de Pierre Assouline

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Regarder le sport avec les yeux olympiques

Regarder le sport avec les yeux olympiques

Je me souviens d’Antoine Blondin aux Jeux Olympiques. Du moins à ce qu’il m’en a raconté et à ce que j’ai pu (re)vivre à peu près fidèlement à travers ses chroniques. Sept J.O. au compteur ! Pas mal pour un casanier qui avait tant de mal à se rendre sur la rive droite. Il est vrai que le sentiment de l’exil lui donnait le cafard et ravivait sa mélancolie.

Les Jeux l’ont fait voyager, loin et souvent, ce qui était déjà trop pour celui qui aimait tant les petits endroits intimes où l’on peut se faire rejoindre par ses souvenirs. Trop indécrottablement français pour les lointains horizons, moins curieux des lieux que des personnes. Il glanait des éclats d’interviews dans les vestiaires, des bulles d’informations dans les bars, des choses vécues dans les ascenseurs et des choses vues en pagaille dans les stades. En principe, les résultats des épreuves qu’il rapportait dans sa chronique du jour y étaient, mais pas toujours ; il arrive que l’on se demande de quoi il parle et comment cela s’est terminé mais qu’importe dès lors que c’est lui qui raconte. C’est ce qu’on attend de lui, la touche Blondin, cette valeur ajoutée que nul ne peut lui ravir.

On ne se refait pas. Il aimait trop le Tour de France et le Tournoi des cinq nations pour goûter vraiment les olympiades du bout du monde. De celles de Moscou (1980), il a retenu la capacité inouïe des Russes à boire des litres de vodka. C’est tout ? « Les gens sont tous habillés en flic, c’est frappant ». Quand c’est trop loin de la rue Mazarine, il est paumé, désorienté tant il ne se sent pas chez lui. Le cas aux Jeux de Tokyo (1964). Le soir de la défaite de Michel Jazy, il est aussi bouleversé que révolté : « Il aurait dû gagner ! ». Alors pour oublier, il se noie dans… la Pléiade des Œuvres de Balzac qu’il avait pris soin d’emporter dans ses bagages. Sinon, lorsque je lui ai demandé de me raconter son édition tokyoïte des Jeux, le nom qui lui ai venu spontanément fut celui d’une athlète de… la chanson. Dalida !

Ils s’étaient connus entre deux étapes du Tour de France, Andorre-Toulouse en 1964, et il prétendait que depuis, elle ne le lâchait plus. Il est vrai qu’il avait eu la faiblesse de lui consacrer une grande partie de sa chronique quotidienne aux dépens de la résurrection d’Anquetil dans la descente du Port d’Envalira. A l’en croire, ses assiduités dépassaient « les éruptions de l’Etna » ! (Dalida, pas Anquetil). Il est vrai qu’on les avait vus inséparables durant le Tour où elle se produisait le soir à l’invitation de Jacques Goddet. A tel point que les confrères, las de lui demander s’ils étaient ensemble, avaient fini par le surnommer « Théo Blondino » par allusion à Théo Sarapo, très jeune mari d’Edith Piaf, sinon « Blondino » tout court, clin d’œil au très populaire Bambino (1956) de sa chère « chanteuse des quatre saisons, au sens le plus noble ». Mais les retrouvailles japonaises furent au fond assez sportives, du moins pour lui :

« Un jour, dans sa chambre d’hôtel, elle m’a dit : « Je n’aime pas les hommes beaux, je les aime intelligents, c’est pour ça que je t’aime… ». Je me suis sauvé. On était au 164ème étage. Je me suis réfugié à la cave. Voilà, c’est ça, pour moi, les Jeux olympiques de Tokyo ».

N’empêche qu’à Tokyo, il n’y avait pas que Dalida : il y avait aussi Michel Jazy. A lui seul il valait le déplacement si loin du Bar Bac. Blondin « sait » qu’il va l’emporter dans la finale du 5000 mètres, malgré la pluie et sa baisse de moral. Las ! il arrive quatrième mais Blondin refuse de s’avouer vaincu et reporte ses espoirs sur la prochaine fois. Mais il n’y aura pas de prochaine fois car, malgré la division pentétérique du temps olympique, l’ancien typographe-linotypiste de l’Equipe raccroche peu après.

A « Tokyo-les-bains », tout indique que l’écrivain s’ennuyait. Ce qu’il mangeait lui restait sur l’estomac, un peu comme la fameuse pintade qu’il menaçait de revêtir d’un dossard si elle persistait à leur être servie à chaque étape du Tour. Lorsqu’il allait faire un tour en ville, il se perdait immanquablement ; la transmission de ses articles lui posait des problèmes insurmontables ; les conditions de travail lui paraissent épouvantables ; il éprouvait les plus grandes difficultés à se synchroniser avec les différents envoyés spéciaux de l’Equipe nécessairement dispersés un peu partout en fonction des disciplines couvertes. Quant aux compétitions, de son point de vue, elles n’atteignaient pas en intensité celles de Rome (il est vrai qu’il s’y était bombardé « leader de la French Olympic Drinking Team »). Dans une carte postale à Chantal Déon, il en convient : « Je ne suis décidément pas un produit d’exportation ». Allons, allons !

Sa plume légendaire, cette signature inimitable faite d’humour, et de pas de côté, d’ironie et de décalage, de liberté absolue et, en l’espèce, d’intime connaissance du sport, lui fit rarement défaut. Sa passion de l’athlétisme, légèrement estompée par le culte qu’il voue au vélo, était puissamment ancrée dans son imaginaire comme en témoignait en 1947 déjà les articles qu’il lui consacrait dans Ici France. Combien de comas athlétiques doit-il aux Jeux ! Si l’indispensable Jules Renard pouvait dire d’Henri Desgrange, inventeur du Tour de France : « Sa culture est physique », on ne pourrait l’appliquer à Antoine Blondin qu’en la complétant : « Sa culture est physique, aussi » tant il cite ses maitres en matière de littérature sportive, Montherlant surtout mais aussi Genevoix, Giraudoux, MacOrlan… Il est fasciné par les performances, davantage encore que par le spectacle. Ce recul de la puissance humaine, ces chronos repoussés d’année en année, comment n’en être pas sidérés.

  Pas sûr que les amateurs de judo trouvent leur compte dans les compte rendus de Blondin qui n’y voit qu’un affrontement de bœufs dépenaillés, s’alpaguant au revers sous la férule d’un arbitre lançant « des cris à émouvoir les ultrasons ». Alors l’esprit du budo, certes, mais pas pour lui comme en témoigne son papier intitulé « La semaine des quatre judos » qui parle de tout sauf de ce noble art martial sur la voie de la souplesse qui passe à l’occasion des Jeux de 1964 du statut de sport de combat à celui de sport olympique. Au fond, les J.O. sont les seules occasions où Blondin sort de sa zone de confort, de son Twickenham et de ses étapes de montagne ; journaliste sportif au long cours dans un cadre mondialisé, il lui faut parfois affronter des disciplines auxquelles il n’entend rien ; il en sort quelque chose de tout à fait…. blondinien ! . Qu’importe au fond puisque, dans un cas comme dans l’autre, il fait du Blondin.

Bien sûr il a ses têtes mais ce sont rarement des têtes de Turc. Soit il aime, soit il admire soit il ignore mais ne hait point. On retrouve avec plaisir le fleurettiste Jean-Claude Magnan, le nageur Alain Gottvallès, le rameur Nosbaum, la sprinteuse Chantal Réga qui lui inspire même une parodie de If, le légendaire poème de Rudyard Kipling que Blondin achève par : « … Tu seras un homme, ma fille ! ». On n’oubliera pas sa vision des haltérophiles (« cortège d’obèses en maillots de bain »). Parmi les athlètes olympiques, il en est quelques uns qui retinrent vraiment son admiration. Micheline Ostermeyer fut de ces élus. Aux Jeux de Londres (1948), elle remporta les médailles d’or des lancers du poids et du disque ainsi que le bronze pour le saut en hauteur, peu après que, pianiste de talent, elle fit de même avec le premier prix du Conservatoire. Et tout cela sans se départir de sa discrétion, de sa modestie et de son rôle de mère de famille.

A ceux qui prétendent que l’humanité se divisent entre ceux qui jouent du piano et ceux qui les déménagent, Blondin rappelait l’existence d’une troisième catégorie illustrée par Micheline Ostermeyer. Aux Jeux de Melbourne (1956), il consacra Parry O’Brien, médaille d’or du lancer du poids, comme l’athlète le plus complet et « la figure la plus haute » de cette édition. Des innombrables chroniqueurs sportifs accourus d’un peu partout dans le monde afin d’être présents dans le stade ce jour-là, Antoine Blondin est sans aucun doute le seul qui non seulement brosse le portrait d’un champion qui dort avec son boulet de fonte de 7kgs sous l’oreiller, lui parle, le caresse, mais qui de plus en conclut :

« C’est un cas typiquement américain de gigantisme du nourrisson comme en trouve dans les romans de Steinbeck ».

Sous sa plume, les spécialistes du 400 mètres sont des hommes du Quattrocento. Et il suffit qu’une nageuse japonaise s’ébroue en nage papillon pour qu’il la rebaptise Madame Butterfly. On notera toutefois un certain parti pris inconscient en faveur de Johnny Walker, vainqueur néo-zélandais du 1500 mètres à Montréal, allez savoir pourquoi (il est probable que son nom et son étiquette, pardon : son maillot, noir n’y étaient pas étrangers). Au fond, ses détestations sont plutôt collectives. Ainsi des supporters américains, l’horreur sur pied, la vulgarité incarnée, et envahissante avec ça. L’enthousiasme puéril et sonore qu’il a pu observer dans leur colonie au moindre exploit d’un sportif américain se traduit par des hurlements du type de ceux que soignent les ORL. Un tintamarre odieux aux oreilles bien nées, de quoi offusquer les tympans :

« Là, veuillez croire qu’on ne tient aucun compte de la discrimination raciale : tout est bon dans le poulet, le noir comme le blanc, du moment qu’il est conditionné dans un emballage aux couleurs des stars and stripes ».

   Sa plume vibre quelque que soit le champion lorsqu’Antoine a l’occasion de célébrer « la correspondance entre la grâce et la volonté, le parfait accomplissement du rendez-vous qu’un athlète peut donner à son génie ». On en oublie leurs noms, leurs pays, leurs performances pour n’en retenir au fond que l’étincelante description qu’il en fait. « Le sport fournit l’un des rares spectacles dont la proximité n’altère pas le mystère. Cela provient de ce qu’il ne peut être joué, donc simulé » note-t-il. Comme quoi, malgré les distances à parcourir, les ascenseurs d’hôtels, les pluies diluviennes et la libido de Dalida, parfois les Jeux ont du talent, juste assez en tout cas pour l’inspirer : 

«Au regard des mastodontes du marteau, l’on se demande de quelle aberration est né cet ustensile que les lanceurs promènent comme un yo-yo chargé en fonte avant de le balancer avec le vilain geste de l’ouvrier qui en a par-dessus la tête de trimbaler son outil, véritables forçats ayant découpé un panneau de leur cage pour y projeter le boulet enchainé qu’ils se sont arrachés à la cheville ».

Les athlètes féminines n’en sortent pas grandies (et cela non plus ne passerait plus). A quelques exceptions près, louées pour leurs grâce et leur légèreté, ce ne sont sous sa plume qu’étal de boucher, émeute de jambonneaux, foulées bovines, barbes de trois jours et croupes du style « partie du train restant en gare ». Autrement dit : les mégères ne sont supportables que lorsqu’elles sont apprivoisées. Quant aux escrimeuses, leurs « glapissements hystériques » les rendent irréformables.

Certaines de ses chroniques olympiques sont des pages d’anthologie. Son dialogue québecissime avec un paysan à Montréal, la bénédiction des athlètes par Jean XXIII du haut de son balcon papal avant la confession des pêcheurs, les médailles pieuses gagnées par certains, l’introuvable chapelle quand on tient absolument à y méditer avant toute tentative de record (je cherche après Sixtine, Sixtine ô ma Sixtine et ne la trouve pas…). Mais ce n’est pas parce qu’il vit au loin, envoyé aux prestigieuses olympiades, qu’il va déroger à ses habitudes. Aux Jeux comme sur le Tour, si un grand écrivain vient à mourir (Paul Morand en 1968 pendant Montréal), il a la priorité. Mais quel terrible et triste aveu au passage :

« Disons-le : la France n’est pas un pays sportif ».

Entendez que, si elle sait voler au secours de la victoire en venant encourager des exploits déjà accomplis, elle s’avère incapable d’entretenir la flamme, de stimuler l’émulation, de perpétuer l’esprit du sport tout au long de l’année en remplissant les stades.

Aux Jeux de Montréal, où l’on retrouve de surprenants accents gaulliens dans son commentaire des épreuves de natation (« Vive Montréal ! Vive la nage libre ! »), il comprend et fait comprendre qu’il n’y a pas de petites médailles, celles des disciplines les plus populaires valorisant les autres. Ainsi suit-il à la trace Daniel Morelon au Vélodrome, assez vexé personnellement que le cyclisme sur piste soit traité à l’égal d’une activité secondaire. Hélas, lors de la finale, la grande vitesse fut enclenchée trop tôt et l’enfant de Bourg-en-Bresse partit trop tôt « comme s’il obéissait à un besoin bressan ». On ne se refait pas et certainement pas Antoine qui se permet ce que nul n’oserait de nos jours, en écrivant qu’en athlétisme, à la finale du 100 mètres, il y avait « huit hommes :  5 Noirs et 3 Blancs (on dirait une commande de bistrot) » et qu’à la cérémonie de clôture étaient invités « quelques centaines d’indiens (sous toutes réserves) » et autres « joyeux Hurons ». Aujourd’hui, il se ferait lyncher par les réseaux sociaux à supposer qu’il ne serait pas censuré avant.

Il ne résiste pas à un bon mot, une formule, un calembour- et comment lui en vouloir, c’est sa signature. On sait qu’un tel tropisme rend injuste quiconque s’y adonne. Ainsi lorsqu’en 1964 à Tokyo Antoine récuse l’idée que la médaille d’or de Pierre Jonquères d’Oriola en saut d’obstacles individuel soit « tirée par les chevaux », ce qui eut été, vous en conviendrez, assez cavalier vis-à-vis du champion. Parfois, on a des doutes : il fait de l’humour à sa façon ou ce qu’il dit est vrai ? On ne sait pas toujours à quel degré le prendre. Et si c’était vrai que Mykola Avilov porte une chaussure noire et l’autre jaune pour ne pas se tromper de jambe d’appel avant de sauter et de s’enrouler en ventral autour de la barre ?

A Munich (1972), il se plia à la situation, exécutant un pas de côté lorsqu’il n’est pas à la piscine, aux abords de la piste cendrée ou au vélodrome ; et ce pas le conduit inévitablement au village olympique, chambre d’écho des bruits divers et variés et boulevard à ragots dont il se régale. Jusqu’à la tragédie du 5 septembre : la prise d’otages d’athlètes israéliens par un commando de fedayin. Y consacrant toute sa chronique du jour, Blondin décerne de son propre chef une médaille aux « tueurs pour meurtres sur cibles innocentes et endormies ». Un temps, le journaliste sportif troque son statut pour celui de correspondant de guerre. Avant même que soit connue l’issue tragique de cet acte de terrorisme, il écrit :

« Il faut vraiment violer sa sensibilité pour trouver un semblant de justification à cet acte criminel, mais il faut reconnaitre qu’il s’inscrit dans la logique aberrante du désespoir ».

Puis avant de reprocher au commando palestinien d’avoir commis « un crime beaucoup plus grave, un sacrilège contre l’espèce : ils ont naufragé l’Arche de Noé », il consacre un paragraphe à honorer un athlète quadragénaire, dont la calvitie et le petit bedon ont attendri les spectateurs massés sur le parcours du 50 kms marche, un ingénieur portant lunettes qui avait tout du marcheur de tradition, et dont l’avant-bras (mais qui d’autre que Blondin l’a alors remarqué ?) porte « un numéro matricule qui lui fut tatoué à quelques kms d’ici ».  Le marathonien israélien Shaul Ladany, déporté à 8 ans à Bergen-Belsen, rescapé du génocide et du massacre de Munich. Des lignes qui nous dédommagent d’un éloge sans nuances et sans réserve de cette vieille crapule nazie et antisémite d’Avery Brundage au moment de faire ses adieux au CIO dont il avait été jusqu’alors le président. Puis la fête le spectacle continuent et Guy Drut rapporte une médaille d’or en 110 mètres haies (« une médaille en sautoir »)

Pour être envoyé spécial d’un grand journal sportif, on n’en est pas moins humain. Blondin a des lignes trempées de larmes lorsqu’il évoque celles du champion Roger Moens se jetant sur l’herbe après avoir perdu la finale du 800 mètres à Rome (1960), avec la même empathie manifestée pour dire celles de Colette Besson après sa victoire aux 400 mètres à Mexico (1968). Des Jeux qu’il a couverts depuis… Paris, devant la télévision, dans le salon de Pierre de Ségur « gentilhomme de sport » en compagnie d’un certain nombre de flacons de toutes provenances.

Mais ce qu’il y a de bien et de beau avec Antoine Blondin, c’est qu’il ne lâche pas ses idoles au motif que la France les a oubliées. Ainsi de Colette Besson justement. En 1976, il publie une chronique qui est une vraie déclaration d’admiration éternelle : impressionné par la modestie avec laquelle l’ancienne médaille d’or honore de sa présence de petites épreuves interrégionales au nom de son club bordelais, il dit sa colère contre l’Administration, l’Etat, le ministère, la Fédération qui se sont contentés de lui épingler une légion d’honneur et basta, plus rien après : « Pour solde de tout compte, vous portez votre croix ». A Montréal, en regardant le 400 mètres, il a une pensée pour elle.

Cela dit, c’est à Cortina d’Ampezzo (1956), au froid donc, qu’il écrivit l’un de ses plus beaux papiers : l’autrichien Toni Sailer dévalant les pentes et raflant les médailles vu dans le regard pathétique du grand champion italien Zeno Colò banni des épreuves pour professionnalisme et les suivant caché derrière un arbre, sa manière de « tendre une embuscade au souvenir ». Blondin s’est plu à glorifier les Jeux en leur rendant à leur dimension universelle et intemporelle. Un champion du monde n’est jamais que champion de sa rue alors qu’« un parfum d’éternité » fait escorte à un titre olympique. En posséder un à son palmarès, c’est aussitôt être nimbé d’un laurier au prestige immémorial, même si l’on connait bien les dates des premiers Jeux antiques il y a vraiment très très longtemps en l’honneur de Zeus Olympien.

Ainsi un va nu pied éthiopien peut-il accéder avec le sourire, la grâce et sans souffrance apparente au panthéon des sportifs parmi les dieux du stade. Tout athlète olympique voit son nom gravé dans le marbre de l’histoire du sport. Ce qui ne fait pas oublier que s’il gagne, c’est « sur rendez-vous ». Tout le spectaculaire des Jeux, avec ce qu’il faut de martial et de jovial dans le défilé d’ouverture, d’émotion dans le parcours de la flamme, de fiesta dans le village, de mythologie dans les clameurs, de ferveur dans la célébration des records. Dans l’Antiquité, le temps des Jeux suspendait guerres, querelles et règlements de compte ; Blondin en a la nostalgie, même s’il était petit à l’époque ; si ce Zeitgeist a disparu, c’est selon lui par « manque de foi » ainsi qu’il l’a écrit dans sa préface à La fabuleuse histoire des jeux Olympiques de Guy Lagorce et Robert Parienté (1973). Pas sûr que le serment made in Coubertin suffise à pallier cette lacune. Son épopée avec les J.O. s’acheva à titre personnel en 1980 à Moscou. Mais la relecture de ses chroniques témoigne de ce que le sport et les sportifs lui doivent d’avoir été regardés avec ses yeux olympiques.

(P.S. Ce texte est ma contribution au recueil collectif Je me souviens… de la foulée de Pérec (et autres madeleines sportives) » Vingt-huit écrivains livrent leurs souvenirs, 224 pages, Seuil)

(« Antoine Blondin aux Jeux Olympiques de Tokyo, 1964, photo D.R ; « L’éthiopien Abebe Bikila, médaille d’or du marathon aux J.O. de Tokyo, 1964, photo D.R. ; « Les athlètes américains Tommie Smith et John Carlos, médaille d’or et médaille de bronze du 200 mètres, lèvent le poing du Black Power aux J.O. de Mexico en 1968 pendant l’hymne américain », photo John Dominic ; « L’un des huit terroristes palestiniens sur le balcon de la délégation israélienne aux J.O. de Munich », photo Russell Mcphedran/The Sydney Morning Herald ; « Epreuve du fleuret avec Daniel Revenu, Jeux olympiques de Munich, 1972,  Photo de Michel Pansu et Serge Trevisani, France-Soir)

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commentaires

827 Réponses pour Regarder le sport avec les yeux olympiques

renato dit: à

Selon la reconstitution, la femme, après avoir dormi dans un hôtel du parc avec sa famille, est sortie faire son jogging. Selon la procureure, « elle s’est retrouvée dans l’espace safari, réservé aux voitures », là, trois loups l’ont attaquée. Elle a donc été attaquée dans une zone interdite aux piétons. La procureure a ajouté : « Nous ne sommes pas en mesure de savoir si elle s’est trompée ou si les parcours n’étaient pas bien signalés ».

Il faut aussi voir ce que la touriste a fait pour provoquer les loups, car les gens n’ont pas seulement peur de leur ombre, agissent parfois de façon inconsidérée… et puis pour les cons c’est encore la faute aux loups…

et alii dit: à

LA MOLE je n’en connais qu’une:
L’éducation sentimentale de Julien Sorel par Mathilde de La Mole (Stendhal)

puck dit: à

@B à ma connaissance les chinois n’ont pas demandé l’interdiction des sportifs américains aux JO de Paris.

non, en fait ce qu’on appelle communément un « narratif » (politique ou médiatique) c’est un discours ou un ensemble de discours visant à donner une légitimité à un pays ou un groupe de pays pour le mettre en droit de définir les règles.

comme dit l’autre l’humanité se divise entre ceux qui jouent du piano et cuex qui les portent c’est pareil : l’humanité se divisent entre ceux qui émettent des des sanctions et ceux qui les subissent.

la différence entre le piano et les sanctions c’est qu’il n’y a pas besoin de narratif pour définir un pianiste alors que le narratif est nécessaire à donner une légitimité à celui qui sanctionne.

exemple au hasard : les armes de destructions massives irakiennes, ou les raisons qui ont justifié le bombardement de Belgrade par l’otan et le changement des frontières de la Serbie imposé par l’otan, le tout sans l’accord de l’onu.

vous avez écouté la vidéo ? le type l’explique très bien à ce journaliste.

puck dit: à

le truc flippant est que les russes ne sont pas les irakiens ou les afghans : si les américains envoient un missile à sous munitions sur une plage pour ter des enfants russes alors les russes sont capables d’envoyer un missile à sous munition sur une plage de Miami ou de Los Angeles pour tuer des enfants américains.

une partie du monde en rêve : faire aux américains exactement ce qu’ils font aux autres comme avec le WTC le 11/09.

parce que cela recrée une égalité et donc un sentiment de justice.

les américains ne sont pas au dessus des lois, ils n’ont rien de spécial qui le permettraient d’infliger des misères tout en y échappant eux-mêmes.

ce qui nous le fait croire c’est justement le « narratif » genre le « grand satan », le « mal absolu » etc… sauf que tous ces narratifs sue le combat du Bien contre le Mal c’est tout du flan ! des contes pour des gamins.

puck dit: à

non seulement les américains ne sont pas au dessus des lois mais en plus (contrairement aux russes ou aux chinois) comme on le voit avec ce missile à sous munition qui a visé une plage les américains sont des menteurs (c’est pas nous c’est le ukrainiens), des hypocrites et des lâches qui n’assument même pas la responsabilité de leurs actes.

B dit: à

Et pour le vol des enfants, c’est au dessus ou en dessous ?

réhabiliter Staline, chouette idée.

B dit: à

le truc flippant est que les russes se rapprochent de Xi dont ils seront les vassaux, de l’Iran démocratie exemplaire oasis des droits de l’homme et des femmes en particulier, ennemi d’Israel( cela devrait vous plaire puisqu’Israel achalande actuellement le marché en enfants tués), de la Corée du nord autre riante contrée, les BRICS devraient équilibrer la balance geo- strategique, n’en doutez pas. Ils offrent en majorité de beaux exemples de pays de liberté, égalité, fraternité. Tout va donc pour le mieux dans un monde en mutation.

D. dit: à

Le problème de B. c’est qu’elle est toujours toute en intentions, en limites posées, en dogmes, en principe, et qu’elle ne pose jamais les équations à inconnues et contrain tes multiples, qui lui permettraient de voir qu’elles sont insolubles et qu’il faut laisser la place à un certain pragmatisme et une certaine souplesse pour avancer même à petits pas dans la bonne direction. Elle imagine mal, voire pas du tout, de terribles dangers qui se profilent à moyen terme, celui de l’IA aux mains des mafias. C’est le problème numéro 1 à traiter aujourd’hui et personne ne s’en soucie. Car les mafias ont des revenus immenses, pourront donc investir dans une IA immense, dernier cri, pourronr même avoir leurs propres labos de R&D et industries, à des fins de prise de pouvoir, de spoliation des biens et de mise en esclavage des populations y compris celles les plus évoluées.
D’ailleurs imaginons un instant que cela ait déjà commencé ? Tout occupé que nous sommes à de demander si x ou y peut porter la flamme olympique et concourir à ceci ou cela.

renato dit: à

Voyons donc, les mafiosi qui squattent le Kremlin bombardent des civils, kidnappent des enfants, etc., mais ils ont raison parce que c’est une guerre patriotique (le sens des mots chez les criminels est vraiment comique-obscène). Les Ukrainiens se défendent et selon la rocaille du Kremlin, ce sont des terroristes. Seule une crapule comme Puck peut se la jouer anti-américain, car il lui est difficile de se rappeler que ses amis criminels sont à l’origine du désastre afghan, de quelques autres guerres obscènes. Ainsi va le monde avec les ratés.

Bolibongo dit: à

Que fait donc Bloom en ce moment?
Qui le sait?

et alii dit: à

RENATO/MERCI.
J’ai oublié de dire que je dois la santé convenable de mon enfance à un médecin ukrainien qui travaillait pour l’institution à laquelle j’avais été confiée;il s’appelait KABAKER, à l’OSE.
KABAKER est un nom ukrainien,
c’est mon hommage, par delà les ans et les guerres

D. dit: à

renato n’a rien compris. Il aura comme excuse une maîtrise imparfaite de la langue.

renato dit: à

On sait que D. est un admirateur du régime fasciste russe.

renato dit: à

La différence entre Assange et Navalny ? Assange, qui a négocié sa peine, est libre ; Navalny, en revanche, est mort.

D. dit: à

Je parle des mafias, renato, toutes, quelque soit leur pays d’origine, qu’il s’agisse de la Roumanie, de l’Italie, de l’Ukraine, de la Russie, du Sénégal, du Nigéria, de la Libye, de Porto-Rico, du Mexique etc. etc.

D. dit: à

Et ce n’est qu’un début de liste.

renato dit: à

Vous vous croyez important D., mais je ne vous répondais pas, je réagissais banalement aux vomissures d’un raté et à sa propagande contre l’Occident.

Pablo75 dit: à

Boris Cyrulnik : « Mélenchon, à mes yeux, c’est l’extrême droite »

ENTRETIEN – « J’entends les mêmes mots, j’observe les mêmes haines, les mêmes lâchetés, la même désunion qui enténébraient le début de mon existence à la fin des années trente. Jamais je n’aurais imaginé revivre ce cauchemar, être de nouveau hanté par ces abominables discours aux portes du pouvoir. Les historiens assurent que « l’histoire ne se répète jamais » ; ils ont tort ». Les logiques de haine à l’extrême droite et à l’extrême gauche, la désorganisation sociale et les déchirements qui lardent la société française, réveillent chez Boris Cyrulnik d’immenses tourments. Le neuropsychiatre livre sa peur, dissèque cette lente dérive vers le totalitarisme, ausculte le geste « délirant » d’Emmanuel Macron. Et lance un appel : « Réapprenons à « négocier » la présence de l’autre ». Suite de nos entretiens avec des observateurs de la séquence politique actuelle.

https://www.latribune.fr/economie/france/legislatives-2024/boris-cyrulnik-melenchon-c-est-l-extreme-droite-1000417.html

Jazzi dit: à

Le léZard, grand compilateur, est aussi un grand spectateur… de la vie, comme elle va et se tourne !

Pablo75 dit: à

« Taine dont l’intelligence m’éblouit à chaque page, Schopenhauer…
Chaloux dit:

Tu lis quoi de Schopenhauer? J’ai son « Parerga » sur ma table de nuit et sa « Correspondance complète » (ayant sa « vieille » édition -1996- chez Alive je me demande si la nouvelle chez Folio en 2 vols. vaut la peine).

D’accord avec toi sur Taine, dont on pourrait faire un excellent livre d’aphorismes:

Le seul moyen efficace de supporter la vie, c’est d’oublier la vie.
*
L’honnête homme, à Paris, ment dix fois par jour, l’honnête femme vingt fois par jour, l’homme du monde cent fois par jour. On n’a jamais pu compter combien de fois par jour ment une femme du monde.
*
On s’étudie trois semaines, on s’aime trois mois, on se dispute trois ans, on se tolère trente ans, et les enfants recommencent.
*
Quatre sortes de personnes dans le monde : les amoureux, les ambitieux, les observateurs et les imbéciles. Les plus heureux sont les imbéciles.
*
Celui qui mange est heureux ; celui qui digère est plus heureux ; celui qui sommeille en digérant est plus heureux encore. Tout le reste n’est que vanité et impatience d’esprit.
*
J’ai beaucoup étudié les philosophes et les chats. La sagesse des chats est infiniment supérieure.
*
Si mauvais que soit un gouvernement, il y a quelque chose de pire, c’est la suppression du gouvernement.

Entre les livres anciens en pdf ou en epub (gratuits sur archive.org) que j’ai dans l’ordinateur et que j’ouvre de temps en temps, figurent ses « Notes sur Paris. Vie et opinions de Mr F.-T.Graindorge », qui ne déçoit jamais (quand ce qu’il raconte n’est pas passionnant, c’est son style qui l’est).

« A l’Opéra, deux jeunes femmes et leurs maris dans ma loge.J’entends ronfler les mots de moire antique, velours, épingle, tarlatane, popeline, guipure, volants et autres.
[…]
Elles ont raison, elles donnent au Français la denrée qui lui plaît entre toutes, l’agrément. Il n’aurait que faire d’un sentiment durable et fort; cela l’embarrasserait, l’agiterait, le rendrait soucieux ; il lui faut un chatouillement passager de l’imagination, une jolie promesse de plaisir jetée au passage.
Mes deux jeunes femmes sont faites exprès pour cela. Toujours le même état continu d’amabilité riante et gracieuse. Elles sourient devant cet horrible et terrible drame du « Trouvère », elles sont à leur aise.
Figurez-vous une personne qui prend une glace ou laisse fondre une meringue dans sa bouche. Tel est leur état, un état de petit plaisir tranquille, et sans arrière-pensée.
Chacun a ainsi son degré et son espèce de bien-être, qui est comme sa température morale et naturelle. Il oscille à l’entour et tâche de s’en rapprocher. Cette température, pour Voltaire par exemple, se rencontre dans le pétillement d’un souper fin et brillant, dans la sensation qu’on éprouve lorsqu’on a un remue-ménage de vingt idées vives et comme une bouteille de vin de Champagne dans la tête. La température de Verdi est celle d’un combattant, d’un révolté, d’un homme indigné, qui a longtemps concentré son indignation, et qui, souffrant, tendu, éclate tout d’un coup comme un orage. »

« Mon tailleur n’est point un sot, et je suis trop vieux pour être timide. Je n’ai point de place à solliciter, ni de prétentions à soutenir. Je ne souhaite rien qu’écouter et regarder; j’écoute et regarde; aucune femme n’est mécontente d’être regardée, ni aucun homme d’être écouté. Quelquefois, en boutonnant mon paletot, une idée me vient, je l’écris en rentrant; de là mes notes. »

Pablo75 dit: à

« Pour le piano, je compte sur l’été pour m’y remettre. L’étonnante suite française de Poulenc (dont le très simple Branle de Champagne me rend fou) et la sonate pour piano de Bruckner que je ne connaissais pas et qui a de beaux moments. »
Chaloux dit:

Tu as écouté la sonate de Bruckner et si oui par qui? Moi je ne trouve sur Youtube que des pianistes inconnus pour moi qui la jouent. Tu sais s’il y a de grands qui l’ont interprété?

Ma dernière découverte musicale c’est le sublime « Quam tristis » du Stabat Mater de Sances, trouvé dans le coffret Radio Classique de 4 cds « Les voix sacrées » (payé neuf, sous plastique, 1 € dans un vide-grenier de mon quartier).

Giovanni Felice Sances (c. 1600-1679) – Stabat Mater: « O quam tristis »

Philippe Jaroussky & Ensemble Artaserse

https://www.youtube.com/watch?v=rzPrChWQLbU

Pablo75 dit: à

Sur Youtube il y a une autre version, celle de Carlos Mena (chanteur que j’aime beaucoup), qui me paraît bien inférieure à celle de Jaroussky:

G.F. Sances – Stabat Mater

Carlos Mena & Ricercar Consort dirigé par Philippe Pierlot

https://www.youtube.com/watch?v=-OPZiA_8iqA

et alii dit: à

aucune femme n’est mécontente d’être regardée,
ça dénote uN MANQUE D4EXP2RIENCE§
J4AI CROIS2 TANT DE FEMMES QUI NE SUPPORTENT PAS d’être regardée!moi-même, je prends la poudre d’escampette si je me sens surveillée

et alii dit: à

regardées

Pablo75 dit: à

Seule une crapule comme Puck peut se la jouer anti-américain, car il lui est difficile de se rappeler que ses amis criminels sont à l’origine du désastre afghan, de quelques autres guerres obscènes. Ainsi va le monde avec les ratés.
renato dit:

Mais la Pute Nazie n’était pas définitivement enfermée dans un CCC (Centre pour Cerveaux en Compote)? C’est l’argent de Poutine qui a réveillé la cupidité de ses neurones? Dire que cette ordure approuve les 450.000 morts et blessés définitivement inaptes au combat que le nouveau Staline du Kremlin a provoqué dans sa propre armée !!! Et cela uniquement pour ruiner la Russie, dont l’économie est à genoux, tout en renforçant très fortement l’OTAN et les armées occidentales !!! Il faut quand même être un Crétin Définitif pour défendre un cet immense Stratège de Mes Deux qu’est l’ami Vladimir, dont l’Opération Spéciale devait durer 2 ou 3 semaines maximum sans aucune perte pour l’armée russe, qui a perdu déjà la moitié de son matériel lourd et finira la guerre au lance-pierres (à moins qu’elle ne liquide le Chef Suprême avant que cela arrive, comprenant enfin que la Russie est dans le mains d’une mafia d’incompétents alcooliques admirateurs de Hitler).

Pablo75 dit: à

La différence entre Assange et Navalny ? Assange, qui a négocié sa peine, est libre ; Navalny, en revanche, est mort.
renato dit:

Assange est une ordure, comme cela s’est vu en 2017 en Catalogne. On sait aujourd’hui qu’il a balancé sur le Net des fausses photos et vidéos d’émeutes sanglants soi-disant arrivés à Barcelone (alors que c’était des images allemandes notamment), avec la collaboration des services secrets russes, présents dans la ville pour aider Puigdemont à faire son putsch. Poutine avait promis 500 Mds de dollars d’aide si cela réussissait et 10 000 soldats en cas de conflit armé. Aujourd’hui, il y a plusieurs indépendantistes catalans qui attendent un procès pour trahison et entente avec l’ennemi, dont le crétin de Puigdemont lui-même (Bruxelles et l’OTAN s’intéressent aussi de près à cette tentative d’intrusion russe dans l’UE).

D. dit: à

« Je me crois important. »
Autant que l’artiste retraité colmaro-italien pas marrant. En tout cas.

D. dit: à

Il est tellement important, lui, que personne n’en a jamais entendu parler.

renato dit: à

Toujours amusants les gnagna gnagna de dédé.

Clopine dit: à

Les femmes surveillées ? Éveillées plutôt, depuis qu’avec la maîtrise de la contraception, elles sont de plus en plus conscientes d’elles-mêmes. M’enfin, si je suis bibi Clopine Trouillefou, reine des gueuses donc, j’ai dans mes brouettes, avec à peine ce qu’il faut de foce pour les déplacer, au moins une conviction : c’est que s’il y a un progrès dans ce bas monde, il n’est ni chez Macron ni chez Bardella. Enfin, je dis ça, moi la gueuse, sans guère de chance d’être entendue. Mais il n’est pas besoin d’être entendue pour parler, ni de convaincre pour proposer un avenir…bref.

J J-J dit: à

oui, vu que tout ce qui n’est pas dit pourrit à l’intérieur de soi

Patrice Charoulet dit: à

Voulez-vous savoir qui est véritablement Jordan Ba rdella ? Regardez et écoutez cette vidéo :
YouTube « Le grande remplaçant, la face cachée de Jordan Bardella »

D. dit: à

Ben si, Clopine. Jordan Bardella apportera un grand progrès puiqu’il reverra chez eux beaucoup de non-Français présentant des difficultés d’intégration préjudiciables au bien être, voire à la sécurité des Français. Réfléchissez un tout petit peu.

renato dit: à

JJ-J, puisque vous êtes là.

Quelqu’un, je ne sais plus qui et je n’ai pas le temps de me souvenir de son nom, a dit que lui n’avait pas comme d’autres, le plaisir de collectionner les citations (là je simplifie car il parlait du « plaisir des bonnes phrases » ou quelque chose comme ça). Or, je ne pense pas devoir rappeler que dans son travail d’analyse des valeurs au crépuscule de la modernité, Walter Benjamin a fait usage d’une arme qui lui est propre : la citation.

A cet égard, Hannah Arendt, qui, comme le rappelle Hans Jonas, « avait le génie de l’amitié », a déclaré : « C’est précisément ce qui distingue ses écrits de toute forme de traité érudit, dans lequel la fonction des citations est de prouver et de documenter une opinion, raison pour laquelle elles peuvent facilement être incluses dans les notes. Mais ce n’est pas du tout le cas de Benjamin. Au moment où il prépare son étude sur le drame baroque, il s’enorgueillit d’un recueil de « plus de 600 citations, bien ordonnées et faciles à trouver » ; et comme les cahiers ultérieurs, ce recueil n’est pas une accumulation d’extraits destinés à faciliter la rédaction de l’essai, mais représente la partie la plus importante du travail, par rapport à laquelle l’écriture proprement dite passe au second plan ».
Cela dit, la technique d’assemblage de différentes citations, plus ou moins pertinentes pour le discours critique ou créatif, est venue à Benjamin par le biais du collage et du montage cinématographique, pratiques artistiques liées aux nouveaux moyens de reproduction technique, transposées du domaine de l’histoire de l’art à celui de l’écriture ; utilisées pour donner une plus grande validité esthétique et un soutien critique libre à l’essai. L’objectif est la réinvention du réel, à travers des pratiques de recontextualisation qui constituent la forme fluide et fusionnelle d’une opération artistique collective, car elles proviennent des frontières extrêmes d’une culture de réseau émergente autour du thème du piratage et de la propriété intellectuelle. Elles représentent des idées fondamentales, notamment en ce qui concerne l’appropriation de matériel artistique et littéraire, déjà élaboré par d’autres, pour l’utiliser dans un contexte différent.

Cette pratique est présente dans le monde de l’art depuis des siècles. L’arc de Constantin (313 après J.-C.), par exemple, a été réalisé avec des fragments prélevés sur des frises dédiées à d’autres empereurs, non seulement pour accélérer le temps de construction, mais surtout pour mettre l’accent sur de nouvelles possibilités. Avec l’ère moderne, les avant-gardes artistiques ont remis au goût du jour les techniques de manipulation et d’appropriation telles que le ready-made, le mixage, le collage, etc.

https://sites.google.com/site/renatomaestriarchivio/officina#h.v95o99ptfeyv

D. dit: à

Très souvent le long de la grille de mon parc à Chaville, des gens passent en parlant beaucoup trop fort dans des langues étrangères. Je sais que la plupart ne sont pas Français. Une ou deux fois je suis sorti leur dire de faire moins de bruit et ils m’ont répondu que j’étais raciste. Je n’ai pas insisté mais dans l’isoloir je pense à eux, multipliés par cent mille et plus Voilà bien une preuve d’incapacité à s’intégrer.

VOTEZ JORDAN BARDELLA POUR VOTRE BIEN-ÊTRE ET VOTRE SECURITE.

D. dit: à

Eh oui. On est chez nous, aux dernières nouvelles. Sur la terre française de nos ancêtres.

D. dit: à

Il fallait réfléchir avant de traiter de raciste un ressortissant du pays qui vous accueille, Mesdames et Messieurs et nombreux enfants que je nourris à contrecoeur avec ma contribution publique.

Jazzi dit: à

« Walter Benjamin a fait usage d’une arme qui lui est propre : la citation. »

Comment expliquer à ce pauvre Bloom que la compilation est un art, renato ?
https://www.lelezarddeparis.fr/je-u

et alii dit: à

merci, renato;
je m’étonne que nu n’ait encore nommé Erri de Luca:
« Erri De Luca, né en 1950 à Naples, grand écrivain régulièrement traduit, est en même temps un travailleur manuel du bâtiment, un politicien violent de la gauche, un sensible au religieux et à ses textes, enfin un sportif de haute montagne. Ce dernier thème nous retient ici. Sur les traces de Nives (De Luca, 2005) relate ses expériences, ses aventures en course dans les Dolomites, à l’Everest et surtout ses moments de dialogue avec la jeune et grande alpiniste italienne Nives Meroi, notamment sous la tente : récits, souvenirs ; comparaisons avec d’autres ascensions, d’autres activités sportives ;
https://www.cairn.info/le-sport-a-l-adolescence–9782848353838-page-135.htm

et alii dit: à

nul

et alii dit: à

évidemment pour ce billet!

Marie Sasseur dit: à

Évidemment bien sûr

Marie Sasseur dit: à

Enfin pour les JO, pas sûr qu’il y ait une catégorie vétérans…

B dit: à

Merci Charoulet, ce lien est instructif, mais bon ici peu de juifs pour écouter ça. Quelle mauvaise foi, que de malhonnêteté, aux pays des croyants les menteurs sont rois.

Marie Sasseur dit: à

« évidemment,j’ai oublié »

Moi, ça risque pas, c’est l’unique fois où j’ai pu saluer E. de Luca, à la cérémonie des piolets d’or qu’il presidait.

une main dit: à

Pascal Bruckner gagne son procès et est débouté pour accusation de diffamation par R. Diallo!

«Habituel discours victimaire»

À l’audience, le mois dernier, le conseil du philosophe avait clarifié la séquence, en écartant d’emblée un point : lors de ce débat, Pascal Bruckner n’avait pas accusé Rokhaya Diallo d’avoir «armé» les frères Kouachi au sens propre du terme. Ces mots s’inscrivaient dans un débat intellectuel et, à ce titre, le tribunal ne pouvait, selon lui, y voir que l’expression de la liberté de penser, au sein d’une discussion où chacune des parties, venues en pleine conscience s’exprimer, avait le droit à la parole. «Ce que le téléspectateur est tout à fait en mesure de comprendre», avait-il précisé lors de sa plaidoirie. »

https://www.lefigaro.fr/faits-divers/pascal-bruckner-relaxe-des-accusations-de-diffamation-portees-par-rokhaya-diallo-20240626

Marie Sasseur dit: à

Erri de Luca a commencé a grimper à l’âge de 57 ans, de mémoire.

C’est faux, premier 8a à 47 ans Respect.

une main dit: à

débouté *** relaxé

une main dit: à

envers Diallo… c’est la chaleur, 35° !!!)

FL dit: à

« On rappellera aux amnésiques qu’en 1961, Jérôme Lindon, créateur des Editions de Minuit, fut plastiqué par l’OAS. »

C’est vrai. L’attentat est même raconté en détail par son fils dans « Une Archive ».

Si vous vous demandez pourquoi ça s’appelle « Une Archive » c’est dans le prologue. Lindon explique qu’on lui a refusé l’accès aux archives familiales. Mais qu’il n’en a pas besoin parce qu’il a passé sa jeunesse auprès de son père et qu’il est donc une archive vivante.

https://www.librairie-gallimard.com/livre/9782818056714-une-archive-mathieu-lindon/

renato dit: à

Le 26 juin 1912, la Neuvième Symphonie de Mahler a été créée à titre posthume sous la direction de Bruno Walter à la tête de l’Orchestre philharmonique de Vienne.

et alii dit: à

Jacob Rogozinski : “Une démocratie qui devient inhospitalière s’expose à des dérives autocratiques”
Jacob Rogozinski, propos recueillis par Frédéric Manzini publié le 26 juin 2024 9 philomag

FL dit: à

dans l’adresse.

FL dit: à

En changeant l’adresse pour la bonne bien sûr

Pablo75 dit: à

Vous êtes vache, Pablo, à. taquiner ainsi Cloclo
renato dit:

Je ne fais que lui demander quelles brouettes elle a dans son répertoire érotique, puisqu’elle nous a dit qu’elle en avait (« j’ai dans mes brouettes… »).

Je parlais de la brouette classique, thaïlandaise, javanaise ou enflammée… mais il y a aussi la brouette assise, la semi brouette, la brouette japonaise, la brouette mexicaine, la brouette congolaise ou la brouette de zanzibar (chère à Pierre Perret)…

et alii dit: à

« La musique de masse et la nouvelle écoute contribuent, avec le sport et le cinéma, à rendre impossible tout arrachement à l’infantilisation générale des mentalités » Theodor W. Adorno
sur philomag

et alii dit: à

A.Comte Sponville:
Je suis peu passionné par le sport, et c’est le paradoxe de ce livre. Il vient d’une commande des responsables de l’Insep [Institut national du sport, de l’expertise et de la performance] qui avaient demandé à des intellectuels de réfléchir sur le sport lors d’une série d’entretiens, parce qu’eux-mêmes se trouvaient désemparés devant l’évolution prise par ce qu’on appelle le sport business ou le “sport spectacle”. C’est une première version de cet entretien qui a d’abord été publiée chez l’éditeur Carnets Nord en 2018 sous le titre Valeurs, mais que j’ai relue et corrigée, et qui se trouve rééditée aujourd’hui.
« 

renato dit: à

La citation d’Adorno, et alii, est tirée de Le Caractère fétiche dans la musique et la régression de l’écoute, publié en 1938 avec le nom de sa mère (Calvelli) pour des raisons de sécurité.

renato dit: à

Calvelli-Adorno della Piana

rose dit: à

Je ne suis pas la copine de Clopine. Je suis sa camarade, si elle l’accepte.

Samuel dit: à

Pourquoi la beauté s’altère contrairement à la laideur qui s’accentue ?

D. dit: à

Moi à Chaville, j’ai une brouette.

Samuel dit: à

Pourquoi lire La Cathédrale de Joris-Karl Huysmans pour comprendre toutes les symboliques et saisir toutes les subtilités de l’architecture de la cathédrale de Chartres est encore mieux que de la visiter ?

D. dit: à

Je la trouve pratique, ma brouette chavilloise. J’en suis très content.

D. dit: à

Même avec Huysmans, tu ne comprendras rien à rien de Chartres, mon pauvre Samuel.

Désolé de te le dire, mais avec ton bouquin tu es au niveau 1/7. Tu aurais mieux fait de te taire.

rose dit: à

Ma question n’était pas de faire amour/amour avec les loups, ni de leur jouer du piano, mais de savoir si en marchant, il y aurait eu agression ou pas. C’est de l’éthologie.

rose dit: à

Ou d’aller à Chartres.

Samuel dit: à

Pourquoi dans l’univers romanesque de Yasunari Kawabata, les femmes sont lascives et evanescentes comme des spectres attendant le salut de leur âme loin de la chair et ses voluptés ?

renato dit: à

Ripetitio mater etc.
Selon la reconstitution, la femme, après avoir dormi dans un hôtel du parc avec sa famille, est sortie faire son jogging. Selon la procureure, « elle s’est retrouvée dans l’espace safari, réservé aux voitures », là, trois loups l’ont attaquée. Elle a donc été attaquée dans une zone interdite aux piétons. La procureure a ajouté : « Nous ne sommes pas en mesure de savoir si elle s’est trompée ou si les parcours n’étaient pas bien signalés ».

Il faut aussi voir ce que la touriste a fait pour provoquer les loups, car les gens n’ont pas seulement peur de leur ombre, agissent parfois de façon inconsidérée… et puis pour les cons c’est encore la faute aux loups…

https://larepubliquedeslivres.com/regarder-le-sport-avec-les-yeux-olympiques/comment-page-3/#comment-1386660

Incidemment, tard le soir, dans un parc de Turin (Valentino), je suis tombé nez à nez avec un loup : il a fait son chemin, j’ai fait le mien, sans incidents.

Jazzi dit: à

Quelle différence faites-vous entre copine et camarade, rose ?

C’est comment la brouette Chavilloise, D. ?

D. dit: à

Ben il y a une roue caoutchoutée, des poignées, un bac en fer peint en vert foncé, des espèces de pieds en métal pour pas que elle se renverse quand elle est posée.

D. dit: à

Je l’ai trouvée au Leroy-Merlin.
Je m’en sert surtout pour transporter mon bois.

D. dit: à

Vous n’êtes pas apte non plus à comprendre Chartres, Rose. Personne ici en dehors de moi. Désolé mais c’est comme ça.

D. dit: à

Bon, Bérénice. Vous avez réfléchi, maintenant, je pense, si vous en êtes encore capable. Et vous êtes arrivé à la même conclusion que moi : Jordan BARDELLA n’est pas du tout une menace et il faut voter pour lui.

D. dit: à

Je vous en remercie.

D. dit: à

Pour lui, c’est à dire pour le Rassemblement national, premier et meilleur parti politique de France.

Samuel dit: à

…même pas capable…

B dit: à

, si vous en êtes encore capable.

D, je suis proche du gâtisme, je voterai pour qui mon mari me dira, incapable de choix raisonné, je compte sur lui, m’en remets à sa sagesse et connaissance de la chose médiatique, l’économie l’occupe beaucoup plus que moi, l’action et la réaction ont toujours été pour lui deux pôles magnetiques . Je ne suis pas une fidèle, plutôt une hérétique et ces choses m’ennuient à un point que je préfère les travaux de couture, faire le ménage, la cuisine, les carreaux, les poussières. Vous savez que nous sommes trop pauvres pour engager une bonne et c’est mieux ainsi. Les jours, les saisons passent sans que ces choses montées comme des soufflés à la bisque de homard, vulgaires comme les capitaux, toxiques comme du glyphosate ne m’atteignent, je reste hermétique comme un tupperware, l’herméneutique me séduirait presque plus . D’ailleurs, Raymond me rassure et m’implore de ne pas m’en inquiéter, j’ai une totale confiance en son analyse .

J J-J dit: à

J’aurais plutôt tôt pensé à l’auteur du journal d’un vieux fou, de la confession impudique, du chat, son maitre et ses deux maitresses, du pied de Fumiko… pour évoquer les femmes évanescentes et bien réelles de son imagination romanesque. Bref, Junichiro Tanizaki… Il est vrai aussi que Kawabata l’avait largement pré-médité puis digéré et s’en était alors quelqu’un brin éloigné. L’yultra réacvtionnaire Eloge de l’Ombre n’avait plus sa faveur… Tout comme ce fut le cas de Yasushi Inoué, du reste.— Bref, passons. C’et l’heure. Je ne suis plus là. Blanche, Venus émerge et c’est la nuit.

Bloom dit: à

3J, peut-être suivez-vous la remarquable série documentaire de Ruth Zylberman « Felice, Milena, Dora, Ottla : quatre femmes avec Kafka » sur FC entre 17 et 18h cette semaine.
Si ce n’est pas le cas, précipitez-vous & pénétrez encore plus profondément et de façon kaléidoscopique dans la vie de l’ami Franz et des femmes qu’il a aimées. L’évocation de Dora Diamant, cette ultime âme sœur avec qui il partageait une passion pour le yiddish, est bouleversante. Il reste encore des écrits de Kafka saisis par la Gestapo, qui ont ensuite transité par Moscou avant de revenir dans les archives nationales allemandes. Ils n’ont pas encore été exhaustivement identifiés et exploités, il faut donc s’attendre à ce que l’œuvre de Kafka connaisse de substantiels ajouts dans l’avenir. Was für ein Glück in Aussicht !
Rosanette, je crois me souvenir que vous connaissez Ruth Zylberstein. A l’occasion, dites-lui o combien j’apprécie ce merveilleux travail de recherche et de résurrection de ces figures capitales de la culture juive universelle.
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/dora-diamant-sur-le-seuil-du-bonheur-4734278

Jeu 27 juin ’24, 2:16

Marie Sasseur dit: à

Encore quelques jours d’illusion d’un bel été a venir, avant qu’il ne nous soit volé…

« Le soir se tait la plainte
Du coucou dans la forêt.
Plus bas s’inclinent l’épi,
Le coquelicot.

L’orage noir menace
Au-dessus de la colline.
La vieille chanson du grillon
Meurt dans le champ.

Jamais ne bouge
Le feuillage du châtaignier.
Sur l’escalier tournant
Bruissent tes vêtements.

Calme brille la bougie
Dans la chambre obscure ;
Une main d’argent
L’éteint.

Pas de vent, nuit sans étoile. »

G. Trakl, trad Guillevic

JC..... dit: à

Mon dernier message en RdL s’intitulait « Un nouveau Jeu de Société »

Volatilisé….

JC..... dit: à

Son nom ? GUERRRE CIVVILE…

Évidemment !

JC..... dit: à

Son slogan ?
Emeutiers un jour ! Emeutiers toujours….

JC..... dit: à

Son coût ?
Gratuit ! Payé par le déficit….

Jazzi dit: à

Cette histoire de la joggueuse et des loups, c’est plus une fable à caractère socio-politique et géographique, d’un problème éthologique, rose.
Ces loups ne sont pas affamés et n’ont pas attaqué pour se nourrir.
On leur a créé un territoire artificiel et limité mais c’est leur territoire.
En marchant ou en courant, peu importe, la joggueuse s’y est indument introduite.
Essayez de lâcher un flic ou une fliquesse faire son jogging en solitaire dans les quartiers nord de Marseille.
Que croyez-vous qu’il adviendrait ?

renato dit: à

Rappel : pour un bon usage du mot « fascisme ».

Le fascisme se présenta comme un mouvement politique néo-hégélien prônant l’État éthique.
Politiquement, sa doctrine et sa praxis se fondaient sur l’affirmation aveugle de raisons nationalistes et impérialistes, sur la capacité (prétendue) de vaincre et harmoniser les conflits économiques, politiques et sociaux, sur l’imposition du principe hiérarchique à tous les niveaux de la vie nationale, du corporatisme économique et la centralisation administrative dans la politique intérieure et l’expansionnisme impérial dans la politique étrangère.

Je ne sais pas comment les réactionnaires d’aujourd’hui (bruns ou rouges-bruns qu’ils soient) se présentent philosophiquement, et je m’en moque, mais je les soupçonne de ne pas en avoir, cependant à quelques nuances près, leurs intentions politiques rappellent les temps passés.

D. dit: à

Les loups qui ont faim sont des animaux très dangereux, surtout en meute. Contrairement à ce qu’on raconte, les loups n’ont pas peur de l’homme lorsqu’ils ont faim. Ils sobt capables d’une stratégie d’encerclement se resserant sans cesse, qui peut durer des heures.
Le feu les garde à quelque distance, ainsi que les détonations.
Là où on sait que le loup est veritablement présent en nombre, capable de former meute, même petite, il faut obligatoirement se déplacer avec une arme à feu chargée à blanc, une réserve de munitions à blanc, un téléphone portable et autant que possible ne pas quitter les zones de couverture du réseau.

D. dit: à

Tout élu ou membre du gouvernement proposant un nouveau recul de l’âge de départ à la retraite devrait être contraint par la loi à un exercer pendant un mois l’un des métiers suivant : agent de nettoiement, agent de surveillance, cariste-manutentionnaire, rayonniste, ouvrier de travaux publics.

D. dit: à

Voici une loi que le front de gauche pourrait faire voter.
Mais le front de gauche ne passera pas.

Pablo75 dit: à

« Il est reproché aux hommes de prendre beaucoup de place dans les transports en se tenant assis jambes écartées (manspreading) tandis que les femmes croisent modestement les leurs. Et c’est un fait. Rappelons toutefois qu’avant de croiser les siennes, s’il ne veut pas broyer douloureusement ses couilles entre ses cuisses, l’homme doit plonger la main dans son caleçon pour remonter le paquet. Or nous pouvons être certain qu’il se trouverait encore de véhémentes observatrices pour mésinterpréter ce simple geste de survie. »

Eric Chevillard aujourd’hui.

et alii dit: à

Car Serge Reggiani est un des quelques adultes que la jeunesse de Mai 68 accepte comme un des siens grâce aux Loups sont entrés dans Paris, chanson prophétique dans laquelle beaucoup de jeunes Français voient l’annonce du retour du fascisme.

Écrite par Albert Vidalie avec une musique de Louis Bessières, c’est une chanson que des journalistes sont estomaqués d’entendre jouer sur les juke-box près des lycées parisiens puis clamés par des interprètes anonymes dans les universités occupées en Mai 68.

et alii dit: à

Un rythme de 178 battements par minute pour être précis, soit la fréquence cardiaque d’un athlète en plein effort.

Jazzi dit: à

Contrairement à la critique et au public, le léZard a adoré le dernier film de Lanthimos ! Pas vous ?

Jazzi dit: à

Plus de 2 millions de procurations pour les prochaines élections !
Plus personne ne bosse et après ça on se plaint sur le pouvoir d’achat…

et alii dit: à

CITATION
VOUS trouverez surement de nouvelles citations ukrainienes sur un nouveau site qui vient d’ouvrir:
exemple:
« Cette semaine, l’écrivaine, journaliste et musicienne Blandine Rinkel a mis en lumière un extrait du poème « Décomposition » tiré du livre Les Abricots du Donbas de Luba Yakymtchouk (Éditions des femmes, 2023), traduit par Iryna Dmytrychyn et Agathe Bonin.
https://fr.ui.org.ua/lire-lukraine/

et alii dit: à

Florence Puklavec, psychanalyste et marathonienne, en prenant comme base une enquête qualitative auprès de sportifs de tout niveau qui lui ont communiqué leur vécu. Elle nous fait part de sa réflexion de manière concrète et documentée sur le sujet de la quête d’identité à travers le sport.

et alii dit: à

Le squash trouve ses origines dans d’anciens jeux de balle apparentés au tennis, qui se jouaient dans la prison de la Fleet à Londres au xixe siècle3. Vers 1830, à l’école privée de Harrow à Londres, en Angleterre, les étudiants en attendant d’utiliser les courts de tennis, commencèrent à frapper sur l’un des murs de l’immeuble avec leurs raquettes et c’est ainsi que le squash fut inventé4.

Le premier court de squash fut créé en 1883 à Oxford. Petit à petit, ce sport se développa dans les écoles et les universités, mais ne devint populaire qu’à partir du début du xxe siècle. Les États-Unis furent la première nation à former une association et à codifier ce jeu en 1907 (aujourd’hui appelé le Hardball squash (en),

et alii dit: à

; ce sport fut dominé pendant vingt ans par deux pakistanais : Jahangir Khan et Jansher Khan. Il faudra attendre 2004 pour qu’un non-ressortissant de l’Angleterre ou des anciennes colonies anglaises atteigne le premier rang mondial chez les hommes : le Français Thierry Lincou.mon fils a été « minichampion de squash »

et alii dit: à

À partir de 2015, une formidable génération de jeunes joueuses égyptiennes, emmenée par Nour El Sherbini, championne du monde junior à l’âge record de 13 ans, s’installe au sommet du squash féminin mondial. Ainsi en novembre 2016 lors des championnats du monde par équipes d’Issy-les-Moulineaux, on retrouve trois Égyptiennes aux trois premières places du classement mondial qui donnent logiquement le titre à l’Égypte. Seules, l’Anglaise Laura Massaro vainqueur de l’US Open 2015, du Qatar Classic 2015 et du British Open 2017 ainsi que la Française Camille Serme qui remporte le British Open 2015, l’US Open 2016 et le Tournament of Champions 2017 parviennent à résister7.

et alii dit: à

Le 16 octobre 2023 à Bombay, le CIO valide la proposition et intègre définitivement le squash aux Jeux Olympiques d’été de 2028 à Los Angeles14.
infosgoogle

et alii dit: à

mona lisa ‘aura pas une chambre à elle!
c’est trop cher pour le louvre!
dans breakfast with artnews
elle peut attendre le souper!

rosanette dit: à

@Bloom
la mere de Ruth est ma meilleure amie ,une femme exceptionnelle.
Ruth je l’ai vue naître; et j’ai toujours suivi son travail avec admiration.je dirai a sa mère en quels termes on parle d’elle sur la Rdl
elle a déjà une belle notoriété :elle vient de terminer un documentaire sur les camondo dans lequel Passou intervient

J J-J dit: à

J’émerge à l’instant @ 15.15, merci rBl pour vos précisions sur le femmes de FK. Restez prudent en tractant. Bàv, ———–

Rosanette dit: à

@bloom
La mére de Ruth est ma meilleure amie et Ruth je l’ai vue naître
j’ai depuis le début suivi avec une admiration enthousiaste son travail de documentariste et je connaissais sa série radio surles femmes de Kafka Kafka qui est passé sur FC l’an dernier
elle a désormais une belle notoriété,y compris comme romancière et vient de terminer un film sur les Camondo dans lequel Passou intervient
Je dirai a sa mére tout le bien qu’on pense ici de son travail sur Kafka

rose dit: à

D. dit: à
Les loups qui ont faim sont des animaux très dangereux, surtout en meute. Contrairement à ce qu’on raconte, les loups

C absolument faux
Les loups, même lorsqu’ils n’ont pas faim sont dangereux, attaquent, ont le goût du sang.
J’en sais un peu plus par le récit de la joggeuse.
Je ne sais toujours pas si marcher ou courir marque une différence ou pas.

Pas la peine que r. me copie-colle une troisième fois le même récit. On sait que la zone était interdite. Apparemment elle ne parlait pas et donc ne lisait pas le français.
Affaire en cours.

rose dit: à

Essayez de lâcher un flic ou une fliquesse faire son jogging en solitaire dans les quartiers nord de Marseille.
Que croyez-vous qu’il adviendrait ?

Comparaison spécieuse, Jazzi.

rose dit: à

Bien sûr que le nouveau front populaire va passer. J’aurais le succès modeste.

rose dit: à

Comme je l’ai eu pour l’Argentine.
Normal.
On t’en veut toujours lorsque tu as du succès.

D. dit: à

Bon ben c’est complètement faux.
Très bien.
Parfait.

D. dit: à

Le loup solitaire qui n’a pas faim fuit l’homme. C’est archi connu.
Mais bon.

D. dit: à

De toutes façons je m’en fous complètement de vos histoire de loup. Alors hein.

D. dit: à

Je m’en tamponne joyeusement.

D. dit: à

Je m’en tamponne joyeusement la raie.

D. dit: à

Tiens, d’ailleurs je vais essayer de m’en trouver pour ce soir, de la raie. Avec une sauce aux câpres c’est excellent.

D. dit: à

Le front gauchiste ne passera évidemment pas. J’ai accès aux plus hautes informations et je peux vous dire que Bardella est déjà acté aux plus haut niveau des administrations, et notamment sur les volets budgétaires.
Vous me faîtes tous rigoler. Quelle naïveté. Des poussins de 2 jours, voilà ce que vous êtes.
Faites-moi donc confiance, pour une fois.

lmd dit: à

LA QUESTION
Cet ouvrage a été achevé d’imprimer
le 7 mars 1958 sur les presses
de la Première Imprimerie Ukrainienne
en France, 3 rue du Sabot, à Paris, et
inscrit dans les registres de
l’éditeur sous le numéro 355
et,
LA GANGRÊNE
1959 Les Editions de Minuit
(sans indication d’imprimeur)…

Le Pen a participé aux interrogatoires.

Le Pen en avait fait son manifeste : « Je préfère mes filles à mes nièces, mes nièces à mes cousines, mes cousines à mes voisines, mes voisines à des inconnus etc  »,
et aujourd’hui ses héritiers, dans leur programme électoral, annoncent qu’ils vont :
– Restreindre les droits de la double nationalité,
– Supprimer le droit du sol,
– Lancer un plan d’identification de lieux pouvant être reconvertis en lieux de détention de
«basse sécurité » (pour les mineurs ou les peines courtes).
– Mettre en place la carte vitale biométrique.
– Instaurer une priorité d’accès au logement social pour les travailleurs des secteurs prioritaires
– Réduire la dépense sociale par la mise en place de la priorité nationale.
– Mettre en place une législation spécifique visant les idéologies islamistes, véritable menace
totalitaire des temps modernes.
– Inviter les étrangers qui n’ont plus d’activité professionnelle depuis six mois à repartir dans leur pays d’origine.

«Si tu n’es pas content, retourne chez toi» va devenir la rengaine décomplexée de tous ces merdeux.

Électeur du Parti Communiste Français depuis 60 ans, je mettrai toujours, encore, mon vote au service de ce nouveau front populaire.

D. dit: à

Sébastien Chenu à la Culture, chargé de la réforme de l’audiovisuel public. Voilà. Je suis trop gentil avec vous. Vous ne le méritez pas.

Patrice Charoulet dit: à

L’arrivée du RN au gouvernement
Étrange situation qui permet que toute une jeunesse sans passé trouve séduisants les beaux garçons du Rassemblement national, influenceurs musclés sur les réseaux sociaux, et rassurantes les dirigeantes blondes et épanouies offrant l’image du féminisme d’ultra droite de maintenant. Le sous-texte constitutif de l’identité politique des droites extrêmes – racisme, nationalisme, haine des « assistés » et des migrants, conservatisme social – est à peine audible. Le clan familial Le Pen, forme française de la famille trumpiste – dont le jeune Bardella fait partie – apparaît injustement accusée, « comme c’est méchant! », d’être « fasciste », injure inadaptée. Mais ce parti aurait-il changé de nature et pourrait-il, une fois au pouvoir, respecter le fonctionnement démocratique ?
L’expérience montre qu’une fois arrivés au pouvoir par les urnes, les partis d’extrême droite ont en commun une culture de la verticalité du pouvoir politique, dont l’autorité tendra à s’intensifier avec le temps. Il faut comprendre la séduction populaire des images de remise en ordre, de propreté retrouvée. Ils mettent en œuvre dans les faits et sur la planète entière le même programme, porté par un discours emphatique qui glissera, là encore avec le temps, du mensonge au délire. Au lendemain du succès, et comme les autres avant lui, le RN changera le plus vite possible les hauts cadres de l’État aux postes clés sécuritaires, économiques, culturels et médiatiques .Ici ils ont déjà un Bolloré en piste (CNews, Europe 1 , nouveau JDD , Paris-Match…). Ils y placeront des hommes et des femmes issus du premier cercle, des proches de confiance, qu’ils savent pouvoir appeler à toute heure. Rapidement le fait sociologique du pouvoir leur attirera de nouveaux adeptes, toutes vestes retournées, prêts à les suivre. Tandis que sur CNews, de nouveaux visages – en plus de ceux que nous connaissons déjà – viendront se moquer, critiquer, invectiver avec mépris les sciences sociales, les féministes, les « bien-pensants »… À tous les échelons sociaux se formeront des cercles d’afficionados plus ou moins cyniques, dans des cercles professionnels, des clubs divers.
Trois à cinq ans passeront ainsi, avant le deuxième temps crucial que tous ces régimes mettent en œuvre : celui du changement juridique progressif, où la distance entre le juridique et le politique est mise en péril. Quand les lois changent, la vie sociale tout entière change : la liste de ce qui peut tomber sous le coup de la loi s’allonge démesurément, et se défendre devient de plus en plus difficile. Les contre-pouvoirs seront abîmés, empêchés, et la survie des associations de défense des droits humains, des syndicats, des associations écologistes, féministes ou de consommateurs deviendra de plus en plus difficile du fait du détricotage des lois qui jusque-là les protégeaient. Au sein d’institutions comme la police et l’armée, le commandement sera donné à tous les échelons aux membres de la même famille politique, qui domineront leur pré carré dans le confort d’un arbitraire facilité. On pourrait décrire par le menu le travail de sape des conditions de la justice et de l’égalité à tous les niveaux de la vie sociale et économique auquel se livrera le RN. Il saura prendre conseil auprès de ses amis du FSB russe, qui fourniront une aide logistique pointue pour mieux traquer les ennemis de l’intérieur. L’atmosphère entière du pays changera, comme la langue ordinaire, avec bien sûr une emphase formidable mise sur certains crimes, ceux commis par des « non Français »,(CNews fait déjà ça du matin au soir) et sur certaines interprétations, ou manières de faire, devenues obligées.

D. dit: à

Voilà. Le FSB gouvernera la France.
C’est Charoulet qui sait.

D. dit: à

On vendra aux Russes Alsthom. Voilà.

D. dit: à

C’est déjà vendu aux Américains ?
Par Macron ?

Ah, flûte.

D. dit: à

Qu’est-ce qu’on peut encore vendre alors ?

D. dit: à

Alcatel ?
Non, vendu à Nokia.

rose dit: à

Il ne s’agit pas d’un loup solitaire mais de trois loups.
Cela oblige t-il à être grossier ?

rose dit: à

Beau garçon c très vite dit.
Beau parleur aussi avec ses fiches de révision du bac.

rose dit: à

On vendra le Monde.fr.
Aux kanaks. Je m’abonnerai.

et alii dit: à

vente à prix cassé des meilleurs spermatos erdéliens

renato dit: à

Le loup que j’ai rencontré à Turin était un nomade qui, selon un ami éthologue, était à la recherche d’une femelle et d’un territoire, et il m’a dit que sa présence avait été prouvée grâce au résultat des tests effectués par l’Institut zooprophylactique sur un échantillon de salive prélevé sur les restes d’une proie.

Marcher ou courir.
Moi, je marchais, mais deux ou trois « sportifs » sont passés en courant, et le loup les a ignorés. Nous avons marché ensemble jusqu’à la Fontaine lumineuse à la limite du parc. Il a bu, puis est revenu sur ses pas à un rythme de course.

Incidemment, à propos des préjugés sur les poussins voir Il pulcino di Kant du neuroscientifique Giorgio Vallortigara :
https://www.adelphi.it/libro/9788845938146

Pablo75 dit: à

Électeur du Parti Communiste Français depuis 60 ans…
lmd dit:

Un staliniste trouvant que les 100 millions de morts du communisme au XXe siècle sont un beau bilan, « globalement positif », donnant des leçons publiques d’étique politique !!!

Décidément, on aura tout vu sur ce blog…

renato dit: à

Voici Bonnie Parker, avant qu’elle ne devienne Bonnie (avec Clyde), elle travaillait comme serveuse au Marco’s Cafe, à Dallas, c’était en1929

https://img-9gag-fun.9cache.com/photo/aoeeR0A_700bwp.webp

Et un de ses poèmes :
The Prostitutes Convention

01:
You have heard of big  »conventions »
And there’s some you can’t forget
But get this straight, there’s none so great
As when the  »prostitutes » met

02:
To a  »joint » on  »Harwood St » last year
They came from far and near
From  »behind the barns » in  »stolen cars »
The damn  »broads » gathered here

03:
Three hundred came from North Dallas
Some came from Akard Street
Of all the  »Parades of Fashion »
Not a  »Paris » shop could compete

04:
From the  »Ivy Hotel » came  »Billie »
And  »Bess the Katyclid »
With  »maniac Mag » from the  »Elm St drag »
Came the  »San Jacinto Kid »

05:
 »Bashful Bill » and  »Hain-lip Lil »
Blew in with  »Hell Fine Jack »
 »Wanda Jane » from the  »Pearl St Gang »
 »Estelle » from the  »Live Oak Track »

06:
I saw some  »hides » I’d never met
A  »frail » called  »West End Rose »
With  »Pearl and Pauline » from the  »Josephine »
Came a gal dubbed  »Mopin Mose »

07:
 »Big Imogene » dressed like a  »queen »
Made friends with  »Baby Red »
While  »North Side Nell »  »lit up » like hell
Drank  »jack » with  »East Side Ed »

08:
While  »Lonesome Lou » and  »Subway Sue »
Along with  »Mamphid Min »
And  »Martha Lin »
 »Shook up » some damn good  »gin »

09:
 »Hop Head Het » spilled out a song
Composed by Kathelene
While……
….. missing stanzas…..

***

Incidemment, et alii, reato vaut délit ou crime

FL dit: à

Je remercie M. Assouline d’avoir bien voulu rattraper mes messages sur l’attentat de Lindon? Ils sont donc ci-dessus.

D. dit: à

C’est pas du tout grossier qie de dire qu’on s’en tamponne la raieduc.

FL dit: à

D’ailleurs je note que dans le Figaro de ce jour, l’édition de poche du « Nageur » de notre hôte est conseillé comme lecture à emporter en vacances, dans une montagne suisse, en Normandie, aux Roches Noires ou ailleurs.

Il y est aussi question de textes de Klaus Mann ou celui-ci s’émeut du peu de réaction de nombreux milieux allemands, conservateurs, chrétiens, lors de l’arrivée au pouvoir d’Arturo.

FL dit: à

* Je remercie M. Assouline d’avoir bien voulu rattraper mes messages sur l’attentat de Lindon.

FL dit: à

* où
* réactions

FL dit: à

* conseillée

FL dit: à

Ce tableau pour moi c’est la quintessence des vacances.

je note d’ailleurs que les artistes sont plus intéressés par les douceurs de la dolce vita en Normandie que par les colonies françaises ou la guerre de 14-18. (J’ai bien compris qu’il y avait quelques livres important sur la guerre 14-18. Mais sur la décolonisation presque pas. Et j’ai tendance à penser que le sujet était moins favorable à l’art que le lac Léman ou les Roches Noires.)

Ca se comprend d’une certaine manière. La guerre 14-18 c’est trop bruyants et la décolonisation c’est trop chaud.

https://www.musee-orsay.fr/fr/oeuvres/hotel-des-roches-noires-trouville-716

FL dit: à

* bruyant

et alii dit: à

renato, excusez mon ordi-ou le clavier?
je ne tape plus convenablement les doubles lettres, la lettre n, c’est pénible parce que je dois sans cesse y penser;je changerai prochainement le clavier, mais trop, c’est trop!
excuses donc et bon week end puisque le vla;

et alii dit: à

tatouages
Pour Yannick Le Henaff, sociologue et auteur d’un ouvrage, Tatouages et cicatrices : décors sportifs, on peut trouver des iconographies différentes en fonction des sports pratiqués, mais cela reste du domaine de l’observation et non de la règle.
Ainsi, les sports de glisse sont-ils souvent associés à l’imagerie tribale et polynésienne, tandis que dans les arts martiaux en général, les tatouages guerriers, représentant des lions, des combats ou des signes de violence sont plus présents. Pour autant, il n’y a pas de systématisme : le célèbre requin d’Alain Bernard n’a pas, selon son porteur, de lien direct avec la pratique de la natation, et le papillon de Laure Manaudou n’a pas un sens exclusivement sportif. En revanche, ils en disent long sur leur porteur.
La première raison s’entend d’elle-même : dans des disciplines où le corps est mis en avant et soumis à un contrôle permanent, les physiques s’harmonisent. Pour sortir du lot, la logique veut donc que l’on se fabrique une identité corporelle en dehors du corps lui-même. Le tatouage, dans le sport, devient alors une solution évidente.
La deuxième raison se vérifie souvent : un grand nombre de tatouages de sportifs sont directement liés à des thématiques de virilité ou de compétition. S’afficher avec une tête de lion revient donc à revendiquer son mental de compétiteur. Le tatouage s’intègre alors parfaitement dans une vie de sportif, mais également dans une mentalité générale.
La troisième raison est plus subtile. Sportif ou non, le tatouage marque la personne qui le porte et non sa profession. Dans un milieu du sport toujours plus exposé aux médias, le port d’un tatouage permet aussi de s’affirmer en dehors d’une image publique. C’est d’autant plus pertinent que le tatouage d’aujourd’hui privilégie les symboliques floues, et que chaque tatoué a sa propre interprétation du tatouage qu’il porte. Le tatouage ne serait donc plus lié directement à la pratique du sport, mais au sportif lui-même.
https://www.mouv-in.com/SPORT-ET-TATOUAGE_a173.html

Marie Sasseur dit: à

Bon week-end, d’ici là faites sortir mémé et pépé de l’ehpad, décoincer les enfants, nièces, neveux, de l’écran, frangins, frangines , oncle de la tante à Jules, tout le monde, un seul mot d’ordre, allez voter!

et alii dit: à

les tatouages n’appartiennent pas aux sportifs
, mais à leur tatoueur. Cela peut paraître choquant, voire saugrenu, mais même si l’idée du dessin vient du joueur,
l’œuvre tatouée est la propriété de son artiste
, donc du tatoueur. Un tatoueur avait d’ailleurs attaqué l’entreprise
Electronic Arts
pour atteinte au droit d’auteur lorsqu’il avait reconnu le tatouage de Ricky Williams dont il était l’auteur dans l’un de leurs jeux, avant de retirer sa plainte ultérieurement.

Chaloux dit: à

Quelques mots sur un livre paru récemment sur Le Caravage, pour ceux qui, comme c’est mon cas, ne peuvent se détacher de ses oeuvres.
(Me suis racheté une grammaire et un dictionnaire italiens pour pouvoir le lire).
traduction machinelle rapetassée par mes soins.

Alla scoperta dell’uomo Caravaggio de Giuseppe Elio Barbati.
« Le but de ce livre est de mettre en lumière l’homme Caravage tel qu’il fut. Il s’agit d’une véritable reconstruction historique, non romancée, qui prend forme à travers les nombreuses études que les historiens de l’art et les chercheurs ont réalisées au cours des trente dernières années, modifiant considérablement le jugement sur la vie et le caractère d’un homme entré dans l’histoire comme un violent, un bagarreur, un irascible querelleur, un meurtrier.
La découverte de nouveaux documents dans les archives du Vatican et de l’État romain, des « notices», des documents, des lettres, des registres de la cour romaine et diverses sources anciennes nous ont donné une image fidèle de l’homme Michel-Ange, mettant en lumière le profil d’une âme profonde, d’un homme cultivé et sensible qui, sans jamais vouloir baisser la tête, s’est fait de nombreux ennemis.
Malheureusement, même aujourd’hui, sans aucune connaissance des documents trouvés au cours des trente dernières années, sans participer à une critique nuancée et actualisée, certains persistent à répéter et à proposer à nouveau la définition inappropriée du « peintre maudit », consolidée au fil du temps, mais maintenant complètement dépassée, pour l’esquiver. Aujourd’hui, nous devons modifier radicalement ce jugement, né des biographies venimeuses et peu fiables du XVIIe siècle, autrefois lues comme véridiques et impartiales.
Ces écrivains ont conçu leurs histoires en déformant ou en inventant partiellement des événements sur la vie et la mort du Caravage, pour caractériser négativement ses peintures, une construction intelligente pour dénigrer son œuvre et effacer sa mémoire.
Bonne découverte à tous. »

Et bonne soirée,

renato dit: à

Chaloux
La réévaluation du Caravage a commencé avec Roberto Longhi, qui est aussi son critique le plus attentif. Si vous vous êtes mis à l’italien, je vous le recommande :
Il Caravaggio ;
Studi caravaggeschi ;
Il Caravaggio e i caravaggeschi
;

Et pour une vision plus ample, Da Cimabue a Morandi, une édition soignée par Gianfranco Contini, pour Mondadori.

Au-delà des considérations critiques, la langue de Longhi est extraordinairement raffinée.

Samuel dit: à

Pourquoi selon Karl Marx, Gengis Khan et Attila furent « les deux balais de Dieu » ?

Samuel dit: à

Pourquoi Marco Polo fit dicter en français à messire Rusta de Pise le récit de ses voyages ?

Samuel dit: à

Pourquoi ce fut en allant à la recherche du Zipangu (le Japon), cité par Marco Polo, que Christophe Colomb découvrit le Nouveau Monde ?

Samuel dit: à

Pourquoi quand on contemple la neige sur l’eau, en hiver, on a l’impression de voir le silence sur le silence ?

Chaloux dit: à

Merci Renato.

Faure et Attal semblent s’adorer et être prêts à gouverner ensemble, avec quelques LR, sans doute. Ce « nouveau front populaire » ressemble davantage à une énorme arnaque qu’à une pompe à vélo. On n’a pas fini de rigoler dans les semaines à venir.
Sauver la république ou sauver sa peau?
Pauvre pays, pauvre misère.

Jazzi dit: à

Vous croyez que les Français vont être assez cons pour envoyer Bardella à Matignon ?
Je ne peux pas le croire !

D. dit: à

Ils ont surtout été très cons d’envoyer par deux fois le banquier Macron par deux fois à la Présidence de la République.

D. dit: à

Par deux fois.

Jean Langoncet dit: à

@Vous croyez que les Français vont être assez cons pour envoyer Bardella à Matignon ?
Je ne peux pas le croire !

Quand le type archaïque du con communautariste, sous toutes ses déclinaisons, prétend dominer la République, on n’est pas à l’abris de couillons portant à l’Elysée un partisan de la « communauté française » …

Chaloux dit: à

A mon humble avis (qui est aussi celui de Reynié) le RN n’a aucune intention de gouverner. Matignon ne les intéresse pas, sauf avec une majorité écrasante qui leur permettrait de provoquer une crise de régime de nature à pousser au plus vite Macron vers la porte, but d’ailleurs avoué. Faute de cela, ce qu’ils veulent, et ils y réussissent très bien, c’est habituer les esprits.

J J-J dit: à

@ Électeur du Parti Communiste Français depuis 60 ans, je mettrai toujours, encore, mon vote au service de ce nouveau front populaire (lmd).

Si vous dites vrai, ce que je pense, je vous tire bien mon chapeau (Charles Fiterman, bon ministre, je me souviens par exemple) ; je n’hésiterais pas à marcher au bureau avec vous, pour urner le nouveau front populaire… Et à voter pour la candidate centriste de ma circo au 2e tour s’il le fallait. Ils n’emporteront jamais la majorité absolue à l’assemblée, grâce à nous, c’est une certitude. Donc, Bardella attendra 2027 avec plaisir quoiqu’il se matamorise comme 1er ministre, au sprint final, laissant au président le soin d’aller pisser dans les chrysanthèmes. Tout cela est tellement sinistre et farcesque, mais hélas et surtout, il faut bien supporter dans notre camp « perdant/perdu » à cause de Mélanchon. Faure a rendu hommage au courage du petit Attal. Seul moment sympathique de cette sinistre soirée, ils sont expliqué avoir souffert d’homophobie et de transphobie antisémite.
__________
(NB / Schubert le trio n° 2 op. 100 en ce moment sur Mezzo. Toujours la même splendeur – Dora Diamant, Dyman ou Dormant, la belle au bois – et ma première expo bientôt, je présenterai 12 toiles qui seront noyées parmi celles de la vingtaine des élèves de Sylvie. Je ne voulais pas, mais elle y a tenu. Elle croit que j’ai un petit talent, on verra bien, victoire de Marbella ou pas. Resteront accrochées aux murs de la médiathèque tout l’été, à partir du 6 juillet. Tâcherons d’y prendre des photos argentiques qui redeviennent à la mode, comme les vinyles 78 tours d’avant les krypto-communistes .
Bàv et BN aux vieilles keufes, c’est l’heure d’y aller (27.6.24_23.43).

et alii dit: à

Cipango (en mandarin standard 日本国 / rìběnguó) est le nom chinois du Japon, introduit en Europe pour la première fois par le Le Livre de Marco Polo, qui décrit ce pays comme une île riche en or, perles et pierres précieuses :
Comment parler des lieux où l’on n’a pas été ? BAYARD pierre
Pierre Bayard
EAN : 9782707322142
158 pages
EDITIONS DE MINUIT (12/01/2012)

et alii dit: à

Ils allaient conquérir le fabuleux métal
Que Cipango mûrit dans ses mines lointaines,
Et les vents alizés inclinaient leurs antennes
Aux bords mystérieux du monde Occidental
José-Maria de HEREDIA Les conquérants

JC..... dit: à

ELECTIONS PIEGES ABSCONS

On a eu un dissolvant pendant des années de narcissisme infantile arrogant, on réclame maintenant un détergent sérieux, avant qu’il ne soit trop tard.

rose dit: à

Bravo pour l’Expo. de vos toiles. Douze c beaucoup. Vous souhaite le succès.

Jazzi dit: à

« Débat Biden-Trump : un premier duel prévisible… et plutôt inquiétant pour les démocrates
Pour leur premier débat dans la course à la Maison-Blanche, les deux candidats se sont invectivés et ont laissé libre cours à leur détestation mutuelle. Donald Trump a enchaîné les fake news face à un Joe Biden qui a parfois semblé embrouillé et affaibli. »

A l’ouest, rien de nouveau !

Janssen J-J dit: à

test mémoire du matin… – suite d’etalii,

… Chaque jour, espérant des lendemains épiques
L’azur phosphorescent de la mer des Tropiques
Enchantait leur sommeil d’un mirage doré

Où, penchés à l’avant des blanches caravelles
Ils regardaient monter en un ciel ignoré
Du fond de l’océan, des étoiles nouvelles

@ 12, c’est une proposition, et Sylvie en choisira 4 ou 5 maxi pour chacun, ce qui devrait faire une centaine. Merci pour vos encouragements, je sais qu’ils sont sincères. Bien à vous, r^z.

Jazzi dit: à

Avis à la population, aujourd’hui, je vais voir Monte-Cristo !

J J-J dit: à

A l’ouest, rien de nouveau !… REMARQuE-t-il.
Wouarf… & c vite dit, jzmn. Le come back de Trump, (àken)-a-t-on déjà vu les anciens blocs (poutinés, trumpisés, pétainisés) autant piétiner de la sorte avant les grandes plongées en nostalgies autoritaires ?
(JE, 28.6.24_8.55)

J J-J dit: à

Jamais marre d’aller vous enfermer tous les jours, deux heures durant mon jzmn ? Vous m’effroyez, mais c votre choix et vos listes s’allongent ! Bon gourache.

Jazzi dit: à

Jamais marre de vous enfermer tous les jours dans votre atelier pour produire vos toiles, JJJ ?

Edmond Poivre dit: à

Blondin, d’Ormesson, pas sur que la nouvelle generation qui va candidater au jury Goncourt se souvienne de ces deux-là. Heureusement il reste les souvenirs

D. dit: à

Chaque jour, rêvant de futurs glorieux
Le bleu scintillant de la mer tropicale
Berçait leurs rêves d’un éclat d’or
Où, à la proue des blanches caravelles
Ils contemplaient l’ascension vers un ciel inconnu
Du fond de l’océan, de nouvelles étoiles surgissaient

Matins embrumés de promesses lointaines
Les horizons s’ouvraient, vastes et lumineux
Sous les voiles tendues par les vents aventureux
Ils scrutaient les abysses, espérant des merveilles

Chaque instant un mirage, un souffle d’infini
Dans la douce chaleur des nuits tropicales
Leur cœur battait au rythme des vagues calmes
Rêvant d’îles aux trésors enfouis

La mer, complice de leurs espoirs les plus fous
Révélait parfois des lueurs secrètes
Des éclats d’argent sous les étoiles naissantes
Des promesses murmurées dans la brise du soir

À l’aube, quand le soleil embrasait l’horizon
Les voiles blanches prenaient des teintes d’or
Les marins, pleins d’espoir et de rêves audacieux
Voyaient dans chaque onde un chemin de lumière

Le jour, le bleu azur de la mer tropicale
S’étendait, vaste et prometteur
Chaque vague une promesse, chaque éclat un rêve
Un chemin vers des cieux encore ignorés

Loin des rivages familiers, ils voguaient vers l’inconnu
Les étoiles nouvelles, phares dans la nuit
Guidaient leurs âmes aventureuses
Vers des lendemains épiques, lumineux et dorés

Dans le silence des nuits étoilées
Les murmures de l’océan chantaient des légendes
De mondes perdus, de royaumes d’or
Ils écoutaient, fascinés, les promesses des vagues

Leur sommeil était peuplé de visions dorées
Des éclats d’azur phosphorescent
Illuminaient leurs rêves, enflammaient leurs désirs
Chaque jour, espérant des lendemains épiques

Sous les cieux tropicaux, les étoiles dansaient
Des constellations nouvelles, des chemins de lumière
Ils voguaient, les yeux pleins de mirages
Vers un horizon sans fin, toujours plus loin

Les nuits étaient douces, bercées par la mer
Chaque étoile une promesse, chaque vague une caresse
Leurs cœurs battaient à l’unisson des flots
Rêvant de découvertes, de terres inconnues

À la proue des caravelles blanches
Ils guettaient l’apparition des étoiles nouvelles
Des lueurs argentées montant des profondeurs
Illuminant leur route vers des mondes lointains

Chaque jour, dans la douce chaleur tropicale
Ils naviguaient vers des horizons d’or
Leurs rêves emplis de l’éclat des étoiles
De l’azur phosphorescent de la mer enchantée

Les marins, esprits aventureux, audacieux
Cherchaient au-delà des mers connues
Des terres de légende, des trésors cachés
Guidés par les étoiles, éclairés par l’azur

Les nuits tropicales, pleines de mystères
Révélaient des constellations nouvelles
Leurs cœurs battaient à l’unisson des vagues
Chaque rêve une promesse, chaque étoile un espoir

Ils voguaient, sans peur, vers des lendemains épiques
Chaque jour, espérant des merveilles
Leurs âmes portées par le chant de l’océan
Vers des cieux inconnus, illuminés de rêves dorés

D. dit: à

Ils partaient, vaillants marins, en quête d’or légendaire,
Pour Cipango fabuleux, au cœur des contrées mystères.
Leurs navires, intrépides, fendaient les flots azurés,
Guidés par les alizés vers des rives ignorées.
Avec des rêves éclatants, de richesses et de gloire,
Ils voguaient, pleins d’espoir, vers une nouvelle histoire.
Les voiles, comme des ailes, caressées par les vents,
Les poussaient doucement vers les horizons étincelants.
Le soleil, complice ardent, illuminait leur chemin,
Les encourageant toujours à poursuivre leur destin.
Les étoiles, chaque nuit, en tant que guides fidèles,
Les menaient sans faillir vers leurs quêtes éternelles.
À travers les tempêtes, les craintes et les doutes,
Ils gardaient leur cap, bravant la mer, coûte que coûte.
Les récifs menaçants et les monstres des abysses
Ne pouvaient effrayer ces cœurs d’acier, forts et complices.
Ils rêvaient de terres riches, de trésors enfouis,
De cités dorées, de légendes jamais assouvies.
La promesse d’un monde neuf, de splendeurs inconnues,
Les appelait sans cesse, à travers l’onde têtue.
Leurs chants résonnaient dans la nuit profonde,
Échos des marins fiers, maîtres de l’onde.
Ainsi, portés par l’espoir et l’ambition brûlante,
Ils traçaient leur destinée, une épopée vibrante.
Cipango les attendait, dans son écrin doré,
Là où les rêves et les mythes allaient se confondre, enchâssés.
Aux bords mystérieux, là où finit la mer,
Ils allaient conquérir leur fortune, leur ère.
Avec chaque lever de jour, chaque souffle de brise,
Ils se rapprochaient du but, du fabuleux emprise.
Loin des côtes familières, vers l’inconnu et l’espoir,
Ils voguaient, hardis et fiers, en quête de leur gloire.
Et les alizés, amis des marins et des âmes aventureuses,
Inclinaient leurs antennes vers les terres précieuses.
Ils allaient, conquérants, avec courage et passion,
Vers le fabuleux métal, source de leur ambition.
Ainsi se prolongeait leur voyage, leur légende,
Chaque vague, chaque souffle, comme une offrande.
Vers Cipango, aux mines légendaires et prometteuses,
Ils traçaient leur sillage, âmes courageuses.
Leurs cœurs battants au rythme des océans,
Ils poursuivaient leur rêve, jusqu’au dernier instant.

et alii dit: à

Damien Seguin a été le premier skipper handicapé à participer au Vendée Globe. Avec 2 médailles olympiques et 5 titres de champions du monde de voile, il fait figure de modèle et soutient activement la cause du Téléthon.

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