Romain Rolland au-dessous de la mêlée
Rien de tel que des scellés sur un manuscrit pour exciter la curiosité. Le lecteur se dit aussitôt que, pour se voir appliquer un traitement de services secrets, il doit être particulièrement saignant. Le cas du Journal de Vézelay 1938-1944 (1180 pages, 39 euros, Bartillat) de Romain Rolland (1866-1944). Avec un tel intitulé, on se dit que les révélations doivent y alterner avec le souci du spirituel, voisinage et ambiance obligent.
On ne mesure plus guère le prestige qui fut celui de Romain Rolland dans la première moitié du XXème siècle. Son influence n’allait pas de soi car il eut autant de partisans que d’adversaires, si l’on en juge par l’écho que ses positions suscitèrent chez les uns et les autres. Qu’importe l’étiquette qu’on lui colla (« conscience » paraît préférable à « guide » ou « référence »), le fait est qu’il compta autant comme modèle que comme anti-modèle, autant pour la popularité que lui valut le cycle romanesque de Jean-Christophe (10 volumes entre 1904 et 1912) que pour l’appel à la jeunesse qu’il publia le 15 septembre 1914 dans le Journal de Genève et lui valut de retrouver son nom accolé pour la vie à son titre : « Au-dessus de la mêlée ». Tout un programme- pour le meilleur et pour le pire. Rarement une expression-slogan de trois mots aura connu un tel destin d’étendard. Les pacifistes de tous poils ne furent pas les seuls à le brandir ; il est vrai que Rolland ratissait large puisqu’il fourrait dans le même sac tous les impérialismes bellicistes. Et comment des intellectuels refuseraient-ils de signer au sortir de ladite Grande guerre une « Déclaration d’indépendance de l’esprit » ? C’est après que cela se complique. Sa lucidité si aiguë est à géométrie variable : d’un côté, il est des rares (de même qu’André Suarès, Cassandre trop rarement cité) à dénoncer très tôt les dangers fasciste et nazi. Refuser la médaille Goethe en 1933, quel geste alors que Stefan Zweig en est encore à s’interroger sur la vraie nature du régime ! D’un autre côté, son militantisme au comité de vigilance des intellectuels antifascistes l’amène à voyager du côté de Moscou et à devenir jusqu’à la fin de ses jours un compagnon de route fort utile au PC. Etonnant comme sa clairvoyance ne s’est exercée que d’un côté.
Le diariste du Journal de Vézelay a 72 ans. Il raconte sa vie sous l’Occupation sans pour autant tenir la chronique de mon-village-à-l’heure-allemande. Des notes à leur date avec leur charge de malentendus, de contradictions et d’ambiguïtés. Il tient une correspondance fournie, reçoit des visiteurs (écrivains, prêtres, militants et Maurice Thorez). Il ne s’est pas mis à la retraite mais placé en retrait. Pour tout autre (Malraux par exemple), on se posera la question de l’opportunité d’un tel surplomb par rapport aux évènements ; mais pour celui qui s’était voulu au-dessus de la mêlée un quart de siècle avant ? Il tient qu’il ne peut décemment pousser à l’engagement des autres par les armes en ne s’engageant lui-même que par la plume. Il n’y a pas que cela : on le sent désenchanté par la trahison du pacte germano-soviétique, désabusé de toute politique. La vigueur pamphlétaire le reprend pour écrire en leitmotiv aussi souvent que possible : « Delendum est Hitler »
L’écriture est tenue, la main ne tremble pas. On y apprend des choses, on y redécouvre d’autres choses. Des choses vues, lues, entendues. Des portraits d’une acuité et d’une justesse remarquables, tel celui de Le Corbusier qui lui rend visite après une escale de plusieurs mois à Vichy, ou du « Maréchal et ses curés, leurs dégoûtantes patenôtres, leur phraséologie de sacristains » qu’il abhorre. Des traces d’humilité s’y mêlent à des éclats de prétention : «… les Cahiers de la Quinzaine, sans moi, n’eussent pas existé ; et s’ils n’avaient existé, ils n’eussent pas vécu : ce sont mes œuvres seules qui les ont fait vivre ». Il suit l’actualité depuis sa thébaïde. Ce qu’il retient de la drôle de guerre : à Noël 1939, « le stupide vandalisme » des soldats français accusés de voler et de piller en Alsace. : « C’est une peuple toujours de Gaulois indisciplinés, anarchistes au fond, indifférents à la communauté, et qui ont besoin d’un poing solide qui les oblige à marcher au pas, -d’un Etat fort,- d’un Napoléon. » Le philosophe Jean Lacoste, éditeur attentif de ce volume, a raison de souligner que ce millier de pages est d’une parfaite cohérence, et qu’elle forme un tout avec le reste de son œuvre. Pas de surprise car pas de hiatus : c’est bien du Romain Rolland du début à la fin. Le Journal remplit son office. On peut même aller jusqu’à solliciter sa manière et, comme nous y invite l’éditeur, trouver une dimension musicale à son usage permanent des tirets comme autant de pauses du grand beethovénien ; ou que l’abus de virgules reflète le souffle oppressé dont il ne cessa de se plaindre tant il en souffrait.
Que contenait-il donc qui méritât de demeurer si longtemps cadenassé dans les coffres de la BnF et de la Bibliothèque universitaire de Bâle? Des lignes, jadis caviardées et désormais rétablies, sur la maitresse de Paul Claudel et sa fille, que le poète avait confié à la garde son ami de jeunesse. De beaux moments sur Péguy qui l’envoûte et auquel il s’emploie à consacrer un essai afin de le soustraire à son instrumentalisation par Vichy (par une ruse de l’Histoire, lorsque, après la guerre, la gauche voudra faire entrer Rolland au Panthéon, la droite s’y opposera en lui préférant Péguy, brandissant le patriotisme charnel du catholique contre le patriotisme abstrait du pacifiste). Des indulgences pour des copains de toujours tel Alphonse de Chateaubriant dont l’hitlérophilie est excusée par la « demie-folie » (dire qu’il le croit aussi doué que son autre ami intime, Pierre-Jean Jouve !) Des pages sur les visites d’officiers allemands si fiers de rencontrer le grand écrivain –et on comprend qu’ils aient voulu approcher le « réconciliateur » qui, dans son Journal des années 1943-1944, veut se « réconcilier » avec l’Allemagne dans une Europe vaincue et dominée par elle.
Le problème, c’est qu’à force de s’entendre dire qu’il était une grande conscience, il a fini par le croire. On ne le sent guère animé par la haine de soi. Il faut évidemment s’efforcer de lire et juger ce Journal avec les lunettes de l’époque, comme pour tout document de cet ordre. Il l’a voulu vivier de son œuvre. Un mémento moral où le provisoire l’emporte sur le définitif, où aucune pensée n’est gravée dans le marbre et où domine l’impression d’une heure. Mais tout de même ! Jean Lacoste, éminent germaniste et traducteur de Walter Benjamin, a dû parfois souffrir en rédigeant les notes, notamment page 1058 : tout en insistant sur son philosémitisme, Rolland y expose toute l’aversion, tant épidermique que morale, que provoquent en lui les Juifs allemands. Pour ne rien dire de ce que lui inspire le statut des Juifs « injuste sans doute et hostile, mais non outrageant ». Il y a des passages d’une cécité et d’une naïveté confondantes sur les intentions d’Hitler, telles que celui-ci les expose dans ses interviews et ses discours de 1938 ; il le croit sur parole, comme s’il n’avait jamais lu Mein Kampf où (presque) tout était déjà écrit et annoncé à ciel ouvert. Le 28 août 1940, il en est encore à vitupérer Churchill, à croire dans les vertus d’une « loyale discussion avec le vainqueur » et à rappeler son implacable et chronique hostilité contre l’impérialisme britannique « propulseur hypocrite des guerres –de 1914 comme de 1939- entre la France et l’Allemagne ». Et quand il évoque dans les tous derniers jours de 1943 « l’attente angoissée de l’offensive massive qui va détruire une partie de l’Occident », ou un peu plus tard, lorsqu’il pointe « la réprobation de l’Occident » contre ceux qui prétendent venir l’aider, on est en droit de s’interroger sur son gâtisme. L’un de ses nombreux admirateurs aurait lu ce Journal en 1940 qu’il aurait aussitôt déposé les armes et renoncé à toute résistance. On se frotte les yeux lorsqu’en avril 1941 il compare les troupes de choc allemandes aux sans-culottes de Valmy et Jemmapes au motif qu’ils auraient au cœur un commun élan et une même flamme. Et ce « Chacun son tour » comme si l’occupation de la Rhénanie avant celle de la France se valaient !
Au moins, ses jugements sur l’actualité en marche auront-ils le pouvoir de susciter le débat, ne fût-ce que, par exemple, celui où il se dit prêt à sacrifier les milliers de vies humaines de toute une armée pour sauver une œuvre d’art telle que la chapelle sixtine. Ce n’est même plus le militant pacifiste qui parle là : c’est le Nobel de littérature 1915 qui se sent protégé par son aura. Faut-il que les pages exaltant le génie de Claudel soient belles pour faire oublier celles-là… Malgré ses grands morceaux, le Journal de Vézelay est d’un homme au-dessous de la mêlée car il n’invite guère à se pencher sur ces années-là avec une certaine hauteur de vues, ce qui serait à peine remarqué s’il ne s’agissait pas d’un intellectuel d’une telle stature.
Au fond, on comprend pourquoi les ayants droit de Romain Rolland (sa veuve, sa sœur et les deux amis qui furent ses exécuteurs testamentaires) ont longtemps préféré le garder sous la cire rouge des scellés, prolongeant même la date de communication jusqu’à 2000. Pas pour les secrets des autres mais pour les révélations sur lui-même. En regard, le Journal des années noires de Jean Guéhenno, autre humaniste, n’en est que plus grand.
(« Débarquement allié sur la côte normande, juin 1944 » photo de Robert Capa/Magnum ; « Romain Rolland » photo de Gisèle Freund ; « Romain Rolland et Gandhi » photo D.R.)
736 Réponses pour Romain Rolland au-dessous de la mêlée
Vous avez dû rater une marche, la concierge est dans l’escalier ? A moi aussi, Clopine me manque.
http://pauledel.blog.lemonde.fr/2010/05/15/le-gout-du-revela-folie-du-reve/
A tous : apprenez que JC n’a pas d’idées reçues. Tout ce qu’il dit est original et inédit. Toute ressemblance avec des propos déjà tenus est purement fortuite.
Quoi, JC, vous ne vomissez pas vos idée racistes ?
C’est quand même drôle que vous parliez d’idée reçues après ce que vous avez dit de Mme Tobira. Mais bon, mes idées sont reçues… que voulez-vous, pas tout le monde à la chance que vous avez de ne pas avoir eu une éducation…
un petit test
http://pauledel.blog.lemonde.fr/2010/05/15/le-gout-du-revela-folie-du-reve/
test2
http://www.lemonde.fr/
Il y a-t-il un traducteur dans l’assistance ?
la voilà: vous pouvez aller demander à vos canadiennes
mais pourqui vous prenez-vous avec vos histoires de noyaux d’olive, vos séances de poirier contôlées , vos amours avec perle de culure , vos interdits sur le mot helléniste, le mot lapsus comme votre propriété privée de petit snoopinet qui se roule par terre et fait des capricesparce qu’on dit en français faire son miel, peutèêtre vous prenez-vous aussi pour l’S1 de Lacan pardessus tous les marchés? espèce de snoopinet des deux de ****
Toast :
« la voilà: vous pouvez aller demander à vos canadiennes
mais pourqui vous prenez-vous avec vos histoires de noyaux d’olive, vos séances de poirier contôlées , vos amours avec perle de culure , vos interdits sur le mot helléniste, le mot lapsus comme votre propriété privée de petit snoopinet qui se roule par terre et fait des capricesparce qu’on dit en français faire son miel, peutèêtre vous prenez-vous aussi pour l’S1 de Lacan pardessus tous les marchés? espèce de snoopinet des deux de **** »
Il y a-t-il un traducteur dans l’assistance ?
Où est le racisme de dire tout le mal que l’on pense de cette effroyable ministre de la Justice, la mère Taubira. On ne peut pas le dire, parce que c’est une négresse ? Il y aurait racisme, délit, etc, etc … ?
JF Gouband, Vous vous demandez, non sans ironie, qui lit encore Jean Guéhenno de nos jours. En effet… Mais quand vous aurez lu son « Journal des années noires » (Folio), vous seriez fier de répondre : « Moi ».
Madame Taubira est une excellente ministre de la justice et JC un effroyable admirateur de la mère Sarah Palin
Non, non, JC, le racisme n’est pas dans l’avoir dit tout le mal que vous pensez de Mme Tobira. C’est d’avoir dit que ce n’est pas judicieux de mettre « une noire » à la tête d’un ministère régalien. Mais je commence à croire que vous n’êtes pas conscient de vos mots…
Il y a-t-il un traducteur dans l’assistance ?
IL, qui est-ce ? c’est trailer est-il ?
lire le journal que recommande P.Assouline :oui vos demandes de tapis rouges à Barozzi et perle de culture pardessus les marches (combien?) et les marchés au débouté moi ça , non!
« IL, qui est-ce ? c’est trailer est-il ?
lire le journal que recommande P.Assouline ui vos demandes de tapis rouges à Barozzi et perle de culture pardessus les marches (combien?) et les marchés au débouté moi ça , non! »
Vous pourriez repeter, S.V.P. ?
😛
hildenstein, c’est comme le maréchal Pétain dont on disait à Vichy : » deux heures de lucidité par jour ».
Ce matin, parfaitement clair, cet d’après-midi, passablement confus ! Et ce soir, j’en tremble !
Je répète : la négresse Taubira est une effroyable ministre de la Justice. Repeinte, ce serait pareil. Quand cet épisode socialiste malheureux sera passé, il faudra la juger et l’envoyer au bagne guyanais ! Bref, il ne fallait pas la nommer à ce poste régalien ! De même cet incapable de Montebourge, un nul complet ! Indéniablement, Sarah Palin est bien plus mignonne, malgré le défaut mineur d’être créationniste. Et Dati était un enchantement juridique à elle seule : on a beaucoup perdu en passant de Dati à Taubira, hurk, hurk !
On ne va pas y passer la soirée. Revenons aux errements de RR, vus avec nos yeux d’aujourd’hui prompts à juger…
Il y aussi ce passage extraordinaire de Claudel:
Tête de noeud: Tu la veux?
Cébes: Ah, oui, mets la moi.
Tête de noeud: Oh, ma soeur, mon âme, avance,avance, si tu recules un peu et que tu avances d’autant et que tu recommences, moi je n’aurai besoin de rien faire et l’aube versera sur nous du fond de l’horizon, des brumes parfumés et je traverserai comme un fleuve en crue…
Cébes: Oh, mon amour…Ah je meurs
Tête de noeud: Oh putain, je jouis!
Claudel. Tête de noeud. Acte III scène II
Le grand plus de Taubira, qui par ailleurs est une excellente Ministre de la Justice, elle fait chiller JC.
Et pour ça, respect
Qui eut cru que Claudel, mis à nu, pouvait exciter à ce point l’Henri : »Oh putain, je jouis ! »
J’ai lu les 1000 et quelques pages du Journal de Vezelay. Rolland ne me semble pas « au dessous » de la mêléé, mais à côté, un brin fatigué, déespéré certes, mais l’écrivain âgé ne souffre que de peu d’ambiguités. Au fil des jours, parfois il semble flancher et souhaiter une » vraie collaboration donnant-donnant, mais c’est mieux pour se reprendre le lendemain et avoir les mots les plus durs pour Pétain et son régime, pour l’Occupant nazi,pour la trahison stalinienne…Assouline est impitoyable. Au tribunal de l’Histoire, Rolland n’a rien à se reprocher, si ce n’est son amitié incompréhensible avec Alphonse de Chateaubriant mais dont il dénonce toujours la folie des idées. Contrairement aux Montherlant, Pourrat, Dorgelès, Chardonne, Béraud,La Varende et tant d’autres écrivains, Rolland n’a pas prêté une seule fois sa plume à la presse collabo, et ses très rares remarques « flottantes » sur les juifs ne peuvent pas effacer l’ amour dont il témoigne pour eux et son effroi pour ce qu’on leur fait subir. Plus de 1200 pages ! Et Assouline n’y relève que ses faiblesses passagères, une « courte vue » parfois, tellement facile à dénoncer 70 ans plus tard. Il faut lire ce document. Parfois l’ennui guette, le vieux monsieur radote, manque de modestie, et ses tardives retrouvailles, « bizzaroïdes », avec Claudel m’ont parues pour ma part pesantes. Mais l’ensemble reste passionnant et digne. J’aime Guéhenno et son « Journal des années noires » mais en quoi peut-il faire honte à celui de Rolland ?
Henri 1 / Claudel 0
Jacky, voilà ce que j’appelle le « sublime » …
Chouette le théâtre dans le Roussillon, ça donne envie,
vous faites matinée ET soirée ?
A demain, mes petits chéris !
Henri 1 / Claudel 0
Et il n’est pas encore dans la pléiade, l’Henri !
Les pronostics, ça va ça vient :
Passou : Rolland o/Guéhenno 1
flâneur : Rolland 1/Guéhenno 1
Faites vos jeux !
Ca me touche beaucoup cette attention
dis que ça te la prend dans le pantalon zouzou..là tu minaudes et baroz va opérer un retournement
ta gueule bouguereau..cfdt..vdqs épicétou
non, je déconne.
ça alors, tu parles de Costas Taktsis sur ton site, Henri !
Après le journal de Renaud Camus, je commence à avoir des doutes sur tes goûts…
keupu 1/bouguereau 0
— Pauvre JC, ils ont passé le mariage pour tous et le voilà obligé de se marier avec un homo !
— Mais où va le monde ? Où va le monde ? C’est un scandale ! Nous vivons dans la débauche ! et merdre, le galets de l’espace ne vient même pas nous frapper comme il serait juste qu’il soit… Sodome et Gomorrhe, je dis… Vous vivez dans le péché, Je dis…. Vous vivez dans la promiscuité, je dis. Il ne faillait pas mettre une ‘negresse’ à la tête d’un ministère régalien, je dis ! Regardez-moi le désastre moral qui vient de se produire par sa faute !
— Bon, c’est un blanc qui a mis l’idée sur la table… il me semble…
— Ah ! non, c’est parce que nous vivons dans la promiscuité, les ‘races’ mélangée c’est pas normal… D’ailleurs, depuis quand on met une noire ailleurs qu’à faire les chambres ? Tout au plus à la cuisine, mais seulement pour faire la vaisselle, que déjà l’essuyer et la ranger c’est un travail intellectuel…
Et ainsi de suite… et tout ça parce que il ne sait que demander la liberté que pour lui… la liberté d’expression ? pour lui… c’est vrai qu’il ne sait pas de quoi il parle, mais il a entendu l’expression « liberté d’expression » et ça lui a plus… et voilà qu’il en parle à tort et à travers… sans discernement, quoi… puis à un moment il dit : « On ne va pas y passer la soirée ». Et on serait censés s’exécuter car le pseudo scientifique mal élevé le dit ? Fantastique !
Tout ce qu’on aime, l’idiot de PQ – raciste, sexiste, le gros beauf en majesté. Un pauvre type, comme il en existe des millions. Un jeu à somme nulle.
Allons, renato, ne vous emportez pas. JC est un homme distingué. Vous n’êtes pas du même monde, c’est tout. Il est très apprécié de CP., Céline et Julie. Même ueda lui trouve un côté charmant.
D’ailleurs, dans son post de 16 h 46, il envisage la possibilité de « repeindre la négresse ». En blanc, sans doute, quoiqu’il ne le précise pas. C’est charitable, reconnaissez-le. Non, non, c’est un homme élégant.
« Un pauvre type, comme il en existe des millions. »
Vite dit, Bloom. A un tel niveau, ce n’est pas si fréquent.
ça alors, tu parles de Costas Taktsis sur ton site, Henri !
Après le journal de Renaud Camus, je commence à avoir des doutes sur tes goûts…
Mais non, je suis bisexuel, littérature et cul (de bouteille).
l’ amour dont il témoigne pour eux
l’écrivain âgé ne souffre que de peu d’ambiguités
L’amour que tu témoignes à la syntaxe française et aux dures loi de la rection, flâneur, souffre que je lui dresse ici un autel particulier, avec balancements d’encensoir à tout va et psalmodies en tout genre.
Cneff, Hirsch Glik est un de ces partisans juifs que le nazisme a vaporisé. Les armes à la main, certains Juifs, trop peu malheureusement, ont combattu ceux que trop de non Juifs ont tolérés.
Le yiddish est moins martelant que l’allemand…
l’envoyer au bagne guyanais
tu mériterait qu’on envoye un commandos de tonton macoute sauter sur pork’n’roll jicé.. pour commenser y désocerait ton scouteur à la roumaine..tu finirait en lazagne chez spenguéro..ton karma jicé c’est des gogs à la turc épicétou
of course i know!
http://www.youtube.com/watch?v=D_915bYVoLw
Bonne journée!
Moi, j’aurais bien lu le Journal de Guéhenno. Mais faut que j’aille dormir. Encore quatre heures au moins. Bonne nuit.
JC je ne sais pas dans quel monde vous respirez mais de toute évidence vous ne manquez pas d’oxygène où vous êtes déjà mort ,depuis quand pour parler du travail effectué devrait on commencer par exposer de façon haineuse une conviction raciste ,pourquoi ne pas juste exposer les raisons de votre désaccord au lieu de vous acharner bêtement à déterrer des arguments indignes de tous et de vous aussi,vous vous néhantez .
Nous pensions que vous étiez déjà couché, Mauvaise Langue. Ne vous surmenez pas, surtout. Un burnout est vite arrivé.
Encore une fois la tarte à la crème du pacte germano-soviétique, qui nous en dit plus sur nous que sur les Russes et les Allemands. L’idéologie commande aux français et en vertu de celle-ci il ne faudrait rien signer avec les nazis, au nom du dogme marxiste-léniniste. Mais Staline s’en tapait du dogme, il avait intégré que la révolution se limiterait à la Russie et voulait être tranquille à l’ouest pour industrialliser son pays. Avec l’aide des Allemands et de leur réputée technologie, et avec un peu de territoire en plus. Trotskistes va…
il fait beau en Espagne?
la tarte à la crème du pacte germano-soviétique
un pacte de non-agression. Un peu comme Daladier et Chamberlain.
Evidemment, la schicklgruberophilie c’est pas facile à prononcer…
Tu la veux?
Ah, oui, mets la moi.
Oh, mon amour…Ah je meurs
Oh putain, je jouis!
…
Nan, sans déc, c’est du Claudel ça??!
Il y a aussi les aveugles de l’espace Schengen ,pour les dialogues en braille mais il faut toucher dans l’écriture
Affirmatif ma Bébelle, du Claudel pur jus!…ça t’en bouche un coin, hein ma puce!
La cotisation s’élève à 10 000 euros par an et ils ont besoin d’argent pour diversifier l’approche pédagogique dans tous les domaines.
Ca y est : papy W a troqué son déambulateur contre une canne blanche…heureux les aveugles là où les borgnes sont rois (sur ce blagg par exemple).
Pfftt!! ça s’arrange pas ici. Y sont passé de la salle des profs à la maison de retraite!
renato vraisemblablement une erreur de casting,veuillez m’en excuser je suis une femme malgré mon grand age et ma claudication .
T’es aussi gaga qu’elle renato.
Oublie la
Ouais, ça fait des plombes qu’y nous refont la guerre, et un pacte germano-soviétique par là, et un sac de collabos par ici, et vas-y que j’t’en remet, du Juif, du coco, d’la coloniale,…hé les papys, ça va être l’heure de la soupe et du p’tit cachet!..vieux cons, va!
ML parlait stratégie et idéologie
et puisque la guerre change d’armes pour l’Europe ,l’occident si l’on neutralise le terrorisme _ qu’elle est devenue économique comment tirer un enseignement du passé guerrier qui puisse être utile au présent économique et social?
Vous êtes trop bonne, W, avec ce ramassis de débris radoteurs, stratèges de bouches d’égout et idéologues de carnaval!!
Votre grand âge et votre claudication ne changent rien à l’affaire, W. Je vous aime.
Rebelle, vous devriez continuer à signer Philippe Araignée, ça vous va mieux.
Ah vous m’avez reconnu, D ! Je pensais que j’aurais l’air moins con en signant Rebelle. Je m’ai gouré.
Ne rêvez pas, W, z’arriveront jamais à tirer un quelconque enseignement, sont perclus de nostalgie de leur passé guerrier, comprennent rien à l’époque nouvelle (bon, OK, elle n’est pas brillante mais quand même!), leur mur de berlin est encore bien droit dans ses bottes…bon, les papys : en rang par deux et au réfectoire, c’est l’heure!
Youyou D! vous êtes revenu Chouchou? suis contente contente contente!!!
D dit : « W. Je vous aime. »
Et moi, vous ne m’aimez plus, Chouchou?
Rhhôôlala! ca pue de plus en plus ici!
À 18 h 49, il s’agit d’un homonyme ou d’un simple crétin ?
Il semblerait que le parasite de 20h soit un peu en avance aujourd’hui
ah, la simplicité du crétin! Un nectar! une ode! un banana split double crème, un…
Bananana! Bananana! Bananasplit!!! Hou kesske j’m’amuse ici!!
être ou ne pas être ?
« … un… » baba au rhum fourré de fromage de chèvre frais…
Mes amis, laissons passer stoïquement l’attaque parfaitement imbécile du parasite, allons faire un tour, boire un verre, ou tirer un coup, il finira bien pas se lasser et nous lâcher les basques. a tout à l’heure mes frères.
Hêtre ou châtaigné ?
comment éprouver un sentiment océanique quand on est sujet au mal de mer ?
nous sommes tous dans le même bateau…
nous partageons tous le même mal de mer…
C’est ça! tous aux abris les papys!Sus à l’ennemi et courage fuyons, comme en 40!!
être au dessus de la mêlée est-ce bien différent de ne pas avoir la tête sous l’eau ?
le sentiment océanique doit-il se terminer par une inévitable noyade ?
Comme dans Titanic?
une championne olympique de natation l’a dit : ce que les femmes ont perdu en grandeur d’âme, elles l’ont gagné en vitesse, à la brasse, touchée, coulée.
Bon, c’est pas tout ça…ce soir j’ai rencart faut que je make up…ciao les bôgoss!
C’est ça : dégage, la morue!
…
…un détail,…
…
…au dessus de la mêlée, dans le texte,…
…et au dessous de la mêlée, en titre,…
…
…mon avis,…c’est qu’il y a aujourd’hui,…
…depuis la fin des deux grandes guerres du XX° siècle,…
…un fait très révélateur dans la société,…
…c’est le déplacement ou la manipulation d’esprit qui à été réaliser dans la réalité nationaliste ou fasciste des peuples,…
…
…c’est l’opinion d’appartenir aux » gens » riches ou fortunés dans le monde,…ou les « gens », qui privilégient le profit et l’argent au dessus de toute raison et respect de l’humanité,…
…et les pauvres « âmes charitables et chrétiennes « , divisées, et mise en équarrissage d’en être toujours des « Dallas »,…
…fidèles et ruinés jusqu’à la mort d’en être de la nation qui les rejettent de l’opulence des nations « privées »,…
…chaque semaine avec leurs billets » €uro-millions »,…dons ils ne verront jamais la couleur,…que comme badaud,…tendre,…à enfariné d’espoir de fascisme et autres nationalismes sur leurs dos,…à casser du sucre,…
…etc,…du Romain Rolland encore en classe,…entre deux pointe,…d’échiquier,…
…
C’est rare que les crétins soient simples…
Attention : elle n’est peut-être pas tout à fait partie, restons vigilants mes frères!
l’humanité a commencé à perdre la boussole quand elle a commencé à organiser les premières compétitions de natation.
la volonté de nager plus rapidement que les autres est une idée totalement stupide.
vouloir courir vite, passe encore, ça peut se comprendre, mais vouloir nager vite est absurde.
Je découvre ce blog. Je lis un article fort intéressant de Pierre Assouline, puis la curiosité me pousse à regarder les commentaires.
Et là, je suis effondrée. Que de vulgarité. Ce Henri et ce hildenstein ! Vous devriez avoir honte.
La folle est partie ? C’était Gilga ?
hamlet (si c’est bien vous) vous avez tort. Il est très utile de nager vite quand on est poursuivi. Par un paquebot, par exemple. Ou un mérou atteint de myxomatose.
C’est comme à ski. Quand on est poursuivi par une avalanche. Ou par Marielle Goitschel. Il faut aller très très vite. À une vitesse absolument énorme, dirait Sergio.
relevez-vous , Liliane, relevez-vous ! j’espère que vous avez bien profité des liens que j’ai envoyés !je ‘en ai absolument pas honte !
n’attendez pas trop sur ce blog un baise-main sans ironie ! mais je ne commencerai pas la série : vous pouvez chercher les liens sur Freud et la musique qi vous vous ennnuyez, je sors !
l’indépendance de l’esprit est-elle qu’une fatalité tragique pour ceux qui sont dotés d’un esprit d’indépendance ?
hildenstein dit: 15 février 2013 à 15 h 29 min
: 15 février 2013 à 15 h 10 min
conc consolez-vous vous-même si vous êtes désolé, ce n’est pas ma vocation de supporter votre fricot machinpercoolomaniaque
Bien dit !
l’indépendance de l’esprit est-elle qu’une fatalité tragique pour ceux qui sont dotés d’un esprit d’indépendance ?
Il me semble que cette phrase n’a aucun sens, ou bien ?
être ou ne pas être ?
une question de dépendance de soi ?
Ou alors à la vitesse grand V. plus delta V…
peut-on faire le mal malgré soi ?
sans le vouloir ?
qui est ? qui fait ?
être ou ne pas être responsable de soi ?
nos actes existent-ils en dehors de nous-mêmes ?
Sollers dresse une liste des griefs ici :
http://www.philippesollers.net/wanted.html
Gide, le pédophile Nobel ; Marx, le massacreur de l’humanité que l’on sait;
Nietzsche, la brute aux moustaches blondes,
Freud, l’anti-Moïse libidinal; Heidegger, le génocideur parlant grec; Céline, le vociférateur abject; Genet, le pédé ami des terroristes, Henry Miller, le misogyne sénile; Georges Bataille, l’extatique pornographique à tendance fasciste; Antonin Artaud l’antisocial frénétique; Claudel, l’ignoble tank catholique, Sartre, le bénisseur des goulags, Aragon, le faux hétérosexuel, chantre du KGB; Ezra Pound, le traître à sa patrie, mussolinien chinois; Hemingway, le machiste tueur d’animaux; Faulkner, le négrier alcoolique; Nabokov, l’aristocrate pédophile papillonnaire; Voltaire, le hideux sourire de la raison, dénigreur de la Bible et du Coran, totalitaire en puissance; Sade, le nazi primordial; Dostoïevski, l’épileptique nationaliste; Flaubert, le vieux garçon haïssant le peuple; Baudelaire, le syphilitique lesbien; Proust, l’inverti juif intégré; Drieu La Rochelle, le dandy hitlérien; Morand l’ambassadeur collabo, antisémite homophobe; Shakespeare, l’antisémite de Venise; Balzac enfin, le réactionnaire fanatique du trône et de l’autel, etc.
Je n’oublie personne? Complétez la liste.
Je complète :
Lautréamont, l’incompréhensible auteur de Poésies; Rimbaud, traître à sa vocation poétique dont les Illuminations restent opaques; Jarry, l’ennemi de l’humanité en la personne grotesque du Père Ubu; Breton, l’inquisiteur puritain; Mauriac, l’hypocrite catholique à tendance homo refoulée; Joyce, le comble de l’illisible; Debord, destructeur de la société; Swift, un des plus dangereux anarchistes que la terre ait portés; Poe, l’intelligence diabolique; Joseph de Maistre, le contre-révolutionnaire absolu; Gracián, le poison jésuite; Melville, la monstrueuse baleine; Lichtenberg, l’effrayant humoriste; Hölderlin, le prénazi dans sa tour ; Kafka le pénible annonciateur de catastrophes; Beckett, le désespéré squelettique; Sévigné, la polygraphe mondaine; Molière, l’antihumaniste foncier; Pascal, le parieur halluciné; Bossuet, le panégyriste intégriste; Saint-Simon, l’aristocrate fou; Rousseau, l’atrabilaire abandonnant ses enfants; Villon, le truand argotique; Roussel, le cinglé des phrases; La Rochefoucauld, le moraliste amoral; Stendhal, le Milanais narcissique; Chateaubriand, le vicomte réactionnaire d’outre-tombe, etc. Continuez.
« vouloir courir vite, passe encore, ça peut se comprendre, mais vouloir nager vite est absurde »
Courir : dans le 93, survie !
Nager : en Australia + requins ! Survie aussi .
« Vals est un néo-con »
Haski est un vrai, lui …
L’intelligentsia des commentateurs de ce blog, cela fait frémir..
..Et à propos, cet article de la Quinzaine Littéraire 1078 qui vent de sortir sur:
Intelligentsia
Entre France et Russie
Archives inédites du XXème siècle
Ouvrage dirigé par Véronique Jubert et Lorraine de Meaux
Préface d’ Hélène Carrère d’ Encausse
Beaux-Arts de Paris/Institut Français éd., 535 p., 49€.
Une grande place est faite au cas Romain Rolland.
« qui VIENT de sortir »
Par ici, on dirait un concours de pets..
Frémir ! Le rêve pour un constipé…
je n’ai pas absolument honte de laisser des coquilles (exemple si et non qi )bien que cela m’agace. La fatigue y est pour beaucoup : je le regrette. j’aurais du signaler à mauvaise langue de articles sur sommeil et cognition: il y en a beaucoup : voici une idée :
» les rapports entre le sommeil et la consolidation des apprentissages en mémoire, et de manière plus large l’interrelation entre processus cognitifs et états de vigilance, y compris le sommeil et les rythmes biologiques, avec un accent particulier sur les processus de création de nouvelles représentations en mémoire, et les processus par lesquels ces informations sont consolidées en mémoire à long terme. Notre intérêt est également accordé à l’étude et la compréhension des grands syndromes neuropsychologiques. Par ailleurs, l’UR2NF mène une série de collaborations avec d’autres unités de recherche et services des facultés de l’ULB (psychologie, médecine, hôpital Erasme …) et d’autres universités belges et étrangères dans le cadre de son expertise dans le domaine des techniques de neuroimagerie fonctionnelle et des relations entre sommeil et cognition. [Researches conducted at the Neuropsychology and Functional Neuroimaging Research Unit [UR2NF] are mainly but not exclusively focused on investigating the relationships between sleep and memory consolidation processes, and in a wider perspective the interrelationships between
Laissons sa chance à Rolland!
D’un Rolland à l’autre, les ronces se valent, ici!
tu glanes trop long, à propos des ronces valeureuses.
en juin 1935 Robert Musil s’est rendu au congrès international de la défense de la culture, il y prononça un discours mémorable où il renvoyait dos à dos bolchévisme et fascisme et où il mettait dans le même sac les organisateurs de ce colloque.
Gide essaya à cette occasion de discuter en privé avec Musil mais comme ce dernier n’aimait pas les lieux communs et les banalités, il coupa court à cette discussion.
Ce fut sans doute pour Gide, la seule occasion de se retrouver en compagnie d’un esprit de loin supérieur au sien.
Nous ne sommes pour rien dans cette frénésie d’immolation à l’essence. Ce marché ne nous intéresse pas.
Le sentiment océanique viendra et il aura tes yeux.
Romain Rolland et Staline en actualité, le lien ici:
http://www.paristribune.info/28-novembre-2012-11-janvier-2013-Intelligentsia-Entre-France-et-Russie-archives-inedites-du-XXeme-siecle_a6926.html
« Gide essaya à cette occasion de discuter en privé avec Musil mais comme ce dernier n’aimait pas les lieux communs et les banalités, il coupa court à cette discussion. »
Salut Dexter.
On apprend que JC vient d’être victime d’une AVC. Il regardait distraitement la télévision, quand tout à coup est apparu le visage de Mme Taubira. Le pronostic vital est engagé.
Ses proches regrettent qu’il n’ait pas eu le temps de voir qu’une femme marocaine était employée comme esclave dans un foyer bourgeois français. Cette nouvelle lui aurait sans doute plaisir. On la lui a chuchotée à l’oreille pour le ranimer. Hélas, c’était trop tard.
Ses derniers mots, avant l’évanouissement, ont été : « Qu’ils mangent du cheval ! » On ne sait pas ce qu’il a voulu dire.
Tatata, renatoto, laisse tomber Gide et cherche Romain Rolland!
Mort de JC, tristesse.
JC vient de crever la gueule ouverte. « C’est con », ajoute l’AFP.
La mort de JC, « dans d’atroces douleurs », selon ueda qui était à son chevet, n’est pas encore confirmée. Mais tous les espoirs sont permis.
Céline P. prononcera son éloge funèbre.
« je meurs mais je ne vivais pas »
erratum : Céline C.
« New York Mayor Michael Bloomberg’s proposed ban on the sale of soda in containers larger than sixteen ounces »
l’Histoire a pris un statut curieux : elle est devenue une aubaine pour les esprits médiocres incapables de parler du temps présent.
C’est comme un match de football commenté en différé par des journalistes connaissant le score final.
Pour faire encore plus fort nous avons même un philosophe qui règle ses compte à distance en commentant une contre histoire.
Ce qui est une adaptation pour journaliste encore plus médiocre, incapable de commenter leur match de foot à postériori, une forme de contre commentaire à postériori, où le commentateur se construirait un piédestal encore plus haut (un contre pied destal) pour se permettre de juger du passé, et de tous les grands imbéciles qui se sont, à leur époque, mis le doigt dans l’oeil jusqu’au coude….
« C’était un homme », a dit ueda en apprenant la triste nouvelle. « Nous regretterons son humour, sa grande culture et la profondeur de ses analyses politiques. Je l’ai aimé, c’est vrai, mais le moment n’est pas à l’évocation de nos liens personnels. »
sa vie était réglée comme du papier à musique: tous les jours dès 6h36 il déposait sa première crotte sur son blog favori.
Déclaration de ueda, à l’annonce de la mort de JC : « Nous étions faits pour nous aimer. »
Son fiasco « valeria » l’avait considérablement affaibli.
l’histoire est comme nos vies : rien n’est plus facile de voir les erreurs que nous avons commises.
l’avantage de l’historien est de voir les erreurs des autres.
les erreurs des autres sont, par définition celles que nous, nous n’aurions pas commises.
les auteurs se placent ainsi, de petto, au dessus d’une mêlée à laquelle ils n’ont pas eu le malheur de participer.
à quoi cela ressemble-t-il ?
en fait, ceci ressemble, à s’y méprendre, au comportement du clergé, par le passé, les curés, qui savaient parfaitement comment l’homme, et la femme, doivent se comporter, face à une situation donnée.
le péché, la culpabilité, la confession, avouer les fautes, les reconnaitre pour ensuite s’en laver.
nos curés historiens écrivains d’aujourd’hui nous lavent de fautes que nous n’avons pas commises.
sans doute pour éviter de nous laver de celles que nous commettons……………………………………………… tous les jours
si les auteurs d’aujourd’hui sont remarquables, c’est par leur humanisme.
c’est fou où l’humanisme va se nicher.
ceux qui l’avaient inventé n’ont pas imaginer que nous en ferions pareil commerce.
car au final il s’agit bien de cela : de commerce.
heureusement que tous nos ancêtres ont commis autant de péchés, sinon nous vendrions beaucoup moins de livres.
« … laisse tomber Gide et cherche Romain Rolland » (avec incompréhensible point d’exclamation).
J’ai repris « La Cathédrale interrompue » … et demain je dois me taper le trajet jusqu’au garde-meubles pour le remettre dans un carton… Alors le journal de Vézelay attendra — attendra : truc pour dire « Non, merci ».
Quant à vos toto, tata, titi, pensez plutôt à téter votre seize onces de limonade gazeuse…
Il prenait du viagra mais c’était pour se masturber devant la photo de Marine. Le coeur aurait lâché.
Petit cadeau pour les proustiens :
de l’humanisme à la vanité et de la vanité à la vénalité il n’y a qu’un pas, un pas pour chaque, ce qui fait deux pas, mais nous ne sommes ps à un pas près.
sait-on le chiffre d’affaire du mal ? dans l’édition;
Chesterton disait qu’il est plus difficile d’être bon que de faire le tour du monde à la voile.
Sans doute.
quoi qu’il en soit le mal se vend bien mieux que le bien.
les intellectuels ont l’équivalent des journaux macabres, en plus classe, et aussi l’équivalent de leurs reality shows, où on voit les gens à poil sous la douche, le loft… ils appellent ça des « biographies », ça fait plus classieux mais dans le fond c’est tout aussi glauque.
les intellectuels ont du mépris pour les affaires glauques des petites gens qui regardent des trucs à c.n à la télé, mais à leur niveau ils en ont recréé l’exacte copie.
déclaration de ueda (suite) : « Ma rencontre avec JC fut comme une rédemption pour moi. Je m’apprêtais à rejoindre le mouvement de Jean-Louis Borloo quand il m’a appelé au téléphone (c’est notre ami commun, Christian P., un proche de George Bush, qui lui avait donné mon numéro). « Vous êtes trop vieux, m’a-t-il dit, pour vous lancer dans le gauchisme. » Il a alors attiré mon attention sur un point que je prenais à la légère jusque là : François Hollande avait réellement décidé de nommer une femme de couleur à la tête d’un ministère régalien. Confondu par ma naïveté, je me suis immédiatement rangé à ses vues. L’attachement sexuel a été postérieur, si je puis dire. »
Tra i primi a dare la notizia della scomparsa l’amico Philppe Régniez, che su Facebook scrive: «La morte di JC ci priva di un protagonista assoluto della storia della cultura cretinista internazionale. »
salut renato ! content de constater que nous sommes toujours vivants, encore que sur internet il n’y a que des âmes ?
JC a eu un avc ? c’est pas trop grave, quand nous serons morts, nos fantômes continueront de discuter sur internet.
par exemple moi je suis mort il y a 10 ans, j’avais fait un avc comme JC, et depuis je viens discuter ici.
la différence est que les morts se reconnaissent entre eux, ils échangent des messages que les vivants ne peuvent pas lire, c’est comme le wifi gratuit mais c’est différent.
être ou ne pas être : c’est essentiellement une question de wifi.
JC, comme son nom l’indique, mérite la croix, c’est sûr.
Mais il souffre pour vous, bande d’ingrats!
Il vous permet de vous sentir généreux et lucides, non seulement ici et maintenant, mais autrefois et là-bas.
« Je te vois contrarié, que se passe-t-il?
– C’est rien, seulement sur le blog un certain JC, qui tombe le masque. C’est l’éternel fasciste, le retour d’un refoulé, un refoulé qui nous ramène aux heures les plus sombres de notre histoire.
– Tu n’exagère pas un peu? Tu sais bien que c’est aussi une aire de jeu.
– Il y a des choses avec lesquelles on ne rit pas! Il a osé écrire qu’une ministre conne qui était noire resterait conne si elle devenait blanche.Tu te rends compte de ce que cela signifie pour les noirs?
– Mais pour les blancs aussi, non?
– Ce n’est pas pareil! Et quand certains sur ce blog osent confondre les héros et les traîtres… On ne peut rester silencieux. Je suis intervenu pour rappeler quel était le bon engagement. Les circonstances ont bon dos, on ne doit écouter que sa conscience.
– Je suis fière de toi, chéri. »
Regardez-moi dans les yeux.
Vous ne vous sentez pas un p’tit peu mieux, après?
Allez, sous pseudos, envoyez-lui quelques friandises, il l’a bien mérité.
ici est née une Grande Idée ! collective. pas facile à trouver, mais à force de travail, d’acharnement, en puisant dans les idées des Grands Penseurs et née une Grande Idée !
on peut ne pas y croire et pourtant..; c’est vrai, il existe encore des témoins, même si la plupart sont morts depuis.
c’est le problème des Grandes Idées quand les gens meurent, parce que les gens finissent toujours par mourir, au bout d’un certain moment, il ne reste plus personne pour témoigner que c’est vrai, comme dans X Files.
le blog de Monsieur Assouline, c’est pareil que X Files, on ne est à la saison 8. Ceux qui ont loupé les premiers épisodes ne peuvent pas comprendre.
et Romain Rolland dans tout ça ? c’est juste un des personnages de la série.
Si le scooter rose se retrouve orphelin, je veux bien l’adopter !
C’est ML qui va avoir un choc en se réveillant : JC, le dernier commentateur de la rdl qui osait dire ce que lui n’osait pas : « il faut gazer Gaza ! »
Je sors de ma sieste et je découvre la longue liste de Sollers. Elle est bien bonne ! Mais juste dans l’ensemble, non ?
Oui, je cognitionne pas mal en dormant. En fait, tout ce que j’ai à faire se réalise durant mon sommeil.
Bon, je me remets à la traduction. Je suis en pleine tempête de neige et Gantenbein a failli écrasé une « meute d’enfants berninois ». C’est assez drôle…
Pas besoin de le faire, Baroz, le Hams s’en charge…
On a appris hier que le pauvre diable de gazaoui que les membres du Hamas ont en moto ont traîné au bout d’une corde derrière les moto dans les rues de Gaza sur le bitume avant de lui coller une balle dans la tête sous prétexte qu’il aurait été un agent du Mossad, était en réalité un prisonnier en taule depuis 2009 qu’il ont extrait de sa cellule pour le turer devant les caméras du monde entier. Pour accuser Israël évidemment. Et tous les sinistres Baroz du monde entier applaudissent. Voilà où on en est en Europe et en particulier en France à l’égard de la vérité. Bravo Baroz !
« Et surtout, contrairement à tous ces lâches, dont on mentionne le nom trop souvent, ne rien laisser passer.
C’est parfois un poison dont on fait la contrebande, sous un soi-disant « humour »…
Quand je vois tous ces planquées des années 30, des années 40, des années 60, alors que les résistants, puis les dissidents ont sauvé l’honneur!
Je dis qu’il fallait se battre! il fallait se battre! »
(paf!)
Mais qu’est-ce qui te prend, ça va pas?
Ca fait mal en plus!
– Tu as renversé ton verre, ça je m’en fous.
Mais tu l’as renversé sur mon catalogue!
Tu ne peux pas faire attention?
Je m’en fous, moi, de ton JC!
– Calme toi, Mimi. Je vais te le racheter…
– Le catalogue sur La Mélancholie? Il est épuisé!
Nous faisons confiance à hildenstein pour trouver les mots qui réconforteront sa famille, et surtout ueda, son ami de toujours, qui l’aura défendu jusqu’au bout en utilisant des arguments imparables pour réduire au silence ses ennemis, car JC en avait encore, hélas. On a parlé de fraternité de classe entre Marcel U. et lui, mais leur fraternité idéologique allait bien au-delà.
J’approuve cent fois ueda. Mme Taubira est presque de gauche, c’est une raison suffisante pour la vouer aux gémonies.
La barbarie du Hams et les moutons bêlant de France genre Baroz :
http://lessakele.over-blog.fr/article-la-barbarie-du-hamas-115343844.html
JC ! Ueda ! C.P. ! JC ! Ueda ! JC !
Taubira, Staline, même combat !
Ren-dez nous nos im-pôts ! Ren-dez nous nos im-pôts ! Ren-dez nous nos im-pôts !
Les pédés au trou ! Taubira en Guyane ! JC au Panthéon ! Ueda au pouvoir !
Hihihi…
Ce soir, une dissidence, une résistance se met en place dans la Rdl.
Tiens bon, mon JC, mollis pas!
à 22 h 19, ueda fait de l’humour. Quel pince-sans-rire. Il aura bien mérité ses vacances à Porquerolles. La philosophie est une chose, l’amitié en est une autre.
(Il paraît que le prix de l’anneau a encore augmenté au port. Heureusement que JC n’est pas smicard.)
« Tiens bon, mon JC, mollis pas! »
T’inquiète, zouzou. Il est bien nourri.
Et ML à l’information !
« Allez, sous pseudos, envoyez-lui quelques friandises, il l’a bien mérité. » (ueda)
Jamais ueda n’utiliserait un pseudo. D’ailleurs il faut dire Monsieur Ueda.
Un « Finnegan’s Wake » :
je ne comprends pas cette soudaine effervescence. c’est bien un blog de droite, non ? alors où est le problème ? nous sommes entre nous, jc est des nôtres.
et ueda « le repenti » aussi. nous lui pardonnons ces errances du passé.
Ce qui me frappe est concomitance entre la parution de ce Journal de R. Rolland et les ambitions de l’UE actuelle.
R. Rolland ne pourrait-il passer, malgré son gatisme et ses errements et aveuglement pour le père fondateur de l’Europe contemporain, et peut-être même À CAUSE de ses errements et de ses aveuglements ?
C’est du moins ce que suggèrent à bien des égards ces lignes de J.C. Milner dans Les penchants criminels de l’Europe démocratique quand il écrit notamment dans sa conclusion (p. 127) après une comparaison des USA et de l’Europe :
« L’Europe, et spécialement la vieille Europe, est autrement plus affranchie ; elle s’engage bien plus résolument dans les conséquences d’opinion. En un mot, elle est plus moderne. Du reste, elle se pense telle. Là réside, on le sait, l’enjeu véritable de rivalités en cours : à la modernité superficielle des moyens économiques et militaires, substituer la modernité authentique des valeurs et de la paix expansioniste. On peut donc s’attendre que l’Europe soit une terre d’élection pour le antijudaïsme. »
N’est-ce pas exactement ce qui est en train de naître sous nos yeux ? Baroz n’en étant que l’épiphénomène…
Arrêtez de vous en prendre à Baroz, ML. Vous vous sentez fort parce que JC lui tombe dessus et qu’il a maintenant le renfort de ueda ? C’est l’idée que ueda puisse être de votre côté qui vous fait saliver ?
Au fait, vous ne avez pas dit : pourquoi avoir Sitgès pour vos vacances ? Serait-ce un refoulement qui vous détester Baroz ?
J’aime bien Sitgès, la plage, le soleil, la mer. Gerone pas très loin vers le nord. Cet été je n’ai pas pu visiter la cathédrale, alors je vais y retourner, ainsi que le musée des beaux arts sur la place d ela cathédrale. Et j’adore le vieux quartier juif. Le nombre de juifs savants au fil des siècles dans ce petit quartier, il y en a la liste près du musée juif, c’est vraiment impressionnant. Et quand on pense qu’il n’en reste rien, rien de rien. Terrible histoire de l’Europe. Un penchant vraiment suicidaire. Avec la paix et l’ancêtre R. Rolland qui la fonde, c’est le suicide qui nous guette toujours autant. Les nazis d’autrefois sont devenus les djiadistes d’aujourd’hui, mais les enjeux fondamentaux n’ont guère vraiment changé, je trouve. Toujours le même déni du réel, toujours le même aveuglement. Les Baroz ont remplacé les R. Rolland, c’est tout. L’aveuglement s’est massifié. Mais c’est toujours la même histoire, l’éternel recommencement du même.
Et puis mes ancêtres juifs espagnols étaient fort probablement originaire de la vallée de l’Ebre et peut-être même de Gerone, qui sait ?
Et cette fois-ci, je vais m’emmener avec moi dans mes bagages le bouquin de Béatrice Leroy sur Les Juifs du bassin de l’Ebre, que j’avais lu il y a quelques années mais que je n’avais pas approfondi.
Et puis je vais aller à Saragosse en me lisant la Chanson de Roland, autre Rolland… Décidément.
Nouvel essai.
Je disais : réflexions sur des alliances de circonstance.
Mauvaise Langue, JC et ueda enfin unis, contre les socialiss et le mariage pour tous. Examinons les raisons de ce front nouveau.
JC, c’est uniquement pour des questions fiscales.
Mauvaise Langue, on s’interroge : il est prof, il ne doit pas avoir de grosse rente boursière à défendre, il n’a pas de propriété en Méditerranée, n’est probablement pas assujéti à l’I.S.F. On sait qu’il est célibataire et passe ses prochaines vacances dans un haut-lieu de l’homosexualité. Est-ce une explication suffisante ?
Ueda, c’est plus simple : une certaine réussite sociale vient facilement à bout des convictions d’antan, c’est un lieu commun.
ML organise un voyage autour de sa chambre
Mais moi, JE SUIS socialiste mais contre le mariage pour tous.
Non seulement je n’ai pas de grosses rentes boursières à défendre mais ma banque m’a fait acheter des actions qui au fil du temps m’ont fait perdre 600 €… Tant que je ne les revends pas, ça va. Mais c’est dire…!
Je ne savais guère que Sitgès était un haut lieu de l’homosexualité. Mais bon, je n’ai vraiment rien contre les homos. Mais qu’ils me foutent la paix et ne viennent pas détruire mon monde ! C’est tout ce que je leur demande.
D., je t’aime
Encore plus (c’est quand même beaucoup) que lorsque nous fûmes (c’est bon ça ?) anastasiés par l’infâme passou.
Censure du matin chagrin
Censure du soir espoir.
Ueda ne trouvez- vous pas que la partie n’est pas clairement gagnée à flirter avec n’importe qui ,n’importe qu’elle façon ,un ministre con certes c’est votre avis que vous ne tenez pas même à étayer ,j’imagine que votre altitude vous autorise ce genre de jugement de valeur ou que cette personne conne a trouvé à s’illustrer d’une sinistre manière sans appel
Je n’invite que les jolies filles…!
>Je n’invite que les jolies filles…!
hihihi
9999×6666 au moins on sait que la séquence est à l’arrêt ,vous reprenez quand?
Jamais je n’aurais risué d’envoyer quelques lignes sur le blog de P.Assouline si je m’en étais fait l’idée de ce blog , e de la culture de blog que je me fais maintenant .
je suis très sensible à la palette du travail de P.Assouline , depuis longtemps, palettte avec des gammes de commentaires telles que cela sonne à penser ce que peut être un « commentaire » :qui sur son blog tient compte des destinataires, qui ne sont pas tous des francophones accomplis, ce que je ne prétends pas être non plus encore que francophne a priori m’étant posé des questions sur la langue depuis l’âge de trois ou quatre ans (je m’en souviens!, encore , et je les ai vite gardées pour moi, les questions!)
Donc oui, le travail de P.Assouline est si divers que j ‘ai peine à comprendre qu’il n’inspire pas une autre qulité d’échanges des commentateurs qui se connaissent et rivalisent: il est vrai quelle tribune , ce blog !
N’y avait-il pas des restes suicidaires en moi de risquer ici quelques …lignes, liens, images?que certains on dit honteux !
Bonnes vacances, Mauvaise Langue, bons sommeils et bons rêves, -c’est en Espagne que j’ai fait le plus proustien de ma vie , vous voyez que je sais dire des choses personnelles , moi aussi !- celui auquel je dois tout toute ma méoire retrouvée, et les livres qu’elle amis entre mes mains. c’est à lui que e dois d’avoir risqué de me hasarder jusqu’à ce blog, sans nul doute,
un rêve si « littéraire » , comme il m’était interdit !l’ame ailée ! voilà !
bonne nuit!
c’est la fête à zouzou. tous des socialocommuniss qu’ont même pas de résidence secondaire.
ML pour donner suite à cet apport sur sommeil et cognition ,consolidation et réveil vous intersse-t-il de prendre note d’un détail lié à l’age surement et qui me rappelle ce Philippe Araignée dont il est question plus haut dans la colonne:bien que je ne boive pas une goutte d’alcool(car boire en solo bof bof) beaucoup de mes réveils sont embellis par une espèce de delirium,j’ouvre les yeux et le plafond de ma chambre se couvre de quelques à plusieurs dizaines de ces bestioles,je redoute une degenerescence maculaire cependant ces apparitions sont périodiques pas encore saisonnières et je n’ai pas consulté.
Ne craignez rien, hildenstein, ici on ne vous mangera pas. Ou si on vous mange, vous verrez, on vous recrache tout de suite après…
Mais on compte sur vous pour enrichir les échanges sur ce blog. Vous pouvvez compter sur moi, en tout cas. Je ne suis pas méchant. Ou alors je suis très méchant… mais c’est qu’on le mérite. Car je suis un brave type qui ne veut de mal à personne. Mais je tiens quand même à ne pas me faire trop emmerder par les cons… Et Dieu sait que le risque est grand. Un blog, ça peut devenir un alcool fort. Attention à le consommer avec modération…
Déconnez pas, il est super zouzou !
Le seul qui aime JC et Daaphnée.
Un con.centré de la rue Gay-Lussac.
Un pavé dans la gueule, une matraque dans le pif.
Ne vous moquez pas, cet homme a du souffrir
, les stigmates ornent son front, Assas à droite, Sorbonne ailleurs.
Son problème, avec l’âge, il est plus vavin que panthéon.
Pas grave mon zouzou, les vacances à PQ sont offertes.
>Mais je tiens quand même à ne pas me faire trop emmerder par les cons…
Le premier d’entre les cons a parlé
Moi, c’est pareil, je ne bois jamais de vin dans la solitude, uniquement avec des amis, de bonnes bouteilles dans ce cas. Mais le bon pinard, sans folie, j’adore, avec un bon repas. Avec Màc, Lazarillo et Maniatis, et bien sûr Marusa on s’en ai payé une bonne tranche sur ma terrasse. Mais la mort de Marusa a cassé un peu tout ça. C’est dommage. Et on est tous de forts caractères, Lazarillo étant une grande gueule assez drôle. Il n’arrivera jamais, je pense, à comprendre les Juifs mais en même temps il les adore… C’était des discussions épiques et drôles sur ma fameuse terrasse (on va déposer une plaque à ma mort…).
>Moi, c’est pareil, je ne bois jamais de vin dans la solitude
Dit-il en regardant ce qui reste de gros rouge au fond de son verre
Moi, je n’ai pas ce genre d’expérience au réveil. Mais il m’est arrivé d’avoir un autre d’expérience au réveil, une expérience plutôt pénible, celle de tomber dans le vide. Bien sûr ça ne dure qu’une fraction de seconde mais on a l’impression que ça dure très longtemps. Et on tombe vetigineusement. Il faut aussi que j’en parle de ça dans mon roman…
Sur mon bureau, je n’ai qu’une tasse de thé au citron, dont je raffole. J’en bois des tonnes, de thé au citron. J’adore ça. Et à gauche et à droite je suis entouré d’une pile de bouquin, comme cerné par le savoir… C’est proprement effrayant…
Bon, je vais retourné au lit… dodo !
Einstein on the Beach :
La mauvaise langue dit: 16 février 2013 à 0 h 03 min
La nostalgie n’est plus ce qu’elle était.
Ah Laz ! Reviens, Michel te supplie.
Il est prêt à oublier tout Roman (euh, pas moi) mais bon reviens (sans ton infâme chapeau).
Reviens nous raconter Gaza.
« Einstein on the Beach »
Tant qu’à faire pourquoi ne pas mettre en ligne quelque chose de mieux ?
vous voyez que je peux faire de belles coquilles , rien qu’avec du café!
des gammes de commentaires telles que cela sonne à penser ce que peut être un « commentaire »
il ne reste plus qu’à le faire trébucher , celui-là, une vraie offrande!
j’espère que P.Assouline en sera très fier, de celui-là sans me dresser un bûcher !
Je le dis tout net ici.
Je ne supporte plus les lycéens.
Je hais Dicker.
Je ne lirai jamais, ni un lycéen ni Dicker.
Argent perdu, argent foutu.
Révélation moncul.
au fait, pour le prix oedipe, les libraires ont sélectionné
La voix sur le divan Musique sacrée, opéra, techno »
je me demande si la RdL ne va pas avoir le pris de l’aperoedipe
> je consens à revenir.
où vas-tu, d’où viens-tu ? lui dis-je.
C’est une figure de stylite ?
y sont tous antisemitistes, j’vous dis…même (et surtout) les sémitistes…et quant a avoir ses pensées sculptées dans le marbre, tain…perso, j’voudrais pas…non madame…z’aimez bien examiner les chevilles de vos héros en France…remarquez, c’est peut-être pas si mal que ca, cette manie (pardon, exception) française a revisiter l’an 40…tenez, moi par exemple, perso j’aime pas le porc, mais le bacon bio fumé, j’vous dis pas…un anglishe breakfast de temps en temps : bacon, saucisses, œufs au plat, toast, baked beans, tomates grillées, champignons et un earl grey…suis au paradis…oui je sais, aucun rapport a priori avec le sujet dont duquel, mais a y réfléchir de plus près, il y a peut-être un lien…enfin je pense hein…sinon, franchement je m’en tâte…bref, je sais ce que je pense savoir et ca me suffit…
sinon, je regarde Buddy Rich a la TV en ce moment jouer Norwegian Wood…devant ses musiciens sur scene…les batteurs sont d’habitude, par humilité, derrière les musiciens, mais pas lui… non madame, il pense que la sienne est la plus grosse…
6 h 10. La RdL rouvre. Je n’ai presque pas dormi. J’ai rêvé un peu de Romain Rolland, puis de Mauvaise Langue, puis de ueda. Y avait hildenstein, aussi, qui me disait : tiens-toi droit, tiens-toi droit. Un drôle de rêve.
Romain Rolland, Inde – Journal 1915-1943, Tagore- Ghandi- Nehru, et les problèmes indiens, Editions Vineta Paris – Lausanne – Bâle, 1951, p.414
« Novembre 1943 – Les Indiens de Paris me tendent une trappe. Ils me convient (sous la signature de D.S. Madhava Rao) à faire partie d’un ‘Centre de l’Inde libre’ qui se réclame de Subhas Chandra Bose (le chef bengali, qui a conclu une alliance avec les Japonais); et ils exhibent un prétendu message de Ghandi, (à la vielle de son arrestation), répudiant sa tâche de la non-violence et faisant appel au combat. – Ils savent très bien que je ne puis pas leur répondre, et que ma patrie à moi est prisonnière. Mais ils n’ont souci que de la leur. Et pour la libérer, tous les moyens sont bons, – même l’enchaînement des autres. »
Plutôt lucide en l’espèce, RR, non?
Il faut se souvenir qu’il s’agit d’un homme âgé, pétri de culture, pour lequel le monde était pour ainsi dire fait ; mais aussi que ce qui était en train de se produire était sans référence dans l’histoire connue, quasi insaisissable pour ceux qui étaient sortis de la période active de la vie. Si je lisais ce livre, j’y traquerais plutôt un témoignage sur la difficulté de porter un regard sur ce qui est quand, pour celui qui écrit, ce qui est dépasse ce qu’il est devenu possible d’imaginer, et que toute lutte est devenue impossible. C’est à ce point que commencent à la fois la réflexion sur une certaine littérature, sur l’homme et sur l’histoire. Au regard de quoi la petite morale qui sert à toute la famille « il a tout vu », on le garde, « il s’est trompé » on passe, le plus souvent dénuée du moindre regard significatif sur le présent, ne pèse pas très lourd. A la page 1058, l’auteur des notes a peut-être moins « souffert » qu’il n’a compris.
Anniversaire : le l6 février 1899, le président Félix Faure succombe à une fellation au palais de l’Élysée. Marguerite Steinheil met trop de coeur à l’ouvrage, son amant présidentiel ne résiste pas à l’aimable gâterie. Prudence !
Le prêtre :
– A-t-il encore sa connaissance?
– Non, elle est sortie par la petite porte.
« Il voulut être César, il ne fut que pompé… »
@chaloux
l’astuce à base d’histoire romaine
est de Clemenceau .Elle est plus parlante à l’oral qu’à l’ecrit où l’oeilne fait pas immediatement le rapprochementsuggeré,car distingue entre Pompée et pompé,ce que ne fait pas l’oreille
– Vous n’auriez pas vu un type étrange, on l’appelle M, un gars un peu fou…?
– Non, il ressemble à quoi ?
– Il aime se déguiser en Louis-Ferdinand Céline
– Ah ! l’imprécateur ! Il parle seul, là-bas, sur le banc. Attention, il mord.
même post qu’à 8 h22 corrigé des fautes de frappe
@chaloux
l’astuce à base d’histoire romaine
est de Clemenceau .Elle est plus parlante à l’oral qu’à l’ecrit, où l’oeil ne fait pas immediatement le rapprochement suggeré,car il distingue entre Pompée et pompé,ce que ne fait pas l’oreille
Merci DHH, c’était très intéressant, surtout à la seconde (j’espère) lecture
« Il est mort dans l’exercice de ses doubles fonctions »
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