Reductio ad Hitlerum et… Godwinum ?
Connaissez-vous le point Godwin, ce machin qui désormais dépasse en notoriété le point G ? Pas un blog, pas un forum, pas un site ouvert aux commentaires n’y échappe quel que soit le sujet du jour. Non, ce n’est pas un gadget rhétorique. Juste un constat établi au début des années 1990 sur le réseau Usenet par l’avocat américain Mike Godwin (1956), lequel, restons simple, préfère parler de « loi de Godwin »). Il tient en ceci : plus une discussion en ligne dure, plus la probabilité d’y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Hitler se rapproche de 1. Il désigne donc le cap d’un échange d’arguments dans lequel l’une des parties invoque une référence à la seconde guerre mondiale, à l’Allemagne nazie, à la solution finale, ce qui a pour effet de clore le débat. Ainsi le point Godwin marquerait un point de non-retour au-delà duquel la conversation devient pourrie. Considéré comme un objet philosophique, il est l’accroche de Reductio Ad Hitlerum (176 pages, 15 euros, Presses universitaires de France) de François de Smet, et vaut qu’on s’y attarde pour ce qu’il nous renvoie de notre société.
On dira qu’il n’y a rien de neuf sous le soleil : après tout, qu’est-ce d’autre que la version 2.0 de la Reductio ad Hitlerum conceptualisée par le philosophe Leo Strauss dans Droit naturel et histoire (1953) en résonance avec l’argument rhétorique reductio ad absurdum ?
« Ce faisant, nous aurons à atteindre le seuil au-delà duquel l’ombre d’Hitler commence à obscurcir la scène. Et il n’est malheureusement pas inutile d’ajouter qu’au cours de notre examen nous devrons éviter l’erreur, si souvent commise ces dernières années, de substituer à la réduction ad absurdum la réduction ad Hitlerum. Qu’Hitler ait partagé une opinion ne suffit pas à la réfuter » expliquait Leo Strauss.
A ceci près que sur la Toile, tout se déploie en accéléré et en intensité. C’est moins des dérapages du Net, des nouveaux usages engendrés par les réseaux sociaux et de la néo-conversation à l’heure des nouvelles technologies, que de la question du Mal qu’il s’agit. Partant, le philosophe s’interroge aussi sur les limites de notre liberté d’expression.
On contestera tel ou tel point à François de Smet, et notamment ce poncif qui a la vie dure selon lequel « l’histoire est écrite par les vainqueurs » ; mais il fait un utile retour sur les expériences des années 60, celle de Ash sur l’instinct grégaire et celle de Milgram sur l’autorité, qui permettent de mesurer le degré de conformisme. Surtout, il enrichit le débat en insistant sur l’effet de meute, la menace qu’exerce et la peur que provoque ce confort que l’individu revendicateur trouve à quitter une forme de solitude pour rejoindre une masse en mouvement armée de fourches, l’agneau cédant ainsi à la tentation de revêtir une peau de loup. Or le point Godwin, rappel à l’homo connecticus de sa propre barbarie, est négatif. Le rebelle/réfractaire, héritier du héros antique, croit désormais s’incarner positivement dans la figure de l’Indigné, ce qui est une fuite illusoire ; cela évite de mettre des actes au bout de ses idées et surtout de s’engager dans un camp :
« S’indigner pour s’indigner, c’est se mettre en colère pour s’épargner une consultation chez le psychanalyste, c’est s’acheter une voiture pour montrer qu’on en a les moyens, bref, c’est manifester qu’on est en vie – mais ce n’est rien de plus ».
Analysé comme un symptôme, le point Godwin apparaît comme « le fil révélateur d’une modernité en irrévocable déliquescence existentielle ». Il permet de fuir le souvenir de ce que nous étions en meute « avant la civilisation, avant l’Etat » ; il rappelle aux hommes leur goût de la force, de la volonté de puissance, du conformisme en les ramenant à une animalité enfouie, étant entendu que diabolisation et fascination sont les deux faces d’une même médaille.
Soixante-dix ans après la fin de la guerre, son emprise sur les esprits est toujours aussi forte. La référence compulsive aux nazis est le signe de notre impuissance à désigner le Mal avec des valeurs morales et des repères éthiques qui ne soient pas amarrés à l’Histoire. C’est une boussole bien pratique en un temps où les citoyens sont déboussolés par les crises identitaires. Ni le stalinisme, ni l’islamisme n’ont vraiment remplacé cet absolu de l’inhumanité faite homme dans l’inconscient collectif. Il leur a « manqué » le nihilisme ontologique d’avoir mis en œuvre la Shoah, entreprise de dévalorisation progressive d’une catégorie d’individus précédant leur extermination en masse. Cet épouvantail du Mal est notre dernière certitude métaphysique
« Le nouveau totalitarisme n’aura plus demain, les atours d’une petite moustache et d’une mèche. Il ne s’appellera certainement plus nazisme ou fascisme. Mais il prendra à coup sûr l’image de la force. Il se proposera de replier le chaos du monde sur une ou deux idées simples. Il fera de la Cohérence son drapeau. Il flattera les forts et s’adjoindra les faibles. Et, une fois encore, sa séduction sera irrésistible ».
Cette conclusion de François de Smet, on hésite à la dire lucidement pessimiste ou tragiquement réaliste.
(Illustration de Kristian Hammerstad et Photomontage de 1937)
1 035 Réponses pour Reductio ad Hitlerum et… Godwinum ?
« Contrairement aux rumeurs colportées par des historiens bas de gamme, genre BUISSON, aucune Française n’a donné naissance à un SEUL gosse né de la Collaboration Sexuelle, durant les années d’Occupation !
De même, TOUS les intellectuels et artistes ont été résistants dès 1940 ! On a la liste ! »
OH ! LES GROS MENSONGES ! ON ENTEND LES 200.000 BEBES EUROPEENS PROTESTER …
goering, ma mère de ma mère… on ne compte plus, c’est illimité, comme le gâtisme
…
…un + ,…çà prend une allure de feux d’artifice,!…
…Oh,!…la belle bleu, et l’orange qui s’éclate en fils pourpre,!…les fusées au cul, vous collaborer pour l’occupant,!…au Moulin Rouge,!…
…quels prétextes pour collaborer à nous faire Napoléon à Moscou,!…
…quels €urope, qui ne sait distinguée, la paille et brindille de la poutre,!…
…
…l’élite à s’envoyer en l’air, vous entrez en amalgame aux amalgames à poudre,!…
…vous faîte canon, pressez-vous,…Bang,!…vous êtes partis la fleurs en tête,!…Ah,!Ah,!…
…idem,!…les métiers du spectacle,!…la vitrine aux clients,!…l’éducation pour monter les prix des romances au pognon,!…elle m’aime,!…
…ma fonction de banquier,!…vous vous les rouler, je peux participer,…l’amour des cloches dorées,!…
…etc,!…encore un verre,!…de laids,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…
radioi
oioioi! http://www.youtube.com/watch?v=vvdEBBmk_yU
..t’es con mais t’es minion
JC ou le révisionisme le plus abject… digne de la raclure, pote avec Soral et Dieudo…
Ce qui n’empêche pas cette merde de se dire catholique, enfin, quand il signe D. comme beDeau
La vérité, ce troll est surtout complètement fou.
Entre Giovanni Sant’Angelo et les tracts que ueda glisse sous la porte de JC, mon cœur balance.
l’incohérence bien rance
les keupus zont un don pour le tesque y devrait faire un groupe..les « têtes de glands »..pis halors pour les rappels y sont bons..
radioi keupu dit: 16 novembre 2014 à 18 h 12 min
« La Suisse a décidé, en représailles de la mauvaise image donnée par le sinistre individu Thierry l’Affront, de teindre la chemise jaune de TKT en BRUN avec obligation de faire insertion photographique dans son blog ! »
IMMONDES HELVETES !!!
@ 18 h 16
C’est vrai, le trio TKT/JC/radiokeupu constitue la charpente intellectuelle de la RdL.
Les intellectuels d’un côté (TKT, JC, etc.) et la composante « tendresse » de l’autre (Clopine, Barozzi). Un blog complet, quoi.
Et on a aussi droit à la partie divertissement avec Chaloux. Non, c’est pas mal, plutôt bien foutu. Bravo aux organisateurs.
Le tollé soulevé depuis hier par une phrase de Zaz me semble bien futile :
http://www.leparisien.fr/laparisienne/s … 294831.php
L’itv originale http://www.chartsinfrance.net/ZAZ/interview-94395.html n’est pas d’une haute tenue intellectuelle ni littéraire… notamment de la part du transcripteur qui confond Cosette et causette !! (les réseaux sociaux auraient été mieux inspirés et plus rigolos de relever ce passage)
Tout le monde me fait passer pour la petite causette qui a commencé dans la rue. Mais ça ne s’est pas passé comme ça. J’ai commencé bien avant. J’ai chanté dans plein de groupes. J’ai fait du piano-bar aussi. Et lorsque j’ai décidé de quitter cette vie-là parce que j’étais malheureuse, même si je gagnais de l’argent, je me suis mise à jouer dans les rues. C’est une expérience dont j’ai eu besoin. Je suis très contente de gagner de l’argent aujourd’hui, de pouvoir faire plein de choses avec et de voyager.
Le Paris que tu chantes aujourd’hui dans ce nouvel album, colle-t-il vraiment à la réalité ou n’est-il finalement plus qu’un simple fantasme ?
J’ai remarqué que toutes ces chansons sont encore très actuelles. Moi, j’ai besoin de me nourrir de la joie. Quand je chante, ça me connecte à ma joie. En France, j’ai l’impression qu’on se focalise un peu trop sur les choses négatives, alors qu’à côté de ça il y a beaucoup de personnes qui réinventent la société et proposent d’autres choses. Et ces gens-là ne sont pas mis en lumière. Je trouve ça déplorable ! A Paris, sous l’occupation, il y avait une forme de légèreté. On chantait la liberté alors qu’on ne l’était pas totalement. Pour moi, c’est ça Paris. C’est là où tout est possible, là où on innove.
Dire (ou vouloir dire !) que Paris sous la croix gammée n’était « pas totalement libre » est certes un peu… léger, mais il est en revanche vrai qu’il y avait une vie culturelle intense sous la botte. C’est une question importante, et pas encore historiquement très éclaircie. C’est un effet de l’habileté de Hitler, via Abetz -une réalité demeurée cachée jusqu’à la fin du siècle. Il ne faut pas compter sur notre zazoue tardive pour approfondir l’analyse, mais les donneurs de leçons feraient mieux de s’y coller.
« Traitez vos charpentes ! le fameux termite fou Vidame de Mesroberts, moyen oriental parasite, attaque sans coup férir vos structures ! »
POURRIS ! LE VICOMTE NE REPRESENTE AUCUN DANGER …
t’excite pas JC Vidame de Trouducu, c’est pas bon pour tes artères
« JC traite ses artères aux hormones »
INFAMES RAGOTS !
Le pire c’est que vous avez malgré tout un côté marrant.
(Pas possible de le vérifier avec tout le monde, notez)
merci Monsieur Delpla, Reinhard Höhn ! c’est son nom !
ce cher Reinhard Höhn c’était le roi de la gestion des ressources humaines !!!
parce que j’aime bien les idées simples mais ce que n’a pas encore compris ce cher ML c’est qu’il n’y connait absolument rien en gestion des ressources humaines !!!
il connait la poésie et la littérature mais question gestion des ressources humaines : zéro !!!
qu’il nous explique ce cher ML ce qui fait fonctionner ce monde, ces mécanismes qui mettent en place les inégalités, les iniquités, les sordités, les putasserités de ce monde sinon la Gestion des Ressources Humaines…
mais ça il s’en fout parce que c’est une idée simple de voir dans cette gestion des ressources humaines de nos grands managers le même fonctionnement que celle du nazisme.
parce que ML a force de rester le nez plongé dans Baudelaire ne sait pas que ces choses existent, ce nietzschéisme managérial il n’en a jamais entendu parler, ni du darwinisme managérial, ni de l’hyper vitalisme, du refus des normes, du tout est permis, de cet éloge du libertarisme, de l’anarchisme comme l’autre crétin d’Onfray, de la défense de l’esprit rebelle comme tous les autres crétins, de cette culture littéraire soi disant humainiste comme propagande capitaliste pour faire diversion pendant que les gens se font licenicer en masse, tout ça il n’a pas vu que c’est tout du nazisme qui ne dit pas son nom, non il croit que c’est la démocratie, des pays où 5% de la population possède 5% des richesses pour lui c’est encore de la démocratie, c’est encore de l’état de droit.
mais mon pauvre vieux la France n’est plus un état de droit depuis 1983 ! depuis que le premier homme politique a avoué son impuissance à gérer la politique parce qu’il était sous la coupe de puissances plus grandes, au lieu de lire Baudelaire il faudrait qu’il relise Hobbes notre ami ML pour savoir ce qu’est un état de droit.
et tous ces crétins de philosophes qui nous endorment avec leurs histoire à la c.n il faudrait qu’ils sortent de leur petit monde et qu’ils relisent Hobbes aussi pour se rendre compte du niveau de leur compromission et de leur complicité avec le nazisme capitaliste actuel !
« Hamlet n’a pas compris que le brin d’herbe se moque, tant qu’il vit, de savoir qui va le couper !
Tempête de sable islamique, tondeuse folle bretonne, faux de la faucheuse de Bercy, main d’enfant sadique, sécheresse EELV-GIEC … »
DIEUX DU CIEL, PROTEGEZ NOUS !
Il s’agit d’un faux chapeau napoléonien, made in China. Une estafette sud coréenne vient de me le livrer.
J’ai l’intention de l’offrir à notre ami Passou, en signe d’amitié…
« des pays où 5% de la population possède 5% des richesses pour lui c’est encore de la démocratie »
hamlet
Euh……oui (ce serait…au moins ça)
Soyons raisonnables : on licencie d’abord les mauvais, non ? Les rebelles … les emmerdeurs… les inexploitables…. les incompétents … !
Naturellement, on ne parle pas du secteur public.
Ma foi, pas trouvé le billet transcendant, ben ouais sans la liberté de faire la fine bouche il n’est pas d’éloge flatteur… De toute façon, mauvaise humeur, suis allé voir Interstellar et me suifaichié, grosse daube, reductio ad pensum americanum.. Là suis scotché, pas par les coms mais par le scotch… Donc.. euh… ah oui…
… au passage,@Hamlet, bjr, je trouve que ça marche pas votre truc, là, vos diatribes-haine des philosophes, je vous ai lu louer Hobbes, Spinoza, Hume (y’en a peut-être eu d’autres), ça fait trois philosophes et non des moindres, donc, votre bintz anti-filosof, bof, pas cohérent.
petit quizz pour ML :
qui envisage les hommes non pas une fin mais un moyen ?
1- le nazisme
2- Michel Onfray
3- le capitalisme
petite questionnaire pour ML :
1 – ne vit-on pas dans une société hyper nietzschéenne ?
2 – une société nietzschéenne peut-elle être autre chose qu’une société nazie ?
ML, médite ce petit dicton maya : là où se trouve Nietzsche, le totalitarisme nazi n’est pas loin….
Nietzsche et toute la philosophie aurait dû être enterrés bien profond en 1945.
le problème est qu’en 45 les américains ont récupéré tous les savants nazis et nous, la France avons récupéré Nietzsche et Heidegger, les deux piliers du nazisme !!!
et l’esprit du nazisme s’est perpétué…
ML allez-donc faire un tour en Normandie écouter Onfray et après vous me direz si le nazisme et le capitalisme ne sont pas une unique et même chose !!!
« et toute la philosophie… » alonbon, trois ou quat coms plus bas vous-même vous déterrez Hobbes (et ailleur spinoza et hume), désolé, faut affiner vot discourse… (Cela dit, vous êtes bel et bien un de seuls ici à avoir un discourse, à développer, à argumenter ou du moins à vous lancer et essayer…. donc bravo quand même)
y’a une intuition pamal : les amerloques en bons pragmatiques ont récupéré les von braun, les pointures en r.h., et nous en gros lourdingues subtils on est allé récupérer Heidegger…
Hamlet, ce sont des idées en omelettes, rien en fait.
en gros lourdingues subtils on est allé récupérer Heidegger…
Avec les gros sabots de Van Gogh, plutôt…
Peau de banane sociale dit: 16 novembre 2014 à 19 h 08 min
Soyons raisonnables : on licencie d’abord les mauvais, non ?
Non, on voit bien que JC ne connait pas les « grandes » entreprises.
Vous feriez mieux de (re) lire H Arendt « Le système totalitaire » et sinon, déjà, la fiche de l’encyclopédie qui met les choses au point, non ?
« La première apparition politique de la formule « État total » date vraisemblablement d’un discours prononcé par Mussolini en 1925 et sa conception est élaborée par le philosophe italien du régime Giovanni Gentile. À l’idée de stato totalitario succèdent, dans les années 1930, les théories du juriste Carl Joachim Schmitt en Allemagne, qui emploie l’expression der totale Staat, et développe le concept repris par Hitler dès 1933. Pour les deux régimes, l’État est tout-puissant et investit la société dans son entier, encadrant tous les secteurs de son activité.
Le concept de totalitarisme prend corps lors de la guerre froide, pour dénoncer ainsi autant le régime de Staline que ceux de Mussolini et de Hitler. C’est dans ce contexte que les théories d’Hannah Arendt et de Carl Joachim Friedrich, au milieu des années 1950, vont être particulièrement décriées. L’ouvrage d’Hannah Arendt,les Origines du totalitarisme (1951), installe le concept de totalitarisme, analysé en une comparaison singulière des régimes hitlérien et stalinien, dans un débat théorique et idéologique qui se poursuit encore. Nombre d’historiens et de politologues refusent de l’utiliser pour interpréter le nazisme, car il ne rendrait pas compte des dynamiques socio-économiques du régime, foncièrement différentes du stalinisme. On invoque également le fait que l’extermination d’un peuple au nom du racisme ne peut en aucun cas être comparé au projet stalinien. Par ailleurs, on s’interroge sur son applicabilité à d’autres régimes, à celui de la Chine sous Mao notamment.
Malgré leurs divergences, les analyses concourent à définir un modèle d’État totalitaire : l’imposition d’une idéologie officielle érigée en dogme, un parti unique de masse s’appropriant l’État, un contrôle policier terroriste, le monopole des moyens de communication, une planification centrale de l’économie et la désignation arbitraire d’ennemis « objectifs » (les Juifs pour le nazisme, les bourgeois puis les traîtres du régime pour le stalinisme). Le système totalitaire tend à réaliser l’unité parfaite de la société selon une idéologie qui s’impose comme une loi naturelle (la supériorité de la race aryenne ou le rôle historiquement révolutionnaire du prolétariat menant à un idéal de société).
Selon H. Arendt, le totalitarisme diffère des régimes despotiques ou tyranniques en ce qu’il ne se soumet ni à une force supranaturelle de type religieux, ni à un pouvoir arbitraire. Il édicte ses propres lois et les met en œuvre d’autorité. Il se distingue également de tout autre régime car il est le seul à avoir mis en pratique la destruction systématique et massive de populations ou d’individus »
Et pour ce qui est de H.Arendt, il y a des notions comme solitude/désolation qui, partant, permettent de saisir comment pour l’homme « désolé » la faculté de penser et de faire une expérience sont perdues en même temps – c’est dans le dernier chapitre Idéologie et Terreur – et qu’il est peut-être très opportun de lire pour notre époque ..
keupu y trouve qu’on doit espier d’avoir pendu goering..avec lui on roulerait tous en audy r8..on voudrait pas des francs suisse a vontraube..les gamins chtraient moins de cailloux a dracul en proportion relative de l’absolu de maintenant
l’État est tout-puissant et investit la société dans son entier, encadrant tous les secteurs de son activité
au point de vue idéologique houi..économique non..évidemment que non..et hanna fait bien gaffe la dessus..ouillouillouille! trés ! -hidden-..c’était la période dailleurs
A propos des affres de la désolation H Arendt cite le mot que l’on prête à Hegel « il n’y en a qu’un qui m’ait compris; et lui aussi a mal compris. » En revanche, l’expérience inverse, dit-elle, peut se produire où l’homme désolé se trouve lui-même et ce serait ce qui est arrive à Nietzsche à Sils Maria ..
Aux amateurs d’expériences limites tous les espoirs sont permis ..
Je ne me souviens plus de cette citation de Raul Hilberg sur la responsabilité individuelle du style: envisage toujours tes actions sur ce qu’elle peut impacter l’autre.
Beaucoup de bureaucrates par ici, isn’t it ?
Et bien peu en relation avec la réalité sociale et économique ou décideurs, non ?
20h01 votre commentaire ouvre à d’interprétation comme beaucoup de lectures, aussi vous concernant et sans connaitre vos fins vos moyens, on devrait se demander si votre éclairage est fiablement légitime et si oui quelles intentions faudra-t-il lui accorder.
hamlet, je partage en partie ce que vous dites. Je vais même dans votre sens en citant le livre important de Christophe Dejours : Souffrance en France, Seuil, 1998. Il compare en effet le nazisme et le néolibéralisme qui a envahi la planète et place comme vous le dites le DRH au centre du système néolibéral. Mais ses idées sont quand même un peu moins simplistes que les vôtres. Lisez-le, vous y lirez une confirmation fondée en raison et avec de très nombreux exemples de vos idées (je les partage aussi, et depuis très longtemps, puisque le livre de Ch. Dejours date de 1998, vous voyez, je ne vous ai pas attendu pour mettre en parallèle nazisme et néolibéralisme).
Bien à vous.
Je vous dis cela en repensant à tous les cercles décisionnaires informels, assez vitaux, je dois dire. Pendant qu’on nous distrait avec ce petit pantin épouvantail à la mèche et moustache. Ne sont pas fournies les aiguilles pour séance de vaudou ?
hamlet, à propos du nitzschéisme et du libéralisme contemporain, vous devez lire les ouvrages de Marcel Gauchet sur la crise du libéralisme. Il va là encore dans votre sens mais avec une pensée quand même beaucoup moins simpliste. Lisez-le, je ne peux pas vous dire mieux.
Bien à vous
Selon H. Arendt, le totalitarisme diffère des régimes despotiques ou tyranniques en ce qu’il ne se soumet ni à une force supranaturelle de type religieux, ni à un pouvoir arbitraire ????
Le concept d’État totalitaire a été forgé par le théoricien du fascisme italien, Giovanni Gentile, qui écrivait les textes de Mussolini ayant un contenu théorique. L’État totalitaire doit prendre le contrôle de la société toute entière et de tous ses secteurs, jusqu’à faire disparaître celle-ci, englobée dans l’État, devenu « total ».
Le gouvernement a donc toute légitimité pour faire tout ce qui concerne les relations sociales, c’est-à-dire en pratique contrôler la vie des individus, ne leur laissant aucune liberté individuelle et surtout aucune liberté d’expression, ni par conséquent de pensée.
petit rappel d’un lien déjà donné:
« Doit-on subir Hannah Arendt ? Le film, bien entendu, apologie pesante de l’auteure, présentée triomphante de ses adversaires, ceux-là ignorés pour les besoins du spectacle. Doit-on subir ses propos, ses interprétations, sans révéler leurs faiblesses et les critiques émises de son vivant ? »
http://www.claudeberger.fr/hannah-arendt-legerete-coupable/
Pendant qu’on nous distrait avec ce petit pantin épouvantail à la mèche et moustache . Vie ds les bois
Je ne trouve pas très très divertissant, on préfèrerait l’oublier, cependant qu’une nécessité nous dicte le souvenir effroyable d’une potentialité larvée et d’un pouvoir dévastateur. On ne peut tout de même pas endormir les enfants avec nuit et brouillard.
surtout quand on n’a pas d’enfant, mais qu’en vraie hystérique comme vous on s’occupe de ceux des autres, non ?
Vous devriez plutôt la lire, Viedanslesbois, parce que c’est qq qui cherche à poser les bonnes questions, et elle est parfois presque contradictoire, qui ne prétend pas détenir « la » vérité !
je parle de Arendt
Autre lecture : Domenico Losurdo, sa Controstoria del liberalismo. Là il ne s’agit plus de « crise » mais d’essence, dans la lignée de Samuel Johnson :
« How is it that we hear the loudest yelps for liberty among the drivers of negroes? »
La vie dans les bois je ne saisis pas bien d’où vous vient cette supposition, vous parliez de ce pantin distrayant, non? A l’âge adulte on ne s’intéressé plus aux pantins à moins d’accompagner les enfants à un spectacle ou oui effectivement un festival comme celui de Charleville qui offre une grande variété de spectacles de marionnettes venues du monde entier. that’s all. Je ne trouve pas distrayant mais grave qu’on soit encore hanté par ce que l’Histoire a produit.
Non merci. Hilberg a été suffisamment explicite sur cette pensée Arendt. Je préfère son discernement.
le verbe distraire: détourner pose à priori un problème de compréhension.
Comme c’est bien plus que parti, je suppose que vous avez réservé un caveau pour continuer.
inapplication, inattention, oubli, bévue, omission, imprudence, étourderie, impair, mégarde, dissipation, maladresse
amusement, diversion, divertissement, délassement, récréation, ravissement, passe-temps, plaisir
Non merci. Hilberg a été suffisamment explicite sur cette pensée Arendt
Ah .
Si vous laissez à d’autres le soin de penser pour vous, ceci expliquera cela ..
C’est bien ma poisse, rameuter tous les adeptes de roubignolesco à mes trousses.
il faudrait qu’il relise Hobbes notre ami ML pour savoir ce qu’est un état de droit.
Et Alain Baueur après lui ?
hamlet dit: 16 novembre 2014 à 19 h 25 min
Lisez plutôt Le Vrai Nietzsche de Jean-Pierre Faye.
je sais pas, dans votre jeu de cartes pipé poker menteur, vous avez encore qui d’interessant ?
Chaloux ou hamlet ?
C’est dit, je vais lire Hobbes.
Ah tiens la fayotte révise son vocabulaire.
Sur Arte dans la série voir ou revoir, un bon Lars Von Trier.
Excellent aperçu de Hobbes dans Clément Rosset : l’Anti-Nature. À lire pour ne pas faire de contre-sens en lisant Hobbes…
Il est ironique de voir comment le Strauss auteur de la « reductio » a été lui-même à l’occasion « réduit » par ses nombreux adversaires.
Un livre récent dans cette veine est celui de William Altman, The German Stranger, Leo Strauss and national Socialism (2010).
De la constatation du fait que le jeune Strauss est complètement imprégnée de la pensée de l’extrême-droite de l’époque de Weimar (ce qui est irréfutable), y compris jusque dans l’élaboration de son Sionisme politique très particulier, on aboutit benoitement (et méticuleusement car c’est un bon scholar) à affirmer (pour faire simple) qu’on a affaire à une sorte de national-socialiste dissimulé ou contrarié par son statut de Juif.
Ce type de raisonnement est malheureusement fréquent.
Il serait assez facile pour certains esprits exaltés, dans leur critique de la tradition de pensée allemande, d’aller jusqu’à affirmer comma Altman que Moses Mendelssohn, attaqué par Jacobi (le sujet de thèse de Strauss) est « la première et paradigmatique victime de l’Holocauste » (p. 75)…
Absurda reductio.
Pour autant, et même si on doit refuser l’hystérie des anti-straussiens américains devenus paranoïaques après le 11 septembre, Strauss est un drôle de personnage, comme suffirait à le montrer la lettre qu’il a écrite en mai 1933 à Karl Köwith (et abondamment citée depuis que Meier l’a publiée dans les Oeuvres complètes chez Suhrkamp).
Pour ceux qui ne la connaîtraient pas:
« Daraus, dass das rechts-gewordene Deutschland uns [= Juifs] nicht toleriert, folgt schlechterdings nichts gegen die rechten Prinzipien. Im Gegenteil: nur von den rechten Prinzipien aus, von den fascistischen, autoritären, imperialen Prinzipien aus lässt sich mit Anstand, ohne den lächerlichen und jämmerlichen Appell an die droits imprescriptibles de l’homme, gegen das meskine Unwesen (= les Nazis) protestieren. »
Vous n’avez pas mieux pour attirer l’attention et cela ne doit pas en être un.
Karl Löwith
Excellent aperçu de Hobbes dans Clément Rosset : l’Anti-Nature. À lire pour ne pas faire de contre-sens en lisant Hobbes…
satanés parpaillots
Le contexte de cette formule de Strauss (devenue tellement célèbre qu’on ne sait plus ce qu’elle désignait) est digne d’intérêt.
Il suffit d’ouvrir Natural Right and History (p. 42-43) pour voir qu’elle est là pour justifier une charge passionnée contre Max Weber.
Weber le « nihiliste » malgré lui, pense-t-il (ce qui ne manque pas de sel quand on voit ce qu’il a écrit sur sa propre génération « nihiliste » dans laquelle il voyait le lieu d’une protestation morale…)
C’est pour se protéger des protestations devant sa mise en cause de Weber, que Strauss recourt lui-même à cet argument extrême (Hitler a dit, etc.), pour prendre aussitôt ses distances.
– Je dis que la conséquences des théories de Weber sur la valeur est le nihilisme, mais attention, ne me faites pas dire ce que je ne dis pas (« we must avoid the fallacy »)…
Convertissons en petite monnaie la reductio ad Hitlerum dans la France de 2014.
La reductio ad Marinam Lepenorum.
C’est meilleur marché.
Attention à ne pas faire de contre-sens à la lecture des textes de Strauss !
C’est un auteur difficile à lire, qui use de l’ironie pour cacher son jeu. Lire à ce sujet une des récentes études de Milner sur la pensée politique de Léo Strauss.
La phrase que vous citez reste très ambiguë. Volontairement ambiguë, semble-t-il. Et donc difficile à décoder.
On ne peut pas trouver ridicule l’opposition de Strauss à Weber. Toute la pensée politique de Strauss repose sur cette opposition. Il est plus clair et plus simple dans ce cas-là de dire qu’on rejette carrément la pensée politique de Strauss au profit de celle de Weber. C’est-à-dire qu’on refuse le débat entre Weber et Strauss. Ce qui a l’avantage de supprimer le problème en guise de solution…
« Surtout, il enrichit le débat en insistant sur l’effet de meute, la menace qu’exerce et la peur que provoque ce confort que l’individu revendicateur trouve à quitter une forme de solitude pour rejoindre une masse en mouvement armée de fourches, l’agneau cédant ainsi à la tentation de revêtir une peau de loup. »
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Il y a tout de même un raccourci qui choque.
Ce n’est tout de même pas parce qu’on quitte sa solitude qu’on se retrouve ipso facto revêtu d’une « peau de loup »… Comme si, dès lors qu’on intègre un groupe pour contester quoi que ce soit, on était forcément réduit au statut de bête… C’est tout simplement ridicule, schlechterdings lächerlich, comme dirait Léo Strauss ! Et surtout peu pertinent sur le plan des idées. À l’en croire, tous les syndicalistes à ce compte-là, seraient des loups. C’est n’importe quoi ! C’est une négation même du fonctionnement démocratique de nos sociétés. Il est bien connu par ailleurs que l’homme est par nature un être social, pas un être de solitude.
Quote me on this: À l’en croire, tous les syndicalistes à ce compte-là, seraient des loups. C’est n’importe quoi ! C’est une négation même du fonctionnement démocratique de nos sociétés. Il est bien connu par ailleurs que l’homme est par nature un être social, pas un être de solitude.
Il ne faut pas faire cette erreur de confondre la nature métaphysique de l’homme (Rilke peut ainsi écrire cette très belle phrase dans ses lettres à un jeune poète : wir sind einsam : nous sommes solitude) et la réalité concrète de l’homme telle que peuvent l’appréhender notamment des préhistoriens qui montrent bien combien l’homme est l’animal le plus social du règne des animaux sur terre.
Pas faire de contre-sens !
réduit au statut de bête…
La taxidermie n’est plus ce qu’elle était l’empailleur empaillé, ou l’empaillé empailleur. Plus sérieusement si l’on excepte les violences et les casses, la revendication sous forme de manifestation demande de plus une autorisation légale. L’union fait la force mais de plus en plus la solidarité ressemble à l’expression du désespoir quand elle ne s’accompagne pas de colère menant jusqu’aux rapt des cadres, les menaces de faire exploser les usines à coup de bouteille de gaz. Rapports de force qui apparaissent bien dérisoires face à la puissance et à la volonté des multinationales qui n’abdiquent pas et vont s’enrichir ailleurs après avoir profité des aides de l’état. Sarkozy avait émis le concept de patron-voyou sans y remédier, d’autres ont fourni un travail souvent infructueux pour réduire la destruction des emplois.
« Attention à ne pas faire de contre-sens à la lecture des textes de Strauss C’est un auteur difficile à lire »
« ne pas faire de contre-sens en lisant Hobbes… »
J’avoue, sur un blog, ne pas comprendre l’utilité de telles phrases.
À chacun de s’affronter patiemment à la lecture de ces textes, qui sont en effet difficiles, sans espérer de secours de maître-penseurs.
Ceci, également, me paraît parfaitement gratuit:
« On ne peut pas trouver ridicule l’opposition de Strauss à Weber. »
Personne ne dit ridicule.
Seulement paradoxal.
« Toute la pensée politique de Strauss repose sur cette opposition ».
Non, pas toute.
« C’est-à-dire qu’on refuse le débat entre Weber et Strauss. »
Il n’est pas question de cela.
Pour la première fois, un maronite israélien a obtenu d’être enregistré non pas comme Arabe, mais comme Araméen. Une demande qui illustre un souci croissant, au sein de cette minorité catholique, de concilier attachement aux racines et fidélité à l’Etat hébreu.
Shadi Khaloul a le sourire de la victoire. Face au photographe, il pose au côté de sa femme, Oksana, dans les bureaux de l’antenne du ministère de l’Intérieur à Safed, dans le nord d’Israël, tenant fièrement sur sa hanche son fils de 2 ans, Jacob. Il vient de faire de lui le premier citoyen israélien «araméen» et, de facto, le premier Araméen de l’histoire contemporaine. C’était le 20 octobre. Shadi vit à Jish (Gush Halav en hébreu), une petite ville de Haute-Galilée plantée sur une colline, à un battement d’ailes du Liban.
_________
C’était la langue du christ.
Jésus aurait parlé et écrit ce qu’on désigne aujourd’hui comme l’araméen occidental, le dialecte des Juifs de cette époque. Après la mort du Christ, les premiers chrétiens ont rédigé certaines Écritures en araméen, relatant la vie de Jésus et propageant sa parole dans cette langue, dans de nombreux pays.
Les évangiles ne sont que des traductions en grec de textes probablement écrits à l’origine en araméen, dont personne ne connaît les originaux…
Ben, il est question de quoi alors ?
Je suis désolé mais quand vous écrivez « ce qui ne manque pas de sel », vous désignez explicitement la pensée de Léo Strauss comme ridicule ! Ou alors les mots n’ont plus de sens.
La Maison blanche confirme la mort de Peter Kassig
Obama qualifie le meurtre de l’otage américain « de mal absolu »; 18 syriens ont également été décapités
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Mort à la peste verte islamique !
– Je suis désolé mais quand vous écrivez « ce qui ne manque pas de sel », vous désignez explicitement la pensée de Léo Strauss comme ridicule ! Ou alors les mots n’ont plus de sens.
– Cela signifie que la lecture de telles phrases de Strauss, à cet endroit, doivent être lues cum grano salis lorsqu’on sait ce qu’il a écrit dans les années 40, à l’adresse des Américains, sur le nihilisme de la génération qui était la sienne propre.
Il n’y a rien de ridicule, il y aurait plutôt un certain pathétique.
Le léger comique, s’il en n’est, viendrait seulement des interprétations des disciples réduits à quia par les propositions soigneusement cryptées du maître.
La phrase que vous citez reste très ambiguë. Volontairement ambiguë, semble-t-il. Et donc difficile à décoder.
La lettre à Löwith?
Non, elle est parfaitement claire.
Avec son ami, il n’a pas besoin de « l’Art d’écrire » qu’il utilise ailleurs.
Pretty straightforward.
Si vous sentez une ambiguité, il faudrait que vous l’explicitiez.
…
…les charnières,…
…les type du genre nazisme,!…obéir,la tête-vide,!…
…tu ouvre tu ferme,!…tu n’est pas censé connaître le contenu écrit sur feuilles,…
… tu ne pense pas, tu obéit, quand on te le demande,!…
…
…Papa,…le modèle ne me plait plus,!…Hop,!…le nazisme à la poubelle, ou le stalinisme,!…ou la démocratie à la poubelle,…puisque je n’atteins pas à mes rêves distribués en collectif,!…facile,!…
…
…jeter des meubles pour acheter moderne contre-plaqué,!…& l’obsolescence programmé c’est de l’état totalitaire hara-kiri,!…
…
…de solution éducative » facile à facile « , par nos dirigeants à la con,…prévalue facile,!…tout le monde dans la merde-facile,!…
…la maîtrise, c’est quoi,!…le choc émotionnel à dépassé, le quel, » c’est facile « , c’est poubelle,…c’est pour la consommation,…la consommation, la consommation,!…
…par l’obsolescence-programmé, c’est le système qui nous régule par automatisme collectif des marges du profit,!…
…
…le nazisme, le rôle aux » charnières « , on pense pas, ou ouvre, on ferme le clapier des élites des connivences d’héritiers d’école à Bourre-Dieu,!…
…
…les parents, collectionne pour meubler & stabiliser les émotions en leur villa,!…
…
…au plus, pressé, tout en vente public,!…
…merci,! les enfants à Papa,!…retournement , par mentalité aux virus à virus cheval de Troie,!…
…
…les dessins en pensée ( Top Secret ),…
…mon gagne-pain,…les antiques à soigné les préservant des modernes-ridicules,!…
…
…Go,!…la farde à charnière,!…la relativité pour se cassé la gueule,!…sans » thraces « ,!…Ah,!Ah,!…doriens en élevage,!…etc,!…je suis pas loin,!…
…
Il est des territoires barbares où l’on devrait interdire la vente et l’usage des couteaux de cuisine par des écervelés arriérés n’ayant rien d’humain…
Il est d’autres civilisations où l’on devrait un peu plus célébrer le haut niveau de compétence scientifique qui élève l’humanité à une hauteur inimaginable…
Psalmodier des sourates ou élargir la connaissance : choisis ton camp, camarade !
Comprendre les enjeux : la plaisanterie a assez durée…
Le risque de l’inaction : finir Éloïs ou Morlocks.
Les pôles magnétiques terrestres peuvent s’inverser brutalement (lemonde.fr). C’est très ennuyeux :va-t-il falloir renouveler toute nos garde-robes, ça les scientifiques sont incapables de le prévoir, les nuls (ce qui certain c’est que les habitants de pq seront mutés en champignons)
« C’est scientifique » !
à PQ les gens marchent déjà sur la tête
REDUCTIO AT ERDOGANUM
« Les musulmans ont découvert l’Amérique en 1178, pas Christophe Colomb » a déclaré le Président islamo-conservateur dans un discours télévisé. Protestations scandinaves immédiates…
« L’ESA confirme que le robot Philae a trouvé sur la comète les ruines d’une mosquée vieille de 4,5 milliards d’années. Immédiatement, la sonde Rosetta a été rebaptisée Rachida Rosetta, en hommage à cette fabuleuse découverte… »
à PQ les gens marchent déjà sur la tête
s’en fichent-ils jaune ?
REDUCTIO AD ERDOGANUM
Son prochain discours va remuer le cœur de tous les physiciens du monde. Le Président turc s’apprêterait à déclarer :
» La théorie de la Relativité restreinte (1905) et générale (1915) est l’œuvre d’un musulman, Abdel EINSTEIN, anciennement prénommé Albert, converti à l’islam dès 1904 !
Toutes nos félicitations à l’éminent historien des sciences !
8 h 08 min
JC devriez arrêter de lire, écouter, voir les nouvelles : c’est pas bon pour votre cirrhose bilaire primitive
bilIaire
radio keupu (créée à l’instigation de monsieur bouguereau) vous propose de réfléchir à des sujets de société; aujourd’hui :
« que penser du ricanement permanent dans les commentaires de monsieur bouguereau »;
dernière remise des réflexions à 18 heures, merci de votre participation.
A propos de Benito, de l’italie il a suffi d’une genration… et aujourd’hui il reste plutôt Fellini, Zurlini, Rosselini ,Scola ,Rosi, de Sica, Dino Risi , Visconti, ou Antonioni (pauledel)
Au moins un intrus. La reductio ad H. est un outil pour ignorants. Comme dit M. Delpla, le Champagne coulait à flots sous l’Occupation du Paris « culturel » qui proposait d’autres divertissements que des « miousicolzes ».
Il est amusant de constater que, le lifting, le make-up, le travestissement glorieux, l’oubli de la légèreté que le Général a imposé à la France vaincue pour la faire paraître triomphante, résistante, honorable, fière, combattante … ait pu tenir jusqu’à nos jours !
Plus c’est gros, plus le mensonge passe et tient bon : la France ne s’est jamais couchée !!!
Ce sont ceux qui n’ont pas connu l’occupation qui en parle le plus. « Le champagne qui coulait à flots » était bu par l’état-major allemand et les collabos.
« Ce sont ceux qui n’ont pas connu l’occupation qui en parlent le plus. »
Forcément ! Ceux qui l’ont connue sont, soit morts, soit gâteux ….
c’est lundi..hon entend le cri du keupu qui a mal au cul..
(tiens il doit encore chauffer son pâturage préféré)
Plus c’est gros, plus le mensonge passe et tient bon
..hil souffre pour nous
« Le champagne qui coulait à flots »
avec phil c’est toujours la reductio a l’inverti millésimé..selon sarko la jeunesse a besoin d’autres modèles!
les ricanements ont repris, nous sommes écoutés, merci
C’est impossible, dit la Fierté
C’est risqué, dit l’Expérience
C’est sans issue, dit la Raison
Essayons, murmure le coeur.
W. WARD
REDUCTIO AD HOLLANDUM
C’est impossible, dit la Fierté
C’est risqué, dit l’Expérience
C’est sans issue, dit la Raison
Essayons, murmure le Con…
radio keupu dit: 17 novembre 2014 à 9 h 38 min
Il est bien connu par ailleurs que l’homme est par nature un être social, pas un être de solitude
zère iz no seuch zing az socaïti dracul..surtout celle avec fourches..celle avec flute et petit four ne fait de mal à personne
passe et repasse, indéfiniment
« houyouyouuuye » au fond des bois
radio keupu dit: 17 novembre 2014 à 10 h 18 min
nous sommes écoutés, merci
mettez de l’huile les keupus
Toute vérité est bonne à dire ….. dit: 17 novembre 2014 à 10 h 23 min
Essayons, murmure le Con…
Tiens, JC fait auto-critique.
« houyouyouuuye » au fond des bois
private joke?
béré t’es sourde à la misère..mais si t’as un aussi beau cul que t’es cruelle t’es pardonnée
Toute vérité est bonne à dire ….. dit: 17 novembre 2014 à 10 h 37 min
Où est passée la mangeuse de bananes ?
JC, on ne parle pas ainsi de la mère de ses enfants.
Mais qui est ce JC dont vous parlez ? j’ai juste vu un message qui a été rapidement censuré…
nous avons déjà quantité de réponses sur le sujet proposé concernant « le ricanement permanent dans les commentaires de monsieur bouguereau »; nous avons sélectionné celui : « à force de ricaner, il doit bien avoir un rictus constant »; bien noté.
Mesdames et messieurs qui intégrez le mot keupu dans vos pseudonymes, en dehors de bouguereau avez-vous un centre d’intérêt dans la vie ?
un centre d’intérêt dans la vie ? OUI, se débarrasser de JC… ça vous va
Bien. Je note, deux centres d’intérêt : bouguereau et JC. Vous devez avoir une vie passionnante.
Chaloux n’en peut plus,
son keupu tourne en boucle,
comme son intelligence est digne de celle de TKT, il ne pourra sortir de ses fantasmes.
triste.
A propos du twet de Passou concernant l’ article de Christine Angot sur la non-liseuse de Fragonne art, on trouve sans effort de très belles réflexions sur le net.
Ainsi ici :
https://brumes.wordpress.com/2014/10/30/une-fleur-pour-modiano/
« Libération » nous avait habitué à mieux.
Sinon, les commentaires dans leur grande majorité fustige notre Christine nationale pour approuver le temps vide de lecture que l’ on ne rattrape jamais.
Passe-t-on trop de temps à commenter sur le web plutôt que de lire?
JC et Noria sont à bout, à boue et gadoue aussi
versubtil dit: 17 novembre 2014 à 11 h 27 min
Passe-t-on trop de temps à commenter sur le web plutôt que de lire?
Lire le web !
Avec toutes les stupidités débitées par tant de blogueurs en mal de reconnaissance (mais non passou, pas ici) de « journalistes » chargés de relayer les petites phrases des communicants qui eux-mêmes sont incapables d’écrire plus de 5 lignes cohérentes.
Ben non, si vous voulez tirer parti de cet instrument mieux vaut rigoler et commenter chez passou.
Pous lire il existe des libraires et des bibliothèques.
Pellerin/ Modiano
Un extrait de l’ article cité ci-dessous :
» Il n’est pas question de juger la culture réelle de Mme Pellerin sur ce seul manquement, évidemment ; il est plus intéressant d’observer que Mme Pellerin avoue, par la suite, en guise d’excuses, n’avoir « plus le temps de lire » (autre chose que des lectures captives, rapports, notes, etc.). Outre le mépris dans lequel une telle affirmation tient la lecture en général et la littérature en particulier, je note, sur une plus large perspective, la pauvreté de cette défense. Pauvre victime du harassant travail ministériel, soutier d’un régime techno-bureaucratique, liée par tant de responsabilités écrasantes, elle n’a évidemment plus de temps pour la culture. Ni pour faire travailler son équipe. Ni pour réviser ses fiches. Ni pour préparer ses interviews. En revanche, elle a toujours le temps, apparemment, de regarder Games of Thrones, série populaire à la mode, dont elle parlait l’autre jour avec une expertise manifeste sur les ondes de France Culture (dans l’inénarrable « matinale » de M. Voinchet, que j’écoute dans l’espérance quotidienne et toujours satisfaite de quelconques « grotesqueries » (Verlaine)). Entre la lecture d’un côté (de livres ou de fiches) et le visionnage de séries télévisées de l’autre, Mme Pellerin montre qu’elle a choisi. Je me réjouis toujours d’entendre des gens capables d’employer des journées ou des soirées entières à absorber des produits télévisés de consommation courante me dire, fort graves, qu’ils n’ont pas le temps de lire. On a toujours le temps ; il faut se le ménager. L’important est d’en avoir l’envie. Au poste qu’elle exerce, ce petit défaut, ce désintérêt, cette négligence pourraient avoir quelques répercussions négatives. Mais, au fond, Mme Pellerin dit-elle la vérité ? Ne fait-elle pas là les concessions nécessaires qu’exige la vie publique de notre époque ? N’avait-elle pas préparé une fiche, cette fois-ci ? Ne vient-elle pas parler de Games of Thrones sur France-Culture parce qu’à France-Culture même, la culture se résume désormais à la vaste industrie du loisir pasteurisé, haché et mixé, saupoudré d’actu et de bavardages ? Ne joue-t-elle pas le rôle qu’on attend d’elle, à faire semblant de partager ce qui constitue, partout, le seul horizon intellectuel de la société, le loisir ? N’est-ce pas la même capacité d’adaptation au clapotement sale de notre époque qui la fait s’afficher à la FIAC aux côtés d’une (ex- ?)prostituée dont le titre de gloire fut d’être abusée mineure par des athlètes professionnels ? Au moins, l’on n’accusera pas la ministre d’élitisme – ce vilain mot injurieux qui permet à n’importe qui de disqualifier par principe toute tentative, même maladroite, de penser au-dessus de soi-même, contre soi-même, et de se confronter à plus puissant et plus subtil que soi. »
https://brumes.wordpress.com/2014/10/30/une-fleur-pour-modiano/
le temps vide de lecture que l’ on ne rattrape jamais.
http://www.dailymotion.com/video/x2bkoi_barbara-dis-quand-reviendras-tu_creation
cherchées quelques explications concernant l’art d’écrire propre à Léo Strauss qui viendrait en cryptage cependant ne sachant traduire, la phrase célèbre et distribuée hier soir reste énigmatique, aussi J Lee si vous trouviez le temps de la donner en français pour que l’énoncé soit accessible dans son intégrité au grand nombre dont je suis. Merci.
@versubtil
« que de lire? »
Voilà ce qui est quand on lit mal et trop vite.
Donc nous sommes, peut-être, presque d’accord.
« le clapotement sale de notre époque » : du JM Staive tout craché, du réac bon marché, un argumentaire à deux balles
La ministre Pellerin regarde des séries télévisées tandis que son prédécesseur passait du temps à observer le postérieur de ses jeunes assistants, dont au moins un est passé à la tête de radio France. Il y a reductio du ministère de la culture depuis belle lurette
Manquerait plus que nos ministres lisent des livres maintenant !
J-L Blois.( qui a le courage très anonyme de ses opinions) dit: 17 novembre 2014 à 11 h 53 min
Cet article s’il n’ est pas de moi me fait retenir cette phrase :
« disqualifier par principe toute tentative, même maladroite, de penser au-dessus de soi-même, contre soi-même, et de se confronter à plus puissant et plus subtil que soi. »
Bovary est devenu Al-Faransi, il soigne les âmes en Syrie, d’origine normande…
Flaubert, au secours !
J-L Blois. dit: 17 novembre 2014 à 11 h 53 min
du JM Staive tout craché,
« Brumes » c’est JMS !
Vous êtes sûr ?
Ok l’article est à chiller, mais assimiler le lecteur au rédacteur ne l’est pas moins.
Malheureusement je n’avais pas encore le temps de lire les commentaires qui ont été envoyés au sujet du billet ‘Reductio’, un billet que je trouve très intéressant et important, de nos jours où tellement de préjugés par rapport à l’Étranger subsitent dans nos têtes et rendent la vie d’un à côté de l’autre en paix et compréhension, si difficiles, et avec des conséquences tellement dramatiques. Écouter la radio au matin avec les nouvelles du jour, nous donne des frissons de peur et d’incompréhension. Pourquoi nous les hommes, dit tellement évolués et intelligents nous nous comportons d’une façon tellement destrcuctive? C’est qui les responsables. Les hommes et femmes qui nous mettent en tête que le mot ‘égalité des hommes’ n’est que vaine prétention? Qu’au nom de différences de couleurs, de religions, de dévelopement des différents pays, de différences historiques, de manque de ressources sur notre planète, il y a tant de raisons pour nous casser les tête et nous faire soufrir les malheurs les plus atroces?
‘NON’, c’est ce que je devais répondre à la question que monsieur Assouline a mise comme première phrase dans son billet. J’ai demandé au fils, et il m’a répondu, ‘oui, c’est quand même assez connu dans le monde virtuel’. Il me reste donc à découvrir par l’intermédiare du billet assoulien.
Il me semble que la rdl en particulier, est un exemple type, où chaque discussion mène presque sans exception assez vite vers les sujets de la deuxème guerre mondiale et ses horreurs. Est-ce que c’est une question de l’âge de la majorité des commentateurs ou est-ce que ça n’a rien avoir? Il serait probablement intéressant pour un étudiant en matière comminication sur les réseaux sociaux, d’y trouver une réponse, s’il avait la possibilité de comparer un billet assoulien soumis à un public d’un certain âge et le même billet lu par des lecteurs, un ou deux générations plus jeune. Mais est-ce que il saurait trouver un jeune public qui serait prêt à donner d es réponses plus longues que 140 charactères, vu que la génération typique lisant les billets assouliens, a déjà tellement de problèmes à tenir une discussion fondée concernant livres etc. Biens sûr il y a le problème de quelques fous furieux (ou est-ce que ce serait même un tout petit seul individu?), qui ne savent faire rien d’autre que de rendre toute discussion impossible par leurs commentaires idiots et leur usurpation d’identité qui fait fuir tout commentateur de raison. La raison de ces commentaires à la con, est-ce que ce serait la soupape du manque d’un psychanalyste, qui est mentionnée quelquepart dans le billet assoulien?
Déjà en 2009 j’ai constaté qu’il n’a y avait pas un seul sujet proposé par monsieur Assouline, qui n’était détourné assez vite vers des insultes et pire dans la directions assez brune des Nazis etc. Retournant cinq années plus tard, je vois qu’ absolument rien n’a changé et que c’est même devenu pire. Des insultes, de la xénophobie, qui dans le monde réel, feraient passer leurs auteurs probablement assez vite devant le juge.
J’ai aussi vécu le point Godwin sur un forum américain. Les commentateurs étaient à 90% américains, le reste des européens et entre ceux-ci, la majorité des allemands de la génération dont les pères et grand-pères avaient été responsables pour les horreurs de world war II. Normalement tout se passait bien entre les commentateurs, mais dès qu’il y a vait un tout petit souvenir des années 40, c’était foutu, et les commentateurs allemands ont subi les pires accusations. Quand des fois je parlais avec eux par email, ilsétaient tout désespérés que le monde n’arrive pas à oublier et à leur taper dessus au nom de la bêtise.
@ Phil et Wider
Fleur Pellerin est une bosseuse, une femme brillante et efficace qui se consacre à sa fonction, il n’est donc pas étonnant qu’elle n’ait pas le temps de lire des romans.
Cela étant, son parcours universitaire prouve qu’elle a une formidable capacité à digérer des livres.
C’est trop long, Fons.
Si vous voulez qu’on vous lise, allez à l’essentiel.
hon a beau dire versubtil, c’est toujours pareil, hon peut pas gueuler a la trahison des clercs et dire qu’ils succombe à la pression du populo..avé leur connerie..et leur prochaine fourche à lassouline..sans vouloir foute la popo la politique sous un double bind : préparer benoitement la supression du ministère amère..un bon groupe de com frait aussi bien pour moins cher? que ne le fait on..c’est exactement le même four de la critique de lart contemporain..faire la moitié du chemin, c’est toujours excellent pour le biz..idiot trés hutile pourquoi ? pasque sincère..le son de la sincérité, c’est une musique trés difficile à composer aujourdhui
Cela étant, son parcours universitaire prouve qu’elle a une formidable capacité à digérer des livres
burps
dont swap wiz transit
J-L Blois c’est quand moins anonyme que versubtil
« Digérez-vous bien ? »
Voltaire
une formidable capacité à digérer des livres.
Le roman est-il de l’ ordre du digestible?
Un ministre qui n’a pas le temps de lire fait peut-être son boulot donc doit bénéficier d’un a priori favorable.
Faudrait-il aussi qu’il voit tous les films de la semaine, qu’il écoute tous les concerts, qu’il se tape tous les vernissages et cerise sur le gâteau qu’il écoute le dernier Céline Dion ?
hola, il a vraiment forcé sur la bibine le bougue-rototo, ya même son bavoir tout trempe
Bouguereau, on ne peut à la fois reprocher aux ministres d’être hypocrites et se moquer d’eux quand ils sont sincères.
Pellerin aurait très bien pu répondre (à la question « votre roman préféré de Modiano) Dora Bruder comme tout le monde. Eh bien non, elle a choisi d’avouer qu’elle ne l’avait pas lu. Par ricochet, je pense que, quand elle dit qu’elle a lu un livre, elle l’a vraiment lu et sait de quoi elle parle. Personnellement j’aime mieux ça.
à l’évidence dit: 17 novembre 2014 à 12 h 19 min
à l’évidence à l’évidence est crétin analpha »bête ».
les copains de Soral ont eu une permission de sortie ?
Evident : venant de JC, un compliment, énorme
Un ministre qui n’a pas le temps de lire fait peut-être son boulot donc doit bénéficier d’un a priori favorable
‘professionnel est brillant : ESSEC, IEP de Paris, ENA’ ..sûr sûr..elle méritra pour ‘pantoufler’ comme ils disent..huuurkurkurkurkurk..sa tête est chassée sul marché mon couillon: t’as du biscuit
là, bouguereau, t’attiges. Mate un peu wiki : Fleur Pellerin : elle est titulaire du baccalauréat scientifique10 et de l’Abitur obtenus à l’âge de seize ans. Admise à l’ESSEC, elle en sort diplômée à VINGT ET UN ANS. Elle poursuit ses études à l’Institut d’études politiques de Paris, où elle choisit alors la section Service public. À vingt-quatre ans, elle réussit le concours externe d’entrée à l’ENA.
excuse, mec, mais ça pose.
A Monsieur « à l’évidence »,
c’est bien ce que je pensais,
vous ne savez pas lire.
Ni penser manifestement.
Eh bien non, elle a choisi d’avouer qu’elle ne l’avait pas lu
c’est terribe cque tu dis..car on peut pas lui rprocher de pas avoir une trés solide formation politique..la sincérité vient -toujours- a point nommé : ou parcequ’elle n’a plus d’importance, ou parcequ’elle appuie une position calculée..c’est comme ça, ou c’est le poumon d’acier perfusé au formol..les apparences peuvent avoir un sens ‘touristique’..ou c’est la chronique d’une mort annoncée..le chien crevé au fil de l’eau
excuse, mec, mais ça pose
sûr..sûr..goldmansax ou la culture
‘tain s’y en a encore un qui dit du mal de fleur pellerin je l’esplose
à l’évidence dit: 17 novembre 2014 à 12 h 19 min
Votre J.L.Blois ( déjà sa syntaxe et ses expressions employées tels quelles sous un autre nom ici, manière à disqualifier)est une punaise anonyme qui vit dans les bois de ses certitudes.
Je suis parfaitement traçable par mes blogs comme certains/certaines autres ici d’ ailleurs.
Ce genre d’ amalgame stigmatisant ( attribuer un extrait hors contexte d’ une citation à celui qui la cite ) laisse la porte grande ouverte aux dialogues de sourds ( euphémisme )des commentaires harassants sur ce blog.
Bonne continuation.
12 h 31 min
vous exagérez – sont pas tous pourris
Fleur Pellerin, cursus. (Wiki).
« Élève au lycée franco-allemand de Buc (académie de Versailles), elle est titulaire du baccalauréat scientifique10 et de l’Abitur obtenus à l’âge de seize ans11. Elle intègre les classes préparatoires commerciales à l’Ipesup.
Admise à l’ESSEC, elle en sort diplômée à vingt et un ans. Elle poursuit ses études à l’Institut d’études politiques de Paris, où elle choisit alors la section Service public. À vingt-quatre ans, elle réussit le concours externe d’entrée à l’ENA. Elle deviendra alors élève de la promotion Averroès (1998-2000).
Fleur Pellerin maîtrise l’anglais, l’allemand, et des éléments de japonais. »
Chritine Angot, cursus. (Wiki).
« Après son baccalauréat, obtenu dans un lycée privé de jeunes filles, elle entame des études d’anglais et de droit. Elle obtient alors un DEA de droit international public, puis se spécialise en droit européen à Bruges. »
Quid de la Culture ?.
bouguereau dit: 17 novembre 2014 à 12 h 31 min
Comme dit l’autre, là t’attiges.
Il est même possible de reconnaître certaines capacités à l’obstination malhonnête assez caractéristiques.
ûr..sûr..goldmansax ou la culture
Mais on lui demande pas d’être administratrice de la comédie française ou de diriger le musée d’orsay, elle doit régler des problèmes tels que intermittents du spectacle, boucler des budgets, etc.
et elle rêvait sûrement pas du portefeuille de la culture, mais elle était disponible et, comme elle est probablement la personne la plus intelligente du gvt, c’est elle qui s’y colle.
Maintenant t’as le droit de préférer christine angot.
Ben, c’est pas si nul que ça, ce qu’elle dit Madame Angot. Parce que c’est surtout une citation de Duras. Certes, elle aurait pu faire l’économie de la « leçon » infligée à Pellerin, qui, très certainement, a l’humilité de n’être « que » ministre, (et pas écrivain), en se contentant juste de reproduire les prédictions durassiennes… Et puis la création se meurt aussi à cause des corporatismes comme celui qu’affiche Angot. Mais bon, c’est peut-être vrai qu’elle en a eu « gros sur la patate » ?
Avec tout ce qu’elle a lu et écrit, Christine Angot rédige toujours en faux style Duras. Elle ferait mieux de reconnaitre l‘honnêteté de Fleur Pellerin.
Elle voudrait quoi Angot ? Que désormais les membres d’un gouvernement soient tous obligés de lire Modiano ?de lire tous les Nobels ? ou seulement les écrivains français ayant reçus cette récompense ? ou qu’ils lisent tous les prix d’automne ? Pauvre Angot.
Vous croyez que Frédéric Mitterrand a lu Modiano ? Les paris sont ouverts, moi je mets ma main à couper que « oui »…
Vous avez bien raison, Mlle sudomie 12:11,
qu’on lise mes bavardages ou non. Quelle insignifiance absolue!
mais vous même, j’ai cherché un peu à trouver un commentaire au sujet du billet, de votre part. À moins que vous ne l’ayez mis sous un nom de plume. Je serais bien intéressé à le lire, car trouver le chemin entre tous les commentaires depuis hier matin, pas trop facile.
Of course, pauledel. Mais de là à rigoler comme une bossue avec Modiano…qui, il faut dire, est moins bègue face aux belles dames qu’à l’apostrophe du Pivot.
Fons, les discussions sur le prestigieux blog à passouline doivent beaucoup à la politique d’Abetz. Nos amis américains cotisent à fessbouc pour comprendre.
@B comme Berlin
pour aller dans le même sens que vous:Quand on lit ce qui est dit de la formation de Fleur Pellerin, on n’est pa surpris de ses ignorances littéraires. Mais elle n’est pas un cas
Notre Ministre est typique de ces énarques tout-venant ,dont la jeunesse s’est concentrée sur de apprentissages utilitaires, destinés à faire bonne figure dans des concours où les exigences en fait de culture générale se bornent a tester si les candidats ont bien lu et assimilé « la culture pour les nuls ».Mais l’ ENA est à ce point mythifiée que le grand public ignore en général l’indigence culturelle de la majorité de ceux qui en sortent et peut s’étonner des propos de la ministre .
En disant qu’elle n’a pas le temps de lire de la littérature, ce qui implique évidemment que cela ne l’i nteresse pas car on trouve toujours du temps pour ce qui vous tient à cœur, Fleur Pellerin se révèle en fait conforme à un archetype
Je partage ce que dit DHH.
À propos de la formation à l’ENA, J. Attali a dit que ça ne lui avait rien apporté contrairement à celle de Sciences Po.
@widergänger
Surtout s’agissant d’Attali que cela ne lui a pas apporté une place de major à mettre à son tableau de chasse
il n’etait que troisieme au classement de sortie
il n’etait que troisieme au classement de sortie
et la première était… DHH !
11h59 Phil je m’adonnerais bien au même passe temps que son prédécesseur cependant qu’il me reste à déplorer ne pas avoir à disposition d’assistants tentants. Voyez ce nivelage culturel que nous imposent nos conditions.
Comme tout lecteur, il a ses têtes, Passou. Il aime pas Wellbeck, Angot, Bhl,et certainement d’autres qui m’échappent.
On ne saura jamais ce qu’il pense de J. M. Coetzee, Catherine Millet, ou Richard Flanagan (entre autres) , qui ne figurent nulle part dans l’espace de ce blog.
son prédécesseur était une prédécesseuse, adulée par M. Court : Aurélie Filipetti.
J’ai lu le petit pamphlet de C. Angot dans Libé. Qu’en reste-t-il si l’on retire les citations de Duras ? Rien ou, à la rigueur, le froncement de sourcil sévère d’une mère supérieure indignée. Mme Pellerin a bien dû se marrer si elle a perdu son temps à lire cela.
Georges Pompidou, cursus. (Wiki).
« Il commence sa scolarité à Albi, où son père a été nommé. Jeune homme dilettante mais élève brillant, il obtient le premier prix de version grecque au concours général en 1927. Après avoir passé son baccalauréat au lycée Lapérouse d’Albi, il étudie en classes préparatoires littéraires au lycée Pierre-de-Fermat de Toulouse puis à Paris au lycée Louis-le-Grand aux côtés de Léopold Sédar Senghor et d’Aimé Césaire. Hostile à l’Action française, il milite à la LAURS (faisant parfois le coup de poing avec des militants de la droite nationaliste) et s’inscrit au début de 1930 à une société secrète d’inspiration trotskiste qu’il appelle dans ses lettres « Le Front unique ». Il se passionne pour la littérature et la politique, en particulier pour la SFIO, où il admire Joseph Paul-Boncour.
Il est reçu à l’École normale supérieure en 1931. En 1934, il est cacique de l’agrégation de lettres et diplômé de l’École libre des sciences politiques.
Il aurait alors hésité entre une carrière dans la haute fonction publique et dans les lettres.
François Mitterrand, cursus. (Wiki).
« Il fréquente l’école privée Sainte-Marie de Jarnac avec son frère Robert jusqu’en 1925. Cette année-là, François entre comme pensionnaire au collège Saint-Paul d’Angoulême pour entamer des études secondaires. Il se révèle excellent en histoire, en géographie, en latin et en instruction religieuse, et prend goût pour la littérature. Il devient membre de la JEC, structure étudiante de l’Action catholique. En 1933, un discours lui vaut de remporter le Championnat de l’Éloquence.
Il obtient son baccalauréat en 1934 et décide de s’inscrire aux Facultés des lettres et de droit de Paris. À son arrivée dans la capitale, il s’installe au 104 rue de Vaugirard, où se trouve un foyer de pères maristes, la Réunion des étudiants. Parallèlement, il entre à l’École libre des sciences politiques, de laquelle il sort diplômé en juin 1937. La même année, il obtient un diplôme d’études supérieures de droit public, à la suite de l’obtention d’une licence ès lettres l’année précédente. »
Quid de la culture littéraire à la tête de l’état français depuis ?.
Il est vrai que notre très grand « romancier » VGE vit dans une autre galaxie… .. .
On ne saura jamais ce qu’il pense de J. M. Coetzee, Catherine Millet, ou Richard Flanagan
J. M. Coetzee, il en pense du bien ; Catherine Millet, du mal ; Richard Flanagan, il s’en bat d’œil.
Bérénice, il faut au moins trois générations pour finir en ministre de la culture amateur callipyge. Le maroquain n’est pas donné au premier venu.
Quid de la culture littéraire à la tête de l’état français depuis ?.
Attend, attend, Berlinois, y a Juppé et Fabius qui se bousculent au portillon.
Joachin du balai, je suis d’accord avec vous – et aussi avec DHH qui dénonce un travers de l’époque : l’utilitarisme outrancier des hautes études ; mais dans une époque où le seul pôle qui ne fond pas est celui de l’emploi, ou plutôt du chômage, comment en vouloir aux jeunes ?
on trouve toujours du temps pour ce qui vous tient à cœur,
ça dépend des obligations pros et persos
DHH dit: 17 novembre 2014 à 13 h 41 min
Toujours aussi aigrie Judith ?
Relâchez, vous êtes en retraite maintenant, tous ces méchants ne vous veulent plus de mal.
Ce commentaire est d’une richesse confondante :
flo dit: 17 novembre 2014 à 14 h 13 min
Ce commentaire rappelle que Daaphnée est sotte :
Il faut savoir passer l’éponge dit: 17 novembre 2014 à 14 h 16 min
En 2008, à la suite de la publication du Marché des amants, Christine Angot se voit obligée de dédommager, après accord, à hauteur de 10 000 euros, Élise Bidoit (ex-femme de son nouveau compagnon), qui a reconnu une partie de sa situation personnelle transcrite dans l’œuvre18.
En 2011, lors de la publication du roman Les Petits, Élise Bidoit accuse à nouveau Christine Angot d’atteinte à sa vie privée et familiale19 et décide d’attaquer l’auteure en justice. Cette dernière comparait le 25 mars 2013 pour atteinte à la vie privée20,21,22. Elle est condamnée, conjointement avec son éditeur, le27 mai 2013 à verser 40 000 € de dommages et intérêts23 à Elise Bidoit.
Entre un(e) ministre (de la culture) qui a fait l’ENA (et est au moins rompu(e) à la gestion de dossiers) et tel autre qui a fait… médecine,le choix du premier me semble préférable. Sauf à être médecin ET originaire de Lourdes (et à condition de croire aux miracles).
..nous c’est pas pasqu’on était deuxième juste devant atila que ça nous empéchra de dire que les jeunes c’est rien que des ordures a tous être premiers à l’éna t’as raison clopine
14 h 17 min
c’est vrai
mon chat dit: 17 novembre 2014 à 14 h 24 min
c’est tout bénéf: de quoi inspirer un roman sur le sujet du vécu du coup
tel autre qui a fait… médecine
t’es resté jeune d’esprit toi..ça se sent
J. M. Coetzee, il en pense du bien; etc.
—
Ca me fait penser à ce que disait tout à l’heure un collègue spécialisé dans l’audiovisuel: on a toujours tendance à penser pour les stars de cinéma, ‘ça elle va pas aimer, ça il va aimer,etc…’Mais laissez-les donc s’exprimer, cornegidouille!
Pas si sûr qu’il goûte les derniers Coetzee non autobio (Summertime, fort car africain), notamment Slow Man & Diary of a Bad Year.
Aurait tort de traiter Flanagan au sulfate de mépris.
Les hommes politiques français étaient des gens cultivés, jusqu’à Juppé inclus. Après eux, ce ne sont que des monstres froids, incolore et sans saveur.
Il y a des chances que Juppé soit élu président en 2017. Un sursis pour la culture ? C’est un homme de valeur mais sera-t-il à la hauteur ?
Quid de la culture littéraire à la tête de l’état français depuis ?
des tas y investissaient pasqu’il pouvait -aussi- faire goldmansax..hon a trouvé mieux comme critère de sélection et de formatage..n’houbliez jamais..jamais que les grandes écoles sont grandes à cause de leur faculté a sélectionner parmi un grand nombe..comprendo ?
Autres générations, autres mœurs culturelles.
Fleur Pellerin n’a pas le temps de lire des romans et franchement, demande-t-on à un ministre, en 2014, d’avoir une culture générale comme les générations d’avant les années 80 ?
Aujourd’hui Ministre de la Culture, demain peut-être un autre portefeuille loin de l’art et de la littérature, Fleur Pellerin a autre chose à faire. Elle administre, elle n’est pas critique littéraire *.
DHH, dans le temps, on entendait des interviews de ministres en poste, racontant avoir le temps de sortir, Opéra, Théâtre, vernissages, au moins deux livres par semaine. Je me demandais où ils trouvaient le temps. Sans oublier les femmes ministres, j’ai le souvenir d’une ministre de la santé, Madame Barzac (?), expliquant que le soir, elle rentrait à la maison et préparait le diner. Golda Meier faisait la guerre et préparait le soir le diner pour ses petits-enfants…
Je ne suis pas trop sûr non plus, que Modiano soit un incontournable pour avoir une bonne culture littéraire de base pour un grand-commis de l’État. Des gens très valables le trouvent assez ennuyeux.
DHH, vous avez par profession une grande culture littéraire, mais avez vous une culture générale férue en géographie et en Économie ?
D’JC qui se prend pour Dieu et un génie d’intelligence, a une culture générale nulle.
J’ai lu pas mal de commentaires de gens ayant, vraisemblablement jamais mis les pieds en dehors de l’hexagone. Prenant l’Allemagne et la Suisse pour des pays exotiques, l’UK pour une autre planète.
Fleur Pellerin, Ministre de la Culture a de mauvais conseillers, aucun le jour du Prix Nobel ne lui faisant une fiche sur Modiano…
Ce goût pour la Littérature est très français, cela ne rend pas les Français, ceux qui ont lu, pour les nombrils du monde.
Quel est le rôle d’un ministre de la culture ?
Doit-il avoir un cursus d’études supérieures plus proche de la culture que de l’administration au niveau de l’Etat ?
Jack Lang et Frédéric Mitterand étaient parfaits dans le rôle de Ministre de la Culture. Pour les autres ministres du passé, aucun ne m’a laissé quelconque souvenir.
* Quand on observe les Prix Goncourt, on se demande pourquoi certains laudatés ont été élus.
40 000 + 10 000 € = 50 000 €.
C’est mieux payé que les traducteurs.
Je vais me faire dénonciateur de ragots d’Angot, ça rapporte gros.
drak’hül t’était au moins troize toi..dessous le même bonnet d’âne qu’atila a l’éna..tu sens l’étabe épicétou
Bloom dit: 17 novembre 2014 à 14 h 42 min
un collègue spécialisé dans l’audiovisuel
Il regarde la télé toute la journée ?
Encore un petit chéri qui croient que les ministres savent de quoi ils parlent…
Ils ont des conseillers pour ça ! Des énarques… Et il n’est absolument pas nécessaire pour décider de la politique à mener de connaître la technique. Les énarques sont des techniciens, pas des hommes politiques à priori. Certains le sont devenus mais on voit bien où ça mène… Ce qui nous manque, ce sont des hommes politiques d’envergure qui sont capables de mûrir un projet politique crédible auquel une majorité de citoyens peuvent adhérer. Ils n’a pas besoin de pour ça de tout savoir de la technique. Qu’on nous foute la paix avec les techniciens, ils ne sont que l’intendance. On ne fait pas de bonne politique avec un chargé de gestion !
Tas d’abrutis !
comprendo ? pasque toi tu comprend ce que tu bafouilles ?
DHH dit: 17 novembre 2014 à 13 h 41 min
» on trouve toujours du temps pour ce qui vous tient à cœur, Fleur Pellerin se révèle en fait conforme à un archetype »
La part de la culture humanistique style lecture est irrémédiablement révolue pour les pragmatiques efficaces gestionnaires. La lecture pour tous comme l’ art pour tous laissent plus de 22% d’ analphabètes sur le territoire français.
Pâte à modeler pour les horaires restant.
Faire œuvre de culture vous impose à sortir du rang même malgré-vous.
« Toujours aussi aigrie Judith ?
Relâchez, vous êtes en retraite maintenant, tous ces méchants ne vous veulent plus de mal »
Cette remarque à mon encontre qui me semblait etonnament et gratuitement malveillante venant de celui qui signe « passez l’eponge » ne me surprend pas si comme le suggere un post ulterieur c’est daphnée qui se cache sous ce pseudo .
Elle s’entête donc à me voir sous un jour qui ne me ressemble pas ,mais surtout elle ne recule pas devant l’indelicatesse cruelle , qui consiste à me taxer d’un mal-être dont la mention ne pourrait qu’être douloureuse pour moi, s’il n’etait pas fort eloigné de la vérité .
A moins que cette posture de « mechante » releve d’un jeu de rôle à usage de la RDL, une seule conclusion ,dans le style « c’est celui qui l’a dit qui l’est » : Daphnée est une aigrie
La télé c’est de la merde ! Faites comme moi, désabonnez-vous, en plus vous ferez des économies substantielles qui vous permettront d’aller passer quinze jours à la neige en hiver.
Arrêtez de vous abrutir avec la télé.
Houi Angot c’est pas un peu déguennuyeux ?
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