Rhabillez-vous, Cassandres !
Sentez-vous le ton qui monte et l’esprit qui vient ? On ne dira pas que c’était mieux avant. Cela ne se dit plus. Qui oserait sans s’en défendre aussitôt, ravalant ses regrets indécemment exprimés ? N’empêche qu’avant, c’était… autre chose. On savait à peu près où l’on allait. Les repères étaient encore là, bien plantés dans la perspective comme autant de balises. Il y avait la gauche et la droite, l’Est et l’Ouest, le communisme et le capitalisme. On pouvait identifier l’ennemi. Désormais, tout s’est brouillé et confondu, et il est intérieur. Pas seulement du côté de l’Autre, indistinct et innommé, mais en nous-mêmes. Des intellectuels témoignent de ce que ce désarroi a de spécifiquement français face à ce chaos. Ils sont souvent de sensibilité et d’engagement politiques différents sinon opposés, mais expriment, à défaut d’une même vision du monde, une certaine sensation du monde qui les isole de leurs contemporains. Ils ont nom Richard Millet, Régis Debray, Renaud Camus, Jean Clair, Alain Finkielkraut… L’identité nationale, la montée des périls communautaires, l’aversion pour la transparence, le rejet de l’informe comme forme revendiquée, la restauration des frontières sont le terreau de leur réflexion. Certains sont philosophes, d’autres romanciers ou historiens de l’art. Tous sont des écrivains par leur commun souci de la langue, sa décadence et son salut. Les nouveaux livres de deux d’entre eux permet d’y revenir.
Le titre même choisi par Jean Clair, Les Derniers jours (330 pages, 21 euros, Gallimard), donne à sa chronique de la vie comme elle va son caractère crépusculaire et, partant, ses accents testamentaires. Il est emprunté à une revue politique littéraire lancée par Pierre Drieu la Rochelle et Emmanuel Berl (sept numéros parus en 1927). L’épigraphe, elle, vient de l’Ile des pingouins (« Le grand peuple pingouin n’avait plus ni tradition, ni culture intellectuelle, ni arts… Il y régnait une laideur immense »), mais qui lit encore Anatole France ? A part Milan Kundera, on ne voit guère, hélas. Sous cette bannière, Clair l’atrabilaire a réuni en courts chapitres des fragments, des explosions de pensées, qui lui permettent de régler ses comptes avec l’époque. C’est peu dire qu’il aimerait changer de contemporains. Il donne le sentiment de croiser de moins en moins de gens à qui il peut parler. Surtout dans le métro où il se découvre être « le seul Blanc » entouré de Noires en boubous et de musulmanes en foulard.
C’est peu dire qu’il est nostalgique de son enfance. Il a des pages bouleversantes sur sa vie d’écolier, doué et mal dans sa peau, à Pantin où il naquit, entre les Grands Moulins et les Compagnons de la chanson. En quelques soixante-dix années, il aura vu sa ville passer sous différentes tutelles, telle une bourgade balkanique : d’abord département de la Seine, puis Seine-Saint-Denis, puis Quatre-vingt-treize, enfin 9-3. Cette valse administrative serait déjà un bon prisme pour en raconter les métamorphoses. Il est vrai que la banlieue à la Doisneau a vécu. Mais c’est surtout le regret et le souvenir de son monde d’avant qui l’habitent. Celui de la petite paysannerie dont les siens sont issus depuis des générations, qui se suffisaient à eux-mêmes en vivant en économie fermée du côté du Morvan. Ce peuple originaire, comme disent les anthropologues, représentait 60% de la population à sa naissance en 1940, et plus que 2% désormais. On ne s’étonnera donc pas que Jean Clair, né Gérard Régnier, soit l’un des rares à effectuer un rapprochement entre la fermeture à Paris du musée des Arts et Traditions populaires, conservatoire du terroir de culs-terreux, et l’ouverture presque en même temps dans la même ville d’un musée de l’Immigration, ainsi que d’un musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, à Marseille.
Encore plus cérébral qu’intellectuel, ce polyglotte d’une érudition remarquable ne comprend plus le français tel qu’on le parle ou qu’on l’écrit, et qui l’insupporte. C’est un fantôme errant en solitaire parmi une foule en décomposition qui a honte d’être française et qui l’exprime mal dans une langue en plein dépérissement. Le français tel qu’il se parle à la radio ou la télévision, et qu’il s’écrit dans les journaux, est à ses yeux « un abandon qui trahit ce qu’il est : le début de la barbarie ». La nouvelle du jour a dû l’accabler : l’avis de décès du Grand Robert de la langue française, du moins de son édition papier. Il aurait pu faire une belle carrière universitaire aux Etats-Unis. On la lui avait proposée. Il avait accepté. Après quelques temps d’enseignement à Harvard, il décida de rentrer en France lorsqu’il se rendit compte que dans ses rêves, ça parlait en anglais : « Mes rêves ne m’appartenaient plus. Ou plutôt, je n’appartenais plus à mes rêves ». Ils étaient peuplés de lampes à pétrole et de lampes Pigeon, de petits métiers et de bruits familiers. Sa langue à lui est claire, précise, chaleureuse ; même lorsqu’il évoque la peinture, elle ne jargonne pas ni ne recherche la préciosité ; c’est à peine si passent un « chevêche », un « chat-huant », des « aoûtats », « se décacher », ou le charmant « bableuter »
On ne lui fera pas déserter ses origines, il ne trahira pas sa race. Ce refus d’abandon n’est pas qu’un réflexe ethnique d’appartenance à un peuple en voie de disparition : il faut aussi y lire la fierté d’une solidarité sociale malgré le passage de la ligne, telle qu’Annie Ernaux l’a exprimée dans certains de ses récits. Les derniers jours est le livre bouleversant d’un homme prêt à tous les aveux pour mieux en dissimuler un : lorsqu’il reconnaît en deux lignes avoir toujours aimé sa mère avec désespoir et s’être toujours senti coupable de la disparition des siens. Le symptôme du survivant.
Alain Finkielkraut est tout aussi pessimiste, mais plus tragique encore, dans L’identité malheureuse (228 pages, 19,50 euros, Stock), et ce n’est pas parce le spectre du malheur s’invite et s’impose dès la couverture. Le texte figurant en quatrième de couverture (ici) commence par le mot « immigration ». Il se termine par un vœu – ou la possibilité d’un vœu : hériter et transmettre. Curieusement, il a oublié de placer entre les deux un verbe qu’on lit d’habitude dans cette formulaire trinitaire due à l’un de ses maîtres, Emmanuel Lévinas : « Recevoir, célébrer, transmettre ». Pourtant ce n’est pas rien de glorifier. D’ailleurs, l’auteur ne s’en prive pas, qu’il s’agisse du cher Péguy et de François Furet, de Diderot et de Lévi-Strauss (Race et histoire), et d’autres encore, car on sait que Finkielkraut dégaine facilement ses citations, non pour épater mais pour appuyer en étant le plus précis possible afin de ne pas trahir la lettre ni l’esprit. Ceux qui l’ignoraient (mon cas) savent désormais que c’est au philosophe anglais Roger Scruton que l’on doit la notion d’oikophobie, hellénisme désignant la haine de la maison natale et la volonté de se débarrasser de tout ce qu’elle a pu accumuler au cours des siècles. Et puis quoi, il y a peu de nouveaux essais qui s’appuient ainsi sur les livres de Barrès, Burke, Maistre, des classiques certes, de la pensée politique contre-révolutionnaire, mais on se demande s’ils correspondent à la belle définition du classique que fournit l’auteur :
« Un livre dont l’aura est antérieure à la lecture. Nous n’avons pas peur qu’il nous déçoive mais que nous le décevions en n’étant pas à la hauteur. Nous admirons avant de comprendre et, si nous comprenons, c’est parce que l’admiration a tenu bon et forcé tous les obstacles. L’a priori, en l’occurrence, n’est pas un préjugé, c’est une condition de l’intelligence. Ainsi s’opère la transmission de la culture, ainsi découvre-t-on l’Enéide, le Roi Lear ou A la recherche du temps perdu »
Son diagnostic sur le mal dont souffre la société est souvent juste, implacable même. Et pas seulement quant au remplacement de la galanterie par la muflerie, la disparition de l’humilité ou la douce litote qui met sous le vocable unique d’ « incivilités » des actes qui vont. de la bousculade au meurtre en passant par les insultes. Cela fait des années qu’il dénonce, dans ses articles, dans ses livres, dans ses interviews ou au micro de France-Culture le samedi matin, ce qui mine le meilleur de notre civilisation. Dans une parenthèse d’autodérision, il s’envoie même du « Rhabille-toi, Cassandre ! » en souvenir de tous ces combats. Il déplore brillamment, et à juste titre, le renoncement au savoir-vivre ; mais dans son élan, il ne peut s’empêcher à la suite de dénoncer la mort du savoir-lire et du savoir-écrire au motif que tout se passe désormais devant un écran d’ordinateur et un écran de téléphone portable. Et d’actionner la scie de la lecture profonde dans un livre seulement, opposée à la lecture nécessairement superficielle sur un écran. Comme si l’imprimé avait attendu le numérique pour pratiquer la lecture flottante, distraite, fragmentaire, par sauts et gambades, en diagonale ! Surtout, comment peut-il croire que l’on accordera crédit sur ce sujet à quelqu’un qui reconnaît, et revendique, n’avoir jamais pratiqué aucun de ces écrans et de ces flux ? Ce qu’il connaît de l’internet, il le sait par la lecture des livres de Nicholas Carr.
Son goût de la formule l’entraîne parfois à écrire au-delà de sa pensée, à forcer le trait, à extrapoler jusqu’à perdre l’attention de son lecteur acquise au début de sa démonstration. Les deux pages qu’il consacre par exemple au projet avorté de la Maison de l’histoire de France sont si caricaturales qu’elles font l’impasse sur son caractère sarkozyen. De même lorsqu’il refuse d’examiner dans la nuance le constat pourtant d’évidence que fit l’historien Lucien Febvre lorsqu’il rappela que dans la longue durée, la France éternelle, figée, immobile était un mythe car elle avait été un lieu de brassages et de recomposition permanents ; dans ces passages-là, on aurait plutôt attendu d’Alain Finkielkraut une réflexion sur le fait que la France, pays d’Europe qui a accueilli le plus d’étrangers au XXème siècle, bute sur la question de l’Islam. Ou une explication plus détaillée sur le primat qu’il accorde à la démocratie sur la République (au compteur sémantique, la première l’emporte largement sur la seconde).
Lui aussi brandit les vers de Racine et les quatrains de Baudelaire contre l’abaissement général, l’avachissement d’un peuple résigné et indifférent. Lui aussi regrette que l’identité nationale soit devenue « un mot moisi ». Lui aussi s’inquiète que l’enseignement dans les collèges et lycées soit devenu un sport de combat, que le Front national puisse s’affirmer comme le premier parti ouvrier de France. Mais à force de prendre le drame au tragique, il va porter le deuil du livre au motif que le texte est en train de l’abandonner pour migrer sur un autre support. Et alors ? Ce n’est pas la mort du texte, au contraire ! Le problème avec la nostalgie, c’est qu’elle entraîne chez ceux qui savent écrire une mélancolie si triste qu’elle en devient morbide.
Ces deux livres sont pathétiques par le désespoir qu’ils expriment. Ils n’en sont pas moins nécessaires car ils reflètent un authentique désarroi, plus répandu qu’on ne le croit, face à l’érosion de l’identité nationale. Ces Cassandres nous sont indispensables. « Lanceurs d’alerte » dirait-on aujourd’hui. On ne nous fera pas croire qu’ils sont les idiots utiles de la droite nationaliste ou de l’extrême-droite, appelez-la comme vous voulez, au motif que la haine de la France les terrifie, les indigne et les accable. Nul doute que Jean Clair et Alain Finkielkraut se feront traiter de réactionnaires. Et alors ? Ce fut infamant jusqu’à une récente période encore. Après avoir été examiné comme un syndrome, c’est devenu une qualité, bientôt une tendance. Reste à savoir s’il s’agit de la queue de comète d’un monde qui s’en va, ou du chevau-léger d’un état d’esprit appelé à durer.
(« Course de chevaux en Irlande, 1952 » photo Henri Cartier-Bresson ; « L’autre jour sur un mur de la rue de Passy, Paris XVIème » photo Passou ; « Many times », 1999, polyester et résine, oeuvre de Juan Munoz, photo de Jean-Luc Lacroix)
849 Réponses pour Rhabillez-vous, Cassandres !
Qu’est-ce qui, dans ces échanges,ce billet, ces livres, cette actualité a pu me conduire à cette idée ?
la deuxième pic..y’a du subliminal
U. chéri, ne mégotons pas.
Le bonheur est fait de la somme de petites joies …
bonnie and clyde and stammers of thomson shotgun
Ta ta ta ta ! voilà que le petit célinien me voit en chaussettes rouges.
u – 12:28 / et 16:30
Nous ne parlons pas des mêmes populations :
Différence entre roms et gens du voyage :
« Leurs situations ne sont en rien comparables. Seuls les lient des origines très lointaines : la grande famille des Roms, Tsiganes, Manouches, Gitans et autres Bohémiens serait issue du même peuple nomade qui a quitté le nord-ouest de l’Inde au début du XIe siècle et qui s’est dispersée à travers l’Europe et le reste du monde.
En France, le terme de Roms désigne quelque 15.000 immigrés récents, roumains ou bulgares. Les 400.000 gens du voyage sont en revanche à 95 % français. Ce terme administratif générique désigne simplement une population résidant habituellement en caravanes : forains, marchands ambulants, ou saisonniers. Ils se définissent donc avant tout par leur nomadisme, alors que les Roms, paradoxalement, sont pour l’essentiel sédentarisés depuis les années 1960 ; seuls 10 % en Europe sont encore nomades. »
@bouguereau dit: 20 octobre 2013 à 21 h 27 min
Oui, car depuis quelques semaines certains migrants deviennent « insectes indésirables » à balayer… Alors, sous « Course de chevaux en Irlande, 1952″ photo Henri Cartier-Bresson, sous le titre et le billet s’éveille une autre… réalité subliminale.
l’actualité est emplie par ces problèmes de migrations. Et vous, qu’en pensez-vous ?
« Finkielkraut, vieille autruche, ôte-toi la tête du sable et les doigts du cul. »
Sont-ce vos ablutions habituelles, J.B.?
« l’actualité est emplie par ces problèmes de migrations. Et vous, qu’en pensez-vous ? » Christiane.
Ma voisine d’ origine Russe est traductrice pour le tribunal de mon lieu de résidence, essentiellement pour les langues des pays de l’ Est. Et il lui arrive assez fréquemment de me demander de peaufiner en bon français ( cela bénévolement…) les témoignages et dépositions des demandeurs d’ asile politique provenant de ces pays.
Je constate que à part les noms qui changent, les histoires sont à peu près les mêmes comme si un schéma, un scénario se passait de mains en mains sans encombre contrairement aux bateaux venant de Sud.
Je ne connais pas le résultat ni l’ aboutissement de ces démarches pour une petite ville de province, mais elles sont étonnamment nombreuses.
« Finkielkraut, vieille autruche, ôte-toi la tête du sable et les doigts du cul. »
Sont-ce vos ablutions habituelles, J.B.? (par où ça rentre)
» Ôtez-vous les doigts du cul, bande de bleubites » fut l’injonction favorite, d’un sergent-chef aujourd’hui perdu de vue, dans les froidures du camp de Canjuers, à l’époque où l’institution du service militaire obligatoire existait encore. Comme Alain Finkielkraut, je cultive la nostalgie des usages linguistiques et virils d’antan. Ainsi, je garde la mémoire,absolument intacte, d’un dialogue enregistré un soir d’incorporation, devant l’entrée de la cantine où nous venions de parvenir, en rangs par quatre et au pas cadencé, défilant devant trois jeunes femmes sans doute venues dire au-revoir à leurs cocos respectifs. C’est alors que le Chef (un superbe double-mètre antillais supermusclé) prit la parole :
Chef – Y a pas ici twas maquweaux pou’ m’enlever ces twas putains ?
Jeune femme – Elle est ici, la putain.
Chef – Viens ici te faiw enculer, tu véhas la calib’ »
Je ne voulais pas disparaître sans léguer à la postérité ce témoignage d’une France aujourd’hui disparue.
are you the right brown, john?
ces chinois et leur politesse entendue !
détail vanné ?
…à vous de jauger
http://www.youtube.com/watch?v=7_9iBea8PT4
…
…le compte est bon,…
…
…de la guêpière » grande taille » qui s’éprend au bourdon,…
…aux à miel aux moines,…comme encre à-doré sur les parchemins des culs – coutures,…
…en assurer du servage privé, discipliné trier sur le volet,…du beau monde aux effusions,…ces bonnes soeurs qui s’en mettent du miel les nains à longs – arcs, préparer tout feux tout flammes aux reines d’alcôve,…
…à l’échiquier d’abeilles les ruches alvéolées a desseins sur côtes des pains blanchis-abrutis aux dessins du foutrâge a lignées,…
…aimer la chose bien faite avec son grain de sel,…juste pour l’ivoire aux trompes à l’oeil,…
…les vendanges aux tonneaux par le rêve des pairs aux moines-chevaliers, la chair bien tendre,…aux biches mû-sardines, mi-maquereau de la butte à bûches aux foyers,…
…
…le bénéfice du doute d’en être maîtres possédés,…aux pairs des guêpières, le dard du salut-marie à l’emploi,…
…
…un zoom,…les lentilles à portées des lunes,…etc,…d’un trait à deux mouvement,…se remonter sa montre à l’heure,…
…
Ou souhaites-tu être enterré?
Dans de la terre brûlée, forcément, de Sienne je ne dirais pas non, mais pas sur un trottoir pour rester au sec et éviter les rhumatismes
Léonarda…Après la Gauche Caviar, la Gauche Kosovar?
Bonne soirée.
MC
@En passant… dit: 20 octobre 2013 à 22 h 30 min
Oui, cela est fort possible. cette pensée m’a traversée quand j’intervenais dans la zone d’attente de Roissy… L’OFPRA essayait de vérifier tout cela. Mais pour un seul de ces témoignages, vrai, cela valait le coup d’être crédule.
Un jour, au tribunal de Bobigny, j’accompagnais une de ces très jeunes filles africaines âgée d’environ 13 ans. Son histoire de viol, de famille exterminée, d’errance, de passeurs paraissait très crédible. (Pleurs et émotion joints au mots). J’attendais qu’elle passe devant le juge. Une femme s’est approchée, soi-disant une amie. Elle lui a remis un cadeau dans un sac plastique, puis a disparu. Comme l’attente était longue, elle a ouvert ce sac. Il contenait un string et un soutien-gorge mini, mini. Elle a ri, semblait heureuse, a enfoui le paquet dans son sac. Drôle de cadeau pour fêter l’arrivée d’une mineure… Moi, j’ai reçu comme un coup de gourdin sur la tête.
Heureusement, la demande du centre de Taverny était à l’ordre du jour et a été obtenue. Y est-elle restée ? appartenait-elle à un réseau de prostitution « enfantine » ? Ces questions m’ont taraudée. Impossible de la réorientée vers l’Afrique subsaharienne où une histoire pire l’attendait certainement. Je tais le nom du pays.
Ce sont des épreuves de ce genre qui m’ont fait lâcher ce bénévolat… Ne plus savoir quel rôle nous jouions là, malgré notre bonne volonté et la générosité des uns et des autres…
Le récit dramatique du fuyard fait partie du « kit demande d’asile » fourni par les filières … C’est humain. On peut le comprendre. On n’est pas obligé de le croire ! Car, il est impossible de démêler aux frontières le vrai du mensonge éhonté, faute de temps.
Que sont les bénévoles « humanitaires » sinon de saints imbéciles faisant partie du dispositif des passeurs, considérés par eux comme des idiots utiles… Absolument respectables, absolument admirables, épris de justice, de liberté, de fraternité, etc, etc… mais idiots utiles, comme le furent les intellectuels français communistes à l’époque de Stalin ! Coupable d’une sensibilité aveuglée par humanisme.
Tout le problème est : « Comment traiter l’accueil aux frontières ? »
Au niveau de l’individu ou au niveau du troupeau ?
Pour l’humanitaire, c’est l’individu : celui là est « peut-être » un vrai réfugié. De peur de se tromper, on se bat sur de grandes idées, pour le sauver, l’aider, au milieu de tout le monde ! Entrent la brave gosse et les petites putes, le jeune travailleur et les voleurs…
Pour un gouvernement, c’est le troupeau. Un flot arrive à la charge de la population active du pays d’accueil, flot qui ne trouvera pas de travail, pas de logement, et se reproduira naturellement en petits Français en majorité inassimilables compte tenu de la fracture culturelle. Pour tout dire… inutile au pays, couteux, mal à l’aise eux-mêmes !
Bref, le problème c’est ne jamais oublier que la faute n’est pas l’accueil aux frontières, faite par des gens honnêtes, mais l’absence de solutions au pays du départ … Raisons diverses, là, dont on doit se soucier d’abord, avant d’accueillir !
JC….. dit: 21 octobre 2013 à 6 h 37 min
« Pour un gouvernement, c’est le troupeau »
Encore une fois un discours bien étrange.
Pays de non droit décrit ici ?
Sans Institutions , dans Droit, sans Droit européen non plus ?
C’est quoi ce système politique décrit là ?
Ce n’est certainement pas une République parlementaire. Mais une intention de destruction de quelques Valeurs fondamentales – et propagée par quel parti nationaliste identitaire et xénophobe en France ?!
« on » a lu François Sureau, récemment. Avec bénéfice.
Sans compter que notre démographie florissante risque sans que soit renforcée la charpente de l’emploi d’ajouter un poids fatal au plafond des retraites, que vont devenir ces petits d’expatriés qui ne lisent pas the economist ayant foi en un avenir meilleur, de doux candides, espérons que cette descendance ne se transforme pas en trader-escrocs qui extorqueraient à nos honnêtes riches le sommet durement arraché à la crise qui sévit les obligeant eux aussi à de douloureux exils loin d’une sévère mère patrie.
ALARME INFO
Le mediacosme vient de décider de remplacer l’affaire Leonarda Dibrani, lycéenne occasionnelle expulsée, par l’affaire Patrick Evra, footballeur professionnel expatrié.
Désormais, la tragicomédie kosovare exaspère, alors que les déclarations du footballeur sont porteuses de sens.
Celui qui fut capitaine en 2010 et artisan de la grève de l’Equipe de France au Mondial d’Afrique du Sud est un intellectuel de haute volée. Salarié à Manchester United, il aurait été aperçu aux chiottes lisant en allemand « Chemins qui ne mènent nulle part » d’Heidegger -le livre tenu à l’envers- persuadé que Heidegger était arrière gauche du Bayern Munich !
L’affaire Evra ? Sans nul doute, l’illustration que le football aussi : « C’était mieux avant…! »… On attend une déclaration à la télévision du Chef de l’Etable, François Rhooolande.
JC, vous êtes très bien en « ravi de la crèche ».
En démocratie, il faut aussi des « humoristes » pour contrebalancer un surplus d’éthique.
« Encore une fois un discours bien étrange…/…une intention de destruction de quelques Valeurs fondamentales »
des journées,
Quelles valeurs fondamentales ?
Où se trouve exprimée l’intention de les « détruire »…?
Que fait l’Europe? Après tout il y a une politique commune concernant l’agriculture, des surveillances et injonctions à propos des endettements pourquoi ne travaillerait-elle pas aussi à définir une politique commune d’immigration avec répartition sur les territoires des demandeurs d’asile selon la capacité propre à chacun des états membres à accueillir selon ses ressources, du moins naîtrait une cohérence et serait éloigné le spectre d’une xénophobie locale à moins que l’ensemble ne construise une ligne de défense équipée à reconnaître tous mouvements comme invasion visant à l’affaiblir, la spolier, la polluer de sangs impurs.
L’Europe, Bérénice, n’existe pas.
La diversité des nations européennes est trop importante … l’histoire des nations est si lourde à porter par chacune. Aucune entente possible sur l’immigration. La volonté humaniste des pères fondateurs a fait place à une machinerie sans tête, sans équilibre, sans projet …
Ce qui était espoir est devenu contrainte !
A Marseille, on siffle, on hue un président et son premier ministre tous deux socialistes, au siège de la fédération PS !
Boudiou ! Qué fadas, ces marseillais ! Qué primaires …
Au moins l’Europe aura réussi à déplacer le terrain du conflit, armé il sera passé à l’économique avec pour devise l’euro et que le meilleur gagne au sein de la commune institution.Chacun pour soit l’Europe pour tous.
Tout à fait d’accord sur le statu quo pacifique en Europe, né d’une organisation d’échanges économiques concurrentiels, plutôt que les habituels règlements de conflits par le sang versé.
Les jérémiades rétro d’un Clair ou d’un Finkielkraut n’y changeront rien : la France de papa, c’est fini. Un sang neuf coule à flots dans les veines de la vieille bourrique, et s’il faut la transfuser de force, eh bien on le fera. C’est pour son bien. Une cuillerée de Kosovar pour papa. Une cuillerée de Bantou pour maman. Surtout que maman raffole des Bantous : ils l’ont plus longue que les autres. L’avenir est à un métissage tous azimuts. Le péquenot morvandiau est allé planter ses choux dans l’autre monde. Une nouvelle langue française est en train de naître sur les décombres de l’ancienne. sus aux puristes ! Vive le pidgin, vive le sabir ! Oui aux incivilités ! Soyons puérilement et malhonnêtement incivils ! Le papa de Leonarda a magnifiquement humilié le prétentieux Etat français. J’entrerai dans votre pré carré comme dans une motte de beurre rance, à la hussarde, et quand je voudrai, et ce sont vos compatriotes qui me paieront le voyage. Des hordes de sans-papiers montent à l’assaut de la forteresse en rangs toujours plus serrés. Tous les Valls du monde n’y pourront rien. On va vous en foutre, de l’identité nationale. Les civilisations de papa vont apprendre pour leur gouverne qu’elles sont mortelles. L’avenir du judéo-christianisme est derrière lui. Gare à vos femmes et à vos filles. Vive l’anéantissement de la nation frantsouèze ! Je pisse sur Michelet ! Brûlons les lieux de mémoire ! Oui aux barbares ! Oui à la barbarie !
N’en déplaise à Clair et à Finkielkraut, à Camus et à Millet, je conchie l’identité nationale dans sa totalité.
« Ce sont des épreuves de ce genre qui m’ont fait lâcher ce bénévolat… Ne plus savoir quel rôle nous jouions là, malgré notre bonne volonté et la générosité des uns et des autres… » (christiane)
Ce sont aussi les contradictions qui heurtent de plein fouet le sans-papiériste inconditionnel.
Il est préparé à compatir devant la misère, mais pas à affronter la pègre, c’est bien normal.
Soit il se soumet et se robotise progressivement (et l’extrême fatigue permet de supporter l’irreflexion sans trop se sentir coupable), soit il s’en va.
Sauf quand il est grand philosophe, et que son éloignement et ses concepts l’ont définitivement immunisé contre le réel, sacré Badiou.
Chef – Viens ici te faiw enculer, tu véhas la calib’
..c’était josette et depuis lors tu passes pour un fluet jean marron..que des salopes en frankreich, lassouline a raison
en forme le John Brown, ça décoiffe ; on attend les commentaires des coincés, vite et qu’ça saute
« Oui aux barbares ! Oui à la barbarie ! »
Hourrah, John!
(On a le droit de choisir la barbarie non-barbue?)
zouzou à eux à trés trés cher un des chveux à badiou chez son coiffeur et s’essaie au vaudou encore..tu t’es fait enflé zouzou..comme jean marron..zêtes des bons français mais vous l’savez pas c’est tout
je conchie l’identité nationale dans sa totalité
comme l’imbécilité, c’est une grande tradition francaise..mais comme toutes les bonnes choses faut pas en abuser attation
« Finkielkraut, vieille autruche, ôte-toi la tête du sable et les doigts du cul. »
c’est pas mal vu.. »mon truc en plume plume de zoizo de zanimo »
Conchie ! Conchie ! Johnnie ! C’est pure perte que tu livres le meilleur de toi-même.
Une merde, même la tienne, imposante, ne changera rien : la France éternelle est là, prête à se défendre contre les Bantous à la longue hallebarde, contre les Sarrazins à la barbe triste et aux mémères sous housse, contre les Kosovars à la volonté d’apprendre la Fontaine intacte, contre les espions américains, contre les putes russes, contre les hordes luxembourgeoises et les petits malins belges …
Notre glorieuse civilisation judéo-chrétienne, dont ce gâteux de Chirac niait les racines présentes, se défendra ! Aux barricades, les juifs, les chrétiens, les blancs de peau, les pédés et les gouines, il faut défendre le mariage pour tous !!!
Monjoie Charlemagne ! Monjoie Ayrault ! Montjoie Hollande ! Monjoie Menucci !
Vive la république française ! A bas les Anglais. Saisissez-vous des John Brown ! Tuez-les tous … Maggie reconnaitra les siens !!!
Une analyse bien documentée de l’affaire Leonarda, sur un blog voisin, celui de F.Ménilmuch :
http://menilmontant.typepad.fr/mon_weblog/2013/10/leonarda.html
« Hépathétique : personne aux yeux si jaunes qu’elle inspire la pitié » (Alain Finkielkraut)
pécho dans ses mots valises..huuuurkurkurkurk!
Le président de la synthèse n’est plus synthétisé, il s’est déchiré en deux, dans le sens de la longueur, devant les téléspectateurs médusés, comme un futal trop plein qui pète à l’entrejambe.
On a deux présidents pour le prix d’un!
Il salue désormais avec ses deux mains, une à droite, une à gauche.
Après la prochaine affaire, il saluera peut-être aussi avec le pied.
Vive la république française ! A bas les Anglais. Saisissez-vous des John Brown ! Tuez-les tous … Maggie reconnaitra les siens !!! (JC)
France éternelle mon cul ! Je te convoque sur le pré ! Je t’enfoncerai mon petit bout de bois dans les oneilles !
Une analyse bien documentée de l’affaire Leonarda
..cte blague
Tu vas souffrir, infâme traitre, tu vas souffrir quand tu verras la Foi qui nous anime, maudit John Brown.
A moi, Porquerolles !!!
comme un futal trop plein qui pète à l’entrejambe.On a deux présidents pour le prix d’un!
zouzou c’est l’mec élégant
éloignement et concepts immunisent contre le réel, le concept y puise tout de même son assise, rien ne naît de rien, les philosophes sont un peu comme des cigognes qui de leur long bec puiseraient au fond de la vase pour un extraire un pur produit destiné à une réflexion utile en tout salon, ils se déplacent en bandes géométriques signant d’un V la victoire de la pensée surplombant le vaste marécage où croupissent leurs frères désarmés. Quelle engeance qui va là!
êpépèpe béré..pas de charge contre l’alsace ni la lorraine
JB, j’ai un aller-simple pour Damas, avec prolongation sur Alep, Tripoli et Kandahar. Je vous l’envoie? Il est au nom d’Abou Mazette, ça devrait coller.
u. pour rejoindre un genre qui vous plait, ne mettez surtout pas sur la table la troisième jambe.
Bouguereau,
préférez-vous « Springtime » de ce peintre danois, Peter Martensen ?
http://gmw.dk/38/
Là, il pleut des « papiers » en veux-tu en voilà !
Bloomie,
Au sortir de son bûcher, le John d’Arc consumé vous sera envoyé dans une boite Nescafé faisant office d’urne funéraire …
Avec une étiquette : « De la part de Josette, ravie ! »
pour rejoindre un genre qui vous plait, ne mettez surtout pas sur la table la troisième jambe.
Qui sait, bérénice?
Ce pauvre homme moqué par ses femmes pour être un flou et un mou pourrait très bien, grâce à cette déchirure, mettre devant les yeux du public une « boîte à outil » (c’est lui qui parle) plus impressionnante que prévu.
Un outil qui « donne un cap »!
Camarade U.,
Comment pouvez-vous polissonner en ces moments étrangement graves ?….
préférez-vous « Springtime » de ce peintre danois, Peter Martensen ?
pas mal..je connaissais pas, merci
C’tun outil quelque peu salissant, il est recommandé de n’en rien dévoiler hors de la sphère privée et puis à son age le doute s’impose quant à sa direction, cap au sud dirai-je et je préfère au nord quoiqu’il y fasse froid.
Un outil qui « donne un cap »!
joli sexpol zouzou..et a tes dépends, bravo
Qu’on le veuille ou non, les centaines de milliers de pépères et de mémères, de lycéens et de lycéennes, prêts à vider leur Codevi et à casser leur tirelire pour envoyer au papa de Leonarda de quoi rapatrier sa petite famille en France, pour les cacher ensuite au nez et à la barbe des CRSS de Valls, sont des Justes qui doivent être assimilés à ceux qui cachèrent et sauvèrent des Juifs pendant WW2. Certes, les risques sont un peu différents, mais l’esprit est le même, et c’est l’essentiel.
On n’arrête pas de parler du devoir qu’auraient les Roms, les Maghrobins ou les Bandous de s’assimiler et de s’intégrer, mais c’est l’inverse qui est vrai. C’est le devoir des citoyens français de s’assimiler et de s’intégrer aux Boubous, aux Mangrovins et aux Loums.
Au sortir de son bûcher, le John d’Arc consumé vous sera envoyé dans une boite Nescafé faisant office d’urne funéraire … (JC)
J’exige une boîte de Malongo, c’est le meilleur.
Je n’aime pas la peinture de Peter Martensen. Triste, alors que les danois sont plutôt joueurs…
De retour de voyages en Chine, j’ai ramené à chaque fois quelque reproduction de ces fabuleux tableaux montrant un Mao souriant entouré de fillettes hilares se livrant à des incitations papouilleuses auprès du vieux mandarin populaire et pédophile !
Le tout se déroulant sous les regards ravis d’une population paysanne propre, bien nourrie, attendant la conclusion du grand bond en avant du Guide ! Fabuleux ! ça, c’était de la peinture signifiante pour un inculte dans mon genre …
..et pourquoi pas une procession de femme nues poilues et pétomanes comme rénato aussi..la république est pauvre jean marron..ou alors lève une souscription dans les écoles
« J’exige une boîte de Malongo, c’est le meilleur. »
Accordé ! On ne refuse rien à quelqu’un qui meurt pour ses idées !
(…et là-haut, je prévois combien de vierges ?….)
Trés légèrement JB après vous avoir soupçonné injustement d’antisémitisme, de scientologisme faut-il maintenant et sérieusement vous suspecter de lepenisme?
« Le tout se déroulant sous les regards ravis d’une population paysanne propre, bien nourrie, attendant la conclusion du grand bond en avant du Guide »
Toute la population pétait de santé.
Les retoucheurs, qui ‘avaient pas de quoi croûter, ajoutaient au pinceau du vermeil sur les joues et les babines, c’était le bon temps.
Fabuleux ! ça, c’était de la peinture signifiante pour un inculte dans mon genre …
c’est bien aussi..mais martensen c’est pas si triste..ça ferait trés bon ménage.. »de l’influence des climats.. »comme dirait montesquieu
Les retoucheurs, qui ‘avaient pas de quoi croûter
pas du tout « retoucheurs »..rencarde toi sur eux zouzou..moutcho interessant
Trés légèrement JB après vous avoir soupçonné injustement d’antisémitisme, de scientologisme faut-il maintenant et sérieusement vous suspecter de lepenisme? (Bérénice)
Je ne suis pas lepéniste je suis l’Eugèniste
ttiens tu connais la chinoise australienne qui fait de la gardienne de la révolution a poil jicé?..pas mal aussi dommage que ça soit elle une retoucheuse
« À ses côtés, son père, Resat, 43 ans, enrage: «Pauvre France!, lâche-t-il avec emphase. C’est n’importe quoi ce pays maintenant…» (les journaux)
Le père Dibrani vote Brown!
ça cause, ça cause..les maghrobins, raconte jon brown qui fait des bonnes fautes de frappe.
mais qui lit Finkielkraut ? sa « Défaite de la pensée », tout un gloubiboulga à la Minc alors, qui gagne pluche en faisant du conchultinnegue.
Seul le journal de Camus, celui d’avant son mariage, restera peut-être dans les annales (tention à l’orthographe, dirait Bougreau).
raconte jon brown qui fait des bonnes fautes de frappe
..des bavures phil
JB Les mariages consanguins finissent par faire ressortir les caractères récessifs avec des conséquences néfastes, cependant l’eugénisme se pratique de fait assez souvent, à coté des sangs mêlés qui donnent d’heureux résultats.
Boug,
connais pas cette chinoise qui fait de la gardienne de la révolution à poil…quel dommage, je lui aurai bien donné un coup de main pour vendre ses petites !
l’eugénisme (Bérénice)
Ne pas confondre l’eugènisme avec l’eugénisme. Fais senssion aux assents, Bérénice
connais pas cette chinoise
son nom m’échappe..mais je te la retrouverais.
il y a eu aussi une bande dessinée sexploit italienne je crois des années 70..façon ilsa gardienne nazi, mais en chine..great comme dit bloom
les orogenèses d’Eugène, excellent votre blog mais je ne vois pas bien, ne discerne absolument pas la « beauté » de l’image qui y préside, c’est plutôt moche non? pourquoi un tel choix? Neige verglacée sur une roche informe avec une caricature de couchant! C’est d’un gout…
Je viens de me taper un dossier visuel « Léonarda » et je tombe sur : « Ce ne sont pas les autres qui font la loi pour moi, c’est moi qui vais la faire ». Je trouve ça bien — très bien, même — car cette « lycéenne » (sic !) très bien « intégrée » (sic !) nous nous donne là une leçon magistrale sur le niveaux de l’enseignement de l’éducation civique… bon, c’est vrai qu’un projet de classe sur un sujet choisi par les élèves donne plus de latitude et surtout il est mont contraignent pour des pauvres enfants soumis à des efforts intellectuels qui mettraient à mal la matière grise d’un Einstein…
oui renato. les doges vous auraient fichu tout ça aux galères.
bérénice dit: 21 octobre 2013 à 10 h 43 min
John Brown est un homme de goût, Bérénice, il hésite parfois, c’est humain…et douteux.
(faut voir ce qu’il a fait de sa Josette qui jeunette ressemblait à Sandra Bullock : une Cheetah, à passer toutes ses journées dans les arbres pendant que Tarzan siffle ses Kro, en bas !)
Phil dit: 21 octobre 2013 à 10 h 52 min
« oui renato. les doges vous auraient fichu tout ça aux galères. »
C’est sympa le rowing, ça muscle les gros empâtés … à consommer sans modération.
@JC « Bref, le problème c’est ne jamais oublier que la faute n’est pas l’accueil aux frontières, faite par des gens honnêtes, mais l’absence de solutions au pays du départ … Raisons diverses, là, dont on doit se soucier d’abord, avant d’accueillir ! »
C’est cela, et personnellement, je m’en soucie depuis fort longtemps, en accueillant chez moi une part de misère, et d’autre part en agissant à ma modeste mesure pour que les Roms aiment la Roumanie et désirent y rester plutôt que de s’attirer chez la France et grossir nos rangs du Front.
L’embêtant est que le gouvernement roumain, de son côté, ne nous accueille pas toujours correctement, nous autres les Français non souchés, candidats à l’aventure de l’émigration roumaine. Personnellement, je n’ai jamais réussi à obtenir mes papiers en dépit de mes demandes réitérées. Et j’ai donc dû entrer clandestinement en Roumanie où je reconnais avoir touché des aides et allocations indues comme porteur d’un projet de stabilisation des Roms. Quand l’administration roumaine a découvert cette légère escroquerie bien légitime de ma part (on a toujours du mal à se considérer soi-même comme fautif au regard des pays d’accueil), elle m’a expulsé in petto en France mais avec un pécule décent pour mon voyage de retour et ma bonne réintégration au boulevard St Germain.
Je peux donc ainsi témoigner que « l’aide au retour » en France allouée par la Roumanie ne fonctionne pas trop mal, mais trouve néanmoins que Bucarest aurait dû faire plus d’efforts pour me garder chez elle, car on y a estimé que j’y avais fait un travail bien utile. C’est dommage que le droit stricto sensu l’emporte sur les considérations à plus long terme des projets généreux, par delà leu application pratique. Et de fait, tout le monde a beaucoup perdu avec cette malheureuse expérience. Heureusement, elle se répète aujourd’hui, et commence, me semble-t-il, à donner de bons résultats. Les Roms sont de moins en moins nombreux à venir frapper à notre porte, ils commencent à se stabiliser chez eux. Je pense qu’il faut garder espoir et continuer à travailler en ce sens, les tensions internationales finiront par se décrisper à ce sujet. Il ne faut surtout pas lâcher le bénévolat humanitaire. Je pense que nous sommes plus crédibles quand nous nos pulsions altruistes sont accompagnées d’un salaire dûment exigé. La ligne rouge, c’est de ne pas tricher sur l’obtention de tels salaires, aussi faibles soient-ils, en les extorquant par de la fraude liée à du chantage affectif, comme l’avaient bien compris Laurent Fabius, Manuel Valls, Bernard Kouchner et Jean-Christophe Ruffin, sinon le président Hollande plus avisé sur ce délicat dossier que bien de ses prédécesseurs, à n’en pas douter.
parmi les agités du métissage, on nous signale un John Brown aux cabinets Flandin et Laval, sans doute le père de celui-ci, qui fit de grands efforts pour intégrer l’émigration Allemande. En 1815, un autre dansz le Cortège d’Alexandre entrant à Paris puis le meme à Gand aux Cents-Jours. dans les gloires de la famille, jean Bronius siège au Tribunal de Pierre Cauchon au nom d’une double Monarchie Anglaise. On s’en voudrait d’oublier Brunius, poussé dans l’Etat mAjor d’Attila, pour intégrer la grande migration des Huns. Fuyard au moment des Champs Catalauniques, il est à l’origine de la noble lignée d’aujourd’hui, dont la devise reste « Trahissez, Trahissez, il en restera toujours quelque chose », et dont les armes, parlantes, portent une girouette tournant au gré des vents. Philo Rom, philo Kosovar, philo n’importe quoi pourvu qu’il soit étranger et non intégrable,il promène sur le monde une philosophie politique qu’il croit empruntée aux Lumières dont ne voudrait pas meme la comtesse de Ségur, et veut oublier que le PS reste hanté par le fantome de Jules Moch…c’est consternant, mais c’est ainsi…
MC
Sur proposition documentée de Marc Court, le traitre John Brown est condamné à vie aux galères reliant Porquerolles à Port-Cros, pour métissageophilie active et kosovaromphilie nerveuse.
Son épouse Josette louera ses services au Bar de la Plage, Porquerolles, avec droit de visite au condamné un fois l’an, le jour de la Passion.
quand je lis MCourt, je pense à Roland Topor : » Mémoires d’un vieux con «
« Propos d’un jeune con » reste à écrire, Incoyable…!
parmi les agités du métissage
..des conneries meusieu court..c’est djeust dla basse peulitique..et collusion parfaite entre le front de gauche (les coco sur l’immigration hurkurkurku..)et la droite pour faire chier un « impuissant » comme dirait zouzou..en sexpol..a ses dépends..pasqu’y zont rien d’otes a sfoute sous la dent ces minus habens..et clair et finkelkraut joue de la pompe ascendante médiatique un bon éditeur ratrait pas ça pour rien au monde et lassouline fait son air chaud..la honte
Bonjour M. Court,
« Qui est-ce qui nie que les savants ne sachent mille choses vraies que les ignorants ne sauront jamais? Les savants sont-ils pour cela plus près de la vérité? Tout au contraire, il s’en éloignent en avançant; parce que, la vanité de juger faisant encore plus de progrès que les lumières, chaque vérité qu’ils apprennent ne vient qu’avec cent jugements faux. »
Ce ne sont pas les autres qui font la loi pour moi, c’est moi qui vais la faire ». Je trouve ça bien — très bien, même — car cette « lycéenne » (sic !)
dis donc le libertarien de rien c’est ce que font les marchés depuis des années..kurkurkurk..et ça vous étonne qu’une diva de tf1 essaie dfaire pareil aprés un pti stage de bookmakeuse..foireux!
evidemment jicé va dire que mainant les marché c’est pus si top..donc faut dl’écran d’fumé à la sa..lassouline la dedans..lassouline va nous mette du mur de la honte la dessus et kabloom du jme casse à dublin..et gaga suportère d’arsenal..allez vous faire enculer !
..surtout toi dédé..et dans les anneaux de saturne !
« lassouline fait son air chaud..la honte »
Pierre, c’est notre Mazarin à nous ! Peut-être plus discret que ça, disons notre éminence grise de luxe, notre Alcuin, notre Père Joseph, notre Kissinger …. La honte ? ça n’existe pas pour un conseiller !
oui renato. les doges vous auraient fichu tout ça aux galères
monsignor rénato va sfaire suspendre les couilles a divinisse par la papoté..sra en djean et shirt avec tête de mort art con de xara..finito la pourpre et la sacristie en marbre
Kissinger a fait réécrire la loi belge a lui tout seul..mais kissingeur c’est un mec prope sur lui..pas du tout une petite ordure comme leonarda hin mon rénato
aprés ça les africains font la gueule pasqu’a la hague y’a que des africains..des criminels de guerre et des menteurs y’en a que chez eux..
relisez moi ça aprés, king des faux culs!
Je viens de me taper un dossier visuel « Léonarda » et je tombe sur : « Ce ne sont pas les autres qui font la loi pour moi, c’est moi qui vais la faire ». Je trouve ça bien — très bien, même — car cette « lycéenne » (sic !) très bien « intégrée » (sic !) nous nous donne là une leçon magistrale sur le niveaux de l’enseignement de l’éducation civique…
« Leonarda, elle lui aurait pas tapé dans l’œil ? »…. question posée à un ami par la Pompadour. Ah ! les femmes possessives…
Quoi, bouguereau, t’est enseignant d’histoire-géo ? Enfin, les marchés ont réagi à la léthargie, à l’absence de réalisme, et le manque de transparence des politiques. Dans ce cas tout est transparent, même les inepties (les bafouillis, les balivernes, la balourdise, les bêlements, la bêtise, les bourdes) des favorables et des non favorables.
..et pis franchement faire que toute la france se sente menacée par une gamine qui parle aux média..et c’est bien monté matez bien. mais où qu’ils perchent ces journaleux de merde ?
– Bonjour ! nous sommes les éboueurs…
– Bonjour les gars ! … Elle est là !
– On la jette où, votre Leonarda ? poubelles de l’Histoire ?…
– Vous rigolez, ou quoi, les gamins !!! poubelles de l’Anecdote.
les marchés ont réagi à la léthargie, à l’absence de réalisme, et le manque de transparence des politiques.
excellent rénato..excellent..t’es encore meilleur que jourion..t’habites surement dans une commune a facilité..phil y confond toujours le panneau chiotte des dame et chiottes des hommes..
t’est enseignant d’histoire-géo ?
gaga le croit dur comme fer..ça devrait te conforter
« ..et pis franchement faire que toute la france se sente menacée par une gamine qui parle aux média..et c’est bien monté matez bien. mais où qu’ils perchent ces journaleux de merde ? »
Là, vois-tu, nous sommes d’accord : tu leur donnes de la merde, ils bouffent de la merde ; tu leur donnes du filet de bœuf, ils bouffent du de bœuf ; et jamais qu’il fassent la différence, ni qu’il aller gratter sous la surface, d’ailleurs.
Là, vois-tu, nous sommes d’accord
non rénato faux cul..pasque le coup de léonarda c’est excellent pour le biznèce des libertariens de rien..évidemment..pis au pire on saura paciser avec un régime un peu dur et fumé..on traversra la frontière et on sra un grand antifachiiss démograte..par coeur que jles connais
« gaga le croit dur comme fer.. »
Oups ! toute allusion à MàC ne peut être qu’involontaire… d’ailleurs, je crois être le seul ici qui ne croit pas à une renaissance de MàC sous le masque bouguereau.
Boug,
C’est un séducteur, le Phil ! Y fait semblant de s’être égaré dans les toilettes Dames ! Qui n’a pas menti ? qui n’a pas fait le timide égaré en territoire féminin…
Qu’on leur jette la première, aux menteurs de tous poils ! Quoi ? On manquerait de pierres ?… A ce point ?
d’ailleurs, je crois être le seul ici qui ne croit pas à une renaissance de MàC sous le masque bouguereau
excellente dénégation rénato..toi résumé
Boug serait MàC ?
Vous prenez vos rêves pour des votes, les amis ! L’immonde bougmeister ne laisse échapper aucune référence allemande …
Désolé le petit célinien, c’est toi le faux cul… Cela dit, tu devrais aller voir ce que libertarien signifie car t’es en perte de vitesse.. demande à ton mécanicien de contrôler la carburation…
Qui n’a pas menti ? qui n’a pas fait le timide égaré en territoire féminin…
ha mais il ne fait pas le timide égaré ..il leur dit « mais qu’est ce que vous faites toutes ici..c’est surement pour me regarder ma grosse bite gotferdom! je vous préviens je vais appeler la police..mais on peut peut être s’arranger.. »
Ce n’est pas de ma faute, le petit célinien, si ce sont les profs d’histoire-géo qui doivent se taper la corvée « éducation civique », ni la mienne non plus si MàC enseigne histoire-géo. Cela dit, on ne peut pas se tromper, MàC aussi jouait le petit célinien, mais avec plus de compétences stylistiques… que toi…
demande à ton mécanicien de contrôler la carburation…
c’est électronique rénato..un coup d’upload et c’est bon..ha c’est sur que pour les porsche 60’s alonzo te mets 3 doigts bien profond au motul rénato
Hop, les média se sont retournées comme une crêpe pour taper sur l’ado ou le Hollande.
Crêpe froment, crêpe blé dur, crêpe sarrasin, andouille et lait Ribot.
L’humanitarisme et la « xénophobie », c’est comme de l’émotion de lycéen, ça se transforme en son contraire, et puis ça remet ça, indéfiniment, c’est comme la forme marchandise chez Marx.
C’est explicitement sponsorisé par Apple.
..dans les petits celiniens..y’en a des gros et des petits..sapré rénato..
..putain là zouzou l’a tous les élastiques qu’on laché d’un coup..
En Cornouailles britanniques il n’y a plus de paysans depuis longtemps aussi mais les romanciers, ex-espions de Sa Majesté, qui les ont avantageusement remplacé (pour l’économie locale, c’est tout bénèf : visites de journalistes, tour-operators, dégustation de Cheddar numérique, hausse des prix des terrains, ruée sur les fermes et cottages abandonnés) n’en font pas tout un fromage. À peine conviennent-ils d’un jovial : « Cicéron, c’est point John Le Carré ! », lorsqu’ils croisent un correspondant de la presse internationale venu se perdre dans les ferns et les cairns des tourbières de l’ouest grand-armoricain dans l’espoir d’en coincer un pour un entretien.
Justement, on a pu en lire un dans un journal français récemment. Le Carré décoche un ramponneau dans le pif des actuelles autorités américaines lorsqu’il commente les affaires d’espionnage de la NSA. Il n’arrive pas à avaler qu’on s’en prenne aux lanceurs d’alertes (il en est question dans le billet) avec autant de légèreté et de frivolité. Si l’Angleterre a brûlé depuis longtemps sur le bûcher des vanités, comme elle le fit jadis des sorcières à sifflet, tous ses John Clear et ses sir Alan Funkiltcrest, des prétendus prophètes de funfair, Le Carré conseille de s’y prendre avec un peu plus de discernement aujourd’hui.
Les imitateurs aussi ont leur top 100, bouguereau… bon, a+
« ma grosse bite gotferdom »
Soyons clairs : parlons de « french fries » beyond the braguette ! C’est humble, et reconnaissons que l’humilité ça paye ….
(…à propos d’humilité, vous n’aimeriez pas avoir Ban Ki-moon à dîner, ce doit être un type intérressant. Ou en course-croisière, malade, par bonne brise ? ça doit valoir le coup …)
« Cela dit, on ne peut pas se tromper, MàC aussi jouait le petit célinien »
MàC était un vrai Français.
bouguereau, c’est une sorte d’Indigène de la République.
— Ils sont cons mais elle est belle (Houria, hein?)
Tout le monde espionne tout le monde.
« Il n’arrive pas à avaler qu’on s’en prenne aux lanceurs d’alertes » (xlew)
bouguereau, il s’est fait des noeuds entre l’anglais et le français.
Il croit qu’un whistleblower, c’est un type qui balance son sifflet.
Métissage, métissage
Le métissage c’est foutre un peu des claques au festnoz pour qu’il ressemble à la nouba.
bouguereau, il lit la Dépêche du Midi.
Màc lisait Vidal de la Blache qui lisait Gustav Nachtigal:
« L’esclavage, la guerre, l’Islam ont donné lieu à des métissages dont Nachtigal note les degrés entre Arabes et gens du Bornou ».
Nos pères ne confondaient jamais un métis et un mulâtre.
…
…incroyable,…
…depuis ce matin,…pour vous enfiler deux chaussettes,…mon Dieu,…qu’ils sont longs les commentaires sur l’Ô-bût adroit bien reçus cinq sur cinq,…
…et que je tire et retire,…Ô çà s’étire encore,…Ah, des bas nouveaux, si longs,…
…Oui,…
…maintenant, vous passez la jarretière,…et vous y attachez vos bas bas longs,…cela vous sied à ravir,…Sissi,…la posture préférer de votre Pacha Français,…
…ma république,…
…Oui,…ajoutons y le Gode-ceinture bien ferme,…comme c’est gay,…tout chou,…vous m’en faîte livrer deux exemplaires avec des enfants des croisades,…
…compagnons d’E.N.A. à la grande guêpière buvons voir si levain est bon pain en broche,…etc,…Parbleu,…déjà 13 h passé,…etc,…
…
J’aime bien cette idée d’air chaud et de pompes médiatiques.
J’ai entendu un gand filosophe normand dire tout à l’heure que Dolto était dangereuse.
Et j’aime bien cette Cassandre lorsqu’il dézingue les inconscients. C’est là où il est le moins mauvais.
‘tention aux spirales pour la descente, pas trop d’engagement.
« Le premier sex shop en ligne proposant aux internautes des produits estampillés « halal », c’est-à-dire conformes aux normes de la religion musulmane, a récemment ouvert en Turquie, a rapporté aujourd’hui la presse turque. »
Je déteste l’aspect islamophobe du Figaro.fr et j’avoue que mettre Taubira et ses féaux sur ce coup…
Vous penchez bien du côté où vous allez tomber JC : Grand bleu marine.
Et quel est donc votre souhait dans l’enfermement qui est le votre ?
sex shops pour tout le monde ou sex shop pour français de souche ?
Allez ne soyez pas pleutre, tout le temps.
Dites nous tout.
Il faut reconnaitre qu’une bonne nouba bretonne avec un couscous au congre, Moulod à la raïta, ça aurait plus de gueule qu’un festnoz avec Alan Stivell et cornemuses !
Métissons! Métissons !
Métissons, cons…
Le premier sex shop en ligne proposant aux internautes des produits estampillés « halal »
« Contrairement aux sex-shops traditionnels, il ne propose ni jouets ni accessoires, et encore moins de photos ou de vidéos suggestives, mais uniquement des préservatifs, crèmes et autres gels ou huiles de massage. »
On appelle ça une pharmacie.
Cheetah durassienne,
Pleutre ! je vous dirais tout si vous étiez capable, non pas de comprendre, mais d’entendre, vos filtres désactivés !
Ah, mais JC, je sais entendre l’impuissance.
Il croit qu’un whistleblower, c’est un type qui balance son sifflet
jp pernault en lanceur d’alerte..tu frais un malheur au seune zouzou.. »plebs stand up! »
des journées entières dans les arbres dit: 21 octobre 2013 à 13 h 48 min
Vous penchez bien du côté où vous allez tomber JC : Grand bleu marine.
ça lui paraît intelligent, aucun échange possible avec ce malade de pécul, il ne reste plus qu’à le laisser croupir dans sa bêtise
festnoz avec Alan Stivell et cornemuses !
tu lis trop la dépèche du midi jicé..tu sens l’pastis et la bouillabaisse
Gallimard fait dans l’anagramme. Madrigall. Mesidlacrem aussi. Baroz doit être au courant.
ma parole j’ai véxé zouzou..pardonne moi zouzou ! qu’est ce que tu penserais d’un calçons a bretelles ? tu vois que je chus pas l’genre a tlaisser prostré comme ça..
Baroz doit être au courant
en même temps s’il gardait pas tout pour lui ça srait pas un vrai djétséteur..ce qui compte c’est que tout lmonde pense qu’il est au courant..et c’est du boulot
Denoël serait là, avec les enchères du « voyage », y rachète le dictionnaire des anagrammes et vire tout le monde.
des journées entières dans les arbres dit: 21 octobre 2013 à 13 h 56 min
« Ah, mais JC, je sais entendre l’impuissance. »
Vous voyez bien, ma bonne, que vous fonctionnez sur des idées reçues. Déconnectez vos filtres !… bordel de culs de naines vérolées… ! »
QATAR
« La Cour de cassation de Doha a confirmé aujourd’hui la peine de 15 ans de prison, prononcée en appel contre un poète qatari pour un poème jugé critique à l’égard du régime du Qatar, selon l’avocat de la défense. »
Et moi, qui ne risque rien avec mes poésies pourtant critique et de mauvais goût : trop injuste !
A Java il était née une poupée
une poupée si jolie qu’on eu dit
un bijou ou un joujou
qu’on adore et qui rend fou
un étranger en passant la voyant
lui dit vient donc à Paris ma jolie
les plaisirs et les désirs
te feront reine ou démon
Refrain:
Taubira, jolie fleur de Java
viens danser viens donner des baisers
tes grands yeux langoureux nous ensorcellent
ton doux chant émouvant nous appelle
Taubira, joli rêve d’amour
on voudrait te garder pour toujours
et tout Paris acclama Taubira
elle vit dans la folie de l’orgie
un regard de ces beaux yeux
fait d’un homme un malheureux
à tout le monde elle s’promet mais jamais
son cœur n’a pu se donner ni aimer
elle rit quand vous pleurez
elle pleure quand vous chantez !
lew, j’ai lu « A Delicate Truth », qui s’en prend surtout à la politique américaine et à ses détournements, à propos des « lanceurs d’alertes », vous en serez bien d’accord ?
S’il fallait vraiment relier les positions de John Le Carré à des questions d’identité, d’immigration, etc., on peut rappeler qu’il est surtout d’avis d’aider les peuples chez eux au lieu de les exploiter, notamment en Afrique. Souvenez-vous de « The Mission Song »…
Parfois, les commentaires s’embourbent. J’aime alors prendre le large en poésie. Aujourd’hui, pas facile d’ouvrir le bon livre, celui qui correspond à ce temps, à cette traversée. Et puis un livre est sorti du lot : Franck Venaille : La Descente de l’Escaut. Cette marche au bord de ce fleuve lent. Une voix singulière. Je tourne les pages et c’est là. Je ne copierai pas le texte en entier, ce serait trop long pour un commentaire. Vous le trouverez p.87 (poésie Gallimard).
« … Amertume sentimentale des ports, des docks et des chantiers qui furent puissants et que je retrouve, désarmés. Le blé pousse-t-il encore dans les cales ? Nous ne sommes que des voyageurs astreints à connaître, par cœur, le numéro matricule qui nous différencie d’autrui ô scandale vivant de l’être ! Chaque nuit, près du fleuve, je fais mon procès dans l’intimité (féminine je le crois) de l’eau. Me voici dans l’œil du cyclone et la vase vaut ce que les diamantaires d’Antwerpen en espèrent. En attendant, je porte en moi une maladie bien curieuse : je souffre de chacun de mes sentiments. Ceux du haut, dit-on, sont nobles (touchant de près la pensée). Ceux du bas peinent au bord de l’eau sur un chemin mauvais. Ah ! Cette aventure est-elle moderne ? Dites ! Ou descend-elle de la nuit des âges, temps des beffrois, des pendus, des bûchers hérétiques. Je suis un aristocrate. Je suis la plèbe. Et j’avance. Regardant cette femme qui, balai en main, nettoie sa péniche. Un chien jaune aboie. Souffre-t-il lui aussi de l’amertume que je sens s’exprimer dans ce siècle ? Je vis au hasard.(…)
Je suis cet homme. Mais la fatigue m’attire vers elle : marcher – avancer – rien de plus. Dites ? Qui m’oblige à cela ? De quel monde suis-je le dernier des survivants ? L’ultime témoin que les peupliers de cette province flamande recherchent pour audition.(…)
Il va probablement se dérouler des scènes étranges, ici, dans ce pays où l’on s’exprime, des pierres chaudes dans la bouche. Mon amertume ! comme je te hais et te vénère ! Mais tu te ris de moi… »
ici, dans ce pays où l’on s’exprime, des pierres chaudes dans la bouche
pas trop forcer sur la pouësie
JC 12h44 excusez du retard mais vouliez vous dire beyond the baguettes? on hallucine on voit des forets de symboles partout ce qui d’ailleurs rend l’utile au comestible, n’est-il pas?
« John le Carré », pardon !
Tiens, je pense à John Brown… et à Jean Clair : j’ai toujours lu avec plaisir ce dernier, y compris le « Journal atrabilaire ». Je suis assez âgé pour avoir moi aussi connu, enfant, la fin de la paysannerie (euh… John Brown aussi). C’est, disais-je à JC, son malaise dans la foule multicolore que je comprends mal.
Chez Jean Clair, désenchanté, il y a, dans « Malaise dans les musées », ceci que, nostalgique d’un art « sacraliste », sinon religieux (voyez l’épigraphe de T.S. Eliot pour la partie I, « La Simonie »), il appelle dans la partie III, « L’Acédie », « mélancolie mortelle » et « paresse du coeur » un goût du vide que je trouve très contestable.
Venaille a écrit La tentation de la sainteté, pas étonnant, Christiane
je parlais de french fries beyond the bRaguettes …
Qu’est-ce qu’on voit, dans les jumelles ? les filles du bord de mer ?
@christiane
Pour d’innombrables circonstances de la vie quotidienne de la vie la collectivité nous fixe à la fois les sentiments que nous devons avoir et la manière dont nous avons à les exprimer. D’ailleurs socialisation du sentiment, socialisation de son expression semblent devoir marcher de pair. Une action qui s’exercerait sur les unes ne saurait ménager les autres et il serait bien difficile à une mimique, en partie réglée par la collectivité, d’engendrer, d’accompagner ou de traduire une émotion qui ne serait pas en partie socialisée, tout de même qu’une émotion en partie socialisée s’accommoderait mal aisément d’une mimique que la collectivité n’aurait pas parallèlement disciplinée.
La longue vue me dérange!
Dis moi qui tu fréquentes et je te dirais qui tu es!
Autrement dit dit moi qui t’as éduqué et je te dirait où aller
Les, Trommelfeuer ! On n’a toujours pas notre fonction « edit » : pour la Noël ? Faut comprendre, on n’est pas des mecs parfaits… Remarque chez Pigier on doit pas être en trop mauvaise compagnie…
Qu’est-ce qu’on voit, dans les jumelles ?
..ête consoumimour ignïiï
et en hd en plusse sergio..
http://www.youtube.com/watch?v=6qAIIEtrGCo
des pierres chaudes dans la bouche
..ton genre commence a se préciser phil
un goût du vide que je trouve très contestable
..en fait c’tun punk..clair c’t’un occi more..
..bon c’est paltou
ça y est, le Boug’ est cuit. Complètement cuit.
C’est le coup de l
le coup de la bougie rotative ..
Fabius convoque l’ambassadeur des USA… Tremble Obama! Hollande étudie la réorientation des frappes prévues initialement contre Assad vers le Pentagone et la Maison Blanche. Il aurait contacté Cameron, espionné massivement lui ausssi, pour une action conjointe de frappes limitées « ne visant pas à renverser Obama ». On respire à Washington. On chuchote également que Leonarda servirait d’intermédiaire entre Paris et le Kosovo pour élargir l’alliance visant à punir Obama.
@Christiane (14.59) au sujet de Christian (15.58. Il m’a tout l’air d’un sociologue fondamentaliste, donc inaccessible à la poésie des fleuves nordiques qui les mourir et disparaître dans le limon de leur ventre incurvé aussi vite qu’ils sont apparus, incapables de percevoir la poésie atemporelle surnager à leurs signaux éphémères.
Il ne faut donc pas en prendre le moindre ombrage, savez-vous.
Il croit qu’un whistleblower, c’est un type qui balance son sifflet
Vous voulez dire : qui avale son sifflet, non ?
bouguereau dit: 21 octobre 2013 à 16 h 40 min
et en hd en plusse
Et à moteur Wankel !
on apprend des trucs avec réviseur et ses croassements sont d’une telle beauté
« On respire à Washington. On chuchote également que Leonarda servirait d’intermédiaire entre Paris et le Kosovo pour élargir l’alliance visant à punir Obama. »
Incroyable! voila qui fait réfléchir, non mais c’est vrai
Daaphnée, c’est quand même quelque chose, ces vidéos qu’IL a toujours en réserve… (In girum movent mammae)
Meuh non la nostalgie c’est pas tout ça morbide et fin du monde. C’est juste la madeleine ! Et encore, pendant la fraction de seconde de l’étincelle… Après, c’est déjà trop tard. Donc on a la nostalgie de l’étincelle mais ça fait second degré et plastoc…
Ils regardent monter le Nasdaq, les mecs, peut-être…
ça fait second degré et plastoc…
et sans poudre noire pas de belle rouge
et pas de belle bleue non plus..
on attend les commentaires des coincés
en trouver sans maman de substitution c’est la croix et la bannière
Suite et fin de la critique par Jean Clair de l’acédie européenne. Le musée contemporain, vide fascinant, est en même temps une vitrine montre-tout. Je tape :
» L’art moderne, en maints de ses aspects, de Newman à Yves Klein, de Duchamp à Fontana, est une apothéose du néant. Or la promesse qu’il fait à son visiteur de « tout » montrer relève, au bout du compte, de la pornographie, comme le projet de louer ses illusions, de la prostitution.
Quand ils ne rêvaient pas de brûler le Louvre, les surréalistes s’y rendaient volontiers pour y retrouver les joies louches du bordel. « Dans un musée de peinture et de sculpture, écrivait Michel Leiris, il me semble toujours que certains recoins perdus doivent être le théâtre de lubricités cachées… Rien ne me paraît autant ressembler à un bordel qu’un musée. »
Savait-il que le nom « Louvre », sa « marque » aveuglante, trahi par l’étymologie, exhale un parfum de fauve et de foutre, de forêt et de folie louvière, de lupara et de lupanar ? Retour aux origines. »
JC, seuls D. (grâce à ses informateurs inter-galactiques) et moi peuvent répondre à votre question.
reviseur
on croirait entendre Einstein lui-même, continuez donc
Pisse de joie « Emotion socialisée », ou pleure, c’est la même chose. Ne pas vouloir reconnaître le format imposé, relève d’un parfait ignorant voulant mettre à l’abri les détritus de nos sociétés.
réviseur vous êtes (comme JC)trop calé : je n’arrive pas à suivre
Comparer réviseur à Einstein, relève de la démence!
Réviseur est un pauvre con blogueur, Einstein un génie prématuré.
Réviseur va enculer ta mère, c’est certainement ce que tu fait de mieux.
inutile de corriger ,les enculés sont des larves.
Enculer pour atteindre l’orgasme relève de la peine de mort./ Je vous pisse à la raie tas de d’emmerdeur de France Honte à vos habitudes de chiens.
PS aux chiottes avec la merde cela leur va bien.
« Baroz doit être au courant »
Disons plutôt au goût du jour…
Pour moi, comme pour Passou, c’est Gallimard ou rien !
Passer de Franck Venaille (merci Christiane) à Georgette Plana, quel grand pas de côté, JC !
«whistleblower», en français: alerteur. Je donne à l’humanité tout droit d’auteur pouvant me revenir. Et comme j’aime jouer risqué, je n’ai pas consulté les messieurs Google avant de taper ce qui précède. Ah, le vertige du plaisir, et le plaisir du vertige.
Urine et caca voila qui réjouis le littérateurs, pisse et merde et avale salope, nous en sommes là.
Gallimard, société fournissant des millions d’exclus à son format, de la merde en paquet de douze, toutes les salopes et les trous du cul réunis en une seule voix, la voix de son maître, traître, chiens vendus; allez pisser ailleurs.
J’attends avec impatience votre chute définitive, vous vos grand pères et grand mère mal informés et déformés par vos dogmes de finalement le Grand Reich fachos , ces vieux et vieilles qui prétendent connaître de quoi sera faite la littérature de demain, fachos vous l’êtes et vous le resterez jusqu’à la mort. Le mort idiot, « L’idiot », vieilles morues vieux pédés laves toi, avant d’ouvrir ta gueule.
Explosif, Horrible, l’horreur c’est vous qui l’avez semé avec votre façon d’intégrer le non normal au normal seul les singeq se reconnaissent dans vos délire.
Depuis ce matin, Le Monde en ligne de Bergé/Pigasse/Niel titre sur l’espionnage de la NSA et la convocation de l’ambassadeur des USA par Fabius, alors que cette affaire est connue depuis des semaines, que la France n’est pas le pays le plus touché (limite vexant) et que tout le monde ou à peu près s’en fout éperdument…Vous ne trouvez pas cela bizarre, au moment même où Nullissime premier patauge dans une gadoue pas possible?
Depuis ce matin, Le Monde en ligne de Bergé/Pigasse/Niel titre sur l’espionnage de la NSA et la convocation de l’ambassadeur des USA par Fabius, alors que cette affaire est connue depuis des semaines, que la France n’est pas le pays le plus touché (limite vexant) et que tout le monde ou à peu près s’en fout éperdument…
Vous ne trouvez pas cela bizarre, au moment même où Nullissime Premier patauge dans une gadoue pas possible?
Alors pas de réponse, christiane la bonne soeur, passou le passeur, sa femme la comptable et les éditions galimerde quoi de neuf dans vos tiraoids à merdes ;;Vive Hilter peut-être.
Vous aurez tout pollé et niké Heureux et heureuse l
« … nous en sommes là. »
Vous en êtes là, et c’est votre affaire, ne traînez pas les autres dans votre déchéance…
La comptable a des sous pour acheter sa merde préféré a son trou du cul préféré en attendant que sa fille se fasse enculer par un littéraire de haute volé.
Il y en a un qui a reçu la lettre de refus d’un éditeur, le voilà donc pipi et caca à tous le posts…
renato ferme ta gueule gros pédé, vas te faire tirer comme à ton habitude. Et ne dit pas non tout le monde sait qui tu es.
Renato ferme ta gueule ou je déballe tout sur ta vie privée, grosse merde.
Depuis des années règne des sales cons qui se la pètent, mais aujourd’hui on va mettre les compteurs à zéros.
Mettre ensemble Richard Millet, Régis Debray, Renaud Camus, Jean Clair, Alain Finkielkraut,ça laisse un peu embarassé , ce panier de la ménagère idéologique.je ne vois pas bien ce que possède en commun un regis Debray et son style parfois electrique,lapidaire et désenchanté giralducien, avec aussi parfois un lourd mobilier post gaulliste , et un richard Millet,vrai romancier au souffle évident, énormes bouffées paranoiaques ,parfois curieusement faulknerien,et des visions sensuelles réussies,
en ce qui concerne nios deux essayistes Jean Clair et Finkielkraut, on a envie de leur balancer à la figure « les nourritures terrestres » de Gide pour qu’ils reprennent un peu pied dans la vie..
A mon avis, Rose a fini de claquer sa dernière durite. Je n’en dirai pas plus .
Non, je ne suis une whistleblower ..
CP, oui c’est le genre de chose qui, en réalité, me fait hurler de rire ..
( Dites, le Boug’, je leur dis tout ?
Enfin ..
Non ?
Pas tout ?
Il me semble que U. ..
Bon, comme vous voulez.
Mystère et Père Noël .. )
Vous êtes curieux, Paul, avec ce « qu’ils reprennent un peu pied dans la vie.. » ,
la vie, je veux bien mais laquelle ?
La vôtre ?
Celle que vous contemplez du bout de votre lorgnette ?
Mais qui est cette » urine et littérature », Passou chassez cette ce personnage horrible, qui dit des choses curieuses.
ce personnage horrible, qui dit des choses curieuses.
Pas curieuses. Horriblement bêtes.
Oui, virez donc tous ceux qui ont des choses à dires et ne gardez que les cloches de Pâques pour les cons court. Amen Allez loue Ya!
Votre filière s’épuise et vos enfants s’enculent jolie non?
Oh le bon bébé qui sent la merde.
Daaphnée dit: 21 octobre 2013 à 19 h 54 min
ce personnage horrible, qui dit des choses curieuses.
Pas curieuses. Horriblement bêtes.
Heureusement que vous ne dites que choses intéressantes, d’ailleurs vous la grasse des cons cul pissant sur vous, vous léchez mieux que vous n’écrivez, vieille sorcière.
Avis aux grands aigris. Tout n’est pas pour le mieux dans le meilleur des monde mais il y a des stratégies leur échappent ..
« Evoquant prudemment le règlement de plusieurs crises africaines (République démocratique du Congo, Centrafrique…) au sujet desquelles leurs approches ont souvent divergé, François Hollande et son homologue sud-africain, Jacob Zuma, se sont retrouvés sur un autre terrain, plus consensuel : la marge de progression des relations économiques entre les deux pays, lors de la première journée de la visite du président français en Afrique du Sud.
« L’Afrique du Sud a besoin d’investissements pour rénover ses infrastructures et dynamiser sa croissance, et les entreprises françaises ont de nombreux atouts à faire valoir dans ce marché à fort potentiel », a souligné, lundi 14 octobre, lors de la première journée de sa visite officielle, François Hollande, à la tribune d’un forum économique qui rassemblait des chefs d’entreprises sud-africains et français, dans le riche quartier d’affaires de Sandton à Johannesburg. »
Oh, Pierre Assouline !
On dirait entendre un gros bruit ..
Las !
Le troll a déclaré forfait.
Comme c’est dommage !
Je me sentais très en forme pour une partie de lancer de troll .. Pfff !
( Bonnie et Clyde, le Boug’ ?
Que voulez-vous … on ne renonce pas comme ça à ses amours de jeunesse ..
Il est vrai que certains se ré-inventent une vie .. mais bon ..
Tiens, juste pour le plaisir de revoir la plus belle, quoi qu’on en dise ..
http://www.youtube.com/watch?v=dY9PY4r83p8 )
va te enculer comme a ton habitude pauvre pouf, par Assouline si c’est ton rêve et ne nous emmerde plus, vielle conne sorcière.
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