de Pierre Assouline

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La République des livres
Retour sur le scandale « Batouala »

Retour sur le scandale « Batouala »

Le 14 décembre 1921 au restaurant Drouant, dix écrivains-jurés se retrouvèrent face à un problème : cinq voix pour pour Batouala de René Maran et autant pour L’Epithalame de Jacques Chardonne. La double voix du président Gustave Geffroy, membre fondateur de la société littéraire des Goncourt alors composée notamment de Léon Daudet et des deux frères Rosny, fit pencher la balance en faveur du premier. Pour la première fois depuis sa création dix-huit auparavant, elle couronnait un écrivain noir. Mais les Dix n’en étaient pas à leur coup d’essai puisqu’en 1905 déjà, ils avaient distingué Les Civilisés, roman férocement anticolonial dans lequel Claude Farrère dénonçait âprement Saïgon, capitale de la colonie française de Cochinchine, comme une nouvelle Sodome.

Quoique né en Martinique, René Maran (1887-1960) était guyanais. Fonctionnaire de l’administration coloniale en Afrique, comme son père, il considérait son roman comme « une succession d’eaux-fortes », y dressant un constat se gardant de toute indignation. En fait, même si le roman fut attaqué par les tenants du parti colonial à sa parution, c’est surtout sa consécration littéraire qui changea la donne. Car dès lors que Batouala était ceint du bandeau rouge « Prix Goncourt 1921 », son auteur avait conquis une légitimité, il se sentait protégé pour diffuser ses idées auprès d’un plus grand nombre de lecteurs ce qui augmentait l’ire de ses détracteurs à proportion. Ils lui reprochèrent de cracher dans la main qui le nourrissait et lui firent un procès en ingratitude. En témoigne, entre autres, la critique parue dans Le Petit Parisien le 15 décembre 1921:

« M. René Maran, administrateur colonial domicilié à Fort-Archambault, à deux journées de marche du lac Tchad, au milieu de Noirs qui lui ressemblent comme des frères, a reçu hier le prix Goncourt (…) C’est la première fois que les Noirs jouent et gagnent (…). Sa grande qualité de nègre a séduit les dix de l’Académie Goncourt épris de couleur et d’étrangeté »…

Comme le firent peu après lui Albert Londres (ses reportages dans l’Union indochinoise en 1922 et ceux sur la construction du chemin de fer Congo-océan réunis dans Terre d’ébène en 1928,) et André Gide (Voyage au Congo, 1927), il ne dénonçait pas le colonialisme mais ses excès violents sinon criminels plutôt que ses « errements » ainsi que le ministère des colonies voulaient le faire croire ; l’administration n’appréciait guère qu’il parlât de « négriers ».

Si son roman à proprement parler relève de l’observation ethnographique en Oubangui-Chari (Afrique équatoriale française) relevé par une classique histoire d’amour, la préface est d’une autre encre. Elle tient du manifeste politique et condamne mais sans jamais renier la fidélité de l’auteur à la France. Ce n’est pas la mission civilisatrice de l’impérialisme français qu’il dénonce mais, au contraire, la violation de ses principes, l’oubli de ses hautes valeurs. Il prend à témoin ses « frères en esprit, écrivains de France » pour s’adresser à la civilisation occidentale :

« Tu bâtis ton royaume sur des cadavres. Quoi que tu veuilles, quoi tu fasses, tu te meus dans le mensonge. A ta vue, les larmes de sourdre et la douleur de crier. Tu es la force qui prime le droit. Tu n’es pas un flambeau, mais un incendie. Tout ce à quoi tu touches, tu le consumes… » écrivit-il dans une préface qui lui valut tant d’injures.

Noir dans un monde de blancs, représentant des blancs dans un monde de noirs, tenu pour un écrivain par les fonctionnaires coloniaux et pour un fonctionnaire colonial par les écrivains, il vécut dans un inconfortable entre-deux sans rien renier de sa double identité. Une position inconfortable qu’il réussit à tenir en équilibre instable sur une ligne de crête jusqu’à ce que la fin des empires et la vague de la décolonisation le balaie. Certes, tant Aimé Césaire que Léopold Sédar Senghor avaient loué en lui un pionnier de la négritude ; pour autant, il n’était pas à l’aise dans ce rôle :

« Considéré par les Noirs comme un précurseur de la négritude, il avouait qu’il la comprenait mal et avait tendance à y voir un racisme plus qu’une nouvelle forme d’humanisme. Il se voulait, par-dessus tout et avec obstination ‘un homme pareil aux autres’  » selon Lilyan Kesteloot, professeur à la Sorbonne et pionnière des littératures négro-africaines francophones.

Au faîte de sa notoriété, un Frantz Fanon, nettement plus radical en conformité avec l’air du temps, n’en fit qu’une bouchée, lui reprochant dans son fameux essai Peaux noirs, masques blancs (1952) d’incarner la détestable « humilité du Noir ».

Il écrivit d’autres romans, des poèmes, des esais historiques et se fit le biographe de Livingstone, Savorgnan de Brazza, Félix Eboué et pour finir du connétable Bertrand Du Guesclin ainsi qu’un roman Un homme pareil aux autres qui vient d’être réédité par les éditions du Typhon. Autant de livres en grande partie occultés par l’inscription dans la durée du « scandale » suscité par Batouala sur lequel Fabrice Gardel et  Mathieu Weschler reviennent dans le documentaire qu’ils consacrent à son auteur, diffusé par France 3 le 14 octobre prochain. Nul doute que sa bibliographie sera analysée à nouveau frais lors du colloque international qui se tiendra à Dakar les 25 et 26 novembre prochains consacré à « René Maran, la France, l’Afrique et la littérature » coordonné par les professeurs Mamadou Bâ et Charles Scheel, ainsi que lors d’un autre colloque centré, lui, sur Batouala qui se tiendra en décembre à l’université de Bangui coordonné par le professeur Jean-Claude Azoumaye.

On y rappellera certainement qu’il y a un siècle, lorsque les Goncourt le couronnèrent, Batouala était suivi sur sa couverture d’un sous-titre : « Véritable roman nègre ». Cent ans après, son éditeur Albin Michel le réédite fort à propos précédé d’une belle préface de l’écrivain Amin Maalouf ; mais, étrangement, le sous-titre a disparu. Autres temps…

(« René Maran » photos D.R.)

 

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

847 Réponses pour Retour sur le scandale « Batouala »

M. Victor dit: à

Une nouvelle page se tourne.
Une nouvelle ère commence.
Un nouvel univers s’ouvre.
Les voies numériques de la Technoprovidence sont insondables.
Qui pourra percer les impénétrables mystères des algorithmes du web ?

et alii dit: à

Encore une fois, le Prêtre Jean revêt une fonction idéologique fondamentale. Pour parler clair, il devient, en Afrique, un alibi plus consistant qu’il ne pouvait l’être en Asie trois siècles auparavant.
En Afrique, toute expédition portuguaise a pour principal objectif la découverte de l’empire de Jean. En 1498, Vasco de Gama rejoint le Mozambique, interroge les indigènes sur le Prêtre Jean, et apprend qu’il devrait être un peu plus au nord. C’est vrai, au nord, il y a une Éthiopie chrétienne, non-nestorienne, mais qu’importe ? L’utopie a finalement trouvé son lieu. En 1508, Albuquerque rejoint les côtes éthiopiennes et pense être parvenu chez Jean. Peu à peu, les Portugais deviennent conscients que ce Jean ne peut être là depuis des siècles, et décident que Prêtre Jean n’est pas le nom d’un individu, mais un titre, qui se transmet de génération en génération. Un Prêtre Jean éthiopien est mentionné, en 1516, dans l’Orlando furioso de l’Arioste ; en 1540, apparaît la plus riche et complète description des mœurs des Éthiopiens écrite par Francisco Alvares, Verdadera informaçam das terras do Preste Joam das Indias. Alvares devait forcément se rendre compte que le pays qu’il décrivait, bien que pittoresque, n’avait pas les splendeurs inouïes rapportées dans la lettre d’antan, mais encore une fois, qu’importe ; pourvu que le royaume fût là. Au cours de sa longue description des usages, des rites, de villes abyssines, Alvares parle de l’empereur éthiopien comme du Prêtre Jean.
Quand l’Europe se tourne vers l’Afrique, je me demande si l’idée d’un empire riche d’or et de marchandises précieuses, à l’apogée de sa splendeur, ne viendrait pas de l’empire du Mali. D’ailleurs, les Portugais ont commencé l’exploration par la côte occidentale du continent. Plusieurs légendes se sont peut-être enchevêtrées, car le Mali n’était pas chrétien, et ne pouvait héberger le Prêtre Jean.

closer dit: à

La Montagne Magique n’a rien de romantique JJJ.
Relisez-la d’urgence.

et alii dit: à

oui, renato,merci

African Polyphony and Polyrhythm
Simha Arom

:: Résumé :: Détails

Musical Structure and Methodology

Étude, selon une approche originale et nouvelle, de la polyphonie complexe et du polyrythme qui caractérisent bien la musique africaine et (au vu de la harpe, des percussions et du xylophone de la République centrafricaine) des principes fondamentaux de cette musique.
http://www.editions-msh.fr/livre/?GCOI=27351100862900

Paul Edel dit: à

“Le privilège des grands, c’est de voir les catastrophes d’une terrasse.” Jean Giraudoux

et alii dit: à

D’ascendance martiniquaise, Christophe Chassol entre à l’âge de 4 ans au conservatoire de musique où il passera seize années.

Il obtient une bourse au Berklee College of Music de Boston dont il sera diplômé en 20021. Puis pendant 15 ans, il compose pour le cinéma, la télévision et la publicité. Il est chef d’orchestre de 1994 à 2002, puis travaille entre autres avec le groupe Phoenix, Sébastien Tellier sur son album Politics en 2004, Acid Washed, Keren Ann, etc.

Ses parents décèdent lors du crash de l’avion 708 de la West Caribbean en 20051,2.

Il puise son inspiration de Stravinsky à Steve Reich en passant par Frank Zappa, Ennio Morricone, Miles Davis, Magma ou The Cure.

Chassol présente en 2011 une performance live au piano/clavier avec le batteur Lawrence Clais, sur les images de son premier film NOLA Chérie (film commissionné par le Musée d’art contemporain de La Nouvelle-Orléans (en) pour réaliser une pièce sur la capitale de la musique vivante). Signé chez Tricatel, NOLA Chérie apparaît sur l’album X-Pianos, un recueil de 33 titres sorti sur le label en DVD/CD
https://fr.wikipedia.org/wiki/Christophe_Chassol.

Paul Edel dit: à

Closer si la montagne magique n est pas « romantique « le lien de Hans Castorp avec « la belle Madame Chauchat « l ‘est. et selon Mann dans sa correspondance ce vertige amoureux adolescent a à voir avec le Tristan de Wagner.

closer dit: à

Il y a des éléments de romantisme, inévitables. Mais l’oeuvre dans son ensemble est désabusée et tragique.
En plus d’être magnifique et inépuisable…

et alii dit: à

in BAUDELAIRE:
D’autres qui, comme des nègres marrons, affolés d’amour, quittent, à de certains jours, leur département pour venir à la ville, gambader pendant une heure autour d’une belle chienne, un peu négligée dans sa toilette, mais fière et reconnaissante.
in
https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Bons_Chiens

et alii dit: à

Gillespie « A night in Tunisia » | Archive INAhttps://www.youtube.com/watch?v=9JBibTaKxuE

et alii dit: à

dizzy:
Dès la fin des années 1940, Gillespie est impliqué dans le mouvement appelé « musique afro-cubaine ». En 1947, il écrit Manteca avec Chano Pozo et jette ainsi les bases du jazz afro-cubain. En 1956, Gillespie reçoit du Département d’État américain la tâche d’aller faire découvrir le jazz en Yougoslavie, au Moyen-Orient et en Amérique du Sud.

Gillespie se déclare candidat à l’élection présidentielle aux États-Unis de 1964.

Janssen J-J dit: à

@ machin…
Relisez la d’urgence !
Bàv,

et alii dit: à

Moi un noir est un film français réalisé par Jean Rouch, sorti en 1958. Il est classable en tant que film ethnographique.
Moi, un Noir est avant tout le portrait d’un groupe de jeunes Nigériens qui ont quitté leur terre pour venir chercher du travail en Côte d’Ivoire, à Treichville, faubourg d’Abidjan, capitale économique littorale de la Côte d’Ivoire. Ces jeunes gens sont Oumarou Ganda (alias Edward G. Robinson), Petit Touré (Eddie Constantine), Alassane Maiga (Tarzan), Amadou Demba (Élite), Seydou Guede (Facteur), et Karidyo Daoudou (Petit Jules). Ils ont tous choisi un pseudonyme destiné à leur forger une personnalité idéale comme le montre le nom du héros et narrateur de ce film, Oumarou Ganda.
. On perçoit abusivement la présence du Blanc, du colonisateur qui a de l’argent, la puissance matérielle. Il s’agit d’un des rares films qui montre explicitement la situation coloniale en Afrique, à Abidjan. Mais la dureté du quotidien côtoie une philosophie de vie plutôt joyeuse : Moi un noir est un film ludique, jubilatoire, plein d’humour de par les commentaires des héros, des aléas de la vie.
wiki

D. dit: à

Mais Niamey ce n’est pas du tout au Nigéria, aux dernières nouvelles.

et alii dit: à

à abidjan:
Près du port et le long d’un terrain de pétanque, naît le boulevard de Marseille. La légende raconte que, derrière les premières huileries de Blohorn, à Cocody, des colons facétieux qui avaient «emprunté» une plaque d’une célèbre rue marseillaise, ont rebaptisé rue de la Canebière une piste de sable. Un hippodrome est construit dans le sud de la ville qui ne cesse de s’agrandir.

D. dit: à

C’est parce que j’ai lu nigérianne alors que c’est écrit nigérienne. J’avais donc rian compris.

D. dit: à

Abidjan c’est un autre sujet. Ne compliquons pas tout.

D. dit: à

Un hippodrome ? Ça m’étonnerait parce qu’il n’y a pas de chevaux en Afrique. Seulement des zèbres.

D. dit: à

Après je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas. Moi de toutes façon je ne vais pas dans ces pays-là. Il y fait trop chaud. Le jeu n’en vaut pas la chandelle.

D. dit: à

Comme on dit.

D. dit: à

Bon si on changeait de billet ?
Moi le sensationnel, vous savez…

D' dit: à

On pourrait parler du prix Goncourt, qui risque de gagner, qui risque de perdre, combien et qu’est-ce qu’on mange cette année. Voilà des sujets tout aussi intéressant que pragmatiques.

Janssen J-J dit: à

@ Bon si on changeait de billet ?

Oui, justement on apprend que le chilien Vargas LLosa, ex candidat malheureux à la direction de ce pays, vient d’être appelé au fauteuil poussiéreux de Michel Serres chez nous autres, pour nous apprendre à mieux parler la langue français, D. Je sais que vous n’êtes jamais allé au Chili, vu qu’il y fait trop froid en altitude, donc, en tant que zemmourien, je me demandais ce que vous en pensiez… de la Fête au Bouc… Justement, on en parle sur ce lien d’une autre chaine spécialisée outre le touite de l’rdl destiné à faire diversion.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/10/12/sillage-fete-bouc-vargas-llosa/
Moi je trouve ça plutôt bien, de pouvoir ainsi recaser les octogénaires à peu de frais bien au chaud au quai Conti, conformément à nos traditions universalistes… Il faudrait juste que ses AR Santiago/Paris pour les séances de l’AF ne soyent pas payées par nos impôts locaux… Désolé pour ce type de mesquineries matérielles, mais les GJ morflent encore pas mal, sont sensibles à cette pbmtq…
Bàv,

Alexia Neuhoff dit: à

« on apprend que le chilien Vargas LLosa »
Le Chili, c’est pas le Pérou, Janssen. Un effet de la vodka con lima ?

D. dit: à

Vous ne croyez pas si bien dire, JJJ : le blizzard des régions pré-andines est terrible, à la fois violent, extrêmement froid et ne cédant pas. Il a souvent tué des touristes mal avertis ou inconséquents.

et alii dit: à

en 2018, l’auteur péruvien dépeint ce qu’on pourrait dénommer son « autoportrait intellectuel » à partir de la synthèse de la vie et de l’œuvre de ses mentors philosophiques. Il étaye ainsi « le parcours qui [l’]a mené du marxisme et de l’existentialisme sartrien de [sa] jeunesse au libéralisme de [sa] maturité » (p.12), à travers les figures de sept penseurs auxquels il rend hommage : Adam Smith, José Ortega y Gasset, Friedrich Von Hayek, Karl Popper, Isaiah Berlin, Raymond Aron et Jean-François Revel. Par le témoignage de sa dette intellectuelle et politique à leur égard, Vargas Llosa défend une certaine vision du libéralisme.

En suivant l’ordre chronologique de leur naissance, l’écrivain dédie à chacun de ces auteurs un chapitre. En filigrane se dessine l’autobiographie idéologique du romancier et homme politique péruvien.
en 2018, l’auteur péruvien dépeint ce qu’on pourrait dénommer son « autoportrait intellectuel » à partir de la synthèse de la vie et de l’œuvre de ses mentors philosophiques. Il étaye ainsi « le parcours qui [l’]a mené du marxisme et de l’existentialisme sartrien de [sa] jeunesse au libéralisme de [sa] maturité » (p.12), à travers les figures de sept penseurs auxquels il rend hommage : Adam Smith, José Ortega y Gasset, Friedrich Von Hayek, Karl Popper, Isaiah Berlin, Raymond Aron et Jean-François Revel. Par le témoignage de sa dette intellectuelle et politique à leur égard, Vargas Llosa défend une certaine vision du libéralisme.

En suivant l’ordre chronologique de leur naissance, l’écrivain dédie à chacun de ces auteurs un chapitre. En filigrane se dessine l’autobiographie idéologique du romancier et homme politique péruvien.

et alii dit: à

un prix nobel n’est pas un chouchou, il est « devant »
en dettes et au front

Phil dit: à

ses AR Santiago/Paris pour les séances de l’AF ne soyent pas payées

lowcost for everybody, bouffe plastique, hôtesses rafistolées

et alii dit: à

eh bien si, j’avais oublié
ue de leur naissance, l’écrivain dédie à chacun de ces auteurs un chapitre. En filigrane se dessine l’autobiographie idéologique du romancier et homme politique péruvien.
vie des idées

rose dit: à

Vous ne croyez pas si bien dire, JJJ : le blizzard des régions pré-andines est terrible, à la fois violent, extrêmement froid et ne cédant pas. Il a souvent tué des touristes mal avertis ou inconséquents.

Oui
Et il soulève des tempêtes de neige sur la cordillère des Andes. Guillaumet en ait quelque chose.

D. dit: à

Il n’y a pas de blizzard au Chili, Rose.

Claudio Bahia dit: à

et alii dit: à
Sur la côte nord-est du Brésil, Salvador de Bahia, «ville la plus noire» du pays, incarne le point de convergence des cultures européennes, africaines et amérindiennes.
Depuis 1650, plus un seul « amérindien » à des centaines de km à la ronde autour da Bahia

Janssen J-J dit: à

@ AN, merci Alexia pour avoir remarqué la nationalité volontairement erronée de MVLl.. Nous vous savons toujours très attentive et vigilante sur la rdkl… La démo reste la même pour D., s’agissant des A/R Lima-RoissyCDG…
Tchin… avec un blanc limé, seulement… Restons sobre, à cette heursi..

Janssen J-J dit: à

bonjour Claudio. Ravi… Et vous ? que pensez-vous de votre compatriote sud-américain parachuté en notre AF ?
Sinon, les études du fiston, ça roule ?
On dit que Jair B, comme Makron, va pas faire long feu l’an prochain… Quid ? Bàv,

Claudio Bahia dit: à

@  » En 1498, Vasco de Gama rejoint le Mozambique, interroge les indigènes sur le Prêtre Jean, et apprend qu’il devrait être un peu plus au nord. »
Le premier à vouloir désespérément chercher le contact avec Preste João, c’est Henri le Navigateur, bien avant Vasco de Gama, qui ne s’intéressait qu’à Calicute.
l’Infant Henri espérait s’allier au r
Royaume de Preste João pour contrer l’hégémonie des Maures sur toute la côte occidentale de l’Afrique, par où se faisait le trafic de l’or, etc, etc….

Janssen J-J dit: à

@ ça devient problématique comme on aiment le scribouiller les tantes de ce blog (sic)
Quel charabia pédalo-tracté…, clope in my car !
Bàv,

Claudio Bahia dit: à

Janssen J-J dit: à
bonjour Claudio.

bonjour à vous aussi.
Philippe a commencé lundi passé le 4 octobre; il y a un énorme gap en mathématiques, son retard et très important, il doit travailler très dur et probablement prendre des cours d’appoint. Nous suivons cela de près,
Nous sommes au Portugal depuis le 2 septembre, et avons fait une escapade en Suisse et en France voisine. La Suisse est vraiment trop chère !….

Marie Sasseur dit: à

« Le Malawi est peuplé d’agriculteurs bantous de tradition matrilinéaire. À ces populations locales (Chewas, Tumbukas, Chipetas, notamment) se sont d’abord ajoutés les Yaos, arrivés il y a plusieurs siècles, qui se sont mis au service des trafiquants d’esclaves après s’être convertis à l’islam, puis les Ngonis, un des groupes de guerriers zoulous qui se dispersèrent en Afrique australe au début du xixe s. Le pays compte environ 50 % de chrétiens et 30 % de musulmans. La densité de la population est importante (130 habitants par km2, inégalement répartis sur le territoire) et la croissance démographique soutenue (environ 2,8 % par an). »
Larousse

Marie Sasseur dit: à

J’en connais plusieurs qui ont fait leur « coopé » in Africa. De très bons souvenirs, en général. Job de prof, pour la plupart.

« Auréolée d’une image positive, où l’on voyait le jeune appelé se former le caractère[C’est-à-dire ?] en donnant 16 mois de son travail à une bonne cause (par exemple la construction de puits au Sahel, la participation à l’alphabétisation et à l’enseignement, etc.), la coopé a aussi été considérée par certains comme un bon moyen d’échapper au Service militaire, tout en bénéficiant d’une expérience professionnelle valorisable.  »

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Coop%C3%A9ration_(service_national)

Patrice Charoulet dit: à

« UN PEU RACISTE » !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

En écoutant un débat, à la télé, Jean -Luc Mano m’apprend que dans les enquêtes d’opinion, beaucoup de gens reconnaissent être « un peu racistes ». J’ai mis dans mon titre une flopée de points d’exclamation. Comment en effet êttre « un peu raciste. ? On est raciste ou pas.
Il y a plusieurd décennies, il y avait des racistes dans leurs actes , mais quand on les interrogeait, ils se récriaien : « Je ne suis pas raciste ! ».Certes, quelques-uns , en parlant, disaient : « Je ne suis pas raciste, mais… »
Nous avons maintetant des gens qui disent : « Je suis un peu raciste. » C’est une phrase profondément surprenante. On aimerait avoir des précisions. Pas raciste le plus souvent et raciste parfois ? Pas raciste avec les Chinois, mais raciste avec les Arabes? Pas raciste avec les Juifs, mais raciste avec les Noirs ? Raciste dans mes pensées, mais mon racisme ne va pas jusqu’à tuer les gens ?
Dans tous ces cas-là, selon moi, on n’est pas « un peu raciste », on est raciste. Point barre.

Marie Sasseur dit: à

« Il faudrait juste que ses AR Santiago/Paris pour les séances de l’AF ne soyent pas payées par nos impôts locaux…  »

On va attendre que Passou s’y colle, aux  » temps sauvages » du futur immortel.
( ça me laissera le temps de le lire).

Houston do you copy that.
Mon prochain vol AF, sans escale, sera probablement pour le pays des hommes intègres. Ça fait bien dix ans, que ça devenait une évidence pour moi.

Marie Sasseur dit: à

Charolais, a lui tout seul, il est la honte de l’éducation nat franssaise.

et alii dit: à

il est permis de savoir:
(1804)[1] Selon Le Trésor de la Langue Française informatisé, l’hypothèse de l’espagnol algarabía[2], lui-même issu de l’arabe العَرَبِيَّةُ (el3arabiy²@u) (la langue arabe) est peu plausible pour ce qui est de la transition depuis l’espagnol[1]. Le mot a le sens de « émigrant auvergnat » : « émigrants que le marquis de Saluces avait baptisés du sobriquet de charabiats ». L’occitan charabiat, charabarat[3], composé de charrar (« parler ») et de barat (« troc »), a le sens de « marché aux chevaux, maquignonnage ».

et alii dit: à

eh bien charabiez bonsoir
charabier \ʃa.ʁa.bje\ intransitif ou transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

et alii dit: à

mais si vous préférez baragouiner!
 » La légendaire étymologie du verbe « baragouiner »

La légende populaire est certainement née d’une coïncidence linguistique au lendemain de la guerre de 1870. A cette époque, les parlers de France se rencontraient… et ne se comprenaient pas toujours ! On a ainsi affirmé que « baragouin » viendrait du breton « bara », pain et « gouin »/ « gwin », vin ; ce que les soldats bretons auraient réclamé souvent sans se faire comprendre, rendant le terme synonyme de « parler indistinctement, d’une manière incompréhensible ». Une note de M. Roulin au Littré évoque également une autre hypothèse proche : « Composé, non de « bara », pain, et « guin », vin, mais de « bara », pain, et « gwenn », blanc, les miliciens de la Basse-Bretagne, qui arrivaient à Rennes ou à Laval, et qui étaient logés et nourris chez les bourgeois, témoignant leur surprise et leur satisfaction à la vue du pain blanc et répétant « bara gwenn ».
N’y aurait-il pas une pointe de mépris dans cette étymologie un peu facile ? Le terme est en fait plus ancien : en 1580, Montaigne l’utilise dans Les Essais (Livre II), non sans dérision, évoquant un « livre basty d’un espagnol baragouiné en terminaisons latines ». Et même avant lui Rabelais faisait affirmer à Pantagruel au chapitre 9 de l’œuvre éponyme « Mon amy, ie n’entens poinct ce barragouin ». Remontons enfin le cours de l’Histoire de la langue de quelques siècles pour trouver la forme attestée de « barragouyn » chez Du Cange en 1391 (« Beaux seigneurs, je ne suis point Barragouyn : mais aussi bon chrestian ») alors synonyme de « sauvage », « grossier » ou « barbare ».

Ainsi l’histoire étonnante du mot a une origine bien plus lointaine mais toute aussi orgueilleuse : si l’on convient que le mot provient du latin « barbarus » emprunté lui-même au grec « β α ́ ρ ϐ α ρ ο ς » (dont le bégaiement interne habille le mot de ridicule), il signifie donc à l’origine « étranger », c’est à dire « n’étant pas grec » et, par extension, « non-civilisé » !

Nous pouvons achever cette petite recherche étymologique sur une autre coïncidence aux allures de vengeance : en effet en breton, « baragouiner » se dit « GREGACHat, -iñ » et signifie littéralement « parler grec »…

et alii dit: à

le lézard :
Le tristement célèbre « Roi Lézard » de Floride arrêté dans un braquage de tortues
Par Mindy Weisberger il y a 1 jour

La collecte et la vente de tortues d’eau douce sauvages ont été interdites en Floride en 2009.
and Van Nostrand earned his royal title after penning his memoir « The Lizard King » in 2008, The Associated Press (AP) reported. Full Story: Live Science (10/13)

et alii dit: à

Lorsque John Pennant est décédé le 6 octobre 1637, à l’âge de vingt et un ans, la famille du jeune homme a commencé à enquêter. Sa tante et son oncle, Sir Francis et Lady Herris, ont fait appel à un chirurgien pour effectuer une autopsie, accompagnés du médecin Edward May, qui raconte l’histoire suivante. Les organes de Pennant étaient dans un état mixte : sa vessie « pleine de matière purulente et ulcéreuse » ; un rein a été « consommé », l’autre « aussi gros que deux reins » ; les poumons étaient raisonnablement bons; et, bien qu’une partie de son foie ait une croissance irrégulière, cela pourrait être attribué à «sa profession d’écrivain». C’était le cœur qui semblait le plus touché – le ventricule gauche de Pennant était « aussi dur qu’une pierre » et avait rassemblé « tout le sang qui restait dans son corps ». Mais May et le chirurgien ont découvert plus que du sang.
https://publicdomainreview.org/collection/heart-serpent

et alii dit: à

Alexandre Lacroix publié le 13 octobre 2021 1 min
Le seul nom de la commission « Les Lumières à l’ère numérique », souhaitée par le président Emmanuel Macron et dirigée par le sociologue Gérald Bronner, pose une question philosophique : le web est-il un espace public propice à la liberté d’expression, et à l’organisation des luttes citoyennes ? Ou le lieu de la diffusion des fake news, du complotisme et un outil de surveillance ?
philomag

rose dit: à

Un serpent ds le coeur. Plus de besoin d’Eve

D. dit: à

Le service militaire doit être un service militaire. Point barre. La « coopération » à la place d’un service militaire est bien évidemment une hérésie. Laissons l’humanitaire aux humanitaires, bénévoles ou salariés.

Patrice Charoulet dit: à

Marie Sasseur

Quelle mouche vous pique ? Mon scribouillage sur le
racisme en est-il la cause ?

D. dit: à

Attention Monsieur Charoulet ! Marie Sasseur n’est qu’un pseudonyme destiné à dissimuler la véritable identité de cette internaute anonyme.
La déontologie vous ordonne ne pas discuter avec ce genre de personnage.

JiCé..... dit: à

JEUDI 14 OCTOBRE 2021, 6h22, 16°, vent d’Est force 2, ciel voilé

Instruit par de bons maitres d’école, il y a fort longtemps, j’ai appris que l’espèce humaine était composée de races diverses dont tout son charme à la vie humaine sur cette planète minuscule.

Depuis, j’ai vérifié, sans idée préconçue, que cette diversification était toujours réelle : les Nègres sont toujours noirs, les Asiatiques sont toujours jaunes, etc, etc…

…et les Blancs toujours aussi cons.

JiCé..... dit: à

…donnant tout son charme…

rose dit: à

Les humanitaires récemment en Haïti et ailleurs violaient la population qu’ ils étaient venus sauver.

rose dit: à

À remarquer chez les gens qui prennent le pouvoir par là force c’est leur constance dans l’acharnement à le garder.
Pour Blaise Compaoré 1987, date de l’assassinat de Sankara, 2014.

renato dit: à

Donc: “ Les murs ont ici des oreilles. Des espions sont postés derrière tous les rideaux, toutes les courtines, toutes les tapisseries. Les espions, les agents de ton service secret, chargés de rédiger de minutieux rapports sur les conjurations qu’abrite le palais… ”

closer dit: à

DES humanitaires…Rose.

rose dit: à

Oui. Certains.
Trop.
Burkina Faso : les hommes intègres.

Haute Volta c’est le haut du fleuve Volta.

rose dit: à

Écrire un livret (Italo Calvino) c’est mettre du texte sur la musique du compositeur ?

et alii dit: à

en attendant, parce que « ça commence à bien faire » la gérontophobie, sur ce blog,,je ne saisqui est la « marie », je m’en moque comme de ma dernière liquette (licet) depuis que j’ai appris le bon usage des « chemises oranges »,mais
Attesté depuis la moitié du XIXe siècle. Probablement du yiddish שנוק‎ (shnuk) (« nez, museau »), un substitut de שמאָק‎ (shmok) « pénis; crétin », cf. anglais américain shnook du même sens. [1] [2]
Le Trésor de la langue française donne pour étymon l’alémanique alsacien Schnokeloch (« trou à moustique »), du titre de la chanson De Hans im Schnokeloch (« Le Hans dans le trou à moustiques ») Référence nécessaire ;
Le langage parisien au XIXe siècle, publié en 1920, a chenoque (« nigaud », soit « bête comme un chien »), c’est-à-dire un dérivé de chien avec le suffixe -oque → voir chenil. Référence nécessaire
bonne journée

et alii dit: à

chemises!
Les produits Pathé’O, désormais, s’acquièrent dans une dizaine de capitales africaines. La chemise coûte 15 à 120.000 francs CFA (env 23 à 183 euros).

« Tout le monde a bénéficié de son nom »

« Mandela, comme il est très médiatique… tout le monde a bénéficié de son nom, y compris nous », reconnaît le longiligne
tailleur, qui indique être né en 1950 ou 1954, « selon l’âge du village » burkinabé où il est né.
Sa relation avec Madiba, dit-il, débute « en 1994 ou 1995 », quand il offre deux chemises à Madiba, en plus des cinq que la chanteuse Miriam Makeba était venue acheter pour le président sud-africain.

« Quelques temps après j’ai reçu une lettre écrite de sa main dans laquelle il me disait: +l’Afrique de demain appartient aux créateurs de richesse+ ».

En 1998, Nelson Mandela lui consacre une demi-heure à Ouagadougou, lors d’un sommet de l’Union africaine. Le couturier ne parle pas anglais. Un traducteur facilite l’échange.
https://www.lexpress.fr/actualites/1/styles/les-chemises-mandela-colorees-et-imprimees-de-motifs-peu-protocolaires_1307081.html

et alii dit: à

son tailleur attitré, Sonwabile Ndamase, cette chemise à imprimés batik était la marque de fabrique de l’ancien chef d’Etat. Son port s’est répandu hors des frontières du pays, notamment au Kenya ou en Tanzanie. Cette chemise, il en aurait lui-même choisi les caractéristiques, pour se distinguer des autres chefs d’Etat africains tout en conservant un petit quelque chose caractéristique du continent. Le batik est pourtant une technique d’impression originaire de l’archipel de Java en Indonésie. Elle consiste à teindre un tissu couleur par couleur en épargnant certaines zones grâce à l’application d’une cire chaude pour un résultat qui oscille entre la fleur et le motif géométrique. En plus d’en avoir été l’ambassadeur mondial, jusqu’en Angleterre où il visita la Reine ainsi affublé, Nelson Mandela a fondé une marque de vêtements dont une partie des revenus revient à sa fondation de lutte contre sida. Son nom, 46664, fait référence au numéro de matricule de Madiba lors de son séjour en prison. On peut donc être prix Nobel de la paix et homme de style à la fois.

et alii dit: à

qu’à sa naissance, le 18 juillet 1918, dans le petit village de Mvezo, dans le Transkei, son père lui a donné le nom de Rolihlahla: « Celui par qui les problèmes arrivent ».
C’est son institutrice qui lui a donné le prénom de Nelson: « Le premier jour d’école, mon institutrice, Miss Mdingane, a donné à chacun un nom anglais. C’était une coutume chez les Africains à cette époque et elle était sans doute due au penchant anglais de notre éducation. Ce jour-là, Miss Mdingane me dit que mon nom était Nelson. Pourquoi elle m’a donné ce prénom en particulier ? Je n’en ai aucune idée », raconte l’ancien prisonnier combattant de la lutte contre la ségrégation raciale dans ses mémoires, Un long chemin vers la liberté.

renato dit: à

« Écrire un livret (Italo Calvino) c’est mettre du texte sur la musique du compositeur ? »

Un roi écoute est un opéra de Berio, auteur du livret italien aussi. Il est basé sur une histoire du recueil Sotto il sole giaguaro de Calvino. Berio a aussi incorporé des extraits du livret de 1778 de Friedrich Einsiedel (remanié par Friedrich Wilhelm Gotter entre 1790 et 1791) pour une œuvre basée sur La Tempête de Shakespeare — devenu Die Geisterinsel en 1798, musique de Friedrich Fleischmann. Une autre source était également The Sea and the Mirror. A Commentary on The Tempest de Shakespeare de W. H. Auden.

et alii dit: à

Nelson Mandela. Mais savez-vous d’où vient ce nom ? Nom clanique et signe de profond respect. Loin d’être un surnom choisi aléatoirement ou pour des raisons arbitraires, Madiba n’est autre que le nom de clan tribal de Nelson Mandela, c’est-à-dire le nom qui lui vient de ses ancêtres : ceux-ci appartenaient, comme Nelson lui-même, à l’ethnie Xhaso, et faisaient même partie de la famille royale du clan. Or, en Afrique du Sud, le nom hérité du clan revêt une signification particulière, il prévaut sur le nom et le prénom. Par conséquent, appeler Nelson Mandela « Madiba » est un signe de profond respect, ce dernier préférant d’ailleurs qu’on s’adresse à lui par son nom clanique. Nelson Rolihlahla « Madiba » Mandela. Cependant, il ne faut pas confondre son nom de clan, Madiba, avec son prénom d’origine, Rolihlahla. Ce dernier, qu’il a reçu à la naissance, signifie « enlever une branche » ou encore « fauteur de trouble ». Le prénom usuel de l’ancien président, Nelson, ne lui a été attribué que quand il est entré à l’école. Le père de l’Afrique du Sud a d’ailleurs déclaré au sujet de son prénom anglais : « https://news.abidjan.net/articles/464158/nelson-mandela-pourquoi-l8217appelle-t-on-madiba-en-afrique-du-sud

Janssen J-J dit: à

Résultats de la grande pêche à la marée nocturne (14.10.12@ 9.58) :
-> Nous souffrons tous, les erdéliens, de quelque discrimination, de la part en général de celles qui en sont les plus pourfendeuses… Par exemple, de la gérontophobie…, Mais les chrétiennes sont toujours blanches, il faut le savoir. Bonjour.
– Reprécisons certains faits historiques qui se perdent déjà dans les horreurs mémorielles pour ne pas les oublier… et les rappeler aux enfants en classe d’histoire-géo.
https://information.tv5monde.com/terriennes/oxfam-prostitution-abus-sexuels-viols-des-accusations-de-plus-en-plus-lourdes-220473
-> Achevé ma lecture du dernier Volodine (« les filles de Monroe »). Vous n’en aurez jamais fini avec la liquidation des traitres et des espions psychiatrisés autour du comité central du Soviet suprême, Même morts ou dans les limbes, et sous des pluies infinies, grises et torrentielles, ils réclament toujours vengeance, ils perpétuent la lutte idéologique « à mort » de leur vie, ce qui est très cocasse, dans le monde post mortem de l’écrivain… où les femmes, hélas, n’ ont pas réussi à prendre le pouvoir… en dehors de l’une d’entre elle, fameuse érotomane… Ce sont de jeunes guerrières fanatiques, tueuses de sang froid, certes… mais pour la plupart, instrumentées par un ennemi salopard qui les aura toutes trahies lui-même… Au moins n’auront-elles jamais voulu profiter de leur potentiel érotique à l’égard des cadres du Parti… Quant à Breton et son double (le narrateur un brin pleutre, mais en osmose avec des arbres et des animaux toujours vivants) , il est comme réduit aux utilités, tel un gros jean comme devant… L’anti-héros volodien type… (morale ? ///**A désespérer de soixante-dix ans de massacres, et de catastrophes nucléaires diverses et variées)…
– @ SV, avez-vous déjà commenté Antoine Volodine sur votre chaine ? Que pensez-vous de ce conteur dérangeant que… pourmapar je persiste à fréquenter depuis des années, à cause du plaisir que me procure l’extrême originalité de son imaginaire fuligineux… Bien sûr, je pourrais développer, mais il faudrait du répondant, et pas des copiés-collés. Sans doute un signe adressé de Passoul, qui a toujours méconnu cet immense écrivain de notre temps.

JiCé..... dit: à

Géronte confirmé moi-même, je pense ne pas être un gérontophobe sadique en affirmant qu’il suffirait d’abattre froidement les pensionnaires, affectueusement remisés en EHPAD par les familles, pour résoudre le problème des retraites et donner un peu de joie aux héritiers d’iceux au chômage…

Soyons solidaires, par Raymond Lulle !

et alii dit: à

gérontophobie:
mais on dit « petit con »
et « vieux schnok », et pas petit ni grand!

Patrice Charoulet dit: à

à Marie Sasseur

Je pourrais déformer votre patronyme comme vous déformez le mien. Je ne m’abaisserai pas à cela.
J’ai lu plus de bons livres analysant et critiquant (à juste titre) les racismes que vous ne pourriez l’imaginer. Je vous en épargnerai la liste.
J’en reviens à mon grief. Quel rapport entre ma prise de parole CONTRE les racismes et ma carrière d’enseignant, que vous supposez honteuse ? Vous me diffamez publiquement et sans le moindre fondement. Est-ce convenable ?
En passant, quelle est votre vrai nom ? Quelle est ou quelle fut votre profession ?
Moi, j’ai dit mon vrai nom, ma vraie profession.

et alii dit: à

schnook (n.)
1948, probablement du yiddish shnuk « trompe d’éléphant », ou modifié de schmuck (qv), ou peut-être de l’allemand schnucke « un petit mouton », utilisé en yiddish américain pour « un client facilement persuadé, un meunier ».

et alii dit: à

d) La quatrième représentation de la conscience commune remise en cause par l’anthropologie, c’est la manie de la comparaison des civilisés, comme si certaines civilisations étaient supérieures à d’autres par leur niveau technologique, matériel, leur confort, leur richesse, leur valeur morale, etc. Or l’analyse comparée des valeurs, des récits, des mythes, des pratiques ne suppose justement pas une hiérarchie: pas plus qu’il n’y a de Beau ou de Laid, il n’ y a ni Bien ni Mal qui serviraient de critères. Lévi-Strauss l’affirme toujours nettement : « Les cultures sont incommensurables », ce sont des grandeurs sui generis, incomparables ; il n’y a pas d’unité de mesure, d’étalon de mesure (AFL, p. 15). Il faut donc, sagesse épistémologique oblige, considérer la civilisation japonaise comme un en soi, une totalité absolument souveraine…

et alii dit: à

L’admiration que Lévi-Strauss porte à cette civilisation vient de ce qu’elle résiste à sa dissolution historique et politique (ce que Durkheim avait déjà remarqué) ; elle porte sur le pérenne, sur ce qui relève du « dur désir de durer », comme dit Eluard, sur cet invariant que l’histoire lente du Japon aura insensiblement construit, elle porte sur la structure et ses expressions, sur la logique profonde qui sous-tend les événements révélant la structure (un kantien dirait : sur les phénomènes qui révèlent le noumène…). Pour Lévi-Strauss, Dieu est dans les détails, et il suffit de remonter des détails à Dieu…

lmd dit: à

Le malheureux René Maran semblant n’être de nulle part,
et chacun poursuivant son idée :
Airegin, composition de Sonny Rollins, apparue dans le disque Bags Groove d’un fameux quintet de Miles Davis
https://www.youtube.com/watch?v=nlc907zBBFY

et alii dit: à

levi strauss:
. Ce « plus beau fleuron de la discrimination » (pour reprendre la traduction d’un des grands ouvrages de l’hindouisme, la Viveka-cuda-mani) de l’art de vivre japonais culmine, comme on sait dans la cuisine, l’art floral, l’art des jardins, la céramique, les habits traditionnels ou les cérémonies…
bonzaï

et alii dit: à

levi strauss et fantasmes
la consistance du moi, souci majeur de toute la philosophie occidentale, ne résiste pas à son application continue au même objet qui l’envahit tout entier et l’imprègne du sentiment vécu de son irréalité.

lmd dit: à

Moi aussi j’apprécie beaucoup Stan Getz !
Le jazz est exemplaire, c’est une forme qui a accédé à une quasi universalité en moins d’un demi siècle, développé sur des fondations afro-américaines.

Marie Sasseur dit: à

@J’ai lu plus de bons livres analysant et critiquant (à juste titre) les racismes que vous ne pourriez l’imaginer. Je vous en épargnerai la liste.

Je m’en tape charolais; réservez vos pitreries  » professionnelles  » pour vos réunions sous le préau.
Vous êtes sur un blog, pas à une réunion de conseil d’administration sur zoom, vieux cretin.

Claudio Bahia dit: à

« Vous êtes sur un blog, pas à une réunion de conseil d’administration sur zoom, vieux cretin. »
la marie surie dans toute sa puanteur; et toujours pas virée de de ce blog qu’elle contamine de son haleine putride et phénolée.
Passou, dites-nous franchement: pour combien de temps encore cela va-t-il durer?

et alii dit: à

claudio
renato a envoyé un article que l’on dirait pour vous, surememt le plus à même d’y apporter quelques échos

Claudio Bahia dit: à

@ et Ali: « … Lévi-Strauss l’affirme toujours nettement : « Les cultures sont incommensurables »,… »
comme vous, j’admire ce grand savant, merci pour ces courts post sur Lévi-Strauss.

Claudio Bahia dit: à

je n’avais pas vu, je vais lire avec interet le lien de Renato, merci

et alii dit: à

Afrosurrealism is a visual and literary movement that uses the surreal and otherworldly to visualise the present. This exhibition looks at the world through a Black British lens, featuring the work of Hamed Maiye and Adama Jalloh. “With a history of our stories being told for us and that still being an underlying issue now,” notes Jalloh, “Afrosurrealism feels like another way to combat that but also giving freedom in a broader way on how we choose to display our narratives.”
SUR
Aesthetica Magazine
RENATO? POURRIEZ VOUS PR2SENTER CE DOSSIER.JE SUIS EPUISE merci

et alii dit: à

James Barnor (né le 6 juin 1929 à Accra, Côte de l’Or actuel Ghana) est un photographe portraitiste ghanéen.
: « En 1947 je me suis formé au portrait auprès de mon cousin (…) C’est comme ça que j’ai pu acheter mon premier appareil à crédit. Ensuite, j’ai été formé à la photo de presse pour le Daily Graphic et je me suis focalisé sur des reportages qui racontaient la vie des gens2. »

Surnommé « Lucky Jim », il est le premier journaliste photo à temps plein du temps dans les années 1950. Il collabore au magazine sud-africain Drum, fondé en 19512 pour lequel il réalise de nombreux portraits de femmes africaines3.

et alii dit: à

BARNOR:
. En 1959, il est arrivé à Londres, poursuivant ses études et ses missions pour l’influent magazine sud-africain Drum, qui reflétait l’esprit de l’époque et les expériences de la diaspora africaine en plein essor à Londres. Il est retourné au Ghana au début des années 1970 pour établir le premier laboratoire de traitement des couleurs du pays tout en poursuivant son travail de portraitiste et en s’intégrant dans la scène musicale. Il retourne à Londres en 1994
https://london.architecturediary.org/event/james-barnor-accra-london-a-retrospective/

Claudio Bahia dit: à

Ayant profité de ma longue escapade en Europe (qui se poursuivra jusqu’à fin octobre), j’ai commandé quelques livres chez Amazon dont voici la liste:
– M. du Sautoy : La Symétrie, ou les maths au clair de lune (un indice donné par Et Alli)
– Jean Eisenstaedt : Einstein et la relativité générale
– Jean Favier : Charlemagne
– Alexandre Pouchkine : La fille du capitaine, suivi de « Pouchkine et Pougatchov » par Marina Tsvetaïeva
– Stephen Hawking : Une brève histoire du temps
– Emmanuel Le Roy Ladurie : Le Siècle des Platter, tome I
– Jean Sellier : Une Histoire des langues et des peuples qui les parlent (un pavé de plus d’un kilo, et qui va me passionner)
– J.M. Coetzee : En attendant les Barbares (le seul que j’ai eu le temps de lire até agora

et alii dit: à

Theodore « Ted » Joans (4 juillet 1928 – 25 avril 2003) était un trompettiste de free jazz, poète et peintre américain. Il fut l’un dès rares poète-musiciens afro-américains associé à la Beat Generation, ami de Jack Kerouac, Allen Ginsberg, Bob Kaufman.

Ted Joans développe un style très personnel de lecture à haute voix ou de déclamation de ses poèmes. Il déclare: « I don’t sing the words, I swing the words. » (« Je ne chante pas les mots, je les swingue ») Proche de Langston Hughes, en tant que musicien de free jazz, il joue avec John Coltrane et Albert Ayler.
Dans les années 60 il découvre Paris, rencontre André Breton, Éric Losfeld et finit par s’installer à Tombouctou où il achète une maison. Il se qualifie dès 1960 de Surréaliste Noir (I, Black Surrealist). Grand voyageur, il circulera en permanence entre trois continents : Amérique du Nord (il est mort à Vancouver), Europe, Afrique.

Il se disait très proche de LeRoi Jones (Amiri Baraka) et dès 1966, se rapprochera du courant Black Panthers, tout en affirmant ses distances.

Il voyage beaucoup sur tout le continent Africain, souvent à pied ou en auto-stop.

et alii dit: à

Le cinéaste haïtien Raoul Peck fait résonner les mots de l’écrivain américain James Baldwin dans « I am not your negro » aux éditions Robert Laffont, livre tiré du film documentaire éponyme.
https://www.youtube.com/watch?v=XlcO5-lid3Y

rose dit: à

tout en affirmant ses distances.

Il voyage beaucoup sur tout le continent Africain, souvent à pied ou en auto-stop.

En auto stop.
Hitchhiking. Hiking signifiant randonner.

rose dit: à

En tout cas, sans atermoyer, Princesse Charlène, lorsque sa vie personnelle a commencé à être insupportable, elle a pris ses cliques et ses claques, mais pas ses enfants -je pense beaucoup à Gabrielle – et elle est rentrée en Afrique. Ce qui confirme que c’est bien un berceau.
Devrions rendre hommage à l’Afrique plus souvent.
Et tant pis si personne ne cite Ousmane Shaw. L’est dans nos coeurs toutefois.

lmd dit: à

Je ne sais pas bien délimiter cet afrosurrealism (un peu trop de monde pour bien s’y retrouver). Mais on ne peut passer sous silence Wifredo Lam, indubitablement surréaliste mais pas tout à fait Africain (père chinois et mère métis afro-cubaine ).

Soleil vert dit: à

>PaulEdel : »« l ‘est. et selon Mann dans sa correspondance ce vertige amoureux adolescent a à voir avec le Tristan de Wagner. »

Me renforce dans l’idée de ne pas chroniquer « La montagne magique »… la correspondance de T Mann !, suis dépassé, me manquent pleins de lectures périphériques

>JJJ, non pas de Volodine sur ma chaine. Il avait fait un passage à la librairie Charybde en 2016 je crois, c’était la foule. Auteur très prisé des jeunes générations.

D. dit: à

Raoul Puck ? Je connais, il vient souvent commenter ici.

D. dit: à

Ce soir c’est poussin pané.

rose dit: à

Pfff.

et alii dit: à

Empr. à l’angl.trekking, subst. verbal, att. dep. 1858, de to trek, angl. d’Afrique du Sud signifiant « voyager, émigrer » (à propos de personnes ou d’animaux)

rose dit: à

J’ai trouvé un
Omlet.
Oeuf de Salvador Dali.
Quatre essais, aucun ne passe.

et alii dit: à

Hist. C’est vers la fin des années 70 que le DJ Afrika Bambaataa, alarmé par les rixes sanglantes des gangs blacks du Bronx, fonda l’Universal Zulu Nation. Un mouvement pacifique organisé autour du mouvement artistique Hip-hop (le moove). Ce mouvement regroupait les talents de la rue (blacks de New-York principalement au début) : chanteurs rap et musiciens, graffiti-artistes (tagueurs) et danseurs (break dance, smurf, …) et avait pour vocation première l’objectif de ramener les jeunes à la raison.
Le hip-hop traverse l’Atlantique est débarque en France vers le début des années 80 où une émission de télé lui est consacré (HIP-HOP avec comme animateur le Dee-Jay Sidney). Mais le public, noyé par la new-wave rock ne semble pas vraiment accroché, seuls les 12-16 ans semblent s’y intéresser et commencent à se tortiller sur des sons d’Herbie Hancock (qui à l’occasion avait temporairement laissé le Jazz-Rock pour verser dans un morceau particulièrement break), des Run DMC et des Break Machine. C’est pendant cette période que la presse fait grand bruit autour de petites embrouilles d’adolescents, de jeunes loubards qui étrangement du fait de leurs origines ethniques sont rebaptisés Zoulous. Le zoulou devient la nouvelle menace pour la société. Agé d’une quinzaine d’année, généralement bronzé, habillé de vêtements trop larges, de survêtements et de baskets, calqué sur la mode américaine, il sévit dans le R.E.R. où il agresse et dépouille d’autres jeunes de leur Walkman, leur blouson (Chevignon, la marque à la mode de l’époque) et autres accessoires d’importance vitale. Les Halles deviennent le coin le plus craignos où il devient impossible de s’y risquer la nuit. Mais cette délinquance juvénile n’a de rapport avec le hip-hop que parce qu’elle s’y trouve illustrée au travers de ses lyrics raps. Les populations d’immigrés afro-antillaises et maghrébines qui s’identifient d’emblé à leurs homologues américains respectivement afro-américains et latinos adoptent tout de suite la culture hip-hop.
Mais il faudra attendre la fin des années 80, début 90 pour voir finalement émerger du lot quelques figures mythiques du rap français et de son proche cousin le raggameffin : Suprême NTM (Authentik, 1991), IAM (…de la planète mars, 1991), MC Solaar (Qui sème le vent récolte le tempo, 1991), Tonton David (Le blues des racailles, 1991), Sens Unik (L

https://www.dictionnairedelazone.fr/dictionary/definition/zoulou

Jibé dit: à

Juste un signe, pour Samuel Paty
et tous ceux qui risquent leur vie parce qu’ils font cours sous les auspices de la République laïque.
Plusieurs de ses collègues ont changé de métier ou d’établissement scolaire, non seulement parce que passer devant son casier et utiliser les mêmes cartes que lui en cours leur était insupportable, mais aussi pour ne pas savoir qu’ils étaient devant des mômes qui avaient échangé sur les réseaux les images de son massacre. Il m’arrive de penser que certains de mes étudiants ont aussi fait cela il y a un an, probable en tout cas. Faut s’accrocher à son bureau et à la conviction qu’il y en a d’autres que ceux-là pour tenir.

et alii dit: à

je ne sais plus si on a signalé son livre:
La force des femmes
Denis Mukwege
Gallimard, 2021

Bloom dit: à

« On m’a imposé le silence mais on ne me fera pas taire », dit le personnage d’Ovide, en exil sur les froides rives de la MercNoire, dans le roman de David Malouf, « Une Vie imaginaire ».
C’est ce qui me vient à l’esprit en pensant à Samuel Paty, Jibé.

* « I have been silenced. But will not be stilled ».

Bloom dit: à

Mer noire

rose dit: à

Ils échangent les vidéos et ils rient.
En 6ème, un amour.
Dodo.
En 5ème agité.
En 4ème visionné sur son portable les décapitations ds des pays lointains, rit déjà.
En 3ème ingérable.
Suite à un conseil de discipline, est exclu du collège.
Lorsqu’il revient, avec la complicité active de sa mère, il harcèle la prof principale, jusqu’à ce qu’elle craqué, quitte son boulot et soit en arrêt maladie, de longs mois.
Ensuite, elle quittera elle aussi l’établissement.

Le gosse, lui, vraiment un brave petit l’année de sixième est convaincu de deux choses : son bon droit et l’impunité.

Avant, il y a vingt ans en arrière, les chefs d’établissement n’étaient pas formés à ce type de relation enseignant/élèves, avaient pour consigne du recrorat « pas de vagues », et comme leur mutation dépendait de leur pourcentage d’incidents et de conseils de discipline dans leur établissement, un joyeux bordel régnait.
Ce qui n’a pas amélioré la situation actuelle.

rose dit: à

Dodi.
Pas dodo.

et alii dit: à

un artiste que j’aime beaucoup
on le dit très cher
El Anatsui est né à Anyako, dans la Région de la Volta du Ghana. Il a été le plus jeune des 32 enfants de son père. Il a perdu sa mère et a été élevé par son oncle. Sa langue maternelle est l’éwé5. Sa première expérience de l’art a été celle de dessiner des lettres sur le tableau6. Il étudie les beaux-arts à l’université des sciences et technologies Kwame Nkrumah à Kumasi, dont il est diplômé en 1969. Entre 1975 et 2000, il enseigne la sculpture à l’université de Nsukka au Nigeria2.

Marie Sasseur dit: à

Congo belge. Plainte pour crime contre l’humanité déposée contre  » le royaume  »

« Elles sont cinq plaignantes, toutes nées dans les années 1940 dans ce qui était, à l’époque, le Congo belge. Nées d’un père belge et d’une mère congolaise, elles ont été arrachées à leurs familles africaines et placées dans des missions catholiques. Des instituts gérés par l’Église, mais qui résultaient en fait d’une politique voulue par l’administration coloniale. Entre 12 000 et 20 000 métis ont été ainsi placés, au Congo belge mais aussi dans les mandats coloniaux belges du Rwanda et Burundi. »

https://www.rfi.fr/fr/afrique/20211014-colonisation-du-congo-des-femmes-m%C3%A9tisses-attaquent-l-%C3%A9tat-belge-pour-crime-contre-l-humanit%C3%A9

Ces crimes ont été commis au nom de la suprématie de la race blanche, comme s’en est expliquée une des plaignantes, tout a l’heure a la radio.
15000 personnes auraient été ainsi traitées comme des animaux.

Marie Sasseur dit: à

Conflans Ste Honorine est une petite bourgade très bourgeoise de la banlieue parisienne.
Je crois que Michel Rocard est associé à l’image de cette commune.
C’est tout ce dont je peux témoigner.

et alii dit: à

Ce fut une rencontre fortuite avec un sac de capsules de bouteilles jetées qui a inspiré El Anatsui à produire ses tentures murales désormais emblématiques. Pour lui, les matériaux parlaient de transformation, de réutilisation, de matérialité et d’environnementalisme. Ils lui ont fait penser au développement de l’Afrique, à la manière dont les nations se connectaient les unes aux autres et à la façon dont elles répondaient au capitalisme occidental. Bien qu’il se soit toujours considéré comme un peintre, Anatsui adopte la fluidité d’une approche textile dans son travail car elle se marie bien avec la question de l’identité ethnique – et particulièrement panafricaine. En effet, Anatsui lui-même a proclamé: «Je ne crois pas que les œuvres d’art soient des choses fixes.» C’est pour cette raison que l’artiste est particulièrement attiré par un élément textile de ses œuvres, car le tissu est «toujours en mouvement». peut être remodelé, accroché; c’est fluide. Ses œuvres reflètent ainsi la pluralité et la fluidité de la culture africaine, tout en la fédérant – chaque bouchon de bouteille est singulier, un individu, et pourtant ils se serrent les uns les autres pour former un tout formidable.
https://pavillon54.com/fr/blog/39-el-anatsui-of-bonds-and-bottle-caps/

Bloom dit: à

Dans « Sa Majesté les mouches », W. Golding avait dézingué la vision lénifiante de l’enfance innocente.
Quelques années auparavant, Orwell décrivait des enfants qui trahissent leurs parents.
Dans les années 60, dans Le Marin rejeté par la mer, Mishima faisait d’un gamin un nazillon de premier ordre.
Quand la littérature fait parler la vie…

Marie Sasseur dit: à

« Un système généralisé »

« Durant la colonisation, le métis était considéré comme une menace pour la suprématie de la race blanche, il fallait l’écarter », a relaté Me Hirsch, parlant d’un « système généralisé » mis en place par l’État belge.

Les avocats de l’État devaient ensuite prendre la parole. Ils contestent les faits et la qualification retenue par les plaignantes. Les « crimes contre l’humanité » sont imprescriptibles en droit belge, comme les crimes de génocide et crimes de guerre.

Ce procès est le premier en Belgique à mettre en lumière le sort réservé aux métis nés dans les anciennes colonies belges (Congo, Rwanda, Burundi), jamais officiellement recensés mais dont le nombre est généralement estimé autour de 15 000.

La plupart des enfants nés de l’union entre une Noire et un Blanc n’étaient pas reconnus par leur père, et ne devaient se mêler ni aux Blancs, ni aux Africains.

Conséquence pour beaucoup : la mise sous tutelle de l’État et le placement en orphelinat moyennant le versement de subventions à ces institutions, généralement gérées par l’Église catholique.

« À l’école, on nous traitait de ‘café au lait’. Nous n’étions pas acceptés », s’est souvenue une des plaignantes, Simone Ngalula, lors d’un entretien avec l’AFP en septembre 2020.

« On nous appelait ‘les enfants du péché’. Un Blanc ne pouvait pas épouser une Noire. L’enfant né de cette union était un enfant de la prostitution », a raconté Léa Tavares Mujinga, née d’un père portugais et enlevée à l’âge de 2 ans dans les années 1940. »

https://www.france24.com/fr/europe/20211014-m%C3%A9tis-des-ex-colonies-la-belgique-face-%C3%A0-la-justice-pour-crimes-contre-l-humanit%C3%A9

Marie Sasseur dit: à

Vous n’êtes pas tout seul sous le préau charolais, je peux vous appeler Samuel , comme les autres ?

Marie Sasseur dit: à

Moi, de ma vie, je n’ai jamais eu un professeur d’histoire- géo, qui se soit pointé en classe avec Hara-Kiri, comme manuel scolaire.

Jean Langoncet dit: à

@je n’ai jamais eu un professeur d’histoire- géo, qui se soit pointé en classe avec Hara-Kiri, comme manuel scolaire.

Il fallait poursuivre des études supérieures. Deleuze à Paris 8 animait ses cours en évoquant l’évolution de la voix de Dylan (oui, B) :
« je voudrais arriver à faire un cours comme Dylan organise une chanson ».
Ah, les seventies

rose dit: à

El Anatsui
Men’s cloth au Brirish Museum waouh ! Superbe…

rose dit: à

British museum.

Quelle histoire magnifique de penser que chacun a un artiste en soi, puis de laisser s’épanouir l’artiste qu’il a en lui !💪

rose dit: à

Et Derrida 😳?

Marie Sasseur dit: à

Plus gros vendeur français de disques.

« Gims (/ɡims/[1]), anciennement Maître Gims, de son vrai nom Gandhi Djuna, né le 6 mai 1986 à Kinshasa (anciennement le Zaïre, aujourd’hui la république démocratique du Congo), est un auteur-compositeur-interprète et rappeur congolais. Il a grandi en France. En 1988 il immigre en France et vit dans un foyer dans le département de l’Essonne. Il vit actuellement en France et au Maroc[Quand ?]. Il est un ancien membre du groupe hip-hop Sexion d’Assaut et a sorti son premier album sur une major, Subliminal (2013). L’album s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires soit la certification de double disque de diamant en France et a culminé à la deuxième place du classement des albums français. »

rose dit: à

Histoire d’un intérêt constant, celle de Boubacar Bâ.
Son engagement auprès de l’Afrique.
Son retour en France pour ses vieux jours.
Chacun est libre de ses choix. Quel beau parcours.
Parler avec lui serait un enrichissement constant.

Phil dit: à

quelques livres sur Amazon

Connaissez vous ceux du marquis de Wavrin, dear mister Bahia ? Un bon Belge qui fit le voyage ethnographique dix ans avant Levi-Strauss et le poussa plus loin dans le Sertao que le Français guère aventureux, pourtant né à Bruxelles. Son Amazonie vous rendra le Paris Rio sexy.
La notule Maran Chardonne n’a pas débusqué les spécialistes littéraires années 20, tous morts probablement, pas une seule occurrence pour André Demaison, ni Herbart etc.. Envasé dans les liens fnaqueux livrés par la recluse de poitiers du prestigieux blog. Reste la définition etalii vom Niveau sur la schnockerie dans le tlf.

Marie Sasseur dit: à

« Dans un livre d’entretiens, le journaliste et fin connaisseur de l’Afrique, Seidik Abba, rend hommage au professeur de mathématique nigérien Boubacar Ba. Cet intellectuel d’exception fut le premier africain à avoir intégrer l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’ULM

Rappeler aujourd’hui les figures emblématiques de l’excellence africaine comme Senghor, Ki-Zerbo, Ba, Cheikh AntaDiop, n’est pas une démarche passéiste. Il s’agit surtout d’en faire des exemples qui montrent la voie aux jeunes Africains et confortent en eux le sentiment du « Yes, we can ». Seidik Abba.

« Entretiens avec Boubacar Ba, une nigérien au destin exceptionnel » Ed. L’Harmattan, avril 2015.

Parmi les personnalités aux destins hors du commun, peu choisissent la discrétion comme boussole de vie. C’est le cas du grand mathématicien nigérien Boubakar Ba, premier africain à avoir intégré l’ENS de la rue d’ULM en 1956, plus à l’aise devant ses équations qu’au micro des journalistes. Inconnu du grand public, le talentueux professeur qui a trainé sa bosse du Niger au Sénégal et de la Côte d’Ivoire à Madagascar pour transmettre son savoir fut un témoin exceptionnel de l’histoire de l’Afrique de l’Ouest. »

« Autre anecdote saillante, celle de la rencontre en 1968 avec Thomas Sankara à Antananarivo, la capitale malgache. Un épisode peu connu de la vie de celui qui pendant trois ans, a incarné l’anti-impérialisme panafricain à la tête du Burkina Faso avant d’être renversé par son frère d’arme Blaise Compaoré. Alors que Boubacar Ba oeuvre à Madagascar pour fonder l’Institut de Recherche en Mathématiques (IREM), Sankara, alors jeune officier stagiaire, se forme à l’art de la guerre à l’école militaire d’Antsirabé à l’est du pays. Lors de leur rencontre, M. Ba découvre une jeune homme ardent, doté d’une grande intelligence politique. « J’étais surpris à l’époque déjà par sa culture politique » explique le professeur. Bien plus ajoute l’auteur, « il perçoit chez Sankara une vraie conscience des enjeux africains (…). Il n’est pas vraiment surpris lorsqu’il apprend, plus tard, que Sankara a joué un rôle de premier plan lors du coup d’Etat de 1982 contre le lieutenant-colonel Saye Zerbo. Il n’a finalement pas été surpris non plus de voir le jeune capitaine se hisser à la tête de la Haute Volta de l’époque à la faveur du putsch de 1983 contre le médecin commandant Jean-Baptiste Ouédraogo ».

https://mondafrique.com/lafrique-post-coloniale-revisitee-par-boubacar-ba/

Bonsoir.

Jean Langoncet dit: à

@Reste la définition etalii vom Niveau sur la schnockerie dans le tlf.

Schmockerie de nazillon ?

Marie Sasseur dit: à

Il fouette encore de la gueule le vieux philopede.

rose dit: à

de l’excellence africaine comme Senghor, Ki-Zerbo, Ba, Cheikh AntaDiop, n’est pas une démarche passéiste. Il s’agit

Chez les mathématiciens, on voue un immense respect aux anciens.

Chez les immenses connards, on les voue aux gémonies et aux EHPAD, les anciens.

rose dit: à

Il y a quatre Volta

La noire, la blanche, la rouge et celle qui voit se mêlet les trois premières, bounga, boungadans la case en pisé.
httpss://fr.m.wikipedia.org/wiki/Volta_(fleuve)

Jean Langoncet dit: à

@« je voudrais arriver à faire un cours comme Dylan organise une chanson ».

Mais qu’est-ce donc que ces broutilles obsolètes et décadentes vis à vis des figures de Clovis, de Napoléon et de De Gaulle qui, agglomérées au format Zemour de La Télé, sont en passe de restaurer la grandeur de la France millénaire, fille aînée de l’Eglise ? Qui se moque de qui ?

D. dit: à

Voilà, je vais devoir vous faire des révélations sur ce qui nous attend.
Car si la première pandémie s’est, astrologiquement, éteinte, une seconde arrive, qui sera différente dans ses effets.

Jean Langoncet dit: à

La France n’a pas dit son dernier mot, D.. Tenez-vous le pour dit.

Marie Sasseur dit: à

@ »Si son roman à proprement parler relève de l’observation ethnographique en Oubangui-Chari (Afrique équatoriale française) relevé par une classique histoire d’amour, »

Classique histoire d’amour ?
Tres en vogue chez les pro- colonialistes, femme blanche- homme noir.
Une allégorie rhétorique pro-colonialiste très en vogue à l’époque de Maran. Ces auteurs comme Maran, Demaison, sont très logiquement devenus de bons pétainistes.

Cette impéritie litteraire d’alors, la  » classique histoire d’amour  » trouve aujourd’hui écho dans une forme de racialisme bourgeois parisien, et je ne doute pas que lecteurs d’extrême droite nationale identitaire aient dans leur catalogue choisi, le bouquin de marie .lol
Marie Darrieussecq et ses hommes noirs, qu’elle aime beaucoup.

Marie Sasseur dit: à

Cette impéritie litteraire d’alors, la  » classique histoire d’amour  » trouve aujourd’hui écho dans une forme de racialisme bourgeois parisien.

J’ai également était dans un commentaire :

Parmi les écartés de la sélection Goncourt, on trouve ce récit qui
« s’inspire du naturaliste français Michel Adanson, pour imaginer l’arrivée au Sénégal, en 1750, d’un jeune homme parti étudier la flore locale et qui découvrira les « richesses immatérielles » de l’Afrique. »

Un bon français des Lumières, dans une vision idyllique du bon colonisateur blanc qui tombe amoureux d’une indigène, dans une réécriture esclavagiste de l’histoire de d’Afrique.

Marie Sasseur dit: à

J’ai également écrit dans un commentaire, lumineux, comme toujours.

B dit: à

Une allégorie rhétorique pro-colonialiste très en vogue à l’époque de Maran. Ces auteurs comme Maran, Demaison, sont très logiquement devenus de bons pétainistes.

Disposez à vous d’un lien qui renseignerait sur ce point, si même les colonisés sont tombés dans ce panneau, c’est à désespérer. A moins que du bout de leur colonie ils n’aient pas perçu ni compris ni soupçonné les desseins d’Hitler. Puisque tout ceci est passionnant et vous passionne, je suppose que vous ou un autre pourra nous éclairer. Phil peut-être? En cela résiderait le scandale annoncé dans l’intitulé du billet actuellement en cours d’étude.

et alii dit: à

juste parce que Sfar a dit »:
Ce qui me plait, c’est le masque. Et j’aime bien qu’on l’ait tous à la maison, ça, ça m’intéresse »
je ne veux pas l’oublier

JiCé..... dit: à

Plutôt que de nous étendre avec un plaisir sadique sur la sombre gestion des tribus et peuplades indigènes qui la compose depuis toujours, quittons l’Afrique noire pour une ile enchanteresse.

Les intellectuels de l’Institut Bartabacs de Porquerolles ont décidé de suppléer au fiasco de l’EN en créant une Milice Sanitaire et Scolaire chargée d’éduquer la jeunesse afin de préparer son accession à l’isoloir, dès ses 16 ans.

Garçons et filles seront séparés. Les garçons, en majorité débiles, seront limités à l’étude des tables de multiplication SANS portable, les filles seront prises en main par les meilleurs d’entre nous, nuit et jour. On avance !

L’avenir politique du monde sera féminin ou ne sera pas.

Jibé dit: à

« Dans « Sa Majesté les mouches », W. Golding avait dézingué la vision lénifiante de l’enfance innocente »
oui Bloom, le roman de Golding en l’espèce reste inégalé. Dit tout en peu de pages. Nous aurait déniaisés s’il n’y avait pas autant de « cute » et de « sweet » systématiques associés aux gamins, ces adultes en puissance. D’ailleurs on note que beaucoup de terroristes sont très jeunes et souvent qualifiés « infantiles » ou « immatures » -vision schématique du monde, pulsions non réfrénées, etc etc (je ne suis pas psy). On retrouve ça avec le harcèlement sur réseaux djeuns.

Jibé dit: à

…et sur réseaux vieux d’ailleurs, cette immaturité et cette conviction d’impunité et de toute puissance.

B dit: à

Là, on a l’air de douter

https://www.jstor.org/stable/2443088

Publier dans la presse de Vichy, aura t il été collaborer et si oui jusqu’où et jusque quand. Après tout il en est d’autres qui n’en sortirent qu’après 1942. Beaucoup se sont trompés.

Jibé dit: à

…au service des pires idéologies ou autres croyances

B dit: à

Jibe, quand s’arrête l’enfance, à la pré adolescence? Un peu tôt, à l’adolescence, bien qu’ Elle soit malléable, influençable et forcément prêté à adopter des positions qui si elles ne s’enracinent pas plus longtemps rendent cet âge incertain, dangereux selon les vents et les cieux qui l’accompagnent.

et alii dit: à

sfar:
puis là, tout d’un coup, il y a trois histoires qui sont venues et celle-là est sans doute la moins drôle. Elle est même super triste, et je pense que celle d’après est vachement plus marrante, largement aussi désespérée, mais plus marrante puisqu’il y a un juif soviétique qui se sauve et puis qui veut créer un foyer juif en Afrique Noire. Et il va tomber sur des juifs noirs qui lui expliquent qu’un Juif, ça peut pas être blanc, c’est bien connu.
https://www.du9.org/entretien/chat-de-joann-sfar-le/

rose dit: à

Tenez-vous le pour dit.

Jean Langoncet dit: à
@une marseillaise

Echoes of France (c’est plus enlevé que du Getz)
https://www.youtube.com/watch?v=QyjJ3ThpRkA

Ademirable, je vous en remercie chaleureusement.
C’est comme quelqu’un qui est adopté par un pays et cela le rend pleinement heureux.

rose dit: à

Un idéal en somme.

et alii dit: à

japon et SFAR
Souvent, quand tu vas au Japon, t’es reçu par le pire ambassadeur possible, c’est-à-dire le Français fasciné par le Japon, qui a un diplôme, une licence de Japonais ou quoi, qui s’imagine qu’il a tout compris au pays. En fait, les Japonais le considèrent comme un singe — pour eux, de toute façon, tu peux apprendre pendant trente ans le Japonais, ils te considèrent toujours comme un truc. Ce type, il va t’expliquer combien c’est merveilleux, mais c’est merveilleux parce qu’il a réussi là-bas à avoir ses premières expériences sexuelles. En fait, il prétend être ouvert politiquement et tout, mais le mec est super content que les Japonais soient des super machos comme ça il passe pour un mec super ouvert, et que comme tout le monde s’imagine qu’il ressemble à Alain Delon, alors que globalement c’est pas le cas, le Japon c’est

rose dit: à

Beaucoup se sont trompés.

Parce que, classiquement, faut qu’ils soient du côté des plus forts.

rose dit: à

Toute la côte west America, c pareil. Les américains bas de plafond épousent tous des japonaises.
Un suisse une coréenne, happy life, happy wife, mais c’est qu’il est attentif à sa femme et elle sort de taule. Alors comment ne pas apprécier ?

Mylène Farmer éminemment belle. Elle. Tourne le clip des naufragés, de l’amour (Jacques Drillon).
Remarques :
Superbe clip, comme superbe travail de Mylène Farmer qui faisait partie du jury du dernier festival de Cannes. On ne saura jamais le pkoi de sa dernière rupture amoureuse. Pas ds Gala. Elle.

JiCé..... dit: à

Il est raisonnable d’être toujours du côté du plus fort et d’en profiter avec grandeur, et bassesses.

En cas de changement de vent, virer de bord immédiatement, trouver des témoins fiables (bien rémunérés par vos soins) qui confirmeront votre lutte, votre résistance, votre combat à l’intérieur du clan de ces salauds de vaincus. Puis, publier un livre expliquant votre sinueux cheminement.

Facile !… et très pratiqué.

et alii dit: à

Juifs séfarades et Juifs mizrahim vivant principalement au Maghreb d’Afrique du Nord, y compris le Maroc, l’Algérie, la Libye et la Tunisie, ainsi que le Soudan et l’Égypte. Certaines sont créés au début de la diaspora, d’autres après l’expulsion de la péninsule Ibérique à la fin du XVe siècle ;
Juifs sud-africains, qui sont pour la plupart des Juifs ashkénazes descendants de Juifs lituaniens immigrés avant et après l’Holocauste ;
Juifs éthiopiens (ou Beta Israel) vivant principalement dans les régions d’Amhara et de Tigray en Éthiopie et plus rarement en Érythrée.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_des_Juifs_en_Afrique

JiCé..... dit: à

« Au septième siècle, de nombreux Juifs espagnols fuient les persécutions des Wisigoths » (wiki)

La moitié de notre ascendance familiale descend des valeureux Wisigoths, créateurs de richesse, peuple courageux, sincère, et aussi con que d’autres, ayant tenté l’impossible : remettre une communauté auto-élue dans le droit chemin, conduisant à une impasse de plus.

Phil dit: à

très logiquement devenus de bons pétainistes.

Logique à mormoilnoeud procureuse franceculture, triste tropisme. Lisez Tropisme, Demaison écrit début du siècle . Il fait ravaler votre pastille vichy, bb, ou marier Dylan comme mister Langoncet, certes un bon parti au divorce.

et alii dit: à

Le projet Ouganda est un projet d’implantation juive au Kenya, alors sous l’autorité de l’empire britannique1. Il est présenté en 1903 par Theodor Herzl, et sur proposition britannique, lors du sixième Congrès sioniste, comme solution temporaire pour le peuple juif1. Du fait du refus du pouvoir ottoman d’accorder l’autorisation aux Juifs de s’installer en Palestine, et le désarroi des communautés d’Europe orientale grandissant, Herzl envisage l’idée d’une potentielle acceptation du projet. Nombreux dans le mouvement sioniste sont ceux qui redoutent ce projet, même comme solution temporaire. Herzl lui-même insiste, dans son discours lors du sixième Congrès, sur le fait que « l’Ouganda n’est pas Sion, et elle ne sera jamais Sion ». 292 voix pour, contre 177 contre et 132 abstentions amènent le Congrès à désigner trois représentants afin qu’ils étudient sur le terrain les possibilités d’implantation
Une poignée de familles venues de Pologne et de Russie s’installèrent tout de même au Kenya. En 2015, la communauté juive compte 150 membres, venus d’Europe, d’Afrique ou d’Asie1.

rose dit: à

Remarques, suite.

Ben, rien de grave ; chacun fait ce qu’il veut, s’il est heureux.

Johan Sfarr

Le choeur. Le coryphée chef de choeur.
Pause dans la narration, bilan, annonciation.
Prévenir le spectateur, atténuer la a catharsis. Dire c’est le drama, mais ça va à aller, t’en fais pas.

JiCé..... dit: à

L’impact de l’urbanisme sur la condition humaine vivant en zone urbaine est extraordinairement important !

Ce pourquoi, nous devons agir : le diabolique métis luciférien -pardonne moi, ô démon adoré mon diable chéri- vient de se saisir de l’opportunité de mettre le numérique au service du mal.

La RdL n’est que le début numériquement surjoué d’une offensive intellectuelle, aussi structurée et bien adaptée que la décision de Cristophoro Colombo d’aller faire du business à l’Est en partant à l’Ouest.

Construisons des murs tout autour des territoires perdus.

rose dit: à

Joann Sfar

Je m’emmerde à Paris, je rentre à Tokyo.
Lui la suit.
En Colombie, c’est pareil.
À toi Médellin.
Au Chili, c pas pareil. Où elles émigrent, à la Berlin et ailleurs (tu aurais pu te la boucler, mais tu ne savais pas) ou les mecs vont les chercher nommément. Les épousent, leur font deux gosses, se la pètent je m’emmerde je rentre en France. Elles suivent. Ils les enterrent dans une campagne paumée, où y a plus de femmes depuis 150 ans, plus d’hommes non plus d’ailleurs. Resteront les vaches.
Et viva la Vida.
Un des deux gosses sur deux retournera s’installer au Chili.
Fendant définitivement le coeur de sa mère, restée sur sa terre d’exil.
Lui se rapatriant.
À la recherche d’où ce qu’est que sa mère est partie.
En Australie, c pareil. Sauf qu’ils sont tous émigrés et immigrés. Sauf koalas kangourous et caïmans.

JiCé..... dit: à

…des murs poreux, naturellement accessibles aux porteurs de pass universanitaires, évidemment …

rose dit: à

Certes un bon, parti au divorce.

rose dit: à

et alii dit: à
Le projet Ouganda est un projet d’implantation juive au Kenya, alors sous l’autorité de l’empire britannique1. Il est présenté en 1903 par Theodor Herzl, et sur proposition britannique

C’est drôle cela et alii.
Pareil pour l’implantation juive dans l’Entrerios en Argentine.
Un autre baron dont j’ai le nom dans mes notes.

C’est comme cela que Joseph Kessel est né à Clara en Argentine en 1898. Pour
implantation d’une colonie juive en Amérique du Sud.En 2017, je ne sais pas : je dirai 50 personnes.

rose dit: à

Alain Delon au Japon, admiration directement liée au Samouraï.
Cette attitude hiératique. Ce dialogue avec l’oiseau. Cette solitude impénétrable.
Cette dignité inexpugnable.

Hypothèse : les japonais se seraient-ils sentis reconnus, où se seraient-ils compris ? On ne le saura pas plus que Mylène Farmer dans Gala.
Eugène Sue Les mystères de Paris.

JiCé..... dit: à

Précieusement, nous gardons en cage dans notre zoo varois de Porquerolles quelques Bretons ayant crû que la mondialisation avait un sens et qu’ils pourraient vivre et travailler en Méditerranée !

TRAVAILLER !?

Nous les traitons bien, leur parlant affectueusement surtout aux francophones. Ils continuent à affirmer leur credo :
« l’Europe est l’excroissance inachevée de la Bretagne »

Triste, irréaliste, communautariste, mais respectable, par Stivell !

et alii dit: à

« Devine où je te dévore », murmure le sphinx en exergue de Congo, bref récit d’Éric Vuillard. Et c’est bien de dévorations dont il s’agit tout au long de ces quatre-vingt-cinq pages nerveuses, irascibles, cuisantes: dévoration de l’Afrique par les blancs pachas, dévoration de l’âme par l’absence de remords, dévoration du temps noir par l’argent blanc, dévoration de la vie par le mépris. On pourrait parler d’une méthode Vuillard, mais ce serait mécaniser une approche qui tient davantage du traitement poétique. Et si Congo est qualifié, en couverture, de récit, ce n’est pas parce que l’auteur raconte, mais parce qu’il récite, comme un récitant, c’est-à-dire en hôte d’une histoire ravagée. Alors oui, Vuillard récite, mais ça n’a rien d’une récitation, soumise et dos au tableau noir, car ici, le tableau noir, c’est l’Afrique, et le récit suinte de ce tableau, il éclabousse, cherche des visages à maculer, des consciences à ronger.
clavier cannibale « congo »

JiCé..... dit: à

Le fort mange le faible

Vous aimez la nature ? reprenez-en un peu…!

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