Rencontre de l’actuel et de l’inactuel sur une table de dissection
C’est tout un art d’écrire une chronique mais, rassurez-vous, cela ne fait pas pour autant de tout chroniqueur un artiste. Rares sont les virtuoses y compris parmi les écrivains. Beaucoup s’y sont essayé, parfois avec succès au XXème siècle avec des fortunes diverse –et même avant : Proust qui assura brièvement une « chronique de salon » sous le pseudonyme shakespearien d’Horatio dans les pages mondaines du Figaro ; Colette, assidue aux procès, qui tint une « chronique d’allure judiciaire » dans les journaux ; Cingria dans la Nrf des années 30 ; Vialatte, qui retombait sur ses pieds à l’issue de chacune de ses chroniques dans La Montagne, qu’elles traitassent de l’âge du premier homme ou des mœurs de la chèvre, par « Et c’est ainsi qu’Allah est grand » ; Duras qui se fit chroniqueuse de l’actualité parallèle à l’actualité politique, celle des traces laissées par le passage du temps, chaque mercredi de l’été 1980 dans Libération ; Bernard Frank dans le Nouvel Observateur, un cas car quel qu’ait été le sujet de sa chronique, on était à peu près sûr d’y croiser les Juifs, le maréchal Pétain, le signalement d’une bonne bouteille et l’adresse d’un restaurant ; et tant d’autres, Morand, Aymé, Calet, Perret, Nimier, Audiberti, Blondin… Bref, on mesure à cet inventaire à quel point l’art de la chronique est patiné. Ce qui a manqué à nombre d’entre eux ? La régularité. Une idée, un thème, un sujet, une inspiration, un déclic, cela ne se trouve pas sous le sabot d’un cheval. Comme disait Jacques Perret, orfèvre en la matière :
« Être ou ne pas être est une question intéressante aussi, et même pressante quand il s’agit d’en avoir ou pas ».
Car l’air de rien, ça engage et donc ça oblige d’avoir rencart avec ses lecteurs chaque semaine au même endroit sous le réverbère. La fidélité doit être réciproque. C’est comme une conversation dans laquelle ils s’inviteraient avec le rare sentiment d’être personnellement accueillis. La chronique est le plus intime des genres journalistiques, et le plus libre quoique strictement encadré par des colonnes qui froncent les sourcils au moindre signe surnuméraire. Forme brève, elle tient de la critique d’humeur et manie volontiers l’ironie. Le chroniqueur nous raconte des histoires en s’autorisant toutes les digressions au motif que le hors sujet n’existe pas pour lui. Heureux homme que cet écrivain s’il passe à la postérité littéraire aussi par ces vignettes sur la vie comme elle va. Tout dépend de sa manière de faire l’actualité à sa main, ce que Lautréamont a ramassé en une formule lorsqu’il a défini la chronique comme « la rencontre de l’actuel et de l’inactuel sur une table de dissection ».
Eric Holder, écrivain parmi les plus attachants disparu en 2019 à l’âge de 58 ans, connait ce bonheur à titre hélas posthume avec la publication ces jours-ci de L’Anachroniqueur (282 pages, 22 euros, Le Dilettante). A la relecture, le recueil de ses haïkus briards puis médocains parus dans Le Matricule des anges de 1996 à 2012, demeure un modèle du genre. Il tenait la chronique pour une carte blanche à la dimension d’une carte de visite. Les siennes avaient ceci de japonaises qu’elles ne manquaient pas d’évoquer la saison avant de célébrer l’évanescence des choses et les sensations par elles suscitées. Magie du titre, foin de la formule qui frappe, air de ne pas y toucher, tendresse pour ses personnages, sens de l’épure, goût de la fantaisie, discrétion en toutes choses. Quelle douceur et quelle fluidité dans cette prose qui s’écoule comme l’eau dans un ruisseau de montagne ! On dirait qu’il écrit à hauteur d’homme dans un français à l’usage des musiciens. Ni futile ni éphémère, la chronique rêvée, selon lui, avait quelque chose d’un caillou posé dans la page :
« Un petit galet, plutôt, et longuement poli, comme celui qu’on pose au milieu du quotidien régional étalé sur la table, dehors ».
Pour observer les petits riens de la vie, une certaine qualité de temps est nécessaire conjuguée au goût des autres avec ce qu’il faut de légèreté poétique. La fragilité d’Eric Holder demeurait inentamée, de même que le souci de son prochain. Quand l’époque se gobergeait dans les facilités assassines de la dérision, il n’avait d’autre arme qu’un sens aigu, permanent, naturel de la délicatesse. Tout dans son attitude, son savoir-vivre, sa diction, sa voix était de cette tessiture-là. C’est dire à quel point, outre l’écrivain, un chroniqueur de cette pâte humaine nous manque.
(Photos Passou et D.R.)
1 417 Réponses pour Rencontre de l’actuel et de l’inactuel sur une table de dissection
Est ce que les billets brefs et quotidiens, qu’on trouvait autrefois dans le Monde sous la signature d’Escarpit et aussi sous celle de Claude Sarraute ,entrent dans la catégorie d’écrits dont parle le billet ?je ne sais s’ils ont été regroupes en recueils
ni les uns ni les autres n’ont été remplacés dans notre journal dit « de référence » ;c’est dommage!
Et le Bloc-notes de Mauriac dans L’Express autrefois, c’était des chroniques ou pas ?
Une chronique ne se définit-elle pas par l’originalité de sa destination ?
https://www.lexpress.fr/culture/colette-alexandre-vialatte-eric-holder-de-l-art-d-ecrire-une-chronique_2174446.html
No comments.
après Drillon…, Holder (Line)… Une chose est sûre, ce dernier n’eut jamais rien de germanopratin en son ADN, tant il avait peur d’aller aux mondanités et les fuyait… Je l’ai souvent croisé en Seine et Marne près de chez Philippe, le poète, pour lequel il avait beaucoup d’affection. Ce dernier me fit lire son roman Hongroise, et je lui en voulus, car ce roman m’apparut des plusncalamiteux. Du coup, je n’ai jamais lu ses chroniques, et j’ignore si elles me manquent. Franchement, est-ce une chute bien sincère de la part du chroniqueur littéraire ? Les chroniques de chaque erdélien, car nous en avons là une belle palette icite, sont suffisamment diversifiées pour nous conjurer de l’ennui…
(nb/ pmp, j’aurais ajouté à la liste, les Manuel Carrère qui surent également tirer profit de qq chroniques judiciaires).
*** Sortons Lautréamont de son purgeatoire, la formule est célèbre, pas sûr qu’elle soit bien évocatrice ou illustrative pour définir le genre. Il valait néanmoins le coup d’essayer. Bravo et merci pour avoir enfin tourné la page du lundi !
Bàv,
@ dans notre journal dit « de référence »…
de cette presse bourgeoise, comme disait notre camarade lézardin…, Ah bon ? et c’est pas le Figaro auquel on fait allusion, doncq !?..
La France doit immédiatement et massivement intensifier son plan Forêt et Bois.
Écoles forestières, agences forestières, infrastructures de transport et de transformation, filière du chauffage bois modernisé et automatisé, recherche et développement en optimusation de combustion et filtrage particulaire sec et /ou humide.
C’est tout de suite. 5 milliards/an pendant 10 ans à minima.
Merci d’inclure Emmanuel Carrère a cette liste de chroniqueurs ecrivains.
Qui a sans toute le seul tort d’être vivant, pour n’y point figurer. S. Tesson, pareil.
A signaler , en cette veille de verdict au terme de 10 mois de procès, « V13 », son prochain livre, chez P.O.L, recueil de toutes ses chroniques sur le procès des attentats de novembre 2015.
Les médecins obèses
En une vie, j’ai dû rencontrer une cinquantaine de médecins. Dont deux ou trois médecins…obèses.
Je me disais : « Ils sont bien placés pour savoir que… ». J ai même consulté un médecin qui fumait entre deux patients. Cela devient rare.
Mais je ne dois jamais oublier que…les médecins meurent aussi.
Chronicles / Chroniques et un Nobel de littérature
https://www.fayard.fr/documents-temoignages/chroniques-9782213623405
Les chroniques de Pimax
https://www.street-art-parc.com/artistes/pimax/
Je préfère pas.
Et un piéton photographe bientôt écrabouillax
https://larepubliquedeslivres.com/wp-content/uploads/2022/06/IMG_4325.jpeg
Bataclan, les voleurs de porte sous les verrous.
« Ils avaient volé ou participé au recel d’une œuvre de Banksy en hommage aux victimes des attentats du 13-Novembre, peinte sur une porte du Bataclan. Huit hommes ont été condamnés, jeudi 23 juin, à Paris, à des peines allant jusqu’à deux ans d’emprisonnement ferme. »
Le monde
https://www.parisdepeches.fr/_img/uploaded/p/1/4/p14238.big.png
Passou lit Pif le chien, en même temps, il se passe plein trucs dans le monde.
Meme pamal.
Chronique… c’ est d’abord historique, si ma mémoire est bonne, et il y faut plaire. Est-ce hasard si le père de tous, Froissart, a commencé par se vendre aux anglais? A ce propos , on voit partout que notre ministre de la culture est allée à Hellfeust, mais pas à Clisson. C’est pourtant le même lieu et c’est le nom vient d’un Connetable. Cherchez l’erreur!
Pas si bête
« À ses débuts, Pif servait surtout de prétexte à la dénonciation des injustices de son époque : la faim ou le manque de logements. »
Chronique du présent. De la guerre en Europe : man run over in car by russian tank
https://www.telegraph.co.uk/content/dam/world-news/2022/02/25/TELEMMGLPICT000287327546_trans_NvBQzQNjv4BqdX_p8zrfPOdyL47zPLcV0RJV6xWXZnfgbn7PLjMrFrY.jpeg
un peu de flamenco à mont de marsan…, une jolie ville de festivals injustement sous estimés à la rdl ! c’était le sujet illustré de makronik du soir,
https://www.sudouest.fr/archives/portfolios/en-images-31-ans-de-festival-arte-flamenco-a-mont-de-marsan-3955334.php
Tu okup’trot d’espace, casse toi !
Bàv
Un Nobel peut en cacher un autre:
@ PA et al…, ci-joint une autre chronique (plus étayée ou moins elliptique) sur les Anachroniques d’Eric Holder, Bàv
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2022/06/15/holder-masculin-singulier/
Mont-de-Marsan, une jolie ville ?!
Bien moche au contraire. J’y ai été baisé plusieurs fois en entrainement, je sais de quoi je parle.
D, parce que quand vous pensez forêts, vous voyez l’arbre abattu, débité en planches avec les montagnes de copeaux qui obstruent l’horizon, le poêle à pellets? C’est étrange moi je vous des biches des cerfs des mousses des champignons de vastes allées jusqu’aux petits sentiers, des fougères des ancolies , j’entends les oiseaux.
Oh ça suffit comme ça Bérénice votre sentimentalisme à la noix, écoutez-mou plutôt, j’en sais beaucoup pkys que bous dans tout les domaines ma vieille.
J’en suis convaincue cependant cela n’explique ni ne justifie votre attitude vis à vis des arbres. Les forêts françaises ne poussent pas aussi intensément que les ponctions qu’elles subissent. Mauvaise gestion de la ressource quand c’en serait une. C’est un poumon, une usine à transformer l’air et maintenir les especes en vie, à retenir les nuages.
Je me suis renseignée sur le site truc bidule.org et je peux vous affirmer que Barbey d’Aurevilly n’estimait que pas les chroniqueurs, qu’ils les comparait aux sauterelles qui tombent en pluie en Égypte.
Que savez vous, D, de la chronique journalistique puisque vous lisez les journaux entre 9 et 10 heures quand vous n’arrosez pas vos géraniums du Tibet?
Oui ben c’est comme ça et pas autrement.
Sinon, Bérénice, je sais que vous tenez énormément à moi, mais il va falloir vous en passer parce que ce soir j’ai décidé de quitter définitivement ce blog. Ainsi vous lisez à cet instant-même mon ultime commentaire.
@Un Nobel peut en cacher un autre
Du pareil au même d’une actualité criante ; via la liseuse-hachette
It Takes a Lot to Laugh, It Takes a Train to Cry: L’intégrale des chansons de Bob Dylan, prix Nobel de littérature 2016, en édition bilingue, de Bob Dylan, son premier album enregistré en 1961, à Tempest (2012)
https://www.liseuse-hachette.fr/file/43448?fullscreen=1&editeur=Fayard#epubcfi(/6/2%5Bch1%5D!/4%5BlpA%5D/1:0)
Cet homme -est-ce bien sûr ?- expose ses œuvres d’art au château de Lacoste dans le Luberon.
https://www.francebleu.fr/infos/culture-loisirs/bob-dylan-expose-ses-oeuvres-au-chateau-la-coste-au-puy-sainte-reparadde-1652104331
mardi 28 juin.
4h20
Nuit fraîche.
Calme plat.
MARDI 28 JUIN 2022, 5h19, 25°, temps calme
C’est tout un art d’écrire -ta mère- une chronique…
« …ce soir j’ai décidé de quitter définitivement ce blog. Ainsi vous lisez à cet instant-même mon ultime commentaire. » (D)
Bon vent ! Belle mer, camarade !
Que les dieux te protègent, Dédé ! Depuis tant d’années en RdL, cher frère, tu nous a tellement appris ! Merci, de tout notre coeur…
Post Scriptum
La rumeur laisse entendre que ton amour de la bouffe t’a fait grossir et que tu ressembles de plus en plus à Edouard Leclerc.
Vraiment ?
Obstacle
https://pbs.twimg.com/card_img/1541015263730098177/h6_kAzc8?format=jpg&name=medium
D. dit: « ce soir j’ai décidé de quitter définitivement ce blog ».
Une déclaration… chronique.
Chronique du présent
Par RAFAEL YAGHOBZADEH
https://img.lemde.fr/2022/06/28/0/0/0/0/1000/0/75/0/baf5fe5_256777856-raf-036.JPG
Rencontre de l’actuel et de l’inactuel sur une table de dissection
ce fumier de keupu le bide ouvert sur sa pizza spanghéro
Que le nouveau ministre de l’Education nationale fasse partie des rats qui ont quitté le navire dont on vient de lui confier la charge, cela me paraît contradictoire, paradoxal et me semble être un mauvais signe, Alexia…
A part ça, no comment !
sinon un rat droping baroz..certes c’était pour faire vite et bien..pourtant baroz -personne- n’en aurait rien dit d’un ministre de droite avec ses môme dans un établissement..même non conventioné..on y aurait même trouvé lexcellence qu’il voulait sincérement pour tout le monde..si c’était possible..il fera de son mieux..halors baroz..essaie de dire -pourquoi- clairement..sans donner dans le rapidos article crapouillot d’antan
Je crois bien que vous n’avez jamais eu l’occasion d’observerde près la nature des négociations de marchands de tapis arbitrées à Bercy entre les techno des Affaires Etrangères et galonnés de la Défense, Robert ! Venir me faire la leçon au vu du projet de suppression de nos diplomates en faction alors qu’on augmente sans cesse le budget d’une armée mexicaine de parasites en galons prétendument « aux commandes de la Paix », j’avoue avoir du mal à avaler ce genre de couleuvres
—
3J, vous semblez méconnaitre l’inflexion historique infligée par Fabius dès 2012, avec sa doctrine de la diplomatie économique. Vous avez peut-être de vagues souvenirs d’un ministère du Commerce extérieur, d’un ministère du Tourisme?
Le MEAE a tout absorbé, sous la forme d’agences élégamment nommées Business France & Atout France.
Les diplos n’ont plus qu’une mission, vendre français. Pendant 4 ans, nous avons subi une diplomatie entièrement conditionnée à la vente des Rafales en Inde.
Lorsque l’on a connu un véritables ministère des Relations extérieures comme il s’appelait lorsque j’ai débuté, la mue fabiusienne (aucune dimension internationale chez lui) est rude à encaisser. Le tout-économique est totalitaire ou n’est pas.
Il n’est pas exagéré de dire que la France n’a plus de politique étrangère hors ses intérâts économiques.
Alors, les larmes de crocodile sur la disparition des diplos…Ils ont déjà disparu et ne sont plus que des VRP.
Ils avaient volé ou participé au recel d’une œuvre de Banksy en hommage aux victimes des attentats du 13-Novembre
..en hommage..
kabloom dans le secret des dieux..nec pluribous impar
Le tout-économique est totalitaire ou n’est pas
tu te trouvais beau sur cet ilot de perte dans un océan de profit kabloom..’la grandeur’ etc. si souvent daubé dans le guardian..au fait sache qu’il y en a qui paie leur presse..il croit pas trop à la fête où on les débite et les embroche pour les brochettes
le guardian est comme les autres..il a besoin d’argent..mais son niveau de ressource pour rester « hindépendant » est simplement moindre qu’une feuille de choux française..et n’oublie pas kabloom..-jamais- que la langue est un bon ou un mauvais outil hindustriel..selon où tu es né etc..cqui permet a lassouline de faire croire qu’il est un artisan d’antant
« Être ou ne pas être est une question intéressante aussi, et même pressante quand il s’agit d’en avoir ou pas »
ce qui pendouille dessous vaut réponse indubitable à la question supérieur alesquia
cqui permet a lassouline de faire croire qu’il est un artisan d’antant
..un bon menteur se croit lui même
VIOL
Concernant le viol, tous les pays n’ont pas notre législation. Je me réjouis de la législation française en ce domaine. Chez nous, le viol est considéré comme un crime et envoie le coupable en cour
d’assises, comme on y envoie l’auteur d’un assassinat ou d’un hold-up. A la bonne heure ! Rappel en passant à toutes les victimes de viol. Il est vivement conseillé d’aller dans le commissariat de police le plus proche, le plus tôt possible, et de porter plainte en indiquant , si on le connaît, le nom du violeur.
J’en viens à Damien Abad. Ce député était le président du groupe LR à l’Assemblée nationale. Il a accepté d’être ministre du gouvernemt actuel. LR en a été indigné, a parlé de trahison, au point de lui mettre un adversaire LR dans les pattes dans la circonscription où il se représentait à la députation.Damien Abad, a été réélu député. Et il est toujours ministre.
Dans l’intervalle Mediapart a lancé une offensive contre lui, en changeant de terrain. On parlé d’accusation pour viol à son sujet. Tous les opposants du gouvernement ont jubilé et ont lancé l’attaque contre Damien Abad, appuyés par diverses associations.La dame que Mediapart avait fait parler n’avait pas porté plainte. Elle vient de porter plainte.
Dix fois on a entendu à la radio ou à la télé, que Damien Abad était accusé de viol. Puis on a entendu « tentative de viol ». Ce matin , j’entends qu’au cours d’une soirée avec plusieurs invités, cette dame aurait été invitée à pratiquer une fellation. Ni vous ni moi n’étions là pour savoir si cette invitation a été faite. La fellation n’a pas été pratiquée, si je comprends bien. Voilà le « crime » reproché à l’homme qu’il s’agit d’abattre.
Je signale que Damien Abad (il suffit de le regarder et une auxiliaire de santé l’a précisé) ne peut ni boutonner ni déboutonner sa chemise tout seul, elle n’a pas parlé de la ceinture de son pantalon, ni de sa braguette, mais il est très vraisemblable que c’est tout aussi difficile pour lui. C’est l’homme politique français (ministre, député , sénateur, maire…) qui est dans l’impossibilité totale de violer une femme que l’on a choisi de cibler pour devenir le symbole de la très légitime lutte des femmes contre les violeurs , qui, je le répète, doivent être jugés et condamnés. C’est surréaliste ! C’est délirant !C’est grostesque ! Et c’est épouvantablement injuste.
La Femme au XVIIIe siècle : histoire ou fantasme ?
« être ou avoir été est certes une question interessante et même pressante..mais avez t’elle autant qu’on le dit un beau cul »
Les chroniques de Duras pffff…
Chez nous, le viol est considéré comme un crime et envoie le coupable en cour
d’assises
ça c’est la théorie..mais il y a la pratique..on reconnait surtout un menteur a ce quil se réjouit de ses mensonges..ta trogne reluis de son pus keupu
Les chroniques de Duras pffff…
ha si..c’était pas des martiennes..notre banksi à nous
Une chronique régulière et de qualité, (notre hôte sans flagornerie) c’est – selon moi – le point de rencontre entre un fait divers et une immense culture générale.
Le street art ou art des rues en français, c’est quoi?
Le street art ou art des rues en français, c’est quoi?
Des types qui font la bombe en dehors de chez eux pour ne pas déranger les voisins!
quand on prend plaisir à lire une chronique on veut en être flatté grün..certes dire que les gens qui veulent accepter que la satifaction d’une bonne part de leur plaisir est souvent de qualité médiocre en ferait des gens exeptionnels..serait exagéré dirait balzac
font la bombe en dehors de chez eux pour ne pas déranger les voisins!
Vous plaisantez BlBog!?
Ils dérangent bien plus les voisins en bombant dehors, non?
Et le mur du voisin, tout sale à la fin. 🙂
Des types qui font la bombe en dehors de chez eux pour ne pas déranger les voisins!
pour pas qu’on puisse les loger trop facilement..dailleurs si y’en a moinsse ou des plus officiels..c’est à cause du fait qu’on les loge de plus en plus facilment..hors banksi qu’est du vlour de l’estomac et du tuilé
Il manque du monde dans votre prestigieuse notule, dear Passou. « Cavalier Seul » par André Frossard, un modèle du genre, certes au Figaro.
Frank s’est bonifié avec le temps, moins de Juifs plus de Bordeaux.
L’oeil écoute de Frossard au Point.
chronique, c’est quand même en français et pour traduire plus biblique:
Le titre du livre original hébreu est Divrei ha-Yamim, ce qui signifie « les paroles (ou les actes) des jours »1, dans le sens d’« annales »2. Dans un commentaire en latin, Saint Jérôme n 1 titre l’ouvrage Cronicon totius divinae historiae (« chronique de toute l’histoire divine »), appellation dont on tirera le nom usuel de « Chroniques »1.
Cependant les traducteurs grecs de la LXX donnent un nom qui laissent penser que le texte serait une reprise des livres de Samuel et des Rois auxquels les auteurs auraient opéré des ajouts provenant de sources inconnues : ils parlent ainsi de « ce qui a été omis » ou Paralipomènes (du grec paraleipomena)1. Par après, les Chroniques ont longtemps été considérés comme une adaptation tardive du Livre de Samuel et du Livre des Rois mais la recherche du début du xxie siècle estime qu’il s’agit plutôt d’une interprétation originale de la période de la royauté en Israël3, et plus particulièrement la royauté à Juda après la scission en deux royaumes4, par des rédacteurs lévites 2.
Dans la Bible hébraïque, les Chroniques sont généralement placées à la fin des Ketouvim (les Écrits) mais on les trouve également parfois au début des Écrits dans certains manuscrits espagnols3, ou encore dans le Codex d’Alep et le Codex de Léningrad5. Au contraire, dans la LXX, les Chroniques – sous le nom de Paralipomènes – sont placées au sein des livres historiques, avant les livres d’Esdras et de Néhémie, proposant ainsi l’ordre suivant : Rois, Chroniques, 1 Esdras et 2 Esdras (soit Esdras-Néhémie)3. Cette distribution est reprise par les diverses versions canoniques chrétiennes dont la Vulgate – où le texte est encore titré paralipomenon – ou encore le canon éthiopien3.
« les paroles (ou les actes) des jours »
On peut dire, en somme, que je tiens chronique ici ?
C’est biblique, et alii !
« moins de Juifs plus de Bordeaux. »
Mais toujours pas mal de whisky, Phil !
je m’étais promis de ne plus « répondre »,mais
On peut dire, en somme, que je tiens chronique ici ?
je dirais bien plutôt que vous graissisez (faites le grec ) c’es peut-être une maladie chronique pour les hommes de l’art (les médecins ):Une maladie chronique est une maladie de longue durée, évolutive, avec un retentissement sur la vie quotidienne. Elle peut générer des incapacités, voire des complications graves.
« Le street art ou art des rues en français, c’est quoi ? »
Bientôt une place parisienne pour Miss. Tic, Bolibongo ?
https://www.leparisien.fr/paris-75/paris-une-place-pourrait-rendre-hommage-a-miss-tic-24-06-2022-SOPPRLE7GNFKDOACDTVEQ6WZ2M.php
Le léZard, non pas critique, mais chroniqueur cinématographique !
Il va vous parler prochainement de Patricia Highsmith…
c’est
Promenons-nous dans les bois – YouTube
https://www.google.com/search?q=promenons+nous+dans+les+bois+chanson&rlz=1C1CHBD_frFR1009DE1009&oq=promenons+nous+dans+les+bois+chanson&aqs=chrome..69i57j46i512j0i512j0i22i30l7.24048j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
« ..un bon menteur se croit lui même »
Ainsi, il ne se perçoit pas comme un menteur mais comme un incompris, le boug !
c’est cque disent tous les onanistes comme toi baroz..l’amour se fait à plusieurs
halors comme ça baroz ton hambition c’est de réchaufer le crapouilliot tout seul dans ton coin
« l’amour se fait à plusieurs »
« Transport en commun », c’est la définition du mot « partouze », dans une de mes grilles de mots croisés, le boug…
L’amour, n’est-ce pas la rencontre de deux ego bien compris ?
L’oeil écoute
le sancerre est blanc et la malbeck est rouge..il y a en effet beaucoup de correspondance et de synesthésie dans la chronique velour de l’estomac
le sancerre est blanc
le rouge est trés bon aussi
L’amour, n’est-ce pas la rencontre de deux ego bien compris ?
..2 rats dans l’même navire?
encore Rembrandt!
La guilde des chirurgiens d’Amsterdam est fondée en 1552, et la dissection des cadavres mâles est autorisée en 1555. Elle ne peut être faite que par un praelector nommé par la ville. Sa fonction est d’enseigner les apprentis-chirurgiens par un nombre annuel limité de dissections, dont une au moins est faite en public en théâtre d’anatomie2,3.
La Leçon d’anatomie du docteur Tulp (ou La Leçon d’anatomie du docteur Nicolaes Tulp ou La Leçon d’anatomie du professeur Tulp) est une peinture à l’huile sur toile de 169,5 × 216,5 cm réalisée par Rembrandt en 1632.
d’un homme (Amsterdam n’autorise la dissection du corps féminin qu’à partir de 1684)3, et d’un étranger (non-citoyen de la ville)4.
à vos scalpels!
Un bistouri, aussi appelé scalpel, est un instrument utilisé en chirurgie pour faire des incisions. Il est utilisé pour les dissections (incisions). Le scalpel est souvent constitué d’un manche de fer et d’une lame non amovible en acier. On trouve également le terme de lancette.
« personne- n’en aurait rien dit d’un ministre de droite avec ses môme dans un établissement..même non conventioné.. »
C’est d’autant plus impardonnable de la part de Pap Ndiaye, parce que de gauche, le boug !
La gauche, n’est-ce pas faire de la politique avec la morale en sus ?
Dans l’interview du Monde (samedi 25 juin) Par Ndiaye se déclare conscient que « L’école a du mal avec les pauvres » parce qu’elle ne corrige pas assez les inégalité. Et il assure, la main sur le coeur : « Il n’y a pas plus républicain que moi ».
Le tartuffe !
bistouri:
ce n’est pas une story!
une bistorie ou panart), sens répertorié par Ac. Compl. 1842; 2. 1564 fém. méd. bistorie (Paré, Dix livres de Chirurgie d’apr. Malgaigne dans Œuvres Complètes de Paré, t. 1, p. 389); 1680 masc. bistouri (Rich.). Empr. par l’intermédiaire d’une forme du nord de l’Italieoù le suff. -ino se réduit à -i, à l’ital. bistorino, bisturino, altération de pistorino (xviiies., G. Flaiani dans DEI) littéralement « de Pistoie [lat. Pistorium] », « dague, poignard fabriqué à l’origine à Pistoie » sous l’infl. d’un mot en b- initial qui demeure obscur. À l’appui de cette hyp. d’une part l’hésitation de A. Paré pour exprimer la notion de « lancette » entre pistolet (V, 10 dans Gdf. Compl.) empr. à l’ital. pistolese « dague » (1585 dans DEI) et bistorie (supra), d’autre part le sens de « bistouri » de pistorino (xixes., Guerrazzi, ibid.).
La maladie chronique nique du chroniqueur est d’écrire tout le temps, et alii, depuis l’enfance jusqu’à la mort.
les aristocrate maya ne laissaient pas couler régulièrement la lettre mais leur sang baroz..quelquefois sur la lettre
Violences sexuelles sous X !
https://www.leparisien.fr/faits-divers/le-proprietaire-du-site-pornographique-jacquie-et-michel-place-en-garde-a-vue-14-06-2022-UB45HENKB5BQRHPOCH2GU6RCKU.php
C’est d’autant plus impardonnable de la part de Pap Ndiaye, parce que de gauche, le boug !
La gauche, n’est-ce pas faire de la politique avec la morale en sus ?
la « droite » n’a pas beaucoup à se fendre de la démonstration de l’interet particulier bien compris..de cette facilité de laisser entendre « mais allons à ma place vous feriez comme moi et mon voeux le plus cher est que vous ou vos petits enfants..puissiez en faire autant ».
mais oser parler de justice baroz..c’est un peu la merde..donnerais tu raison à robespierre qui guillotinne les vils faquins?
Dans son « Journal » Jules Renard écrit à 40 ans : « Sûr de vivre quatre-vingts ans, je me ménage. »
Il meurt à 46 ans.
De 1952 à 1954, Bernhard travaille comme collaborateur indépendant au journal Demokratisches Volksblatt, y écrivant surtout des chroniques judiciaires et culturelles.
c’est P.EDEL qui précisera
Qui parle de justice, le boug ?
Paul Edel n’est pas à votre service, et alii !
Les enquêteurs s’interrogent sur les conditions de recrutement de ces jeunes femmes souvent précaires et de la réalité de leur consentement pour les pratiques sexuelles montrées à l’écran
là l’interet particulier bien compris quon souhaitrait a ta femme et ta fille est mis à mal baroz..c’est la merdouille de chez merdouille..halors qu’est ce qu’on fait quand on est de droite..de la morale baroz..de la morale..au kilo
Qui parle de justice, le boug ?
moi baroz..et la politique a peu prés depuis toujours..enfin depuis un certain temps..c’est pas moi qu’ai hinventé de mot degueulasse baroz..chte le jure
@ les larmes de crocodile sur la disparition des diplos (docustes ?)…
… décidément, robert, vous m’interprétez tjs de travers. Merci nénamoins pour votre int. chronique « fabiusienne »… Une histoire d’amour déçu comme celle d’jzm et hidalgo, si je soupçonne bien…
Je ne me plaignais pas de la disparition des diplomates? J’essayais simplement, à tire de // d’attirer l’attention sur la surreprésentation phénoménale des hauts militaires paradant à la Défense et dans toutes les « fonctions régaliennes », des gens indéfiniment et activement recyclés dans toutes les entreprises publiques et privées d’armenent, de sécurité et de conseils au vu de leurs formidables carnets d’adresses…, et je ne vous raconte pas le reste. Le « secret-défense a toujours eu bon dos dans ce pays… Cette caste là a formellement remplacé les diplomates en tant que conseillers à la sécurité de tous les régimes les plus pourris de la planète avec lesquels « nous sommes en affaires »…
Et cetera, … Comprenez moi mieux, merci. Ramenons l’inactuel du passé à l’actuel de l’avenir. Sachons disséquer sur la table, à défaut d’y déféquer nos reliefs, comme Dryon disait…, « avant d’effacer le tout au sopalin ».
Bàv,
La droite dit : « Je t’encule, car ça me fait plaisir ».
La gauche dit : « Je t’encule, car ça te fait plaisir ».
Tu la sens la différence, le boug ?
Jean galtier boissière était plus marrant baroz..décidément c’est cque je disais recemment a kabloom pour qu’il le répète a mon ami le baron : tout fout lcamp
personne ici n’est au service de personne:moi non plus!
@ jzm dit : « La gauche, n’est-ce pas faire de la politique avec la morale en susse ? »
je comprends mieux les revirements droitiers de cet aimable internaute, car il a toujours malaisément pensé, à la base. Il lui aurait fallu plutôt écrire : « la gauche, n’est-ce pas faire en sorte que la morale porte le politique au plus haut sommet réaliste de ses idéaux de justice égalitaire »… C’aurait eu plus de gueule sur la tab’ à disséquer, non ?
Bàv,
VOLTAIRE/
https://static.lpnt.fr/images/2022/06/27/23361898lpw-23361999-article-jpg_8852629_660x287.jpg
personne ici n’est au service de personne:moi non plus!
« et je me méprise moimême plus que vous ne serez jamais capable de la faire »..baroz a trouvé son maitre a penser
mais, @ jzmn et jmb, l’extrême-centre a depuis longtemps trouvé la solution hétéro la plus équitable en matière des valeurs d’individualisme à la recherche de l’intérêt général : »je te donne ton plaisir à t’enculer pendant que je prends le mien en me faisant mettre par tes soins, histoire de me faire chatouiller la prostate. Et on va tous.tes politiquement jouire ensemb’ !… pas besoin d de mobiliser les extrêmes, ces peines-à-jouire solitaires et jamais solidaires ! ».
____
« Macronisons la table de multiplications par un nouveau choc de simplification », hein !***
(***autrement dit et, entendu au dernier cours de science po de l’exENA)
OHLALA; c’est P.Assouline qui va pousser une gueulante pour les dindons!
Dindons frappés et transportés dans des conditions indécentes : la nouvelle vidéo choc de L214
@ Paul Edel n’est pas à votre service, et alii !
m’enfin, jzmn ! laissez-lui le loisir d’en décider, hein !…
(nb/margotte est un avatar de txfldg, ne le saviez-vous pas ?)
Je faisais mon dédé, JJJ !
Margotte je la connais et je l’ai souvent rencontrée à l’heure de l’apéro. Elle est bien plus accorte et fraîche que la vieille acariâtre !
Vous pourriez me dire où est passé l’argent de la Ville, JJJ ?
Quand les socialistes sont arrivés à la Mairie de Paris, en 2000, les caisses étaient pleines et Tiberi avait commencé à baisser les impôts locaux !
M’est d’avis qu’il y en a qui s’en sont mis plein les poches…
https://www.leparisien.fr/paris-75/face-a-sa-dette-colossale-la-ville-de-paris-va-t-elle-devoir-augmenter-les-impots-28-06-2022-A37G2YXHSZDYTEKLPVEDT7NPMA.php
je n’ai pas d’avatar
et c’est P.Edel qui décidera lui-même si parler de T.B. lui plaît; T.B. est un écrivain que j’aime particulièrement mais que je ne lis qu’en traduction
dans mon journal…, j’ai écrit être sûr de mourir à 92 ans. Or, je suis mort à 33 ! C’est malin, ils n’ont pas voulu brûler mon journal à temps… Et maintenant, on s’en gausse !…
Funestes dessications ! Nos deux collègues précités il y a qq mois sur cette chaine (Q Deluermoz et P Singaravélou) en ont conclu ceci : « le contrefactuel littéraire est une autre manière d’assumer sa dimension expérimentale »… Ils voulaient dire en clair que « la littérature servait souvent à tester des fictions en les insérant dans les blancs de l’histoire’…
Pmp, j’avoue avoir trouvé dans le roman de Mohamed MS une admirable preuve empirique de cette définition fort habilement disséquée. Bàv,
je me suis laissé dire que les poches des Tiberi avaient toujours été plus larges et à doubles fonds que celles de cette pauvre Mme Hidalgo. Il est vrai qu’à leur époque, les rats n’avaient pas encore envahi les caves, ils savaient fermer les yeux… M’enfin moij, les histoires de votre commune, jzmn, pour ce que j’en ai à braire, hein, j’ai assez de mal à intercepter quelques centimes de la mienne en dépita de la largeur de mes braies un brin trouées… Chacun se merdr’, pas vrai ? 😉 Bàv !
Ma commune est votre Capitale, JJJ !
où on retrouve « la structure »! (et même « la charogne »
disséquer \di.se.ke\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)
(Chirurgie) Diviser les différentes parties d’un cadavre, ou quelque partie seulement, soit pour en étudier ou en démontrer la structure, soit pour connaître les causes et le siège d’une maladie.
qui a piqué le parapluie demande le comte!
Beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie.
Langue française
Clore le débat, la séance… Et non pas clôturer.
« Conséquent » ne veut pas dire « important ».
« Contondant » ne veut pas dire « tranchant ».
Une décade ne veut pas dire « dix ans » mais « dix jours ».
« Errements » ne veut pas dire « erreurs ».
On n’appuie pas sur la gâchette, mais sur la détente.
Un impétrant n’est ni un candidat, ni un postulant.
« Ingambe » veut dire qui a les jambes lestes.
« Naguère (Il n’y a guère) ne veut dire ni jadis ni autrefois.
Ne pas dire « nominé » mais « sélectionné ».
La grenouille coasse et le corbeau croasse.
L’ensemble des dents n’est pas la dentition, mais la denture.
« Somptuaire » ne veut pas dire « somptueux ».
Ne pas dire « petit nain ».
Ne pas dire « Puis ensuite ».
Ne pas dire « panacée universelle ».
Ne pas dire « secousse sismique ».
« Fruste » existe, mais « frustre » n’existe pas.
« Gageure » se prononce gajure.
« Suggestion » ne se prononce pas « sujétion ».
L’abréviation de « Monsieur » n’est pas « Mr », mais « M. » .
L’abréviation de « et cetera » n’est pas « etc… », mais « etc. ».
Cuisseau de veau, mais cuissot de sanglier.
Un martyr subit un martyre.
« Abasourdi (qui ne vient pas de « sourd ») se prononce abazourdi.
« Handdball » (qui vient de l’allemand) se prononce bal à la fin.
Un antidote*, un tentacule, un astérisque.
Une anagramme, une échappatoire, une interview.
Je ne dis pas cela à ceux qui le savaient
*Ségolène a dit trois fois « une antidote » dans un discours avant la présidentielle où elle fut candidate. Elle sort de l’ENA.
Roue libre, chacun parle de ce qu’il veut (c’est moi qui chronique).
J’en profite pour causer de Jacques Perret que j’aime bien. Ses idées n’étaient pas les miennes, mais j’apprécie sa façon tranquille d’ironiser sur tout, un peu exilé ; il pouvait, il avait fait ses preuves.
NB / Les têtes nègres récipiendaires ont dû en chier avec un mec pareil !
Une décade ne veut pas dire « dix ans » mais « dix jours ».
-> @ 5 ans, putôt… j’avions des doutes.
@ Handdball ?
c’est surtout le sport de DD !
***meuh-meuh, chat roule avant les beuhs !…
Enclouer les enclouures (2 U contigus, mon guss)
Cuisseau de veau, mais cuissot de sanglier.
et Q.I. pas petit malin
mais les frustrés existent:
https://www.google.fr/books/edition/Les_frustr%C3%A9s_Int%C3%A9grale/UAK3DQAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&printsec=frontcover
ma Commune est votre capitale…, ça va meux en l’écrivant ainsi… comme Ajasssssio est la capitale de la Corse… meuh-meuh… _ Ségolène sort de l’ENA comme moi de chez Pigier… C’est du français, ça, « sortir de Léna » après être « tombée en Sainte » ?… urk
encore le boulot:
https://pictures.abebooks.com/inventory/7377996836.jpg
Jorge Luis Borges & Adolfo Bioy Casares
Chroniques de Bustos Domecq
« Critique impartiale d’écrivains, de sculpteurs, d’architectes, de gastronomes et de peintres qui n’existent pas encore mais qui risquent fort d’exister un jour. Vingt chroniques sous forme de récits s’attaquent au modernisme. »
ma ville:
https://mvistatic.com/photosmvi/2018/03/09/P1D3397233G.jpg
comme disent les journalistes:
Claire Bretécher, chroniqueuse des moeurs à la plume acérée
Antonioni
Chronique d’un amour
bretecher opine:
Rarement un auteur de BD a autant collé à son époque. Sa chronique est la plus lue de l’hebdomadaire et Roland Barthes la qualifie en 1976 de « meilleure sociologue de l’année ». Réaction de l’intéressée qui n’a jamais eu la grosse tête : « C’est vraiment n’importe quoi ! »
Chroniques des Trois Royaumes (San guo Zhi).
chroniques d’art :apollinaire:
Présenté dans un ordre chronologique, l’ensemble des critiques d’art d’Apollinaire permet de se former un jugement indépendant sur ses idées esthétiques, sa compétence et son rôle dans le développement de l’art moderne. En outre, ses écrits, en tant que chroniques, nous font revivre jour par jour l’époque la plus animée, la plus héroïque du XX? siècle.Les textes s’échelonnent de 1902 à 1918. On y découvre constamment un grand esprit, un grand poète et un homme de goût, ce qui n’empêche nullement le piquant, la fraîcheur et…
La Chronique des Pasquier est un cycle romanesque écrit par Georges Duhamel entre 1933 et 1945 et composé de dix romans distincts, publiés au Mercure de France, décrivant l’épopée familiale des Pasquier au tournant du xxe siècle. Œuvre centrale dans la carrière de son auteur et succès littéraire auprès du public, cette saga a contribué à l’élection de Georges Duhamel à l’Académie française en 1935.
« sortir de Léna »
Il n’y a pas d’issue?! 🙂
Au dessus de mon nom imprimée sur mon diplôme du baccalauréat : l’impétrante!
Je suis allé voir dans le dictionnaire à l’époque. 🙂
Je suis allé voir dans le dictionnaire à l’époque.
Toute jeune bachelière fraîchement émoulue.:)
imprimé, le nom!
et alii dit:
« encore le boulot: »
LE BOLOT, B.O.L.O.T, pas le boulot !
Pour parodier M. Charoulet, on ne dit pas « boulot » pour désigner le bolot.
Qu’est-ce que le bolot ? Une espèce d’animal doté d’une libido effrénée qui le voit sauter sur tout ce qui bouge car il s’angoisse de voir baisser sa fertilité.
Des exemples ?
Clore le débat, la séance… Et non pas clôturer.
IMPOSSIBLEde ne pas penser au lapsus relevé par Freud:
» cet exemple peut représenter pour nous tous les autres » (XVII 144). Le président de la chambre des députés autrichienne avait ouvert la séance en disant : « Je constate la présence de tant de messieurs et je déclare la séance close ». L’hilarité qui suivit lui fit remarquer son erreur et il la corrigea. Meringer et Mayer expliquaient : « Le président souhaitait de par lui être en état de clore la séance. […] Des mots opposés sont très fréquemment permutés les uns avec les autres ; c’est qu’ils sont précisément déjà associés dans notre conscience de la langue, situés extrêmement près les uns des autres et sont facilement appelés par erreur ».
il y aplusieurs sortes de lapsus dont:lapsus lectionis : se commet en lisant, aussi bien à voix haute que mentalement lors de la lecture silencieuse ;
il faut savoir soutenir un lapsus quand il est fécond!
Version 2022 du bolot internautique : une espèce de créature dotée d’une frénésie de recherche de liens qui la voit sauter sur tout ce qui bouge sur la Toile car elle s’angoisse de passer pour une no life. Pas besoin d’illustrer d’un exemple.
ne dédaignez pas la page lapsus de wiki, !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lapsus#:~:text=lapsus%20lectionis%20%3A%20se%20commet%20en,ou%20modification%20de%20la%20m%C3%A9moire.
Depuis plus de 30 ans, le roi des chroniqueurs français est sans conteste Jean-Louis Ezine de Pontault-Combault, dit Gai Savoir I.
https://www.chasse-maree.com/actualites/la-chronique-de-jean-louis-ezine-le-chasse-maree-n326/
Sa chronique sur les pompiers de la forêt de Paimpon (en 1990?) est un des fleurons du Patrimoine immatériel de l’humanité.
Le léZard, qui n’est pourtant pas une gouine, est aller assister à la chronique cinématographique des amours saphiques de Patricia Highsmith !
Il a apprécié…
il m’arrive d’être épuisée par les récits de vie des femmes que je connais;aujourd’hui une femme d’origine grecque, qui est une vraie casse-c*** nous racontait qu’elle prépare son retour en Grece, chez elle, où elle a sa maison héritée d’une aïeule, et d’autres demeures -elle parle grec- me faisait rêver d’autres cieux, de mers, et de « ruines »;
au fait, sur Books,
« L’archéologue amateur Heinrich Schliemann a menti, triché. Cet ancien homme d’affaires parti de rien, qui avait été chercheur d’or dans sa jeunesse, était dénué de tout scrupule. Mais, à partir de 1871, il a réussi ce que personne ne croyait possible : exhumer l’antique Troie. »
Il avait été infatigable, impitoyable et comme possédé, capable de parler 21 langues. Il était de petite taille, orphelin de mère et immensément riche. Il n’avait pas été un homme heureux. Et voilà qu’il était mort. Le 4 janvier 1891, Heinrich Schliemann reposait dans sa villa d’Athènes. Derrière le corps, on avait pris la peine de transporter son grand amour, un buste du poète grec Homère. Une croix de fleurs blanches ornait le cercueil. Des chefs d’État du monde entier avaient présenté leurs condoléances. L’empereur Guillaume II avait envoyé une magnifique couronne au nom du peuple allemand. Le roi de Grèce et son prince héritier tinrent une veillée funèbre. Le cercueil fut placé sur un chariot. Huit chevaux noirs amenèrent la dépouille jusqu’au Premier cimetière d’Athènes. The New York Times écrivit dans sa nécrologie : « L’archéologue Heinrich Schliemann […] était un self-made-man. Il est né avec …
rebelote la Bolot!;)
Pour ne dire qu’une evidence :
https://pbs.twimg.com/media/FWTtTswWIAAfmXS?format=jpg&name=large
a force de boulotter, vous allez être « obaise », si vous ne l’êtes déjà!
l’obésité est une maladie chronique
mais ce qui nous intéresse ici ce sont les formes que Schliemann choisit pour présenter sa vie, les moyens utilisés pour mettre en place son autobiographie de façon à en faire une pièce maîtresse de la construction de sa carrière d’archéologue, tout comme les effets produits par ses textes. L’intention n’est donc pas de montrer les zones d’ombre, ou les inexactitudes de l’autobiographie de Schliemann (question à laquelle de nombreux travaux ont été consacrés)4, mais d’essayer de saisir le rôle que l’écriture autobiographique a joué dans ses stratégies narratives, ce qu’elle a permis – et ce qu’elle a occulté. Car, tel que l’a affirmé Reinhardt Witte, sans ses autobiographies Schliemann serait aujourd’hui un excavateur parmi d’autres5.
6 Philippe Lejeune, Le pacte autobiographique, Paris, [1975] 1996 ; Je est un autre. L’autobiographie (…)
7 Le récit de vie a, en effet, été ajouté à la boîte à outils d’un certain nombre de disciplines, qui (…)
8 Daniel Fabre, Jean Jamin, Marcello Massenzio, « Je et enjeu ethnographiques de la biographie », int (…)
9 Nous suivons la proposition de Christian Jacob. Voir : Christian Jacob (dir.), Lieux de savoir, I. (…)
10 Ma proposition rejoint celle d’Anne Collinot, « L’enquête biographique dans les études sur les scie (…)
11 Raymond Boudon a étudié l’hésitation de la sociologie, dans ses origines, entre des objectifs hétér (…)
3L’objet « autobiographie » n’a rien d’une terra incognita. Prenant comme point de départ le mouvement lancé par Philippe Lejeune à partir des années 1980, qui considère l’écriture autobiographique comme un fait anthropologique propre à notre société6, nous tenterons d’appréhender la prise de position de l’autobiographique entre l’espace public et la discipline archéologique, qui est, à l’époque de Schliemann, en cours de définition et de professionnalisation. Cette approche participe d’un mouvement de retour sur la biographie et l’autobiographie dans les sciences humaines et sociales auquel on assiste depuis plusieurs décennies7. La prolifération du « biographisme » a vu naître une réhabilitation du genre comme instrument de connaissance, qui prend place dans un contexte culturel particulier et dans un moment spécifique du développement de l’histoire des sciences8.
https://books.openedition.org/editionsehess/3197?lang=fr
Le léZard, qui n’est pourtant pas une gouine, est aller
–
On ne commence pas ube phrase comme ça, Jazzi.
Aujourd’hui, c’est pas mal. Il y a une grève sur Radio France. Du coup, sur France Info, ils ont arrêté de débiter de l’information, et ils passent de la musique. Et de la bonne musique. Et donc j’avais l’impression que, du coup, plus rien n’existait. La guerre en Ukraine ? Oubliée. L’inflation ? Oubliée. Etc. En fait, Poutine n’a envahi l’Ukraine que pour faire fonctionner des radios d’informations comme France Info. Si vous coupez le son, ou que vous mettez, à la place des nouvelles pouraves, de la musique, tous les problèmes s’envolent. C’est simple de redevenir heureux ! J’avais lu un jour un article qui faisait le bilan statistique des informations qu’un homme recevait au temps de Voltaire, comparé à ce qu’il doit subir à l’époque moderne. C’est de 1 à 1000, je ne sais plus exactement, mais c’est grandiose. Il y a de quoi crever. Voilà ce que je vais faire : je vais reprendre un livre de poésie (par exemple Desnos) et le lire dans ma tranquillité retrouvée. Merci Radio France ! Et surtout, vous les journalistes grévistes, continuez le mouvement. Grâce à vous, la paix est à l’ordre du jour. Qu’est-ce que je fais de mon poste radio, pour après ? Poubelle ! Et ma tévé ? Je n’en ai plus depuis longtemps… Personne ici ne s’est aperçu que Radio France était en grève ? C’est de cela qu’il faut parler, les amis.
C’est surtout la raison de la grève qui importe Damien: le financement du service de l’audiovisuel public.
En GB aussi, ils veulent abloir la redevance (license fee), pilier du programme du parti conservateur. La BBC est trop à gauche, un repaire de trosts, selon les tories.
Les micron gouvernements sortent du même moule idéologique.
Je vous rassure, la guerre fait toujours rage, les femmes & les enfants ukrainiens continuent à mourir sous les bombes russes.
votre reve serait-il de défrayer la chronique ?
Autrefois, on a utilisé « défrayer la conversation », remplacé par notre expression, mais aussi « défrayer la compagnie (de bon mots) » qui, cette fois, signifiait « amuser ou faire rire l’entourage par des plaisanteries ».
bonsoir
Trots.
Des idées de financement pour garantir l’independance des services
Une idée m’est venue que je vous soumets ici. Il apparaît que M. Charoulet a la nostalgie de ses leçons à ses petits sixièmes. Et si nous organisions, chez lui, une sorte de cours d’été, de rattrapage, de remise à niveau ? Deux semaines devraient suffire. La classe pourrait être composée de Janssen, Bloom, Bouguereau, DHH, Rose, D., Jazzi et moi-même. Effectif limité pour plus d’efficacité. Nous nous rendrions par nos propres moyens à Fécamp, au domicile de M. Charoulet donc, qui devrait pouvoir aménager le grenier ou le sous-sol de sa maison en bivouac. Aucune exigence de confort, esprit colonie de vacances. Les matinées pourraient être consacrées aux cours, les après-midi à des visites culturelles, baignades et découverte du pays de Caux. Les soirées à des chants, des lectures, des jeux, etc. Participation obligatoire de tous aux tâches ménagères, courses, confection des repas, etc. Evidemment, M. Charoulet fixera le tarif de sa prestation et sera défrayé des dépenses engagées pour l’organisation de la quinzaine. Qui est partant ?
Zut, j’ai oublié Marc Court, Phil et Renato. On arrive à 10, c’est acceptable.
Il a escrit la Chronique dudit Roy, laquelle est vulgairement appellee la Chronique scandaleuse, à cause qu’elle fait mention de tout ce qu’a fait ledit ROY, & recite des choses qui ne sont pas trop à son advantage…
La Bibliothèque de sieur La Croix du Maine, 1584 (?En savoir plus sur : https://www.laculturegenerale.com/defrayer-la-chronique-origine-signification-expression-definition/ ©
Chronique et autobiographie dans les Mémoires du duc de Saint-Simon
Les Mémoires de Saint-Simon, tendus entre le modèle de la chronique et celui de l’autobiographie, articulent d’un bout à l’autre deux projets distincts et confus : du côté de la chronique, le sujet reste incertain, le mémorialiste hésitant entre un journal de la vie de cour, un tableau général de la France à son époque, et un élargissement occasionnel à l’Europe ; du côté du récit de vie, la volonté de se limiter à une autobiographie politique est débordée par les émotions de l’écrivain. L’écriture de la réalité semble incapable de se résorber dans un genre clairement défini.
https://journals.openedition.org/carnets/1278
Damien dit: à
Aujourd’hui, c’est pas mal
C’est vrai!
France Inter a de l’excellente musique aussi!
AN, je crains que vous rencontriez quelques humeurs incompatibles, cause assez fréquenté du divorce ou d’une demande de séparation. Trois femmes admises dans votre sélection, pour les cours d’éducation sexuelle cela risque d’être chaud quoique vous ayez inclus un presque prêtre en la personne de Marc Court qui je suppose n’éprouve pas le sentiment d’avoir à rattraper quoi que ce soit ou qui que ce fût, même le chat par la queue.
« gouine
[gouine]
NOM FÉMININ SINGULIER
grossièrement
Femme lesbienne. »
C’est mieux comme ça, Damien ?
@le sentiment d’avoir à rattraper quoi que ce soit ou qui que ce fût
Pas un pour rattraper l’autre, en effet
https://www.youtube.com/watch?v=1MOR9Bs7Yhw
Ce matin, je suis allé me faire faire mon 4e vaccin.
On m’a demandé de mettre un masque à la pharmacie de mon quartier.
ça repart, m’a dit la pharmacienne qui m’a piqué, plus de 150 000 contaminés ces dernières 24 H !
@Alexia Neuhoff
Grand merci de votre aimable proposition qui a le dessein d’être amusante. Hélas, je n’ai pas de maison, mais un appartement, à Dieppe, et non à Fécamp (Horrible endroit). Et je n’aurais pas l’idée saugrenue d’inviter chez moi des fantômes (gens à noms d’emprunt).J’ai certes une chambre qui sert à un fils Parisien quand il vient me voir. Ce n’est ni un hôtel, ni auberge, ni un gîte rural.
Mes pauvretés sont mises ici, mais aussi sur mon blog, celui de Bilger, sur Facebook (qui a tous les avantages à mes yeux). Mon truc de ce jour « Langue française » n’est pas destiné aux élèves de 6e. A preuve la pauvre Ségolène. Mais elle ne lit pas ce blog : elle aurait dû et aurait appris quelque chose.
10 euros mensuel de gains en matière de pouvoir d’achat pour les plus démunis. Mauvaise foi soupçonnée du camp présidentiel à l’origine de cette volonté de suppression de la taxe audiov, il existe tant d’autres façons de la calculer sur les ménages qui sont en possession des moyens suffisants pour ne pas en souffrir. J’espère que le parlement ne votera pas la suppression, c’est n’importe quoi.
Cinq ans pour gober ses bobards, ca va être long.
Bar-à-gouines: lieu où les conversations sont difficilement compréhensibles, sauf pour les initiées.
En anglais, ‘gouine’ se dit ‘dyke’, mot qui signifie aussi ‘digue’ & qui en vieux norois désignait un ‘fossé’. Une des étymologies possibles serait l’analogie entre le sexe de la femme et ledit fossé. Un peu capilotracté à mon goût….
Avant que les lesbiennes ne se réapproprient le terme en vertu du désormais bien connu mécanisme de retournement du stigmate, ‘dyke’ était purement dépréciatif, sinon insultant. Vive le ping pong!
Les habitants de Lesbos sont des Lesbiens. Moi itou.
Piquer quelques euros d’APL aux étudiants pauvres ne l’embarrassait pas, pourquoi soudainement cette exonération de ce peu d’argent lui semble si nécessaire. Chapeau pour argument.
@ jzm bravo pour la chronique Highsmith
Charoule aurait mis à la fin : « Une histoire d’amours lesbienNEs, qui finit bien ! »…
Quant à faire, faudrait aller se recycler à Dieppe !
Bàv,
« *Ségolène a dit trois fois « une antidote » dans un discours avant la présidentielle où elle fut candidate. Elle sort de l’ENA. »
Elle voulait parler d’une militante qui était contre la dote que les femmes devaient apporter à leur futurs époux, Char à roulettes !
Je vous suis, B. tout le monde devrait payer la redevance, selon ses moyens.
Ils sont très tordus ces gouvernements, et ont tendance à prendre les gens pour des cons.
Je ferais une excetion pour Pap Ndiaye, dont je me demande ce qu’il est allé foutre dans cette galère…
AN, votre idée de séminaire est bien sympa. Mais de grâce, pas chez un zombie.
Oui, JJJ, les amours sont toujours féminines !
Mais certaines lesbiennes autour de missis Highsmith étaient particulièrement masculines…
capillotracté.
Moi, j’aime bien Ségolène, je lui dois d’avoir été le premier agent du MAE à bénéficier d’un congé de paternité, me permettant de rentrer en France pour l’heureux événement.
« Une histoire d’amours lesbienNEs, qui finit bien ! »
Ou « qui finissent bien » ?
Un jardin dans le Marais !
https://www.facebook.com/pierre.berton.5/videos/380178940664290/
Emballé c’est adopté! 🙂
Street art ou pas street art?
Pas le sentiment que Vialatte retombe si aisément sur ses pieds depuis sa Montagne de chroniques, very capillotracté dirait dear Bloom.
Guermantes, en revanche, toujours une jouissance intérieure, de 1930 à 1950.
capillotracté..c’est le primate qui tire sa primate par les cheveux qu’elle dirait alesquia
Distinguons les chroniques de ceux qui savent mourir à l’ouvrage, Pierre de Régner, tigre, brûlé par l’alcool, tabac et femmes, dans cet ordre, ton enjoué sans une plainte jusqu’au pneumothorax.
Street art ou pas street art?
c’est toujours capilotracté par les poils du cul avec baroz
Distinguons les chroniques de ceux qui savent mourir à l’ouvrage
ça eut payé..mais ça paie pus
c’est un peu comme les récits de voyage..si t’es pas élonne..et que tes chronique peuvent pas changer l’cours du bitcoin..c’est qut’as un pneumotorax au cul comme keupu
@Patrice Charoulet
Merci pour votre réponse. J’ai bien peur que mon projet ne se solde par un échec. Non point pour des questions de géographie, Fécamp ou Dieppe, nous restons (sauf erreur) dans une proximité géographique. En revanche, un appartement réduit considérablement la voilure de nos ambitions. A cet égard, cher Monsieur, je m’étonne qu’après des années d’expatriation dont Bloom et moi (en tout cas) savons combien elles sont lucratives ne laisse pas de m’étonner. Je n’irais pas jusqu’à soupçonner que vous ayez dilapidé des fortunes au jeu, à la bourse ou autre coupable addiction mais je vous imaginais propriétaire d’un joli cottage sur la plage. Nous pourrions, Madame DHH et moi-même constituer le seul effectif de ce cours d’été bien que nous soyons, sans doute, les élèves qui en pourraient le moins tirer profit (contrairement à certains autres de la liste). Nous pourrions, il me semble, réduire les matinées scolaires à 30 minutes et augmenter le versant touristique. Dieppe ne doit pas manquer d’atouts.
Les micron gouvernements sortent du même moule idéologique
sapré kabloom..la fra&cnhe copie les lecons de démocratie angliche par hanticipation..mais y’a pus qules vieux bourrins d’épade qui paient la redevance..les jeunes y ont des pleugs..fallait remette ça d’équerre qu’il dit keupu..marquerait pus qu’on spécule sur ma conrie
Bouguereau, 3,5 milliards, il y a du monde dans les Ehpad ou bien bénéficient ils d’un tarif préférentiel .
c ki ce pierre de régner ?… un genre de monégasque ?
La France au bord de la faillite selon st François veut rassurer le personnel de l’audiovisuel public en supprimant la source de son budgettement principal et historique.
Pierre de Regnier, bien qu’issu de Pierre Louys, légitimé par son « pere » Henri de R, lequel n hesitait pas à permettre à Madame, de son coté, quelques excursions à Venise, mais du coté de Lesbos, et pas autrement que dans les milieux du Noble Faubourg!Vous lisez encore la « Vie de Patachon » du fiston, Phil? J’avoue préférer Mr D’Amercoeur…
Jazzi dit: à
Ce matin, je suis allé me faire faire mon 4e vaccin.
On m’a demandé de mettre un masque à la pharmacie de mon quartier.
ça repart, m’a dit la pharmacienne qui m’a piqué, plus de 150 000 contaminés ces dernières 24 H !
–
Je vous l’annonçais il y a 3 semaines. Avec un pic début aout. Remember.
Je ne me trompe jamais.
On pourrait faire du 1 million de cas début août au pire de l’épidémie. Ce n’est pas le moment de prendre les transports en commun sans masque, c’est moué qui vous le dit.
Et pourtant tout un tas de cons et de connes le font. Une large majorité.
Je l’ai vérifié encore aujourd’hui. Eh bien leurs vacances vont être joliment foutues en l’air pour beaucoup d’entre eux et beaucoup d’entre elles. Eh oui.
C’est ainsi.
MERCREDI 29 JUIN 2022, 5h34, 22°, ciel dégagé
GREVE
Faire grève permet à tous les tordus du secteur public de partager, ensemble, le vide que leur orientation défectueuse leur impose depuis le début de leur carrière qu’ils ont choisi en connaissance de cause.
Enfin, ils existent !
Tu crois pouvoir vivre sans risque au service de l’Etat creux ? Bien … ! Tâte du vide, alors, parle en avec tes collègues ! Tu existes puisque tu t’emmerdes à rien foutre.
Qui finit bien
Sujet l’histoire
Oui, rose, mais les histoires d’amour finissent mal, en général !
Jazzi
Ce n’est pas grave.
BANDE ANNONCE PUBLICITAIRE
A la Belle Epoque, il arrivait que les cocottes, modèle de la femme libre et émancipée d’avant le féminisme, après avoir ruiné et poussé au suicide les princes de sang ou d’industrie, finissaient au… couvent, drapée dans leur vertu retrouvée !
Pareillement pour les jeunes héritiers de la bourgeoisie triomphante qui, après une période d’intense débauche, retournaient au désert, tel le révérend père de Foucault.
Le 1er juillet sort sur nos écrans le film sur Diam’s, présenté à l’occasion du dernier Festival de Cannes.
L’histoire d’une râpeuse de diamant bien malheureuse et suicidaire, qui a trouvé le repos en se soumettant à… l’Islam et s’installant à Dubaï !
Autre temps autres voiles dont le chroniqueur cinématographique vous parlera prochainement…
AMOUR, DELICES, ET ORQUES
Quand allez vous admettre que ce que vous appelez « Amour », ça n’existe pas !
Les histoires d’amour qui finissent mal, c’est impossible, vu qu’elles n’existent pas vos histoires romantiques. Pouvoir, sexe, fric, mort subite, voila comment finissent ce que vous appelez vos histoires d’amour…uhuhu !
modèleS et drapéeS…
« Pouvoir, sexe, fric, mort subite »
Ou mariage…
Mes compliments à madame, JC !
Raymond Marcillac
Raymond Marcillac (Secrétaire)
EAN : 9782905969767
EDITIONS CHRONIQUE (01/10/1998)
3.5/5 4 notes
La chronique Gastronomie
Par Pascal Ory.
https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/la-chronique-gastronomie
vive le CANADA
Restaurant La Chronique
https://www.mtl.org/fr/quoi-faire/gastronomie/restaurant-la-chronique
Jean-Louis Flandrin, spécialiste de l’histoire des mentalités, est professeur à l’université de Paris-VIII et directeur de recherche à l’École des…
https://livre.fnac.com/a161950/Jean-Louis-Flandrin-Chronique-de-Platine
Reformulation:
L’amour n’existerait pas? En revanche, la khônerie existe bel et bien, dont le centre est partout et la circonférence nulle part. La preuve par Jissé, le pseudo-cynique de la grande
poubelle bleue.
Chroniques de la connerie chronique – Splendeurs et misères du petit écran, Nouvelles chroniques télé
Guy Carlier
https://www.decitre.fr/livres/chroniques-de-la-connerie-chronique-9782258065345.html
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