Rhabillez-vous, Cassandres !
Sentez-vous le ton qui monte et l’esprit qui vient ? On ne dira pas que c’était mieux avant. Cela ne se dit plus. Qui oserait sans s’en défendre aussitôt, ravalant ses regrets indécemment exprimés ? N’empêche qu’avant, c’était… autre chose. On savait à peu près où l’on allait. Les repères étaient encore là, bien plantés dans la perspective comme autant de balises. Il y avait la gauche et la droite, l’Est et l’Ouest, le communisme et le capitalisme. On pouvait identifier l’ennemi. Désormais, tout s’est brouillé et confondu, et il est intérieur. Pas seulement du côté de l’Autre, indistinct et innommé, mais en nous-mêmes. Des intellectuels témoignent de ce que ce désarroi a de spécifiquement français face à ce chaos. Ils sont souvent de sensibilité et d’engagement politiques différents sinon opposés, mais expriment, à défaut d’une même vision du monde, une certaine sensation du monde qui les isole de leurs contemporains. Ils ont nom Richard Millet, Régis Debray, Renaud Camus, Jean Clair, Alain Finkielkraut… L’identité nationale, la montée des périls communautaires, l’aversion pour la transparence, le rejet de l’informe comme forme revendiquée, la restauration des frontières sont le terreau de leur réflexion. Certains sont philosophes, d’autres romanciers ou historiens de l’art. Tous sont des écrivains par leur commun souci de la langue, sa décadence et son salut. Les nouveaux livres de deux d’entre eux permet d’y revenir.
Le titre même choisi par Jean Clair, Les Derniers jours (330 pages, 21 euros, Gallimard), donne à sa chronique de la vie comme elle va son caractère crépusculaire et, partant, ses accents testamentaires. Il est emprunté à une revue politique littéraire lancée par Pierre Drieu la Rochelle et Emmanuel Berl (sept numéros parus en 1927). L’épigraphe, elle, vient de l’Ile des pingouins (« Le grand peuple pingouin n’avait plus ni tradition, ni culture intellectuelle, ni arts… Il y régnait une laideur immense »), mais qui lit encore Anatole France ? A part Milan Kundera, on ne voit guère, hélas. Sous cette bannière, Clair l’atrabilaire a réuni en courts chapitres des fragments, des explosions de pensées, qui lui permettent de régler ses comptes avec l’époque. C’est peu dire qu’il aimerait changer de contemporains. Il donne le sentiment de croiser de moins en moins de gens à qui il peut parler. Surtout dans le métro où il se découvre être « le seul Blanc » entouré de Noires en boubous et de musulmanes en foulard.
C’est peu dire qu’il est nostalgique de son enfance. Il a des pages bouleversantes sur sa vie d’écolier, doué et mal dans sa peau, à Pantin où il naquit, entre les Grands Moulins et les Compagnons de la chanson. En quelques soixante-dix années, il aura vu sa ville passer sous différentes tutelles, telle une bourgade balkanique : d’abord département de la Seine, puis Seine-Saint-Denis, puis Quatre-vingt-treize, enfin 9-3. Cette valse administrative serait déjà un bon prisme pour en raconter les métamorphoses. Il est vrai que la banlieue à la Doisneau a vécu. Mais c’est surtout le regret et le souvenir de son monde d’avant qui l’habitent. Celui de la petite paysannerie dont les siens sont issus depuis des générations, qui se suffisaient à eux-mêmes en vivant en économie fermée du côté du Morvan. Ce peuple originaire, comme disent les anthropologues, représentait 60% de la population à sa naissance en 1940, et plus que 2% désormais. On ne s’étonnera donc pas que Jean Clair, né Gérard Régnier, soit l’un des rares à effectuer un rapprochement entre la fermeture à Paris du musée des Arts et Traditions populaires, conservatoire du terroir de culs-terreux, et l’ouverture presque en même temps dans la même ville d’un musée de l’Immigration, ainsi que d’un musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, à Marseille.
Encore plus cérébral qu’intellectuel, ce polyglotte d’une érudition remarquable ne comprend plus le français tel qu’on le parle ou qu’on l’écrit, et qui l’insupporte. C’est un fantôme errant en solitaire parmi une foule en décomposition qui a honte d’être française et qui l’exprime mal dans une langue en plein dépérissement. Le français tel qu’il se parle à la radio ou la télévision, et qu’il s’écrit dans les journaux, est à ses yeux « un abandon qui trahit ce qu’il est : le début de la barbarie ». La nouvelle du jour a dû l’accabler : l’avis de décès du Grand Robert de la langue française, du moins de son édition papier. Il aurait pu faire une belle carrière universitaire aux Etats-Unis. On la lui avait proposée. Il avait accepté. Après quelques temps d’enseignement à Harvard, il décida de rentrer en France lorsqu’il se rendit compte que dans ses rêves, ça parlait en anglais : « Mes rêves ne m’appartenaient plus. Ou plutôt, je n’appartenais plus à mes rêves ». Ils étaient peuplés de lampes à pétrole et de lampes Pigeon, de petits métiers et de bruits familiers. Sa langue à lui est claire, précise, chaleureuse ; même lorsqu’il évoque la peinture, elle ne jargonne pas ni ne recherche la préciosité ; c’est à peine si passent un « chevêche », un « chat-huant », des « aoûtats », « se décacher », ou le charmant « bableuter »
On ne lui fera pas déserter ses origines, il ne trahira pas sa race. Ce refus d’abandon n’est pas qu’un réflexe ethnique d’appartenance à un peuple en voie de disparition : il faut aussi y lire la fierté d’une solidarité sociale malgré le passage de la ligne, telle qu’Annie Ernaux l’a exprimée dans certains de ses récits. Les derniers jours est le livre bouleversant d’un homme prêt à tous les aveux pour mieux en dissimuler un : lorsqu’il reconnaît en deux lignes avoir toujours aimé sa mère avec désespoir et s’être toujours senti coupable de la disparition des siens. Le symptôme du survivant.
Alain Finkielkraut est tout aussi pessimiste, mais plus tragique encore, dans L’identité malheureuse (228 pages, 19,50 euros, Stock), et ce n’est pas parce le spectre du malheur s’invite et s’impose dès la couverture. Le texte figurant en quatrième de couverture (ici) commence par le mot « immigration ». Il se termine par un vœu – ou la possibilité d’un vœu : hériter et transmettre. Curieusement, il a oublié de placer entre les deux un verbe qu’on lit d’habitude dans cette formulaire trinitaire due à l’un de ses maîtres, Emmanuel Lévinas : « Recevoir, célébrer, transmettre ». Pourtant ce n’est pas rien de glorifier. D’ailleurs, l’auteur ne s’en prive pas, qu’il s’agisse du cher Péguy et de François Furet, de Diderot et de Lévi-Strauss (Race et histoire), et d’autres encore, car on sait que Finkielkraut dégaine facilement ses citations, non pour épater mais pour appuyer en étant le plus précis possible afin de ne pas trahir la lettre ni l’esprit. Ceux qui l’ignoraient (mon cas) savent désormais que c’est au philosophe anglais Roger Scruton que l’on doit la notion d’oikophobie, hellénisme désignant la haine de la maison natale et la volonté de se débarrasser de tout ce qu’elle a pu accumuler au cours des siècles. Et puis quoi, il y a peu de nouveaux essais qui s’appuient ainsi sur les livres de Barrès, Burke, Maistre, des classiques certes, de la pensée politique contre-révolutionnaire, mais on se demande s’ils correspondent à la belle définition du classique que fournit l’auteur :
« Un livre dont l’aura est antérieure à la lecture. Nous n’avons pas peur qu’il nous déçoive mais que nous le décevions en n’étant pas à la hauteur. Nous admirons avant de comprendre et, si nous comprenons, c’est parce que l’admiration a tenu bon et forcé tous les obstacles. L’a priori, en l’occurrence, n’est pas un préjugé, c’est une condition de l’intelligence. Ainsi s’opère la transmission de la culture, ainsi découvre-t-on l’Enéide, le Roi Lear ou A la recherche du temps perdu »
Son diagnostic sur le mal dont souffre la société est souvent juste, implacable même. Et pas seulement quant au remplacement de la galanterie par la muflerie, la disparition de l’humilité ou la douce litote qui met sous le vocable unique d’ « incivilités » des actes qui vont. de la bousculade au meurtre en passant par les insultes. Cela fait des années qu’il dénonce, dans ses articles, dans ses livres, dans ses interviews ou au micro de France-Culture le samedi matin, ce qui mine le meilleur de notre civilisation. Dans une parenthèse d’autodérision, il s’envoie même du « Rhabille-toi, Cassandre ! » en souvenir de tous ces combats. Il déplore brillamment, et à juste titre, le renoncement au savoir-vivre ; mais dans son élan, il ne peut s’empêcher à la suite de dénoncer la mort du savoir-lire et du savoir-écrire 
au motif que tout se passe désormais devant un écran d’ordinateur et un écran de téléphone portable. Et d’actionner la scie de la lecture profonde dans un livre seulement, opposée à la lecture nécessairement superficielle sur un écran. Comme si l’imprimé avait attendu le numérique pour pratiquer la lecture flottante, distraite, fragmentaire, par sauts et gambades, en diagonale ! Surtout, comment peut-il croire que l’on accordera crédit sur ce sujet à quelqu’un qui reconnaît, et revendique, n’avoir jamais pratiqué aucun de ces écrans et de ces flux ? Ce qu’il connaît de l’internet, il le sait par la lecture des livres de Nicholas Carr.
Son goût de la formule l’entraîne parfois à écrire au-delà de sa pensée, à forcer le trait, à extrapoler jusqu’à perdre l’attention de son lecteur acquise au début de sa démonstration. Les deux pages qu’il consacre par exemple au projet avorté de la Maison de l’histoire de France sont si caricaturales qu’elles font l’impasse sur son caractère sarkozyen. De même lorsqu’il refuse d’examiner dans la nuance le constat pourtant d’évidence que fit l’historien Lucien Febvre lorsqu’il rappela que dans la longue durée, la France éternelle, figée, immobile était un mythe car elle avait été un lieu de brassages et de recomposition permanents ; dans ces passages-là, on aurait plutôt attendu d’Alain Finkielkraut une réflexion sur le fait que la France, pays d’Europe qui a accueilli le plus d’étrangers au XXème siècle, bute sur la question de l’Islam. Ou une explication plus détaillée sur le primat qu’il accorde à la démocratie sur la République (au compteur sémantique, la première l’emporte largement sur la seconde).
Lui aussi brandit les vers de Racine et les quatrains de Baudelaire contre l’abaissement général, l’avachissement d’un peuple résigné et indifférent. Lui aussi regrette que l’identité nationale soit devenue « un mot moisi ». Lui aussi s’inquiète que l’enseignement dans les collèges et lycées soit devenu un sport de combat, que le Front national puisse s’affirmer comme le premier parti ouvrier de France. Mais à force de prendre le drame au tragique, il va porter le deuil du livre au motif que le texte est en train de l’abandonner pour migrer sur un autre support. Et alors ? Ce n’est pas la mort du texte, au contraire ! Le problème avec la nostalgie, c’est qu’elle entraîne chez ceux qui savent écrire une mélancolie si triste qu’elle en devient morbide.
Ces deux livres sont pathétiques par le désespoir qu’ils expriment. Ils n’en sont pas moins nécessaires car ils reflètent un authentique désarroi, plus répandu qu’on ne le croit, face à l’érosion de l’identité nationale. Ces Cassandres nous sont indispensables. « Lanceurs d’alerte » dirait-on aujourd’hui. On ne nous fera pas croire qu’ils sont les idiots utiles de la droite nationaliste ou de l’extrême-droite, appelez-la comme vous voulez, au motif que la haine de la France les terrifie, les indigne et les accable. Nul doute que Jean Clair et Alain Finkielkraut se feront traiter de réactionnaires. Et alors ? Ce fut infamant jusqu’à une récente période encore. Après avoir été examiné comme un syndrome, c’est devenu une qualité, bientôt une tendance. Reste à savoir s’il s’agit de la queue de comète d’un monde qui s’en va, ou du chevau-léger d’un état d’esprit appelé à durer.
(« Course de chevaux en Irlande, 1952 » photo Henri Cartier-Bresson ; « L’autre jour sur un mur de la rue de Passy, Paris XVIème » photo Passou ; « Many times », 1999, polyester et résine, oeuvre de Juan Munoz, photo de Jean-Luc Lacroix)
849 Réponses pour Rhabillez-vous, Cassandres !
JC..... dit:
à
Philou,
Le clivage le plus important n’est pas vieux/jeune mais friqué/non-friqué. Avez vous vu combien de jeunes beautés accompagnent de vieux milliardaires baveux et bedonnants ? Combien de jeunes pauvres restent eux condamnés à la branlette solitaire derrière l’église, la mosquée, la synagogue, l’école publique, le super U. ?
Combien pèsent en pèze, vos « Richard Millet, Régis Debray, Renaud Camus, Jean Clair, Alain Finkielkraut, Philippe Bilger et tant d’autres » ? Voilà une bonne question. Rien ? faible tirage ? Pourquoi voulez-vous qu’on leur accorde la moindre attention !!!
Laissez les vivre dans l’encre noire.
bérénice dit:
à
D rien d’édifiant, sans solution acceptable, sans programme durable, aucune vision non plus.
Philippe Régniez dit:
à
L’argent est une considération, certes, mais l’appartenance est plus importante… je te tiens tu me tiens par la barbichette.
je tiens à vous le dire dit:
à
u. dit: 19 octobre 2013 à 16 h 35 min
Vous êtes en forme, aujourd’hui, bravo!
des journées entières dans les arbres dit:
à
hamlet dit: 19 octobre 2013 à 13 h 54 min
Bel effort, Hamlet.
Je peux vous appeler Jed ?
JC..... dit:
à
Philou,
Je vous mets au défi de me tenir par la barbichette : réglage de la coupe au minimum, soit 1mm. Ressembler à Trotsky ne fait pas partie de mes objectifs de fin d’année.
Sergio dit:
à
Il y a beaucoup plus de repères maintenant qu’aux époques des générations précédentes. C’est bien simple, tout est codifié, interdit ou obligatoire. Alors si avec cela on prétend manquer de repères ! Simplement ils auront des marques de capotes ou de cigarettes sans alcool au lieu de Suze et Dubo, Dubon…
u. dit:
à
« Combien de jeunes pauvres restent eux condamnés à la branlette solitaire derrière le super U. ? »
Trop aimable, JC.
Par derrière en plus, ça me la coupe.
bérénice dit:
à
Mais surement comme Finkelk propose une psychanalyse des frontières faut-il craindre à l’analyse du passé pas encore oublié une résurgence des vieux démons avec migration provisoire des chefs d’exclusion.
des journées entières dans les arbres dit:
à
Hamlet, on peut revoir l’histoire de l’art contemporain ? Picasso, tout ça ?
J.Ch. dit:
à
délit de vieillesse : « on oublie à quel point on est heureux,quand on est heureux » (Alice Munro dans les lunes de Jupiter)
bérénice dit:
à
@D 16h46 Le tout est discutable représente une matière à exploiter ou non, mais c’est plutôt bien d’éclairer pour souligner l’importance des problèmes insolubles de ce monde en mouvement, vers quoi?
JC..... dit:
à
Camarade U.
Je suis désolé que vous vous sentiez visé, vous imaginez bien qu’il n’y a pas la moindre malice dans mon propos, n’est ce pas … !
(contraint forcé, j’admets la maladresse amusée)
JC..... dit:
à
Bérénice,
les vieux démons rajeunissent toujours, en permanence, et restent toujours brûlants, ici et ailleurs …
u. dit:
à
Et voilà!
« Leonarda est furieuse.
Elle refuse la main tendue par Hollande et s’en explique ».
Hihihi….
u. dit:
à
« Au delà des faits, il y a les symboles et, en définitive, on y tient, aux symboles »
Je suis bien d’accord, Daaphnée, mais le symbole mis en pratique, c’est quoi?
Je pense aux dizaines de milliers de gens qui peuvent être en attente de voir traiter leurs dossiers, avec des cas probablement difficiles.
Ils vont en penser quoi?
Cassandre dit:
à
Après lecture de ce billet :
Peuvent rester : JC, Régniez, u., Phil, TKT, Court, Sergio, Paul Edel.
On ne saurait trop conseiller aux autres de boycotter désormais ce blog.
bérénice dit:
à
Un démon est un diable qui comme Dieu reconnait tous ses temps et attend l’heure du festin, le sien bien évidemment qui invite les convertis à des agapes virtuelles par respect pour l’environnement physique et politique, niant toutes implications dans la réalité des choses.
tata simone dit:
à
Cette abaissement du discours politique le met en position de dialoguer directement avec la petite qui, les micros sous le nez, serait bien bête en effet de ne pas faire la leçon à « M’sieur Hollande » (ou pourquoi pas, « François »).
z’avez tout juste,SuperZouzou,Leonarda a déjà répondue au propos de Hollande,elle a dit: »le président n’a pas de coeur »
JC..... dit:
à
Se battre pour des symboles « au delà des faits » et parce qu’on y tient, c’est le signe que le fonctionnement normal ne les respecte pas « dans les faits ».
Peut-être vaudrait il mieux s’occuper convenablement des faits …? La symbolique suivra !
JC..... dit:
à
Il a pas de cœur, il a pas de couilles… qu’est ce qu’il fait là ?
boycott approuvé dit:
à
JC, Régniez, u., Phil, TKT, …
une odeur rance qui s’incruste de plus en plus
Sergio dit:
à
u. dit: 19 octobre 2013 à 16 h 46 min
« Combien de jeunes pauvres restent eux condamnés à la branlette solitaire derrière le super U. ? »
De toutes manières, au-dessus du quarante-cinquième parallèle, l’hiver il faut une grosse bagnole. La moto c’est bien, infiniment plus romantique, mais sous certaines conditions, un pébroque ne pouvant suffire à gommer toute l’hostilité des circonstances…
JC..... dit:
à
Sergio,
« l’hiver il faut une grosse bagnole »
Jeune cadre dynamique, j’aimais les petites anglaises délicates, MG Princess, Triumph, Austin Cooper. Moyennant quelques acrobaties, on se débrouille tout de même bien sans une grosse … cylindrée. J’adorais ma Cooper…
Cassandra dit:
à
Le président fait ce qu’il peut pour les immigrés malgré les préfets qui font passer des notes sombres. Inutile pour les bobos d’ici d’en rajouter, il a bien assez de soucis comme ça.
u. dit:
à
»le président n’a pas de coeur »
On dit: « bas d’cu-eukh ».
Tiü m’prond la têt’.
Le faux-culisme par l'exemple dit:
à
@ u. (comme l’indique l’intitulé de ce post)
1. Vous prétendez ne pas pouvoir imaginer Cassandre à poil, il est impossible de vous croire, c’est en contradiction totale avec votre personnage.
2. Vous avez imaginé Leonarda à poil (c’est votre nature, vous n’y pouvez rien, je ne vous le reproche pas) et ça ne vous a guère émoustillé. Si elle avait été jolie, votre position (intellectuelle, hein) aurait été très différente.
C.P. dit:
à
Bloom, vous étiez moins indulgent envers Jean Clair et Alain Finkielkraut dans votre première intervention. Mais je me retrouve mieux en accord avec vous : le premier s’est arrêté, après les chroniques de « L’Art vivant », dans la position d’un conservateur (de musée) ET en même temps d’un critique parfois méprisant devant les choix contemporains de ses collègues (voulez-vous bien croire que, mari de l’une d’elles, je le sais ?) avant de reprendre racines dans la France de son enfance, domaine dans lequel je le lis sans ennui. Le second me touche par son inquiétude -pourquoi pas ?-, mais de même il s’arrête (son goût pour Péguy m’énerve toujours) : ces gars-là ne voyagent plus.
Je ne crois pas avoir été maladroit sur Colum McCann, mais vous dites juste sur une éventuelle nostalgie… en action. Voyage dans chaque phrase, c’est en effet l’essentiel.
Sergio dit:
à
JC….. dit: 19 octobre 2013 à 17 h 17 min
Sergio,
« l’hiver il faut une grosse bagnole »
Jeune cadre dynamique, j’aimais les petites anglaises
Oui mais c’est comme nous avec les Norton Kommando maintenant ça serait plus possible, la moitié de l’huile sur les Berluti ! Tiens, en voilà un, de repère, et qui a échappé à cet excellent Roland Barthes…
curiosa dit:
à
Cassandre, 17:01… tous les vieux réacs (pour être polis)
Lucien Bergeret dit:
à
» mais qui lit encore Anatole France ? »
Moi. Mais je ne suis personne.
Leo Bloom Pold dit:
à
ces gars-là ne voyagent plus.
Même plus en rêve, C.P… there’s the rub that tickles…
rodrigue dit:
à
Si Hollande avait du coeur, il sauterait dans l’avion présidentiel avec Valoche pour aller chercher qui vous savez au Kosovo et la ramener avec toute sa famille.
Mais ce type est un monstre d’insensibilité.
u. dit:
à
Le faux-culisme par l’exemple dit: 19 octobre 2013 à 17 h 25 min
Cher vrai cul,
Permettez-moi (amicalement, car votre critique me plaît bien) de claquer vos deux fesses.
1. « Vous prétendez ne pas pouvoir imaginer Cassandre à poil, il est impossible de vous croire »
La contradiction n’est pas avec moi, mais avec le texte d’Homère.
2. « Si elle avait été jolie, votre position (intellectuelle, hein) aurait été très différente. »
C’est le contraire.
J’ai écrit que la prise en compte des droits ne devait pas partir des jugements esthétiques ou des coups de coeur émotionnels, parce que la même logique peut pousser à protéger ou ratonner.
La famille Edouarda est atroce, mais justement pour cela la prise en compte de leurs droits légitimes demande qu’on mette ses petits sentiments de côté et qu’on exerce cet effort (la mise entre parenthèse des affects, B-A BA de l’éducation) qu’on hésite à enseigner aux enfants.
Il se trouve (par hasard) qu’elle n’a pas de bon droit, je le regrette et je le constate.
JC..... dit:
à
Curiosa,
Pas le moindre réac dans cette liste non-exhaustive des contributeurs, lancée à 17:01 par Cassandra.
Rien que des types intègres, propres sur eux, payant leurs impôts, flasque de whisky dans la poche de la veste, polyglottes, séduisants, tête froide, verge haute …
Leo Bloom Pold dit:
à
Je vous trouve injuste avec Pp, u. Libre à lui d’avoir des envies d’adoption, ou de s’imaginer que l’humain peut se bâtir tout seul hors de la matrice familiale, à la kibboutznik…
C’est plus les jeunes dans la rue que sa « gauche » qui l’inquiète, me semble-t-il. Un accident est si vite arrivé…
Déboussolé(s)?
u. dit:
à
« ces gars-là ne voyagent plus » (CP + Bloom)
Clair, je ne sais pas, mais Alain F., sans doute pas assez.
Sa culture se limite à l’Ancien monde, celui des classiques.
C’est déjà beaucoup, c’est suffisant peut-être pour l’essentiel, mais il y a des défauts de parallaxe, comme dirait Sergio.
Dans l’appréciation de A.F., il ne faut pas sous-estimer une grande qualité, qui est la franchise et le courage.
curiosa dit:
à
on aime beaucoup Finkie chez les gars de la Marine ; moi, beurk
JC..... dit:
à
« Ces gars là ne voyagent plus »
Drôle de critère !
Philippe Régniez dit:
à
» ces gars-là ne voyagent plus. » Que ne faut-il pas lire…
des journées entières dans les arbres dit:
à
C’est bizarre, ce truc. Je ne trouve plus ce que je cherchais Hamlet.
Gallimard récupère les droits d’édition sur les discours de l’académie. Faut payer pour voir.
Mais, Hamlet, quand vous reviendrez nous faire un nouveau « portrait », j’aimerais bien vous faire part d’un concept. Aussi important à mes yeux que celui du grand Autre.
C’est celui du radiateur.
Le radiateur, façon Robbe Grillet,
Le radiateur en art plastiqué,
Et puis le radiateur en fonte dans la fiction romanesque, mettons dans le cadre d’un marché international, avec pots de vin, corruption; de quoi ficeler un bon polar.
Leo Bloom Pold dit:
à
Sa culture se limite à l’Ancien monde, celui des classiques – u.
—
Il me semble qu’il fait pas mal d’incursion dans les classiques contemporain, type Roth, Kundera & Wellbeck, non?
En revanche, l’aller-retour entre la maison & le monde, la fertilisation mutuelle de l’expérience et de la réflexion, laisse cruellement à désirer. Il existe des intellos qui se frottent volontiers à l’altérité géographique, civilisationnelle, etc. Finkie n’est pas de ceux-là…
S’il y a une seule thèse que démontre Shakespeare dans presque toutes ses pièces, c’est que le passage de la conscience à l’expérience transforme l’humain et modifie la conscience en retour…
réviseur dit:
à
Non u., la culture de Finkie ne se limite pas aux classiques. Il suffit d’écouter régulièrement Répliques le samedi matin pour constater qu’il est curieux de tout ce qui paraît et organise des débats avec des auteurs parfaitement contemporains de toutes opinions et dans des domaines très variés (avec certes des fixettes sur le judaïsme, l’éducation et des citations d’Hannah Arendt à tous les repas, mais personne n’est parfait).
renato dit:
à
Le radiateur façon Raymond Roussel, des journées, le radiateur façon Raymond Roussel, le seul qui a un sens réel…
u. dit:
à
« Il me semble qu’il fait pas mal d’incursion dans les classiques contemporains » (Bloom)
Sans doute.
Je pensais au « monde classique » au sens géographique: Europe et méditerranée (Israel).
Mais le Nouveau monde bien sûr.
En revanche, l’Asie…
u. dit:
à
« ’il est curieux de tout ce qui paraît et organise des débats avec des auteurs parfaitement contemporains de toutes opinions » (réviseur)
Je suis d’accord, bien sûr.
Voir réponse à Bloom.
Il est même excellent dans la sensibilité aux textes littéraires contemporains (de Coetzee à… James Salter)
JC..... dit:
à
Comme s’il y avait une procédure « voyage » à suivre pour être un intellectuel reconnu !!! Rigolo ! Pardon : risible !
Aujourd’hui, ce serait plutôt l’inverse qu’il conviendrait de privilégier dans un monde sur-informé, sur-visité, sur-fait, même pour les « voyageurs » solitaires et avertis. Les anthropologues trompés le crient sur tous les toits…
réviseur dit:
à
Je viens de faire un tour sur les sites des journaux à propos de l' »affaire ». Toutes les bornes de l’indécence et de la nullité ont été franchies par le pouvoir. Le Président de la 5ième puissance mondiale, chef des armées, négocie pratiquement avec une gamine de 15 ans expulsée conformément à la loi. Il y a un mois, il voulait bombarder la Syrie; il y a huit jours, il s’occcupait des problèmes de recrutement des pompiers; aujourd’hui il traite le dossier de l’entrée d’une collégienne sur le territoire français…Demain quoi? Ce type va devenir la risée de la planète si ce n’est déjà le cas.
Philippe Régniez dit:
à
Au vu des nombreux « Finkie » qui apparaissent, ce blogue doit compter beaucoup de familiers d’Alain Finkelkraut.
JC..... dit:
à
Conséquence de cette stupide attitude sur un détail politique, hélas, révélateur de l’incompétence de l’élu, l’envie de crier :
« HOLLANDE ! DEGAGE !!!! »
Bonne soirée …
Sergio dit:
à
réviseur dit: 19 octobre 2013 à 18 h 18 min
l’entrée d’une collégienne sur le territoire français
Et à l’hôtel d’Evreux elle va passer par la porte de service ?
Leo Bloom Pold dit:
à
u., je crois malheureusement qu’en dehors des orientalistes et des mordus, très peu de gens en France s’intéressent à l’Asie, surtout dans sa dimension de production culturelle. C’est aussi un peu une chasse gardée, comme vous le savez. On en est, ou on en est pas.
Avec la possible exception de l’Inde, qui produit une littérature très accessible à l’hexagonal moyen, mais qui semble aussi constituer un angle mort chez nos débateurs.
Autre absents de marque, l’Afrique & les Caraïbes…Bref, le monde d’avant Colomb et Vasco de Gama…
Andy Warhol dit:
à
Un quart d’heure de célébrité, mademoiselle ! Un seul, quart d’heure. Vous abusez depuis hier.
C.P. dit:
à
Qui m’en voudrait d’avoir parlé de « voyage » ? Même Philippe Régniez a raison, mais c’est toujours le retour à la maison (y compris pour Jean Clair, quoi !) Ulysse(s), Ulysse(s), quelle est donc « La Maison de Léoparda »/Leonarda ? Laissez revenir la môme, et ça fera la rue Michel. Je n’aime pas la présidence erratique de François Hollande, mais qu’est-ce que vous voudriez que votre humaniste Président dise d’autre ?
Le faux-culisme par l'exemple dit:
à
« Il se trouve (par hasard) qu’elle n’a pas de bon droit, » (u)
Juridiquement, certes. Reste le droit humain (qu’aime tant JC). Et je sui prêt à parier que, si elle avait ressemblé à Lucia Bosé (jeune, hein), vous auriez fait passer l’humain avant le juridique.
C’est d’ailleurs un des problèmes qui se posent dans cette histoire. Le père est le prototype de l’affreux et elle n’a rien de sympathique.
Imaginez l’inverse : un père brave gars, aimé dans son quartier, elle une beauté doublée d’une brillante élève, avec un petit amoureux français qui ferait craquer les jeunes filles et pleurerait à l’écran. Je vous fiche mon billet que même l’UMP serait emmerdée.
@CP dit:
à
Vous êtes dur avec un politicien à terre. Et vous avez raison. Il nous ridiculise.
Leo Bloom Pold dit:
à
Sauter du coq à l’âne peut faire mal à la poule, mais permet à l’homme de relativiser.
Ou comment finissent les Ordures cathos planquées en Amérique latine:
« A la question posée par l’AFP « La sépulture (du SS Priebke) aura-t-elle lieu en Italie? », l’avocat a répondu: « Oui ». (…)
« Bien sûr, ce ne sera pas à Rome ou dans la région puisqu’une ordonnance du préfet l’interdit », a précisé Me Giachini.(…).
Priebke est l’un des responsables du massacre des Fosses Ardéatines, dont avaient été victimes 335 civils, dont 75 juifs, en 1944 près de Rome, en représailles à une attaque au cours de laquelle 33 soldats allemands avaient été tués.
Caché pendant plus de 40 ans à Argentine, il vivait depuis près de 15 ans dans la capitale italienne, assigné à résidence au domicile de Me Giachini, après avoir été condamné à la réclusion à perpétuité.
Des funérailles religieuses célébrées mardi dernier dans un séminaire de la Fraternité Saint Pie X à Albano Laziale, non loin de la capitale, avait été marquées par des incidents. »
AFP
réviseur dit:
à
Il y a Asie et Asie, Bloom. Le Japon et la Chine ont eu et ont de grands connaisseurs en France. Finkie n’en fait visiblement pas partie. Quant à l’Inde, souvenons-nous du livre de Roger Pol Droit (sauf erreur) « L’oubli de l’Inde », qui relevait ce qu’il pensait être une incroyable sous-estimation de cette culture ancienne, au point que des inventions comme le zéro sont souvent attribuées aux Arabes, qui se sont contentés de les transmettre. Le terme d’orientaliste que vous employez montre que vous n’êtes pas vous-mêmes très clair sur le sujet. Il ne viendrait à personne l’idée d’appeler « orientaliste » un spécialiste du Japon, de l’Inde ou de la Chine.
L’Afrique, c’est différent. Finkielkraut recevait la semaine dernière Achille Mbembé et Bernard Lugan sur l’Afrique du Sud. Je ne pense pas qu’il ignore ce continent.
@Faux cul dit:
à
« Le faux-culisme par l’exemple dit: 19 octobre 2013 à 18 h 46 min »
Prenez vous les meilleurs de la RdL pour des glands ? Ce dossier leonarda est clair : laissons tomber un combat qui n’en vaut pas la peine.
Occupons nous de l’emploi en Bretagne et ailleurs !
Saint-Pierre dit:
à
« Ou comment finissent les Ordures cathos planquées en Amérique latine »
Mais là où vous finirez vous-même, mon ami : comme tout le monde. Chez moi ou plus bas, chez Lulu !
@Bloom dit:
à
Attention, vous avez trouvé plus fort que vous. Pas si difficile, finalement
Le faux-culisme par l'exemple dit:
à
« laissons tomber un combat qui n’en vaut pas la peine. » (18h52)
Je ne participe à aucun combat. Je m’intéresse à la psychosociologie du faux-culisme et je viens de temps en temps sur ce blog pour lire des posts d’u., qui est un remarquable sujet d’étude.
C.P. dit:
à
réviseur, oui ! Ce dialogue est le comble du ridicule. La demoiselle a eu son quart d’heure warholien, elle revient, va à l’école de la république et la ferme pour quelque temps. Qui a organisé le malheureux tchatche ?
réviseur dit:
à
« ordures cathos », c’est quoi Bloom? Parleriez vous « d’ordures musulmanes » à propos de criminels de l’envergure de Priebke, qui foisonnent encore et encore parmi les sectataires de la religiondepaixetd’amour? Si sa famille voulait des funérailles religieuses qu’est-ce-que cela peut bien vous foutre? Qui a le droit de les refuser? A mon sens, personne.
Pas besoin de gratter pour que la vieille haine ressorte.
Passons vite dit:
à
« Imaginez l’inverse : un père brave gars, aimé dans son quartier »
Dans ce cas sa demande d’asile politique aurait été étudiée avec un oeil sûrement différent.
Donc votre suggestion est à mettre au rang d’un populisme mélenchono-marinesque du plus bel effet.
Bihoreau de Bellerente dit:
à
Cette France qu’on prétend disparue n’a jamais existé. Si dans les salons parisiens du XVIIIe siècle quelques beaux esprits pouvaient discourir avec grâce et esprit, dans le reste du Royaume le peuple était lui-même, c’est à dire grivois, sentencieux, parfois violent, assez peu pénétré des mystères de la religion, et surtout d’une crasse ignorance. Dans ma campagne saintongeaise, il n’y a pas de femmes-à-foulard, sauf lorsque la dame n’a pas eu le temps de passer chez la coiffeuse.
Pas pareil à Paris, mais Paris n’a t-il pas toujours été un tant soit peu métèque?
réviseur dit:
à
Je demande au spécialiste du droit canon, Philippe Régniez de nous indiquer les motifs de refus d’un enterrement religieux.
Merci.
John Brown dit:
à
Ces deux livres sont pathétiques par le désespoir qu’ils expriment. Ils n’en sont pas moins nécessaires car ils reflètent un authentique désarroi, plus répandu qu’on ne le croit, face à l’érosion de l’identité nationale. Ces Cassandres nous sont indispensables. « Lanceurs d’alerte » dirait-on aujourd’hui.
Ces Cassandres ont en commun leur insistance obsessionnelle sur une question qui, nous le savons tous, est une question majeure concernant le devenir de notre société (de nos sociétés, puisque c’est toute l’Europe qui est concernée) : l’immigration extra-européenne . Peu importe au fond les angoisses, voire le désespoir, de l’un ou de l’autre de ces auteurs. Les cris d’alarme qu’ils croient devoir dispenser ne changeront pas grand’chose, vu l’énormité du phénomène dont ils sont, comme nous tous, les témoins. Pour la première fois depuis de nombreux siècles (en fait, depuis les invasions barbares à la fin de l’Empire romain), l’Europe est confrontée à des vagues d’immigration étrangère d’une ampleur telle qu’elle n’en avait plus connu depuis ces temps lointains . L’accablement d’un Jean Clair noyé dans le métro au milieu d’une foule de voyageurs d’origine étrangère, m’amuse : cela fait des décennies que, dans divers quartiers de la capitale, il était devenu difficile de croiser dans les rues des passants qui n’étaient pas d’origine africaine, Noirs ou Maghrébins. Tout indique que le phénomène est appelé à prendre, dans les décennies à venir, une ampleur encore bien plus grande, avec toutes les conséquences qu’on peu aisément imaginer. Et ce ne sont pas les mesures que nos gouvernements auront la possibilité de prendre qui y changeront quoi que ce soit d’essentiel. Il faudra faire avec, et vivre avec. D’ores et déjà, en tout cas, la question de l’identité nationale ne peut plus guère mobiliser qu’une poignée de grognards dans des combats d’arrière-garde. Comme toujours dans ces cas-là, ce sera chacun pour soi et Dieu pour tous. La France de 2013 ne ressemble guère à celle que Jean Clair a connue enfant. Celle de 2053 ne ressemblera plus du tout à celle de 2013. Je m’en fiche complètement : en 2053, je serai mort. Après moi le déluge.
Chilpéric Bournoncle dit:
à
C.P. dit: 19 octobre 2013 à 18 h 45 min
Laissez revenir la môme, et ça fera la rue Michel.
eh bien, une fois n’est pas coutume, je suis assez d’accord avec cp, en dépit de ses amitiés louches (u, jc, daphné).
face à une revendication, la question à se poser, pour un élu, c’est : est-ce qu’on peut la satisfaire ? en l’espèce, les demandes des jeunes manifestants sont à la fois floues (très peu politiques) et précises : retour de leonarda. réponse : bon, elle peut revenir si vous voulez, ça calme le jeu and call it a day, you’re in michel street.
@LOUIS BROWN dit:
à
« Après moi le déluge. »
Pourriture !
Bardamu dit:
à
Ce blog a le sens de l’histoire…
On aurait pu imaginer un WEnd paisible…
Pourquoi enflammer les passions !
(je viens même de lire « Léonarda à poil » et j’entends en boucle Flamby recommander à la dite petite-grosse fille vraiment grande, de revenir en France « seule et sans sa famille »… Ca sent le traquenard à plein nez, style « je vis à Paris avec ma sœur (troïlwilter), j’ai même âge que toi, si la colocation t’intéresse.. »
Sollers aurait fait un truc terrible sur cela avec son twitt; hélas limite d’âge)
Limite d’âge… nostalgie… Il y a de la vérité (au sens de Nietzsche of course) chez Mr Bloom -tout au début- sur la nostalgie… Voyez d’ailleurs à défaut du Métro, la Petite en question… elle pète la forme, elle est prête à tout… elle, toute sa famille pluri-tribale, le peuple Kosovar toute entier avec leurs frères bosniaques bien sûr, et même les macédoniens libres (qui se souvient de l’UCK ?), oui tous sont prés à revenir, repartir, entrer, sortir, prendre la prime à l’aller au retour, refaire la loi au passage, se cacher, abriter des sans-papiers, être déplacé du 93 de la rumeur au Morvan du pauvre Clair; quitte à l’achever, à la précipiter vers la fin… D’ailleurs on la croit là-bas, mais Paco Rabanne et ses copains, assurent que les images témoignent qu’ils sont déjà en Bretagne ! Qui croire ?!
Moi je n’arrive à croire « l’identité » que défend depuis des années et des siècles Mr Finkel. C’est celle qui conduisait BHL à multiplier les voyages dans l’avion ministériel (déjà) pour « libérer » la Bosnie, et bientôt « accélérer la particule » minuscule Léonarda…
Sans parler, de ce que dit excellemment Alexia Neuhof (…) au sujet de ce squatter des plateaux Télé; pour 10000, 30000 exemplaires ? Léonard(o) va faire 500000 facile, et un film avec « Adèle… » je crois bien.
Et dire que j’aurais aimé parler sérieusement des analyse foireuses de J. Clair sur Balthus.
renato dit:
à
@ réviseur,
l’église peut refuser les funérailles religieuses à un criminel qui ne s’est pas repenti, à un suicidé (impossible de se repentir), à quelqu’un qui est mort suite à un duel…
Jésus-Marie Joseph dit:
à
Passons vite dit: 19 octobre 2013 à 19 h 02 min
populisme mélenchono-marinesque
Vous devez être encartée à l’UMP et vous aurez donc peut-être un peu de mal à répondre à une question sur la logique discursive, mais je la pose néanmoins : pourriez-vous définir ce concept étrange ?
quel manège dit:
à
(j’ai survolé les posts -point celui de l’hôte, et qui s’en soucierait, hein). Donc, king-kong,(un tel son de cloche, vous laisse K.O.) – halte là ! le daïla lama est(là) (chant boyscout)(y a des nuances, bien entendu – point ne peux accorder « entendu » …. n’en déplaise à certains (connards) puristes ; pas m’étaler,
renato dit:
à
Je ne sais pas si c’est encore le cas, mais par le passé si quelqu’un mourrait en duel n’avait pas le droit d’être enseveli en « terre consacrée ». Un exemple, Felice Cavallotti mort en duel, sarcophage sur colonnes à Dagnente :
Highlander dit:
à
Bardamu dit: 19 octobre 2013 à 19 h 14 min
[…] Métro, la Petite en question… elle pète la forme, elle est prête à tout… elle, toute sa famille pluri-tribale, le peuple Kosovar toute entier avec leurs frères bosniaques bien sûr, et même les macédoniens libres (qui se souvient de l’UCK ?), oui tous sont prés à revenir, repartir, entrer, sortir, prendre la prime à l’aller au retour, refaire la loi au passage, se cacher, abriter des sans-papiers […]
Sinon, ça va la diarrhée, bardamu ? Même pas foutu pour aller jusqu’à la pharmacie du coin.
John Brown dit:
à
Quand je lis ce qu’écrit Assouline de ces deux livres, et quand je me remémore ce que j’ai lu de Richard Millet, je ne puis m’empêcher de trouver répugnante la façon qu’ont ces gens-là d’aborder les questions de société auxquelles, tous ensemble, nous devons tenter d’apporter des réponses. Non seulement les lamentations de ces laudatores temporis acti ne servent à rien, non seulement elles dégagent le parfum entêtant du conservatisme le plus réactionnaire, mais elles sont lamentablement démobilisatrices. Il est inutile d’attendre de ces gens la moindre esquisse d’une vision généreuse et optimiste de l’avenir, la moindre idée de ce que pourrait être le vivre-ensemble dans une société profondément transformée dans un sens qu’on peut déjà prévoir. Ces gens qui n’ont que le désespoir dans la tête et que la peur au ventre, qu’ils ressassent donc leurs obsessions mortifères, mais sans nous. Qu’ils s’en gargarisent et qu’ils s’en empoisonnent tant qu’ils voudront, mais sans nous. Léonarda, reviens ! Charme-nous de ton français quelque peu barbare, ma fille, langage des oiseaux, ça nous changera du français châtié-châtré de ces vieux cons !
Bihoreau de Bellerente dit:
à
Qui dit que les petits-enfants de l’Islam ne verront pas la lumière?
Une religion doit libérer ses adeptes de le peur, pas le contraire.
Un certain François, à Rome, semble comprendre ça.
En attendant, restons sur nos gardes comme nous l’étions il y a trois cent ans lorsque nous sortions de nos manoirs: la crime sévissait partout!
réplique dit:
à
Bernard Lugan chez Finkielkraut?
Ben mon colon!
Jésus-Marie Joseph dit:
à
John Brown dit: 19 octobre 2013 à 19 h 28 min
Quand je lis ce qu’écrit Assouline
Arrête, Johnny, tu te fais du mal.
Passons vite dit:
à
@Jésus-Marie Joseph
Il est toujours réjouissant de lire un commentateur qui pense survoler un débat en employant deux ou trois mots sortis de son vocabulaire de terminale littéraire.
Juste pour vous connaître un peu mieux,
vous voyez réellement une différence de populisme entre Jean-Luc et Marine ?
Elle semble seulement plus douée que lui sur le sujet puisqu’il perd à chaque fois qu’il se situe sur ce terrain.
Pour votre info perso, à part un malheureux jour de 2002 l’UMP a toujours été très loin de mes pensées rasoir à la main.
curiosa dit:
à
à 100 pou 100 avec vous, John Brown 19:28, j’adhère, particulièrement heureuse de vous lire, cela nous change des sermons genre cri-cri, balivernes de JC et aboiements de boudegras… je respire !
Philippe Régniez dit:
à
« réplique dit: 19 octobre 2013 à 19 h 30 min
Bernard Lugan chez Finkielkraut?
Ben mon colon! »
C’est à peu près ce que je me disais.
C.P. dit:
à
John Brown, parfaitement ! Mais si les gens ont des enfants qui devront « faire avec », pourquoi pas ? Je ne crois pas du tout que l’orogénétique pense : »après lui le déluge ».
Bardamu dit:
à
« La Pharmacie »…
… mais je la cherche dans les « Highlander » (please)
Mais attention, avec vos images… JC va vous accuser de parler couleur de peau. Et ça c’est très trés, mal; Thuram et Le Marchand ont fini par se battre… à parler de tout ça.
u. dit:
à
“Imaginez l’inverse : un père brave gars, aimé dans son quartier, elle une beauté doublée d’une brillante élève,”
Je vous promets que je ferais comme Tonton, anti-faux-cul: les deux mains sur ma queue, et la République d’abord.
Jésus-Marie Joseph dit:
à
Blague à part (hi hi hi), je commence à apprécier John Brown avec le temps. Au début, je trouvais que son ironie allait toujours dans le même et révélait en filigrane un tempérament droitier assez immonde, impression confirmée par une lecture occasionnelle de son blog où s’exprime à loisir un penchant pour l’abject. J’ai découvert progressivement que j’étais lent à la comprenette et que son entreprise était plus subtile qu’il n’y paraissait (trop, peut-être, pour ce blog).
impression dit:
à
depuis un certain temps ils sont deux à signer JC…
Jésus-Marie Joseph dit:
à
@ Passons vite dit: 19 octobre 2013 à 19 h 34 min
Mais je vous avais reconnue tout de suite, Daaphnée, il était inutile de le rappeler.
Passant dit:
à
//le peuple était lui-même, c’est à dire grivois, sentencieux, parfois violent, assez peu pénétré des mystères de la religion, et surtout d’une crasse ignorance//
Et la noblesse à belles rentes était elle-même, c’est à dire immorale, donneuse de leçons, souvent violente, se servant des mystères de la religion pour embabouiner le peuple sans y croire le moins du monde pour son compte, et guère plus savante. Pour la crasse, voir comment on chiait dans les escaliers de Versailles. Les savants, on les trouvait dans la bourgeoisie : une minorité d’encyclopédistes avait des ancêtres morts aux Croisades (selon wiki : 10 sur 140).
Parasitaire et inutile. Je viens de lire une copieuse biographie du roi Louis XI (Editions Crémille). L’auteur raconte comment ce grand roi se battit pour l’accroissement du royaume et contre les prétentions des princes qui n’avaient qu’une obsession : conserver leurs privilèges exorbitants.
Philippe Régniez dit:
à
J.B. Vous êtes un enfant gâté, vous voulez tout à disposition, chez vous, le frigidaire plein de bananes et tout le toutim, pourquoi ne feriez-vous l’effort de vous déplacer et d’aller là-bas ?
Leo Bloom Pold dit:
à
Ok, u. , concernant l’emploi d’orientaliste, c’est un anglicisme (cf. l’Oriental Institute d’Oxford qui embrasse l’Asie du Proche à l’Extrême Orient). L’acception française est plus restrictive, histoire pictural oblige.
Je pense être assez au clair après 10 ans passés à travailler Asie, mais nobody’s perfect.
Quant à l’Afrique du sud, il me semble bien que c’est le moins africain & le plus occidental des pays d’Afrique, sinon Lurgan ne s’y intéresserait pas. A quelques exceptions près (Achmat Dangor, par exemple) ses écrivains sont encore en majorité des descendants de colons hollandais et anglais.
Leo Bloom Pold dit:
à
>picturalE
>en Asie/l’Asie
u. vous avez vu la réaction de l’autre sur Lurgan…Gist to my mill.
D. dit:
à
D. dit: 19 octobre 2013 à 19 h 49 min
Si on se situe au niveau de la logique, oui.
Cette réponse n’a aucun sens… logique. J’autorise les faux D., mais j’apprécierais qu’ils s’appliquassent un peu. J’ai une réputation à défendre.
John Brown dit:
à
Je ne crois pas du tout que l’orogénétique pense : »après lui le déluge ». (CP)
Mais si, cher C.P. Ceci dit avec toute la tendresse que j’ai pour mes petitouns. Car ce sera à eux de faire, sans moi. D’ailleurs ce ne sera pas forcément le déluge. Et puis « faire avec » n’a pas forcément le sens restrictif que lui donnerait qui songe seulement à sauver les meubles. C’est une belle expression, « faire avec », si on y songe ; ça me rappelle le célèbre « Notre Père qui êtes aux cieux / restez-y » de Prévert. Et nous, nous resterons, comme tous les hommes avant nous, avec ce monde, dans son entièreté. Voilà, on fait avec. En donnant toute sa force et toute sa beauté au verbe « faire ».
renato dit:
à
« … le frigidaire plein de bananes… »
Les bananes au frigidaire ?! voilà comment on les gâche…
@Jésus-Marie Joseph dit:
à
19h45
Encore un qui a cru savoir lire sous prétexte qu’il comprenait Sylvain et Sylvette.
Changez vite de pseudo avant que le ridicule ne le tue.
Sergio dit:
à
D. dit: 19 octobre 2013 à 19 h 57 min
Tout dépend de ce qu’on veut en faire.
On peut les mettre dans le carter moteur, mais faut pas trop rester dans la zone rouge quand même…
C.P. dit:
à
John, ça me va.
Sergio dit:
à
« Avoir son bac lettres ou ne rien avoir c’est pareil » : si en plus on l’a eu à cause de la gym !
JC..... dit:
à
« Léonarda, reviens ! Charme-nous de ton français quelque peu barbare, ma fille, langage des oiseaux, ça nous changera du français châtié-châtré de ces vieux cons ! »
Cette autocritique, venant d’un pédophile en pleine extension kosovare, ne peut qu’être l’œuvre que d’un Bouguereau excité ou d’un Brown complètement bourré, se voulant original ….
Tragique position intellectuelle.
Bihoreau de Bellerente dit:
à
Passant, à 19 h 47 complète ce que j’ai écrit. L’ignorance de la noblesse était d’autant plus affligeante qu’on aurait pu s’attendre à
ce qu’elle donnât l’exemple (la noblesse, pas l’ignorance).
bouguereau dit:
à
mouille toi lassouline et dit cque tu penses au lieu d’donner la soupe pour les clebs..t’fais chier à la fin
bouguereau dit:
à
le feeding est interdit lassouline et par les écolos et par les chasseurs, c’est rare de les voir daccord
Jean-Paul Campagne dit:
à
@19.30 « Dans ma campagne saintongeaise, il n’y a pas de femmes-à-foulard, sauf lorsque la dame n’a pas eu le temps de passer chez la coiffeuse »…
Pourtant, moi qui la connais bien cette campagne, j’y ai vu pas mal de musulmanes à Saint-Savinien, Courcoury, Port d’Envaux, Geay et Saint-Jean d’Angély et Matha. Elles avaient toutes l’air de sortir de chez nos coiffeuses, d’avoir remis à flots nos petits commerces de foulards en perte de vitesse.
On voit mieux les choses sur les bords de la Charente, mieux que sur les bords de la Marne et sur les bords de Paris où y’a que des ploucs racistes et apeurés par Charles Martel-Hennessy. Mais c’est du Cognac… et les Arables aiment ça !
Bihoreau de Bellerente dit:
à
21h27: faut dire que je ne vais jamais en ville. Migron, peut-être…
u. dit:
à
« Harlem Désir pour un retour des Dibrani mais sans le père » (Figaro)
Hihihi…..
rose dit:
à
well, nobody is perfect
source some like it hot 1959
http://www.youtube.com/watch?v=eLW5jzHsW7c
salut à tous
réviseur dit:
à
Pas Lurgan, Lugan. Il fallait écouter le débat qui n’en était guère un puisque Lugan et Mbembé, universitaire camerounais qui vient de publier un bouquin chez La Découverte étaient d’accord sur l’essentiel.
Sergio dit:
à
C’est la course de Вронский ?
Sergio dit:
à
Bihoreau de Bellerente dit: 19 octobre 2013 à 20 h 34 min
L’ignorance de la noblesse était d’autant plus affligeante
Ben non elle est faite pour couper l’ennemi. Du coup jusqu’aux environs de Henri II on cachait que l’on sût lire. Ensuite avec les madrigaux et toute cette sorte de choses il a bien fallu s’y mettre, mais même alors l’orthographe était effroyable. Enfin bon des gars comme Vauban sûrement, eux, ils savaient…
kicking dit:
à
tout va très bien Madame La Marquise
(enfin presque, ce sera encore mieux plus tard)
et pas la peine de tenter une discussion sur les différentes manières de geindre, le vacarme des orgasmes simulés couvrant tout..
réviseur dit:
à
« L’agence catholique Fides rapporte que le grand mufti d’Arabie saoudite a déclaré devant une délégation venue du Koweït qu’il « est nécessaire de détruire toutes les églises de la région ». Selon le cheikh Abdul Aziz bin Abdullah, l’islam est la seule religion praticable dans la péninsule arabique.
La Croix précise que le grand mufti d’Arabie saoudite est l’un des plus hauts responsables religieux de ce royaume musulman sunnite. Il est aussi le chef du Conseil suprême des oulémas (savants musulmans), et du Comité permanent pour la recherche islamique et la fatwa (avis juridique donné par un spécialiste de loi islamique sur une question).
Le mois dernier, un parlementaire koweïtien a annoncé sur Twitter qu’il voulait présenter un projet de loi interdisant la construction de nouveaux lieux de cultes non-musulmans dans son pays. »
Je tombe sur cette information, une parmi tant d’autres qui montrent les aimables dispositions d’une grande partie, parfois majoritaire, toujours importante, des musulmans d’un bout à l’autre de la planète, y compris dans les pays réputés « modérés ».
Et après cela, quelques crétins ravis de la crèche du blog, se demandent pourquoi Millet, Finkielkraut, Clair, Camus, etc, s’inquiètent du tsunami démographique extra-européen (essentiellement musulman) qui submerge la France et l’Europe.
Comment peut-on être aussi con?
Je précise que la source, « La Croix », est un chantre habituel du dialogue islamo-chrétien et s’efforce toujours de minimiser les conflits inter-religieux.
D. dit:
à
Où est passé la conversation sur les bananes ?
renato avait fait une remarque judicieuse pour une fois.
banana slip dit:
à
Ici:
http://nsa15.casimages.com/img/2010/07/15/100715124907588367.jpg
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…je regrette pas de m’être absenter pour force majeure,…
…( achats chez Brico,…pour des transformations d’étagères d’a points,…nommés,…)
…Oui,…j’ai tout relu, pour voir,…et pour en être pertinent,…des échanges de ping-pong standard,…
…Voilà,…pas de quoi se mettre Martel en tête,…en somme,…
…
…il reste, un mobile de lire et y participer, même avec confusions,…
…c’est l’art,…des analogies,…surtout au développement des scénarios pour livres / cinémas,…tant il en est,…des masses et proportions a expérimentées sur scènes,…qu’à certains égards la chimie expérimentale tient aussi du théâtre,…en globe de verre à cristal,…
…Bon,…attention aux rangements et étiquettes mentionnées,…pour ne pas s’improviser » al-chimiste » du tonnerre de Brest,…au boson d’accélérateurs à rien foutre du trou noir plein de vide des Dieux en chambre,…à nous la mettre a l’al-côve en boudoir,…
…tout est dis,…encore faut’il rester à la mesure humaine pour vivre en paix,…
…les cinémas a la mode du christ,…aux victimes-innocentes soumis aux sans scrupules-pervers-dominants,…il n’y a plus que çà en basse-cour,…
…un petit-tour pour s’en éloigner du docteur,…et s’éprendre en charge des maintient deux balles à la musardine,…Oui,…dans la poche-gauche,…tout au fond, je vous fait confiance,…Oui,…vous toucher à l’oeil,…un billet en chambre d’hôte,…etc,…
…Stop,…pas de scénario’s d’école nom d’une pipe,…etc,…
…prenez ma fille, la bourrez bien, Dieu vous le rendra,…rasassiez-vous le coeur au saint- esprit,…etc,…
…scénario de Moncul en bottes et couvertures,…etc,…Oui, un généreux de la plume adroite,…
…
D. dit:
à
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=ULDChNKpfLU
Celui-là c’est pour bouguereau.
Leo Bloom Pold dit:
à
« Six thousand historical reenactors clad in 19th-century military garb will descend on Leipzig this weekend to mark the 200th anniversary of the Battle of Nations, which proved a crucial turning point in the German fight against Napoleon.
(…)
The city of Leipzig is hosting a number of events and exhibitions to commemorate the anniversary of the French defeat. »
« commemorate » et non « celebrate »….c’est déjà cela.
Si je me souviens bien, le gouvernement français s’était contenté d envoyer la ministre de la défense d’alors (MAM) à la commémoration de la victoire napoléonienne d’Austerlitz, très « low-key ». Il est vrai que « réconciliation » et « projet européen » étant il y a 10 ans les mots d’ordre de notre politique étrangère en Europe.
Il semblerait que les temps aient changé: il faudra s’en souvenir l’an prochain, à l’occasion du Centenaire, et ne pas mettre sous le tapis les choses qui fâchent, sous prétexte que ce qui arriva 20 plus tard fut bien pire.
JC..... dit:
à
Et oui ! les temps changent !
Il y a presque 500 ans, François Ier offrait asile à Leonardo, un exceptionnel génie italien qui arrivait à Amboise
Il y a quelques heures, François Ier des Nuls offre asile à Leonarda, une gamine rom sans aucun génie, qui refuse en piaillant …
Ne mettons pas sous le tapis les choses qui fâchent : Hollande, fait pour ce job comme moi pour la haute couture, est à dégager ! Rapidement.
Dynamisons dit:
à
@JC
Engagés, actifs, nous dynamisons les blogs par goût de la Culture ! Faites appel à nous, gratuitement. A bientôt !
Jeune Culture
laurent dit:
à
En attendant : vos gueules les gamins !… Au boulot !
surtout qu’avec la dette laissée par mickey…
laurent dit:
à
les nouveaux réacs se prennent pour des penseurs, modernes, ressortent les immondices de ww2
rose dit:
à
Au boulot au piano
et les voisins ?
J’aurai 96 ans en 2053. Plus que 29 ans à vivre ; je commencerai à avoir les pépettes et continuerai à râler. Aux enfants, je laisserai nombre de choses dont la plupart se retrouveront sur les brocantes du dimanche et marché aux livres anciens.
Je trouverai, par chance inouïe, un groupe de femmes jeunes dynamiques et équilibrées, à qui je demanderai de faire route commune pour gravir le mont Ventoux derrière Jean Henri Fabre à la recherche d’espèces insoupçonnées ici, qui se retrouvent aussi au Spitzberg. Cinq à six heures de marche.
JC..... dit:
à
Pour revenir au billet de notre « hôte », comme dirait La Commère Normande, il n’est pas nécessaire d’adhérer à la structure politico-sociologique qui sous-tend les livres des écrivains dont parle notre taulier, pour en apprécier la lecture.
En effet, après avoir lu Millet ou d’autres, il vous reste, non pas un tout à partager, une idéologie à prendre en bloc, mais des éclatés de grande valeur de ce tout. Ces morceaux de choix, ces parcelles, ces éclats, sont fort justement appréciables par leur franchise, leur pertinence, leur courageuse mise à nu d’une réalité bien analysée.
Il vous suffira de porter les yeux autour de vous pour reconnaitre souvent la justesse de leur dires, à ces « réactionnaires » qui, par exemple, ne croient pas l’Islam compatible avec la démocratie française, religion totalitaire qui la menace chaque jour un peu plus, comme le fait une immigration incontrôlée.
Le reste, leur désespoir, leur désarroi, l’identité nationale telle qu’ils la voient, leurs craintes, c’est leur problème. Leurs solutions aux problèmes posés sont personnelles et nous sommes assez grands pour construire les nôtres.
rose dit:
à
le dimanche on ne sort pas la perceuse par courtoisie pour les voisins et souci de la paix des braves.
rose dit:
à
mon mec ne prendra pas de viagra ni de médicament générique.
S’il ne veut pas faire le Ventoux avec moi, il fera ce qu’il aura à faire.
Je lui proposerai néanmoins :
Chéri tu viens faire le Ventoux ?
Je le sais bougon, il dira non, puis peut-être oui car il est capable de changer d’avis. Mais je ne peux pas présumer de sa réponse, car libre il sera.
Le mec de Rose..... dit:
à
« Chérie, je préfère faire le Ventoux, que… »
rose dit:
à
Sinon, je ne crois pas un quart de seconde qu’il soit nécessaire d’étaler l’abject pour nous dessiller les yeux.
Je ne crois pas non plus que la vieillesse soit un naufrage.
D’ailleurs un naufrage signifie couler, mourir noyé -ô drame ! ou s’en sortir et on peut plonger allègrement dans les Robinsonnades pour parcourir le sujet.
Et même si on s’en sort par le plus grand des miracles, ou parce que on a un instinct de survie hypra-développé, on finira quand même par mourir. Donc lutter contre l’inéluctable je ne vois pas l’intérêt.
rose dit:
à
‘tain j’en reviens pas de mon pépé. Il vient faire le Ventoux.
C’est vrai qu’entre le Ventoux et le goulag …
Non j’me marre.
Pardon bérénice : je vous envie en vrai.
Suis pas cap. de tout ça, moi.
Le mec de Rose..... dit:
à
« on finira quand même par mourir. Donc lutter contre l’inéluctable je ne vois pas l’intérêt. »
Chérie, je ne vais plus me soigner ça sert à rien…
rose dit:
à
>JC bonjour
pardon : j’ai rien à dire de tous ces gens. Je ne les lis pas & je ne les lirai pas.
De manière générale, je préfère rencontrer une ethnologue de 81 ans qui écume les calanques et se baigne et marche, qui revient de Sumatra et me parle du matriarcat des Mosuo en Chine province du Yunnan et des Mimangkabau à Sumatra, du boudhisme et de l’islam et de comment la famille entérine/est faite pour (par) le patriarcat.
Mais la matri-linéarité semble stoppée/freinée par l’acquisition de terres : il semblerait que dès qu’il y a immobilisme, il y a régression. Et que le nomadisme favoriserait l’évolution.
Les femmes sont alors annexées parce qu’elles possèdent.
Je suis sidérée.
(en écrivant cela, j’ai l’impression d’être une enfant -émerveillée- qui développe une tablette de chocolat Suchard). Puis qui aura une orange à Noël.
Bises JC.
rose dit:
à
>le mec de rose
bises chéri
à + j’ai du taf
je largue les amarres
banana slip dit:
à
Il vous suffira de porter les yeux autour de vous pour reconnaitre souvent la justesse de leur dires, à ces « réactionnaires » qui, par exemple, ne croient pas l’Islam compatible avec la démocratie française, religion totalitaire qui la menace chaque jour un peu plus, comme le fait une immigration incontrôlée.
Effectivement, on trouve en ligne des choses comme celle-ci et qui vont dans le sens de ce que vous dites, JC:
»
L’adultère est puni de cent coups de fouet.
Coran (Traduction de Kasimirski), Sourate 24 :
2. Vous infligerez à l’homme et à la femme adultères cent coups de fouet à chacun. Que la compassion ne vous entrave pas dans l’accomplissement de ce précepte de Dieu, si vous croyez en Dieu et au jour dernier. Que le supplice ait lieu en présence d’un certain nombre de croyants.
C’est là que se pose la question de l’interprétation du Coran : faut-il appliquer la peine à la lettre, ou bien faut-il considérer l’esprit de la peine, c’est à dire une peine très lourde. Sur ce point, les avis divergent.
Dans le Coran il n’est nul part question de lapidation pour punir l’adultère.
Peut-on se remarier après avoir commis un adultère ?
Oui, une personne adultère peut se remarier mais uniquement avec une autre personne adultère (Coran, Sourate 24, verset 3). »
http://islam-connexion.exprimetoi.net/t201-comment-punir-un-adultere
C’est à dire une incitation à se faire justice soi-même, à user de sévices corporels (c’est un euphémisme!)et à nier la liberté des personnes – surtout celle des femmes – à épouser qui bon leur semble …
Les exemples sont nombreux qui expliquent qu’avec un tel décervelage il y ait dans des milieux islamisés des comportements contraires au droit et aux valeurs de la république ..
Cela dit, ce serait et c’est totalement abusif d’amalgamer les comportements d’Islamistes convaincus qui ne connaissent même pas l’histoire de ce Coran
rose dit:
à
>l’abject c’est comme si toi marin tu appelais la tempête.
Non, tu la crains, tu voudrais l’éviter. Si elle se produit, tu fais tout pour que ta coquille de noix flotte encore et ne coule pas.
Tu ne dis pas (ô quel orgueil démesuré ce serait !) « eh tempête viens que je me mesure à toi ».
Non, t’as les pépettes, tu mets ton harnais de sécurité et t’as pas forcément un frère qui t’a offert un téléphone portable insubmersible donc tu ne comptes que sur toi-même.
Après t’es content parce que t’en as réchappé.
Daaphnée dit:
à
à l’une des composantes culturelles de l’identité de populations « musulmanes ».
Non, tous les musulmans n’adoptent pas les préceptes de ce texte – le coran – dont les traductions ( voir plus haut)et les interprétations ne manquent pas de laisser indigné.
Oui, ceux qui se disent « musulmans » ont à réfléchir sur ce qu’est le droit en France et à s’y conformer.
christiane dit:
à
@réviseur dit: 19 octobre 2013 à 23 h 35 min
Exact. Cette démolition de tous les édifices religieux chrétiens n’est pas à minimiser, ni à ignorer ainsi que le sort réservé à ces croyants en pays musulmans.
Le problème est de trouver, ici, dans nos villes et nos quartiers un dialogue, des rencontres qui fissurent cette haine, ce fanatisme. De se lier, quand c’est possible, aux justes qui habitent ce monde de près ou de loin sans oublier les femmes qui souvent sont les premières victimes de ces fous de Dieu ! J’écoute souvent A.Finkelkraut. Il est aussi l’homme de l’écoute, de la rencontre, un penseur respectable. Mais ajouter ces livres à ce repli, à la peur, au rejet ne me paraît pas un chemin de lecture ouvrant à un humanisme.
« Ravi de la crèche »… Pesez vos mots quand vous ne connaissez pas les autres. Il faut plus de force pour penser « amitié » que pour haïr. Il est si facile de cataloguer les autres, de les étiqueter. Que savez-vous des pratiques religieuses des uns ou des autres ? De leur croyance ou de leur athéisme ? Vous ne défendez les chrétiens que lorsqu’ils sont menacés, que leur églises sont détruites. Le reste du temps vous les dauber, les nommant « ravis de la crèche », « béni oui oui » et que sais-je encore ? Inconnaissance, jugements hâtifs… Si c’est avec ces mots-là que vous pensez, une bonne lessive s’impose !
des journées entières dans les arbres dit:
à
Réviseur, lorsque vous venez donner » répliques » ici, commencez par mettre la musique, je pense que certains » ravis de la crèche » auxquels vous vous adressez ( perso, j’en compte 2 ou 3, outre les auteurs que vous citez) ce qui doit représenter à peu près 1%, dans une démocratie sondagière, le score des haineux) n’ont pas saisi votre tempo, ni votre vocation de » lanceur d’alerte » à leur apporter l’Amour, au sens finkiekrautien, ou au sens dieudonnesque, bien sûr.
tss, Rose, c’est un peu triste, mais à votre âge, vous n’êtes sans doute plus sur le marché.
des journées entières dans les arbres dit:
à
Ah eh bien non, les ravis de la crèche étaient 4
JC..... dit:
à
« Non, tous les musulmans n’adoptent pas les préceptes de ce texte – le coran – »
Pour un « musulman », tout le Coran est à prendre. Strictement. Il n’y a pas de Coran à la carte… puisqu’il est révélation divine. Il est à prendre en entier, ou à laisser.
Dans ce dernier cas, apostasie, c’est la mort autorisée, nécessaire, souhaitable, du renégat.
incroyable dit:
à
9:21, la mère supérieure du couvent, amen !
des journées entières dans les arbres dit:
à
JC, je vous ai naturellement compté dans les » ravis de la crèche »
Alexia Neuhoff dit:
à
En empruntant à G. F. et son fameux gueuloir :
« Ce fut un vacarme qui s’élança d’un bond, monta en crescendo avec des éclats de voix aigus (Clair hurlait, Finkielkraut aboyait, Camus trépignait, Millet s’égosillait : Danger à bâbord ! Danger à bâbord !), puis qui roula en notes isolées, se calmant à grand’peine, et parfois qui reprenait tout à coup, sur la ligne d’un banc où saillissait encore çà et là, comme un pétard mal éteint, quelque rire étouffé. »
Je fais mien le « rire étouffé », un rire de souris généré par ce qui promettait des reliefs orogénétiques (sic). Point de Makalu, à peine le signal de Botrange.
JC..... dit:
à
« des journées entières dans les arbres dit: 20 octobre 2013 à 9 h 30 min »
Mais ………..j’en suis ravi !
John Brown dit:
à
N’en déplaise aux âmes sensibles, si, après avoir encaissé les premiers coups, l’enseignante n’avait pas aligné Leopolda pour le compte à l’aide du coup de poing américain que les récentes recommandations présidentielles l’autorisaient tacitement à porter, jamais l’adolescente, réputée violente, n’aurait pu être expédiée en colis blindé à ses parents au Kosovo. Faut-il d’abord mettre sur la figure aux parents ou aux efants, c’est une question qui reste pendante et mérite d’être débattue avec les représenta
John Brown dit:
à
Faut-il d’abord mettre sur la figure aux parents ou aux efants, c’est une question qui reste pendante et mérite d’être débattue avec les représenta
avec les représentants des organisations lycéennes
JC..... dit:
à
« Point de Makalu, à peine le signal de Botrange »
Crénom, Alexia ! vous avez de ces raccourcis, de ces présupposées belgitudes chez nos compatriotes : on dirait un raccourci de démonstration chez Bourbaki !
rose dit:
à
moi aussi je suis ravie…
JC..... dit:
à
Major John Brown,
Il faut foutre sur la gueule aux parents, sous le regard enchanté des enfants, puis aux enfants, longuement… si possible en obtenant un peu de sang, bien rouge.
Quelques photos au portable seront appréciées.
Ce sang impur ? Du miel pour les organisations lycéennes qui trouveront là matière à manifester leur envie de se dégourdir les jambes en échappant à l’Enfer National (E.N.) des programmes inutilement chargés …..
Daaphnée dit:
à
Il y a une grande différence entre culture musulmane, JC, et Islamisme.
C’est dans cette confusion que sombrent et sont récupérés des personnes en mal d’identité et qui iront chercher auprès d’intégristes de l’Islam, réponse à leur mal à vivre.
Plus la religion se montre rigide moins ils ont à réfléchir par eux-mêmes ..
Mais si, nous, nous réfléchissons alors on ne peut pas faire ce même amalgame.
Bref, recentrer le débat sur la question du Droit (quelle que soit la religion ou l’appartenance religio-culturelle ) me semble la seule façon de ne pas se perdre dans de la stigmatisation qui n’apporte rien.
Et s’il y a des discours qui prônent des comportements contraires au droit, ceux-là doivent être dénoncés .. Et c’est aux musulmans de se démarquer de l’islamisme ..
John Brown dit:
à
Vu l’importante proportion de jeunes délinquants dans nos établissements d’enseignement, le Président de la République devrait annoncer, dans sa prochaine communication télévisée, que les travaux d’intérêt général compteront désormais tacitement au nombre des activités périscolaires.
rose dit:
à
>djedla à 9h21
jamais je n’ai été sur le marché et jamais je ne le serai.
Dites-le vous, répétez-le si vous n’y croyez pas.
Et je suis stupéfaite de comment encore je me fais draguer.
A vrai dire, je n’y crois pas.
Mais je n’ai pas trouvé l’adéquation.
Comme j’ai du mal avec la synergie.
Vous me semblez un peu borné avec votre marché des amants à la christine angot. Les mecs qui lèvent les filles et les filles qui sucent les mecs, dégoûtés et heureux d’être les proies de l’ombre.
C’est aujourd’hui, mais ce n’est pas demain ; donc cela me semble rétrograde.
Mais que chacun soit juge de ce qu’il vit.
A 80 ans une de mes amies a eu une déclaration d’amour d’un mec qui l’aimait depuis 40 ans.
Nous n’en sommes pas toutes à sucer des os jusqu’à la moelle (quoique, notez, de la moelle chaude sur du pain de campagne frais couronné d’une lamelle de truffe, c’est vraiment top/chef.).
Bises
bon dimanche,
Que c’est triste de penser qu’il y a un âge pour aimer et pour être aimé.
pince-moi et touche-pipi sont dans un bateau dit:
à
Les mecs qui lèvent les filles et les filles qui sucent les mecs,
Rose
Elle ne pense qu’à ça!
tentative d'activation des neurones inutilisés dit:
à
>tss, Rose, c’est un peu triste, mais à votre âge, vous n’êtes sans doute plus sur le marché.
sans avoir jamais vécu une vie à deux on dirait, trop occupée à suivre celle des autres
le coeur à l'ouvrage dit:
à
Nous n’en sommes pas toutes à sucer
Rose
re-belote
u. dit:
à
Pensons à la popularité acquise en un jour par Bayrou pour une « taloche » administrée à un sale gosse.
Il suffirait que Poupard 1er force un peu sa nature en administrant un coup de pied au cul télévisé, et les municipales sont dans la poche.
John Brown dit:
à
Pour permettre à Leopolda de reprendre ses études en France, une prochaine recommandation présidentielle télévisée devrait tacitement m’autoriser à lui réserver une place dans mon grand lit, au titre de papy d’accueil, à l’insu de Josette mais tacitement de mon plein gré.
des journées entières dans les arbres dit:
à
tss, Rose, à arpenter le trottoir, comme ça, vous allez mal finir !
Allez, pour vous souhaiter un bon dimanche, je vais vous développer le touit vitesse;
Vous donner des nouvelles d’un atrabilaire mondain, dont la méchanceté est toujours source d’idôlatrie.
« Je vous ai fait assez de compliments sur les derniers numéros pour vous dire qu’ayant acheté avant-hier celui d’avril, il m’est apparu comme une Tour de Babel qui devrait être pour l’avenir une Tour Prend Garde si elle n’est pas déjà une Tour bien penchée. (…) Entre nous, que de bafouillages sur la peinture, la psychologie, la musique, lesquels donnent la sensation d’un terrible à peu près d’amateurs. Je ne me souviens pas si c’est M. Allard ou M. Durieu de la Carelle [Drieu la Rochelle] (qui prolifèrent beaucoup dans ce n°) qu’il faut accuser, mais j’aimerais mieux un article de franche complaisance, d’admiration par amitié pour q.q’un que ne mériterait pas cette admiration (comme la dédicace de Baudelaire à Gautier etc. etc. et Nerval à Dumas) que de voir sincèrement, sans partialité, parler ainsi d’Espinas comme d’un grand homme, de Gyp, de tout le monde, car de qui ne parle-t-on pas ! On sent l’incompétence pour Vermeer, pour Debussy, des yeux pour ne pas voir, des oreilles pour ne pas entendre. Un défilé de noms propres à composer un dictionnaire et tiré à la loterie. Une revue n’a le droit d’être fermée et doctrinaire que si ceux qui y parlent savent de quoi ils parlent. En quoi telle phrase de M. Durieu de la Rochelle sur Paul Adam est-elle plus ‘en français’ que celles, justement incriminées par Allard, de Bataille. (…) Cher ami c’est idiot de vous écrire cela qui ne me regarde pas, mais l’amitié, permettez-moi de dire la tendresse, a des devoirs, et vous feriez mieux (bien que je n’approuve pas cela tout à fait non plus) de faire appel à des talents véritables, fussent-ils éclos hors de la N.R.F., vous feriez mieux de publier de véritables ouvrages (par exemple des traductions remarquables, un succédané de la Folie Allmeyer) que d’entasser ces notules à la fois inconsistantes et péremptoires. M. Lhote peut avoir des idées étroites (ce que je ne trouve pas), il sait ce dont il parle. Quand Blanche a décrit l’atelier et la palette de Fantin et de Manet, il apprenait q.q. chose. Mais les formules creuses d’illettrés pédants !(…) »
http://www.invaluable.com/auction-lot/marcel-proust-l.a.s.-a-jacques-riviere-sans-date-256-c-a86a0b7120
u. dit:
à
Restez verte, rose!
(Quand je pense que le rose c’est Harlem et le vert Frère Tariq… ou l’implant Mamère… je préfère vos couleurs!)
C.P. dit:
à
JC, je vais tenter d’être clair…
Je connais assez bien la carrière remarquable de Gérard Régnier (Jean Clair), de « L’Art vivant » à la direction de musées. Il a été un solitaire parmi ses collègues, pourquoi pas ? Je comprends « Malaise dans les musées », mais pas très bien son malaise dans la foule multicolore, que je ne ressens pas.
Alain Finkielkraut, homme gênant, fait dire sur son cas des sottises à pas mal de gens, moi le premier. D’autres ont dit son attention généreuse à la littérature (et justement à ce qu’il y a de gênant dans un bon livre). Je trouve qu’il a raison sur l’école, et également sur le fait que devenir anthropologue de sa propre « culture », c’est souvent accepter le n’importe quoi. Bien ! D’un autre côté, il me fait penser au Malvolio de Shakespeare, à la fois puritain et exhibant ses bas jaunes
(J’ai vu, il y a longtemps, Pierre Dux dans le rôle, à la fois marrant et désolant). Quelqu’un a rappelé que Finkielkraut avait été, jadis ou naguère, plus proche de l’hédonisme. Mais ça ne rigole plus…
Je me défie, comme bien d’autres, de l’Islam militant et prosélyte : les religions jeunes ont d’affreuses capacités de nuisance.
Pour ce qui concerne Léonarda, John Brown est à son habitude provocant, mais plus sérieusement : que vouliez-vous que fasse d’autre un Président pour lequel, ne votant jamais en France, je n’ai pas voté ? Je comprends, pour ma part, parfaitement la proposition : le dialogue avec la fille est inutile, mais si elle veut revenir, apprendre mieux le français (et une ou deux langues de plus, cela rafraîchit les idées…), nous payons son accueil et les voyages durant les vacances vers sa famille. Il y a d’autres cas de prise en charge (les pupilles de la nation d’hier), et c’est une bien minuscule goutte d’eau dans le budget de l’Etat. Daaphnée a raison : symbole…
curiosa dit:
à
moi, c’est John Brown que je fourrerais bien dans mon plumard… pour rigoler
u. dit:
à
Mon commentaire est en attente de modération.
Quand on lit cet avis, on se sent soudain intéressant.
Hélas, à la relecture, ce que j’ai écrit est d’une totale insignifiance.
(« Comme d’habitude ».
Ta gueule, Keupu)
... dit:
à
trop occupée à suivre celle des autres
pas la seule ici donc excuse toute trouvée
l'inn dada evangélisa dit:
à
les religions jeunes ont d’affreuses capacités de nuisance
mmmm, mais encore ?
petite annonce rose dit:
à
Feuille tombante mais tige verte cherche son pot.
D. dit:
à
Il y a presque 500 ans, François Ier offrait asile à Leonardo, un exceptionnel génie italien qui arrivait à Amboise
–
Son père le frappait ?
réviseur dit:
à
Et comment qu’elle est opérationnelle Rose à son âge! Celui qui écrit le contraire ne comprend vraiment rien aux quinqas actuels (hommes et femmes).
Pinpin dit:
à
Le minitel, c’est has been.
rose dit:
à
quand t’es en marche pour être nonagénaire t’as intérêt à veiller à tes abattis.
Non c’était génial l’arrivée de Léonard à Amboise, le roi qui l’assiste à sa mort.
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/e3/IngresDeathOfDaVinci.jpg
La carte blanche qui lui est donnée par des gens qui l’admirent, le respectent, l’aiment.
Cette fin de vie active et prolifique, son intérêt vivace qui ne s’affadit jamais.
John Brown dit:
à
Bouleversé par la lecture croisée des ouvrages de Jean Clair et d’Alain Finkielkraut, je suis allé trouver Alain-Pol Rey, le maître d’oeuvre du Dictionnaire du Nouveau Langage Frantsouè, pour lui demander de me mettre en contact avec un locuteur causant l’ancien et noble langage. « Je kiffe comme toi le sabir de nos ancêtres, me dit-il, mais ce que tu me demandes là c’est carrément un truc de ouf ». Sans renoncer pour autant, je me rendis au lycée Mouammar Bin Ladin pour interviewer sur la question des professeurs de français mais un CPE rencontré à la porte de l’établissement m’en dissuada : « On n’a plus que des profs de verlan ici, et puis aujourd’hui, vous tombez mal, les élèves donnent l’assaut à la salle des profs, ça défouraille des deux côtés, et une balle de kala, c’est vite pris. » Je pris la route de Saint-Paul-les-Morvandelles pour rencontrer un agriculteur à l’ancienne, mais le dernier éleveur venait de se pendre à la queue de sa dernière vache. Papy, c’est fini.
rose dit:
à
pardon, je crois que je vous ai déjà liée cette toile antérieurement, ne m’en veuillez pas.
u. dit:
à
« Vous ne défendez les chrétiens que lorsqu’ils sont menacés, que leur églises sont détruites. » (christiane)
Et toc.
rose dit:
à
C’est bien sage cette attitude : je ne vote pas en France donc je ne me prononce pas. Je ne critique pas non plus puisque je ne suis pas de nationalité française.
Cela n’empêche pas C.P de commettre d’autre erreurs grossières : Daaphnée n’a jamais raison. Elle est toujours dépassée par ce qui lui arrive. N’a jamais conscience du lien entre ce qu’elle provoque et ce qu’elle obtient. Serait capable de se marier en robe blanche alors que sa virginité elle l’a a baillie au premier venu dans un tas de foin.
Et puis C.P, votre manière de soutenir les gens qui picolent, de faire comme si vous en étiez, non, franchement, non. Vous appartenez à un milieu privilégié : ou vous vous déguisez pour faire semblant de faire partie du bas-peuple, dont vous ne faites pas partie (mais parce que cela vous encanaille, et vous donne le semblant -faux- d’une famille recomposée)ou vous êtes là, différent mais semblable, et là, comme chacun d’entre nous vous en avez le droit.
Mais dire « je suis comme vous » alors que vous n’êtes pas comme nous, c’est pas classe. C’est de l’intox. C’est le roi qui se balade en guenilles au milieu de ses sujets pour savoir ce qu’ils pensent de lui.
Je ne m’y trompe pas.
Pareil que le friqué en moques qui appele son chien Crésus.
Pareil que la psychothépeute friquée qui s’habille en jean avec un large tee-shirt par-dessus et quand le tee-shirt se soulève tu vois le haut du jean piqueté d emilleirs d ediams. Des strass enf ait mais cela
Léonard dit:
à
je vous ai déjà liée cette toile
lié suffisait.
Halbator dit:
à
le « quinqa » emêle, toujours aussi approximatif dans l’orthographe. TéKronTé va se rengorger et lui faire passer ses prétentions au « révisage » dans pas bien longtemps m’est avis. encore un combat de titans nains en perspective, tous aux abris les mecs et les ragazze.
La tête dans son bol! dit:
à
Mais dire « je suis comme vous » alors que vous n’êtes pas comme nous
ROSE
Nous?
christiane dit:
à
9:30
Il n’y a plus de « mère supérieure » mais des « prieures » élues pour 4 ans par la communauté (2 mandats maximum, ça évite le goût du pouvoir et de l’infaillibilité. Ça devrait être pareil pour le pape !).
Quant à Amen, cadeau (ci-dessous). Je vous recommande les 3 dernières minutes !
http://www.youtube.com/watch?v=3x2fSxOeij4
Après la deuxième partie de l’oratorio de Haendel (« Le Messie »), sombre et ténébreuse, il y a le sommet de l’œuvre, le célèbre « Alleluiah » et ce final qui rassemble tous les choristes autour de ce mot « Amen ». Une splendeur…
Bonne… écoute…
rose dit:
à
Pareil que la psychothérapeute friquée qui s’habille en jean avec un large tee-shirt par-dessus et quand le tee-shirt se soulève tu vois le haut du jean piqueté de milliers de diams.
Tu te dis, tiens, tiens…
Des strass en fait, mais cela en dit long sur son goût de l’argent.
Quand t’apprend que son mari, qui porte un autre nom qu’elle, ô bonheur du simili anonymat, ouvre une participation d’emprunt de 3 millions d’euros pour un hôtel Best Western vers Bouc Bel Air, tu comprends que le fric c’est leur priorité n°1 et que tout le reste, c’est du pipeau.
Tu l’avais pressenti leur côté pompe à fric, t’en as la preuve, poupée.
Les soins les gens la thérapie le mieux-vivre et mon cul c’est du poulet (hélas trois fois) : ce qui compte c’est de se faire un max de blé.
Voili, voilou.
Bises
J’ai jamais farci un pigeon encore. Un pigeonneau aux lentilles c’est pas mal non plus. Un ‘tit oiseau tout frais émoulu de Saint Cyr.
Quand tu l’as compris avant tout le monde et bien tu es content, tu t’esclaffes, hé, hé.
Pour ceux qui comprennent très tard qu’ils sont les pigeons de la farce, je comprends que cela entraîne un mécontentement certain.
rose dit:
à
je vous ai déjà lié cette toile
crénom
merci !
rose dit:
à
je n’ai jamais la tête dans le bol, misère de vous.
Je connais plein de gens qui sont comme moi.
Et très peu qui sont comme vous.
Peut-être êtes-vous rares.
rose dit:
à
un perdreau de l’année tout tendrounet
rose dit:
à
Je ne suis pas meilleure que Daaphnée.
Mais je suis bien plus lucide.
Quoique son dernier « il n’y a pas d’amour heureux » me l’ait fait remonter grandement dans mon estime.
Mon souci étant avec qui elle montera le mont Ventoux quand elle aura 96 ans ? Un qui pardonnera son passé sulfureux et qui lui dira « chérie c’est pas grave je t’aime comme tu es ». Le brave homme.
Les hommes, vous êtes irremplaçables !
Garnier Simone et Lux Guy dit:
à
Zizanon va-t-il assassiner Mitron en sortant à Migron pour observer la nouvelle texture des huîtres ? ‘Hélas à la relecture, ce que j’ai écrit est d’une totale insignifiance’, oui… c’est ce qu’on éprouve tous à la relecture de nos/vos/leurs conneries. Faut pas les relire. A qui la faute d’ailleurs « vu l’importante proportion de jeunes délinquants dans nos établissements d’enseignement », quand on croyait être là pour la contenir ou l’empêcher d’advenir, via notre judicieuse pédagogie destinée à la mettre en droit chemin ? Subvertir les causalités pour s’exonérer de toute responsabilité, grand classique à l’EN et dans la PN. Que voulez-vous qu’Hollande fasse d’autre ? Natacha Poloni oxymorique : « JC, je vais tenter d’être clair » pour vous parler de Jean Sombre. Confusion des obscures clartés. Tanizaki, Racrèche de la vie. Nemo auditur propriam suam turpitudinem allegans. Des TIG périscolaires, belle idée, oui, yaka-maisquisicolle ? Bip-bip. smartphone, ipad, iphone, face de carême, appelle-toi. Leopoldatrabiliaire… à deux balles, Etc… A vous Cognacq J’ai.
JC..... dit:
à
« 80 ans une de mes amies a eu une déclaration d’amour d’un mec qui l’aimait depuis 40 ans. »
Ayant moi-même fait sauter Bismarck sur mes genoux pédophileux d’adulte rassis, je suis étonné de voir l’effet que font mes petits yeux, lubriquement innocents, sur des vieilles croustillantes de 40 ans … les histoires d’âge sont des conneries !
…Et les musulmans ne feront jamais le ménage dans leur rang, tant le Coran est une pierre noire, entière, indiscutable, sauf à être théologien branleur, on a connu ça, nous autres judéo-chrétiens : ce ne sont pas les théologiens qui font la religion (disputes sur le sexe des anges) mais les pratiques du bolo religieux de base, haine du juif, haine du chrétien, haine du musulman, communautarisme, crimes, pogroms, guerres de religion etc, etc.
Audrey whynot dit:
à
Dans tout mélancolique n’y a-t-il pas un traqueur d’espoir qui s’ignore ? Un amoureux qui se le garde pour lui et ne partagera pas cela, qui le fait vivre — un malgré lui dont il jouit, son point à lui, c’est tout. C’est bien le cas de Jean Clair, qui reste bourré de curiosité et se donne l’ennui de partager, en plus de ses trouvailles, les souvenirs barrés. Au moins, il laisse des gemmes de tendresse, à qui voudra y picorer. Et moi, qui avais ma claque de Rilke et qui ai fait chemin, bien loin de ses stratégies de solitude, je suis pour aujourd’hui enchantée d’avoir lu ici, parmi tant de références amères d’écrivains ou « personnalités publiques » qui nous squattent la sensibilité, (en plus d’autres « beaux ») cette remarquable déclaration au jeune poète ; que la femme vaudra par soi. Élégant, mon cher Monsieur Kappus du 19 octobre à 9h37 — le souci ensuite, c’est que c’était déjà, en 1904, en mai, alors que l’hiver va rentrer dans nos cœurs, et que diable allait-il faire à Rome ? Vous auriez pu titrer : Plus de Rilke… c’est Titi et Grosminet. http://www.pinterest.com/pin/463167142898834810/
u. dit:
à
« Il y a une grande différence entre culture musulmane, JC, et Islamisme. »
Et oui, Daaphnée, c’est mon expérience.
C’est là le point de désaccord avec le camarade JC, qui m’a ri au nez quand j’ai évoqué une expérience indonésienne.
Cette distinction est nécessaire non seulement du point de vue historique mais surtout du point de vue politique: pour savoir identifier l’ennemi –ce qui doit s’entendre comme: celui qui vous a désigné comme ennemi, affaire d’oreille (les humanistes n’ont pas d’ennemis parce qu’ils croient naïvement que cet antagonisme est leur produit de leur choix).
L’absence de cette distinction conduit à la violence, celle de la guerre civile imaginaire, et comme celle-ci est ingagnable, au désespoir (l’Occident! l’Occident! l’Occident est foutu…)
Le général Westmoreland, ayant lu Mao et constatant que les Vietcong (« Charly », hein) étaient dans le peuple (le peuple surveillé par le parti, bien sûr) comme « un poisson dans l’eau », était tenté de vider l’aquarium.
Plus d’Islam, plus d’islamisme!
C’est une folie, naturellement.
Je ne vois pas d’espoir sans une mobilisation progressive d’une partie de nos concitoyens musulmans contre cette idéologie politique très particulière aujourd’hui alimentée off shore.
Ce qui demande un travail sur soi: ce travail sur soi (fait aujourd’hui par une minorité d’intellectuels), on ne peut pas le faire à leur place mais on travailler à ne pas le rendre impossible ou plus difficile par le rejet indifférencié (ce qui reviendrait à dire: « ô Musulmans, acceptez ces imams foireux qui viennent colporter la mauvaise nouvelle dans vos espaces péri-urbains: ils sont l’expression de votre essence! Ils savent mieux que vous votre vérité »…).
Il faut concentrer le tir sur les infâmes réseaux de narco-prédicateurs et de pétro-corrupteurs!
Et naturellement, comme le dit christiane, « trouver, ici, dans nos villes et nos quartiers un dialogue, des rencontres qui fissurent cette haine, ce fanatisme ».
Insh’Allah.
incroyable dit:
à
10:51 , le révérend père supérieur, amen !
u. dit:
à
Camarade JC,
Comme disait le Président Poil, pour gagner la guerre, structurons la « gauche », isolons la « droite », rallions le « centre ».
Ce sont des catégories formelles qui s’appliquent à n’importe quel combat.
JC..... dit:
à
« que vouliez-vous que fasse d’autre un Président pour lequel, ne votant jamais en France, je n’ai pas voté ? »
C.P.,
Qu’aurait dû faire le Nul de Tulle ? Avec tout le respect que je vous dois, je vous répond tranquillement : RIEN.
Toute la Loi, rien que la Loi, on l’applique et c’est tout.
Mais Hollande est un con, juste bon à contenter ses électeurs, cocus, à plaindre. En hommage à LML : une affaire de la France moisie !
JC..... dit:
à
« Il faut concentrer le tir sur les infâmes réseaux de narco-prédicateurs et de pétro-corrupteurs! »
Vue de l’esprit, camarade U.
Il est dans la nature du croyant de prendre possession des cœurs par tout moyen et de régner sur le monde jusqu’au califat mondial. Relisez soigneusement le Livre Saint… et comment le faire sans violence et sans argent ?
Je sais que c’est idiot mais c’est comme ça ! Relisez le Coran. Vous n’êtes pas musulman, ça se voit…
u. dit:
à
« …Et les musulmans ne feront jamais le ménage dans leur rang, tant le Coran est une pierre noire, entière, indiscutable, sauf à être théologien branleur, » (JC)
Les discussions sur l’interprétation des textes canoniques ne provoquent pas par elles-mêmes de changements, même si elles sont indispensables.
Les vrais forces du changement c’est l’amélioration du cadre social et la lutte politique.
A terme, c’est une société qui favorise pratiquement pour le citoyen de base la possibilité d’un « moins d’islam », sans toucher au dogme (justement): on s’en détourne partiellement parce qu’on s’en fout et qu’on a d’autres possibilités de développement.
Jeunes, femmes, cadres, intellos…, on ne consacre plus à l’Islam qu’une partie de sa vie. On n’a pas besoin de se faire soi-même théologien progressiste, on a mieux à foutre au quotidien, voilà tout.
Entretemps, fanatiques et trafiquants auront été mis au trou.
Ça s’est vu sous d’autres latitudes et en d’autres temps, d’où la nécessité de raviver un peu l’histoire et la géographie.
Althaâr, fille de Djumblat dit:
à
On cherche vainement un semblant d’originalité dans ce post, qui reprend l’opinion majoritaire mais dans un langage destiné à faire mousser son auteur sans pour autant y parvenir :
u. dit: 20 octobre 2013 à 10 h 54 min
u. dit:
à
« Relisez le Coran. »
Quand je relis la Bible, j’ai envie d’envahir Babylone!
JC..... dit:
à
Camarade U.,
naturellement, continuons de toutes nos forces à espérer, nous sommes d’accord … les hommes sont frères.
Cependant, n’oublions jamais cette phrase antique (avant 89), lorsque en 1983, 350 missiles SS20 étaient dirigés vers les points sensibles occidentaux : « Les fusées sont à l’Est, les pacifistes à l’Ouest » …
Comme disait en d’autres temps l’estimable Vegetius : « Si vis pacem, para bellum ! »
No comment dit:
à
Il faudrait que les médias envoient un reporter enquêter dans la ville italienne où résidait la famille de Léonarda.
Le Maire :
« Il (le père de Léonarda) avait inscrit ses enfants à l’école mais ils n’y allaient pratiquement jamais. Il les envoyait mendier. Ils vivaient dans la rue. »
Le membre d’une association bénévole qui est venu en aide à la famille :
« Resat (le père de Léonarda) a décidé d’aller en France quand la possibilité que la garde de ses enfants lui soit retirée a été avancée. »
Source, Le Temps du 20 octobre 2013
un peu de géopolitique dit:
à
S’il n’y avait pas eu de pétrole en terre d’islam (je ne vois pas pourquoi on devrait mettre une majuscule à ce mot, alors que les noms des religions sont des noms communs), la religion musulmane aurait dépéri. Privés de ressources, les habitants de ces contrées archaïques auraient voulu la modernisation, le progrès matériel, la démocratie, comme tout le monde.
rendons à César dit:
à
« Les fusées sont à l’Est, les pacifistes à l’Ouest »
C’est une phrase de Mitterrand, JC. Désolée pour vous.
coiffeuse de poteaux dit:
à
cela entraîne un mécontentement certain
non mais tu voudrais pas que tout le monde se trimballe ta permanente ?
JC..... dit:
à
« Quand je relis la Bible, j’ai envie d’envahir Babylone! »
Cela se comprend !
Lire la Bible et repenser avec soin à son « usage » dans les faits, chez nous et ailleurs !!!
Cela renseigne sur la sainteté de tous les livres saints, potions à endormir les imbéciles…
(que dieu me pardonne !)
u. dit:
à
Althaâr, fille de Djumblat dit: 20 octobre 2013 à 11 h 19 min
On cherche vainement un semblant d’originalité
Yâ Altaâr bint al-Jumblatt, noble fille!
Tandis que tu ceints mes genoux, je caresse ta chevelure parfumée…
(On peut rêver?)
Sauras-tu me dire quelle est la bonne opinion minoritaire?
Nos intellectuels sont de véritables virtuoses en matière de totalitarismes du 20ème siècle (putain qu’ils sont bons).
Ils sont tellement bons qu’on a aucun doute sur leurs choix s’ils étaient, comme Jacouille, renvoyés dans le passé.
Je les lis avec respect.
En revanche, sur le nouveau totalitarisme, celui du 21ème siècle, l’islamisme, ils sont dans un état de surprenante impréparation.
On s’en étonnera dans trente ans, mais on sera consolé par ceux qui, alors, se doteront d’une lucidité rétrospective!
Entretemps…
Lakin dînukum, wa lya dîn…
A moi ma loi, à vous votre loi
(Sourate Al Kafirûn)
Portons-nous au secours d'u. dit:
à
« tous les livres saints, potions à endormir les imbéciles… » (JC)
Même le kama sutra ?
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