de Pierre Assouline

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La République des livres
Séductions de l’ordre et du chaos

Séductions de l’ordre et du chaos

Deux livres que le hasard de la librairie m’a amené quasiment en stéréo alors que l’un n’a rien à voir avec l’autre. Il est même son antagoniste sur le plan de la construction : autant l’un est rigoureusement organisé, autant l’autre part dans tous les sens. Ce qui fait leur attrait et leur secrète séduction, aux deux.

Par le ton et la démarche, Une affaire si facile (160 pages, 17 euros, Le Cherche-midi) de Francis Szpiner (Paris, 1954) n’est pas sans rappeler son premier roman Une affaire de femmes (Balland, 1986), consacré à la « faiseuse d’anges » Marie-Louise Giraud que ses activités d’avorteuse dans la clandestinité avait conduite à l’échafaud en 1943, que Claude Chabrol avait adapté pour le porter à l’écran. L’auteur étant dans le civil un pénaliste réputé, on dira que ce sont des livres d’avocat alors qu’il s’agit de romans que seul un avocat passionné de littérature pouvait oser écrire tant la vérité crue dans toutes ses facettes, des plus évidentes aux plus perverses, y côtoie l’invraisemblable dans toute sa séduction. Autobiographique ? Mieux encore : du vécu sauf dans le dénouement.

Imaginez un instant… Nous sommes en 1984. Me Simon Fogel, jeune avocat parisien déjà très lancé par ses plaidoiries remarquées lors de procès qui ont défrayé la chronique, accueille dans son cabinet une femme que tout indique comme la coupable d’un crime qui vient d’être commis. Tout à commencer par elle-même. Avant de passer au commissariat, elle lui livre des aveux complets. Elle a fait feu sur son mari (une balle de calibre 12 dans la tête) dans leur pavillon de banlieue. Il accepte son dossier en connaissance de cause : son mari ne se contentait pas de la battre depuis des années, il l’humiliait, l’avilissait en la soumettant à sa fantaisie sexuelle en la faisant descendre au plus profond du sordide. Pas d’antécédents, criminels, pas de casier judiciaire, tout parait clair et limpide, d’autant que lorsque s’est résigné à s’emparer du fusil de chasse pour l’abattre dans son sommeil d’alcoolique, elle voulait avant tout protéger leur fils Nicolas, six ans.

Le récit est d’un réalisme glaçant, clinique, sans effets de manche, dénué du moindre pathos. Par la maitrise de sa construction, il fait penser à un travail d’architecte tel que le romancier italien Sandro Veronesi, architecte de formation (il avait consacré sa thèse à la restauration moderne sous Victor Hugo), l’évoquait récemment dans une interview à Libération à propos de son Colibri (traduit de l’italien par Dominique Vittoz, Grasset). Tout un art de la composition qui traite les chapitres en masses, se permet tous les jeux avec la chronologie, les bases, les parties structurantes, les lettres échangées par les personnages interposées comme le sont des matériaux :

« En architecture, on étudie aussi le rapport entre les figures et l’espace, or l’architecture et le roman ont encore ceci en commun qu’il n’existe pas de personnages sans espace. Pour écrire un livre solide, ma référence est la solidité architecturale »

On avance dans la lecture d’Une affaire si facile comme dans un polar bien ficelé sauf que c’est d’autre chose qu’il s’agit car l’auteur nous engage dans une réflexion très personnelle sur la position de l’avocat face à la culpabilité, au secret professionnel, à la morale, à sa conscience et la déontologie. La réussite du roman tient aussi à son dénouement qu’il faut évidemment se retenir de révéler. Disons que c’est pour le moins inattendu. En s’imposant, la vérité n’est pas si simple qu’elle paraissait. On sait que Martine sera condamnée pour le meurtre de Marcel, du moins l’on s’en doute en toute logique, le rôle de son défenseur étant alors supposé être celui qui tentera tout pour réduire sa peine. Sauf à ce que le jeu soit faussé dès lors que la complexité s’en mêle, les évènements dussent-ils être racontés du point de vue d’un narrateur unique, Me Fogel, maitre de ce labyrinthe d’interprétations et de fausses pistes. Au procès, il se fait fort d’opposer ses incertitudes aux certitudes de Mme l’Avocat général. On le sait, le prétoire, c’est la guerre. Sauf qu’en déposant sa robe pour écrire son roman, Me Szpiner a vissé un silencieux au canon de son arme. On se croirait chez Simenon. Non celui des enquêtes de Maigret mais celui des romans durs.

« Regardez-la, est-ce qu’elle vous fait peur ? Moi, je pense que si demain vous la rencontriez, vous la serreriez dans vos bras, et vous la plaindriez. Parce que sa vie a été un calvaire. Et sa peine, elle l’a déjà subie.

Autant l’histoire de Francis Szpiner est rigoureusement ordonnancée, autant Par instants, la vie n’est pas sûre (347 pages, 21,90 euros, Pol), le récit à fragmentations de Robert Bober (Berlin, 1931) ne l’est pas. Non que celui-ci ne sache pas faire, les lecteurs éblouis et bouleversés par son Quoi de neuf sur la guerre ? (Pol, 1993, Prix du livre Inter), qui marqua l’entrée en littérature de ce documentariste loué et lauré très lié à Georges Perec (ils ont fait ensemble Récits d’Ellis Island), ont pu le vérifier depuis avec Berg et Beck (Pol, 1999) notamment. C’est juste que Bober a écrit de la manière qui correspondait le mieux à son état ; et si le résultat parait à juste titre assez foutraque, cela reflète son bon plaisir et sa sincérité à 89 ans. Le résultat est une merveille de sensibilité aux détails du quotidien, de finesse d’esprit et d’intelligence critique.

Son titre est inspiré de la Nonchalance (Verdier, 1991) de son ami Pierre Dumayet. Celui-ci, qui n’est pas le dédicataire de son livre (c’est Paul Otchakovsky-Laurens mort accidentellement il y a deux ans- et regretté par ses auteurs comme rarement un éditeur le fut), fut également son complice puisqu’en semble ils ont signé une quarantaine de documentaires consacrés notamment à des écrivains : Flaubert, Queneau, Balzac, Dubillard… Autant de pépites qui font l’orgueil de notre patrimoine télévisuel. Des rencontres comme on n’en fait plus et qui n’avaient d’autre but que de faire lire un écrivain. Décrire la peau du texte pour donner envie d’aller la caresser et en faire jaillir du sens, des odeurs et des émotions. Y a-t-il plus noble et plus ambitieux pour qui tient boutique dans la petite lucarne ? Par instants, la vie n’est pas sûre est en fait conçu sous la forme d’une lettre adressée à l’ami disparu en 2011 ; mais même cette lettre est foutraque, ce qui d’ailleurs n’a pas d’importance. De toute façon, le séduisant chaos du récit est annoncé dès les phrases d’Aragon placées en épigraphe, issues de son foutraquissime et passionnant Henri Matisse, roman (1971) :

« Ce livre ne ressemble à rien qu’à son propre désordre (…) Il égare ses pas, revient sur ses propres traces… Par moments, on croirait le suivre, et voilà qu’on se retrouve ailleurs, d’où l’on s’imaginait il y a bien longtemps parti ».

Au fond, le fatras d’un livre n’est acceptable que lorsqu’il est revendiqué et glorifié au même titre qu’une forme littéraire. Ce qui compte, ce sont les voix, celles de Bober et Dumayet, comme s’ils poursuivaient leur conversation entamée il y a un demi-siècle. Et leurs timbres imposent leur présence dans toutes les pages. Retours d’anecdotes, bouts de conversations, éclats de mémoires, citations en veux-tu en voilà et des lettres comme autant de conversations avec un absent. C’est un lecteur de Quoi de neuf sur la guerre ? qui lui écrit : « Votre livre, vous l’avez écrit en français mais je l’ai lu en yiddish ». C’est son ami le dramaturge Jean-Claude Grumberg, qui comme lui à ses débuts « tira l’aiguille » dans l’atelier, qui confie dans un éclair de mélancolie : « Plus je vieillis, plus je deviens enfant de déporté ». C’est une réflexion née d’un mystère cézannien demeuré inentamé, celui des cartes blanches entre les mains d’un des Joueurs de cartes, du moins dans l’une des cinq versions du tableau (comment joueur ainsi ?). C’est l’admiration muette mais reconnaissante pour l’œuvre de Vladimir Jankélévitch. C’est l’exploration permanente de sa bibliothèque de grand lecteur que l’on devine profuse, variée, surprenante. On n’est pas déçu.  Son grand livre parmi des milliers d’autres, c’est The Family of Man qui contient quelque 503 photos sélectionnées par le photographue Edward Steichen en 1955 pour une exposition au Moma. Et s’il ne devait n’en retenir qu’une, qui serait « la plus belle photo au monde », ce serait celle qu’Henri Cartier-Bresson prit à Bali pour tout ce qu’elle raconte du passage du temps sur les corps.

Robert Bober, ancien assistant-réalisateur de François Truffaut sur ses trois premiers films,  a son tempo qui n’est pas celui de… disons, Jean-Christophe Averty. C’est quelqu’un de lent, au débit réfléchi, qui prend son temps pour mieux nous le donner. Son livre est calme, débordant de tendresse et d’humanité, zébré parfois de saines colères qui surprennent d’autant plus par leur violence (contre « l’immonde Plenel » par exemple, le journaliste auquel il ne pardonne pas de s’être comparé aux martyrs de l’Affiche rouge après s’être retrouvé en couverture de CharlieHebdo).

De toute sa vie, Robert Bober n’aura passé et réussi que deux examens dont il est également fier : celui de tailleur-coupeur-gradueur et celui de la Commission d’avances sur recettes pour son plus récent film Vienne avant la nuit (2017). Ne lui ayant jamais commandé un costume à mes mesures, je ne saurais en juger ; mais j’ai vu son film plein de dates, de noms, de lieux et de fantômes, enquête sur les traces de son arrière-grand-père dans ce qui reste du monde d’avant, et je puis vous assurer que cette méditation sur la mémoire et l’oubli est exemplaire de sensibilité. Comme son livre.

(« Cimetière »; « Avec vue sur le Prater » images extraites de Vienne avant la nuit de Robert Bober)

 

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 356 Réponses pour Séductions de l’ordre et du chaos

Jazzi dit: à

« P., la jeune étudiante allemande qui m’offrit son exemplaire, pendant le rude & long hiver écossais… »

Vous êtes-vous adonnés à la réconciliation franco-judeo-allemande, Bloom, sous un plaid écossais ?

Janssen J-J dit: à

@ Bloom /JJJ, Christian (DHH) à propos de The Fixer (L’Homme de Kiev), que vous connaissez, ce qui me réjouit.§
Info utile sur Malamud au programme… mais je ne comprends pas…: Christian (DHH)
Can you explain, please ?

Jazzi dit: à

Un seul « e » vous manque et tout est incompréhensible, JJJ !

Soleil vert dit: à

1->JJJ « A qui bon, se dit-on, envoyer des signatures cosmiques artificielles de nos déchets à d’autres civilisations improbables mais vraisemblables, déjà éteintes ou pas encore nées, SV ? »

Voyager 1 et 2 : Voyez cela comme des tombes qui perdureront quelques milliards d’années, jusqu’à la grande collision

https://www.youtube.com/watch?v=2WEI8WBJkKk&feature=emb_logo

2-Quelqu’un a lu le dernier alaa al-aswany (J’ai couru vers le Nil) ?

Janssen J-J dit: à

@ Ch. /Lu dernièrement son étude de Manon Lescaut./

De quoi ?… DHH aurait écrit une étude sur Manon Lescaut ? et la RDL ne l’aurait même pas mentionnée ? Mais que fait la polprox du blog erdélien ? C’est un comble !

renato dit: à

Pour faire dans la précision christiane, ai écrit : « citations vaguement commentées » ! Je cite de mémoire, mais je ne commente jamais une citation. Pour ce qui est des liens, chacun peut se faire son idée, je n’impose rien.

Heureusement je ne suis pas prof, mais je corrige de thèses et les doctorants en sont satisfaits.

christiane dit: à

Janssen J-J,
Oui et une autre sur « Iphigénie » que j’ai évoquée il y a peu mais je n’en ai pas dit plus pour ne pas dévoiler son identité. A elle de le faire si elle le désire mais quel bonheur de lecture !

Ch. /Lu dernièrement son étude de Manon Lescaut./

De quoi ?… DHH aurait écrit une étude sur Manon Lescaut ? et la RDL ne l’aurait même pas mentionnée ? Mais que fait la polprox du blog erdélien ? C’est un comble

Janssen J-J dit: à

@ 2-Quelqu’un a lu le dernier alaa al-aswany (J’ai couru vers le Nil) ?

Moij, et c’est un roman admirable qui disait tout des espoirs fous du printemps égyptien de la place Tahir d’il y a huit ans, et la chute de Moubarak… Quel suspense…, mais on sentait bien comment l’affaire allait avorter dans les échanges des deux épistoliers amoureux l’un de l’autre… Un roman sociologique présentiste exemplaire, à mes yeux… On gagnerait encore à le lire aujourd’hui, car la braise couve toujours… Je signale le courage d’El Aswani qui a pas mal bourlingué depuis. Il a au moins su profiter de la notoriété du succès international de ses deux romans pour écrire une charge impitoyable contre tous les dictateurs.
Doit-on piétiner son entreprise « sociologique » même si elle reste en deçà de ce qu’on aurait pu en attendre ? A tout hasard…
https://www.babelio.com/livres/El-Aswany-Le-Syndrome-de-la-dictature/1229696

christiane dit: à

Oui, Renato, « heureusement vous n’êtes pas prof » ! La culture vous l’avez. Le goût de la beauté aussi, l’amour de l’Italie par la littérature et l’art aussi. Mais votre suffisance, votre mépris atténuent la joie que l’on pourrait avoir à vous lire.

vanina dit: à

Gogol est difficile pour les Russes, pensez-vous. C’est vrai que tout est disponible, sur la toile, et dans les bibliothèques. Il faut dire que si vous lisez Tiutchev dans le texte, vous vous rendez compte de la difficulté de rendre cela dans une autre langue… Espace, histoire,géographie. Espace mental aussi, pour y loger tous ces excentriques, vous vous attendez à les voir dèbarquer dans une certaine station de poste, et voilà qu’ils se logent ailleurs, qu’ils brulent leur oeuvres, qu’ils sont la proie de quelque Père Matvei. Parfaitement surréel, le surréalisme bourlingait en Russie du temps de Gogol, qui se prononce avce un son moullié final, et se lit avec de frissons de joie et de peur. Personne n’est obligé d’explorer ces vastes steppes, où l’immensité se fait ame, et produit des bonheurs et des malheurs,de dimensions parfois grotesques.Déjà l’onomastique de ces personnages donne dans le délire. Merci a Christiane pour les liens. Le journal et les lettres de Rome sont à conseiller por le débutant dans le Gogol bordel.

christiane dit: à

JJJ,
Je vais regarder La Grande librairie en pensant à votre commentaire.

Soleil vert dit: à

Notez comme j’essaye de rattraper le sujet du jour:
les tombes (photographie de l’article) et l’ordre galactique surgissant du désordre engendré par un titanesque choc futur

——————–> allez hop tisane

christiane dit: à

Vaninajoie de lire cette si belle évocation de la Russie au temps de Gogol et de la littérature de ces « excentriques ». Avec Paul Edel, vous êtes lectrice en harmonie.

Marie Sasseur dit: à

Vous n’avez rien raté soleil vert , les 2 bouquins présentés par Passou, les  » je vais tout lire »  » je vais tout regarder », ne les ont pas lus. Comme d’habitude.

Et pour Veronesi, il est passé juste pour faire coucou…heu cuicui.

Marie Sasseur dit: à

Sinon soleil vert, ici c’est toujours les feux de l’amour à St St Malo.

Marie Sasseur dit: à

Enfin, maintenant c’est à St Petersbourg que ça se passe.

Marie Sasseur dit: à

Il vont nous refaire le coup du tableau de Goya, qu’était pas de Goya, je vois ça d’ici. Ma biche, la biche.
Ah sont chauds de chez chaud, ces vieux.

renato dit: à

Etudiant je n’aimais pas les profs sympatiques, christiane, car il n’étaient jamais à la hauteur de la situation — mais j’ai établi des relations d’amitié avec quelques rustres exigeants — des deux sexes. Relations qui se sont maintenus après les études. Aujourd’hui j’apprécie que l’on ne m’apprécie pas pour des qualités éphémères comme la sympatie, etc : jamais cherché l’approbation et toutes ces choses qui font la joie de gens sans superficielles.

renato dit: à

Sans sans

Marie Sasseur dit: à

@ »jamais cherché l’approbation et toutes ces choses qui font la joie de gens sans superficielles.

Il se gave cette grande gueule de milanais.

Le motodidacte est allé à l’ecole, pas assez longtemps, et depuis des décennies qu’il est en France, ne maitrise toujours pas la langue. C’est dire si l’incompréhension est totale.

christiane dit: à

Le Centre Pompidou sera fermé de septembre 2023 à la fin 2026 pour travaux de rénovation.
« Si Beaubourg éteint ses feux dans la capitale, ses collections continueront de rayonner hors les murs, par le biais d’expositions en région et à l’étranger. »(Roxana Azimi).
Que vont devenir les emplois de 150 agents (sécurité – billetterie – librairie – bibliothèque…) ?
Le musée d’art moderne et les expositions temporaires me manqueront.

christiane dit: à

Superficiel le respect de l’autre, Renato ? pas important, le mépris ? Ce n’est pas un registre de « sympathie » mais d’accueil de l’autre avec ses forces et ses failles (culture).

rose dit: à

Le virus est entré ds l’Ehpad de ma mère.
Plus de trois résidents testés positifs.
Quatre jours aujourd’hui enfermée ds sa chambre de 13,42 m².
Écrit à la curatrice pour la mettre à l’abri chez moi.
Et à l’avocate de ma mère pour qu’elle m’aide ds cette démarche.
Put1 de trouille.
🥶

lea levy dit: à

’on n’a jamais fini d’apprendre.
il y en a qui semblent le croire sur la RDL en s’offrant comme psy ou comme médecin ! d’ailleurs FUT UN TEMPS où Legendre ne portait pas les psys dans son coeur;c’étaient pour lui des fauteurs de ravages !
depuis , à propos de la SHOAH ? Gérard HADDAD, mais oui, c’est son nom, a écrit « les péchés originels de la psychanalyse et a fondé son groupe!
quant à choisir un patronyme, rares ceux qui peuvent se le permettre;
bien sur les auteurs , mais même ceux qui suite à une émigration changent de patronyme, ils ne sont pas sans subir des « influences »
voici un exemple:
même wiki le raconte:
C’est l’année de sa Bar Mitzvah que son père lui révèle le véritable nom de sa famille : Kawaliersky. Kawaliersky n’est pas un véritable nom juif ; les Juifs de Pologne étaient contraints de s’inventer un nom pour se plier aux différentes campagnes de recensement des pouvoirs administratifs de l’époque. Quoi qu’il en soit, symboliquement, c’est le nom du père que Stanley Goldstein choisira, en l’américanisant, pour se renommer Stanley Cavell.

Jazzi dit: à

Ce n’est pas un problème de sympathie, renato, mais de générosité.
Les gens (masculin. pluriel) = superficiels

D. dit: à

Moi renato j’ai appris à vous apprécier.

et alii dit: à

tout le monde ne choisit pas son patronyme, et beaucoup ont des « patronymes » qui ne leur appartient pas en propre (des prénoms non plus)

et alii dit: à

on dit « l’hospitalité » !

et alii dit: à

on a beaucoup travaillé sur « les lois de l’hospitalité » et tout le monde sait la « parenté » entre hospis ,et hostes
c’est CLOPINE qui écrivait ici « notre hôte » , j’aimais bien

renato dit: à

Le respect est conséquent des situations données et de l’environnement , christiane, il n’est jamais donné d’avance — sauf dans le relations superficielles qui se fondent sur la sympatie, faute de mieux.

rose dit: à

On ne va pas se mentir.

Sûr qu’il est bien plus profitable de mentir à autrui.

Ma tronçonneuse est nickel chrome jazzi.
Sûr que ce n’est pas une poule qui a trouvé un porte-plume qui va s’en servir.

Bloom dit: à

Christian

‘tain de clavier…ChristianE.

et alii dit: à

renato, en vous lisant, je songeais que tous les gamins en âge scolaire crient « respect » puis m’est revenue une histoire de Dolto -pas un psy juif, Dolto- qui conseillait à une enfant de dire à son père-« tu ne me respectes pas »(il y a surement un écho de ça sur la toile)

Jazzi dit: à

Dire que tous les prof sympathiques sont forcément mauvais est une belle imbécilité, renato.
Il vous arrive de réfléchir avant d’écrire ?

christiane dit: à

Dernière lecture méditative, cette plaquette de poèmes d’Angele Paoli Traverses écrits pendant le dernier confinement. (éd. Les Lieux-Dits – Strasbourg – collection les « Cahiers du Loup bleu »).
Dans ce recueil, quelques lignes d’un poème :

« Tu déambules sur l’Appia
tu perçois son immense richesse
et ton immense ignorance

tant de choses dont tu effleurais l’existence
consciente qu’au-delà de l’autoroute
s’ouvraient d’autres mondes

les monts succèdent aux monts
les lieux imaginés gardent au secret
leurs secrets

il aurait suffi d’un écart pour rejoindre
l’arrière-pays saisir à la volée
tout ce qu’il recèle
de trésors enfouis

il est trop tard maintenant
rien ne sera plus de ce qui fut
et que l’on pouvait appeler le bonheur

trop tard pour prendre la route
et filer au hasard vers les nids d’aigle
inconnus

trop tard pour aller à la rencontre
d’autres contrées et d’autres hommes
peuples samnites d’hier
volsques et messapiens
apuliens dont les noms te grisent

trop tard

seules restent les pages des livres
les noms posés comme diamants
dans le tracé des cartes

aucun voyage ne sera plus possible
sinon l’ultime dont les portes trembloient
dans un faisceau en demi-teinte

bientôt elles se préciseront encore
leurs formes se détacheront
sur un fond de lumière aveuglante
ou sur un noir profond
plus aveuglant encore

ce temps-là seul est proche
qui guette le moment propice
pour imposer sa loi
pour happer les vivants
que nous sommes à l’instant
où tu poss les mots sur la page

pour combien de temps encore ? »

Jazzi dit: à

« leS relations superficielles qui se fondent sur la sympatie »

Une autre imbécilité générale, renato !

Bloom dit: à

Ma génération s’est lancée à corps perdu dans l’œuvre de réconciliation franco-allemande, Baroz. En partie par le truchement des jumelages entre villes, parfois préludes à d’autres appariements…

et alii dit: à

renato
on ne sait jamais à l’avance comment va évoluer une »relation » ;
hier encore, j’avais une « relation superficielle » avec deux femmes (séparément ,mais l’une connaissait l’autre), et cette relation superficielle a évolué
vers une relation sérieuse où la vie de l’une , légèrement délirante ,(ce d’une opinion partagée par des gens indépendants et qui la connaissent )dépend de la diligence de l’autre et de ce que nous nous somme raconté ;j’ai bon espoir que ça tournera au mieux

Jazzi dit: à

Les meilleurs appariements sont les emmanchements ou embranchements, comme dirait le boug, Bloom !

renato dit: à

Le respect, et al., se mérite.

renato dit: à

Je n’aimais pas les profs sympatiques, Jacques, la sagesse rétrospective aidant j’ai compris qu’ils cachaient des failles bloquant la progression. Tandis que les rustres exigents ne se gênaient de montrer leurs failles et ouvraient ainsi des perpectives. Pour l’imbécilité, c’est plutôt une qualité qui vous caracterise, mais je ne nie pas que moi aussi je puisse parfois faire preuve d’une certaine stupidité — qui, selon C. A. Dossi, est necessaire à la pensée.

et alii dit: à

renato, il y a la dignité de l’homme et le respect s’adresse à cette dignité de l’être humain ; c’est bien plus profond que la fraternité et oblige

Jazzi dit: à

Et ceux qui n’ont aucuns mérites, il faut les exterminer ?

et alii dit: à

À la différence d’autres Constitutions étrangères telles que la loi fondamentale allemande du 23 mai 1949 (art. 1er) ou la Constitution espagnole du 27 décembre 1978 (art. 10), la dignité de la personne humaine n’est pas consacrée explicitement par la Constitution du 4 octobre 1958 ou par les textes auxquels renvoie son Préambule. La seule occurrence du terme « dignité » figure à l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, qui impose que tous les citoyens soient admissibles aux dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents. La « dignité » renvoie ici à la « qualité de membre d’un ordre civil ou militaire » ( commentaire de la décision n° 2014-429 QPC du 21 novembre 2014).

DHH dit: à

Puisqu’on a parlé Yddishland, Rachel Ertl ,école juive americaine ,un souvenir qui en dit peut être long sur la difference entre culture ashkénaze et culture séfarade
C’était la fin d’un colloque, où Rachel Ertl, sur je ne sais plus quel sujet particulier, avait été comme d’habitude ,intéressante érudite brillante et même drôle. Un des assistants l’a interpellée lui demandant par quelle démarche ,avec quels arguments, peut etre par quelle ruse, elle était arrivée à installer un enseignement du yddish à la Sorbonne
Et voici sa réponse
Elle a commencé par citer un proverbe yddish qui dit a peu prés « Parfois il faut savoir aller chercher son oreille en passant par dessus sa tête »
Puis elle montré comment cette recommandation de la sagesse ashkenaz pouvait illustrer sa démarche, expliquant que, prof de littérature américaine , elle avait largement consacré son cours à l’école juive américaine ,et que, dans ce cadre, elle avait été soucieuse de montrer en permanence que la bonne compréhension de cette littérature impliquait une certaine familiarité avec la langue yddish .,Elle a ainsi développé chez ses étudiants une appétence pour l’étude de cette langue suscitant de leur part, année après année , une demande que la Sorbonne a fini par agréer ,en lui confiant évidemment la responsabilité de cet enseignement
Or cette histoire d’oreille qu’on atteint par un geste biscornu a son pendant dans le folklore sefarad maghrébin mais avec un sens different : C’est le geste imbécile que fait Djoha le simple ,le demeuré celui qui dans cette tradition incarne la bêtise ,quand on lui demande : »;Ou est ton oreille ? » et que ne recourant pas au geste simple et évident ,il va la chercher en passant par-dessus la tête .Là-bas on faisait souvent reference dans la vie courante à cette bourde de Djoha , et il était fréquent ,lorsqu un enfant ne s’était pas montré bien futé que sa mère le traite de Djoha , et que joignant à cette parole un geste démonstratif elle aille attraper sa propre oreille comme le mythique benêt
Doit –on donner un sens à ce parallelisme qui n’en est pas un entre ce que la culture Ashkenaz et la culture sefarad font de ce chemin tordu vers l’oreille,qui signe la subtilité et de l’intelligence pour les uns, la bêtise pour les autres ?

et alii dit: à

NE PAS TRAITER LA PERSONNE HUMAINE SIMPLEMENT COMME UN MOYEN / LA DIGNITÉ HUMAINE.
La personne doit demeurer libre, et sa vie ne doit pas être instrumentalisée et dictée par autrui. La personne humaine doit être reconnue comme une personne

juridique, dotée de volonté, et non pas exploitée et avilie.

Le principe de dignité implique tout d’abord de ne pas traiter l’homme comme un animal ou un objet.

L’esclavage est historiquement l’une des plus graves atteintes à la dignité de la personne humaine.

D. dit: à

Bon maintenant je quitte ce blog insupportable.

renato dit: à

Vous glissez et al., le respect qui s’adresse à la dignité de l’être humain et plus generalement à tout vivant est une évidence. Individuellement, je peux ignorer, mépriser et ainsi de suite des gens qui ont perdu leur dignité.

DHH dit: à

ce que j’ai donn& sur iphigenie et manon lescaut c’est un produit scolaire , l’edition de ces textes classiques(des extraits s’agissant de Manon. c’etait dans la collection des petits classiques Larousse qui a disparu et qui aidait beaucoup les profs parce que le texte présenté etait assorti d’une batterie de question sur chaque paragraphe et parfois sur chaque ligne , destinée a guider dans l’analyse litteraire mâchant en quelque sorte le travail des profs
je ne possede même plus d’exemplaire de ces deux petits opuscules que j’ai élaborés au tout debut des années 60.
donc rien d’un travail de critique litteraire mais l’ouvrage sérieux d’une prof appliquée

renato dit: à

Pour Beaubourg, si j’ai bien compris, le proget pour les prochaines années serait de faire voyager les collections — expos en France et à l’étranger. Ce n’est pas une mauvaise idée.

Marie Sasseur dit: à

@école juive americaine 

« Le yiddish était parlé dans la Pologne d’avant-guerre par près de 3 millions de locuteurs et, non contente d’être la langue quotidienne vernaculaire de la majorité des juifs polonais, était une langue florissante tant sur le plan littéraire et théâtral que dans le cinéma et la politique. Aujourd’hui, quelques locuteurs natifs du dialecte polonais du yiddish subsistent en Pologne mais on les trouve plus sûrement dans les centres de la culture juive dans le monde tels que Londres ou New York. Le statut du yiddish en tant que langue menacée dans le monde est attesté  et de minutieuses tentatives d’en établir les caractéristiques preuves à l’appui ont déjà été entreprises (en particulier par Jacobs 2005). Cependant, la variété polonaise du yiddish, en dépit de sa supériorité numérique d’avant-guerre, fait face à un danger encore accru par la tentative de revitalisation de cette langue qui s’appuie sur la notion de « standardisation linguistique ». Aussi illogique que cela puisse paraître, c’est la forme nordique de cette langue (le yiddish lituanien et letton) qui a servi de base au yiddish standardisé par l’Institut YIVO pour la recherche juive de New York (et ce, malgré un nombre inférieur de locuteurs) et qui est à présent utilisée comme langue standard dans les manuels et les cours d’été dans le monde. »

Du shtetl à la ville : à la recherche d’un yiddish (presque) perdu

From the Shtetl to the City: à la recherche du yiddish (presque) perdu

Michael Hornsby

https://journals.openedition.org/droitcultures/3969

Janssen J-J dit: à

Une relation « sérieuse »…, c’est comme chez Veronesi la longue relation d’un homme marié avec une maîtresse amie avec laquelle il a conclu le pacte de ne jamais coucher, comme condition sine qua non de ne jamais se déprendre l’un de l’autre.
Reste à savoir si cette architectonique est plausible dans « le Colibri » dont on ne nous parle pas. J’attends ma soeur qui, j’espère, mettra fin à ce suspense intolérab’, au sortir du débriefing de son deuxième voyage aérien…

NB / pour les amateurs d’histoires sociologiques moins controuvées que les relations Arendt/Heidegger, je propose d’aller méditer sur le pacte de l’union de Max et Marianne Weber, mariés mais restés chastes au moins durant les cinq premières années de leur mariage…, puis d’aller comprendre au fuinal son le rattrapage du temps perdu avec Else Jaffé (cf. l’étonnante biographie de François Bafoil sur Max Weber… et, sa descente en flamme par I. Brunhs, un collègue allemand qui la pulvérise avec tout le mépris suisse que l’on pourrait vouer à notre vulgaire Onfray se payant la tête de Freud, … pour le coup, un Bafoil bien trop freudo franchouillard aux yeux de l’Allemand – https://www.cairn.info/revue-l-annee-sociologique-2018-2-page-e6.html
***Pardon à etalii pour ce HS au billet, c juste histoire d’améliorer si possible votre Kultur franco-allemande. De rien,

Marie Sasseur dit: à

Quant à l’opposition Ashkhenaze/ Sefarade elle me semble de plus en plus suspecte d’idéologie.

Marie Sasseur dit: à

@J’attends ma soeur qui, j’espère, mettra fin à ce suspense intolérab’, au sortir du débriefing de son deuxième voyage aérien…

I’ll wait before landing.

Ciao je perds trop de temps ici.

et alii dit: à

excusez moi, me revient un souvenir d’un adage que j’avais appris ( avec l’enseignement sur Kantorowicz! sic)
c’est « la dignité ne meurt pas »
je ne l’ai pas retrouvé par google (j’ai envie de faire la sieste!)mais je vous mets une belle citation d’un poète:
Le désir d’avoir une mort bien à soi devient de plus en plus rare… Jadis, l’on savait que l’on contenait sa mort comme le fruit son noyau. Et cette conscience vous donnait une singulière dignité, une silencieuse fierté.
Rainer Maria RilkeCahiers de Malte Laurids Brigge (1910) de Rainer Maria Rilke

puck dit: à

ce blog c’est quand même plus sympa quand les échanges se font dans une bonne ambiance en toute amitié, sans insultes et autres attaques personnelles.

les agressifs se sont lassés et ils se sont barrés, et c’est tant mieux.

je veux dire tant mieux pour vous ! parce que moi j’avoue que je m’emmerde un peu à vous lire…

puck dit: à

Jazzi !!!!!!!!!!!! t’as il existe mieux que l’autobiographie : le vécu sauf dans le dénouement.

Si tu veux je peux t’expliquer ce que c’est le vécu sauf dans le dénouement, comme ça tu pourras écrire un truc mieux que l’autobiographie.

en fait le vécu sauf dans le dénouement, ça veut dire que dans le dénouement c’est plus du vécu, ça devient autre chose.

si j’ai bien compris l’article de passou ça devient un truc « architectural ».

Jazzi si tu veux je peux t’expliquer comment on pond un truc architectural.

christiane dit: à

Troisième volet de la série « Leiris » sur France Culture. Semaine passionnante. Écrivain rare.

renato dit: à

et al., je me souviens d’Oriana Fallaci : « On ne fait pas son devoir pour que quelqu’un nous dise merci, on le fait par principe, pour nous-même, pour notre dignité. »

christiane dit: à

C’est vrai, Puck, qu’une beauté sulfureuse de ce blog vient de ses dissonances. Mais des haltes calmes font du bien…

DHH dit: à

cette semaine sur FC dans à voix nue Elkabbach se raconte
Si on va chercher en replay la premiere de ces emissions celle où il parle de son enfance on la trouve illustrée par une photo de sa classe de seconde où il figure;
Et le prof trônant comme de juste au milieu du premier rang …c’est Marc Ferro ,

christiane dit: à

Oui, DHH, un goût de trop peu mais déjà une analyse et une synthèse remarquables et surtout un art de resituer chaque personnage dans l’oeuvre et dans la littérature de l’époque.
Je retourne à La Compagnie des oeuvres. Leiris et ses liens avec les arts et les artistes dans un temps postcolonial (L’Afrique fantôme). Hier, l’autobiographie entre sincérité (aveu) et mensonges…

et alii dit: à

excuses, je lisais un long article sur « la dignité » en « médecine » et tout particulièrement en fin de vie pour les malades, et la question renvoyée alors aux soignants sur ce qu’est la dignité, l’article ayant un propos théologique, et chrétien:il me semble juste et approprié à notre temps de covid;
in
Mourir dans la dignité : un défi pour l’humain, un lieu pour Dieu ?
Dominique Jacquemin
https://books.openedition.org/pusl/22794?lang=fr

et alii dit: à

article indiqué:
Cette acceptation d’entrer en relation avec le malade constitue également un enjeu important pour rencontrer le patient dans toute sa dignité d’humain : soignants, famille et accompagnants prennent le risque de se situer sur un terrain d’égalité qu’est celui de l’humanité de l’autre qui me renvoie à ma propre humanité. Il importe de reconnaître que l’autre malade est un humain comme nous, tissé des mêmes besoins, d’attentes relationnelles et de reconnaissance semblables. Cette dimension d’accompagnement atteste implicitement que l’autre, le malade, est encore quelqu’un, une personne avec ses besoins, ses attentes, ses questions. Bien sûr, pour perdurer dans cette dimension éthique du soin, il importe de garder une justesse dans cette relation, ne pas croire qu’il sera possible de « tout solutionner » chez l’autre ou, plus tragiquement encore, de vouloir le conduire sur nos propres chemins, comme s’il existait, à nos yeux, une fin de vie « idéale et à atteindre absolument ».

Bloom dit: à

Marc Ferro

Qui nous ramène en Russie, dans l’Oural, entre autres.

« [..] aux Archives russes, ouvertes depuis la perestroïka, mes trois hypothèses se trouvent confirmées.
De la famille impériale, seul Nicolas II aurait été fusillé le 16 juillet 1918.
Ses filles et l’impératrice auraient été libérées à la suite de négociations secrètes entre les bolchéviques et les Allemands, entre juillet et octobre 1918.
En échange, le Kaiser Guillaume II fit sortir de prison les « spartakistes » Karl Libknecht et Jogisches, deux révolutionnaires proches du léninisme.
On trouvera plus loin les documents inédits qui l’attestent »
– Marc Ferro, La Vérité sur la tragédie des Romanov, Tallandier, 2012.

Passionnante enquête.

et alii dit: à

excuse, je n’avais pas l’intention de copier tout l’article;sur que j’ai besoin de somnoler un peu:
bonne suite

Marie Sasseur dit: à

Ca ne fait rien Lea, de toute façon on n’a plus le temps.

Marie Sasseur dit: à

Bonne sieste, Léa.

lmd dit: à

Cette rue Vilin est inouïe, 20 photographes (au générique) sont allés la photographier.
________________
«Reste à savoir si cette architectonique est plausible dans « le Colibri » demande l’un ; et «si j’ai bien compris l’article de passou ça devient un truc « architectural ». déclare un autre.
On aimerait bien que le sens exact de cette architectonique sorte du flou et que cet architectural puisse se dispenser de ses guillemets.

renato dit: à

architectonique, je crois employé pour suggérer la capacité de l’écrivain de structurer ses créations.

rose dit: à

été fusillé le 16 juillet 1918.
Ses filles et l’impératrice auraient été libérées à la suite de négociations

Elles auraient vécu cachées en Italie

christiane dit: à

L’émission « La compagnie des œuvres » dédiée cette semaine à Michel Leiris s’est terminée en beauté dans l’échange avec Pierre Vilar (que j’avais écouté un soir dans la superbe et presque confidentielle émission d’Alain Veinstein) :
https://www.franceculture.fr/emissions/du-jour-au-lendemain/pierre-vilar

Joan Miró, Alberto Giacometti, Pablo Picasso, Wifredo Lam, Francis Bacon en dialogue avec Michel Leiris. Voilà un beau final !

Hier, Matthieu Garrigou-Lagrange recevait Catherine Maubon. Elle disait : « La phrase de Leiris, de bifurcation en bifurcation, de correction en correction, va s’approcher le plus possible de ce qu’il voudrait dire, mais qui souvent lui échappe. »

L’écriture de l’intime… « Langage, tangage »…
Je connais mieux « L’Âge d’homme » (et vous, Renato ?)
Ce qui m’avait frappé c’était cette contradiction qui constituait pour lui, d’avouer sans avouer en atténuant son récit par des négations ou de l’ironie. Scandaleux, exhibitionniste, tourmenté, ce texte autobiographique commandé par Georges Bataille, reste une confession travaillée par des contraires.
Il y écrit : « Ce que je méconnaissais, c’est qu’à la base de toute introspection, il y a le goût de se contempler ». Dire « toute la vérité » (projet initial) : « une partie jouée entre le torero et le corps du taureau » (soit, porter la lame dans la plaie)… Mais, est-ce que le texte lui a vraiment échappé comme le suggère Catherine Maubon ? Pourquoi tant de dénégations, l’emploi de mots de sens contraire, d’ironie si ce n’est pour échapper… à cet aveu, pour substituer à des mots crus des euphémismes. Pas facile pour lui de réussir son pari : « dire la vérité, rien que la vérité ».
Eh oui, Renato, je connais ses écrits mieux que ceux de Gogol. Et vous ?
Mais ici, quelques contributeurs généreux m’ont donné envie de reprendre ma lecture de Gogol restée inachevée, en 2012.

DHH dit: à

@Bloom @rose
j’avais lu ce livre
tout ce qui y est dit a l’air vraiment convaincant mais on est gêné d’adherer a une version des faits qui est si eloignée de ce que l’histoire a depuis longtemps enteriné
je me souviens qu’une analyse Adn avait eté faite sur les restes inhumés en Russie a des fins de comparaison avec l’ADN du mari de la reine d’Angleterre ,parent des défunts .Dans quel but? Avec quelles conclusions? Analyse antérieure ou postérieure au livre de Ferro? état actuel de la question?

Marie Sasseur dit: à

Il faut offrir une truelle et une gamate à Passou. Apres il gâchera bien ce qu’il veut. Ça va bien finir par tenir debout. 😁

Janssen J-J dit: à

Léa ? Jak-etalii ? ou Salomé ?
Bouh, lmd, l’emmerd’heuse… allez faire la sieste au lieu de tout recopier. Fastoce de s’esssscuser après coup. Quand on ne maitrise par les outils, on apprend à se maîtriser, plutôt que faire son kéké alchimiste dans les athanors de l’rdl, serait-ce « dans une bonne ambiance en toute amitié, sans insultes ni autres attaques personnelles » (sic). Bàv,

christiane dit: à

Janssen J-J dit: « c’est comme chez Veronesi […] dans « le Colibri » dont on ne nous parle pas. »
« Il colibri », le huitième roman de Sandro Veronesi, traduit de l’italien par Dominique Vittoz (Grasset).
Un homme, Marco Carrera, qui cherche à tenir malgré les désastres de sa vie personnelle. Un peu comme le « colibri » qui met toute la force de son vol à rester sur place.
Je crois que le roman, que je commence juste, est cité par Passou car sa construction joue aussi sur des allers-retours entre passé (1974) et présent (?) 2030… jusqu’à l’enfance. Et le fictif des « Si… » semble l’emporter sur le réel. Le temps y est malmené.
A plus tard.

renato dit: à

Rappelons que, une chose dans l’autre, Veronesi est architecte.

Marie Sasseur dit: à

@Rappelons que, une chose dans l’autre, Veronesi est architecte

C’est le milanais qui rapplique avec ses  » chaussures fines »
On – moi- l’a indiqué depuis au moins 5 jours. Mais peu importe, un milanais, reste un milanais. On se comprend ( dans le reste de l’Italie)

et alii dit: à

je ne trouve pas renato suffisant en lui-même; il a d’ailleurs bien d’autres qualités que celle qui lui valent des bons points;
on ne lit pas la RDL pour s’éclater non plus ;

et alii dit: à

que celles

et alii dit: à

les bons points c’était peut-être pour la maternelle
maintenant y en a marre de ce cirque

Marie Sasseur dit: à

Non Léa, permettez ? on ne lit pas non plus pour ceux qui font mine de tout savoir,
alors que Wikipedia est toujours leur meilleur ami !

D’autant que moi je vais lire ce livre, le colibri. Je l’ai acheté samedi dernier didon, a cause du 4eme de couverture.
Et pas me contenter d’un lien sur Libé, hein, Passou.

Marie Sasseur dit: à

Allez, c’est assez. Je perds trop de temps avec des cons finis.

et alii dit: à

je me refuse à appeler P.ASSOULINE « Passou » sous prétexte que d’autres le font et qu’il ne proteste pas; je ne fais pas partie des familiers de cette école

Janssen J-J dit: à

J’ai du mal à le finir, ce Colibri, je dois bien l’avouer… Ch. J’espère que vous nous éclairerez. Pourquoi nous recopiez-vous le résumé ? J’en parle depuis que Passoul y a fait une allusion mystérieuse, comme s’il aurait préféré parler de ça plutôt que de Spitzner… Mais l’avait pas encore lu, et avait du four et du moulin à jeter… Encore une fois, nous l’avons devancé dans l’actu. On est là pour ça non, les erdélistes, on est comme ses porte-flingues, les jordan à marine ? hein ! (yak’ charoulé à se boucher l’NEZ, à se gogoliser l’nicolas, quoi).
(RM serait milanais, comme moi suisse palermitain ? Quelles bandes de mafias, nom de dios !)

et alii dit: à

nonh, je ne cherchera pas le séminaire de Derrida sur l’hospitalité (que j’ai suivi en amphi) quant à hostie, c’était aussi pour Drillon
je n’ai jamais minaudé avec des minots pornographes a fortiori

Bloom dit: à

ce que l’histoire a depuis longtemps enteriné

DHH,comme vous le savez, certains pans d’histoire sont plus ou moins stables et sujets à ré-évaluation si les faits sont avérés. Et l’ouverture des archives réserve toujours des surprises…

christiane dit: à

JJJ,
c’est très agréable à lire ce « Colibri » de Veronesi. Plus qu’un colibri (sobriquet donné par ses copains d’école car il était petit) ce personnage me fait penser aux insectes attirés par une lampe un soir d’été. Il ne cesse de se cogner à ses souvenirs qui l’attirent irrésistiblement. Dans chacun d’eux, au fil des ans, des problèmes et encore des problèmes : famille, épouse un peu zinzin, maitresse pas encore cernée, des sentiments de culpabilité liés à des souvenirs où il s’est senti coupable soit d’avoir été rescapé d’un accident aérien, soit d’avoir été lâche fuyant quelques minutes un bruit effroyable, une nuit, laissant femme et enfant dans la chambre. Visite inopiné du psy de sa femme qui l’avertit d’un danger imminent…
Ce qui est distrayant (cela me rappelle le fonctionnement du roman de Sorrentino « Salmigondis » c’est que tout lui sert de support dont des lettres, des cartes postales, s’intercalant avec le récit et générant le récit. Je crois que vous allez aimer.
Bon, bonne soirée.

Janssen J-J dit: à

S’éclater sur la RDL ou s’imploser la tronche, etcetera, faut choisir l’époque de son Esope…
___
La Grenouille ayant un jour aperçu un Bœuf qui paissait dans une prairie, se flatta de pouvoir devenir aussi grosse que cet animal. Elle fit donc de grands efforts pour enfler les rides de son corps, et demanda à ses compagnes si sa taille commençait à approcher de celle du Bœuf. Elles lui répondirent que non. Elle fit donc de nouveaux efforts pour s’enfler toujours de plus en plus, et demanda encore une autre fois aux Grenouilles si elle égalait à peu près la grosseur du Bœuf. Elles lui firent la même réponse que la première fois. La Grenouille ne changea pas pour cela de dessein ; mais la violence qu’elle se fit pour s’enfler fut si grande, qu’elle en creva sur-le-champ.

Janssen J-J dit: à

@ Je crois que vous allez aimer.

M’enfin Ch., je suis sur le point de l’achever, et je crois qu’en début de lecture vous allez comme moi, lui trouver bien vite de très vilains défauts… Et notamment, ces parodies d’écritures sans ponctuations sur des pages et des pages entières, on voit ça partout depuis quelque temps, ils croivent que ça fait tendance… alors que c’est chiant, et puis ces peuod respirations d’interclaires avec des MSM d’internet pour syboliser le langage des djeunes, etc… enfin quoi, tous les poncifs habituels des romans post modernes dont les architraves n’étaient pas la clé de voûte, ça Brinqueballe de partout, comme diraient les mauvaise architectes, malgré les efforts de la traductrice qui n’est point en cause. Des fumigènes qui délassent pas vraiment.

christiane dit: à

JJJ,
ah, vous l’avez commencé et vous vous ennuyez… Bizarre… Je trouve qu’on adopte très vite ce personnage, à sa façon de réagir, de se commenter, de s’accuser puis de se défendre. Il fait son tribunal où il est à la fois, témoin, accusateur et défenseur. En fait, un peu comme nous tous quand on ressasse le passé immédiat et lointain. On se cogne à un souvenir désagréable et on se disculpe. On retrouve un souvenir heureux et l’on voudrait arrêter le temps. On cherche l’enfant dans ce qu’on est devenu et ce n’est pas plus brillant.
Bon, continuez, que l’on puisse échanger.
https://www.bing.com/videos/search?q=video+de+colibri&view=detail&mid=23C05F83C599F87D17D823C05F83C599F87D17D8&FORM=VIRE

Jazzi dit: à

« je peux ignorer, mépriser et ainsi de suite des gens qui ont perdu leur dignité. »

Voilà qu renato se prend pour Dieu le Père !

christiane dit: à

Janssen J-J dit: « M’enfin Ch., je suis sur le point de l’achever, et je crois qu’en début de lecture vous allez comme moi, lui trouver bien vite de très vilains défauts… Et notamment, ces parodies d’écritures sans ponctuations sur des pages et des pages entières, on voit ça partout depuis quelque temps, ils croient que ça fait tendance… alors que c’est chiant, et puis ces respirations d’intercalaires avec des MSM d’internet pour symboliser le langage des djeunes, etc… enfin quoi, tous les poncifs habituels des romans post modernes […] »
Ouh là là, c’est la crise.
Je ne me souviens pas que vous l’avez évoqué en cours de lecture. C’est vrai que je ne lis pas tout (surtout sous le billet d’avant où tout tournait autour de l’inceste ! après la pédophilie et le viol, pour certains c’est une obsession et un appel à la prison comme si alors tout s’arrêtait pour l’enfant victime et sa famille. Alors rapidement je passais à autre chose.
Aujourd’hui, c’est bien, on parle de lectures, on partage (parfois…). C’est bien.
J’aime les premiers chapitres de ce livre. Je crois que l’introspection fonctionne comme cela.
Le langage vous irrite… Bah, on devient élastique à lire tous ces livres. Et puis l’absence de ponctuation, on s’habitue… Le langage « djeun » ? pas encore rencontré.
Pour l’instant je trouve que le récit tient la route.

renato dit: à

Non, Janssen J-J, je suis vraiment Milanais et depuis un bon bout de temps* — lieu d’origine de la famille, Campione d’Italia, Lac de Lugano.

*1521 début de la construction du système de défense du chateau dit « tenaille ».

christiane dit: à

Chouette ! après le brillant billet sur « Yoga » d’E.Carrère nous allons donc avoir celui sur « Le colibri » de S.Veronesi. Je m’en réjouis…

Janssen J-J dit: à

D’aucunes vous connaissent mieux que moi, icite, apparemment, RM. La poliorcétique !… ça, c’était la science de vos ancêtres, on sent qu’il vous en est resté des traces ataviques sous la plume, le masque et le poinçon.

Janssen J-J dit: à

Je sais pas si ma soeur va vouloir jouer le jeu, hein, Ch. Pas sûr…, elle M pas lire les mêmes choses, M pas partager, M pas arriver troisième, se fait une opinion sur les 4e de couv. en général, et dans la dkwb en particulier. L’est pas toujours très chouette, l’ombre’rageuse.

christiane dit: à

Janssen J-J,
arrivée page 111. Pas de suppression de ponctuation dans ces pages.

christiane dit: à

Vous êtes drôle, JJJ .

Marie Sasseur dit: à

Des vieux sinistres qui ont autant d’humour que des enclumes. Des qui ont fait des études surtout de haine recuite, et de boursouflure, des homais, des vantards.

Dire ses bonheurs de lectures ici ?
Donner des livres aimés en pâture ici, à des vieux et vieilles, qui n’ont plus qu’un courant d’air entre les oreilles ? C’est une plaisanterie, j’espère. Terminé . Terminé !

Quand je vois comment le Goncourt 2021 a été expédié ici, honteux ! il va se passer du temps avant d’en retrouver un aussi bon.

@ elle a pas.
Si tu as l’air, mets la chanson.

https://youtu.be/Wt6eHMIhVxI

christiane dit: à

JJJ,
le « Sauf que… Sauf que tout était faux… » de la page 131 st une proposition habile. Cela aurait pu être le titre du roman.

Marie Sasseur dit: à

@ je me refuse à appeler P.ASSOULINE « Passou »

Ah ben ça Lea L., faudra lui demander de changer de pseudo, pour voir !

Je tremble pour « le colibri »; la vieille vorace,  » je vais tout lire »  » je vais tout regarder  » est deja en train de le dépecer.

Qu’est ce qui m’a pris de le mentionner la première, sur ce blog.

Paul, vous pouvez remettre votre  » manteau », la croque- mort ne vous l’a pas pris. Une chance !

christiane dit: à

Janssen J-J dit: « Une relation « sérieuse »…, c’est comme chez Veronesi la longue relation d’un homme marié avec une maîtresse amie avec laquelle il a conclu le pacte de ne jamais coucher, comme condition sine qua non de ne jamais se déprendre l’un de l’autre.
Reste à savoir si cette architectonique est plausible dans « le Colibri »[…] »

Peut-être une piste page 133 :
« Mais il est vrai que si une histoire d’amour ne trouve pas sa fin ou, dans leur cas, son début, elle continuera à harceler les intéressés tout au long de leur vie avec son néant de paroles non dites […] »

Je crois que c’est pour donner l’un ou l’autre qu’il continue le récit. qu’en pensez-vous ?

christiane dit: à

Lisez, lisez, et arrêtez donc de crier famine auprès de certain et puis écrivez des notes de lectures intéressantes, cela changera de vos obsessionnelles chasses aux pédophiles.

et alii dit: à

je n’ai aucun désir departager avec des gebs auxquels « dignité »n’évoque pas HOUELLEBECQ ?OU QUI N4ONT JAMAIS ENTEDU DANS UN ENSEIGNEMENT « digne de ce nom » mais se disent « comme » pour faire leur « com »
Dignitas est une association suisse fournissant des services d’aide au suicide1 et basée dans le village de Forch, sur les bords du lac de Zurich2. Elle a notamment aidé Sir Edward Downes,
le narrateur Jed se rend au siège de Dignitas pour vérifier que son père s’y est bien rendu comme il l’avait annoncé.

et alii dit: à

des gens

Marie Sasseur dit: à

Ah non Lea, foutez la paix à Michel.
Ça suffit maintenant. Michel est heureux. Enfin.

Marie Sasseur dit: à

La chasse aux pédophiles…
Tiens donc, ça lui manquait les petites filles.

renato dit: à

Enfin, Jacques ! je peux, c’est un droit, ignorer ou mépriser un violeur, un pedophile, un criminel politique, un criminel economique, sans me prendre pour dieu le père.

et alii dit: à

« la carte et le territoire » fut un prix goncourt
si j’ai connu un médecin en soins palliatifs et discuté avec lui

et alii dit: à

Unité fonctionnelle de
Soins Palliatifs
Dr Michel BENAMOU, Responsable
Unité de Soins Palliatifs (USP)
Equipe Mobile Soins Palliatifs Douleur
il a écrit un livre et est un « pied noir » de Nice

Marie Sasseur dit: à

On s’en fout Lea. Michel ne l’aura plus. Le Goncourt n’est attribué qu’une seule fois. Sauf pour Romain Gary.
Visons le Nobel, il le mérite !

et alii dit: à

si ce blog est un blog ou on doit appredre à dire « merde », »on s’en fout » et la norme de la pornographie pour séduire la famille « la joie » , il ne m’intéresse pas aujourd’hui que les chiens apprennent quatre mots nouveaux ,même sans car havane castratrice

Jazzi dit: à

« je peux, c’est un droit, ignorer ou mépriser un violeur, un pedophile, un criminel politique, un criminel economique »

Tout ça sur la RDL, renato !

« Visons le Nobel »

En quoi êtes-vous concernée, MS ?

Jazzi dit: à

Et pour les chiens non surdoués on s’en tiendra à « nonos », « assis » et « couché », et alii ?

renato dit: à

Pourquoi, Jacques, sur la RdL il est défendu de mépriser les violeurs, les pédophiles, les criminels politique, les criminels économique ? il y a une règle en ce sens st si oui, qui l’a établie ?

et alii dit: à

je ne suis pas le cabot des contributeurs trices de la RDL en sa passion de foutoir et de foutaises
bonne nuit

Marie Sasseur dit: à

Léa L ( un pseudo d’emprunt ?), dit autrement : on , moi, s’en fout de vos tocs, et de vos manipulations pour crétins.

Vos insultes en bloc n’ont pas tellement de pertinence. On fait mieux, et pour le meilleur. Vieux schnock !

christiane dit: à

Sasseur dit: « La chasse aux pédophiles…
Tiens donc, ça lui manquait les petites filles »
Je prends la suite de B. Décidément vous êtes obsédée ay un point que cela devient très très inquiétant. Votre passé doit être bien trouble..

Jazzi dit: à

Je parle de votre mépris affirmé ici sur les commentateurs de la RDL, renato.

« Vieux schnock ! »

B, rose, Christiane, Marie Sasseur, pourquoi les femmes de ce blog veulent absolument que et alii soit un homme ?

Jazzi dit: à

Non, peut-être pas rose ?

Marie Sasseur dit: à

N’y voyez rien de personnel Et Al. Je m’occupe votre karma.
Dans la prochaine vous oeuvrerez peut-être pour le bien.

Jazzi dit: à

« Je prends la suite de B »

Bienvenue au club, Christiane !
Après Phil et moi-même.
Marie Sasseur a au moins le mérite de pratiquer la parité…

Janssen J-J dit: à

@ Je crois que c’est pour donner l’un ou l’autre qu’il continue le récit. qu’en pensez-vous ?

…bien sur, c’est pour… et forcément cette habileté romanesque est pensée pour nous prendre au piège…, et/ou de ne pas le faire. Ce serait trop fastoche. Son habilité, c’est toujours de donner à voir un brin de l’échafaudage, qui va gagner dans le combat à mort entre l’architecte et l’ingénieur ?… Ne pas se poser la question, il n’y aura pas de gagnant ni de perdant, dans leurs agonies respectives… Heureusement, le salaud de Véronèse ne laisse aucun répit. Les rebondissements sont constants, l’histoire avance à bride abattue… Bon, on se retrouve après la mort des deux cancéreux, toujours dans les moments de vérité des familles… Tension extreme puis apaisement, les deux deux toubibs se téléphonent… (juste avant la page 262). Bonne suite de lecture, hein, Ch. ! Jubilez !… J’ai jubilé, parfois, mais pas longtemps.

Marie Sasseur dit: à

Décidément je réussis à éloigner une vieill erotomane qui se faisait un fixe sur le sexe des anges, et voilà que que je me traine une vieille goudou en chaleur, qui veut causer pédophilie, qui craint « la chasse aux pédophiles »(sic) Tu m’étonnes qu’elle n’a pas compris ce qu’est la pedocriminalite.

Marie Sasseur dit: à

Elle a eu la peau de pas mal ici. Sa période  » probatoire  » récente ne lui a pas servi de leçon, on dirait.

christiane dit: à

Renato, quand vous avez snobé cette remarque que je faisais à P.Edel à propos de Gogol il n’y avait aucun rapport avec l’inceste. Quelle est cette nouvelle éructation. Bien sûr que ces conduites immondes provoquent colère et dégoût. Mais en parler à longueur d’espace commentaires ne fait pas avancer la douleur des enfants et adolescents qui, ayant subi en famille ces viols, sont partagés entre désir de parler ou de de taire, de trouver de l’aide, de la honte de subir sans arriver à dire non, sans pouvoir se défendre, angoissés aussi à l’idée d’envoyer père ou oncle ou beau-père en prison, angoissé à l’idée de briser leur famille par un scandale
Vous êtes sain sur ce plan. Mes réactions de colère exprimées ici concernaient des accusations non fondées scandaleuses de Sasseur l obsédée qui se complet dans cette fange. J’en ai fait appel ouvertement ici au modérateur de ce blog c’est à dire a M.Assouline. et je le referai si elle recommence à déraper. Cette femme est folle et terriblement malsaine, dégoûtante. Vous, vous êtes seulement et bêtement hautain et méprisant. A propos avez-vous lu Leiris ?

Marie Sasseur dit: à

En.plus je pense qu’elle boit.

renato dit: à

Mais je ne méprise personne sur la RdL, Jacques, je m’étonne de certaines carences de lecture ; je ris parfois pour des erreurs conceptuelles ou pour les surplus d’écriture émotionnelle, comme d’autres rient pour mes erreurs d’orthographe, pas plus.

renato dit: à

Christiane, mes post relatifs au mépris n’étaient qu’une réponse à Jacques, vous n’étiez absolument pas visée.

christiane dit: à

Bien sûr JJJ, nous échangerons sur ce roman sans trop dévoiler le récit. Pour l’ instant Sasseur a encore franchi la ligne rouge et revendique ouvertement sa responsabilité d’avoir entravé l’apparition de mes commentaires sur le blog ay Passou. Pas plus gênée que j.langoncet. Elle doit être un peu dépitée que je puisse à nouveau poster ici. Salé engeance….

christiane dit: à

Merci Renato.

Janssen J-J dit: à

Mais cessez donc de tomber dans tous les panneaux en vous défendant d’accusations infondées, Ch. ! Je vous l’ai déjà dit : vous ne faites que leur donner le plaisir de continuer à vous enfoncer. Or, merde, vous ne le méritez pas !… Je vous comprends pas… Eux, je les comprends très bien, en revanche, et toutes ces misères me rendent triste.
C’est dur de rester neutre et de m’en foutre… Bon, je ne me comprend pas… C la faute aux covides, je crois… ça rend fou et folle tout le monde… l’erdélie est un excellent symptôme de ce qui se passe dans une portion de la société. Comment s’en exonérer collectivement et individuellement ?

rose dit: à

Le colibri ne met pas toute la force de son vol à rester sur place.
Il mange.
😋

christiane dit: à

Sasseur se regardant en son miroir : « En.plus je pense qu’elle boit ».
Décidément, toutes les femmes du blog vont y passer !

rose dit: à

L’est pas jolie. L’est pas moche non plus.

christiane dit: à

Rose, out trouvée vous cette force pour sourire ? Vous êtes épatante.

christiane dit: à

Rose, ce n’est pas l’image d’un visage que l’on regarde dans un miroir mais au delà, son âme. La sienne, est une amey morte…

Marie Sasseur dit: à

« et revendique ouvertement sa responsabilité d’avoir entravé l’apparition de mes commentaires sur le blog »

Je ne sais pas comment on rit aux éclats, par écrit. Heureusement que j’ai coupé le micro.

Je vais aller lire l’architecte et son colibri. J’ai hâte.
Si je croise H. Le Tellier en dédicace, ça me fait penser, il faudra que je lui cause du sien. Qui est audacieux au-dela du possible…

christiane dit: à

Oui, je sais, JJJ. Mais c’est elle qui s’enfonce dans sa fange.

et alii dit: à

bon, je suis comme un fantôme! ça mettra tout le monde d’accord!

rose dit: à

Renato

qui dit milanais dit milanais

rose dit: à

Christiane

Ai coupé du bois tout l’aprem. Rzngé deux brouettes.
Visité la maison de mes amis italiens.
Leur ai montré un raccourci pour éviter de passer chez les voisins.
Et ce soir ma maman mangeait un bonbon à la menthe.

Forza italia ❤

Ce que je voulais vous dire est que, lorsque le colibri bat des ailes sur place, c puisqu’il mange 😋.

rose dit: à

Thomas Ruyant : « On n’a eu pas de houle propice à la vitesse, mais une mer croisée, difficile, dure. » Et Charlie Dalin de renchérir : « Cela été frustrant jusqu’au bout de ne pas pouvoir exploiter nos machines et d’avoir perdu un foil. Sur mer plate et avec du vent, c’est formidable. Mais on ne va pas vite gratuitement. Alors, oui, c’était difficile dans ces mers courtes. Un choc toutes les dix secondes pendant des jours et des jours. Cela finit par taper sur le système. Mais, pourtant, j’aurai pris du plaisir sur ce voyage. »

Mes amis, mes copains, mes frères,

Le bateau est fait pour toucher l’océan, pas pour voler.
Croyez-en mon expérience.

Rose

rose dit: à

Et alii

Trop jolies.

Leur ferai les yeux bleus et verts.

et alii dit: à

conséquemment l’emmerdeuse vous souhaite beaucoup d’emmerds

Bloom dit: à

un brin d’ornithologie en attendant,

Quelque peu déçu d’apprendre que le rouge-gorge est un misanthrope et un égoïste….
Du genre à partager avec un Gandhi en période de jeûne.
O, monde cruel.

Jean Langoncet dit: à

(Tout le monde ici l’a sans doute trouvé avant moi, mais si quelque âme perdue cherchait encore à s’intéresser au rapport Stora, le voici au format PDF : https://www.elysee.fr/admin/upload/default/0001/09/0586b6b0ef1c2fc2540589c6d56a1ae63a65d97c.pdf

Extrait des pages 36 et 37 : « (…)S’il fut le décideur principal du passage à l’indépendance de l’Algérie, le général De
Gaulle n’a pas eu, après 1962, la volonté de s’attarder sur ce passé récent, ni de prêter
une attention particulière aux principaux groupes de mémoire touchés par l’issue de
cette guerre : les ! pieds-noirs  » dont il pensait qu’une partie d’entre eux resteraient
en Algérie, (il a été démenti sur ce point) ; les harkis, dont il ne souhaitait pas le
rapatriement par crainte d’une possible instrumentalisation de leur histoire par
l’extrême-droite ; les appelés du contingent, soit près de un million et demi de soldats,
qui se sont succédés en Algérie de 1956 à 1962. Ses principaux objectifs étaient de
garder des liens, essentiellement économiques, avec l’Algérie indépendante, à cause
de l’exploitation du pétrole, et du rôle du Sahara pour les expériences nucléaires. Il
voulait également éviter les affrontements entre Français, alors que la France avait une
connu une quasi-guerre civile entre 1960 et 1962, avec les attentats de l’OAS, et le
putsch des généraux en avril 1961. D’où son désir, dès la fin de la guerre de faire
adopter différentes lois d’amnisties, comme celles votées en 1962, 1964 et 1968.
Toutes ces lois d’amnisties ont fabriqué une chaine d’amnésie en France, sans
construire un consensus politique à la différence de l’après-1945 à propos de Vichy et
de la ! collaboration  » . Cette absence d’égard a été très douloureuse. Pour une grande
partie des officiers, des pieds-noirs et des harkis, l’issue de la guerre a été un terreau
de l’anti-gaullisme qui s’est transmis de génération en génération. L’image d’un de
Gaulle méprisant qui a ! abandonné  » sa promesse d’une Algérie française nouvelle,
est longtemps restée dans les esprits. Si la fin de la guerre a été mal vécue par les
officiers, elle ne l’a pas été pour la masse des appelés du contingent, soulagés de
retrouver leurs familles. L’immense masse de ces jeunes français s’était alors rangée
derrière de Gaulle. C’est après-coup que le Général a utilisé de manière importante la
question de l’indépendance de l’Algérie, pour se forger une image de décolonisateur
en direction des mondes en effervescence à l’époque : l’Amérique latine avec le
discours de Mexico, prononcé le 16 mars 1964 sur la place centrale de la capitale
mexicaine, pour dénoncer l’hégémonie américaine et soviétique sous une pluie de
confettis ; l’Asie, avec le discours de Phnom Penh, prononcé le 1ier septembre 1966,
en pleine guerre du Vietnam devant une foule estimée à cent mille personnes ; ou
l’Amérique du Nord, avec le fameux ! Vive le Québec libre !  » de juillet 1967 à
Montréal. Avec ces voyages et ces discours, De Gaulle se pose en partisan d’un tiersmonde qui refuse de se situer du côté des Américains ou des Soviétiques. Avant 1968,
et surtout après, De Gaulle va devenir un personnage emblématique du passage de la
décolonisation française. L’ambivalence, les contradictions de ces positions vont
progressivement s’effacer. Pour les Français, l’oubli de ses positions en faveur de
l’Algérie française au moment de son accession au pouvoir en 1958 ; pour les Algériens,
la faiblesse de référence à sa conduite de guerre très dure contre les maquis algériens,
avec le Plan Challe dans l’année 1959.(…) ».)

Jean Langoncet dit: à

(les coquilles de l’extrait cité ne sont pas dans le rapport mais dues au C/C.)

Jazzi dit: à

« conséquemment l’emmerdeuse vous souhaite beaucoup d’emmerds »

C’est pas très chrétien, et alii !

Jazzi dit: à

« De Gaulle va devenir un personnage emblématique du passage de la
décolonisation française. »

Quand une situation vous dépasse faite semblant d’en être l’organisateur.

Jean Langoncet dit: à

@Quand une situation vous dépasse faite semblant d’en être l’organisateur.

Hélas, ce pourrait n’être pas du cynisme

et alii dit: à

Hélas, ce pourrait n’être pas du cynisme
et nommer COCTEAU?

et alii dit: à

. C’est une question que je suis depuis des années. Mais c’est souvent perçu comme un sujet scabreux dont on n’a pas forcément envie de parler. Parce que la dignité de la médecine ou de la bioéthique invoque d’autres préoccupations que celle du cadavre
Emmanuel Hirsch revient sur les questions posées par le stockage « indigne ».

et alii dit: à

reSpect le S, Perec ne s’en foutait pas,rue Vilin

et alii dit: à

ON S4EN FOUT DISENTILS la flèche de Saint-Denis : une opération basée sur le mensonge
flèche de Saint-Denis, un élément disparu il y a plus d’un siècle et demi. Et cette reconstruction, c’était promis, juré, craché, ne coûterait pas un centime à la collectivité, tout serait financé par le mécénat. Une fable bien sûr, que nous avions dénoncée dans cet article : « l’argument du financement « entièrement privé » n’est pas crédible une seconde.
La morale, c’est que les responsables de cet enfumage n’en ont aucune. Mais pourquoi se gêneraient-ils puisque ces mensonges successifs ne posent décidément de problème à personne, et sûrement pas à la ministre de la Culture actuelle, qui « fait confiance à ses équipes », et sans doute aussi à ses prédécesseurs… Il est vrai que le patrimoine, le patrimoine authentique, celui qui existe encore, n’a nul besoin de ces millions d’euros qui vont être dépensés en pure perte…
celles et Ceux QUI disent « on s’en fout », et autres merdoiements ne sont surement pas des flèches en perspicacité et lucidité

et alii dit: à

l’article sur la flèche de saint Denis est deDidier Rykner .Merci à lui et à la Tribune de l’Art

et alii dit: à

A-t-on raison d’être rationaliste ?
À propos de : Pascal Engel, Manuel rationaliste de survie, Agone
 » c’est d’abord une contribution théorique au rationalisme, entendue comme défense (le livre réagit aux attaques ouvertes ou voilées contre la raison) et comme construction (le côté programmatique est ouvertement formulé dans le chapitre 7, Un agenda pour le rationalisme).
https://laviedesidees.fr/Engel-Manuel-rationaliste-de-survie.html

et alii dit: à

respect encore?
SUITE SURVIE
Reste que la conséquence de cette réfutation du relativisme de la vérité est que toutes les raisons ne sont pas respectables : celles défendant le faux doivent être combattues sans hésitation, la morale exigeant le respect des personnes, non des croyances.

et alii dit: à

sauf votre respect, j’avais surtout essayé de commenter les tombes de la première image

renato dit: à

Cloris Leachman, l’inoubliable Frau Blücher — Frankenstein Junior — est rentrée dans le chaos originel.

29.1 — 5.51

Marie Sasseur dit: à

@sauf votre respect, j’avais surtout essayé de commenter les tombes de la première image

Sauf votre respect, Lea, on s’en fout.
Gustave-Passou- Meyer était déjà passé par là.

rose dit: à

« Pingouins dans les champs, hiver méchant » : vieux proverbe Auvergnat

Pour xavier gorce

rose dit: à

Jean Le Cam est arrivé.
Classé quatrième.
Monocoque 👌🙂⛵

puck dit: à

le première image est très jolie, c’est pas trop les tombes que je vois, mais les 3 gibiers dans le fond : je vois leur tombe, avec un bon fusil pan ! kaputt le bambi ! après on coupe la tête pour la donner à un empailleur pour décorer le salon, le bambi on lui enlève la peau on le découpe, on en met un partie au congèle pour conserver, et on garde un bon cuissot qu’on laisse mariner dans dans du vin avec du thym et du laurier ! et hop emballez c’est pesé !
comme fusil j’utiliserai un 16/65 semi automatique, un beau Browning avec la crosse en palissandre et voilà comment on lui règle son compte au bambi ! de façon architecturale !

Marie Sasseur dit: à

Sauf votre respect Et Al, le même Gustave Meyer a dit, dans le récit Golem, paru en 2016, en substance et le concernant qu’il ne fallait pas penser qu’aux cimetières , et qu’il fallait retourner aux vivants.

La notion de génocide , et ici il s’agit de la destruction massive des Juifs d’Europe, une destruction méthodique à l’échelle industrielle , porte aussi en elle la mort de paysages vivants. Les cimetières juifs d’Europe de l’Est font partie de ce paysage vivant, disparu. Comme également des édifices religieux. Mais c’est tout.
Le génocide c’est aussi la volonté délibérée de tuer le futur de ceux qui sont assassinés.

J’ai aimé savoir que cette vie a existé dans des shtetl, et non des ghettos, que la langue y était florissante.
J’ai compris, horreur, que leurs habitants avaient été tués deux fois. Une première fois par les nazis et la seconde par ceux qui nient le territoire.

« Aussi illogique que cela puisse paraître, c’est la forme nordique de cette langue (le yiddish lituanien et letton) qui a servi de base au yiddish standardisé par l’Institut YIVO pour la recherche juive de New York (et ce, malgré un nombre inférieur de locuteurs) et qui est à présent utilisée comme langue standard dans les manuels et les cours d’été dans le monde. Il en résulte que les descendants des survivants de l’holocauste qui souhaitent rester exposés à leur patrimoine polonais par le biais du yiddish doivent le faire à travers des caractéristiques phonologiques et lexicales non polonaises, ce qui vient contrecarrer leurs tentatives de se rapprocher de cette langue. »

https://journals.openedition.org/droitcultures/3969

Marie Sasseur dit: à

#et voilà comment on lui règle son compte au bambi ! de façon architecturale !
😁

Pas toucher à Bambi. C’est mon copain d’enfance. Je l’avais tellement dessiné partout, que je prefere croire que c’est grâce à lui, que l’instit a compris qu’il fallait que je saute une classe. lol.

Bonne journée.

rose dit: à

Le lièvre qui illustre le billet de Jacques Drillon est d’Albrecht Dürer.

puck dit: à

toi les bambis c’est tes copains, mais tu n’es pas la copine des bambis, les bambis détestent les humains. pourquoi ? parce que le semi automatique 16 mm a placé l’homme au sommet de la pyramide des espèces. dans l’histoire de l’humanité il y a un avant et un après le semi auto 16/70 à double percuteur, pourquoi ? parce que l’homme court moins vite qu’un bambi, et quand les deux se faisaient courser par un léopard c’est jamais le bambi qui se faisait bouffer.

alors aujourd’hui les journalistes sportifs sont tous étonnés de voir les coureurs kenyans piquer toutes les médailles olympiques de course à pied, le problème quand on vit dans la savane c’est que la première chose qu’on apprend à faire c’est courir ! courir vite et longtemps !
pas la peine de se casser le bol pour trouver un bon entraineur, on prend un puma affamé les types ils apprennent à courir en 1 leçons !

bouguereau dit: à

Gombrowicz dit que « ce qui dégoûte est inassimilable »

il a copié sur confucius et son si tu chies de travers c’est que tu ne chies pas droit

bouguereau dit: à

« Cette classe de maternelle compte trente-deux personnes en situation de devenir. »

t’es démasqué..tu préférerais ‘compte trente deux guilleris qui font le pont levis’ comme du temps de note bon roué henri

bouguereau dit: à

« Dans un monde unifié, on ne peut s’exiler » (Debord)

debord aux chiottes

bouguereau dit: à

comme Don Juan aux Enfers, souverain, « ne daignait rien voir »

du racisme antiblanc larvé qu’il dirait charoulet

bouguereau dit: à

Les obsolètes : le mazout, remplacé par le fioul, le fuel

..bunuel

bouguereau dit: à

Schoenberg, qui se trimballait toujours avec un étui à violon plein de raquettes et de balles de ping-pong : « Il faut toujours être prêt, car on ne sait jamais où on va trouver une table. »

allons drihihon..c’est beaucoup trop dboulot pour un peu desprit..comme sa musique souvent..mais lamateur dart doit prouver -à tout prix- qu’il a un humour fou

bouguereau dit: à

les a-gnostiques, les a-thées, pauvres infirmes que leurs mauvais penchants ont privés de tout

cest ça drihihon..dieu est une utilité pour se foutre du monde..des autres

Bloom dit: à

Attristé. Ait entendu sur les ondes d’une radio qui se flatte de faire de la culture, et dans la bouche d’unE journaliste, qu’un établissement scolaire portait le nom de Tristan Flora…Attristante ignorance… J’espère qu’à l’occasion du cent-cinquantenaire, on ne va pas nous donner du Michel Louise…
En avant ‘sisters’! Exigez que l’on parle davantage de vos considérables!

bouguereau dit: à

Ce que préfère manger Joe Biden : un sandwich à la confiture et au beurre de cacahuète

si tu t’y connaissais hun peu en musique tu aurais dit comme elvis..

Bloom dit: à

Ait–> Ai…j’en perds mon matin…

bouguereau dit: à

amadéousse embrassant loudvig en disant ‘salut tu vas bien’..parmi des sombre hinconnus du neuftrois

bouguereau dit: à

Tandis qu’avec la terre de Sommières, cela marche toujours

bo à peine mieux que le gros sel pour la sodomie quelle dirait bone clopine qui fait hautorité

bouguereau dit: à

Les oreilles horizontales des moutons

pas mal..en afrique elle tombent comme celles de la chèvre..ça perturbe

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