logique, n’est-il pas ? un peu comme celle qu’infligeait votre Eglise bien-aimée aux esprits récalcitrants…
Mon cher Abdul, la dernière fois que vous m’avez fourni une argumentation raisonnée vous m’avez parlé de votre zob.
ah oui…effectivement, Vot’Grace…je m’en souviens fort bien…j’avais dit, a peu prés, que j’avais le cœur a gauche et le zob a droite…veuillez bien m’en excuser…mais admettez au moins, Vot’Saintete, qu’il y a une grosse et profonde veine a explorer là-dessous, une qu’on peut percevoir, a peine masquée sous le voile quasi-transparent d’une lourde allégorie, peut-être bien maladroite, je vous l’accorde, mais bien mieux a gauche…d’ailleurs un bon tailleur vous posera toujours cette question…
HATE
HAVE
HIVE
LIVE
LOVE
Bonsoir !!!
A Borys et à tous les autres qui comme lui ont franchi dans leur prime jeunesse la ligne d’ombre de leur génération.
Avec affection.
« Dignes à jamais de mon respect ».
J.C.
Amusant comme des terriens semblent comprendre les marins !!!.
Bonne nuit …
« … D’autres fois, calme plat, grand miroir
de mon désespoir »
Baudelaire.
renato dit: 25 mars 2013 à 20 h 32 min
Amener un éclairage décisif n’était pas dans mes intentions. C’est le cas de le dire ?
renato n’a jamais éclairé personne.
Petite étude de son fonctionnement de base : lecture au hasard de wikiki, sujet mal compris, question péremptoire posée à la rdl, attente avec relances, bien sûr aucune réponse fournie par lui.
Et ça marche (enfin on lui laisse croire) depuis trois ou quatre ans.
Par l’usage du chiaroscuro Rembrandt feint nous offrir une ouverture dans l’esprit du personnage représenté — il feint car le contenu de sa pensée reste caché dans l’ombre même si la profondeur psychologique suggérée par le chiaroscuro semble nous donner la certitude que quelque chose se passe dans l’esprit du personnage. Est-ce que par ce procédé Rembrandt dissimulait ses intentions et ses sentiments, ou est-ce qu’il avouait l’impossibilité de connaître ou comprendre l’autre ? Le fait que la nature de ce quelque chose (pensée, sentiment, émotion) reste obscure me fait pencher pour la seconde hypothèse car « l’autre est en tous les sens un mystère ».
23H13
ça sent son copier/coller personnalisé
« Et ça marche… »
Déjà le fait qu’un jeu marche ou ne marche pas c’est un problème pour les cons, et un con qui use de son temps pour décrypter mon jeu est encore plus con qu’on peut l’imaginer ; si par-dessus le marché il arrive à des conclusion inexactes, on ne saurait pas avec quel mot le définir…
« ça sent son copier/coller personnalisé »
Une fois écrit, pratiquement tout ce que nous savons sent le copié/collé, surtout lorsqu’on parle de personnages de l’importance de Rembrandt… mais si vous pouvez faire mieux…
Dans ce récit qui, je le reconnais, est malgré sa brièveté un ouvrage bien complexe, je n’ai pas eu la moindre intention d’effleurer le surnaturel.
…/…
Quelle que puisse être ma modestie native, elle ne condescendra jamais à subvenir à mon imagination en recourant à de vaines inventions communes à tous les âges et capables de remplir d’une indicible tristesse tous ceux qui ont tant soit peu d’affection pour l’humanité…
J.C.
si par-dessus le marché il arrive à des conclusion inexactes
renato
Ben non, à mon avis cela semble plutôt exact et bien vu.
Vous êtes mauvais juge renato
Quant à l’effet d’un choc mental ou moral sur un esprit simple, c’est là un sujet d’étude et de description parfaitement légitime.
J.C.
renato dit : Une fois écrit, pratiquement tout ce que nous savons sent le copié/collé
Ecrit ou pas renato, le copier/coller vous colle à la peau comme le sparadrap de Haddock.
Vous êtes bon juge, je n’en doute pas, et cela suffit pour nous combler.
Bon, maintenant assez joué avec le troll à « pseudos multiples ». Vous avez un problème d’identité ? faites-vous soigner.
« savons sent le copié/collé »
Les savons sentent renato, personnellement je préfère le vétiver mais chacun ses goûts
Les mots « dignes à jamais de mon respect » que j’ai choisis comme épigraphe …/… il est évident, d’après l’endroit où ils se trouvent, qu’ils se rapportent aux hommes qui formaient son équipage et qui, quoique complètement étrangers à leur nouveau capitaine, lui apportèrent un concours fidèle …/…
Car c’est assurément une grande chose que d’avoir commandé une poignée d’hommes dignes à jamais de votre respect.
J.C. 1920.
Terriens, je vous … .. .
Signé BONUX.
Pour le crétin qui par mal connaissance a estimé que Conrad était un marin d’eau douce au plus…
que Gallimard en son Quarto, l’absolve !!! !! !.
Ne pas confondre le surnaturel comme il est souvent pris dans le sens moderne pour fantastique, avec le surnaturel religieux, lié au mystère et au divin, n’oublions pas que Conrad était catholique (tout comme Baudelaire), donc empreint de ce surnaturel là… « Le monde des vivants contient suffisamment de merveilles et de mystères tel qu’il est. »
Conrad homme de mer : The mirror of the sea ; A personal record.
Au théâtre ce soir. Partager l’émoi cinglant de Penthès ? N’y comptez pas.
Être encalminé dans le golfe de Siam,
n’a rien de surnaturel…
Comme pour le pot au noir,
tout à fait naturel !.
Une histoire de vent,
sans pet pour crétins… .. .
Quant à Rembrandt,
sa ligne sombre souvent verticale,
sert à attirer le regard,
afin que l’œil,
reposé,
revienne sur le motif !!!.
Ainsi put-il décentrer,
le sujet mit en exergue !!! !! !.
En cela,
un peintre toujours précurseur est il !.
La ligne d’ombre signée Rembrandt
repose le regard.
Ce qui n’est certainement pas le fait du fat
dont vous faîtes votre post !!! !! !.
Copié-collé en forme de poésie. C’est une option?
« On suppose la lecture des Frères Karamazov dans sa recherche désespérée d’une réconciliation avec la vie et d’une rédemption finale. »…
AH, ah, ah,
sauf que ce roman demandait une suite qui n’est jamais venue, pour une rédemption finale américaine… le nouvel Eldorado de la réconciliation…
A l’est de Sakaline !!! !! !.
Nonne notte !.
Vous connaissez mal l’atelier de Rembrandt aussi que son sens du théâtre, mais cela n’est qu’un détail ; c’est quand vous parlez de « sujet mit en exergue » que vous touchez l’acmé de la fatuité.
Ne vous inquiétez point,
rénato,
lors,
mon œil vous auriez,
sans chance pour vous,
de mes murs,
ma fatuité ne sera votre acclamée*** !!! !! !.
Quant au détail :
cela ne vous rappelle-t’il point une certaine personne ???.
Bien à vous !.
« cela ne vous rappelle-t’il point une certaine personne ??? »
Quand je lis une pareille formulation c’est tout un milieu me vient à l’esprit. Un milieu ou le sous-entendu le dire par voie indirecte cachent des haines réprimées et parfois des intentions qu’il vaut mieux ne pas connaître, ce n’est pas un milieu fréquentable et ce ne sont pas des façon de faire très dignes.
Vous avez quelque chose sur le cœur ? dites-le clairement. Faite toutefois attention à ne pas vous prendre les pieds dans le tapis comme c’est le cas là ou vous reprenez Passou à propos de la lecture des Frères Karamazov car vous oubliez (ou n’avez pas observé) que son « On suppose » aliène votre piqure de rappel : la « suite qui n’est jamais venue ».
Lorsque je donnais un cours/TD de littérature britannique du 20e siècle à Paris III, j’avais fait plancher les étudiants sur un extrait de Heart of Darkness ( le rapport de Kurz, ‘Exterminate all the brutes’). Les idées fusaient, souvent pertinentes et exprimées en bon anglais. Pour clore le cours, j’ai proposé une lecture du texte incorporant des éléments de la seconde topique freudienne…Flop total, les étudiants n’avaient jamais entendu parler du ‘ça’, du ‘moi’, ou du ‘surmoi’ (id, ego, superego en anglais). C’est ainsi que j’ai vraiment pu juger de l’écart entre les générations. On était à la fin des années 90 et je venais de me prendre une de mes plus belles chaussettes pédagogique. Pourtant je maintiens que ma lecture de l’extrait, une partie d’autres possibles, ‘tenait la route’ et donnait du grain à moudre. O tempo etc…
pédagogiqueS
Mon électricien me disait hier : « Tout de même, ces pédés ! prendre à l’envers un organe de sortie, le confondre avec un organe d’entrée, quelle erreur d’analyse ! Ils ont eu un court-circuit là-haut, dans le ciboulo… Quelle époque ! » Je l’ai remis séchement dans le droit chemin de l’humanisme mouderne : « Gaffe, vous devenez homophoque, mon brave ! C’est un délit »
« Délit, mon cul ! », il a fait, « et vous savez que c’est la préfecture de Police de Paris qui va compter les chômeurs maintenant ? ça va être bon pour l’emploi. »
Et qu’est-ce qu’il dit votre électricien de l’ignoble attaque de la justice contre les politique ? c’est bien fait pour l’un et une manœuvre abjecte pour l’autre ?
les politiqueS
Je l’ai remis séchement dans le droit chemin de l’humanisme mouderne (JC)
Certes que l’humanisme à l’ancienne était bien plus compréhensif : il les soignait dé-fi-ni-ti-ve-ment .. après un bref séjour dans un village touristique
Bloom dit: 26 mars 2013 à 3 h 13 min
« pédagogiqueS »
complement d’enquête dit: 26 mars 2013 à 7 h 21 min
les « politiqueS »
Ne jamais confondre soupçons, intime conviction et preuves … !
@Mauvaise Langue
en italien « blanc » se dit « bianco »
et en portugais c’est « branco »
quelle actrice la butin ! du surnaturel divin, presque!
chouxfleurs est une victime innocente
« Le Pingouin vole bas ! je répète : Le Pingouin vole bas ! »
« Boutin est ressuscitée ! je répète Boutin est ressuscitée ! »
« la fraise des bois est mûre ! je répète : la fraise des bois est mûre! »
avec jc la mer.e monte monte
raymond ne peut relever que de la justice divine -les manants ne peuvent pas comprendre
La merdre monte toute seule, jicé pervers se contente de contempler la vague du tsunami
Ce mariage ressemble à une plaque apposée à la porte d’une nouvelle ère, après avoir jugé condamné torturé réprouvé contraint déporté brûle les homosexuels des lois vont leur permettre de mettre à profit les bénéfices de l’évolution des connaissances et techniques, il s’agira d’un réajustement qui offrira une nouvelle égalité, l’accès à la procréation sera le même pour tous de la même façon que le progrès a rendu possible l’accès au téléphone internet eau potable soins etc au plus grand nombre. C’est une suite logique dans l’évolution des moeurs de l’ouverture et des changements des mentalités, un des wagons de la marche des progrès dont on ne sait pourtant pas la destination exacte.
Archimède, on vous a connu plus intelligent(e)…
« l’accès à la procréation sera le même pour tous de la même façon que le progrès a rendu possible l’accès au téléphone internet eau potable soins etc au plus grand nombre. »
Plus con, tu meurs. Un enfant, ce n’est pas un objet de consommation de masse !
8h38/Vous avez du rêver, quelque-chose me gêne dans cette nouvelle loi que j’essaie de disséquer de comprendre alors j’expose ces remarques à la critique discursive; aidez-moi si vous le pouvez.
Un enfant c’est tantôt un objet tantôt un sujet traité de différentes façons selon …
Il ne s’agit pas de progrès, mais l’inverse : prendre des vessies pour des lanternes, et des bébés pour des portables.
On peut aussi envisager l’impossibilité d’avoir un enfant comme une stérilité qui il n’y a pas si longtemps condamnait les couples qui la subissait à renoncer ou à adopter .
Et que dira-t-on des femmes qui seront exploitées comme porteuses pour satisfaire le désir de plus riches qu’elles tout juste désignées bonnes à etre ensemencées? Qu’elles sont elles moins que ces objets qu’elles seront destinées à fabriquer?
La chaptalisation de LML est un fiasco : au résultat on obtient un picrate essentiellement aigre.
« Un enfant, ce n’est pas un objet de consommation de masse ! »
dixint les (prélats pédophiles protégés par le vatican ..
Certes que pas tout le monde peut se permettre le luxe de conserver ses enfants par le froid…
Un peu comme des prolétaires qui ne posséderaient que leurs corps comme outil de production en contrepartie d’un salaire au péril de leur vie abîmant leurs organes y laissant leur temps de femme féconde pour que d’autres en profitent comme des actionnaires qui se fichent éperdument de la misère semée pourvu que leur richesse soit protégée pour le siècle à venir et pourquoi pas l’éternité
rénato l’Inde est déjà en ce sens mise au travail, on ne sait pas ce que ce commerce va devenir, s’il va connaitre un essor si les demandeurs et acheteurs trouveront d’autres solutions .
Quoi, aux Indes aussi il conservent les bébés par le froid !?
On embauche à Pole Emploi….
Cela dit, que diriez-vous si j’écrivais Archimede sans accent ?
9h07 rien surement est-ce la bonne orthographe et je ne respecte pas la règle
En Inde l’utilisation des femmes en tant que mère porteuse est plus répandue qu’ailleurs.
Et cela ouvre une perspective inquietante car « Archimède » est la bonne orthographe française exactement comme « renato » (sans accent) l’est en italien… et le non respect de l’identité c’est un premier pas vers des glissement peu rassurants…
Je ne comprends pas, la pilule est en vente libre, pourquoi donc mettre au monde des enfant pour les conserver dans le freezer ?
En occident des femmes sans emploi ou soucieuses d’améliorer leur ordinaire, des étudiantes aux ressources insuffisantes vendent gestation ovules ;cette nouvelle loi ne va-t-elle pas intensifier ces transactions commerciales et celles-ci ne conduiront-elles pas à faire du corps et des femmes des outils des machines avec comme conséquences des paramètres encore ignorés, une machine qui signera contrats,et qui devra se purger de tout affect, comme en épidémiologie un temps de recul est nécessaire à évaluer les conséquences que nous n’avons pas et dont de plus il est prévisible qu’il faudra accepter et digérer .
Mélenchon: « Il faut parler cru et dru »
Il aurait pu rajouter « …et peu importe ce que vous dites ! »
(pas mal de mélenchonesques précheurs, en RdL : on parle cru et dru, et finalement…)
Il faudrait apprendre que ce que fait notre voisin n’est pas notre affaire, mais demander un minimum de civilité semble désormais une action immorale.
Toutefois je doute que ces transactions réservées à une « élite » car onéreuses se répandent et deviennent monnaie courante, peut-être trouvera-t-on dans cette nouvelle filiation un marquage supplémentaire du genre c’est un bébé cher?
9h23 Que voulez-vous dire? A qui précisément vous-adressez-vous? Si cela ne vous gêne pas de vous engager plus clairement dans la discussion afin que cru et dru réadaptent au besoin afin d’être perçus autrement au besoin et si tel était leur souhait.
renato dit: 26 mars 2013 à 9 h 07 min
Cela dit, que diriez-vous si j’écrivais Archimede sans accent ?
Que vous êtes aussi con que TKT, mais nous nous en doutions un peu.
renato nous sommes 6 milliards et les démographes prévoient 9 milliards d’êtres humains pour 2050, il va falloir changer de mode alimentaire et trouver si le soleil ne nous grillent pas avant de quoi occuper et chauffer tout ce monde que la Terre peine à porter .On pourrait envisager d’exporter nos déchets dans l’espace inhabitable ce qui nous ferait gagner un peu en place et sur les pollutions.
grille
Ne faite pas une dépression Sitges, il est extrêmement ardu d’égaler votre record.
cette nouvelle loi ne va-t-elle pas intensifier ces transactions commerciales
adressez-vus à « dieu »: ça rapporte gros aux « porteuses » -en france ce n’est pas prévu (les dons de spermes d’ovules e sont pas rémunérés en france)
Et puis arrêtez de venir vous défouler ici! un peu de pudeur (à supposer que vous vcompreniez le sens de ce mot): consultez
« … il va falloir changer de mode alimentaire et trouver si le soleil ne nous grillent pas avant de quoi occuper et chauffer tout ce monde que la Terre peine à porter »
C’est comme tout, si chacun fait sa part les problèmes trouvent leurs solutions. Commencez donc par vous-même : comment consommez-vous, etc.
Archimède dit: 26 mars 2013 à 9 h 14 min
(« En Inde l’utilisation des femmes en tant que mère porteuse est plus répandue qu’ailleurs. »)
eh bien adressez vous aux autorités de l’Inde au lieu de faire ch..
9h46 quand un commentateur m’est antipathique insupportable soit parce qu’il m’ennuie soit que sa fatuité ou autre détail de son profil me conduit à vouloir de lui qu’il s’absente je passe par dessus le commentaire, vous disposez de la possibilité de regarder les pseudos avant de lire je suis surprise que cet intérêt dont vous témoignez vous enjoigne à la grossièreté, de plus il n’est pas seulement question de l’Inde dans tout ceci, relisez
Voyons JC puisque vous admirez les mafieux escrocs voyous, ces modèles de la modernité décomplexée, réjouissez-vous de ces pratiques mercantiles supplémentaires, florissantes aux usa entre autres
« quand un commentateur m’est antipathique insupportable soit parce qu’il m’ennuie soit que sa fatuité ou autre détail de son profil me conduit à vouloir de lui qu’il s’absente je passe par dessus le commentaire, »
on s’en fout complètement
renato j’ai du subir une gastrectomie des 2/3 et une lobotomie qui m’exemptent bien évidemment.
Ravie modern man, moi aussi.
JC un bon conseil: allez adresser vos hargne et pétitions aux pays où les gens, les femmes et les labos qui en profitent, sont grassement rémunérés pour ces pratiques
On pourrait envisager d’exporter nos déchets dans l’espace inhabitable ce qui nous ferait gagner un peu en place et sur les pollutions.
—
Une allusion voilée au rapport encore non pubié de la DDE qui prévoit d’utiliser pour ce faire l’île de PQ rebaptisée PorCHerolles? Les chiffres montrent qu’on y trouve une concentration alarmante d’ondes connes très négatives, extrêmement nocives pour la cohésion sociale et irréversiblement toxiques pour la santé mentale.
alex9h44 jusqu’à présent je ne suis pas parvenue à me concocter une opinion arrêtée quant au mariage assorti à la PMA qui irait avec, le droit d’y penser n’a pas été aboli quand bien même la loi a été adoptée. Je ne vois pas où vous situez votre notion de la pudeur ou alors nous serions tous des revues pornographiques?
C’est comme tout, si chacun fait sa part les problèmes trouvent leurs solutions.
Où renato rejoint JC dans l’ultra-libéralisme.
10h10 Et vous constatez que les choses se déroulent ainsi, chacun dans son rôle, la financiers à la finance, les scientifiques à la science, les mendiants à la rue, les étudiants aux études, les sans-emploi à l’emploi, les agriculteurs aux champs et les pêcheurs sans poissons?
Pourquoi, peut-on parler de ligne d’ ombre chez Rembrandt en partant de cette toile peinte à 22 ans : » Les Pèlerins d’ Emmaüs »?
Une tentative de réponse :
» Il était plus difficile de faire sentir la fugacité de ce passage et de concilier cette impression avec le réconfort procuré par l’assurance que le Christ demeurait présent parmi les hommes par-delà la mort. On a vu que les tentatives des peintres pour inscrire sa disparition dans l’image n’étaient pas très convaincantes. Seul Rembrandt, encore une fois, y est parvenu, non pas tellement dans le dessin où il a représenté sa chaise vide, ou en train de le devenir, mais plutôt, et par des procédés qui diffèrent profondément l’un de l’autre, dans ses
tableaux du musée Jacquemart-André et du Louvre. Dans le premier, c’est l’effet de contre-jour qui confère à son image à la fois une affirmation de puissance et une sorte d’invisibilité. Les choses sont plus complexes dans le tableau du Louvre. Malgré sa position frontale et ses yeux tournés vers le ciel, ce Christ n’a rien d’un Christ en gloire. Ou plutôt sa gloire est de n’en pas avoir. Il y a en lui une force d’effacement, de kénose, qui le place au-delà des vicissitudes de la visibilité.
« Donner à voir, écrit Georges Didi-Huberman, c’est toujours inquiéter le voir, dans son acte, dans son sujet […] Tout œil porte avec lui sa taie, en plus des informations dont il pourrait, à un moment se croire le détenteur . » Frustration nécessaire, poursuit-il, dont il lui semble que l’iconographie chrétienne tente de faire l’économie en inventant « toutes les procédures imaginables pour faire imaginer, justement, la façon dont un corps pourrait se rendre capable de vider les lieux – je veux dire de vider le lieu réel, terrestre, de son dernier séjour . » Ce qui constitue la singularité du thème d’Emmaüs – et ce qui fait de ses meilleures représentations des cas uniques dans la peinture -c’est qu’il invite le spectateur à superposer à l’affirmation « tautologique » du visible (ce que tu vois ici est ce qui est et pas autre chose) l’instabilité énigmatique d’un visuel qui est pressentiment d’une absence, évidement du trop-plein d’une image se satisfaisant (et nous satisfaisant) d’être ce qu’elle est. Reconnaître le Christ, pour les disciples qui ont cru l’espace d’un instant à son retour, ce n’est pas enregistrer sa conformité avec un souvenir ou avec une projection imaginaire. C’est comprendre que son lieu est ailleurs : non pas dans un lieu autre, où son apparence serait plus vraie, plus conforme à son être, mais dans « un monde où l’image est en présence et en promesse tout à la fois *. » Présence, promesse : deux mots qui caractérisent le travail qu’opéré dans le visible toute œuvre d’art. La singularité des Pèlerins d’Emmaüs consiste en ce que ce travail est le sujet même du tableau. »
*Georges Didi-Huberman, « La couleur de chair ou le paradoxe de Tertullien », Le Champ visuel, Nouvelle Revue de Psychanalyse, N° 35, 1987, p. 24.
Max Milner Rembrandt à Emmaüs José Corti éditeur.
Le mariage inverti, l’achat d’enfants, est un attrape nigauds et nigaudes … pas étonnant que bigots et bigottes s’en émeuvent : il est important pour eux de sauver ces brebis perdues, dignes du napalm à Philou …!
Info langue mauvaise : vous êtes au courant pour Désir et Lang ?
« toutes les procédures imaginables pour faire imaginer, justement, la façon dont un corps pourrait se rendre capable de vider les lieux – je veux dire de vider le lieu réel, terrestre, de son dernier séjour . »
On ne peut qu’ insister sur l’ expression » vider les lieux »…n’ est-ce pas à cette jointure même que se constitue la ligne d ‘ombre?
Dans le roman proposé par Pierre Assouline, on a » vidé les lieux » et pourtant le roman entre dans une existence bien à lui…
Bon retano il nous dit quoi Conrad du 10h47 ?
Un pour tous, apparemment la faculté de comprendre vous manque… vous faites sans doute partie de ceux qui alimentent le desastre…
Que vient faire Conrad dans cette histoire de ligne d’ombre entre Rembrandt et Casablanca ? Diversion, sans doute !
baroz, quand on suit pas, on cause pas, mais une pipelette devrait comprendre ça
Que vient faire Conrad dans cette histoire de ligne d’ombre entre Rembrandt et Casablanca ? Diversion, sans doute !
« la ligne d’ombre » sonne en litterature comme le rond de l’éclispe qui se ballade sur le globe, c’est des machins simebolic et un peu matamor à la brit, en barbouille c’est dla couille..dessiner des ombres c’est un truc pour warhol, ses machins numérotés pour mome dans les magazine, les seuls trucs vraiment drolatique et édifiant qu’il ait fait dailleurs ce pôv débile..core un gros pédé comme mikelange tient baroz
Il ne sert à rien de provoquer Renato.
Conrad n’ est pas si éloigné que cela de cette saturation d’ un lieu qui se vide.
Voyez plutôt :
(…) » De fait, la sentence rendue dans le Compagnon secret se révèle non seulement incertaine, mais elle n’est peut-être pas même une sentence ; mais par ailleurs, ce délit n’a peut-être pas été un délit, ou peut-être «tout» s’avère compromis avec le crime. Au-delà de la fin heureuse affichée, l’illisibilité des péripéties et du monde demeure codifiée ; les voiles ténébreux d’un Érèbe céleste, terrestre et marin, tel celui des typhons, enveloppent le non moins ténébreux humain; toute quiétude est la sinistre quiétude de l’œil du typhon.
Si, au-delà de ses personnages, bon capitaine et presque «chevalier antique», Conrad peut obtenir un destin authentiquement salvateur, il ne se le procurera pas sur des mers «impériales et libres», mais dans les règnes de l’imaginaire, dans les textures brillantes et épaisses de ses narrations, en écrivant dans une langue non maternelle, dans une langue revécue presque de manière hallucinatoire, et surchargée de présences comme les rêves et, davantage, les conventions. Car ce qui lui était refusé sur le plan de l’événement, ce mythe de pureté référé à un «empire d’hommes libres», se réalisait au contraire dans le cercle des libertés illimitées et des terribles nécessités propres à une projection linguistique et fantastique : lieu de justification rédemptrice pour la totalité du choix effectué.
Effleurant une pleine conscience, s’en éloignant, contaminé et immun, Conrad se retire ainsi dans un no man’s land ne pouvant être accordé qu’à lui seul. Mais sa douloureuse «innocence» campée sur le bord d’un abîme apparaît également justifiée dans la mesure où demeurerait justifié le doute voulant que la boue et le sang de l’histoire soient comme l’excrément et l’urine parmi lesquels l’homme est né, si l’on en croit l’assertion biblique. Le colonialisme pouvait être – et il l’était bel bien – une de ces unions par le rapt et le stupre dont toute l’histoire connue est tramée, et dont, plus horriblement encore, la nature est elle-même constituée dans ses féroces et «insensés» procédés, à travers lesquels son halo de sphinx, toujours présent pour Conrad, se précise. Il est sûr que de semblables unions sont nées jusqu’ici l’histoire et les histoires seulement, dignes continuations justement d’un gaspillage de douleur et de terreur dont la nature s’entache, ou, mieux, la vie. Au-delà de ces limites, naturelles et historique, se posait hier un espoir transcendant, aujourd’hui un autre espoir, terrestre et combatif. Mais tout est parié sans aucune garantie, dans ce qui peut être un labyrinthe, parmi un recto et un verso qui échangent leurs rôles, parmi des sciences de vie aussitôt productrices de mort.
Le capitaine et son double, jamais véritablement superposables, jamais véritablement dissociables, en dépit d’une prise de congé apparente, tous deux en proie à des courants de dérive, marquent quelque chose qui connote le monde, humain et non humain. Conrad demeure, dans son domaine et dans son temps, afin de témoigner, également à travers ces personnages et leur rapport, pour une alarme qui n’aura jamais de fin. »
(1975)
Andrea Zanzotto (ouvrage cité supra par Mauvaise Planque) essais critiques J. Corti éditeur.
baroz, quand on suit pas, on cause pas
tout du contraire baroz..l’innocence te donne un peu droit a causer..les cacochymes ça cause que de furonculose..si c’est pas jean marron c’est marrant 5 minutes pas plus
Revenir au sujet, quelle drôle d’idée en ce lieu !
La ligne d’ombre du billet ne serait-elle pas
beaucoup plus proche d’une file d’ombres
que du clair-obscur ?
Revenhantement.
La ligne d ‘ombre, ce « Compagnon secret »…
Le « cœur des ténèbres » de Conrad
rejoint-il le ténébrisme
de Rembrandt ?
Luminoueusement.
Le retour du religieux, est-ce que ça va créer des emplois?
Le mariage pour tous, c’est bon pour la Sécu?
Le départ de 500 000 français en dix ans, une chance pour la France?
« son halo de sphinx »
pour la ligne d’ombre, sphincter serait plus approprié !
Nos paysans auront-ils le look pour servir les riches étrangers à Europa City?
rambrante c’t’un « baroque » comme shakespeare..il aime les « effets »..retenus attation..c’est pas batman contre les zombi dans un tunelle avec stroboscope..y savait un peu se retenir
Peut-on récupérer à Marseille les Russes de Limassol?
Si Inna Chevchtchenko devient notre Première dame, qui sera le Premier monsieur?
Je crois que nous avons surestimé JC, finalement il méritait 10.
pour la ligne d’ombre, sphincter serait plus approprié !
ça c’est la ligne clair de l’obscur européenne baroz..la flaque de sang séché c’est le coté obscur du clair à hollywood..le sphincter gagne à la fin baroz..on connait la morale nous
Après le pain et le vin bio, ma femme souhaite un bébé bio. Est-ce que ça reviendra un peu plus cher aussi?
Jacques Barozzi dit: 26 mars 2013 à 11 h 32 min
Lourd comme un gland!
Puisqu’ils nous bouchent l’horizon, faut-il se débarrasser des vieux en général ou seulement des vieux riches?
L’anus a-t-il toujours été de gauche?
La population ne cessant de vieillir, les gouvernements européens seront-ils un jour condamnés pour abus de faiblesse?
Je crois que nous avons surestimé JC, finalement il méritait 10
jicé il sait que le sphincter gagne à la fin..mais avec le stroboscope dedans il fait de la surenchère
Ma vaste famille va à la dérive, mon fils dépense trop, mes filles fréquentent des immigrés, j’ai l’impression que je ne contrôle plus rien. Ai-je le droit de prendre une maîtresse pour constituer une troïka et remettre de l’ordre?
Aurais-je droit à une décote?
Quand je regarde les Unes le matin, je ris rarement. Suis-je le seul?
Je vous remercie pour vos sages avis et vous souhaite d’avoir du travail.
« Il s’en passe des choses dans la tête de JC vers 11h30.
Une petite crotte au réveil, un gros caca pour l’apéro »
c’est pour son repas du soir
jc n’a pas de limite : c’est moderne (du sérieux)
10 !
Enfin !
C’est un sacre …
Mes chers compagnons ! Me voici parmi vous tous, nobles et fringants chevaliers, devenu magister, …comme votre égal.
Merci !
pour la ligne d’ombre, sphincter serait plus approprié !
Ah ça c’est sûr qu’on descend jamais deux fois le même fleuve.
JC, maître de notre Ordre.
RdL nouveau Montsalvat.
Ça colle pas, votre histoire.
Ce n’est pas désagréable….
J’ai aujourd’hui le sentiment, en passant par ici, que j’appartiens à une minorité, ne m’étant jamais intéressé à la dimension anale de ma personne.
C’est comme un toboggan qui m’angoisse un peu.
Le passage du minoritaire à l’identitaire, puis de l’identitaire au victimaire?
Je ne vais quand même pas descendre un jour dans la rue pour ces conneries?
Refaire le coup du 6 février 34: mettre mon béret, brandir ma canne et crier « A bas les violeurs »?
Pas question!
Je suis allé vérifié, j’étais sûr que le billet du jour parlait de moi.
« Son sentiment de la mémoire est d’autant plus fort, voire exacerbé, qu’il appartient à une minorité. »
Hourrah!
Ueda s’agit-il du 6 février 1834? Le 20ème a balayé ces thèmes ou alors ils ne seraient plus qu’entubés en cathodique puis plasma ou alors à illustrer d’autres cultures,pas de ça chez nous actuellement qui fasse problème de société.
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