Le pacte faustien de Richard Powers
« Richard Powers arrête le temps ! » Vous imaginez le titre sur cinq colonnes à la une ? Sensationnel. Les foules se précipiteraient sur le journal qui oserait une telle manchette. Celui qui arrête le temps quand il s’emballe et que la vitesse domine sur toute autre considération. Drôle de type que ce Powers né en 1957 . Il n’a pas fait tous les métiers, comme les autres. Un seul lui a suffi, une voie : la physique, bientôt prolongée par l’informatique. Jusqu’à ce qu’il se rende compte que seul le roman était susceptible de contenir et de raconter la connaissance. Il a alors inventé un type de fiction powersissime où sa formation scientifique, enrichie d’une puissante curiosité vis à vis de la génétique, la neurologie et l’intelligence artificielle dans leurs liens avec l’art de la fugue, a pu se déployer avec un grand naturel
Son nouveau roman Le Dilemme du prisonnier (traduit de l’américain par Jean-Yves Pellegrin, 500 pages, 21,50 euros, cherche-midi) est en fait la traduction française assez tardive de son deuxième livre paru à l’origine en 1988 Prisoner’s Dilemma. Powers avait 28 ans, il vivait à Amsterdam et avait le sentiment d'(avoir écrit un roman très « européen ». C’est un portrait drôle et pathétique de l’Amérique durant la seconde guerre mondiale à travers la chronique douce-amère d’une famille légèrement dysfonctionnelle de DeKalb County, Illinois, et l’impact de l’Histoire en marche sur les aléas de sa vie quotidienne. Walt Disney, curieusement doté d’ancêtres japonais (mais allez savoir…) et Adolf Hitler s’y côtoient à travers le tournage en 1942-1943 de dessins animés de propagande et l’internement d’Américains d’origine japonaise dans des camps ; mais c’est le personnage du père, Eddie Hobson, inventeur d’une réalité parallèle, ou si vous préférez un réel alternatif, dont le moins qu’on puisse dire est qu’ils déroutent, qui est le plus troublant. Sa relation avec ses quatre enfants est touchante, et ce n’est parce qu’il communique avec eux par codes et jeux d’esprit. L’empathie se renforce autour de cet homme qui entoure son Mal (est-il une victime collatérale de la radioactivité ?) d’une chape de silence. D’autant que l’auteur ne le dissimule pas: ce livre est un monument élevé à la mémoire d’un père malade ; celui-ci s’y révèle fort préoccupé par le « dilemme du prisonnier » tel que les chercheurs de la Rand Corporation l’ont mis à jour. C’est bien de la théorie des jeux qu’il s’agit ; rassurez-vous, il n’est pas indispensable d’avoir l’esprit matheux pour suivre la logique de ce pacte faustien. Il suffit de savoir que nous nous trouvons dans une situation où deux joueurs auraient en principe tout intérêt à coopérer, n’eussent été de fortes incitations amenant un joueur doué de raison à trahir l’autre lorsque le jeu n’est joué qu’une fois ; mais si les deux joueurs trahissent, les deux sont perdants… Une telle intrigue, parfaitement maîtrisée, ne serait que prenante si le personnage du père ne la rendait poignante, dès l’entame que l’on croirait échappée de The Tree of life, le film de Terence Malick : allongés sur la pelouse du jardin de leur maison malgré le froid sec de novembre, les enfants reposant la tête comme des chiots sur le corps immense du père, tandis que celui-ci leur raconte les constellations, le doigt tendu vers l’infini, avant de s’immerger lui-même dans son néant intérieur…
Ses précédents romans en témoignent avec brio, qu’il s’agisse de Trois fermiers s’en vont au bal (2004), Le Temps où nous chantions (2006), ou La Chambre aux échos (2008), le plus remarquable avec Richard Powers, ce n’est pas seulement son intelligence de romancier mais l’habileté de son échafaudage. On ne voit rien des rouages de la machine romanesque, on se doute bien que la documentation est impeccable, on se souvient qu’il a l’habitude de construire son récit autour d’un thème musical, mais on oublie tout cela tant c’est minutieusement agencé. D’autant que le roman de formation ne lui est qu’un cheval de Troie pour entraîner dans des univers plus complexes et moins attendus, tous noués d’une manière ou d’une autre autour du rapport entre l’individu et l’Histoire, notamment celle des sciences.
Son écriture a ceci de particulier qu’elle est toujours très précise sans jamais céder un pouce de son ambition poétique ou de sa fascination pour l’irrationnel. Powers est un artiste qui ne renonce à rien de ce qui a fait de lui un cérébral. On dira que sa froide virtuosité est de celles qui nous tiennent à distance au lieu de susciter l’empathie, mais non. Au fur et à mesure que l’on pénètre dans la complexité de ses histoires, on a l’impression de s’enfoncer dans des sables mouvants au sein d’un monde qui nous était familier mais qui nous paraît bizarrement étranger, ce qui est le but recherché. A la fin, le lecteur se demande s’il est ce que les autres croient qu’il est. Comme l’auteur et ses personnages. Un auteur d’une curiosité inépuisable et monomaniaque, actuellement concentrée sur les arbres… Troublant ô combien. Je est un autre ? On n’en sort pas. A vrai dire, on ne cherche pas à en sortir tant Richard Powers s’affirme de roman en roman comme l’un des écrivains américains les plus inventifs de sa génération.
(Illustration Majeb Zoghbi, photo Henri Cartier-Bresson)
572 Réponses pour Le pacte faustien de Richard Powers
son premier roman « Le temps où nous chantions » est une pure merveille littéraire
Il n’y a peut-être guère de différence entre l’émotion partagée d’un père entouré de ses garçons, allongés dos à la terre, rêvant tout haut l’univers doigt tendu vers les étoiles, et celle, probable, du lecteur découvrant cette histoire bizarre, rompant pour une fois avec les schémas convenus ….
d’une autre génération : RICHARD FORD (son dernier livre « Canada ») est aussi l’un des plus inventifs
merci Passou, je viens de relire votre analyse encore une fois : parfaite
La connaissance, la connaissance… De toutes manières elle a filé par la porte de service, alors…
Ha les camps ça c’est bien ; finalement tout le monde en a…
Bon papier.
Je dirais même plus, excellent papier!
Finalement on voit pas mal de scientifiques venir au roman, mais pas tellement de littéraires se mettre à construire des propulseurs à effet Hall ou à écrire des conjectures…
les littéraires sont plus facilement dans la conjoncture…
..ils le gardent pour eux..prends lassouline il frait bien la pige a dédé..mais il se retient c’est tout
le doigt tendu vers l’infini, avant de s’immerger lui-même dans son néant intérieur…
c’est copié sur snoopy
le doigt tendu frappe ton front toc toc, boudegras (réponse ; ta gueule keupu comme dab)
Je ne comprends pas qu’un aussi bon papier ne suscite pas plus de commentaires, notamment de la part de D. dont l’immense culture scientifique nous serait ici d’un grand secours.
L’Illinois c’est un bon département c’est là qu’officiait Capone…
oui, renato, ah si c’était Proust ou Céline : le déluge ; ce qui prouve le manque de curiosité de la part de certains « lecteurs »
« lecteurs », J.Ch. : ils sont tous chez Popol pour le » oh ! c’était mieux avant »
Comment dire J.Ch. ? Déjà je passe pour un agent d’une Centrale de propagande USA, si par-dessus le marché j’écris qu’il y a sur ma table plus d’anglophones que de Français, le ciel me tombe sur la tête, et aujourd’hui je n’ai pas envie de ça.
J.Ch. dit: 19 septembre 2013 à 18 h 36 min
ah si c’était Proust ou Céline
C’est le problème… Pas une rame publient plus rien absolument !
réviseur dit: 19 septembre 2013 à 18 h 20 min
Je ne comprends pas qu’un aussi bon papier ne suscite pas plus de commentaires, notamment de la part de D. dont l’immense culture scientifique nous serait ici d’un grand secours.
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Il faudrait que je le lise mais je suis débordé. Je fignole ma théorie de la gravitation. J’ai été un peu aidé par des puissances extérieures à la terre, je le reconnais.
Je peux d’ores et déjà vous dire que la gravité n’est ni plus ni moins qu’une augmentation de masse d’une particule massique quand il n’y a plus d’autre solution pour elle.
Il me reste maintenant à formaliser tout cela de façon mathématique.
J’ajoute que cette augmentation peut tout à fait être négative.
J’ai bien conscience que ça vous en bouche un coin, donc je vous laisse souffler quelques dizaines de minutes.
…
…pour moi,…toutes ses histoires, de romans,…bon,…ou autre science-fiction en plus,…bon,…
…
…uniquement,…pour se faire de l’argent,…à la » harry potter « ,…
…
…çà, me rappelle trop,…l’exemple d’une édition de Star-trek réalisée par une équipe de scandinaves et tournée par des truquages » simples » proches d’une exploration des poubelles ménagères,…
…
…comme les devins et oracles des os et entrailles,…savoir interpréter, littéralement » écrire » une horoscope qui vous masse l’esprit, vous pétrit le devin,…
…
…en somme une version américaine d’un livre de cuisine,…pour en escroquer aussi du lecteur moyen,…
…
…un jour, je me suis dit,…un film, un roman,…mais avec au moins avec de très belles » nanas » qui jouent bien le côté » magnétique « ,…de leurs physiques en effervescences,…
…c’est du bouillon,…le livre ,…la soupe est prête,…
…pas assez de piments,…Hop,…poubelles,…pour une nouvelles relecture,…avec un scaphandre pour le moisi au point de lecture,…etc,…
…
…suivant,…à la table ronde,…misez pour un casino,…en plus,…etc,…
…
ce n ‘est pas c’était mieux avant, c’est: la littérature c’est aussi ceux-là…..
MC
« J’ai bien conscience que ça vous en bouche un coin » 19 h 08 min
Le propos de ce post est d’une inutile obscénité.
Voilà en tout cas un livre qui n’entre pas dans la course des prix !
Passou en aurait-il déjà fini avec les romans de la rentrée ?
D. n’a rien à dire, pas plus en science qu’en littérature, le pauvre !
Il n’ose plus ouvrir sa gueule, le keupu !
Cette pause esthético-cosmique est vitale pour notre billettiste, Jacques.
Dès demain, il doit reprendre le collier.
Drouant, Drouant…
Il ne rêve que d’une gargote dans le Bible Belt, avec de la Country.
« Il ne rêve que d’une gargote dans le Bible Belt, avec de la Country. »
Qu’il aille donc voir Alabama Monroe, c’est une variante de la vie de Job, encore un à qui tout fut donné et repris !
Je peux vous dire que je maîtrise mieux que quiconque ici la physique et je peux aisément le démontrer et me mesurer à qui veut tenter le coup et se ridiculiser en public.
Quant à l’intelligence artificielle, je la maîtrise parfaitement pour avoir moi-même participé au développement d’ordinateurs quantiques optiques à structure en pelure d’oignon, et écrit des programmes neuronaux adaptés à ce genre de matériel particulièrement complexe et extrêmement rare sur terre.
La façon de présenter dans l’article l’épreuve simple comme restriction du dilemme itéré est inattendue et donc intéressante.
Les processes cooperatifs sont présentés par exemple dans ce document :
http://www.als.uhp-nancy.fr/conferences/Colloques/Mathematiques%2818-11-10%29/Delahaye.pdf
qui s’ouvre sur la situation appelée « bothering neihgbour ».
Je ne comprend pourtant pas si c’est le dilemme du prisonnier en lui-même qui aurait intrinsèquement quelque chose de faustien, et dans ce cas au sens fort ou faible, ou bien son adaptation à la situation dans le roman.
D. se dégonfle, il n’est déjà plus que d !
écrit en 88, traduit en 2013..cherchez le bug. encore une histoire de pépettes. sapré passou, z’étes cap(a!..hurk) d’écouler tout le stock des photos d’HCB
Mais il y a bien longtemps qu’il n’y a plus d’inédits chez HCB, Phil, aucun stock à écouler ! Et les bourgeois de son époque sont tous morts et enterrés…
Rien à voir avec notre auteur américain !
Posez-moi de questions.
Bon sang, j’aimerais être censuré un peu plus que ça. Que se passe-t-il ?
Nous devenons humble, vive les minuscules !
Mon fils, du haut des cieux, je vous le dis, nous sommes plus intelligents que toutes les burnes de ce Blog.
…
…je vais reprendre le jeux,…Age of Empires II,…the age of kings Microsoft,…etc,…
…
D. 21h49
Bonsoir D. Que souhaitez-vous que l’on vous demande ?
Supposons un électron, qui a une masse toute petite. Appelons-le Léon.
Accélérons Léon dans le vide à l’aide de puissants électroaimants consommant beaucoup de courant.
La vitesse de Léon croit jusqu’à la valeur limite et infranchissable que nous appellerons c.
Nous continuons ensuite à dépenser beaucoup d’énergie pour accélérer Léon alors qu’il n’est plus accélérable.
La question qu’il faut me poser est : où passe cette énergie ?
Je vous dis tout de suite qu’il ne s’agit pas d’une émission électromagnétique ni même corpusculaire. Rien de cela.
Pas non plus d’échauffement des aimants.
Donc ?
renato, vous êtes là, n’est-ce pas ?
> La vitesse de la particule croit jusqu’à la valeur limite et infranchissable que nous appellerons c.
Elle tend vers sans jamais l’atteindre, d’après ce que je me rappelle. J’imagine que vous attendiez cette réponse ?
Donc cette énergie se convertit en gravité.
Et pour ça vous pouvez me donner le Nobel, mais je le refuserai parce que ce que je vous dis ne vient pas de moi, mais d’eux.
La gravitation que créait déjà Léon, extrêmement faible, a en fait très sensiblement augmenté pendant l’accélération de Léon, puis a augmenté de façon exponentielle à l’approche de c.
C’est tout simplement comme cela que fonctionnent les soucoupe volantes, et c’est pour cela qu’elles sont rondes. L’espèce d’anneau extérieur est un accélérateur cyclique de particules chargées dans un vide parfait.
J’en dis beaucoup, je le sais.
sapré dédé. un peu secoué quand même..
Il y a deux méthodes,deux technologies principales. La deuxième est la plus impressionnante, mais commençons par la première.
Dans la première on accélère des anti-électrons qu’il a fallu préalablement créer, et on obtient un champ exerçant une gravité vers l’extérieur du vaisseau, ce qui assure sa sustentation et sa propulsion.
La seconde maintenant. J’espère que vous êtes bien assis. On accélère de bêtes électrons, et le champ créé va donc vers l’intérieur du vaisseau. La vaisseau devient de plus en plus lourd jusqu’à déformer l’espace-temps.
Ce n’est donc pas le vaisseau qui se déplace dans l’espace-temps, mais l’espace-temps qui se déplace par rapport au vaisseau.
Je ne sais pas si vous saisissez bien les implications de ce que je suis en train de vous expliquer ?
Phil, je ne suis pas le « sapré dédé » que vous imaginez. Je suis un émissaire et un précurseur, non pas d’une nouvelle physique, parce celle dont je vous parle reste finalement très conventionnelle et aucun physicien ne viendrait contredire ce que je viens d’expliquer, mais d’une nouvelle ère technologique.
Je suis aussi le miroir de votre inconscient parce tout cela s’y trouve sans que vous le sachiez, seulement cela vous fait peur et vous cherchez à le rejeter en employant la dérision.
Chez les primates, le sourire est à l’origine l’expression d’une peur, il ne faut pas oublier nos origines.
Oui c’est une physique très nouvelle car les e- et les e+ ont la même masse positive. Seule la charge électrique les distingue.
Je regrette simplement d’être une fois encore seul sur de tels sujets et de sentir peser autour de moi un silence pesant, voir gêné.
L’immense majorité d’entre vous n’est pas capable d’oser remettre quoi que ce soit en question, il manque toujours le loup qui sorti de la meute osera approcher l’homme et son feu, s’en émerveiller et l’aimer.
Je ne vous ai jamais parlé de positons, ô lecteur inattentif, mais d’anti-électron au sens de la masse, bien évidemment. Oui, je parlais bien d’antimatière.
L’antimatière EST au signe de la charge. Par contre là ou je stoppe c’est pourquoi la masse est essentiellement positive. Si d’après vous elle ne l’est pas c’est cela qu’il faudrait expliquer.
Par ailleurs j’aimerais savoir comment on prouve que le sourire est un signe de peur.
La structure en oignon, maintenant. Je trouve vraiment étrange que personne ne songe à m’interroger là-dessus.
Au centre se situe le « saint des saints », je ne veut pas blasphémer aussi je mets des guillemets. Toute la structure est dynamique.
On crée un ordinateur bien physique répondant à un problème bien précis, puis on efface cet ordinateur et cela dure pourtant une infime fraction de seconde. Se succèdent à une vitesse folle les « saint des saints », tous différents, et toute leur périphéries en multiples couches. L’ensemble est une espèce de structure mouvante et protubérante que l’on dirait organique et qui pourtant n’est qu’un amas de nanomatériaux glissants les uns sur les autres à une vitesse folle. Et de cela émane des idées, des directives, des stratégies. Vous vous en doutiez, mais vous n’aviez jamais compris pourquoi et comment et là vous commencez à comprendre.
Masse grave dit: 20 septembre 2013 à 0 h 17 min
A aucun moment je n’ai dit le contraire.
Désolé :
L’antimatière EST au sens du signe de la charge.
…comment on prouve que le sourire est un signe exclusif de peur
Perseus HELIOS : ὥσπερ σελήνη γ᾽ ἡλίῳ (sc. ὅμοιος) a pale reflection, Com.Adesp.5.15D.
Qui saurait à quoi correspond cette référence Com. Adesp. 5.15D s’il vous plaît ?
« Il n’a pas fait tous les métiers, comme les autres. Un seul lui a suffi, une voie : la physique, bientôt prolongée par l’informatique. »
=
concentration of Powers
Une fois n’est pas coutume, rendons hommage au meilleur d’entre nous, le camarade D+++ ! Scientifiquement prouvé…quel expert !
Je ne croyais pas possible de lire ici une explication aussi claire de la structure en oignon, un concept délicat, que ce brillant exposé de notre ami. J’en avais les larmes aux yeux, de bonheur.
Passou, qui donne trop d’importance à la littérature, probablement à la suite d’une mauvaise orientation scolaire, devrait confier à D+++ le soin de rédiger des billets scientifiques.
Le Blog de la RdL, la République du Lithium, y gagnerait !!! On serait moins nombreux, on aurait moins de bêtises à lire …. La rentrée littéraire s’adapterait, tournant à 7/8 livres maximum…
Il n’y a pas un blog scientifique où d. pourrait se pavaner en comblant aussi son besoin de reconnaissance et en nourrissant en même temps son orgueil ?
Comment ?
JC, je vous remercie pour votre humble participation à mon intellectuelle magnificence.
Exclusif dit: 20 septembre 2013 à 7 h 53 min
Tiens une nouvelle burne.
Ou une ancienne un peu craintive.
Robot-Ecrivain, compétition en ligne pour le Goncourt 2014 :
Jacques Barozzi dit: 19 septembre 2013 à 19 h 47 min
D. n’a rien à dire, pas plus en science qu’en littérature, le pauvre !
Il n’ose plus ouvrir sa gueule, le keupu !
Par contre la burne Barozzi s’étale toujours aussi connement.
Du TKT pur jus.
Je peux vous dire que je maîtrise mieux que quiconque ici le physique plaque de chocolat, six cerveaux en V et je peux aisément le démontrer et me mesurer à qui veut tenter le coup et me ridiculiser en public.
Quant à l’intelligence de mes burnes, je la maîtrise parfaitement pour avoir moi-même participé au développement de burnes quantiques optiques à structure en pelure d’oignon, et écrit des livrets d’opéra cantalou adaptés à ce genre de matériel particulièrement complexe et extrêmement rare sur Krypton.
Aujourd’hui, c’est la Saint Davy.
Nous réciterons 100 Je vous salue DD
Attendu que la confraternité ici vivante rassemble et passionne d’un bel élan sincère fourni d’info précieuses et indispensables preuves d’intérêt pour l’oeuvre puissante de RP enfin révélée, tirée de la pénombre où elle croupissait avant que tous ces mots passés et à venir ne s’y agglomèrent comme autant de sédiments rares et forment l’écrin du roman et de la théorie. Illustrations et représentations perdent leurs signatures, presqu’un don à la croix rouge après un nouveau désastre, générosité des lettres pures et dénuées…
D+++,
Je suis à votre service pour la gloire des Sciences – les vraies les dures, hein ! pas les zhumaines qu’en sont pas – et la Vostre !
tout le monde s’insulte en le prenant pour un autre..chacun a droit a l’intégrité de sa personnalité..keupu est con comme un balais..rénato se prend pour un pot de chambre avec couvercle..ils ont droit à la sculpture de leur moi. comme le 45 c’est dans la constitution
une précision, Passou : vous avez oublié de citer deux autres romans de Richard Powers : GAINS (1998) sur l’influence du libéralisme sur la vie quotidienne et GÉNÉROSITÉ (2009) sur les manipulations génétiques (tout aussi admirables)
me ridiculiser en public
..on va croire à la fin que c’est un plaisir ineffable..la transgression de l’interdit hultime..mieux que le club des pendus chez l’anglais
« La véritable menace vient de notre refus de nous pencher sur les implications sociales et politiques d’un monde où la lecture anonyme serait abolie. Un monde que les publicitaires, Google, Facebook, Amazon, etc., rêvent de voir advenir, où la pensée critique, informée et non conventionnelle deviendrait plus difficile à développer et à protéger. »
Evgeny Morozov
Journaliste, auteur de The Net Delusion. The Dark Side of Internet Freedom,
OUAAAAAH ! L’angoisse…. il m’a filé la frousse Eugène !!!
C’est vraiment un bon… D’ailleurs, s’il écrit dans le Monde Diplomatique – qu’est loin d’être le torchon dont tout le monde rigole – c’est que c’est vrai !
Ta gueule Boug’
Enfin, le pauvre bouguereau n’arrive plus à dégriser… ni du gros rouge ni de ses rêves de grandeur… Je répète donc : chez les Milanais, de quelqu’un qui se vante de vaines actions, on dit qu’il gifle son pot de chambre. T’as finalement compris, le petit célinien ?
keupu..rénato..en ricochet! c’est trop facile je sais
Piperie et simagrée, voilà bouguereau.
Résumé des épisodes précédents :
D+++ est un génie !
Renato est un génie !
Bouguereau est un génie !
Moi-même, je ne me sens pas très bien… le génie serait-il une maladie sexuellement transmissible, en RdL ?
Et nous voilà sortis d’une lampe à huile !
Il est revenu tout émoustillé de son trip glorieux, mon guerrier africain. Folle de joie, ivre de désir, je lui ai lancé un voluptueux : « Allez ! Au lit, mon petit mali chéli ! »
Et là, hélas ! j’ai vu que …le changement, c’était pas pour maintenant ! Afrique ou pas…. A Malien, malien et demi !
« le génie serait-il une maladie sexuellement transmissible, en RdL ? »
Oh que non !
Enfin peut-être, mais malheureusement un contre-exemple nous saute aux zyeux, TKT alias Jacques Barozzi (alias renato ?) et violemment.
Et voilà que Sosie nous fait entendre le nada de sa tintamarre.
de sa > de SON (tintamarre)
renato, pouvez livrer la vo du pot de chambre idiomatique, bitte sehr ?
(avec le geste viscontien)
Ce papier est magnifique : les images suscitées par le père entouré de ses enfants, à plat dos sous les étoiles avant de lui replonger dans son néant intérieur et les enfants ayant vu les étoiles mais vivant le père scotché. Disant décolle mais ne décollant pas. Mais décoller c’est l’abandonner et comment l’abandonner alors que lui ne décolle pas.
Depuis quelque temps déjà cette question je me la pose, de poser des questions mais je bloque sur lesquelles poser.
C’est comme si au niveau de spanètes roitation il y a et que tu veux bien communiquer avec l’autre à quelques milliers d’années lumière, mais que tu te dis, que lui dire. Déjà être en rotation côte à côte cela te semble une belle chose. Mais tu n’as pas de différence de volume, toi la plus petite et elle grosse grosse non.
Simplement pas les mêmes espèces flore et faune et technologie poussent sur l’une et sur l’autre.
si au niveau des planètes rotation il y a
mais que tu te demandes, que lui dire ?
pourquoi les doigts sur le clavier vont pas aussi vite que les pensées dans la tête ?
je croyais que c’était un effet volontaire « sa tintamarre »
ben non.
loupé
« ça tinte ! amarre ! »
Nearest Neighbour dit: 19 septembre 2013 à 20 h 46 min
La façon de présenter dans l’article l’épreuve simple comme restriction du dilemme itéré est inattendue et donc intéressante.
Les processus coopératifs sont présentés par exemple dans ce document :
http://www.als.uhp-nancy.fr/conferences/Colloques/Mathematiques%2818-11-10%29/Delahaye.pdf
Hyper intéressant ce lien.
Au début ce type m’a énervée avec ses dessins, surtout la colombe avec la liberté (hum), mais sa démonstration est extrêmement intéressante.
J’imprime, j’étudie.
Oui mais aussi ça teinte, ah…marre.
Comme le niais, et nié.
Mais bon.
Tout dépend de votre prononciation des « é ».
Phil,
El g’ha dà une petenada al Giuli.
Mais on peut aussi dire qu’il n’est que ‘vun csrocc del zeminari’ (un finaud de séminaire) et à ce titre lui dire « Va à scuà ‘l mar cun vert l’umbrela (vas balayer la mer avec le parapluie ouvert).
…Satin… t’as marre ?
109 pages non.
Mais qu’est ce qu’il a ce mec ?
Pas sérieux, comme tout scientifique qui se respecte :
Page 100
J.-P. Delahaye
Laboratoired’Informatique Fondamentale
deLille
UMR CNRS
8022100
Nous avons fait un premier pas en concevant plusieurs stratégies qui auraient gagné si elles avaient joué.
ENCORE-MEILLEURE-A :
je joue comme LA-MEILLEURE sauf que je comptabilise toutes les trahisons de l’autre y
compris lorsque je suis en phase de punition.
On corrige un défaut de LA-MEILLEURE qui a tort de ne pas comptabiliser les trahisons de son
adversaire pendant les phases de punition
: il ne faut pas être indifférent aux coups de pieds que vous recevez pendant que vous donnez
une fessée
Il doit être frappé.
rose dit: 20 septembre 2013 à 11 h 06 min
mare.
Oh que oui, mare !
Mare du goutte à goutte des commentaires rosiens
sur une mare, au diable, en attendant la mer
si encore, il était su qui est à bout à 11 h 09.
Elle, lui ?
Ne le sachant pas, c’est le floc total.
rose dit: 20 septembre 2013 à 10 h 44 min
Disant décolle mais ne décollant pas
C’est le drame de ma vie, Rose. Poussé de force à la maternelle dès l’âge de 3 ans par ma famille d’accueille (un jour, je vous parlerai de la Dass et de mon enfance malheureuse), je quittai le système solaire (oui, vous avez bien lu) une dizaine d’annés terrestres plus tard, après une 5ème de transition qui menaçait de s’éterniser. Un comble, non, pour une soi-disant transition ?
Les choses ne se sont pas arrangé (il faut un « e » à arrangé, Michel ?) depuis. J’ai mis un point d’honneur à échoué à l’examen du permis de conduire (les autos, entendons-nous bien, pour les véhicules non-terrestres, j’ai des aptitudes insoupçonnés). Tous les soirs de pleine lune, je prends mon Scouty couleur fuchia (y faut un « s » à fuchia, dites-moi, Rose ?), j’écrase la pédale (il n’y en a qu’une, c’est un modèle assez basique) et je fonce à tombeau ouvert, les cheveux au vent, vers un endroit connu de moi seul, et dont je vous livrerai un jour prochain les coordonnées GPS. Parvenu à destination, je me gare et dissimule mon engin à l’abri des regards indiscrets, dans un touffou, touffu pardon, comme vous Rose, j’écris trop vite, un touffu hallier, disais-je.
Puis j’actionne à de nombreuses reprises, selon un code dont le rythme échapperait aux profanes, les puissants phares de mon Scouty.
Vous l’avez compris, malgré votre sottise insondable (là,je ne m’adresse pas à vous, Rose, bien entendu), je tente d’entrer en contact avec les entités dont je vous ai maintes fois et longuement entretenu (pas de « s » à entretenu, j’ai bon, mon Michel chérrri chérrri ?).
Jusqu’à ce jour, je n’ai pas eu de réponse, je ne vous le cacherai pas davantage. Mais je suis obstiné, vous le savez car vous commencez à me connaître, et je ne refuse de me laisser aller à la tentation du découragement, car derrière elle se tient le Malin.
Un jour, je le sais, je décollerai.
Ce commentarium manque d’un tas de services pratiques
comme une pause météo, l’annonce des programmes hebdomadaires,
une page de jeux, une autre de petites annonces
et un dessin humoristique (autre que
l’illustration
du billet par le Patron lui-même).
Des rideaux ajoutés aux fenêtres, un napperon sur l’écran ?
(Qui a pensé à la crise du napperon consécutive
au remplacement des tubes cathodiques par les écrans plats ?).
Jusqu’où est-il possible de pousser le pouvoir désespérant
de la liberté de parole ?
Absûrdement.
(Daniil Harms ?).
P. 91, « Si l’un de vous vient baver sur son collègue, il sort libre d’ici et l’autre va griller sur la chaise »… Il y fallait du style, et une référence littéraire à rajouter au célèbre dilemme du prisonnier, bien connu de tous les étudiants confrontés à la théorie des jeux et à sa mayonnaise psychologique sous-jacente, les ressorts de la confiance et de la défiance entre les deux larrons. Voici le 2e roman de Powers, qui fait la transition entre « Trois fermiers s’en vont au bal », belle méditation sur l’entreprise de l’ethnologue photographe journaliste August Sanders, et le splendide « Temps où nous chantions ». Ce dernier campait l’épopée du potentiel politico-musical en gésine chez les trois rejetons super doués d’un merveilleux couple improbable, un juif exilé et une afro-américaine, soit une belle méditation sur les applications musicales de la théorie de la relativité, via ses versions et implications historico culturelles baroques, atonales et jazzy. « Le dilemme du prisonnier » est un autre beau roman de transition entre ces deux-là, peut-être plus flottant. Mais, enfin traduit, il permet de mieux comprendre comment l’œuvre ultérieure de Powers va s’enraciner chez cet écrivain majeur dont on n’a pas encore assez comparé ni étudié les surprenantes parentés et affinités avec un type de l’envergure de Thomas Pynchon, son aîné de vingt ans. A la différence des 3 Fermiers, Powers trouve dans le dilemme sa clé d’ut. Désormais, il nous campera des sagas familiales complexes avec des personnages étranges mais crédibles, permettant aux lecteurs exigeants de s’identifier aux nouvelles préfigurations du monde qu’ils nous annoncent. Ces personnages visionnaires sont toujours entravés par des failles personnelles, autant d’habiles occasions de camper l’existence de génies et de nous identifier à l’incompréhension des proches qui les côtoient au quotidien. Tous les romans suivants de Powers ne seront plus que de subtiles variations très différentes les unes les autres, au sujet de nouvelles interactions entre inventeurs poètes et prophètes incompris au sein de notre univers bien compliqué où le rien paraît toujours comblé par quelque chose, sans que nous en soyions bien assurés… Ce monde-là, Powers s’efforce de le décrypter en le décloisonnant avec les disciplines d’objectivation molles et dures à sa disposition, pour nous en montrer des pans de complexité. Il le fait sans jamais rien céder aux intrigues romanesques bien troussées, destinées à faire passer la pilule de sa méthode.
A 55 ans, en dehors d’une petite chute de tension avec son roman « Gains », -cette histoire un peu lourdingue du capitalisme US durant les deux derniers siècles via l’épopée mortifère d’une entreprise de savonnettes partie à la conquête du monde-, le grand Richard Powers a bel et bien commis jusque-là un itinéraire sans faute… !
Oui, Passoul, c’est bien sympathique à vous de lui avoir rendu l’hommage qu’il méritait, de le faire découvrir à ceux qui seraient passés à côté de lui jusqu’à présent.
Toutes mes réponses à vous, je les claviotte, puis les efface.
Non pas parce que « ô comble du ridicule ! » vous ne les méritez pas, mais parce que vous avez à apprendre seul.
« Richard Powers s’affirme de roman en roman comme l’un des écrivains américains les plus inventifs de sa génération. »
= great Powers
« Son écriture a ceci de particulier qu’elle est toujours très précise sans jamais céder un pouce de son ambition poétique ou de sa fascination pour l’irrationnel. Powers est un artiste qui ne renonce à rien de ce qui a fait de lui un cérébral. »
= mental Powers
« il ne faut pas être indifférent aux coups de pieds que vous recevez pendant que vous donnez
une fessée »
Toto, l’italiote du village, a une fois de plus, en dépit de cours intensifs de FLE pris chez LML (rectification : à cause de), tout compris de travers.
Tandis que les calleuses, velues (merci de l’être) et inflexibles paluches de Bouguereau le fessaient d’importance, l’animal a cru bon de décocher force coups de latte à son pauvre thomas , répandant ainsi la fortune du pot comme cette cruche de Perrette, puis se mettant à pleurnicher tout d’abord, avant de lâcher la bonde et de chialer toutes les larmes de son pauvre corps. Les voisins du dessous ont dû faire jouer l’assurance multirisques habitation, c’est vous dire.
Allons,là, là… calme-toi, Toto, il ne sert de rien de pleurer sur le latte renversé, sais-tu ?
« Il suffit de savoir que nous nous trouvons dans une situation où deux joueurs auraient en principe tout intérêt à coopérer, n’eussent été de fortes incitations amenant un joueur doué de raison à trahir l’autre lorsque le jeu n’est joué qu’une fois ; mais si les deux joueurs trahissent, les deux sont perdants… »
= Powers of persuasion
« le plus remarquable avec Richard Powers, ce n’est pas seulement son intelligence de romancier mais l’habileté de son échafaudage. »
= Powers of imagination
à 12 h 02 min le pot de chambre de service développe son autoportrait.
car derrière elle se tient le Malin
la maligne, avec un god ceinture..ha dédé on lit chez toi comme dans un troudbal dirait baroz
faire jouer l’assurance multirisques habitation
Bah, tant qu’ils ne transforment pas leur F3 plus loggia en chalet de nécessité, je trouve rien à redire, moi.
C’est juste que j’aime pas la concurrence déloyale, alors aviss à la populasse !
renato, pouvez livrer la vo du pot de chambre idiomatique, bitte sehr ?
(avec le geste viscontien)
..t’es cruel phil..clopine a surement pensé que t’étais surement un super coup..mais elle a pas osé le dire, elle
« Walt Disney, curieusement doté d’ancêtres japonais (mais allez savoir…) et Adolf Hitler s’y côtoient à travers le tournage en 1942-1943 de dessins animés de propagande et l’internement d’Américains d’origine japonaise dans des camps »
= the Powers that be
plus loggia en chalet de nécessité
à l’étage en aplomb sur la rue..comme au moyen age.. »osolémio »
renato dit: 20 septembre 2013 à 12 h 06 min
à 12 h 02 min le pot de chambre de service développe son autoportrait
Waouh quel sens de la réparti mon toto.
Un must pour toi.
« ha dédé on lit chez toi »
Monsieur Bouguereau, si vous me permettez ce conseil, et sans paraître vouloir vous désobliger,peut-être ne serait-il pas inutile que vous prissiez quelques cours d’analyse stylistique chez un professeur pourvu de tous les titres et diplômes requis (LML étant par voie de conséquence, et surtout d’inconséquence, exclu d’office). Cette année, j’ai un EDT pourri,avec davantage de trous qu’un frometon suisse (exception faite de traube, hors concours)et des tarifs raisonnables (indexés sur l’hsa).
On peut p’têt tâcher moyen de s’arranger, c’que vous z’en dites ?
Hé ! Albert ! gifler un pot de chambre c’est inutilement fatigant et éminemment ridicule.
Ma question est :
qui trouve grâce à vos yeux ?
et contraire au fait d’être racé.
je crois que c’est « Terrence » Malick.
de Powers je n’ai lu que « la Chambre aux échos » et « Générosités ».
peut-on le mettre dans la liste des Pynchon, Vollmann, Delillo…? ces écrivains qui nous démontre à quel point notre littérature nationale a touché le fond.
j’ai écouté hier la grande librairie : c’est bien une émission sur les petites et grandes librairies, hier il n’y était pas question de littérature mais de gestion de petits et grands soucis personnels, les premiers gestes amoureux, comment annoncer une mauvaise nouvelle à quelqu’un… du coaching à deux balles pour le développement personnel niais pour naiseux.
La littérature reflète l’état psychologique d’un pays : des livres qui ne voient le monde que par le petit bout de la lorgnette sont le reflet d’une nation qui procède de même, nous ne pouvons pas exiger de nos politiques de faire preuve d’imagination et de courage quand nous l’acceptons de nos écrivains, des écrivains qui raisonnent comme les philosophes en tentant, par la dissertation, d’apprivoiser un monde qui leur échappe pour se donner l’impression de comprendre ce monde, refuser de faire ce constat c’est accepter la fuite en avant.
les modes de la philosophie, du journalisme, de la sociologie, la psychologie et de l’histoire ont désormais envahi une littérature dont le seul but était de nous faire échapper à ces faux savoirs.
si un Thomas Pynchon ou un Vollmann n’a pratiquement plus de chance de voir le jour dans notre pays c’est de la faute d’une critique littéraire qui n’aura pas su avoir le sens de ses responsabilités.
«Réduire la consommation d’énergie de 50% d’ici 2050»
Au fou ! Au fou ….!
Cela devient plus grave que nous le pensions et des soins en établissement spécialisé sont ABSOLUMENT nécessaires !!!
Merci Renato. Comme vous savez, « les manières sont tout ».
mais sûrement une gradation dans la dégradation: ce n’est pas le même public qui parle de « finaud de séminaire » et de « pot de chambre ».
Chez les Milanais, Phil, les mêmes expressions sont employée en tous les segments de la population (voyez Gadda). Cela est vrai aussi pour beaucoup d’autres langues minoritaires italiennes.
« Waouh quel sens de la réparti mon toto »
Vous vous mettez le doigt dans l’oeil, Albert.Renato, en renversant et, conséquemment, cassant son pot, n’a rien réparti du tout, pour la bonne et simple raison que ses uniques voisins sont ceux du 36ème dessous.Il signore – comme, nous non plus, on n’en a rien à battre de lui, autant dire que Toto est un parfait inconnu, et qui gagne à le rester – vit au-dessus de ses moyens dans une tour des quartiers nord de Colmar, construite en pisé avec un enduit à la chaux de fond, que personne ne veut plus habiter car elle penche dangereusement. Notons au passage que le simple fait que lesdits voisins appartiennent à l’étage du crétinisme inférieur conduit à ranger Toto dans la catégorie géologique immédiatement supérieure, ce qui n’est pas rien.
A propos de ranger…Toto, t’as vu ta chambre ?!!!
Cercher un bouc à Azazel ne sert à rien hamlet. Cela dit, je ne crois pas en une responsabilité de la critique.
ha dédé on lit chez toi comme dans un troudbal dirait baroz
Baroz, ce malotrohu, vous dirait que vous n’avez pas l’oeil, Bouguereau.
Voyez D., on va pas chercher midi à quatorze heure, c’est un macaque le premier conquérant de l’espace.
Même qu’il sappelait Albert 1er. Le premier de la série Albert. Y’en a qui sont revenus changés de l’extérieur; d’où l’expression : Je est un autre.
J’aimerais bien vous appeller Yorick. C’est un beau prénom, à coucher dehors même avec un billet de logement.
En tout cas Diagonal, il a bien lu la rencontre improbable dans « si nous chantions » de R.P.
Celle de Strom Deux et de Malalai Gilani sur la banquette dans le bus scolaire ( c’est un peu comme l’histoire de Rosa Parks, mais pas vraiment)
Je dois vous avouer : sur 762 pages, il m’en reste 500 à lire.
J’ai tout le temps, enfin, façon de parler.
Je ne peux que remercier mes trolls pour le beau travail qu’il fournissent.
« Des Tunisiennes sont parties en Syrie pour assouvir les besoins sexuels de combattants islamistes, d’après les affirmations du ministre de l’intérieur Lotfi Ben Jeddou, jeudi 19 septembre à la tribune de l’Assemblée nationale constituante.
Elles ont des relations sexuelles avec vingt, trente, cent djihadistes au nom du « djihad al-nikah » (« la guerre sainte du sexe »), puis « reviennent enceintes », a-t-il déclaré.
Le djihad al-nikah, qui permet des rapports sexuels hors mariage avec des partenaires multiples, est considéré par certains dignitaires salafistes comme une forme légitime de guerre sainte. »
Faites l’amour ET la guerre !
(quels merveilleux sujets de roman d’anticipation …)
voui.
Vous z’êtes une sommité.
Un écrivain célèbre.
les scatologues comme les sodomites morpionnent tous les barreaux de la sociale philou..pire : les bourgeoises aiment qu’on leur parlent comme des camioneurs qui descendent de leur trentes six tonnes pleine charge et les prolottes rafollent des mots chantournés qu’elle comprennent pas..plus le ton est celui d’un huissiers ordure mais poli mieux c’est..vdqs..et dsk c’est certain
Non.
Yorick est né à York.
mais c’est aussi un langage interprétatif imaginatif impératif.
» remercier mes trolls »
Tu peux remiser ta laisse au rayon des accessoires, Toto, entre ta collection de canards et tes gaude mihi à leds. J’usine en free lance, tiens-le toi pour dix, pour cent, pour dix % si tu veux, et ne viens plus me chercher des totos dans la teutê.
encore un qui a jamais pris un trente six tonnes avec une mini-jupe.
qui en parle comme si c’était sa tasse de thé.
Les trente six tonnes.
Il a le droit.
Réduire la consommation d’énergie de 50% d’ici 2050
le pinard c’est sacré jicé
« … et ne viens plus me chercher des totos dans la teutê. »
Autrement quoi, tu te roule par terre et fais ton caprice ?
ben moi perso, ça me donne envie de le découvrir, ce Powers. Bien plus que la sélection Goncourt…
« les sodomites morpionnent tous les barreaux »
Belle légende de la photo de Cartier-Bresson (sur l’instant, on a cru qu’il s’agissait d’un communiste naturiste- suivez mon regard- bouclé à double tour dans le pénitentier de Porquerolles, mais non).
j’ai conduit un smi rose..mais j’avais pas l’permis..et plusieurs fois..une fois en stop dans le far ist..le mec a repris le volant en route en catastrophe..pour me faire éviter 3 mois de taule qu’il a dit..cool
..est ce que t’as pas pensé (en ton for tintérieur) que phil devait être un bon coup clopine?
Autrement quoi
Autrement sinon, je demande au bouguerreau de faire son office et de mettre le bitougnot sur maximum intensity. Ca va un peu te faire fumer le derche, mieux qu’à Sing-Sing, mon petit pote.
Calmez vous, Monsieur, par vos caprices vous risquez un infarctus.
Quant à bouguerreau, il cause, il cause, c’est tout ce qu’il sait faire, mais comme dit, son domaine c’est piperies et la simagrées…
Bonne journée, bonne jalousie, et faite bon voyage.
« c’est piperies et la simagrées »
Tu es insinuant, Toto (insignifiant, aussi). Prétends-tu que quand Bouguereau tire sur sa culotte (celle de sa bouffarde, veut-on dire), il simule et n’avale pas la fumée ?
Monsieur Bouguereau, laisserez-vous passer de pareilles insanités sans piper mot ?
Il pipe, il pipe, mais à côté de la plaque. Son faux pop n’impressionne que les gamins sensibles.
« on se souvient qu’il a l’habitude de construire son récit autour d’un thème musical, mais on oublie tout cela tant c’est minutieusement agencé »
on oublie tout, on oublie tout, c’est vite dit.
» J’ignorais tout de cette fille, à part les détails évidents. C’était l’élève la plus foncée de l’école, elle avait la peau plus noire que Jonah et moi réunis. Je ne sus jamais d’où elle venait- de l’un de ces pays mythiques entre Suez et Cathey. Toute l’école avait envie de nous accoupler: deux entités qui posaient problème, et qui perdaient leur nocivité en s’appariant. »
En fait en relisant ce passage sur la rencontre, on pourrait aussi en faire un remake de street dance.
Oui, enfin, je vais arrêter là les digressions, Yorick.
Il faut que je vaque.
Le premier essai nucléaire a été fait au Nouveau Mexique. Même que la bombe c’était Gadget. Ca vous en bouche un coin, non ?
« « Des Tunisiennes sont parties en Syrie pour assouvir les besoins sexuels de combattants islamistes, d’après les affirmations du ministre de l’intérieur Lotfi Ben Jeddou » (JC)
D’après les photos, c’est du premier choix?
n’impressionne que les gamins sensibles
Qu’as-tu contre les garçons sensibles, renato ?
Sans doute préférerais-tu avoir quelque chose « tout contre », mais tu refoules,tu refoules, pire que la vieille pompe du chalet de jean marron (« A ce propos, Monsieur Braun, faudrait faire quelque chose, les voisins commencent à venir au renaud. » (le syndic de John).
Quoi ?! vous êtes un gamin sensible ? ah ! le pauvre !
Quoi ?! vous êtes
Tes frères, pas les miens. Ah misère, tu comprends donc seulement pas ton pauvre patois…
Mais je n’ai rien à comprendre venant d’un crétin, Monsieur. Il me plait de vous voir en garçonnet sensible impressionné par une prose d’emprunt, c’est tout.
Pardon pour les scientifiques, mais c’est à travers les Ecrits de Lacan que j’ai pour la première fois pris connaissance du dilemme du prisonnier.
C’est un article très brillant de JL, intitulé « Le temps logique et l’assertion de certitude anticipée –Un nouveau sophisme » qui date de 1945.
C’est une situation non à deux mais à trois partenaires.
Le thème vient probablement de Morgenstern?
L’intérêt du texte de JL est ne ne pas considérer seulement la logique formelle (qui, d’une certaine manière s’imagine dans un temps absolu) mais d’intégrer dans le jeu même les scansion de la temporalité inter-subjective (il y l’instant du regard, le temps pour comprendre et le moment de conclure).
Je n’en parle que d’après mes souvenirs, n’ayant pas le temps de le relire.
C’est en ligne:
http://espace.freud.pagesperso-orange.fr/topos/psycha/psysem/templogi.htm
(J’imagine le bon gros Onfray confronté à ces paradoxes…)
bouguereau dit: 20 septembre 2013 à 13 h 22 min
éclat de rire franc et massif
eh i’t’l’a pas dit, le mec du smi. mais s’il a repris le volant c’est pour rester vivant !
Et moi, si chui descendue, c’est pour garder ma virginité.
Ah j’t’aime bien le boug.
enfin…
ce qu’il en restait
(c’était pas mal)
le pinard réduit la consommation des nerfs, J.
je retourne -comme Clopine- astiquer frénétiquement mes rondelles.
Osons, Ozu.
Il y adjoint ou bien il y inclut. Ou insère, qui sait ?
(il y – ? – l’instant du regard, le temps pour comprendre et le moment de conclure).
à hamalet 12 h 28 : belle réflexion que je partage, à donf
@ hamlet 12.28, sur le futur musée de la RDL…
« Une cité ouverte sur le monde, qui (offrirait) en partage toutes les formes de la littérature contemporaine, sans rien modérer de l’exigence qui les porte haut dans tous les domaines, poésie, théâtre, roman, idées, littérature de jeunesse, arts graphiques du récit. Lieu de prestige et d’accueil permanent destiné à tous les publics, et surtout à la jeunesse, elle (honorerait) les écrivains étrangers en résidence ou de passage ; point de repère opérant en partenariat avec les structures existantes de Paris ou d’ailleurs (…) elle (accueillerait) des expositions temporaires, les unes dévolues aux auteurs majeurs qui ne sont pas nécessairement les plus connus, les autres consacrées aussi bien aux littératures des Caraïbes qu’aux liens entretenus par la littérature avec les arts plastiques ou le cinéma ; elle (proposerait) un programme de débats, de séminaires, de formations, d’ateliers destinés aux professionnels et surtout aux amateurs, encouragés à passer à l’acte d’écrire et bien sûr de lire. A l’heure du bouleversement numérique qu’elle accompagne, la Cité serait une vitrine d’autant plus vivante qu’elle s’affirmerait un laboratoire de création, mais également un laboratoire en matière de modes de diffusion ou de médiatisation, qu’il s’agisse de critique littéraire ou de réseaux sociaux sur Internet. Et puis elle serait tout simplement un endroit où flâner, acheter ou échanger un livre, prendre un verre, discuter, s’informer : chacun pourrait y venir librement construire son propre rapport à la littérature contemporaine… Osons formuler ce vœu que portent de nombreux écrivains : la fondation d’une Cité qui mettrait enfin la littérature au cœur de la ville et réciproquement. Qui rappellerait quel phare mondial de la création artistique est la ville de Paris »
Quand on en arrive à écrire pareilles cochoncetés et à les faire signer par 33 des écrivains les plus éhontés du pays d’aujourd’hui (dont 8 étrangers d’adoption), on se dit que, franchement, le fin fond du fond du gouffre a vraiment été atteint ces derniers temps. Le désir de muséographier le « phare mondial de la création artistique » chez nos aimables candidats au suicide collectif pour cause de perception de nullité de leur propre plume, en constitue la preuve la plus tangible… Et l’on ne voit guère dans les derniers soubresauts de révolte contre pareille pulsion taxidermiste, que les fragments de lucidité fuligineuse et atterrée des quelques internautes nihilistes sévissant encore sous les décombres de la république passouliniste, pour sauver le monde de sa littérature congelée.
je ne crois ni à la mortification ni à la flagellation
encore moins lorsqu’elle est autopunitive.
Adressée par autrui c’est une calamité.
Adressée par soi-même c’est pire.
« 33 des écrivains les plus éhontés du pays d’aujourd’hui (dont 8 étrangers d’adoption) »
Les noms, on veut les noms, Diagonal !
Qu’y a-t-il d epire qu’une calamité ?
Un désastre.
vous me faites penser au mec qui a conspué Edgard Allan Poe juste après sa mort.
=> regain d’intérêt des lecteurs pour Poe
Aujourd’hui il est aux oubliettes, Edgard non.
« ils sont tous nuls gnagna-gni, gna gna gna. »
Mais nous on est meilleurs qu’eux.
Ben non.
Salut Jacques B.
Aujourd’hui, facile
53‡‡†305))6*;4826)4‡.)4‡);806*;48‡8
¶60))85;1‡(;:‡*8†83(88)5*†;46(;88*96
*?;8)*‡(;485);5*†2:*‡(;4956*2(5*—4)8
¶8*;4069285);)6†8)4‡‡;1(‡9;48081;8:8‡
1;48†85;4)485†528806*81(‡9;48;(88;4
(‡?34;48)4‡;161;:188;‡?;
encore faut-il poser son cul dans la chaise du diable.
Et ne pas regarder la mer.
Facile à dire.
Edgar Allan Poe et Abraham Lincoln :
« j’ai écouté hier la grande librairie » (hamlet)
Héroïque.
« je retourne -comme Clopine- astiquer frénétiquement mes rondelles. »
Parlez plus bas, Rose, je vous en conjure. Vous allez donner de vilaines idées à renato.
je croyais à bouguereau
j’en perds mon latin.
Merci renato mais !
c’est le même choc que de voir Charles-Pierre.
Ce grand front dégarni. Cet air tourmenté.
mon dieu mon dieu
depuis il y a la couleur
les rayures
les points entourés de zig-zag.
>Jacques B. et alii
amie proche vend (raisons de santé)(urgent) masques Punu Dogon etc.
Prix de 500 à 5000 euros.
intermédiaires peu appréciés.
A faire circuler.
Dans l’immédiat masques Punus des années 50.
Merci pour toute info. ou circulation d’infos.
http://4.bp.blogspot.com/_R80s2s44Ous/TPiSGuokccI/AAAAAAAAAjc/IyGPHIBJZUk/s1600/Ezra+pound+1958.png
bon, on sait, on sait,
« De 1970 à 2010 la consommation énergétique primaire totale de la France est passée de 160 Mtep à 260 Mtep (millions de tonnes équivalent pétrole) soit 60% d’augmentation.
La part de l’électricité a été multipliée par 10. » (source Wiki)
De 2013 à 2050, elle va DIMINUER comme par miracle ? de 50% ? C’est déjà impossible d’imaginer qu’elle décroisse sans que l’activité économique diminue dramatiquement…
CHERCHEZ L’ERREUR* !
*vous avez voté pour elle
rose dit: 20 septembre 2013 à 15 h 16 min
‡‡
Ha c’est pas mal, ces croix de Lorraine ; Passou va être content !
http://mangahelpers.com/photoplog/images/12085/1_Vagabond_v18.jpg
je vais le trouver en couleurs
rose, Pasolini — Pound
Pour info. à vous
il a fini sa vie en Italie Renato
pas besoin de demander pourquoi
Pound Ezra
en plus d’être un écrivain de commentaires le brêle de pq est un spécialiste de l’économie
@ 15.09 Les noms, on veut les noms
On les trouve cités par ordre alphabétique en page 6 du Monde des livres papier de ce vendredi 20/09…, peut-être même ailleurs dans la blogosphère, sûrement même.
Vous savez lol, toutes proportions gardées, vaut pour JC ce que Isidor Isaac Rabi disait à propos d’Edward Teller.
édouard télère disait que rénato était comme renfield..adios ça veut dire à toud suite
on fait pas de stop en mini rose..ni en bénard sans fond comme baroz le samdi..faut garder son quant à soi
@Diagonal, il est amusant de voir comment la littérature a été apprivoisée pour devenir un instrument de domestication des sujets, le « devenir citoyen » étant la forme la plus aboutie de cette domestication.
Effectivement les lieux de culture et d’art sont devenus, avant tout, des lieux de citoyenneté, il est amusant d’écouter les promoteurs du musée de la Méditerranéenne à Marseille en parler, l’urgence de créer ce lieu citoyen, comme si le musée pouvait encore réussir là où tout le reste à échoué.
Le plus drôle est de constater la servilité avec laquelle les artistes se prêtent à ce jeu ; écrivains, philosophes, théâtreux, cinéastes… ont été enrôlés dans cette immense entreprise de domestication des individus, si on leur demande quelle est la principale qualité de leur mission ils vous répondront d’une seule voix : l’humanisme, et de fait ils sont tous des humanistes… à la petite semaine, des petites mains ouvrières de l’humanisme comme routine assujettissement.
Il est évident que ce monde culturel comme volonté d’assujettir et représentation de faux semblants d’indignation, de rébellion et d’assumer la part souffrante de l’humanité tourne en circuit fermé, il ne concerne qu’une petite partie de la population, la frange la plus scolarisée et donc la plus immature : il s’agit d’un monde cultivé qui s’auto humanise en permanence.
Je ne pense pas qu’il faille être doté d’une sensibilité particulière pour se rendre compte de cette mascarade d’auto domestication philosophico littéraire mue par la volonté de s’endormir les uns les autres.
Les intérêts de pouvoirs financiers et autres n’expliquent pas tout, il doit y avoir d’autres motivations sans doute liées la peur de l’autre, la bourgeoisie a toujours eu peur de ce qui lui échappe, c’est pour cette raison qu’elle n’aimait pas la littérature, que la bourgeoisie ait réussi à assujettir la littérature représente sans doute sa plus belle victoire, elle ne pouvait remporter cette victoire sans l’aide des écrivains.
avez-vous lu les derniers livres de Garcia et Haenel ?
diminue dramatiquement…
dramaticaly ? t’exagère toujours jicé
Dieu :
« Putain ! j’en ai raté quelques-uns !…. Grave ! Pauvres bougres, je les plains… »
Le droit à se contredire tu le met où, grèbubu ?
(N.B. que la possibilité d’une boutade à la con t’es offerte.)
Le plus drôle est de constater la servilité avec laquelle les artistes se prêtent à ce jeu
ils l’ont toujours été..niais crétin
humanisme comme routine « marketing » d’assujettissement.
> Boug quand t’es amoureuse tu fais ce que tu veux comme tu le veux.
passons
antiquités grecques
Les artistes suivent le frigo, bouguereau, toutes spécialités confondues, les scientifiques aussi du reste, mais le frigo est désormais vide.
ta gueule greubou ! c’est toi le crétin : ils l’ont peut-être été mais jamais avec cette ampleur, c’est l’évolution qui permet d’imaginer ce que sera ce monde dans cent ans.
greubou tu sais quoi? laisse les gens sérieux réfléchir en paix et n’intervient pas toutes les deux minutes pour balancer n’importe quoi.
et puis essaie de faire moins de bruit : je réfléchis avec mon vieux pote Diagonal, alors chut, calmos on pépé, faut laisser ceux qui réfléchissent se concentrer.
en attendant les trois fermiers endimanchés pour aller au mariage de leur cousine germaine si elle est à Détroit la photo c’est dans le Michigan au niveau de Chicago à l’est de la péninsule, près du lac clair qui jouxte le lac Michigan.
Détroit est en ruine (à cause des industries qui ont capoté) maisons noires car carbonisées jonchant le sol : dans la poitrine le cœur bondit.
Si c’est à Boston c’est dans l’état du Massachusetts au nord de NYC.
Crénom.
Le saura-t-on ?
Avoir été raté par un dieu si stupide c’est une chance.
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