Lucien Rebatet exhumé des décombres
« Fallait-il republier ça ? » Le livre que l’historien Pascal Ory désigne de manière inhabituellement méprisante pour un préfacier comme « ça », est un ensemble de textes du sulfureux journaliste, polémiste, écrivain Lucien Rebatet dont le navire-amiral s’intitule Les Décombres. Il est vrai que ce best-seller de l’Occupation, aussi passionnant qu’immonde, mérite d’être ainsi traité. Le recueil porte bien son titre de Dossier Rebatet (Bouquins/Robert Laffont) car il est vraiment conçu comme tel : un ensemble comprenant l’essentiel des pièces permettant de se faire une idée complète du cas Rebatet et de juger, ce qui ne revient pas nécessairement à le juger. Juger pour se faire une opinion sur une question qui dépasse sa seule personne. D’où le grand intérêt de ce livre pour tous ceux à qui l’Histoire et la littérature servent aussi de boussoles du temps présent.
C’était en 1942. Gaston Gallimard et Bernard Grasset ayant habilement refusé le paquet empoisonné, Robert Denoël sauta dessus, d’autant que le contenu correspondait à l’esprit de la maison alors éditrice des pamphlets de Céline ; il lui trouva son titre définitif et supprima un passage sur l’Alsace et la Lorraine terres françaises. « Chronique du long glissement, des écroulements successifs qui ont accumulé ces énormes tas de décombres », Mémoires conçus comme une confession, ce livre fit événement. On se l’arracha. N’eut été la pénurie de papier et le contingentement, la vente aurait excédé ses 65 000 exemplaires. Ce qui déjà, pour l’époque, était remarquable s’agissant d’une brique de 669 pages vendue dans la seule zone occupée. De quoi faire le bonheur des trafiquants du marché noir jusqu’à la fin de la guerre puis, jusqu’à nos jours, celui des bouquinistes des quais de la Seine à Paris.
Fils d’un notaire de Moras-en-Valloire, Lucien Rebatet était à son meilleur dans les portraits. Le trait féroce, ajusté, et d’autant plus implacable que le polémiste était doté d’une mémoire phénoménale. Des exécutions en série. La charge toujours violente, perfide aussi en ce qu’un détail, souvent drôle et juste, suffit à crédibiliser le reste. Maurras, le maître honni pour s’être couché le soir des émeutes antiparlementaires du 6 février 1934, ne s’en relèva pas. Mais que ce soit dans la taille des figures au burin ou dans la description des situations aussi apocalyptiques que l’exode, on retrouve un même talent dans la puissance d’évocation, une même violence, une même menace, un même mode ordurier et, encore et toujours, le leitmotiv de sa haine des Juifs comme responsable de tous les maux de la France. Jusqu’au bout ! En janvier 1944 encore :
« Plus que jamais nous sommes du côté de l’Allemagne…L’Allemagne est la seule nation d’Europe qui dans cette guerre ait compris son devoir… »
Ecrire des articles, en 1944 encore, dans l’organe des Waffen SS français entre autres, en les achevant systématiquement d’un « Mort aux juifs ! » qui vaut signature, et dégager toute responsabilité sur la portée de ses écrits, comment appeler cela ? Dans l’excipit des Décombres, eu égard à sa solitude, Lucien Rebatet admettait faire figure d’ « énergumène ». Ce qui était bien trop faible. Il y manque la dimension criminelle.
En 1976, quatre ans après la mort de l’écrivain, l’éditeur Jean-Jacques Pauvert republia les Décombres en deux volumes sous le titre Mémoires d’un fasciste. Mais il tronqua le texte, suivant en cela la volonté de la veuve de l’écrivain : il expurgea les passages trop insultants pour François Mauriac et supprima carrément les 127 pages de la dernière partie où l’auteur se révélait plus idéologue que mémorialiste. Mais c’est bien l’édition originale des Décombres qui reparaît dans son intégralité au sein du Dossier Rebatet.
Il est mort dans son lit recru de jours, contrairement à son ami Robert Brasillach, à Georges Suarez et Paul Chack. S’il était resté en France à la Libération, l’épuration sauvage en aurait fait un gibier de potence au coin d’un bois ; et s’il avait échappé à ses justiciers improvisés, l’épuration légale l’aurait envoyé au poteau. Aucun doute à ce sujet. Sa lâcheté a payé : s’étant enfui en Allemagne, il a mis le temps entre lui et la sentence. A son retour, la fureur libératrice s’était calmée, l’heure était à la reconstruction. On fit valoir que les industriels du BTP qui s’étaient enrichis en faisant construire le mur de l’Atlantique s’en étaient sortis avec des amendes tandis que les journalistes et écrivains qui avaient appelé de leurs vœux l’édification du même mur pour déjouer un débarquement allié avaient été condamnés. Les avocats, de même que des témoins, insistèrent également sur l’absence de vénalité de l’accusé. Il n’en avait pas profité pour s’enrichir. N’empêche : condamné à mort pour intelligence avec l’ennemi.
Une pétition circula pour demander sa grâce. Que du beau monde : Camus, Claudel, Mauriac, Anouilh, Aymé, Bernanos, Gide, Jeanson… Ceux que Rebatet avait le plus atrocement insultés en un temps où ils ne pouvaient même pas lui répondre, mirent un point d’honneur à signer. Et c’est un chef de l’Etat socialiste, le premier président de la IVème République Vincent Auriol, qui signa sa grâce. L’ingrat n’en conçut pas moins de l’aigreur et de l’amertume, estimant avoir été lâché par ceux qui ne s’étaient pas mobilisés en sa faveur. La peine de mort fut commuée en travaux forcés à perpétuité, cette dernière étant finalement assez réduite avec le vote de la loi d’amnistie générale qui le remit en liberté en 1952.
Lucien Rebatet put alors mettre à profit l’indulgence républicaine pour publier à la Nrf son grand roman Les Deux étendards, qui se voulait « une longue histoire sur l’amour et sur Dieu », reprendre sa collaboration à Rivarol, se lancer dans Une histoire de la musique, se passionner encore pour le cinéma et ne rien regretter de ses écrits. Son seul tort, à le lire, fut d’avoir trahi la littérature pour la politique. S’il n’avait pas eu si haut et si fort « la fibre française », il aurait écrit son grand roman au lieu de ce pamphlet. Ce n’est pas de lui qu’il faut attendre une quelconque réflexion sur la responsabilité de l’intellectuel, de l’écrivain, du journaliste. Il n’y va que contraint et forcé soit par un interviewer, soit par un juge. Pas la moindre ombre sur sa conscience. C’est lui qui le dit et on peut le croire.
Pour ses articles de Je suis partout comme pour ses Décombres, Lucien Rebatet méritait déjà douze balles. Rouillées et tirées dans le dos. Car la trahison louée, proclamée, revendiquée fut chez lui augmentée de dénonciations de résistants et d’appels au meurtre de juifs, à la chasse à l’homme et au pogrom permanent, signés d’un homme qui se trouvait alors du côté du manche, encore plus nazi que ceux qui occupaient son pays. Si on n’a pas la dignité de se sentir responsable après « ça » ! Il est vrai que, en s’associant aux pétitionnaires de sa demande en grâce, un Thierry Maulnier jugea que ce n’étaient là que des « erreurs » et qu’après tout, il n’avait commis « que des crimes de plume ». Ce qui est mettre bien bas la plume, ce qui en sort et l’honneur de la tenir.
En 2015, la capacité de nuisance d’un Rebatet est faible, pour ne pas dire nulle. On n’imagine pas un jeune extrémiste d’aujourd’hui alimenter son antiparlementarisme, son anticatholicisme, son négationnisme ni même son antisémitisme à cette auge. Même si la logique à l’œuvre est la même, les enjeux ne le sont plus. Ses références sont trop datées. Elles sont d’un homme né au tout début du XXème siècle, âgé de 37 ans en 1940 lorsqu’il se lança dans la rédaction de son monstre. Aujourd’hui, le jeune candidat à la haine ira voir plutôt du côté d’Alain Soral., un ersatz sans le talent, l’intelligence, la culture de l’original, qui n’a au fond de commun avec Rebatet que le complot comme explication du monde et la haine comme moyen d’expression.
Tout est à lire dans ce pavé car l’ensemble constitue un précipité unique d’un certain esprit français et de l’époque : les Décombres bien sûr, « cet abominable chef d’œuvre » comme disait Galtier-Boissière, mais aussi sa suite sous la forme de « L’inédit de Clairvaux », les interrogatoires par le juge d’instruction, les comptes rendus d’audience du procès, le verbatim de la Radioscopie avec Jacques Chancel. Sans oublier l’impeccable travail d’édition, de contextualisation et d’annotation de l’historienne Bénédicte Vergez-Chaignon, récente biographe remarquée du maréchal Pétain, et ses textes de présentation, remarquables. Alors, fallait-il republier « ça » ? Comme ça, sans aucun doute.
P.S. du 13 octobre : Selon une information publiée par L’Express, les 5000 exemplaires du premier tirage de ce Dossier Rebatet se sont vendus dès le premier jour. L’éditeur a aussitôt effectué un nouveau tirage.
(« Mur des noms au Mémorial de la Shoah à Paris » photo Passou ; « Séance de dédicaces à la Librairie « Rive gauche », place de la Sorbonne, le 3 octobre 1942, photo Le Petit Parisien. ; Albert Préjean Noël Roquevert, Lucien Rebatet, Michel Simon au restaurant » 6 novembre 1942, photo Ciné-Mondial)
1 139 Réponses pour Lucien Rebatet exhumé des décombres
Parle pour toi mon zonzon formé au vieux fond antisémite de ta jeunesse perdue et laisse-moi (si tu le veux bien) considérer Rebatet comme pure crapule dont je vais continuer d’ignorer les écrits et m’en porter le mieux du monde.
j’aime beaucoup..jean marron ça srait lméchant qui srait aboli dans un ragnareuk juif..il srait nu tartiné dmerde sur scène au in davignon..il finirait émasculé par les dents par lazar et dracul a 4 pattes..jean mari lepen exijrait quça soit joué a jéruzalème tellement quça srait bon..je réserve mon jugement..jai pas encore vu la pièce..keupu va dire que je juge sans savoir et il aurait raison
Abdel, pourquoi vous forcez-vous à dire des choses que vous ne pensez pas ? Vous savez bien qu’il n’y a jamais eu aucune solidarité arabe pour les Palestiniens, que ce n’était qu’un prétexte.
Si cette solidarité existait, alors les « migrants » d’aujourd’hui qui fuient la guerre iraient vers des pays musulmans. Mais avez-vous jamais entendu un dirigeant d’un pays musulman leur dire : chers frères, venez chez nous ?
Et d’ailleurs ça ne servirait sans doute à rien. Ils ne veulent pas aller dans des pays musulmans, ils veulent aller en Occident. Comme vous, au fait.
apparemment, personne n’a lu Paul Chack.
Out of nowhere
t’as une bien belle gueule a donner des lçons toi..si si ton yavé t’aime beaucoup..tellement que ça trend méchant..mais méchant!..une teigne
bref tu veux faire le mec qui l’a lu apparamment phil
« Et loin de toutes ces analyses, « les internautes vivraient sur la toile en état d’apesanteur, se jouant des frontières » ( ce que semble cibler votre pseudo). » Christiane.
Votre constat est hélas, le mien aussi.
Rebatet est d’une histoire typiquement française, n’ est-ce pas?
ma mère ! tu connais tout l’gratin phil.. mais comment tu fais..
en sautant les commentaires…
Fait d’énoncer une pensée, un désir en niant son contenu ou en ne le reconnaissant pas pour sien. (Il s’agit pour le moi de prendre conscience intellectuellement d’une partie du refoulé [représentation] tout en maintenant dans l’inconscient l’affect qui lui est lié.)
christiane dit: 16 octobre 2015 à 10 h 58 min
@en sautant les commentaires inutiles dit: 16 octobre 2015 à 9 h 36 min
Et loin de toutes ces analyses, « les internautes vivraient sur la toile en état d’apesanteur, se jouant des frontières » ( ce que semble cibler votre pseudo).
Seul un ver, mais subtil, peut sauter ainsi, christiane.
Phil, vous voulez vous engager dans la marine ?
Dors Séraphine,
Tu seras marine
Dors Sébastien,
Tu seras marin (Anne Sylvestre)
http://www.bons-livres.fr/3786-8922-thickbox/paul-chack–tu-seras-marin.jpg
apparemment, personne n’a lu Paul Chack.
raconte tonton ! ..je reviens
non bougreau, jamais lu. Mais les livres de Chack sont nombreux chez les libraires, oubliés comme ceux de Dekobra. Une bonne âme instruite sans pince-nez expliquera peut-être quelle littérature ce « nauséabond collaborateur » a produit.
De 1921 à 1934, il dirige le Service historique de la Marine. C’est alors qu’il commence sa carrière d’écrivain, publiant de nombreux ouvrages d’histoire maritime qui remportent un grand succès. Il s’agit pour l’essentiel d’ouvrages de vulgarisation mais ses récits de batailles navales comme ce qui a trait aux évènements sur mer de 1914-1918 sont remarquables. À noter que ces livres sont écrits dans un esprit patriotique qui suscita de nombreuses vocations, notamment l’ouvrage Tu seras marin, avec une certaine anglophobie, difficilement évitable chez un officier de marine français qui écrit l’histoire maritime du XVIIIe siècle.
merci, merci. mais la prose est-elle de qualité ?
Phil dit: 16 octobre 2015 à 11 h 42 min
les livres de Chack sont nombreux chez les libraires
???
Je crois savoir qu’ils ont été réédités par le Gerfaut, mais de là à les trouver nombreux… ou alors chez des libraires spécialisés dans l’histoire de la marine, peut-être.
On connaît, nous, votre type à la kalach
…tchack… tchack !
Out of nowhere dit: 16 octobre 2015 à 11 h 27 min
Bien vu. Bien dit.
Paul Chack, on en trouve chez Amazon, mais cela semble surtout intéresser les amateurs de navires ! Exemple :
Marins à la bataille, tome 1 : Des origines au XVIIIe siècle
Commentaire :
5.0 étoiles sur 5 Un ouvrage captivant.Recueil de divers récits rédigés par un ancien officier de marine, le livre se lit comme un roman. Les combats navals sont racontés avec beaucoup de précision, on apprend beaucoup sur la tactique navale. Le récit de la bataille de Lépante est passionnant et montre comment la menace turque a pu unir l’Europe. « L’homme d’Ouessant » met en scène un grand marin vendéen injustement oublié: du Chaffault, au prises tantôt avec la marine anglaise notamment lors de l’indépendance des Etats-Unis, tantôt avec les pirates marocains. Ajoutons que rien que pour les illustrations du peintre de la marine Léon Haffner, le livre mériterait d’être vu.
…
…il y a,…à changer de comptables dans nos états,!…vivre sans taxes,…et pour les relations extérieures, les complots de guerres, et touti quanti des strates et connivences à se faire mettre,!…et j’en passe de la gangrène du népotisme, et des amis des amis,…à faire toutes ces corporatismes – bidons,…hors d’état de nuire, à la citoyenneté participative responsable aux affaires des états,!…
…
…et bon seigneurs comptable,…qui ne s’en prend pas, aux uns les autres, pour se cumuler du blé, de l’oseille,…du prestige et des sécurités inutiles, que d’autres seigneurs et autres ministres » créer de toutes pièces « , pour des vas en guerres des passions,…
…
…presque à dire,…vous en êtes tous corrompus de quelques choses, pour ne pas accéder aux pouvoirs, mêmes des villages,!…
…
…en d’autres termes, vous vous bouffer les uns aux autres, en chemises blanches et cravates et parfums,!…pour des êtres parasites des sociétés,…c’est hélas vraie,!…
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…vivez sous les gestions d’un roi, d’un empereur,…Oui,!…comptables,!…comme des rois républicains en sécurité,…la défense déjà, à suivre une civilisation du destin,…de tout les métiers et corporations pour servir le, les peuples, pour leurs bonheurs,…( targuer vous de tout vos titres, rien n’y fait,…votre sécurité et longues vies,…sur base comptables d’un seigneur, qui ne fait que son job – naturel,…sans plus de salaire,…que la commodité sans retours d’histoires vraies ou fausses,…de vivre pour tous,!…etc,!…
…en rire, à justes titres,!…
…diplômes et relations inutiles,!…
…encore plus grec,…que Guillaume Tell,…
…allez bonnes gens, avec vos bâtons de travers en l’air.
…etc,!…les intérêts,…pour des ridicules aux vespasiennes à se glander de taxes, pour les chûtes des Empires et autres Rome en pagailles,!…
…nos économies et politiques complètement réellement » idiotes « ,…qu’on se le dise, plus d’une fois,!…etc,…
…
…du Lucien Rebatet exhumé des décombres d’un autre âge,..pour nous bouchés nos libertés de pensées aux autogestions d’empires, sans taxes, ni gestions » sanguinaires » entre peuples porter à se suicider, à s’expatrier, soumis aux ordures du capitalisme ambiant,!…etc,!…
…
…bon appétit,!,…
Paul Chack suite
Histoire maritime de la première guerre mondiale
Nous arrivons au centenaire du début de la 1ère guerre mondiale, et ce livre est le seul qui traite de la partie maritime de la grande guerre. Réédition de l’ouvrage de Paul Chack paru dans les année trente en plusieurs volumes et a été revu et condensé par Jean Jacques Antier. Cet ouvrage massif (+ de 700 pages) couvre tout les aspects de la guerre maritime et analyse parfaitement et de façon vivante ces grands évènements. Il fait la part belle aux textes originaux de Paul Chack (écrivain maritime de l’entre de guerre, exécuté en 1945 pour fait de collaboration avec l’ennemi, mais ayant écrit de nombreux ouvrages d’histoire maritime qui méritent d’être lus).
On peut regretter le manque d’illustration (photos, cartes, diagrammes explicatifs) mais le texte en lui même, parfois accompagné d’une petite recherche sur Internet est largement suffisant.
Un livre indispensable à tout passionné d’histoire maritime par les clefs qu’il donne pour comprendre l’évolution de la marine moderne et sa transformation vers la marine d’aujourd’hui. Je regrette qu’il n’existe pas un tel ouvrage français qui traite de la 2ème Guerre mondiale.
Et pendant ce temps John s’égosille dans le désert
https://www.youtube.com/watch?v=yRhq-yO1KN8
Il y a des billets comme ça.
La gueule de Rebatet m’a fait passer l’goût du pain.
Sans parler de l’admiration mal placée du professeur Steiner, ce brillant et suave causeur chez qui je n’ai jamais rien appris.
Il vaut mieux partir sur la pointe des pieds.
« ces migrants » comme vous dites, sont 2m en Turquie, et autant en Jordanie (ou ils représentent le tiers de la population)…ils étaient aussi plusieurs milliers en Algérie, la dernière fois que j’y étais…sinon, je suis solidaire de quiconque subit l’injustice de ne pas avoir un chez-soi…des afghans aux zoulous…la mauvaise foi est une arme perfide, que les sionistes utilisent a perfection…malheureusement pour vous, je suis vacciné contre…trouvez aut’chose et tant que vous y êtes, parlez-en au camarade Sancho car ses arguments pro-Israel sont usés jusqu’à la corde…ils ne convainquent personne, même pas le camarade lui-même… je suis en occident (je ne crache pas dans la soupe hein, j’ai été bien élevé), mais je suis aussi en Algérie et en Islande ou en Mozambique… comment ? vous voulez des frites maison avec ça? vous rigolez, j’espere ? des frites maison…non mais, vous prenez la maison Abdel & Co pour Bocuse ?
donner des lçons
dit-il planqué derrière son bureau en langues de bois
imaginez un moment que la situation soit inversée et que ce soit les juifs qui se font canarder, femmes, enfants et vieillards tous les jours par les palestiniens, équipés de la derniere technologie US…zappés par des missiles qui leur tombent dessus sans avertissement…punis collectivement pour les délits de l’un d’entre-deux…bannis de rentrer chez eux, et de vivre chez eux, sur leurs terres ancestrales, pour faire place a des palestiniens d’emprunt, venus des fins fonds de la Californie ou de la Russie…Qu’en penserez-vous ?
…
…12 h 22 min,…des frittes maison,…mais si,!…c’est facile,!…
…
…même mieux des frittes en tranches genre galettes, excellentes avec mayonnaises ou autres sauces,!…enfin,!…
…les frittes aux magasins, pour donner aux pauvres du commerce à se croire riche,…et payez des taxes en plus,…à s’engorger du flux migratoire,!…etc,!…
…
donner aux pauvres du commerce à se croire riche
le populo au boug, Sergio & co ça lui suffit pas d’être spectateur, peut pas se montrer sans se la jouer que le billet il vaut très très cher, mais faut pas dire ni écrire plouque c’est malpoli…
@Out of nowhere dit: 16 octobre 2015 à 11 h 41 min
Joli !
Bien, je pense que le sujet est épuisé maintenant, n’insistez pas, Abdel.
Sinon, pour midi, je vous conseille une sole meunière, c’est bon pour ce que vous avez.
La philosophie devrait assumer toute son histoire, donc aussi la pensée d’Heidegger et son égarement politique.
–
Ce serait effectivement la moindre des choses, Christiane, mais quand on voit qui se revendique de la philosophie aujourd’hui, il ne faut s’étonner de rien.
@D. dit: 16 octobre 2015 à 13 h 05 min
Exact ! mais il en reste de très bons.
Pourquoi se faire remarquer de la sorte Giovanni? Le monde entier vous lit, navré. Avez-vous quelque chose à prouver, est-ce pour vous une façon (désordonnée) de vous réaliser ?
j’aime beaucoup..jean marron ça srait lméchant qui srait aboli dans un ragnareuk juif..il srait nu tartiné dmerde sur scène au in davignon..il finirait émasculé par les dents par lazar et dracul a 4 pattes..jean mari lepen exijrait quça soit joué a jéruzalème tellement quça srait bon..je réserve mon jugement..jai pas encore vu la pièce..keupu va dire que je juge sans savoir et il aurait raison
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Je sais pas pourquoi, mais je te verrais bien dans la pièce Bouguereau. Comme t’es un excellent scénariste, tu vas bien te trouver un rôle sinon je t’aiderai.
Pauvre Abdel !
…dont le jugement, occidentalisé par enseignement et volonté de progrès, se refuse à fonctionner lorsqu’il faudrait admettre que les uns sont mauvais, les voisins arabes idiots, et les autres, les bons, les juifs, ceux qui se défendent mordicus.
Un jour, il terminera tous ses commentaires, plats comme limande, par « Mort aux Juifs! » … puis s’évanouira comme pétale de porc.
Steiner fut le Milton Hindus de Rebatet. Un avocat juif qui pensait faire commerce avec le diable parce qu’il l’avit trouvé à genoux.
…
…D,…à 13 h 09,…
…
…çà vous touche,!…de vous préoccuper de moi,!…laissons nous courir,…en paix,!…
…
Ce n’est pas une réponse, cela, Giovanni. Bon faites comme bon vous semble, après tout cela ne me regarde pas, mais qu’on ne vienne pas plus tard me dire qu’il y avait un problème et que personne ne l’a vu.
devinette – qui a écrit « Cette « solidarité » facile qui ferme les yeux sur le Hamas et sa nature pour crier à l’indignation, sur les divisons palestiniennes, sur leurs incapacités et leurs faiblesses au nom du respect aux « combattants ». Au nom de l’orthodoxie pro-palestinienne que l’on ne doit jamais penser ni interroger…
mis à part les jets de cailloux, ils ne savent rien faire d’autre. »
C’est vendredi, je vais manger un rollmops danois et je reviens.
Las, je ne suis pas là pour jouer aux devinettes, si vous avez quelque chose à dire dites-le sans enrobage inutile.
…
…un Plus, très utile,…
…matin et soir,…deux trois cuillères à soupe d’haricots,…même en boîtes,!…
…pour un excellent transit intestinal,!…avec toutes boissons,!…etc,!…au monde entier,!…
…
neither here nor there dit: 16 octobre 2015 à 12 h 22 min
« je suis en occident (je ne crache pas dans la soupe hein, »
Tu m’étonnes, comme disent les jeunes
» mais je suis aussi en Algérie et en Islande ou en Mozambique… »
Pauvres Algériens Islandais Mozambicains
Christiane, cet article peut vous intéresser:
Non, géo, désolé. Cet article n’intéresse pas du tout Christiane. Mais merci d’avoir essayé.
toi qui es garde-champetre, tu devrais savoir qu’on dit plutot Mozambiquets…
Hello
neither here nor there dit: 16 octobre 2015 à 12 h 30 min
et l’autre là sur son chameau
toi qui es d’extrême-droite, tu devrais savoir qu’on dit plutot J’ai compris je ferme ma gueule…
Censurée chez Popaul, ma cousine Anna Fort posait la question au délicat MCourt : est-ce que les artistes que vous détestez comme Chéreau, Boulez et Webern (dont vous vous réjouissez de la mort) sont à ranger pour vous dans ce qu’on appelle encore maintenant « art dégénéré » dans certains milieux ?… à propos des « bobos », distinguons les bourgeois bohèmes des bourgeois bornés dont vous faites partie
Bien à vous
MT (pour AF)
neithernor trop conditionné pour réfléchir ressasse sa haine de limité
Le faux D.,vous arrêtez votre cinéma s vp je ne cautionne aucunement vos petites interventions trouble-fête.
Non mais dites donc, D. le soi-disant vrai, vous allez me foutre la paix, oui ?
Il n’y a qu’un seul D. ici, c’est moi. Les autres ne sont que de (très) pâles imitateurs qui me jalousent, et en cela je les comprends.
J’ai demandé à Pierre Assouline de faire le ménage mais il m’a répondu que, mes adresses de contact étant fantaisistes, il ne pouvait pas assurer la police. Je le regrette, tout en reconnaissant que c’est assez cohérent.
Enfin sachez faire la différence, mes amis. C’est simple, les commentaires intéressants sont de moi, les autres émanent de je ne sais qui.
Est-ce que ce « je ne sais qui » me vise personnellement ? C’est un comble !
dédé, vous devriez lire du paul Chack. Ces histoires de matelots qui finissent collabos vous détendraient.
D. dit: 16 octobre 2015 à 13 h 38 min
C’est vendredi, je vais manger un rollmops danois
Non non non non : de la saucisse aux lentilles ; c’est essetrêmement bon, ni casher ni hallal ni du poisson, malheureusement il en reste plus sinon je l’aurais proposé…
ma cousine Anna Fort posait la question au délicat MCourt
Comme quoi le propos fait encore l’actualité: confiance, défiance, confidence, méfiance, choisissez votre oreiller.
« Ces histoires de matelots qui finissent collabos »
Une biographie du commandant Cousteau, Phil ?
C’est à dire, Sergio, que des lentilles, il y en a plein, enfin il y en a, dans la Bible .. mais des saucisses, heu .. Ce doit être un truc de Vikings.
pour un oreiller en béton, vous avez un oeil qui se ferme
Je veux dire un truc cosmique
C’est le frérot, Baroz, qui finit dans la Marine nationale. Celui au chapeau rouge s’est fait musulman à la fin de sa vie, marre des poissons. à confirmer par Abdel.
Oh ! Le débile de service usususuparteteur n’a toujours pas pris sa retraite .
Pauvre garçon .
pour un débile, j’ai un dé à coudre !
Quand, même, Phil !
Parcourir l’immensité des mers du monde pour finir sur un tout petit tapis de prière ..
C’est terrible, non ?
Cette fin de film de merde…
Tu veux une Pillstar, Jérôme?
ni casher ni hallal ni du poisson
du spanghero!..faut conserver le suspens jusqu’au bout
Parcourir l’immensité des mers du monde pour finir sur un tout petit tapis de prière
alors que commencer avec un ridicul galure ça tconserve l’idée qu’il est toupti et juss fait pour ta gueule
marre des poissons
l’couscous au poisson c’est pas mal..
Heu … la vôtre, la sienne you mean, le Boug’
(Tiens, salut Bloom, vous êtes près de chez moi)
un rollmops danois
avec une carlsberg quoi..t’es snob dédé
Daaphnée dit: 16 octobre 2015 à 15 h 17 min
des saucisses, heu .. Ce doit être un truc de Vikings.
Tiens c’est une bonne question ; on a la rosette (pas de la LH, hein !), et compte tenu de la proximité de Lyon on peut imaginer que c’est la même, mais la nôtre est un peu plus sèche, plus sculptée, plus ravinée si je puis dire ; un peu seulement bien sûr ce n’est pas de la saucisse sèche…
Je sais plus qui exactement, mais je crois me souvenir qu’il y a une épidémie de chanteurs rock qui se sont convertis à l’Islam ; si c’est pour la polygamie Mormon suffisait…
dit-il planqué derrière son bureau en langues de bois
allons bon y sfait pitié..dédé va te donner un set de berserker mon couillon..bouge pas
si c’est pour la polygamie Mormon suffisait…
..comme relookeur tu vaux pas une demi saucisse au lentille
mais la nôtre est un peu plus sèche, plus sculptée, plus ravinée si je puis dire
dla montbéliard quoi..toi aussi t’es snob sergio
La claque !
Daaphnée : Tiens, salut Bloom, vous êtes près de chez moi
Bloom : Je sais, je sais, mais je n’ai pas beaucoup de temps pour la bagatelle en ce moment.
un set de berserker
Je ne voudrais pas avoir l’air d’une andouille néanmoins puisque vous en êtes à passer en revue cuisines et vins de France ( c’est réac ), pourriez vous cher Bouguereau m’instruire d’une caisse ou d’un cageot de ce met si méconnu.
La claque !
la fessée baroz..un peu de poésie dans ce monde de brute
chanteurs rock qui se sont convertis à l’Islam ; si c’est pour la polygamie Mormon suffisait…
Cat Steven ça devait pas être pour la polygamie, baroz t’expliquera.
cuisines et vins de France ( c’est réac )
(pas du tout) et le berserk c’est le da de la jalousie du sein a dracul..amok il dise sous d’autre cieux..les grecs avait aussi le leur..il est con mais con ce dracul debout sur ses bouquins de merde il arrive même pas a pécho un malheureux pot dconfiture..
ta gueule raclure que dirait le bougros… oui, merci, mais à qui ? à moi of course
rue Fournier à Porquerolles, pus personne n’ont de nouvelles du JC disparu sur son scoutère, nous prévenir quand même
@geo dit: 16 octobre 2015 à 14 h 02 min
Geo, j’ai encore lu à ma façon – mais ne le prenez pas aussi mal qu’un critique chatouilleux, qui, un certain jour me lança : « Vous ne pouvez pas dire cela, c’est de la malhonnêteté intellectuelle ! »-.
Donc, de suite je vous mets en garde. J’ai lu cette chronique de Mathieu Bock-Côté et je l’ai aimée parce que j’ai sauté avec indifférence sur le centre du billet (islam /juifs…) et j’ai aimé les images fortes que les lignes du début et de la fin de l’article ont fait naître en mon imaginaire et en ma mémoire. Comment « s’ouvrir à la nouveauté, à ce qui dans le monde, vient, sans faire une simple reconduction de celui d’hier » ? Et cela me ramène délicieusement au deuxième tome de L’homme sans qualités de Musil et à son monde d’utopie.
Et quand iM. Bock-Côté écrit « que Finkielkraut n’en peut plus d’entendre que les années 1930 seraient de retour, ralliement à une forme d’antifascisme parodique qui n’en finit plus d’assimiler tout ce qui contredit le métissage euphorique du monde à une nouvelle peste brune. », je reconnais ma lassitude devant les rappels de ces années argumenté par un retour au semblable.
La vie est une spirale plutôt qu’un cercle repassant infiniment par son origine. Quand je regarde et écoute Finkielkraut avec ses rages, ses tics, ses soupirs, ses moulinets de main, je lui trouve des airs d’adolescent énervé par la contradiction de ceux qui n’entendent pas ce qu’il n’arrive pas à dire.
Finkielkraut m’intéresse plus parce qu’il n’arrive pas à dire que par ce qu’il dit (comme Törless devant le conseil de professeurs). Dans ses monologues souvent embrouillés se cache un pastel. « Finkielkraut montre comment, en réduisant les langues à de simples instruments de communication, on perd le génie de chacune, qui s’exprime à travers la littérature. » Son paysage intérieur est tout en délicatesse, empli de littérature, de poésie. L’altérité, les frontières sont pour lui l’occasion de dire « Bonjour », Bonjour comme on dit merci « denken et danken. Bonjour avant le cogito. L’être est remercié, l’Autre est salué. ».
Quand iM. Bock-Côté écrit encore : « Le livre de Finkielkraut nous oblige à poser la question de son rapport à la philosophie. (…) des esprits mesquins lui contestent de temps en temps son statut de philosophe. On voudrait en faire un essayiste grincheux parmi d’autres, même pas un intellectuel digne de ce nom. », je suis encore en accord avec ce questionnement. « C’est évidemment une sottise sans nom. »et il ajoute » Alain Finkielkraut, fidèle ici à Péguy, plonge dans le monde, ses brumes, pour chercher à l’éclairer un peu, tout en sachant qu’on ne sait jamais exactement dans quelle époque on vit. Raymond Aron disait que l’homme fait l’histoire mais ne sait pas l’histoire qu’il fait. »
J’évoquais un pastel, mais une aquarelle serait aussi fort appropriée.
Son final est un peu excessif. Je ne parlerai pas de livre « capital » mais d’une belle rencontre avec « une parole libre, qui médite sur l’histoire et qui subtilement nous réapprend la liberté de pensée. »
Voilà, geo, votre article m’intéresse comme je l’ai lu, librement. Comme je l’ai cité tout aussi librement effaçant certains mots (ex : « pureté »). Il me rappelle un autre livre que j’avais beaucoup aimé L’éloge des frontières de Régis Debray. Les premières lignes » « Une idée bête enchante l’Occident : l’humanité, qui va mal, ira mieux sans frontières. D’ailleurs, ajoute notre Dictionnaire des idées reçues (dernière édition), la démocratie y mène tout droit, à ce monde sans dehors ni dedans… ».
Ces deux penseurs ont de troublants points communs.
Voilà, Geo, ma très mauvaise lecture. Merci pour le lien.
chanteurs rock qui se sont convertis à l’Islam ?
Sauf erreur, je crois qu’il y avait eu un précurseur, Maxime Rodinson du groupe Atkinson 8 III, dans les années 1980.
dédé va te donner un set de berserker mon couillon..
et il pourra dire le célèbre Bouguereau me tendit le fouet avant de me prêter un instant son esclave, t’es vraiment trop fort
c’est celui qui l’est qui le dit: 16 octobre 2015 à 16 h 15 min
Cat Steven ça devait pas être pour la polygamie,
Bien dans ces conditions, si, pour que précisément les autres se dévouent ! Le Monde est bien fait comme dirait Allah…
Geo,
je vous ai répondu. Le commentaire de 17h15 est en attente de modération. Guettez son retour (j’espère avant celui des hirondelles !)
N’eut été la pénurie de papier
N’eût été
@ Christiane
Si je vous ai bien comprise, le propos de vous commenté par moi concernait Heidegger. Dont acte. Si c’est le cas, mon commentaire n’a aucune validité, car je n’ai jamais lu une ligne de Heidegger (pas plus que de Rebatet d’ailleurs).
En même temps tout va bien, on se réjouit de raclées électorales à défaut de pouvoir rêver d’une victoire, c’est tellement pas nouveau qu’il faudrait demander au docteur desbougs si c’est de la névrose d’échec refoulée ou pas.
Bon ça fait moins cadavre qu’un corps au regard fixe n’exprimant que des gaz, c’est bien, un peu d’encens ou beaucoup de foin, qu’importe la fumée…
Manifestation pacifique d’Arabes israéliens pro-israéliens censurée
Elle aurait dû plaire aux défenseurs de la paix, cette manifestation pacifique. Mais ça n’a visiblement pas été le cas.
http://www.dreuz.info/2015/10/16/manifestation-pacifique-darabes-israeliens-pro-israeliens-censuree/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29
ça fait que je vais sortir une tonne de raclures
Ce serait bien qu’on change de billet, l’essoufflement est total, seul Widerganger continue à mettre méthodiquement et régulièrement des couches de peintures. C’est un bon ouvrier, on ne peut pas lui reprocher ça, on voit qu’il est issu d’un milieu populaire.
En colleur d’affiches il serait excellent, par exemple. Avec quelques notions de Krav Maga.
Non mais là, c’est l’Aka-7 kiédi
L’inénarrable Abdeladolf: 16 octobre 2015 à 12 h 30 min
Abdeladolf, si la situation était inversée il ne resterait pas un juif dans la bande de de Gaza, pas un! Bande de Gaza dont les Egyptiens ont refusé le retour sous leur administration après les accords de paix de Camp David. Le Sinaï oui, pas Gaza, en d’autres termes, les Palestiniens, on vus les laisse. Et Gaza, du temps de l’administration égyptienne était tout aussi close. Et si le Hamas ne lançait pas ses roquettes Qassam sur Israël Israël n’aurait pas à intervenir. Imaginez un réduit copte d’où des radicaux lanceraient des roquettes sur le territoire égyptien.
seul Widerganger continue à mettre méthodiquement et régulièrement des couches de peintures. (D=)
Il repeint régulièrement au caca les parois de son cachot mental. C’est le Tasse du prolétariat intellectuel.
Ce serait bien qu’on change de billet, l’essoufflement est total (D)
Parlez pour vous, moi je me sens une putain de forme que je vous dis pas.
« Ce serait bien qu’on change de billet »
Passou doit être très occupé ailleurs, sans compter Chabbat, il n’a même pas pris le temps de corriger Roquefort !
Merci à Patrick Peloux d’être passé
Pardon, vous avez une vie sociale ou des résidus de vie maritale?
Tu voulais une posée de fourchette?
La légende d’une des photos n’est toujours pas corrigée : Noël Roquevert (et non Roquefort !).
C’est conseillé à l’école de frapper
Je crois que Passou attend les mille pour faire une nouvelle critique…
Une petite page culturelle.
http://www.youtube.com/watch?v=Fodic2odNnM
…
…c’est tout à fait çà,!…tout le monde ce croit dans un avion,…et on s’envoie des boulettes,!…
…tous heureux, comme des anges en l’air,…Non,…les coussins, les édredons,…
…c’est pour les résultats des comptes,!…
…etc,!…les tours de cochon, s’entend,…
…les mains brassent dans l’Ô ,…c’est du propre de se passer un savon,!…etc,!…
…
Le prestigieux passou ne corrige pas volontiers les noms d’acteurs compromis avec l’occupant. Roquevert restera donc dans son fromage et Fresnay, qui fricotait à l’esstrème droite, eût été gratifié de Fresnet. Le monde a changé depuis 45, les ptits gars ( copy du gros Widergg). La tévé, n’en parlons pas. Imagine t-on le couple ruquier moix passant à la question Morand- chardonne. Des morts dans le paf.
Pourquoi gros Widergänger, mes petits chéris ? J’ai toujours été mince. Zêtes obsédés ou quoi ?
Ben, en ce moment chez Taddeï, il y a l’idéologue Elias Sanbar qu’est pas mal non plus pour nous embrouiller les méninges. Il était sur le point tout à l’heure de vouloir nous faire accroire que les sites archéologiques palestiniens étaient détruits par les israéliens parce que, selon lui, Jérusalem est de tout temps multiculturel en somme. Enfin, c’est n’importe quoi, ces Palestiniens. Ce sont les occupants de la Palestine et ils prétendent y trouver des traces plus anciennes que celles des Hébreux/Juifs. C’est vraiment la vermine ces gens-là. Il est impossible de faire la paix avec de tels idéologues.
Des morts dans le paf ? Tout au plus des pifs dans le paf !
Des pifs communiss dans le paf, ça c’est bien vrai, considérable Wgg.
Widergänger dit: 16 octobre 2015 à 23 h 35 min
‘…C’est vraiment la vermine ces gens-là…’
M. Passouline faites quelque chose…ce personnage est en train de souiller votre site…la modération du blog est a géométrie variable ou bien vous approuvez ces propos nauséabonds ?
Pour faire supprimer un commentaire jugé inapproprié, intolérable, ou une usurpation de pseudo, il suffit d’écrire personnellement à Pierre Assouline, qui fait le nécessaire.
C’est ce qui vient d’être fait pour l’usurpation de mon pseudo à 15h52.
Non, y’a eu les accords de Marcisse
« En 2015, la capacité de nuisance d’un Rebatet est faible” nous dit Passou das son billet. Oui, après Auschwitz on peut difficilement s’exprimer comme lui. Reste la capacité de l’antisémitisme à se renouveler pour finalement continuer à être une calamité qui à l’occasion tue en France. L’avantage de l’antisémitisme post-Auschwitz c’est qu’il n’a plus besoin du mot “Juif” pour sévir, pour diffuser son message, toujours le même depuis la supposée mort du Christ, il dispose maintenant du mot “sioniste ». Discours inusable qui, même après le génocide, continue de faire du Juif (pardon, le sioniste) le bouc émissaire universel. La (juste) cause palestinienne est la seule qui mobilise à gauche de la gauche. Les Kurdes peuvent être gazés et massacrés (200000 sous Saddam), les Tchétchènes décimés (150 à 200000 morts, une paille!), les Darfouris victimes de la barbarie de Omar el Beshir (300000), la minorité musulmane de Birmanie ( Rohingya) réduite à l’esclavage, les Papous eux aussi décimés par le régime islamiste de Jakarta (entre 150 et 400000 victimes!), nos bonnes âmes progressistes autoproclamées ne bougent leur cul que pour la Palestine. On se demande bien pourquoi… A ceci s’ajoute le boycott (BDS) dont est objet Israël. Au reste (j’emprunte cette expression à Pascal Ory qui semble beaucoup l’apprécier…), Israël est le seul pays que la gauche altermondialiste appelle à boycotter, ce qui, si les discours ont un sens, signifie qu’Israël est le centre du mal universel. Si vous dites à Besancenot qu’il est antisémite il va écraser une larme devant les caméras mais il n’empêche que la monomanie antisioniste du NPA et de tout ce qui est gauche du PS, alimente l’antisémitisme des jeunes (et moins jeunes) musulmans, pour le plus grand bénéfice du “vivre ensemble”, bien entendu. Après les tueries de Charlie et de l’happer cacher, Le Monde publia une tribune qui disait que a priorité des priorités était la lutte “contre l’islamophobie”. Cette action venait de coûter la vie à Cabu et ses camarades, on venait de tuer des Juifs parce que Juifs, mais il ne fallait pas se tromper d’ennemi, selon ces (et ses) signataires.
Au fait, mercredi j’ai trouvé « ça » chez Gibert Jeune. Il ne restait plus qu’un exemplaire et il semblait m’attendre.
Changement de sujet: j’avais ici parlé de « A Brief History of Seven Killings », de Marlon James, qui a obtenu le Man Booker Prize cette année. Ceux qui peuvent le lire dans l’original doivent se précipiter, les autres pourront patienter en compagnie des derniers M. Ferrier, F. Noiville, B. Sansal et d’un ou deux autres goncourables avant d’attaquer « in French » le marleyien testament de cette nouvelle voix des caraïbes. Du Capote dans le style & le sujet.
Bloom dit: 16 octobre 2015 à 23 h 32 min
Action.
@lazarillo
Evidemment vous avez raison
Les Palestiniens ont une chance que n’ont eue ni les Papous ,ni les Kurdes ,ni les Tchetchenes ,ni les Darfouris ,à savoir que ceux qu’ils désignent comme leurs persécuteurs sont les juifs, ce qui suffit a donner à leur combat pour une terre une orchestration mondiale , et à susciter à leur égard une compassion généralisée, de fait a priori car la plupart du temps deconnectée de l’exigence la plus élémentaire d’information
En fait, c’est le correcteur orthographique qui a imposé Noël Roquefort à la place de Noël Roquevert. Et là encore encore je dois m’y reprendre à quatre fois pour l’écrire correctement. Je trouvais cela plutôt rigolo mais ça m’a valu tellement de commentaires que…
Lazarillo dit: 17 octobre 2015 à 4 h 33 min
Si je veux me brouiller avec les défenseurs auto-proclamés de la cause palestinienne, je leur demande ce qu’ils ont fait pour le médecin palestinien torturé dans les geôles de Kadhafi.
Rien, bien sûr, puisque ni eux ni les pays « frères » n’ont bougé, et qu’il a fallu que Sarko fasse un coup politique* (et un troc) pour le libérer avec les infirmières.
Donc, comme ils sont infoutus capables de reconnaître que ce Palestinien n’était pas bon car affligé de deux défauts (il ne leur permettait pas de taper sur Israël, il les aurait obligés à critiquer le Guide Vert) j’ai droit soit au silence soit aux insultes.
* Et rien d’autre : quand il est allé en Bulgarie et que les infirmières ont voulu lui témoigner leur reconnaissance, c’est à peine s’il s’est arrêté devant elles.
Pierre Assouline,
Vous avez aimé Noel Roquefort ?
Vous allez adorer Pierre Assoupline … !
Ah on retrouvé notre JC rue Fournier à Porquerolles, en fête il s’était cassé la margoulette à scoutère, il a le tarin amoché et une patte folle, soutenons-le dans son andicape
Sapré passou. Ce qui est moins rigolo, c’est de rire comme un bossu avec le Rebatet en 42. Comme dit M. Ory qui sait garder la vedette: « ça c’est vlai ça ».
» Les Kurdes peuvent être gazés et massacrés (200000 sous Saddam), les Tchétchènes décimés (150 à 200000 morts, une paille!), les Darfouris victimes de la barbarie de Omar el Beshir (300000), la minorité musulmane de Birmanie ( Rohingya) réduite à l’esclavage, les Papous eux aussi décimés par le régime islamiste de Jakarta (entre 150 et 400000 victimes!), nos bonnes âmes progressistes autoproclamées ne bougent leur cul que pour la Palestine. »
On pourrait ajouter d’autres exemples (entre autres le massacre récent de civils chiites au Yemen par nos chers alliés saoudiens; comparer la couverture médiatique avec celle de la Palestine…).
Bien vu pour une fois Lazarillo.
« Les Palestiniens ont une chance que n’ont eue ni les Papous ,ni les Kurdes ,ni les Tchetchenes ,ni les Darfouris »
Vous parlez d’une chance, DHH, celle de se faire massacrer, en silence ou sous les projecteurs, qu’importe, le résultat est le même pour les victimes !
« Les Palestiniens ont une chance que n’ont eue ni les Papous ,ni les Kurdes ,ni les Tchetchenes ,ni les Darfouris ,à savoir que ceux qu’ils désignent comme leurs persécuteurs sont les juifs, ce qui suffit a donner à leur combat pour une terre une orchestration mondiale »
Pas seulement les juifs DHH. Si leur persécuteurs étaient européens ou américains blancs ce serait exactement la même chose. La seule chose qui compte est que le « méchant » » appartienne au monde occidental au sens large (les israéliens sont perçus comme tels) et que la victime appartienne au reste du monde, supposé victime des méchants blancs depuis l’origine des temps…toute autre persécution n’intéresse à peu près personne.
L’individu qui dirige la Turquie a pu célébrer fastueusement cette année une entreprise purement coloniale et impériale, à savoir la prise de Constantinople par les turcs, c’est-à-dire l’écrasement du dernier foyer indépendant de la culture grecque antique où la jeunesse cultivée étudiait Homère et Platon, sans que personne ne s’en offusque.
Nous en sommes arrivés à un tel degré d’aliénation que rarissimes sont ceux qui ont été choqués ou se sont simplement posé des questions…
Que les Juifs d’Israël se débarrassent, une bonne fois pour toutes, de ces Palestiniens inaptes à commercer avec eux et qui font rien qu’à embêter…..
Reprenons Constantinople et Sainte Sophie, éliminons le crétin qui se prend pour le Sultan, rasons les monuments et chapelles construits par les Infidèles, et la Chrétienté rayonnante fêtera bientôt la prise d’Istanbul…..
je dois m’y reprendre à quatre fois pour l’écrire correctement
merde on dirait pas qut’es feuj..essaie dfaire l’intelligent..fais au moins semblant..ha tu fais honte à voir
Les Palestiniens ont une chance que n’ont eue ni les Papous ,ni les Kurdes ,ni les Tchetchenes ,ni les Darfouris ,à savoir que ceux qu’ils désignent comme leurs persécuteurs sont les juifs, ce qui suffit a donner à leur combat pour une terre une orchestration mondiale
quand alain soral dit des trucs comac il est passibe lui
…où la jeunesse cultivée étudiait Homère et Platon… (Gondran)
Faut pas exagérer. Gare aux délires à la Quignard, vers 1450, y’avait pas Arte ni l’agrégation.
1er Les Noirs
2ème Les Arabes
3ème …..
après JC le plus con c’est bouguereau
..les noirs les arabes et jicé font rien qu’a mbatte..même yavé y peut pas mkiffer
« Gare aux délires à la Quignard »
ou à la Yourcenar, Phil, à Istanbul comme à Alexandrie, les Grecs ils passaient leur temps à s’enfiler !
1er Les Noirs
2ème Les Arabes
3ème les Enarques
4eme …..
L’homosexualité n’est-elle pas un vecteur de paix ?
Combien de gays israéliens ont un amant palestinien ?
@Zoon dit: 16 octobre 2015 à 18 h 24 min
Merci pour votre honnêteté. Mes lectures de Heidegger sont très fragiles car difficiles d’accès. Il faut être W. pour évoluer si facilement dans ces termes obscurs. Ce qui m’avait passionnée c’est le regard d’Hannah Arendt sur l’œuvre de ce philosophe et sa place dans la philosophie. La publication des « Carnets noirs » – du moins dix pages de ces carnets – semble provoquer un tournant dans la question de son antisémitisme.
J’ai pris le train en route de « Causeur » à A. Fonkielkraut qui, ce matin, sur France Culture (« Répliques »), rêve de l’incertitude du résultat dans un vrai match de foot, d’égalité entre les équipes et regrette ce que la capitalisme apporte de perversion dans le sport par la course à la richesse. L’échange avec Gregory Schneider et Jean Philippe Toussaint ses partenaires de débat est très intéressant. Surprenant.
Votre réponse est arrivée en différé comme la mienne à Géo. Il faut alors remonter la houle des commentaires pour retrouver le fil de la discussion.
Je lis, ce matin, l’échange, plutôt l’affrontement des uns et des autres sur cette tension meurtrière entre Israël et Palestine. Hier, l’émission de Frédéric Taddeï « Ce soir (ou jamais) » était un lieu où le dialogue devenait impossible, malgré la présence sur le plateau de Robert Misrahi, Leïla Seurat, Valérie Zenatti, Esther Benbassa, Julien Salingue…
Lorsque vous ouvrez la bouche, Attila, n’oubliez pas de fermer votre anus dei, sinon ça craint !
Le doux Elias Sambar un idéologue, on peut rire ? Les deux plus mauvais intervenants, les deux idéologues les plus hideux de l’émission étaient, ô surprise, les deux phylosophes, le sans-dents sénile Robert Misrahi et le néo-cons fanatique dénommé Ricaute. Tous les autres étaient remarquables, quels qu’ils fussent.
C’est hamlet qui a raison, il faudrait peut-être interdire aux phylosophes de s’exprimer publiquement, pour l’intelligence du débat.
VIVE REBATET, cornecul !
@23.35. Pas exactement d’accord avec vous. Je crois tout à fait possible de construire une paix pérenne entre les deux États, et nous finirons par y arriver. C’est fatal !… quand les rapports de forces internationaux auront évolué. Mais il suffit pour commencer de s’écouter parler en raison, comme le soutient le vieux poète R. Misrahi, à condition que chacun des protagonistes de la table ait enlevé son dentier ou veuille bien commencer à se délester de ses crocs. Le sage a montré l’exemple de ce qu’on pouvait faire dans un fauteuil, à défaut de se servir d’un couteau. La bonne volonté de tous les vieillissants finira ainsi par sauver le monde des assauts périodiques d’une agressivité juvénile à juste titre en révolte, et faire ainsi la preuve que nous pourrons tous nous en sortir honorablement par les eaux bouillantes du calcul altruiste.
Il y avait du bon et du moins bon parmi les représentantes féminines, Benbassa et la journaliste de l’Express ne furent pas à la hauteur à côté de la jeune Seurat et de Mme Zanetti. Quant aux mecs, le type aux oreilles en boucles peinait à se faire entendre, mais il avait un propos juste, face au fasciste de service, l’Yves Roucaute, pareil à son fanatisme habitudel. Fr. Taddeï semblait content, car son émission fut rock’n’roll à souhait,certes, il aurait pu se dispenser d’inviter ce dernier…
Mais bon, on apprend toujours des choses dans cette émission(comme parfois à la RDL ?), c’est d’ailleurs la seule du PAF où on avance un peu, je trouve…
La situation économique de la France est catastrophique et chacune des mesures prises va exactement à l’encontre de ce qu’il faudrait faire. Dans la grande majorité des cas, elles visent à la redistribution des prélèvement.
Effets obtenu :
– pouvoir d’achat un peu augmenté pour les basses classes qui se ruent sur les produits importés, notamment audiovisuel et automobile asiatique. Effet sur l’économie française quasi-nul. Pas d’effet sur le niveau de qualité de l’alimentation, ces classes vont acheter plus que mieux; ça favorise de fait l’agriculture intensive, la malbouffe ainsi que les importations étrangères à bats couts (céréales asiatiques pour ne citer qu’elles). Indirectement : augmente les dépenses de santé qui ne sont pas du tout supportées à leur coût réel pour ces classes (bien souvent un de ces consommateurs de santé ne payera qu’1/10ème de ce qu’il coûte à la collectivité).
– accélération de la pompe migratoire, le flux d’illégaux étant proportionnel aux avantages qu’ils peuvent recevoir.
Du côté de ceux qui payent l’impôt pour les autres (ce qui au passage est contraire aux termes de la constitution française) : de moins en moins de possibilité de contribuer au développement de l’économie des produits de qualité (dont agriculture raisonnée), écroulement accéléré de cette économie ou achat de celle-ci par capitaux étrangers et ouverture de filières d’exportation ne profitant qu’à ces pays. Deviennent les seuls à pouvoir engager des frais d’investissement. Début de création d’empires qui vont grignoter autour d’eux tout ce qui n’aura pas pu tenir en raison du manque d’investissement. En découle aussi la chute des salaires par tendance à l’alignement de ceux-ci sur l’étranger (Est, Orient, Maghreb, Extrême Orient), d’où augmentation de la proportion de salariés bas, entrant dans le cercle des assistés non contributeurs et mal-consommateurs. La boucle est bouclée.
On voudrait faire plus déresponsabilisant, con et suicidaire qu’on ne pourrait pas.
Tout ce que je viens d’écrire, ainsi que la lutte efficace contre l’islamisme radical et violent sera au cœur de la prochaine campagne présidentielle.
J’espère que ceux qui prétendent tenir ce poste suprême arriveront avec des billes pour répondre à tout ça. Parce que personnellement, avec moi, l’enfumage ça ne marche pas, et j’espère faire encore beaucoup de disciples qui en feront eux-même beaucoup d’autres.
Les commentaires de Phil et d’Attila sur les grecs sont minables, méprisants…et révélateurs d’une incroyable ignorance.
Ajoutons que les universités doivent évidemment être payantes pour tenir le coup. C’est devenu une évidence. Ajoutons aussi que si on y admettait moins d’étudiants étrangers (ou du moins qu’on exige la contrepartie d’accueil, en terme d’effectif et de coût engagé, y compris logement, les choses iraient déjà un peu mieux, n’est-ce pas ?
(Cf. Sid Ahmed Ghlam, buteur de jeunes femmes à Villejuif et accessoirement étudiant assisté en fac)
Yahvé….. dit: 17 octobre 2015 à 10 h 31 min
« VIVE REBATET, cornecul ! »
Vive YAHVE, jarnidieu !
christiane dit: 17 octobre 2015 à 10 h 17 min
A. Finkielkraut qui, ce matin, sur France Culture, rêve de l’incertitude du résultat dans un vrai match de foot. L’échange avec Gregory Schneider et Jean Philippe Toussaint ses partenaires de débat est très intéressant. Surprenant.
A.F avait des questions à poser et Schneider des réponses à apporter.
Frappé en revanche par la platitude de Toussaint, sottement narcissique et narcissiquement sot.
(A-t-il écrit de bons livres?)
Ne pas confondre paix et pet, courant d’air !
@Diagonal dit: 17 octobre 2015 à 10 h 47 min
Ce qui m’a étonnée dans cette émission c’est que progressivement, tous ceux qui prenaient la parole le faisaient en interrompant un autre invité (l’interrompant de ce fait dans le déroulement de sa réflexion) et qu’eux-mêmes ne pouvaient aller au bout de leur argumentation car ils étaient à leur tout interrompus.
L’échange se transformait peu à peu en paroles se superposant les unes aux autres et le ton général devenait celui de la colère par frustration. Les visages devenaient furieux et le meneur de jeu ne servait plus à rien.
Que signifie le fait d’interrompre l’autre sur un désaccord ? Qu’est-ce qui bloque ? Est-ce à dire qu’écouter l’autre est moins important que de s’exprimer ? Un besoin de garder le contrôle ?
Peu à peu apparaissaient des monologues souvent incompréhensibles puisque plusieurs parlaient en même temps.
La communication devenait alors source de la mésentente, de l’entente impossible. Toute proche de l’agression.
Magnifiques extraits de Beowulf donnés en marge…
Lazarillo dit: 17 octobre 2015 à 4 h 33 min
Si vous dites à Besancenot qu’il est antisémite il va écraser une larme devant les caméras mais il n’empêche que la monomanie antisioniste du NPA et de tout ce qui est gauche du PS, alimente l’antisémitisme des jeunes (et moins jeunes) musulmans, pour le plus grand bénéfice du “vivre ensemble”, bien entendu.
Dans la mouvance islamo-progressiste qui se structure rapidement sous nos yeux, une forme d’antisémitisme est un liant indispensable.
Ce fond de sauce permet à l’occasion des convergences entre frères rouges et frères bruns (Soral), sous le grand drapeau vert des Déshérités (mustadhafin), héritiers des prolétaires d’autrefois…
@Ueda dit: 17 octobre 2015 à 11 h 22 min
J’étais tellement étonnée par le choix du sujet : le foot, que j’ai mis un certain temps à comprendre l’échange. Il me semble que Toussaint et Finkielkraut ont parlé de chorégraphie en évoquant le mouvement des joueurs vu du haut des tribunes. Je crois qu’il me faudrait des ralentis et du silence pour accéder à ce bonheur !
A-t-il écrit d’autres livres que celui sur le foot ? je ne sais. Je ne connais que ceux de son homonyme.
Un moment a retenu mon attention, c’est quand ils ont évoqué la violence du geste fourbe d’un des joueurs, applaudi par le public et justifiée par l’arbitre. C’était un joueur brésilien et le fait qu’il faisait vivre une centaine de personnes au pays par ses dons semblait justifier, dans la discussion, le fait qu’il puisse être violent dans un match. Je suis restée perplexe.
J’ajoute que ne suivant pas l’actualité du foot ni les matchs retransmis à la télévision, j’avais l’impression d’être en terre inconnue. Et cette étrangeté m’a beaucoup plu.
Geo,
la réponse que je vous destinais, hier, à 17h15 est en ligne.
« Ce soir où jamais » (pour moi ce sera jamais): type même du non-débat foireux à la française.
Dans quel autre pays a-t-on une conception à la fois aussi enfantine et aussi violente de la discussion?
christiane dit: 17 octobre 2015 à 11 h 38 min
Il me semble que Toussaint et Finkielkraut ont parlé de chorégraphie en évoquant le mouvement des joueurs vu du haut des tribunes.
Il est toujours aussi gnangnan ce Toussaint?
Il interrompait les deux autres de manière oiseuse (moi écrivain!), une vrai tête à claque comparé à Schneider qui sait de quoi il parle.
Ne vaut-il pas mieux lire les mots imprimés, ou méditer, réfléchir, rêver en silence, en sons directs, en musique, plutôt qu’écouter ces paroles, ces bavardages, ces débats radiophoniques ou télévisuels ?
Ueda dit: 17 octobre 2015 à 11 h 44 min
Pauvre Ueda qui s’invente chaque jour de nouvelles façons de cracher.
@ 11.27 Ce qui m’a étonnée, etc…
Pas lieu de s’étonner car c’est la loi du genre, 8 personnes aussi contrastées sur un sujet aussi explosif, vous imaginez bien qu’il allait s’en suivre des « dialogues de sourds ». Moi, ce qui m’a étonné, c’était la capacité de chacun à contrôler (+ou-)ses nerfs pour pouvoir développer jusqu’au bout l’argument qui lui importait… Et à les suivre attentivement, je trouve qu’ils y sont parvenus, ce qui est un exploit !… Pas de joute oratoire constructive quand le principe du débatteur est juste de contrôler le temps de parole de chacun, quand il a mobilisé délibérément un trop grand nombre de « spécialistes » sur un temps si court… Le spectateur intéressé ne parvient implicitement qu’à départager rapidement ses amitiés et inimitiés sur des critères qui ne sont d’ailleurs pas qu’idéologiques…
Mais n’est-ce pas toujours comme ça, la télé ? Ce type d’émission a réussi son boulot s’il a incité le spectateur à approfondir ses convictions vacillantes dans le bouquin de l’un ou de l’autre, croyez pas ? Et d’ailleurs, chacun des « spécialistes » appelés accepte de venir dans l’arène pour ça, car il est humain d’espérer emporter un petit bénéfice (de notoriété et trébuchant)pour son bouquin, même si c’est au prix d’une légère humiliation, car personne ne ressort jamais très reluisant de ce type d’épreuve.
Oui, Attila, tous ces personnages bouffis de prétention, il ya longtemps que j’ai décroché…
lisez plutôt : ORFEO de Richard Powers
L’INTÉRÊT DE L’ENFANT de Ian McEwan
Ueda, renato, attila,….
Aucun n’a vu, tous en parle.
Très Français (et assimilés) « tous pourris »
Non pas tous pourris, Sourit zouzou, mais temps perdu !
Gontran, aucun commentaires sur les Grecs. Vous semblez paradiser l’avant prise de Constantinople. Garaudy fit pareil avec la Cordoue de l’an mil.
@12.04 lisez plutôt : ORFEO de Richard Powers
Pour ma part, je l’ai beaucoup apprécié…, un peu moins peut-être, (car plus sombre et moins solaire) que « du temps où nous chantions », qui était structuré de la même façon… J’ai trouvé l’intrigue pour soutenir le suspense un brin tirée par les cheveux. J’ai surtout eu du mal à comprendre et dénouer le lien entre les recherches génétiques du personnage pour incruster du son dans la matière et son sentiment d’avoir vainement cherché à dépasser la musique atonale par la musique du silence. Ce roman est vertigineux et archi intelligent, tout à fait d’accord, d’autant plus qu’il est entrecoupé de scènes magnifiques (et notamment celles des circonstances de la composition du Quatuor pour la fin du temps d’O. Messiaen). En revanche, le dernier McEwan m’a paru très décevant, donc inutile d’y insister.
Cela dit, en quoi la lecture de Richard Powers (ou Mc Ewan) serait-elle incompatible avec l’intérêt pris à certaines émissions télévisées au sujet desquelles on peut également vouloir tenter de comprendre quelque chose des affaires présentes qui agitent le monde ? Je ne vois pas très bien pourquoi le « ou » devrait se substituer au « et »… en dehors d’une explication par la paresse des repus et vaincus, morts vivants retraités condamnés à végéter par leur embonpoint prudhommesque.
@ Diagonal – 12h04. Vous écrivez : « Moi, ce qui m’a étonné, c’était la capacité de chacun à contrôler (+ou-)ses nerfs… »
Il y avait tellement de – que j’ai fui l’émission avant la fin en gardant une impression de suffocation.
Ce que dit Attila à 11 h 57 ( « Ne vaut-il pas mieux lire les mots imprimés, ou méditer, réfléchir, rêver en silence, en sons directs, en musique, plutôt qu’écouter ces paroles, ces bavardages, ces débats radiophoniques ou télévisuels ? ») me parait plein de bon sens.
« Ce que dit Attila à 11 h 57 ( « Ne vaut-il pas mieux lire les mots imprimés, ou méditer, réfléchir, rêver en silence, en sons directs, en musique, plutôt qu’écouter ces paroles, ces bavardages, ces débats radiophoniques ou télévisuels ? ») me parait plein de bon sens »
christiane
C’est bien vrai ça et ça permet surtout de ne pas de se confronter à l’Autre et de rester dans ses petites certitudes.
« vouloir tenter de comprendre quelque chose des affaires présentes qui agitent le monde ? »
A travers des débats qui relèvent de la politique du spectacle, Diagonal ?
« ça permet surtout de ne pas de se confronter à l’Autre et de rester dans ses petites certitudes. »
Au contraire, Chacun chez soi, c’est la condition essentielle pour rester entièrement disponible à l’Autre, et ne pas se laisser annihiler par de stériles distractions…
12h49
Eh oui baroz, seul le débat permet d’avancer.
Attila dit: 17 octobre 2015 à 12 h 52 min
se laisser annihiler par de stériles distractions…
Débats = stériles distractions.
Joli.
Pour ma part, sur votre conseil et celui de Lucas Beauchamp, Diagonal, je lis « Canada » de Richard Ford, et je ne m’en porte pas plus mal…
Et vous avez beaucoup avancé depuis, Gégé ?
C’est pas vous qui nous conseilliez de (re)lire Guy Debord, Chacun chez soi ?
Attila dit: 17 octobre 2015 à 12 h 58 min
Oui.
Alors que vous, vous en êtes toujours à regretter Chirac à Paris et les cimetières.
Autrefois, quand on voulait noyer son chien on disait qu’il avait la rage.
Ici, quand on veut faire taire son contradicteur on lui rétorque qu’il est atteint de « la paresse des repus et vaincus, morts vivants retraités condamnés à végéter par leur embonpoint prudhommesque ».
Drôle de débat !
Attila dit: 17 octobre 2015 à 13 h 03 min
C’est pas vous qui nous conseilliez de (re)lire Guy Debord, Chacun chez soi ?
?????????
De mieux en mieux Gégé-Dédé, voilà de l’argumentaire propre à faire avancer le débat erdélien !
Renato, la prise de Cordoue, c’est du volt
« ????????? »
Emouvant dans le rôle de la chatte effarouchée !
Attila dit: 17 octobre 2015 à 13 h 07 min
Drôle de débat !
Eh bien, prouvez le contraire.
D., comme les Décombres ou les déconnes ?
D., comme les Décombres ou les déc.nnes ?
gégé, je pourrais dire, comme WGG, que je suis l’un de ceux ici qui contribuent le plus aux débats ?
Attila dit: 17 octobre 2015 à 13 h 09 min
De mieux en mieux Gégé-Dédé, voilà de l’argumentaire propre à faire avancer le débat erdélien
Vlatipa que je suis dédé maintenant, c’est que débat et la réflexion c’est pas votre Attila.
Il est sûr qu’enfermé dans vos petites certitudes vous ne risquez pas d’avancer.
Attila, je me trompe ou c’est vous qui revenez sans cesse sur cette époque bénie où vous étiez salarié de la Ville de Paris et sur les ignobles qui vous en ont chassé.
Attila dit: 17 octobre 2015 à 13 h 14 min
D., comme les Décombres ou les déc.nnes ?
Erreur Annibal je suis JC et TKT.
Esther Benbassa, elle est complètemlent marteau. Avec Elias Sanbar, ils faisaient la paire tous les deux : le marteau et son maître…
Attila dit: 17 octobre 2015 à 13 h 16 min
gégé, je pourrais dire, comme WGG, que je suis l’un de ceux ici qui contribuent le plus aux débats ?
Faux.
Vous lancez une phrase sans avis et généralement sans intérêt pour faire le malin, puis vous attendez.
Après le flop, vous en lancez une autre.
C’était plutôt la diagonale du fou…!
@Attila – 11h57
Le livre qui m’a le mieux fait réfléchir à ce conflit reste pour moi :
Fous de l’origine – journal d’intifada, écrit par Daniel Sibony. (Éditeur : Bourgois – 2005)
Le meilleur et le plus fou à la fois, c’était Misrahi. Meilleur, parce qu’il refusait la religion comme l’histoire. Fou, parce qu’on ne peut ni refuser l’histoire ni la religion…
Impasse totale. La guerre de cent ans n’a que 70 ans…
Il est sûr que WGG fait avancer le débat.
Toute personne qui ne pense pas comme lui est marteau, dans l’impasse, débile, fou et évidemment dépourvu de la moindre intelligence.
Avançons donc.
On avance ou on recule, gégé, comment veux-tu que je t’enc.le !
VIVE REBATET, cornecul !
—
Voilà le vermineux affublé d’un nom composé se terminant en Q: pour un ténia, c’est parfaitement seyant.
Attila dit: 17 octobre 2015 à 13 h 42 min
On avance ou on recule, gégé, comment veux-tu que je t’enc.le
Bravo,
une avancée qui aide à réfléchir dirait christiane.
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