de Pierre Assouline

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La République des livres
Retour sur le scandale « Batouala »

Retour sur le scandale « Batouala »

Le 14 décembre 1921 au restaurant Drouant, dix écrivains-jurés se retrouvèrent face à un problème : cinq voix pour pour Batouala de René Maran et autant pour L’Epithalame de Jacques Chardonne. La double voix du président Gustave Geffroy, membre fondateur de la société littéraire des Goncourt alors composée notamment de Léon Daudet et des deux frères Rosny, fit pencher la balance en faveur du premier. Pour la première fois depuis sa création dix-huit auparavant, elle couronnait un écrivain noir. Mais les Dix n’en étaient pas à leur coup d’essai puisqu’en 1905 déjà, ils avaient distingué Les Civilisés, roman férocement anticolonial dans lequel Claude Farrère dénonçait âprement Saïgon, capitale de la colonie française de Cochinchine, comme une nouvelle Sodome.

Quoique né en Martinique, René Maran (1887-1960) était guyanais. Fonctionnaire de l’administration coloniale en Afrique, comme son père, il considérait son roman comme « une succession d’eaux-fortes », y dressant un constat se gardant de toute indignation. En fait, même si le roman fut attaqué par les tenants du parti colonial à sa parution, c’est surtout sa consécration littéraire qui changea la donne. Car dès lors que Batouala était ceint du bandeau rouge « Prix Goncourt 1921 », son auteur avait conquis une légitimité, il se sentait protégé pour diffuser ses idées auprès d’un plus grand nombre de lecteurs ce qui augmentait l’ire de ses détracteurs à proportion. Ils lui reprochèrent de cracher dans la main qui le nourrissait et lui firent un procès en ingratitude. En témoigne, entre autres, la critique parue dans Le Petit Parisien le 15 décembre 1921:

« M. René Maran, administrateur colonial domicilié à Fort-Archambault, à deux journées de marche du lac Tchad, au milieu de Noirs qui lui ressemblent comme des frères, a reçu hier le prix Goncourt (…) C’est la première fois que les Noirs jouent et gagnent (…). Sa grande qualité de nègre a séduit les dix de l’Académie Goncourt épris de couleur et d’étrangeté »…

Comme le firent peu après lui Albert Londres (ses reportages dans l’Union indochinoise en 1922 et ceux sur la construction du chemin de fer Congo-océan réunis dans Terre d’ébène en 1928,) et André Gide (Voyage au Congo, 1927), il ne dénonçait pas le colonialisme mais ses excès violents sinon criminels plutôt que ses « errements » ainsi que le ministère des colonies voulaient le faire croire ; l’administration n’appréciait guère qu’il parlât de « négriers ».

Si son roman à proprement parler relève de l’observation ethnographique en Oubangui-Chari (Afrique équatoriale française) relevé par une classique histoire d’amour, la préface est d’une autre encre. Elle tient du manifeste politique et condamne mais sans jamais renier la fidélité de l’auteur à la France. Ce n’est pas la mission civilisatrice de l’impérialisme français qu’il dénonce mais, au contraire, la violation de ses principes, l’oubli de ses hautes valeurs. Il prend à témoin ses « frères en esprit, écrivains de France » pour s’adresser à la civilisation occidentale :

« Tu bâtis ton royaume sur des cadavres. Quoi que tu veuilles, quoi tu fasses, tu te meus dans le mensonge. A ta vue, les larmes de sourdre et la douleur de crier. Tu es la force qui prime le droit. Tu n’es pas un flambeau, mais un incendie. Tout ce à quoi tu touches, tu le consumes… » écrivit-il dans une préface qui lui valut tant d’injures.

Noir dans un monde de blancs, représentant des blancs dans un monde de noirs, tenu pour un écrivain par les fonctionnaires coloniaux et pour un fonctionnaire colonial par les écrivains, il vécut dans un inconfortable entre-deux sans rien renier de sa double identité. Une position inconfortable qu’il réussit à tenir en équilibre instable sur une ligne de crête jusqu’à ce que la fin des empires et la vague de la décolonisation le balaie. Certes, tant Aimé Césaire que Léopold Sédar Senghor avaient loué en lui un pionnier de la négritude ; pour autant, il n’était pas à l’aise dans ce rôle :

« Considéré par les Noirs comme un précurseur de la négritude, il avouait qu’il la comprenait mal et avait tendance à y voir un racisme plus qu’une nouvelle forme d’humanisme. Il se voulait, par-dessus tout et avec obstination ‘un homme pareil aux autres’  » selon Lilyan Kesteloot, professeur à la Sorbonne et pionnière des littératures négro-africaines francophones.

Au faîte de sa notoriété, un Frantz Fanon, nettement plus radical en conformité avec l’air du temps, n’en fit qu’une bouchée, lui reprochant dans son fameux essai Peaux noirs, masques blancs (1952) d’incarner la détestable « humilité du Noir ».

Il écrivit d’autres romans, des poèmes, des esais historiques et se fit le biographe de Livingstone, Savorgnan de Brazza, Félix Eboué et pour finir du connétable Bertrand Du Guesclin ainsi qu’un roman Un homme pareil aux autres qui vient d’être réédité par les éditions du Typhon. Autant de livres en grande partie occultés par l’inscription dans la durée du « scandale » suscité par Batouala sur lequel Fabrice Gardel et  Mathieu Weschler reviennent dans le documentaire qu’ils consacrent à son auteur, diffusé par France 3 le 14 octobre prochain. Nul doute que sa bibliographie sera analysée à nouveau frais lors du colloque international qui se tiendra à Dakar les 25 et 26 novembre prochains consacré à « René Maran, la France, l’Afrique et la littérature » coordonné par les professeurs Mamadou Bâ et Charles Scheel, ainsi que lors d’un autre colloque centré, lui, sur Batouala qui se tiendra en décembre à l’université de Bangui coordonné par le professeur Jean-Claude Azoumaye.

On y rappellera certainement qu’il y a un siècle, lorsque les Goncourt le couronnèrent, Batouala était suivi sur sa couverture d’un sous-titre : « Véritable roman nègre ». Cent ans après, son éditeur Albin Michel le réédite fort à propos précédé d’une belle préface de l’écrivain Amin Maalouf ; mais, étrangement, le sous-titre a disparu. Autres temps…

(« René Maran » photos D.R.)

 

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

847 Réponses pour Retour sur le scandale « Batouala »

Alexia Neuhoff dit: à

et alii (citant Sfar ? -sans guillemets)
« En fait, il prétend être ouvert politiquement et tout, mais le mec est super content que les Japonais soient des super machos comme ça il passe pour un mec super ouvert, et que comme tout le monde s’imagine qu’il ressemble à Alain Delon, alors que globalement c’est pas le cas, le Japon c’est »

C’est… c’est… quoi ? Soit Sfar s’interrompt se rendant compte qu’il dit de grosses conneries, soit et alii, artiste du bondage, a manqué de corde. Seuls les masochistes apprécieront.

et alii dit: à

Nobuyoshi Araki (荒木経惟, Araki Nobuyoshi?), né le 25 mai 1940 à Tokyo, est un photographe japonais.
. Pour Marie Parra-Aledo, « La notion de pudeur et de pornographie ne sont pas les mêmes au Japon et en Occident, montrer ses sentiments peut être plus provoquant que d’exhiber des représentations de bondages [ … ] Avec des styles et à des époques différentes les errances dans les rues chaudes de Tokyo d’un Nobuyoshi Araki , d’un Daidō Moriyama ou d’un Tadashi Yamaneko sont caractéristiques de cette tendance. »4
Mais Araki sait aussi brouiller cette relation de la photographie à un présent-passé, par exemple en trichant sur les dates.

et alii dit: à

surtout que l’on a ce titre d’ ARAKI
Nobuyoshi ARAKI (né en 1940)
Seins et lézard

closer dit: à

« Chasse: la capture de certains oiseaux par cages ou filets réautorisée
Alouettes des champs, grives, merles noirs… Le ministère de la Transition écologique réautorise des pratiques de capture, en nombre contrôlé, que le Conseil d’État avait jugé « illégales ». » Huffpost

Il a du calculer qu’il gagnerait plus de voix de chasseurs qu’il ne perdrait de voix d’amis des animaux…

et alii dit: à

PUISQUE ARAKI est une histoire de clichés , resrons au Japon où sort une nouvelle revue contre les clichés dont un photographe est l’un des éditeurs:
« Dans le premier numéro de la revue, qui met ouvertement en cause la dualité homme-femme structurant la société japonaise, figurent ainsi un grand entretien avec un des organisateurs de la Tokyo Rainbow Pride et une enquête sur les clichés stéréotypés diffusés par les internautes. L’entreprise qui publie le magazine est la branche média d’une société d’événementiel déjà à l’origine de conférences sur les droits des personnes LGBT.

C’est la récente disparition d’une revue gay spécialisée qui a convaincu le photographe Kotetsu Nakazato et un des quatre éditeurs d’Iwakan de la nécessité de ce projet. Il entend s’opposer au “recul des médias sur les sujets concernant la sexualité, alors que les valeurs en la matière commencent à changer dans la société”. “On voulait lever la voix contre les vieux clichés selon lesquels les hommes ne devraient pas se maquiller et les femmes devraient être pudiques, par exemple”, ajoute Ed Oliver, un autre éditeur d’Iwakan, cité par l’Asahi Shimbun. »
https://www.courrierinternational.com/article/medias-au-japon-une-revue-contre-les-stereotypes-genres

et alii dit: à

restons

et alii dit: à

pour faire revenir Claudio servons lui
omme le rapporte Ana Luiza Trajano dans Básico. Enciclopédia de Receitas do Brasil [“Simple. Encyclopédie de recettes brésiliennes”], le mot “bobó” vient du fon, une langue parlée au Bénin [région d’où étaient originaires une grande partie des esclaves du Brésil], où il désigne une soupe

, l’État brésilien de Bahia est le lieu d’origine d’un plat emblématique du pays, le ​bobó de camarão. Un nouvel épisode de notre rendez-vous hebdomadaire, le Courrier des recettes.
https://www.courrierinternational.com/article/le-courrier-des-recettes-le-bobo-de-camarao-tout-bahia-dans-lassiette

B dit: à

Il a du calculer qu’il gagnerait plus de voix de chasseurs qu’il ne perdrait de voix d’amis des animaux…

J’avais posé un post concernant cette decision, ministère d’opérette quand on sait la politique ecologiste indigente du pays, descripteurs prometteurs pour couvrir au minimum l’inertie, des décisions nullissime et électoralistes, une Absence de gestion et d’amélioration des écosystèmes contrairement à d’autres pays d’Europe moins bavards mais plus actifs. C’est hypocrisie et c’est scandaleux.

D. dit: à

Je me suis trompé dans mes calculs. J’avais mis Neptune en Uranus dans le Sagittaire. Error humanoume este.

B dit: à

Des discours, nullissimes. Correcteur.

B dit: à

D, quelles conséquences désastreuses pour l’écologie, voyez un peu.

B dit: à

L’omnipotent chef des chasseurs pourra justifier que ces espèces sont nuisibles et pullulent dans ce qu’il reste des bicages, haies, forêts, bosquets. Ah quel plaisir que de plumer des alouettes, des courlis cendrés , des passereaux de 15 grammes s’il leur reste des plumes sortis du filet ou de la glue. Leur chant est dérangeant.

rose dit: à

Des discours nullissimes, pas suivis de décisions.
Des chasseurs qui obtiennent que l’on chasse encore les oiseaux à la glue.

rose dit: à

Le bòbò de camarao.
Épices et p’tites pépées pour JiCé. En kimonos de soie.

lmd dit: à

Félix Éboué né en Guyane, René Maran né aux Antilles… cela suffit pour questionner et trouver ( thèse de Véronique Hélenon sous la direction d’ Elikia M’bokolo) :
http://www.sudoc.abes.fr/cbs/xslt//DB=2.1/SET=6/TTL=1/SHW?FRST=3
(je ne me donne pas la peine de corriger  la typographie);
Résumé :
«l’image generalement donnee du colonisateur francais est celle d’un homme blanc. en fait la france fit largement appel a ses colonises dans le processus meme de colonisation. en afrique noire (aof, aef, madagascar), l’elite de l’administration, le corps des administrateurs des colonies, etait largement composee d’originaires de colonies et notamment des anciennes colonies francaise de martinique, guadeloupe et guyane. ces colonises venaient de milieux socio-professionnels tres divers; cependant une majorite des peres etaient eux-memes fonctionnaires et les futurs administrateurs avaient ete eleves dans les villes principales de leur colonie d’origine. avant meme de se rendre en afrique, les futurs administrateurs avaient deja une certaine image de l’afrique, qui s’etait forgee a travers les contes, les contacts qu’ils avaient eu dans leur colonie d’origine avec des africains et demeurait enserree dans les limites de la politique assimilationniste menee par la france. ces hommes suivaient des parcours universitaires, passaient leur baccalaureat, entraient dans les universites de droit; toutefois, la voie privilegiee pour acceder au corps des administrateurs des colonies demeurait le passage par l’ecole coloniale de paris. leur depart vers les colonies africaines etait organise dans au sein de reseaux structures, tels leur propre famille, le milieu antillais a paris, leurs appuis politiques et la franc-maconnerie. l’administration coloniale francaise en afrique peut etre consideree comme « metisse », tant du point de vue des formations des administrateurs, que de l’origine de l’ensemble des personnels coloniaux. en effet, a tous les niveaux de la hierarchie etaient employes des colonises, mais plus on s’elevait dans la hierarchie moins ceux-ci etaient nombreux.»

rose dit: à

[…]s’imagine qu’il ressemble à Alain Delon, alors que globalement c’est pas le cas, le Japon c’est »

La suite est dans l’article.
Comme cela, on apprend que le meilleur copain de Sfar, coloriste, qui ne sortait pas de chez lui à Paris et pas plus à Tokyo, donc, s’est retrouvé à piquer la petite amie de son meilleur copain journaliste, bien malgré lui, parce qu’ils avaient eu des mots, en japonais et qu’elle avait subséquemment jeté son dévolu sur lui.

Le Japon, c’est mystérieux, est-il inscrit dans l’article, et compliqué.
Et comme Jehan Sfar, lui aussi, déteste mettre un pied hors de chez lui, ne parlons pas des signatures de ses bébés , bédés pardon, avec des files entières de dames et jamais, jamais, jamais à l’horizon Jade Lagardère, même pas il a été voir la terre de ses ancêtres, ni les Ukrainiens, ni les juifs sépharades d’Afrique du Nord ; et donc les deux, se réjouissent comme des boeufs de tout ce qui, au Japon, ne leur convient pas, et combien ils ont bien raison de ne jamais y aller.

Je vous ai résumé l’article, Alexia Neuhoff, puisque vous êtes au boulot et avez un taf nourricier à remplir.

Ils y sont quand même au Japon, un pck il a trouvé une fille bien peu exigeante qui a bien voulu de lui, et l’autre parce que, comme c’est son meilleur pote, il a voulu savoir s’il allait bien, ou si sepuku se profilait, ce qui lui aurait demandé de trouver un autre coloriste, urgemment.
Pour qu’il puisse continuer à marker, étant donné que son épouse, avare en compliments a tiqué grave, le succès venant, qu’il pose la plume, éberlué, a minima deux ans.

et alii dit: à

restau !africaine
https://www.ubereats.com/fr/category/marseille-pac/african?utm_source=AdWords_NonBrand&utm_campaign=CM2052263-search-google-nonbrand_61_-99_FR-National_e_all_acq_cpc_fr-FR_DSA_Exact__dsa-944069416759_501996778282_106305021574_b_c&campaign_id=10951406612&adg_id=106305021574&fi_id=&match=b&net=g&dev=c&dev_m=&ad_id=501996778282&cre=501996778282&kwid=dsa-944069416759&kw=&placement=&tar=&gclid=CjwKCAjwzaSLBhBJEiwAJSRokkZfO1-J5ftKNERuqMT250vTaJM6ye-DwSNnt8U1FyEXdk_6Et2xIhoCitQQAvD_BwE&gclsrc=aw.ds

et alii dit: à

À l’exception de Saint-Pierre-et-Miquelon qui ne connaît pas d’autre langue que le français, les autres territoires d’Outre-mer sont tous bilingues ou multilingues, avec des situations très divergentes : si la Martinique ne connaît qu’une langue locale, la Guyane en compte une quinzaine. Ainsi, dans les territoires d’Outre-mer, le français n’est pas toujours la langue maternelle des populations.
https://www.culture.gouv.fr/Sites-thematiques/Langue-francaise-et-langues-de-France/Actualites/Etats-generaux-du-multilinguisme-dans-les-Outre-mer

D. dit: à

Régalez-vous de Mafé, poulet braisé ou encore de Saka-saka sans quitter votre région

…franchement ça ne me dit rien. Moi je suis resté très endives.

D. dit: à

Ah quel plaisir que de plumer des alouettes

Mon chat pense comme vous.

D. dit: à

Je mange quand même des pizzas et des mets asiatiques. Et du couscous.

D. dit: à

Avec des metguez.

rose dit: à

De bédés.
Ce correcteur surpuissant.

rose dit: à

Et des andouillettes A+++++.

D. dit: à

Je trouve que quand même JiCé a du style dans ce qu’il écrit. Comparé à d’autres. On sent l’homme de lettres.

D. dit: à

Oui des Andouillette labellisées AAAAA.

D. dit: à

Par contre la bouffe allemande et russe j’ai du mal. J’aime beaucoup la Grande Russie mais surtout du côté impérial. Caviar, blinis et vodka. Ça oui, cent fois oui.

D. dit: à

Traineau attelé à travers les steppes enneigées, d’un palais à l’autre. Bérénice m’y attendant.

D. dit: à

Le blé bouilli très peu pour moi.

M. Victor dit: à

N’utilisez jamais le correcteur. Tapez vos commentaires currente calamo, si je puis dire, rapidement et sans soigner le style. Vos commentaires n’en seront que plus naturellement tapés.
Taper n’est pas écrire.

rose dit: à

Taper n’est pas écrire.
Sic transit, gloria mundi.

et alii dit: à

je n’ai jamais posté un « commentaire » introduit par « dit à  » comme « écrire » dans le sens où beaucoup l’entendent ici; et je ne crois pas que cela soit nécessaire , ni souhaitable;

rose dit: à

L’homme de l’âtre.
Un biscuit.

et alii dit: à

pourquoi mettre une virgule après « sic transit » (et pas de guillemets )?

et alii dit: à

« sic transit gloria miundi » :

Cette expression est un rituel latin apparu au XIIIe siècle. Il était utilisé au cours de la cérémonie d’intronisation d’un nouveau prêtre. Ce rituel a disparu avec Jean Paul Ier, qui refusa le couronnement

et alii dit: à

il parait que l’on parle d’une « culture de l’extrait »
extrayez bien , donc

et alii dit: à

Japon : le fléau des suicides d’enfants en forte hausse
PAR LEPOINT.FR
En 2020, 415 élèves de 6 à 18 ans se sont donné la mort au Japon, le bilan le plus élevé depuis l’instauration de ce triste « record », d’après CNN.

Janssen J-J dit: à

-Conflans Sainte Honorine n’est pas une commune de la banlieue parisienne, à proprement parler, ça non…
-Je ne crois pas qu’A. Volodine soit tellement apprécié des jeunes générations, ça non…
-Je ne connais pas Ousmane Show, mais n’oublie pas le regretté sculpteur Ousmane Sow, 5 ans déjà… ça non…
http://www.ousmanesow.com/mac/index.htm
-Sa Majesté des Mouches (sur ce blog, elle ne s’en ira jamais, ça non, n’y comptez point !) ->- Samuel Paty -… c terrible…, ça non. Cela n’est pas acceptable.
-Mylène Farmer ?.. ça non…, ne vieillit pas.
-« Esprits de corps », chapitre 2 – Descola (p. 89-166) Philippe. Démonstration, (à l’aide d’une splendide iconographie de masques en couleurs), de l’argument selon lequel le défi de la mise en image animiste serait de rendre perceptible et active la subjectivité des non-humains. – Suite au chapitre 3, le moment venu…, après la remise du prix G (?). et ça oui ra !
Bàv,

renato dit: à

Sic transit, gloria mundi. (sic !)

et alii dit: à

au fait le caoutchouc africain:L’Apromac vise la transformation industrielle du caoutchouc à travers la fabrication des gants chirurgicaux et de préservatifs pour satisfaire «les demandes nationale et régionale».

et alii dit: à

Pourtant, la carrière de la première mannequin noire remonte aux années 1940. L’Africaine-Américaine Dorothea Church, vedette des podiums parisiens, défila pour Christian Dior himself. Dans les années 1970-1980, quelques modèles non-blancs ont également su tirer leur épingle du jeu en étant de toutes les premières fois.
https://www.jeuneafrique.com/mag/802544/culture/naomi-campbell-alek-wek-tyra-banks-ces-mannequins-noires-qui-continuent-de-marquer-lhistoire-de-la-mode/#:~:text=Naomi%20Campbell%2C%20Alek%20Wek%2C%20Tyra,de%20la%20mode%20%E2%80%93%20Jeune%20Afrique

et alii dit: à

ALEX WEEK SOUDANAISE/
V
A 40 ans, le mannequin qui est originaire du soudan, communément appelé le diamant noir de la mode, continue de briller sur les podiums. La fortune d’Alek est estimée à 7 millions de dollars. Elle jouit d’une grande influence dans la communauté.

et alii dit: à

Actrice et mannequin d’origine Éthiopienne, Liya Kebede est la première femme noire à devenir l’égérie d’Estée Lauder, et à défiler pour la marque Chloé. A 40 ans, la belle Liya aide les femmes des pays en développement grâce à sa fondation éponyme. Sa fortune est estimée à 4,7 millions de dollars.
La jeune Nigériane a plus ou moins redéfini la mode. Après avoir remporté le premier concours de mannequins africains, la belle Oluchi est apparue dans les plus grands magazines de mode (Vogue, Haper’s Bazaar, Elle…). Elle a également collaboré avec les plus grands créateurs Gucci, Carolina Herrera, John Galliano, Missoni, Tommy Hilfiger, Chanel, Bottega Veneta, Christian Dior et plusieurs autres. Sa fortune est estimée à 4 millions de dollars.

et alii dit: à

Maria Borges est un mannequin qui est originaire de l’Angola. Mesurant 1,80 m, cette jeune femme a brisé toutes les barrières entourant son métier. Premier mannequin noir à défiler pour Victoria’s Secret en gardant ses cheveux naturels, Maria est aussi la première africaine à poser en Une du magazine Elle Usa. Sa fortune est d’environ 3,7 millions de dollars.
Le mannequin canadien originaire de somali a commencé sa carrière à l’âge de 24 ans. En plus de défiler pour les plus âgés, Yasmin est une militante des droits des migrants. Sa fortune est de 3,5 millions de dollars.

7- Behati Prinsloo

et alii dit: à

Originaire du Kenya, Juma Nasenyana est un incontournable des grands événements internationaux de mode. Elle a été nommée mannequin africain de l’année 2012. Pour lutter contre l’éclaircissement de la peau, Juma Nasenyana a lancé une marque de cosmétiques naturels. Elle a une fortune de 2 millions de dollars.

et alii dit: à

Bonjour, Gaelle Kamdem est une rédactrice chez Afrikmag. Passionnée de la communication et des langues, ma devise est : « travail, patience et honnêteté ». Je suis une amoureuse des voyages, de la lecture et du sport. paulegaelle@afrikmag.com

et alii dit: à

Fondatrice et Directrice Générale d’AYANA
& Compagnie, une agence spécialisée dans la
communication digitale, Amie KOUAME
cumule 12 ans d’expériences dans les
domaines de la communication,
l’événementiel, le média et le digital. Ses
armes, elle les a faites dans la production
audiovisuelle, la régie publicitaire avant de
rejoindre le Groupe Voodoo
Communications.
Parallèlement, elle lance en 2011, AYANA,
premier magazine féminin 100% digital en
Côte d’Ivoire et dans la sous-région. Cette
expérience lui vaut d’être en 2015, la
première Digital Manager du Groupe CANAL
en Afrique avec la chaîne de télévision A+
https://naolemedia.com/wp-content/uploads/2021/04/Naole-M%C3%A9dia-40_Edition-2021.pdf

et alii dit: à

« noire est la beauté »
. Je fus ébloui par sa manière royale de deviner que dévorer sa fibre fondante, comme un chiot mordillant un os en caoutchouc en jappant de joie, était le meilleur moyen de m’exciter intensément. Ce demi-égoïsme divinatoire et accueillant, la prédiction de nos jouissances – car son  » ça va être très bon !  » me concernait autant qu’elle, et elle le savait -, enrobés dans le sirop orangé de son accent africain, comme si elle me tendait ses mots mêmes à lécher, trempés dans sa voix à la fois sirupeuse et granulée par son timbre éraillé, avec la touche acide, la griotte de son petit cri posé au sommet de sa phrase…, tout cela agit sur mon cerveau à l’instar d’un philtre.
Je fus heureux de ne pas résister à ce ravissement.  » Exploration de l’univers sexuel et pictural du continent ici doublement noir de la femme,
https://halldulivre.com/livre/9782720214424-noire-est-la-beaute-stephane-zagdanski/

M. Victor dit: à

L’abolition du temps et l’oubli de l’espace : une paix sans dimensions.

et alii dit: à

une artiste japonaise de papier roulé:
L’artiste papier japonais Chie Hitotsuyama crée adroitement des sculptures texturées d’animaux en utilisant une technique impliquant des bandes roulées de papier journal humide. L’application compacte de chaque segment de journal s’avère être une méthode élégante pour former la fourrure sauvage des singes des neiges ou la densité des écailles trouvées sur le dos d’un iguane. Pour Hitotsuyama, ces détails sont essentiels car elle cherche à créer les sculptures les plus réalistes possibles.

« Plus que toute autre chose, je suis particulièrement attachée à la sensation réaliste des animaux », partage-t-elle avec Kokusai Pulp & Paper . « Les animaux qui vivent dans la nature sont égaux à nous dans le sens où nous vivons ensemble sur cette planète. Parfois, ils dorment. Parfois, ils mangent. Ils vivent une vie quotidienne ordinaire, tout comme nous. J’aimerais continuer à insister sur la réalité et à produire autant que possible mon travail grandeur nature afin de transmettre leur vie.
https://www.thisiscolossal.com/2016/10/newspaper-animals-chie-hitotsuyama/

M. Victor dit: à

Le démon de la gaminerie, quand il frappe les adultes, ils deviennent heureux, espièglement heureux.

et alii dit: à

Sexton a commencé à fabriquer ses masques faciaux il y a quelques années après avoir construit quelques costumes d’Halloween, bien qu’elle ait

Les masques en papier mâché fabriqués par Liz Sexton amènent les animaux à l’échelle humaine

travaillé avec le papier polyvalent pendant de nombreuses années. Fabriqué à partir de papier brun, de pâte et de pâte à papier, chaque pièce prend quelques semaines, voire des mois, à créer. L’artiste dit à Colossal que son « espoir est que le spectateur gagne non seulement une conscience de l’animal, mais aussi un sentiment de parenté et d’empathie ».
https://www.thisiscolossal.com/2020/02/liz-sexton-papier-mache-animal-masks/

D. dit: à

M. Victor dit: à

L’abolition du temps et l’oubli de l’espace : une paix sans dimensions

N’empêche qu’à 20h je mange et à 21h je regarde un film sur grand écran, confortablement installé dans mon spacieux fauteuil.

Alors hein.

D. dit: à

Et une merguez ça a deux bouts. Il faut donc de l’espace pour elle. Pareil pour les endives.

et alii dit: à

il y a une sorte de lézard dans les créations de
L’artiste papier japonais Chie Hitotsuyama (lien)

D. dit: à

Alors après on peut commencer à parler du corps astral des merguez mais ça fait un peu chelou le couscous astral. J’ai peur que ça manque de goût, ou que ça ait goût d’éther.

D. dit: à

Oh fichez-nous la paix avec les lézards. Ça grouille de lézards ici. On en peut plus. Le lézard par ci, le lézard par là… flûte alors.

D. dit: à

Au Soudan ils sont grands. J’ai jamais compris à quoi ça leur servait. Mais c’est comme ça. Les choses sont ainsi. Comme ils sont grands ils occupent plus d’espace en hauteur. Victor ne pourra pas dire que c’est pas vrai.

D. dit: à

Quand ils se couchent, ils occupent de plus d’espace en longueur.

D. dit: à

C’est indéniable. Il leur faut des lits spacieux.

D. dit: à

Du coup il leur faut assez d’espace pour mettre le lit.

D. dit: à

Ehhhhhhhhhhhhh oui, Monsieur Victor.
Qui s’y croit je sais pas où.

D. dit: à

Bon bientôt 19h. La semaine de bureau se termine.

D. dit: à

Oh je sais bien que vous vous en foutez, les retraités. Que je travaille pour payer vos retraites vous vous en foutez. J’ai bien compris.

D. dit: à

Petite journée tranquille les pieds dans les charentaises pendant que moi je traite des dossiers. Moi.

D. dit: à

sic transit gloria miundi.
À ne pas confondre avec sic transit gloria mundi.

D. dit: à

C’est parce que et alii aime bien les i. Si si.

D. dit: à

Moi j’aime bien les o.

D. dit: à

dodo, coco, bobo, hoho, lolo, jojo, toto, zozo, yoyo, gogo, popo.

M. Victor dit: à

D comme démon. Le petit démon gamin-coquin du Rdl, le Royaume des lutins !

renato dit: à

Chasse à la glu : la stupidité des humains ne présente aucune limite — écologistes au pouvoir inclus.

et alii dit: à

et non seulement j’aime i;mais mettre un point dessus , et deux c’est encore mieux
Il ne faudrait ainsi pas prendre le titre de son album, Oï Oï Oï, pour une simple pirouette linguistique, une truculente provocation à usage de vieux punks : Alexander Ridha joue bel et bien un genre de punk-rock sur trois accords pleins de désaccords (“Don’t Believe the Hype”,

M. Victor dit: à

D.,

Lutin taquin
regagne vite ton p’tit coin
près d’la cheminée au feu serein
et chante-nous le gai refrain
des douces nuits sans mal et sans chagrin.
Tout cela est enfantin
puéril et si joyeusement malin
mais ravira bien nos coeurs d’airain
et rendra nos esprits saufs et sains.

et alii dit: à

➤ C’est ce que nous vous proposons, pour lui rendre hommage. Mais aussi pour découvrir sa pensée, vivante, talentueuse, originale, dans ce mémoire d’étudiant où il examine la symbolique de la couleur noire du XIXe siècle à nos jours. C’est passionnant, et très émouvant, de faire en quelque sorte connaissance avec le professeur assassiné il y a un an.
sur philomag

Janssen J-J dit: à

@ etalii, je suis désolé mais je n’arrive pas à ouvrir ni à lire tous vos liens… tant il en pleut journellement… je n’arrive pas à comprendre comment vous arrivez à les assimiler à vous tout. seul.e, J’évoue ne plus m’y arrêter alors qu’ils sont certainement passionnants…
Quelque chose m’échappe au delà. BONSOIR.
@ MV,, des rimes riches comme des tagliatelles, mais plutôt led,
encore Une journée de mârde. Pas très maran, rené…. tchin !

Janssen J-J dit: à

@ LrpedTpme
un acrostiche furieusement incompréhensib’, entre nous.

et alii dit: à

sur philo mag
 » Mon responsable, qui me connaissait alors depuis deux ans déjà, n’y a vu qu’une “fille noire qui en a vu d’autres” [“a tough Black girl”]. Il a vu tous les stéréotypes négatifs, toutes les caricatures bruyantes des femmes noires, et a simplement supposé que j’étais comme ça. En fait, ce semestre et les années suivantes ont été horribles. J’étais déprimée et j’avais du mal à me concentrer. J’ai commencé une thérapie, et l’on m’a mise sous antidépresseurs. Tous les professeurs semblaient déçus par le fait que je n’étais pas une guerrière noire et me faisaient me sentir honteuse. C’était comme s’ils n’acceptaient qu’une seule personne noire, et qu’ils en avaient une qui avait besoin d’autant de gentillesse et de conseils que n’importe quel autre étudiant diplômé.

En continuant à enseigner, je dois, plus que mes homologues masculins blancs, défendre l’attribution des notes obtenues. Il n’y a pas eu une seule année universitaire au cours de laquelle je n’ai pas été réprimandée d’une manière ou d’une autre pour une mauvaise note donnée à un étudiant. J’ai toujours été mise au courant de chaque plainte d’un élève ou d’un parent concernant la note, et j’ai toujours subi des pressions pour changer les notes. Chaque B (ou pire) [équivalent d’un quinze ou seize sur vingt dans le système de notation français] que j’attribue à un élève est une crise existentielle pour moi. Je mets en balance ma santé mentale et la stabilité financière de ma famille. Je pense à mon fils et à ce qu’il est préférable qu’il voie : une femme qui a un emploi rémunéré et qui n’est pas intègre, ou une mère au chômage qui a des principes. Et je reconnais l’ironie qu’il y a dans le fait qu’il puisse recevoir des notes inférieures ou des commentaires négatifs, justement parce qu’il est noir. Cela constitue déjà un véritable combat que de le défendre tout en espérant ne pas être vue comme une maman noire insolente [“a sassy Black mama”].
Whitney Snead :
https://www.philomag.com/articles/whitney-snead-dans-ma-formation-en-etudes-classiques-jai-ete-reduite-au-silence-et-la-honte

et alii dit: à

Notre quotidien est « colonisé ». Les avantages sont réels. Le principal problème, c’est que ces outils sont aux mains d’acteurs privés plus puissants que la majorité des États, qui promeuvent un « capitalisme avide de données ». Comment changer la donne ? « Il semble légitime de revendiquer la collectivisation des moyens de création et de communication que permettent les Gafam », répond Cingolani. Est-ce vraiment faisable ?

Marie Sasseur dit: à

@encore Une journée de mârde.
Sur la rdl.

Je vois ça.
Ici c’est comme en classe quand ils ont reformé le collège. Les mauvais ne progressent pas, et les meilleurs régressent ( ou se cassent)

Moi, ça va, super balade dans les calanques.
Je me suis dit que j’étais une privilégiée.
Je suis dans des statistiques, environ 6%.
Ça m’a fait du bien.

De tous les pays d’Afrique non « visités » sur ce fil, pourquoi le Cameroun ?

et alii dit: à

flûte alors.moi,je’ n’aime pas les saucisses, ni les merguez

et alii dit: à

certains liens présentent des images , dont la légende est très brève et /ou à titre de preuve,sur ce blog dont la passion partagée est de nier! une passion « stratosphérique »!

Marie Sasseur dit: à

Le ndolé (ou ndolè[1]) est le nom camerounais de variétés alimentaires de Vernonia. Il s’agit d’un plat préparé à base d’une plante légumière dont les feuilles sont consommées vertes, mais aussi dans une moindre mesure séchées.

et alii dit: à

la légende caméroun:
« Pour perdurer dans le secteur, il faut faire du lobbying, comprendre le fonctionnement de la culture mode », estime le créateur franco-camerounais Imane Ayissi, défenseur de la diversité ethnique dans ses défilés. La star des podiums des années 1990 a su diversifier ses activités en cofondant NC Connect, une agence événementielle et une ligne de cosmétiques. Récemment, on l’a également vue dans la série à succès Empire.
la femme c’est NAOMIE C

M. Victor dit: à

@ Marie Sasseur
Je fais ce que je peux et le peu que je fais me fera progresser dans une pente régressive car, voyez-vous, je n’arrête pas de régresser même en progressant vu qu’on peut tout arrêter sauf le progrès et qu’on peut aussi toujours progresser sans arrêt dans la régression…
Alors progression ou régression ?
L’important étant de « progresser » degré par degré ou de régresser bon gré mal gré, soyons optimistes et vivons sans regret, vu ?😁😀😂😁😀😂😅😂😁😀😅😀

et alii dit: à

Cameroun : le Ndop fait son retour dans le sillage du wax
En 2018, La maison de luxe française Hermès dévoilait ainsi une nouvelle collection de foulards en soie présentant des couleurs et des motifs reprenant ceux du Ndop. Appropriation culturelle ou promotion d’un savoir-faire ancestral ? Les sociétés bamilékée et camerounaise sont divisées sur la question. Pour Herman Yongueu, il s’agit d’un « faux débat ». Depuis bientôt trois ans, ce comptable de 34 ans s’est donné pour mission de défendre la célèbre étoffe à travers son association Sauvons le Ndop, qui a pour but de vulgariser auprès des jeunes cet héritage culture

Janssen J-J dit: à

ça sent furieusement la rhétorik al puck/dexter, mais ce troll de vict… Or bane (?) n’est sans doute pas lui…
Moij me trouve pas faire partie des privilégiés du 0,01% des détenteurs des 60% de ttes les richesses de la pas nette… Quelle chance vous avez ma soeur de voyager dans les calanques du Kam’roun et d’Hte Volta chez tous ces gens de couleurs…
A-t-on des nouvelles de Christiane, jzmn ?

M. Victor dit: à

Une banane rencontre une courgette :
– Ôte-toi d’mon ch’min vieille potagère… Ah le sans-gêne des cucurbitacées ordinaires !

M. Victor dit: à

Quelle est la différence entre un chat et un stylo ?
La chat ça griffe, le stylo ça graphe.

M. Victor dit: à

Je m’aime comme une crème.
Je m’adore comme un lingot d’or.
Je me kiffe comme un sédatif.
Je me vénère comme un verre.
Je m’embellis comme une toupie.
Je me charme comme une arme.
Je me veille comme une bouteille.
Et je suis bourré comme un curé.
Paroles de moi pas de Prévert !

M. Victor dit: à

Pourquoi c’est toujours et alii qui bombarde le blog de ses commentaires à la concombre… Moi aussi j’peux bombarder à qui mieux mieux ce gentil petit blog de mes fleurs en miettes pas philosophiques pour un sou… Ou bien, ou bien, les kierkegaardiens !!!

Marie Sasseur dit: à

Ah non Et Alien, j’ai connu il y a tellement longtemps, des expats, qui avaient fait  » carrière  » au Cameroun. Ce furent mes premiers récits d’Afrique. Ce que je n’oublie pas.

M. Victor dit: à

Le soleil est con, il éclaire en plein jour !
La lune est futée, elle éclaire en pleine nuit.
Lune, blanche, rouge, rose ou rousse, je t’aime bien ma jolie et comme le chien de Miró, je vais t’aboyer tout mon amour jusqu’au bout de mes rêves les plus nocturnaux.
Je t’aime, Lune… suis foulunatique de toi.

Marie Sasseur dit: à

Nonon, mon appartenance aux 6% j’y tiens. Depuis que j’ai entendue une jeune conne, parisienne, qui causait parité…

Marie Sasseur dit: à

J’ai entendu, et puis j’ai zappé.

et alii dit: à

de quoi M.Victor a-t-il si (fort la) trouille de ne pas présenter sa « philosophie » ?Est-ce plus sorcier que d’être sorcière?
BONSOIR

et alii dit: à

ayant laissé en attente cet article-peut-être pour Bloom-j’en copie quelques lignes et vous mets le lien:
« . Quelques mots d’abord sur J. M. Coetzee. Si cet écrivain sud-africain, blanc, a toujours pris publiquement et nettement position contre l’apartheid [2]
[2]
Les violentes critiques de l’ANC contre son roman publié après…, son œuvre ne se réduit pas à la dénonciation ou à la déconstruction de ce système de domination – ni post-moderne, ni post-colonial, ni post-structuraliste, sa seule revendication est d’être, non sans humour, « post-dostoievskien ». [3]
[3]
« Qu’est-ce qu’un classique ? » (1991). Doubler le cap : essais… Bien qu’il n’ait pas vécu sous la menace des « griffes du réel », comme Robert Antelme ou Aharon Appelfeld [4]
[4]
L’expression est d’A. Appelfeld, in P. Roth (2004). Parlons…, Coetzee est très sensible à ce qu’il appelle « la non-liberté déguisée de l’homme blanc en Afrique du Sud », à commencer par la sienne. En 1987, dans son Discours de réception du prix de Jérusalem donné « pour la liberté de l’individu dans la société », à un moment où en Afrique du Sud « les serfs sont en rébellion ouverte et les maîtres en complet désarroi » [5]
[5]
In Doubler le cap, Op. cit., p. 63., il évoque cette caste héréditaire que forment les maîtres dans son pays :

4

Tout homme qui naît avec une peau blanche naît au sein de cette caste. Pas plus qu’il n’y a moyen d’échapper à la peau dans laquelle vous êtes né (le léopard peut-il changer ses taches ?), vous ne pouvez démissionner de votre caste […] à moins de plier bagages et de partir ailleurs, il n’y a pas moyen de réellement le faire […]. La littérature sud-africaine est une littérature esclave […] incomplètement humaine, incapable de dépasser les relations élémentaires de la contestation, de la domination […] pour envisager le vaste et complexe monde humain qui existe au-delà. C’est très exactement le genre de littérature que vous attendriez d’individus enfermés dans une prison » (ibid. p. 63).
https://www.cairn.info/revue-recherches-en-psychanalyse1-2011-1-page-57.htm

Marie Sasseur dit: à

Il y a beaucoup de négres blancs en Afrique du Sud(*), qui reste le pays le pays le plus raciste du continent africain.

(*) https://youtu.be/a32so7_4-ls

Janssen J-J dit: à

ce soir, la lune montante est très brillante dans mon ciel dégagé. Et la Vénus juste à ses côtés rehausse l’éclat de son élégance… Une image bien consolatoire… Elles ont des intentions bienveillantes pour l’rdl, je pense. Bàv

Janssen J-J dit: à

L’abbaye aux Dames de Caen n’a rien à envier à celle de Saintes, Croyez-moi bien…

Marie Sasseur dit: à

La vuvuzela, appelée lepatata[1] en setswana, dont le nom est parfois francisé en vouvouzela[2], est une corne d’environ 70 centimètres de long, popularisée dans les années 1990 par les supporters des deux clubs de football de Soweto en Afrique du Sud : les Kaizer Chiefs (équipés du modèle jaune) et les Orlando Pirates (équipés du modèle noir et blanc)[3],[4].

et alii dit: à

Traduit aujourd’hui dans vingt langues, édité de nombreuses fois en version française, inscrit dans les programmes scolaires et universitaires des pays d’Afrique, Une si longue lettre est devenu « un classique » de la littérature africaine d’expression française.

Qu’y a-t-il dans ce roman qui traverse le temps et les espaces géographiques ? Et qui est donc cette femme qui a donné ses lettres de noblesse à la littérature féminine africaine ?
https://www.africavivre.com/portraits-africains-portraits-afrique/mariama-ba-une-femme-une-militante-une-ecrivaine.html

rose dit: à

Pourtant

« a pas moyen de réellement le faire […]. La littérature sud-africaine est une littérature esclave […] incomplètement humaine, incapable de dépasser les relations élémentaires de la contestation, de la domination […] pour envisager le vaste et complexe monde humain qui existe au-delà »
Si vous regardez bien princesse Charlène, ses coupes sauvages de cheveux, sa façon de se nipper en tenue de brousse, sa lutte contre les braconniers de rhinocéros, elle est éminemment zoulou.
Plus que Johnny Clegg qui déjà a bien bien viré sa cité avec ses frères nègres. Charlène aussi. Elle est résolument moderne et digne.

rose dit: à

bien bien viré sa cutie.
Demain, je débranche ce correcteur ignare. Je l’ai suffisamment supporté.

Jean Langoncet dit: à

@Il fait ravaler votre pastille vichy, bb, ou marier Dylan comme mister Langoncet, certes un bon parti au divorce.

Dirphilou plus autistique que nature ; du trauma tout plein la salle de projection.
Demain premier rappel avec les vieux et les plus vulnérables : piqûre 3

rose dit: à

I don’t believe you.
Bon.
Les gens hurlent de rire.
Particulièrement les femmes. Alors que non, le suicide, ce n’est pas ça non plus.
https://youtu.be/WiOtrTASZWU
Blanche n’a rien de son prénom ; je comprends bien qu’elle cherche des anagrammes.

rose dit: à

et alii dit: à
pourquoi mettre une virgule après « sic transit » (et pas de guillemets )?

Et alii, mon Bibou
La virgule pour pouvoir changer la seconde partie.
Pas de guillemets pck c entré ds notre quotidien, comme bonjour le matin.
Bonsoir

rose dit: à

Doubler le cap, doubler le cap.
Si c’était si simple.
Après le pot au noir, celui des Açores, cela ne fait que commencer.
https://youtu.be/ZNdWj_oSCGM

Ah la la.
Doubler le Cap.
Tu parles d’un projet.

et alii dit: à

Il y a créé Bandjoun Station, une fondation inaugurée en 2013 destinée à accueillir en résidence, dans des logements-ateliers, des artistes et des chercheurs du monde entier pour développer des propositions en adéquation avec la communauté locale. Il en parle en ces termes : « Mon idée avec Bandjoun Station était de marier l’art classique africain et l’art contemporain mondial, d’exposer ces œuvres dans un même espace, sans ghettoïsation ou hiérarchie de valeurs. […] C’est ainsi que Bandjoun Station deviendra un carrefour, un véritable lieu de rencontre entre l’art classique et l’art contemporain »1. Il y développe également des projets d’agriculture dans un esprit de développement durable et sain. Dès la fin des années 1990, ses œuvres sont
extrait de la bio dans le lien de la galerie du peintre

et alii dit: à

Good Madam est un film d’horreur sud-africain hanté par la blancheur
Le film de Jenna Cato Bass est un calcul à la fois pour elle et pour tous les enfants blancs désemparés qui n’ont jamais pensé aux femmes noires qui les ont servis.
Malgré la distribution principalement noire, il y a toujours le sentiment qu’ils ne peuvent pas faire ce qu’ils veulent et que toute liberté dont ils disposent dépend de l’obéissance à un ensemble de règles rigides. Notre héroïne Tsidi (Chumisa Cosa) les expose à sa fille Winnie (Kamvalethu Jonas Raziya) au début :
Les travailleurs domestiques sont parmi les travailleurs les plus maltraités au monde, sans trop se soucier de leur santé et de leur vie intérieure. L’inégalité inhérente à ce travail est encore soulignée par la démographie raciale de qui emploie qui. Bass l’a reconnu dans la vidéo d’introduction du film au Festival international du film de Toronto, dans laquelle elle a discuté de son intention alors qu’elle se trouvait dans les quartiers de la servante de sa maison d’enfance. Elle a expliqué que le film est son effort pour tenir compte de son propre rôle dans l’assujettissement des Noirs dans son pays d’origine. Il s’agit du quatrième long métrage de Bass, un réalisateur blanc qui travaille souvent avec des collaborateurs noirs. Deux de ses films précédents, High Fantasy et Flatland ,explorer de la même manière les relations raciales en Afrique du Sud à travers les conventions de genre (fantasme d’échange de corps dans le premier, occidental dans le second). Tous se concentrent sur la façon dont l’apartheid continue d’affecter la vie des Noirs, qui sont souvent à la merci d’une population blanche,
https://hyperallergic.com/683544/good-madam-south-africa-horror-film/?utm_medium=email&utm_campaign=F101521&utm_content=F101521+CID_db3c77c4c2efaced255d083ef9c72644&utm_source=hn&utm_term=Good%20Madam%20Is%20a%20South%20African%20Horror%20Film%20Haunted%20by%20Whiteness

et alii dit: à

130 de ces « bizarreries » sont reproduites dans l’ouvrage, accompagnées d’une analyse du contexte sociopolitique qui a conduit à la répression des relations intimes entre colonisateurs et colonisés. « Même si à la lecture de ces lettres nous avons parfois l’impression de profaner l’intimité des femmes qui les ont écrites, il nous reste la consolation de compatir à leur angoisse et à leur désespoir, de leur être reconnaissants pour l’occasion unique qu’elles nous offrent de regarder cette époque depuis une position
sur BOOKS A mi querido Abdelaziz… de tu Conchita, de Josep Lluís Mateo Dieste et Nieves Muriel García, Icaria editorial, 2020.

et alii dit: à

pour rose
merci de présenter ces belles créations d’artisans du
Ventoux;
en écho à Grothendieck, quelques lignes de N.Gordimer
extraites d’un article (en lien) -pour moi, les lectures sont trop anciennes-
 » Le dimanche matin, quand je me réveillais, j’entendais les tambours et les chants des quartiers noirs, les casernes où habitaient les mineurs. Mes parents et les gens que je connaissais appelaient cela du bruit que les Noirs faisaient. Personne ne m’a jamais dit que c’était de la musique. Il y a un héritage noir dont nous, les Blancs, on nous a privés. On ne nous a jamais dit que ces merveilleux tambours faisaient partie de notre expérience à nous qui étions nés en Afrique20. »
https://books.openedition.org/pur/87635?lang=fr

et alii dit: à

mais la culture et la mythologie Zulu sont insérées dans le texte fictionnel sous forme d’extraits de la collection de Henry Callaway, The Religious System of the Amazulu25. Nadine Gordimer va au bout de son engagement afin de revendiquer sa sud-africanité.

et alii dit: à

Renato,je ne vous ai pas dit bonjour encore;
impossible de retrouver un tableau vu sur une page et que je voulais vous envoyer,mais en lisant les notes de l’article sur Gordimer, je découvre :
Ce monde invisible sert de théâtre aux 11 nouvelles réunies dans « Beethoven avait un seizième de sang noir, »vous connaissez surement, mais le plaisir d’en faire les derniers mots de ce soir ne se refuse pas
https://www.lexpress.fr/culture/livre/beethoven-avait-un-seizieme-de-sang-noir_823393.html

rose dit: à

Un éthiopien qui a commencé à courir en allant à l’école.
« Devant le train trop faible de la course, il prend un moment la tête et accélère, puis ses compatriotes Kenenisa Bekele et Sihine prennent le relais. Mais Haile Gebreselassie ne peut plus suivre et ses deux compatriotes baissent le rythme pour lui permettre de recoller. »

rose dit: à

et alii dit: à
l’artiste camerounais Barthélémy Toguo.
Ici, ce qui le touche, c’est le manque d’eau.
Il saute par dessus le Nigeria.
Fleuve Mono, descend jusqu’à l’océan. D’un côté le Togo, de l’autre le Bénin (mais si c’est grave). Se jette entre Lomé et Cotonou.
Cotonou. Cotonou.

rose dit: à

Les travailleurs domestiques sont parmi les travailleurs les plus maltraités au monde, sans trop se soucier de leur santé et de leur vie intérieure.

Comme les personnes qui prennent un âge certain, reléguées dans les EHPAD.

rose dit: à

RIP Hubert Germain
« Les Compagnons de la Libération : Romain Gary. Avant de devenir un homme de lettres, c’était un homme qui voulait se battre. Résistant de la première heure, Romain Gary intègre dès juillet 1940 les Forces aériennes françaises libres, en Angleterre, pour combattre l’ennemi nazi. »

et alii dit: à

Le balafon, également appelé bala ou balani, est un instrument de percussion idiophone mélodique originaire du Mali. C’est une sorte de xylophone, pentatonique, heptatonique ou Chromatique comportant généralement entre 16 et 27 notes produites par des lames de bois que l’on percute avec des baguettes et dont le son est amplifié par des calebasses disposées en dessous. En malinké, « balafon » vient des termes bala (l’instrument) et fon (sonne). Particulièrement présent dans la musique mandingue où son existence est attestée depuis le xive siècle, on retrouve des balafons dans de nombreuses régions d’Afrique, tous différents. Certains sont très sophistiqués, d’autres très simples ; d’autres encore sont gigantesques.

Le premier balafon serait né dans le Royaume de Sosso (xiie siècle), entre la Guinée et le Mali. Ce balafon existe encore et est nommé Sosso Bala.

Cet instrument est cité dans l’hymne national du Sénégal Pincez tous vos koras, frappez les balafons1.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Balafon

et alii dit: à

Le Triangle du balafon est un festival consacré au balafon (un instrument de musique traditionnel africain), qui se déroule chaque année à Sikasso (Mali) et qui met en compétition des balafonistes maliens, burkinabés, ivoiriens et, depuis 2009, guinéens1. Au cours de la cérémonie, le prix « Lamissa Bengaly », du nom du célèbre balafoniste, est remis.

En juin 2005, Une statue de bronze, réalisée par Ky Siriki, sculpteur burkinabé, représentant un joueur de balafon débout, a été inauguré sur la route nationale 7 à l’entrée de Sikasso2.

Bloom dit: à

Le soleil est con, il éclaire en plein jour !
La lune est futée, elle éclaire en pleine nuit.

Soelile et lune forment un couple difficilement dissociable, l seconde reflétant la lumière du premier parti voir ailleurs si l’on y est.
C’est la fameuse « sélénité » lunaire, qui renvoie la lumière sans l’émettre & dans laquelle Roland Barthes voyait une figure de la castration dans son étude de la ‘Sarrasine’ de Balzac (S/Z).

Bloom dit: à

Soleil et…

et alii dit: à

La noix de kola ou cola (ou kola) est la grainen 1 d’arbres du genre Cola, nommés génériquement colatier (ou kolatier), représentés principalement par le Cola nitida et le Cola acuminata.

Originaire de la forêt tropicale de l’Afrique occidentale et centrale, elle est appréciée depuis très longtemps par les populations locales pour ses vertus stimulantes, tenant à sa forte teneur en caféine (de 1 à 4 %). Consommée fraiche et débarrassée de ses téguments pulpeux, elle est longuement mâchée en bouche où elle développe d’abord une saveur astringente et amère puis sucrée1.

Symbole de bienveillance, elle tient aussi une place importante dans les us et coutumes de la société.

Produite dans les forêts tropicales s’étendant de la Guinée-Bissau au Ghana, elle est exportée vers le nord depuis des siècles, par des caravanes de porteurs, jusque dans la région de la savane soudanienne occidentale. Le commerce à longue distance s’est ensuite étendu vers l’est, jusque dans l’actuel Nigeria.

Étymologie : le terme de cola a été emprunté à une langue d’Afrique de l’Ouest, le temné (Sierra Leone, Liberia) où la noix de kola se dit kla2, gola ou kola3.

Orthographe : les deux orthographes cola et kola (ou de même colatier et kolatier) sont valides en français4.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Noix_de_kola

et alii dit: à

La noix de cola est consommée depuis au moins un millénaire dans la région géographique du Soudan occidental et au moins depuis 500 ans dans le Soudan centraln 2. Elle fut une marchandise importante, en particulier dans le monde musulman où l’alcool est interdit.

La noix de Cola nitida produite dans les forêts tropicales de l’Afrique occidentale était expédiée par caravanes de porteurs et d’ânes au nord, vers les marchés de la savane soudanienne occidentale. Par contre la noix de Cola acuminata, originaire des forêts tropicales du centre, était consommée sur place3. Avant la fin du xixe siècle, le fleuve Volta (dans l’actuel Ghana) délimitait ces deux zones : à l’ouest croissait C. nitida, à l’est C. acuminata. Le commerce à longue distance de la noix de cola partait donc du sud du Ghana, de la Côte d’Ivoire, du Liberia, du Sierra Leone, et de la Guinée-Bissau.

Dans son Journal d’un voyage à Tombouctou, René Caillié offre un témoignage vivant de l’importance des noix de cola tant dans le commerce nord-sud que dans les échanges sociaux. Parti en mars 1827, des côtes de la Guinée vers l’est, il fait un détour pour des raisons de sécurité par Tiémén 3 (nord de l’actuelle Côte d’Ivoire) où il croise les routes du cola. Dans un village de Mandingues musulmans, il observe que « les habitants se bornent entièrement au commerce; ils vont à quelques journées dans le sud, acheter des noix de cola, qu’ils portent à Djenné [dans le delta intérieur du Niger, actuel Mali], et qu’ils échangent pour du sel : ce commerce est peu lucratif, car ces voyages sont très longs et pénibles » (Journal Vol.1, p. 4665) . À Tiémé, Caillé observe une caravane de porteurs de cola se rendant à Djenné « Le 6, la caravane se mit en route; quoiqu’il plût à verse. Les voyageurs étaient au nombre de quinze à trente, hommes et femmes, emportant chacun sur la tête une charge de 3 500 colas, fardeau que je soulevais à peine: ils apportent en retour du sel en brique et en planche. Les habitants m’ont assuré que le produit en sel de 3 500 colas, rendu à Tiémé, était le prix de deux esclaves » (Journal Vol 2, p.5). Le 10 janvier, Caillié se joint à une caravane : « les femmes, avec une lourde charge de cola sur la tête, prirent le devant; elles furent suivies par les hommes également chargés; ils avaient chacun une sonnette à la ceinture…cet attirail produit un tintamarre étourdissant qui leur plaît beaucoup. Ils étaient tous armés d’arcs et de flèches: ils marchaient en file comme à la procession; les chefs et les propriétaires des marchandises fermaient la marche en conduisant les ânes » (Journal Vol 2, p.63-64).
Les marchands haoussas qui dominaient le commerce des kolas entre l’Empire ashanti (actuel Ghana) et la région soudanaise centrale venaient des villes du Califat Sokoto, créé début du xixe siècle dans le nord du Nigeria. Formant un grand état islamique, divisé en trente émirats, il s’étendait de l’actuel Burkina Faso jusqu’au nord Cameroun. Les marchands de l’émirat de Kano s’enrichirent considérablement. La noix de kola fut acceptée à la place de la monnaie locale en cauri3.

Les noix de cola se payaient à un prix élevé et c’est principalement les aristocrates du califat de Sokoto et de Borno qui pouvaient se l’offrir. Offrir une noix de goro (suivant le terme en langue haoussa) était une marque d’amitié. Elles étaient aussi consommées dans toutes les cérémonies importante de cette société musulmane.

La production de kola a connu une forte croissance au xxe siècle. Chevalier et Perrot9 estime à 20 000 tonnes la production de kola en 1910. En 1955, la seule Côte d’Ivoire exporte 20 000 tonnes de kola au Mali. Puis le sud du Nigeria devient le plus gros producteur de kola. En 1957, il fournissait 110 000 tonnes au nord Nigeria.

et alii dit: à

à propos des liens que je mets, réponse aux critiques:d’une manière générale, je m’appuie sur ma mémoire,de ce que j’ai lu, ( Tombouctou, j’étais en 4ème!et j’avais déjà connu des personnes noires,adultes et enfants- j’ai vu de mes yeux des balafons,sur le modèle desquels on avait fait des jouets pour enfants;je ne mémorise tout ce que je lis dans les articles en lien; je préfère me faire une idée assez précise de ces articles que je pourrai trouver sur la toile « au besoin »,pour moi, ou pour d’autres; j’organise ma mémoire!

Alexia Neuhoff dit: à

Lever de lune ou de soleil d’et alii, il va pleuvoir des liens autour de l’Afrique, le continent va être aussi dévasté qu’après le passage de criquets. On se demande si et alii est rémunéré.e à la ligne pour nourrir le nourrain, autrement dit faire tourner le compteur, c’est-à-dire la boutique.

et alii dit: à

Elle est utilisée notamment pour ses propriétés stimulantes mais possède aussi des propriétés antidépressives. Elle est réputée faciliter la digestion et avoir des propriétés aphrodisiaques11. Elle possède un goût amer du fait de sa forte teneur en xanthines (caféine surtout, mais aussi kolatine et kolatéine qui adoucissent l’action de la caféine11).

Noix de cola du Nigeria.
La noix de kola est très commune dans de nombreuses cultures traditionnelles d’Afrique de l’ouest mais aussi en Indonésie et au Brésil. Porteuse d’une valeur symbolique, elle est souvent consommée lors de cérémonies ou pour souhaiter la bienvenue aux invités, comme dot à la famille du jeune ou de la jeune mariée, comme symbole de l’amitié partagée ou pour signifier une entente scellée ou une réconciliation entre deux parties11.

On prépare la noix en la débarrassant de ses téguments, puis elle est mise à sécher, ce qui lui donne une couleur acajou. Elle est consommée par mastication soit par une personne seule (lors d’un long trajet ou pour des travaux difficiles) soit en groupe (en signe de convivialité)11.

Au xixe siècle, elle était utilisée en Europe et aux États-Unis, en thérapeutique sous forme de poudre, d’extrait fluide, de teinture et même de vin11. On la trouvait présentée mélangée avec du cacao, du quinquina, de la coca, des sodas.

On utilisait aussi la noix de kola pour faire des colas, c’est-à-dire des boissons toniques et reconstituantes : ainsi, elle fut employée, entre autres, par le pharmacien John Pemberton dès 1885 lors de la création de ce qui deviendra bien plus tard le Coca-Cola. Selon des notes du pharmacien datant de

et alii dit: à

bien sur Alexia peut présenter des livres nouveaux;
j’en signale un, avec des « images » et un bref commentaire;
L’un des volumes les plus vastes de son genre, African Artists: From 1882 to Now compile un large échantillon d’œuvres de plus de 300 artistes modernes et contemporains nés ou vivant sur le continent. Dans ses plus de 350 pages, le texte massif couvre une gamme de supports et de l’ esthétique, de tentaculaire installations postcoloniales de Mary Sibande et collages d’aquarelle de Wangechi Mutu fantasmatiques aux photographies brodé coton par Joana Choumali .
https://www.thisiscolossal.com/

et alii dit: à

autre souvenir:
la maisonrouge:
« Le coorganisateur du premier Pavillon africain à la 52e Biennale de Venise et cofondateur de la Revue noire, explique : « “Après Eden”, c’est l’énonciation d’un monde déchu dans lequel les humains tentent d’inscrire leur trace. Une version païenne de l’histoire d’Adam et Ève chassés du paradis. » Une fiction qu’il organise en huit tableaux : le jardin, la ville, l’identité, le roman, le corps, le masque, les autres et le voyeur. Les premiers pas y sont légers, rythmés par les arabesques parfaites des 120 plantes du portfolio de Karl Blossfeldt (1928). Apparaissent alors les bâtiments industriels que le couple Becher a photographiés pendant quarante ans. Puis, l’Afrique australe avec les stigmates des guerres, des migrations, du colonialisme et de l’industrialisation : les Sud-Africains Santu Mofokeng et David Goldblatt témoignent des effets de l’idéologie, Jo Ractliffe souligne la nature brute et blessée de l’Angola et le photojournaliste Guy Tillim raconte les enfants-soldats. Puis l’on passe à la redécouverte de la photo studio africaine avec Seydou Keïta et les clichés festifs de Malick Sidibé – tous deux maliens – ou encore le merveilleux The Black Album Photo de Santu Mofokeng… Des regards illustres ou anonymes qui parlent de réalité, sociale, culturelle, économique et morale et qui racontent la puissance d’un combat photographique qui oscille entre urgence, beauté et gravité. Loraine Adam La Maison rouge (Paris), jusqu’au 17 janvier 2016.lamaisonrouge.org
in L’Afrique s’affiche à La Maison rouge
Par Loraine Adam – Publié en février 2016
https://www.afriquemagazine.com/l-afrique-s-affiche-la-maison-rouge

et alii dit: à

ce que j’aime n’est pas ,à mes yeux, une question intéressante pour ce blog,ni comme livres, ni comme oeuvres d’art visuel; je me souviens mieux de ce que j’ai aimé sans doute; mais il n’y a pas si longtemps -encore que- j’aime la céramique, ou les artistes du papier (encore que puisque j’habitais encore Pariset que je faisais attention à retourner dans des galeries où j’avais eu tel plaisir à découvrir,apprendre,

et alii dit: à

par exemple, je ne suis pas fan de l’artiste japonais de céramique :Akio Takamori est un artiste largement reconnu originaire du Japon, maintenant basé à Seattle. Ses personnages nous donnent l’illusion qu’ils sont faits d’autre chose que d’argile, on dirait qu’ils sont peints à main levée dans l’espace. Au delà de cet effet trompe l’oeil ce sont tout sauf des personnages ordinaires…
mais ce n’est pas une raison pour ignorer sa pratique
https://neo-ceramistes.com/ceramique-aujourdhui-5-artistes-contemporains/

rose dit: à

et alii dit: à
à propos des liens que je mets, réponse aux critiques:d’une manière générale, je m’appuie sur ma mémoire,de ce que j’ai lu.

Je le savais cela.
Mettez-vous au soleil avec vos poules.
Bonne journée,

Z’avez une mémoire d’éléphant.

et alii dit: à

une galeriste de l’avenue MATIGNON explique:
Vous avez quitté la France il y a dix ans pour ouvrir une galerie à Seattle. L’aventure n’était-elle alors pas possible à Paris ?
J’avais déjà commencé l’aventure en France, mais elle ne pouvait pas aller très loin car je voyais bien qu’il y avait une forme de résistance face aux œuvres des artistes de couleur ou issus de la diaspora africaine. Je suis partie parce que les Afro-Américains avaient commencé à se faire entendre auprès des institutions, ce qui donnait au pays une attractivité culturelle, sociale et artistique. Mais je me suis retrouvée à Seattle, une ville qui finalement n’est ni diversifiée ni artistique. Je me suis questionnée sur la manière de promouvoir les artistes dans un endroit qui n’est pas une plateforme comme New York ou Los Angeles, alors je suis allée chercher les clients. Les foires m’ont permis de présenter ma programmation et d’être en contact avec des collectionneurs itinérants et curieux. Et il ne faut pas oublier que nous étions sous le premier mandat de Barack Obama (de 2009 à 2012, ndlr). Depuis, nous avons vécu aux États-Unis non pas une révolution culturelle, mais une forme d’émancipation de la part de ceux qui n’ont pas eu beaucoup de visibilité jusqu’à présent, à savoir les artistes de couleur, LGBT+, les femmes… Il y a un rééquilibrage, et la question sur la place de la diversité ne se pose plus dans les institutions ou dans le marché de l’art. Il sera très intéressant de voir comment Paris et même l’Europe gèreront cette vague.

et alii dit: à

IL EXPLIQUE AUSSI:
J’ajoute avoir un goût prononcé pour le monde culturel. J’ai été conseiller scientifique de l’exposition «Le modèle noir», au musée d’Orsay en 2019, traitant de la représentation des Noirs dans les arts visuels, et ai récemment cosigné avec Constance Rivière (sécrétaire générale de la Défenseure des droits, ndlr) un rapport sur la diversité au sein de l’Opéra de Paris.
Néanmoins, cet emblème de la France colonialiste aurait pu vous rebuter, non ?
Au contraire ! Le palais de la Porte-Dorée me paraît précisément être l’endroit idéal pour nous saisir de la question et mieux comprendre certaines facettes de notre histoire. À condition, bien entendu, de faire preuve de pédagogie, de contextualiser… Aux visiteurs, nous expliquons qu’il n’est pas un simple monument art déco, sans doute le plus beau de France : ce fut aussi un lieu de propagande coloniale. Les bas-reliefs extérieurs et les fresques intérieures, célébrant «la France civilisatrice et colonisatrice», ne correspondent pas à la réalité historique. On n’y voit aucune trace de domination ou de violence. Lorsque le public admire un parquet d’ébène comme celui du salon Afrique, nous lui rappelons que les grumes étaient préparées par des travailleurs forcés, avant d’être embarquées sur les fleuves Congo ou Gabon en direction de la métropole. Il faut donc restaurer ce joyau architectural, trop longtemps laissé à l’abandon, et l’explicite

et alii dit: à

lien idem
. Pour ma part, j’espère contribuer à en faire un lieu qui compte autant que possible. Notre mission officielle est de valoriser les migrations, partie sous-estimée de notre histoire alors qu’un Français sur quatre est immigré ou descendant d’immigré. Je souhaite qu’il soit un espace de réflexion et de dialogue ouvert à tous. De mère française et de père sénégalais, je n’ai à titre personnel jamais souffert de problèmes structurels de racisme ou de discrimination susceptibles d’affecter gravement mon existence. Mais ce sont des sujets dont nous devons parler, dans un esprit apaisé, en s’appuyant sur les acquis de la recherche. Je n’ai pas le goût de la polémique.

et alii dit: à

même lien
Et puis, il ne faut pas oublier l’Aquarium tropical, qui vient d’être rénové. Aménagé dans le palais, il participait du projet colonial, pour montrer les richesses sous-marines de l’Empire. Aujourd’hui, s’il reste un spectacle merveilleux, il est investi d’une double mission : de pédagogie pour sensibiliser le public aux problèmes environnementaux et de conservation. Selon son directeur Charles-Édouard Fusari, c’est une arche de Noé, car il doit contribuer à la préservation d’espèces menacées.

et alii dit: à

Opoku’s explorations have been mostly through the lens of her camera; Her photography is expressed through screen-printing and alternative photo processing on varieties of natural fabrics. She repeatedly integrates family heirlooms and her own self-image into her visual observations of Ghana’s cultural memory. Her practice centers around textiles and traditional Ghanaian dress codes, which have been an inherent part of the country’s identity and industry throughout West Africa’s complex history.

She was a 2020 artist in residence at Black Rock in Dakar, Senegal and has exhibited internationally
https://marianeibrahim.com/artists/33-zohra-opoku/biography/

et alii dit: à

Omar Sy est le fils d’un père ouvrier sénégalais d’origine peule et d’une mère d’origine mauritanienne, femme de ménage1, au sein d’une fratrie de huit enfants2. Ses parents sont originaires du village frontalier de Bakel2 dans l’est du Sénégal et sud-est de la Mauritanie. Son père, issu d’une famille de tisserands, est arrivé en France en 1962 en prévoyant d’accumuler un peu d’argent avant de retourner au Sénégal pour y ouvrir une boutique2.

Il reste finalement en France, où il travaille dans l’usinage de pièces automobiles puis dans la logistique chez un sous-traitant automobile2. Son épouse le rejoint en 19742. La famille est installée à Trappes2 dans les Yvelines où pendant son enfance, Omar côtoie Jamel Debbouze de trois ans son aîné. Jamel habite le même quartier et est un ami de son frère aîné2.

La famille parle pulaar à la maison et va au Sénégal tous les deux ans3.

Phil dit: à

Etali, boa constricteur du prestigieux blog à passou, langoncet peut fiche un dix du millionnaire à Nobel pour achever la lobotomie, sasseur en java amok sur les ruines

renato dit: à

et al., selon l’un des amis de mon père (Giulio Confalonieri (Milan, 1896 –1972, musicologue) qui en parle dans son Histoire de la musique (Ed. Accademia, Milan,1950-1958, 1075), LvB aurait eu quelques informations relatives à la musique africaine grâce à l’abbé Georg Joseph Vogler (1749 – 1814, prêtre, compositeur, organiste, professeur et théoricien de la musique, qui eut une forte influence sur l’évolution de la science musicale du XVIIIe siècle), grand voyageur : de la Suède à l’Afrique du Portugal à la Grèce.

et alii dit: à

phil, erreur ,moi, je suis depuis longtemps du genre anaconda du Pérou!

et alii dit: à

et sachez le, l’anaconda est capable de jeuner 2ans et n’a pas de venin!

et alii dit: à

savez-vous renato si l’abbé VOGLER a connu l’abbé GREGOIRE ?

et alii dit: à

nous trouvons le Mémoire en faveur des gens de couleur, de 1789, qui marque l’intervention de Grégoire sur la question de l’égalité raciale, qui restera inscrite à l’horizon de ses combats jusqu’à la fin de sa vie. Ce texte illustre notamment l’infléchissement des positions de la Société des Amis des noirs, de la lutte prioritaire pour une abolition de la traite et une abolition graduelle de l’esclavage vers un combat pour la destruction immédiate de l’édifice ségrégationniste dans les sociétés coloniales. Les deux textes suivants prolongent cette prise de position initiale.
https://journals.openedition.org/ahrf/11830

et alii dit: à

même lien sur GREGOIRE
« son projet d’écriture d’une grande histoire de l’esclavage, projet qu’il caresse depuis longtemps, mais qu’il ne mènera pas à son terme, avec Observations préliminaires sur une nouvelle édition d’un ouvrage intitulé Histoire du commerce homicide appelé traite des noirs. Les quatre derniers textes concernent plus particulièrement Haïti, et illustrent les relations tumultueuses que l’abbé entretint avec le premier État noir indépendant du continent américain. Grégoire se pose en instituteur moral de la jeune nation dans ses Considérations sur le mariage et le divorce (1823), puis réaffirme fortement ses convictions dans De la liberté de conscience et de culte à Haïti (1824) et De la noblesse de la peau (1826), marquant l’opposition irréductible entre le christianisme et le préjugé de couleur. Enfin, L’épître aux Haïtiens, de 1827, qui clôt la série, et qui se termine par la formule de désenchantement par rapport aux espoirs que Grégoire avait pu placer dans la jeune république noire; « Haïtiens, adieu! ».

Alexia Neuhoff dit: à

Et alii est en train de prendre le contrôle du blog d’Assouline. Espérons que Janssen revendra son tracteur pour assurer la pérennité de l’entreprise dans un esprit démocratique, pluraliste, laïque.

Alexia Neuhoff dit: à

Phil dit: à
Etali, boa constricteur du prestigieux blog à passou

Phil, même si j’en doute, n’auriez-vous pas quelque engin agricole à vendre pour grossir la cagnotte dans le but de contrer l’OPA hostile ? Jazzi se dit fauché. Renato, on le constate, est complice de l’attaque. D. vit la tête dans son réfrigérateur…

Janssen J-J dit: à

Il est déjà revendu, mais a pas suffi, apparemment… Le temps xama pris pour trouver acquéreur !…, AN, je reviens icite et suis total noyé : l’anaconda péruvien a bouffé le boa constrictor…
Craignos : passoul va pouvoir fermer la boutique durant deux plombes… (nb/ je signale qu’il a pas voulu de mon tracteur… et l’va s’en mordre les doigts, hein !)??? Sauf si le serpent se réveille pas… Les erpétologues du blog, planqués dans le Sud du pays présentement, peuvent toujours rêver de bouffer des petits margouillats…. les fontaines de paris sont toujours à sec !

Janssen J-J dit: à

et on nous avait dit que taxifolia caulerpa avait été éradiquée dans la grande bleue… même à pkrl, ils en revenaient pas…!
Y a bin fallu un point de chute… hein… nouzi voili voilà…
(Pardon, Samuel… pour le chahut de la récré..)

poussière dit: à

ici ce sont les coccinelles asiatiques qui envahissent, comme l’an passé

on ne voit plus de coccinelles autochtones, mais que fait l’UDC ?

rose dit: à

quelques bretons ayant crû.
Il était temps.
Le cidre fermier euh.

rose dit: à

Alexia Neuhoff dit: à
Et alii est en train de prendre le contrôle du blog d’Assouline.

Ça fait un moment.
Traite le sujet de manière totalement exhaustive.

D. dit: à

On devrait facturer et alii à la ligne de commentaire.

rose dit: à

De A jusqu’à Z.

A Afrique noire
B boubou ou Burundi ou Burkina Faso ou balafon
C carry de cabri & Congo Brazzaville & Cameroun
D Douala doudou didon
E
Françafrique
Gabon
H
I
J
Kenya
Liberia
Mauritanie ou mafé
N Niger le grand fleuve
Ô Obama
P Pulaar ou poulet braisé
Q
R
S Sénégal. Le grand fleuve. Sy Omar
T Tanzanie Togo
U
V Volta le grand fleuve ou vuvuzela
W wolof
X
Yaoundé
Z Zanzibar

M. Victor dit: à

Coccinelles asiatiques…
Bête à bon Dieu, bête à Bouddha.

rose dit: à

Je comblerai les trous.
Pour l’heure
Bon.
C décidé.
Je vais connecter mes batteries immatérielles avec mes batteries matérielles.
La sieste, ça suffit.
Stand up baby.

rose dit: à

M mer nouare.

Phil dit: à

n’auriez-vous pas quelque engin agricole à vendre

Ayez confiance miss Neuhoff, gardons notre outillage intact pour défricher ce prestigieux blog le moment venu. Grâce à M. Berl , nous savons que la terre ne ment pas. Etali entortille M. Bahia en troquant son boa pour l’anaconda.

renato dit: à

Moi, complice ?!

Janssen J-J dit: à

@ Debout lad’dans ! … etalii va pas nous boucher trous les trous non plus, hein…! Réveillez pas l’Ana Konda durant qu’elle ridère digère !
________
Elila
Hamiz
Ikelemba
Jubba
Q———–>(aucun cours d’eau africain sue le Q)
Rutshuru
Uele
Xufexufe
(Bàv)

Janssen J-J dit: à

psttt – hep… —> il faudrait qu’elle nous les apprenne par cœur, on aurait un brin la paix (vu qu’y en a pas mal beaucoup en RDC, … et perso, je les ai pas encore tous pirogués !… hein !)
—–
Ambe
Bima (rivière)
Bolombo
Bombo (rivière)
Bomokandi
Chutes Boyoma
Canyon du Congo
Chutes de Zongo
Congo (fleuve)
Dikulwe
Dwa (rivière)
Ebola (rivière)
Elila
Epulu (rivière)
Fimi
Fubu (rivière)
Gombe (rivière)
Ikelemba
Inkisi
Inzia
Itimbiri (rivière)
Kabambaye
Kafubu
Kalimabenge
Kalumengongo
Kama (affluent de l’Elila)
Kampemba (cours d’eau)
Kamutambayi
Kapalekese
Karavia (cours d’eau)
Kasaï (rivière)
Kasenga (cours d’eau)
Kasidishi
Kasuku (rivière)
Kwango (rivière)
Kwenge (rivière)
Kwilu (affluent du Kwango)
Kwilu (rivière des Cataractes)
Kwilu (rivière)
Libala
Lilo (affluent droit du Lwalaba)
Lilo (affluent gauche du Lwalaba)
Lindi (rivière)
Lobaye (affluent de la Lomami)
Loeka
Lofoyi (rivière, affluent de la Lufira)
Lohale
Lokoro
Lomako
Lomami (rivière)
Lomela (rivière)
Lopori
Loto (affluent de la Salonga)
Lovua (rivière, affluent du Kasaï)
Lowa (cours d’eau)
Lua (rivière)
Lubembe occidentale
Lubembe orientale
Lubi
Lubimbi (rivière, affluent de la Lugulu)
Lubimbi (rivière, affluent de la Lwembe)
Lubishi
Lubudi (affluent de la Sankuru)
Lubudi (affluent du Lwalaba)
Lubule (rivière)
Lubumbashi (cours d’eau)
Lufimi
Lufira
Lufubu
Lugulu
Luizi (rivière, affluent de la Lukuga)
Luizi (rivière, affluent de la Lwapula)
Luka (cours d’eau)
Lukashi
Lukaya (rivière)
Lukenye (rivière)
Lukibu
Lukuga
Lukula (rivière du Bandundu)
Lukula (rivière du Mayombe)
Lukushi
Lulonga
Luluwa (rivière)
Lushiko
Lutshwadi
Luvidjo
Luvu
Luvwa
Lwachimo (cours d’eau)
Lwama
Lwange (cours d’eau)
Lwano (cours d’eau)
Lwapula
Lwawu
Lwebo (rivière)
Lwembe
Lweta
Lwika
Lwilaka
Lwilu (rivière)
Lwiswishi (rivière)
Lwiza (rivière)
Maï Ndombe
Maiko (rivière)
Maringa (rivière)
Mbomou
Mbuji-Mayi (rivière)
Miao (rivière)
Molua
Mongala (rivière)
Montoku (rivière)
Motima
Mpozo (rivière)
Mulongwe (cours d’eau)
Mwanzangoma
Navyundu
Ndjili (rivière)
Ngezi (rivière)
Ngiri (cours d’eau)
Nil Blanc
Nko (rivière)
Nsele (rivière)
Nyemba (cours d’eau)
Oso (cours d’eau du Congo-Kinshasa)
Oubangui
Ruki
Rusizi
Rutshuru (rivière)
Rwashi (cours d’eau)
Sankuru (rivière)
Semliki
Shari (rivière)
Shiloango
Sumbuji
Tayna (cours d’eau)
Tele (rivière)
Tshikapa (rivière)
Tshimbi (rivière)
Tshopo (rivière)
Tshwapa (rivière)
Uele (rivière)
Uere
Uku (cours d’eau)
Ulindi
Wamba (rivière)
Yambeshi
Yekokora
Yowa (rivière)
…………………. Tant qu’à naviguer dans la nature entoilée et y traquer les serpents, faut du matosse… hein
(Bàv)

Soleil vert dit: à

Mohamed Mbougar Sarr en dédicace à la librairie Le Divan le 19/10

Soleil vert dit: à

et alii dit: à
et sachez le, l’anaconda est capable de jeuner 2ans

Oui il se serre la ceinture avant de serrer celle des autres

et alii dit: à

BONJOUR SOLEIL VERT
J4AI UN TITRE HORS SUJET POUR VOUS
L’autre-mental
figures de l’anthropologue en écrivain de science-fiction
de Pierre Déléage
chez La Découverte
Les anthropologues et les écrivains de science-fiction ne poursuivent-ils pas au fond une même quête, celle de l’altérité radicale ? Certes, tandis que les seconds recourent à la fiction pour figurer le monde vertigineux des aliens peuplant leur esprit, les premiers se recommandent de la science pour décrire des sociétés autres qui, aussi étranges et stupéfiantes que nous soient donné à voir leurs moeurs et leurs mentalités, n’en sont pas moins réelles. Cette frontière des genres, il arrive pourtant que certains anthropologues la franchissent : escamotant les modes de pensée des cultures qu’ils se proposent d’étudier, ils y projettent alors leur propre imaginaire métaphysique.

1900-1925 : Lucien Lévy-Bruhl invente une pensée prélogique qu’il attribue aux sociétés dites primitives. 1925-1950 : Benjamin Lee Whorf invente une pensée de l’événement qu’il considère comme immanente à la langue des Hopi. 1950-1975 : Carlos Castaneda invente une pensée psychédélique qu’il prête à un Yaqui imaginaire. 1975-2000 : Eduardo Viveiros de Castro invente une pensée multinaturaliste qu’il prétend dérivée des traditions amérindiennes.

En exposant le brouillage des niveaux de réalité dans lequel excelle un écrivain comme Philip K. Dick pour faire résonner son oeuvre avec les fabulations théoriques de cette école de pensée informelle, Pierre Déléage entreprend une archéologie de la subjectivité spéculative et s’essaie à nouer autrement les relations, toujours conflictuelles mais toujours productives, entre science et fiction.
https://www.lalibrairie.com/livres/l-autre-mental–figures-de-l-anthropologue-en-ecrivain-de-science-fiction_0-6572777_9782348058912.html?ctx=e73e70537fa37ba8464c0ef20dc1adb7

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