Reductio ad Hitlerum et… Godwinum ?
Connaissez-vous le point Godwin, ce machin qui désormais dépasse en notoriété le point G ? Pas un blog, pas un forum, pas un site ouvert aux commentaires n’y échappe quel que soit le sujet du jour. Non, ce n’est pas un gadget rhétorique. Juste un constat établi au début des années 1990 sur le réseau Usenet par l’avocat américain Mike Godwin (1956), lequel, restons simple, préfère parler de « loi de Godwin »). Il tient en ceci : plus une discussion en ligne dure, plus la probabilité d’y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Hitler se rapproche de 1. Il désigne donc le cap d’un échange d’arguments dans lequel l’une des parties invoque une référence à la seconde guerre mondiale, à l’Allemagne nazie, à la solution finale, ce qui a pour effet de clore le débat. Ainsi le point Godwin marquerait un point de non-retour au-delà duquel la conversation devient pourrie. Considéré comme un objet philosophique, il est l’accroche de Reductio Ad Hitlerum (176 pages, 15 euros, Presses universitaires de France) de François de Smet, et vaut qu’on s’y attarde pour ce qu’il nous renvoie de notre société.
On dira qu’il n’y a rien de neuf sous le soleil : après tout, qu’est-ce d’autre que la version 2.0 de la Reductio ad Hitlerum conceptualisée par le philosophe Leo Strauss dans Droit naturel et histoire (1953) en résonance avec l’argument rhétorique reductio ad absurdum ?
« Ce faisant, nous aurons à atteindre le seuil au-delà duquel l’ombre d’Hitler commence à obscurcir la scène. Et il n’est malheureusement pas inutile d’ajouter qu’au cours de notre examen nous devrons éviter l’erreur, si souvent commise ces dernières années, de substituer à la réduction ad absurdum la réduction ad Hitlerum. Qu’Hitler ait partagé une opinion ne suffit pas à la réfuter » expliquait Leo Strauss.
A ceci près que sur la Toile, tout se déploie en accéléré et en intensité. C’est moins des dérapages du Net, des nouveaux usages engendrés par les réseaux sociaux et de la néo-conversation à l’heure des nouvelles technologies, que de la question du Mal qu’il s’agit. Partant, le philosophe s’interroge aussi sur les limites de notre liberté d’expression.
On contestera tel ou tel point à François de Smet, et notamment ce poncif qui a la vie dure selon lequel « l’histoire est écrite par les vainqueurs » ; mais il fait un utile retour sur les expériences des années 60, celle de Ash sur l’instinct grégaire et celle de Milgram sur l’autorité, qui permettent de mesurer le degré de conformisme. Surtout, il enrichit le débat en insistant sur l’effet de meute, la menace qu’exerce et la peur que provoque ce confort que l’individu revendicateur trouve à quitter une forme de solitude pour rejoindre une masse en mouvement armée de fourches, l’agneau cédant ainsi à la tentation de revêtir une peau de loup. Or le point Godwin, rappel à l’homo connecticus de sa propre barbarie, est négatif. Le rebelle/réfractaire, héritier du héros antique, croit désormais s’incarner positivement dans la figure de l’Indigné, ce qui est une fuite illusoire ; cela évite de mettre des actes au bout de ses idées et surtout de s’engager dans un camp :
« S’indigner pour s’indigner, c’est se mettre en colère pour s’épargner une consultation chez le psychanalyste, c’est s’acheter une voiture pour montrer qu’on en a les moyens, bref, c’est manifester qu’on est en vie – mais ce n’est rien de plus ».
Analysé comme un symptôme, le point Godwin apparaît comme « le fil révélateur d’une modernité en irrévocable déliquescence existentielle ». Il permet de fuir le souvenir de ce que nous étions en meute « avant la civilisation, avant l’Etat » ; il rappelle aux hommes leur goût de la force, de la volonté de puissance, du conformisme en les ramenant à une animalité enfouie, étant entendu que diabolisation et fascination sont les deux faces d’une même médaille.
Soixante-dix ans après la fin de la guerre, son emprise sur les esprits est toujours aussi forte. La référence compulsive aux nazis est le signe de notre impuissance à désigner le Mal avec des valeurs morales et des repères éthiques qui ne soient pas amarrés à l’Histoire. C’est une boussole bien pratique en un temps où les citoyens sont déboussolés par les crises identitaires. Ni le stalinisme, ni l’islamisme n’ont vraiment remplacé cet absolu de l’inhumanité faite homme dans l’inconscient collectif. Il leur a « manqué » le nihilisme ontologique d’avoir mis en œuvre la Shoah, entreprise de dévalorisation progressive d’une catégorie d’individus précédant leur extermination en masse. Cet épouvantail du Mal est notre dernière certitude métaphysique
« Le nouveau totalitarisme n’aura plus demain, les atours d’une petite moustache et d’une mèche. Il ne s’appellera certainement plus nazisme ou fascisme. Mais il prendra à coup sûr l’image de la force. Il se proposera de replier le chaos du monde sur une ou deux idées simples. Il fera de la Cohérence son drapeau. Il flattera les forts et s’adjoindra les faibles. Et, une fois encore, sa séduction sera irrésistible ».
Cette conclusion de François de Smet, on hésite à la dire lucidement pessimiste ou tragiquement réaliste.
(Illustration de Kristian Hammerstad et Photomontage de 1937)
1 035 Réponses pour Reductio ad Hitlerum et… Godwinum ?
Widergänger dit: 17 novembre 2014 à 22 h 11 min
Alors, t’es pas encore converti à l’islam
C’est vrai que le mouton ça peut être bon, mais alors cuit comme il faut, une sauce légère ; sinon c’est indigeste en diable on peut pas l’havaler…
(Pas envie d’utiliser un être humain comme arme. C’était, c’est et cela restera mon genre)
Le Coran, ou la Revue mototechnique ? Y a une nuance bon Dieu !
unique narine : ou plutôt plus de narines à cause des narines arrachés seul reste le cartilage. Marque des forçats de Cayenne, les insoumis auxquels on arrachait les narines pour les dompter/mater (comme les ours ?).
Tenait sa guitare comme un bébé ensuite et chantait d’une voix qui retenait l’attention de chacun.
rose dit: 17 novembre 2014 à 23 h 37 min
ah le rêve de la conquête masculine singulière
Hon s’enfuit tout le temps on est des mobiles comme dans Laurence d’Arabie… Aqaba !
De Margerie le nom d’un conseiller de Louis dans le film de
De Margerie le nom d’un conseiller de Louis dans le film de Rémi Waterhouse réalisé par Patrice Leconte Ridicule
Hon s’enfuit tout le temps
Et encore, si un moment on a arrêté de se les fouler.
La femme avec une pelle dit: 17 novembre 2014 à 17 h 28 min
« Si on rapprochait Angot de Woolf, mmmhhh ? Je suis sûre qu’en creusant bien, on arriverait ainsi au coeur de l’indicible : le silence !!! »
Mieux Clopine:
Et si on rapprochait Thomas Mann de Katherine Pancol mmmmmmmmmfffcchh ?
Et si on rapprochait Modiano de Barbara Cartland mmlllmmmmm ?
Et si on rapprochait Proust de Gonzague Saint bris,LHCCHHHHHHmmmmm ?
enfin je suis sûre que ce n’est pas du tout la peine de creuser pour être au cœur de l’indicible idiotie.
j’adore/
Quand je pense que j’ai failli louper ça !
surtout les sons (et lumière)
Une pétition sur une jambe de bois peut consoler les cloches ? Essuyer les plâtres peut être plus utile que ruminer avec les vieux cons, ça il y a bien des chances.
mais bon n’insistons pas vous êtes entêté dit: 17 novembre 2014 à 17 h 21 min
« Si, on peut parler de choses indicible »
c’est que ces choses ne sont pas indicibles alors
vous z’êtes heureux ici : pendant ce temps je corrigeais quatre cahiers en deux heures. Je pourrai sous-traiter peut-être.
constat dit: 17 novembre 2014 à 23 h 48 min
Une pétition sur une jambe de bois peut consoler les cloches ? Essuyer les plâtres peut être plus utile que ruminer avec les vieux cons, ça il y a bien des chances.
votre lucidité vous honore : moins on vient plus on rit. Quel fou rire : mais vous le savez pas que vous z’êtes heureux ? Faut-il donc vous le dire ?
Je connais de près l’homme à la pelle, la femme aux pommes de terre ou aux semailles de grains au choix et le couple de vieux aux petits pois (Gemälde gallery au sous sol vers la droite après le second pilier à vue de nez- avec narines) mais de femme à la pelle, je ne connais point.
Tous aux champs.
« Qui a entendu une femme qui jouit crier « Sieg Heil » n’y revient pas deux fois. » (Ueda).
Oh que si, mais avec le knout !!! !! !.
Voilà Grothendieck écologiste radical a passé l’arme à gauche.
avec le Knokke le zoute
je connais des scientifiques qui ne sont pas des abrutis ; en général ils sont très doués et très polyvalents.
Mais je leur reprocherai plutôt leur paresse : à vrai dire, selon mon observation, plus ils sont doués et talentueux, plus ils sont paresseux. Et là, j’achoppe.
ÊTre un petit génie je ne vois guère l’utilité : ce me semble, à être un génie autant l’être totalement c’est à dire grand.
Même si tout ce qui est petit est joli.
Un Léonard, Un Albrecht, un Vincent.
Mais pas forcément torturé, non.
Peu s’en faut.
Et narguer la mort ce n’est pas de l’arrogance ça ?
« La maïeutique mathématique selon Poincaré et selon Grothendieck »
d’où l’on conçoit que la maïeutique s’applique également aux mathématiques
Pendant des années, il accumule des « cartons pleins avec mes gribouillis, que je dois être le seul à pouvoir déchiffrer ». En 1991, il confie à un de ses anciens étudiants, Jean Malgoire, cinq de ces cartons, contenant quelque 20 000 pages de notes rédigées depuis 1970. En 2010, il écrit à Malgoire pour lui interdire toute publication de ces notes, entreposées à la faculté de Montpellier23.
De même, en janvier 2010, il déclare, dans une lettre adressée au mathématicien Luc Illusie, qu’il refuse toute diffusion de ses œuvres que ce soit par édition numérique ou publication/republication papier24.
Luc Gomel, conservateur national, responsable du patrimoine de l’université de Montpellier, qui veille sur les « cartons » aujourd’hui, souhaite les faire classer « trésor national » afin qu’ils échappent au droit commun et donc au refus d’Alexandre Grothendieck de les mettre à la disposition de la communauté scientifique.
cas de conscience sur lequel il y aura à statuer ultérieurement. Il a su que bâtir une gloire post-mortem était illusoire. Il a su aussi que la femme, dans sa splendeur, siégeait en majesté dans ses préoccupations premières, la mathématique et la méditation. A la place centrale.
Qu’elles aient eu peu de patience, je peux le concevoir.
Il a conçu quatre enfants, la chance !
Il a franchi le seuil, nu.
Nulle chaîne, nul gémissement.
Alexander.
Il a su se dépouiller de son vivant de tout ce fatras médiatique. Prix et tout le bordel.
Paix sur lui,
notes en vrac :
de quoi devenir parano après le 11 novembre !
(comme de quoi avoir peur lorsque tu es juif aujourd’hui : folie ambiante)
pas de lien direct entre Angot et Duras sur le plan du style mais sur celui de la douleur, je le crois, oui. D’où la nécessité vitale de l’écriture comme celle du cordon au scaphandrier.
Quant aux viols dont l’inceste serait l’acmé tragique, ceux qui disent regrettent de l’avoir dit pck que ceux qui l’entendent ne l’écoutent pas. Et, il n’y a pire solitude que celle qui consiste à avoir dit chose tragique sans être entendu.
D’où la vertu du silence absolu en ce qui concerne l’indicible.
Ce qui évite l’absolue indifférence d’autrui.
Peut-être n’est ce pas entendu parce que cela est inaudible.
Ou peut-être l’autre s’en fout il parce qu’il sait que la plaie infligée purule et ne cicatrice pas.
Alors que, quand même, me semble-t-il, la solution serait dans une écoute, comment dire, empreinte d’amour d’un drame qui, parce qu’il a été dit, aura été apaisé.
Mais je crois que seul l’amour est à même d’apaiser les drames et que le silence est le seul capable de dire l’intensité de la douleur.
Je tourne en rond :
exemple: ds le livre sur Salgado par Wim Wenders, ce qui m’a le plus marqué c’est l’amour qui lie Lélia à Sébastian et en second ce qui m’a le plus marqué c’est qu’il ne parlent plus jamais de l’enfant né en 1979. Cet absent est cet aimé. Le petit frère de Juliano que tous portent dans leur coeur intensément. S’ils en parlent c’est dans l’intimité : d’où l’usage de l’intimité.
Qui n’est pas faite pour être publique ; ni violée.
Certes, non.
Salut à tous.
J’ai presque tout lu.
Non, dans le film, pardon.
Aujourd’hui c’est déjà demain.
Et ben la rose, vous êtes tellement fana de tortillages du cul émotionnels que vous devriez aller travailler dans un journal ou une émission d’informations où vous voudrez (c’est égal).
(je vous aurais encouragé à faire de la politique si cela n’était pas déjà le cas)
Il est grand temps d’écrire, cela fera plaisir à Constat, un « Eloge du Tortillage de Cul ».
Ouvrage majeur à pondre, nécessaire à une saine compréhension du monde… En effet, se limiter aux « tortillages de cul émotionnels », ainsi que rose procède, n’est pas exhaustif.
Il ne faudrait pas oublier les tortillages de cul autres, et ils sont nombreux :
-politiques
-économiques
-judiciaires
-syndicaux
-professionnels
-familiaux
-militaires
-religieux
-déféquationnels
Sans oublier celui qui nous a fait naitre, le premier d’entre tous : le tortillage de cul sexuel, à fonction reproductrice tout à fait nécessaire.
END QUOTE
—
FONS, JE CROIS QU’IL EST PRÉFÉRA
END QUOTE
—
FONS, je crois qu’il est préférable de dire « end of quote/quotation » ou « unquote »…
19h43
D’une pauvreté, cette Angot !
C’en est presque déprimant .
C’est bien simple je n’ai pas poussé plus loin que peau d’âne. Elle est l’un des éléments de tout ce cirque médiatique ridicule et indécent. Faire commerce de tout, pour coller à la médiocrité vénale, au viol collectif, à l’hypocrisie totale, au manque d’inspiration qui raffine en compost les bas fonds du rêve pour cultiver nos jardins privatifs. Plutôt s’exiler sur l’île de Ré!
Merci à Bérénice pour avoir attiré mon attention sur cette lettre ouverte de Christine Angot à Fleur Pellerin. Bien sentie, cette lettre. Elle dit l’essentiel, avec l’appui bienvenu de Duras. Qu’est-ce que c’est qu’une ministre de la culture qui avoue ne pas avoir le temps de lire? A quoi ça sert ?
Il faut lire « Une semaine de vacances », le dernier livre de Christine Angot : ce chef-d’oeuvre dépasse de très haut à peu près tout ce qui a été publié cette année. Seulement, pour le savoir, il faudrait faire l’effort de le lire. Hein, Bérénice ?
Jour anniversaire de la mort de Proust, aujourd’hui. Le « fou de Proust » en fait état sur son blog. Toujours un choc de revoir les croquis de la dépouille, avec cette masse de cheveux noirs et cette barbe, si éloignées du soin particulier que Marcel portait à sa mise, de son vivant. L’anecdote des mains est superbe (Céleste voulant rapprocher les mains avec un chapelet, le frère de Proust lui disant « non, il est mort au travail, laissons ses mains telles quelles…)
il faudrait faire l’effort de le lire. Hein, Bérénice ?
Lire serait vivre et trop de livres tue la littérature aux yeux du grand public dont je suis. Je ne connais pas Angot, je n’approuve pas que tout et n’importe quoi servent à alimenter le bûcher, que Fleur Pellerin n’ait pas lu Modiano et déclare ne pas avoir le temps de lire de la littérature ne me choque pas, ce qui est plus dérangeant siègerait plus dans cette espèce de bataille d’égo, dans cette exhibition peu productive des reproches inutiles, faire débat et polémique avec tout, la désinvolture de Fleur Pèlerin agace et sûrement sondez vous mieux que moi toute la profondeur des littérateurs des littératrices, cependant je vois que les politiques sont auscultés comme des malades à qui l’on prendrait la température trois fois par jour sans leur laisser le temps pour imprimer leurs marques. Le public est friand de scandales, ça devient presque l’aliment principal.
Si aujourd’hui c’est l’anniversaire létal de Proust, camarades, en hommage à son inaction de rentier (cette grosse faignasse de Marcelo dont tout le monde se fout) … cessons le travail immédiatement !
Mort au grand capital et aux capitalistes, camarades !
Bande de brêles !
Vous croyez que nous n’avons que ça à faire : LIRE !!! Mais qu’est ce que vous avez dans la tête ? Vous nous prenez pour qui ?
…..Pensez un peu, au lieu de lire…
cependant je vois que les politiques sont auscultés comme des malades à qui l’on prendrait la température trois fois par jour sans leur laisser le temps pour imprimer leurs marques. (Bérénice)
Vous conviendrez sûrment qu’une ministre de la culture qui avoue ne pas prendre le temps de lire, ça la fiche mal. Fleur Pellerin aura eu le temps, en tout cas, d’imprimer cette marque-là, celle d’une ministre de la culture qui ne lit pas. Mais pourquoi, dans ce cas, en faire une ministre de la culture : elle a sûrement d’autres compétences, qui méritaient d’être employées. Ce choix ne fait pas honneur à qui l’a nommée, mais ce n’est pas la première fois.
Je n’ai jamais ouvert un livre de Modiano, ni de Angot.
Je ne lis plus de littérature française depuis la fin des années 80, littérature du ressassement psycho-nombriliste casse bonbon.
Est-ce que cela fait de moi un a-culturé ??? ?? ?.
Ne plus s’accrocher aux symboles et laisser la langue évoluer en fonction du ‘globalese’ (plus court, plus simple, plus saxon, plus identitaire)
Ministre de la culture
Ministre du culturel
Ministresse du culturel
Mistress du culturel
Mistress du cul
Miss cul
Exercice: reconstituer les étapes permettant de passer de « Transmission patrimoniale » à « Actu conso ».
Est-ce que cela fait de moi un a-culturé ??? ?? ?.
Ne nous obligez pas à énoncer des vérités dures à entendre.
L’anti-France, tout simplement.
nous sommes complètement débordés par le nombre de réponses sur le sujet : « du ricanement permanent dans les commentaires de monsieur bouguereau (notre bienfaiteur); résultats demain
Assez de saletés données à lire en France ! A bas Levy ! A bas Musso le placide ! A bas Modiano le Nobeleux ! A bas tous ces gros nuls …
Mort aux littérateurs nombrilistes ! Mort à la mafia littéraire ! Les livres au four à pizzas !
Révolution inculte ! A bas la lecture !….
Mort à la mafia littéraire ! Les livres au four à pizzas !
Des pizzaiolo aux ministères!
JC est déchaîné ce matin mais toujours aussi niais, ça ne s’arrange pas dans la provoc’ à six sous
celle d’une ministre de la culture qui ne lit pas.
Elle n’a pas exactement eu cette réponse. Quoiqu’il en soit les ministres alimentent le débat et quand il n’est pas assez profus, les journalistes invitent pour rajouter à la confusion actuelle les anciens tout chauds encore de leur ministère déchu. Vincent Peillon échappe à cette règle ou serait-ce que j’ai raté un épisode du grand feuilleton captivant . Qui sont les plus fautifs de participer à ce Cirque critique, les journalistes, les invités expressifs? Je trouve ridicules, tartignolles tous ces gens qui soutiennent encore tout du bout des lèvres le cercle auquel ils ont été conviés pour ne pas avoir l’air de trop trahir.
» Ministre de la culture
Ministre du culturel
Ministresse du culturel
Mistress du culturel
Mistress du cul
Miss cul »
La photo de groupe Fiaceuse avec Zahia en serait-elle une preuve?
Bérénice,
Tu me manques, reviens ! Je t’aime … les enfants pleurent, l’ainé lit de l’Angot, la petite s’est déguisée en Céleste, la bonne à tout faire !!!
Rien ne va plus …
En ce qui concerne les issus de X, grandes écoles, etc…Ministresse ou non
Confidence d’ un dirigeant d’ audit d’ un des plus grand groupe industriel français :
» J’ ai eu à en recruter de ces brillants cerveau, bêtes à concours…mais pour la gestion de l’ humain, zéro.
Pantoufler dans les ministères, c’ est mieux.
( Faire astiquer ses chaussures…encore mieux.)
Je ne sais pas qui est ce JC mais je vais l’évaluer sévèrement.
Comme on ne doit plus utiliser des notes mais des couleurs, je me demande où je vais le situer sur l’arc-en-ciel.
Pour une évaluation au service des apprentissages et de la réussite de tous sur ce blog.
Afin de détendre l’atmosphère, ce test de culture générale infligé aux postulantes au titre de Miss France.
Histoire-Géographie :
– En quelle année est tombé le mur de Berlin ?
– Citez trois des principaux fleuves de France métropolitaine
– Cette année ont été célébré les 70 ans du D-Day, qu’appelle-t-on le D-Day ?
– Quelle est la capitale de la République dominicaine ?
Politique :
– Qui est l’actuel garde des Sceaux ?
– En quelle année finit le quinquennat du président François Hollande ?
– Dans quel pays a débuté le « Printemps arabe » en 2010 ?
– De quel parti est l’actuel Président américain ?
Economie-actualité :
– Que signifient les initiales BCE ?
– Combien y a-t-il de régions administratives français en 2014 (France métropolitaine et DOM-TOM) ?
– En quelle année Facebook est-il rentré en bourse ?
– A quel fait d’actualité associe-t-on Rosetta ?
Mode et luxe :
– Avec quelle marque de prêt-à-porter les couturiers Karl Lagerfeld et Alexander Wang ont-ils collaboré ?
– Citez la dernière égérie du parfum N°5 de Chanel
– Qui est Candice Swanepoel ?
– Citez deux marques d’enseigne du groupe LVMH
Musique :
– Qui est Conchita Wurst ?
– Qui est l’interprète de la chanson La bohème ?
– Quelle star de la pop américaine a sorti un album posthume avant l’été 2014 ?
– Qui a créé l’hymne des Restos du Coeur ?
Cinéma-Télévision :
– Quelle est l’actrice principale du film Lucy de Luc Besson ?
– Citez le nom du jeu qu’anime Jean-Luc Reichmann sur TF1 le midi
– Hormis Jean-Pierre Foucault, animateur de l’élection Miss France, pouvez-vous citer trois autres animateurs de TF1 ?
– Quel film français a dépassé les 10 millions de spectateurs en salle cette année ?
Littérature :
– De quelle nationalité est l’auteur d’Harry Potter ?
– Qui est l’auteur du livre Merci pour ce moment ?
– Quel personnage célèbre a été créé par Agatha Christie ?
– Parmi ces trois oeuvres, laquelle n’a pas été écrite par Emile Zola ? L’assomoir / Au bonheur des dames / L’éducation sentimentale.
Sport :
– Contre quelle équipe la France a-t-elle été éliminée lors de la dernière Coupe du monde de football au Brésil ?
– Dans quel pays ont eu lieu les derniers JO d’hiver en 2014 ?
– Quel club Tony Parker vient-il d’acquérir ?
– Qui a gagné les 4 médailles d’or en natation au dernier championnat d’Europe ?
Logique-Mathématiques:
– Vous roulez à 80 km/h, combien de temps allez-vous mettre pour parcourir 60 km ?
– Le produit est le résultat de quelle opération ?
– Quel est le carré du tiers de 12 ?
– A combien de minutes sont égales 12 000 secondes ?
Miss :
– De quelle nationalité est la dernière Miss Monde élue ?
– Quel est le nom de l’association créée par Flora Coquerel en 2014 ?
– Quel était le dernier président d’honneur de la cérémonie de l’élection de Miss France en décembre 2013 ?
– Citez le nom et le prénom de Miss France 2009 ?
Anglais :
In five lines, describe the most embarrassing moment of your life.
la petite s’est déguisée en Céleste
Le cadet, Tite Punch, ne dessoule plus.
« Le nouveau totalitarisme n’aura plus demain, les atours d’une petite moustache et d’une mèche. »
Il aura une barbe et un chèche.
Tous vos livres ne servent à rien ! Un Seul suffit …
…mais non ! ….Pas « Mein Kampf » !…
« Un Seul suffit … »,
Le Quérote ?…
« Le nouveau totalitarisme n’aura plus demain, les atours d’une petite moustache et d’une mèche. » (Mostefa)
Il aura une barbe et un chèche.
Ou une banane, de l’embonpoint, un vélocipède renforcé, et un beau bronzage naturel….
…
…j’écrivais un jour,…je ne postule à aucune responsabilité,…
…parce que c’est trop facile, quand le monde est en échec,!…
…de me faire porter et partir d’aval en amont,…pour tout remettre en convivial,!…
…
…je refuserais toujours,…de porter le chapeau de plus de deux milles ans d’erreurs,!…je m’en lave les mains de » tout « ,!…
…
…la priorité,…c’est que je vous coûte un maximum, dans tout ce qui fait votre vie,!…
…
…bien dis,!…au change,!…en pertes et profits,!…
…
…j’oubliai,…il y a le système Facebook,…qui obsolète le mot de passe,!…
…
…garder votre mot de passe, et ne pas y mettre le nez,!…c’est mieux,!…
…tchin,! tchin,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
La photo de groupe Fiaceuse avec Zahia en serait-elle une preuve?
Une preuve à l’appui du show. Pendant ce temps le Djihad peut recruter des bataillons de psychopathes via internet.
Pendant ce temps le Djihad peut recruter des bataillons de psychopathes via internet.
…Égorger nos fils et nos compagnes,
Aux armes citoyens, formez vos bataillons,
marchons, marchons,
Qu’ un sang impur abreuve nos sillons!
La marche facile say, vous trouvez ça drôle? Personnellement je n’ai jamais pu chanter l’hymne national, il aurait fallu une musique sans chœur pour exprimer l’âme du pays qui puisqu’on ne peut en changer s’inscrit sanguinaire, d’ailleurs nous nous engageons sur tous les fronts en divisant les moyens par trois à l’inverse de la multiplication des pains, c’est un miracle vers la victoire.
1500 égorgeurs français potentiels dont nous sommes sûr que l’un d’ entre eux est passé à l’ acte
Qu’ Un sang impur abreuve nos sillons.
Reprocher à Fleur Pellerin comme un crime de lèse-culture d’ignorer Modiano est vraiment le sommet de la cuistrerie et de l’imbécillité petite-bourgeoise. Quelle horreur cette mentalité de parvenus. Quel dégoût d’entendre Askolowitch ou Christine Cageot l’humilier publiquement, comme on gronde un enfant qui a mal appris sa leçon, comme un grand seigneur sermonne un paysan qui ne saurait pas lire. Mais les voilà, les vrais Bouvard et Pécuchet ! Les voilà, les philistins et les p(h)arisiens sycophantes pour qui la culture n’est rien d’autre qu’un moyen se distinguer socialement du vulgum pecus – croient-ils ! Cette culture-là, où l’on reste entre gens de bon goût, demi lettrés et demi-mondaines, est à vomir, c’est tout le contraire de l’humanisme qui cherche à élever l’âme et le cœur des humbles.
Ce n’est certainement pas à cette malheureuse Fleur de pavé qui avoue candidement n’avoir pas lu Modiano que je jetterai la pierre.
A part Malraux, tous les ministres de la culture ont été lamentables, Djack Lang le premier, dont la seule existence est un scandale et une offense au genre humain.
Oui, Fleur Pellerin est trop intelligente pour s’occuper de « littérature ». Elle a mieux à faire que de lire Christine Cageot. Elle a bien raison de laisser cela aux sots et aux oisifs et de se concentrer sur des dossiers plus sérieux, comme la révolution numérique qui nous force à redéfinir complètement notre idée de la culture.
Après tout il est peut-être (sans doute) plus important aujourd’hui de connaître Game of Thrones que l’oeuvre de Modiano. Le temps de la grande et haute culture est derrière nous. Gabriel Matzneff a lu tous les Harry Potter, et qui peut dire avec certitude ce qui restera de la culture actuelle dans cent ans, à la vitesse où les choses évoluent ? Certainement pas ce qu’en dit un journaliste sportif de rez-de-chaussée comme Askolowitch.
A Richard Spiteri, Non car ici, je ne parle pas de mes voyages mais des livres des autres.
ressassement psycho-nombriliste
C’est mieux en direct sur youtube ?
l’humanisme qui cherche à élever l’âme et le cœur des humbles.
Le temps de la grande et haute culture est derrière nous.
Il faudrait savoir l’ apologue, le bas art serait-il devenu le beaux art?
(Ouais bon ça fait un peu tic tac Monza là)
Qu’ Un sang impur abreuve nos sillons.
Ce sang versé serait celui de l’ennemi sur le sol français. Je ne vois pas en quoi vous insistez sur cette ligne, on peut comprendre que pour l’équilibre basé sur l’usage de la force et à son recours éventuel rendu possible par une armée, le corps militaire soit encore malheureusement nécessaire, pendant que les guerres partent de plus en plus fréquemment de foyers civils. L’ennemi est intérieur, extérieur, la virtualité n’arrange rien , comment surveiller ce piège sans limite, avec quels moyens?
Il ne faudrait pas oublier les tortillages de cul autres, et ils sont nombreux :
-politiques
-économiques
-judiciaires
-syndicaux
-professionnels
-familiaux
-militaires
-religieux
-déféquationnels
(La vie des bêtes)
Bon ben justement je disais que cela devenait pareillement chantage émotionnel partout.
Et dire que vous prétendez apprendre à penser…
Sur ce, les faux-derches blablabla virtuel blablalba, bonne continuation…
« l’humanisme qui cherche à élever l’âme… »
AHAHAHAHA !!!!!!
« … et le cœur des humbles. »
UHUHUHUHU !!!!!!
Mort de rire !
l’humanisme qui cherche à élever l’âme et le cœur des humbles.
Ou l’ apologie de la culture socialiste nationale.
L’ humble est toujours resté bien bas, qu’ il écoute ses maîtres éducateurs?
érénice dit: 18 novembre 2014 à 11 h 01 min
« Qu’un sang impur abreuve nos sillons.
Ce sang versé serait celui de l’ennemi sur le sol français. »
Non. Le sang « impur » est celui des révolutionnaires, par opposition à celui des armées aristocratiques royalistes à sang « pur ».
hôtesse de l’ère pélerine, vous êtes meilleure quand vous signez versubtil.
Sur ce, les faux-derches blablabla virtuel blablalba, bonne continuation…
un peu trop confortable de cacher votre encouragement sous une vraie fausse signature, s’il était possible d’avoir accès à votre nom de plume, je me promettrais d’aller à la maraude dans vos vergers. faux derche.
11h12 êtes-vous sûr de votre lecture?
« sang impur » veut simplement dire « sang sale ». Le sang des salauds, quoi, des monarchies voisines qui nous attaquent.
Le dessin
Lettre d’amour.
« Aux armes, citoyens
Formez vos bataillons
Marchons, marchons !
Qu’un sang impur
Abreuve nos sillons ! »
« Comme l’a très bien expliqué François Asselineau dans sa géniale conférence sur l’Histoire de France, le « sang impur » est en réalité celui du peuple français.
En 1792, alors que l’Europe monarchiste coalisée – ainsi que les nobles français émigrés – est en guerre contre la France révolutionnaire, le peuple est appelé à défendre ses frontières.
Dans sa garnison de Strasbourg, à la demande du maire Philippe-Frédéric de Dietrich, le capitaine Claude Joseph Rouget de Lisle écrit ce « chant de guerre pour l’armée du Rhin » pour exhorter les troupes. Repris en cœur par les fédérés marseillais montant sur Paris, il sera baptisé « Marseillaise » par la population.
Ici, le « sang impur » est une référence à celui du peuple, pauvre à la peau basanée, par opposition au « sang pur » – ou « sang bleu » – qui est celui de la noblesse. Ce sang du peuple martyr est voué à abreuver les « sillons » (tranchées creusées sur les champs de bataille) des armées révolutionnaires parties sur le front, et ainsi nourrir la terre de France. »
(source : La Marseillaise expliquée aux cons)
N’ ayant lu ni Modiano ni Angot ne connaissant pas Game of Thrones je me demande ou se situe « la culture ».
Entre la haute ou la basse?
Drône de question.
Rétablissons la vérité….. dit: 18 novembre 2014 à 11 h 24 min
Sehr gut.
Bon, ben vive la technologie pour faire des prouts !
Serre goutte.
Alors la bérénice, il y a eu un peu trop de connards qui ont eu un accès direct IRL avec moi pour me servir votre daube. Faites des mines dans votre club tant que vous voulez.
La notion de « Culture » est impossible à définir de façon absolue, stable, genre Philae harponnée au sol.
Votre culture est elle en dessous ou au dessus de celle de Néron ? Question idiote !
Il faut vraiment être des glands germanopratins, des connards d’agrégés de lettres, de « sciences humaines », pour croire que « la Culture », ça existe !
La Culture est définie par des modistes, en fonction de la mode suivie, adoptée, par un milieu de pytres autoproclamés. Voir Avignon…
On dirait des chiens-chiens qui cumulent. Mémère et nonosse de substitution.
…
…le sang des cons,!…un ticket pour le spectacle,!…
…il y a l’école des frontières, et celle des affaires,!…
…
…participer à l’humanisme, des culs à enfiler,!…etc,!…
…
Quatre Juifs en prières abattus dans une synagogue de Jérusalem-Est par deux musulmans eux-mêmes abattus par la police.
Décidément, ce genre d’épisode me rappelle à chaque fois le mot de Vautrin :
» Je voudrais voir la tête que feront tous ces braves gens si Dieu leur fait la plaisanterie de s’absenter le jour du jugement dernier « .
« Comme l’a très bien expliqué François Asselineau dans sa géniale conférence sur l’Histoire de France….. »
rhooo, là je crois que même ueda aura honte de toi, JC.
Clopine Trouillefou dit: 18 novembre 2014 à 9 h 03 min
« Jour anniversaire de la mort de Proust, aujourd’hui ».
Cèleste Albaret qui veillait sur lui a fait le récit de ses derniers moments: « Céleste, répétait-il d’une voix douce mais obstinée, Céleste la mort me poursuit. Je n’aurai pas le temps de finir…Empêchez qu’on entre chez moi.! » Il avait le pressentiment de sa fin prochaine. Il désirait la solitude, il voulait écarter médecins, amis et famille; mais il reçut deux fois Jacques Rivière et lui donna des instructions au sujet de la publication d’Albertine Disparue…
Il était semblable à Bergotte, qui, sur le point de mourir, voyait sa propre vie chargeant d’un des plateaux d’une balance, tandis que l’autre contenait le « petit pan de mur jaune » si bien peint par Vermmer.
Marcel disait : » les vrais livres doivent être les enfants non du grand jour, de la causerie et du bavardage, mais de l’obscurité et du silence. » Fermez le ban !
Candide dit: 18 novembre 2014 à 12 h 20 min
Fermez le ban !
Toi même, ducon.
François Asselineau est issu d’une branche pourrie, car parfaitement intégrée, de l’honorable famille Assouline…
Qui pouvons nous, s’il dit la vérité ?
Tumultueuse … tumulte …tueuse…
Deux martyrs déçus : ils espéraient des Houris, ils devront se farcir les copains !
T’es membre de L’UPR JC ?
A part ça, la « théorie » sur le sang impur est plutôt sympa au Stade de France.
« sang impur » veut simplement dire « sang sale ». Le sang des salauds, quoi, des monarchies voisines qui nous attaquent.
Je n’ai jamais été fichue de comprendre ce B A ba qui inspira Rouget de Lisle ce qui vous laissera supposer l’incompréhension totale en résultat à ce frêle catéchisme culturel qui meuble mes jours.
Curieux, le procès fait à l’indignation,
à moins qu’il ne masque un règlement de compte.
Pour ce qui est d’Homo sapiens (bis) et de son complexe
d’individualité-sociabilité, est-ce une vraie schizophrénie
ou un vestige du métissage qui a peut-être eu lieu
du temps de Néandertal ?
Blague à part, est-ce que la distribution dans l’espèce
d’une certaine bestialité ne cadre pas avec le caractère
aléatoire de la vie et de sa diversité, de sa recherche
d’adaptation permanente ? Est-ce que la complexité
de notre cerveau et de son réseau de connexions
ne permet pas d’explorer tous les possibles
et toutes les combinaisons entre la bête
et quelque chose, en devenir, d’un peu
plus… sophistiqué ?
En tout cas, pour ce qui est de l’individualité,
qui naît d’une dépendance au parfum de langes souillées,
le temps qui passe, sauf accident prématurément
(voire !) mortel, se charge de l’y ramener,
en dépit des plans nationaux supposés
lutter contre les maladies neurodégénératives.
Prouvisoirement.
Alors la bérénice, il y a eu un peu trop de connards qui ont eu un accès direct IRL avec moi pour me servir votre daube. Faites des mines dans votre club tant que vous voulez.
Excusez mais si vous pouviez traduire, cela me serait probablement d’un immense service, à quel club suis-je censée appartenir?
ils devront se farcir les copains !
..’au djiad comme au djiad’ qu’il dit omar
Toi même, ducon
ha voilà.. un grand écrivain vient nous rende visite et on l’envoie chier..
..il est retourné a son obscurité et a son silence fécond..t’aimes la littérature dans le fond
même ueda aura honte de toi
pour zouz la honte c’est qu’une des meilleures sensations sessuelles..il lui en sera reconnaissant
Bon, ben vive la technologie pour faire des prouts !
..le désir d’assitanat est sans limite..c’est la honte d’être un homme ce gars là
» Je voudrais voir la tête que feront tous ces braves gens si Dieu leur fait la plaisanterie de s’absenter le jour du jugement dernier «
plus ou moins les voir c’est ête du même lot..ce bourrin de vautrin connaissait pas le quantique
le « sang impur » est en réalité celui du peuple français
mais non..c’est comme le gotmituns alors que dieu est français au finiche..l’histoire est pas écrite par les louzeur qu’ils dit lassouline
..bonne continuation
L’hystérie autour du nazisme (alimentée, tout récemment, par Pierre Assouline avec son billet ridicule sur la rue Lauriston, ne lui déplaise !) n’a qu’un seul but : manipuler l’opinion, faire diversion, et empêcher de nommer les formes nouvelles sous lesquelles le mal se manifeste aujourd’hui.
Au lieu de rêvasser comme des gobes-mouches sur ce que vous auriez fait en 40, je vous invite à regarder, au moins une fois dans votre vie, une vidéo de décapitation de Daesh.
Il faut se faire violence, mais il en va de notre devoir de citoyen et d’homme libre.
Nous n’avons pas le droit de fermer les yeux, de faire comme si ces vidéos n’existaient pas. Elles existent. Et il faut que chacun sache à quoi et à qui nous avons affaire, que nous sommes engagés dans une lutte à mort, dont nous pouvons ne pas sortir vainqueur, et que ce qui se passe aujourd’hui en Irak peut arriver demain chez nous.
C’est en ce moment que ça se passe. C’est là-dessus que nous serons jugés.
18 novembre
Mort de Proust.
Marcel Proust écrivait : » les vrais livres doivent être les enfants non du grand jour, de la causerie et du bavardage, mais de l’obscurité et du silence. »
Je me pose la question de savoir ce qui, dans Proust, reste l’élément essentiel pour cahque lecteur. Personnellement, la grande vérité qui traverse le livre, ce n’est pas le Temps >Retrouvé..c’est le Désir amoureux , qui ne peut jamais se réaliser car l’Autre est imprenable, inaccessible, et ne peut être la propriété de personne. Le désir comme un furet impossible à attraper.. Absence impossible à combler. Chez Proust, l’autre est obsédant, proche et lointain ; le narrateur ne possédera jamais albertine même si elle est venue à soirées fixes se rouler dans son lit..pour se laisser caresser..
Swann ne possèdera non plus jamais Odette, et la conduite amoureuse conduit à l’enfer. Il y a un moment où , comme Orphée et Eurydice, on marche parmi les fantômes et on patauge dans l’absence. Ca c’est une vérité.
Au fond, loin des grands événements historiques (la manière désinvolte dont le narrateur proustien ne traite de la guerre 14 que par les commérages de salon.. et de l’affaire Dreyfus que par ce qu’en disent ses personnages, est une vraie interrogation. on perçoit le monde qu à travers les prismesde chacun dans sa subjectivité C’est une réalité introuvable que cherche Proust pendnt 20 ans..parce qu’il n’y a que des témoignages empilés des uns et des autres ,subjectifs.les personnages dans « la recherche » mentent tous et tout le temps ;.seule, la jalousie est une certitude et un bloc insécable. Vouloir être propriétaire de quelqu’un est l’obsession redoutable du narrateur de proust.. Toute vie, nous dit le narrateur, est obsession, abscence, intolérable, asphyxiante, intenable et inévitable, mais non pas absence métaphysique ,,mais absence physique, quotidienne, hantise nocturne et diurne, intolérable.. Swann, comme le narrateur croit à une illusion.. Ils veulent emprisonner définitivement quelqu’un, comme l’enfant Proust veut être embrassé tous les soirs par sa mère pendant toute sa vie… Le désir veut enfermer, il y a de l’araignée dans Proust. Exactement comme dans « l éducation sentimentale »,mis sur un mode froid, distancé par une intelligence flaubertienne entre anatomie médicale et autopsie sur du vivant.. donc glacé , mais vrai.. il y a non possession de Marie Arnoux la femme qui fait rêver le jeune Fréderic Moreau. Ça devient une épopée de la désillusion. mais si distancée que personne à l’époque n’y comprends rien.. le refroidissement du romantisme du roman Bovary n’a pas été compris. Proust admirait Flaubert et, après sa crise, son « nervous breakdown » comme dirait Audiard.. suite à la mort de sa mère, son passage en clinique, il vit ce que raconte Flaubert.. Il vit dans sa chair qu’albertine ne peut pas être possédée définitivement. Toute vie amoureuse sur le mode déceptif. Rideau.
« je vous invite à regarder, au moins une fois dans votre vie, une vidéo de décapitation de Daesh »
Trop aimable Merci de nous prendre pour des cons et tenter pov tâche de nous éclairer du haut de ton génie supérieur
C’est en ce moment que ça se passe. C’est là-dessus que nous serons jugés.
pov con sans blague! que ne ferait-on sans toi
« sang bleu » – qui est celui de la noblesse. »
il n’est pas vraiment bleu en réalité
Proutprout, c’est le Reinhardt de l’époque, un nul, un désespérant désespéré !
Un bon à rien !
Aujourd’hui, il faut vraiment être bizarre pour s’intéresser aux aventures de cette loque sociale, humaine, intellectuelle et sportive.
Allez Marcel, on se remue ! Une, deux ! Une, deux !… en petite foulée, grosse larve !…
Paul Edel dit: 18 novembre 2014 à 13 h 42 min
18 novembre
Mort de Proust.
Je n’ ai pas lu ce Monsieur Proust, pas le temps, je l’ avoue, fera t-on ici mon apologie?
Vouloir être embrassé par sa mère…. Toute sa vie… Dans son petit lit… non, mais il est dingue, ce Proutprout !… quel gamin.
Avec le bétail qu’il y a dehors !
« Ils veulent emprisonner définitivement quelqu’un, comme l’enfant Proust veut être embrassé tous les soirs par sa mère pendant toute sa vie… »
Tout est là Paul, tout est là…Vous avez tout compris une fois de plus.
Le temps perdu n’est à jamais retrouvé; la personne aimée est toujours perdue.
Qu’en pense la proustienne du blog? (elle se reconnaîtra).
dutch shaeffer dit: 18 novembre 2014 à 13 h 38 min
Belle tentative, parfaitement justifiée, intelligente, nécessaire, qui sera probablement négligée par les zombies littéraires locaux, tout à leurs soieries mitées d’un siècle disparu, d’un monde heureusement englouti …
Tsahal défend et défendra toujours le Judaïsme. (Widergänger)
Si j’en crois les nouvelles récentes de Jérusalem-Est, Tsahal n’y suffira pas. Belle action antisioniste, en tout cas, et honneur à nos deux jeunes martyrs palestiniens.
Sirius, est-ce moi que vous faites l’honneur d’appeler ainsi ?
Bon allez, les trolls vont s’esbaudir mais je vais considérer qu’il en est ainsi. Alors…
… Bien entendu qu’on ne peut qu’être d’accord avec ce que dit Paul, sur la déception de l’amour comme « moteur de Recherche », (ahaha)… Mais cette déception fondamentale s’accompagne de toutes les autres : l’amitié, construite sur des leurres (Saint-Loup croit que le narrateur aime son intellectualisme, alors que c’est bien son nom et son prestige aristocratique qui l’attirent, les Guermantes sacrifiant leur ami Swann pour une soirée costumée), le plaisir, qui conduit à l’avilissement, la chair, jamais celle que l’on croit, la gloire, qui ne vaut pas bien cher devant un petit pan de mur jaune, la position sociale, qui est aussi traître et fargile qu’un sable mouvant (les générations suivantes ne croiront que des mensonges, tel salon glorifié par des « Mémoires » ayant été un salon de troisième ordre, la valeur morale (les « monstres » comme l’amie de la fille de Vinteuil se révélant humaines, les Verdurin fournissant à leur tête de turc préféré, Saniette, une rente à vie, etc;, la vérité, qui n’existe que pour être instantanément contredite : rien ne dure, chez Proust, au-dessus et au-dessous de la ceinture. Rien, à part l’acte créatif, (quand il n’est pas brimé par d’autres considérations), et la réminiscence, qui abolit le temps… Ces deux seuls remparts, qui s’accoudent mutuellement comme les contreforts d’une cathédrale, (et qui n’ont rien à voir, eux, avec un quelconque sentiment amoureux « de l’autre », ils se situent plutôt dans les tréfonds cérébraux de l’identité), garantissent à Proust une certaine promesse d’abolition de la temporalité de l’existence humaine, de sa finitude. A condition bien sûr d’abandonner « tout le reste », pour se mettre à écrire, et de laisser le champ sensoriel prendre toute la place, quand il s’agit de boire une tisane, de s’essuyer avec une serviette rêche ou de trébucher sur des pavés disjoints.
(Dans mon cas, évidemment, ce sont les pavés disjoints qui conviendraient le mieux. Je ne peux voir une cheville se tordre sous l’effet d’un talon cassé sans, instantanément, être sous l’emprise d’une (douloureuse) abolition du temps…)
« monde heureusement englouti »
t’es vraiment cloche toi
Tout à fait d’accord avec l’antisémitisme d’Azerty !
Où va t on si on ne peut plus attaquer les vilains Juifs à la hache dans les synagogues, ou farcir des porcs de chedite dans les mosquées des méchants Musulmans ?!
Je vous le demande, ô humanistes de grand cœur, vous qui êtes intelligents… ?
sur Proust, qu’on aime ou qu’on aime pas : le commentaire de Paul Edel, très bien; celui de JC le Fourbe brille par sa hargne et sa nullité crasse
Hélas, qu’ils sont grotesques avec leur anniversaire de Proust, grotesques ! Le Moyen Orient est à feu et à sang, l’Occident vacille sur ses bases, et nos madames Verdurin causent « littérature » sous les lambris dorés de leur salon !
l’antisémitisme d’Azerty ! ( La vie du Djihad)
Je ne suis pas antisémite. « Antisémite » et « antisémitisme » sont des gros mots, que je répugne à employer. Et puis, « antisioniste », avouons que c’est bien plus pratique. Non ?
Clopine nous fait penser à ces chanteuses que l’on a trop complimenté, à tort.
Celles qui agonisent sur scène, habillées à l’ancienne, qui font le récital de trop, voix chevrotante, gestes las, corps fatigué, vue qui baisse, loge sale, … et qui ne plaisent plus qu’aux oubliés, aux errants, aux malheureux solitaires et usés, se raccrochant comme ils peuvent à des souvenirs plombés.
Et puis, « antisioniste », avouons que c’est bien plus pratique. Non ? (moi)
» plus pratique », au sens de « plus précis », « plus juste », « plus adéquat ». N’allons pas chercher midi à quatorze heures.
Clopine dit: 18 novembre 2014 à 14 h 32 min
Saint-Loup croit que le narrateur aime son intellectualisme, alors que c’est bien son nom et son prestige aristocratique qui l’attirent
Dans les deux cas il s’agit d’une caractéristique, d’une grâce comme diraient les protestants ; seulement si on enlève tout, il ne reste plus rien, et l’on n’aime plus que… Que rien, quoi ! Ca mériterait un disserte, tiens…
JC, si tu savais… Jambrun, qui a multiplié les posts antisémites sous divers pseudos, est juif. Eh oui. D’ailleurs, il ne s’appelle pas Jambrun. Ni Jean-Christophe Azerty, ni Prébois, mais… (je ne le dirai pas, il a droit à son anonymat, et c’est d’ailleurs un nom très français, mais révélateur pour qui connaît l’histoire du judaïsme en France).
Finalement c’est le seul billet où hon parle pas d’oncle Wolf ! Comme point Godwin on haura… Je sais pas, moi… Gandhi… Luther King ! Baisers Lamourette…
-Salut ! C’est nous …
-Euh ? nous qui, au juste ?
-Ben nous, les deux martyrs de la synagogue abattus par la police sioniste !
-Ah ! l’attaque des fidèles à la hache ?
-Oui, oui ! C’est nous deux…C’était bien, hein !
-Ah, oui ! Pas mal…Super, les gars … et que puis-je pour vous ?
-Ben… on nous avait dit … les Vierges…les Houris aux yeux de gazelle.. 70 chacun !
-Eh, les gars ! Vous êtes cons ou quoi ? c’était du marketing ! on est en rupture de stock depuis bien longtemps …
–
farcir des porcs de chedite dans les mosquées des méchants Musulmans (la Vie du Djihad)
» cheddite » avec deux « d », me semble-t-il ? Dites donc, la cheddite, c’est pas un peu dépassé ? Les artilleurs de WW2 s’en servaient encore, mais depuis ?
merci Clopine pour ce commentaire ,qui, quoi que penseraient certaines aveugléees par leurs a priori,m’est apparu plein de finesse et d’elegance ,et revelateur d’une vraie empathie avec l’ecrivain,le fruit apparemment d’une longue cohabitation avec cette oeuvre
j’ai retrouvé dans ces quelque lignes ce que m’apportent parfois certaines lectures, le plaisir de trouver clairement et bien dit ce que j’ai en tête sous une forme confuse
Qu’est ce que vous recommanderiez vous, Azerty, pour farcir les porcs ? On a besoin de compétence, et vous avez l’air d’en connaître un rayon …
radio keupu : relevé parmi les centaines de réponses reçues, celle-ci-ci d’Olive Stern : « le ricanement, c’est quand on à rien à dire de positif, mais c’est mieux que les braillements d’un certain JC »
Toujours par deux, les illuminées proustiennes, à petits pas dans la Cathédrale vide… …
DHH et Clopine se tenant par la main ! …uhuhu ! ON NE RIT PAS !
Jambrun, qui a multiplié les posts antisémites sous divers pseudos, est juif. (Le Corbillard…)
Je constate qu’on persiste à me confondre avec ce Jambrun que je ne connais ni d’Eve ni des dents. Quant à moi, je ne suis ni juif ni musulman, ni d’ailleurs chrétien, ce qui m’évite de me livrer à toutes sortes de manigances qui, selon moi, compliquent bien inutilement la vie. Je précise que je ne passe pas mon temps à multiplier les posts antisémites sous divers pseudos, vu que je ne suis pas antisémite, comme j’ai eu l’honneur de le préciser. Juste anti-hachémite, mais seulement les jours impairs. Quant à mon antisionisme, il se manifeste surtout sur ce blog, histoire de titiller la kippa à cet empaffé de Widergänger… Tiens, au fait, où est-il, celui-là ?
Qu’est ce que vous recommanderiez vous, Azerty, pour farcir les porcs ? On a besoin de compétence, et vous avez l’air d’en connaître un rayon … (la Vie du Djihad)
Eh ben… de la farce, avec un brin de thym, et un godet de cognac.
J.-C. Azerty dit: 18 novembre 2014 à 15 h 00 min
ce Jambrun que je ne connais ni d’Eve ni des dents.
Il va être vexé, il officie sur le même blog que vous.
Il va être vexé, il officie sur le même blog que vous. (Le Corbillard..)
Il officiait. Mais il a depuis longtemps cessé de poster sur ce blog qui, comme vous l’avez compris, est collectif. Je n’ai pas eu l’honneur de le rencontrer.
Clopine dit: 18 novembre 2014 à 14 h 32 min
trébucher sur des pavés disjoints.
Ha ceux de Casse-pipe ! Ferdine lui a chouravés ? Comme les Bretonté les Bréhauté… Gross Filou !
La Vie des Artistes….. dit: 18 novembre 2014 à 14 h 42 minClopine nous fait penser à ces chanteuses que l’on a trop complimenté, à tort.Celles qui agonisent sur scène, habillées à l’ancienne, qui font le récital de trop, voix chevrotante, gestes las, corps fatigué, vue qui baisse, loge sale, … et qui ne plaisent plus qu’aux oubliés, aux errants, aux malheureux solitaires et usés, se raccrochant comme ils peuvent à des souvenirs plombés.
La scène est tout un art en effet (qui devrait être réservé aux jeunes-femmes belles et à voix comme daaphnée
« qu’ils sont grotesques avec leur anniversaire de Proust, grotesques ! Le Moyen Orient est à feu et à sang, l’Occident vacille sur ses bases, et nos madames Verdurin causent « littérature » sous les lambris dorés de leur salon ! »
pas étonnant : l’orient et l’occident savent que des gens courageux et intrépides et super intelligents comme toi vont les sauver c’est pour ça tu vois
Eh ben… de la farce, avec un brin de thym, et un godet de cognac
de la bombe a sous munition en somme
La porte de Kafka ça devait être pour sortir de cet asile de vieillards. Ok….
nouvelle réponse sélectionnée, celle de Gabriel Lange : « le ricanement permanent de monsieur bouguereau est plus rigoureux lorsqu’il est à jeun, ce qui est rare »
la cheddite, c’est pas un peu dépassé ?
c’est pas cher..comme ta farce ordinaire sans truffes et sans trompettes
mon larbin toujours a me dire quoi de neufneuf
(voire !)
Ha que c’est beau ce qu’on dit dans sa salle de bain !
neufneuf..mais pour les truffes..des patates!..enfin il fait champètre
il fait un temps à se repasser « Mephisto ». Pour un éventuel remake, passouline devrait être aux manettes.
avé brandaouère !..c’était le bon temps
keupu, tu pues, évite de me parler de trop près, merci.
larbin : vous vous trompez il y a changement de propriétaire, ce sont les caves Nicolas
Fausse « Affaire Sagnol »
(Inutile de demander le lien avec le billet, il n’échapperait pas aux enfants)
Comme toujours du mauvais côté
Bégaudeau
Comme badaud
Comme bedeau
Comme baguenaudeau
Comme si Michéa, qu’on peut discuter, ne connaissait pas son football.
http://www.causeur.fr/affaire-sagnol-michea-tacle-begaudeau-30245.html
ya pas d’quoi, JC le Fourbe, bave encore un peu plus comme ton pote
Le nouveau totalitarisme n’aura plus demain, les atours d’une petite moustache et d’une mèche
il aura peut être un beau cul..je dis ça pour rester un connecté positif rien que pour contredire lassouline
bouguereau dit: 18 novembre 2014 à 15 h 48 min
les atours d’une petite moustache
il aura peut être un beau cul..
Je peux citer au moins deux hommes célèbres dont le visage évoque à la fois la moustache et le cul.
…
…çà sert à rien de parler de Proust,!…si tout le monde est dans la merde le cul en l’air,!…
…on attend Dieu, pour nous enfiler, recto-verso,!…c’est monnaie courante Proof,!…même pas un petit défaut de frappe, pour faire millésime R.R.R.,!…
…Oui,!…en fin de tirage, avec l’usure des détails sur les tirs aux flancs,!…
…
…tellement indépendantiste,!…que j’ai frappé monnaies depuis, avant l’an 2OOO , par moi-même,…en deux trois exemplaires en argent à mon nom inversé,!…avec mon blason de circonstance,!…
…( faut graver à l’envers en miroir ),…quelque pièces d’or encore à frapper,!…( avec la pratique, on en apprend plus, que seul la théorie ),!…of course,!…
…le revers un champ de lignes parallèle,!…
…et d’autres bricoles,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…tout seul, comme un grand,!…
…des commandes ?,!…faut voir,!…
…
…
…avant l’an 2000,!…
…
bougue-rototo : connecté positif !… de quoi prendre sa vessie bien remplie pour une vieille baderne
papi zinzin dit: 18 novembre 2014 à 15 h 30 min
« qu’ils sont grotesques avec leur anniversaire de Proust, grotesques ! Le Moyen Orient est à feu et à sang, l’Occident vacille sur ses bases, et nos madames Verdurin causent « littérature » sous les lambris dorés de leur salon ! »
Houi ; seulement à cette époque-là, il y avait déjà des bases qui vacillaient à feu et à sang, des cuirassés Potemkine dans la rade d’Agadir, des serments de Fachoda des Abd El-Krim et, pour ceux qui persistaient à s’ennuyer, une guerre mondiale à portée de train de banlieue. D’ailleurs le Maréchal rentrait pratiquement tous les soirs de Verdun à Paris chez Madame Hardon…
Sergio 16 h 12 min
c’était repris d’un commentaire de je ne sais plus qui
dutch shaeffer dit: 18 novembre 2014 à 14 h 41 min
l’Occident vacille sur ses bases,
Tiens, un vrai kon.
papi zinzin dit: 18 novembre 2014 à 16 h 28 min
c’était repris d’un commentaire de je ne sais plus qui
Houi : mais c’est comme le poisson d’Hemingway, on est plusieurs dessus ! Après on arrose au Ritz, ou au Lutetia c’est plein de points Godwin…
DHH dit: 18 novembre 2014 à 14 h 53 min
merci Clopine
Le soutien réciproque des deux emerveillées est aussi ridicule que le machisme de Daaphnée.
Il en faut dit: 18 novembre 2014 à 16 h 35 min
Vous en êtes un autre ! Et, majestueux…
Le crétin ou la crétine qui écrit ça :
Oh ! Merveilleux ma chère dit: 18 novembre 2014 à 16 h 41 min
sait que DHH est une dame septuagénaire, mais ça ne l’empêche pas de continuer à la charrier comme un gamine.
D’accord avec le corbillard.
Je ne suis pas bégueule et les insultes, les trollismes, les obscénités, etc, ne me gênent pas. Mais si c’est contre Judith, on atteint vraiment le sommet de la goujaterie ridicule. A moins d’être con comme Daaphnée, même le plus minable des trolls devrait hésiter.
« seulement à cette époque-là, il y avait déjà des bases qui vacillaient à feu et à sang, des cuirassés Potemkine dans la rade d’Agadir, des serments de Fachoda des Abd El-Krim et, pour ceux qui persistaient à s’ennuyer, une guerre mondiale à portée de train de banlieue. D’ailleurs le Maréchal rentrait pratiquement tous les soirs de Verdun à Paris chez Madame Hardon… »
Hon a beaucoup Hévolué depuis
l’Occident vacille sur ses bases
fluctuat nec mergitur dit baroz au fond de son caveau
Je peux citer au moins deux hommes célèbres
je parle d’une femme qui aurait une hautorité naturelle http://www.incine.fr/media/photos_films/original/8520_4c2da3645e73d63ccd00002b_1293123498.jpg
Quand allez vous comprendre que DHH, Clopine, comme vous et moi, ne sont rien, absolument rien que des créatures imaginaires, virtuelles, sans visages et sans âge…
Créatures pseudo-réelles que vous IMAGINEZ, bande de matérialistes à la con !…
bougue-rototo : connecté positif !…
toutafé neuneuf..et fais bien gaffe a toi que jicé te farcisse pas de chédite pour une haction d’éclat
Non, JC, je préfère ne pas vous IMAGINER.
connecté positif ? ya vraiment que toi pour le croire… en plus d’être bourré négatif à donf t’es naïf positif à gogo
Non, JC, je préfère ne pas vous IMAGINER
quand que tu fais le connecté négatif ça existe encore plus..c’est quantique..et t’es un bourrin
hen plus on entend cque tu penses..c’est un clapoti répugant dirait clopine
Créatures pseudo-réelles que vous IMAGINEZ, bande de matérialistes à la con !…
jicé t’es trop le connecté ac/dc..ça consomme
keupu dit: 18 novembre 2014 à 17 h 23 min
en attendant la publication d’autres réflexions sur le sujet « bouguereau », voici celle de Roger Lahonte :
« le ricanement permanent chez bouguereau est l’arbre qui cache la forêt de ses impuissances multiples, cas pathologique reconnu » (mention bien)
monsieur chaloux ne fait pas partie de nos auditeurs
N’allez pas vous imaginer que mon maître est un monstre !
Il est, physiquement, un remarquable compromis entre Schwarzenegger et Louis de Funès. Intellectuellement, nous dirons un mix entre Grothendieck et Jean-Luc Mélenchon… Spirituellement, il est nul. Emotionnellement, nul. Affectivement, nul.
… mais il paie bien, si on bosse bien…
Quand allez vous comprendre que DHH, Clopine, comme vous et moi, ne sont rien, absolument rien que des créatures imaginaires, virtuelles, sans visages et sans âge… (La vie des blogs)
Enfin ! Enfin quelqu’un (quelqu’un ?) qui a compris un principe de base de l’univers virtuel où nous nous mouvons. Tout est possible, on peut (presque) tout dire, et la Reine des facultés trouve un terrain à sa mesure, où elle peut déployer toute sa fantaisie. Jeu est un autre !
Proust, c’est sa façon,
de même que Céline, c’est sa façon.
Qu’importe le sujet, ressassé depuis des siècles…
Ce qui fait d’eux les deux plus grands auteurs en littérature française est qu’ils ont réussi à amener le verbe au summum tout en gardant une originalité reconnaissable qui leur est propre.
Les recherches sur la langue continuent, la « classique », la « triviale », c’est le métier de l’écrivain, car être écrivain n’est pas simplement d’aborder un sujet, mais surtout de le mettre en forme, et que cette forme soit novatrice et fasse avancer le schmilblick… .. .
Ce « quitte l’air » n’a pas terminé la robotisation le fera, alors comme nous sommes tous juifs par le christ, vous vous fatigués pour peu de chose.
Si non, je suis heureuse que Patrick,soit enfin Prix Nobel. Mais que oui! J’espère que la robotisation le guérira de ses ombres malveillantes. Tant souffrir pour rien! Et je sais de quoi il cause mon Patrick!!!!!
Avoir fait souffrir tant d’innocents pour rien, quel honte!
Quelle honte, c’est féminin, pardon, j’ai encore du mal à l’admettre.
Ce qui fait d’eux les deux plus grands auteurs en littérature française (B. comme Berlin)
Pof pof pof… N’oublions (pour le XXe siècle) ni Michaux, ni Claudel, ni Beckett (la liste n’est pas close)… J’allais oublier Apollinaire… et Cioran (dont il faut relire les « Exercices d’admiration », ne serait-ce que pour mesurer combien toute hiérarchie des valeurs en littérature et en art est éminemment problématique).
radio keupu dit: 18 novembre 2014 à 17 h 33 min
monsieur chaloux ne fait pas partie de nos auditeurs
Tu écris comme chaloux, tu penses comme chaloux, tu délates comme chaloux, t’es vide comme chaloux, donc autant t’appeler chaloux.
Ce qui fait d’eux les deux plus grands auteurs en littérature française (B comme Berlin)
Et Perec, alors ? le génial Perec.
B comme BERLIN dit: 18 novembre 2014 à 18 h 08 min
Proust, Céline les deux plus grands auteurs en littérature française
Adieu Balzac, Stendhal, Victor Hugo, Chateaubriand, Baudelaire, Rimbaud, Mme de Sévigné, Chrétien de Troyes, Racine, Corneille…
tu « délates » comme chaloux (bravo pour le verbe français ?) vaut mieux que détaler comme le péteux qu’est JC le Fourbe
Ce qui fait d’eux les deux plus grands auteurs en littérature française est qu’ils ont réussi à amener le verbe au summum (B comme B)
Vous n’avez vraiment rien lu dans votre vie ou vous faites semblant ?
keupu dit: 18 novembre 2014 à 18 h 26 min
je t’emmerde comme chaloux
Ce n’est pas beau d’insulter son sosie.
keupu dit: 18 novembre 2014 à 18 h 47 min
JC le Fourbe
En quoi JC est-il fourbe ? Il est clair et tranché, au contraire. Il s’affiche comme cynique, réac, poujadiste, antiintello. Tu ne peux pas lui reprocher sa franchise, petit keupu.
keupu dit: 18 novembre 2014 à 18 h 47 min
(bravo pour le verbe français ?
Tu le sais que tu es un vrai Chaloux ?
mieux vaut un sosie qu’une saucisse… comme toi
ni Michaux, ni Claudel, ni Beckett, Apollinaire… et Cioran…
Michaux : polygraphe fatigant.
Claudel : « J’ai d’abord cru que c’était un carburateur et puis j’en ai lu quelques pages – et non, ça n’a pas carburé. C’est des espèces de loufoqueries consciencieuses comme en ferait un Méridional qui voudrait avoir l’air profond… » (Georges Clemenceau).
Beckett : pour son théâtre.
Apollinaire : Poète et critique d’art.
Cioran : Penseur/philosophe dont la notoriété est peut-être due à un effet de mode depuis sa redécouverte récente.(Wiki)
B comme Berlin est vraiment trop con, je me casse. Allez, bonjour chez vous.
épidabord c’est cui qui dit qui est, caca boudin va !
Bérénice,
Mon départ de ce blog depuis bientôt deux semaines vous est-il insupportable ?
Si oui, je consens à revenir.
Si non, je m’en irai à nouveau pendant deux semaines.
En attente de votre réponse.
prout ! voilà, tant pis pour vous
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