de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Si l’épidémie est cruelle, sa seule menace est perverse

Si l’épidémie est cruelle, sa seule menace est perverse

Pourquoi parle-t-on tout le temps de Camus et pas de Roth depuis quelques semaines ? Trop injuste alors que lui aussi, après tant d’autres il est vrai, a raconté les ravages d’une épidémie. J’y repense alors que l’on peut voir actuellement sur OCS et sur un tout autre sujet (ce que c’est que l’esprit de l’escalier…) l’adaptation en série de son Complot contre l’Amérique (The Plot against America). C’est aussi désespérant que rassurant : on n’invente jamais rien. Ou si peu. En prendre conscience permet de garder la tête froide et de relativiser notre génie. Le cas échéant, Internet se charge de rafraîchir la mémoire des oublieux.

Némésis (traduit de l’anglais étatsunien par Marie-Claire Pasquier, Gallimard et Folio), le trente et unième et dernier roman de Philip Roth paru il y a dix ans en anglais, et deux ans plus tard en France, raconte les tragiques conséquences de la poliomyélite sur une communauté de Newark (New Jersey) au cours de l’été 1944 ; l’espoir, la panique, l’angoisse, la douleur, la souffrance, celles des enfants plus encore que celles des adultes, sont évoquées à travers le dévouement du jeune responsable d’une aire de jeux, ses dilemmes entre désir et devoir, ses cas de conscience face à cette tragédie qui le mène à faire front contre le Mal au moment où une autre guerre décime des hommes (ici on peut lire un extrait).  Une guerre dont ce Bucky Cantor est l’absent résigné et coupable ayant été réformé. Il n’en mêne pas moins « sa » guerre sur place à Newark contre l’ennemi invisible (air connu, depuis…). Non seulement une épidémie mais sa menace. Il en fait son affaire personnelle.

Un temps, impuissant car désarmé, il croit se soustraire au spectacle de l’hécatombe à venir, annoncée par des morts parmi les enfants, en rejoignant sa fiancée au bord d’un lac mais revient vite à sa base et ses compagnons d’infortune. D’autant que, aussi loin qu’il ait cru fuir, il a emporté le virus avec lui en lui, à son insu. Infesté, lui qui a voulu faire le bien se retrouve être l’instrument du Mal. Tel Job en son fumier à l’entrée du village, il accable le ciel et son principal locataire : qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? L’absence de réponse à son exigence d’explication le ronge. Cet innocent au coeur immense, homme de devoir s’il en est, n’admet pas que ses pourquoi restent sans écho. Dans son monde rationnel, pour un homme comme lui, ni scientifique ni religieux, l’absurde n’a pas de place non plus que l’aléatoire. C’est peu dire que dans ce roman, Philip Roth s’en remet plus au hasard et à la chance, qu’à l’inconscient ou à la providence. Némésis dans la pensée grecque était la messagère de la justice qui châtiait ceux qui devaient l’être, sévère mais juste. Elle sanctionnait la démesure, et son coup était perçu comme une vengeance. A Newark, si l’épidémie de polio est déjà cruelle, sa seule menace sur chacun était déjà perçue comme perverse tant elle torturait les esprits.

Une épidémie dans une cité portuaire sur fond de seconde guerre mondiale, cela vous rappelle quelque chose ? La Peste d’Albert Camus et les effets du fléau sur la population d’Oran. De l’histoire ancienne pour Philip Roth. A ses débuts en 1957, il avait soumis à Saul Bellow le premier jet d’une nouvelle marquée par sa lecture éblouie de cette oeuvre ; son maître et ami, qui ne partageait pas son admiration pour Camus, l’avait mis en garde contre la tendance à réduire un roman à une idée et à s’y tenir. N’empêche que cette inspiration inavouée n’aurait pas été remarquée si des blogueurs américains ne l’avaient remarquée. Nemesis n’en est pas moins un roman parfaitement made in Roth.

Et comme les nouvelles vont de plus en plus vite, avant que quiconque ne se risque à exiger de l’Américain qu’il paie clairement sa dette au Français, le romancier J.M. Coetzee, qui consacrait un long article à son livre dans The New York Review of Books, rappelle celle contractée par le Camus de La Peste (1947) à l’égard du Daniel Defoe du Journal de l’année de la peste (1722)…       Tout se ligue pour nous faire comprendre qu’en littérature, dès lors qu’une idée et non une forme gouverne la naissance d’un roman, on n’invente jamais rien. Et même une forme, parfois… Savez-vous pourquoi Montaigne est soudainement revenu dans l’air du temps il y a une quinzaine d’années aux Etats-Unis ? Parce qu’on a voulu voir dans les Essais (1580), exploration à sauts et à gambades d’un moi face au monde, la géniale préfiguration des blogs, sites personnels, affichages au Mur et autres journaux intimes en ligne, ainsi que l’écrit Sarah Bakewell un peu partout sur la Toile après l’avoir exposé dans son livre How to live or A life of Montaigne in one question and twenty attempts of an answer (400 pages !) encensé par les meilleurs journaux.

A quoi tient un regain de popularité littéraire ! à une récupération abusive au profit d’une conception assez extensive du simple narcissisme dans tous ses étals (Montaigne en saint-patron de Facebook, on aura tout lu…). Ce n’est d’ailleurs pas la première tentative puisque Twitter a fait de Félix Fénéon (1861-1944) son pionnier au motif que ce grand critique absolu (livres, art, théâtre) est également l’auteur de nouvelles en trois lignes qu’il publia dans une rubrique à elles dédiée en 1906 dans Le Matin ; réunies en volumes (Le petit Mercure), ces brèves bien dans sa manière, issues de simples dépêches relatant des faits divers, demeurent un classique du haïku à la française :

« Rattrapé par un tramway qui venait de le lancer à dix mètres, l’herboriste Jean Désille, de Vannes, a été coupé en deux[] ». Ou encore : «Allumé par son fils, 5 ans, un pétard à signaux de train éclata sous les jupes de Mme Roger, à Clichy : le ravage y fut considérable. »

Las ! S’étant aperçu qu’elles étaient longues chacune de cent à cent trente signes, un éditeur américain avisé les fit traduire, les publia et les lança, devinez comment ? En créant un compte Twitter Novelsin3lines qui expédie chaque jour à ses correspondants un fragment de Fénéon.

(« Philip Roth in 1968 visiting his home town of Newark, New Jersey ; Philip Roth, at rear of table, at his Weequahic High School prom. » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

2031

commentaires

2 031 Réponses pour Si l’épidémie est cruelle, sa seule menace est perverse

Janssen J-J dit: à

@ B. J’ai toujours voulu savoir si dans la passé, votre pseudo était Daaphnée, ou s’il appartenait à quelqu’un d’autre ? Merci de me dire, le cas échéant.

@ Quelqu’un pourrait-il me fournir le lien où l’on peut avoir des nouvelles de Michel WGW ? Je n’arrive pas à le trouver. Il nous a quittés drpuis deux ans. Merci.

@ Ch. Etes-vous sûre que Pierre ait une fois de plus balayé devant sa porte ? Et qui, au juste, aurait-il dégagé : Marie S. ?, hamlet ? bouguereau ? Jicé ?… Non vraiment, je n’y crois pas. Nous tolérions tous leur éventuel degré de pollution nocturne, non ?

@ Chantal, je vous apprécie beaucoup. J’aimerais savoir si, par là-bas, quartier d’Ixelles, c’est pas trop difficile en ce moment. Merci.

@ J’aimerais dire que je n’aime pas Patricia Martin ni Alain Baraton. France-Inter le WE m’est un brin désagréable. Or je n’aima pas changer de chaîne.

@ Sinon, on nous annonce un grain du sud ouest vers le nord ouest, et pourtant c’est toujours grand beau temps : depuis deux jours, les cityses, les figues et leurs feuilles sont sorties, il y aura beaucoup de cerises, Georges est programmé chez le véto mardi, nous n’avons toujours aucune visite, même à distance, ça va faire presque un mois maintenant. L’économie mondiale débridée ne s’en remettra jamais. L’écologie mondiale sous l’empire de la fraternité humaine laïque doublée de la protection des Etats providence restaurés que nous saurons leur imposer, finira par la remplacer. Les nouvelles générations nous en seront reconnaissants.

@ Jazm, allez donc courir avec les joggers, plutôt que de planer au dessus d’eux. Cela ne pourra pas vous faire de mal si vous le faites avec un masque. Et arborez une (fausse) perruque, personne ne vous soupçonnera.

Cordialement,

B dit: à

D, pouvez vous renseigner mon interêt infantile pour cette fête religieuse, quand les cloches sont elles sonnées? j’adore ce moment.

renato dit: à

Quoi, JJJ, vous n’avez même pas 2 œufs et une poignée de taraxacum officinale aussi dit pissenlit ? les boutons aussi son bons.

B dit: à

JJJ, non, mon imagination ne dépasse pas les limites d’un département et je me suis expliquée sur le changement. Bérénice m’a paru prétentieux , j’ai décidé de réduire au minimum et gardé l’initiale.

christiane dit: à

« La réponse est une question déchue. c’est pourquoi il faut demeurer à l’intérieur de la question. Tout mouvement hors de la question représente une déchéance. »

Nicolas Dieterlé – La pierre et l’oiseau (Labor et Fides)

renato dit: à

« Charoulet est forcément porteur de l’intelligence de l’anophèle. »

Vous êtes gratuitement mauvaise, il est peut-être intelligent, mais asymptomatique.
 

Janssen J-J dit: à

@ chère Ch. Ma réponse est oui mais rappelez moi la question que je soye bien sûr de n’être pas tombé en dehors.

@ Non, r., les racines de pissenlit sont très mauvaises en ce moment, a dit balain marathon, le potageux du roy.

christiane dit: à

@Clopine
« Justement, nous ne sommes rien, au fond. Toute notre souffrance vient de ce que nous voulons être quelque chose (quelqu’un). En d’autres termes, nous voulons être important, avoir beaucoup d’amis, d’amours, être visible socialement, passer pour quelqu’un de talentueux. Donc, on monte des projets, on milite, on fait de l’humanitaire, on se déclare l’amour, on se déclare la guerre. Mais tout cela ne sert à rien, aboutit à un vide stérile. Nous tournons, en une course de plus en plus effrénée, autour de ce « rien » qui nous hante. Jusqu’au moment où nous ne cherchons plus à être quoi que ce soit ; et alors, le vide se transmue, devient plénitude. Nous sommes devenus ce « rien » que nous avons toujours été, et qui est plénitude. Nous nous établissons dans le vide de nous-même, pareil à un funambule sur son fil, et nous dansons. Car dès lors, il ne s’agit plus que de danser. »
ibid – N.Dieterlé.

et alii dit: à

renato,
même france cult pense à vous:

Hasta Dente ! (Fictions / Podcast original)
Dans une ville de province, deux policiers Matteo Razzoni et Karim Meziani, sont chargés d’enquêter sur une affaire apparemment anodine : la découverte d’une cache de ramens, de tracts délirants sur l’avènement du « Dieu spaghetti volant » et quelques photos d’un député.
https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/FMfcgxwHMjtCztmDrXNKMKJNQtgTGSWP?compose=new

renato dit: à

Ce que le potageux du roy dit m’indiffère, JJJ, pour mon déjeuner ce seront deux œufs dur et une poignée de pissenlit du jardin, sel, poivre, pas de vinaigre, un verre d’Edelzwicker — rien à voir avec Paul —. Bonne journée.

christiane dit: à

JJJ
« Tu parles de qui, là? »

et alii dit: à

clopine,dit autrement,le rien
CLOWN, abattant dans la risée, dans le grotesque, dans l’esclaffement, le sens que contre toute lumière je m’étais fait de mon importance.
Je plongerai.
Sans bourse dans l’infini-esprit sous-jacent ouvert
à tous
ouvert à moi-même à une nouvelle et incroyable rosée
à force d’être nul
et ras…
et risible…

Henri Michaux, extrait du poème « Clown » dans le recueil L’Espace du dedans, que vous pouvez écouter ici, lu par Hervé Pierre de la Comédie-Française .
eh bien dansez maintenant!

renato dit: à

et alii, il faudrait mettre un link ouvrable, merci.

OZYMANDIAS dit: à

« Ce curieux Juif danois qui n’était pas juif ».
George Steiner parlant de Kierkegaard.
C’est le même sentiment que j’ai eu, dans mon adolescence, en lisant quelques livres de et sur l’auteur du « Journal d’un séducteur ».
Mais je n’osais pas le dire et le formuler, pensant que j’avais tort de le penser, ce sentiment.
(Oui, oui, on peut « penser un sentiment » et le garder en soi comme on garde un honteux secret).

Chantal dit: à

les 3 J, je vais bien mais claquée par mes corrections cette nuit. Dans le quartier çà va mais quelques zozo font de la provoc, d’autres errent canettes à la main, sans toit. J’ai fait mes courses au magasin russe hier, c’était pittoresque, les bonbons comme ils en raffolent !
J’espère n’avoir rien chopé, mais pas si tranquille, un test serait bienvenu.

Pour partager quelques notes, les Indes Galantes passent sur Arte, je crois qu’hamlet avait recommandé ce spectacle.

Voeux à Christiane, Renato, et Jacques d’Arc.

https://www.arte.tv/fr/videos/091145-000-A/les-indes-galantes-de-rameau-a-l-opera-de-paris/

Pablo75 dit: à

Rappelons que Proust était Cancer, un signe qu’on trouve beaucoup dans les milieux SM (et qui est le signe de la mémoire, par ailleurs, surtout de la mémoire de l’enfance).

Clopine dit: à

Ce matin, grosse décision à Beaubec. On ne tuera pas Gnogno.

Gnogno, c’est le petit agneau qu’on nourrit au biberon et qui, désormais, vient vers nous en trottinant depuis le bout du champ. On place le petit banc sous le noyer, histoire d’être à l’ombre pendant l’opération, on prend le petit animal sur les genoux, la main gauche sous son menton, la droite tient la bouteille de lait coiffée de la tétine, et hop: gnognogno (c’est le bruit qu’il fait en têtant), le voilà qui tête à outrance, complètement détendu, les yeux à demi-fermés de plaisir…

C’est aussi cela, le problème de l’élevage. Dès qu’il y a une relation particulière à un animal, dès qu’il est différencié, il existe autrement. Comment voulez-vous, après, le réintégrer dans le troupeau ?

Moi je ne peux pas. J’ai donc plaidé, et voici Gnogno Covid sauvé. Nous le vendrons, bien sûr, une fois adulte, à quelqu’un qui aura besoin d’un reproducteur. En attendant, il s’ébat et s’ébroue parmi les boutons d’or et les pâquerettes, le ventre tout rond, et la laine blanche encore toute légère. Un vrai plaisirà voir, ce Gnogno.

Pablo75 dit: à

À propos d’astrologie:

« PRÉDICTIONS MONDIALES POUR 2020

Trois planètes lourdes en Capricorne nous annoncent une année déterminante.[…] Les marchés financiers seront toujours très volatils et il pourrait être difficile de faire des projets à long terme. On arrivera de justesse à éviter un crash […] Toute cette agitation nous forcera à adopter une nouvelle conscience collective. Impossible de continuer à vivre avec les anciennes valeurs, les secrets et les cachotteries. Le peuple revendique davantage de transparence, il est prêt à tout pour qu’on lui dise la vérité et qu’on instaure des institutions plus limpides.[…] Le mélange Saturne-Jupiter-Pluton a assurément quelque chose d’explosif, terme qui, par ailleurs, décrit assez bien le climat de l’année, au sens figuré comme au sens propre. »

Anne-Marie Chalifoux. « Horoscope 2020 » (Éditions Publistar, Montréal, 2019).

On comprend pourquoi autant de financiers et investisseurs en Bourse consultent régulièrement des astrologues (sans parler de politiques)…

B dit: à

Ozy, il était bossu, ça vous marque un bonhomme peut être autant qu’une judeité. J’ai vu les arbres de Judée en fleurs hier au cours de ma promenade et ma mère m’a appris qu’ils fleurissent à Pâque.

Pablo75 dit: à

« Comme plusieurs astrologues le savent, nous allons faire l’expérience d’un puissant stellium [amas planétaire en Conjonction dans un même secteur du ciel] en 2020, soit Jupiter conjoint à Saturne et à Pluton en Capricorne. Tout cela suscite de vives inquiétudes au sein de la communauté astrologique pour de bonnes raisons. Étant un aspect planétaire rare qui peut créer une période difficile, mais comme pour tous les transits, il a également le potentiel de nous aider à changer ainsi qu’à orienter notre société dans une nouvelle direction.
[…]
Selon le thème annuel, 2020 sera une année charnière dans l’histoire de l’humanité ; et même si elle risque d’engendrer diverses situations difficiles, elle nous offrira malgré tout l’occasion de nous libérer de cette inaction et d’instaurer des changements indispensables dans notre attitude, mais également dans notre direction de vie. L’Amérique du Nord sera très vulnérable, dû à l’endroit où ce stellium se produira, et nous vivrons certainement des moments difficiles de peur et de doute. Cependant, je suis prudemment optimiste aussi sur le fait que nous allons apprendre de précieuses et grandes leçons sur le monde et sur notre place dans celui-ci. Et très sincèrement, je pense que quelles que soient les circonstances résultant de cette conjoncture, nous avons assurément la capacité de les dépasser dans une nouvelle ère de compromis et d’humanisme qui libérera enfin l’Amérique des limites de notre système, mais aussi de l’inégalité financière qui étouffe notre croissance et notre capacité à véritablement entrer dans le XXIe siècle.
[…]
En 2020, Mars ajoutera une fois encore son influence dès qu’elle prendra position au signe de Terre qu’est le Capricorne (16 février), et commencera à exercer son impact au puissant stellium Jupiter-Saturne-Pluton. En mars 2020, Mars commencera de plus en plus à appliquer son action énergique à ce stellium, ce qui lui donnera plus de pouvoir et pourra même ajouter une colère profonde à cet aspect déjà dangereux.
[…]
En 2020, le rigoureux stellium au signe du Capricorne soulèvera de sérieux aspects contradictoires, en particulier en seconde partie du mois de février, mais ces aspects difficiles se poursuivront tout au long de l’année et seront de nouveau en orbe étroit en septembre 2020. Sans aucun doute, cela créera beaucoup de peur et d’instabilité sur les marchés boursiers toute l’année, et pourrait même entraîner un fort sérieux ralentissement des marchés, voire un krach boursier possible.
[…]
En astrologie, Pluton a régence sur le pétrole, sans compter que cette planète régit aussi les marchés commerciaux. Saturne conjoint à Pluton en 2020 supprimera sévèrement les marchés pétroliers et leurs actions. […] Avec Jupiter dans le mix, nous devrions assister à de sérieuses fluctuations du prix du pétrole et des actions, similaires à celles des actions des années 1970, lorsque les marchés ont connu de violentes fluctuations.
[…]
avec Jupiter et Saturne conjoint à Pluton en 2019-2020, nous pourrions assister à une chute sévère des marchés. La période allant de 2019 à 2023 sera semée de dangers potentiels. Cela semble évident.
[…]
Notre espèce n’accepte pas facilement les modifications jusqu’à ce qu’elle soit passée par une forme de douleur ou d’inconfort. Ceci est également vrai tant pour tout individu que pour le collectif. Le quatuor Mars, Jupiter, Saturne et Pluton en aspect, ce transit soulèvera certainement des préoccupations cachées et nous mettra dans une certaine détresse. […] Alors que Jupiter est impliqué dans ce transit, il pourrait se produire quelque chose de très grave. Si tel est le cas, quels seront les effets secondaires ?
[…]
Le futur stellium de 2020 pourra créer des moments difficiles et douloureux, mais il a aussi le potentiel de nous obliger à voir enfin le monde et notre place dans une perspective plus claire et plus honnête
[…]
Uranus, planète des soudainetés, celle qui régit aussi le futur, est bien installée en Taureau pour les six prochaines années […[ En astrologie, Uranus concerne le changement alors que le signe de Terre qu’est le Taureau concerne la routine et la structure. Par conséquent, ces deux désignations ne constituent pas la meilleure combinaison en soi, mais on pourra quand même en tirer de grands enseignements. »

Marie Christine Dean. « Astro-logique Horoscope 2020 » (Béliveau Éditeur. Boucherville (Québec), 2019).

Sans commentaires.

Marie Sasseur dit: à

L’Agneau mystique de Jan Van Eyck est l’une des œuvres d’art les plus admirées au monde.

 https://histfict.fr/l-agneau-mystique-bd/

Joyeuses Pâques, a ceux qui ont la contagion du coeur , comme l’a rappelé Francois,
Et contre ceux qui sont en guerre, comme jupiter de paris, et ici , en gaguère, dans le poulailler.

Chaloux dit: à

Jacques Drillon dit: à
Chaloux,
A la faveur d’une insomnie,

Merci de vous être donné la peine de noter cette citation, doublement intéressante pour moi : en 1985 je faisais partie des chœurs de l’AROCEA sous la direction de Claude Pétillot, et cette année-là Saint Matthieu était à l’honneur, (répétitions dans la chapelle du lycée Henry IV et deux concerts à Pleyel chaque année). Si bien que je me demande maintenant si ce qui frappe avec tant d’insistance à ma porte, je veux dire le besoin physique d’écouter cette musique (lapsus, j’avais écrit « écrire ») n’est pas d’abord un souvenir. Je crois que je n’ai plus la petite édition Peters avec réduction de piano, mais je vais la commander à la FdeP.
Avez-vous une idée de l’endroit où se trouve le thème?

Marie Sasseur dit: à

Je voudrais urbi et orbi, signaler que celui qui signe ses posts jjj, le fait également pour michel, dede, hamlet et 90% des pseudos qui sévissent ici.

Il sera beaucoup pardonné à Passou, mais pas ça.

Chaloux dit: à

B. J’ai toujours voulu savoir si dans le passé, votre pseudo était Daaphnée

Le tempérament de ces deux personnes n’a rien à voir l’un avec l’autre. Il faut vraiment être Gigi pour ne pas s’en apercevoir.

Patrice Charoulet dit: à

CORONAVIRUS

Depuis le début de l’épidémie, j’ai écouté trois cents débats du matin au soir à la télé comme à la radio et sur la Toile.
Ce dimanche de Pâques, j’entends une vidéo sur Facebook ex-tra-or-di-naire ! Philippe Moreau-Chevrolet parle et fait parler Valerio Molta, Philippe Guibert, Stéphane Rozès, Chloé Morin.
Quels analystes, que d’esprit, que de lucidité, quelle liberté de pensée ! A écouter de toute urgence, pour se débarrasser de la propagande, du baratin, des toutologues nuls, des insulteurs, des moutons, des perroquets, des fanatiques, des ignares…
Bonne écoute ! Plaisir garanti.

Janssen J-J dit: à

@ AMS, du grand n’importe quoi, est-ce reparti comme en 40 ? Suffirait que Passoul efface JJJ et on verrait bien comment seraient vérifiés vos délires repartis à la hausse, vous, Marie Sasseur à qui on peut imputer 11 pseudos depuis 2005, quand je n’en ai eu que deux : Diagonal et J J-J.
Enfumeuse en chocolat, eh va donc te pâquer les cloches !

@ Ch. (votre dernier message) – ????

@ Pas d’accord du tout avec Jaccard Roland sur Marcel, ça, ce sont ses pures projections fantasmatiques de pédophile SM… (« Désormais, Marcel est convaincu qu’une femme « est d’une plus grande utilité pour notre vie, si elle y est, au lieu d’un élément de bonheur, un instrument de chagrin, et il n’y en a pas une seule dont la possession soit aussi précieuse que celle des vérités qu’elle nous découvre en nous faisant souffrir ».

Jazzi dit: à

En revanche, le tempérament de Daphnée a beaucoup à voir avec celui de Marie Sasseur : « Miroir, mon beau miroir… »

OZYMANDIAS dit: à

Joyeuses Pâques à tous et à toutes.
Et pour tous les chrétiens arabes, je leur souhaite un Aïd Fesseh Majid. ( فصح مجيد للجميع ).

Chaloux dit: à

Pablo75 dit: à

@ christiane
Tu parles de qui, là? et de quels « inconvenants »?

Pendant que, chaque nuit, Saint Assouline boute les inconvenants hors de France, la méchante maîtresse d’école, borgnesse aux doigts crochus, terreur des librairies où elle vaticinerait sans fin si l’on n’appelait à chaque fois les pompiers, a des visions aussi rocambolesques, que sa triste personne.

Hurkhurkhurk!

Jacques Drillon dit: à

Chaloux
Ce thème est la mélodie du choral qui revient je ne sais combien de fois dans cette Passion, harmonisé différemment à chaque fois, notamment « Befiehl du deine Wege », »O Haupt voll Blut und Wunden », etc.J’apprends d’ailleurs que cette mélodie est de Hassler, non de Bach lui-même.
En attendant votre partition, qui mettra un certain à vous parvenir, vous pouvez toujours la trouver sur IMSLP, site que vous connaissez sans doute. En tout état de cause:
https://imslp.org/wiki/Matth%C3%A4uspassion%2C_BWV_244_(Bach%2C_Johann_Sebastian)

Pablo75 dit: à

Ce thème est la mélodie du choral qui revient je ne sais combien de fois dans cette Passion, harmonisé différemment à chaque fois, notamment « Befiehl du deine Wege »
Jacques Drillon dit

Part II: Chorale: Befiehl du deine Wege (J.S. Bach, Mathew Passion)
https://www.youtube.com/watch?v=rB06Rkq3sjo

et alii dit: à

je dis quand même aux juifs puisque la maîtresse d’école du blog ne l’ a pas fait
Comment prononcer Hag Pessach Sameach

et alii dit: à

et l’écriture
bonne fête – חג שמח
vous voyez que la première lettre de fête – חג est la mm^me que la dernière lettre de joyeuse– ח
la gutturale heth

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

J’attends (assis) les éclaircissements de Christiane. Je ne vois pas ce que P. Assouline aurait supprimé.

C’est vrai qu’elle est étrange sa réaction. C’est une bonne actrice, elle cache bien son autoritarisme redoutable de Bélière, mais parfois elle se trahit. Si elle devait s’occuper de la censure de ce blog, il serait vide depuis longtemps…

et alii dit: à

on dit que cette gutturale est souvent translittérée « à l’allemande » ie « ch » :chag

Chaloux dit: à

@J. Drillon.

Il m’est difficile d’écouter Saint Matthieu.

Danseryes, 1551,

https://www.youtube.com/watch?v=MxiCpxwbEnM

(Oui, je connais bien IMSLP, il me semble avoir vu une version pour clavier. Je vais aller y voir de plus près.)

Merci de votre aide.

rose dit: à

Chantal dit: à
@ rose, je ne peux décemment pas mettre ce texte en ligne en avant première, mais dès que ce sera possible je mettrai le lien,

bonne journée !

À vous aussi Chantal. Vous devez avoir vos raisons.

Janssen J-J dit: à

En revanche, le tempérament de Daphnée a beaucoup à voir avec celui de Marie Sasseur :

Merci jzmn, et ma petite ruse a marché au détriment de B bien sûr, laquelle me la pardonera. Pauvr’Masseur, la justicière du bog et on accable Ch !…
Quels manques de psycho collective chez maints. Depuis que X dialogue musique avec JD, s’est calmé, mais devrait rester dans son domaine, car pour le reste et notamment question psycho, c pas encore TAF ça.
Salutations à son défunt père qui sut apparemment l’éduquer correctement, jusqu’à un certain poing. Et à la charmante épouze. PAC !

DHH, dit: à

@et alii
êtes vous sure qu’il s »agit d’une gutturale et non d’une laryngale(schwah) ,cette categorie de phonèmes qui restent hors de portée de gosiers occidentaux

Chaloux dit: à

Gigi, tu n’es vraiment pas subtil.

B dit: à

gosiers occidentaux

C’est peut être aussi une histoire de gésier ?

et alii dit: à

,cette categorie de phonèmes qui restent hors de portée de gosiers occidentaux
vérifiez donc!
je connais l’histoire des « gosiers occidentaux »!
je prononce convenablement la heth

Chaloux dit: à

@Pablo.
La méchante Cricri Gobe Tout a dû éclater de joie mauvaise à la suite d’une mauvaise manipulation informatique. Nos petits échanges sur les livres perdus sont toujours là.

DHH, dit: à

@et alii
egffectivement c’est parce que ce sont des laryngales (prononcées avec la gorge ) et non des gutturales(ou palatales prononcéees avec le voile du palais) que ceux qui ne les ont pas trouvées dans leur langue maternelle ne peuvent les prononcer ou tout au moins ont du mal à le faire correctement

Marie Sasseur dit: à

Moi, je regrette une chose. Ce n’est pas vraiment important. C’est que Passou n’ait pas joint l’image aux actes, en quelque sorte. Une bonne droite au moment où il eût fallu,- ce que c’est l’hérédité …mondieu-, aurait donné un autre panache à ce blog. Et il y en a eu des irremplaçables, passés chez Passou. Ils sont partis.

Marie Sasseur dit: à

Un petit huissier véreux et un fonctionnaire du ministère de l’Intérieur a la retraite , il a ses 66 piges bien tassées le keuf, regrettent le voyage en bus andin… avec la prof de pâte à modeler. Je me souviens qu’elle est devenue veuve « virtuellement ».
Un peu comme Marie-Madeleine, quoi…😊

DHH, dit: à

@Jazzi
sympathique dialogue de retrouvailles entre vous et WGW, ailleurs.
des propos qui confirment ce qui était une qualité incontestable du personnage: c’est un vrai prof

B dit: à

La rage maintenant semble se réinstaller dans le département. Nous n’en sortirons pas indemnisés.

Marie Sasseur dit: à

C’est quand même impressionnant le degré de toxicité du keuf, ui signe jjj, auprès des vieilles de l’Ehpad à Passou, Après avoir usurpé le pseudo du gourou de la secte, le voilà tentant de se faire passer pour le prof de Janson, et ici, ce n’est pas de Louis Lambert qu’il s’agit…

et alii dit: à

merci pour les liens!
. La lettre ח est une gutturale (comme le ch allemand ou le j espagnol) que nous transcrivons Kh, comme la lettre כ qui a à peu près la même prononciation.
http://acisf.free.fr/hebreua1.html

et alii dit: à

POUR DHH SPECIALISTE EN FRICative
5. Le Sheva ( שְׁוָא ) :
a. Le signe ְ ne se prononce pas à la fin d’une syllabe : on l’appelle Sheva immobile שְׁוָא נָח (SheVa Na’H)
b. Le signe ְ se prononce comme un e très bref au commencement d’une syllabe : on l’appelle Sheva mobile שְׁוָא נָע (SheVa Na)
http://acisf.free.fr/hebreua2.html

et alii dit: à

Scheva ou Scheja = « vanité  »
Homme de Juda, fils de Caleb par Maaca et petit-fils d’Hetsron
Secrétaire sous le règne de David

et alii dit: à

ORIGINE DE LA DITE LETTRE AJOUTeE PAR DHH, pour sa signature ?
Définition de « Shav' »
Vide, vanité, mensonge, fausseté
Vide: néant, vanité
Vide: d’un discours, mensonge
Indignité (de conduite)

Janssen J-J dit: à

qu’elle est drôle cette AMS, toujours aussi à côté des ses va-nu-pieds superbes, et toujours restée en rade de la virée en bus depuis 2008. Depuis, trépigne sa ragetime sous ses multiples pseudos, la Mauricette du keuf, dès qu’elle s’extirpe du DKWB. Admet toujours pas d’assumer A-D B, son vrai pedigree. Quelle honte !

NB/ Je lui signale que l’autre keuf n’a pas encore atteint ses 65. Mercredi prochain, seulement.

@ grand X – Avez raison, l’arrivait point à la cheville de Sapience M., ni de la mère Daaaaaaaaaaaafnée. Eu toujours les zèles brizées à l’envol… En dehors de ses links et de sa copine au thermostat, pas grand chose de bien utile pour la boutique, de telles pisse-vinaigre… M’enfin… quand on se croit indispensab’, hein. POurquoi pas s’accroire. Laissez-les vivre/s où elles sont. En drive, on vous les apportera…

NB / toujours pas de réponse sur la réapparition de WGW ? Domamge…
Et non c pas moi… à Janson de Saillie !

Janssen J-J dit: à

@ Le gourou des vieilles de l’ehpad.
(mdr 😉
Et pourquoi pas, la goudou des jeunes du darkweb ?
Qui va bien pouvoir prendre sa défonse, icite ?

Nicolas dit: à

C’est officiel Charoulet a une otite. Comme quoi tout le monde peut se tromper.

Janssen J-J dit: à

@ il y en a eu des irremplaçables, passés chez Passou. Ils sont partis.

Hélas, les remplaçab’, ELLES, sont restées, telles des anatifes crochetées aux rochers.
Sont point prêtes à s’en déloger de leu rplien gré, hein.

Air connu : la mauvaise monnaie chasse la bonne.

Janssen J-J dit: à

@ sympathique dialogue de retrouvailles entre vous et WGW, ailleurs.

Où ça, please ? Merci DHH ou jzmn, soyez sympa.

et alii dit: à

a une otite.
APR7S LA SYNTHESE,LA PARASYNTHESE ?

Janssen J-J dit: à

@ Je crois que je vais l’écouter deux millions de fois.

Je crois que vous allez le regretter 1000 fois.

Petit Rappel dit: à

JJJ
suite aux révélations « Sasseuriennes », le doute me point:
Serais-je votre pseudonyme, et ne le saurais-je pas??? C’est vrai que je suis d’un naturel distrait, mais tout de meme…
Penser que vous pensez à ma place sans que je m’en sois jamais aperçu, chapeau l’artiste!
A moins qu’il n’y ait quelques…failles dans la documentation, assénée plutôt que prouvée , de la Sasseur.
Laquelle revient toujours sur les lieux de son crime.
Bien à vous et Joyeuses Pâques.
MC

Jazzi dit: à

« Où ça, please ? »

A Saint-Malo, JJJ…

christiane dit: à

Janssen J-J dit: « @ sympathique dialogue de retrouvailles entre vous et WGW, ailleurs.
Où ça, please ? Merci DHH ou jzmn, soyez sympa. »

Pour rappel, hier :
« 1 – christiane dit:
Agréable surprise de lire, chez Paul Edel, (espace commentaires) un commentaire de Michel A. d’une très grande finesse à propos de Proust et de Gombrowicz.
Nostalgie d’un temps où ses lectures puissantes donner envie de relire un livre.
Il a l’air tellement serein. Ça fait plaisir.

2 – christiane dit:
Merci à Jazzi et Michel A.
Le musée Henner avec une première page fascinante en lien :
https://museehenner.wordpress.com/expo/

3 – (après le tir groupé de Chaloux et Pablo)
christiane dit:
L’air est à nouveau respirable, ici. La fureur incroyable et grotesque de deux participants s’est évaporée en grande partie. Merci, Passou.

Pour en revenir à la vraie culture (pas la longue énumération de titres de livres dont on ne sait s’ils ont été lus et pour quelles raisons, par celui qui ne peut que les citer), il y a sur un blog voisin, le témoignage d’une vraie culture. Cette petite merveille, après une belle lecture de Proust, d’un regard posé sur les œuvres de Jean Jacques Henner « ces nus qui ont parfois quelque chose de baudelairien et de proustien, par le contraste entre la blancheur de la chair des jeunes filles et le paysage assez sombre du décor, auquel s’ajoute les effets de sfumato dans le contour des corps qui trouble ce qui sépare le corps du paysage, comme si le corps se confondait avec lui dans une fusion sensuelle », regard suivi par l’évocation des tableaux du peintre Elstir dans « La Recherche » et par une visite du quartier de La nouvelle Athènes, proche du musée Henner, où passent les ombres de Zola, Balzac, Proust, George Sand et Chopin, Alexandre Dumas (sans oublier Lacan !) et même une halte au « musée romantique de la rue Chaptal » et dans l’ancien atelier d’E.Delacroix.
Le Paris d’un promeneur amateur d’art et de littérature.
L’art de la conversation qui, hélas, se perd trop souvent ici, au profit de stériles querelles d’ego teintées de jalousie et de médisance.
Pourtant la RDL a été cet espace où des intervenants différents et passionnants pouvaient, faute de se supporter, si ce n’est entamer un amical dialogue, poser des commentaires qui réjouissaient les lecteurs de passage.
Il est triste que des braillards vindicatifs squattent trop souvent cet espace dédié à la culture, l’art et la littérature, pour le salir et le rendre irrespirable.
Merci au promeneur du blog voisin pour ce beau partage.
Merci à Passou, qui passant chaque nuit en ses terres, boute les inconvenants. »

Je résume : dans les commentaires du dernier billet de Paul Edel (sous la signature : Michel.

Chaloux dit: à

Gigi, gros naze, tu tapes « Paul Edel » sur Google et tu tombes tout de suite dessus..

https://pauledel.blog/

Pas futé…

Alexia Neuhoff dit: à

Mais enfin, JJJ, vous le faites exprès ou le gigot pascal vous pèse-t-il aussi sur le cortex ? Allez donc faire un tour du côté de Saint Malo où l’on débat du match Gombrowicz / Proust. Vous aurez droit à la résurrection du baigneur de Sitgès, tel qu’en lui-même,inchangé. Vous pourrez, à votre tour, tomber en pâmoison et, sensible comme vous l’êtes, verser une larme.

Chaloux dit: à

Blabla trouve enfin sa voie. Touchant… Comme dirait DHH, un prof hors pair … Hurkhurkhurk!

Avec l’un de mes élèves de l’année dernière, qui est en troisième cette année, un élève de la classe de chinois première langue, un type brillantissime, vraiment génial qui vient d’une ZEP mais a déjà une immense culture pour son âge, tout juste 15 ans, qui s’apprête à intégrer le lycée Louis le Grand avec 19/20 de moyenne générale (!) pour ensuite faire des études de lettres en intégrant Normale Sup, ce qui me semble tout à fait à sa portée, je lui avais fait visiter aux dernières vacances le musée romantique de la rue Chaptal, qui l’avait absolument ravi, et nous en avions profiter pour visiter tout le quartier de la Nouvelles Athènes avec l’ancien atelier d’E. Delacroix, qui est aussi une banque aujourd’hui, le Square d’Orléans où vécurent outre George Sand et Chopin, énormément d’artistes et d’écrivains, Alexandre Dumas, qui y organisa un bal masqué resté célèbre, ou l’actrice Mlle Mars. Il était emballé !

https://www.youtube.com/watch?v=nyVd-iCEZio

Chaloux dit: à

Tout frais…

Michel
avril 12, 2020 à 12:00
Il est bon, je trouve, ce Michel A.l.b.a*… Il problématise bien… On voit qu’il a des biscuits…

Quand je disais que Blabla et la laidbecoclopine se ressemblent… dans cet art inimitable de s’envoyer des fleurs à eux-mêmes…

On sent la Cricri haletante…

* C’est lui-même qui donne son nom.

bouguereau dit: à

ta gueule raclure de larbin..

bouguereau dit: à

dracul revient pour manger le pti jésus alesquia..à paques..non mais frinchmin qu’il aurait dit djaune brown confiné dans son a chalet à double nécessité

Chaloux dit: à

Boutmol, mets-toi tes ordres là où le facteur t’introduit son vit.
Mais reste debout si tu veux.
C’est dimanche.

bouguereau dit: à

j’ai pas vu renfield plus hénervé que d’habitude..c’est à dire que toi même tu disais que tout était cloporte blattes et rat d’égout..c’est toi qu’est la profétesse dmaleur

bouguereau dit: à

sur la photo le seul qu’a la bouche fermée et qu’a pas la gueule béate de ricain me plait bien..un pti air malin

Petit Rappel dit: à

Remontons le temps:
« L’Hiver sera pour la France particulièrement rigoureux; mais les saisons changent de place et les froids seront tardifs; l’hiver prendra la place du printemps,; etc. je déduis de cette prédiction météorologique du peu de confiance que j’ai en l’action des planètes en 1904; Ceci n’est pas la méthode des météorologistes, libre à eux d’en sourire, qui vivra verra.
Si nous avons échappé, ce que j’espère aux périls d’ordre politique et militaire si nombreux en 1904 jusqu’à la dernière heure de l’année, je crains qu’au début de 1905, nous ne nous trouvions acculés à quelque redoutable entreprise de guerre.
Je crois que 1905 sera une année rouge suivant une année grise.
-Oh! Que de dangers à la fin de 1904.
sur mer et outremer, les trouble les plus grands seront à redouter;
L’Angleterre aura sa part d’angoisse, et dés le début de 1905, elle traversera une période d’inquiétudes que marqueront des deuils parmilesquels on en comptera qui occuperont le monde entier. L’Allemagne aussi sera dans la tristesse…Quelle peine d’insister sur ce sombre tableau: l’Europe politique et gouvernementale supportera d’irréparables pertes dans les premiers mois de 1905: pour notre part, nous sommes en France à la veille de plusieurs disparitions sensationnelles.
il y a un homme qui est jeune et à peu près inconnu que l’on m’a montré et que j’ai pu étudier presque sans qu’il s’en doute: je tiens pour certain qu’il se découvrira à l’admiration des artistes et des savants par des oeuvres par des oeuvres et des inventions hors de pair: je dis donc que 1 nous fournira cette compensation d’une nouvelle victoire dans le domaine de la pensée »;
(source: la Pythie de Marianne III
Madame de Thèbes, Almanach pour 1905)
En effet, sans commentaires.

bouguereau dit: à

N° 52 Ce qu’on aurait aimé dire à la Vierge Marie

a que si tu savais tout le mal qu’on me fait..

Chaloux dit: à

Blabla:La fenêtre est tout à la fois un écran qui voile et dévoile. Chez Proust c’est le lieu par excellence du voyeurisme et des perversions qui s’exhibent.

C’est vrai qu’on y voit mieux qu’à travers les murs.

Moi je dis que ce pauvre gars ne s’arrange pas.

Hurkhurkhurk!

Pablo75 dit: à

« Blabla:La fenêtre est tout à la fois un écran qui voile et dévoile. Chez Proust c’est le lieu par excellence du voyeurisme et des perversions qui s’exhibent.

C’est vrai qu’on y voit mieux qu’à travers les murs. »

Hilarant…

bouguereau dit: à

Moi je dis que ce pauvre gars ne s’arrange pas

et mon larbin qu’espère s’être agravé en troudbal et lachté..et l’ote qui s’est hentrainé dans les sierra madré dé dios pour le faire aux pattes..pitché..pitché mon djeu

christiane dit: à

chaloux vous êtes un méchant homme, ignare en littérature (votre commentaire sur Gombrowicz évoquant Proust était un sommet d’outrecuidance et d’incapacité à développer une idée).
J’ai eu le malheur ici d’écrire que je me réjouissais du dialogue entre Michel.A. et Jazzi sur Le blog de Paul Edel. Vous avez alors été immonde, d’une violence de propos inouï à son égard, allant même chercher l’assentiment de Pablo que vous entraînez dans cette basse entreprise. D’où mon commentaire outré à 5 heures du matin.
Maintenant vous reportez votre haleine fétide sur moi.
Vous êtes un être vil. Quant à votre alcoolisme, je pense que vous savez maintenant qui m’en a parlé… Vous la portez aux nues. Elle est lucide sur votre misérable personne.
Michel. A. est tellement plus cultivé que vous. Vous le jalousez, le dénigrez et tentez de donner le change avec votre ton précieux et déférent quand vous vous prosternez devant Jacques Drillon ou que vous avez l’hypocrisie de prendre des nouvelles de Passou alors qu’en permanence vous le daubez.
Vous êtes une larve obscène et ne savez parler aux femmes qu’avec des termes insultants, vulgaires, scatologiques. Et mentir aussi comme pour les librairies ou mes soi-disant virées dans Paris à la recherche de jeunots.
Pauvre type. Je plains votre femme. Quel monstre elle côtoie. J’espère que vous n’avez pas de fils à guider. Ce serait un désastre.
Je ne vous répondrai plus, limace.

christiane dit: à

violence inouïe

christiane dit: à

DHH, dit à Jazzi : « sympathique dialogue de retrouvailles entre vous et WGW, ailleurs.
des propos qui confirment ce qui était une qualité incontestable du personnage: c’est un vrai prof. »
Comme je suis d’accord !

Pablo75 dit: à

@ Christiane

« allant même chercher l’assentiment de Pablo »

La colère t’aveugle. Pendant des années on a tellement partagé de rires sur Blabla Widerganger, Chaloux et moi, que c’est normal qu’il m’avertisse d’une occasion nouvelle de le faire. Surtout qu’elle est vraiment drôle:

« Après, normalement, je file à Saint-Pétersbourg retrouver ma famille russe retrouvée par miracle. Le père de ma cousine Olga était un mathématicien qui faisait partie de l’Académie… Marina, une cousine, est médecin à la retraite à SPB. Mon cousin Abram Alba, mort assassiné à Moscou en 1947 dans des circonstances jamais élucidées, a construit trois aérodromes pendant la guerre, deux dans le Kamchatka, l’autre dans la Kolyma, qu’on peut voir sur Google Maps, avec des travailleurs forcés, des « zeks » des camps de Sibérie. Il était capitaine ingénieur dans l’armée avec un pedigree militaire long comme ça…[…] J’ai une photo, extraite d’un livre faites d’anciennes cartes postales de Pskov, où, par un étrange hasard, on voit la grande maison où habitait Moïse Alba avec sa grande famille de six enfants. On la voit dans deux cartes postales. L’une prise d’avion visiblement […] Sa grand-mère Julia, qui était la fille aînée de la fratrie, née en 1898, lui avait tellement parlé de cet appartement qu’il en était devenu pour ma cousine une sorte de mythe de la vie d’antan., du temps de Proust… qui habitait tout près de mon grand-père, puisque mon grand-père occupait les trois étages du 63 boulevard Haussmann à deux pas de chez Proust avec sa fameuse chambre tapissée de liège. »

Désopilant, non?

et alii dit: à

je pense aussi que WGW devait être un bon prof mais qu’il n’a rien compris aux jeux préférés de la RDL? alors qu’il avait l’habitude de son site ; il a dû attendre autre chose de la part de gens murs; c’est dommage pour tout le monde; peut-être pas définitif?

Chaloux dit: à

Cricri Gobe Tout vous êtes complètement folle. Vous vous appuyez sur une personne que j’appréciais lorsqu’elle intervenait ici, mais que je n’ai jamais rencontrée et qui ne me connait pas. Aussi, amusez-vous autant que vous voudrez. mais le jour venu, ne me dites pas que vous ne l’aviez pas dit.

Pablo75 dit: à

@ Christiane

« allant même chercher l’assentiment de Pablo »

La colère t’aveugle.

Pendant des années on a tellement partagé de rires sur Blabla, Chaloux et moi, que c’est normal qu’il m’avertisse d’une occasion nouvelle de le faire. Surtout qu’elle est vraiment drôle:

« Après, normalement, je file à Saint-Pétersbourg retrouver ma famille russe retrouvée par miracle. Le père de ma cousine Olga était un mathématicien qui faisait partie de l’Académie… Marina, une cousine, est médecin à la retraite à SPB. Mon cousin Abram A.l.b.a, mort assassiné à Moscou en 1947 dans des circonstances jamais élucidées, a construit trois aérodromes pendant la guerre, deux dans le Kamchatka, l’autre dans la Kolyma, qu’on peut voir sur Google Maps, avec des travailleurs forcés, des « zeks » des camps de Sibérie. Il était capitaine ingénieur dans l’armée avec un pedigree militaire long comme ça…[…] J’ai une photo, extraite d’un livre faites d’anciennes cartes postales de Pskov, où, par un étrange hasard, on voit la grande maison où habitait Moïse A.l.b.a avec sa grande famille de six enfants. On la voit dans deux cartes postales. L’une prise d’avion visiblement […] Sa grand-mère Julia, qui était la fille aînée de la fratrie, née en 1898, lui avait tellement parlé de cet appartement qu’il en était devenu pour ma cousine une sorte de mythe de la vie d’antan., du temps de Proust… qui habitait tout près de mon grand-père, puisque mon grand-père occupait les trois étages du 63 boulevard Haussmann à deux pas de chez Proust avec sa fameuse chambre tapissée de liège. »

Désopilant, non?

Marie Sasseur dit: à

Le sacristain Court, et ses mauvaises pensées, il a fort à faire; on ne risque pas lui attribuer celles de bouguereau-jjj-hamler-d-ed-neuhoff-michel a- et j’en passe. Pas 90%, mais actuellement 98% de virussés, ici…😂

Pablo75 dit: à

Blabla Widerganger, l’homme qui avait un grand-père qui a failli croiser un jour un livreur qui allait peut-être chez Proust…

Marie Sasseur dit: à

Ce que fait actuellement celui qui signe ici jjj, sur le blog de Edel, est un délit.

renato dit: à

Peggy Guggenheim aussi avait une chambre tapissée de liege…

Chaloux dit: à

Je trouve ma petite réflexion si Gombro pas si bête. C’est une note, rien de plus. Évidemment je n’y ouvre pas de robinet à faire reluire de vieilles idiotes.

Dans Testament, il me semble que Gombrowicz raconte qu’un de ses parents, sa mère, je crois, mentait énormément et qu’il en a été marqué. On a l’impression qu’ensuite ses personnages essaient de prendre contact avec la réalité à travers l’épaisseur de cet écran primitif, souvent grotesque, et premier, (comme par exemple chez la comtesse Fritouille, soi-disant végétarienne mais chez qui le sang coule partout). Au dernier chapitre de l’œuvre, Cosmos on ne peut plus rien voir ni savoir. Le mensonge semble avoir contaminé l’Univers entier. Il y a une idée nietzschéenne dans cette vision (voir Vérité et mensonge au sens extra-moral qui fournit à mon avis une piste fondamentale et incontournable qui a pu canaliser la création de G., et le petit texte d’Alexandre Koyré, Réflexions sur le mensonge reparu chez Allia).
Pour le reste, Gombrowicz, à la lecture de Kronos me semble avoir été un homme très libre. Il y a forcément un lien entre cette liberté bohème et le nœud de son œuvre, mais difficile à trouver, tant l’écrivain se refuse à écrire à découvert et piège ses livres. Le thème de l’homme qui ne peut s’extraire de l’enfance est non seulement très secondaire (secondaire, certes, comme une scène primitive), mais je suis aussi persuadé qu’il ne s’agit que d’un écran factice destiné à cacher l’essentiel. Sans que personne ne le sache, l’enfant a réussi à s’extraire de l’enfance, à s’en évader mais cela doit rester secret. Je me demande s’il n’y a pas sur ce point un lien entre les livres de Gombrowicz l’extraordinaire trilogie d’Agota Kristof. Il faudrait travailler sur les textes pour ne pas dire trop de bêtises, surtout pour ne pas tomber dans l’à-peu-près dont on est gavé ici, et je suis dans tout autre chose pour le moment.

Retiré une virgule (?) retiré 7 mot, changé un mot.

Marie Sasseur dit: à

#Il y a forcément un lien entre cette liberté bohème et le nœud de son œuvre, mais difficile à trouver, tant l’écrivain se refuse à écrire à découvert et piège ses livres.

Le même « noeud » que proust mann, tournier…

Chaloux dit: à

Je ne parle pas de ça…, grosse bête.

Pablo75 dit: à

Je trouve ma petite réflexion si Gombro pas si bête.
Chaloux dit:

On en attend de si « bêtes » de la part de Christiane (qui l’a quand même copié dans ses archives). Et du reste des « Grands Spécialistes » de Gombrowicz qui essaient de se la péter ici (suivez mon regard)…

Chaloux dit: à

A la réflexion, je dirais même que la référence nietzschéenne efface chez Gombrowicz presque toutes les autres.

@Pablo. Penses-tu que Jésus ait existé ou non?

(Pour le reste, j’ai une question sur un phrasé à propos de la D960 que j’ai recommencé à travailler. Je mettrai un petit enregistrement d’extrait sur Souncloud avec lien ici et tu me diras ce que tu en penses. J. Drillon pourra participer, s’il le souhaite.)

Chaloux dit: à

Est-ce qu’Anna de Noailles n’avait pas aussi une chambre tapissée de liège? J’ai l’impression que tous les grands nerveux de la Belle époque avaient une chambre tapissée de liège.

bouguereau dit: à

l’afrenchézado d’pédro y va poignarder mon con dlarbin dans l’dos..

bouguereau dit: à

et je suis dans tout autre chose pour le moment

..et qu’ça brille mon couillon!

bouguereau dit: à

(secondaire, certes, comme une scène primitive)

(..rôôô c’est il s’écoute le tartignol)

bouguereau dit: à

grosse bête

tu peux pas rester comme ça a te gratter l’oignon la babouin..ça va jaser

bouguereau dit: à

Désopilant, non?

fais ton malin l’afrenchézado..dracul il hétudie présentment l’astrologie havec un maitre qui descend tout droit de zébulon grand rabin à knock..d’ici 2-3 jours il te fait ton théme..bien minabe on en a l’pressentiment

bouguereau dit: à

J’ai l’impression que tous les grands nerveux de la Belle époque avaient une chambre tapissée de liège

mon larbin il a confusément l’souvnir des cellules d’agitées qu’il a fréquenté un peu partout..scène primitive quelqueschose..mais je suis sur un ote truc mon larbin..tu permets!

Patrice Charoulet dit: à

VERBALISER LA SOLITUDE SIGNE LA DICTATURE

Deux préambules.
Un . La même amende (par exemple 135euros) est trois rien pour le milliardaire et une catastrophe pour le smicard.
Deux. Confidence personnelle. Les deux seules situations qui me sont agréables sont la solitude et le dialogue (amoureux ou amical). J’abomine les réunions, les manifs, les foules,les troupeaux, les supporteurs de foot, les beuveries du samedi soir,les concerts de rock et le reste. Je préfère manger
chez moi qu’au restaurant. Depuis ma retraite, je ne suis jamais allé en vacances : je trouve ça fatigant. Ma ville me suffit.

J’entre en matière.

Pour cause d’épidémie, le gouvernement, en interdisant aux généralistes de prescrire deux médicaments parfaitement connus depuis 70 ans, s’il est remplacé par un autre après élection, devra rendre compte de cette décision criminelle.

Pour l’instant, il a décidé un certain nombre d’interdictions. D »où le papier signé et daté, que chacun d’entre nous doit avoir dans sa poche et présenter à un fonctionnaire de police. L’intention est de limiter les sorties et les contacts entre les gens. Cela peut se comprendre. Dans une réunion, dans une foule, dans le métro,… le virus passe d’un homme à un autre.

Comme (voir plus haut), je n’aime aucune foule, aucune réunion, aucun troupeau, ma vie n’est presque pas changée.

Une chose m’est totalement incompréhensible. Comment un homme seul dans sa voiture peut être contaminé ou contaminer  ? Et, en conséquence, comment peut-il être verbalisé ?

Une autre chose m’est totalement incompréhensible. Comment un homme marchant seul en bord de mer, je le redis, seul, peut il contaminer ou être contaminé ? Et , en conséquence,comment peut-il être verbalisé ?

Que ces deux personnes , ayant ces deux conduites ,aient une amende de 135 euros est une honte. Et je ne crains pas de dire que tolérer cela, c’est accepter la dictature.

Janssen J-J dit: à

Merci AN, Chalouxe et jzmn… OK donc chez Paul Edel. On peut avoir des zapping, merdr’alors !

Je viens donc d’y aller voir et de me farcir l’intégralité du diablogue MA – Jzmn, et du pauvre PE qui n’osait plus s’immiscer entre eux…
Des retrouvailles magnifiques au demeurant, qui sentent le déversement d’une vraie frustration à l’égard d’une amitié interrompue depuis longtemps entre déambulateurs et flâneurs des rues et musées de paris…

Ah jzm ! je comprends mieux ce que Michel (on ne peut toujours pas citer son nom icite) raconte de la RDTP et j’approuve cette incise où il semble donner un brin raison à Gombro, à ceux qui, comme moi viennent de la découvrir.

(pas mal vu Gombro !, je cite un passage) Voilà un mysticisme bien professionnel de bel esprit et d’artiste. Ses analyses psychologiques pourraient se multiplier à l’infini car elles ne sont qu’une broderie d’observations, sans invention ; ce qui leur manque c’est la révélation fondamentale de l’univers, elles ne sont pas le résultat d’un seul coup d’œil pénétrant, elles ne sont pas nées d’une vision, mais seulement d’un travail minutieux de l’intelligence sans inspiration. Ses phrases, dans leur richesse, frôlent à chaque pas le maniérisme ; il y un moment presque impossible à saisir, où leur beauté imposante se transforme en un complexe laborieux et artificiel. Son type de métaphore trahit ses faiblesses : ce ne sont pas en général des métaphores qui ramènent des phénomènes secondaires à une forme plus élémentaire mais le contraire ; il est toujours enclin à traduire l’essence de l’univers par sa réalité secondaire, le langage de sa « sphère ». Quant au monde auquel il a donné l’existence dans son œuvre, rien de plus étroit : ses personnages sont tous du même modèle, c’est la même famille avec, dans ses combinaisons différentes, les mêmes caractères héréditaires. Charlus, Norpois, Mme de Guermantes sont faits de la même matière, à vrai dire ils disent tous la même chose. La monotonie de trame caractérise cette œuvre pauvre en invention et en imagination mais imposante par la culture laborieuse du détail. Rien pourtant ne trahit plus le caractère « ni cuit ni à cuire » de Proust que son intelligence, qui est parois lumineuse, mais qui dégringole combien de fois on ne sait pourquoi ni comment, dans l’impuissance et la naïveté (..)

Voilà un mec qui ne s’applatissait pas. Bon.

(Et maintenant, MA : je cite : qui n’a pas pensé comme lui d’une manière ou d’une autre en découvrant Proust lors d’une première lecture…? — comme lui mais pas aussi bien, pas aussi clairement, pas aussi finement…!)…

Ben voui, c’est ce que j’ai très souvent ressenti…. De la fascination et de l’exaspération, de l’ennui souvent.
Donc merci pour cette escapade…
Suis certes heureux des nouvelles de blabla, mais content aussi qu’il nous reste à St Malo. Il n’est toujours pas passionnant, quoiqu’en dise. Etale toujours sa culture (certes vaste) sur des kilomètres carrés. On cherche en vain l’idée principale, tellement il se noie dans un verre d’eau… par exemple, cette érudition sur « les fenêtres » à partir de Baudelaire. Mais frinchemin, qui cela peut’il intéresser ? à part un chinois déconfiné et pris en main par un MA ému de pouvoir briller devant un étudiant perdu pour le C19 ?

J’avais cru comprendre, Masseur, qu’il avait cessé d’enseigner et qu’il était parti à la retraite… Bon, sans doute pour mixu chercher ses aïeux en Russie. Il en a connu beaucoup de prostituées. Je me rappelle aussi une vieille paysanne en vacances à Pont l’Abbé d’A., et d’une maîtresse à Kiev, sans compter tous ces petits vélos en Sologne ou en Catalgone…

Tout nous revient à la mémoire, la jade comme l’obsidienne, dès qu’il débarque et fait à nouveau enrager nos deux survivants musiciens.

Tout cela est d’un follement drôle, comme une sorte d’éternel retour zarathoustrien.
Et la Sasseur qui m’attribue la paternité de tous ces erdéliens. Quel piédestal me fait-elle, la goudoue – la gouda !
« A moi seul tous ces personnages », comme disait Shakespeare. Quelle consécration, mondieueuueueueueueu !

MC, j’adore votre humour… Décidément, il est de plus en plus raffiné. Bien à vous,

bouguereau dit: à

Et je ne crains pas de dire que tolérer cela, c’est accepter la dictature

tous au rond point charoulet?

Pablo75 dit: à

Penses-tu que Jésus ait existé ou non?
Chaloux dit:

À une époque j’ai beaucoup lu sur ce thème. Je crois que c’est un mythe (peut-être basé de loin sur un personnage réel qui n’avait rien d’un dieu, évidemment), un mythe fait à partir de plusieurs autres mythes (d’où les ressemblances frappantes avec Zoroastre- Zarathushtra ou Osiris, entre beaucoup d’autres), par des gens qui savaient très bien ce qu’ils faisaient, des gens d’une spiritualité très haute. Comme beaucoup de mythes, ceux du christianisme sont une façon d’expliquer « simplement » des réalités spirituelles, pour ne pas dire mystiques, très réelles, mais auxquelles seuls les initiés ont accès.

Sur Schubert, je ne suis pas sûr de pouvoir t’aider pour une histoire de phrasé; je pourrais te dire uniquement si j’aime ou j’aime pas. C’est Drillon le très bon spécialiste de Schubert, l’un des meilleurs qu’il y a en France. Profite qu’il fréquente les lieux pour consulter toutes tes doutes sur l’ami Franz…

D’ailleurs, j’en ai une, sur sa vie que j’avais expliqué ici un jour: est-ce qu’il aurait des informations sur le fait que Schubert était pédophile et aurait payé des gosses pour coucher avec eux tout en se sachant syphilitique et donc contagieux? J’avais entendu Olivier Bellamy dans son programme « Passion classique » raconter, il y a 4-5 ans, qu’on avait trouvé à Vienne une fiche de police qui racontait cela. Je n’ai jamais pu trouver d’autres informations sur cette affaire.

Marie Sasseur dit: à

jjj-bouguereau amuse le sacristain et la vieille dingo, en signant michel a. chez Edel.

Janssen J-J dit: à

@ Marie Sasseur dit: à Ce que fait actuellement celui qui signe ici jjj, sur le blog de Edel, est un délit.

Ah oauis ?! et en plus je l’avais loupée celle-là. L’est bin bonne… !
A vraiment bouffé trop de chocolats frelatés en écoutant la déclaration urbi et orbi, les cloches lui sont tombées sur le ciboulot… L’est vraiment amochée, ce soir.
Va te décuiter un brin au fond du dkw (oui je tutoie parfois), tu revindras demain en meilleure forme. Hein, rastaquouère !

Marie Sasseur dit: à

L’usurpation de l’identité sur internet, ici d’une personne identifiable, prenom et initiale du nom, en ce sens pouvant être identifiée par plusieurs personnes et sans son consentement, est un délit.

Chaloux dit: à

Suis certes heureux des nouvelles de blabla, mais content aussi qu’il nous reste à St Malo.

Pauvre Gigi, tu ne comprends décidément rien, c’est Edel qui habite Saint-Malo, pas Blabla.

Pensez-vous qu’il y ait un lien entre la résurrection de Jésus et la réapparition de Blabla.
entre d’autres termes, Blabla est-il un avatar de Jésus, faut-il l’adorer, comme le font de vieilles maîtresses d’école complètement déficientes?

Proust n’est pas un écrivain qui s’aborde, c’est un écrivain qui se transmet. S’il n’y a eu dans votre vie personne pour vous le transmettre vous êtes perdus, vous n’y comprendrez jamais rien. C’est ce qui est arrivé au pauvre Blabla et à la plupart des gens d’ici.

Marie Sasseur dit: à

L’huissier aimerait tant crôare…

bouguereau dit: à

c’est Edel qui habite Saint-Malo, pas Blabla

parfaitment..par projection du corps astral..dracul faut ça trés facilement..pesant et grossier personnage..par mes pompes..catapulter moi ça en cuisine

bouguereau dit: à

(tes posts sentent un peu la rondelle la baboune..fais gaffe)

et alii dit: à

LES cloches d’Orléans sont un Article Parodique mais merci!

Janssen J-J dit: à

@ rôz

Comme promis, voici la réponse à l’instant de mon ami Ph à propos de Madeleine, sa grand mère, 102 ans, qu’il accompagnera demain avec son père et sa soeur, en sa dernière demeure.
Je n’en change pas une lettre (sauf les lieux), même si le contenu ne répondra peut-être pas à votre préoccupation. Voici :
________
Mon cher (Jean-Jacques),

Après avoir vécue seule (au décès de mon grand-père, l’année de mon bac, 1987) dans leur maison de X. (77) jusqu’en 1994, mon père la persuada de prendre un grand T2 à Y. (93), acheté neuf, dans une résidence de bon standing, pour plus de commodité et de proximité. Appartement qu’elle quitta en 2005 pour un studio dans un foyer-logement (avec terrasse), non médicalisé mais avec services, octroyé par l’intermédiaire de J. M., toujours à Y. (résidence « Z »). Ses aptitudes physiques commençant à décliner et son irascibilité allant crescendo vis-à-vis des membres de l’établissement, elle s’en fait peu ou prou vider fin 2017 et a dès lors intègré l’EPHAD de J (77) / (NB de moi : celui dont parlait le journal lors de ses 100 ans).

Dites nous, rôz, si le cœur vous en dit, ce que vous en concluez (le cas échéant).
Je ne crois pas que l’on puisse comparer les situations. Bonne fin de journée pascale.
A bientôt j’espère.

bouguereau dit: à

est un délit

attation commissaire..le golème à la crème..havant celui dlassouline au fait..y fait tout l’boulot..c’est pas du bidon en gallimart propret..c’est un gros tas en harche..un bout dgras djambon un casque à pointe.. et chibolette! ein zwei sacrénom!

Pablo75 dit: à

J’admire de plus en plus ceux qui ont la patience de lire et alii, bouguereau, Janssen J-J, Court-Rappel, renato, Marie Sasseur et quelques autres que j’oublie … Et qui ont même le courage de leur répondre, alors qu’on dirait des autistes, certains profonds, irrécupérables, qui ont l’air d’écrire pour eux-mêmes ou de se commenter à eux-mêmes (donc obscurément, sans références, ni guillemets, ni des explications claires, en se faisant tout le temps des clins d’oeil à eux-mêmes) ce que d’autres écrivent ici.

Ce blog, on dirait une grande table autour de laquelle quelques personnes assises papotent, discutent ou s’engueulent. Et tournant autour de la table il y a un groupe de plusieurs fous qui commentent, avec des propos inintelligibles, ce qu’ils entendent en passant.

Janssen J-J dit: à

@ c’est Edel qui habite Saint-Malo, pas Blabla.

Mais pôvre bourricle, comme si vous n’aviez pas compris que « rester à St Malo » voulait dire : « continuez de sévir chez Edel si cela vous chante, mais ne revenez pas chez Passoul » !
Est-il kon, ce pauvre chalumeau, frinchemin… Peut pas s’empêcher de se la péter et de prendre les gens pour des demeurés…
Veut faire preuve de finesse lui aussite, mais l’en n’a vraiment pas pour 6 sous, hélène, a rien à envier aux gros sabots normands, comme dirait dirmustapha.

Marie Sasseur dit: à

L’espaniol, pucuer compulsif, c’est la madame soleil du blogapassou. Resplendissant.

Marie Sasseur dit: à

Pucier, mais personne ne le lit.

christiane dit: à

Chaloux dit:  » Vous vous appuyez sur une personne que j’appréciais lorsqu’elle intervenait ici, mais que je n’ai jamais rencontrée et qui ne me connait pas. »

Conjugaison à revoir !
Je m’appuie sur une personne que vous appréciez et qui intervient sur ce blog, tous les jours. Et qui semble très très bien vous connaître…

Petit Rappel dit: à

principe d’un Blog: on dialogue avec des avatars.
Je n’ose pas imaginer duquel Marie Sasseur est le nom mais son impuissance à argumenter autrement que par l’insulte est pathétique.
Quant aux proclamations du genre « Dans science fiction il y a science », très Joseph Prudhomme ou bien, « ne la ramenez pas sur Le Clézio traducteur, j’ai été au Chiapas », on ne voit pas très bien leur portée argumentative ni ce qu’ils sont censés prouver. il est vrai que certains génies autoproclamés ne sauraient développer un argument.
Joyeuses Pâques tout de même.
Sacristainement votre.
MC

Chaloux dit: à

Janssen J-J dit: à
prendre les gens pour des demeurés…

Avec toi, pauvre Gigi, c’est l’option grands débutants. Pas difficile à déduire. On voit en toi comme à travers… une fenêtre. Tu es gombrowico-blablatesque!

bouguereau dit: à

pédro y copie alesquia..ça lui a pas plu d’ête traité de franquiss d’acarien de rien..halors il cochonne la baboune à coup de pompe a merde..manque de pot ça lui rfait une beauté

christiane dit: à

Petit Rappel dit: à JJJ
« suite aux révélations « Sasseuriennes », le doute me point: Serais-je votre pseudonyme, et ne le saurais-je pas??? C’est vrai que je suis d’un naturel distrait, mais tout de même…
Penser que vous pensez à ma place sans que je m’en sois jamais aperçu, chapeau l’artiste!
A moins qu’il n’y ait quelques…failles dans la documentation, assénée plutôt que prouvée , de la Sasseur. Laquelle revient toujours sur les lieux de son crime.
Bien à vous et Joyeuses Pâques.
MC »

Un passe-muraille donc !

bouguereau dit: à

« ne la ramenez pas sur Le Clézio traducteur, j’ai été au Chiapas »

et pas que!

tu cites pas bien meussieu courte..t’es de parti pris épicétou

Janssen J-J dit: à

… lui, on lui a « transmis » des baffes proustiennes, donc il est seul à le pouvoir comprendre le temps qu’il a dû mettre à comprendre le temps qu’il a perdu… On ne fait que la relire, avait-il dit, une fois.
Tu m’étonnes que les baffles, il aime ça… En redamdnera jusqu’à sa mort et il aura pas encore tout compris, aura toujours besoin de les chercher ! A défaut du père, c’est l’épouze qui les lui flanquera.
Allezouh ! Tare tag. à la récré, chalumeau prout prout, va donc rejoindre ton clavicorde
ensablé. C’est pas d’la double vue, ça ?

Jacques Drillon dit: à

Chaloux,
Puisqu’on est dans les coïncidences, continuons. Vous écrivez: « Proust n’est pas un écrivain qui s’aborde, c’est un écrivain qui se transmet. S’il n’y a eu dans votre vie personne pour vous le transmettre vous êtes perdus, vous n’y comprendrez jamais rien. »
Je suis tout à fait d’accord. Et puisque personne n’est sûr qu’il existera encore, quand tout sera fini, un « Bulletin des amis de Marcel Proust », voici le premier jet d’un petit article qu’ils m’avaient commandé, et que j’ai choisi d’écrire justement sur ce thème…

Lui aussi

Découvrir Proust, c’est d’abord découvrir qu’on ne l’a pas lu. Lorsqu’on a comme moi été bercé par une mère qui a conservé la biographie de Painter sur sa table de chevet pendant dix ans au moins, on le considère comme un homme qui bombait le torse sur la couverture d’un livre blanc, écrit par un auteur qui ne mettait pas d’s à George. Eh bien qu’il le bombe, son torse, si ça l’amuse ! Je préfère (moi aussi) les baisers de maman…
Puis j’ai compris que Proust était lui-même l’auteur de quelques livres. Et que d’autres les avaient lus. Leur cercle est fermé : ils forment une confrérie, une franc-maçonnerie aux rites mystérieux, au vocabulaire crypté : dans les phrases qu’ils échangent voisinent des aubépines, une certaine Mme de Guermantes et ce Bergotte, au nom ridicule, jaune pâle, comme les bonbons venus de la ville toute proche. Je me sens exclu, étranger à ce monde. Ma mère parlant d’Elstir rejoint ses quartiers secrets. Elle s’tire, en effet.
Ignorant ces livres avec une superbe qui m’exaspère rétrospectivement, au profit de Lénine, Breton et Lucky Lucke, je grandis, je deviens un homme mon fils, et je tombe amoureux.
Elle a lu Proust. Je prétends l’« avoir fait », « avec du mal » – précaution oratoire, mensonge ajouté et superflu, mêlé de vraisemblance, comme ceux d’Odette. Mais je ne connais ni Vinteuil, ni Françoise, ni Morel. Elle me dit : « À l’évidence, tu ne l’as pas lu. » Je la regarde dormir (moi aussi), je mâchonne mon amertume, et je décide d’y remédier une fois pour toutes, comme une jeune fille se résout soudainement à perdre son pucelage. Une sorte de passage obligé.
– Je le lis.–
(Passons sur le trésor qui tombe alors dans mon « espace du dedans », comme dit Michaux, intérêts et capital confondus. Les « Amis de Marcel Proust » voient de quoi je veux parler.)
Les années passent. Mes amis à moi ont appris lâchement à m’épargner les crises de proustisme qui surviennent deux fois par jour, tremblent dès qu’il est question d’aubépines, de Mme de Guermantes ou de Bergotte : cela pourrait me reprendre.
Un jour, un de mes fils cherche du travail. Il veut tuer le temps – ce qui est bien présomptueux. De manière à être (lui aussi) sujet à la proustite chronique de son meilleur ami, qui lui fait vaguement envie (celle de son père le laisse indifférent), il achète Du côté de chez Swann dans la collection Blanche. Et puis les suivants.
Un soir il n’y tient plus, et me téléphone. Il est à la fois furieux et enthousiaste. Il se trouve dans l’état de Henry James : « Lisant Proust, j’éprouve un inconcevable ennui, joint à la plus extrême extase qu’il soit possible d’imaginer. » Il a mille questions à me poser, mille griefs, mille idées qui l’assaillent (lui aussi). Et je connais alors le plaisir incomparable de parler de Proust avec son fils. C’est exquis. Comme dit le jeune condamné à mort de Bresson, qui vient de passer le mur de la prison, et marche vivement sur le trottoir de la liberté : Si ma mère me voyait !

christiane dit: à

Petit Rappel dit: « principe d’un Blog: on dialogue avec des avatars.Je n’ose pas imaginer duquel Marie Sasseur est le nom mais son impuissance à argumenter autrement que par l’insulte est pathétique.Quant aux proclamations du genre « Dans science fiction il y a science », très Joseph Prudhomme ou bien, « ne la ramenez pas sur Le Clézio traducteur, j’ai été au Chiapas », on ne voit pas très bien leur portée argumentative ni ce qu’ils sont censés prouver. il est vrai que certains génies autoproclamés ne sauraient développer un argument.
Joyeuses Pâques tout de même.
Sacristainement votre.
MC »

Continuez, je vous en prie. Enfin quelqu’un de fin et de spirituel dans ce désolant paysage !

Marie Sasseur dit: à

Court, vous concernant, je n’ai jamais eu d’imagination. Vous ressemblez bien à votre avatar…

Pablo75 dit: à

Pensez-vous qu’il y ait un lien entre la résurrection de Jésus et la réapparition de Blabla. entre d’autres termes, Blabla est-il un avatar de Jésus, faut-il l’adorer, comme le font de vieilles maîtresses d’école complètement déficientes?
Chaloux dit

Le message de Blabla, ressuscitant hier au lieu d’aujourd’hui comme le Christ, c’est que, lui, est supérieur à ce dernier. Il profite du jour le plus important du christianisme pour bruler la politesse au Fils de Dieu.

Façon de nous dire à nous tous, qu’il se considère d’origine divine, ce que certains d’entre nous avions déjà subodoré…

Marie Sasseur dit: à

« Les « Amis de Marcel Proust » voient de quoi je veux parler. »

Certainement, il y en a ici qui se couchent de bonne heure, et se réveillent en pleine métempsychose.

Mais les lecteurs de Michaux beaucoup moins…

et alii dit: à

From April 11 to May 3 the Medem Bibliotheque in Paris will be offering virtual Yiddish literature seminars including one on Peretz and the fifth cholera epidemic … You can now stream a filmed live performance of The Thomashevskys: “conductor Michael Tilson Thomas explores the lives of his grandparents Boris and Bessie Thomashefsky, founders of America’s Yiddish Theatre, through a musical performance with Eastern European klezmer and the New World Symphony orchestra.” … Tkhines are Yiddish language prayers, usually composed by and for women. Over at the Open Siddur project a number of folks have collaborated to bring you a 1916 prayer, “Tkhine When an Epidemic Breaks Out,” in Yiddish with English translation…https://www.tabletmag.com/sections/community/articles/yiddish-in-israel

Chaloux dit: à

Cricri, vous êtes mystifiée. Daaphnée avait trop de distinction et de finesse pour devenir une Sasseur. Elle ne pourrait pas tomber si bas. Je ne crois pas non plus qu’elle se confierait à une femme aussi médiocre que vous.

(D’ailleurs, j’ai reçu il y a quelques jours vos coordonnées par un donateur anonyme, peut-être par l’individu qui vous mystifie, sur l’adresse e-mail que j’avais donnée ici même il y a un certain temps, « lecteurdeclopine@…. afin que la gourdasse m’envoie sa nouvelle du moment. Nous pourrons donc nous expliquer paisiblement dès la fin du confinement.)

Marie Sasseur dit: à

Il a raison l’huissier véreux, qui est toujours sur le chemin du comico pour deposer des mains courantes, ou pour  » rendre visite » à un intervenant qu’il a harcelé et qu’il a cru voir revenu aujourd’hui comme le messie…quand il n’est pas à lâcher des insinuations, avec menaces, concernant un prof du Collège de France :

Je n’ai jamais partagé ses imbécillités.

christiane dit: à

Chaloux dit: « vous êtes mystifiée. »
Retour à l’envoyeur !
Franchement, vous me voyez échanger amicalement avec Sasseur, par emails privés !
Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Vous n’en saurez pas plus venant de moi.
Je pense que c’est elle, un jour, qui vous mettra au pied du mur.
Quant au passionnant échange (vous et Drillon), comme j’aurais été heureuse de le lire à 5 heures du mat plutôt que cette invraisemblable série de commentaires abjects où vous attaquiez un absent.
Mais c’est trop tard, chaloux. Vous avez été trop grossier et insultant avec tant de personnes, dont moi. Plus du tout envie de vous lire ou d’échanger avec vous, ni même de penser à vous.
Quant à Pablo, il est différent de vous, capable de franchise et de gravité. Sa mémoire historique de la guerre d »Espagne m’a toujours impressionnée. Ses réflexions sur l’art, aussi.
Las, il a fallu qu’il vous rencontre. Le résultat de cette nuit n’est pas à son honneur.

et alii dit: à

le musée :

Art World
From a Museum Tailor-Made for Pets to Christie’s Multi-Million Dollar Fine: The Best and Worst of the Art World This Week
Catch up on this week’s news, fast.

By Caroline Goldstein, 2 days ago
pets n’est pas le degré 0 de poets

Clopine dit: à

lecteurdeclopoine@ ?

C’est quoi ce truc là encore ?

et alii dit: à

pour Clopine :tranquillisez vous :
Jean-Jacques Rousseau : comment un accident provoqué par un chien danois a-t-il entraîné chez le penseur une crise salvatrice qui le mena au sentiment d’existence ? Adèle Van Reeth nous en fait le récit.
(on pense aussi à l’accident de Montaigne)
https://www.franceculture.fr/emissions/radiographies-du-coronavirus/rousseau-et-le-chien-danois?actId=ebwp0YMB8s0XXev-swTWi6FWgZQt9biALyr5FYI13OpVgbqTOoeKQh7JKoFLC2fE&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=577182#xtor=EPR-2-%5BLaLettre02042020%5D

Janssen J-J dit: à

Du nouveau sur cette chaine : l’assaut d’amabilités autour de la manière « d’appréhender Proust », : il faut ne l’avoir jamais lu, condition sine qua non pour l’avoir toujours connu, dans un bercement ininterrompu. Du grand art et premières amours de grands esprits qui communient dans l’indicible… L’un en fut bercé par sa mère, l’autre par son père… Les deux le furent apparemment trop violemment rudoyés contre le mur, ce que l’histoire oublie de préciser.
Il en est resté quelques séquelles communes, des préciosités au sommet de leur boîte crânienne.
Un nouveau duo de chats simiesques en Erdélie.
__________
Découvrir Proust, c’est d’abord découvrir qu’on ne l’a pas lu. Lorsqu’on a comme moi été bercé par une mère… etchétéra etchétéra !…
__________

Marie Sasseur dit: à

Cette rencontre a été évoquée à de multiples reprises, sur la rdl, et plus complètement dans cette recension des échanges entre Philip Roth et Primo Levi.

We would like to remember Philip Roth (1933-2018) —in addition to his extraordinary literary production— for his pivotal role in introducing Primo Levi to the English-speaking world.  In this essay, Marco Belpoliti examines the encounters between Roth and Levi that led to three versions of a memorable interview.

https://primolevicenter.org/printed-matter/philip-roth-interviews-primo-levi/

Clopine dit: à

Bon sang, voici Jacques Drillon qui se décide à lire Proust comme, je le cite hein ! « une jeune fille se résout soudainement à perdre son pucelage. Une sorte de passage obligé. »

Mais que sait-il des résolutions des jeunes filles à « perdre leur pucelage » ?

Qu’est-ce que c’est que ce « placage » d’une idée masculine sur les jeunes filles ?

Et pourquoi « se résoudre à » ? Comme si on ne peut pas faire autremet, alors on accepte de ?

Bon sang, Monsieur Drillon fait visiblement partie de cette génération qui a toujours prétendu parler, sinon « au nom » des femmes, du moins « à leur place »…

Soupir.

Ca transparaît dès qu’il s’exprime. Et bien entendu, il ne le reconnaîtra jamais. Car cela l’obligerait à se mettre en doute.

Et ça !N’est-ce pas !

Et comme ce qui se ressemble s’assemble, c’est bien entendu à Chaloux que Jacques Drillon s’adresse. Légitimité de l’entre-soi. Une main sur le piano, l’autre occupée à se gratter la virilité !!!

Nicolas dit: à

Ça y’ est ! on est en dictature !!! Projection paranoïaque intéressante, tout s’essplique?

Clopine dit: à

Quant à cette idée saugrenue qu’on ne pourrait lire Proust sans un Mentor qui vous l’aurait mis dans les mains…
Pffff….

N’importe nawak. J’ai lu Proust toute seule, comme une grande. Absolument personne, dans mon entourage, ne m’en avait parlé, et pour cause. Chez les menuisiers tels que mon père, la seule chance de croiser Proust était d’être appelé chez un client pour une commode boîteuse, dont le pied défaillant aurait été calé par un des volumes de la Recherche…

Pffff, donc. Oui, tant de points communs entre Chaloux et Drillon : l’arrogance et le mépris de classe (je me souviens de Chaloux tordu de rire à l’idée que j’ai pu lui laver son assiette, quand il déjeunait dans un self rouennais… Quelle misère !)

Marie Sasseur dit: à

C’est un bon trolleur aussi J. Drillon. Dommage qu’il ne l’autorise pas sous ses papiers..

Clopine dit: à

Et bien entendu, la légitimité de la culture, ici musicale, pour bien marquer la différence et la suprématie que la possession de cette culture leur procure.

Le langage des dominants, pur jus. C’est-à-dire, en gros, de ceux qui empêchent toute issue à une société au bord de l’asphyxie.

Clopine dit: à

Ah, je n’y avais pas pensé, ô désagréable et perfide Sasseur, qui voyez le mal tellement plus vite que moi. Mais ça se trouve, en plus, vous avez raison.

Or, je hais les trolls.

Chaloux dit: à

@J. Drillon.
Vous avez raison, faisons provision des souvenirs d’autrui, ils nous délasseront peut-être pendant le dernier voyage dont nous ne connaissons ni le temps de trajet ni la direction. Et même si nous en réchappons, nous ne sommes assurés de rien pour la suite.
Proust m’a été transmis par une amie de mon père, morte à cent ans ou presque et qui aurait cent-dix-ans la semaine prochaine. Une femme d’une culture exceptionnelle, traductrice -publiée- de l’anglais à l’occasion, qui avait bien connu Camille Belguise et Chardonne, mais aussi beaucoup d’autres personnes dont la plupart valaient le détour. Je me souviens par exemple d’un fameux collaborateur du « Monde Libertaire », Charles-Auguste Bontemps, qui avait vécu avec deux femmes, Germaine Bontemps et Aline Aurouet, femme peintre, et que j’ai encore vu donner des conférences dans une salle de la rue du Rocher (était-ce le « club du faubourg »?) à la toute fin de sa vie. Je m’en allais voir tous ces gens étranges et surprenants presque tous les dimanches, chez eux ou dans des réunions publiques, pendu au bras de mon père. On m’y admettait. Bien entendu, je ne disais rien, mais j’écoutais.

J’ai quinze, ans, elle en a soixante-douze, je passe la voir tous les mercredis après-midi. (J’ai toujours aimé les vieilles personnes ayant été élevé parmi elles). Un jour, je la trouve relisant Proust. L’après-midi se passe sur le livre et l’écrivain. Puis, silence, nous n’en parlons plus. Entre-temps, j’ai entamé La Recherche, sans résultat.
Six mois plus tard, elle me demande:
– Et Proust?
Je lui dis:
– Je ne peux pas.
Elle:
– Quel dommage !
Ce « quel dommage » est un coup de poignard.
Le soir-même je reprends Proust et ne le quitte plus pendant des années, Painter compris, comme beaucoup de ses lecteurs. Ma première épouse assurait m’avoir vu le relire une dizaine de fois. J’étais incapable d’en sortir.
Cette femme m’a beaucoup apporté. Lisant un auteur, elle m’en parlait, disait affirmativement « tu connais ». Je disais : « je ne connais pas ». Elle me donnait le livre. Je le lisais.

J’ajouterais que ne peuvent échanger intelligemment sur Proust que ceux à qui il a été transmis.

Marie Sasseur dit: à

Pfff, lavez-vous les mains quand même…

Chaloux dit: à

Cricri, vous n’aurez pas le choix, vous aurez à me rendre compte de vos propos. Quant au reste, Daaphnée ne me connaissait pas personnellement, et vous êtes bel et bien mystifiée. Si vous voulez parler de Rose, Rose n’est pas Daaphnée non plus.

Chaloux dit: à

Clopine dit: à
lecteurdeclopoine@ ?
C’est quoi ce truc là encore ?

Clopine, vous ne m’avez jamais écrit?

Clopine dit: à

ALors ça, c’est la meilleure ! Donc, désormais, pour être un lecteur de Proust « légitime » (= capable de le comprendre), il faut qu’il vous ait été « transmis » (= par une personne autorisée)

Mais faudrait tout de même arrêter un peu le robinet à l’arrogance de classe, là.

Penser aux jeunes gens et aux anonymes, à tous ceux qui n’ont pas eu la sublime grand’mère, l’oncle attentif, le professeur intelligent, l’ami avancé, pour « rencontrer et comprendre » Proust…

Mais qui ont simplement franchi la porte d’une librairie, ou ont eu la curiosité nécessaire pour se procurer le texte…

Je ne supporte pas cette manière de mettre Proust sous l’emballage de la distinction de classe.

Je m’étonne que Jacques Drillon fasse partie de l’association des amis de Proust : ne sait-il pas qu’on y croire « de tout », socialement parlant ?

Dont des lecteurs qui sont arrivés tout bonnement à Proust en commençant par acheter Du côté de chez Swann en livre de poche ?

Franchement !!!

hamlet dit: à

J + 1 après exclusion.

Clopine dit: à

Euh, désormais, je ne m’avance pas si résolument, il semble que j’ai beaucoup moins de mémoire que nombre de participants de ce blog. C’est vrai, je confonds souvent, hausse les épaules parfois, et ne me souviens plus…

Mais pourtant, non, Chaloux, là comme ça tout de suite, aucun souvenir d’avoir envoyé un mail à un quelconque « lecteurdeclopine ». C’était quand, au sujet de quoi, et ça a pris quelle forme ?

Via quelle adresse mail ?

D. dit: à

Moi je ne t’ai pas exclu, hamlet.
Je tiens à toi ici.

hamlet dit: à

H + 26 après exclusion : l’air commence à redevenir enfin respirable.

Clopine dit: à

Hamlet, de quoi parlez-vous ? Vous avez été exclus, c’est ça ?

christiane dit: à

Chaloux, je ne vous ai jamais suggéré Daaphnée, jamais parlé d’ell ! vous inventez encore ou vous êtes dans un état… second… (mon informatrice a bien raison…)

D. dit: à

Ça n’existe plus les trolls, Clopine.
C’était à la mode y’a qques années mais maintenant c’est hasbeen à fond.

Chaloux dit: à

Répondu nouvelle nouvelle !
• 17 Juin 2018, 20:43


• De :
X
• A :
lecteur.de-clopine@…

Je crains votre perspicacité littéraire, mais je me rassure en pensant à votre aménité… (je ne sais pas si j’ai raison, enfin je tente le coup !)

Bonne lecture en tout cas, j’espère…

Clopine

PS (mais qu’est-ce que j’ai à toujours me mettre en danger, moi, ah là là…)

Pièce jointe :
« LA TERRITORIALE

Chapitre 1 : la circulaire

« La circulaire est un texte faisant partie des « normes inférieures » qui permet aux autorités administratives (ministre, recteur, préfet…) d’informer leurs services. Ces circulaires peuvent prendre d’autres noms, par exemple « note de service » ou encore « instruction ». Le système juridique est organisé selon la théorie de la hiérarchie des normes de Hans Kelsen. Le principe est simple : la hiérarchie entre ces différents textes découle de la position institutionnelle de leur auteur. Les normes inférieures doivent ainsi être en accord avec ce qui est édicté par la norme supérieure. »

Je poste toute la nouvelle ?

Marie Sasseur dit: à

J. Drillon répare son ego, c’est humain.
Mais a voir comment c’est amené, ce gars-la est un vrai méchant…brrr.

Chaloux dit: à

Cricri Gobe Tout, personne ici ne me connait, Rose non plus. Vous êtes mystifiée, je vous le répète. Je vous confirme aussi que vous me rendrez compte directement de vos propos.

renato dit: à

À un moment il faudrait ouvrir la fenêtre !

Marie Sasseur dit: à

#(je ne sais pas si j’ai raison, enfin je tente le coup !)

A mon avis, elle a eu tort. lol

Chaloux dit: à

renato a des gaz. Ouvrez.

Marie Sasseur dit: à

Ca sent le renfermé à Colmar?

hamlet dit: à

H + 27 après exclusion: désolé D. une exclusion est une exclusion, il faut s’y tenir, n’oublie jamais mon frère que Jésus était Sagittaire ascendant Poisson, à un jour près il aurait été Capricorne et ton monde d’aujourd’hui serait alors bien différent.

rose dit: à

>D

Je vous le dis en deux mots : ne sais pas cuisiner un magret de canard.
Dslée

rose dit: à

Je confirme
Ne connais pas.Chaloux
Ne suis pas Daaphnée, ni soeur Marie des roses

Chaloux dit: à

Marie Sasseur à rien : »quand il n’est pas à lâcher des insinuations, avec menaces, concernant un prof du Collège de France :  »

J’ai menacé un prof du collège de France. Mais quelle folasse…
Menacé de quoi?

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

tinquiéte cricri..mon larbin inquiéte menace fait l’imminent adominème mais sait se souvnir toujours au bon moment qu’il est lâche

christiane dit: à

Rendre compte, rendr compte, c’est toujours votre dernier mot quand vous êtes à bout d’argument, pauvre chaloux. C’est vous qui aurait à rendre compte de toutes vos malveillances, de tous vos mensonges, de votre méchanceté, de votre obdcénité un jour, peut-être proche… Qui sait combien de temps nous avons encore à passer sur cette terre…

et alii dit: à

Ça n’existe plus les trolls,
C’était à la mode y’a qques années mais maintenant c’est has been à fond.
merci D de me prévenir; je n’ai découvert qu’il y a peu,quand LSP fut accusée

Chaloux dit: à

Tu m’as fait tellement pitié, pauvre Boutmol, avec ton mètre 52 et ta cirrhose. Je ne voudrais pas tirer sur une ambulance, ou plutôt sur un corbillard…
Meurs en paix, vieux merlan, il ne t’arrivera rien…

Hurkhurkhurk!

renato dit: à

À Colmar ça va, merci.

Chaloux dit: à

Je ne plaisante pas, Cricri. Vous me rendrez compte de vos propos.

hamlet dit: à

ps : Bach et Hitler sont du même signe astrologique du Bélier…

bouguereau dit: à

Pfff, lavez-vous les mains quand même…

c’est là qutu dois abattre ton ‘et pas que’ tèrezoune..ha bordel si qu’on doit te troller haussi..qui qu’encule l’autre..la voilà la question brûlante..dailleurs pour un bon lecteur de proust c’est ça qu’est centrale..bonne clopine elle acquièce..du chef attation..on est pas des quart d’intello

christiane dit: à

Eh oui, je sais, bouguereau, qu’il est lâche, aussi.
Salut à toi.
Quelle engeance dans cet espace !!! Et chaloux est un des pires énergumènes que nous rencontrons, ici.
Certaine… se trompe en lui accordant des circonstances atténuantes. C’est un vrai mauvais et elle une vraie naïve (une sorte de Prince Mychkine…).

Marie Sasseur dit: à

#quand LSP fut accusée

Les correcteurs du journal, il me semble.
La rosse n’était pas en reste.

christiane dit: à

Hamlet, mais qu’est-ce que vous nous faites, là ? Vous manquez ici. Supporter les délires grossiers de chaloux en temps de confinement, c’est double-peine !

et alii dit: à

LSP salue Marcel Moreau

PUBLIÉ LE12 AVRIL 2020
Ce fou de Marcel s’en est allé

Marie Sasseur dit: à

jjj-bougureau-hamlet-d-linquant, les cloches sont rentrées.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*